Dimanche 21 décembre 2003 7 21 /12 /Déc /2003 19:08

Vendeuse de chaussures

(version en rimes)

par Maud-Anne Amaro

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"Pour bien réussir dans la chaussure

Portez tout simplement

Un corsage dont l'échancrure

Laisse voir des trésors charmants.

Le client qui plonge dans l'ouverture

Grisé, dira " Ca y est !

C'est tout à fait ma pointure,

C'est exactement la forme qui me plait ! "

 

Tout le monde était content de mes services

Mais la boutique déménagea à Nice.

Alors, et toujours dans la chaussure

Je cherchais un autre emploi un peu plus sûr.

Au rayon des femmes, on me fit œuvrer,

C'est que ce n'est pas le même métier !

Une grande blonde en chemisier de satin

Voulu un jour essayer de beaux escarpins.

Lentement, elle dégagea son pied droit

Nous étions en été, il était nu comme il se doit,

Finement ciselé, la cambrure parfaite

Les ongles frais vernis, comme pour une fête

" Quel pied vous avez là, c'est une œuvre d'art ! "

Ne puis-je m'empêcher de m'exclamer, piquant mon fard.

" En principe ils plaisent bien ! " Répondit la cliente.

" Que la peau en est douce ! " Repris-je, innocente.

" Cela donne envie de les embrasser, pas vrai ? "

Me nargua l'inconnue me les approchant très près.

" Alors fait le vite, personne ne fait attention à nous "

Je ferme les yeux, embrasse le divin pied, à genoux,

Je ne peux me retenir de les étreindre davantage,

Je mouille à la vue de ces trésors, ne suis guère sage,

Je suce les orteils goulûment, mais sans aller trop vite,

Les traitants comme s'il s'agissait de petites bites.

N'y tenant plus, je porte ma main à mon sexe.

" Emmène-moi dans l'arrière boutique ! " Dit la belle, sans complexe

Nous y allons et elle se déshabille, elle est pressée.

Je lui embrasse les seins, et ses tétons érigés.

Je lui lèche la chatte, me régale de son odeur

Je lui baise les lèvres, avec une vive ardeur

A mon tour, je retire mes vêtements

Je lui place son pied sur mon sexe. Tranquillement

Elle agite son orteil sur mon clitoris érigé

Et la laisse m'exciter jusqu'à l'apogée.

Des sensations parcours mon corps

J'ai la chair de poule, mais j'en veux encore.

Je me fais branler par le pied d'une femme et n'ai point de honte.

Elle fait cela merveilleusement, je suis bien, et l'orgasme monte.

Je ne peux me retenir de hurler mon plaisir

 

Mes yeux s'ouvrent ravis devant son sourire

J'ai rêvé toute éveillée.

Nous sommes habillées

Et il n'y a pas d'arrière salle, pour les clients coquins,

Mais j'ai son pied dans ma main

La cliente essaie sa chaussure

"Je vais prendre cette paire dit-elle, c'est ma pointure !"

Elle part en me laissant sa carte.

Voilà que je deviens écarlate

Je sais alors que ce soir je la rejoindrais.

Et qu'avec elle je prendrais mon pied pour de vrai !

 

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Les 8 premiers vers sont extraits d'un chanson tirée de l'opérette assez déconnante " Dédé " qui connut un énorme succès à sa sortie en 1921 (musique de Henri Christiné, livret d'Albert Willemetz)

 

 

Maude Anne Amaro © 12/2003

Par Maud-Anne Amaro - Publié dans : Maud Anne Amaro
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Jeudi 27 novembre 2003 4 27 /11 /Nov /2003 18:33

Le nez de Myria 

adapté par  Marie-France V

 

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Adaptation de trois épisodes du "party des Boss", nouvelles parues (puis retirées) sur le site de Revebebe en 2000 et signées "Femme à frissons"

 

Ce que je vais vous raconter est arrivé en plein été.

 

On se présente : Je m'appelle Myria, j'ai 21 ans, je fais 1,60 m, 57 kg, cheveux noirs, yeux bruns, seins 90 C très ronds et fesses très fermes. J'ai un joli nez quelque peu allongé et un peu retroussé qui me donne un air très sexy et provocante selon mes collègues, alors qu'en fait je suis assez indépendante et d'un caractère très réservé. Après une liaison d'un an avec un copain, je suis célibataire et n'ayant pas les moyens de sortir, et bien je ne sors pas. J'aime bien la littérature érotique, (mais uniquement la littérature, pas le cinéma, pas les images, même si j'ai visionné quelques troublantes vidéos) ça me fait fantasmer pas mal et je considère la masturbation comme un passe-temps très agréable. 

 

Après pas mal de mois de galères. (Chômage, missions d'intérim inintéressantes et pour tout arranger un cambriolage dans le minable studio dont je suis locataire et au cours duquel on m'a piqué la quasi-totalité de mes affaires), j'ai réussi suite à une annonce à me faire embaucher en CDD (pour 6 mois renouvelables) dans une petite boîte multi activité (ils gèrent des librairies, des magazines (dont certains assez olé-olé), des sites Internet et même un club de vacances. Je m'occupe d'une partie des tâches administratives... un beau bordel. J'y suis depuis presque trois mois maintenant

 

Il règne une ambiance assez décontractée, mais on respecte mes réserves. Jusqu'à quand ? Au cours de l'entretien d'embauche, le patron m'a demandé si j'étais coquine ! J'ai répondu "un peu", et on est passé à autre chose, il n'y a pas eu d'autres allusions. Quand même je me suis étonnée de cette question.

 

Le patron, c'est Fabrice, un mec dans la quarantaine, brun, cheveux courts, très bohême et parfois assez rêveur, il parle doucement et connaît un tas de choses. Sa femme, Herma est une grande blonde avec un accent hollandais ou allemand, je n'ai jamais su, la voix est suave, le visage est doux et les formes sont harmonieuses.

 

L'autre jour, on me fait passer une carte sur laquelle mes patrons annoncent qu'ils organisent une partie genre barbecue dans leur résidence.

 

A priori, ça ne m'intéresse pas énormément. Mais ça n'a pas arrêté de la matinée... les collègues se consultent pour savoir qui viendra ou qui ne viendra pas à cette partie. Et je les entends parler de moi et rigoler un peu et là, comme j'ai le nez dans mon travail, j'entends qu'on vient près de moi et, levant la tête, je vois Flora, une collègue qui me dit 

 

- Et puis toi Myria, est-ce que tu viens à la partie ?

- Bin non, je suis désolée, mais j'ai du ménage à faire à la maison, je vis seule et j'entretien toujours la maison propre.

- Tu n'as pas envie de t'amuser avec nous, ton ménage peut quand même attendre un petit peu, non ? 

 

Une autre me dit alors :

 

- Allez Myria, viens, il y a une piscine, on va tous l'essayer la piscine des patrons.

 

Je finis par accepter. Et là je leur dis :

 

- Ok je vais être là, alors, mais je ne me baignerais pas car je n'ai plus de maillot, on m'a tout piqué !

 

J'espérais à ce moment que quelqu'un me proposerait de m'en prêter un. Ben non même pas !

 

L'après-midi Herma, la patronne, me convoque dans son petit bureau

 

- Myria, je vais être très franche avec toi, j'ai vu que les filles t'ont un peu forcé la main pour venir à notre partie. Je serais très heureuse pour ma part que tu sois avec nous mais je ne veux pas te prendre en traître...

 

Je lève le nez, ne comprenant pas où elle veut en venir, elle continue :

 

- Il y a de très fortes chances que cette partie tourne à l'orgie sexuelle. Si tu viens je veux que ce soit en toute connaissance de cause. Par contre si ne viens pas, tu es libre et je ferais taire celles et ceux qui pourraient te charrier pour ça !

 

Bon, alors au moins c'est clair, j'allais répondre que je resterais chez moi, mais elle n'avait pas fini.

 

- Entre nous, je ne pense pas que tu sois du genre "fermée" sur le sexe ? Non ?

- Ben je suis comme tout le monde !

- Alors ça peut être une expérience intéressante...

- Le sexe d'accord, mais de là à participer à une orgie...

- Il y a une ou deux garces qui voudraient bien te piéger, montre leur que tu es plus intelligente qu'elles ?

- Je ne comprends pas bien, Madame.

- Si tu viens, comme tu es nouvelle, elles vont essayer de s'amuser à tes dépends, ce qui les amuse c'est que tu te rebiffes, que tu te défendes, il ne faut pas le faire, il faut leur montrer que tu aimes ce qu'on te fais, elles vont être décontenancées, et en plus pour toi et pour les autres, ce pourrait être super excitant.

- Vous voulez que je me laisse chahuter par les autres sans rien dire ?

- Oui, d'une certaine façon, et je m'arrangerais pour que le jeu se retourne à ton avantage, pour que tu y retrouves ton compte

- Je ne sais pas.

- Il s'agit d'une sorte de domination, je suis certaine que tu as des dispositions pour cela, on va convenir d'un mot de sécurité comme dans les séances BDSM, si tu prononces le mot, tout s'arrête, j'y veillerais, tu peux avoir confiance en moi.

 

Je décidais de réfléchir un tout petit peu et retournais à ma place. Dingue ! On me demandait de faire semblant de me soumettre à deux ou trois excitées qui me prenaient pour une sainte-nitouche et qui voulaient me faire subir des sévices sexuels. N'importe quoi ! Je pouvais refuser, mais d'autre part j'avais confiance dans Herma. Me faire une telle proposition dépassait néanmoins l'entendement. J'étais vraiment tombée chez des dingues. Mais alors pourquoi alors que ma raison me disait de refuser, ma chatte se mouillait-elle d'abondance.

 

- J'accepte, Madame. Dis-je la voix tremblante.

- OK ! Je veillerais à ce que tout ce passe bien, viens m'embrasser, Myria.

 

L'embrasser... ah, bon ? Je m'approche d'elle prête à échanger un chaste bisou sur la joue, mais voilà que sa bouche se colle contre la mienne, que sa langue cherche à pénétrer dans ma bouche, que mes lèvres se libèrent, que sa langue s'agite ! Mon dieu, je suis en train de me faire embrasser par une femme et j'aime ça... les mains d'Herma me caressent, l'une d'entre-elles me pelote la poitrine au niveau du téton, je suis excitée comme une guêpe. Et puis elle stoppe tout.

 

- Je suis sûre que tout se passera bien, aie confiance ! Me précise-t-elle me laissant dans un drôle d'état.

 

Arrivée à la résidence de nos patrons, il y a quelques hommes et femmes qui sont déjà là. On m'offre à boire et je déguste tranquillement mon verre pendant que les autres invités du bureau font leurs entrées. Quelques temps passent et on discute entre nous tous, moi avec la patronne qui me demande si j'aime vraiment mon boulot, et je lui dis que c'est super malgré le fait que certains collègues me prennent pour une andouille. Elle me dit de ne pas m'en faire avec ça et de penser plutôt à faire la fête aujourd'hui. Je lui réponds qu'elle a bien raison.

 

Pour l'instant l'ambiance n'existe pas trop. Ils sont toutes et tous en train de siroter leur verre en attendant qu'il se passe quelque chose. Alors Herma après avoir cherché du regard le consentement de son compagnon précise à l'assemblée que la piscine est disponible, qu'elle est là pour qu'on s'en serve et que vue la chaleur extérieure un bon bain collectif ferait du bien à tout le monde

 

Spectacle incroyable, tout le monde ou presque se déshabille sans aucune pudeur. Certains (et certaines) revêtent un bas de maillot, aucune fille ne met de haut. Et tout le monde plonge dans l'eau. J'en profite pour admirer Herma, ma patronne qui entièrement nue donne son corps bronzée à l'eau. Elle a une très belle poitrine terminée par de jolis tétons longs et foncés.

 

Je suis hésitante, car l'argument de ne pas nager faute de maillot n'a plus aucun sens. Mais, bon j'hésite un petit peu et puis je me demande aussi quand ce que m'a décrit la patronne va se déclencher... En attendant je regarde tout ce petit monde bien assise sur ma chaise. Je suis habillée avec un pull court blanc en coton assez moulant et un short en jean. Ils ont l'air de tous s'amuser comme des petits fous et Herma me dit de venir au moins me faire tremper les pieds sur le bord de la piscine. Alors je m'avance et je m'assois juste sur le rebord et je fais faire trempette à mes petits petons dans l'eau.

 

Un petit groupe s'avance en nageant et m'arrose un peu. Du coup, on commence à voir la forme de mes seins à travers le gilet, et là, il y a plein de commentaires 

 

- Wow vous avez vu ? On voit presque toute sa poitrine à la sainte-nitouche !

 

Ils rient tous de moi, même Herma et son copain. Certains m'interpellent : 

 

- Viens, viens Myria, tu te sècheras plus tard. !

 

Ok je vais y aller ? Mais qu'ils arrêtent... 

 

- Arrêtez de me balancer de la flotte ! Mes fringues vont être toutes mouillées. 

 

C'est à ce moment-là que Flora, une autre fille et un mec s'avancent vers moi, m'attrape par les chevilles et me font glisser toute habillée dans la piscine. Evidemment ça fait rigoler tout le monde... Je comprends que le jeu a commencé, je leur balance une bordée d'injures et termine :

 

- Vous êtes vraiment trop grave ! Puisque c'est ça je vais me rentrer à la maison...

 

Tout le monde sait bien que ça n'a aucun sens sauf à rentrer à pied ce qui fait quand même un bout de chemin.

 

- Vous êtes qu'une bande d'enculés honteux ! Que je rajoute.

 

De la part d'une personne qui a une réputation de très réservée, l'assistance parait très étonnée. Je nage pour ressortir de la piscine et leur répète que je quitte à l'instant même cette partie de cons, mais je frissonne car il y a un petit vent qui s'est levé.

 

Je joue je le sais bien, si je veux vraiment arrêter ce cirque je n'ai que le mot de sécurité à dire, mais je n'en suis pas là... Seule Herma sait que je joue, peut-être Fabrice aussi, je n'en sais rien. Toujours est-il que ce dernier me voyant me diriger en hâte vers la grille d'entrée fait signe de ne pas me laisser partir, on me courre après, j'accélère et (ça ce n'était pas prévu) je m'affale sur le gazon. Du coup tout le monde me rattrape, on me porte par les jambes et par les bras... et plouf ! Nouveau plongeon dans la piscine !

 

Bon, je refais surface, je suppose qu'ils ne vont pas s'amuser toute la soirée à me foutre à l'eau parce que si c'est ça leurs jeux, je vais aller jouer toute seule ailleurs. Non apparemment on me laisse sortir, mais tout le monde est autour de moi

 

- Foutez-là à poil ! Ordonne Herma, on va la faire mouiller pour de vrai !

 

Le fait que ce soit la patronne qui intervienne me redonne confiance. Je me débats pour la forme, de toute façon vu le rapport de force je ne peux pas faire autre chose que de me laisser faire... Flora, la petite peste me prend par les cheveux et me renverse la tête par en arrière et d'autres me retiennent pendant que Fabrice, le patron m'enlève mon haut

 

- Foutez moi la paix, bande de cinglés, je veux partir d'ici, je vais porter plainte...

 

Herma semble apprécier mes talents de comédienne et me lance un clin d'œil ! Une fille, Laurence me prend la bouche avec ses mains et m'embrasse de force et en même temps me lèche le nez :

 

- Hum, il m'excite ton nez, il est trop beau, un vrai nez de salope. On va s'en servir plus tard... ha ha ha... 

 

Je ne cherche pas trop à comprendre. Je tente de me débattre encore, mais tous me retiennent par un endroit de mon corps. C'est qu'il y en a du monde, si j'ai bien compté il devait y avoir six mecs et neufs nanas. On m'enlève mon short, on me retire ma culotte, je me demande même si on ne me l'a pas déchiré. Bandes de sauvages ! Me voilà à poil au milieu de toute cette bande d'agités qui rigolent comme des imbéciles. J'ai l'impression que certains ont déjà abusé sur la boisson, ça me fait un peu peur... Si Herma s'y mettait aussi et perdait le contrôle de la situation, je me retrouverais dans de sales draps. Je jette un coup d'œil dans sa direction. Petit sourire imperceptible. Tout va bien.

 

Un mec s'approche, une bouteille de bière à la main. S'il veut me forcer à boire, j'arrête les frais. Je veux bien beaucoup de choses mais pas ça, je veux rester consciente de que je fais et de mon pouvoir de décision. Mais non, le type me verse le contenu sur le corps. Du coup en voilà quatre ou cinq qui entreprennent de me lécher pour récupérer le breuvage étalé sur mon corps. Ils sont dingues, ça me chatouille....

 

Herma s'approche de moi, me fout carrément la main sur ma chatte, et m'en caresse le duvet :

 

- Et si on lui enlevait ces poils, elle serait plus sexy, non ? Propose-t-elle à l'assemblée

 

Evidement je proteste, évidemment tout le monde est d'accord, alors on m'installe sur une très grande table de pique-nique et on m'y attache de force à l'aide de cordes. Je continue à protester. Du coup Flora me gifle en pleine figure pour me faire taire et.... 

 

Alors là c'est trop, je m'apprête à prononcer le mot de sécurité, mais Herma reprend la situation en main.

 

- Tu peux la gifler, mais pas si fort, conasse, tout cela n'est qu'un jeu, et si tu n'es pas capable d'y jouer, tu peux te tirer... 

 

Et joignant le geste à la parole, Herma balance une gifle à la fille, qui dépitée s'en va bouder dans un coin. Du coup je me calme...

 

Je regarde en même temps tout le groupe, les hommes et les femmes, tout le monde est nu, il y a deux filles avec d'énormes seins bien fermes qui se les font caresser par les gars, enfin bref ils se caressent tous. Là, je panique et je me demande ce qu'ils vont me faire et ce qu'ils me veulent ? Dans quel groupe de pervers suis-je tombée, mais il faut que j'avoue que je suis en même temps très excitée par ce genre de choses. Mais j'ai quand même très peur car je ne les connais que depuis quelques mois.

 

Alors la patronne s'éloigne quelques instants, puis revient avec un sac en plastique et dit aux autres de bien me retenir bien que je sois attachée assez solidement à la table. Et là elle sort du sac un rasoir qu'elle me passe sous le nez pour bien me montrer qu'elle va me raser au complet. 

 

- Et oui, ma cocote, tu vas voir, tu n'auras plus un seul poil sur le corps, haha ha....

 

Elle commence donc à m'appliquer un gant de toilette tiède sur le pubis, puis elle applique tranquillement de la mousse sur la chatte et elle me passe le rasoir très doucement et ça me fait un effet bizarre, même que je commence à mouiller, ça m'excite pas mal de me savoir retenue par les cordes devant tout ce groupe, et de me faire raser par ma propre patronne. Là, quand elle eut fini pour ma chatte, elle dit aux autres de me détacher et j'ai un petit espoir que tout ce cirque soit terminé ! Mais non, Fabrice, mon patron demande au groupe de gars et filles de me retourner de l'autre côté pour que sa perverse copine puisse me raser le cul. 

 

Ça doit être instinctif, bien que je n'aie raisonnablement pas grand-chose à craindre, je profite du fait d'être détachée pour m'enfuir. Evidemment on finit par me rattraper, je m'écroule par terre, j'ai un tas de gens au-dessus de moi pour m'immobiliser, on me remmène, on me fout quelques baffes au passage, mais je constate avec soulagement que les coups sur le visage et sur le corps restent volontairement raisonnables. Et bizarrement je me remets à mouiller de nouveau mais pas pour longtemps, car je suis replacée sur le ventre sur la table et Herma me remplit l'intérieur des fesses avec cette mousse à rasage et me rase aussitôt.

 

On me détache, on me fait asseoir puis allonger sur la pelouse. Je vois des bouteilles d'huile à bronzer circuler et effectivement je sens des mains qui m'enduisent le corps d'huile, beaucoup de mains se promènent partout sur mon ventre, mes cuisses, mes bras, mes jambes, mes seins qui deviennent tout durs comme de la roche tellement ils sont caressé et étirés et même giflés par des filles qui rigolent et me disent que je vais y passer et connaître une très grande jouissance, la jouissance de ma vie disent-elles.

 

Là on me prend par les jambes et on me les relève vers les épaules pour que l'on voie bien ma chatte et mon anus car j'ai les jambes très ouvertes. Et on verse de l'huile sur ma chatte et mon trou du cul et Herma me dit :

 

- Regarde, petite vicieuse ; comment tu es notre objet et comme tu nous fais de l'effet ! 

 

Et là elle pointe du doigt des gars bien bandés, d'énormes érections. Elle me masse l'anus et la chatte avec l'aide des autres du groupe. Malgré moi, je me sens plus relaxe et je laisse échapper un petit liquide de jouissance. Ma patronne s'en aperçoit et me traite de sale cochonne et me dit que je vais jouir au maximum et qu'ils vont me faire connaître les pires outrages, mais que cela m'apportera infiniment de plaisir...

 

Alors on me frotte la chatte et l'anus. Je voudrais faire une petite pause et me tourne sur le côté, offrant mes fesses à la vue du groupe. Bien mal m'en a pris car une fille se met à me flanquer une fessée assez violente, je me laisse faire. La fille lance un regard vers Herma, cherchant son approbation :

 

- Vas-y, fesse-là cette salope !

 

Alors l'autre ne se gêne plus et m'administre une fessée magistrale, j'essaie de me faufiler, mais on me retient. Et puis voilà qu'on me ramène sur la table et qu'on m'y rallonge de tout mon long. Une fille précise qu'elle veut me sucer les seins.

 

- Non, je ne veux pas que tu me touches, je ne suis pas une lesbienne !

- T'occupes pas de ce qu'elle raconte ! L'encourage Herma...

 

Alors la fille monte sur la table et s'installe sur mon ventre et commence à me prendre les deux seins à pleines mains et elle les étire, "pour que mes bouts soient plus longs" qu'elle dit, et moi je hurle de douleur, mais (oui) de plaisir en même temps. Elle tient mes seins et un gars et une autre fille me lèche et me mord les seins, alors que je suis retenue par la fille qui est sur moi. Là, ma patronne dit aux autres d'arrêter et elle me dit qu'ils vont tous me faire vivre d'énormes frissons, et que je ne suis pas prête d'oublier cette séance

 

Ils se mettent tous après moi, je précise ; il y a des gars qui me prennent chaque pied et me mordillent le bout des orteils et le dessous des pieds, des filles me prennent les mains et me mordillent tous les doigts et je sens comme passer des courants électriques dans chacun de mes membres. C'est merveilleux comme sensation et la patronne et son copain sont sur chacun de mes seins, d'autres me mordent et me lèchent l'intérieur des cuisses et même les genoux et en dessous aussi. On me lèche les aisselles, on me crache dans la bouche Wow que c'est bon ! Et des gars me lèchent le creux des oreilles et le lobe. 

 

Laurence, la belle rousse s'approche :

 

- Je vais te faire un truc assez rare ! Me dit-elle.

 

Qu'est-ce qu'il va encore m'arriver ? Me demandais-je.

 

- J'aime bien ton nez, tout à fait comme je les aime un peu allongé, un peu retroussé, un vrai nez de salope, en fait ! Je vais te le lécher.

- Non ! Tu es folle ou quoi ?

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Et là j'ai la bouche de cette salope qui me recouvre le nez en entier et elle me passe sa langue à partir du haut et elle fait le contour de chacune de mes narines à l'extérieur et ensuite elle me tire le nez avec ses dents comme pour l'allonger de plus belle, et elle va jusqu'à me rentrer sa langue dans les deux narines. Ensuite elle me dit qu'elle va me faire sentir un très bon aphrodisiaque qui va me donner envie de baiser, et là elle me passe les doigts en dessous et même dans mes narines pour que je les sente bien et je constate que cela sent l'anus et le sexe de femme. Je lui dis non, que je n'aime pas cela mais malgré tout, cela parvient à m'enivrer et je me mets à mouiller. Oui, elle a raison, sentir le sexe est le meilleur aphrodisiaque au monde... quant à cette sensation de se faire lécher et caresser le nez c'est quelque chose que je n'aurais jamais pensé à essayer. Qu'est-ce que ça peut être excitant tout ça !

 

Ensuite Laurence dit à deux gars de venir coller leurs sexes sur chacune de mes narines pour que je les respire bien et effectivement ils sentent vraiment le sexe et cela m'excite beaucoup et j'ai en même temps un certain recul mais la fille me dit de me laisser aller... 

 

L'un des deux sexes glisse imperceptiblement vers mes lèvres que j'entrouvre, et me voici en train de sucer un pénis bien raide... Je me demande si le type souhaite vraiment une fellation et surtout si on va me laisser la faire, mais apparemment oui, alors je m'applique j'humecte de salive le gland de ce mec que je connais à peine, jouant de ma langue sur son gland puis imprimant des mouvement d'aller et de retour dans mon palais. En même temps je sens une langue venir farfouiller ma petite chatte fraîchement rasée, je jette un coup d'œil, c'est Laurence, la rouquine qui est en train de me lécher, elle doit se régaler parce que avec toute la mouille que je suis en train de produire, il y a de quoi faire... Je reprends ma pipe, je sens soudain le sexe du mec atteint de soubresauts. Par réflexe je retire ma bouche, le type éjacule et gicle son sperme, j'en reçois sur le cou, sur le menton, sur la poitrine.

 

Mais voici Herma qui arrive mimant une grande colère.

 

- C'est quoi ce cirque ? Vous allez être punis tous les deux... Et toi Laurence, arrête de la sucer, elle ne mérite pas de jouir pour l'instant.

 

Elle reproche au mec (Serge) d'avoir joui trop tôt et en ce qui me concerne :

 

- Pourquoi tu n'as pas avalé ?

- Je ne sais pas, et ce n'est peut-être pas prudent !

- Au moins tu le laisses jouir dans ta bouche, après tu craches si tu veux. Pour l'instant nettoie-lui la bite avec ta langue, je te punirais après...

 

Je fais ce qu'elle me dit de faire et je nettoie le gland du mec gluant de sperme.

 

- Tu vas voir comment je punis les mecs ! Me dit ma belle patronne.

 

Ça n'a pas l'air de traumatiser Serge qui a l'air de s'attendre à ce qu'il va se passer. Tout le monde se rassemble en cercle. 

 

- Allez ! A quatre pattes ! Ordonne Herma à l'homme

 

Et j'assiste médusée à ce spectacle incroyable, moi qui avais plein de fantasmes mais qui n'était pas trop "sortie". Serge est là à quatre pattes au milieu du cercle, il attend un instant, puis c'est Fabrice, qui se met en face de lui, la queue presque bandée en lui ordonnant de le sucer. Le gars ne se fait pas prier et lui fait une fellation. Une courte, son but n'étant que de durcir le sexe, car quelques instants plus tard, Fabrice contourne l'homme, lui écarte les fesses, et après avoir introduit un doigt dans son anus "pour faire le chemin" et s'être revêtu d'un préservatif, il l'encule carrément sous les applaudissements du groupe. Je mouille comme une folle, qu'est-ce que ça peut être excitant deux mecs qui s'enculent ! Fabrice lime comme un forcené, le sang lui afflue au visage, Serge anone de plaisir, et bientôt ayant joui, l'enculeur s'écroule sur l'enculé provoquant une seconde salve d'applaudissements.

 

- A toi ! Me lance Herma.

 

L'espace d'une seconde je me demande si je ne vais pas moi aussi me faire enculer et suis prête à en accepter l'augure si l'engin pénétrant est de taille raisonnable, mais il ne s'agissait pas de ça...

 

- A genoux !

 

On y va, on y va ! Herma se positionne devant moi, le dos tourné, écarte ses fesses, m'exhibant son anus.

 

- Ton nez d'abord, après tu mettras ta langue !

 

Je crains de ne pas comprendre, elle m'explique mieux, elle veut que je lui caresse l'anus avec le bout de mon nez ! J'en ai pourtant lu pas mal de bizarreries, celle-ci je n'y aurais jamais pensé. Je fais ce qu'elle souhaite, j'ai un petit mouvement de recul.

 

- Ben oui, c'est un trou du cul, ce n'est pas une bouteille d'eau de Cologne !

 

Je me reprend, l'effluve reste supportable, enfin disons qu'on s'y habitue et puis le jeu commence à m'amuser, à m'exciter même, je fais du "frottis frotta" sur son petit trou, et de temps en temps je m'égare presque inconsciemment en lui faisant des petits bisous sur la peau des fesses, elle a l'air d'apprécier cette familiarité et me le fait savoir. Quand elle me demande de remplacer mon nez par ma langue, je n'ai plus aucune réticence, j'ai envie de lui faire plaisir et l'excitation m'aide considérablement. Elle finit par se retourner, c'était donc ça, sa "punition". Je la regarde, elle est belle, nos regards se croisent, il se passe quelque chose, je crois un moment qu'elle va m'embrasser, mais elle se reprend, elle s'adresse au groupe qui nous regarde :

 

- Bon, on pourrait avoir un peu d'intimité toutes les deux, occupez-vous, ce ne sont pas les chattes et les bites qui manquent à ce que je sache.

- Mais, Herma, ils ont bien le droit de regarder ! Proteste Fabrice.

- Bon, alors on se casse un quart d'heure ! Lui répond-elle.

 

Elle me prend alors la main et m'emmène dans un endroit un peu à l'abri des regards. J'avoue ne pas bien comprendre sa démarche.

 

- Myria, tu dois nous trouver bizarre, non ?

- Oui, un peu, mais ça ne me gêne pas trop, on va faire quoi après, ça donne faim tout ça !

- Tu ne perds pas l'appétit toi au moins... Mais dis-moi, Myria j'ai envie de faire pipi, j'aimerais bien que tu me regardes

- Que je vous regarde pisser ?

- Tutoie-moi ! Ça te gêne ?

- Non, j'ai déjà lu des trucs comme ça ! Je sais que ça se fait...

- Alors je ne vais pas me gêner, en fait je vais te dire une chose, Myria, la deuxième partie de la punition que je voulais t'infliger c'était de te pisser dessus, mais je ne voulais pas prendre le risque que tu refuses devant tout le monde, ils t'auraient à nouveau pris pour une gourde, et ça je ne l'admet pas, tu as parfaitement le droit de refuser quelque chose. 

 

Je la regarde, décidément cette Herma me plait de plus en plus, elle continue :

 

- Donc maintenant tu as ma proposition en main, je fais quoi ?

- Pisse-moi dessus Herma ! Pisse-moi dessus !

 

Je m'allonge sur la pelouse. Ma patronne me chevauche, c'est curieux de la voir comme cela en contre plongée, une belle femme ses longues jambes dorées, son petit ventre (mais non il n'est pas plat !) ses seins... Un jet dru interrompt ma contemplation, mon ventre est arrosé, une petite flaque insolite se forme au niveau de mon nombril. Herma remonte, elle arrose maintenant mes seins. 

 

- Sur ton visage, je peux ?

- Essaie, on verra bien !

- Ok, alors la bouche tu la fermes ou tu l'ouvres c'est comme tu veux, mais les yeux il vaut mieux les fermer.

 

Elle m'en fout partout, j'entrouvre la bouche par curiosité, c'est ni bon, ni mauvais c'est bizarre, mais je crois comprendre que ça lui ferait plaisir que j'en reprenne un peu. Gagné, sa miction terminée, elle me saute dessus, m'empêchant de me relever et me roule un patin d'enfer. On n'en peut plus, nos bouches sont collées comme des sangsues, nos langues se combattent farouchement, de la salive dégouline de partout. Je ne sais pas comment on s'est retrouvé en soixante-neuf toutes les deux, me voici dans la broussaille de sa chatte qui sent encore la pisse, je lèche, je hume, je me régale, je ne me reconnais plus. Et Herma qui m'excite le clitoris de sa langue, c'est trop bon, je mouille, bon dieu qu'est-ce que je mouille, je me sens venir, je suis obligée d'abandonner un instant le travail de ma propre langue, le plaisir vient, je le sens il arrive, il est là, j'éclate. J'ai les larmes aux yeux de bonheur, mais je me raisonne, je chialerais plus tard, il faut que fasse jouir Herma, je m'acharne sur son clitoris qui a grossi fièrement, je balance des coups de langue, je me rends compte à ce moment-là qu'une langue peut se fatiguer, on en apprend tous les jours mais il y des jours où on en apprend plus que d'autres. J'ai peur de ne pas y arriver, mais quelques minutes plus tard, elle se met à gémir, elle pousse des petits cris de plus en plus rapprochés, je sens son corps se tétaniser. Elle hurle, je dis bien elle hurle. Elle s'affaisse sur mon corps quelques secondes, puis telle une diablesse sortie de sa boite, se redresse, et alors que j'allais pour me lever, reviens sur moi et me propose à nouveau ses lèvres, nous mélangeons de nouveau nos bouches remplis de nos sucs intimes. Puis alors que je croyais le baiser terminé, elle me gobe le nez, le nez entier et se met à me sucer, elle me pratique une véritable fellation nasale, ce doit être une spécialité du coin ! Elle n'en peut plus, me le lèche et me le suce dans tous les sens, drôle d'impression, et finalement très excitant.

 

Le passage en italique est scato, vous n'êtes pas obligé de le lire

 

- Myria, j'aimerais faire quelque chose de très cochon.

- Quoi donc ?

- Si tu ne veux pas, je n'insisterai pas et on n'en parlera plus.

- Dis-moi.

- J'aimerais te chier dessus.

- Je ne suis pas prête pour ça… balbutiais-je.

- Je fais des jolis merdes, bien moulées. Tu ne m'as pas dit "non", tu viens juste de me dire que tu n'étais pas prête.

- Je ne sais pas Herma, tu m'as donné tant de plaisir…

- Laisse tomber, ce n'est pas grave.

 

Il faut savoir qu'en la matière (c'est le cas de le dire) je ne suis pas complètement béotienne, j'ai vu des vidéos, certaines franchement dégoutantes, mais d'autres où ces messieurs dames s'amusaient comme des fous, et puis une belle merde sortant d'un joli cul, j'ai trouvé ça troublant, mais l'idée de passer à l'acte ne m'avait jamais effleuré… Alors je ne sais pas ce qui m'a pris…

 

- Herma ! Vas-y, chie moi dessus.

 

Elle me chevauche, j'ai son cul au-dessus de mon visage. J'ai failli lui dire "non pas là", mais je ne l'ai pas fait.

 

Elle pousse, un boudin sort de son anus, il ne sent pas la rose, mais je peux faire avec, il s'allonge, je sens qu'il va tomber, alors dans un réflexe j'écarte mon visage.

 

Herma ramasse sa merde et s'en badigeonne le corps et le visage. Je ne sais plus ou j'en suis, je suis dans un autre monde. Elle va pour me badigeonner à son tour, je me recule d'abord avant de me laisser faire. Elle m'en fout sur le nez, puis le lèche.

 

- A toi !

 

Et sans aucune répulsion je lui ai léché son nez plein de merde. Cette femme m'a rendu folle.

 

Fin du passage caca

 

Il fallut bien qu'on finisse par se calmer, il fallut bien qu'on rejoigne les autres pour le barbecue, le vrai cette fois-ci. On est dans un drôle d'état, la merde, la sueur, l'urine, la mouille nous collent à la peau, sur laquelle des brins d'herbes se sont agglutinés. Les maquillages ne sont plus qu'un souvenir... quant à la coiffure... En fait on n'est plus très présentables, on aurait besoin d'une bonne douche, mais on est heureuses toutes les deux et on revient vers les autres en se tenant ostensiblement par la main.

 

- Au fait Myria tu sais pourquoi on t'a embauché ?

- Parce que j'ai répondu " oui " quand on m'a demandé si j'étais une coquine

- Mais, non, c'est à cause de ton nez !

 

Novembre 2003

© 2003 - Adapté par Maîtresse Marie-France

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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Mercredi 5 novembre 2003 3 05 /11 /Nov /2003 19:37

L’odeur du cul d’Hélène par Caro01

scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE  SCATO EXPLICITE

Je suis une véritable salope. Je suis blonde, j’ai des jolis petits seins tout ronds, un visage plein de candeur, une chatte et un anus bien épilés, et un petit sourire mutin.

J’aime tout, je n’ai aucun tabou : sucer (de préférence plusieurs bites en même temps !), avaler, me faire remplir, me faire baiser par plein de mecs au cours d’une même soirée, me faire une bonne petite lesbienne en chaleur, la lécher partout… Je fais aussi dans la zoophilie, j’adore sentir la large langue d’un clébard sur ma chatte ou sur mon trou du cul. J’aime leur sucer la queue dégoulinante de liquide visqueux et bien sûr je me fais sauter par les deux trous, c’est génial.

Mais aujourd’hui j’ai envie de vous parler de scatologie, parce que j’adore ça aussi…

J’aime par-dessus tout qu’on me lèche le cul, qu’on écarte ma petite rondelle et qu’on enfonce sa langue le plus loin possible. Ce que je préfère, c’est quand une femme s’occupe de ce petit travail initiatique, avant qu’un mec avec une bonne grosse bite me remplisse complètement, touche ma crotte bien profondément (j’adore la sentir bouger dans mon petit cul), éjacule dans mon anus avant de me mettre sa queue marron de merde et blanche de sperme dans la bouche. Je la nettoie soigneusement, commençant par le gland, là où il y a le plus de merde, et engouffrant tout le membre au fond de ma gorge. C’est un vrai régal !

Un jour, je discutais de tout cela avec Hélène, une copine que j’avais dragué dans un bar à gouines. Une belle brune un peu forte avec des gros nénés. Elle semblait un peu étonnée à l’idée d’engouffrer une bite pleine de l’odeur de son cul dans sa bouche. En lui caressant sensuellement les cheveux, je lui répondis :

– Tu sais, un cul de femme, ça a une très bonne odeur…

Tout en parlant, je la pelotais, un peu partout, puis me concentrait sur son gros cul, tout en cherchant immédiatement son trou du cul sous sa jupe. Elle ne portait pas de culotte, cette grosse salope…

Tout en l’embrassant de toutes mes forces en remuant ma langue dans sa bouche, j’insérai d’un coup mon majeur dans son anus… Elle était un peu humide, mais pas tellement, et j’eus du mal à aller jusqu’au bout, j’ai beaucoup forcé, elle gémissait, un peu de douleur mais, surtout, de plaisir… Je retirai mon doigt légèrement couleur de merde et lui mis immédiatement sous son joli nez :

– Renifle l’odeur de ton cul, sale chienne…  »

Puis j’enchainais en introduisant mon doigt dans sa jolie bouche en lui disant :

– Nettoie mon doigt, lèche bien toute la merde !

D’abord un peu réticente, elle finit assez vite par apprécier et se délecta, elle passa deux bonnes minutes à nettoyer mon doigt. Je n’en pouvais plus, cette salope était vraiment excitante avec ses gros seins (95C), sa jolie chatte tout épilée, ses yeux innocents alors qu’elle était en train de goûter avec délice l’odeur de son petit trou…

Je la plaçai à quatre pattes sur le canapé, arrachai sa petite jupe et j’écartai ses fesses au maximum. J’eus alors une superbe vision, celle de son anus complètement écarté, avec quelques poils bruns et son odeur de chienne… Je le reniflai d’abord intensément : ça sentait la sueur, la merde et la mouille, car la jolie petite Hélène mouillait beaucoup désormais, sans doute grâce à cette position humiliante. Elle me livrait son intimité sans la moindre retenue, et sentait mon souffle sur son cul. Lentement, je passai ma langue le long de sa raie.

Elle gémissait de bonheur en me suppliant :

LesbianSlaves27

– Bouffe-moi le cul !

J’écartai encore plus son anus, écartelant sa rondelle, et je glissai ma langue le plus profond possible. Plus j’avançais ma langue, plus ma petite Hélène sentait la merde. Je lui humidifiai bien son petit trou, et j’insérai un doigt, puis deux (elle hurlait de plaisir). Elle n’en pouvait plus, elle était au bord de la jouissance. Je remuai mes doigts en elle, je touchai sa petite crotte, elle gémit à ce moment et jouit profondément.

Je ne voulais pas en rester là. Je retirai mes deux doigts et les lui donnai à lécher. A nouveau elle les prit dans sa bouche, les nettoya soigneusement, les sortant de temps en temps pour les sentir.

– Tu y as pris goût, espèce de chienne ! Lui dis-je en l’embrassant.

Sa bouche sentait la merde. Puis je lui enfonçai encore deux doigts dans le cul, qui était tout humide ; sa rondelle était complètement dilatée.

Elle m’encourageait à lui fouiller le cul, alors j’ajoutai encore un doigt, puis un autre, puis ma main entière que j’écartai complètement dans son cul, tandis qu’elle se branlait. Je saisis sa crotte et refermai mes doigts sur elle. Ma main était pleine de merde. Je la sortis du joli cul d’Hélène et étalais sa merde partout, sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche, dans sa chatte. Après quoi je la léchais intégralement, commençant par sa bouche, ses lèvres, ses joues toutes marron puis son nez. Quel plaisir divin de lécher un joli nez plein de merde !

Ensuite je lui léchais ses seins, puis sa minouche dans un soixante-neuf enflammé où elle avala ma jolie chatte épilée (tout en passant sa langue sur mon anus dont elle s’occupera bientôt…) et où je bouffai son vagin tout lisse avec de jolies traces marron.

Nous nous sommes ensuite échangé un long et profond baiser parfumé à la merde !

Depuis ce jour, Hélène et moi nous nettoyons l’anus dès que nous le pouvons, et j’avoue que j’ai du mal à me passer de l’odeur de son cul…

Caro, jeune salope.

 

Ce texte signé Caro a été publié sans mail de l’auteur en février 2001 par Revebebe qui l’a depuis supprimé) Il a été un peu rewrité pour la présente édition tout en en conservant l’esprit.

Par Caro - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 3 novembre 2003 1 03 /11 /Nov /2003 19:30

Tout va bien par Jill

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On s'était rencontrés chez des amis ennuyeux et nous étions sortis vite fait, bien fait pour eux. Sous le porche, il me caressa les seins et j'acceptai tout alors de lui. Il me dit simplement :

 

- Demain, on ira t'acheter des hauts talons. Rendez-vous sur la Place Julienne à 11 h, en jupe courte et sans rien dessous.

 

Bon, pourquoi pas ?

 

Quelques téléphones pour me décommander je ne sais où et me voilà à 11 h. sur la place, en jupe noire et corsage blanc. Rien dessous. Pas un mot de sa part; juste un regard et un geste d'une grande précision quand nous nous embrassons, pour s'assurer que j'ai tenu parole. Le magasin est petit, mais chic. Il m'invite à m'asseoir et cherche la vendeuse, qui revient avec une dizaine de paires de chaussures. Elle me met aux pieds la première, des hauts talons monstrueux, et, en se relevant, rougit. Elle a tout vu, et peut-être déjà tout compris. Je rougis à mon tour, bien incapable de cacher quoique ce soit à cette fille à mes pieds. J'essaie une seconde paire, qui semble me convenir, je marche un peu, mais peu habituée, je trébuche et je glisse. Cette fois, clients et patron ont pu constater que j'ai les fesses nues. Je suis étalée et ma jupe ne cache plus rien. Lui, ne s'occupe que de la paire suivante, qu'il savoure déjà. Mais quand je me retrouve assise, je panique un peu en voyant alors que tous les miroirs reflètent mon intimité. Comment ne m'en suis-je pas aperçue plus tôt ? Enfin, il est satisfait de ces hauts talons rouges en cuir. Je marche avec un peu plus d'assurance.

 

jardinier sexe

Dans la rue, l'air qui s'infiltre sous ma jupe, me donne encore plus l'impression d'être nue. Lui ne dit toujours mot. Un moment, il m'arrête, remet son lacet devant moi et me demande d'écarter un peu les jambes... Il est midi et il a décrété que nous avions faim. Restaurant, avec salle à l'étage. Je monte la première, un de ses doigts dans ma fente. On prend la table du fond. Aujourd'hui, lundi, presque personne. Un vieux qui lit son journal et deux femmes qui discutent de la dernière présentation de mode de Yiiiive Saint-Laurent. Lui, il me commande des radis aux beurres et il prend du canard à l'orange. Et de l'eau. Bien sûr, les radis, je les mangerai, sauf deux qui me combleront les deux trous, a-t-il décidé. Le deuxième rentrera avec du beurre. Pas un mot durant tout le repas; on dirait un vieux couple fâché. Il m'interdit d'aller dans ces WC qui lui semblent peu hygiéniques et me dit qu'on s'occupera de ma pisse un peu plus tard. Je ne sais comment m'asseoir, avec ce radis dans l'anus. Il me demande si j'ai un soutif. Je lui dis que non.

 

- Fais voir !

 

Je regarde les deux dames qui discutent et le vieux qui relève la tête. Je lui montre mes seins. Le vieux croit qu'il a trop bu.

 

- C'est bien, tu peux manger les deux radis qui restent et nous partons.

 

J'exécute vite, car j'ai vraiment envie de pisser. Les dames ont saisi quelque chose qui ne leur semble pas trop catholique.

 

Nous sortons, mais au passage devant lesdites dames, il me soulève la jupe et dit :

 

- Je vérifie, elle a souvent tendance à voler les petites cuillères !

 

Nous montons dans la voiture, suivis par des dizaines de regards ahuris. Nous roulons et il me dit :

 

- Une jupe noire et des chaussures rouges, ça ne va pas. Enlève-la !

 

Un petit parking dans la campagne, dans la rase campagne. Il s'arrête.

 

- Tu vas pisser ici devant la voiture, et debout. Tant pis pour les chaussures.

 

Je ne sors pas de la voiture; je regarde aux alentours. De temps en temps, passe une bagnole. J'ai trop envie et je me risque. Je tire sur mon corsage, pour qu'il me cache un peu, mais à quoi bon ? J'ai jamais fait ça, mais voilà, je pisse debout et presque fière, sauf quand une moto se profile à l'horizon. Cette urine me paraît interminable; le motard me salue, je termine et je rentre dans la voiture. Je peux remettre ma jupe...

 

Tout va très bien finalement. Beaucoup de peur et d'émotion, mais il va vouloir toujours plus. Je le sens. On revient en ville, on se gare devant un hôtel assez luxueux. Ce genre d'hôtel où je n'aurais jamais mis les pieds. Non, on n'a pas de bagage. Non, on ne reste qu'une nuit. Non, on n'a besoin de rien. Monsieur peut sonner. Monsieur sonnera. Mais avant, il m'installe nue sur le lit, et il m'attache avec les cordons du rideau, les jambes ouvertes, les clefs dans le sexe. Il sonne. On vient. Un jeune très poli et qui ne me voit pas tout de suite. Il lui crie de la salle de bain :

 

- Je ne retrouve plus les clefs de la chambre. Vous pouvez les chercher. Merci !
- Bien sûr, Monsieur !

 

A ce moment, il me voit, ce gringalet, il ne peut pas ne pas me voir, mais évidemment il ne se doute pas que les clefs... Il cherche sur tous les meubles, il cherche sur le tapis, en faisant comme si je n'existais pas. Mais dans un moment de contorsion, pour voir ce qu'il fait, je bouge et je fais sonner le trousseau de clefs. Il les découvre et reste interdit. Il bégaie et murmure à la fois.

 

- Elles sont là ! 

- Eh bien, donnez-les-moi, mon vieux et apportez-moi une vodka !

 

Le pauvre reste pétrifié. Je lui fais un signe pour l'encourager et il s'approche. Il tire un peu vers lui et elles viennent. Il les prend et les lui donne dans la salle de bain.

 

Quand il revient avec la vodka, je suis sur le ventre et j'ai les clefs dans l'anus... Le jeune tremble, mais il lui dit de regarder les clefs qui vont tomber de mon cul sur le tapis. A sa demande, je les chie. Il demande alors la chaussure du groom qui étonné, s'exécute. C'est pour une raclée. Il prend la chaussure noire bien cirée et me frappe sur les fesses, laissant des cris s'étouffer dans l'oreiller et des traces noirâtres et rouges pour me corriger. Il me fait mal, ce con ! Ça s'arrête un peu. Il me retourne et dit :

 

- Cette toison n'est pas hygiénique. On va raser tout ça demain. Vous en voulez un souvenir ?

 

Il va chercher des petits ciseaux et en coupe une bonne partie et il l'offre au groom qui se rechaussait. Celui-ci balbutie un remerciement et sort avec son trophée à la main. Lui continue à massacrer ma toison à coup de ciseaux, puis il m'installe sur la cuvette des WC et me pisse sur le pubis pour me débarrasser de tous les poils coupés. Son jet remonte vers mes seins et bientôt ma bouche qui s'ouvre machinalement. Je le bois et il bande bientôt comme un jeune homme. Je le garde dans ma bouche.

 

- Ce serait bien que tu chies maintenant en me faisant une pipe !

 

Le simple fait d'être assise dans cet endroit m'aide considérablement et je chie, et je pète et je rechie, et il me décharge dans la gueule à grandes giclées. Me voilà, la bouche pleine de foutre, la chatte dégarnie et le cul plein de merde.

 

Mais finalement tout va bien !

 

Jill

 

Ce texte a déjà fait l'objet d'une parution sur le web (revebebe - avril 2000) 

 

Par Jill - Publié dans : Années 1990
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Mercredi 29 octobre 2003 3 29 /10 /Oct /2003 09:04

Le facteur

par Nicolas Solovionni

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Le facteur !

 

La journée fut exténuante, avec toutes ces réunions...

Je décidais de rentrer directement à la maison

Sans doute Christelle m'avait-elle mijoté

Un petit plat comme j'adore les déguster ?

Un joli chemisier, elle est très en beauté ce soir

Son magnifique décolleté m'invite comme un espoir

- "Alors, Chérie, cette petite journée ?"

- "Le facteur a apporté un paquet.

Des cassettes de cul que tu as commandé

Ce n'était pas très discret, espèce d'obsédé !"

- "Ah, oui, je les avais gagné à un concours !"

"Menteur, n'essaie pas de me jouer un tour !

Au fait, nous avons un nouveau facteur,

C'est un antillais très bien monté, et à la hauteur !"

- "Comment peux-tu savoir une telle chose ?"

- " Je le sais parce que je l'ai sucé comme je te cause.

Et comme je cherchais un petit pourboire pour lui,

Il m'a dit que j'avais de la chance d'avoir un coquin de mari

Je lui ai dit que moi aussi j'étais une petite coquine

C'est alors qu'il m'a montré sa grosse pine,

Une belle colonne de chair toute noire et bien bandée

Un cylindre en chocolat, un délice bâtonné !"

- "Traînée, comment as-tu osé ?

Cours vite chercher le martinet !"

Elle y courre, me le ramène en vitesse

- "En position, tu vas voir tes fesses !"

Le jean tombe, pas la culotte elle n'en avait pas

Le premier coup tombe sur son fessier magnifique

Lui zèbre la peau, d'une ligne rose magique

Elle trépigne de surprise et de douleur

Le second coup claque, sans erreur

La traînée rougeâtre croise la première

Un troisième coup, Christelle crie. "Ah mon pauvre derrière !"

Mais rien ne saurait calmer mon courroux

On ne trompe pas ainsi impunément son époux !

Je tape, je tape, son cul est tout rouge comme un piment

Elle a dû en recevoir une cinquantaine à présent.

Je lâche le martinet, l'embrasse sur les lèvres

- "Super ton petit scénario, du travail d'orfèvre !

Ça m'a bien excité, j'ai une folle envie de faire l'amour !"

- "Mais tu n'as pas tout compris, tu es vraiment lourd

Ce n'est pas un scénario, c'est la réalité !"

A ce moment, la porte du salon s'ouvre avec célérité

Un grand black me salue, - "Bonjour Monsieur,

Je suis le facteur ! Jolie, cette séance de martinet sous mes yeux

Je suis à présent tout excité

Votre charmante épouse m'a expliqué

Que vous n'aviez rien contre le fait de vous faire enculer

Puis-je alors vous demander d'avoir la bonté de vous retourner ?"

 

Et que croyez-vous que je fis ? J'ai obtempéré

C'est vrai que ma femme est un peu compliquée !

 

mure_black4.jpg

 

nikosolo@hotmail.com

 

 

 

 

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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