Samedi 7 octobre 2006 6 07 /10 /Oct /2006 20:01

Un lit pour deux par Nicolas Solovionni

 

Gs2

 

De gros problèmes de train pour rentrer, me voici bloqué dans cette petite et inintéressante ville de province que je ne nommerais pas par respect pour ses habitants. 

 

Pas envie d'attendre le dernier moment pour me réfugier à l'hôtel. J'aurais même dû y penser avant. Le premier est complet, le second itou, et dans le troisième il ne reste qu'une chambre pour deux personnes, je la prends !

 

- Si je comprends bien, il ne reste plus rien pour moi ! Dit alors une énergique voix féminine juste derrière moi.

 

Je dévisage l'apparition, une sorte de caricature de la voyageuse de commerce typique, fausse blonde à la coiffure apprêtée, lunettes bordées de noir, maquillage abusif, sourire carnassier, tailleur pied de poule, talons vertigineux, sans doute proche de la quarantaine. Belle prestance.

 

- Désolé, c'était à une minute près ! Confirme le réceptionniste, à moins que monsieur accepte de vous céder sa place ?

- Votre galanterie irait-elle jusque là ? Ose ajouter la blondasse.

 

Non mais c'est quoi ce cirque ? Je suis arrivé avant elle, cette chambre est pour moi et point barre !

 

- Je suis désolé... balbutiais-je

- Et qu'une femme soit sans doute obligée de passer la nuit dehors, ça ne vous gêne pas un peu, quelque part ? Me dit la voyageuse.

- Il y a des tas de gens qui risquent de passer la nuit dehors...

 - Et bien, justement, faite une bonne action, permettez à l'une de ces personnes de dormir à l'abri !

 

Elle m'énerve ! Et ce con de réceptionniste qui ne se décide pas à me filer la clé !

 

- Bon, écoutez, j'étais là le premier, tout ce que je peux vous offrir c'est de partager ma chambre !

 

J'ai lancé ça comme une boutade, mais l'autre prend ça au premier degré.

 

- A la limite, pourquoi pas ? Ce sont des lits jumeaux ?

- Non c'est un grand lit !

- J'espère que vous ne ronflez pas et que vous ne gigotez pas de trop ?

 

L'homme doit être faible, j'aurais pu effectivement lui répondre que je ronflais comme un moteur, qu'il était dans mes habitudes de me retourner en faisant des bons tous les quarts d'heures, et ajouter quelques horreurs comme par exemple m'inventer une maladie de peau très contagieuse, et j'aurais peut-être été débarrassé de cette emmerdeuse ! Mais non, la perspective de partager mon lit avec cette belle blonde fut plus forte que le reste. 

 

Et cinq minutes plus tard, nous étions ensemble dans la chambre que j'avais loué.

 

- Voilà, je vous rembourse la moitié de la location... Me dit-elle en me tendant la somme... Demain matin, je vous demanderais une photocopie de la note, pour que je me fasse rembourser.

- Pas de problème !

- Je tiens à vous remercier d'avoir accepté cette solution, mais je voudrais que les choses soient bien claires : j'ai toujours été fidèle à mon mari, je suis catholique pratiquante et je suis ceinture noire de karaté. 

 

Je n'en croyais pas un mot, mais ce genre de réflexion qui voit chez chaque homme un violeur en puissance a le don de m'agacer sérieusement.

 

- Rassurez vous, en ce qui me concerne, je n'aime pas les femmes, les hommes non plus d'ailleurs, je suis monosexuel contemplatif !

 

Elle se contenta pour toute réponse d'hausser ostensiblement les épaules. Puis elle farfouilla dans ses bagages, rangea quelques affaires dans la penderie puis disparut dans la salle de bain d'où elle ne ressortit qu'après une demie heure.

 

Elle était à présent vêtue d'une chemise de nuit assez vaporeuse, mais le haut était recouvert d'un insolite gilet noir, et en bas, elle avait visiblement passé une culotte. D'un geste nerveux, elle retira le couvre-lit :

 

- Vous préférez dormir à gauche ou à droite ? Demanda-t-elle. Moi je préfère à droite !

- Alors je me mettrais à gauche !

 

Elle s'empara alors du traversin qu'elle installa en plein milieu du lit dans le sens de la longueur.

 

- Voilà, ça fera une séparation, on ne sait jamais, si vous êtes somnambule !

 

Elle m'énerve, elle m'énerve !

 

- Je vais lire un peu au lit, j'espère que ça ne vous dérange pas ? Ajouta-t-elle en s'y installant.

- Du tout ! Faites comme chez vous !

 

Ras le bol de cette bonne femme, je me déshabille, pose mes affaires sur une chaise, mais je garde mon slip. Et l'autre qui me regarde bizarrement, très bizarrement. C'est vrai aussi que je n'ai rien d'un play boy, mais quelle importance en ces circonstances !

 

- Au cas où il vous resterait des illusions, je tiens à vous dire que vous n'êtes pas du tout mon genre d'homme !

 

De la méchanceté gratuite ! Pourquoi ? Je cherche une vacherie à répondre, mais préfère me taire, et me couche à mon tour.

 

- Vous ne faites pas un brin de toilette avant de vous coucher, vous ? M'apostrophe-t-elle.

- Foutez moi la paix, je vais essayer de dormir !

 

Je me tourne vers l'extérieur du lit, ferme les yeux et appelle le sommeil, évidemment ça ne vient pas, je ne sais pas dormir la lumière allumée, et puis la situation m'énerve, au bout de quelques instants je me surprend à fantasmer sur ma voisine de lit, et du coup me voici en train de bander, il ne manquait plus que ça ! J'essaie de penser à autre chose, je ne vais quand même pas me masturber à côté d'elle ! Une demi-heure après j'ai réussi à chasser mes pensées coquines, mais n'en dort pas plus ! Elle va lire jusqu'à qu'elle heure cette pétasse ? Et puis je décide d'aller pisser...

 

Quand je reviens, elle y va à son tour ! Chic cela veut sans doute dire qu'après, elle va se décider à éteindre.

 

- Dites donc espèce de dégueulasse, quand vous pissez sur le rebord de la cuvette, vous pourriez au moins essuyer !

 

Hein ? Qu'est-ce qu'elle raconte cette furie ? Et puis quand même ça m'étonne ! 

 

- Je commence à vraiment regretter d'avoir partagé cette chambre, s'il y a une malheureuse goutte de pipi, vous l'essuyez et vous me foutez la paix !

- Vous allez me faire le plaisir de vous bouger et d'essuyer ça, sinon je fais un scandale, ce n'est quand même pas moi qui vais nettoyer vos saletés !

- Et bien allez y, faites un scandale ! Et puis informez vous au lieu de dire n'importe quoi, l'urine n'est pas sale !

- Comment ça ? C'est propre peut-être ?

- Non seulement c'est propre, mais c'est stérile !

- Ah ! Vous aussi, vous défendez cette théorie, c'est la théorie des urophiles, ça ! Ca doit être un de vos trucs, je vous vois bien faire ça !

- Ce n'est pas une théorie, c'est une vérité scientifique !

- Peut être mais il n'y a que les urophiles pour en parler comme ça !

- Qu'est ce que vous en savez, vous en avez côtoyé beaucoup ?

- Non, mais j'ai eu le malheur de lire Françoise Rey ! Vous connaissez ? Reprend-elle soudain plus calme.

- Oui, et je trouve ça très bien !

- Ah oui ! Pratiquant ?

- Pratiquant de quoi ?

- Uro

- Ça ne vous regarde pas !

 

Quand même, c'est surréaliste, cette nana qui a lu Françoise Rey au point de se souvenir de son nom et qui cherche à savoir... À savoir quoi d'abord ? 

 

- Bon écoutez, je regrette sincèrement le ton que j'ai employé, mais je vous en prie soyez gentil d'essuyer ça, ça me gène !

 

Je me suis alors levé, pas tellement parce que la chose était demandée différemment, mais parce que d'un geste mécanique, elle venait de se débarrasser de son gilet.... la semi transparence de sa chemise de nuit me faisait apercevoir à présent le galbe de ses seins dont les tétons dardaient derrière le tissu. En me levant je passerais ainsi près d'elle et aurait la possibilité m'en mettre plein la vue...

 

Je me dirige vers la salle de bain. Mon inconnue reste sur le pas de la porte, elle ne se pousse pas.

 

- Pardon !

- Vous avez vraiment des gros tétons, vous ! Me fait-elle alors remarquer !

 

Que voulez-vous que je réponde ? Je fais un sourire amusé !

 

- Ils ont toujours été comme ça ?

- J'en sais rien, mais je suppose que c'est à force de me les faire tripoter !

- C'est impressionnant !

- Bon, je vais aller faire ce que vous m'avez demandé !

- J'aimerais bien vous poser une question ?

- Posez toujours...

- Ce n'est qu'un caprice, je ne voudrais surtout pas que vous vous mépreniez...

 

Qu'est ce qu'elle va encore me sortir comme bêtise ?

 

- Je vous écoute !

 

Je me force à ne pas regarder sa chemise de nuit en laissant mon regard à la hauteur de son visage, mais c'est dur !

 

- Je pourrais les toucher ! Demande-t-elle alors

 

Elle montre du doigt ce qu'elle désire toucher, afin que se soit bien explicite.

 

- Me toucher mes tétons ?

- Oui, juste un peu, je n'en ai rarement vu d'aussi gros chez un homme !

- Vous êtes consciente au moins de ce que vous allez déclancher ?

- Mettez vos mains derrière le dos, s'il vous plait ! Je vous dis, c'est juste un caprice !

 

J'obéis, bêtement !

 

- Je m'appelle Sonia, c'est comment votre petit nom ?

- Euh, on m'appelle Sylvain !

 

Ça y est, ses doigts enserrent mes tétons, je pousse un râle, elle accentue sa pression, ma bite dans mon slip se met à bander comme une folle, et je n'hésite plus à regarder l'arrondi de ses seins mal dissimulés derrière son vêtement de nuit.

 

- Vous bandez, Sylvain ! Constate-t-elle sans relâcher son emprise !

- Vous jouer à quoi en ce moment ?

- Vous allez le savoir dans un instant ! Enlevez moi ce slip, il est affreux, vous devriez vous achetez des caleçons c'est bien plus joli !

- Je l'enlève si vous retirez votre chemise de nuit !

- Tss Tss, si vous ne l'enlevez pas, j'arrête tout...

 

Elle retire ses mains. 

 

- Et à mon avis, dans ce cas, vous allez avoir de sacrés regrets !

 

Que faire ? Cette garce est en train de me dominer, je retire mon slip.

 

- Pas mal, j'en ai vu des plus belles, mais pour ce que je veux faire ça conviendra très bien !

- Et vous voulez faire quoi ?

- Ha ! Ha ! Et bien depuis que j'ai lu Françoise Rey, je me suis découvert quelques fantasmes, je crois que vous allez pouvoir m'aider à en réaliser un ! Est-ce que ça vous plairait de me regarder uriner ?

 

Je rêve !

 

- Bien sûr !

- Alors on va le faire, je vais pisser, et vous vous aller vous masturber, vous masturber à fond, quand ça va venir je veux que vous m'aspergiez le corps, le corps, hein, pas le visage, de votre sperme et après vous me nettoierez avec un gant et du savon ! Ça vous va ?

- C'est dingue !

- Qu'est ce qui est dingue ?

- La situation !

- Ne vous en plaignez pas ! Alors d'accord ? 

- Oui, mais on pourrait peut-être améliorer le scénario !

- Non, c'est mon fantasme, il est comme ça ! Et on ne fera rien d'autre ! On y va ?

 

Elle retire sa chemise de nuit, elle est magnifique, ses seins sont ronds à souhait et la rotondité de leur chair reflète divinement la lumière sur leur peau laiteuse. Elle s'installe sur la cuvette, très en arrière, sa chatte brune et modérément poilue s'ouvre !

 

- Allez branle-toi, ma salope ! Viens plus près !

Jessica05.jpg

Comment qu'elle me cause ! Les premières gouttes tombent dans la cuvette, suivi bientôt d'un flot ininterrompu, quel dommage qu'elle n'ai pas écouté mon propre scénario, ce pipi, comme je l'aurais reçu volontiers dans la bouche.

 

- Allez dépêche toi, je veux te voir gicler !

 

Je me branle comme un malade, tandis qu'elle termine de pisser ! Comme j'aurais aimé lui nettoyer la chatte avec la langue ! Elle se passe la main sur le corps, se tripote les seins, se tortille les tétons. Je n'en peux plus, je jouis, mon sperme atterrit sur sa poitrine et sur son ventre !

 

- Aucun contact avec tes mains, juste le gant !

 

Cruelle, mais l'excitation est quand même pas mal retombée ! Je mouille un gant, l'ensavonne, et lui passe sur les endroits pollués, une première fois, puis une deuxième fois pour rincer. Elle ne fait aucun commentaire, elle a la main droite enfouie dans sa chatte, en train de se frotter le clitoris de façon frénétique, ses yeux sont clos, je ne sais pas à quoi elle pense, sa main s'agite de plus en plus vite puis elle finit par étouffer un râle avant de retomber affalée sur la cuvette, de grosses gouttes de sueur sur le front !

 

- Je suis bien contente, depuis le temps que je trimbalais ce fantasme ! Bon maintenant dodo !

 

Je me nettoie la bite au lavabo, pendant que madame vérifie si je l'ai bien dépolluée...

 

- Tu fais beaucoup de déplacements ? Demande-t-elle !

- Oui pas mal depuis mon divorce !

- Tu as du en avoir des aventures ?

- Pas tant que ça, mais c'est vrai que j'en ai eu !

- Des femmes, des hommes ?

- Des femmes !

- Tu es hétéro exclusif ?

- Exclusif, c'est un grand mot, mais j'aime tellement les femmes ! Mais je n'ai rien contre les homos.

- Un mec à poil, ça ne te fait rien ?

- Rien du tout !

- Et une belle bite !

- Ben, on en voit pas souvent se balader dans la rue... Répondais-je

- Je vais te dire un truc, quand tu t'es déshabillé j'ai flashé sur tes tétons, mais ce n'était pas parce que je les trouvais jolis, bien qu'ils aient leur charme...

- Merci...

- Non ! En fait, je me suis dis : un mec qui se les fait tripoter à ce point c'est forcément un soumis, c'est une copine qui m'avait appris ce truc, et ce qu'il y a de bien avec les soumis c'est qu'ils aiment un tas de choses. Je t'ai provoqué sur l'uro pour savoir si ça te branchait, en principe il suffit de dire que le pipi c'est sale, si le mec est urophile, il va sortir sa science... Je suppose que tu n'aimes pas que ça, un petit gode dans le cul, ça ne te déplait pas, je suppose ?

 

- Je ne suis pas contre, mais...

- Pourquoi faut-il que les mecs s'en défendent toujours, tu l'a fais oui ou non ?

- Oui !

- Et ça t'a plu ?

- Ça ne m'a pas déplu !

- Bon, on va se coucher, si demain matin, je suis en forme, je t'encule.

- Demain, je pars de bonne heure ! Concluais-je. Allez, bonne nuit.

 

Cette fois, je trouve le sommeil rapidement...

 

Le lendemain matin, je suis réveillé le premier, je lambine un peu au lit, repensant à sa "promesse" d'hier soir ! Pour un peu je me demanderais si je n'ai pas rêvé, tellement le comportement de cette femme avait été étrange. Je décide au bout d'un moment de me lever, l'envie d'uriner me montant à la gorge.

 

- Stop !

 

Ce n'est pas vrai, elle est réveillée !

 

- Vous êtes réveillé ? Demandais-je stupidement.

- Non, vous voyez bien que je dors encore, je suis somnambule ! Plaisante-t-elle.

 

Tiens, elle me vouvoie de nouveau...

 

- J'espère que ce n'est pas moi qui vous ai réveillé.

- Non ! Mais n'allez pas dans la salle de bain, s'il vous plait.

- Pourquoi ? Il y a un cadavre !

 

Elle se lève, elle a des petits yeux cernés, mais ce ne sont pas ses yeux que je regarde, mais les seins dont les pointes dardent comme la veille, en dessous du déshabillé.

 

- Dites donc vous assez une de ses triques ce matin !

- Oui, et une grosse envie de faire pipi aussi...

- Il n'en est pas question !

- Pardon ?

- Vous allez m'aider à accomplir un autre fantasme, j'y ai pensé hier soir...

- Oui, ben on verra ça plus tard, là je ne tiens plus...

- Je vous demande juste trente secondes...

- Mais...

- Mais tu vas m'obéir, oui ! Rouspète-t-elle.

 

Ce brusque changement de ton a pour effet de me figer sur place. Sonia balance alors son vêtement de nuit et se dirige toute nue vers la salle de bain en me demandant de la suivre... Je lui emboîte le pas et voilà qu'elle s'accroupit dans le carré à douche, les jambes très légèrement écartées, les bras détachés du corps, le visage redressé.

 

- Pisse moi dessus !

- Hein ?

  C'est un ordre !

- Vous alors...

- Ben qu'est ce que t'attends, je croyais que tu avais une envie pressante ?

- Je bloque un peu... ce doit être psychologique !

- T'as plus envie !

- Si mais je n'y arrive pas !

- Attends je vais t'arranger ça...

 

Elle se relève, va chercher son sac, fouille à l'intérieur, en sort une espèce de stick de déodorant, le truc doit faire deux centimètres de diamètre 25 centimètres de long, elle farfouille encore et sort cette fois un préservatif dans lequel elle enferme le machin ! Elle est complètement folle ! Elle n'a pas tout de même l'intention de me foutre ça dans le cul ! Pour désamorcer, j'essaie de me concentrer sur mon envie de pisser bloquée. Je sens que ça va venir. Je le lui dis.

 

- Non, c'est trop tard, tu te retiens ! Mets toi sur le lit, à quatre pattes et le cul tendu !

- C'est que je n'ai pas trop envie de faire ça !

- OK ! dit-elle.

 

Ouf ! Mais son acquiescement n'était qu'un leurre, voici qu'elle se dirige vers la chaise où j'ai laissé mon pantalon, d'un geste rapide elle en défait la ceinture ! Je la regarde ébahi alors qu'elle en fait claquer le cuir !

 

- Tu es mon esclave ! Tu as compris ? Pas pour très longtemps, parce qu'il va falloir que je reparte, mais même si ça ne dure que dix minutes, je suis ta maîtresse ! D'accord ?

- D'accord ! M'entendis-je prononcer

- Tourne-toi !

 

Et voila qu'elle me cingle les fesses ! Je ne me rebelle même pas, j'encaisse en silence tandis qu'un deuxième coup tombe... Heureusement cela reste mesuré... et après une dizaine de coups, elle m'indique de nouveau le lit en m'intimant l'ordre de m'y rendre dans la position demandée plus avant... Je ne proteste plus, j'y avais et j'attends, j'ai envie qu'elle me rentre son tube de machin dans le troufignon, la seule chose que je craigne c'est que je me mette à pisser et que j'arrose le plumard à tout va...

 

Le truc rentre, elle l'agite, mais tout mon être est dominé par cette envie d'uriner qui refuse de passer au second plan. Autrement dit son introduction anale ne me fait ni chaud ni froid... à ce point que je me vois obligé de lui dire... Elle n'est heureusement pas idiote et se doute bien que si elle ne cesse pas elle-même, je ne vais pas m'éterniser sur ce lit dans ces conditions.

 

- T'es prêt ? Me demande-t-elle de confirmer.

- Je pense, oui !

 

On se précipite dans la salle de bain où elle reprend sa position, assise dans le carré de douche... Je vise et ça part tout de suite ! Je lui arrose les seins, le ventre, les cuisses...

 

- C'est bon c'est chaud.... Je suis une vraie cochonne ! Commente-t-elle

 

Je continue, j'ai l'impression de ne jamais avoir pissé autant de ma vie, je fais des petits mouvements pour asperger toutes les parties de son corps, j'évite simplement le visage, espérant jusqu'au dernier moment quelle me demande de le viser, mais elle ne fera pas.... 

 

J'espérais qu'à la fin nous nous orienterions vers des plaisirs plus classiques, mais non, mademoiselle me déclare qu'elle va maintenant prendre une vraie douche, et elle ferme le rideau.

 

Me voilà comme un con, elle me parle, mais le bruit de l'eau fait que je ne comprends rien à ces paroles. Tant pis, j'attends négligemment que Sonia ai terminé ses ablutions.... Mais elle est longue, trop longue, je ne bande même plus. Je finis par entendre un curieux petit cri qui couvre le bruit de l'eau qui coule... Mademoiselle vient de se donner un petit plaisir solitaire... 

 

Enfin la voici qui sort, elle s'entoure le corps d'une large serviette...

 

- Allez retourne sur le lit, je vais te finir le cul ! Déclare-t-elle

- C'est que...

- C'est que quoi ? Tu ne veux plus jouer avec ta maîtresse ?

 

Ben si je veux bien jouer, mais j'aurais tellement préféré autre chose... Et voilà qu'elle me ramone le cul, et voilà que je me pâme, et voila qu'au bout de quelques minutes, je mets à jouir de façon bizarre, sans saccades, et que je m'affale épuisé sur la literie.

 

Elle ne fait aucun commentaire, déjà elle commence à se rhabiller... Je vais prendre à mon tour une douche.... Quand j'en sors à poil, Sonia est rhabillée, prête à partir.

 

- Voilà, je vous attendais pour vous dire au revoir ! Merci pour tout, me dit-elle avec un joli sourire.

 

Mais pas de bisous, même pas une poignée de main, rien...

 

- C'est moi qui vous remercie ! Balbutiais-je, me demandant si je n'avais pas rêvé cette rencontre insolite....

 

Et puis une idée, le petit déjeuner est compris, si je me dépêche je peux la rejoindre dans la salle à manger. On ne va pas se quitter comme ça ! J'ai un prétexte pour la rejoindre puisqu'elle a oublié de me reparler de la photocopie de la note d'hôtel... Je m'habille à grande vitesse, descend, la cherche... elle n'y est pas... Sonia a déjà disparu de ma vie...voilà qui me fera un souvenir, une belle anecdote que je ne raconterais à personne... qui me croirait ? Même pas vous je suis sûr !

 

Nicolas Solovionni Octobre 2006

 

Ce récit à eu l'honneur d'être nommé 3ème meilleure nouvelle pour 2006

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 22 juillet 2006 6 22 /07 /Juil /2006 16:43

Me faire prendre par ma maîtresse

par Grenouille et Sylvain Zerberg

 

Gode stamp

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Est-ce possible que je puisse raconter une histoire excitante ? J'en lis à l'occasion mais jamais je n'aurais cru que je vivrais quelque chose digne d'être raconté… et pourtant…. Lisez donc ce qui suit ; j'espère que cela vous excitera bien

 

Depuis plus d'un an, j'entretiens une liaison virtuelle avec une femme magnifique, grande, bien bâtie, des seins magnifiques, des fesses joufflues et une chatte ravissante. J'en ai fait la rencontre sur un site de chat internet. Elle m'a fait accomplir des actes très osés et provoquer des érections et des éjaculations inoubliables devant mon écran. Je me demandais si un jour nous pourrions passer du virtuel au réel.

 

C'est elle qui me l'a proposé, elle devait monter à Paris le jour de la St Valentin, et elle me promettait l'extase. Je l'ai donc retrouvé à la gare où nous nous sommes enlacés comme de vieux amants en pleines retrouvailles et avec une telle passion que nous aurions fait l'amour sur place sans se soucier des milliers de voyageurs autour de nous.

 

N'y tenant plus, nous nous sommes dirigés vers l'hôtel qu'elle m'avait demandé de réserver. Aussitôt la porte de chambre refermée et verrouillée, elle se transforma en vraie tigresse. Elle me déshabilla en un temps record et elle me projeta sur le lit. Elle se plaça entre mes jambes. À son regard, je n'arrivais pas à deviner quels supplices elle me réservait. Cependant, elle avait déjà saisi mon sexe entre ses deux mains et commençait à me branler, déterminé à m'amener au septième ciel.

 

Sa bouche ne tarda pas, me regardant prendre mon plaisir elle engouffrait ma queue au fond de sa gorge. Elle débutait un va-et-vient rythmé des mains et de sa bouche alternant rythme, pression et succion. À chaque instant où j'étais sur le point de jouir, elle créait une diversion qui m'empêchait d'exploser. Je n'en pouvais plus. Reprenant son manège, elle glissa une main sous mes cuisses et je sentais ses doigts me caresser les couilles. La petite coquine poussa plus loin ses caresses, ses doigts commencèrent à caresser mon anus et se faisant de plus en plus pressés. Elle appuyait de plus en plus précisément de façon à me pénétrer. Je soulevais une jambe afin de lui donner un accès plus facile.

 

Elle enduit copieusement ses doigts de lubrifiant et recommença ses caresses et introduit un doigt en moi, puis un deuxième. À ma grande surprise, je bandais comme jamais et plus elle me prenait avec vigueur plus la jouissance montait en moi.

 

- Tu aimes ça un doigt dans le cul ? Hein ?

- Oui, c'est bon !

- Je t'en mets deux maintenant, tu aimes !

- Oui !

 

Mon cul est en feu, ma bite au bord de l'explosion. Elle retire ses doigts et me les approche de ma bouche.

 

- Nettoie !

- C'est que, heu, ils sont sales

- Et alors ? Quand je te faisais mettre un doigt dans le cul devant ton écran, et que je te demandais de le lécher, ils étaient toujours propres ? Ou alors tu me jouais la comédie, tu ne léchais rien du tout. Si c'est ça, je serais très déçue, mais tant pis on s'arrêtera là !

 

Lui avouer que j'avais (un peu) triché devant l'écran m'est impossible, car la perspective qu'elle me plaque là et sans doute définitivement m'est insupportable. La seule solution est de me faire violence et d'entrer à fond dans son délire en espérant que l'amour que je lui porte et l'excitation de la rencontre m'y aidera. Je lèche donc ses doigts, longuement et complètement.

 

- C'est bien tu es un bon esclave ! On va pouvoir passer à la suite !

 

Elle va ouvrir son sac de voyage et en extrait un dildo en forme de pénis de taille comparable à mon sexe soit près de 18 cm avec un diamètre de 3 cm de diamètre. Elle lubrifie le dildo et m'ordonne de me placer sur le ventre les fesses en l'air. C'est alors que j'ai eu la surprise de sentir ses lèvres et sa langue sur mes fesses. Sa langue caressait mon anus et je la sentais me pénétrer. Quelle merveille ! Malheureusement ça ne dure pas, et la voilà qui se met à me frapper les fesses, je me laisse faire, ce n'est pas désagréable, mais au bout d'une vingtaine de fessées je sens des picotements sur mon cul devenue rouge comme une tomate.

 

Elle prit le gode, bien lubrifié, et me l'enfonça. Il glissa dans mon cul sans résistance et elle le fit aller et venir dans un va-et-vient effréné.

 

- T'aimes ça que je te gode, le cul !

- Oui, c'est trop bon !

- Je sais que c'est bon, mais ça ne vaut pas une vraie bite !

 

Je sais que c'est l'un de ses fantasmes récurent, mais, je pense ne rien risquer en entrant dans ce jeu.

 

- Oui, maîtresse, il faudra que j'essaie un jour avec une vraie bite !

- Bien sûr, une bonne bite que tu aurais bien sucé avant !

- Oui, maîtresse !

 

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Elle me retire le dildo, la capote qui le recouvre est polluée de quelques taches aux couleurs douteuses, mais je me surprends à nettoyer tout ça quand elle me l'ordonne.

 

- Tu es un bon esclave, maintenant vient dans la salle de bain, il faut que me soulage.

 

Elle me fit me mettre sur le dos sur le carrelage froid, et elle se plaça au-dessus de moi en s'accroupissant au-dessus de mon visage et commença à pisser, elle me demanda d'ouvrir grand la bouche pour je puise la boire, et je recueillis plusieurs lampées au fond de mon gosier. Je me demandais quand et dans quelle condition je pourrais enfin jouir. Quand sa miction fut terminée, je la sentis pousser et ouvrir son anus.

 

- Non, pas ça !

- Arrête, tu en meurs d'envie, te faire chier dessus par ta belle maîtresse, tu ne m'a pas dit un jour que tu serais capable d'accepter ça pour moi.

- Si, mais…

- Tais-toi quand je pousse.

 

Un étron assez long descendit de son anus, se décrocha, je levais le menton, pour ne pas le recevoir sur mon visage et le reçut sur mon cou.

 

- Tu vas maintenant me servir de papier à cul, tu me nettoies bien la chatte et le trou du cul, après tu vas te débrouiller pour me faire jouir et après seulement tu auras l'autorisation de jouir à ton tour.

 

Après m'être sommairement nettoyé, je lui nettoyais donc sa chatte pleine de pisse, puis son trou du cul merdeux, j'entrepris de lui exciter le clitoris, celui-ci dardé comme une petite bite ne demandait qu'à exploser, et je la fis jouir en moins de cinq minutes.

 

- A ton tour ! Dit-elle

 

Elle se plaça à quelques centimètres de ma queue et à quelques instants de ma jouissance m'avala jusqu'au fond de sa gorge où j'y déversai un torrent de sperme qui déborda tant que la quantité et la puissance étaient grandes. C'est à ce moment que je connu ce qu'était l'extase, la jouissance comme jamais je n'avais ressenti. Que demander de plus…

 

Elle sort son téléphone, compose un numéro t se met à parler :

 

- Allo, René, oui, je suis à Paris, à l'hôtel B… Je suis avec un petit soumis très mignon qui aimerait bien sucer une bonne bite et se faire enculer… Tu peux venir, c'est la chambre 43…

 

Elle raccroche

 

- Il sera là dans une demi-heure, tu verras, sa bite est superbe, on va commander du champagne en attendant, me propose-t-elle.

 

J'aurais pu partir, non je suis là, trinquant avec une superbe femme et attendant sans aucune appréhension, ma première bite à sucer…

 

Fin

 

D'après un texte du même titre publié en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé Grenouille

 

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 18 juin 2006 7 18 /06 /Juin /2006 18:18

Rue Blondel

coin102

Un quart d'heure qu'on est là

A poil assis sur le bord du matelas

A causer de rien et de tout

Nonchalamment je la caresse partout

Je ne suis pas pressée

J'aime qu'elle me parle, elle le sait

Plus hardies deviennent mes mains

Enveloppent le petit globe de ses seins

Titille le téton brun

S'égarent sur sa chute de rein

Elle ne parle plus, se couche sur le lit

S'abandonne à mes caresses, sourit

Mes mains, ma bouche, ma langue sur son corps, sur ses fesses

Puis je pivote, nos bouches goûtent nos sexes

Son timide miel coule en ma bouche

Elle n'est pas sérieuse quand elle couche

Me parle du parfum de sa capote

On éclate de rire, on est bien sur la même note

....

Envie de jouir maintenant

Elle devient très pro, évidemment

J'éclate, la serre dans mes bras

Va-t-elle bondir hors des draps ?

Non, elle reste près de moi et me parle chiffon

Elle est merveilleuse, ma cendrillon,

Je reviendrais encore lundi prochain

Elle me demande si c'était bien ?

"C'était bien mais c'est cher", dis-je pour plaisanter

Elle ne répond pas, préfère m'enlacer

M'offre en prime le sourire de son visage

Encore une belle journée, pas très sage

 

Enzo (mars 2006)

blondel03.jpg

 

 

Ce texte a eu l'honneur d'être nommé Prix spécial poésie pour 2006 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Jeudi 8 juin 2006 4 08 /06 /Juin /2006 19:08

La légende du cuisinier du roi Thibault

par Ursulin Neveway

 

cochon

 

Oyez, oyez brave gens, la légende du cuisinier du roi Thibault...

 

Il était une fois, il y a très longtemps dans un petit royaume, régnait un jeune et beau roi répondant au nom de Thibault II, celui-ci avait succédé à son père Thibaut le premier mort d'une stupide overdose de tilleul.

 

Thibault II était homosexuel, ce sont des choses qui arrivent et que la noblesse tolère pourvu que cela ne s'ébruite pas. On conseilla donc au jeune roi de se marier afin de donner le change et on lui choisit la plus belle fille du royaume, la belle Héloïse.

 

Héloïse avait un visage d'ange, des yeux de sorcière, une poitrine de rêve, un cul de reine et une chatte de velours. Après la noce, le roi la délaissa et un valet fut mis secrètement à la disposition de la reine pour calmer ses ardeurs. Pour le reste de la cour et pour la population, le couple était censé s'entendre à merveille et histoire de respecter les mâles traditions, il fut bien précisé que toute main baladeuse sur le corps de la belle Héloïse serait puni au mieux d'une émasculation et au pire du gibet...

 

C'est bien ce qui embêtait Gaétan, le maître des cuisines de la cour. Celui-ci avait un fantasme : fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine de la jolie reine. Mais il savait ses chances nulles, il n'était pas assez viril pour cela, quant à employer la surprise, voilà qui aurait été fort suicidaire.

 

Mais Gaétan entendit parler d'un sorcier qui parfois fréquentait la cour, rendant quelques services particuliers à la famille royale. Alors un jour il trouva un prétexte pour lui offrir à boire dans une taverne de la ville, et sur le ton de la plaisanterie, lui confia son fantasme :

 

- Je donnerais fort cher pour embrasser les seins de la reine.

- Je peux t'arranger ça l'ami, répondit le sorcier, tu donnerais combien ?

- Euh, 1000 pièces d'or ! répondit Gaétan, alors qu'il ne les possédait guère

- Tapes là, affaire conclu et cochon qui s'en dédit

 

Le jour suivant, le sorcier fabriqua une lotion urticante et en versa un peu dans la chemise de la de la reine pendant qu'elle prenait un bain. (Dans la chemise, pas dans le soutien-gorge, ça n'existait pas le soutien-gorge à cette époque !)

 

La reine après s'être fait sécher par deux laquais aveugles, s'habilla... Peu de temps après, la démangeaison commença.

 

- Mais qu'on donc mes nichons à me gratouiller ainsi ? s'écria-t-elle fort agacée.

 

Et comme le gratouillement augmentait d'heure en heure, c'est fort énervé qu'elle se confia au roi

 

- Messire, j'ai les nibards en feu !

- Voilà qui est nouveau, d'habitude se serait plutôt votre minette !

- Je ne rigole pas, regardez vous-même l'état de mes mamelles ! dit-elle en se dépoitraillant.

- Mais je ne vois rien de spécial, ma chère, et si cela est un stratagème pour me faire bander, et bien c'est raté, vous savez bien que je ne bande que pour les beaux culs masculins !

- Sire, mandez moi sur l'heure votre sorcier préféré, il aura sûrement un remède.

- Que nenni ! Débrouillez-vous !

- Souhaitez-vous que je révèle à tout le monde vos penchants ?

- Bon, bon, il suffit de le demander gentiment ! concéda le roi

 

Le sorcier, appelé en urgence, et qui était loin d'être un saint en profita pour bien peloter les seins de la belle avant de rendre son verdict :

 

- Je ne comprends pas comment la reine a attrapé ça, sans doute un très puissant génie l'a-t-il envoûté à distance ?

- Je ne veux pas savoir comment elle l'a attrapé, je veux savoir comment elle peut guérir.

- Il faut de la salive de Jupiter ! Avec une application de quatre heures !

- C'est quoi ça ?

- Seul environ un homme sur mille possède cette particularité dans la salive. Réunissez tous les hommes qui travaillent à la cour, je vais faire des tests, avec un peu de chance nous trouverons l'oiseau rare ici même !

 

Queen48.jpg

 

Bien sûr le faux test était destiné à sélectionner Gaétan : Celui-ci se mit l'antidote que lui avait donné le sorcier dans la bouche et pendant les quatre heures suivantes il lécha et suça passionnément les seins magnifiques de la reine Héloïse, se régalant de ses tétons et s'enivrant de la douceur de la chair des royales mamelles

 

Au bout de tout ce temps, il alla se soulager dans un coin tranquille... il fallait maintenant trouver un moyen de faire patienter le sorcier qui attendait ses 1000 pièces d'or...

 

Mais voilà, un sorcier ça ne sait pas attendre et son paiement il le voulait de suite...

 

- Lundi tu seras payé ! Tergiversa Gaétan

 

Mais le lundi, il n'avait toujours pas l'or. Il tenta de renégocier un délai...

 

- Tu as trompé ma confiance, ne t'étonnes pas si tu es victime d'un mauvais sort dont tu ne pourras te débarrasser qu'en me payant le double de ce que tu me dois...

- C'est ça, c'est ça... répondit Gaétan, peu rassuré en fait.

 

Le sorcier mit alors en œuvre sa vengeance, le lendemain il versa un peu de crème urticante sur le devant du caleçon du roi Thibault II.

 

- Saperlipopette, mes couilles me gratouillent, ma bite me pique... Aurais-je à mon tour attrapé la même malédiction que mon épouse ?

 

Mais le roi n'était point sot, il se souvint de l'adage qui dit qu'aux mêmes mots, il faut appliquer les mêmes remèdes... et il convoqua Gaétan, lui ordonna de venir lui sucer le dard et les roubignoles pendant quatre heures.

 

En chemin le sorcier le guettait derrière un pilier :

 

- Tiens voilà de l'antidote, il faut qu'il guérisse, sinon il va te faire pendre, et je pourrais dire adieu à mes 2000 pièces d'or... mais si je ne les ai pas demain je recommence...

 

Le sorcier croyait bien avoir humilié le chef des cuisines, mais ce qu'il ignorait c'est que ce dernier était bisexuel et qu'il ne répugnait pas à sucer de temps à autre une jolie pine.

 

Aussi quand il découvrit le superbe engin dont était pourvu le roi, c'est avec délectation qu'il le lécha, le suça, tant et si bien que le roi éjacula avec fracas et le remercia avec émoi.

 

- Tu suces divinement, et je crois que tu m'as guéri, j'ai bien envie de te garder près de moi, comme amant officieux... J'espère bien sûr que tu ne détestes pas un bon dard dans ton cul de temps à autre...

- Sire ce sera un honneur, je ferais tout ce que vous me demanderez, j'ai juste une affaire à régler en ville qui me tracasse un petit peu et ensuite ma bouche et le trou de mon cul seront entièrement à votre disposition.

- Et quelle est donc cette affaire ?

- Disons que j'ai besoin de 2000 pièces d'or...

- Voilà qui n'est pas un problème, je me reculotte et je vais demander à mon chambellan qu'il te donne cette somme... après va vite régler cette dette et reviens vite, mon braquemart rêve déjà de tes fesses...

 

Moralité : Heu....

 

 

Ursulin Neveway... 6/2006

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Vendredi 18 novembre 2005 5 18 /11 /Nov /2005 18:10

L’arrière-boutique du libraire

par Enzo Cagliari

 

Stamp uro

 

 

Patrice mon vieux copain aura 50 ans dimanche, je suis invité à son anniversaire, il est comme moi passionné d'érotisme et pas mal obsédé. J'ai donc eu l'idée de lui rechercher un cadeau qui soit très coquin mais qui ne choque pas outre mesure son épouse laquelle sans être coincée n'en reste pas moins une femme très réservée.

 

En flânant sur Internet je tombe sur une très curieuse assiette décorée. On y voit une femme en train de s'exhiber en urinant devant un homme qui se masturbe en profitant du spectacle. Je me renseigne, l'objet en est en vente dans une libraire du 5ème arrondissement.

 

Une assiette en librairie ? Bizarre, mais bon, pourquoi pas ? Elle est un peu trop osée pour l'offrir à mon ami devant son épouse, mais je pourrais toujours le faire discrètement, et puis peut-être que dans cette boutique il y a d'autres choix, sans doute un peu plus sages....

 

Ce jeudi, en sortant du boulot, un coup de métro et me voici devant cette librairie où règne un indescriptible fouillis dans la minuscule vitrine mal éclairée. Mais rien d'érotique ni même de coquin. Je vérifie avec la copie faite sur mon imprimante... C'est bien là. Mais c'est fermé, effectivement je n'avais pas fait attention, un petit post-it est collé sur la vitre : "de retour dans vingt minutes"

 

Bon je patienterai d'autant que j'ignore quand ont commencé ces vingt minutes, je repère un petit square à cinquante mètres et je décide d'aller m'y asseoir en attendant.

 

Coup de fatigue, normal je me couche trop tard tous les soirs, j'ai piqué un somme, j'espère que le libraire est encore ouvert, je me précipite. Oui c'est bon. J'entre !

 

Un type chauve à lunettes et pull-over gris est assis devant une table, il lit un bouquin et prend des notes :

 

- Bonjour ! J'espère ne pas me tromper d'adresse, j'ai vu une assiette sur Internet...

- Ah l'assiette avec la femme qui fait pipi ?

- Oui !

- Pas de chance, je l'ai vendu ce matin !

 

Catastrophe !

 

- Euh ! Vous n'avez rien dans le même genre ?

- Si ! Si ! Ici on trouve toujours son bonheur ! On a quelques bricoles dans l'arrière-boutique, mais là j'attends un coup de fil, je vais dire à Josiane de s'occuper de vous...

 

Le bonhomme active un interphone :

 

- Josiane tu peux descendre ? J'ai un client pour l'arrière-boutique, il venait pour l'assiette avec la fille qui pisse, mais il veut bien voir autre chose...

 

Et voilà Josiane : La quarantaine, assez grande, mince, joli visage, beaucoup de classe, cheveux long méchés de blond, petit gilet blanc fermé assez haut, pantalon noir, 

 

- Voulez-vous bien me suivre !

 

Bien sûr que je la suis ! Elle ouvre une porte et nous voici dans un réduit qui doit faire 6 m² c'est-à-dire 3 mètres de long sur 2 de large. Les murs sont remplis de rayonnage, imaginez la place qu'il reste au milieu.... Elle attrape un carton à dessin :

 

- Là-dedans j'ai quelques gravures... c'était le côté uro ou le côté voyeur qui vous intéressait sur l'assiette ?

- Euh !

- Vous pouvez me parler librement, j'ai l'habitude avec les fantasmes des hommes.

- Ben, disons que j'aimais bien le côté uro !

- Il doit me rester une gravure, voilà...

 

Je regarde, le dessin est superbe, une bourgeoise en chignon entièrement nue mais parée de bijoux pisse dans la nature, une autre femme également nue la regarde faire, tandis qu'un homme allongé sur une serviette se masturbe en regardant la scène...

 

- Joli, dommage que ce soit un peu abîmé ?

- Si ça vous intéresse, je peux vous la faire reproduire, si vous voulez...

- Pourquoi pas ? Mais vous n'avez rien d'autre ?

- En uro pur, non, j'ai de la scato si vous voulez…

- Non…

- Vous avez tort, j'en ai de très excitants et même pas vulgaire, sinon j'ai des photos...

- Non, ça ferait combien pour la faire reproduire ?

 

Elle me dit son prix, c'est un peu cher, j'essaie de marchander, mais la belle est dure en affaire.

 

- Je vais peut-être voir ce que vous avez en photos, c'est de l'ancien ?

- On a de l'ancien, oui !

 

Je regarde, mais rien ne me branche vraiment, jusqu'à ce que je tombe sur un superbe cliché d'une fille aux fesses rebondies qui urine dans la bouche d'un soumis.

 

- C'est pas mal, mais pour offrir ça fait un peu léger... Commentais-je néanmoins

- Voyons, qu'est-ce qu'elle a de plus que les autres cette photo, humm c'est vrai qu'elle est pas mal... ça vous excite ces photos-là ?

- Euh !

- Ne me dites pas non ! Je serais capable de vérifier !

- Ne me dites pas des choses pareilles, je crois que justement que je serais capable de répondre "non" rien que par jeu !

- Et vous pensez que je me dégonflerais ?

- Je ne sais pas !

 

Et c'est alors que sa main se posa sur ma braguette !

 

- Ça bandouille, mais maintenant ça va bander pour de vrai !

- Arrêtez, si votre mari...

- Mon mari s'en fout, ou plutôt non, il ne s'en fout pas mais il me laisse faire ce que je veux, du moment que je lui raconte... et parfois il regarde...

 

Elle se met à me défaire ma fermeture-éclair, elle fouille dans le slip, me caresse la verge par-dessus l'étoffe de coton, puis finit par sortir mon sexe tout raide !

 

- Ben voilà ! Je savais bien que vous étiez excité !

 

Et elle me lâche !

 

C'était donc tout ! Je me disais aussi que c'était trop beau pour être vrai.

 

- Vous alors !

- Ben oui, je suis un peu nymphomane, quand un homme est excité je le sens, et parfois je ne peux pas m'empêcher de le provoquer...

- Il va falloir que je me calme maintenant !

- Faites comme sur la gravure !

- Me masturber... mais sur la gravure il n'était pas seul...

- Vous n'êtes pas seul, je suis là !

- Oui mais vous ne faites pas pipi ! Lui fis-je remarquer.

- Vous voudriez que je fasse pipi ?

- J'ai le droit de rêver !

- Chiche ! Dans quoi je pourrais-je faire ça... tenez cette caisse en plastique, vous allez m'aider à la débarrasser !

 

Je rêve ou quoi ? Il y a quoi au bout de cette proposition, un piège, un truc ? Toujours est-il que pour l'instant je m'affaire avec elle à vider cette caisse poussiéreuse. Puis Josiane avec une totale décontraction retire son pantalon, me faisant découvrir le magnifique string qui se cachait en dessous, et comme elle est légèrement de côté je peux profiter de la belle cambrure de ses fesses. Elle ôte ensuite le string, dévoilant une belle petite chatte rasée en ticket de métro.

 

- Déshabillez-vous ! Me demande-t-elle !

 

Espérant que cette incitation signifie sans doute qu'on ne se contentera peut-être pas d'une masturbation, je m'empresse de retirer mes vêtements...

 

- J'enlève le haut aussi ? demande Josiane

- Bien sûr !

- Tous les même les mecs, vous voulez toujours voir les poitrines des femmes.

- Ben oui, on est des hommes !

 

Toujours est-il que cette poitrine est absolument merveilleuse, bronzée naturellement, bien galbée, les aréoles foncées, les tétons érigés

 

Elle est nue comme un ver. Nous sommes tous les deux nus comme des vers dans cet exigu cagibi...

 

- Bon je vais pisser ! dit-elle en s'accroupissant au-dessus de la caisse en plastique ! Toi tu te branles mais prépare un kleenex, faut faire attention aux étagères !

Linie.jpg

Quel romantisme ! Josiane ferme les yeux, j'attends qu'elle commence à faire avant de m'astiquer. Je ne réalise pas, je suis tombé sur une nympho un peu bizarre, je ne vois pas d'autres explications. Quelques gouttelettes jaillissent maintenant de sa petite chatte, suivies immédiatement d'un jet puissant et odorant qui fait un drôle de bruit en allant mourir dans la caisse en plastique. Je me masturbe donc, voilà qui me fera un souvenir ! Et je me régale du spectacle... mais tout à une fin, même son pipi, elle se relève avec une drôle d'expression dans la bouche. Je n'ai pas encore joui, peut-être va-y-elle me proposer autre chose ! Qui sait, une petite pipe ne serait pas de refus !

 

Et soudain elle gueule :

 

- Jérôme !

 

Oh, là là ! Je n'aime pas ça, je laisse tomber ma branlette inachevée, et vais pour récupérer mes fringues, mais horreur, elles sont derrière Josiane qui me barre le passage, quant à la porte de séparation elle est aussi derrière Josiane... Jérôme, le patron entre !

 

- Qu'est ce qui se passe ?

- C'est ce monsieur ! Dit alors la libraire, il a voulu se masturber devant moi pendant que je pissais, il m'a obligé à me déshabiller...

 

Je devais être à ce moment-là aussi blanc qu'un sac de plâtre...

 

- C'est un quiproquo...

 

Mais le mec ne m'écoute pas ! Il se saisit d'un martinet (d'où le sort-il celui-ci ?) et menace son épouse sans faire attention à moi !

 

- Espèce de salope, tu as encore fait ton numéro de pute en chaleur ! Donne-moi tes fesses !

 

La fille se cambre, l'autre la flagelle sans ménagement en essayant d'ajuster ses coups malgré l'exiguïté du lieu.

 

- Ah oui, vas-y fouette-moi, punis-moi, je le mérite ! 

 

Ses fesses commencent à se zébrer de rouge ! Je suis tombé en pleine mise en scène, j'ai eu peur, ça va mieux, je voudrais bien partir mais je ne peux pas passer... Jérôme a laissé tomber son pantalon.

 

- Et maintenant tu vas nous sucer tous les deux ! Lui dit-il

 

Elle ne se fait pas prier et embouche le gros machin raide du libraire avec un curieux bruit de gorge, elle le suçote quelques instants puis s'occupe de moi. Je ne tarde pas à rebander comme il faut, je la préviens que je vais jouir, et me finis dans le kleenex que je n'avais pas lâché ! Elle s'occupe à nouveau de son mari. Puis se tourne, cambre ses fesses et se laisse pénétrer le trou du cul en criant des paroles incompréhensibles telle une possédée ! L'affaire dure bien cinq minutes, puis les deux zigotos finissent par jouir, ils se font face et s'embrassent dans un grand élan de tendresse. C'en est touchant ! 

 

- Alors ça vous a plus le petit numéro de ma femme ?

- Ben, écoutez, il faudrait être difficile !

 

Mais l'homme est déjà reparti dans la boutique principale. Josiane me passe mes fringues et se rhabille aussi

 

- Bon alors d'accord pour la reproduction, on vous fait ça pour Jeudi prochain ? D'accord !

 

Je me vois mal marchander après ce qui s'est passé et j'accepte, je verse des arrhes, on me fait un reçu et je quitte la boutique....

 

Il fait nuit, qu'est-ce que je fous sur ce banc, l'heure... il est 19 heures, la librairie doit être fermée, je vais voir, effectivement le rideau de fer a été baissé. Je reviendrais demain. J'ai fait un drôle rêve, je m'envoyais la libraire nympho dans l'arrière-boutique... N'importe quoi.... Me voilà à faire des rêves érotiques en plein Paris dans un square ! Il va falloir que je me surveille. Bon direction le métro, je cherche ma carte de transport dans ma poche, je sens un bout de papier, je ne sais pas ce que c'est : je le lis :

 

"Avance sur commande d'une reproduction de gravure ancienne, 100 euros "

 

Oups !

 

Enzo, Novembre 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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