Samedi 5 octobre 2013 6 05 /10 /Oct /2013 17:36

DVD privé (L’initiation)

par Marie-France Vivier

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J’ai 24 ans, je m’appelle Sonia, on dit que je suis plutôt jolie avec mes cheveux bruns coupés courts. J’ai de jolis seins qui répondent vite aux caresses. Pour le moment, je n’ai ni ami de cœur ni amant. Quand la tension sexuelle est trop forte, je n’hésite pas à me masturber. J’aime le sexe et j’ai beaucoup de fantasmes, j’aime sucer une belle bite bien bandée ou lécher une chatte bien juteuse J’adore flatter de ma langue un trou du cul accueillant, et s’il est un peu sale, je n’en fais pas une maladie, j’aime avoir un peu mal et supporte souvent des pinces à linges accrochées à mes tétons. J’aime aussi les jeux de pipi et quand je suis très excitée, un peu de scato ne me rebute pas. « Drôle de fille ! » direz-vous ! Je m’en fous, je suis bien dans ma peau. Et puis nous somme sur un site d’histoires érotiques…

Pour mes jeux sexuels en solitaire, je me suis rasé tous les poils du pubis. La plupart du temps, pour me masturber, je me frotte la chatte avec de l’huile de massage. Je peux me faire venir plusieurs fois en une seule séance de masturbation. Je peux faire l’amour avec moi-même deux ou trois fois par semaine, mais ces temps-ci, je me masturbe tous les jours en pensant à ce qui m’est arrivé un samedi après-midi. Je vais vous raconter ça !

Je travaille depuis trois semaines comme domestique dans une belle et grande maison cossue de Montréal. Mes employeurs sont un couple de trentenaires sans enfants. Lui est architecte, plutôt bel homme. Sa femme est une avocate pénaliste réputée. Elle est un peu plus vieille que lui et je la trouve très séduisante. Tous les deux semblent heureux, très complices et ils gagnent très bien leur vie. Leur maison en est une preuve. Je ne les vois pas souvent, le matin j’ai une liste de tâches à accomplir. Pour l’instant tout se passe bien et je n’ai eu à essuyer aucun reproche.

Voilà comment tout a commencé :

Un après-midi, en époussetant les meubles, j’ai trouvé un DVD laissé sur la bibliothèque. Il n’y avait qu’un numéro en guise de titre. Par curiosité, je l’ai inséré dans le lecteur du salon.

Je ne vous dis pas ma surprise !

J’ai de suite reconnu ma patronne. Entièrement nue, attachée par les poignets à une grosse poutre en bois, ses longs cheveux noirs défaits. ses pieds touchant à peine le sol. A un moment donné, un homme cagoulé lui a appliqué des pinces métalliques sur ses mamelons érigés. Elle n’a pas bronché, puis l’homme s’est saisi d’un martinet et s’est mis à fouetter copieusement une jeune femme nue attachée devant lui. Je pouvais voir clairement les lanières de cuir s’abattre en claquant sur ce corps aux formes parfaites qui réagissait à chaque coup. Aucune partie de son anatomie n’était épargnée par le martinet : fesses, dos, cuisses, ventre, seins. Un autre homme la bite en étendard, s’occupait de ma patronne qui semblait prendre un intense plaisir à se faire fouetter. J’ai augmenté le son. J’entendais alors nettement le bruit sec du martinet qui frappait la peau nue et ma patronne qui, en se tortillant à chaque coup, disait :

– Oui ! Plus fort ! Oui ! J’aime ! Oui ! Encore ! Je vais jouir ! Encore ! Encore ! Ahhh !!!

Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Ainsi, la célèbre avocate Laura Darwin. était une adepte des jeux sadomasochistes. La scène que je voyais était bien réelle et sans équivoque. Je fis un peu d’avance rapide pour découvrir une femme d’âge mûr mais de belle prestance faisait avancer Laura, tenue en laisse et à quatre pattes. Et c’est là que j’ai vu l’incroyable ! Une grande blonde était allongée sur le sol occupée à sucer la bite d’un grand chien noir. La mâture ordonna à Laura de prendre la place de la blonde, ce qu’elle fit sans hésitation, et les gros plans pris par la caméra montrait le plaisir que lui procurait l’accomplissement de cette perversité inouïe.

J’étais tellement excitée par ce que je voyais que j’ai mis une main dans ma culotte humide. Je me suis mise à me masser ma minouche toute chaude et mouillée, en me frottant bien mon clitoris tout dur et enflé. Je suis venue en moins de trois minutes, en poussant un long gémissement de plaisir. Avant, j’ignorais qu’une scène de ce genre pouvait m’exciter à ce point. J’étais tellement absorbée par ce que je voyais et entendais et occupée à me donner du plaisir, que je n’avais pas remarqué la présence de ma patronne dans la pièce où je me trouvais. Laura était rentrée plus tôt que prévu.

En l’apercevant, j’ai laissé échapper un « Oh ! » de gêne et de surprise. Je ne savais quoi dire.

– Eh bien, Sonia, c’est comme cela que vous faites le ménage ?
– Je, je…
– Je quoi ?
– Un moment d’égarement, je vais m’en aller…
– Je ne te demande pas de partir.
– Si, si ce sera mieux !
– Je te propose une punition et on oubliera cette indiscrétion.
– Une punition ?
– Une bonne fessée par exemple.

Après tout pourquoi pas, si elle le prend comme ça…

– D’accord punissez-moi !
– Tu es bien sûr, je peux être très méchante.
– Oui, oui, punissez-moi.

Je ne risque pas grand-chose, si elle me fait trop mal, je me barre !

– Méchante et vicieuse ! Ajoute-elle. Mets-toi à poil !
– Complétement !
– Je ne t’ai pas autorisé à me poser des questions idiotes, allez dépêche-toi de te déshabiller.

J’obéissais, pas trop rassurée quand même !

– J’ai trop envie de pisser, viens avec moi aux toilettes, je vais me soulager sur toi ! Me dit-elle

Si elle s’imagine que ce sera pour moi une punition… j’adore ces jeux, mais je ne vais pas le lui dire.

Les toilettes sont spacieuses, Laura me fait m’allonger sur le sol et après avoir retiré son pantalon et son string m’enjambe au niveau de ma poitrine.

Le jet m’arrose mes seins, j’adore cette sensation et oubliant que je suis « en punition », je me frotte le corps avec cette urine toute tiède et j’ouvre la bouche. Evidemment Laura s’aperçoit de mon manège.

– Dis donc petite vicieuse, on dirait bien que ça ne te déplait pas qu’on te pisse dessus ?
– Euh…
– T’as raison d’ouvrir la bouche, tu vas avaler le reste tu me diras si c’est bon !

J’avale une bonne goulée.

– Votre pisse est délicieuse, madame !
– J’ignorais que tu étais si vicieuse ! Et si je te faisais gouter ma merde ?
– Je veux bien essayer, Madame, mais juste un peu !
– T’es vraiment trop vicieuse ! Suis-moi sur le canapé, tu vas me lécher l’abricot !

Voilà qui était inattendu, mais il faut croire que mon attitude (et peut-être mon corps, ne soyons pas modeste) l’avait excité.

Je pus ainsi admirer de très près le corps magnifique de ma belle patronne maintenant complètement nue.

– Allez, on se dépêche, et t’as intérêt à me faire jouir, sinon, je te vire ! Tu as déjà léché des femmes, dis-moi ?
– Oui, madame et j’aime ça !

Je m’approchais et me plaçais visage contre pubis, puis commençais à laper sa chatte mouillée comme une soupe.

– Pince-moi les bouts de seins en même temps, salope ! Tu veux bien que je traite de salope ?
– Bien sûr, Madame !

Je me régalais de son jus, mélange de moulle et d’urine car Madame ne s’était pas essuyée après son petit pipi sur moi.

– Plus fort, les seins ! Salope !

Je serrais plus fort, et accentuais mes mouvements de langue. Laura commençait à gémir, j’introduisis un doigt qui émit un insolite bruit de floc-floc quand je le fit aller et venir tandis que ma langue cibla son clito érigé comme une petite bite.

Laura haletait, jappait, miaulait, puis soudain tout son corps se raidit quand elle laissa éclater sa jouissance. Je n’étais pas peu fière de moi !

– Tu m’a l’air douée ! On va peut-être faire quelque chose de toi ! Va me préparer une citronnade avec des glaçons, tu peux en prendre pour toi si tu veux, et on va discuter cinq minutes.

Quand je revins avec les boissons, Laura s’était passé une robe de chambre.

– Tu ne rhabilles pas, toi ? Me demande-t-elle.
– Si, je vais le faire…
– Pas la peine, assis toi et écoute-moi.
– Oui madame !
– Je vais te faire un aveu, nous n’avions pas l’intention de te garder…
– Mais..
– Laisse moi finir ! En fait nous recherchions une bonne à tout faire qui soit en même temps un peu coquine et qui puisse participer à nos jeux érotiques. Pas si facile à trouver, alors comme il fallait bien entretenir la maison on t’a pris en attendant de trouver la perle rare…
– Mais…
– Tu vas te taire quand je parle, oui ? Mais comme on dirait que tu as certaines dispositions on va peut-être te garder. Tu as tout à y gagner, ton salaire va au moins doubler, mais faut qu’on te teste.
– D’accord, testez-moi !
– Le test ça va être de nous accompagner à l’une de ces soirées comme sur le DVD, on verra comment tu t’en sors! D’accord ?
– Oui, madame avec plaisir !
– Tu vas être fouettée, attachée, humiliée, mais tu ne seras pas prisonnière, si tu veux quitter le jeu, il suffira de le dire… mais dans ce cas adieu l’embauche.

Le samedi suivant en fin d’après-midi, j’étais dans ce qui avait dû être la salle de banquet d’un restaurant. Il y avait environ 25 personnes, un type me proposa un bracelet. Laura m’expliqua que les esclaves devaient porter un bracelet rose, les dominas un bracelet rouge et les voyeurs un bracelet blanc.

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– Un bracelet rose pour cette pouffasse ! Demanda Laura

Des matelas recouverts de serviettes éponges étaient disposés contre les parois de la pièce. Dans un coin trônait un buffet froid avec charcuteries, fromages et petits fours salés et sucrés, mais il y avait aussi des coupelles remplies de préservatifs et de dosettes de gel intime. Sur les murs, il y avait toute une panoplie de fouets, de chaînes et de menottes en métal et en cuir. Certains hommes étaient cagoulés, tous étaient nus et beaucoup bandaient. C’était très excitant de voir toutes ces bites ! Quelques femmes, dont ma patronne, étaient vêtues de longues robes blanches transparentes sans rien en-dessous. D’autres femmes étaient complètement nues. Deux d’entre-elles, des esclaves portaient des menottes de cuir aux poignets et aux chevilles. Elles avaient les poignets liés dans le dos et les chevilles entravées par une courte chaîne. L’une d’elles prodiguait déjà une fellation vorace à l’homme qui se tenait près d’elle. Il y avait aussi deux gros chiens tranquillement assis dans un coin.

J’étais la seule femme qui portait encore ses propres vêtements.

– C’est qui ça ? Demanda un vieille bourgeoise à Laura en me désignant.
– C’est Sonia ! C’est une boniche vicieuse. Elle est venue ici ce soir pour voir comment ça se passe !

Je rougissais à ces propos volontairement humiliants

– Tu veux que je ta prête ? Demanda Laura.
– Est-ce qu’elle lèche bien ?
– Elle se débrouille !
– Alors suis-moi, poufiasse !

Puis, se tournant vers moi, elle m’a ordonné de me déshabiller. J’ai obéi, un peu mal à l’aise, mais excitée malgré tout. Une fois nue, la vieille salope m’a fait face et m’a nargué.

– Je vais te montrer que je suis encore plus salope que ma fille !

Sa fille ? C’est donc la mère de Laura ! Je rêve !

– Ouvre ta bouche, je vais te cracher dedans !

J’hésitais, malgré mes penchants maso, il y a quelques turpitudes que je n’ai pas eu l’occasion de pratiquer.

– T’attends quoi ? Me dit la mamie, en me giflant. Je t’ai dit d’ouvrir la bouche.

Je le fis, et mamie me cracha plusieurs fois dans la bouche, j’avalais sa salive, humiliée comme jamais.

– Voilà c’est bien, je n’aime qu’on me résiste, la dernière fille qui m’a résisté, je l’ai emmené sur un chantier où travaillait une dizaine de blacks bien montés et ils l’ont tous enculé ! C’est peut-être ça que tu voudrais ?

Elle bluffait bien sûr, mais n’empêche que j’ai laissé ma bouche ouverte afin qu’elle continue son travail d’humiliation.

Elle m’a ensuite conduit vers l’un des matelas et s’est positionnée en levrette en relevant son cul !

– Maintenant tu me vas me lécher le trou du cul. Quand je viens ici, je ne me torche pas, je garde le cul sale, je sais que je trouverais toujours une morue pour me le nettoyer.

J’approchais mon visage de ses fesses. Effectivement ça ne sentait pas la rose.

– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– Oui, beaucoup !
– Décris moi mon anus ! Comment il est ? Est-ce qu’il y a des taches de merde ?
– Oui, il y a quelques taches.
– Alors nettoie tout ça !

Je l’ai fait ! Pour avoir déjà pratiqué des choses dans le genre, je trouve la pratique moins humiliante que le fait de me faire cracher dessus… et puis ce petit goût n’est pas si désagréable.

Je pensais qu’après ce petit délire, elle me demanderait de la faire jouir, mais non, elle m’abandonna à mon sort en allant faire d’autres rencontres

– Viens on va s’occuper de toi ! Me dit un gros barbu vite rejoint par un grand maigrelet.

On m’a ensuite bandé les yeux avec un épais foulard noir, puis des mains d’hommes, (ou de femmes, allez savoir ?) m’ont saisi. On m’a entravé les poignets avec des sangles de cuir et on m’a suspendu à cette poutre que j’avais vu sur le DVD. J’aperçus les fouets accrochés au mur et les redoutais.

On m’a accroché des pinces sur mes tétons et sur mes lèvres vaginales. Puis j’ai senti la morsure de la cravache. La douleur était supportable, maïs ce n’était pas des caresses non plus, je ne me souviens plus combien de coups j’ai reçu, mais le soir quand tout cela fut terminé et que j’ai pu me mirer, je découvris mon corps strié de zébrures qui persistèrent plusieurs jours avant de s’effacer.

Puis on m’a détaché de la poutre. C’est alors que j’ai senti qu’on m’huilait partout le corps, les mains et les doigts s’attardant et insistant sur mes fesses, mes seins et ma foufoune qu’on frottait doucement. J’avais l’impression que toute l’assistance me touchait ainsi. Ma respiration a changé de rythme et j’ai commencé à laisser échapper des premiers halètements de plaisir. Bientôt, une ou deux langues s’activaient sur mon clitoris et dans ma fente, tandis que d’autres glissaient sur mes seins et mes mamelons durcis. Le plaisir était incroyable. Quelqu’un m’a enlevé mon bandeau et j’ai pu voir enfin qui s’occupait ainsi de mon corps. Une imposante femme noire me léchait le clitoris tout en branlant la queue d’un homme, tandis qu’un homme me léchait les seins tout en se faisant sucer la bite par l’une des femmes aux chevilles et aux poignets attachés. D’autres langues, surtout celles des femmes aux robes transparentes, se promenaient sur mes fesses. L’une des langues s’est frayé un chemin dans ma raie jusqu’à mon anus, pour tenter de s’enfouir dans mon petit trou. Elle y est parvenue, car je l’ai sentie pénétrer. D’autres bouches et langues s’occupaient de mes cuisses, mes jambes et mes pieds.

Je découvrais des sensations restées inconnues pour moi auparavant. Je sentais mon jus d’amour qui s’échappait de ma chatte trempée et qui coulait le long de mes cuisses. La langue de la blackette en léchait cependant la plus grande partie. J’ai joui, criant, hurlant de plaisir.

Mais c’était loin d’être terminé. On m’a étendue en croix sur un chevalet, bras et jambes écartés au maximum. Pendant un long moment (difficile d’évaluer le temps dans ces moments-là) des langues se sont activées sur mon corps, partout, dans les moindres recoins, alors qu’on me mettait queue après queue dans la bouche, la chatte et le trou du cul J’ai eu orgasme sur orgasme.

On a fini par me détacher, j’ai voulu souffler un petit peu. Profitant que j’étais étendue sur le plancher, ma patronne est venue s’asseoir sur mon visage.

– Honore ma fente ! m’a-t-elle dit.

Naturellement, sans contrainte, avec joie, comme si je n’avais fait que cela toute ma vie, je lui ai léché la chatte, forçant ma langue dans son trou mouillé. En même temps, un homme, ou une femme, je ne sais plus, me léchait également la chatte. J’avais le visage trempé par le jus de ma patronne. C’était délicieux. J’en avalais. Elle s’est mise ensuite à me pisser dru dans la bouche. J’ai trouvé que son urine était décidemment délicieuse.. Ma patronne se recula légèrement afin de mettre en contact son anus avec ma bouche. Excitée comme j’étais, je n’étais même pas gênée par l’odeur de merde qui s’en dégageait. Elle me demanda de lui introduire un doigt, je le fis donc et le remuais en cadence dans son trou du cul. Quand je le ressorti, elle me demanda de le lécher. pourquoi pas ?

Des mains m’ont ensuite mise à quatre pattes et j’ai senti une queue bien dure pénétrer une nouvelle fois dans mon anus. Devant moi, une autre bite s’est présentée et je l’ai prise aussitôt dans ma bouche, la suçant comme un veau affamé. L’homme m’a éjaculé au fond de ma gorge, tandis que celui qui m’avait prise par derrière est venu décharger son sperme sur mon visage déjà couvert de sueur, de salive, de mouille et de pisse. Il m’a ensuite fait nettoyer sa bite maculée de merde. Tous près de moi, tout le monde copulait dans toutes les positions possibles.

Me demandant où était passée ma patronne, je l’aperçu un peu plus loin, elle était étendue sur un matelas avec une autre femme en position de soixante-neuf. Ma curiosité me fit m’approcher, c’est alors que je compris quelle était en train de se gamahucher avec sa propre mère. Cette vision me troubla profondément et je senti mon jus dégouliner sur mes cuisses.

Les deux femmes finirent par jouir et se caressèrent tendrement. C’est alors qu’un grand black se présenta devant elles, la bite tendue comme un arc, Laure et Mamie se mirent à la sucer de conserve, l’homme ne tarda pas à lâcher sa purée, c’est Mamie qui recueillit le sperme dans sa bouche, avant de le partager avec sa fille dans un incroyable baiser de folie !

Je m’éloignais et continuait d’explorer cette orgie hors du commun. A gauche, c’étaient trois jolies femmes qui se mangeaient mutuellement le minou en formant une sorte de triangle. A droite, c’était encore une belle femme qui après avoir chié un gros boudin le léchait vicieusement en compagnie d’une autre femme. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises puisque près de l’entrée mon patron se faisait enculer par un homme barbu tout en suçant une belle queue.

Tout le monde était occupé à jouir et à faire jouir. Plus loin, au fond de la pièce, une splendide femme nue suspendue à la fameuse poutre se faisait abondamment fouetter, demandant à l’autre femme qui tenait l’instrument de frapper encore plus fort. Un peu plus loin, une femme chiait sur le visage d’un homme. J’ai regardé la scène pendant quelques instants puis j’ai sauté avec ma bouche sur la première queue qui s’est présentée. Une belle jeune femme s’est jointe à moi et, toutes les deux, nous avons léché et sucé cette jolie bite bien bandée qui a fini par nous éclater au visage. Un déluge de sperme nous a inondé les yeux, les joues et la bouche. La femme et moi, nous avons léché ce sperme pour éviter qu’il ne se gaspille, nous l’échangeant avec nos langues en nous embrassant. Une troisième femme, la bouche pleine de décharge, est venue se joindre à nous et nous avons aspiré tout le liquide d’amour du fond de sa gorge. On aurait dit qu’elle était venue nous faire une offrande.

Les deux chiens étaient très occupés. L’un subissait une fellation de la part de deux jolies femmes qui se repassait sa bite en gloussant de plaisir. L’autre chien couché sur le flan se faisait sucer par Mado, une mature blonde assez dodue qui s’en pourléchait les babines,

Je voulais absolument vivre cette expérience, mais personne ne s’occupait plus de moi, je m’approchais donc du deuxième chien, hésitant un peu..

– Tu fais quoi ? Me demande Mado, arrête de regarder et viens le sucer avec moi !

Je respire un grand coup, je me baisse, je m’approche, je ferme les yeux, les rouvre. Je n’ose pas lécher par le bout et me contente lécher la verge sur le côté.

– Suce mieux que ça ! Sinon c’est pas le jeu ! Me dit Mado.

Alors prenant mon courage à deux mains (je devrais dire prenant mon courage en bouche) j’ai sucé l’extrémité de cette bite, m’habituant progressivement à cette substance visqueuse qui s’en dégageait. Au bout d’un moment Mado a voulu me rouler une galoche, excitée comme j’étais, je n’ai pas hésité une seconde.

Il s’était formé un attroupement autour du premier chien, j’ai compris pourquoi. L’une des deux femmes s’était mise en levrette et se faisait saillir par le chien qui la pénétrait en cadence.

– Qu’est-ce que tu attends pour faire pareil ? Me demanda ma patronne qui nous avait rejoint.

Toute honte bue, je me suis mise à quatre pattes, Laura et Mado on fait ce qu’il fallait pour attirer le chien vers mes fesses. Je n’étais plus qu’une chienne qui se faisait prendre par un chien… et j’étais bien !

Depuis ce jour mon statut chez mes patrons a changé, on me fouette quand je fais des bêtises et même quand j’en fais pas ! Parfois je sers de chiotte et de papier à cul à mes patrons, et quand il y a des convives, je suis, si l’ambiance s’y prête invitée à sucer les bites de ces messieurs et les chattes de ses dames, Et si l’on veut m’enculer, je ne dois pas refuser.

Croyez bien que je ne me plains pas, et puis je vais vous confier un secret, mon salaire a triplé !

 

D’après une histoire parue sur le site de SophieXXX en 2000 signée Maude et titrée « l’initiation »

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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Vendredi 6 septembre 2013 5 06 /09 /Sep /2013 09:12

Essayage chaud par Marine et Thibault

  stamp pipe

Théme abordé : doigtage masculin, feuille de rose

Il y a deux semaines, je faisais des courses avec ma copine et nous sommes entrés dans une petite boutique de vêtements pour hommes car un pantalon de toile à prix abordable était dans la vitrine. Nous demandons à la femme qui est en train de ranger des cartons si je peux essayer. Elle m’aide à trouver la bonne taille et me dirige vers une cabine d’essayage.

A sa façon de parler, ça doit être la patronne. Elle doit avoir la trentaine, brune avec des cheveux mi-longs assez raides, des yeux verts magnifiques (moi qui ne les remarque jamais), et un corps à faire envie à beaucoup de jeunes de 20 ans. Elle a la taille de « guêpe », des petits seins qui semblent fermes et des fesses serrées dans un pantalon élastique.

J’entre donc dans la cabine et tire le rideau. Mon amie reste devant et jette un coup d’œil de temps en temps pour voir si j’ai fini. Le pantalon est un peu petit et j’ai du mal à fermer la fermeture éclair qui doit être dure. La vendeuse (ou la patronne ?) s’approche et tout en ouvrant le rideau me lance un :

- « Alors monsieur, comment vous va cet article ? »

Je lui dis qu’il est un peu juste et elle m’en amène un autre immédiatement. Celui-là me va comme taille mais la fermeture doit être cassée. La vendeuse pousse le rideau et me voit me bagarrer avec la braguette, avec ma copine à côté de moi qui essaie de m’aider.

- « Pardon, j’ai l’habitude, je vais essayer ! » Nous lance la vendeuse.

Elle se met à genoux devant moi et tente d’actionner la fermeture éclair qui résiste. Je sens ses doigts qui effleurent mon intimité et je n’ose plus bouger. Il n’y a rien à faire, et elle me dit qu’elle va en recevoir la semaine prochaine. Je me rhabille et nous sortons avec ma copine.

Je me sens très troublé par ces presque attouchements et je projete d’y retourner la semaine suivante. Le mardi, en sortant du bureau, je décide donc d’y aller pour voir si elle a reçu sa marchandise. Le temps de m’y rendre, il est presque 18 h 45. J’entre dans le magasin et la même charmante femme m’accueille avec le sourire et me reconnaît car elle me dit tout de suite qu’elle a reçu les pantalons.

Elle m’en sort un et m’invite à entrer dans la cabine pour l’essayer. Elle me dit qu’elle va boucler la porte du magasin car elle ferme dans quelques minutes et que c’est toujours à ce moment-là qu’il y a plein de gens qui viennent. Je m’excuse de la déranger à cette heure, mais elle me répond :

- « Oh non vous ce n’est pas pareil, je vous avais dit de revenir aujourd’hui « .

Je me déshabille dans la cabine, consciemment ou inconsciemment, je m’aperçois que ce matin j’ai mis un slip qui est très petit et presque transparent. Je me dis « heureusement que je n’allais pas chez le médecin ».

Je viens à peine d’enlever mon pantalon et je commence à enfiler le pantalon de lin écru, que le rideau s’ouvre avec ma vendeuse qui me dit :

- « Alors cher monsieur, comment vous va-t-il, celui-ci ? »

CE Gêné, je me dépêche d’enfiler le pantalon et je m’emmêle les pinceaux comme on dit souvent. Enfin bref, je le boutonne et je monte la fermeture éclair et là encore, ça bloque. Elle me dit « laissez-moi faire ». Elle s’agenouille devant moi et essaye de monter cette fermeture récalcitrante. Elle aussi a du mal et elle passe carrément une main à l’intérieur du pantalon et de l’autre essaie de forcer. Je suis seul avec elle et ma gêne se transforme vite en excitation. Je ne peux pas la cacher longtemps et je me mets à bander comme rarement. Je sens ma queue qui se raidit prête à exploser hors de mon slip. Elle fait celle qui ne remarque rien et me dit :

- « Bon enlevez-le je vais vous en donner un autre ! »

Elle joint le geste à la parole, le déboutonne et tire sur les jambes du pantalon pour le faire glisser.

Ce qui devait arriver, arrive. Mon slip suit en partie le pantalon et elle se retrouve avec ma queue gonflée et écarlate qui rebondit devant ses yeux.

- « Oh » me dit-elle d’un air surpris. « c’est moi qui vous fait cet effet ? »

Je lui réponds que c’est à cause de sa main en essayant de monter la braguette. Je bredouille un « désolé » mais elle ne semble pas offusquée du tout. Au contraire.

Elle pose sa main gauche sur ma cuisse et je sens sa main droite qui remonte vers mes couilles. Je me laisse faire. Elle finit de descendre mon slip de sa main gauche et commence à me caresser la queue sur toute la longueur. Elle approche sa bouche et pose quelques délicats baisers sur mon gland avant de la prendre entièrement dans la bouche. Je suis aux anges, je n’y crois pas. Cette beauté est en train de me sucer la bite et elle a l’air d’y prendre goût. Je lui maintiens la tête de peur qu’elle n’arrête, mais pas de problème elle me suce comme une reine.

Je lui dis d’arrêter car je vais jouir. Elle se redresse et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et j’en profite pour passer mes mains sous son pull de coton. Je dégrafe rapidement le soutien-gorge et soulève le pull pour sucer ses petits seins. Le bout est très dur et elle soupire des « oh oui c’est bon » entrecoupés de soupirs.

Sans m’arrêter, ma main s’insinue sous sa jupe et je sens une petite culotte de dentelle qui est déjà très humide. Je passe un doigt puis deux vers sa chatte qui s’ouvre comme la caverne d’Ali-Baba. De mon autre main, je défais la fermeture éclair sur le côté et la jupe ne tient plus que par ma main qui s’occupe dans sa fente trempée.

Je la soulève à moitié et la fait s’asseoir sur la chaise qui est dans la cabine. Je plonge ma tête entre ses cuisses et lui bouffe sa chatte inondée. Je passe du clito à son petit trou et m’attardant entre ses lèvres gonflées. Ce coup-ci c’est elle qui me tient la tête pour me maintenir en place.

Je ne sais pas combien de temps durent ces caresses, mais je n’en peux plus, j’ai envie d’elle.

Un préservatif arrive dans ma main (Madame avait donc prémédité tout ça), je me le place vite fait. Je relève la femme qui se retourne, m’offrant la vue de son petit derrière superbe. Je me colle à elle et m’enfonce dans sa chatte. Je l’ai tellement léchée et elle a tellement joui que ça rentre tout seul. Je suis si excité et elle aussi que nous jouissons ensemble en moins de deux minutes. Nous restons collés encore une minute, puis elle se retourne et recommence à me sucer.

Je suis persuadé que je ne pourrai pas rebander tout de suite mais je ne la connais pas encore.

Elle me suce, m’aspire, pendant qu’avec une main elle me caresse les couilles et avec l’autre elle entre un puis deux doigts dans le cul. Elle est très douée car en deux minutes de ce traitement, ma queue reprend des dimensions très honorables. Elle se redresse, se retourne et m’offre son petit derrière si excitant. Je lui lèche la raie et lui titille son petit trou avec la pointe de la langue. Je lui enfonce les doigts dans la chatte et de l’autre main je lui travaille l’anus. Elle commence à gémir et à se tortiller, preuve qu’elle aime ça.

Je me relève et me présente à l’entrée de son entrée secrète. Je l’ai tellement léchée, que ça entre tout seul sans forcer. Mes mains s’agrippent à son dos, à ses seins. Les siennes me caressent les couilles qui tapent contre sa chatte et elle se caresse elle-même. Je tiens le rythme pendant cinq bonnes minutes vu qu’elle m’a déjà vidé les couilles tout à l’heure, et elle jouit dans un râle de plaisir bruyant. Je la suis de très près et je vide mon reste de foutre au fond de son cul chaud. Nous sommes restés ainsi collés au moins deux minutes tellement c’était bon.

Après un brin de toilette dans l’arrière-boutique, je suis reparti en promettant de revenir quelques jours plus tard pour réessayer un autre pantalon et surtout pour recommencer la même partie de plaisir.

Je vous raconterai dès que j’y serais allé. 

M et T Devillers septembre 2013

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 23:46

Moi, j’aime le Music-hall !
Par Marine et Thibault

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Thémes abordés : travestis

Je n’ai donc pas le droit de citer le nom de ce célèbre music-hall un peu coquin, il paraît que son nom est une marque déposée et qu’il n’est pas dans le domaine public.

J’ai par contre celui de vous le décrire.

Alors vous sortez du métro, non ne cherchez pas les complications, il n’y a qu’une sortie, en queue de station (quoi que ça dépend d’où vous venez !) Vous marchez 200 mètres devant vous ! Et il est là, majestueux, sa façade a été ravalé. Grâce à des subventions publiques ce travail a bénéficié d’un gros budget et donc d’entreprises compétentes ! Les colonnades sont maintenant impeccablement blanchies et sont artistiquement illuminées la nuit. Le dôme a été refait et les ardoises crasseuses ont été remplacées à l’identique par des matériaux neufs.

Rentrons : La salle des billets est assez étroite, mais on a voulu la garder ainsi, le billet étant pris, on passe dans une espèce de corridor ou un préposé vérifie. Vous pouvez alors bénéficier du vestiaire, puis vous rentrez directement dans la grande salle ou l’immense et fier rideau rouge cache pour l’instant cette magnifique scène. La fosse d’orchestre est toujours là. Elle ne sert plus beaucoup. Il est tellement tentant dans un compte d’exploitation de remplacer les salaires de bons musiciens par un simple enregistrement sur cassette payé une misère à un stakhanoviste du synthétiseur

Mais moi je ne rentre pas par ce chemin, je pénètre carrément par l’entrée des artistes. Et pourtant je n’ai rien d’une artiste. Je me prénomme Marie-Lyse, j’ai 30 ans, vraie blonde (si ! Si ! Vous pouvez vérifier ! Une petite poitrine genre  » y a ce qu’il faut « , pas assez de fesses, on ne peut pas tout avoir. J’ai des yeux bleus et j’ai gardé de ma province un accent bourguignon dont je n’arrive pas à me débarrasser. Malgré ces quelques handicaps, le bilan n’est pas trop mauvais, et en règle générale je plais à ces Messieurs.

Parce que je ne vous ai pas tout dis, dans ma culotte, niche une jolie bite, bien blanche parcourue par une jolie veine bleue et terminée par un gland tout rose et tout lisse.

Je suis sûre que vous aimeriez bien la sucer, bande de petits cochons que vous êtes !

Mais confidence pour confidence, j’aime mieux sucer que me faire sucer ! C’est comme ça, ça ne se commande pas !

Mon métier n’est pas toujours facile, mais je n’en changerais pour rien au monde. Je suis habilleuse. Bien sûr mon rôle est avant tout d’habiller mais il arrive qu’entre deux tableaux mes fonctions dérivent vers quelque chose de moins sérieux. L’autre soir par exemple à l’entracte, il y avait Conrad J. Hamilton, vous savez le chanteur noir ! Non vous ne savez pas ! Plus personne ne se souvient de lui, mais ça ne fait rien, c’est un géant baraqué superbement monté. Il m’a fait appeler dans sa loge. Quand je suis arrivée, je l’ai trouvé entièrement nu, installé devant sa table de maquillage

J’ai vu tout de suite qu’il bandait, surtout qu’il n’a pas eu un geste pour cacher sa grosse bite qui se dressait entre ses cuisses. Il m’a jeté un coup d’œil fiévreux et m’a dit d’emblée :

- Je ne sais pas ce que j’ai, je suis excité comme un dingue, ça m’a pris tout à l’heure et depuis moi ne peux plus m’arrêter de bander !

Puis il a ajouté en matant la bosse qui pointait sous ma blouse

- Je sais bien que c’est pas ton boulot, mais j’aimerais bien que tu m’achèves, autrement je ne pourrais pas remonter sur scène !

Au lieu de me choquer la proposition m’a aussitôt fait monter l’adrénaline. Je ne pouvais détacher mes yeux du superbe engin qui pointait d’entre ses cuisses puissantes. Les mains moites, la gorge sèche et la bite en feu, je lui ai murmuré :

- Tu veux que je prenne ta grosse queue dans ma bouche ? C’est ça que tu veux ? Ou bien tu veux me la mettre directement jusqu’à la gorge ?
Marylise
Ses mâchoires ont frémi et il s’est mis à bander encore plus dur !

- Je vais te la mettre direct ! A-t-il gémi en me faisant pivoter sur lui.

Puis il a relevé ma blouse, s’est amusé un moment avec ma bite, puis s’est introduit dans mon petit cul. Le temps de quelques secousses hyper violentes et nous nous sommes explosés la tête de plaisir

- T’as aimé ça, hein, tantouse ?
- La tantouse, elle t’emmerde !

C’est vrai ça, j’ai horreur qu’on me manque de respect ! Mais…

…Moi j’aime le music-hall…

Publié sur revebebe le 2/12/2000, puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devilers - Publié dans : Marine et Thibault
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Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 06:57

Un bon coup de crayon.
par Marine et Thibault

 

Mast stamp

Thémes abordés : masturbation

 

Hello, vous vous rappelez de moi, c'est Marine ! (Deux qui la tiennent...)

C'est notre troisième histoire ! Elles n'ont pas un succès fou ! Que voulez-vous, comme dirait l'autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais l'essentiel c'est qu'elles ont plu à certains ! Faut de tout pour faire un monde !

Pour ceux qui débarquent, on vous refait la description : Je ne suis pas Claudia Chou-fleur mais je n'ai rien d'un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blonds, un joli petit sourire ! Ça ira ?

Vous en voulez encore ? J'ai un joli nez et surtout une bouche qu'on dirait dessinée pour faire des pipes !

Faut pas que je me plaigne ! Avec le salaire de mon époux, j'aurai pu rester chez moi à ne rien foutre, mais qu'est-ce que vous voulez, à la maison je m'emmerde, alors je travaille dans la boite de mon mari comme secrétaire de direction. Et comme nous prenons mon homme et moi nos vacances au mois de juillet, au mois d'août, et bien je suis au bureau, et au mois d'août ce connard de directeur adjoint n'est pas là. C'est son tour de partir en vacances. Donc je me satisfais très bien de cette situation, et en fait au mois d'août je baise au bureau au lieu de baiser à la maison. Parce que mon mari, lui qu'est-ce qu'il fait ? Lui qui ne s'occupe pratiquement pas de la gestion de la boite, et bien au mois d'août il trouve toujours un voyage d'affaire à se farcir ! En fait de farcir, il doit se faire une cure d'escorts-girsl de toutes nationalités et de toutes couleurs. Alors pourquoi, je me priverais ?

Donc, vous avez compris, quand les patrons ne sont pas là, les souris dansent et se tripotent ! C'est ce qui m'est arrivée l'autre jour sous le coup de quatre heures de l'après-midi. J'étais assise dans le fauteuil de l'adjoint en train de consulter un dossier quand celui-ci a téléphoné de Saint-Tropez (encore un qui doit se croire indispensable !) C'est alors qu'il m'est venu une envie irrésistible de me doigter la minette. Il faut dire que chez moi, ce genre de choses arrive n'importe où et n'importe quand.

Tout à coup ma chatte s'embrase, mes tétons durcissent et il faut alors que je me soulage, que mon minou explose de plaisir ce qui n'est pas toujours évident. Mais tandis que ce connard d'adjoint monologuait sur un dossier dont je me fichais royalement, je n'ai pas hésité, j'ai posé le combiné et j'ai branché l'ampli. Puis j'ai pris dans le pot à crayon un gros stylo à bout lisse, j'ai écarté les cuisses et la dentelle de ma petite culotte et je me le suis enfoncé en imaginant que l'homme de ménage, un gros black qui m'excitait me baisait comme une chienne.
marine
Quand cet imbécile d'adjoint m'a demandé pourquoi je criais comme ça, je lui ai raconté que je venais de me pincer avec une agrafeuse. Pendant que cet ahuri me plaignait et m'expliquait dans quel tiroir il rangeait ses pansements, je me suis amenée tout droit à un orgasme d'enfer, mais quand le gros black du ménage a frappé à la porte avec son seau et sa serpillière, j'ai coupé la communication et je me suis précipitée au-devant de cette grosse bite qui allait me défoncer sans plus tarder.

 

Je vous l'ai dit : le mois d'août au bureau, c'est show !!!

Publié sur revebebe le 21/12/2000 puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 1 juillet 2013 1 01 /07 /Juil /2013 06:35

Magique Provence
Par Marine et Thibault

stamp blackette

Thémes abordées : bisex féminine, scato hard, soubrette, triolisme, uro

Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ton ciel. Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ta mer, de tes filles brunes et de ton mistral. De tes pins parasols et de tes cigales. De ta soupe de poisson, de ta bouillabaisse et de ton pastis. De l’odeur des herbes de Provence et de la lavande. De cet arrière-pays qu’on si bien dépeint Alphonse Daudet et Marcel Pagnol à tel point que je ne peux y croiser une chèvre sans me dire que ce doit être celle de Monsieur Seguin, à tel point que je ne peux y croiser un chat sans qu’il ne me rappelle Pomponnette, la chatte de la « femme du boulanger », celle qui se fait engueuler par Raimu au lieu et place de sa femme ! Ah Pomponnette ! La chatte la plus célèbre du 7ème art.

En vacances je ne fous rien ! J’emmène toujours le nécessaire pour faire un peu d’aquarelle, mais je sais que je me lasserais vite, finalement je ne dois pas être doué !

J’ai du fric et je n’ai aucun mérite à en avoir, j’ai simplement hérité de la boite de mon père ! Je ne m’en occupe pas trop ! Mais je peux vivre tranquille. Je ne suis ni beau ni moche, je suis moyen ! Je me prénomme Thibault, c’est con comme prénom, hein ! Je le sais bien ! Et ma femme vous savez comment elle se prénomme : Marine ! Franchement c’est-t-y pas ridicule ? Dans le genre nouveau beauf on ne fait pas mieux !

Et puisqu’on parle de beauf c’est notre fête à tous les repas ! Ça commence par :

« Un Thibault, deux Thibault, trois Thibault doudou ! »

et quelques verres plus tard c’est le tour de bobonne

« Marine, deux qui la tiennent, trois qui la pinent !

S’ils savaient ces pauvres cloches qu’elle ne dirait pas non ma Marine !

Tiens, je vous la décris, mais retenez bien, je ne vais pas remettre ça à chaque histoire (ben oui ! Je vais peut-être vous en raconter plein !)

Bon ce n’est pas Paméla Anderson, mais ce n’est pas non plus un laideron. Non elle est moyenne, assez fine, assez grande, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des cheveux mi longs teint en blonds, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne

L’été les vacances, la Provence. Il faut que ce soit fun et super éclatant à tous les niveaux. Pour cela Marine et moi avons trouvé une solution. Chaque année on emmène avec nous dans notre maison du midi, une sorte de fille au pair qui moyennant un salaire coquet, non seulement assure les tâches ménagères, mais se soumet à nos caprices, principalement sexuels (il y a des officines spécialisées pour ce genre de choses ! faut chercher un peu, je ne peux pas tout vous dire !)

Cette année on s’y est pris assez tard et le connard qui s’occupe de cela me dit d’un air désolé qu’il ne lui restait plus qu’une antillaise ! Et alors ? Non seulement je ne suis pas raciste (on ne peut pas avoir que des défauts !) Mais j’adore ! Ça ne gêne pas non plus ma femme ! Alors allons-y et on embauche Margotte pour un mois !

En plus elle est superbe, Margotte, une jolie frimousse, des nichons pas possible, un cul d’enfer cambré comme un slalom modélisé !

Elle doit donc être à notre disposition à toutes heures du jour et de la nuit, prête à me tailler une pipe, à sucer ma femme ou à se faire enculer par-devant ou par derrière, bref elle doit exaucer le moindre de nos fantasmes.

Mais nous sommes de gens bien éduqués, nous la payons bien et la respections pourvu qu’elle joue le jeu que nous lui demandons.

La nuit dernière par exemple, je me suis réveillé à trois heures du matin avec une trique d’enfer et une seule obsession : baiser la Margotte à moitié endormie sur la table de la cuisine. La queue à la main je me suis donc précipité vers sa chambre et je l’ai réveillée et emmené à moitié dans les vapes en direction de la cuisine.

- Monsieur vous exagérez !
- Ça ne sera pas long !
- Alors ça va !

margotte
Je l’ai hissée sur la table et d’une main je lui ai ouvert la chatte. Toujours à moitié endormie elle a gémi et s’est mise à remuer des reins et à faire son cinéma :

- Oui allez y baisez-moi comme une chienne !

Elle nous vouvoie, cette petite à de l’éducation !

- En fait j’ai envie de t’enculer !
- Oui, enculez-moi Monsieur Thibault

Au moment où je me hissais sur la table pour la pénétrer, j’ai entendu la voix ensommeillée de ma femme :

- Espèce de salaud, tu aurais pu me réveiller pour que je profite du spectacle.

Puis elle a ajouté avec un petit rire :

- Vas-y encule la bien profond, mais ne jouis pas, c’est dans mon cul que tu vas décharger  »

J’ai enfourché d’un coup la belle blackette tandis que derrière moi ma femme se branlait…

Au bout de dix minutes, j’ai déculé. Ma bite était recouverte de merde.

- Eh bien Margotte ! En voilà des façons !
- Je vais nettoyer la bite de monsieur ! répondit-elle en prenant mon engin en bouche et en entreprenant un joli nettoyage de la langue et des lèvres.

Mais voilà que Margotte quitte la cuisine.

- Mais Margotte pourquoi es-tu si pressée ?
- Je vais pisser ! Monsieur !
- Non retiens-toi, tu nous pisseras dessus quand j’aurais baisé Madame

- Mais il faut aussi que je fasse caca.

- Essaie de te retenir.

 

Puis j'ai été m'occuper de ma femme qui m'attendait à quatre pattes sur le carrelage, ses fesses rondes et potelées offertes à ma bite prête à décharger. J'ai lubrifié son petit trou avec ma salive puis, je me suis frayé un passage. Alors Margotte est allée se poster sous la chatte de Marine et l'a sucée pendant que je prenais possession de son cul.

 

Quelques minutes plus tard la cuisine retentissait de nos cris aigus !

 

Alors Marine et moi nous nous sommes allongés sur le sol, avons ouvert la bouche afin de recueillir le joli pipi de Margotte. Son caca à suivi juste après.

 

Je vous disais la Provence c'est magique !

 

Fin

Publié sur revebebe le 20/11/2000 puis passé à la trappe

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Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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