Dimanche 2 septembre 2001 7 02 /09 /Sep /2001 11:38

Les séances de Joy

1 - Une inconnue blonde

par Eddy

 

bisou1719 h

 

Note de l'auteur : Une gageure pour un écrivain, se mettre dans la peau d'une femme pour écrire ! Après tout pourquoi pas ? Et quand on sait que la femme en question n'est autre que Joy, ce travail devient absolument passionnant !

 

Je ne sais pas moi-même combien d'épisodes aura ce feuilleton dont je serais la coquine héroïne. Autant donc que vous sachiez à qui vous allez avoir affaire au fil de toutes ces lignes

 

Je me prénomme Joy, j'approche de la quarantaine, (mais je ne les fais pas) et je travaille, disons dans le commerce. Mes mensurations sont 90 C 60 90, Mes tétons sont bien roses et aiment toutes les caresses, des plus tendres jusqu'aux plus agressives. Ma peau est légèrement bronzée... partout. Je mesure 1,64 m pour 49 kg, mes jambes sont longues et mes petites fesses bien musclées attirent le regard, mon petit minou est joliment rasé de près et s'orne d'un petit tatouage représentant un glaive avec une rose, vie et mort, force et douceur. Ah ! Mon visage, j'ai les cheveux longs, bouclés, châtains clair, les yeux noisettes, l'un pale et l'autre foncé, mais j'ai aussi un petit secret, un joli petit piercing sur la langue, et j'aime m'amuser à m'en servir partout où ma langue aime fureter, et croyez-moi, elle aime ça fureter

 

Le jour de cette première aventure je m'étais vêtue un peu comme tous les jours d'une petite jupe noire, d'un chemisier beige, mes jambes étaient gainées de bas noirs, non, non pas des bas auto-fixants, des bas avec un porte-jarretelles, j'adore porter des dessous affriolants qui affirme ma féminité.

 

J'aurais très bien pu vouloir traverser cette rue avant ou après ce carrefour ! Allez donc savoir pourquoi, j'avais décidé de le faire ici, avant de m'engager, je regarde machinalement en direction d'une voiture en stationnement. Deux amants sont installés sur les sièges avant. Ils s'embrassent fougueusement ! Peut-être d'ailleurs ne font-ils pas que s'embrasser ?

 

Le petit démon voyeur qui devait m'accompagner ce jour-là m'aiguillonna ! Et si je pouvais en voir un peu plus ? Juste un peu plus ? Justement ça tombe bien, ma journée de travail est terminée, je ne suis pas pressée, alors je ne traverse pas. Je prends le pas le plus lent possible et rebrousse chemin.

 

J'ai le temps, ainsi de mieux regarder. Et là ! Surprise ! Je m'y reprends à deux fois, je regarde mieux ! Non il n'y a pas de doute, ce sont bien deux femmes qui se roulent une pelle ! Ah ! Ben ça je n'en reviens pas ! La situation m'émoustille ! J'aimerais en voir davantage et pendant plus longtemps ! Après tout, je suis à un coin de rue, je vais faire la fille qui attend quelqu'un, qui a un rendez-vous, je fais donc les cent pas devant leur voiture. Le jeu est quand même gonflé, leur bisou ne va pas durer tout l'après-midi et elles risquent de se rendre compte que quelqu'un les observe. Et alors ? Ce n'est pas interdit, si elles ne veulent pas qu'on les regarde, elles n'ont qu'à se planquer.

 

Enhardie par ce raisonnement simpliste, je me baisse, et fais un geste, comme si quelque chose me gênait dans ma chaussure, je peux alors constater que leur ardent baiser est accompagné d'un pelotage en règle. Je ne sais plus ou me foutre tellement je suis excitée !

 

Clac !

 

La portière s'ouvre ! Puis l'autre ! Je tombe en arrêt ! Je ne bouge plus ! Une fée vient d'apparaître. Grande élancé, le visage d'un ovale parfait, des grands cheveux blonds nattés en arrière lui donnent un air un petit peu sévère. Elle est vêtue d'une petite jupe droite en cuir et d'un petit haut à manches courtes, un machin blanc à gros pois rouges qui aurait été quelconque s'il n'enveloppait pas une superbe poitrine dont la naissance déborde fièrement de son décolleté.

 

Et... elle me regarde... droit dans les yeux... Je ne sais plus ou me foutre, mais avant que je baisse les yeux, voilà qu'elle me sourit ! Je suis rouge de confusion, je voudrais me faire toute petite, rentrer sous terre comme une petite taupe. Je songe à partir, puis me ravise. Après tout, je jouais le personnage de quelqu'un qui a un rendez-vous, pourquoi en changer, je regarde ma montre pour me donner une contenance, pour continuer mon rôle.

 

Les deux femmes discutent quelques courtes minutes, puis se font un petit bisou et se séparent. Je comprends que la grande blonde est la propriétaire de la voiture. Le flash va finir, elle va se mettre au volant et disparaître de ma vue.

 

Pas du tout, elle regarde dans ma direction, elle me toise, je me demande ce qu'elle cherche. Elle sourit, je réponds cette fois au sourire. De toute façon, c'était ça ou baisser les yeux ! Elle ouvre sa portière, pénètre dans son véhicule, c'est fini, je me prépare à quitter les lieux mais attend néanmoins qu'elle démarre, afin de donner le change.

 

Mais voilà qu'elle ouvre l'autre portière et qu'elle m'interpelle :

 

- Mademoiselle !

 

Je ne réfléchis même pas je m'approche, me disant qu'elle a sûrement besoin d'un renseignement.

 

- Vous avez cinq minutes ?

- Euh ! Je ne sais pas ! Pourquoi ?

- Rien de bien méchant, je voudrais vous parler !

 

Ce n'est pas vraiment une réponse !

 

- Euh parler de quoi !

Elle se fait chatte...

 

- Hé, Hé, venez, je vais vous dire !

- Bon, je vous écoute !

- Installez-vous 5 minutes, on serra mieux !

 

Je m'assois sur le siège passager à côté d'elle, je la distingue mieux, elle est sans doute un tout petit plus âgée que ce que je croyais, la quarantaine sans doute, elle est très belle, plus que belle, elle est craquante !

 

- Je m'appelle Carole !

- Euh... Joy !

- On ne va pas rester là, je vais me garer un peu plus loin !

 

Non mais ce n'est pas vrai, et elle démarre ! Elle m'enlève ou quoi ? Puis soudain :

 

- Alors il t'a plu le spectacle ?

 

Aïe ! Elle m'avait vue ! Que dire ? Je n'en sais rien ! Que faire ? Rien, la voiture roule ! Je balbutie un truc :

 

- Je suis désolé, ça m'a amusé !

- Amusé ou excité ?

 

Quelque chose me dit que je devrais jouer cartes sur table, cette nana est peut-être dangereuse, il s'agit déjà de ne pas la contrarier. Je décide donc d'attendre le prochain arrêt de circulation pour m'extirper de la bagnole et foutre le camp.

 

- Excité, oui !

- J'en étais sûre ! Excité parce que c'est insolite, ou excité par ce que c'est deux femmes qui s'embrassaient ?

- Les deux, en fait !

 

La voiture s'engage dans une rue faiblement fréquentée, elle ralentit, j'attends le moment où je vais pouvoir sortir. Un coup de volant, elle se gare.

 

- N'ai pas peur, je ne vais pas te bouffer !

- Je n'ai pas peur ! 

- Menteuse ! Regarde-moi dans les yeux !

 

Je ne sais pas trop à quoi elle veut jouer, je ne sais pas trop non plus pourquoi j'accepte de le faire, mais nos visages sont maintenant très près l'un de l'autre, et son visage, son joli visage, sa jolie frimousse avec ses yeux qui me regarde, sa bouche qui s'entrouvre. Mon dieu ! Je vais craquer ! Un simple détail un simple mot, et tout peut basculer. Je ne sais pas encore à ce moment-là si je le souhaite ou pas !

 

- Je te trouve vachement mignonne, tu sais ! Me dit carole !

 

Et voilà ! L'estocade, je n'ai plus de défense, je fonds, sa bouche cherche la mienne, je n'offre aucune résistance, je l'accueille, mes lèvres rencontrent ses lèvres, sa langue atteint la mienne... Qui est cette nénette pour rouler une pelle à deux filles différentes en un quart d'heures de temps ? Mais je m'en fous, je me sens toute chose, j'ai envie de vivre ce moment, de le faire durer. L'idée incongrue que l'on peut nous voir m'amuse l'espace d'une seconde, à chacun son tour ! Et puis soudain, presque brutalement, Carole se détache !

 

- J'ai bien envie de t'emmener chez moi !

 

Ca je ne vais pas dire non ! Mais l'invitation n'est pas directe !

 

- Pourquoi pas ?

- Ça te plairait, hein ?

- Je crois, oui !

- Mais tu ne me connais pas ?

- Ce n'est pas grave, on fera connaissance !

- Ça m'embête un peu...

- Bon, ben si ça l'embête, on n'ira pas, j'en ferais pas une maladie, mais alors pourquoi m'allumer comme ça ?

- Bon, ben tant pis ! Je vais te laisser ! proposais-je

- Je peux te poser une question ?

- Pose, pose !

- Parce que je m'amuserais bien avec toi...

- Qu'est ce qui t'embête alors ?

- Moi rien, c'est pour toi !

- ????

- J'aime bien parfois dominer, être très autoritaire, tout le monde n'aime pas cela !

 

Si elle savait !

 

- Du moment que ça reste un jeu !

- Tu as déjà fait de la domination ?

- Hummm, des fessées, des pinces, des trucs comme ça oui ! Mais sans exagération... Je suppose que tu n'as pas l'intention de m'abîmer !

- Abîmer une petite frimousse comme ça, il faudrait être folle !

- Qu'est-ce que tu veux me faire !

- Te faire du mal et te faire du bien !

- Hummm... J'ai bien envie d'essayer !

- Allez viens !

 

Je suivis Carole dans son vaste studio, je pensais au départ que c'était un local de "professionnelle", non, ça ressemblait bien à un appartement très classique avec la cuisine et la salle de bain où rien nulle part ne ressemblait à un instrument de domination.

 

- Euh, j'aurais dû t'en parler en bas, je ne veux pas que tu m'attache, je ne veux pas de bandeau sur les yeux et pas de bâillon, non plus !

- D'accord, mais pourquoi as-tu peur ? Tu ne risques rien, tu es toute tremblante !

- Je crois que je vais m'en aller !

- Moi je crois que tu ne sais pas ce que tu veux !

 

Et en disant cela elle m'asséna une gifle sur la joue, oh, pas trop forte, mais une gifle quand même ! J'allais réagir quand une seconde arriva, sur l'autre joue, une petite larme perla au coin de mes yeux !

 

- Tu veux jouer ou pas ? Me demande-t-elle avec un grand sourire !

 

Il n'y aurait pas eu ce sourire j'aurais sans doute dit non, mais je ne sais pas pourquoi, je m'accrochais...

 

- Oui mais si je te dis d'arrêter, tu arrêteras ?

- Si tu me dis d'arrêter, je n'arrête rien du tout, je ne connais pas ce mot-là, je ne sais pas ce qu'il veut dire... mais si tu me dis "crapaud pointu", j'arrête !

 

Ça me paraissait tellement idiot que j'éclatais de rire !

 

- Ce n'est pas drôle !

- Oh si !

- Bon alors cette fois on se décide pour de bon, on joue ou alors on se dit au revoir !

 

Je me lançais :

 

- On joue !

- Bon, reste comme tu es et ne bouge pas !

 

Carole s'approcha de moi et très lentement déboutonna mon chemisier, son visage était tout près du mien et m'enivrai, j'avais une envie folle de l'embrasser, je me passais la langue sur les lèvres, le vêtement tomba sur le sol, ma jolie petite poitrine enfermée dans son soutien-gorge de dentelle lui faisait maintenant face. D'un doigt elle pénètre le soutif, cherchant le téton, elle le trouva et s'amusa à passer plusieurs fois dessus. Un frisson me parcouru. Je me dis que si c'était là toute sa domination, je ne m'en tirerais pas trop mal, bien au contraire ! Finalement elle tira sur les le bas des bonnets dégageant ainsi mes seins pas le bas. Sans transition elle m'attrapa mes deux tétons roses et entreprit de me les serrer.

 

- C'est bon !

- C'est bon qui ?

- C'est bon, maîtresse !

 

Elle pinçait vraiment très fort, à un moment, je sentis le bout de ses ongles, je me mis à paniquer

 

- Ne laisse-pas de traces !

 

La gifle fut immédiate !

 

- Pour qui te prends-tu pour me donner des ordres ? Mets-toi les mains sur la tête et attend-moi, je reviens !

 

Elle partit farfouiller dans un placard et revint avec une petite cassette qu'elle ouvrit pour en retirer des pinces articulées. Sans aucun ménagement ni précautions elle me les accrocha à mes mamelons.

 

- Aïe !

- Qu'est-ce qu'on dit ?

 

Et qu'est-ce qu'elle voudrait qu'on lui dise ?

 

- Merci Maîtresse !

 

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Elle s'amusait avec les pinces, les enlevait les remettait, les tournait. Elle fouilla de nouveau dans sa cassette et en ressortit des poids, elle en accrocha un à l'extrémité de chacune des pinces. Ça commençait à me tirer sérieusement sur les tétons entraînés par le poids.

 

- Enlève-moi tout le reste, je veux te voir complètement nue !

 

Je n'avais pas compris toute la perversité de cet ordre d'apparence anodin, en enlevant ma jupe, puis ma culotte, j'étais obligé de faire des gestes de mon corps en tous sens, ce qui faisait atrocement ballotter les poids de mes seins. Je terminais, repris la pose attendant que les poids stoppent leur balancement. Carole semblait hilare.

 

- Mets-toi à quatre pattes, petite pute en chaleur !

 

Elle m'ordonna ensuite de marcher dans cette position jusqu'à la fenêtre puis de revenir. Les poids n'en pouvait plus d'aller et venir de droite et de gauche ! Ça faisait mal mais provoquait en même temps un plaisir trouble, je me surpris à constater que mon entre cuisse commençait à mouiller.

 

- Bon, viens là, on va faire un break !

 

Ouf ! Elle me retira alors les pinces !

 

- Aïe !

 

Bon dieu que ça peut faire mal quand on les enlève ! Je criais, puis repris ma respiration

 

- Tu vas te calmer, oui ?

- Oui maîtresse, je suis calmée !

- Bon ! Alors je vais pouvoir te les remettre !

- Non !

- Non qui ? 

- Non maîtresse !

- Et tu crois sans doute que je ne vais pas le faire, rien que parce que tu dis non.

 

Je cherche dans ma tête le mot de sécurité, Sabot tordu ? Chapeau fendu ? Chameau pointu ?

 

- Aïe ! 

 

Trop tard, elles sont déjà mises !

 

- Supporte les encore un petit peu, tu seras bientôt récompensée !

- Oui maîtresse !

- Va dans la cuisine, tu vas prendre une bouteille de vin blanc dans le frigo, tu trouveras un tire-bouchon dans le tiroir et deux verres dans le petit buffet. Allez ouste...

- Oui maîtresse, bien sûr, maîtresse !

- Et à quatre pattes ! Du moins pour l'aller, parce que pour le retour ça risque d'être difficile.

 

Je revenais avec tout ça !

 

- Débouche la bouteille !

 

Pour enfoncer le tire-bouchon ça va encore, mais pour extraire ensuite le bouchon avec ce vieux modèle, il faut tirer comme une dingue, l'extraction provoque alors un mouvement de mon corps qui fait rebondir les poids des pinces accrochés à mes seins, puis les fait redégringoler ensuite en tirant sur mes chairs.

 

- Aïe !

 

De nouveau Carole me retire les pinces. Ça pour déguster, je déguste, mais cette sensation de douleur se mêle à un plaisir trouble qui ne m'est pas du tout désagréable, que voulez-vous, on est maso ou on ne l'est pas !

 

Carole se tourne alors, je ne la vois que de dos, elle retire son haut et sa jupe ! 

 

- Dégrafe le soutif !

 

Ce n'est vraiment pas une corvée. Elle pivote, Sa belle poitrine nue me nargue. Elle est splendide, légèrement mate, reluisante, les aréoles très brunes, le téton presque noir et distendu ! Hummmmmmmmmm !

 

- Ça te plairait d'y toucher, hein ? Petite pute !

- Oui maîtresse ! Bien sûr, maîtresse !

- De la caresser ?

- Oui maîtresse !

- De m'en pincer les bouts ?

- Oui maîtresse !

- De me les lécher, de me les mordre... 

- Oui maîtresse !

- Un de ces jours peut-être... si tu es sage

 

La salope !

 

Elle retire elle-même sa culotte, sa chatte n'est pas rasée, je veux dire pas rasée complètement, ses petits poils châtains clairs me fascine la vue. 

 

- A genoux !

 

Je me demande ce qu'il va encore m'arriver quand je la vois remplir les deux verres de vins. Une petite pause désaltérante ne pourra que nous faire du bien.

 

- Tu as soif ?

- Oui maîtresse !

- Oui maîtresse, oui maîtresse, tu ne sais dire que cela !

- Oui maîtresse !

- Tu ne te fouterais pas un peu de ma gueule, non par hasard ?

 

Elle rigole, ce qui est bien chez elle c'est que malgré le fait qu'elle domine assez durement, elle ne perd pas son humour, elle joue, elle joue réellement.

 

Elle trempe alors deux doigts dans le verre, et me les mets dans la bouche

 

- Suce ! Suce comme si c'était une bite !

- Bien maîtresse !

- T'aime ça, sucer des bites ?

- Oui maîtresse !

- Et les culs aussi ?

- Oui maîtresse !

- On va voir ça !

 

Elle prend le verre de vin s'en fait couler sur les fesses, l'étale un peu partout avec la main afin de bien s'en humecter le trou du cul. Puis elle me le tend !

 

- Allez lèche-moi tout cela, que je sente bien ton piercing !

 

Pour la première fois je peux poser vraiment mes mains sur son corps, je commence à lécher les globes fessiers, apparemment elle me laisse faire ça à ma façon, je vais la gâter, la blonde ! Hummm c'est bien bon tout cela ! Je m'approche de plus en plus du petit trou ! J'ai quand même une petite appréhension, je suis excitée comme une puce, mais si l'endroit sent trop fort, je vais me bloquer. En fait non juste une petite odeur qui n'a rien du tout de repoussante. Je plonge ma langue. La coquine me sent venir et écarte son orifice, je m'y enfonce davantage. Elle s'aide des mains pour s'écarter au maximum et me faciliter le passage, je l'encule avec ma langue. Elle pousse des petits cris. Ça lui plait bien mes petits coups de langues dans son mignon petit trou du cul ! 

 

Mais voici qu'elle se tourne, dommage, on s'amusait bien, elle se couche carrément sur la moquette, écarte les jambes.

 

- Allez, viens me faire jouir !

 

Ah bon ! C'est comme ça, pas de problème, j'installe mon visage entre ses jambes, je lèche un peu tout cela, sa petite chatte est toute trempée, je lape ses grandes lèvres, me régale de sa mouille. Elle ferme les yeux, elle est avec les anges, alors je porte l'estocade, je pose d'abord mes lèvres sur son clitoris en faisant pression dessus, puis ma langue entre en action faisant frotter mon piercing contre son bourgeon raidie. Elle ne tarde pas à exploser !

 

J'aimerais bien que l'on s'occupe de moi, j'attends la suite !

 

- Tu en voudrais encore ? Hein ? Petite gourmande ?

- Oh ! Oui maîtresse !

- Alors il faudra revenir demain !

- Non !

- Si ! Et demain j'ai bien envie de te donner une bonne fouettée... à moins que j'aie entre temps une autre idée !

- Peut-être !

- Poste-toi au même endroit que cet après-midi à la même heure, je viendrais te cueillir en voiture, tu y seras ?

- Je ne sais pas maîtresse !

- Ah tu ne sais pas, mais moi je crois que tu y seras !

 

Je ne réponds pas, je suis en train de me rhabiller, frustrée de cette fin stupide, je n'ai même pas jouis, tant pis je me masturberais à la maison, ou je sauterais sur mon homme s'il est rentré ! Il y a quelques secondes je ne savais pas si je serais à ce rendez-vous, mais maintenant ma décision est déjà prise, j'y serais !

 

- Au fait ?

- Oui, maîtresse !

- Je ne suis plus ta maîtresse, la séance est terminée, mais demain, ne mets pas de culotte pour aller au rendez-vous. Je ne t'oblige pas, mais ça me fera plaisir !

- Ah ! Alors à demain... Carole !

 

A suivre (évidemment, je ne vais pas vous quitter comme ça !)

 

 

Copyright © 2001  Eddy Stokien

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Dimanche 2 septembre 2001 7 02 /09 /Sep /2001 08:58

La grande asiatique

par Eddy

 

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Le hasard ! Je sortais de cette réunion compliquée, très compliquée, trop compliquée. Besoin de relire mes notes, de les classer avant que tout ce fatras me sorte de l'esprit. Trouver un bistrot et mettre tout cela au propre en buvant un verre de bière. Un type m'emboîte le pas :


- Pas évident tout cela !

- Non !


Je ne relance pas l'importun, j'ai envie qu'on me foute la paix, j'ai horreur des gens qui continuent les réunions après les réunions.


- Ça donne soif, tout cela ! Je vous paie un coup ?


Au secours, pas moyen d'être tranquille, comment faire pour lui refuser alors que justement je cherche moi aussi un bistrot ?


Le temps d'y aller j'ai déjà un plan, c'est tout simple, j'abrège autant que possible ce pot inutile, je prends le métro et redescendrais à la prochaine... peinard !


- On s'assoit !

- Non, j'ai pas trop de temps !

- Juste cinq minutes ça nous détendra !


Mais il ne se rend pas compte qu'il m'emmerde, le gros lard ? On s'installe, il tient absolument à m'exposer son point de vue sur ce qui s'est dit cet après-midi. Je finis par mettre les points sur les i.


- Ecoutez, je suis crevé, je ne voudrais pas vous vexer, mais j'ai vraiment plus envie de parler boulot !


Du coup l'autre, il ne sait plus quoi dire ! il balbutie un machin du genre :


- Z'avez raison, il n'y a pas que ça dans la vie ! 


Puis silence radio. Je sirote ma bibine, des gens arrivent, ils s'assoient à quelques tables de nous. Machinalement je jette un œil.


Et là : le choc !


Mais d'où sortait donc cette étrange créature ?


Je ne l'avais pas vu s'asseoir mais il était évident qu'elle était très grande. Un visage parfait, une peau jaune foncé, des yeux en amande très noirs, des pommettes relevées, une bouche sensuelle, de longs cheveux raides et noirs évidements. La voix paraissait rauque, elle parlait un français très correct avec un accent bizarre, ça pouvait passer pour un mélange d'accent américain et chinois ! 


Le produit d'un métissage étrange, ou alors un travesti.


Elle était vêtue d'une sorte de pull-over vieux rose sous lequel les formes d'une poitrine de taille moyenne se devinaient nettement


Elle discutait avec un type, un type quelconque, il était parfois question d'un voyage en voiture à plusieurs, j'entendis aussi une allusion à des massages, mon esprit pervers s'efforça d'écouter alors davantage, mais il ne s'agissait, précisait la créature, que de massages chinois traditionnels, j'avoue ne pas savoir ce qu'est un massage chinois traditionnel.


- Bon, ben on va y aller !


Mais qu'est-ce qu'il me raconte l'autre ? C'est que je ne suis plus du tout pressé, moi ! Cette créature me fascine de trop !


- Un moment, une petite envie pressante !


Je me levais de mon siège, et me dirigeait vers les toilettes, ce n'était qu'un prétexte pour en voir davantage, je ne fus pas déçu ! Une petite jupe grise, de longues jambes gainées de bas noirs fantaisie. J'avais du mal à cacher mon trouble.


En revenant mon casse-pieds était déjà dans les starting bloc !


- Bon on y va !

- Je vais vous laisser, j'ai un coup de fil à donner, j'ai horreur de téléphoner dans la rue !

- Bon ben, je vous laisse téléphoner, je vais aller aux toilettes à mon tour.


C'est pas possible, un vrai Séraphin Lampion, l'archétype du beauf emmerdeur. J'aurais bien sûr pu lui dire que ma communication serait très longue, mais on ne pense pas toujours à tout. 


Je profite de son absence pour reluquer cette créature de rêve. A force de la reluquer, elle finit par s'en apercevoir, et me lança un petit sourire ! Mon dieu, elle me souriait. Mais que pouvais-je attendre ? Qu'importe, on verrait bien.


Casse pied revient. On sort, on va au métro. On commence à en descendre les marches, j'ai un plan simpliste :


- Vous prenez quelle direction ?


Il me l'indique ! Je lui explique alors que justement moi je prends la direction opposée. Curieux et gonflé jusqu'au bout le beauf :


- Non, vous vous trompez pour la Gare du Nord, c'est l'autre direction !


Non, mais de quoi je me mêle !


- Oui, je sais, mais je vais dire bonjour à ma cousine !


Du coup son œil devient égrillard.


- Vous avez raison, faut en profiter !


J'espère simplement qu'il ne va pas avoir l'extrême culot de me proposer de m'accompagner. Je remonte les escaliers, retourne au bistrot en espérant que mon asiatique géante y sera toujours. Suspense ! Non, elle est toujours là ! Je m'assieds à la même place que précédemment. Elle m'a vu revenir, petit sourire discret. Je ne sais plus où me foutre ! Il fallait que je m'occupe, alors je sortis de mon porte-documents une feuille blanche et entrepris de décrire l'évènement. Je tendais l'oreille, mais rien d'intéressant jusqu'à ce que :


- Va falloir que je rentre !


Et voilà tout ce cinéma pour quoi ? Pour me retrouver seul à cette table ! Enfin il faut se faire une raison, primitivement j'étais là pour mettre mes notes à jour ! Les deux zouaves se lèvent, Monsieur devant, madame derrière. Et voilà que très discrètement la chinoise me tend un bout de papier, ce n'est même pas une carte de visite, c'est une espèce de coupon détachable, le genre de carton vendu avec les téléphones portables et destiné à en diffuser le numéro.


Elle m'a refilé son numéro de portable ! Il n'y a que le numéro, aucun nom. Je vais fondre !


Je ne me suis pas présenté, mais à vrai dire, je ne sais pas dire grand-chose sinon que j'ai quelque chose entre 35 et 40 ans, divorcé et présentement donc célibataire. Quelconque de chez quelconque. Je bosse dans l'informatique, ou plutôt je bidouille, concoctant des petits programmes que mon patron revend à des prix astronomiques. Le poste est sous-payé mais il a un avantage : Comme mes supérieurs hiérarchiques n'y connaissent rien, je suis assez gonflé pour leur dire qu'il faut un mois de développement pour patcher un programme alors que quelques heures sont seulement nécessaires. On me laisse aussi libre de mes déplacements pour les tests en clientèle. Autrement dit, j'ai du temps de libre !


Revenons à notre sujet ! Pourquoi avais-je été attiré par cette grande chose ? Je n'ai pas un type de femme particulier (quoi que si, je préfère les poitrines généreuses !), mais de toute façon, je ne cultive pas le culte des "géantes" et ne suis pas plus que cela branché sur les asiatiques. Sans doute alors est-ce l'ambiguïté supposée du personnage, ou du moins son caractère hors du commun ? Mais, bon, je ne dois pas être comme tout le monde. L'espèce de beauf qui m'accompagnait au bistrot n'avait, lui pas l'air particulièrement attiré par le personnage... ou alors il le cachait bien... c'est vrai aussi que l'hypocrisie ne s'est jamais aussi bien portée !


Alors ? Je l'appelle ou pas, la créature de rêve ? Et d'abord pourquoi m'a-t-elle refilé son numéro ? Elle racole ou quoi ? Et puis si c'était un travelo ? Je me demande si au fond de moi-même, je n'en arrive pas à le souhaiter, que c'en soit un ! J'ai en matière de sexualité les idées très larges ! Mais les idées seulement ! Je n'ai jamais concrétisé grand-chose et mes rares tentatives de débordement furent à l'époque jugées sévèrement pas mon ex auprès de laquelle je passais pour un pervers particulièrement obsédé. "- Heureusement, il a d'autres qualités !" Ajoutait-elle à l'attention de ses amis. Cela ne l'a pas empêché de foutre le camp avec l'un de ses collègues. Je me suis toujours demandé qu'est-ce qui lui faisait que je ne lui faisais pas ? Peut-être une meilleure condition physique tout simplement, à moins que ça n'ait rien à voir avec le sexe ! Comme je dis toujours, il n'y a pas que ça dans la vie. Mais heureusement que ça existe !


Bon, je me lance ou pas ? Attention, ça va être la grande improvisation !


- Allô ! Je suis le monsieur à qui vous avez donné votre numéro, hier au café !

- Un monsieur à qui j'ai donné mon numéro ?


(Un instant de doute - pourtant c'est bien sa voix !)


- Oui !

- C'est possible, vous savez ! Je donne mon numéro a tellement de gens !


(Ce n'est pas possible elle se fout de ma gueule ! Mais du coup, je suis décontenancé et ne sais plus quoi dire…)


- Je plaisante ! J'ai reconnu votre voix ! Et que désirez-vous, cher ami ?

- Heu… Si vous m'avez donné votre numéro, c'est pour que je vous rappelle, alors voilà, je vous rappelle !

- Ah ! Ah ! Mais la bonne question serait : " vous me rappelez pourquoi ? " Répondit-elle en minaudant à demi.

- Pour nous rencontrer, je suppose ?

- Dites-moi votre prénom !

- Fabrice, et vous ?

- Kim !

- Vous êtes marié ?

- Je suis divorcé.

- Vous êtes libre, alors ?

- Comme l'air !

- Dites-moi Fabrice ? Pourquoi me regardiez-vous avec autant d'insistance hier après-midi ?


(Attention aux questions pièges !)


- Je vous trouve une beauté, disons, particulière !

- Merci ! Un compliment fait toujours plaisir, mais dites-moi, Fabrice, n'avez-vous pas peur des surprises ?


(Putain, la conversation prend une tournure bizarre, pourquoi parler toujours par allusion, si c'est un travesti, qu'elle me le dise, et je crois bien que j'irais quand même à son rendez-vous, si toutefois, elle m'en file un !)


- J'adore les surprises !

- Les bonnes, je suppose ?

- Tant qu'à faire !

- Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'elle sera bonne ?

- J'ai confiance !

- Parfait ! Alors jouons cartes sur table. J'exerce une profession libérale un peu particulière, disons que je fais de la médecine douce…


(Merde ! Une pute ! J'aurais dû m'en douter !)


- Médecine douce ?

- Oui ! Mais je vais être très franche ! Je ne racole pas dans les bistrots ! Vous savez, quand vous achetez un portable, ils ne vous donnent pas cinq cents papelards à distribuer. Je sais lire dans les yeux des hommes ! Ce que j'ai lu dans les vôtres m'intéresse. !


(Attention, pour la brosse à reluire !)


- Je ne voudrais pas non plus vous décevoir !

- Bof ! On peut prendre des risques parfois, et celui-ci n'est pas bien grand ! Voulez-vous savoir ce que j'ai lu dans votre regard ?

- Ben, oui !

- Vous êtes un petit cochon ! Les coincés appelleraient cela un " obsédé sexuel ", mais ce n'est pas le plus important. Le plus important c'est que dans ce regard, il n'y avait ni mépris, ni hypocrisie !


(Oups ! Elle va me faire rougir, l'asiatique au sexe inconnu, à moins que ce ne soit qu'une très bonne… commerciale !)


- Vous êtes forte !

- Alors, je vous propose deux formules, ou bien on se voit au bistrot pour continuer à discuter. Ou alors vous venez directement chez moi vous jeter dans la gueule du loup !

- Ce sera la gueule du loup ! Répondis-je sans aucune hésitation.

- Je l'aurais parié ! Heu… malgré tout une dernière chose, c'est très ambiance club chez moi, je ne serais peut-être pas seule !


(voilà qui m'embête un peu, mais pas au point de me faire renoncer…)


- Qu'importe ! La gueule du loup, c'est la gueule du loup ! Mais... Euh… C'est combien ?

- Pour cette fois, ce ne sera rien du tout ! Vous notez l'adresse…


Alors là ! Je suis sur le cul ! C'est quoi ce phénomène ? J'ai rendez-vous demain à 10 h 30. Je prétexterais un contact clientèle.


Le lendemain matin, je me bichonne, je me rase de près, je me soigne ma coiffure ou du moins ce qu'il en reste, je m'asperge avec de l'eau de toilette achetée spécialement pour l'occasion…


J'ai eu hier soir du mal à m'endormir. Cette histoire de surprise m'a travaillé. Tout est possible ! Une femme, alors qu'on s'attend à un travesti ! Un travesti alors qu'on s'attend à ce qu'il ne le soit pas ! Aucune hypothèse ne me rebute ! A moi d'être à la hauteur de la réalité ! Et si cette réalité est un gros sexe prêt à bander ? Un sexe qu'elle m'oblige à toucher, voire à sucer, et peut-être même qu'elle va vouloir me sodomiser ? Où est-ce que je m'embarque ? Calme-toi, Fabrice ! Si tu as peur, il suffit de ne pas y aller ! D'accord ?


Je me méfie quand même, on ne sait jamais, une vielle arnaque, je prends un minimum de papier, un minimum d'argent et n'emporte ni chéquier ni carte de crédit.


Je suis toujours très ponctuel. On ne peut pas avoir que des défauts ! Je tourne un peu dans le quartier, et à 10 h 28 je monte son escalier, direction le 4ème étage. Pas de nom sur la porte, juste la lettre K sur une petite carte ornée d'un dragon rouge.


- Dring !


Et ma déesse est là ! Elle est simplement vêtue d'une sorte de kimono s'arrêtant en haut des cuisses et découvrant des jambes… mais des jambes interminables. Déjà l'excitation m'envahit. Elle me fait entrer. Quelle merveille ! Maintenant que je l'ai près de moi, que je peux l'admirer sans loucher, je réalise à quel point cette créature est fascinante.


Une créature fascinante dont je ne sais pas encore le sexe, qui racole avec des petits pense-bêtes fournis avec les téléphones portables, qui fait la pute, mais qui ne fait pas payer le client parce qu'il a une bonne tête !!! Plus incroyable, tu meurs !


- Je te plais toujours autant ?

- Vous êtes magnifique !

- Tutoyons-nous ! Que voudrais-tu que je te fasse pour notre entrée en relation ? Que dirais-tu d'un petit massage à ma façon ? C'est classique mais je fais cela très bien !


Je lui marque mon accord ! Je ne vais quand même pas me mettre à discutailler ! Puisqu'en plus, c'est gratuit ! Elle me demande de me déshabiller.


- Euh, comme ça d'emblée ?

- Ben, oui, pour faire un massage, c'est quand même plus pratique d'être à poil, non ?

- Euh, bon ! Répondis-je en commençant à me dévêtir. Et vous… euh toi, tu ne te déshabille pas ?

- Sois patient ! Tu ne tarderas pas à me voir à poil ! Pose tes affaires ici, ils ne craignent rien, mes amants ne se rhabillent jamais seuls !


Me voici tout nu ! Elle me regarde, elle me sourit :


- Tu devrais te raser les poils, ça t'irait bien !

- Ah ?

- La prochaine fois que tu viendras me voir, je veux que tu sois complètement rasé, d'accord ?


Je ne réponds pas ! Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ! Je n'ai aucune envie de me raser les tous les poils, et pour l'instant je ne sais pas encore si je reviendrais…


J'entends du bruit à côté, ça m'angoisse un peu de ne pas être en tête-à-tête avec Kim. J'ai toujours été un grand timide. Les bruits sont de plus en plus intrigants, on dirait des claques assez sourdes, suivies de gémissements plus ou moins étouffés.


- Allez ! Suis-moi dans mon petit paradis !


Mais c'est qu'il est étrangement peuplé son paradis, je comprends d'abord d'où venait le bruit, couchée sur une table de massage, une dame blonde et bronzée probablement d'une cinquantaine d'année se fait foutre une fessée en règle par une petite brunette assez maigre et aux petits seins. Les deux femmes sont évidemment à poil.


- C'est Natacha, une amie qui travaille parfois avec moi !


Pas du tout mon genre de femme, la Natacha ! Quoiqu'elle ait un joli visage et surtout un joli sourire. Un peu plus loin, attaché visage contre mur à une croix de St André, il y a un homme qui vu l'état de son dos et surtout de ses fesses a déjà reçu une assez sévère correction.


(Dans quel antre de farfelus es-tu tombé, mon pauvre Fabrice ?)


Je m'installe sur la deuxième table de massage, je me mets sur le dos, me demandant si moi aussi, je vais avoir droit à une fessée ! Bof ! Si ça fait mal, je pourrais toujours lui dire d'arrêter !


Et c'est parti ! Kim m'étale une sorte d'huile parfumée sur le dos. Et vas-y ! Les épaules ! Le dos ! Retour aux épaules. C'est très relaxant son truc, mademoiselle a des doigts de fée. Je ferme les yeux, je suis dans un rêve. Je ne m'intéresse même plus à ce qu'ils font à côté, tout ce que je sais c'est que la fessée a dû se terminer.


Maintenant Kim me masse les fesses. Voici un curieux massage, elle les malaxe, les pétrit !


- Tu sais que tu as un vrai cul de gonzesse ? Me dit Kim.


Elle réussit à me dire ce genre de chose sans aucune vulgarité, comme si c'était une évidence. Je ne réponds pas. Qu'est-ce que vous voulez que je dise ?


- On ne te l'a jamais dit ?

- Non !

- Arrête ! C'est pas possible ? Se moque ma masseuse 

- Je t'assure !


Elle me masse à présent de façon de plus en plus curieuse partant du sillon séparant les deux fesses, et repartant vers l'extérieur en tirant. Le résultat est qu'à chacun de ses mouvements, mon anus se dilate. Un trouble étrange m'envahit…


- C'est bon ça ! Je lui dis.


Il faut bien que je lui dise que ça me fait du bien, non ?


- Clac !


Une fessée arrive ! Ça y est ! Est-ce que je vais être bon pour la flagellation ? Non, pas du tout ! Elle reprend le même mouvement, mais plus rapidement, provoquant une série de dilatations/contractions qui m'interpellent de plus en plus. Les doigts de l'asiatique se rapprochent ostensiblement de mon petit trou. J'ai parfaitement compris ce qui va se passer. Je suis prêt. Le doigt est au bord et furète. Tandis que l'autre main se contente d'agir sur un seul globe fessier Je bande à présent comme un âne. Kim furète encore. Est-ce l'assaut ? Non, elle s'amuse, franchit l'étroite bande de chair séparant l'anus de la racine du pénis et s'y attarde quelques instants sans doute pour en vérifier la rigidité, puis son doigt remonte… et s'enfonce !


- Ah !


Elle fait maintenant des allers et retours avec son doigt. Je n'en peux plus ! Comment ais-je pu me passer de ce truc là pendant des années ? Un second doigt… puis un troisième….


- C'est bon ! C'est trop bon !


Cette fois, si Kim a un pénis, elle va me le foutre, c'est inévitable. Les doigts sont partis ! Quelque chose les remplace, c'est un peu froid. Je jette un coup d'œil… Un gode ! Kim est en train de m'introduire un gode dans le fondement ! Il va loin ! Ça peut donc aller si loin ce truc ? Quelques mouvements de va-et-vient. Je m'abandonne dans le plaisir.


C'est alors que Kim me porta l'estocade. Changeant complètement de place, la voilà qui se positionne à la tête de la table, elle ouvre enfin son kimono et devant mes yeux ébahis m'exhibe un sexe de bonne taille d'une belle couleur sépia. Je n'ai pas réfléchi. Je n'ai rien demandé. On ne m'a rien dit, on ne m'a rien demandé. Ce sexe est comme qui dirait arrivé tout seul dans ma bouche. Je le suce. Ce contact est délicieux. J'essaie de ne pas être trop gourde, de me souvenir des gestes aperçus lors de la vision de films X. Je crains mal faire. Et puis, je me dis que la meilleure façon de procéder c'est encore de l'adorer, ce magnifique bout de chair, de regarder ce que je fais, de me pénétrer de son étrange beauté. Alors je le lèche comme je l'aurais fait d'un esquimau. Il est rapidement tout raide. Je ne suis pas peu fier de le faire bander ainsi. Je me régale de la douceur de sa bite. J'ai soudain envie d'employer des mots vulgaires. Des bites, des pines, des queues. Parce que justement je n'ai pas l'impression de faire quelque chose de vulgaire. J'ai au contraire l'impression de faire quelque chose de très beau, de très pur !


Elle (continuons à employer le féminin, cela lui va tellement bien) se retire de ma bouche, me fait un sourire, met son index devant ses lèvres pour m'inviter au silence. Je la vois prendre un préservatif à côté, se l'enfiler. J'écarte alors moi-même mes fesses. Le dard me transperce. Drôle d'impression tout de même.


Encore un pas de franchi, on ne peut pas dire que ça fasse mal ! Une fois l'introduction effectuée, elle y va avec une certaine ardeur me pistonnant le fondement de larges mouvements.


La voici qui freine. Je crois d'abord qu'elle ralentit pour retarder ma jouissance. Non ce n'est pas cela, elle se retire, se décapote et revient du côté de mon visage.


(Non, je ne veux pas de ça ! Pourquoi va-t-elle tout gâcher ?)


- Bonne ta bouche !


Je ne réponds pas, la fermant ostensiblement. Je ne veux pas de son sperme, je ne suis pas prêt pour cela ! Elle a l'intelligence de ne pas insister et s'emparant d'un mouchoir en papier, fit exploser sa jouissance dedans. Elle me sourit, semblant vouloir me dire que " tout va bien " !


Brave " fille " !


- Tourne-toi !


Je m'exécute, constatant à l'occasion que le "couple" de tout à l'heure a disparu de la circulation. Natacha toujours à poil est occupée à ranger un certain nombre d'objets et d'accessoires.


- T'as besoin de moi Kim ? Demande-t-elle.

- Non, c'est bon !

- Tu es sûre ? Je peux lui faire une petite douche, à ton client ?


(C'est quoi ce truc-là, encore ?)


- Hum, non ! Je me le garde !

- Bon, alors je t'attends pour bouffer !

- Ben, c'est à dire, je crois que je vais manger en ville avec monsieur !

- Bon, OK ! Salut ! Demain, j'arriverais un peu plus tard !


Elle veut venir au restaurant avec moi, c'est la meilleure, ça ! Et soudain, je réalise ! C'est la catastrophe, je n'ai pas assez d'argent pour y aller. Bon, je gérerais ça tout à l'heure. En attendant toutes ces digressions m'ont plus ou moins fait débander.


Mais Kim a des mains d'experte (c'est le cas de le dire !) Tandis qu'elle me masturbe, je peux voir ses longs doigts effilés, des doigts d'artistes. Je peux aussi à présent détailler ses seins, siliconés, bien sûr, mais elle a eu l'intelligence de le faire sans exagération et leur modelé est fort réussi. Quant aux petits tétons tout bruns qui les terminent, des petits bijoux, des petits bijoux, vous dis-je !


Ma bite est maintenant à nouveau bien bandée. Elle a alors ce détail trivial (pourquoi faut-il donc qu'il y en ait toujours ?) de me l'envelopper dans une lingette comme pour me la nettoyer. Bon, ce n'est pas bien grave et ça donne une impression de fraîcheur !


Et voilà qu'elle suce ! Elle a alors ce geste sublime, son visage étant de profil, de rejeter ses cheveux sur le côté de façon à ce que je puisse la voir effectuer sa fellation. La pression de ses lèvres est savante, l'agilité de sa langue inimaginable. Jamais on ne m'avait sucé comme cela ! Jamais ! Sa main gauche se balade sur mon torse, atteint mon téton, le pince. Un frisson m'envahit. Ma bite se redresse encore. Je sens que je vais " partir' ". Elle ne retire pas. Elle attrape une bouteille d'eau minérale, en boit une lampée afin de se rincer la bouche, puis m'offre ses lèvres !


Comment refuser un tel baiser ? Je ne me reconnais plus mais je suis sorti vivant de la gueule du loup !


(Et maintenant on fait quoi ?)


Je me relève, je m'essuie un peu le zizi.


- C'était très bien ! Super ! Je n'ai jamais pris un pied pareil !


(et maintenant, la fuite stratégique)


- Je vais te laisser, il faut que j'y aille !


Mais j'ajoute aussi et cela était fort sincère :


- Mais je reviendrais…

- Je croyais que tu allais me payer le restaurant ?


(Aïe ! Aïe ! Aïe !)


- Ça m'aurait fait plaisir, mais faut que je rentre au boulot…

- Menteur ! Tu m'as dit tout à l'heure que tu avais ta journée !


(J'ai dit cela, moi ?)


- Bon, écoute ! Tu vas me trouver con, mais je ne te connaissais pas, alors je me suis dit, c'est peut-être un traquenard, ce qui fait que je n'ai presque rien sur moi !


Elle rigole ! Elle rigole ! Comme si quelque part mon explication la rassurait ! J'ai comme un peu de mal à suivre !


- Ce n'est que ça ton problème ? Demande-t-elle.

- Ecoute ! Si tu veux, tu m'attends, je fais l'aller-retour jusque chez moi !

- Mais non ! Je ne t'ai pas demandé de m'inviter dans un quatre étoiles. Ce que je veux, c'est qu'on aille au bistrot du coin et qu'on fasse mieux connaissance !


Putain ! Le quiproquo ! Moi qui croyais que le restaurant allait être le salaire du sexe ! Que ça peut me faire plaisir une réaction comme celle-là !


- T'es vraiment adorable ! Lui dis-je en lui sautant au cou et en lui faisant un petit bisou sur le bout du nez !


Un quart d'heure plus tard, nous étions à la brasserie du coin en train de déguster un steak tartare tout à fait correct. Tout en elle était gracieux jusqu'à sa façon de porter sa fourchette à sa bouche ! J'étais tout simplement content d'être avec elle et me demandais -allez savoir pourquoi - à quel sorte d'animal j'aimerais bien l'identifier :


(une gazelle peut-être)


- Parlez-moi de vous ! Demande-t-elle.

- On ne se tutoie plus ?

- Si ! Parle-moi de toi !


Comme si c'était facile ! Je lui parle de ma vie, de mon divorce, de mon boulot, de mes goûts. J'essaie d'être bref… et puis inéluctablement, le retour :


- Et toi ?

- Oh ! Moi ! Tu crois que c'est marrant d'être travelo ?

- Je ne sais pas, mais si tu as envie de parler, je suis prêt à t'écouter !

- Classique, hyper classique, étant gosse, je n'ai jamais admis d'être un garçon, je voulais être une fille, je ne sais pas d'où ça vient, mon éducation n'a pas été influencée dans ce sens-là ! Certains disent que c'est une question de glandes, d'hormones. Je n'y crois pas trop ! Je pense plutôt à un évènement dans mon enfance, mais je ne sais pas lequel. Un psy pourrait peut-être trouver, mais pourquoi foutre ? A l'école je me faisais foutre de moi avec mes manières de fille. Ça m'a isolé encore un peu plus. Et puis il y a eu la puberté, la découverte de mon sexe. Pour moi c'était formidable, je réalisais que la nature nous avait dotés d'un truc qui nous donnait du plaisir. Une révélation ! Je n'ai pas compris alors pourquoi cette révélation n'était pas vécue de la même façon par mes autres camarades de classe. Quand j'en parlais, je me faisais traiter d'obsédé, de malade sexuel et j'en passe. Et puis comment concilier mon aptitude à la féminité avec les caprices de mon zob ? Les années qui passèrent me fournirent la réponse, je savais que dès que j'aurais l'occasion de le faire, je franchirais le pas, je me ferais faire des seins, épiler les poils et tout cela…

- Et tu penses un jour aller encore plus loin ?

- Non ! Ma queue je la garde ! J'ai compris aussi que ma sexualité était exacerbée. J'ai tout essayé, je suis un pervers polymorphe comme disent les andouilles, j'ai essayé les hommes, les femmes, les autres trans, l'amour de groupe, le SM, l'uro, le fétichisme. Tout, il n'y a que la merde et les clébards que je n'ai pas testés… Mais après il faut bien assurer sa condition… quand j'ai vu que mon avenir était tracé, je me suis mis à bosser comme un dingue à l'école. Je ne faisais rien, je suis devenu brillant. J'ai un diplôme de masseur kinésithérapeute. Mais je n'ai jamais pu exercer vraiment, juste de la bricole. Je croyais que mon nom chinois entretiendrait la confusion de sexe, mais il faut croire que ça n'a pas suffi. Alors il reste quoi ?


Elle s'arrête un moment, essuie d'un geste nerveux la larme qui perle au coin de son œil.


- Il reste le spectacle ou le tapin ! Pour le premier j'ai manqué d'inspiration et je ne voulais pas du deuxième. Alors je me suis menti à moi-même, j'ai créé un club !

- Un club ?

- Oui, un club dans mon appartement, un club de rencontres, destiné dans mon esprit à promouvoir toutes les sexualités alternatives, les trans, les bi, l'uro, la SM, tout ça quoi ! Les gens paieraient une contribution, suivant leurs moyens. Mais, bon, l'esprit de départ est assez loin, je me dis que ce n'est pas de la prostitution, mais c'en est quand même ! Mais ce n'est pas cela le pire ! Tu veux savoir ce que c'est, le pire ?

- Dis-moi, Kim !

- C'est de se retrouver le soir toute seule dans son plumard, comme une andouille !


Et Kim éclata alors en sanglot. Je n'en menais pas large non plus. Cette très, cette trop brève illustration de sa vie de travesti me bouleversait.


- Tu veux encore dire quelque chose ?

- Oui, je pourrais me jeter dans l'alcool, dans la drogue, où baiser avec n'importe qui pour attraper une saloperie et précipiter ma fin ! Ça viendra peut-être ? Je n'en suis pas tout à fait là ! J'en suis à chercher une bouée de sauvetage ! Un mec qui accepterait de me supporter… pourtant je ne suis pas méchante ! Je me raccroche à un regard, à un sourire, à une expression. Peut-être qu'un jour, je trouverais le bon, Fabrice, tu comprends ?


Putain ! J'ai les nerfs solides et les glandes lacrymales bien enfermées, mais là je craque, c'est les grandes eaux ! Et nous voilà à chialer comme deux gosses mains dans la main devant les restes de nos steaks tartares.


- Je vais te laisser ! Je n'ai plus faim ! Je vais payer ta part puisque tu n'as pas pris de fric ! Excuse-moi de t'avoir cassé les pieds ! J'ai bien aimé m'amuser avec toi tout à l'heure !

- Kim ! Reste ici, je t'en supplie !

- Fabrice, je veux bien rester ! Mais je ne veux pas que ce soit par pitié… S'il y a autre chose, je veux bien fournir un effort !

- Ils ont de la crème brûlée aux cerises en dessert, tu devrais en prendre, ça te ferait du bien de bouffer un peu de sucre !

- Non, je n'ai plus faim ! Et après, on fait quoi ?

- On fait ce qu'il te fera plaisir !

- Tu sais, mes après-midi… Au départ j'essayais de me cultiver. Je ne prends des rendez-vous que le matin. Alors je faisais les cinémas, les musées, les expos, ou je lisais… et puis même ça, ça ne tient plus beaucoup. Parfois je passe mes après-midi à roupiller ! Passionnant, non ?

- Tu sais ce que je voudrais faire cet après-midi, Kim ?

- Non, je ne sais pas !

- Te caresser ! J'aimerais te caresser tout l'après-midi !

- Salopard ! Répondit-elle. Mais son visage s'éclaira enfin de nouveau


J'étais malgré tout, circonspect. Kim attendait trop de moi. Je ne parvenais pas à me projeter dans un avenir très proche afin de me rendre compte de la façon dont on pouvait gérer tout cela. On verrait bien : L'improvisation ne donne pas toujours que des mauvais résultats.


 On s'est déshabillé tout de suite, spontanément, sans se concerter. On s'est embrassé une première fois, debout, pressant nos nudités l'une contre l'autre. La fougue était toujours là, mais la tendresse l'avait rejoint. Nous sommes sortis de ce long baiser pendant lequel nous caressions nos peaux, émus et… bandés !


Kim m'entraîna dans sa chambre. Je fus surpris par la rupture du décor. Alors que la salle où elle exerçait ainsi que le vestibule faisait très " restaurant chinois ", cette pièce n'avait rien à voir. Une dominante bleue très apaisante. Trois tableaux aux murs représentaient dans différentes scènes un être androgyne dans un style assez clair, un peu à la manière d'Ingres.


- C'est toi qui les as peints ?

- Non je ne dessine pas assez bien, mais ce sont des commandes. Je les ai fait faire par une copine. Une copine comme moi… elle s'en est sortie, elle… tu vois ?


Je préférais que la conversation ne reprenne pas sur ce terrain, et la poussait gentiment sur le lit. Nous fûmes alors pris d'une frénésie totale. Dans cet instant nous ne pensions qu'à nous embrasser et nous caresser, rien d'autre ! Un peu à la manière des amoureux qui s'excitent à leurs derniers chastes ébats avant de passer à des choses plus profondes et plus définitives. Comme des amoureux ais-je dis ? Comme des amoureux ! Je m'écarte un moment. Je regarde le visage de Kim, resplendissant de beauté, de bonheur, de sérénité… et toujours ce sourire.


- Kim

- Oui Fabrice !

- Je... je…


(Impossible, je bloque !)


- Laisse ! Tu me le diras tout à l'heure !


(Oui, je lui dirais tout à l'heure ! Comme je voudrais pouvoir lui dire tout à l'heure, mais pourrais-je le lui dire ?)


Les caresses reprennent. Nos corps roulent dans un ballet insensé. Nous nous découvrons, recherchons et repérons nos zones les plus réceptives, les plus sensibles. Ainsi Kim me serre mes tétons, me les tourne dans ses doigts. Voyant que je réagis très bien à ce genre de choses, elle n'hésite pas à faire plus fort, puis viens me mordiller. Je bande à ce moment-là à mon maximum. Je n'ai aucune idée de la façon dont nous allons jouir l'un et l'autre. On improvise ! On improvise ! Par contre j'ai envie de retarder le plus tard possible l'instant de cette jouissance afin de prolonger ces moments exceptionnels. Nous sommes à nouveau l'un contre l'autre à échanger l'un de ces baisers si nombreux qu'il n'y a aucun sens à les compter. Je me souviens m'être amusé au contact insolite, du moins pour moi de nos deux bites bandées se frôlant l'une contre l'autre.


C'est presque insensiblement que l'ambiance érotique monta d'un cran, les doigts sur les sexes, puis les bouches… La conclusion, toute provisoire serait-elle un magistral et inoubliable soixante-neuf. Je le crus un moment, quand soudain Kim se dégagea et se coucha sur le ventre :


- Prends-moi !


J'aurais dû m'en douter ! Je me souviens avoir à ce moment précis pensé aux réflexions imbéciles de ceux qui parlent des relations non hétéros : " Qui c'est qui fait la femme ? " Bandes de cons ! Pourquoi parlez-vous de ce que vous ne connaissez-pas ? Je ne savais pas trop comment m'y prendre, allait chercher un préservatif à côté… Elle écarta ses fesses dans un geste que d'autres auraient jugés obscène mais qui pour moi était la plus belle des offrandes. Son anus était autrement dilaté que le mien, la pénétration fut aisée. J'avais peu sodomisé dans ma vie sexuelle, mon ex ne voulant pas en entendre parler, et ne me sentais pas l'âme d'un expert. Je retrouvais malgré tout cette curieuse et excitante sensation d'étau enserrant le sexe. Je pistonnais mon amante qui poussait de petits gémissements. Je lui donnais du plaisir et cela me remplissait de bonheur !


- Essaie de me garder ton sperme ! Me demanda-t-elle.


Je ne vois vraiment pas pourquoi, je ne lui ferais pas ce plaisir, je la besogne encore un peu. C'est si bon… puis je me retire, enlève le chapeau et lui offre ma bite. Il était temps ! Déjà je décharge !


Comme ce matin, elle se rince la bouche, je note sa délicatesse.


- Tu sais pourquoi les hommes n'aiment pas le sperme ?

- Je ne sais pas ! Mais je ne trouve pas cela terrible !

- Pourquoi certaines femmes en raffolent alors ?

- Je n'en sais rien, ce doit être psychologique !

- Il y a un peu de ça. Beaucoup d'hommes y gouttent, je veux dire, ils goûtent à leur propre sperme mais ils le font au pire moment, juste dans les quelques secondes qui suivent la jouissance. Or à cet instant, il n'y a pratiquement plus aucune excitation. C'est avant qu'il faut goûter ! Je sais ce n'est pas évident ! Il faut en avoir sous la main !


Il me fait son petit cours en se branlant assez nonchalamment. Je lui demande de quelle façon, il veut jouir.


- Branle-moi !

- Tu ne veux pas que je te suce ?

- Branle-moi, ça change !

asia18

Bon, ce n'est pas un problème, je masturbe la queue de Kim, en même temps j'agace un peu ses tétons de ma langue. Elle ferme les yeux, elle est aux anges. C'est un vrai plaisir de la masturber, de faire monter et redescendre cette belle peau satinée sur ce magnifique organe. Elle finit par éclater en une longue giclée qui atterrit sur son ventre. Elle ne dit rien. Elle sourit. J'ai failli prendre un mouchoir en papier. J'ai failli l'essuyer. Mais non ! Sans que je sache pourquoi, ce sperme je le lui étale sur le ventre, et m'en sert comme d'un onguent de massage.


Kim somnole à moitié, mes propres paupières sont lourdes, je les ferme un moment comme si j'allais dormir. Alors sans que j'ouvre les yeux, je sens la tête de Kim venir se poser sur ma poitrine.


On s'est réveillé deux heures plus tard dans la même position.


- Ça va, Kim ?

- Oh ! Que oui !


Je me lève pour aller pisser ! Il va falloir maintenant préparer la suite. Je suis dans la confusion la plus totale. La meilleure solution est sans doute de se séparer et de nous retrouver dans deux ou trois jours. J'allais le lui proposer, mais elle est comme ça Kim, elle a toujours de sujets de conversation imprévus. Elle me regarde avec des grands yeux malicieux :


- Tout à l'heure, quand Natacha t'a proposé une petite douche, tu savais ce que c'était ?

- Non !

- Elle voulait te pisser dessus !

- Ah !


Encore une chose que je n'ai pratiquée que fort rarement, les amateurs déclarés ne sont pas si nombreux. Alors pourquoi cette proposition de Natacha, justement ? Sans doute parce que les gens qui viennent chez Kim sont tous des "pervers polymorphes", chez qui ce tabou-là n'en est alors plus un ! Allez savoir ?


- Ça t'aurait tenté ?

- Oui !

- Tu sais pourquoi j'aime faire ça ? Parce que ça brise un interdit ! Certains ne voient là-dedans que du sale et du dégradant. D'abord ce n'est pas sale ! Et ensuite, il n'y a rien de dégradant entre deux personnes qui s'aiment !


("Deux personnes qui s'aiment ", qu'elle a dit ! Mon dieu !)


Je la suis dans la cabine de douche. On en profite pour en prendre une vraie. On a transpiré comme des cochons, on en a bien besoin. Et puis Kim se lance :


- Attention, je t'arrose !


Elle m'envoie le jet de son urine sur le ventre, sur le torse et sur mon propre sexe. C'est chaud ! C'est troublant ! Si troublant que j'ai à nouveau une érection !


- C'est pas vrai que tu bandes encore ?

- Ben si ! C'est de ta faute, avec tes bêtises !

- Tu en veux encore un peu ? Encore une petite goutte ?

- Bien sûr !


Mais cette fois, je m'accroupis, j'ai décidé de l'étonner à mon tour, et tandis qu'elle projette en rigolant son jet sur mon visage, j'ouvre légèrement la bouche pour goûter sa liqueur dorée.


- Tu aimerais que je te domine ? Me lance soudain Kim.

- Oui ! Pourquoi pas ? Mais peut-être pas aujourd'hui !

- Juste cinq minutes !

- Pourquoi tu veux faire cela ?

- Parce que dans certains cas cela facilite les choses !

- Je ne comprends pas bien !

- Tu vas bientôt comprendre, rassure-toi ! Bon, on va faire ça très soft ! Je vais te donner dix coups de martinet, juste pour te montrer que je suis ta maîtresse et après tu devras répondre à mes questions. D'accord ?


(N'importe quoi ?)


- Si tu veux, mais pas trop fort !

- Pas trop fort, Maîtresse, on dit !


(Mais où veut-elle en venir ?)


- Pas trop fort, Maîtresse !


Et voilà que Kim me flanque une fessée au martinet. Pour une journée bien remplie, c'est une journée bien remplie. Je ne suis pas prêt de l'oublier celle-ci ! Ça me fait un peu mal son truc je supporte néanmoins, dix coups ce n'est pas le bout du monde !


- Alors esclave, remercie ta maîtresse pour cette punition !

- Merci Maîtresse !

- Et maintenant, Fabrice, regarde-moi dans les yeux !


(Ah bon ! ça y est, je ne suis à nouveau Fabrice, je ne suis plus son esclave)


- Oui, maîtresse !

- Fabrice, tu vas maintenant me dire ce que tu as essayé de me dire tout à l'heure !


(Mon Dieu !)


Et puis, je ne sais pas pourquoi, toutes mes réticences, tous mes blocages tombèrent :


- Je t'aime Kim !*


(Ça fout la chair de poule de dire des choses pareilles !)


- Moi aussi Fabrice ! Ce doit être cela qu'on appelle le coup de foudre !


On s'embrasse tendrement. Et puis j'ai soudain envie de lui donner encore plus, de lui faire mon cadeau de " fiançailles ". Alors je m'agenouille devant elle, je reprends son sexe à moitié bandé. Je le prends dans ma bouche, m'applique à ma fellation et la fait jouir en mon palais.


- On retourne au restaurant ce soir ?

- Tu sais bien que je n'ai pas pris de sous ! Mais viens chez moi, je te ferais un bon petit truc, tu verras, je cuisine très bien.


Epilogue


Elle est venue chez moi. Elle y est restée, cela fera dix ans aujourd'hui. Dix ans sans problèmes majeurs, certes des hauts et des bas, mais pour rien au monde je ne regrette cette expérience. On s'est décarcassé pour qu'elle puisse exercer son métier de masseur-kinésithérapeute.


Qu'aurait donc été mon destin, si un jour en sortant d'une réunion, un connard ne m'aurait pas payé un pot dont je ne voulais pas. La vie est ainsi faite…


On s'est préparé un petit repas de fête ! Tout à l'heure nous soufflerons nos dix bougies !


- Dring !

- Qui vient nous emmerder à cette heure-ci ?


J'ouvre 


Un livreur avec un énorme bouquet de fleurs. Je les emporte au salon et découvre la petite carte :


"Félicitations pour vos 10 ans de bonheur ! Puissiez-vous vous aimer encore longtemps ! Natacha "


FIN


© Edvard Stokien

Cap d'Agde - Août 2001

 

Première publication sur Vassilia, le 02/09/2001

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Dimanche 19 août 2001 7 19 /08 /Août /2001 09:35

Nos sorties le vendredi soir...

Par Fantasy (Couple coquin… un peu exhibitionniste)

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Nous sommes mariés depuis plus de 10 ans et avons tous les deux développés une complicité assez prononcée sur tous les sujets, mais aujourd'hui je vais vous parler de notre complicité sexuelle comme votre site s'y prête bien.

 

Tout d'abord, je dois vous préciser que nous habitions Québec et maintenant déménagés aux USA... Elle a 36 ans et j'en ai 34, elle est très jolie, elle fait 5' 5, 128 livres, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 36 c, elle a un style espagnol, moi, 5' 10, blond, yeux bleus, 150 livres, sexe de 7 3/4. Tous les deux nous sommes adeptes de l'épilation...

 

Traduction en mesures métriques par le webmaster : elle fait 1,65, 58 kg, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 90 C, elle a un style espagnol, moi, 1,78, blond, yeux bleus, 68 kg, sexe de 19,5.)

 

J'aime sortir ma femme tous les vendredis soirs, je l'amène dans les restaurants de la ville, toujours de nouvelles places, rarement le même, j'aime qu'elle soit vêtue sexy, robe, jupe, cat suit... J'aime la voir s'habiller sexy et j'aime que les gens se retournent sur son passage.

 

Alors maintenant je vais vous raconter comment vendredi dernier j'avais prévu la soirée, nous avions au préalable réservé une table pour 20 heures, j'avais fait des achats via Internet et j'ai reçu le tout trois jours avant ce vendredi. J'avais commandé une robe noire un peu transparente, un long décolleté s'attachant sur le devant avec une sorte de lacet. Une fois enfilée, ma femme pouvait faire elle-même l'ajustement du lacet, soit le serrer complètement ou soit le laisser lousse pour que l'on puisse voir une bonne partie de son cou jusqu'à son nombril et la courbure de ses seins. Après qu'elle eut revêtu cette robe, on pouvait voir ses seins par la transparence du tissu étiré. Pour ce qui est de la longueur du bas, elle mesurait environ 35 cm et on pouvait facilement voir ses belles jambes...

 

J'aime quand ma femme sort sans culotte et de plus avec cette robe avec le devant en lacet il est pratiquement impossible de mettre de soutien-gorge... alors c'est comme ça que nous sommes sortis ce vendredi, j'aime utiliser les services d'un taxi, ça évite de chercher un stationnement et ça nous permet de prendre quelques verres en toute sécurité. Il n'est pas rare de revoir le même chauffeur pour le trajet, même que des fois il nous demande s'il peut venir nous reprendre après notre soirée, ils nous laissent leur numéro de téléphone pour les contacter directement sans passer par l'agence... Quelques fois nous le rappelons et d'autres fois nous préférons appeler une autre compagnie de taxi...

 

Cela dit, nous embarquons dans la voiture et le chauffeur ne manque jamais de regarder bien où il le faut... Il peut apercevoir ses seins ou bien sa chatte épilée... J'entre à mon tour deux ou trois secondes derrière elle et je prends place, je donne l'adresse et le nom de l'établissement où nous désirons aller, et on part...

 

Tout le long du trajet, j'en profite pour glisser ma main entre les cuisses de ma femme, celle-ci ouvre immédiatement les jambes pour me faciliter l'accès à sa belle fente... J'aime bien la masturber tout le long du trajet... Elle devient toute humide et chaude comme j'aime...

 

Une fois arrivés au restaurant, je paye le type, je sors et elle sort, mais souvent sa robe est remontée et le type a une superbe vue, elle sait que cela m'excite alors elle prend son temps pour bien lui montrer ses parties intimes... Nous entrons dans le restaurant et on nous place à l'endroit réservé, souvent près de la rue, devant la terrasse, sur le bord des vitrines, un premier serveur nous apporte l'eau et le cendrier, ensuite un autre prend notre commande de boisson. Sans montrer que ma femme lui fait de l'effet, il la regarde discrètement sans montrer qu'elle l'excite... Il part quelques instants et revient avec nos consommations, nous trinquons quelques verres, question de détendre l'atmosphère et oublier le stress de la semaine...

 

Quand ma femme a quelques verres de pris, elle devient un peu plus exhibitionniste et fait volontairement de la provocation. Sous la table, je joue du pied et j'arrive toujours à sa chatte humide, j'aime l'exciter là et savoir que peut-être que quelqu'un a remarqué notre manège. Après quelques consommations, l'envie inévitable de se rendre aux toilettes se fait sentir. Elle part quelques minutes et revient. Quand elle n'est pas là, j'en profite pour tirer sur la nappe de mon côté, déplacer sa chaise pour offrir plus de visions aux autres hommes dans la place. Elle revient, s'assied et nous recommençons à parler de tout et de rien... de sexe devrais-je dire...

 

Le serveur vient plusieurs fois vider notre cendrier, remplir nos verres et je sais qu'il a une très bonne vue sur les attributs de ma femme... J'ai remarqué quelques clients qui observent discrètement les moindres gestes de ma femme... et ils en sont ravis aussi... Après un certain temps, je demande à ma femme de défaire le lacet de sa robe, ce qui laisse apparaître presque complètement ses seins... Je lui demande aussi d'écarquiller ses jambes aussi, le serveur revient et il voit tout, il est dans tous ses états et je lui demande son opinion, il répond :

 

- Sur quoi ?

- Ma femme me dit qu'elle aimerait avoir de plus petits seins, qu'en pensez-vous ?

 

Il répond tout rouge

 

- Hé hé, hé, bien moi je les trouve bien comme ça.

 

Ma femme de répondre,

 

- Vous ne les trouvez pas un peu gros, ils ne se tiennent pas tout seul, regardez, même mon lacet ne suffit pas à les retenir..., joignant le geste à la parole... Pensez-vous que je devrais rattacher mes lacets ?

 

Le serveur lui répond,

 

- Damme, soyez à l'aise, faîtes comme bon vous semble, mais moi je les trouve très bien comme ça...

 

Ensuite il part... rouge... intimidé...

 

Nous parlons de ça entre nous et je sais que ma femme a très envie de moi, je lui demande alors d'insérer ses doigts dans sa fente humide et ensuite de me les donner à lécher... Ce qu'elle fait sans trop porter attention aux autres clients, j'adore goûter à son miel d'amour et m'en délecter...

 

Je lui demande aussi de se masturber aussi discrètement, ce qu'elle fait sans se faire prier... Le serveur revient et cette fois avec les menus, nous choisissons nos plats et ma femme lui demande ce que contient l'assiette. Le gars se penche un peu pour lire les ingrédients et lui expliquer. En même temps, je pousse un peu la chaise pour qu'il puisse aussi avoir une bonne vue sur sa chatte épilée... Le gars ne regarde plus que ses seins et sa chatte humide, mais il semble plus à l'aise que tout à l'heure... Il ne se gêne pas pour détailler sa chatte. Ma femme, audacieuse, prend plaisir et ose se passer un doigt dans sa fente sous ses yeux, le gars me regarde et me dit qu'on doit être de super vicieux et que, s'il n'était pas en train de travailler, il aimerait bien nous accompagner... Bref, il aime ce qu'il voit et adore notre jeu, sans savoir si c'est un jeu... ou simplement de la provoc.

 

Les commandes sont prises et le serveur s'en va, ma femme retourne aux toilettes et elle a un sein complètement hors de sa robe, pris dans la corde je dirais. Plusieurs hommes ne se privent pas du spectacle. Aux toilettes, elle se masturbe frénétiquement et puis en ressort quelques instants après, elle a réajusté son sein dans sa robe... Je sens tous les regards sur elle maintenant...

 

Nos plats arrivent, nous commençons à manger. Dans le plat de ma femme il y a un petit mot disant, Je termine vers 2 heures du mat et un numéro de téléphone... Dans son assiette, il y a cinq ou six petites patates, je lui demande de s'en insérer trois dans le vagin, elle s'exécute... Elle les garde là jusqu'à temps que je lui dise la suite...

 

Nous terminons notre repas et quittons le restaurant, nous marchons un peu et allons dans un petit bar, nous choisissons une place au bar, assis sur de hauts tabourets... Là, discrètement, je demande à ma femme de retirer les petites patates, mais elles ne sont plus rondes mais plutôt comme de la purée. Elle va aux toilettes et les expulse... J'aurais bien voulu les manger, mais rondes, pas en purée...

 

Nous commandons un verre, des gars nous regardent... Je demande à ma femme si elle veut jouer au billard, elle accepte, vous savez toutes les positions qu'elle a pu prendre pour jouer, jambes écartées, semi-couchée sur la table, le cul bien en évidence. On voit les gars essayer de ne rien perdre... On se fait payer des tournées...

 

Il commence à se faire tard et on quitte, on appelle le taxi, le même, il arrive dix ou quinze minutes après et nous demande si on retourne à la maison, je lui réponds,

 

- C'est sûr, mais on va probablement s'arrêter en chemin...

 

Ok, on démarre et, à un moment donné, ma femme demande d'arrêter en bordure de la route pour un petit pipi. Le gars arrête... Elle sort et s'accroupit... Je sors immédiatement moi aussi et, lorsqu'elle a terminé son pipi, je me baisse pour la lécher et bien l'essuyer de ma langue. Le chauffeur est tout excité de voir ce spectacle et ne manque pas une miette du spectacle...

 

Je ferme la porte de derrière et j'appuie ma femme de dos à celle-ci. Je lui relève la robe et je me place à sa gauche pour laisser le chauffeur bien voir ce que je lui fais. Je commence à la masturber un peu, enfonçant un, deux, trois doigts en elle, je fais plusieurs allers en elle, je la pénètre bien, son souffle s'accélère... Maintenant qu'elle est bien dilatée et surtout très mouillée, j'enfonce complètement ma main en elle, je la fiste un bon moment, elle se tortille.

 

Des voitures passent près de nous, mais ne semblent rien voir du spectacle. Ma femme est très excitée par le passage fréquent des voitures et par la présence du chauffeur. A son tour il débarque de la voiture et se positionne devant elle à environ deux mètres, elle ouvre les yeux et elle l'aperçoit, elle atteint un orgasme fulgurant, et elle en redemande.

 

Le chauffeur a dézippé son pantalon et sort sa queue qu'il commence à masturber. Je prends dans une de mes poches un préservatif et le place dans la poche de ma chemise. J'enlève à mon tour mon pantalon et entreprends maintenant de la pénétrer. Je me sens lousse après le passage de ma main. J'ouvre la porte de la voiture et je m'assois. Je fais asseoir ma femme sur moi et pénètre facilement sa chatte, elle est assise sur moi bien ouverte faisant face au chauffeur. Je fais signe au chauffeur de s'approcher un peu plus pour qu'il puisse bien admirer les mouvements de sa chatte. Il est bandé au max, il continue de se masturber. Je jette à l'occasion des regards à son membre un peu plus gros que le mien, je fouille dans ma poche pour prendre le préservatif et je fais signe au chauffeur de le prendre, le chauffeur ne se fait pas prier et l'enfile lui-même. J'attire ma femme plus contre moi, offrant une meilleure vue de la chatte de ma femme, de mes deux mains, je l'écarquille pour laisser comprendre au chauffeur de venir en elle aussi. Il s'approche, il se tient avec une main sur le toit de la voiture et de l'autre main dirige son membre en elle, je le sens bien et ma femme est surprise de le voir si près et elle réalise qu'il est en elle. Elle voudrait protester mais le plaisir lui fait perdre toute inhibition...

 

Le chauffeur est bien en elle et je sens bien son membre caresser le mien, il s'accélère, ma femme commence à gémir comme jamais je ne l'avais entendu. Après quelques minutes j'éjacule en elle, elle crie, je laisse terminer le gars, il remplit le préservatif en un long râle de jouissance...

 

Il se retire, je me retire, ma femme toujours sur moi essaye de reprendre un peu ses esprits. Je demande au chauffeur s'il a aimé, oui de répondre, il a très bien aimé. Je lui demande de me détailler sa chatte, parce que je suis toujours derrière elle. Il me dit :

 

- Très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d'un rouge vif...

 

Je lui demande s'il aime lécher le sexe d'une femme. Il répond "Oui"... Alors je lui demande de bien la lécher. Il hésite, probablement à cause de la grande coulée de sperme...

 

Ma femme me demande d'attendre un peu, qu'elle a probablement la chatte en feu et une petite pause est bien méritée. En disant cela, le chauffeur plonge sa tête entre les deux cuisses bien ouvertes de ma femme et commence à la lécher. Elle sursaute, elle croyait sans doute que le chauffeur allait attendre un peu, mais non... Il la lèche habilement, pénètre sa langue bien profondément en elle. Elle bouge, se tortille, je suis toujours sous elle... Elle bouge tellement qu'elle m'écrase sans le vouloir.

 

Je la tasse sur le côté et sort de la voiture, je regarde l'homme s'exécuter... Je suis tout excité. Après quelques autres coups de langue, elle jouit encore... Elle demande grâce...

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Nous prenons une pose et parlons avec le chauffeur, les voitures n'arrêtent pas de passer... On décide de tous reprendre nos places et de repartir. Je propose au chauffeur de prendre un dernier verre dans un petit bar sur la plage, ma femme est crevée et voudrait plutôt rentrer se reposer. Mais on vote, deux contre un, et on va au bar. Il n y a que deux autres clients qui sont prêts à partir. Nous venons juste de nous asseoir au bar sur des tabourets tournants quand le serveur dit : "C'est le last call", alors on commande doubles consommations.

 

Je me dirige vers les toilettes, il y a une distributrice à brosse à dents et préservatif, j'en achète deux. Je reviens et je m'assois, ma femme est entre nous deux. Je fais signe au chauffeur que j'ai quelque chose pour lui dans ma main, il tend sa main et je lui donne le préservatif.

 

Nous commençons à discuter de tout ce qui vient de se passer, comment ma femme était mouillée, comment elle a joui... Le serveur est à nettoyer mais il écoute attentivement notre conversation... Ma femme me dit qu'elle va aux toilettes, je lui demande

 

- Est-ce pour te masturber... .

 

Le serveur répond

 

- Pas besoin d'aller vous masturber seule dans les toilettes, elle pouvait le faire ici...

 

Elle de répondre

 

- Non, c'est pas pour ça, j'ai envie de pipi... .

 

J'attrape un verre et lui dis qu'elle peut le faire dans le verre ici, le serveur de répondre,

 

- Et bien oui, j'en ai plein d'autres s'il en manque...

 

Ma femme est gênée et se rassoit... Le serveur nous dit qu'elle est désirable et excitante. A ces mots, je relève la robe de ma femme et approche un verre de sa chatte. Le serveur est dans tous ses états de voir sa chatte épilée et toute rouge... Je positionne le verre à l'entrée de son vagin mais elle est incapable de pisser... Probablement la gêne...

 

Je commence à lui glisser trois doigts dans la chatte et le chauffeur commence à lui pétrir les seins... Le serveur nous dit de ne pas se gêner... Je relève complètement la robe de ma femme et le chauffeur m'aide à la passer par-dessus sa tête. Elle est complètement nue à l'exception de ses bas et talons hauts. Je la prends dans mes bras et l'assieds sur le comptoir. Je commence à la manger, le serveur commence à lui pétrir les seins, le chauffeur se défait de son pantalon, commence à se masturber, enfile le préservatif. Je lui fais signe de s'asseoir sur le tabouret. Je déplace ma femme et hop ! Je l'embarque sur le chauffeur, son sexe est en elle complètement.

 

Le serveur se défait à son tour de son pantalon et me demande si elle suce. Je lui dis que non... Je lui présente le deuxième préservatif que j'avais acheté dans les WC. Il me regarde et puis l'enfile.

 

Après quelques minutes je demande au chauffeur de faire place au serveur. Il a une belle queue, mais plus petite que les nôtres. Il s'approche de ma femme qui est maintenant assise sur le tabouret. Il se pointe devant elle, elle a les jambes écartées et les pose sur le comptoir, comme pour lui dire qu'il ne pourra pas lui échapper... Il entreprend ses va-et-vient et, au bout de sept ou huit minutes, il remplit le préservatif en un long râle...

 

Il se retire, ma femme me regarde et me dit que sa chatte est en feu... Je demande au chauffeur s'il aime enculer, "Oui", qu'il répond. La même question au serveur, même réponse. Ma femme prend la parole et dit :

 

- Ok, vous aimez enculer, ben vous aller enculer mon mari sous mes yeux.

 

Les gars se regardent, hésitent. Elle reprend : Si vous ne voulez pas, on arrête tout tout de suite...

 

Elle vient retirer mon pantalon et commence à me lécher l'anus. Elle me lubrifie et commence à glisser ses doigts en moi et ensuite elle prend le serveur par la queue et le dirige dans mon trou. Il commence sa pénétration, j'ai un peu mal, mais j'encaisse, ma femme est sous moi léchant mon sexe et les couilles du serveur... Il jouit et se retire.

 

Maintenant au tour du chauffeur de me pénétrer, il est plus gros, mais je le prends tout... Il s'active de plus en plus vite, je jouis tellement c'est bon... Il jouit à son tour et se retire, ma femme vient derrière moi et commence à glisser ses doigts en moi, ensuite la main entière... Dieu que c'est bon, j'en redemande... Après quelques minutes de ce sport, je ne supporte plus cette main en moi et me dérobe...

 

Je prends mon souffle, je suis assis sur le tabouret, ma femme vient s'empaler sur moi et demande aux deux autres de se tenir de chaque côté, elle leur tend chacun une jambe et demande de la soulever à la hauteur de mon visage pour que je lui lèche le vagin. Je commence à lui lécher quand soudain elle m'expédie un gros jet d'urine en plein visage. Les gars aiment ça et l'encourage à continuer. C'est ce qu'elle fait, elle m'arrose et ça ne semble pas terminer tellement elle a envie. J'en ai plein la bouche, les cheveux, ma chemise est toute mouillée...

 

Quand elle a terminé, elle me regarde et me demande de la baiser encore une dernière fois mais dans ses fesses, je m'exécute, je jouis en elle. Elle a du sperme qui lui coule de ses fesses, elle insert un doigt dans ses fesses et le donne au chauffeur pour qu'il le suce, ensuite au serveur. Après elle me dit,

 

- A toi de nettoyer le reste.

 

J'ai dû lui lécher l'anus jusqu'à ce qu'elle soit contente de mon nettoyage...

 

Il est 4 h 30 du matin, le chauffeur nous propose de nous ramener... Le serveur ne nous a même pas fait payer nos consommations et nous demande de revenir une autre fois...

 

Nous débarquons à la maison fatigués et allons dormir... toute une soirée, et nous nous sommes promis de recommencer vendredi prochain le 17 décembre...

 

Si d'autres lecteurs aimeraient correspondre avec nous ou si vous passez en Floride pour vos vacances, écrivez-nous sur notre E-mail :

 

Fantasy

 

Première publication sur Vassilia, le 19/08/2001

Par Fantasy - Publié dans : Années 1990
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Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 17:59

L’anniversaire de Magalie par Alexis Defond-Rossignol
(variation sur un texte anonyme)

scat
Ce texte contient des passages scatos explicites

thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, engodage masculin, feuille de rose, party, prostitution, scato, sodomie féminine, sodomie masculine, spermophilie, uro

Magalie avait 20 ans aujourd’hui. Ou peut-être plus, puisque ls femmes aiment tellement mentir sur leur âge. Elle était très jolie et bien faite. Tout ce qu’il faut là où il le faut.

A vrai dire, elle me plaisait beaucoup. On se connaissait depuis longtemps maintenant mais nous n’avions qu’une relation d’amitié. Elle vivait depuis peu dans son appart’ avec un jeune con arrogant.

Ce jour-là, elle me téléphona sur mon portable pour m’inviter à son anniversaire qui avait lieu le soir même chez elle. Je devais faire vite pour trouver un cadeau digne de ce nom, car l’heure du rendez-vous approchait. J’avais trouvé l’idée : un tee-shirt sur lequel on pouvait lire : Sea Sex and Sex

C’est vrai que Magalie était très portée sur la question et collectionnait les amants. L’année précédente, elle avait réussi à coucher avec les 10 mecs de la promo.

Il était huit heures, l’heure du rendez-vous avait sonné. J’arrivai à la porte de l’appart’ et elle m’ouvrit la porte en m’embrassant sur la bouche. J’étais agréablement surpris.

Elle avait invité Caro et Nathalie, deux copines que je ne connaissais pas encore. Après un apéritif bien arrosé, elle se décida enfin à ouvrir ses cadeaux.

Le premier fut une bague de très mauvais goût de son copain. Le deuxième, un stylo offert par Caro. Le troisième, un livre sur le Kâma-Sûtra. Et enfin, elle ouvrit mon paquet : un sourire se lit sur son visage quand tout d’un coup elle enleva son chemisier pour le remplacer par son nouveau Tee-shirt.

Pendant un court instant, elle me donna l’occasion d’admirer ses jolis seins car elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était digne des filles qui tournent dans les films pornos.

Son copain avait l’air énervé et, l’alcool aidant, lui fît remarquer qu’elle n’avait pas à se déshabiller de la sorte devant tout le monde. Cela était de trop pour Magalie qui lui retourna une gifle monumentale en le priant de sortir de chez elle. L’air penaud et humilié, le malappris s’exécuta.

La soirée commençait très mal. On voyait bien sur le visage de Magalie que le fait de se retrouver sans son copain du moment le soir de son anniversaire l’agaçait beaucoup.

On passa donc à table, où un festin nous attendait. C’est à ce moment que je réalisais que j’étais le seul mâle du groupe. D’un ton blagueur, je leur dis :

– Je ne sais pas si je peux rester, je risque de me faire violer.

Ni une ni deux, Magalie, Caro et Nathalie me lancèrent un regard qui en disait long sur leurs intentions.

– Pourquoi tu aimerais ça ?

La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’imaginais et je rétorquai

– Oh oui, ça serait intéressant. On commence quand ?

Caro n’hésita pas et me dit :

– Mais tout de suite, viens avec moi, tu vas connaître ce que le mot baiser veut dire ou plutôt être baisé.

Je la suivis et on se retrouva tous les deux dans la petite chambre de Magalie. Là elle me dit

– Déshabille-toi, enlève ton pull et ta chemise et allonges toi sur le lit.

Elle s’absenta quelques minutes puis m’ordonna de fermer les yeux. Cette sensation de soumission m’excitait énormément et une bosse se formait sous mon pantalon. Elle caressait mon sexe à travers le tissu puis, d’un coup, elle attrapa une corde qu’elle avait cachée dans son dos. Elle me lia les poignets aux barreaux du lit. Elle prit son foulard qui entourait sa poitrine et me banda les yeux. Sa dernière phrase fut :

– Maintenant que tu ne peux ni bouger ni voir, tu es à moi pour un moment.

Elle repartit quelques instants et, après ce qui me parut une éternité, revint sans dire un mot. Elle caressait mon corps et s’arrêta sur l’objet de son désir. Mon sexe devenait de plus en plus dur. Elle descendit ma braguette et ôta le bouton du pantalon. En un instant je me retrouvai en slip. Pas longtemps…

Elle me l’arracha puis accentua ses caresses. J’étais nu. C’était une sensation bizarre, longtemps j’avais rêvé d’être soumis mais ce soir, la réalité dépassait la fiction.

Elle continua ses caresses puis d’un coup sec elle commença à lécher mon sexe qui se raidissait de plus en plus. Elle le prit en bouche et commença à faire des mouvements réguliers de bas en haut, de gauche à droite, dans tous les sens. Je criai de bonheur. J’entendais dans la pièce d’à côté les filles rigoler.

Tantôt mon sexe, tantôt mes couilles se retrouvaient dans sa bouche. Elle accéléra le mouvement, reprit mon pénis en bouche. La seule chose qui l’intéressait c’était ma jouissance.

Je n’en pouvais plus…

– Je vais jouir, je vais jouir, oh oui encore…

J’explosai dans sa bouche et elle avala tout. Elle continua de lécher les dernières gouttes qui s’échappaient encore puis, m’embrassa dans la foulée. Sa salive mélangée à mon sperme, quel pied !

A ce moment je ne bandais plus, mais je savais que ce ne serait que de courte durée.

C’est à ce moment que je demandai à Caro de bien vouloir m’enlever son foulard, ce qu’elle fit de suite. Ce n’était pas Caro qui m’avait sucé de la sorte mais Magalie. Elle avait le sourire et n’attendait qu’une seule chose, recommencer.

Allongé sur le lit, je distinguais péniblement ce qui se passait au fond de la pièce, elle n’était pas seule, Caro et Nathalie étaient là, excitées comme nous deux par ce début de soirée. Elles étaient d’ailleurs prêtes toutes les trois à passer à l’attaque car elles étaient nues et se masturbaient mutuellement et se léchaient les seins.

     Rien qu’en apercevant ce spectacle je me remis à bander encore plus fort. Caro, experte en soirées coquines, me dit :

– Tu as intérêt à assurer car tu vas être notre objet sexuel à toutes les trois !

J’étais allongé sur le ventre et Caro s’accroupit sur mon visage et me dit :

– Lèche, lèche, lèche tout !

Je commençai un cunnilingus. Je léchai sa petite chatte toute trempée que je me délectai à sucer de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’aspirai tout. Tout en continuant mon affaire Nathalie, en manque de sensations fortes, m’enfila sur mon sexe bandé un préservatif et vint s’empaler d’elle-même sur mon sexe encore chaud.

Elle dirigeait les opérations mais je la pénétrai sans difficulté. Comme dans du beurre !

Mon cunnilingus devait faire plaisir à Caro car elle mouillait et mon visage en était maculé.

Dans mes souvenirs, elles ont joui toutes les deux ensembles. Actif pour l’une, passif pour l’autre, je subissais les assauts réguliers de ma cavalière. Nathalie se servait de mon sexe comme d’un gode qu’elle employait à enfoncer dans sa chatte.

Je n’en pouvais plus. J’étais mort de fatigue. Caro remit le foulard sur mes yeux en m’ordonnant de me reposer car la soirée ne faisait que commencer. Je devais être en forme pour le reste de la nuit. Le temps passait et elles n’étaient toujours pas de retour… Que se passait il donc à côté ?

J’avais soif et leur ordonnai au moins de me donner quelque chose à boire. Caro prit la parole :

– Ah bon, tu as soif ? Eh bien bois !

Elle se mit à quatre pattes et urina sur mon visage. J’avalai toute cette bonne pisse avec gourmandise, et cette action me fit bander instantanément.

– Si tu aimes ma pisse, tu devrais aimer ma merde !

Et sans me laisser le temps de répondre elle me fit lécher son anus, il sentait un peu fort mais ça ne me dérangeait pas. Son petit trou commença à s’ouvrir sous l’effet de ma langue. Elle poussa mais rien ne sortit.

– Tu ne perds rien pour attendre, tout à l’heure je te chierais dessus !

Magalie reprit la parole.

– Je vois que tu es en forme, alors tu vas nous prendre toutes les trois, l’une après l’autre !

L’une après l’autre, cloué au lit je m’exécutai pendant qu'elles venaient se faire enculer. J’étais leur jouet et cela me plaisait. J’adore être soumis. Après six pénétrations, je n’en pus vraiment plus et j’indiquai que ma queue me faisait souffrir. Mon sexe était gros et rouge. Il me faisait mal. Elles me détachèrent et je pus à nouveau bouger. Mais là Nathalie m’informa :

– Tu as le choix : soit de rester soit de continuer la soirée avec nous !

Je décidais de rester et, dans la minute qui suivit, je me retrouvai attaché sur le ventre, pieds et poings liés. Là, des voix s’élevèrent :

– Tu nous a bien enculées, à notre tour !

Elles dissimulaient sous le lit un gode qu’elles essayaient de faire entrer dans mon anus. Elles avaient beaucoup de mal, c’est pourquoi, tour à tour, elles me glissèrent trois doigts dans mon cul qui là se retrouvait bien dilaté.

A chaque fois elle me donnait le gode à nettoyer et je léchais ma merde.

En écartant mes cuisses elles glissèrent l’objet qui trouva sa direction en une seconde. Quel plaisir ! Quelle sensation ! J’en redemandais.

Je rebandais à nouveau et je réclamais une fellation. Elles voulaient encore une fois s’amuser et acceptèrent. Là, une voix inconnue apparût. J’appris ensuite que c’était le gardien de l’immeuble, un type approchant la soixantaine qui payait parfois les filles pour participer à leurs délires sexuels.

Magalie me détacha et me demanda de sucer la bite du gardien. Celui-ci baissa son pantalon et son caleçon et j’exécutais. Ce n’était pas ma première bite et je me régalais du contact de ce membre à la texture si douce, son gland sentait un peu la vielle pisse mais cela ne me dérangeait pas.

. baglick Au bout de cinq minutes, les filles me demandèrent de me mettre en levrette afin que le gardien m’encule. Il savait y faire et me pénétra sans violence me provoquant des sensations de plaisirs inouïes. Et pendant qu’il me pénétrait, Magalie passée sous moi s’amusait à me gober les couilles.

Le gardien prêt à éjaculer sortit sa queue de mon anus, se décapota et me la présenta à la bouche. Il éjacula dans ma bouche puis me roula une pelle.

En reprenant mes esprits, je vis le gardien se rhabiller, puis quitter l’appartement non sans avoir glissé un petit billet dans la main de Magalie.

Dans le fond de la pièce Caro et Nathalie entamait un 69 qui se termina par leur jouissance commune..

Magalie me demanda de me coucher par terre.

– Caro t’avais promis un cadeau, mais je peux t’en faire un aussi !  »

Le boudin qui sort de son cul est magnifique, Nathalie en attrape un morceau et se met à le lécher vicieusement tout en offrant l’autre extrémité à Caro. Magalie a fini de se vider, j’ai sa merde sur mon visage, je ne peux plus bander, trop crevé.

Je sers tout de même de papier à cul à Magalie, et elle me roule un patin, un patin merdeux.

Ça m’a fait plaisir, j’adore les bisous baveux.

Quelle soirée, mes amis, quelle soirée.

 

Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 13:43

Véronique a renversé le thé

par Bougetoi

 

Gode stamp

 

Véronique a renversé le thé


Mon nom est Sylvain et je souhaite que la petite histoire que voilà va vous faire autant de bien qu’à moi… 


Ce soir-là je me trouve chez des amis (Véronique et Patrick). Nous avons dîné tous les trois autour d'un barbecue, et après le dessert Véronique me propose un café. Sans vouloir être difficile je lui demande si elle ne peut pas me faire un thé à la place. Pour elle pas de problème. Véronique part à la cuisine et avec Patrick nous continuons de discuter de tous et de rien.


De retour de la cuisine Véronique me sert mon thé et en servant le café de Patrick elle reverse ma tasse. Même ayant bu quelques verres de vin je me lève brusquement et le thé finit sur mes jambes. La chaleur étant intense je pose mon pantalon sans même réfléchir à la situation dans laquelle je me mets. Véronique s’empresse de m’essuyer les jambes avec une serviette, c’est alors que l’on entend Patrick éclater de rire devant le comique de ma tenue et de la réaction de sa copine. Je regarde à nouveau Véronique et on part tous les trois dans un immense fou rire. Je fais le con en caleçon, quand Patrick très sérieusement me propose de passer la robe que porte Véronique car il a toujours rêver de me voir en femme.


Ni une ni deux j’accepte, de toute façon le ridicule ne tue pas. Véro retire sa jupe et je la mets. Je fais un peu la personne efféminée pour les faire rire. Véro me prend par la main me fait entrer à l'intérieur et me guide vers sa chambre. Elle sort de ses affaires une paire de porte jarretelles, un soutien-gorge et un petit haut de corps bien moulant..


- Passe tout ça et je vais te maquiller ! Me dit-elle


Je me mets nu et revêts ses affaires.


Elle revient vite de la salle de bain avec le nécessaire pour me grimer. 10 minutes plus tard je fais mon apparition devant Patrick de nouveau mort de rire. Il se lève et s’approche de moi, et passant son bras derrière mon cou :


xtcznedj.jpg- Vous habitez toujours chez vos parents, belle enfant ? Se gausse-t-il 

- Oh non ! Je peux rentrer très tard si je veux. - - Très bien. 


Je commence déjà à moins rigoler quand je sens sa main descendre sur mes fesses. Véronique s’est assise devant nous et tient ses jambes repliées sur elle. Patrick continue son numéro de charme et je ne sais pourquoi je rentre dans son jeu.


- Je vous aime. Sylvain

- Moi aussi grand fou ! Répondis-je


Et aussitôt il m’embrasse, sa langue pénètre ma bouche et je le laisse faire et même je l’accompagne. Ses mains se baladent sur mon corps et il commence à défaire ce que je porte. Je me retrouve vite nu et je bande. Patrick enlève ses vêtements et il est dans le même état que moi. Il passe dans mon dos et je sens son sexe contre mes fesses. Il prend ma tête dans ses mains et la dirige vers Véronique. Elle me sourit et écarte doucement les cuisses. Je comprends vite pourquoi elle était dans cette position. Entre ses cuisses je ne vois pas sa chatte mais une ceinture supportant un gode énorme. Elle se lève et se colle contre moi. Elle m’embrasse à son tour. Patrick me manipule sans problème et il m’allonge sur le dos sur la table : position gynécologie.


Véronique tient son "sexe" à la main et le dirige contre mon anus. Elle tend la main vers une feuille de salade qui traîne sur la table et la frotte contre. L’huile se dépose sur moi et son ‘sexe’ me pénètre. Une sensation nouvelle m’envahit, une très agréable sensation. Elle se penche complètement sur moi. Sa poitrine chaude touche mon corps et je prends ses seins dans mes mains. Patrick derrière elle la prend en levrette et commence de petits mouvements. Véro reprend alors les siens et les voilà tous deux en action. La position ne change pas jusqu’au moment où Véro s’affale sur moi dans en râlant son plaisir. Patrick donne alors encore de plus grands coups pour que son bonheur soit immense.


Elle se retire de moi, je sens alors un grand vide, mais Patrick prend alors sa place. Ses gestes sont moins tendres que ceux de Véro mais je l’encourage d’aller plus vite pour me faire jouir. Je porte ma main sur mon sexe pour me masturber mais Véro me la saisit et me fais non de la tête. Patrick accélère et joui dans mon corps, je sens son sperme pénétrer mes entrailles. Je veux bouger mais Véro prend aussitôt sa place et lui tient mes mains. Elle me sodomise plus de 10 minutes avant que mon sperme jaillisse de mon gland. Je cris tellement mon plaisir est grand. C’est la première fois que je jouis grâce à mon cul. Et c’est bon. On passa toute la nuit ensemble. Ils jouirent tour à tour de mon cul et de ma bouche et moi des leurs et depuis quand on se revoit, je ne peux que repenser à cette soirée.


Bougetoi 


(titre original : Le Thé Oh) Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001 (préalablement publié sur SophieXXX)   Légèrement révisé en 2024

 

Par Bougetoi - Publié dans : Années 1990
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