Mardi 18 juin 2002 2 18 /06 /Juin /2002 14:18

Un petit café chez Sandra

par Sandra et Claude

 

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Ce texte a été publié il y a plusieurs années sur un grand site d'histoires érotiques par Helena sans que l'auteur ne se manifeste. Il peut, bien sûr, toujours le faire ! Mais il aurait été dommage que ce très bon texte "bi" ne figure pas en bonne place parmi les histoires publiées ici !

Un petit café chez Sandra

Au volant de ma voiture, j'avais de la difficulté à me concentrer sur la route. J'allais enfin rencontrer Sandra en personne. Cela faisait déjà un bon moment qu'on avait fait connaissance sur un forum de discussion. Ce matin-là je m'étais connecté avec l'espoir de la trouver en ligne. Non seulement elle était là, mais elle a accepté mon invitation à prendre un café.

J'étais ivre d'anticipation, serait-elle ce que je m'attendais ? Nos conversations sur le net étaient-elles un indice de ce qui allait se produire ? Était-elle prête à tromper son mari ? J'en savais rien. Cela faisait déjà quelques temps qu'on partageait nos fantasmes et nos désirs les plus intimes sur le net et on avait parlé au téléphone une fois. J'avais été enchanté par sa voix douce et sensuelle, elle m'avait mis hors de moi en me disant ses fantasmes les plus chers. Mon cœur battait tellement fort j'avais peur d'avoir un malaise.

J'ai réussi à me rendre tant bien que mal à l'endroit prévu pour notre rendez-vous. Serait-elle là ? Changerait-elle d'avis à dernière minute ? Je me suis présenté avec quelques minutes d'avance. Devant les portes du café convenu comme lieu de rencontre je vois une fille qui attend... c'est elle ? D'un air distrait, elle me regarde approcher. Mes doutes disparaissent quand je la vois un magnifique sourire se dessiner sur son visage. Elle est telle qu'elle s'était décrit et plus. Elle a des grands yeux vifs et un regard innocent qui la font paraître beaucoup plus jeune que ses vingt-cinq ans. Je presse mes pas, je lui serre la main et je l'embrasse sur la joue d'un baiser nerveux, en touchant à peine son visage.

- Sandra ?

- Oui. Comment ça va ?

- Très bien... Heu... hmmm... Je suis très content de te rencontrer... Uhh... s'cuse-moi si je ne sais pas trop quoi dire... Tu es vraiment ravissante.

- Merci... Moi aussi je suis un peu nerveuse...

- On va à l'intérieur ? On fera mieux connaissance devant une tasse de café.

- C'est pas nécessaire. J'ai l'impression de te connaître déjà comme un vieil ami. Viens chez-moi, on sera mieux à l'abri des regards.

Je n'ai pas hésité une seconde avant d'accepter son invitation. J'avais seulement un doute :

- Ton mari n'est pas là ?

- Il est au bureau. Il ne sera pas là avant sept heures... Alors tu viens ? T'as ton auto ? Je suis venue à pieds, j'habite à dix minutes d'ici.

Il commençait à pleuvoir et on a couru s'abriter dans l'auto. À l'intérieur, l'imper qu'elle portait s'est ouvert et m'a permis de découvrir une paire de jambes divines. Elle portait une jupe très courte en dessous et je ne savais pas si elle faisait exprès pour montrer le plus de peau possible. Pendant qu'elle me montrait le chemin à prendre, je jetais des regards furtifs en sa direction. Une bosse imposante prenait déjà forme sous mon pantalon. Elle n'a pas fait semblant de rien voir, au contraire elle m'a regardé directement dans les yeux en passant lascivement sa langue sur ses lèvres.

La voiture s'est arrêtée devant sa porte et nous sommes rentrés d'un pas rapide.

Sa demeure était décorée avec goût. Je me suis assis sur un divan moelleux au salon pendant qu'elle fermait les stores et m'offrait un verre. Assise sur la causeuse, elle m'a fait signe d'approcher. Nous avons commencé une conversation sur nos différents intérêts, j'ai complimenté sa maison en buvant lentement ce qu'elle m'avait offert. Après seulement quelques minutes, j'ai senti sa main effleurer ma jambe, qui était près de la sienne. Elle a pris le verre que j'avais encore dans ma main et l'a placé sur la table à café.

C'est toujours indescriptible cette sensation du premier baiser. J'ai senti sa bouche se poser sur la mienne et c'est comme si un éclair avait touché à terre. Nos langues se sont entremêlées. La sienne avait un goût de miel et amandes en pénétrant ma bouche. J'ai caressé l'intérieur de sa bouche avec des va-et-vient furtifs de ma langue. Elle a mis une jambe à chaque côté de moi et s'est assise sur mes genoux. Me devançant, elle a pris chacune de mes mains et les a posés sur ses hanches voluptueuses.

J'ai caressé chaque partie de son corps d'une main fébrile. Ses fesses et ses seins étaient d'une douceur infinie. Très habile, elle commençait à défaire mes boutons de chemise et ceux de sa blouse sans briser notre baiser. Elle a défait mon pantalon avec la même adresse, puis j'ai vu ses mains baisser sa jupe qui ne tenait que par un élastique. Elle s'est mise débout pour la laisser glisser à ses pieds. Sa blouse défaite et sa chevelure en désordre, elle avait l'air d'une femme dans tous ses états.

Elle m'a aidé à baisser légèrement mon pantalon et est venue coller encore une fois son corps au mien. Cette fois en m'embrassant sur le cou et la poitrine, elle a réussi à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout en lâchant des petits râlements, des oh ! Et des ah ! Elle commençait à me masturber lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesait le sac se forçant sous mes caleçons, serrait le nœud fermement. Elle a descendu son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide.

J'ai senti sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle a commencé une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu'elle s'activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme à avaler.

Son regard s'est égaré, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde, de temps en temps elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d'éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d'agréables sensations. Puis, elle m'a dit :

- Vas-y... Tu peux décharger dans ma bouche... J'aime ça.

Et elle a entamé une pipe endiablée. Elle me branlait d'une main en suçotant sur le nœud de ma bite. C'était presque violent. Mon dos s'est cambré, mes jambes ont raidi et j'ai senti ce courant électrique qui précède la jouissance. J'ai giclé avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle a arrêté son pompage que lorsque ma queue était devenue tellement sensible que c'était douloureux. Puis elle a remonté vers moi. Son visage était radieux.

- Tu n'as pas échappé une seule goutte.

- C'est mieux comme ça... Pas de gaspille.

- Merci. C'était magnifique... Mais je n'ai même pas caressé ton sexe. Je voudrais te donner autant de plaisir que toi tu m'as donné.

- Tu l'as déjà fait. J'ai joui sans me toucher... Mais si tu veux me caresser, je suis toute à toi.

En disant cela elle a écarté de son sexe sa petite culotte. Il suffisait d'un coup d'œil pour voir que sa forêt était inondée. Sa toison reluisait tellement elle mouillait. J'ai pu voir des longues coulées de jus qui descendaient le long de ses jambes.

Une envie soudaine de plonger mon visage entre ses jambes m'a secoué. Je voulais fouiner chaque recoin de sa fente avec ma langue. Laisser ma bouche éponger ses sécrétions généreuses. La prenant presque violemment par la taille, je l'ai fait s'étendre sur le sofa. Elle semblait amusée par mon empressement. Je me suis rué sur elle, j'ai commencé par embrasser sa bouche comme un affamé. Elle goûtait encore moi. J'ai léché et sucé son cou et ses épaules, je me suis attardé spécialement sur ses seins, que j'ai tété et mordillé avec délectation. Ses mamelons ont dressé tout de suite et elle a gémi un peu en s'abandonnant à mes caresses. J'ai frayé mon chemin le long de son ventre, son odeur de femelle commençait à remplir mes narines.

Quel plaisir que de trouver enfin l'objet de mes convoitises ! Ses jambes écartées, son sexe était offert à moi et à mes caresses buccales. J'ai placé sous ses fesses un coussin qui se trouvait sur le divan. Sa chatte était toute baveuse et gluante déjà, elle baillait légèrement et une traînée de jus allait échouer sur son anus rosé.

Son corps a raidi au premier toucher de ma langue sur son sexe. Ouvrant un peu sa fente avec mes doigts, j'ai trouvé petit son bouton sans difficulté. Il était tout rouge et demandait de l'attention, dressé comme une petite bite. Je l'ai roulé sur le bout de ma langue, je l'ai pris dans ma bouche pour l'aspirer, je l'ai massé en le pinçant entre mes doigts. J'ai léché son con au complet, sans rien négliger. Je le lapais comme un chat. Ma langue défilait tout le long de son sexe qui me gratifiait avec son liquide doux-amer. J'ai plongé ma langue dans son vagin, en le léchouillant l'entrée, j'ai pu sentir ses contractions qui voulaient emprisonner ma langue à l'intérieur. Puis, j'ai glissé ma langue vers le bas. Son anus s'est ouvert sans objections à mes attaques buccales, pendant que jouais avec son clito. Son orgasme m'a surpris tant par sa violence que par sa durée. En sentant ses frémissements, j'ai sorti ma langue qui fouinait les plis de son petit trou pour aller coller ma bouche sur son sexe fumant.

J'ai vite été récompensé par une coulée succulente de jus féminins. Ses jambes ont emprisonné ma tête, m'empêchant presque de respirer. Des longs flots de liquide salé ont rempli ma bouche et sont descendus en grosses gorgées chaudes.

Je ne sais pas si elle a crié, car j'avais les oreilles bouchées par ses jambes, mais son orgasme a duré ce qui me semblait être des longues minutes. Je n'ai pas arrêté de lui brouter la chatte que lorsque son corps s'est détendu et elle est restée molle comme une poupée de chiffon.

Je me suis assis à côté d'elle pour qu'on reprenne notre souffle. Mon sexe avait repris ses forces pendant que je m'occupais d'elle, mais elle avait l'air épuisée.

- Merci. C'était trop bon. Tu manges toujours aussi bien les chattes ?

- Je t'avais dit que je suis très oral. Je pourrais faire ça pendant des heures entières...

- C'est parfait ça ! Moi je pourrais me faire manger comme ça pendant des heures.

- Dommage... Ton mari va arriver trop vite. On n'a pas des heures devant nous.

- Tu sais quoi ? Elle m'a dit d'un ton presque moqueur.

- Quoi ?

- Tu te rappelles une fois... Tu m'as dit avoir un fantasme... Ça te tentait d'avoir une relation à trois... avec un mec bi ?

- Oui... Mais c'est pas mal difficile de trouver un couple partant.

- T'as toujours envie de le faire ?

- Bien sûr... Si l'occasion se présentait.

- Ok. Tu sais quoi encore ? Tu ne vas pas te choquer ? Mon mari n'est pas au bureau... Il est là derrière la porte du placard et il a tout vu.

- Heu ? !!

Mon cœur a fait un saut. Je ne m'attendais surtout pas à ça. Elle avait mal à contenir son fou rire quand elle a vu l'expression sur mon visage. J'ai retourné la tête en direction du placard à l'entrée et j'ai vu la porte s'ouvrir. Son mari est sorti comme si rien n'était et s'est dirigé vers nous. Il n'avait pas du tout l'air d'un mari cocu. Il était plutôt souriant. Il ne portait qu'un t-shirt et des boxers... L'image de quelqu'un qui profite d'une journée de congé à la maison pour flâner et pour... regarder sa femme s'éclater avec un autre mec !

- Salut... Ça va ? Moi c'est Claude.

- Euh... Oui ça va... Juste un petit peu surpris.

- T'en fais pas... Toi tu ne le sais pas, mais des fois quand tu chattais avec Sandra j'étais à côté d'elle et je te lisais. On aurait dû te dire tout de suite qu'on serait trois à la table mais elle a préféré te surprendre. Je suis content aussi parce que j'ai trouvé ça très hot de vous voir en cachette. J'espère que tu n'es pas choqué.

- Non pas du tout. Mais si vous me faites ça encore une fois je vais mourir d'une crise de cœur. Vous êtes sûrs qu'il n'y a plus personne de caché quelque part ?

- On est sûr !

L'ambiance commençait à être détendue. Ils avaient l'air d'un couple très complice et bien dans sa peau. Lui aussi avait une mine très jeune. Il était un bel homme dans la mi-vingtaine mais ses cheveux bouclés lui donnaient une apparence de gamin. Du coup, l'érection que j'avais perdue avec la surprise revenait. Ma queue commençait à s'enfler de nouveau. Les possibilités qui se présentaient maintenant étaient très excitantes. Sandra a parlé la première :

- Et si on passait dans la chambre ? On va être beaucoup plus confortable.

Elle n'avait pas terminé de prononcer ces mots qu'elle était déjà en route. Nous l'avons suivie dans la chambre sans perdre du temps. À partir de là tout s'est passé comme si on avait l'habitude de faire ça. Elle a sauté sur moi et m'a dépouillé de mes vêtements en riant comme une gamine. Son mari pendant ce temps ôtait le peu de sous-vêtements qu'elle avait encore. En le disant, on était nu, Sandra et moi. Il ne restait que Claude. Je l'ai aidé à enlever son t-shirt et Sandra, toujours rieuse, s'est accroupie devant lui pour faire descendre son boxer.

Elle a dévoilé un sexe semi-rigide. Ses bourses étaient rasées, ainsi que la base. Il ne gardait qu'une petite touffe entre la queue et le nombril. Je me suis senti presque jaloux. Sa queue n'était pas plus grosse que la mienne (de toute façon je ne suis pas si insécure que ça), mais elle était vraiment belle. Sandra s'est mise à lui caresser les jambes. Elle ne riait plus et avait pris un air sérieux.

Elle a pris son sexe entre ses mains et a amorcé une masturbation sur le membre de son mari. Je voyais sa queue grossir à vue d'œil. Elle caressait partout autour de cette queue qui pointait maintenant vers le plafond. Elle m'a fait signe d'approcher. Debout devant elle comme lui, elle a pris nos deux pieux entre chacune de ses mains. Elle nous masturbait lentement, on aurait dit qu'elle était fascinée par ces deux membres qui étaient durs seulement à cause d'elle. Elle pesait nos couilles comme pour essayer de voir lesquelles étaient plus dures. En nous tirant par la verge, elle nous a fait approcher de son visage.

Mon sexe est le premier qu'elle a embouché. On aurait dit qu'elle avait l'eau à la bouche, tellement c'était mouillé et chaud dedans. Sa salive coulait sur son menton et allait retomber sur sa poitrine haletante. Puis elle a retiré ma queue pour la remplacer par celle de Claude. Elle n'a jamais arrêté de nous branler simultanément, gardant un rythme constant.

Après avoir passé d'une queue à l'autre plusieurs fois, elle s'est arrêtée sur la mienne. De sa main droite elle a tiré sur celle de son mari pour le forcer à s'accroupir à son tour. J'ai tout de suite deviné ce à quoi elle voulait en venir.

Très vite j'ai eu devant moi ce couple libertin qui s'en chargeait de me sucer en tandem. Il n'avait pas autant d'expérience dans les fellations que sa femme mais il n'était pas maladroit pour autant. Il mettait beaucoup d'effort à aspirer ma bite dans sa bouche devant les yeux médusés de Sandra, qui venait parfois prendre la relève ou donner quelques coups de langue à mes couilles.

Puis elle a fait mettre Claude debout. Répétant ce qu'elle avait fait à son mari, elle m'a fait mettre à genoux à côté d'elle. Droit devant mon visage, son sexe paraissait plus gros qu'avant. Sans hésitations, j'ai foncé vers lui et je l'ai embouché d'un seul coup. Sandra ne faisait que regarder la plupart du temps, mais elle venait à l'occasion m'aider dans la fellation de son mari. Du coin de l'œil je la voyais se tripoter les seins et sa main qui frottait entre ses jambes avec insistance. Elle aimait le spectacle devant elle, dans son visage on pouvait lire le plaisir qu'elle retirait en se branlant avec notre show.

Sandra est venue se coller à mon oreille et elle a chuchoté quelque chose qui m'a donné des frissons :

- Je veux qu'il t'encule.

Elle m'a pris par les mains et m'a fait approcher le lit. J'avais les jambes en gélatine. D'une part j'étais terriblement excité, d'autre part j'avais terriblement peur. Elle m'a fait mettre la tête sur le lit. J'étais presque à quatre pattes. J'ai senti deux mains qui écartaient mes fesses et une langue mouilla mon anus de salive. J'ai regardé Claude à côté du lit et j'ai su que c'était elle qui perçait mon cul. Elle me caressait si bien avec sa langue ! Elle la passait partout : sus mes couilles et sur mes fesses, mais surtout dans mon cul.

Elle a fait mettre Claude derrière moi et a placé le nœud de son sexe dans l'entrée de mon cul vierge. J'ai retenu ma respiration un moment, en sentant cette queue qui commençait à percer. Je m'attendais à plus de douleur, mais elle s'est assuré que Claude prenait son temps et mon cul était vraiment trempé de salive. Après un moment, je le sentais commencer un va-et-vient dans mon anus. Elle me branlait tranquillement au début, après elle a pris la main de Claude et l'a mise sur ma verge pour qu'il s'occupe de moi et elle est venue se placer devant moi. Assise sur le lit, les jambes bien écartées.

Claude me fourrait de plus en plus fort et de plus en plus vite et moi je léchais Sandra avec la même force, sinon plus.

J'ai senti Sandra tirer sur mon épaule et j'ai tout de suite compris ce qu'elle désirait. Marchant sur mes genoux et sans arrêter mon enculage, je l'ai rejointe sur le lit. Maintenant couchée et les jambes bien écartées, je n'ai pas perdu de temps et je me suis enfoncé en elle, profitant des coups de bite que Claude donnait dans mon derrière.

Elle semblait hors de soi. M'embrassant passionnément et me disant des noms à l'oreille.

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- Petit enculé.... Ahhh... hmmm... Je le sens en toi... Hmmm vas-y enculé, baise-moi encore plus fort.

Son vagin caressait chaque nerf de ma queue et j'avais le cul à vif. Claude me défonçait le cul comme un déchaîné maintenant. Je savais qu'il allait jouir en moi bientôt. La pièce au complet sentait le cul et on entendait les bruits de nos sexes moites dans nos orifices encore plus humides.

Elle a joui la première. Les contractions de son vagin sur ma queue ont eu un effet incroyable. Le cul bien rempli, mon orgasme a été dévastateur. Très long. J'ai serré le cul en même temps, ce qui a fait Claude m'envoyer un arrosage de foutre gluant dans le cul.

Épuisés, nous sommes restés comme ça pendant des longues minutes. J'ai senti Claude débander et abandonner mon cul meurtri, laissant échapper une abondante coulée de sperme de mon boyau. Je suis resté accouplé à Sandra pendant un moment mais finalement ma queue a dégonflé et quitté la gaine qui l'accueillait.

On était trempé de sueur et après un bref repos nous avons sauté sous la douche. Sandra et Claude se sont montrés très sympas, m'offrant de rester à dîner et même à passer la nuit. Pendant qu'on mangeait un excellent repas arrosé de vin rouge, Sandra m'a rappelé un fantasme qu'elle avait partagé avec moi avant :

- Tu sais ? J'adore la sodomie et j'aimerais toujours avoir deux hommes en même temps. Ça doit être quelque chose de se sentir remplie comme ça...

 

Sandra et Claude

Par Sandra et Claude - Publié dans : Années 1990
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Dimanche 9 juin 2002 7 09 /06 /Juin /2002 14:35

Sonia n'est pas venue

par Marie-Paule Perez

 

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Ben non, Sonia n'est pas venue… car si elle était venue, cette aventure, je ne l'aurais sans doute point vécue… mais commençons par le commencement !

 

Je me prénomme Marie-Paule, et je suis mariée avec Etienne. J'ai trente-trois ans, mon mari trente-sept, tout va bien, merci… Le temps des bonheurs intenses et des souvenirs inoubliables est un peu derrière nous. Mais on s'entend bien malgré tout. Sur le plan sexuel c'est un peu pareil, mais je ne me plains pas, enfin pas trop… Il m'arrive d'aller voir ailleurs, je suppose qu'il en fait autant… Bof, tant qu'on prend du plaisir sans casser notre vie de couple qu'est-ce que ça peut foutre après tout ?

 

Et puis suite à un concours de circonstances, (mais ce n'est pas le sujet de l'histoire) j'ai fait la connaissance d'une femme, d'une femme très douce, ce jour-là j'ai découvert quelque chose, et du coup mes petits écarts en ont été transformés

 

Et justement ce jour-là, j'attendais Sonia dans un café en sirotant un vichy fraise et en me projetant déjà dans ma tête mon petit cinéma charnel quand cette salope m'appela pour se décommander. Je rentrais alors à la maison dépitée, contrarié, furieuse et…

 

Evidemment arrivé à la maison, ce con d'ascenseur (qu'est ce qui est plus con qu'un ascenseur ? Je vous le demande bien, surtout quand il est en panne ?) était justement… en panne. J'habite au cinquième et je fume. Ce qui fait que j'arrivais en haut épuisée, le souffle coupé. J'en veux à la terre entière, à ses habitants, son pape et ses curés !

 

En plus j'ai envie de pisser, je m'énerve, je m'énerve, je mets un temps fou à trouver mes clés dans ce putain de sac à main à la con (qu'est-ce qu'est plus con qu'un sac à main quand on cherche quelque chose dedans, je vous le demande ?) Je finis par rentrer

 

Et go to the private chiotte ! Je pisse, je pisse, je n'arrête pas de pisser ! D'ailleurs j'adore ça pisser, c'est l'un de mes trucs, ça quand je suis à poil le matin, avant de prendre ma douche, j'adore me pisser sur les cuisses, c'est chaud, c'est rigolo, c'est excitant… ou alors le soir, quelques gouttes, justes les dernières, comme ça dans la culotte, et hop on la remet, ça mouille la foufoune, c'est super comme effet !

 

Mais "vlatipa" que j'entends comme des gloussements de plaisir qui semblent provenir de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Mon salopard de mari profite du fait que j'ai rendez-vous avec une nana pour s'envoyer en l'air avec une gonzesse ! Quel toupet ! Il est vrai qu'en y réfléchissant un peu, je suis un peu mal placée pour lui faire de la morale… Mais quand même ça m'énerve ! Et puis d'abord il n'a qu'à faire ça ailleurs, pas sous notre toit quand même ! Il y a des choses qui ne se font pas ! Na !

 

Mais comme je suis curieuse comme un pot de chambre, je décide de regarder à quoi ressemble la pétasse que Monsieur est en train de s'envoyer. Délicatement, très délicatement, j'entrebâille la porte et…

 

Putain, le choc !

 

J'ai dû me tromper, ce n'est pas possible !

 

Je regarde une nouvelle fois !

 

Ben non, je ne me suis ni trompée ni gourée !

 

Mon connard de mari est en train de faire des trucs avec un mec !

 

Je dois être encore plus blanche qu'un navet de compétition dans un concours agricole !

 

Bon, j'en étais déjà à me demander comment gérer tout cela ! La meilleure solution serait sans doute de foutre le camp sur la pointe des ripatons et de ne revenir au domicile conjugal, désormais souillé du péché de Sodome et Gomorrhe, quelques heures plus tard, comme si de rien n'était ! Mais poussée par je ne sais quelle curiosité malsaine, je regarde à nouveau ! Un type genre blondinet efféminé est en train de sucer goulûment la bite de mon Etienne de mari qui vu sa bobine épanouie a l'air de trouver l'action complètement à son goût ! Le salaud !

 

Ah ! Je me vois bien pipelotter le soir "Alors chéri, tu as passé une bonne après-midi ?" "Bof, j'ai regardé la télé !" Qu'il va me répondre ! Menteur, Pervers ! Enculé ! Tiens, en parlant d'enculé, j'espère au moins qu'ils ne vont pas aller jusqu'à…

 

Tiens ! Juste un dernier coup d'œil !

 

Je distingue cette fois mieux la scène, Etienne est sur le lit, l'inconnu le suce assez bruyamment avec de gros floc-floc, il est à quatre pattes, les fesses dans ma direction, légèrement cambrés, de bien jolies fesses bien lisses et glabres ! "Des jolies fesses", j'ai dit ! Je deviens folle !

 

Et puis tout c'est passé très vite, je sens comme quelque chose qui me gêne dans la gorge, bon dieu il ne faut pas que je tousse, j'essaie de lutter, j'aurais dû partir, mais je reste là, paralysée ! Ne pas tousser ! Ne pas tousser ! Je tousse ! Les deux mecs qui me regardent surpris ! Etienne est tout rouge, l'autre est tout blanc, moi, je ne sais pas, verte peut-être !

 

Le réflexe débile, Etienne tire le drap sur lui, comme si je ne connaissais pas sa nudité par cœur !

 

Enfin vous voyez la situation !

 

Tout pouvait arriver !

 

Je serais éternellement reconnaissant à Etienne d'avoir d'un éclair de génie débloqué une situation qui pouvait tourner en n'importe quoi, crise conjugale, bagarre, que sais-je encore…

 

Il n'eut alors que cette courte phrase :

 

- Marie-Paule, c'est super que tu sois là ! Viens nous sucer !

 

J'aurais pu, moi aussi réagir tout autrement, mais non ! Dans un état second, j'avançais vers le lit, comme la femelle du zombi et je m'approchais de la bite de l'inconnu.

 

- C'est Ghislain, je l'ai rencontré… euh… par hasard !

- Enchanté !

 

Il me tend la main, je la lui serre ! Comme présentation insolite, ce n'est pas mal quand même ! Je serre la main d'un type à poil qui bande comme un cerf et que je m'apprête à sucer ! Quelle est jolie cette biroute ! Bien droite, la peau un peu sombre, le gland bien brillant, d'une longueur standard, on va dire ! J'en ai quand même pas vu tant que ça dans ma vie !

 

Ça y est ma langue est au travail ! Je lui asticote le gland à ce biquet ! Je suce un mec qui vient de sucer mon mari ! Ça m'excite, ça m'excite de faire des trucs aussi pervers ! Mon mari s'approche de moi et me fait des petits bisous affectueux sur la joue ! Pas très pratique quand on suce ! Et puis qu'est-ce qui lui prend ? Il a quelque chose à se faire pardonner ou quoi ? Peut-être quand même, alors j'arrête un moment ma fellation et j'embrase Etienne goulûment, faisant circuler ma langue dans sa bouche avec toute la souplesse dont je peux être parfois capable !

 

Me voici en train d'embrasser mon mari avec le goût de la pine d'un autre homme dans ma bouche ! Je vous dis, on est en pleine perversion !

 

Finalement Etienne me lâche, je reprends ma pipe, mais cette fois j'y vais carrément, je coulisse le membre de mes lèvres humides, j'adore faire ça, mais il y a un inconvénient, ça fait baver… et il se trouve que je suis encore intégralement habillée, même pas légèrement débraillée, non personne n'a touché à mes vêtements. Ben oui, quand on est dans la réalité, les choses ne se passent pas forcément dans l'ordre logique…

 

Je me recule pour me déshabiller. Ça a l'air d'intéresser Ghislain, qui me regarde comme si j'étais Claudia Chou-fleur ! J'en suis pourtant assez loin même si comme on dit " je plais "

 

Etienne interrompt la contemplation de son acolyte et lui fait se replacer à quatre pattes, il passe alors derrière lui ! Et… Mais qu'est-ce qu'il fabrique l'Etienne… Ben, non, je ne rêve pas, il est en train de lui sucer la rondelle ! Mon Dieu ! Mais ce n'est pas possible, il faut que je voie ça de plus près ! Je me dépêche de terminer mon déshabillage et je ne prends même pas le temps de ranger convenablement mes sous-vêtements que j'envoie bouler et choir sur la moquette !

 

Et puis je décide de me rapprocher du lieu de l'action. Mon Etienne est en train effectivement de jouer de la langue et de lubrifier l'anus de Monsieur Ghislain qui a l'air de trouver la caresse fort stimulante, ils ne sont pas nets, ces mecs. Ça m'excite, ça m'excite, je m'approche :

 

- Je peux aussi ?

 

Il faut toujours demander avant de faire les choses ! Etienne comme à regret à la galanterie de me laisser la place, je lèche à mon tour ! Et me voilà en train de laper le trou du cul d'un homosexuel ! Curieuse après-midi, normalement je devrais à cette heure-là lécher la foufoune de Sonia, je vous dis la destinée c'est bizarre des fois. Et puis, j'ai envie d'improviser, après tout ils m'ont invité, ce n'est pas pour rester passive, ce trou qui me tend les doigts, c'est le cas de le dire est trop tentant, j'approche l'index, je le rentre, je le bouge et je le bouge encore et monsieur est aux anges !

 

- Attends ! Intervient Etienne !

 

Qu'est qu'il a lui ? Il a peut-être une idée pour la suite, mais qu'il ait la délicatesse de me laisser un peu faire ce que j'ai envie !

 

- Voilà, je vais me mettre tout à côté de lui et tu vas nous doigter tous les deux en même temps !

 

En voilà une idée qu'elle est bonne ! Etienne se place à la gauche de Ghislain, je m'aperçois qu'il n'a pas le cul vraiment sec, il a dû se le faire sucer par son copain avant que j'interfère dans leurs ébats. Et comme il le souhaitait j'ai maintenant un index dans chaque trou du cul et je fais des petits va-et-vient avec tout ce petit monde !

 

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- Ça vous plait que je vous encule avec mes doigts, bandes de pédés !

- Hum c'est bon ! Répond Ghislain !

- Grsfjsfklgjdmh ! Surenchérit Etienne dans une langue inconnue.

 

Après quelques instants de ce régime, les deux hommes s'allongent de nouveau sur le lit et se livrent à une masturbation mutuelle, je voudrais bien me rendre utile et m'amuse à agacer les tétons de ces messieurs, en principe ça plait toujours, et puis j'embrasse mon mari, l'autre je n'ai pas trop envie !

 

Etienne se redresse un moment puis plonge sa bouche vers le sexe de Ghislain ! On a beau avoir les idées larges, voir son mari en train de sucer une quéquette, ça fait drôle, et quand je dis que ça fait drôle c'est peut-être un peu curieux psychologiquement parlant mais en ce qui concerne l'excitomètre, c'est d'une efficacité surprenante, je suis en train de dégouliner de la chatte comme cela m'est rarement arrivée.

 

Mais voilà que Ghislain est en train de préparer un préservatif, il s'en capuchonne la biroute… Il ne va pas… quand même… J'aurais plutôt vu le contraire ! Ben non ce n'est pas le contraire. ! Etienne est à quatre pattes, il s'écarte le trou du cul de ses mains et attend que Ghislain l'encule ! Et ça va se passer devant mes yeux écarquillés à cinquante centimètres de moi.

 

Ghislain s'approche, enfin c'est plutôt sa bite qui s'approche, la pénétration a été relativement rapide, moins d'une minute, et les voilà partis dans des va-et-vient infernaux ! Etienne râle son plaisir comme un malade, je suis toujours autant excitée, mais personne ne s'occupe de moi ! Je me faufile par-devant et essaye de sucer la bite de mon mari pendant qu'il se fait besogner, mais c'est plus facile à dire qu'à faire, et vu l'instabilité de la position ou mon manque d'expérience, j'y renonce et me pose dans un coin du lit, me masturbant en regardant la scène.

 

Soudain Ghislain pousse un cri, il a joui, il se retire, et s'écroule sur le plumard (sur notre plumard ! Qui c'est qui va avoir tous les draps à changer ?) Etienne se retourne et comme un malade se met à se branler tout seul pour finir par éjaculer sur le torse de son… amant (ben oui, il faut bien employer le mot)

 

Etienne m'aperçoit enfin, semble sortir de son rêve et réalise que moi je suis un peu larguée dans toute cette affaire !

 

- Tu veux qu'on te fasse jouir, chérie ?

- Hé !

- Tu veux que Ghislain le fasse !

- Je préférerais que ça soit toi !

- Je pourrais toujours le faire après, il en meurt d'envie, n'est-ce pas Ghislain ?

- Ce sera un plaisir ! Répond-il. Et je réalise que je n'avais pas encore entendu le son de sa voix.

 

Toujours est-il que je me retrouve allongée, les cuisses écartées et la langue de Ghislain dans mon sexe en train de la balader sur mon clito, c'est qu'il lèche bien l'animal, je mouille, je mouille, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, je pars, je hurle… à ce point que Ghislain s'inquiète auprès d'Etienne de savoir si tout va bien !

 

- Non elle jouit toujours très fort ! Tu l'as bien sucé ! Bravo !

- Vous êtes très chouette tous les deux, si vous voulez, je vous paie le restaurant tout à l'heure ! Propose alors Ghislain.

- Une autre fois, pourquoi pas ? Ce sera avec plaisir, mais pour le moment nous voulons rester un peu tous les deux ! A moins que… qu'en penses-tu chérie ? Me demande Etienne !

- Je suis d'accord avec toi, Etienne, je t'aime, tu sais !

- Alors je vous laisse… en amoureux…

 

Je fis alors un petit signe d'amitié de la main à Ghislain voulant lui signifier par-là que ce genre d'adieux suffirait, puis je repris la position sur le lit, les jambes écartées !

 

- Allez viens, Etienne, c'est à ton tour de me sucer !

 

© Marie-Paule Perez

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

 

 (juin 2002)

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Vendredi 3 mai 2002 5 03 /05 /Mai /2002 09:00

Charmant Armand

par Eddy

 

Gaystamp

 

Jean-Luc D est un programmeur de génie, grand spécialiste des simulations de vol, il a cru ensuite faire fortune en se lançant dans la conception de logiciel de gestion et de stock. Cela a bien marché... tellement bien qu'il a fallu qu'il s'entoure de collaborateurs pour faire face à la demande. Et JLD Corporate est maintenant une petite entreprise de dix personnes. C'est là que je travaille !

 

Qui je suis ? Vincent, la quarantaine, un peu dégarni, lunettes, moustaches... Classique, quoi !

 

En matière de sexe, je suis hétéro pratiquant, et sinon très ouvert (mais uniquement en théorie). Pas mal obsédé quand même, je pense que le sexe est, avec la bouffe, l'un des grands plaisirs de l'existence, et j'aime en rêver, j'aime en user. Je fantasme aussi beaucoup, j'aime les femmes, leur visage, leur silhouette, leur poitrine (ah ! les poitrines) leurs fesses, et même leur voix...

 

Bon, notre patron, donc JLD est sans doute un programmeur de génie, mais il s'est révélé un gestionnaire bordélique, improvisateur, merdique pour tout dire (sans doute en vertu du fameux principe de Peter) Les logiciels sont commercialisés trop tôt, les tests sont faits n'importe comment, il n'y a pas de politique de maintenance claire, la SAV ne marche pas bien. Bref ça ne va pas du tout. On lui a dit à JLD, mais décidément l'organisation, ce n'est pas son fort ! Et puis ce qui devait arriver arriva ! Un logiciel de stock spécialisé dans les marchands de vins se met à buguer ! Coups de fil des utilisateurs, grogne générale. Le concepteur du programme n'est plus dans la boite, et refuse de se déplacer même contre une prime substantielle. Pas trente-six solutions : Ou bien on met en place un plan de catastrophe, sachant qu'il n'y a pas assez de monde dans cette boite pour faire face au problème. Ou alors on ignore le problème, rendant à terme la faillite de la boite inéluctable….

 

On s'est donc réunis, pas mal de blablabla, mais on prend la décision de mettre trois personnes à temps plein sur le problème, d'abord pour corriger les codes, puis ensuite pour aller installer les correctifs chez tous les clients. Au bout d'une journée la conclusion devient limpide : on n'est pas encore assez, alors on embauche trois intérimaires, et comme ça on travaillera par équipe de deux

 

Et l'histoire peut commencer, et je vous le promets, on va essayer de ne (presque) plus parler d'informatique.

 

Nos trois intérimaires arrivent, deux hommes et une femme. Pas mal la nana, mais qui va déterminer la composition des équipes ? Bien sûr c'est ce con de JLD ! La fille fera donc équipe avec Luc. Tant pis pour moi, je récolte Armand, j'ai toujours eu beaucoup de chance !

 

Il est comment dire, particulier, Armand, les traits très fins, presque féminins, pourtant on ne peut pas dire qu'il soit vraiment efféminé. La voix est virile, la tenue classique, banale même. Il doit tout simplement être né comme ça. Ça n'empêche pas les gens de faire des réflexions derrière son dos, dès qu'on est un peu différent en ce bas monde, on se fait vanner… Mais ça ne dure pas, d'autant que rien dans son attitude ne semble ambiguë, au contraire on le surprend même à dévorer des yeux la belle intérimaire.

 

Armand n'est pas très sociable, pas de café, pas de participation aux conversations…. le midi il ne vient pas manger avec nous, c'est son droit, il m'intrigue quand même, je ne sais pas si on peut dire de lui qu'il s'agit d'un bel homme ! Tout cela n'est qu'une question de goûts et de critères, en tout cas on est loin des chippendales ou des trous du cul certifiés " Berverly hills " En tous cas il me fait quelque chose, je ne sais pas trop quoi d'ailleurs, mais il me fait quelque chose. Alors parfois je me surprends à le regarder, ça doit être inconscient je ne peux pas m'en empêcher, il va falloir que je me maîtrise, si mes collègues s'en aperçoivent, je vais me faire charrier, et puis si lui s'en aperçoit... Mais ça c'est déjà fait, trois ou quatre fois il m'a répondu par un petit sourire qui certes éclairait son visage, mais qui ne signifiait pas grand-chose

 

Du point de vue professionnel il se révèle très efficace, les autres aussi d'ailleurs, à ce point qu'au bout de trois jours, on avait bien avancé et qu'on décide de faire un petit pot entre nous pour souffler un peu. Armand y participe, mais c'est de la participation passive, il est désespérant… Quant à JLD, il ne prend ni la peine de nous dire un petit mot d'encouragement, ni le temps de venir trinquer avec nous ! Une vraie tête à claque !

 

Le quatrième jour, tout est prêt, on décide d'entamer la seconde phase : la visite chez les clients. Le premier jour on emmènera les intérimaires et après on les laissera faire les visites tout seuls. Bien sûr on commence par les clients sensibles : 

 

Et nous voici ce jeudi matin dans le métro, Armand et moi : direction la Ste Martin Export, un client chiant au possible. L'objectif n'est même plus de garder la relation mais d'éviter les poursuites judiciaires dont ils nous avaient menacées. La structure informatique du client étant assez compliquée, on a prévu carrément la journée.

 

A 10 heures, on arrive chez le client ! Surprise, l'accueil est très courtois, on nous explique que notre interlocuteur habituel est en déplacement. Tant mieux, non seulement celui-ci est très correct, mais il comprend tout ce qu'on lui raconte du premier coup. On fait les rectifs sur une machine, et alors qu'on s'apprêtait à le faire sur les autres, il nous indique que son responsable informatique fera la mise à jour en réseau, et nous remercie et blablabla. Mission accomplie. Il est 11 heures et demi.

 

On reprend le métro !

 

- Vous faites quoi ? Demandais-je à Armand !

- Ben je vous suis, je suppose qu'on va faire un autre client, non ?

 

Je n'en ai pas la moindre intention, mon travail de la journée est terminé. Avec une autre ambiance dans cette boite, je serais effectivement rentré pour travailler ou je serais reparti en clientèle. Mais là, non, et de toute façon personne ne le saura. J'explique ma position à Armand. J'espère qu'il ne va se mettre à faire du zèle. Non, il me dit qu'il comprend ma position. J'ai des courses à faire, je lui explique que je vais me diriger vers le forum des halles !

 

- Moi aussi, je vais par-là !

 

Bon je vais me le farcir pendant un quart d'heure, ce n'est pas un problème. Je n'essaie pas de lancer la conservation, ça ne sert à rien, il ne doit pas savoir causer et il se plonge dans son agenda. Je l'observe, il a quelque chose de trouble, de troublant même, des idées bizarres envahissent mon esprit, je les chasse, ça m'énerve ! Il lève un moment les yeux, nos regards se croisent, il me sourit. Hein ! Pourquoi me sourit-il ? Là, maintenant ? Ça ne dure pas, ce n'était que l'affaire d'une seconde, je lui ai répondu aussi d'un sourire comme ça par instinct, il replonge dans son agenda et mes idées bizarres reviennent. N'importe quoi ! J'évite de le regarder, s'il me refait un sourire je vais me trouver con, mais je ne peux pas, c'est un aimant ce mec, il m'attire sans que je sache dire pourquoi ! Et hop, nouveau sourire, je lui réponds mais je ne sais pas comment il va l'interpréter celui-ci, c'est presque un sourire nerveux.

 

J'essaie de trouver un dérivatif, mais je ne sais pas trop, je ne vais quand même pas ouvrir ma sacoche pour en sortir un journal, ce n'est pas très correct… Je fais alors semblant de m'intéresser à l'itinéraire des stations que je connais bien sûr par cœur, mais je ne peux pas faire ça indéfiniment, je me tourne à nouveau vers Armand, il ne regarde plus son truc, et aussitôt nos regards se croisent… Qu'est-ce qu'il va m'inventer à présent ? 

 

Je le vois alors ouvrir la bouche de façon bizarre, la refermer aussitôt, se mordre les lèvres, fermer les paupières, porter une main sur son cœur ! Voilà qu'il nous fait un malaise !

 

- Oh, ça ne va pas ?

- Si, si !

- Qu'est-ce qui vous arrive ?

- Attendez, une seconde, je vais vous expliquer !

 

Je jette un coup d'œil circulaire, si parfois un toubib ou une infirmière ou tout simplement quelqu'un qui ait des notions de secourisme pouvait être là ! Je t'en fous, tout le monde s'en fiche ! 

 

- J'ai des problèmes cardiaques ! Me dit Armand ! Je prends des médicaments tous les jours, ce matin je les ai oubliés.

- Vous n'en avez pas sur vous ?

- D'habitude, j'en ai, mais pas aujourd'hui !

 

Je ne cherche pas trop à comprendre.

 

- Ça va aller maintenant ?

- Je ne sais pas, je peux vous demander un service ?

 

Je ne vais quand même pas dire non !

 

- Bien sûr !

- Si vous pouviez m'accompagner jusque chez moi, parce que si je tombe dans les pommes, on peut très bien me laisser crever !

- Bon d'accord !

 

On change de métro, je le suis, ce n'est pas trop loin. Il est toujours aussi peu bavard. On sort, on arrive en bas de chez lui ! Il me propose de monter chez lui prendre un verre.

 

- Je vous dois bien ça !

- C'est que…

 

En fait, j'ai peur que ça s'éternise, ce petit détour m'a éloigné de mon but et en plus je commence à avoir sérieusement faim. 

 

- S'il vous plait !

 

Voilà qu'il m'implore à présent, bon j'accepte de toute façon avec un zouave qui parle aussi peu, ça ne devrait pas durer très longtemps.

On prend l'ascenseur. C'est un petit appartement restauré, pas mal, il me fait asseoir, et revient avec une bouteille de whisky !

 

- J'ai que ça, vous aimez le whisky !

- Pas de problème !

- Je vais voir si j'ai un paquet de cacahuètes

 

Je scrute un peu les lieux pendant son absence, probablement célibataire, mais ce n'est pas sûr...

 

- Voilà, j'ai pris mes médicaments ! 

 

Il s'est passé une robe de chambre par-dessus ses vêtements ! Il ne fait pourtant pas si froid que ça ! On échange deux, trois mots anodins en buvant notre apéro et puis il m'annonce :

 

- Normalement, je devrais prendre un bain chaud quand ça m'arrive, mais j'évite de prendre des bains, c'est pas très sécurisant quand on est seul !

 

Je le vois venir, il va me demander de rester là pendant qu'il prend son bain ! Moi qui pensais passer un petit après-midi peinard !

 

- Si vous pouviez…

- Ouais, j'ai compris ! Vous pouvez compter sur moi !

- Merci, merci beaucoup, je vais me dépêcher, ça ne devrais durer que cinq minutes.

- Vous souhaitez que je reste dans la salle de bain pendant ce temps-là ?

- Oui, et après je vous libère, ça devrait aller !

 

Du coup, il se lève, il avance, constate que je ne le suis pas, pile :

 

- Venez c'est par-là !

- D'accord, je vous rejoindrais quand vous serez dans le bain, vous m'appellerez !

- Venez ce sera plus simple, si ça vous gêne de me voir à poil, on se retournera, ce n'est pas un problème.

 

Je ne vois pas bien ce que sa solution a de " plus simple ", mais comme je ne vois pas non plus quoi lui opposer, je m'incline.

 

Il a des choses qui se remarquent de suite, et mon premier coup d'œil dans la salle de bain me renvoie une surprise : j'aurais juré l'animal célibataire, ou alors "pacsé" avec un mec ! Et bien non, chaque coin de cette salle de bain respire une présence féminine, des produits de beauté, des machins pour se mettre dans les cheveux, un tube de rouge à lèvres, des brosses qui ne font vraiment pas garçons... et même des rasoirs spécial ladies ! Je n'en reviens pas !

 

- Vous n'habitez pas seul ?

 

Ça m'a échappé, j'ai sorti ça comme ça, un peu con comme réflexion !

 

- Si, pour l'instant !

 

Je ne cherche pas trop à analyser cette réponse énigmatique, d'autant que notre Armand vient à présent d'ôter sa chemise, il a le torse complètement imberbe, et ses tétons sont très bruns avec les bouts particulièrement développés. Troublant, ce mec ! Trop troublant ! Et il s'apprête à présent à faire tomber son pantalon, il est possible que le slip tombe avec... Je crois donc stratégique de me retourner. Au bout de quelques instants je l'entends pénétrer dans la baignoire !

 

- Vous pouvez vous retourner, je suis dans l'eau !

 

Je le fais ! Et me voilà piégé ! Ça m'apprendra à faire les choses sans réfléchir ! Il était pourtant bien évident que la baignoire n'avait matériellement pas eu le temps se remplir suffisamment ! Le Armand est bien couché dedans, n'empêche que j'ai la vision de son corps en entier et que sa quéquette, et bien j'en ai comme qui dirait plein la vue ! Rien d'exceptionnel d'ailleurs, une bonne et honnête quéquette ! Mon dieu qu'est-ce que je raconte ? Je commence à me demander ce que je fabrique ici ! Je fais semblant de regarder ailleurs, mais quand quelque chose vous attire, c'est difficile de rester tranquille, alors hop un petit coup d'œil et j'en suis à ne plus savoir si je souhaite que l'eau aura assez montée pour me cacher sa virilité ou le contraire ! En fait si l'eau n'avait pas assez monté, sa quéquette elle me paraissait avoir grandi depuis ma première vision ! Est-ce que l'animal se mettrait à bander ? Et qu'est ce qui le ferait bander, d'abord ? Je ne sais plus ou me foutre ! Il faut que je m'échappe d'ici ! Dès qu'il sera sorti de l'eau, je m'enfuis...

Alors j'attends, il m'avait dit que ce ne serait pas long, effectivement il se savonne, il se frictionne, il ne parle pas, moi non plus, et cette fois la mousse a rendu son bain pudique... pas pour longtemps !

 

- Je vais me rincer, je ne voudrais pas vous éclabousser, mais ne vous éloignez pas, et après je vous libère c'est promis !

 

Tout en disant cela, Armand s'est relevé dans la baignoire, il est maintenant complètement nu devant moi, il me sourit, je ne peux m'empêcher de regarder sa bite à moitié bandée. C'est presque à regret (Oui ! Presque à regret, je l'avoue) que je gagne le couloir.

 

- Oh la la ! J'ai froid, ça ne va pas très bien !

 

Qu'est-ce qu'il nous fait encore ? Il est sorti de la baignoire, et a eu la délicatesse de placer une serviette éponge sur sa virilité !

 

- Ça ne va pas ?

- Pas terrible, je vais enfiler un peignoir, vous pouvez me le passer, juste derrière vous, le jaune, là !

 

Il enfile le machin mais sans le fermer, il tire un petit tabouret, s'y assoit, sa serviette est tombée, le voici devant moi, la bite à l'air.

 

- Je ne voudrais pas abuser, mais je peux vous demander une dernière chose ?

 

Je m'attends au pire !

 

- Allez-y !

- Si vous pouviez me frictionner ?

- Vous frictionner ?

- Oui ! Pour me réchauffer !

- Ah ! Bon ! Oui bien sûr !

 

Je vais pour passer derrière lui pour le bouchonner, je lui frotte le dos par-dessus son peignoir, ça a l'air de lui faire du bien !

 

- Ça réchauffe, un petit peu devant pour finir ! quémande-t-il au bout de quelques instants.

 

Heu ! Je fais comment ? Il perçoit mon trouble !

 

- Avec la serviette !

 

C'est moins évident, je lui tamponne le torse encore mouillé afin de l'essuyer, j'ai ses tétons à quelques centimètres de moi, je deviens fou. Que ce cirque s'arrête, bon dieu, mais qu'il s'arrête ! Je m'amuse comme si cela était involontaire à repasser plusieurs fois la serviette sur son téton, mais j'arrête vite ce jeu car voilà qu'il pousse de petits soupirs de satisfaction ! Je suis véritablement en train de perdre la boule !

 

- En bas !

 

Où ça en bas ? Un coup sur le ventre... Mon dieu ! Il bande de plus en plus... Un coup sur les cuisses. Ma serviette s'approche dangereusement de son sexe ! J'arrive à me maîtriser. C'est le moment ou jamais : Je cherche une phrase intelligente qui me sorte de ce guêpier, sinon, je ne me contrôle plus et je fais faire une grosse bêtise ! Elle ne sort pas, la phrase magique, je regarde ma montre, geste lâche par excellence.

 

- Je ne vous trouble pas quand même ? Demande-t-il, interrompant du coup mes tentatives

- Euh, non ! N'ayez crainte !

 

En fait, je dis n'importe quoi !

 

- Peut-être un petit peu quand même ?

 

Il lit dans mes pensées ou quoi, l'énergumène ? Il est là à me regarder, avec son petit sourire énigmatique ! Qu'est-ce qu'il cherche ? Je vais craquer...

 

- Je crois que je devrais partir, maintenant !

 

Je ne sais pas comment j'ai fait pour sortir une phrase aussi courageuse !

 

- C'est ce que dit une partie de vous-même, l'autre partie n'est peut-être pas d'accord ?

 

Et en disant cela il prend ostensiblement son sexe dans sa main et se le caresse ! Au moins c'est clair ! 

 

- Je...

- Libère-toi, tu en meurs d'envie !

- Je ne sais pas !

- Si tu t'en vas, tu vas t'en vouloir, il ne faut jamais refouler ses envies !

- On pourra toujours se revoir !

- Touche-moi la bite, juste un peu, juste un peu, et après je te laisse partir !

- Et si je ne fais pas ?

- Tu en meurs d'envie, je te dis !

 

C'est pas vrai, il cause… Et en disant cela il me fout carrément la main à la braguette constatant que là aussi les choses ne sont pas tout à fait sages ! J'ai du coup perdu toute résistance, ma main a remplacé la sienne sur son pénis que je branlotte plus négligemment qu'hardiment. Mais n'empêche que me voilà avec une bite dans la main, et que je ne m'en porte pas plus mal ! En plus je bande comme un cerf ! Ça va m'emmener où, cette histoire-là ? 

En fait j'ai basculé, basculé parce que je suis maintenant prêt à faire un certain nombre de choses, sans que tout soit vraiment très précis. Mais il y a une chose qui m'obsède depuis quelques secondes, une chose que je sais que je vais concrétiser de suite. Cette bite est trop belle, elle me nargue à bander comme cela devant moi, j'ai envie de la chouchouter, de la cajoler, de l'embrasser ! J'ai envie de l'embrasser, je le fais, un petit bisou sur la verge, deux petits bisous, trois petits bisous, je descends sur les testicules, mais ça m'intéresse moins, je remonte, je m'approche du gland, je l'embrasse aussi, plusieurs fois, et puis je m'enhardis, un petit coup de langue ! Putain ce n'est pas possible, dans un instant je vais sucer cette queue ! Je lèche, je lèche avec de plus en plus d'évidence. Je ferme les yeux, je suis prêt pour le grand saut ! Et gloups... j'ouvre la bouche et je suce comme si je l'avais toujours fait, et l'autre qui me tient la tête, dès fois que j'ai des regrets… non des regrets je n'en ai pas, c'est trop bon. La seule chose qui me taraude c'est la crainte qu'il m'éjacule en plein gosier, je ne le souhaite tout simplement pas. Il faut que je trouve le moyen de me dégager pour le lui dire, je l'abandonne un instant, il interprète mal mon geste, et se redresse :

 

- Viens, on va aller dans ma chambre, on sera mieux !

 

Je le suis comme un zombi, c'est que j'ai encore envie de le sucer, moi ! On s'arrête en plein milieu de la salle à manger. Pourquoi ?

 

- Déshabille-toi ici, tu n'as qu'à mettre tes affaires là !

 

D'accord, je me déshabille, et je dépose mes affaires " là " 

 

- Hum… je te fais de l'effet, on dirait ! Dit-il

- On ne peut rien te cacher !

- Je te plais alors ?

- Oui !

- Mais attends, je ne t'ai pas montré mes belles petites fesses, regarde comme elles sont mignonnes

 

 Sacré Armand, comme il cachait bien son jeu ! Il est là qui se retourne et me montre son cul, il est glabre comme tout son corps d'ailleurs à l'exception de son pubis. Je vais pour aller lui embrasser ce trop ravissant fessier, mais raté, Armand s'est retourné, s'approche de moi, s'approche encore... Il ne va pas... si… il va le faire... son visage s'approche du mien, il quémande un baiser. J'ai un mouvement de recul !

 

- Je ne te plais pas alors ?

- Si, si, mais allons-y progressivement !

- Tu n'as jamais embrassé d'homme de ta vie ?

- Ben, non ?

- Et des travestis ?

- Non plus !

- Et à choisir ce serait plus facile avec un homme ou avec un travesti ?

- Peut-être avec un travesti, mais je ne suis sûr de rien !

- Allez viens, on va arranger ça ?

 

On va arranger quoi ? Il retourne dans la salle de bain, je n'y comprends plus rien, je le suis à poil !

Il attrape une perruque blonde et bouclée et se la coiffe sur la tête ! Il se regarde dans le miroir, fait mine de s'admirer !

 

- Hum pas mal comme ça ! Qu'en penses-tu ?

- Ça te va pas mal, c'est vrai !

- Attends, tu n'as rien vu !

 

Et le voilà qui se met du rouge à lèvres, puis il se maquille carrément le visage avec une sorte de base qu'il recouvre ensuite de fond de teint, il achève la séance par un peu de mascara sur les sourcils. Décidément je n'avais rien vu venir, je suis lourd parfois, moi qui croyais qu'il vivait avec une copine !

Il se tourne alors vers moi, je n'en peux plus, je craque pour de bon, mon érection perdure et quand il me réclame à nouveau un baiser, je lui laisse le chemin de mes lèvres, et tandis que nos langues dansent, nous nous caressons mutuellement nos corps. Il a la peau douce Armand, trop douce, je lui pétris ses petites fesses de mes doigts.

 

Lui aussi s'intéresse à mes fesses, mais il n'y reste pas, il parvient à ramener ses doigts devant mon torse, il cherche mes tétons, les agacent un petit peu me provoquant ainsi un incontrôlable frisson, puis sans crier gare, il me les serre entre le pouce et l'index. Ah ! Le salaud il a trouvé ma zone érogène, et il sait bougrement bien s'en servir, mais c'est que ça ne va pas se passer comme ça, il s'est légèrement reculé dégageant ma bouche, je lui rends la pareille, œil pour œil, dent pour dent, en l'occurrence ce serait plutôt téton pour téton, et nous voilà en train de nous livrer à une partie de "pince-nénés" tout à fait étonnante, à ce point que nos bites n'en peuvent plus, nous les faisons se rapprocher et légèrement coulisser l'une sur l'autre. Cette fois c'est moi qui souhaite l'embrasser, il ne se dérobe pas, mais ne prolonge pas non plus, le voici qui se baisse, je le retrouve entre mes jambes, prêt à me sucer.

 

Bon dieu quelle pipe ! Sans doute jamais je n'avais été sucé de la sorte, il commence doucement par une espèce de mouillage lingual, pour ensuite continuer par une série de va-et-vient par lesquels il s'arrange pour que la peau du prépuce vienne frotter contre ses lèvres. Et comme si ça ne suffisait pas, de ses mains levées vers mon torse, il continue à me triturer le bout de mes seins. C'en est trop je sens que je vais jouir, je le luis dis ! Mais apparemment il s'en fout et quand je décharge dans sa bouche il ne se dégage pas, y recueillant tout ou presque. La jouissance a été brutale, intense, j'ai du mal à reprendre ma respiration. Finalement je suis content de cette petite séance, mais un peu frustrée de la savoir (provisoirement ?) terminée

 

- Ça va ? Qu'il demande ?

- Oh ! Oui, ça va ! Je dois être un peu fou, mais je ne regrette rien !

 

Je me demande ce qu'il faut que je fasse, je resterais bien d'autant qu'il n'a pas joui ! Je l'interroge du regard, il me répond :

 

- On va souffler un peu... et après... 

 

Il laisse volontairement sa phrase en suspens.

 

- Et après quoi ?

- Après tu vas voir ton cul !

- Non pas ça !

- T'inquiètes pas, je ne vais pas te violer ! Bon, en attendant j'ai la dalle, tu veux qu'on casse la croûte ensemble ?

- Pourquoi pas ? Je te paye le restau si tu veux !

- Hum, c'est pas une mauvaise idée, mais le midi je n'ai pas une grande faim, par contre ce soir j'accepte avec plaisir !

 

Bon, pourquoi pas en effet, vu où en est mon ménage, je n'ai aucun problème pour me libérer.

 

- Ça te dirait une grosse salade à midi ? Reprend-il.

 

Allons-y pour la salade, pour ma part j'aurais préféré plus consistant, mais ce n'est pas bien grave. Je vais pour me rhabiller, mais Armand trouve qu'on est très bien à poil. Si ça peut lui faire plaisir ! Je vais donc l'aider à la préparer, sa salade, mais avant je lui précise qu'il faut que j'aille pisser.

 

- Je peux regarder ?

- Regarder quoi ?

- Te regarder pisser !

 

Voilà autre chose !

 

- Si tu veux !

- Ça m'excite les jeux de pipi, pas toi ?

- Euh ! entre hommes et femmes c'est marrant...

Aïe ! J'ai fait une gaffe !

 

- Et alors je ne suis pas ta petite femme en ce moment ?

 

Drôle de femme qui rêve de me sodomiser, j'ai du mal à tout suivre dans les délires d'Armand.

Je ne sais pas trop quoi lui répondre.

 

- Bon je te laisse-y aller tout seul, mais la prochaine fois, j'aimerais bien que tu me pisse dessus ça me fera plaisir !

 

Il est vexé ou quoi ? Mais si c'est le cas, j'en suis contrarié !

 

Je reviens, il est en train de remuer la salade le cul à l'air, je lui fous mes mains aux fesses, il se laisse faire, il est content, je suis heureux qu'il ne me fasse pas la gueule ! Ce que je voudrais bien savoir c'est ce qu'il me trouve, je n'ai absolument rien d'exceptionnel, je suis même d'une banalité confondante.

 

- Je voulais te demander ? Commençais-je.

- Oui ?

- A partir de quel moment tu as su que ça aller tourner en sexe, cette affaire ?

- Mais depuis le début, cher ami !

- Comment ça depuis le début ?

- Je suis très joueur, et parfois cela m'amuse d'essayer de savoir pourquoi certains mecs me regardent ! J'essaie de savoir si c'est de l'hypocrisie, ou alors parfois je me dis, tiens celui-là il ne dirait peut-être pas non ? Alors je joue, je me fais des petits scénarios, je suis très femme sur ces coups-là !

- Ton malaise, c'était du pipo alors ?

- Non, j'étais pas très bien, j'ai des réels problèmes cardiaques, mais disons qu'après j'en ai profité.

 

Un peu dépité quand même !

 

- Je n'étais qu'une cible alors ! Enfin ce n'est pas grave, je me suis bien amusé !

- Mais non couillon, tu n'es pas qu'une cible, je n'aurais pas fait ça avec quelqu'un envers lequel je n'aurais eu aucune sympathie ! Et viens donc m'embrasser au lieu de dire des conneries.

 

On s'est mangé la salade, on a causé de choses et d'autres, le mec était intéressant, très cultivé, on est resté une bonne heure à table, on était pressé ni l'un ni l'autre.

 

- Tu veux un yaourt ? me demande-t-il

- Un yaourt ? Non je n'ai plus faim !

- Tu aimes ça ou pas ?

- Disons que j'en mange, mais je t'assure, je n'ai plus faim.

- Mais si tu vas voir ! J'ai cerise, abricot, framboise, qu'est-ce que tu préfères ?

- On va dire cerise !

 

Armand est gai comme un pinson, quelle différence avec le jeune homme taciturne et limite asocial penché toute la journée sur ses lignes de programmes ! En plus, je suis sous le charme, la féminisation de son visage est assez extraordinaire, je le regarde avec un air ému ! Tiens en ce moment j'ai envie de l'embrasser. ! Il se lève, se dirige vers le frigo en sifflotant, il dandine un peu (beaucoup) des fesses ! Il m'excite, il m'excite ! Il prend un yaourt... Pourquoi un ? Et pas deux ? Il l'ouvre ! Il est gentil j'aurais pu le faire tout seul ! Le pose près de l'évier ! Qu'est-ce qu'il fabrique ? Il se passe les mains à l'eau et se les essuie, puis plonge son index dans le yaourt et le dirige vers ma bouche. Ah c'est ça le jeu ? Bon, si ça lui fait plaisir ! Je m'amuse donc à lécher et à sucer son doigt, j'espère qu'il ne va pas me faire avaler le pot entier de cette manière-là ! 

Armand replonge son index, puis l'autre index et cette fois il s'enduit le bout de ses seins de yaourt. Hum voilà qui devient beaucoup plus amusant…

 

- Suce !

 

Ben, bien sûr que je vais sucer, s'il ne me l'avait pas demandé, je l'aurais fait quand même… Je lui lèche le téton, qui durcit sous ma langue, je rebande progressivement pendant ce traitement mais sans doute pas aussi rapidement que lui, qui commence à gémir sous mes caresses buccales. Je prolonge mes léchages et mes suçons. Armand pendant ce temps se badigeonne la biroute avec le yaourt. Il se figure peut-être que je ne le vois pas ! Gros coquin, va ? J'attends qu'il ait fini d'étaler tout ça, et je plonge ! Quel régal ! Quand je pense que je me suis privé de ce genre de plaisir pendant des années ! Je suce, je lèche, je n'arrive pas à me rassasier, c'est trop bon ! Je suis excité comme un pou. Cela ne m'empêche pas d'être conscient, je sais très bien où peut m'entraîner cette nouvelle séance ! Bizarrement je ne rejette plus totalement cette éventualité, mais je me dis que si je pouvais l'éviter ce serait aussi bien ! Alors mon plan est tout simple, je vais le faire jouir avec ma bouche, et tant pis s'il éjacule dans mon gosier, au moins aurais-je ainsi (peut-être) échappé à la sodomisation de mon petit trou !

 

Mais je t'en fiche, c'est qu'il a de la suite dans les idées, Armand ! 

 

- Arrête-toi un petit peu !

 

J'aurais dû ne pas l'entendre, mais ce n'est pas mon genre, je stoppe, il se recule un tout petit peu, simplement pour se mettre un instant hors de ma portée.

 

- Je vais essayer de te prendre ? D'accord ?

 

J'essaie de tergiverser.

 

- Euh, peut-être une autre fois ?

- Qu'est-ce que tu en sais s'il y aura une autre fois ? Il ne faut jamais laisser passer les occasions !

 

J'ai alors l'idée de biaiser et d'aborder le problème sous un tout autre angle !

 

- C'est curieux que tu veuille me faire ça, j'aurais plutôt pensé le contraire !

- Mais l'un n'empêche pas l'autre ! Et si tu veux nous en discuterons tout à l'heure… Bon, écoute-moi, on va juste essayer, je vais y aller le plus doucement possible, j'ai quand même un peu l'habitude… Si tu me demande d'arrêter, j'arrête aussitôt !

 

Qu'est-ce que vous voulez que je dise ? Bien sûr que je peux refuser, mais bon… et comme s'il était sûr de ma réponse, le voilà qu'il enfile un préservatif

 

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- On fait ça ou ?

- Ici, si tu veux, tu vas te tourner et te pencher sur la table. Allez, ferme les yeux et pense aux petits oiseaux. Dans cinq minutes tu en redemanderas !

- Ça m'étonnerait ! Répondis-je, mais in petto !

 

Je sens quelque chose de froid sur mon anus.

 

- C'est du gel ! C'est pour que ça glisse mieux ! 

 

Je sens quelque chose rentrer, ce n'est quand même pas déjà… non ce n'est qu'un doigt parti en avant garde mais qui ne reste pas. Le gland encapoté s'approche alors de mon orifice.

 

- Ouvre-toi, tu auras peut-être un tout petit peu mal, mais essaie de ne pas en tenir compte, après ça ira mieux !

- OK, mais si je te dis d'arrêter, tu t'arrêtes !

- Je te le promets !

Ça pousse, ça pousse, ça force, ça passe un peu ! Drôle de sensation ! Ça passe encore un peu plus !

 

- Aie !

- T'inquiètes pas mon biquet, ça va aller !

 

Voilà que je suis son biquet à présent ! Il s'enfonce encore un peu plus !

 

- Aie, aie, aie

- Détend toi, encore un peu et c'est bon

 

Il s'enfonce encore. J'ai carrément sa bite dans le cul ! La douleur se calme, et ferait plutôt place à une certaine gêne, mon organisme paraît contrarié de la présence de ce corps étranger… Mais voici qu'Armand commence de petits mouvements de va-et-vient, curieuse sensation ! C'est ça, se faire enculer ? Pas de quoi grimper aux arbres ! Il accélère ! Des frissons commencent à me parcourir le corps. C'est finalement pas désagréable ce truc ! Mais bon… Il continue !

 

- Ça va !

- Oui, c'est bon !

 

J'ai dit " c'est bon " ? C'est vrai que ça devient bon !

 

- Alors s'est bon de se faire enculer ?

- Pour l'instant ça va !

 

Armand s'agite de plus en plus, il accélère à ce point que des ondes de plaisir me traverse le corps à plusieurs secondes d'intervalles, puis après cinq minutes de ce régime, soudain il s'affale sur moi, il a jouit, il se retire.

 

- Super ! Dit-il. Tu vas avoir un peu mal au cul une heure ou deux, c'est normal…

 

Il s'était bien gardé de me le dire avant, le zigoto !

 

- Tu veux boire quelque chose ? Coca, bière ?

 

On se sert une bière, qu'on écluse vite fait !

 

- On va inverser les rôles maintenant !

 

Ah ! Je n'avais pas vraiment prévu cela, c'est qu'il est insatiable Armand ! J'aurais préféré une bonne pipe, mais après tout pourquoi pas ?

J'ai donc sodomisé Armand, il m'a proposé alors de faire une petite sieste vingt minutes. En fait, on a roupillé deux bonnes heures, et encore c'est lui qui m'a réveillé en me caressant la verge du bout du doigt !

Un peu surpris de me retrouver là ! Mais le temps de réaliser, nous nous embrassions déjà, et quelques instants plus tard, nous partions pour un soixante-neuf d'enfer. Toutes mes inhibitions sont ensuite tombées, quand il m'a demandé de lui pisser dessus ça c'est terminé en partie de rigolade et nous nous sommes copieusement arrosés.

 

On est allé au restaurant, je lui avais promis, il a gardé sa perruque et refait son maquillage, mais il s'est habillée sans outrance d'un simple chemisier et d'un jeans. On a causé, de sexe mais aussi d'autre chose, il n'y a pas que ça dans la vie, mais heureusement qu'il y a ça dira-t-il !

 

- Tu vas me trouver naïf, mais je croyais qu'il y avait des mecs que passifs et d'autres qu'actifs ?

- Ça existe ! Certains sont exclusifs passif ou actifs, mais c'est surtout vrai pour la sodo, pour la fellation j'aime autant sucer qu'être sucé ? Pas toi ?

- Moi j'ai pas beaucoup d'expérience !

- En fait l'un de mes plaisirs c'est de sodomiser un mec qui en meurt d'envie mais qui n'a jamais vraiment osé le faire ! C'est pas si facile que ça à dégotter !

 

J'ai dû le quitter vers minuit, tout simplement parce que je n'avais pas de vêtement de rechange pour le lendemain, sinon je serais bien resté, et il m'aurait bien gardé.

 

Le lendemain, vendredi, je me demandais comment tout ce qui s'était passé aller interférer sur nos relations professionnelles. En fait, il eut exactement la même attitude que d'habitude, à ce point que j'allais jusqu'à me demander s'il n'avait pas gommé de sa mémoire tous les évènements que nous avions vécu en commun. Je guettais un signe de complicité, quelque chose, rien, j'en fus intensément contrarié, puis nous sommes partis chacun en clientèle, chacun de notre côté. Tout cela n'était donc qu'une tocade ! C'était même moi la tocade ! Tant pis, je m'en remettrais ! Et puis après tout, cela n'avait pas été négatif cela me ferait un beau souvenir et puis ça m'ouvrait des perspectives… Il faut toujours voir le bon côté des choses !

 

Il doit être midi, le client est une véritable horreur, hargneux, d'une bêtise crasse et d'une mauvaise foi sans pareil, j'ai du mal à avancer. Mon portable sonne.

 

- C'est Armand !

 

Mon cœur se met à battre à 100 à l'heure !

 

- Je t'écoute !

- Je viens de terminer chez les " Caves M… ". Tu veux qu'on se rejoigne quelque part ?

 

Putain que je suis heureux, notre aventure hier n'était donc pas une tocade !

 

- J'ai pas fini, mais tu as prévu quelque chose ce soir ?

- J'avais prévu en effet de passer la soirée avec toi, mais je ne connaissais pas ta réponse !

 

Je fonds de bonheur ! Je revois la gueule du type à côté de l'ordinateur quand j'ai fermé mon portable, il devait se demander ce qui m'arrivait… s'il savait ce con…

 

La suite est moins romantique, nous avons passé plusieurs soirées et plusieurs week-ends à nous aimer comme des fous. Mais Armand m'a vite prévenu qu'il ne souhaitait pas s'attacher.

 

- Nous resterons amis, si un jour ça nous prend de passer un week-end à la mer ensemble, on se téléphone, on le fait !

 

Alors depuis j'attends, il sait comment me joindre, moi aussi… 

 

Eddy Stokien - mai 2002

 

Edvardstokien@hotmail.com 

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Mercredi 1 mai 2002 3 01 /05 /Mai /2002 18:11

Feu d’artifice par Louise01

bisou1719

 

thémes abordés : bisex féminine, feuille de rose, party, uro

Bonjour, Et félicitation pour votre site que j’adore. Afin d’y contribuer
de modeste manière je vous prie de trouver ci-joint une histoire tirée d’une
expérience vécue, en espérant que vous voudrez bien la publier. Gros bisous
Louise

Feu d’artifices
Je m’appelle Louise, je vis en Alsace, j’ai 42 ans et je ne me trouve pas
trop mal physiquement, quoiqu’un peu enrobée avec 70 kg pour 1 m 68. Ce sont
surtout mes fesses qui sont volumineuses, mais fort heureusement elles sont
restées fermes, avec à peine quelques traces de cellulite à la naissance des
cuisses. Et puis, il y a mes seins, 95 de tour de poitrine, que la loi de la
pesanteur a déjà pas mal tiré vers le bas. On peut donc dire que je ne
manque pas de formes.

Divorcée et seule depuis plus de trois ans, j’ai accepté l’invitation d’un
couple d’amis d’aller assister avec eux au feu d’artifice et au bal
champêtre organisés à l’occasion du 14 juillet dans une petite ville près de
chez moi où ils séjournent en camping-car.

Il fait une chaleur étouffante en cette fin de journée, et je décide donc de
revêtir simplement une robe d’été très légère, ample et longue. L’avantage
c’est qu’elle m’amincit, mais surtout que je peux la porter sans rien
d’autre, pas même de culotte ou de soutien gorge, tant pis pour la marque
laissée par les bouts de mes seins. Après tout, il fera sombre dans pas
longtemps.

Je retrouve François et Martine sur le lieu de la fête au bord d’un étang.
Ils sont train de rire avec une autre jeune femme, une collègue de travail
de François, et je comprends tout de suite qu’ils n’ont pas bu que de l’eau
en m’attendant. En effet, Martine rit beaucoup sans raison apparente alors
que son mari ne se prive pas de peloter gentiment la personne assise à côté
de lui, elle se prénomme Magali et ne semble pas farouche.

Tout le monde me fait la bise, sauf Martine qui m’embrasse carrément sur la
bouche. Je suis tout de même un peu gênée devant les autres mais visiblement
personne n’y attache la moindre importance, il n’y a que moi qui suis
troublée.

Nous bavardons beaucoup et plusieurs bouteilles plus tard il commence à
faire nuit, et le feu d’artifices ne va plus tarder. Je me sens un peu
éméchée mais ce n’est rien à côté de Martine qui est de plus en plus gaie.
De plus elle a un comportement bizarre car à plusieurs reprises elle m’a
touché la cuisse tout en me parlant, un peu comme pour retenir mon
attention. Le problème, c’est qu’à chaque fois elle remonte ma robe un peu
plus, et sa main est maintenant posée à même ma peau. Je suis persuadée que
cela n’est pas dû au hasard et je commence à ressentir une sensation bizarre
dans le ventre.

Apparemment, les autres s’en fichent complètement, d’ailleurs ça fait un bon
moment que François, qui est assis en face de nous à côté de sa collègue,
n’a plus les mains sur la table. Je ne connaissais pas mes amis sous cet
angle et je me demande comment cette soirée va se terminer.

C’est alors que les premières gerbes de lumière explosent dans le ciel, ce
qui me fait sursauter. Et au même moment une main se plaque fermement sur
mon pubis. Martine se rapproche de mon oreille et me chuchote :

- Ecarte tes cuisses, ma cochonne, ou je dis à tout le monde que tu n’as pas
de culotte.

Je manque de défaillir mais je m’exécute. Immédiatement, je sens deux doigts
s’insinuer dans mon intimité trempée et je me mords les lèvres pour ne pas
crier. C’est la première fois depuis mon divorce qu’une main autre que la
mienne touche mon sexe, qui se met à mouiller abondamment.

De plus, ce geste me fait remarquer que j’avais sérieusement envie de faire
pipi, ce qui n’est pas étonnant vu la quantité de bière que j’ai bue. J’en
fais part à ma voisine, et du coup elle retire sa main et lèche ses doigts
gluants de mes sécrétions avec un  » mmmm…  » de satisfaction. Heureusement,
les autres ont tous le regard dirigé vers le ciel et personne ne fait
attention à son manège.

Le bouquet final à peine retombé, l’orchestre se met à jouer une série de
marches et François nous exhorte à aller danser. Sans attendre la réponse,
le voilà déjà parti, entraînant Magali vers l’estrade en bois ou de nombreux
couples ondulent déjà.

Moi je n’ai qu’une envie, c’est d’aller aux toilettes ! Je me lève et
Martine se précipite pour m’accompagner et me montrer le chemin. La cabane
qui sert de WC est mal éclairée, et il s’en dégage une odeur épouvantable,
aussi je décide d’aller faire mon pipi plus loin car il y a suffisamment de
buissons et d’arbres pour se mettre à l’abris des regards, mais mon
accompagnatrice ne me lâche pas.

Cette situation et les attouchements que Martine m’a prodigués m’ont mis
dans un état d’excitation tel que je n’ai plus guère de pudeur et c’est tout
naturellement que je relève ma robe jusqu’au nombril. Elle passe dernière
moi et me propose de me tenir le vêtement pour que je ne le salisse pas. Je
fléchis les genoux tout en écartant les jambes, et je soulage enfin ma
vessie.

Alors que le sifflement caractéristique du pipi trop longtemps contenu se
fait entendre, je sens la main de Martine se plaquer sur ma chatte. Bien sûr
je ne peux plus m’arrêter et je l’arrose copieusement. Ses doigts ne restent
pas inactifs, elle me masturbe le clito avec une efficacité telle que je
jouis avant même d’avoir fini de pisser. Evidemment ma robe est trempée et
mes jambes mouillées, mais je m’en fiche ; cette femme a déclenché un
orgasme foudroyant en quelques secondes et je n’ai plus qu’une envie, que
cela continue.

Martine me lèche le lobe de l’oreille tout en s’affairant dans mon dos et
subitement je sens sur mes fesses nues le contact de sa peau. Un délicieux
chatouillement provoqué par les poils de son pubis, qu’elle avait du raser
il y a quelques jours, me confirme qu’elle a baissé son short et qu’elle
frotte sa chatte nue contre mon gros derrière, c’est divin.

Je me penche en avant et je passe ma main entre mes cuisses pour essayer
d’atteindre son sexe. C’est difficile et je me dis que je suis trop grosse.
Mais au même moment un jet brûlant se répand entre mes fesses, arrose ma
main et coule le long de mes cuisses. Martine est en train de me pisser
dessus ! Je ne suis plus en état de me contrôler, tout ce que je veux c’est
jouir ! Je me branle furieusement la chatte en me frottant avec cette urine
dont la source ne semble plus vouloir se tarir. Un nouvel orgasme me fait
tomber en avant, à genoux dans l’herbe trempée par nos abondantes mictions.

J’ai la tête qui tourne et je ne réagis même plus lorsque deux mains me
poussent dans le dos puis écartent vigoureusement mes deux globes charnus.
C’est lorsqu’une bouche chaude vient se plaquer sur mon anus que je reviens
à la réalité, voilà que cette cochonne me lèche le cul maintenant me dis-je.

Je ne tarde pas à réaliser mon erreur puisque Martine est là en face de moi,
elle se caresse la chatte en me souriant. Et me voilà prise de panique, à
qui donc est cette langue qui fouille mon anus ?

Je n’ai pas le temps de le vérifier car la bouche qui s’occupait si bien de
moi s’est retirée et immédiatement je ressens une vive douleur et la voix de
François qui s’écrie  » quel cul !  » 

1603b
En une seule poussée le mari de ma copine s’est enfoncé en moi ;
heureusement que dans mes pratiques solitaires je me suis également occupée
de dilater un peu mon anus, pourtant malgré cela j’ai bien cru qu’il allait
me déchirer. Mais très vite la douleur laisse la place au plaisir et cette
queue qui pilonne mon rectum me fait jouir pour la troisième fois et je
m’écroule pour de bon, à plat ventre dans l’herbe humide.

 

François qui n’a pas joui se retire, c’est dans un état second que je le
vois présenter sa verge à Martine qui ouvre grand sa bouche pour recueillir
les giclées de sperme, ensuite je ne me souviens plus de rien.

Lorsque je reprend conscience je suis allongée dans le camping-car de mes
amis, la musique de la fête est maintenant très éloignée. Martine m’explique
que je suis tombée dans les pommes et qu’ils ont préféré m’amener à leur
camping tout proche plutôt que de me reconduire chez moi dans cet état.

Je comprend aussi que le déroulement de cette soirée était prémédité, que
mes amis pratiquent régulièrement l’échangisme et qu’ils avaient envie de me
faire sortir de l’isolement et de l’abstinence dans lesquels je vivais
depuis mon divorce, c’est le plus beau cadeau qu’ils pouvaient me faire. En
fait tout le monde y a assidûment participé puisque c’est Magali qui, de sa
langue, m’avait détendu et lubrifié l’anus avant la pénétration du sexe de
François, un vrai travail d’équipe.

Leur vacances ne s’achèverons que dans une semaine, inutile de vous dire que
l’expérience de cette nuit ne restera pas isolée car, avec mon accord cette
fois, Martine, François et Magali ont promis d’user et d’abuser de moi tous
les jours jusqu’à leur départ.

Mais cela sera une autre histoire…

LOUISE de Strasbourg. panoz@freesurf.fr

Par louise01 - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 3 mars 2002 7 03 /03 /Mars /2002 23:23

Hôtel des Sources

par Estonius

 

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Toute ressemblance avec un authentique hôtel qui s'appellerait Hôtel des Sources (ça doit bien exister) n'a strictement aucune importance !)

 

Evy a 30 ans. Pas trente et un ou trente-deux, non juste trente. Et elle les a aujourd'hui !

 

J'entends le chœur des lecteurs : "Encore une histoire d'anniversaire !"

 

Oui certes ! Mais les variations sur le sujet ne sont pas complètement épuisées.

 

Présentons un petit peu Evy : C'est une personne assez réservée, la peau claire, brune aux cheveux mi-longs et légèrement bouclés, les yeux verts, un visage que je qualifierais d'intéressant, un joli sourire. Plutôt grande, et plus en seins qu'en fesses.

 

Son compagnon, c'est Armand, un homme très dans la moyenne, ni beau ni laid, ni gros ni maigre. Ce n'est pas un étalon, mais il se débrouille et il a toujours plein d'idées. Hélas les idées restent souvent dans les cartons de ses neurones. Il est souvent difficile à ce couple de faire ce qu'il veut chez lui. Si les enfants ne sont pas un vrai problème, (un emploi du temps ça se gère) il faut savoir qu'ils hébergent la mère d'Evy, devenue semi-handicapée suite à une maladie. La bonne femme remercia le couple à sa façon en se révélant collante, curieuse, omniprésente et la reine des empêcheuses de tourner en rond.

 

Quand elle apprit qu'ils ne rentreraient pas de la nuit, elle fit une crise :

 

- Je ne vois vraiment pas pourquoi vous ne fêteriez pas cet anniversaire à la maison… et patati et patata…

 

Crise de larme ! Ce n'était pas la première fois et d'habitude de guerre lasse, ils cédaient la mort dans l'âme. Pas cette fois ! Tout avait été organisé. Le livreur de pizza viendrait livrer le dîner aux gosses et à la belle-mère. La voisine passerait vers 22 heures pour voir si tout allait bien, et repasserait le lendemain matin avant de partir au boulot ! Ils avaient emmené leur portables mais avaient bien précisé à la petite famille qu'il était très mal vu de s'en servir à l'opéra, et que toute façon dans le métro ça ne passait pas. Exit donc les portables, on ne les rebrancherait que le lendemain.

 

Bien évidemment, Evy ignorait tout du programme que lui réservait Armand, elle adorait les surprises et disait ne rien vouloir savoir, mais par des recoupements divers et par intuition, elle savait qu'il y aurait au moins trois moments forts, le restaurant, l'opéra, et sans doute une séance de radada qui pour une fois romprait avec la monotonie habituelle.

 

Ils avaient pris chacun de leur côté leur après-midi et avaient convenu de se retrouver vers 14 heures dans le quartier de la Bastille.

 

Vers 11 h 30 Armand appelle Evy à son bureau !

 

- Chérie j'ai un mini problème, 14 heures ça fait un peu juste, on se retrouve à 15 heures, ça va ? Tu ne seras pas fâchée ?

- Non, non ! Tu m'as fait peur, je croyais que tu serais bloqué toute l'après-midi !

- Non, non, mais c'est de ma faute, je me suis mal organisé !

- Pour une heure, ce n'est pas un problème, j'irais lécher les vitrines ! Répondit Evy

- J'ai une autre idée : je vais te donner l'adresse de l'hôtel où j'ai réservé, et tu m'y attendras !

- Non, ça ne me plait pas de trop ! Une heure c'est vite passé, je vais me débrouiller !

- En fait, j'aimerais vraiment que tu m'attendes à l'hôtel ! Tu ne le regretteras pas, je t'assure ! Reprit Armand en essayant d'adopter le ton le plus convaincant possible.

- Bon, bon ! Céda alors notre héroïne.

- Essaie d'y être un quart d'heures/vingt minutes avant moi !

- D'accord chéri ! Je crois deviner ce qui va m'arriver !

 

" Ça m'étonnerait " se dit Armand in petto

 

A 14 heures 30. Evy se présente à la réception de l'Hôtel des Sources.

 

- On a réservé une chambre, Monsieur et Madame Martin...

- Ah, oui c'est la 24. au deuxième à gauche, attendez, on m'a remis une enveloppe et un paquet pour vous.

 

Evy prend la missive et le sac contenant un paquet cadeau ! Elle sourit en voyant le nom sur le sac " Elisa, Lingerie Fine " ! Pour l'effet de surprise c'est un peu raté… à moins que le sac soit un leurre. Elle monte, elle découvre la chambre, elle s'installe, elle teste le lit, il a l'air très douillet. Elle ouvre la fenêtre qui donne sur une cour, ça à l'air calme. Une petite visite à la salle de bain qu'elle décide de ne l'utiliser que tout à l'heure… Et un petit pipi. Et tandis qu'elle s'assoit sur la cuvette après avoir baissé sa culotte, et que les premières gouttes de son petit pipi doré font floc-floc dans la cuvette, elle décachette l'enveloppe, en extrait la feuille et entreprend de la lire :

 

Chérie ! A nouveau je te souhaite un bon anniversaire, et je t'offre dans le paquet qu'a dû te remettre le réceptionniste mon premier cadeau, il y en aura d'autres, j'ai envie de te gâter, aujourd'hui. Ce cadeau je veux que tu l'essaies et que tu m'attendes avec. J'aimerais bien que quand je te rejoindrais à 15 heures tu sois installée sur le lit avec tout cela ! La journée ne fait que commencer. Grosse bises. Armand.

 

Elle a fini son pipi, elle a fini de lire. Miracle de la simultanéité ! Elle se relève, mais au lieu de remonter culotte et pantalon, elle retire tout cela ! Puis enlève le haut ! La voici toute nue. Elle contemple l'image de son corps que lui renvoie le miroir de la salle de bain ! Pas trop à se plaindre ! Il y a pire, il y a mieux aussi, c'est la vie !

 

Elle ouvre, fébrile, le paquet, c'est un ensemble culotte et soutien-gorge. La couleur est d'un joli bleu gris chatoyant, le soutien-gorge est très décolleté et orné de fines dentelles, la culotte sans être un string est assez étroite devant. Evy regrette de ne pas s'être rasée ne serait-ce que partiellement les poils pubiens.

 

Elle s'observe un peu dans le miroir, ça va, son homme a bien choisi. Elle ne sera pas obligée de lui faire la petite comédie : "c'est joli mais il n'y avait pas une autre couleur, ou alors une autre forme ? On peut changer dit ? Tu ne seras pas fâché, hein ?" Non, il est très bien cet ensemble, la journée commence bien. Elle observe son bracelet montre, il est 14 heures 55. Elle va chercher son walkman dans son sac, se le branche et s'assoit sur son lit, dégustant la musique de Mozart, son compositeur préféré, Mozart dont, s'il elle a tout compris, elle devrait aller applaudir Don Giovanni dans quelques heures, juste en face, à l'opéra Bastille.

 

15 heures ! Armand devrait arriver !

15 heures 05 : Toujours pas là !

15 heures 10 : il a dû être retardé, mais pourquoi n'envoie-t-il pas un message ?

15 heures 15 : une clé dans la porte, elle s'ouvre et…

 

…Et Evy pousse un cri !

 

Tout va alors très vite : Qui est ce type qui rentre dans sa chambre avec une clé ? Ils sont complètement cons à la réception, il loue deux fois la même chambre !

 

- Sortez d'ici c'est ma chambre ! Parvient à articuler Evy

- Mais pas du tout c'est la mienne, je l'ai réservé depuis hier ! Répond l'inconnu.

- Sortez d'ici ! Dites à la réception qu'ils se sont trompés !

- Mais enfin, que faites-vous dans ma chambre et sur mon lit en plus ?

- Mais vous êtes malade, je vais appeler la réception, ça ne va pas se passer comme ça !

- T'avais demandé à ce qu'il mette une fille dans la chambre ? Demande alors l'inconnu en se retournant !

 

Horreur, il y en a un deuxième, Evy s'empare du téléphone, elle jette un coup d'œil au second intrus, celui-ci s'est carrément revêtue d'une cagoule. Son corps tremble, et puis le déclic, elle repose le téléphone ! Ça va soudain beaucoup mieux !

 

- C'est ça alors ! Reprend l'intrus (allez, on va l'appeler Max, ce sera plus facile !) Tu avais demandé une petite pute pour me faire plaisir ! Elle est mignonne dis donc, ils nous l'ont bien choisi ! Comment tu t'appelles ?

- Qu'est-ce que ça peut te foutre, gros lard ? Répond Evy

- Tu vas nous parler gentiment, t'es là pour t'occuper de nous, non ?

- Mais non, je vous dis que vous vous trompez de chambre !

 

Max approche son bras de l'épaule d'Evy et la lui caresse, il descend ensuite sa main vers le bras, puis la remonte, atteint à nouveau l'épaule et s'approche de la naissance des seins. Evy d'abord paralysée par ce contact ne réagit qu'au bout de quelques secondes :

 

- Tu vas retirer tes salles pattes de moi, vieux dégoûtant !

- Hum, elle est très douce ! Informe Max à l'adresse de son copain.

- Il ne parle pas beaucoup votre copain ! S'amuse Evy !

- Evidement, il est sourd et muet, mais moi je le comprends bien, et en ce moment il a envie de te caresser les seins.

- Il risque d'avoir du mal !

 

Et en disant cela Evy, se retourne sur le ventre, et réalise alors son erreur, en bloquant l'accès à sa poitrine, elle est en train d'offrir ses fesses. Ça ne rate pas, la culotte est dégagée, les fesses sont pelotées !

 

- Ne vous gênez surtout pas, les mecs ! Proteste-t-elle.

 

L'un des intrus se met à lui embrasser les fesses, elle se demande lequel c'est, puis réalise que ce ne peut être que Max sinon elle sentirait sur sa peau le contact de la cagoule de l'autre énergumène.

 

- C'est pas un peu fini, oui ?

- T'as plus l'air de vouloir prévenir la réception ? C'est bizarre, ça ! Reprend Max !

- Cherche pas à comprendre, gros plein de soupe !

- Mais c'est qu'elle est mal polie la petite dame, mais c'est vrai que je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max ! Mais n'empêche que ça mérite une fessée, ça ? Hein ! Pablo !

 

Pablo acquiesce ! Max n'attendait que ça et décoche une puissante claque sur les fesses de la pauvre Evy qui pousse un hurlement ! Max réarme son bras ! Mais Pablo l'en empêche ! Max ne comprend plus ! Pablo lui désigne le mur !

 

- Quoi le mur ! Ah ! C'est parce qu'elle gueule de trop ! Bon on va la bâillonner !

- Sûrement pas j'ai horreur de ça ! Proteste Evy !

 

Alors Evy sent la main de Pablo qui lui appuie sur la tête, elle a le nez et la bouche dans l'oreiller, si elle crie ses hurlements seront étouffés. Du coup, l'autre refrappe, mais il y va quand même moins fort. Evy s'applique à encaisser les coups sans trop broncher, mais même si elle ne déteste pas ce genre de chose, cela lui fait mal et lui arrache quelques larmes aux coins de ses beaux yeux. Les coups s'arrêtent. Des doigts dégrafent le soutien-gorge. Des mains cherchent à atteindre les seins qui sont plaqués contre les couvertures du lit. Ce geste ne plait pas à Evy qui préfère se retourner et finir d'enlever elle-même son soutien. Max n'en peut plus, il prend les seins, les caresse, les soupèse, les malaxe, puis jette son dévolu sur le téton droit qu'il embrasse goulûment. Pablo ne voulant pas être en reste fait de même avec le gauche. Evy est très sensible à ce genre de caresses, des ondes de plaisir lui parcourent le corps, elle sent son sexe s'humidifier.

 

Pablo fait un signe à Max, et lui désigne sa braguette. Max sort alors sa bite !

 

- Tu vas me sucer la queue, salope !

- J'espère qu'elle est propre ! Répond alors Evy sans se laisser démonter !

- Pour l'instant elle est propre, quand je t'aurais enculé ce sera peut-être différent, hi ! Hi ! Hi !

 

Il a l'air content de sa sortie, le Max !

 

- Faudrait que je veuille, connard ! Tu ne crois pas que je vais te laisser tout faire !

 

Max est interloqué, il ne doit pas avoir l'habitude de se faire contrer, il jette un regard implorant vers la face évidemment inexpressive de Pablo. Evy s'en voulant (un tout petit peu) d'avoir perturbé ce pauvre biquet, lui attrape la bite par la main, constate que l'organe est dans un état sanitaire satisfaisant et se le fourre dans la bouche ! Max renonce à comprendre les états d'âme et les hésitations d'Evy et pour l'instant, il est là enchanté, ravi !

 

- Tu ne me jutes pas dans la bouche ! Préviens Evy !

- T'aimes pas le sperme ?

- Tu me promets de ne pas jouir dans ma bouche, sinon je te suce avec une capote !

- Comme les putes ?

- Qu'est-ce que tu as contre les putes ? Tu es bien content de les trouver, d'ailleurs en ce moment je suis ta pute !

- Bon allez suce-moi, j'ai de l'éducation, je sais me tenir !

 

Pablo s'est aussi débraguetté et approche sa queue du visage d'Evy toujours occupée à sucer Max. Elle passe alors sa langue alternativement sur les deux glands, puis suce l'un puis l'autre.

 

L'excitation d'Evy atteint son paroxysme, elle n'en peut plus !

 

- Vous avez des capotes ?

 

Pablo en sort deux et les pose sur la table de nuit !

 

- Je croyais qu'il était sourd ? S'étonne Evy

- Bien sûr qu'il est sourd, mais il lit sur les lèvres !

- Lesquelles ?

 

Max renonce à répliquer, se met un préservatif et se place entre les jambes d'Evy prêt à la pénétrer.

 

- Attend ! Lui dit la jeune femme !

 

Elle se retourne et se place alors en levrette. Ça ne gêne pas notre Max qui adore cette position, il avance sa bite.

 

- Pas là ! Dans le cul ! Encule-moi !

- Ben tu voulais pas tout à l'heure ?

- Ben ça ne t'arrive jamais à toi de changer d'avis ? Mais lubrifie-moi un peu d'abord ! Elle est quand même un peu grosse ta queue !

 

Il est content Max qu'on lui dise qu'il en a une grosse ! Du coup il se met à lui lécher le troufignon avec bonne humeur. Et pendant ces préparatifs, Pablo s'est placé de l'autre côté face au visage d'Evy et lui donne sa bite à sucer. Max se sent prêt, il écarte l'anus de la jeune femme, force un peu, ça a du mal à entrer.

 

- Vas-y rentre d'un coup ! L'encourage Evy !

 

Il force, ça y est c'est entré, il force encore, Evy l'aide en dilatant au maximum ses chairs, encore un coup, ça y est la bite est dans le cul, il la pistonne doucement puis de plus en plus sauvagement.

 

- Vas-y, vas-y Max ! Tu me défonce bien le cul, défonce-la ta pute, défonce-la ta salope !

 

Un cri étouffé, presque un grognement, Max vient de jouir et se retire !

 

- Ah ! Ben mon salaud tu m'as enculé comme un chef ! Un petit peu rapide quand même à mon goût !

 

Max devient dubitatif, incapable de faire la part des choses entre les félicitations et la critique, puis décide que le compliment l'emporte ! Evy se retourne, lâche la bite de Pablo et récupère un peu. Son anus est tout de même un peu douloureux. Mais son excitation est toujours là ! Elle aimerait à présent qu'on la suce, ou alors qu'on la caresse partout pendant qu'elle se masturbe ! Elle cherche Pablo des yeux, il a disparu de la circulation, à moins qu'il ne soit dans la salle de bain, d'ailleurs elle entend de l'eau couler, puis s'arrêter, mais c'était Max qui maintenant revient près d'elle. Il a l'air satisfait, l'animal !

 

Nouveau bruit de clé dans la serrure ! C'est quoi cette fois-ci !

 

- Qui c'est ce mec ? Demande Armand qui vient de pénétrer dans la chambre !

 

Evy réprime une envie de fou rire nerveux et parvient à répondre :

 

- C'est Max !

- Et c'est qui Max ?

- J'en sais rien !

- Et qu'est-ce qu'il fait ici ?

- Oh, rien de spécial, il croyait que c'était sa chambre, alors je l'ai sucé et il m'a enculé !

- Mais t'es une salope !

- Ça, ça doit être vrai !

- Une salope et une pute !

- Viens la voir ta pute, elle est toute excitée ! Minaude Evy

- Et lui, qu'est-ce qu'on va en faire !

- Je sais pas, on va prévenir la police ? A moins que tu ais une autre idée !

- Voyons, monsieur Max, vous savez que ce n'est pas bien du tout d'abuser des jeunes femmes. Donc ou alors on porte plainte, on alors on vous punit !

- Vous êtes vraiment frappadingues tous les deux ! S'esclaffe Max qui a soudain du mal à suivre.

- Bon alors d'accord on va te punir, d'abord tu l'as bien mérité et ensuite ça va nous exciter ! Reprend Evy !

- Pas trop fort, alors ? Tempère Max

- C'est vrai que côté insonorisation ce n'est pas bien terrible ici ! Remarque Evy ! Il va falloir trouver une punition silencieuse.

 

Max s'arc-boute sur une petite table, fesses tendues et attend. Armand balance une première claque sur le cul de l'autre. Une deuxième, une troisième, tout cela de façon assez modérée. Un coup d'œil vers Evy, le spectacle lui plait et comme Max a l'air d'apprécier, tout le monde est donc content, on peut continuer. Armand se prend au jeu et tape de plus en plus fort.

 

- Eh vas-y mollo ! Prévient Max !

 

Armand s'arrête. Max se retourne et regarde Evy qui se masturbe, il la détaille sans aucune vergogne et du coup se remet à bander, et comme cet état lui plait il se donne une légère masturbation d'accompagnement. Puis pris d'une profonde inspiration il demande à Evy !

 

- C'est votre mari, alors ?

- Ben, oui on n'a pas fait les présentations dans les règles…

- Ce ne serait pas lui qu'il faudrait punir ! Non ?

- Ah oui ! Et pourquoi donc ?

- Pourquoi donc, parce qu'il aurait été là à l'heure je ne serais pas venu vous embêter !

- Et comment tu peux savoir qu'il n'était pas à l'heure, pauvre pignouf ?

- Heu !

- A mon avis, vous n'avez pas assez répété ! Ce n'est pas très au point votre numéro !

- Mais c'est exprès, il fallait que tu comprennes tout de suite que Pablo c'était moi, sinon tu aurais paniqué ! Explique Armand

- Sinon je n'aurais pas niqué, c'est le terme exact ! En tous cas, j'ai bien envie de vous punir d'être aussi nuls l'un que l'autre ! Rigole Evy !

- Alors d'accord on la laisse décider c'est son anniversaire après tout, hein Max ?

- Ah oui, c'est vrai, alors bon anniversaire, M'dame !

- Merci Max, mais dis-moi, Armand, ton copain Max, il va accepter tous mes fantasmes, tu lui as parlé de tout !

- Ne t'inquiète pas ! Répond son mari

 

Et plutôt que d'ajouter des commentaires, il pose alors sa main sur la bite de Max, qui du coup retire la sienne. Les yeux d'Evy sont écarquillés. Ainsi Armand a voulu lui offrir son fantasme, enfin l'un de ses fantasmes, celui qu'elle a tellement élaboré qu'elle a même envisagé d'en faire une nouvelle érotique. Le thème est à la fois très simple est très spécial. Un inconnu la baise, puis on se rend compte que l'inconnu est bisexuel, et tout cela se termine dans un triangle infernal ou tout le monde baise tout le monde. Armand avait voulu y ajouter une touche d'humour en se cagoulant et en recrutant cet escogriffe un peu lourdingue mais pas méchant. Et finalement le fantasme avait fonctionné, mais là c'était autre chose… D'autant que maintenant Armand avait à son tour sorti sa bite et se faisait branler par Max. Deux hommes dont son mari étaient donc en train de se masturber mutuellement à quelques mètres d'elle. Evy frottait sa main sur sa chatte, passant à chaque fois sur son clitoris érigé tandis que l'autre main pinçait avec force son téton durci !

 

- Continuez, dit-elle, surtout ne jouissez pas tout de suite !

 

Armand fait signe que pour lui il n'y a pas de problème ! Max a l'air moins sûr de lui et semble prêt de l'explosion. Ce type qui a joui dans le cul d'Evy il y a tout juste un quart d'heure aurait-il une quéquette à répétition ?

 

- Tu voudrais sucer Armand ? Lui demande Evy

- Pas de problèmes !

 

Et joignant le geste à la parole, il s'agenouille devant Armand et entreprend de lui sucer la queue ! Le mari d'Evy semble surpris de la délicatesse avec laquelle Max accomplit sa fellation, il suce en fait mieux qu'Evy mais il se gardera bien de le dire à cette dernière ! La situation particulière alliée au savoir-faire de Max fait monter la jouissance d'Armand qui trouve vite la parade !

 

- On change !

 

Et comme deux complices qui auraient fait cela toute leur vie, nos deux compères entamèrent un joli mouvement parfaitement synchronisé : Max se relève, Armand s'accroupit, et à son tour embouche la grosse verge ! Armand s'en délecte, il ne se livre même pas à de petits mouvements de lèvres et de langues préliminaires, non c'est tout carrément dans la bouche, enfin tout, disons tout ce qu'il peut y placer.

 

- Je ne vais pas tenir longtemps ! Préviens Max au bout de quelques minutes de succions abondantes.

 

bise72.jpg

 

Alors Armand se relève, court vers la table de nuit, il jette un coup d'œil à Evy, qui a maintenant les yeux fermés, elle est en plein dans ses fantasmes et ne les rouvre que de temps à autre vérifiant qu'ils s'accomplissent bien, ici devant elle !

 

Armand prend un préservatif, le tend à Max, puis se plie en deux sur le lit ouvrant et offrant son cul !

 

- C'est la première fois que j'encule un mec devant sa femme ! Croit intéressant de préciser Max !

 

Le gland pénètre facilement, sa bite est tellement bandée que la pénétration en est facilité, un centimètre, deux centimètres, toute la bite !

 

- Aie !

- Comment ça aïe ? Je t'ai fait mal ?

- Un peu !

- Je vais te faire ça tout doucement comme un artiste !

 

Alors Max entame un va-et-vient très lent !

 

- T'inquiètes pas t'es si serré qu'on peut faire comme-ça !

 

C'est tout Max, ça il faut qu'il commente tout ce qu'il fait !

 

- Je vais accélérer !

- Vas-y !

 

Ce n'est plus une accélération, c'est un passage brutal à la quatrième vitesse. Arnaud est en train de jouir du cul tandis que l'autre le pilonne.

 

- Baise-le, je me retiens un peu ! Gueule Evy !

- Je viens, je viens répond Max !

 

Evy pousse alors un hurlement, puis bizarrement se retourne et attrape une crise nerveuse. Max a joui et comme tout à l'heure part dans la salle de bains se livrer à quelques ablutions. Armand n'a pas éjaculé, mais il n'est pas pressé, il caresse tendrement son épouse :

 

- On se calme, on se calme !

- Je suis folle :

- Mais non, tu n'es pas folle ! C'était bien ? Ça t'a plus ?

- Oui, mais tu as fait tout cela pour moi ?

- Ben oui, c'est un cadeau !

- Tu ne t'es quand même pas fait enculer pour moi ?

- Si, mais ça n'a pas été une corvée, tu sais très bien que j'en ai toujours eu envie !

- Ah bon, t'étais puceau du cul ? Interroge Max qui sort à ce moment-là de la salle de bain !

 

Et tout le monde d'éclater de rire.

 

 

Estonius Mars 2002

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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