Jeudi 9 janvier 2003 4 09 /01 /Jan /2003 08:48

Allées cachées

par Nicolas Solovionni

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C'était dans les jardins du château de Versailles, dans les recoins.

Dans ces allées cachées où les touristes ne vont point

Petit bassins, libellules et nénuphars.

Pour lesquels les visiteurs sont rares

Et sur un banc, deux jeunes femmes

L'une est très belle, et de sa vision mon sexe s'enflamme.

Ses traits sont réguliers et sa bouche parfaite

Elle a une petite robe imprimée, elle porte bien la toilette

L'autre est quelconque, sa jupe bleue marine

Et son chemisier blanc n'ont rien de sublime

Elles seraient sans doute vite sorties de ma mémoire

S'il n'y avait pas eu, j'ai encore peine à y croire

Ces regards qui s'entre dévorent.

Ce désir qui transparaît de tous leurs pores

Les mains l'une dans l'autre serrées

Subrepticement, je me cache un peu plus loin, près des fourrées

Elles parlent, elles causent, elles rient

Et puis un petit bisou, une cajolerie

Les lèvres s'unissent, les langues s'amusent.

Une main sur un sein qui ne refuse.

Des soupirs, des regards de connivence

La grande sort le sein de son amie en évidence.

Elle en embrasse goulûment le téton

 

J'ai dû faire du bruit pour calmer mon érection

Elles prennent peur et se sauvent par l'allée

Me laissant désemparé

Je suis revenu le lendemain

Bien sûr elles n'y étaient point

 

 

kisslez25.jpg

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Dimanche 5 janvier 2003 7 05 /01 /Jan /2003 00:07

Matin humide

par Nicolas Solovionni

Gs2

 

J'étais bien dans mes rêves, près d'une berge

Pourquoi me réveiller ?

J'ouvre un œil, et puis l'autre, j'émerge

Et voilà que je n'ai plus d'oreiller !

 

Ou est-elle, ma divine Josie ?

Pourquoi n'est-elle pas à mes côtés ?

Et pourquoi donc, il est tout dur, mon zizi ?

Si dur que je vais devoir me le tripoter.

 

Que peut-elle bien faire ? Elle ne revient toujours pas !

Ma main droite s'égare, effleure et caresse.

Mais je stoppe au bruit de ses pas

Elle vient, s'en retourne me montre ses fesses.

 

Elle me croit endormi, pousse un soupir

Je lui fais un petit bonjour.

Elle me répond du plus délicieux des sourires

Elle est nue comme au premier de ses jours

 

Elle vient à mes côtés, mais sans s'allonger

Sa peau est bronzée, fraîche et soyeuse

Je la caresse et ma bite est à son apogée

Son œil est malicieux, son humeur joyeuse

 

Mes mains glissent sur ses longues cuisses

Ma bouche butine le bout sombre de ses seins

Puis redescend lentement vers le pubis

Là où les poils forment un curieux dessin.

 

Puis sans crier gare, elle s'accroupit sur moi

Sa foufoune juste sur ma bouche entrouverte

J'attends, ne bouge pas, me tenant coi

Faisant silence, attendant l'alerte

 

Elle n'aura que ces mots : Bois tout !

Son nectar doré inonde mon palais

J'aime son urine du matin, elle a plus de goût

J'avale, je me laisse aller

 

Pour reprendre mes aises, un petit répit

Avant d'avaler une nouvelle giclette

Je ne m'en lasse pas de ce charmant pipi

Et je ne vous parle pas de l'état de ma quéquette

 

La source a fini de couler, il faut bien une fin

Ma langue donne alors de grandes lapées

Je m'imprègne encore de ce goût divin

Puis m'occupe de son clito bien dopé.

 

Un bruit envahit la chambre

Josie a jouit

Et tout son corps de cambre

Oh oui oui oui !

 

Elle se relève, m'effleure les lèvres d'un baiser

Le téléphone sonne, elle y va, Saperlipopette !

Ce doit être sa mère, tant pis j'aurais bien baisé

J'en serais quitte pour une petite branlette

 

 

Piss man451

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Dimanche 29 décembre 2002 7 29 /12 /Déc /2002 08:25

Tu rêves, Herbert ?

Poésie libertine (golden version)

par Nicolas Solovionni

Gs2

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Tu rêves, Herbert ?

 

Il rêve !

Il rêve qu'il monte !

Il rêve qu'il monte une marche !

Puis deux marches !

Puis trois marches !

Puis dix marches !

Puis cent marches !

Puis milles marches !

Et, en haut des marches…

Il y a une arche,

Ou plutôt un pont

Qu'il veut franchir d'un bond !

Mais il rate la dernière marche

Et tombe de tout son long !

Il va s'écraser

Dans un pré !

L'approche de sa mort l'effraie,

Et le sol est là, tout prêt !

Mais ne voilà-t-il pas

Que sa chute ne s'arrête pas !

La Terre, il va maintenant la traverser !

Un réflexe insensé :

Une touffe d'herbe ! L'empoigner !

Et il vient à se réveiller !

Son amante dort à ses côtés !

" - J'ai rêvé que je descendais !

Je viens de remonter ! "

" - Moi j'ai rêvé que je montai !

Je viens de retomber ! "

" - Alors on vient de se rencontrer !

Profitons-en pour s'aimer !

Doucement tu vas te retourner

Car ma petite chatte veut être léchée

J'ai une grosse envie de pisser

Et un peu la flemme de me lever

Dans ta bouche je vais tout verser

Et tu vas, mon chéri, tout avaler

 

Post-scriptum :

" - Mais avant cesse de m'agripper

Les poils de ma chatte !

Que tu m'as attrapée dans ta hâte !

Que te serais-t-il donc arrivé

 

Si je me l'étais épilé ?

Jess78.jpg

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 14 décembre 2002 6 14 /12 /Déc /2002 16:59

Murmures de la forêt

par Estonius

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Forest murmurs - Waldweben>

 

Crakakrak Crakatzing...

Crakakrak Crakatzong...

 

Je me souviens, ce drôle de bruit, comme une batterie de casseroles qui s’entrechoquent... je ne suis guère féru en mécanique automobile, mais il m’avait semblé plus sage de quitter l’autoroute. Je le fis, mais me perdis, il se faisait tard, autour de vingt-trois heures, je crois... Je finis par retrouver mon chemin, quelque part une pancarte indiquait

 

Janville par la forêt

 

Je pris ce raccourci que je pensais providentiel...

 

Quand la poisse s’y met, elle ne nous lâche plus, déjà au départ de Paris j’avais eu droit à un super embouteillage suite à un accident, j’avais ensuite eu droit à un ralentissement sur l’autoroute suite à un camion qui avait versé je ne sais plus quoi... Je devais me rendre à Janville afin d’y animer la clôture de la quinzaine commerciale. On ne rigole pas, c’est un métier !

 

C'était l’été... Une chaleur étouffante, moite... L’orage menaçait, mais peut-être se contenterait-il de menacer, le vent poussait les nuages qui régulièrement venaient masquer le disque fier et grimaçant de la pleine lune... Le bruit de ma bagnole ne s’arrangeait pas, bien au contraire. A ce point que je décidais de m’arrêter un moment. Muni d’une torche électrique je soulevais le capot, mais cet examen confirma mon incompétence. Je décidais de repartir en vitesse minimale... Peine perdue, le véhicule ne voulut point redémarrer !

 

Panne !

 

J’installais les warning ! Que faire d’autres ? J’ignorais où je me trouvais de façon précise. Mon portable ne captait rien... J’attendis quelques dizaines de minutes qu’un éventuel automobiliste ait l’esprit suffisamment solidaire pour me sortir de ce guêpier, mais encore aurait-il fallu qu’il y en ait, des automobilistes. En désespoir de cause, je me mis à longer la route dans l’espoir de rencontrer... de rencontrer quoi, une cabine téléphonique, une habitation qui m’ouvrirait ses portes... à cette heure-ci ? L’espoir fait vivre, mais parfois les espoirs sont vains !

 

Je grillais cigarette sur cigarette en prenant mon mal en patience, ça me donnait une contenance. et jouait avec une badine de bois que je m’efforçais de libérer de ses aspérités, ça m’en donnait une autre. Cependant, au bout d’environ deux kilomètres, un panneau indicateur, alerta mon attention :

 

Hôtel de la clairière : 800 mètres

 

Et en plus il faisait restaurant, restais à espérer qu’ils servent encore à cette heure. Du coup ma faim se réveillait. J’étais donc « sauvé », je pressais donc le pas, d’autant que les nuages devenaient de plus en plus opaques et menaçants.

 

Difficile d’évaluer les distances en pleine nuit, pourtant, j’étais persuadé d’avoir accompli celle qui me séparait de ce providentiel hôtel. Je n’avais pas remarqué d’autres panneaux, mais peut-être l’obscurité me les avait-elle cachés ? J’avançais encore un peu, avant de me persuader que j’avais dû le doubler sans le voir, je rebroussais donc chemin. Mais avant il fallait que je me libère d’un urgent besoin. Je me fis alors une petite joie en pissant de tout mon dû en plein milieu de cet accotement où personne ne pouvait me voir.

 

C’est alors que j'entendis soudain comme des éclats de voix :

Des hommes, des femmes, qui criaient de fête ou de joie !

Ce vacarme me rassura,

Et je renforçai donc mes pas.

 

Il me suffirait demander à ce gens ! Et puis l’espoir céda bientôt la place au doute, à l’affreux doute ! Ces gens étaient-ils sociables ? Me renseigneraient-ils ? Ou pire, ne risquaient-ils pas de me dévaliser, de me dépouiller, de me... On gamberge beaucoup dans ces situations-là !

 

Je finis par apercevoir un sentier, je m’y engageai, juste un peu afin de vérifier que les bruits venaient bien de ce côté. Je percevais maintenant de la lumière ! La lumière est toujours rassurante ! J’avançais et bientôt je fus à l’orée d’une assez grande clairière !

 

Qui étaient ces gens ? J’en dénombrais une quarantaine, des hommes, des femmes, un feu de bois brûlait au milieu du lieu faisant crépiter ses bûches et emplissait l’atmosphère de ses vapeurs de bois trop jeunes. Ça discutait, ça riait, quelqu’un distribuait des petits fours à cette petite assemblée ! Des petits fours, en plein milieu de la forêt, en pleine nuit ?

 

Ce qui m’intrigua tout d’abord c’est ce mélange de familiarité et de retenue, ces gens-là semblaient bien se connaître et adoptaient des attitudes fort rapprochées. Et vas-y que je te pelote un bras, et vas-y que je te fais une petite caresse sur la joue, vas-y, pendant qu’on y est que je te fous la main au panier... Et pourtant il n’y avait aucun débordement...

 

Après quelques minutes de cette observation, je pris la décision de me montrer afin de solliciter leur aide, je me préparais déjà à émettre le très diplomatique raclement de gorge annonçant ma présence quand un certain brouhaha me stoppa net dans ma décision

 

Une espèce de grand escogriffe à lunettes, noir de peau et d’aspect jovial grimpa alors sur un petit rocher. Le silence s’installa et tous les regards se fixèrent sur lui ! Il ouvrit largement les bras comme en signe de bienvenu et ne prononça que deux mots :

 

- La danse !

 

Provoquant applaudissements et cris d’enthousiasmes de l’assemblée. Au même moment une sono venue d’on ne sait où se mit à cracher une musique vaguement disco, obsédante, lancinante ! Et les gens se mirent à danser ! Que signifiait tout ceci ? Une mini rave-party ! Mais ces gens n’en avait pas l’âge, du moins pas la majorité d’entre eux ! La raison aurait dû maintenant me pousser à pénétrer dans la clairière et à demander à l’une de ces personnes ou se trouvait ce fameux « hôtel de la clairière » ! Mais non je restais planté, bouche bée ! Admiratif devant ces corps qui se donnaient complètement à ces chorégraphies improvisées avec une exaltation non dissimulé ! Le morceau de musique dura environ une dizaine de minutes. Quand le silence fut rétabli les danseurs se retournèrent tous vers le même petit rocher que tout à l’heure et l’homme aux lunettes repris la parole. Encore une fois, il ne dit que deux mots :

 

- La chair !

 

La chair ? Quelle chair ? Je crains juste l’espace d’un instant d’être tombé sur un bataillon de cannibales en déroute, mais non, ce n’était pas ça, et voilà que comme un seul homme toute l’assemblée se mis à se dévêtir ! Et pas à la barbare, s’il vous plait, pas en jetant leurs fringues sous la lune, non ces messieurs dames s’en allait ranger bien précautionneusement leur habits dans des sacs de sport entassés près d’un grand chêne. Le fait qu’ils gardaient leurs chaussures m’amusa, on peut pratiquer la communion avec la nature mais ce n’est pas une raison pour s’abîmer ses petits pieds-pieds... Mais voilà que bien malgré moi je devenais voyeur, mais il fallait être de bois pour ne pas être troublé par ces formes magnifiques... pas toutes, non, mais certaines femmes étaient une offrande à l’érotisme, leurs peaux luisaient sous la lumière soulignant leurs formes... La musique reprit... ces seins lourds qui s’agitaient, ces tétons arrogants, ces cuisses accueillantes, ces fesses cambrées, tout cela troublait mes sens et ma verge ne se tenait plus tranquille. Les pénis des hommes, magnifiques mats charnus, tressautaient au rythme de la disco et certains bandaient sans complexes. Je remarquais aussi dans l’assemblé la présence de personnes du troisième sexe ! Le déchaînement des corps les faisant transpirer, et la lueur de leur sueur les rendaient encore plus désirable. Mais encore une fois la musique s’arrêta.

 

- Les mains !

 

Et sous le rythme de ce nouveau morceau, les mains du groupe partirent à l’assaut des corps offerts, les mains caressaient les poitrines et les croupes, massaient les dos et les cuisses, pelotaient les seins, pétrissaient les culs, pinçaient les tétons. Une femme s’offrait sous milles mains qui lui caressaient tantôt les seins, tantôt les fesses, tantôt le reste. Ailleurs les mains masturbaient des bites, d’autres s’en servaient pour s’introduire dans les chattes et dans les culs. Tous les cas de figures étaient représentés, des hommes avec des femmes, des hommes avec des hommes, des femmes avec des femmes, de groupes composites. Je ne pouvais plus garder mon sexe derrière ma braguette, je décidais de le libérer de sa prison de tissu et commençais à me le caresser avec une certaine « hardeur ».

 

- Les bouches :

 

Elles furent d’abord sages les bouches, sages mais passionnées, comme ces profonds baisers dégoulinant de salives que les danseurs s’échangeaient, puis ce furent les seins qui furent léchés et sucés, les fesses, et puis le reste, les vagins miaulaient sous les langues, les trous du cul se pâmaient sous les lèvres et les bites allaient et venaient dans les palais avec une frénésie diabolique. Le sexe devenait glouton et la salive venait d’avoir sa fête ! Une femme s’écarta alors légèrement du groupe et vint dans ma direction. J’eus alors peur d’être repéré, et me reculait d’instinct écrasant sous mes chaussures des branches mortes. Apparemment la femme ne m’avait ni vu, ni entendu. Elle s’accroupit, je compris alors qu’elle se préparait à la miction. Ce que je ne saisissais pas, c’est pourquoi elle ne se séparait pas davantage du groupe pour accomplir ce geste si particulier. J’appris pourquoi quelques instants plus tard, elle ne cherchait pas à s’isoler, mais à éviter d’être bousculée par tous ces corps en mouvements. C’est pratiquement devant moi qu’elle libéra son petit jaillissement doré. Une autre femme s’approcha d’elle, intercepta une partie du jet qu’elle recueillit dans sa paume, puis comme elle l’aurait fait d’une pure eau de source, le porta à sa bouche et s’en abreuva, se léchant les lèvres de plaisir. D’autres scènes semblables se jouaient à la périphérie de la clairière.

 

Beauté de la femme accroupie

Qui devant vos yeux vous fait pipi !

Combien de poètes ont succombés ?

Regard fixe et culotte bombée.

 

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- Les sexes :

 

Ce serait donc l’apothéose ! Les meilleures choses passent toujours trop vite ! Et tandis que les premiers accouplements se formaient, j’entendis du bruit derrière moi, le bruit des feuilles que l’on frôle, celui des brandilles que l’on écrase ! Instant de frayeur, mais je me rassurais en entendant les rires des nouvelles arrivantes. Trois grâces s’étaient écartées de la fête et m’avaient donc repéré, elles s’avancèrent vers moi, la première ne fut guère aimable :

 

- Tu te laisses faire ou tu te casses !

 

Chaud et froid ! Mais la seconde réajusta le trait :

 

- Mais bien sûr, qu’il va se laisser faire, ce biquet !

 

J’ai bien du dire oui, car c’est alors qu’on me déshabilla et qu’on se jeta sur moi, la fraise d’un sein se retrouva sur mes lèvres, je le gobais délicieusement, puis la seconde m’offrit le nectar de sa chatte, mon membre était masturbé, sucé, léché. Ces trois coquines avaient trop de mains, trop de bouches trop de langues et se retrouvaient partout à la fois ! Je caressais aussi, agrippais ce que je pouvais, et surtout essayais de contenir mon excitation prête à exploser comme une supernova.

 

Dans notre coin la luminosité était faible et je ne m’aperçus pas de suite que l’une des femmes n’en était pas une, magnifique travelo, reine du porno, seins bien hauts et sexe majestueux. J’eus bientôt sa verge en bouche et m’en délectait comme je l’aurais fait d’une offrande. On me retourna, on écarta mes globes fessiers, on humecta le futur passage, afin qu’il devienne gluant, les langues se succédèrent, me provoquant des spasmes de plaisirs insolites, puis le pieu s’engagea, fier et droit, sur de son fait et de son but et m’encula comme il se doit au fond du bois.

 

Et tandis que mon cul se faisait dépuceler au rythme des va-et-vient de cet impertinent travelo boosté par la musique disco, une langue agile eut raison de mon sexe, un geyser de sperme jaillit et je jouis par le sexe en même temps que par le cul !

 

Je prévins alors mes compagnons, qu’après tant d’émotions, j’avais sans doute besoin d’un petit somme et m’endormi aussitôt.

 

Dodo le cochon d’eau

Le cochon dormira bientôt

Zzz

 

Quand je me réveillais, je fus surpris de me retrouver dans le confort d’un lit douillet aux draps fraîchement repassés, je ne reconnaissais ni le lit, ni la chambre, mais l’agencement me persuada qu’il s’agissait d’une chambre d’hôtel. Comment étais-je arrivé ici, impossible de me souvenir. Je recherchais ma montre, mais ne la voyais pas, je me levai, en profitai pour pisser, et me mit à la recherche de cette foutue tocante ! Elle était dans ma poche ! Mais je ne mets jamais ma montre dans ma poche ! J’en profitais pour contrôler mes affaires personnelles, vérifiais que rien ne manquait. Du coup j’en avais oublié de regarder l’heure ! Il était déjà 10 heures du matin. Il fallait que je parte d’ici. Je devrais déjà être à Jonville derrière mon micro ! ... Et ma voiture ? Lassé de ne rien comprendre, je sonnais la réception. Une voix me répondit qu’on m’envoyait le service d’étage ! Service d’étage ?

 

C’est alors qu’un gigantesque travelo aux formes harmonieuses entra dans la chambre, vêtu uniquement d’un mini slip rouge qu’il écarta d’un geste, libérant son gros pénis ! Il m’interpella alors avec un sourire ensorceleur :

 

- Vous avez demandé le service d’étage ?

 

FIN

 

Estonius (décembre 2002)

 

Je remercie l’auteur anonyme qui m’a largement inspiré ce récit, même si je me suis considérablement éloigné du moins dans l’esprit.

 

estonius@hotmail.com

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Décembre 2002 </i>

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mardi 3 décembre 2002 2 03 /12 /Déc /2002 18:50

Jeux de bureaux

par  Eddy

d'après une idée originale de Cédric

 

BiteFlag

 

Cette histoire commence sur mon lieu de travail. Je suis salarié dans une boite qui fait du développement informatique. Pour les besoins d'un projet, il fallait créer une nouvelle structure : un groupe de six personnes. N'étant sur rien d'urgent je fus parmi les sollicités et me retrouvais à l'autre bout de Paris avec une augmentation substantielle de mon temps de transport. Passons, je n'écris pas pour me plaindre mais pour vous conter une petite historiette érotique.

 

Je ne vous présenterais pas mes cinq collègues, puisque seulement deux d'entre eux interviendront dans ce récit…

 

Ah oui ? Moi ? Et bien moi, je me prénomme Pascal, la quarantaine, quelconque, brun (du moins pour ce qu'il en reste) moustaches, très légère bedaine. Sexuellement, je me classe dans les libéraux non pratiquants, je fantasme beaucoup et sur beaucoup de choses. La chose m'obsède mais sans m'angoisser. Je suis marié, et ma vie de couple est à peu près normale.

 

Jocelyn s'était présenté à moi de façon bizarre :

 

- Tu peux me tutoyer, mais tu m'appelle Jocelyn, pas Jo ni Jos ou Jojo, je suis allergique !

 

Bel homme, un peu typée mais je n'en ai jamais su l'origine, le teint mate, les yeux clairs, habillé avec une certaine recherche, la voix très douce. Les filles du bureau le dévoraient des yeux, mais il n'en profitait pas. Il passait des heures à ne rien dire, plongé dans son travail, et devenait volubile le temps d'une pause-café pour ensuite s'enfermer à nouveau dans son mutisme.

 

Ce jour-là j'étais avec lui en tête-à-tête au restaurant d'entreprise, je remarquais alors qu'il avait été chez le coiffeur, comme une andouille je le lui fis remarquer, on passe des fois son temps à sortir des réflexions complètement inutiles :

 

- Tiens, tu as été chez le coiffeur !

 

Il m'accorde un sourire, comme si ma réplique lui faisait réellement plaisir !

 

- M'en parle pas, j'ai poiroté une heure et demi, d'habitude j'apporte un bouquin. Je l'avais oublié et il n'y avait que des revues de merde…

- Moi c'est ma femme qui me les coupe...

 

Il s'en fout complètement de ce que je lui réponds, il continue son idée

 

- Tiens, tu ne sais pas ce que j'ai lu ? Un truc sur la masturbation… Et tu sais ce qu'ils disaient ? Que c'était dangereux, qu'il ne fallait pas en abuser… Non mais on va où comme ça ? Cent ans en arrière !

 

Oh la la ! En voici un sujet scabreux ! Je ne suis jamais très à l'aise quand on parle sexe… Pour moi ce sujet est important mais personnel. Vite répondre une banalité, mais en allant dans son sens, puis changer de sujet… je n'aurais jamais dû lui parler de son coiffeur !

 

- Il y aura toujours de gens rétrogrades, faut faire avec, malheureusement…

 

C'est tout ce que j'avais trouvé, il n'était pas évident que ça suffirait à ranger le sujet. En fait pas du tout, il rebondit et de la façon la plus gênante possible !

 

- T'as raison, c'est pas eux qui vont m'empêcher de me branler !

 

Je lui fais un sourire, signifiant par-là que j'ai bien reçu son message, mais que je ne souhaite pas continuer. Lui, si…

 

- J'adore ça me branler ! Comme beaucoup de mecs, mais ils ne l'avouent jamais ! On vit dans l'hypocrisie continuelle !

- C'est un peu vrai ! 

 

J'ai répondu ça machinalement, je n'aurais jamais dû, il s'enfonce dans la brèche.

 

- Toi aussi, t'aime te branler ?

 

Bien sûr, j'aurais pu à ce moment-là lui intimer mon intention de ne pas continuer sur le sujet, ou alors j'aurais pu mentir, lui disant qu'étant marié, j'avais moins de raisons de le faire qu'étant jeune homme… Mais sans doute l'histoire ne se serait alors pas déroulée.

 

- Oui, de temps en temps ! Comme tout le monde…

- Euh ça t'embête de parler de ça ?

 

Remarque habile, parce qu'en fait, il est trop tard, et il le sait bien, et comme je vais répondre non, il n'aura plus aucun scrupule pour emmener la conversation encore plus loin.

 

- Non, enfin pas trop !

- Je me doutais bien que tu étais un mec ouvert !

 

Merci pour le cirage !

 

- Tu sais ce qui m'excite moi quand je me branle ?

 

Je m'attends au pire !

 

- Non mais je sens que tu as envie de me le dire !

- Ma bite !

- Hein ?

- Oui le spectacle de ma propre bite, je trouve qu'une bite c'est super joli, surtout la mienne !

 

Ah ! Assimiler tout ça, pour la première fois, je me demande si le gars n'est pas homo ! Mais ça ne tient pas debout, il ne va pas me draguer quand même, avec le look qu'il a, il peut trouver des mecs mille fois mieux que moi !

 

- Tu peux me passer le sel ! Répondis-je par diversion.

- Il est à côté de toi, et tu l'as déjà salé ton truc !

- Alors passe-moi le poivre !

- Tiens, et toi quand tu te masturbe, tu aimes bien te regarder la bite ?

 

Je ne sais pas si vous vous rendez compte du genre de question ? Mais pris dans l'engrenage je réponds.

 

- Oui, mais je pense que ça fait partie d'un tout. La masturbation, c'est simple, mais pas tant que ça !

- Ouais, c'est dommage que je ne sois pas contorsionniste !

- Parce que ?

- Parce que je me la sucerais !

- Ah !

 

De mieux en mieux !

 

- Tu n'as jamais eu envie de te sucer la bite, toi ?

- De toute façon, je ne suis pas assez souple !

- Tu aimes ça, voir des bites ?

- Non mais où est-ce que tu veux m'emmener, là ?

- Je ne veux t'emmener nulle part. Ce qui est dommage c'est qu'à chaque fois que l'on parle sexe, on croit que tout ce qu'on dit est une suite de sous-entendu ! On parle bien de sport ou de politique étrangère, et pourtant quand on y réfléchit, on n'y connaît rien !

- Bon écoute, je voudrais que tu comprennes que je suis hétéro, cela dit, je ne suis pas homophobe, mais chacun son truc !

 

S'il n'a pas compris c'est qu'il est lourd !

 

- Juste une question et après on en parle plus !

- Ouais ?

- Quand tu vois une bite dans un film, ou sur une photo, ça t'est déjà arrivé de dire : " Putain quelle belle bite ! "

- Oui !

- Tu vois ! A l'occasion je te montrerais la mienne !

- Une seule question, tu avais dit !

- Mais ce n'est pas une question… on va boire un café ?

 

Cette conversation bizarroïde avait provoqué chez moi deux phénomènes assez étranges, voire contradictoires. D''une part je m'efforçais d'éviter Jocelyn et d'aller seul avec lui à la cantine, de même j'attendais qu'il soit sorti des toilettes pour y aller à mon tour. (nous avons des toilettes intérieures) Mais d'autre part ses propos m'avaient troublé, quelque part ils m'interpellaient, mais je m'interdisais par ma conduite de me donner les moyens de franchir un pas que je me disais ne pas vouloir franchir.

 

C'est le surlendemain en fin d'après-midi que les choses s'accélérèrent. Il commençait à se faire tard, et d'ailleurs à part dans notre bureau l'étage était désert. Trois de nos collègues étaient partis, ne restait que Corinne, Jocelyn et moi-même.

Corinne est une petite femme d'environ 35/40 ans, mignonne mais sans plus, souriante, elle a les cheveux frisées et de jolis yeux bleus. Elle n'est pas très causante mais parfois s'amuse à dire une grosse connerie, sans doute histoire de détendre l'atmosphère.

Je suis fatigué, et je ne fais plus rien de bon, je décide alors de me préparer à partir. Je vois alors Jocelyn qui se lève de son siège et se dirige vers les toilettes. Il pile en plein chemin, m'interpelle :

 

- J'ai envie de pisser ! Tu viens me la tenir !

 

Sursaut de surprise de Corinne !

 

- Non, merci ! Répondis-je simplement comme on répond à une question idiote !

- C'est dommage ça m'aurait permis de te la montrer !

 

C'est pas vrai, il recommence son cirque, et devant Corinne en plus ! Laquelle Corinne y va de son grain de sel !

 

- Ben, Jocelyn ! C'est la fatigue ?

- Mais, non je voulais juste lui montrer ma quéquette !

- Et tu crois vraiment qu'il a envie de la voir ta quéquette ?

- Bien sûr ! Hein Pascal ? M'interpelle-t-il.

 

Je m'apprêtais à répondre une vacherie définitive qui aurait stoppé complètement l'affaire, mais c'est sans compter sur Corinne qui complètement lancée demande :

 

- Et d'abord qu'est qu'elle a d'exceptionnelle ta quéquette ?

- Elle n'a rien d'exceptionnelle, elle est jolie, c'est tout !

- Et qu'est-ce qu'elle a de plus jolie que les autres ?

- Mais c'est parce que c'est la mienne ! Répondit-il en rigolant !

- Montre-la-moi, je vais te dire, moi si elle si belle que ça ! Suggère Corinne le plus sérieusement du monde.

 

Bien joué ! Du coup le Jocelyn donne l'impression de commencer à débrancher !

 

- C'est bien ça les mecs, toujours à vous vanter de vos bites, mais au pied du mur il n'y a plus personne !

 

Et elle se retourne vers sa machine ! J'ai cru alors l'échange terminé. Mais non ! Après avoir hésité l'espace d'une seconde sur la conduite à tenir, il revient assez lourdement à la charge et s'adressant à Corinne :

 

- Ne me met pas au défi !

- Je ne te mets pas au défi, je ne t'ai rien demandé, tu nous propose un truc et puis tu te dégonfle, c'est tes propres défis que tu es incapable d'assumer !

- Mais Corinne, ce n'est pas à toi que je m'adressais ! Proteste-t-il.

- Jocelyn !

- Oui ?

- Si une femme te demande de te montre ta bite, tu fais quoi !

- Ben, je lui montre ! Pardi !

- Alors, qu'est-ce que tu attends ?

 

Alors Jocelyn dézipe sa braguette, farfouille dedans et en sort sa quéquette toute molle d'émotion. C'est une quéquette bien classique, peut-être plus grosse que la moyenne et assez sombre de peau !

 

- Ben voilà ! C'est un zizi, il n'y avait pas de quoi en faire tout un plat ! On peut continuer à bosser maintenant…

 

J'ai l'impression que Corinne prépare quelque chose, je la connais mal mais je ne pense pas que son objectif était d'humilier notre collègue, et alors que celui-ci rangeait déjà son sexe, elle l'interpelle de nouveau !

 

- J'aimerais bien la voir autrement qu'au repos !

 

Et avant que Jocelyn ait pu faire ou dire quoique ce soit, Corinne lui met la main à la braguette, et ressort la queue qui du coup à ce contact commence déjà à se raffermir.

 

- Hummm ! C'est vrai qu'elle est belle !

 

Elle se met à la caresser, la masturbe un petit peu, très vite Jocelyn bande, c'est un très bel engin qui est maintenant exhibé.

 

Je me demande ce que je fais dans tout cela, je sens que je vais lancer un traditionnel " bon, je vous laisse ! " et disparaître. Le seul problème c'est que tout cela m'a fait bander comme pas possible, et que je n'arrive pas à me décider à partir. D'autant qu'après s'être enquit de la propreté du membre viril de Jocelyn, Corinne se l'est carrément foutu dans le bec et entame une fellation en règle ! Mon dieu que dois-je faire ?

 

- Tu peux venir Pascal, quand y en a pour deux, y en a pour trois ! Me dit Corinne relâchant quelques instants sa fellation et me sauvant ainsi la mise.

 

Ah ! Si Corinne veut me sucer, ça change tout, je ne vais pas refuser ça quand même ! Me voici près d'eux, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je sors ma propre bite complètement raide, et pour être encore plus à l'aise, je descends un peu mon pantalon et mon slip. Evidemment à côté de la merveille voisine, elle fait un peu figure de candidate suppléante, mais que voulez-vous, on fait ce qu'on peut ! La main de Corinne vient m'asticoter un peu les couilles, avant de la prendre à son tour dans sa bouche ! Elle me fait une sorte de pompage buccale, les lèvres très appuyées, c'est très excitant puis fait pénétrer la verge un peu plus avant pour permettre à sa langue d'entamer une vraie danse autour ! Pas mal, la technique !

 

- Qu'est-ce qu'elles sont bonnes vos bites les gars !

 

Mais je sens bien qu'elle a une préférence pour celle de Jocelyn, c'est elle qui a toutes ses faveurs !

 

- J'ai rarement vu un truc aussi doux, tiens, caresse-la pour te rendre compte ?

 

Hein ? Corinne veut que je caresse la queue de Jocelyn ? Pas bien, non ? Mais je n'ai même pas le temps de réfléchir ou d'avoir des états d'âme, Corinne m'a pris la main et la pose juste là où il faut !

 

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C'est donc dans cette circonstance que je "toucha" (comme disent les Québécois) une autre bite que la mienne, j'avoue que ce n'était pas désagréable à caresser ! Et même que ça me faisait bander !

 

- Elle est douce ! Hein ?

 

J'acquiesçais de la tête avec un petit sourire gêné !

 

- Non, il faut que tu le dises, que tu le dises avec des mots ! C'est important ça va te libérer ! Reprit Corinne.

- Tu veux que je dise quoi ?

- Je veux que tu me répondes !

- Répondre à quoi ?

- Bon on rejoue la scène : un, deux, trois : elle est douce, hein ?

- Oui !

- Mieux que ça !

- Elle est douce !

- Tu sais j'adore ça voir des mecs se caresser, c'est pas si souvent que j'en ai l'occasion !

 

Jocelyn me caresse à son tour, ça ne me dérange pas plus que ça, ça ne m'excite pas plus que ça non plus !

 

- Mais il y a une chose qui m'excite encore plus ! Reprend Corinne, c'est de voir deux mecs se sucer !

 

Il manquait plus que ça ! Un ange passe ! Et c'est Jocelyn qui finit par se lancer, sans doute pour gommer l'effet désastreux de ses atermoiements de tout à l'heure :

 

- Moi je veux bien te sucer ! Me propose-t-il.

 

Je dois manquer de réparties, ce soir, mais c'est encore une fois Corinne qui intervient… brave fille elle va me sauver de cette situation embarrassante :

 

- Je préfèrerais le contraire si ça ne vous dérange pas !

 

Au secours ! Et puis d'abord, pourquoi le contraire ? Je balbutie je ne sais pas quoi, je n'arrive pas à articuler quelque chose de sensé !

 

- Qu'est-ce qu'il raconte ? Demande Jocelyn.

- Je ne sais pas ! Répond Corinne. C'est sans doute l'émotion !

 

Je veux fuir, vite un prétexte ! J'arrive enfin à articuler quelque chose de clair :

 

- Non, je ne peux pas !

- Pourquoi ça n'a rien de difficile ! Me dit Corinne d'un air canaille.

- Mais je ne l'ai jamais fait !

- Il y a un début à tout !

- Je ne peux pas !

- Ça tu l'as déjà dit, on va t'aider, et puis si tu veux, tu auras une récompense.

- Une récompense ?

- Oui si tu veux, je te fais une pipe ! A fond !

- Toute nue !

- Si tu veux ! Allez assez causé, à genoux, maintenant et suce !

 

Je ne sais pas comment je me suis retrouvé en position, j'ai maintenant ce délicieux morceau de chair dans la bouche et comme si je l'avais toujours fait, je tourbillonne et je gigote ma langue autour, je suçote le gland, je mouille et j'aspire la hampe, j'excite le frein, j'embrasse le méat, et je bande ! Mon dieu que je bande ! Il y a combien de temps que je n'avais pas bandé comme ça !

 

- Laisse-m'en un peu ! Espèce de glouton ! 

 

Elle me retire la bite et suce à son tour ! Je commençais à bien m'amuser, je suis impatient de la reprendre !

 

- Tu y prends goût mon salaud, hein ! Dis-le que tu aimes sucer des bites !

- Ce n'est pas désagréable !

- Non, dis le mieux que ça !

 

Elle m'énerve mais je rentre dans son jeu !

 

- Ben, oui, tu vois, j'aime ça, sucer des bites ! 

 

Il y donc des choses qui sont plus dures à admettre qu'à pratiquer ! La nature humaine est bizarre dès fois. Me voici en train de regloutonner la quéquette de Jocelyn ! Que c'est bon et ma propre bite qui est prête à éclater…

 

Quand soudain…

 

Cracracrac !

 

Horreur ! La porte n'était même pas verrouillée ! Il ne devrait plus y avoir personne à cette heure-ci ! On est en train de faire un truc qui peut nous faire virer de la boite. Une femme en blouse bleue entre, c'est la femme de ménage !

 

- Ne t'arrête pas, on se connaît, c'est une copine, on s'est fait des gros câlins l'autre soir ! Reprend Corinne ! Viens Fernanda, viens voir le spectacle !

- Oh ! mon dieu ! S'esclaffe cette dernière. Des "zomos" !

- Mais non ce ne sont pas des "zomos ", ce sont des bisexuels !

- Bisexouels ? Des petits cochons oui !

- Et puis on s'en fout, c'est excitant !

- Humm c'est vrai, c'est excitant, il en a une belle pine, celoui-là !

 

Evidement celui-là c'est l'autre ! 

 

- Zé peut goûter !

- Pascal, laisse-lui goûter !

 

J'ai toujours été très poli et laisse la place à Fernanda ! Sa blouse a déjà volé, elle n'a plus grand chose en haut, et coince la bite de Jocelyn entre ses deux gros seins lui faisant une véritable branlette espagnole ce qui est un comble pour une portugaise ! A chaque remontée de la bite entre ses globes elle l'asticote du bout de la langue. Le Jocelyn ne parvenant plus à se contrôler, la prévient mais un peu tard qu'il va décharger et notre petite femme de ménage reçoit tout en plein visage !

 

Elle ramasse le sperme et s'en étale sur les seins qui prennent alors un aspect brillant très agréable visuellement, je lorgne dessus, et elle s'en aperçoit évidemment !

 

- Tu veux faire pareil ?

 

Bien sûr que je veux faire pareil ! Me voici coincé entre les seins de la belle ! Et tandis qu'elle me ramone, je sens une main sur mes fesses, ce n'est pas celle de Jocelyn qui épuisé est allé s'asseoir, le doigt de Corinne est à présent rentré carrément dans mon cul et me le masse d'une façon bizarre mais qui n'a rien de désagréable. Je ne tarde pas à éclater à mon tour !

 

- Et maintenant qui c'est qui s'occupe de moi ? Demande Fernanda !

 

Corinne la prend par la main, j'ai la tête qui tourne, trop de choses à la fois, je fais couler de l'eau pour me laver le sexe et pour m'en asperger le visage, je ressors à moitié groggy, Fernanda et Corinne sont sur la moquette en soixante-neuf en train de se bouffer le minou C'est du délire ! Je m'approche de Jocelyn, en plein coup de pompe !

 

- Ça va, mon vieux ? Me demande-t-il.

 

Je m'étonne de cette soudaine grande familiarité !

 

- C'est dingue !

- Ça t'a plus, on dirait !

- Ben oui, je ne vais pas te mentir ! Mais, je m'attendais pas à ce que ça aille jusque-là ! 

- Ben tu vois ! Seulement il y a un petit problème ! Précise-t-il.

- Un problème ?

- Je te dois la vérité !

- La vérité !

- C'était une mise en scène ! L'autre fois à la cantine, j'ai senti ton trouble, j'en ai parlé avec Corinne. Elle m'a alors dit que des mecs comme ça, il y en avait plein, mais que seule une femme pouvait débloquer la situation. Alors je l'ai mise au défi d'y arriver ! Elle m'a affirmé qu'elle en était parfaitement capable ! C'est une sorcière, cette nana !

- Tout était combiné alors ?

- Mais non pas tout, et sûrement pas l'arrivée de la femme de ménage. Non juste le début, je devais te demander devant elle de me la tenir, mais c'est tout !

- Ouais, bon je n'ai plus qu'à prendre ça du bon côté, ça aura au moins été instructif et pas désagréable !

 

Je ne sais pas ce que m'a répondu Jocelyn mais ça a été couvert par le cri de jouissance de Fernanda suivi presque aussitôt par celui de Corinne…

 

Bon, cette fois je vais partir pour de vrai ! 

 

- Où tu vas ? Demande Corinne !

- Je rentre... pour de vrai cette fois.

- Euh, tu ne pourrais pas téléphoner chez toi et dire que tu fais nocturne, on irait bouffer ensemble et après je vous emmène chez moi, j'aimerais bien que vous me sautiez tous les deux et surtout j'aimerais bien vous voir aller encore plus loin tous les deux !

- Ça aussi c'est combiné d'avance ? Mais pas de bol, je ne marche plus et de toute façon ça ne me tente pas du tout !

- C'est malin ! Mais pourquoi tu lui as dit ? Rouspète alors Corinne en regardant Jocelyn.

- Je ne sais pas, ça me gênait cette situation ! Répond-il 

- Ça te gênait ou tu avais peur de perdre ton pari ?

 

Oh, là, ils vont s'engueuler ces deux-là, manquait plus que ça ! Et puis c'est quoi cette histoire de pari ? C'est nouveau ça encore ?

 

- Je n'y ai même pas pensé ! 

- Menteur ! Tu devrais faire attention, tu ne sais pas que je suis une sorcière ?

- Si justement !

- Et tu sais ce qu'elle va faire la sorcière !

- Ne surestime pas tes possibilités !

- Regarde ! Répond simplement Corinne ! Puis elle m'interpelle " Pascal ! " alors que j'allais actionner l'ouverture de la porte

- Oui ?

 

Elle me regarde dans les yeux ! Elle sourit, elle est craquante !

 

- Maintenant tu sais la suite, c'est un pari, d'accord ?

- Ben, oui !

- Je voudrais simplement que tu m'aides à le gagner !

- Alors d'accord !

 

Eddy Stokien (Décembre 2002)

 

 

FIN

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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