DVD privé (L’initiation)
par Marie-France Vivier
J’ai 24 ans, je m’appelle Sonia, on dit que je suis plutôt jolie avec mes cheveux bruns coupés courts. J’ai de jolis seins qui répondent vite aux caresses. Pour le moment, je n’ai ni ami de cœur ni amant. Quand la tension sexuelle est trop forte, je n’hésite pas à me masturber. J’aime le sexe et j’ai beaucoup de fantasmes, j’aime sucer une belle bite bien bandée ou lécher une chatte bien juteuse J’adore flatter de ma langue un trou du cul accueillant, et s’il est un peu sale, je n’en fais pas une maladie, j’aime avoir un peu mal et supporte souvent des pinces à linges accrochées à mes tétons. J’aime aussi les jeux de pipi et quand je suis très excitée, un peu de scato ne me rebute pas. « Drôle de fille ! » direz-vous ! Je m’en fous, je suis bien dans ma peau. Et puis nous somme sur un site d’histoires érotiques…
Pour mes jeux sexuels en solitaire, je me suis rasé tous les poils du pubis. La plupart du temps, pour me masturber, je me frotte la chatte avec de l’huile de massage. Je peux me faire venir plusieurs fois en une seule séance de masturbation. Je peux faire l’amour avec moi-même deux ou trois fois par semaine, mais ces temps-ci, je me masturbe tous les jours en pensant à ce qui m’est arrivé un samedi après-midi. Je vais vous raconter ça !
Je travaille depuis trois semaines comme domestique dans une belle et grande maison cossue de Montréal. Mes employeurs sont un couple de trentenaires sans enfants. Lui est architecte, plutôt bel homme. Sa femme est une avocate pénaliste réputée. Elle est un peu plus vieille que lui et je la trouve très séduisante. Tous les deux semblent heureux, très complices et ils gagnent très bien leur vie. Leur maison en est une preuve. Je ne les vois pas souvent, le matin j’ai une liste de tâches à accomplir. Pour l’instant tout se passe bien et je n’ai eu à essuyer aucun reproche.
Voilà comment tout a commencé :
Un après-midi, en époussetant les meubles, j’ai trouvé un DVD laissé sur la bibliothèque. Il n’y avait qu’un numéro en guise de titre. Par curiosité, je l’ai inséré dans le lecteur du salon.
Je ne vous dis pas ma surprise !
J’ai de suite reconnu ma patronne. Entièrement nue, attachée par les poignets à une grosse poutre en bois, ses longs cheveux noirs défaits. ses pieds touchant à peine le sol. A un moment donné, un homme cagoulé lui a appliqué des pinces métalliques sur ses mamelons érigés. Elle n’a pas bronché, puis l’homme s’est saisi d’un martinet et s’est mis à fouetter copieusement une jeune femme nue attachée devant lui. Je pouvais voir clairement les lanières de cuir s’abattre en claquant sur ce corps aux formes parfaites qui réagissait à chaque coup. Aucune partie de son anatomie n’était épargnée par le martinet : fesses, dos, cuisses, ventre, seins. Un autre homme la bite en étendard, s’occupait de ma patronne qui semblait prendre un intense plaisir à se faire fouetter. J’ai augmenté le son. J’entendais alors nettement le bruit sec du martinet qui frappait la peau nue et ma patronne qui, en se tortillant à chaque coup, disait :
– Oui ! Plus fort ! Oui ! J’aime ! Oui ! Encore ! Je vais jouir ! Encore ! Encore ! Ahhh !!!
Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Ainsi, la célèbre avocate Laura Darwin. était une adepte des jeux sadomasochistes. La scène que je voyais était bien réelle et sans équivoque. Je fis un peu d’avance rapide pour découvrir une femme d’âge mûr mais de belle prestance faisait avancer Laura, tenue en laisse et à quatre pattes. Et c’est là que j’ai vu l’incroyable ! Une grande blonde était allongée sur le sol occupée à sucer la bite d’un grand chien noir. La mâture ordonna à Laura de prendre la place de la blonde, ce qu’elle fit sans hésitation, et les gros plans pris par la caméra montrait le plaisir que lui procurait l’accomplissement de cette perversité inouïe.
J’étais tellement excitée par ce que je voyais que j’ai mis une main dans ma culotte humide. Je me suis mise à me masser ma minouche toute chaude et mouillée, en me frottant bien mon clitoris tout dur et enflé. Je suis venue en moins de trois minutes, en poussant un long gémissement de plaisir. Avant, j’ignorais qu’une scène de ce genre pouvait m’exciter à ce point. J’étais tellement absorbée par ce que je voyais et entendais et occupée à me donner du plaisir, que je n’avais pas remarqué la présence de ma patronne dans la pièce où je me trouvais. Laura était rentrée plus tôt que prévu.
En l’apercevant, j’ai laissé échapper un « Oh ! » de gêne et de surprise. Je ne savais quoi dire.
– Eh bien, Sonia, c’est comme cela que vous faites le ménage ?
– Je, je…
– Je quoi ?
– Un moment d’égarement, je vais m’en aller…
– Je ne te demande pas de partir.
– Si, si ce sera mieux !
– Je te propose une punition et on oubliera cette indiscrétion.
– Une punition ?
– Une bonne fessée par exemple.
Après tout pourquoi pas, si elle le prend comme ça…
– D’accord punissez-moi !
– Tu es bien sûr, je peux être très méchante.
– Oui, oui, punissez-moi.
Je ne risque pas grand-chose, si elle me fait trop mal, je me barre !
– Méchante et vicieuse ! Ajoute-elle. Mets-toi à poil !
– Complétement !
– Je ne t’ai pas autorisé à me poser des questions idiotes, allez dépêche-toi de te déshabiller.
J’obéissais, pas trop rassurée quand même !
– J’ai trop envie de pisser, viens avec moi aux toilettes, je vais me soulager sur toi ! Me dit-elle
Si elle s’imagine que ce sera pour moi une punition… j’adore ces jeux, mais je ne vais pas le lui dire.
Les toilettes sont spacieuses, Laura me fait m’allonger sur le sol et après avoir retiré son pantalon et son string m’enjambe au niveau de ma poitrine.
Le jet m’arrose mes seins, j’adore cette sensation et oubliant que je suis « en punition », je me frotte le corps avec cette urine toute tiède et j’ouvre la bouche. Evidemment Laura s’aperçoit de mon manège.
– Dis donc petite vicieuse, on dirait bien que ça ne te déplait pas qu’on te pisse dessus ?
– Euh…
– T’as raison d’ouvrir la bouche, tu vas avaler le reste tu me diras si c’est bon !
J’avale une bonne goulée.
– Votre pisse est délicieuse, madame !
– J’ignorais que tu étais si vicieuse ! Et si je te faisais gouter ma merde ?
– Je veux bien essayer, Madame, mais juste un peu !
– T’es vraiment trop vicieuse ! Suis-moi sur le canapé, tu vas me lécher l’abricot !
Voilà qui était inattendu, mais il faut croire que mon attitude (et peut-être mon corps, ne soyons pas modeste) l’avait excité.
Je pus ainsi admirer de très près le corps magnifique de ma belle patronne maintenant complètement nue.
– Allez, on se dépêche, et t’as intérêt à me faire jouir, sinon, je te vire ! Tu as déjà léché des femmes, dis-moi ?
– Oui, madame et j’aime ça !
Je m’approchais et me plaçais visage contre pubis, puis commençais à laper sa chatte mouillée comme une soupe.
– Pince-moi les bouts de seins en même temps, salope ! Tu veux bien que je traite de salope ?
– Bien sûr, Madame !
Je me régalais de son jus, mélange de moulle et d’urine car Madame ne s’était pas essuyée après son petit pipi sur moi.
– Plus fort, les seins ! Salope !
Je serrais plus fort, et accentuais mes mouvements de langue. Laura commençait à gémir, j’introduisis un doigt qui émit un insolite bruit de floc-floc quand je le fit aller et venir tandis que ma langue cibla son clito érigé comme une petite bite.
Laura haletait, jappait, miaulait, puis soudain tout son corps se raidit quand elle laissa éclater sa jouissance. Je n’étais pas peu fière de moi !
– Tu m’a l’air douée ! On va peut-être faire quelque chose de toi ! Va me préparer une citronnade avec des glaçons, tu peux en prendre pour toi si tu veux, et on va discuter cinq minutes.
Quand je revins avec les boissons, Laura s’était passé une robe de chambre.
– Tu ne rhabilles pas, toi ? Me demande-t-elle.
– Si, je vais le faire…
– Pas la peine, assis toi et écoute-moi.
– Oui madame !
– Je vais te faire un aveu, nous n’avions pas l’intention de te garder…
– Mais..
– Laisse moi finir ! En fait nous recherchions une bonne à tout faire qui soit en même temps un peu coquine et qui puisse participer à nos jeux érotiques. Pas si facile à trouver, alors comme
il fallait bien entretenir la maison on t’a pris en attendant de trouver la perle rare…
– Mais…
– Tu vas te taire quand je parle, oui ? Mais comme on dirait que tu as certaines dispositions on va peut-être te garder. Tu as tout à y gagner, ton salaire va au moins doubler, mais faut qu’on
te teste.
– D’accord, testez-moi !
– Le test ça va être de nous accompagner à l’une de ces soirées comme sur le DVD, on verra comment tu t’en sors! D’accord ?
– Oui, madame avec plaisir !
– Tu vas être fouettée, attachée, humiliée, mais tu ne seras pas prisonnière, si tu veux quitter le jeu, il suffira de le dire… mais dans ce cas adieu l’embauche.
Le samedi suivant en fin d’après-midi, j’étais dans ce qui avait dû être la salle de banquet d’un restaurant. Il y avait environ 25 personnes, un type me proposa un bracelet. Laura m’expliqua que les esclaves devaient porter un bracelet rose, les dominas un bracelet rouge et les voyeurs un bracelet blanc.
– Un bracelet rose pour cette pouffasse ! Demanda Laura
Des matelas recouverts de serviettes éponges étaient disposés contre les parois de la pièce. Dans un coin trônait un buffet froid avec charcuteries, fromages et petits fours salés et sucrés, mais il y avait aussi des coupelles remplies de préservatifs et de dosettes de gel intime. Sur les murs, il y avait toute une panoplie de fouets, de chaînes et de menottes en métal et en cuir. Certains hommes étaient cagoulés, tous étaient nus et beaucoup bandaient. C’était très excitant de voir toutes ces bites ! Quelques femmes, dont ma patronne, étaient vêtues de longues robes blanches transparentes sans rien en-dessous. D’autres femmes étaient complètement nues. Deux d’entre-elles, des esclaves portaient des menottes de cuir aux poignets et aux chevilles. Elles avaient les poignets liés dans le dos et les chevilles entravées par une courte chaîne. L’une d’elles prodiguait déjà une fellation vorace à l’homme qui se tenait près d’elle. Il y avait aussi deux gros chiens tranquillement assis dans un coin.
J’étais la seule femme qui portait encore ses propres vêtements.
– C’est qui ça ? Demanda un vieille bourgeoise à Laura en me désignant.
– C’est Sonia ! C’est une boniche vicieuse. Elle est venue ici ce soir pour voir comment ça se passe !
Je rougissais à ces propos volontairement humiliants
– Tu veux que je ta prête ? Demanda Laura.
– Est-ce qu’elle lèche bien ?
– Elle se débrouille !
– Alors suis-moi, poufiasse !
Puis, se tournant vers moi, elle m’a ordonné de me déshabiller. J’ai obéi, un peu mal à l’aise, mais excitée malgré tout. Une fois nue, la vieille salope m’a fait face et m’a nargué.
– Je vais te montrer que je suis encore plus salope que ma fille !
Sa fille ? C’est donc la mère de Laura ! Je rêve !
– Ouvre ta bouche, je vais te cracher dedans !
J’hésitais, malgré mes penchants maso, il y a quelques turpitudes que je n’ai pas eu l’occasion de pratiquer.
– T’attends quoi ? Me dit la mamie, en me giflant. Je t’ai dit d’ouvrir la bouche.
Je le fis, et mamie me cracha plusieurs fois dans la bouche, j’avalais sa salive, humiliée comme jamais.
– Voilà c’est bien, je n’aime qu’on me résiste, la dernière fille qui m’a résisté, je l’ai emmené sur un chantier où travaillait une dizaine de blacks bien montés et ils l’ont tous enculé ! C’est peut-être ça que tu voudrais ?
Elle bluffait bien sûr, mais n’empêche que j’ai laissé ma bouche ouverte afin qu’elle continue son travail d’humiliation.
Elle m’a ensuite conduit vers l’un des matelas et s’est positionnée en levrette en relevant son cul !
– Maintenant tu me vas me lécher le trou du cul. Quand je viens ici, je ne me torche pas, je garde le cul sale, je sais que je trouverais toujours une morue pour me le nettoyer.
J’approchais mon visage de ses fesses. Effectivement ça ne sentait pas la rose.
– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– Oui, beaucoup !
– Décris moi mon anus ! Comment il est ? Est-ce qu’il y a des taches de merde ?
– Oui, il y a quelques taches.
– Alors nettoie tout ça !
Je l’ai fait ! Pour avoir déjà pratiqué des choses dans le genre, je trouve la pratique moins humiliante que le fait de me faire cracher dessus… et puis ce petit goût n’est pas si désagréable.
Je pensais qu’après ce petit délire, elle me demanderait de la faire jouir, mais non, elle m’abandonna à mon sort en allant faire d’autres rencontres
– Viens on va s’occuper de toi ! Me dit un gros barbu vite rejoint par un grand maigrelet.
On m’a ensuite bandé les yeux avec un épais foulard noir, puis des mains d’hommes, (ou de femmes, allez savoir ?) m’ont saisi. On m’a entravé les poignets avec des sangles de cuir et on m’a suspendu à cette poutre que j’avais vu sur le DVD. J’aperçus les fouets accrochés au mur et les redoutais.
On m’a accroché des pinces sur mes tétons et sur mes lèvres vaginales. Puis j’ai senti la morsure de la cravache. La douleur était supportable, maïs ce n’était pas des caresses non plus, je ne me souviens plus combien de coups j’ai reçu, mais le soir quand tout cela fut terminé et que j’ai pu me mirer, je découvris mon corps strié de zébrures qui persistèrent plusieurs jours avant de s’effacer.
Puis on m’a détaché de la poutre. C’est alors que j’ai senti qu’on m’huilait partout le corps, les mains et les doigts s’attardant et insistant sur mes fesses, mes seins et ma foufoune qu’on frottait doucement. J’avais l’impression que toute l’assistance me touchait ainsi. Ma respiration a changé de rythme et j’ai commencé à laisser échapper des premiers halètements de plaisir. Bientôt, une ou deux langues s’activaient sur mon clitoris et dans ma fente, tandis que d’autres glissaient sur mes seins et mes mamelons durcis. Le plaisir était incroyable. Quelqu’un m’a enlevé mon bandeau et j’ai pu voir enfin qui s’occupait ainsi de mon corps. Une imposante femme noire me léchait le clitoris tout en branlant la queue d’un homme, tandis qu’un homme me léchait les seins tout en se faisant sucer la bite par l’une des femmes aux chevilles et aux poignets attachés. D’autres langues, surtout celles des femmes aux robes transparentes, se promenaient sur mes fesses. L’une des langues s’est frayé un chemin dans ma raie jusqu’à mon anus, pour tenter de s’enfouir dans mon petit trou. Elle y est parvenue, car je l’ai sentie pénétrer. D’autres bouches et langues s’occupaient de mes cuisses, mes jambes et mes pieds.
Je découvrais des sensations restées inconnues pour moi auparavant. Je sentais mon jus d’amour qui s’échappait de ma chatte trempée et qui coulait le long de mes cuisses. La langue de la blackette en léchait cependant la plus grande partie. J’ai joui, criant, hurlant de plaisir.
Mais c’était loin d’être terminé. On m’a étendue en croix sur un chevalet, bras et jambes écartés au maximum. Pendant un long moment (difficile d’évaluer le temps dans ces moments-là) des langues se sont activées sur mon corps, partout, dans les moindres recoins, alors qu’on me mettait queue après queue dans la bouche, la chatte et le trou du cul J’ai eu orgasme sur orgasme.
On a fini par me détacher, j’ai voulu souffler un petit peu. Profitant que j’étais étendue sur le plancher, ma patronne est venue s’asseoir sur mon visage.
– Honore ma fente ! m’a-t-elle dit.
Naturellement, sans contrainte, avec joie, comme si je n’avais fait que cela toute ma vie, je lui ai léché la chatte, forçant ma langue dans son trou mouillé. En même temps, un homme, ou une femme, je ne sais plus, me léchait également la chatte. J’avais le visage trempé par le jus de ma patronne. C’était délicieux. J’en avalais. Elle s’est mise ensuite à me pisser dru dans la bouche. J’ai trouvé que son urine était décidemment délicieuse.. Ma patronne se recula légèrement afin de mettre en contact son anus avec ma bouche. Excitée comme j’étais, je n’étais même pas gênée par l’odeur de merde qui s’en dégageait. Elle me demanda de lui introduire un doigt, je le fis donc et le remuais en cadence dans son trou du cul. Quand je le ressorti, elle me demanda de le lécher. pourquoi pas ?
Des mains m’ont ensuite mise à quatre pattes et j’ai senti une queue bien dure pénétrer une nouvelle fois dans mon anus. Devant moi, une autre bite s’est présentée et je l’ai prise aussitôt dans ma bouche, la suçant comme un veau affamé. L’homme m’a éjaculé au fond de ma gorge, tandis que celui qui m’avait prise par derrière est venu décharger son sperme sur mon visage déjà couvert de sueur, de salive, de mouille et de pisse. Il m’a ensuite fait nettoyer sa bite maculée de merde. Tous près de moi, tout le monde copulait dans toutes les positions possibles.
Me demandant où était passée ma patronne, je l’aperçu un peu plus loin, elle était étendue sur un matelas avec une autre femme en position de soixante-neuf. Ma curiosité me fit m’approcher, c’est alors que je compris quelle était en train de se gamahucher avec sa propre mère. Cette vision me troubla profondément et je senti mon jus dégouliner sur mes cuisses.
Les deux femmes finirent par jouir et se caressèrent tendrement. C’est alors qu’un grand black se présenta devant elles, la bite tendue comme un arc, Laure et Mamie se mirent à la sucer de conserve, l’homme ne tarda pas à lâcher sa purée, c’est Mamie qui recueillit le sperme dans sa bouche, avant de le partager avec sa fille dans un incroyable baiser de folie !
Je m’éloignais et continuait d’explorer cette orgie hors du commun. A gauche, c’étaient trois jolies femmes qui se mangeaient mutuellement le minou en formant une sorte de triangle. A droite, c’était encore une belle femme qui après avoir chié un gros boudin le léchait vicieusement en compagnie d’une autre femme. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises puisque près de l’entrée mon patron se faisait enculer par un homme barbu tout en suçant une belle queue.
Tout le monde était occupé à jouir et à faire jouir. Plus loin, au fond de la pièce, une splendide femme nue suspendue à la fameuse poutre se faisait abondamment fouetter, demandant à l’autre femme qui tenait l’instrument de frapper encore plus fort. Un peu plus loin, une femme chiait sur le visage d’un homme. J’ai regardé la scène pendant quelques instants puis j’ai sauté avec ma bouche sur la première queue qui s’est présentée. Une belle jeune femme s’est jointe à moi et, toutes les deux, nous avons léché et sucé cette jolie bite bien bandée qui a fini par nous éclater au visage. Un déluge de sperme nous a inondé les yeux, les joues et la bouche. La femme et moi, nous avons léché ce sperme pour éviter qu’il ne se gaspille, nous l’échangeant avec nos langues en nous embrassant. Une troisième femme, la bouche pleine de décharge, est venue se joindre à nous et nous avons aspiré tout le liquide d’amour du fond de sa gorge. On aurait dit qu’elle était venue nous faire une offrande.
Les deux chiens étaient très occupés. L’un subissait une fellation de la part de deux jolies femmes qui se repassait sa bite en gloussant de plaisir. L’autre chien couché sur le flan se faisait sucer par Mado, une mature blonde assez dodue qui s’en pourléchait les babines,
Je voulais absolument vivre cette expérience, mais personne ne s’occupait plus de moi, je m’approchais donc du deuxième chien, hésitant un peu..
– Tu fais quoi ? Me demande Mado, arrête de regarder et viens le sucer avec moi !
Je respire un grand coup, je me baisse, je m’approche, je ferme les yeux, les rouvre. Je n’ose pas lécher par le bout et me contente lécher la verge sur le côté.
– Suce mieux que ça ! Sinon c’est pas le jeu ! Me dit Mado.
Alors prenant mon courage à deux mains (je devrais dire prenant mon courage en bouche) j’ai sucé l’extrémité de cette bite, m’habituant progressivement à cette substance visqueuse qui s’en dégageait. Au bout d’un moment Mado a voulu me rouler une galoche, excitée comme j’étais, je n’ai pas hésité une seconde.
Il s’était formé un attroupement autour du premier chien, j’ai compris pourquoi. L’une des deux femmes s’était mise en levrette et se faisait saillir par le chien qui la pénétrait en cadence.
– Qu’est-ce que tu attends pour faire pareil ? Me demanda ma patronne qui nous avait rejoint.
Toute honte bue, je me suis mise à quatre pattes, Laura et Mado on fait ce qu’il fallait pour attirer le chien vers mes fesses. Je n’étais plus qu’une chienne qui se faisait prendre par un chien… et j’étais bien !
Depuis ce jour mon statut chez mes patrons a changé, on me fouette quand je fais des bêtises et même quand j’en fais pas ! Parfois je sers de chiotte et de papier à cul à mes patrons, et quand il y a des convives, je suis, si l’ambiance s’y prête invitée à sucer les bites de ces messieurs et les chattes de ses dames, Et si l’on veut m’enculer, je ne dois pas refuser.
Croyez bien que je ne me plains pas, et puis je vais vous confier un secret, mon salaire a triplé !
D’après une histoire parue sur le site de SophieXXX en 2000 signée Maude et titrée « l’initiation »
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