Vendredi 15 août 2003 5 15 /08 /Août /2003 13:32

Surprenante randonnée

par Estonius

 

bi stamp

 

Et encore un ! Comment un minuscule caillou se débrouille-t-il pour pénétrer dans une chaussure de marche et venir se loger sous le talon ? Comment se fait-il qu'au lieu de l'enlever tout de suite on essaie de s'en accommoder avant finalement de s'arrêter en maugréant pour le retirer ?

 

Eric et William m'attendent.

 

Ça fait une heure que l'on marche sous une chaleur écrasante ! Et une idée me taraude l'esprit depuis le lever du lit : "je vais y passer !" D'ailleurs je suis venu un peu pour ça ?

 

Mais si je commençais depuis le début :

 

Présentation : Etienne, la presque quarantaine, divorcé, dragueur et hétéro, physique moyen, cheveux rares, lunettes et léger bidon, pas vraiment sportif, employé de bureau dans l'assurance.

 

J'ai rencontré Eric lors d'une des nombreuses restructurations de la boite, et rapidement nous avons sympathisé et nous sommes trouvés des affinités y compris sur notre façon décontracté et sans tabous d'aborder le sexe.

 

Le point de départ fut sans doute comme c'est devenu la mode dans les bureaux une de ces fameuses blagues qui circulent sur les messageries internes. Cette fois-là, quelqu'un nous avait fait suivre un truc assez classique, il s'agissait d'une fille qui faisait un interminable strip-tease et qui se révélait à la fin être un troublant transsexuel, cela était assorti de conclusions genre beauf dépité...

 

- Quel con ce Gérard ! Avait crié Eric, il est très beau ce travelo !

- C'est vrai qu'il est assez troublant !

- Ah ! Tu es d'accord avec moi, c'est vrai qu'il est troublant, tiens, si un jour j'ai l'occasion je me laisserais peut-être tenter, je ne veux pas mourir idiot...

 

Il marque alors une pause, puis me demande à brûle pourpoint :

 

- Tu as déjà essayé avec des trans ?

- Non, mais ça me fait fantasmer !

- Et tu essaierais ?

- Si j'avais l'occasion. Mais cela dit je ne cherche pas, pour le moment ils sont très bien dans mes fantasmes...

 

Ça n'avait pas été plus loin, mais nous avions évoqué plusieurs fois d'autres aspects des fantaisies érotiques, la domination, l'uro, et même la bisexualité... C'était tout, que des paroles... jusqu'au jour où...

 

... Un boulot de dingue et demain, vendredi je ne pourrais pas rester tard, je décide de travailler jusqu'à 18 heures. Je me retrouvais bientôt seul avec Eric. Je suis sûr que ce qui se passa ensuite était prémédité...

 

Je me rends aux toilettes afin d'y faire un petit pipi qui devenait urgent, quand voici Eric qui se pointe, et qui contrairement à tous les usages tacites… Et oui, Mesdames, il y a un cérémonial inconscient de l'utilisation des urinoirs, ainsi jamais un mec ne se placera au direct voisinage d'un autre s'il y a de la place ailleurs, et si il se trouve obligé de côtoyer un autre pisseur, jamais il ne tournera la tête, dont les seuls mouvements "autorisés" iront du haut vers le bas et vice versa, c'est comme ça !

 

Je disais donc qu'Eric contrairement à tous les usages tacites se positionne devant l'urinoir voisin du mien et sort son sexe sans s'approcher trop du bord. Gêné je regarde ailleurs, mais l'autre pas fou, entame la conversation :

 

- Quelle journée !

 

Je réponds je ne sais quelle banalité, et j'entends le bruit de son pipi qui atterrit dans la cuvette. Je ne sais pas trop quoi faire, et j'ai beau réfléchir très vite, à part terminer mon affaire prestement et m'enfuir rien d'autre ne me vient à l'idée... Et puis il y a ce fameux phénomène qui fait que quand on ne veut pas regarder quelque chose, on finit par le regarder quand même. A moins que trahi par le fait que je n'entendais plus le bruit de son jet, je m'étais convaincu que je pouvais regarder sans crainte... Et voilà que de façon décontractée, Eric entreprend de se faire raidir sa queue, comme ça sans se cacher, par pure provocation.

 

- Alors, comment tu la trouves ?

 

Je réponds d'une espèce de petit rire nerveux, vous savez genre "je ne vais pas le contrarier avec sa blague qui ne me fait pas rire !"

 

- Touche-la un petit peu si tu veux !

- Une autre fois... Parvins-je à articuler (la jolie phrase réflexe, qui en fait signifie "j'espère bien jamais"

 

Mais tout cela se compliquait car l'embarras de la situation et le culot inouï de mon collègue de bureau me poussait à m'échapper du lieu, mais je ne le faisais pas. Ça devait être purement biochimique, une production d'hormones était en train de me provoquer ce qu'il faut bien appeler un début d'excitation.

 

Paralysée, j'étais ! Et il fallait prendre une décision. C'est sans doute le démon de la luxure qui à ce moment-là me souffla que toute fuite n'aurait que des inconvénients, en effets mes rapports avec Eric deviendraient peu évidents à gérer, et puis rien ne l'empêcherait de recommencer. La seule façon de rester maître du jeu était donc d'accepter, mais tout en contrôlant la situation. Mon cœur battait la chamade, mon gosier était sec comme un bac à sable, et je devais être aussi blanc qu'un drap. Comme un zombi j'approchais ma main du sexe offert, et je fis ce qu'il me demandait, je le touchais un peu... Je n'avais pas fait ce geste depuis le collège. Quelle sensation de retrouver ça ! Cette douceur de peau liée à ce franchissement d'interdit ! Il fallut que je me force à lâcher son sexe après l'avoir caresser moins de cinq secondes. Cette fois mon érection était totale et quand Eric à son tour s'approcha de mon sexe, je me laissais faire, mais sans pour autant l'encourager. Il eut la bonne grâce de ne pas s'éterniser...

 

Nous sommes revenus au bureau et n'avons ni l'un ni l'autre fait d'allusions à ce qui venait furtivement de se passer.

 

Ma nuit fut agitée et masturbatoire. Je m'en voulais d'avoir été si timoré. J'aurais dû le caresser plus longtemps, on aurait pu se masturber mutuellement, voir se sucer, voir... oh là là ma pauvre tête... Je réalisais que j'en avais tout simplement envie, et puis l'occasion serait facile...

 

Facile pas tant que ça ! La scène ne pouvait se rejouer que le soir, or Eric partait désormais de bonne heure, j'en fus dépité. J'attendis encore quelques jours. Puisque le soir ce n'était pas possible, pourquoi ne pas essayer le matin et j'arrivais un jour au travail vers 7 heures, Eric n'était pas encore là, mais d'autres l'était, ce n'était pas la bonne solution. Alors j'ai pris mon courage à deux mains :

 

- Eric, je voudrais te dire un truc, on pourrait aller boire un pot, à la sortie du boulot...

 

Je lui proposais un café discret, m'imaginant déjà que nous pourrions nous rejoindre aux toilettes, mais non, Monsieur préférait la grande brasserie du coin. Qu'importe après tout...

 

- Je... je j'ai été très troublé par ce qui s'est passé l'autre fois dans les toilettes...

- Il ne s'est rien passé ! Coupa-t-il immédiatement.

 

Je tombais de haut, ainsi il s'était laissé entraîner par un instant de folie et le regrettait, je n'avais jamais envisagé les choses comme cela !

 

- Bon tant pis, je n'ai rien dis non plus...

 

Et complètement groggy je le plantais là, jetant un billet pour payer nos consommations auxquelles nous n'avions pas touché. Moment fatidique, il va me rappeler ou pas ? En principe dans les films c'est au dernier moment que ça se passe ! Mais non ! Rien. Je sors du bistrot, il ne m'appelle pas, il ne me suit pas, je suis tout seul... comme un con.

 

Je m'en remettrais, et puisque c'est ça j'irais voir ailleurs, ce qui n'était même pas une caresse avait réveillé en moi des pulsions enfouies, je ne les refoulerais pas. Maintenant quant à savoir comment je vais devoir m'y prendre c'est une autre paire de manche. Mais le soir je me masturbais en m'imaginant sucer une bite... Et ce n'était pas celle d'Eric.

 

L'affaire rebondit le lendemain. Alors que je m'étais fait une raison, arrivé en fin de journée, je constatais qu'Eric était prêt à partir mais qu'il ne le faisait pas. Son bureau était rangé et il tapotait sur son clavier d'ordinateur. Je ne cherchais pas trop à comprendre et finis par prendre congé de mes collègues. C'est une fois dans la rue que je compris son manège, il m'attendait tout simplement.

 

- Je te dois des excuses ! Dit-il m'abordant.

- Mais, non on ne parle plus de tout ça et c'est tout !

- Juste un mot, et après je te laisse, d'accord ?

 

Compliqué le mec, mais je n'allais pas lui dire non, ce n'est pas mon genre.

 

- Voilà, j'ai plein de fantasmes, et je n'arrive pas à les concrétiser...

 

Alors il me raconte qu'il cherche quelqu'un pour l'aider, quelqu'un en qui il pourrait avoir confiance, quelqu'un qui le guiderait, qui aurait de la patience... Il avait cru, vu la façon dont je réagissais à ses propos que j'aurais pu être cette personne, mais il avait été déçu de mes propres hésitations lors de l'épisode des toilettes.

 

- En fait on est un peu dans le même état d'esprit... Répondis-je. Mais je ne vois pas pourquoi on n'essaierait pas ensemble ?

- Parce ce que on n'est pas vraiment sûr de ce qu'on veut, mais j'ai peut-être une idée...

 

Et il me raconte qu'il connaît un ancien collègue qui rêvait de le déniaiser, ce type grand amateur de nature lui avait proposé de faire ça en forêt... Eric avait refusé, n'ayant qu'une confiance limitée dans le type en question. L'autre lui avait dit que de toute façon sa proposition tenait toujours, même si c'était dans plusieurs mois...

 

- Tu comprends, on sera trois, les rapports ne seront pas les mêmes, il ne pourra pas s'imposer comme si on était deux...

 

Restait à savoir à quoi ressemblait ce joyeux personnage, il me le décrivit. Je donnais mon accord et quinze jours plus tard nous nous retrouvions un samedi matin, tous les trois devant la gare de Fontainebleau.

 

Eric me présente son collègue. Il se prénomme William, plutôt bel homme, visage fin, yeux bleus comme la mer et cheveux blonds décolorés plaquées sur le côté.

 

Je lui tends la main mais le mec m'embrasse sur les joues, ça fait un peu drôle !

 

Quelques minutes plus tard, nous étions dans la forêt...

 

L'ambiance est sympa, mais un peu réservé et il ne passa rien de notable jusqu'à ce satané caillou dans la chaussure. Les deux autres finissent par s'apercevoir que je prends du retard et stoppent pour m'attendre. Je les rattrape :

 

- Il commence à faire chaud, allez, on se fout torse nu ! Propose William qui joint le geste à la parole

 

Bonne idée. Eric l'imite et je ne peux donc pas faire autrement que d'enlever à mon tour mon tee-shirt.

 

- Oh ! Mais c'est qu'il a des super tétons ton copain ! Remarque William. Des vrais tétons de gonzesse. Fais voir un peu ça !

 

Et voilà qu'avant que j'aie le temps d'émettre la moindre protestation, il approche ses mains de mes bouts de seins et commence à me les rouler entre les doigts. Je ne vous dis pas l'effet que me fait cette caresse, mais c'est la première fois que c'est un homme qui me la prodigue. Je me laisse faire, une onde de plaisir me traverse et me voilà avec une érection du tonnerre de Brest.

 

William lâche une de ses mains pour me la mettre à la braguette, constatant ainsi l'état d'excitation des lieux

 

- Mais c'est que ça le fait bander, cette petite pute ! Qu'est-ce que tu veux ? Que je continue à te pincer ?

- Oui !

- Fais gaffe dans quoi tu t'embarques, tu n'as rien à craindre, mais quand on est parti dans nos trips on y va à fond. Je continue toujours ?

- Oui !

 

Excité comme j'étais je ne me voyais pas répondre autrement (et puis il venait de me dire que je n'avais rien à craindre)

 

- On ne va peut-être pas rester là, il y des gens qui peuvent passer ! Intervient Eric

- Il y a peu de chance, c'est un coin qui est surtout fréquenté par des gens qui veulent faire du sexe… mais on ne sait jamais… Il me semble qu'il y a une clairière pas trop loin en passant par-là. C'est dommage ça va faire descendre l'érectomètre, ce petit contretemps, mais bon, allez, en route !

 

On reprend notre marche, on passe par un chemin peu fréquenté, du coup nous voici obligé de remettre nos hauts afin de ne pas se faire griffer par les branches basses.

 

L'excitation calmée, me voici moins rassuré, ce William me parait correct, mais sait-on jamais, et puis que vont-ils me faire, je vais devoir les sucer, ça c'est une certitude, reste la sodo, je pense qu'ils seront assez intelligents pour arrêter s'ils s'aperçoivent que je ne supporte pas... et puis... et puis quoi ? On verra bien...

 

Nous voici arrivé dans la clairière ! Elle n'est pas bien grande, mais à l'abri des promeneurs d'occasions.

 

- Voici un bel endroit ! Proclame William ! Je crois bien que c'est ici que ton collègue va se faire dépuceler ! Reprend-il à l'adresse d'Eric.

- On va reprendre où on en était resté ! Répond ce dernier enlevant de nouveau son haut.

 

Je fais de même, c'était trop bon et d'un geste volontaire je me positionne devant William

 

- C'est à quel sujet ? Ah oui, tu veux encore que je te fasse les seins ! T'es vraiment une petite pute !

 

Ça y est, il me les serre ! Ça y est, je rebande, le scénario se répète

 

- Dis-le que tu es une petite pute !

- Je suis une petite pute !

 

Me voilà tout surpris d'être capable de sortir des choses pareilles !

 

- Tu sais ce qu'on va te demander, maintenant, petite salope ?

 

Il pourrait peut-être s'abstenir de me traiter de tous les noms, mais si après tout ça l'excite...

 

- De te sucer, je suppose !

- Gagné ! T'es qu'un gros vicelard, il y a longtemps que tu en rêvais de sucer une bonne bite ?

- Ben oui !

 

Les deux compères finissent de se déshabiller. Ils commencent à bander, La queue de William est légèrement plus grosse que celle d'Eric, et plus épaisse, je l'aime moins. Les deux hommes se rapprochent alors, se mettent côte à côte, se masturbent mutuellement quelques instants tout en s'embrassant sur la bouche, ce qui me surprend un petit peu, puis ils me demandent de me mettre à genoux.

 

- Allez, suce !

 

Par réflexe je commence par celle d'Eric, j'approche doucement ma bouche de cette belle queue bien droite, je fais frôler le gland sur les bords de mes lèvres fermées, ma langue avance, j'en recueille le goût légèrement salé, puis d'un coup d'un seul je mets tout ce que je peux dans la bouche. Un fantasme est en train de se réaliser, j'ai une bite dans la bouche et j'aime ça, je coulisse avec les lèvres comme j'ai vu le faire dans les films X, puis je change de bite, celle-ci plus grosse est moins facile à sucer, mais on s'y fait, et le contact est délicieux.

 

- T'aimes ça sucer des bites, hein petite salope ?

 

Je ne réponds pas, j'ai la bouche pleine. Je me délecte, je me régale, je passe de l'une à l'autre et je suis excité comme rarement je ne l'ai été. La bite d'Eric devient de plus en plus salée, je crois comprendre que quelques gouttes de pré-jouissance ont perlé... Tout se passait bien quand, soudain William se tourne :

 

- Maintenant tu nous suces le trou du cul !

- Non !

- Comment ça, non ?

- Je ne fais pas ça !

 

J'ai bien le droit non ! William aura alors cet argument absolument surréaliste !

 

- Si tu ne nous suces pas le cul, on ne t'encule pas !

 

Dingue ! Je suis tombé chez des dingues, justement si on ne me sodomise pas on fera ça, (où je ferais ça) une autre fois avec quelqu'un d'autre, je ne suis pas si pressé, et ne suis pas obligé de tout faire le même jour... Voyant que je m'enferme dans mon refus. William me demande de me relever.

 

- C'est pas grave, on va arranger ça !

 

Et le revoilà qui me serre à nouveau les tétons ! A nouveau je me laisse faire, je ne devrais pas... J'ai compris sa tactique, il va m'exciter au maximum et en profiter pour faire en sorte que je dépasse mes limites.

 

- Les fantasmes, c'est donnant, donnant ! Me précise-t-il.

 

J'allais répondre que j'étais plutôt d'accord quand à cet instant un raclement de gorge nous fit sursauter. Nos visages se tournent vers l'origine de ce bruit incongru. Ce sont deux nanas. On ne cherche pas à comprendre et on s'efforce par pur réflexe de cacher nos nudités.

 

- Pas de panique ! Dit la plus petite des deux filles. On voulait juste regarder, mais plutôt que de nous planquer, on préfère vous demander !

- Ecoutez, on n'y tient pas trop, commence William.

- Pourquoi pas, moi ça ne me dérange pas ! Intervient Eric. Et qu'est-ce que tu en penses toi ? Me demande-t-il dans la foulée.

 

J'accepte aussi, sans trop savoir pourquoi. Il me semble que notre trip va prendre une toute autre dimension si on est regardé, et puis c'est rassurant, devant des spectateurs (pardon des spectatrices) mes deux acolytes ne pourront pas faire n'importe quoi.

 

- Alors c'est d'accord ? Demande la petite blonde.

 

Et comme William ne proteste plus, les voilà qui s'installent toutes deux en s'asseyant sur une grosse branche tombée au sol. C'est complètement ahurissant cette situation… Les deux femmes sont très différentes, la plus petite est sans doute une vraie blonde avec un visage tout rond, ses seins avantageux galbent son tee-shirt blanc. Sa copine est plus grande, filiforme, sans beaucoup de relief mais elle a un visage purement ciselé, et un joli teint mate, sans doute une beurette, elle est vêtue d'un petit haut couleur framboise qui lui dénude deux belles épaules dorées et d'un short beige.

 

- C'est notre truc à nous de regarder des hommes entre eux ! Précise la blonde. Mais on en a un peu marre des vidéos, alors on cherche du réel… Au fait je m'appelle Karine et ma copine c'est Sophia.

 

Du coup Eric et moi, nous nous présentons, William, par contre, paraît contrarié et s'est remis son short.

 

- Vous êtes bi ou homo pur et dur ? S'enquière Karine.

 

C'est presque à l'unisson qu'Eric et moi-même lui répondons que nous sommes bi, ce qui est d'ailleurs en ce qui me concerne complètement exagéré, je serais plutôt un hétéro en train de faire une expérience.

 

- Nous aussi ! Reprend la petite blonde ! Vous savez, on n'est pas farouche, si vous nous excitez bien, on pourra s'amuser un peu tous les cinq, enfin si ça vous dit ?

 

Dingue, voilà nos plans qui se chamboulent complètement, un regard complice avec Eric, les filles comprennent. Par contre William prétexte une migraine subite et douloureuse, prend ses affaires et disparaît de la clairière. Eric ne fait rien pour le retenir. Je suis là avec lui, on est comme deux cons, avec nos fringues roulées en boule pour nous cacher le sexe devant deux belles mateuses tombées du ciel !

 

- Bon, ben vous pouvez démarrer les mecs !

 

Nous réalisons que l'absence de William a rompu l'argument qui nous permettait de faire des choses ensemble. Il va donc falloir nous débrouiller sans lui. On se regarde, on ne sait pas trop quoi faire.

 

- Approchez-vous un peu de nous, qu'on voit bien ce qui se passe, et arrêtez de cacher vos bites, elles ne vont pas s'envoler !

 

Conscient que si on reste comme ça, on va devenir ridicule, j'envoie valdinguer ma fringue qui me sert de cache sexe, Eric m'imite et nous voici l'un en face de l'autre, la bite à l'air.

 

- Elles sont mignonnes vos bites, on en a vue des plus grosses, mais elles me plaisent bien ! Commente Karine

- De toute façon j'aime pas les grosses ! Rajoute Sophia dont j'entends la belle voix un peu rauque pour la première fois.

 

J'attrape la queue d'Eric et la masturbe un petit peu, il fait pareil. Je voudrais bien bander un peu plus, mais tout ce contexte bizarre doit me perturber. Je demande à mon partenaire de me pincer les seins, il n'a pas trop envie, j'insiste, lui demande de le faire juste un peu, et miracle je rebande. Du coup il lorgne vers ma bite, s'accroupit devant et me la met dans sa bouche. !

 

bisex73zzzzf2.jpg

 

- Whaouh, super ! Ça on aime bien regarder ! S'esclaffe Karine. Continuez comme ça, nous on retire le bas et on va s'astiquer la chatte en vous regardant...

 

Effectivement, et pendant qu'Eric me pompe le gland, de fort bonne façon, je dois dire, je vois Sophia qui se lève qui retire son short et sa culotte, qui plie tout cela bien méticuleusement et qui se rassoit les jambes écartées, pour ensuite se caresser la vulve. Karine quant à elle paraît beaucoup moins soigneuse et se masturbe déjà frénétiquement, le jeans gisant sur ses chaussettes.

 

- Arrêtes un petit peu, sinon je vais jouir ! Annonçais-je à Eric.

 

Ce dernier se releva aussi sec, et je le suçais à mon tour. Voilà qui me plaisait bien plus ! Je retrouvais mes émotions de tout à l'heure avec ce bel organe au contact si doux en présence de mes lèvres et de ma langue, je m'en pourléchais les babines comme s'il s'agissait d'une friandise, léchant toute la verge, suçotant les couilles, puis embrassant le gland avant de mettre tout ce que je pouvais dans ma bouche comme un véritable glouton.

 

Je jette un coup d'œil sur les deux nanas. Si Karine est toujours aussi déchaînée, je suis fasciné par la beauté de Sophia, dommage qu'elle soit un peu maigre, mais pour l'instant elle a relevé son débardeur dévoilant deux petits seins couleur caramel et terminé par d'énormes tétons marrons très foncés qui semblent dressés vers le haut. Cette vision enchanteresse m'excite au plus haut point...

 

Mais voici qu'Eric se dégage !

 

- Tu suce bien, dis donc !

- Merci ! Euh, ça vous a plu les filles ?

- Pour un début ce n'est pas mal, on a hâte de voir la suite ! Répond Karine.

 

La suite, quelle suite ? Mais ce n'est pas trop difficile à deviner ! Elles souhaitent nous voir se sodomiser. Le problème c'est que je ne suis absolument pas prêt, ni comme passif, ni comme actif. Reste ce que peux en penser Eric, mais je le devance...

 

- C'est que c'est pas trop mon truc ! Annonçais-je !

- Oui, mais là vous êtes au spectacle, vous allez nous faire ça pour nous, rien que pour nous et bien comme il faut. Insiste Karine

 

Eric se fait conciliant !

 

- On peut peut-être essayer !

- Non désolé !

 

C'est alors que Sophia se lève et vint vers moi ! Elle est magnifique, toute nue dans le chatoiement de la clairière !

 

- Tout à l'heure, quand tu suçais ton copain, je t'ai vu me regarder, et j'ai aimé la façon dont tu m'as regardé... Alors fais-le pour moi, tu ne le regretteras pas !

 

Elle est tout sourire, elle n'attend pas ma réponse, regagne sa place, ouvre son sac et tend un préservatif à Eric :

 

- Allez, encule-le !

 

Eric revêt le condom, je me mets à quatre pattes, je ferme d'abord les yeux, mais me ravise croisant le regard de Sophia.

 

- Bon, ben pousse, quand faut y aller, faut y aller ! Me dit mon collègue, fataliste.

 

Je sens le contact du gland latexé sur mon anus, il aurait sans doute fallu un gel ou un machin pour lubrifier. Alors Eric change de tactique, il commence par me lécher l'anus avec une conviction étonnante, j'ai bientôt le trou du cul tout baveux, et comme si cela ne suffisait pas, il introduit un doigt qu'il fait aller et venir plusieurs fois de suite. Qui l'aurait cru, ce traitement inhabituel commence à m'exciter le cul ? A nouveau il approche sa bite, je pousse, je sens que ça rentre, ça y est, il pénètre mieux, il pénètre encore mieux. Ça y est, je me suis fait enculer et tandis qu'il va et qu'il vient dans mon fondement je recroise à nouveau le sublime regard de Sophia.

 

Les deux filles se masturbent à présent, elles sont toutes proches l'une de l'autre, chacune tripote le sein de l'autre et de temps à autre, elles s'échangent un baiser fougueux. On banderait à moins. Je sens qu'Eric n'en peut plus, il semble vouloir ralentir l'allure, mais entraîné par son excitation il jouira dans la capote à l'intérieur de mon cul. Il se retire.

 

- Ne bouge pas, tu vas l'avoir ta récompense ! Me dit Sophia.

 

Mais Karine lui saute entre les jambes et sans que sa complice ait pu protester, la voilà qui lui lèche sa vulve dégoulinante, avant de s'attaquer à son clitoris. Quelques minutes après, un cri fulgurant retentira dans la clairière. Sophia a joui. Karine la regarde crier son plaisir avec l'air d'un ange qui retrouverait ses ailes, laisse passer quelques secondes et lui saute au cou afin de l'embrasser fougueusement. Puis la petite blonde se réinstalle sur le tronc d'arbre écartant bien les cuisses de façon à ce que sa camarade la fasse jouir à son tour. Eric et moi on mate, je n'ai pas joui et je me branlotte négligemment...

 

Après que Sophia ait fait jouir sa complice, elle se lève et viens nous rejoindre.

 

- Merci, les mecs, vous nous avez donné un beau spectacle ! Oh, là là, que c'était excitant.

- Je vais vous avouer un truc, on n'a pas vraiment l'habitude !

- Je sais, ça s'est vu, mais justement ça rend le trip encore meilleur… Mais dis, donc tu n'as pas joui, toi et je te dois une récompense !

- Hé, hé !

- Tu sais, on est des vraies cochonnes, si tu as un truc un peu spécial qui te ferais super plaisir, ça ne me dérange pas de te le faire…

- J'aimerais bien t'embrasser tes bouts de seins !

- Humm, ils te plaisent mes gros tétons, hein, mon salaud !

 

Ça y est, elle aussi elle va faire dans la coprolalie… Je me penche, tente un petit coup de langue sur l'extrémité de la pointe gauche.

 

- Vas-y mon biquet, tête-moi !

 

C'est fou ce que ces gros machins m'excitent, Mes mains ne restent pas inactives et j'en profite pour lui peloter les fesses. Sophia a saisi mon sexe qu'elle entreprend de masturber un moment mais sans précipitation, puis elle passe sa main sous mes testicules, approche un doigt de mon petit trou.

 

- Non pas là ! C'est encore un peu sensible ! Tentais-je de protester.

- Tss, tss... laisse-moi faire... C'est déjà tout resserré.

- Oui, mais...

- Embrasse-moi donc au lieu de dire des conneries.

 

Et la voilà qui me roule une pelle d'enfer tout en continuant à me doigter le cul. Ce doigtage me déclenche une sensation bizarre, il est en trop, ou plutôt il vient trop tôt après ma sodomisation de tout à l'heure, pourtant je dois dire que ces aller et retour rapides dans mon rectum me provoquent un trouble certain.

 

- Ce qui serait bien... Me précise-t-elle. C'est que vous inversiez les rôles, ce serait excitant de te voir enculer ton copain, non ? Qu'est-ce qu'il en pense, lui d'abord ?

 

Elle se retourne ! Et surprise : Eric ne peut répondre, il est quasiment couché sur le sol, occupé à lécher méticuleusement l'entre jambe de Karine. Celle-ci a ramassé une petite branche souple et s'en sert pour lui donner à intervalles réguliers des coups sur les fesses. Charmant spectacle !

 

- Il y en a qui ne s'emmerdent pas ! Commente ma jolie beurette.

 

Ouf ! Je ne serais donc pas obligé de jouir dans le cul de mon collègue. Comment dire à Sophia que j'aimerais tout simplement la pénétrer de façon classique, où alors lui faire une belle levrette ? Je n'ose tout simplement pas, cette nana m'intimide...

 

- T'aimes ça que je te branle le cul, hein petit pédé ?

- Tu fais ça très bien !

- Tu peux me faire pareil, si tu veux ?

 

J'hésite, allez donc savoir pourquoi ?

 

- T'es un grand timide, pourtant je suis sûre que tu aimes des tas de trucs cochons ? Non ?

- Oui et non !

- C'est pas une réponse, ça ! Dis à Sophia ce que tu aimes bien ?

- J'aime bien qu'on me tripote les seins

- Ça j'avais remarqué, et puis ?

- Euh...

- Allez dis-moi, je ne serais pas choquée, où alors tu veux que je devine ? Voyons voir ? Le pipi peut-être ?

- J'adore !

- Et bien ça tombe bien, j'ai envie de pisser et il y a longtemps que je n'ai pas inondé une jolie queue.

 

Elle enlève enfin son doigt de mon anus, se le porte à la bouche sans même en vérifier l'état (quelle belle cochonne !) puis me demande de me coucher sur le sol ! Super pratique de s'étaler comme ça dans une clairière, pleine de brindilles et d'autres saloperies. Mais bon, c'est pour la bonne cause...

 

Sophia me chevauche debout, elle se concentre un petit peu, puis son jet doré jaillit de sa source tombant dru sur mon sexe.

 

- Branle-toi en même temps, je vais avancer. Je peux t'arroser le visage ?

- Oui !

 

Et pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté, tel le corbeau de la fable, j'ouvre une large bouche, recueillant quelques gouttes de ce délicieux nectar... En même temps je me masturbe, essayant de retarder au maximum le jaillissement de mon plaisir...

 

Karine qui entre temps a joui de nouveau s'approche, suivie d'Eric. Et alors que Sophia n'en finit pas de m'uriner sur le visage, c'est maintenant la petite blonde qui m'asperge le ventre... et tandis que de façon fort inattendue mon collègue me pisse dessus à son tour, mon sperme gicle en trois ou quatre longues rasades.

 

Je suis crevé !

 

- Ça va, les mecs ? demande Karine.

 

On acquiesce, on ne va pas dire le contraire... Mais on va faire quoi maintenant, on va se séparer comment ? On va gérer tout ça comment ?

 

- Vous vous rendez compte qu'on vient de rentrer dans votre mémoire à tous les deux ! Continue-t-elle ! Vous vous en souviendrez toute votre vie !

- Ben ouais...

- Mais ce qui est important c'est que ce soit un bon souvenir, il ne faut pas avoir honte de ce qu'on a fait, il n'y a pas de mal à se faire du bien, il n'y a pas de mal à faire du sexe si on est d'accord pour le faire, il n'y a rien de sale en amour !

 

Gentille Karine, mais quelque part ses propos me font du bien !

 

- Bon, les mecs, je vous propose un plan ! Intervient Sophia. A midi vous nous payez le restau, et cette après-midi on continuera à se balader tous les quatre dans la forêt, je suis sûr qu'il y a encore des tas de rencontres passionnantes à faire...

 

FIN

 

Estonius (Août 2003)

 

 

Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du "meilleur récit BI publié sur notre site en 2003 

Par Estonius - Publié dans : Estonius
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 1 août 2003 5 01 /08 /Août /2003 18:17

Feux d'artifice - 2 - Le camping-car par Louise01

 

bisou1719

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES


(suite de " Feu d'artifice ")

Peut-être vous souvenez-vous de moi, Louise, qui ai vécu une soirée mémorable avec mes amis Martine et François accompagnés de leur copine Magali lors du bal du 14 juillet 2001.  

Compte tenu que de mon état de fatigue, mais aussi à cause des nombreuses bières ingurgitées, je me suis résolue à accepter la proposition des mes amis de passer la nuit sur place dans le camping car. Le véhicule est spacieux mais pas vraiment prévu pour quatre personnes ; Martine et François se partagent le grand lit tandis que Magali et moi-même nous nous allongeons sur deux étroites banquettes séparées par la table que nous avons repliée pour la circonstance.

Alors que tout le monde était couché je me rends compte que nous n'avions même pas pris de douche, ce n'est pas très sérieux après ce que nous venions de vivre. J'ai l'impression de dégager une véritable odeur de pissotière, mais apparemment cela ne dérange personne ; Magali est déjà endormie et le couple chuchote en se faisant des bisous, sans doute encore excité par ce qu'ils m'ont fait subir. Alors pourquoi devrais-je me faire du soucis si eux ne s'en font pas, et sur ce je m'enfonce dans les bras de Morphée.

Mon sommeil est de courte durée car je suis réveillée par l'inconfort de ma couchette dont la largeur n'atteint pas celle de mon fessier, il faut dire que côté cul mère nature m'a gâtée plus que de raison, et mon tour de hanches me fait parfois ressembler à ces statues de l'antiquité…

fdr e108

A défaut de dormir je me mets à repenser à l'aventure que j'ai vécue ce soir ; le résultat ne se fait pas attendre et je me retrouve rapidement avec ma main entre mes cuisses. Je repense à la queue de François, et comme pour mieux me remémorer cette sensation je glisse ma seconde main sous mes grosses fesses en envoyant un doigt à l'assaut de mon petit trou. Pour faciliter son introduction je me couche sur le côté, mon majeur y entre d'ailleurs si facilement que je décide de mettre l'index aussi ; et me voilà en train de me frotter le clito avec en plus deux doigts profondément enfoncés dans le cul tout en me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Je me suis ainsi fait du bien pendant un assez long moment, mais d'un coup j'ai la désagréable impression d'être observée et je réalise alors que, comme je tourne le dos a la copine Magali, je lui offre une vue imprenable sur mon cul nu que je suis en train de fourrer avec mes doigts. Je suis persuadée qu'elle ne dort plus et qu'elle ne doit pas perdre une miette de l'indécent spectacle que je lui offre ; cela devrait sans doute me gêner, mais au contraire je sens mon sexe qui mouille de plus en plus et je suis sure que je vais tacher la couchette.

Mais non je ne rêve pas, j'entends bien ma voisine qui se lève et deux secondes après je sens le souffle de sa bouche tout contre mon oreille :

- Quelle salope tu fais, on dirait que ça ne t'a pas suffi tout à l'heure ?

Visiblement elle n'a pas l'intention d'attendre ma réponse puisqu'elle m'attrape le bras me forçant ainsi à ressortir de mon anus, et immédiatement elle porte ma main à sa bouche pour sucer mes doigts goulûment. La honte m'envahit car je me doute bien dans quel état ils doivent être, n'ayant pas encore été à la selle de toute la journée. Comme pour confirmer mes craintes Magali me force à tourner la tête et me prend la bouche pour un baiser passionné. Ses lèvres sentent fort et je reconnais l'odeur de mon cul ; sa langue cherche la mienne, elle a un goût fort et très amer, sans doute celui de ma merde. Au même moment ma main droite qui n'est pas restée inactive déclenche un violent orgasme et je crois bien que, si cette petite cochonne n'était pas en train de ma bâillonner avec sa bouche, j'aurais réveillé tout le camping avec mes cris de jouissance.

Evidemment notre manège avait réveillé les deux autres qui, assis sur leur lit, se sont manifestés en lançant un hypocrite :

- Ne vous dérangez pas pour nous !

Mais l'état de la queue de François, plaquée contre son nombril tellement il bandait, démontrait bien qu'il était réveillé depuis un moment et n'avait pas du perdre grand chose du spectacle. Et voilà Martine qui met son grain de sel en me disant :

- Pour te faire pardonner de nous avoir réveillé il va falloir nous faire une petite gâterie !

Aussitôt Magali me prend par la main et m'amène devant le lit de mes amis, elle m'ordonne de me mettre à genoux, je m'exécute et me retrouve le visage à quelques centimètres de la verge dressée. Dieu que cette queue est belle, elle sent très fort et son aspect luisant me prouve qu'elle était encore dans le vagin de Martine il y a très peu de temps. Mes lèvres sont attirées comme par un aimant et se referment automatiquement sur ce barreau de chair brûlant ; son odeur puissante et son goût acidulé me font chavirer, j'ai l'impression de sucer François et de lécher Martine en même temps. Alors que je me délecte de cette offrande je sens derrière moi que mon anus va être investi une fois de plus ; ça ne peut être que Magali puisque Martine est devant moi sur le lit, sauf que cette fois ce n'est pas un doigt mais bel et bien sa bouche qui se colle contre mon cul. Quelle sensation délicieuse, il ne faut que quelques minutes à cette cochonne pour dilater mon orifice au point que toute sa langue arrive à pénétrer mon anus. Martine qui est dans un état d'excitation extrême repousse brutalement son mari en arrière, m'arrache littéralement son sexe de la bouche et vient s'empaler sur la magnifique queue. Je me trouve maintenant le nez dans la raie de mon amie qui m'ordonne :

- Lèches moi le cul salope pendant que je me fait baiser par mon homme, si tu t'y prends bien tu auras une récompense !

Ma langue monte et descend dans la raie du cul de Martine au gré de sa chevauchée ; elle non plus n'a pas pris de douche et son odeur de femme en chaleur et d'urine séchée me font chavirer. Je ne me prive pas de glisser jusqu'aux couilles parfaitement rasées de François et j'en profite pour boire ce jus d'amour qui suinte à chacun de leurs va et vient. Sa chatte fait un bruit obscène chaque fois qu'elle se laisse retomber sur le sexe fiché en elle, un peu comme un ballon qui se dégonfle. Entre temps Magali a changé de position, elle est maintenant couchée sous moi, la bouche colée sur ma chatte comme une ventouse ; je me liquéfie carrément lui offrant ma liqueur en abondance. Evidemment elle n'oublie pas mon cul pour autant puisqu'elle y a fourré plusieurs doigts, je ne saurais dire combien mais mon anus est si bien lubrifié que j'ai l'impression qu'elle pourrait y mettre la main entière. Soudain François se dégage du sexe de sa femme et me crie :

- Vite Louise, prends le, ta récompense arrive !

Je me jette sur cette queue gluante et l'engloutis d'un coup, à tel point que son gland me fait mal au fond de la gorge. Quelques secondes après de violents jets de sperme épais et brûlant se répandent dans ma bouche et manquent de m'étouffer, c'est aussi le moment d'avoir un nouvel orgasme dont la bouche Magali, toujours scotchée à ma chatte, est la première bénéficiaire. Dehors le soleil se lève et nous décidons d'aller tous ensemble aux douches du camping pour laver nos corps suintants et odorants avant de prendre un sérieux petit déjeuner. Mais comment donc ai-je pu me contenter de la masturbation pendant trois longues années, j'ai encore tellement de choses à rattraper que lorsque je quitte mes amis (ou plutôt amants) je les invite à venir dîner à la maison le soir même. Mais ceci est une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. 

Par Louise01 - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 17 juin 2003 2 17 /06 /Juin /2003 14:02

Initiation extrême par Dilomf
scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Bonjour, voici comment j’ai découvert les joies et plaisir de la relation scato.

J’avais 19 ans lorsque je la rencontrai. Elle c’est Hélène, pas très belle, pas très intelligente mais 30 ans et lorsque qu’une femme de cette âge s’intéresse à un minot comme moi, je saute sur l’occasion. Elle est entrée dans ma vie pour quelques mois uniquement mais m’a ouvert des horizons que j’avais jusque-là ignorer.

Notre relation était uniquement sexuelle, basée uniquement sur le plaisir. La procédure de nos rencontres était toujours la même, elle m’appelait pour savoir si j’étais libre, me donnait un rendez-vous chez elle ou dans un bar et nous baisions comme des bêtes jusqu’à ce que nos corps soient repus de plaisir.

Un jour elle me laisse un message pour me donner rendez-vous dans un bar, je me présente à l’heure dite et elle est là, habillé très classe dans une jupe et tailleur. Je savais par expérience que cette tenue cachait des dessous extrêmement affriolants. Après avoir pris un verre et discuter de choses et d’autres, nous nous rendons chez elle. Là nous nous embrassons mais elle me repousse fermement.

– Bon j’en ai un peu assez des baises sans but, j’ai décidé d’y mettre un peu de piquant, veux-tu être mon esclave ?
– Ouais, si tu veux.
– Bien alors à partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse et tu m’obéiras, es-tu toujours d’accord ?

Je sentais à sa voix qu’elle attendait ma réponse avec une certaine anxiété, comme si elle craignait que je refuse ce jeu qui ne pouvait aller bien loin, au moins le croyais-je.

– Oui, cela me va.

Elle me demanda alors de me déshabiller entièrement, de croiser les mains derrière la tête ce que je fis. Elle prit ensuite tout son temps pour me détailler, laissant glisser ses mains sur mon corps, soupesant mes couilles, les caressant tendrement, me branlant doucement. Bientôt ma queue se mit à donner des signes de vie, se redressant fièrement. – Bien maintenant que tu es quelque peu échauffé, penche-toi en avant  » . Elle passa alors derrière moi, je sentais ses mains sur mon dos qui suivaient ma colonne, doucement comme si elle comptait le nombre de vertèbre, arrivée au bas de ma colonne, elle glissa un doigt dans ma raie culière, frôla mon anus sans s’y attarder, attrapa mes bourses qu’une fois de plus, elle caressa doucement puis alla s’asseoir dans le canapé ou je la rejoignis.

– Qu’est-ce que tu fais là ? Me lança-t-elle sur un ton n’acceptant pas la réplique.
– Ben je suis venu pour continuer ce que tu as commencé.
– Je vois que tu n’as pas tout compris, reprend la position ! et comme j’hésitais un peu… Plus vite que ça esclave !

Je me relevai pour me repositionner comme précédemment.

– Bon puisque tu ne m’obéis pas, que tu ne m’appelles pas Maîtresse et que tu réponds sans que je t’en ai donné la permission je vais te punir, cela va t’aider à mieux enregistrer ce que je te dis.

Je l’entendis fouiller dans un tiroir puis elle me demanda

– Combien de coups penses-tu que cela mérite ?
– 5 coups ! .

CLAC, une douleur sur les fesses, je ne pouvais pas voir ce qu’elle tenait à la main mais j’avais parfaitement entendu un sifflement avant la douleur, j’en déduisis donc qu’elle se servait d’un instrument.

– Tu dois m’appeler Maîtresse, à chaque fois que tu t’adresses à moi, ça te fera 5 coups en plus, compris ?
– Oui… Maîtresse.
– Bien et que je n’ai pas à te le rappeler, et maintenant compte !

Le premier coup de cette série me surpris par sa douceur

– Un.
– Comment, je n’ai rien entendu, tu ne me remercie pas de la peine que je prends à t’éduquer, on reprend à zéro

CLAC,

– Un, merci
– Merci qui ? on reprend à zéro !

Petit CLAC sur mes fesses

– 1 merci Maîtresse
– Voilà, tu commences à saisir, c’est bien

Petit CLAC,

– 2, merci Maîtresse.

CLAC

– Ouïe, 3 merci Maîtresse !

Au fur et à mesure que je comptais, les coups se faisaient de plus en plus dur. A sept elle s’est arrêtée, mes fesses me brûlaient et je les contractais le plus possible pour moins sentir la douleur. Je croyais qu’elle allait s’arrêter alors je me suis relâché et elle a profité de cet instant pour m’asséner le huitième coup. Enfin arriver à dix, elle m’autorisa à me relever mais pas à retirer mes mains.

– Te souviens-tu de la conversation que nous avons eu à propos des fantasmes, tu m’as avoué que tu nourrissais celui de te faire enculer, c’est toujours d’actualité ?
– Oui –

De nouveau CLAC sur mes fesses déjà endolori,

– Oui qui ?
– Oui Maîtresse !

Bien alors nous allons voir cela tout de suite. De nouveau elle farfouilla dans un tiroir derrière moi.

– Retourne toi !

Sur le meuble était posé un plug que je jugeai de bonne taille, sorte de ballons de rugby en taille plus réduite posée par la pointe sur un socle. *

– Je vais te l’enfoncer dans le cul, et comme je veux qu’il y reste, je vais le fixer par des sangles à la ceinture que je vais te passer à la taille, toujours d’accord ?
– Oui Maîtresse !.

Elle me donna donc une ceinture que je passais à même la peau puis elle me demanda de me mettre à quatre pattes, le dos bien cambré. Elle se mit devant moi et je pus la voir mettre du lubrifiant sur l’objet puis se mit derrière et le présenta devant mon anus. Je ne pus résister à la contraction lorsque je le senti approcher de mon trou, le froid du gel me surpris. Elle tenta une première fois l’intromission mais je résistai

– Détends toi, cela va aller, doucement, ça y est, il entre !

Disant cela elle le poussait toujours plus loin, je sentais mon anus se dilater pour laisser passer l’objet. Un instant j’ai cru qu’il ne pourrait aller plus loin sans me déchirer puis d’un seul coup je l’ai senti bien en place. Maîtresse Hélène a passé les sangles dans le plug et dans la ceinture puis m’a dit de me relever. Je le sentais en moi, corps étranger au plus profond de mon être, violant mon intimité. Un plaisir diffus mais bien réel m’envahissait au fur et à mesure que je le sentais mieux, que je l’appréhendais mieux. Elle est retournée s’asseoir sur le canapé et m’a demandé de me poster devant. Elle me demanda de remettre les mains derrière les mains derrière la tête et commença une fellation toute en jouant avec le peu de jeu que les sangles donnaient au plug. Ah ! Cette langue divine qui jouait avec mon gland, glissant dessus pour provoquer des sensations inoubliables. Et ce plug qu’elle faisait jouer dans mon cul. J’allais jouir quand elle s’arrêta.

– Non, continue ! Osais-je.

Une fessée magistrale enfonçant le plug encore plus loin accueillit ma demande.

– Tu ne demandes jamais plus rien pour toi, compris ?
– Bien maîtresse !
– Allonge toi par terre dans la salle de bain, mais avant retire le tapis de bain

J’y allais, sentant à chaque pas le plug bouger dans mon cul. La situation devenait de plus en plus délicate, je sentais qu’il était poussé vers l’extérieur par une envie qui devenait de plus en plus pressante mais je fis ce que m’avais demandé ma maîtresse. Elle ne tarda pas à apparaître à la porte, nue également. Je pus alors voir que contrairement à nos précédentes rencontres, elle s’était rasé le sexe ce qui me permit de voir le haut de son sexe. Quel bonheur de voir cet objet de désir, de convoitise. Elle se pencha vers moi, m’embrassa puis me donna ses seins à sucer. Quel régal que de sentir leur douce chaleur contre mes lèvres, le téton qui se dresse affectueusement sous mes coups de langue

– Tire la langue..

Et me voilà la langue tirée au maximum pendant que ma Maîtresse fait glisser son corps dessus. C’est étrange, je vois son corps défiler doucement au-dessus de moi, ses seins, sa poitrine, son ventre son nombril et me voici avec la langue sur son sexe, Il est ouvert par le désir et humide, je lèche avidement le liquide qui en nimbe les lèvres, chatouille le clitoris. Elle commence à s’éloigner alors je lève la tête pour suivre le mouvement mais Maîtresse Hélène m’attrapa par les cheveux et me plaqua la tête au sol. Elle ferma les yeux et je ne tardais pas à sentir un jet chaud sur mon visage. L’odeur qui en provenait ne laissait aucun doute sur son origine. J’ouvrais la bouche pour protester quand un deuxième jet arriva droit devant, sous la surprise j’avalais un peu de liquide qui s’avéra fort bon, presque sucré. Maîtresse Hélène surveillait au-dessus de moi mes réactions et quand le levais les yeux vers elle, je pus lire dans son regard une satisfaction certaine de me voir m’abreuver à sa source.

dom piss09– C’est bien, avale, je vais aller doucement !

Par petits jets elle commença à se vider sur moi, dans ma bouche sur mon visage mais la pression a dû se faire trop forte à un moment car elle se mit à uriner sans discontinuité pendant ce qui me parut une éternité. Elle avait dû boire énormément en attente de ce moment. C’est à ce moment-là que je réalisais que son plan devait avoir été penser et préparé longuement à l’avance J’adorais entendre le bruit que cela faisait, comme une fuite dans un tuyau sous pression.

Malheureusement, je ne pouvais pas regarder. J’aurais aimé voir sa fente ouverte libérant ce flot tumultueux. Une fois que cela fut finit, quand j’eus avalé ce que je pouvais elle m’embrassa à pleine bouche, lécha mes lèvres à la recherche des gouttes d’urine qui y serait encore. Puis elle me donna de nouveau son sexe à lécher. Je ressentais un grand bonheur à nettoyer ces lèvres ou perlaient quelques gouttes, à jouer avec le clitoris, à arracher à ma Maîtresse quelques râles de plaisirs. Mais sans doute ne souhaitant pas que je prenne trop de plaisir dans cette activité, elle se releva et me demanda d’en faire de même.

– Alors ce plug, apparemment, tu le supportes bien ?
– Cela commence à faire mal, ça pousse Maîtresse !
– Bien tu n’as pas oublié, tu es en progrès, tu pourras peut-être jouir avant que l’on se quitte, mais ça pousse, tu veux dire que tu veux… chier ?.

Elle savait que les mots vulgaires me mettaient mal à l’aise, sans doute les restes d’une éducation un peu stricte.

– Oui Maîtresse ! Avouais-je timidement.
– Bien, alors nous allons voir cela tout de suite, attends-moi ici, à quatre pattes au milieu de ma pisse, comme un chien qui attendrait sa maîtresse !

Aussitôt qu’elle me le demanda, je m’exécutai.

– Il m’a semblé que tu as aimé, alors tu vas lécher ce qui est par terre –

Je m’usais donc la langue à lécher le carrelage. Autant l’urine chaude est bonne, surtout quand elle provient de sa Maîtresse, autant l’urine refroidie n’est pas ma tasse de thé mais je m’appliquais à faire ce qu’elle m’avait demandé, ayant trop peur de me faire de nouveau punir, car qui sait ce qu’elle inventerait de nouveau. Elle revint au bout de quelques minutes, harnaché d’un gode de taille plus réduite que le plug, elle défit les lanières qui le retenait encore dans mon cul et le sorti tout doucement..

– Il faut que tu serres les fesses au moment où il va sortir complètement, je ne veux rien voir sortir de ton derrière d’autre que ce plug… bien parfait, maintenant je vais t’enculer, petite chienne ! .

Disant cela elle me rentra le gode d’un seul coup entre mes fesses serrés. Cela me fit mal sur le moment mais elle se mit à aller et venir. Je pouvais sentir le mouvement sur mon anus qui se tendait vers l’avant et l’arrière. Mon intérieur était tout remué. Quelle exquise sensation !

– Attention, je vais sortir, serre les fesses !

Une nouvelle fois je m’exécutai, toujours à quatre pattes, Elle se planta devant moi et m’ordonna de sucer.

– Mais Maîtresse, il est sale !
– Oui et alors, tu as bien bu ma pisse, alors tu vas nettoyer ta merde, exécution !.

Timidement, je léchai le bout tout couvert de la merde sorti tout droit de mon cul. Elle m’attrapa par les cheveux

– Je t’ai dit de sucer, pas de suçoter ! Et elle m’enfonça le gode dans la bouche.

Sur le moment, un haut le corps que j’eus du mal à réprimer m’envahit puis je fis abstraction de ce qui était sur le gode pour me consacrer sur le fait que je le suçais. L’odeur était acre, forte et la matière chaude. Elle se mit bientôt à aller et venir dans ma bouche comme précédemment dans mon cul. Elle sortit de ma bouche et frotta le gode sur mon visage, y étalant la merde que je n’avais pas prise dans la bouche. Tout à ma fellation, j’en oubliai mon derrière qui se détendit pour laisser échapper les matières fécales qu’il retenait depuis si longtemps. Maîtresse Hélène voulu reprendre place derrière moi et découvrit le tas échappé de mes intestins.

– Petit salopard, tu as chié dans ma salle de bain, tu vas me le payer, fais demi-tour !

Toujours à quatre pattes je me retournai pour me retrouver la tête au-dessus de ce bel étron. Elle glissa de nouveau le gode en moi et me demanda de mettre mes mains dans le dos. Dans cette position, elle appuya sur ma tête jusqu’à ce que je sois dans ma merde. Elle allait et venait en moi, m’écrasant que les chairs molles et odorantes que j’avais eu l’indélicatesse de déposer sur son carrelage. Elle m’attrapa la verge et se mit à me branler. Je ne tardai pas à bander comme jamais mais une fois de plus elle s’arrêta avant que j’aie pu jouir. Les coups de boutoir dans mon cul se faisaient de plus en plus rapide et chose surprenant que je ne m’expliquais pas, Maîtresse Hélène semblait sur le point de jouir elle-même. Pour moi le plaisir était toujours aussi fort, je n’aurai jamais imaginé que de se faire sodomiser soit aussi agréable, à ceux qui n’ont jamais essayé, je vous le conseille. A l’instant où elle jouissait, elle me tira la tête en arrière et me la rabattit face contre terre droit dans ma merde étalé. Puis elle se figea tout au fond de moi avant de se retirer.

– Ouahou !!! Tu m’as fait jouir petite merde, c’était vraiment bon ! .

Disant cela elle retira le gode et je vis alors que de son côté il y avait une petit protubérance, qui, je le devinais lui avais provoqué tout ce plaisir.

– Bien maintenant à moi de chier, allonge-toi sur le dos. Elle se positionna au-dessus de mon sexe, face à moi, penchée vers l’arrière. Je vis son anus se détendre, s’ouvrir pour laisser passer un bel étron brun qui vint s’écraser sur mon sexe à moitié dressé. Elle en libéra un deuxième de bonne taille qui suivit le même chemin que le premier.

– Branle toi dans ma merde !.

Je pris mon sexe dans la main et commença à me branler lentement, étalant la merde encore chaude sur mon membre qui reprenait des proportions correctes.

– Attends !-

Et je la vis se pencher et me prendre dans sa bouche. Sans aucune appréhension, sans hésiter, elle engouffra mon sexe plein de sa merde entre ses lèvres. Elle me pompait, m’avalait. Quand elle se redressa, ce fut pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentis l’odeur sur sa langue, sur ses lèvres et le contact de la merde sur ses lèvres. Elle me caressa le visage étalant la merde qui s’y était collé pendant qu’elle me sodomisait puis retourna me sucer. Je n’osais pas bouger de peur qu’elle ne s’arrête, elle me pompait toujours plus vite, toujours plus loin, recrachant par moment une salive brune qui allait se mélanger avec ce qui était sur mon sexe. Puis elle descendit sur mes couilles et entreprit de les sucer tour à tour.

– Bien assez joué, branle-toi maintenant et jouis dans ta main !

Je m’exécutai sans attendre, soulageant ainsi la pression qui faisait rage en mon bas ventre. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de jouir dans ma main comme elle me l’avait demandé.

– Et maintenant avale ton sperme !-

J’approchais la main de ma bouche, renâclant quelque peu à lécher le sperme en lui-même et surtout la merde sur lequel il reposait, tâche blanche au milieu de toute cette marée brune. Puis d’un seul coup je me jetai dessus et l’avalais avidement comme si c’était la meilleur des nourritures.

– C’est bien, tu vas faire un vraiment bon esclave mais pour le moment nous allons prendre une douche, vient avec moi ! .

Ainsi se termine cette histoire de la découverte du plaisir d’être esclave ainsi que de la scato. Bien sûr j’ai revu Hélène en de nombreuses autres occasions mais cela pourrait faire l’objet d’une autre histoire si vous le souhaitez. Dites-moi ce que vous en pensez à dilomf@yahoo.fr.

Postface du webmaster : Voici la première histoire contenant de la scato explicite qui a été publiée sur Vassilia. Il s’agit d’un choix délibéré. Après avoir pas mal hésité, nous avons décidé que ce fantasme avait droit de cité sur notre site. Nous avons veiller à en éviter les excès et les surenchères provocatrices, (mais sans non plus édulcorer, la scato reste de la scato). Comme pour le SM, notre choix privilégie uniquement le ludique et le consensuel. Nous ne nous sommes jamais laissé envahir et si l’uro est présente dans environ 50 % des contributions de ce site, nous n’entendons pas dépasser les 10 % pour la scato !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 10 juin 2003 2 10 /06 /Juin /2003 12:50

Les doux bras de tante Linda

Fantasmes de femmes - Fantasmes interdits 1

 

Mat Stamp

 

Cette monotonie ferroviaire

Me colle au derrière !


Rassurez-vous, je ne vais vous faire de la rime, du moins pas aujourd'hui.


Le train à grande vitesse emmène mes fesses vers la douceur angevine, l'ennui me gagne et je baille, bruyamment, telle une grenouille en ouvrant une large bouche. Regards outrés, choqués de mes compagnons de voyage, auquel je réponds d'un sourire de mépris. Le genre de geste qui ne sert à rien mais qui défoule. Faut dire que ça fait une demi-heure qu'il m'emmerde le lascar d'en face à me reluquer comme si j'étais une page de magasine ! 


A ce stade, il est d'après ce que j'ai lu çà et là dans les nouvelles z'érotiques, de tradition de se présenter. Alors respectons les (bonnes) traditions, et présentons-nous :


Bonjour, messieurs dames, moi c'est Armande (on ne rigole pas, s'il vous plait !), et je suis une grande perche de près d'un mètre 80, et comme j'ai trop de seins et trop de fesses, je ne passe pas inaperçue, c'est d'ailleurs mon gros problème, j'aimerais parfois me faire toute petite et qu'on me foute la paix. Et puis, voyez-vous, c'est viscéral, je n'aime pas les hommes, je n'aime pas les bites, je m'aime pas les saucisses, je n'aime pas les bananes et je n'aime pas les godes non plus, je suis anti phallus. 


Ce n'est pas de ma faute, c'est comme ça et il faut faire avec ! Ma psy m'a fait raconter mon enfance pour essayer de trouver d'où vient cette singulière phobie. Et là comme ça, allongée sur le divan je lui ai raconté qu'un jour j'étais entrée dans la chambre de ma mère qui m'élevait seule. Elle était couchée entièrement nue sur le lit et se faisait pénétrer par un type sensé être venu effectuer des travaux. Le mec avait un sexe démesuré, je ne voyais que ça. J'ai été me cacher, j'avais honte pour ma mère, et je me suis jurée de ne jamais me retrouver dans la même situation. Et quand on m'a expliqué plus tard, comment on faisait les enfants, je décidais que puisque c'était comme ça, ben j'en n'aurais pas, ou alors j'en adopterais un… Non, mais ça va pas non ?


Alors quand je voulus faire partager le plaisir de mes premières pulsions sexuelles, c'est tout naturellement que je me suis tournée vers les filles !


Alors l'autre en face, comment lui dire qu'il peut me reluquer tant qu'il veut, il ne pourra rien se passer ?


Si encore c'était le premier, mais ça en devient presque une habitude, seulement il y a des nuances, il y en a qui regardent discrètement et qui n'insistent pas et puis il a y les ventouses, un coup je matte, un coup je ne matte plus et un autre coup je matte encore.


J'ai pourtant essayé des tas de trucs : Changer ma coiffure pour une coupe ultra courte ! Complètement contre-productif. Des lunettes horribles, même résultat, alors j'ai eu l'idée de m'épingler un petit pin's que j'ai acheté à la gay-pride et qui représente le drapeau arc en ciel des gays et des lesbiennes. Je prends d'ailleurs la précaution sans doute inutile de l'enlever dès que je suis en activité commerciale. Mais je t'en fiche, les gens n'en connaissent pas la signification ! Une fois il y en a un qui m'a demandé quel pays ça représentait, je lui ai répondu : " Le Burgondiche ", il semblait tout content de ma réponse, l'ignare ! Par contre, certaines savaient l'interpréter ce petit drapeau, et cela m'a permis de faire quelques rencontres, certaines fort sympathiques, d'autres plus " pots de colles ", mais, bon c'est la vie… J'arrive ainsi de temps en temps à m'amuser avec une femme de rencontre durant une nuit de déplacement et cela suffit à ma libido !


Oui, parce que je ne vous ai pas dit ce que je faisais, je suis commerciale, ça a des avantages, ça me laisse une certaine liberté et c'est bien payé. Ça a des inconvénients, au début les déplacements m'amusaient, j'allais découvrir la France entière à l'œil... Mais on en a vite marre des villes de provinces sans rien à y faire, des hôtels tristes, sans parler des repas d'affaires quasi obligatoires et qui la plupart du temps me prennent la tête et me font prendre du poids… Et puis je suis toujours en tailleur, mais bon, on s'habitue à tout…


Et le mec qui continue de me reluquer, bon, à la limite je sais être tolérante et admettre que je puisse attirer les regards, mais il y a des limites quand même, ça ne devient gênant. Je le regarde avec un air mauvais, et le voilà qui replonge dans son journal économique. Je me suis toujours demandé ce que ces mecs trouvaient à ce genre de presse. Ils savent par cœur le nom des patrons des grosses boites mais ne savent pas faire la différence entre un tilleul et un platane ! C'est ça la nouvelle culture ?


Et soudain, je le regarde dans les yeux. Il ne s'y attendait pas du tout, esquisse un vague sourire, cherche manifestement quelque chose à dire, mais je suis plus rapide, tout en me levant de mon siège, je lui lance :


- Je vais aux toilettes, vous me rejoignez ?


Le mec ouvre des yeux comme des hublots ! Il y a peu de chances qu'il me suive, et s'il a l'audace de le faire, je saurais m'en débarrasser. Très vite j'observe ce qu'il se passe, les personnes assises à nos côtés arborent un masque de désapprobation, il ne bouge pas, je décide de porter l'estocade.


- Allez, venez, je ne prends pas trop cher !


J'ai été tranquille le restant du parcours, l'inconnu plongeât d'abord son nez dans sa lecture avant de se décider de terminer le voyage au bar restauration.


Le haut-parleur à la gentillesse de nous prévenir que le TGV va arriver dans 10 minutes à Angers. Et hop tout le monde commence à se lever ! Des dingues, A Paris vous avez 10 minutes de métro, et les gens cherchent à s'asseoir, ici plus que 10 minutes de trajet et ils sont déjà debout ! Désespérant, les gens, je vous dis.


On doit venir me chercher à la gare, une voiture beige dont on m'a communiqué l'immatriculation. Je la trouve assez facilement, Je salue le type qui se présente...


- Nous attendons aussi Monsieur Marcillac, il ne devrait pas tarder, il était dans le même train que vous... Ah le voilà ! 


Je me retourne, et me retrouve nez à nez avec... mon voisin de train ! Je ne sais pas qui est le plus gêné de nous deux mais la situation est cocasse. On se sert la main comme si de rien n'était.... L'angevin nous fait alors signe de pénétrer dans l'automobile. Mais mon obsédé ferroviaire objecte :


- Il y a un petit préalable à régler, je vous propose de régler ça au café du coin !


Je ne cherche pas trop à comprendre, non seulement il va me falloir composer avec ce mec, mais il semblerait que son rôle soit loin d'être négligeable. On s'assied et avant même que le serveur vienne commander, il attaque.


- Dans quelques semaines la société Farinor. sera complètement réorganisée et nous l'aurons intégré dans notre propre organigramme. C'est pour cela que les négociations avec votre groupe ne pouvaient se faire sans moi.

- Je comprends bien ! Rétorquais-je. Mais pourquoi avez-vous parlé de préalable ?

- Pour ne pas vous faire perdre votre temps, un train repart pour Paris dans 20 minutes, vous avez juste le temps de le prendre ?

- Pardon ?

- Nous nous sommes renseignés sur votre société, et nous n'avons pas convenance à travailler avec vous...


Le salaud, il se venge !


- Mais vous auriez pu nous le dire avant, cela m'aurait économisé un déplacement !

- J'en suis désolé, mais les derniers éléments ne nous sont parvenus que très récemment.

- C'est votre dernier mot !

- Au revoir madame !

- Je vous fais remarquer que vous m'avez invité à boire l'apéritif, vous me direz au revoir quand je l'aurais bu !


L'abruti se lève ! Et dégage sans un mot ! L'angevin balbutie quelques mots d'excuses auxquels je ne réponds que par un sourire figé et je reste là, seule sur ma chaise, réalisant à présent que je viens de me planter sur un contrat colossal ! Il faudra que j'arrange le coup auprès de ma hiérarchie, je saurais faire... Le serveur se pointe, me demande ce que je veux, il est bien temps...


Moi qui avais prévu de profiter de mon passage à Angers pour rendre visite dans la soirée à ma vieille tante Linda que je n'ai pas vue depuis une éternité. Enfin quand je dis vieille, c'est relatif, je ne sais pas exactement mais elle ne doit pas encore avoir soixante ans. Elle vit seule depuis son divorce, et mes cousins sont "casés". Elle est professeur d'histoire-géographie....


Me décommander ? Non ! Mais comment tuer le temps, bouffer un sandwich, un peu de shopping, la visite du château du roi René, et toujours cette humiliation qui me trotte dans la tête et dont je n'arrive pas à me débarrasser. J'ai beau dire que je m'en fous, que ce sont les autres qui sont cons, ben non, ça me gâche ma journée.


A la fin de cette première partie, le lecteur sera sans doute déçu que le sexe ne si soit pas encore exprimé, mais au moins cela vous aura permis de me connaître, ainsi si plus loin dans le récit, il se trouve que l'auteur choisisse de me faire déshabiller, puis caresser et même embrasser sur toutes les surfaces de mon corps, ces actes n'en seront que moins anonymes... 


Et c'est donc passablement énervée que je me présentais devant cette petite maison bourgeoise qu'une minuscule courette séparait d'une petite grille. Je fais retentir une vieille sonnette dans le crépuscule, tandis qu'au loin les premiers tonnerres d'un orage grondent et menacent.


- Armande, c'est donc toi ? Comme tu as changée !

- Tu trouves ? En bien ou en mal ?

- Tu es devenue un de ces beaux brins de filles !

- Toi par contre Tantine, tu n'as pas changé.

- Tu parles, j'essaie de conserver la forme, mais je vieillis, je m'empâte, viens t'installer dans le salon on va prendre un apéritif et on va bavarder un peu, le dîner n'est pas tout à fait prêt...


Je m'installe dans le divan de la tantine, c'est vrai qu'elle est bien conservée, un peu forte, mais elle présente bien et cette petite robe en imprimée légèrement décolletée qui lui dégage bien ses belles épaules lustrées lui va à ravir. Le visage malicieux et calme est resté lisse. La coiffure brune est discrète. Elle me fait choisir un apéro, me le verse, je me surprends à plonger les yeux dans son décolleté, mais me reprend aussitôt. On trinque. Tchin, tchin et la conversation commence dans les banalités coutumières des rencontres familiales espacées. Et après quelques questions sur la santé, le boulot, les vacances….


- Sinon, toujours célibataire, Armande ?

- Ben oui !

- Pourtant tu ne devrais pas avoir trop de mal à trouver !

- C'est que je suis très exigeante, Tantine ! Et toi tu vis donc toute seule, maintenant ?

- Oui, ça me convient très bien. J'ai un ami qui vient me voir de temps en temps, il est gentil, mais je n'ai pas l'intention de vivre avec, de toute façon, il est marié... Mais mets-toi donc à l'aise, enlève ta veste, tu vas crever de chaud...


C'est alors qu'elle aperçut le pin's. Je n'avais pas pris la précaution de le retirer, pensant que chez ma tante cela ne servirait à rien.


- Tiens c'est quoi ce pin's, c'est un drapeau ? 

- C'est un drapeau ! Confirmais-je.

- C'est un pays d'Afrique, attends, laisse-moi deviner, euh, la République Centrafricaine c'est ça, non ?

- Ce n'est pas le drapeau d'un pays, Tantine, tu vas peut-être trouver ça choquant mais c'est celui des gays et des lesbiennes, je le porte un peu par solidarité, parce que j'estime que chacun est libre de faire ce qu'il veut de son corps.


J'ai lancé cela d'une traite estimant qu'une enseignante devrait normalement avoir l'ouverture d'esprit nécessaire pour comprendre ce genre de chose. La Tata ouvre des yeux aussi ronds que ceux d'un goujon, me détaille bizarrement, j'espère ne pas l'avoir froissée, les quelques secondes de silence en ce moment me paraissent interminables.


- Je suis bien d'accord avec toi ! Finit-elle par dire !


Ouf !


- Tu es gentille, Tantine, ça me rassure !

- Tu me l'offres ? Ça me ferait plaisir de porter ça ? Ça me permettrait de provoquer quelques rombières qui m'énervent…

- C'est à dire, c'aurait été avec plaisir, mais, c'est un cadeau.

- Un cadeau ?

- Oui, une fille !

- Une fille ?


Oh la la, je m'enferre !


- Oui, une copine !

- Tu sais si tu as des tendances "comme ça" tu peux me le dire, je ne serais pas choquée


J'aime bien le terme " des tendances comme ça " !


- Bon alors, autant être franche, tu as deviné ! Confessais-je.

- Et bien c'est très bien ! C'est presque dommage que je sois ta tante et que je sois si vieille...

- Tu n'es pas vieille… Répliquais-je d'instinct sans bien mesurer les conséquences éventuelles d'une telle réponse.


Elle ne relança pas, me laissant dans un état bien bizarre, tandis qu'elle s'en allait vérifier l'avancé de la préparation du dîner.


Nous avons mangé tranquillement, sans autres allusions de type sexuel. Ma tante m'avait branché sur le cinéma et comme cela m'intéressait, la conversation filait bon train, quant aux plats, ils étaient savoureux, tout cela était arrosé d'un petit rosé dont nous n'avions absolument pas abusé mais qui me rendait un peu gaie.


- Je vais t'aider à débarrasser !

- Non laisse, vas te reposer dans le canapé, on boira un café ou un thé ensemble…


Je me lève malgré tout quasi spontanément et vint embrasser ma tante sur la joue, pour la remercier de ce délicieux repas. Gros bisous sur la joue et en même temps de façon plus ou moins inconsciente ma main traîne sur le gras du bras, c'est doux, velouté, frais, agréable.


- Humm, continue à me caresser les bras, ça me fait un bien fou !

- Comme ça ? Tantine ?

- Humm, oui comme ça !


Voilà qui est très troublant, j'hésite à m'arrêter tout en sachant que continuer peut nous entraîner sans doute trop loin. Mais c'est ma tante qui joue de l'avantage de la situation :


- Quelles mains tu as ! Les femmes que tu as rencontrées ont dû être comblées par des caresses pareilles !

- Tantine, tu vas me faire rougir !


Pendant que je la caresse, elle a insensiblement écarté ses cuisses, dégageant ainsi ses genoux bronzés, je les reluque et elle s'en aperçoit.


- J'aime bien aussi sur les genoux, juste un petit peu !


Elle n'est pas folle, elle ne me demande pas de le faire, mais moi non plus ! Alors sans hésiter je place chacune de mes mains sur ses genoux et je les masse de mes paumes. Puis elles s'aventurent, vont sur les côtés, descendent un peu sur l'arrière des mollets, histoire de donner le change, puis remontent derrière la cuisse, là où la chair est déjà plus sensible. Je la regarde, elle se mord les lèvres. J'ai conscience de me laisser entraîner à l'aveuglette dans une drôle d'aventure. Je ne suis pas sûre de savoir m'arrêter. Qu'elle le fasse, elle, si je ça va trop loin !


Elle le fait !


- Merci Armande, il faut que je débarrasse maintenant.


Je la laisse faire. Du coup, je suis un peu dépitée, pas tant de l'interruption de l'action que de du fait de ne pas trop savoir ce qu'elle pense réellement de tout ça !


Je m'installe dans le canapé tandis que ma tante fait des allers et retours avec la vaisselle, elle paraît tout sourire, ça me rassure un peu.


- Café ou thé ?

- Du thé !


Elle revient cinq minutes après avec la théière bouillante et deux tasses.


- Il faut que je te dise deux trucs, Armande !


Aïe, déjà un truc, ça fout l'angoisse, alors deux je ne vous dis pas !


- Il m'est arrivé un jour un drôle de truc, j'avais invité un collègue à dîner parce qu'il m'avait rendu quelques petits services, on a bien mangé, bien bu ! Et à la fin du repas il m'a dragué, je me suis laissé faire, en fait il m'a sauté comme on dit vulgairement. J'étais pleinement consentante, il n'y avait donc aucun problème. Mais j'ai fait l'erreur de le relancer quelques jours après. C'est alors qu'il m'a dit qu'il regrettait... Ça à la rigueur, il avait le droit, mais il m'a rajouté que ce qui c'était passé, c'était à cause de la boisson, à la limite il me reprochait de l'avoir fait boire... alors qu'en fait on n'avait pas bu grand-chose, pas plus que nous deux ce soir !


Elle appuya volontairement sur la dernière partie de la phrase. Malgré tout le message n'était pas très clair, je tentais malgré tout de recadrer tout ça :


- Tu sais Tantine, je ne suis jamais dans un état où l'alcool me ferait faire n'importe quoi ! Si je vois qu'un verre de trop risque de me saouler, je ne le bois pas.

- C'est très bien, ma petite Armande, donc si tu m'as peloté les cuisses, l'alcool n'y est donc pour rien ? Me fit-elle préciser en conservant son plus beau sourire.

- Pour rien du tout, Tantine, et si tu souhaites que je recommence, je veux bien le faire, et si tu ne souhaites rien du tout, et bien ce n'est pas un problème non plus, ça va comme ça ?

- Alors je veux bien que tu recommences ! Conclue-t-elle.


Elle vint s'asseoir près de moi sur le canapé et se mit légèrement de côté, je lui replaçais les mains sur les genoux, exactement comme tout à l'heure, mais sans m'enhardir, du moins pour le moment car il se trouve que j'ai une excellente mémoire, et je rafraîchissais du coup celle de mon aînée.


- Tu ne m'avais pas dit que tu devais me dire deux trucs ?

- Si, mais l'autre, je peux te le dire pendant que tu me masse, ce n'est pas incompatible !


Alors dans ce cas...


- L'inceste, ça te cause ? Me demande-t-elle à brûle pourpoint !


La question est tellement inattendue, que j'en oublie mon massage.


- Je crois que l'inceste c'est un tas de choses bien différentes ! Répliquais-je !


Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir, si caresser les cuisses de sa tante, c'est de l'inceste, alors ben je fais de l'inceste, et ça ne me traumatise pas plus que ça !


- Quand on demande aux gens pourquoi l'inceste est un interdit, qu'est-ce qu'ils répondent, en principe ?

- Je sais pas trop, s'il y des mineurs, ce peut être assez grave...

- Non, non je parle bien de l'inceste entre adultes !

- Que ça va faire des enfants idiots !

- Oui, justement elle n'est pas mal, celle-ci ? On admet maintenant parfaitement de dissocier l'acte d'amour et la procréation. Donc pourquoi interdire l'inceste protégé ? Ça n'a aucun sens ! D'autres invoquent des raisons liées à la préservation de la hiérarchie familiale, mais de fait cette hiérarchie n'existe plus vraiment entre adultes, cet argument n'est pas bon non plus.

- Y a-t-il une réponse au moins ?

- Oui, et elle effarante, c'est Claude Lévi-Strauss qui l'a trouvé et écoute bien : L'origine de l'inceste, c'est l'interdiction pour les proches et particulièrement pour la famille "biologique" de convoiter les femmes, ces dernières étant des "objets" potentiels d'échange ! (note de l'auteure : voir de C.L.S. : "les structures élémentaires de la parenté"

- Hein !

- Et oui, les féministes qui hurlent contre l'inceste feraient mieux de se souvenir que justement cet interdit était destiné à n'en faire que des objets que l'on échangeait...

- On en apprend des choses avec toi Tantine !


Et j'allais reprendre mon massage des genoux quand soudainement elle se lève et sert le thé sans rien dire. Elle a à présent évacué tous les problèmes qui pourraient nous empêcher d'aller plus loin, alors pourquoi ne le fait-elle pas ? Cela dit, si elle ne veut pas, je ne vais pas en faire une maladie non plus, le jeu m'amuse, mais bon...


- Qu'est-ce qu'on fait ? Demande Tantine !

- C'est comme tu veux ? Veux-tu que je reprenne mes caresses ?

- En fait j'en sais rien !

- On dirait que tu as peur de quelque chose !

- C'est un peu ça !

- Ben dis-moi ?

- Armande, on a vingt ans de différence !


Ah ! C'était donc ça ! Je vais la provoquez la tantine !


- Et alors, justement c'est ça qui m'excite !

- T'es sérieuse ? Demande-t-elle un peu surprise.

- Tu voudrais que je t'aide ?

- M'aider comment ?

- Disons que je peux te dominer, ce serait peut-être plus facile !

- Pourquoi pas ! Tu ferais ça ?

- Si je te le dis ! Juste une question : au niveau des mots je peux me lâcher, ou tu préfères que je ne parle pas trop !

- Lâche-toi !


Elle a l'air ravie, moi aussi d'ailleurs, ça va chauffer... mais en attendant je déguste cet excellent thé...


- Hum, c'est du thé au jasmin !

- C'est celui que je préfère !

- Tu as raison c'est celui qui donne le meilleur goût à l'urine ! Déclarais-je sur un ton aussi docte que provocateur.

- Hein ? 

- Et d'ailleurs tout à l'heure je te regarderais pisser !

- Armande !

- Tu ne veux plus jouer, Tantine ?

- Si mais... et puis ne m'appelle plus Tantine, Linda ce serait aussi bien, non ?

- Déshabilles-toi ! Ça me plait de continuer de t'appeler Tantine pour l'instant, ça m'excite !

- Si je veux arrêter, je fais comment ?

- Et bien tu me dis que tu veux arrêter, où est le problème ? 

- Il n'y a pas de problème... Euh, je me déshabille alors ?

- Et que ça saute !


Je n'ai pas l'intention d'être "vache" avec elle, ce que je cherche c'est à l'aider. Elle enlève sa robe, mais je sens bien que quelque chose cloche dans son regard que je sens hésitant. Elle souhaite ce contact entre nous, mais semble aussi le redouter. Je réalise qu'elle a probablement plus envie de me voir à poil que de se déshabiller elle-même et qu'il n'était sans doute même pas dans ses intentions de le faire.


- T'inquiètes pas, je vais me déshabiller aussi, Tantine, dès que tu auras fini.


Elle reste là devant moi, elle sait qu'il est encore temps de reculer, après, une fois le soutif retiré, un pas sera franchi. Je la regarde, le soutien-gorge est joli, délicatement choisi, bleu vif en fines dentelles, par contre la culotte c'est un peu n'importe quoi... sinon, elle n'a pas à se plaindre, le ventre est peut-être un peu abîmé mais sans que cela apparaisse comme dramatique.


- Allez Tantine !


Dernière indécision. 


- Tu étais d'accord pour que je te donne des ordres, et tu m'as même dit que je pouvais me lâcher…

- Vas-y ! Coupa la Tantine. Ça va m'encourager !

- Alors tu le retires ton soutif ! Vielle salope, morue !


J'en avais des palpitations de sortir une telle énormité, je parlais à ma tante tout de même, je venais de réaliser que cette coprolalie censée lui venir en aide m'était sans doute plus utile à moi qu'à elle. D'abord ce mot-là n'avait dans ce contexte rien d'insultant, ni d'humiliant, mais contribuait à nous faire jouer un rôle à toutes les deux, le rôle de femmes libres qui se gaussent de la morale bourgeoise. Linda ne bronchât pas, et me faisant face défit ses bretelles.


- Non pas comme ça !

- Comment alors ?

- Comme une stripteaseuse !

- J'avoue mon incompétence !

- Alors tu remets les bretelles, tu me tournes le dos, tu dégrafes, tu ne me montres que ton dos pendant une minute, puis tu te tournes et seulement à ce moment-là tu enlèves les bonnets et tu me montres tes gros nichons !


Elle fit donc comme indiqué, m'exhibant à présent deux jolis seins un peu lourds mais d'assez bonnes tenues, terminées par de gros tétons très sombres s'érigeant coquinement au centre de leurs aréoles brunes.


- Alors ils te plaisent mes nichons ? Mes nichons de... salope ! Me nargua-t-elle en entrant complétement dans le jeu

- Tu vas voir ce que je vais en faire !

- J'en meure déjà d'impatience !

- On a le temps, Linda, on a le temps ! Bon, on va passer à autre chose, dis donc ta culotte, pas terrible la culotte, tu n'aurais pas pu l'assortir au soutien-gorge, non ?

- Si tu veux je vais la changer ? Propose-t-elle, rigolarde.

- Non, on va faire avec, ne l'enlève pas, tu vas pisser dedans, oh, juste deux trois gouttes, histoire de la mouiller...

- Armande, ça ne va pas ?


Je remarque qu'elle ne me demande pas de m'arrêter, et puis elle n'a pas l'air si outrée que ça !


- Pisse ! Salope !

- Mon Dieu, qu'est-ce que tu me fais faire ?


Je croyais qu'elle allait se mettre à discutailler, mais non, elle ferme les yeux, se concentre, tout va bien. Une petite tache finit par apparaître, elle grossit à vue d'œil, bientôt tout le devant est trempé !


- Bravo, Tantine, tu es une bonne pisseuse, maintenant file moi cette culotte. !


Linda retire sa culotte sans cérémonie, me la tends, je remarque que ma tante s'est fait une coupe maillot, elle doit fréquenter assidûment les piscines ou les bases de loisirs... Moi qui préfère les femmes plutôt poilues, pas de bol, on ne peut pas tout avoir ! Je prends la culotte dans ma main, je regarde ma tante dans le blanc des yeux, puis je porte la culotte à mon nez, et en renifle les effluves !


- T'es vraiment allumée grave ! Tient-elle à me faire savoir !


Mais je pense encore une fois qu'elle est plus surprise que choquée, alors j'enfonce le clou, approche la culotte de mes lèvres, et très lentement, très sensuellement j'en lèche quelques centimètres carrés de tissu !


- Délicieux ! Tout à l'heure tu me pisseras dans la bouche !

- Et c'est toi qui me traitais de salope...

- On est aussi salope l'une que l'autre, allez vient me déshabiller !


Elle ne se le fait pas dire deux fois, j'avais à peine eu le temps de lui dire qu'elle était déjà là ! Pas de cérémonial, elle déboutonne mon chemisier avec une fébrilité qu'elle ne cherche même pas à dissimuler. Elle me prend à pleines mains mes seins à travers la toile du soutien-gorge, ne peut s'empêcher de déposer un, puis plusieurs baisers sur la chair qui en dépasse. Elle file derrière moi, mon excitation à ce moment-là devient assez ingérable, j'ai la gorge sèche, la respiration saccadée, l'entre jambe moite... Linda défait l'attache du sous-vêtement, l'envoie valser et tout en restant derrière moi m'empaume mes deux seins. Je me laisse faire, je m'abandonne, je ferme les yeux. Et tandis que je fais moi-même tomber à mes pieds ma jupe, ma tante me roule le bout de mes seins entre ses doigts. 


- Plus fort !

- Ah ! Tiens ? Tu aimes ça, tu vas voir...


Bien sûr que j'aime ça, elle me pince fort, à la limite elle me fait mal, mais je m'en fous, je suis un peu maso parfois. Mais quelque chose de bizarre se passe. J'essaie de me dégager, j'ai à ce moment précis une envie folle de la serrer dans mes bras, de l'embrasser, mais elle ne semble pas comprendre mes intentions et se contente de continuer à serrer de toutes les forces de ses doigts. Je vais craquer, moi !


- Attends ! Dis-je.

- Attend quoi ?


Mais elle a desserré ses doigts, je fais volte-face !


- Tantine !

- Armande !

- Je t'aime, Tantine !


Je ne sais pas ce qu'elle allait me répondre, mais je me baisse afin d'être à sa hauteur et nos bouches se sont collées, et nos langues se rencontrent comme si nous n'attendions que ça depuis le début de la soirée. Loin de refuser mon baiser, elle y met toute sa fougue. Je suis merveilleusement bien en ce moment, j'en ai les larmes aux yeux, je ne veux pas qu'elle me voit chialer. Mais ce n'est pas évident, car si ça continue ça va se terminer en crise nerveuse cette affaire-là ! Et cette excitation qui ne se calme pas ! Trop de chose à la fois, je suis en pleine surcharge mentale ! Je me dégage, porte les mains à mes yeux, m'écroule sur le canapé, et pleure comme une madeleine.


- Armande qu'est ce qui se passe ?


Linda court vers la salle de bain, elle revient aussitôt avec un gant mouillé qu'elle m'applique sur le visage !


- Laisse-moi faire, ça va te faire du bien !


Bien sûr que je me laisse faire ! Je me demande si je ne suis pas en train de péter les plombs !


- Pardon, Tantine, pardon, je ne voulais pas !

- Attends, calme toi Armande, tu ne voulais pas quoi ? On a été trop loin, c'est aussi de ma faute, je t'ai un peu entraîné, non ? Mais tout cela n'a que l'importance que l'on veut bien lui donner !


Et en plus la Tantine qui est à côté de la plaque !


- Mais, non Tantine, ce n'est pas à cause de ça ! Viens, viens là que je te caresse encore !

- J'ai du mal à te suivre, Armande !

- Je m'en veux de t'avoir traité de salope, je n'aurais pas dû, je n'aurais pas... et bouhhh


Et c'est reparti pour les grandes eaux !


- Arrête ! Ce n'est qu'un jeu ! Tu essaies simplement de trouver une raison à tes larmes, c'est un phénomène classique, et en fait il n'y en a pas de raison, il y a une accumulation de choses, et comme on n'est pas prêts à assimiler tout en même temps, on craque !

- C'est vrai tu me veux pas ?

- Je peux m'occuper de tes seins ? Rétorque-t-elle pour toute réponse.

- Bien sûr !


Elle me parle de mes seins, mais pour l'instant sa main se balade sur mes cuisses et remonte vers ma petite culotte, la paume de sa main est désormais devant ma vulve juste séparée par un bout de tissu, un bout de tissu plus très sec !


- Et ben dis donc, tu es dans un drôle d'état ! Commente Tantine


Elle s'en va, me dit qu'elle revient, ça m'amuse de la voir cavaler à poil dans son salon, la voici qui rapplique avec une grande serviette éponge ! Voilà qui me fait de nouveau sourire, elle a le sens pratique la Tantine !


- Allez, on va pas salir le canapé ! Me dit-elle en me faisant passer la serviette sous mes fesses.

Linda0603.jpg


Elle me fait glisser légèrement afin que je me présente allongée, puis me caresse les seins !


- Quelle belle poitrine ! Je peux encore les serrer

- Bien sûr !

- Mais avant, retire donc ta culotte !


Je m'exécute, la fais glisser jusqu'à mes pieds. Linda se penche alors et m'embrasse tendrement le pubis, mais sans insister. Puis remonte vers ma poitrine. Elle hésite entre me tortiller mes pointes, ce doit être son petit côté sadique, mais elle sait aussi maintenant que j'aime ça, et l'envie de m'en triturer le globe entier et d'en sentir la peau sous sa main, alors elle alterne un peu tout ça ! Je me laisse faire, me contentant de passer la main sur ce qui m'est accessible, les épaules, le haut du dos, les bras.... Mais ma vulve coule, commet lui dire que maintenant j'aimerais bien prendre mon pied, quitte à continuer après... Et puis je comprends, elle sait très bien ce qui m'arrive, sinon elle ne serait pas partie chercher une serviette, alors, si elle ne m'aide pas, c'est parce qu'elle veut que je lui demande... la salope ! (Tiens ça me reprend !) Le problème c'est que je n'ose pas ! Ah, si ce n'était pas ma tante... Oui, je sais, je sais... Je ne peux plus tenir, une main se dirige maintenant vers mon sexe, je vais me masturber pendant qu'elle joue avec mes seins, c'est assez spécial, mais après tout pourquoi pas ?


- Qu'est-ce que tu fais ? Me demande-t-elle alors malicieusement.

- Ben tu vois, je m'excite le minou !

- Tu ne préfères pas que je m'en occupe ?

- Si !

- Et, bien demande le moi Armande !


Qu'est-ce je vous disais ? Et puis soudain le déclic !


- Dis donc, Tantine, tu es sûre que tu n'inverses pas les rôles, j'avais cru comprendre que c'était moi qui donnais les ordres !

- Ah, bon, le jeu continue ? Alors d'accord, je suis tout ouïe

- Occupe-toi de mon minou !

- Tu n'as pas oublié quelque chose ?

- Occupe-toi de mon minou, salope !

- On joue, Armande, n'oublie jamais que l'on joue... mais en attendant, écarte les cuisses !

- Je te préviens quand je pars, ça fait du bruit !

- Tu fais bien de me prévenir, je vais prendre mes précautions.


J'aurais mieux fait de me taire, la voici qui se lève, je me demande ce qu'elle fabrique, en fait elle allume la radio, sélectionne une fréquence diffusant du jazz, monte le son et revient, contente de son petit numéro !


- Le sexe, c'est comme la bouffe ! Précise Linda, on regarde d'abord, on salive, on a envie, et après on déguste !

- Bon appétit !


Ma tante dépose d'abord un tendre bisou sur ma vulve suivi de plusieurs autres, elle tente de commencer à la jouer chaste, mais l'endroit est mouillé et la tante excitée, alors la langue prend le relais des lèvres et lèche toutes les chairs de mon sexe. Déjà je me prépare, trop d'excitation retenue, mais je veux aussi qu'elle profite de mon goût, j'essaie de me contrôler, je crois deviner qu'elle sait que ma jouissance est imminente, alors elle se concentre sur mon clitoris, pas longtemps, voici que j'explose, mon corps a dû se soulever de plusieurs centimètres tant le plaisir fut fulgurant. Puis je retombe comme une chiffe molle. Je tends les bras, je l'implore, je veux enlacer ma tante Linda. Mais elle m'a précédé, déjà elle est dans mes bras. Je suis bien terriblement bien, nos regards se croisent, des larmes coulent sur le visage de ma tante, elle sait que je les ai vu, elle me sourit. Ma tante pleure de bonheur et moi je ne sais plus où je suis. Elle est heureuse de m'avoir fait jouir... et son plaisir à elle alors ? Je porte ma main à son sexe, elle se laisse faire, j'entreprends une masturbation en aveugle qui ne me parait pas trop efficace, alors je me dégage et à mon tour glisse mon visage entre ses cuisses. Ça pour mouiller elle mouille, mais par contre elle n'a pas l'air de venir bien vite, je m'applique, je m'acharne, j'y mets toute ma passion. Il ne manque, que cela que pour notre bonheur atteigne ce soir la plénitude.


- Laisse, je bloque !


Je ne l'écoute pas, elle se triture le bout des seins, je réalise que fait par moi cette action serait bien plus efficace, je lance mes mains en avant, atteint ses tétons, les pinces aussi fort que je peux. Enfin elle réagit, j'essaie de coordonner le mouvement de ma langue avec ceux de mes doigts. La respiration de Linda devient haletante, c'est bon signe, je continue, son corps commence à vibrer, sa voix à couiner.


- Jouis, jouis pour moi Tantine !


J'aurais dû lui parler plus tôt, c'est ma voix qui a tout déclenché, elle est moins démonstrative que moi mais tout aussi abattue un moment par le choc de l'orgasme. Enfin à nouveau nous nous enlaçons, nos visages se rapprochent et nos langues chargées de nos liquides intimes se mélangent en un combat d'amour jusqu'à plus soif !


Mes mains caressent ses fesses, c'est doux, c'est frais, c'est agréable, et insensiblement elles se rapprochent du petit trou. Je mouille un doigt et le promène sur sa rosette.


- Enfonce-le si tu veux !


Je le fais, je l'agite pendant quelques minutes, lui provoquant des râles de plaisir. Je le ressors, le lèche.


- T'es dégueulasse ! Me dit Linda, faussement choquée.

- Non, j'aime bien le goût ! Au fait tu m'avais fait une promesse tout à l'heure !

- Ah ! Ça m'a échappé !

- Tu devais me pisser dessus !

- Je ne t'ai rien promis !

- T'es sûre ? Moi j'aimerai bien que tu le fasses.


On est allé dans la salle de bain, je me suis couché sur le sol et lui ai demandé de s'accroupir au-dessus de ma bouche. Elle n'avait pas grand-chose à m'offrir, c'était néanmoins délicieux.


- Je suis désolée, je n'avais pas une grosse envie.

- Mais, c'est pas grave !

- Par contre j'ai envie de caca tu veux regarder ?


J'ai failli me dégonfler, mais je l'ai regarder déféquer, je n'ai pas été plus loin.


Plus tard apaisées, mais non repues du contact de nos corps, nous sommes restées enlacées dans un long élan de tendresse qui finit par alourdir nos paupières.


Un bruit sourd, la porte fenêtre qui s'ouvre, le vent qui s'engouffre, l'orage, nous nous réveillons dans la nuit qu'illumine un instant la zébrure d'un éclair. Panique ! Qu'est-ce que je fais ici ? Puis ça me revient. Tante Linda. Nos caresses, nos folles caresses. La voix de ma tante.


- Tu parles toute seule ?

- Je n'ai rien dit !

- Si ! Tu parlais de caresses, mais je n'ai bien pas compris la suite...

- Je devais te dire que j'avais peur de l'orage, et que pour me rassurer je voulais que tu me caresses…


FIN


Marie-Paule Perez © juin 2003, revue et corrigé en 2019

<a href="mailto:Marie_paule_perez@hotmail.fr">

  Marie_paule_perez@hotmail.fr</a>

PS :

Contrairement à d'autres récits qui clament leur authenticité, je précise que celui-ci est de pure fiction. Et si j'ai mis beaucoup de moi-même dans le personnage d'Armande, je ne suis pas Armande


Ce texte a obtenu le 3ème prix Vassilia du "meilleur récit publié sur notre site en 2003

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour l'année 2003

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 juin 2003 5 06 /06 /Juin /2003 10:06

L'inconnue du petit bar, Conte libertin

Par Jean-Seb

stamp trans

 

Martin consomme

Dans ce petit bar au bord de la Somme.

Il n'aime pas grand monde, Martin.

Il rouspète le soir, il râle le matin.

Tout ce qui est différent l'insupporte

Et il l'affirme d'une voix forte :

Les putains, c'est immoral,

Les travestis c'est anormal.

Et il lève son verre à la santé de ses certitudes

En trinquant avec la grosse Gertrude.

 

Ce jour-là, entre une superbe créature

Aux bras d'un mec pas franchement gâté par la nature.

Martin s'interroge, s'étonne, il est fasciné.

Par son visage, sa grâce et ses nénés.

Le barman lui apprend que cette superbe jeune femme

Se livre à la prostitution, en un mot vend ses charmes.

C'est contre ses principes et Martin est déçu.

Mais toute la nuit, l'image de cette beauté aperçue

Le hante, et il se dit qu'une seule fois dans sa vie

Il peut provisoirement changer d'avis.

Le lendemain il aborde la belle :

- Il parait que tu es une professionnelle,

Combien prends-tu pour juste une branlette ?

- 100 euros et c'est très honnête !

- Mais c'est très cher, de l'argent je n'en ai point légion.

- Oui mais mes branlettes sont les meilleures de la région !

- Non décidément je n'ai pas assez dans ma bourse.

- Essaie, si tu n'es pas satisfait je te rembourse !

Martin finit par accepter, la fille insistant.

Il était vrai qu'elle n'avait point menti sur ses talents.

La branlette que reçut Martin fut inoubliable, historique

Extraordinaire, géniale, un sommet de l'art érotique

La nuit suivante, il l'attend avec impatience au bar

Et, quand elle entre, il l'aborde dare-dare

- La nuit dernière était incroyable, voilà que je m'émancipe !

- Sûr que c'était merveilleux et encore, tu n'as pas goûté à mes pipes...

- Et c'est combien ?

- 150 euros et je te fais ça très bien !

- Alors, je crois que je vais faire une folie !

- Moi, je crois que tu vas aimer ma petite cajolerie !

Bien sûr la pipe fut grandiose, Martin ne fut point déçu.

Cette pipe était la meilleure de toutes celles qu'il avait reçues,

Il manqua même de s'évanouir de plaisir.

La nuit suivante, il ne put à peine se contenir,

Tant il était impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :

Et nous ne dirons rien sur l'état de sa bite

- Tu es la meilleure ! Dis-moi, pour ta chatte combien cela me coûte ?

- Ma chatte, mais quelle chatte ? Martin a un horrible doute.

- Je me suis fait donc abusé si je comprends bien ce que tu veux dire ?

- Oui je suis une transsexuelle, et alors, ne t'ais-je point donné du plaisir,

Ma branlette et ma pipe n'étaient-elles point efficaces ?

Et si tu veux je peux te montrer ce que j'ai à la place.

Profites-en demain je repars au Brésil embrasser ceux que j'aimais

Mais peut-être que je reviendrais, dans un an, dans deux ans ou jamais...

 

Martin s'est dégonflé, il le regrette,

Se dit qu'il a été bien bête,

Et voici plusieurs mois qu'il attend le retour de sa déesse.

Plusieurs mois qu'il rêve toutes les nuits de lui peloter ses fesses

 

Peut-être qu'un jour il la reverra, dans ce petit bistrot

Où plus jamais il ne dit du mal ni des putains ni des travelos

 

xx002.jpg

 

 

Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du meilleur texte "catégorie poésie" publié sur notre site en 2003

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Chanette20b2
  • Orza02
  • Teneuses1
  • FEE3
  • Martinov18c2
  • Martinov18o1

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés