Vendredi 30 mars 2001 5 30 /03 /Mars /2001 13:40

Un petit coup de vent malicieux

 2 - Cynthia reçoit

par Helena

 

bi stamp

 

Bonjour, c'est à nouveau Sophie ! Cet épisode étant la suite " naturelle " de l'épisode précédent, il est donc conseillé de lire ce dernier avant celui-ci. Un bref résumé néanmoins pour les " pressés " :

A la plage avec mon mari, j'ai soudain un coup de foudre pour une femme magnifique. Et voilà qu'elle m'invite chez elle. Je dois employer des arguments ultimes pour convaincre mon ours de mari de m'y accompagner !

 

C'est parti !

 

Mais c'est qu'il est revenu à la charge, le Tony ! Je crois qu'il aurait fait n'importe quoi pour ne pas y aller. Lui qu'il faut traîner dans les restaurants, le voilà qui était prêt à m'en payer un somptueux avec musique russe, balalaïkas et saumon de la Volga ! Ou alors une croisière nocturne avec champagne à bord. Ou même…le comble :

 

- Je te paie un super bijou, un machin dont tu as toujours rêvé ! Mais fais-moi plaisir, on ne va pas à cette soirée !

- Non mais tu as vu un peu la nana, on ne sait jamais, ça peut tourner en partouse ?

- C'est ça et tu vas te faire prendre par l'autre crapaud ?

- Le crapaud, j'en sais rien ! Mais sa grenouille, je ne dirais pas non !

- Ça n'a pas de sens !

- Si !

- Et tu crois que ça me plait de te voir prendre par un autre mec ?

- Ce n'est pas le but de l'opération mais si ça se produit, tu pourras faire des choses avec Cynthia et je t'assure que je ne te le rapprocherais pas !

- Et patati, et patata…

 

Je me fâchais, lui expliquant qu'il m'avait déjà donné son accord, qu'on ne revenait pas sur une décision, qu'une fois dans sa vie, il pouvait bien sortir avec moi sans ronchonner et qui plus est que c'était un cas de divorce (je bluffais bien sûr !). Il fallut bien qu'il cède !

 

Quand même cette longue discussion m'avait épuisé ! J'avais la réelle conviction d'agir en la circonstance par pur individualisme ! Cette occasion si je n'en profitais pas, n'était sans doute pas près de se reproduire surtout avec une nana pareille ! Il me semblait que rien au monde ne pourrait m'empêcher d'y aller.

 

C'est les vacances, on reste décontracté même si on est invité chez des rupins. Mais je me voulais belle. Je me mis en frais et achetais une petite robe jaune très sexy qui fit évidemment râler Tony.

 

- Tu ne vas pas sortir avec ce truc ?

- Si !

- Vivement demain soir que tu redeviennes normale !

 

Il se tut, en principe il ne râle jamais bien longtemps

 

Et puis quoi emmener ? On ne débarque pas chez les gens les mains vides. Des fleurs mais ils allaient bientôt partir. Une énorme bavaroise trônant fièrement à la vitrine d'un pâtissier ferait donc l'affaire.

 

L'accueil est chaleureux, très chaleureux même, à la limite je ne trouve pas ça très naturel ! Cynthia est simplement vêtue d'un petit tee-shirt rose pâle à travers lequel pointent ses tétons déjà dressés et d'une petite culotte noire Voici une tenue qui met en valeur ses longues jambes bronzées.

 

On se présente, le mari de Cynthia s'appelle Pierre.

 

- Asseyez-vous, je vais préparer l'apéritif propose la maîtresse des lieux, puis elle se tourne ingénument vers son mari :

- Il arrive à quelle heure le traiteur ?

- Il ne livre pas, faut que j'aille les chercher, il va d'ailleurs être temps que j'y aille, c'est pas pratique à ramener ce truc-là, faudrait que quelqu'un m'aide ?

 

C'est alors qu'il se tourne vers Tony

 

- Tu viens avec moi, on va laisser les femmes papoter ensemble !

 

La tête du Tony ! Mais je ne vois pas comment il pourrait refuser. Et voilà nos deux mâles de partis !

 

- On va attendre qu'ils reviennent pour l'apéro, à moins que tu ais envie de quelque chose tout de suite !

 

Les yeux de chatte de la Cynthia !

 

- Non, sauf si tu prends quelque chose, alors je t'accompagne !

- Tiens c'est une excellente idée, tu sais ce que j'ai envie de prendre ?

- Euh ! Non !

- Une douche !

 

J'en ai pris une il y a une heure, mais je ne vais pas lui dire :

 

- D'accord ?

- Pas de problèmes !

- Alors ! A poil !

 

Je me demandais d'ailleurs pourquoi, elle avait besoin du prétexte de la douche, puisque tout était explicite, mais bon, je suis invitée, je sais me tenir. Cynthia enlève ses vêtements en un tour de main, elle retire son tee-shirt face à moi, mais se tourne pour enlever sa culotte, étrange réflexe de pudeur inconsciente que je trouve incongru. Je me déshabille à mon tour, c'était bien la peine de me mettre en frais avec ma petite robe sexy qu'elle n'aura vu que 2 minutes sans qu'elle la remarque spécialement !

 

Je la suis dans la salle de bain, elle est nue devant moi, je me surprends, (on est bizarre, dès fois) à être presque plus attiré par son dos que par ses fesses. Je lui trouve le cul triste, il n'a pas ce côté joufflu, bon vivant, effronté que j'aime bien, on ne peut pas tout avoir !

 

Ca y est ! Nous sommes dans le carré à douche, elle me fait face, elle a le sexe épilé, je l'aurais parié ! Je ne sais pas pourquoi, mais il faut que je touche, c'est plus fort que moi, et je lui fais une chaste caresse sur le pubis du bout des doigts

 

- C'est mignon ! C'est doux !

- T'as vu ça ? Rasé de près, je me suis passé un coup de rasoir il y a une demi-heure ! Je l'ai regretté après !

- Regretté pourquoi ?

- J'aurais aimé que tu me rase, ça m'aurait excité ! Mais l'idée m'est venue trop tard ! Et toi ça t'aurait excité ?

 

Bien embêtée, je n'ai jamais fantasmé sur le rasage de minou ! Et à priori ça ne me dit trop rien !

 

- Je ne sais pas, j'ai jamais fait ça !

- Toute une éducation à refaire ! Plaisante-t-elle.

 

Et puis l'idée lui vient comme ça !

 

- Et toi, tu ne voudrais pas que je rase ?

 

Je ne vais pas lui dire que ce n'est pas mon truc, d'autant plus que ça ne me dérange pas, si elle veut me raser, qu'elle me rase, c'est vraiment pas un problème !

 

- On va le faire après, répondit-elle, pour l'instant on va se mouiller un petit peu, ça nous fera du bien.

 

Et joignant le geste à la parole elle se saisit de la douchette et commence à m'asperger !

 

- C'est trop froid ?

- Ca va !

 

C'est juste un peu froid, Cynthia se douche à son tour, ses tétons s'érigent instantanément sous l'effet de la différence thermique. Que c'est mignon ! Que c'est excitant ! Je suis de celles qui trouvent qu'un corps mouillé est autrement plus excitant qu'un corps sec. Ce téton m'attire trop, dans quelques secondes il va se recouvrir de mousse. J'ai des goûts, certes, forts éclectiques, mais celui de la savonnette ne m'émoustille vraiment pas. J'espère simplement qu'elle ne va pas me jeter pour ce que vais oser lui faire ? Et puis, zut et flûte ! Qu'est-ce que j'ai à me sentir sans cesse en état d'infériorité face à cette nana ? Ce n'est pas parce qu'elle a plus de fric que moi et qu'elle est mieux foutue que… Et au diable les réflexions, je me penche, je ne lui demande rien et je lui suce le téton. Mon dieu quelle sensation ! Quel plaisir de faire ça ! Quelle impression de trouble étrange ! J'en ai la chair de poule et cette fois la fraîcheur de l'eau n'y est pour rien. Parce qu'en plus de l'excitation du geste, du franchissement de l'interdit et de tout ce que vous voudrez, il vient de se passer une chose qui me bouleverse.

 

Cynthia loin de me repousser accepte mon geste comme une offrande et alors que je ne pensais pas m'attarder à cette taquinerie, elle en redemande, me collant contre elle, fermant les yeux en pensant à je ne sais quoi. Je passe d'un téton à l'autre, j'ose une main sur son sexe. Mais soudain elle se reprend, me repousse doucement le visage et me sourit bizarrement. J'ai véritablement l'impression à ce moment-là, qu'elle se sent coupable de s'être abandonnée, ne serait-ce que l'espace d'un moment. Elle est là, son visage devant moi. Envie de l'embrasser, mais j'ai pris assez d'initiatives ! A son tour maintenant. Me contenter de lui faire comprendre. Ce ne devrait pas être trop difficile. Un regard. Mon regard. Son regard. Ma bouche qui s'entrouvre, qui laisse passer un petit bout de langue, qui s'entrouvre encore plus. Message reçu ! La voici qui me roule un patin d'enfer ! Whaouh ! Il y a combien de temps que je n'avais pas été excitée de la sorte ? Il faut voir comment elle fait ça ! Une vraie pro du jeu de langue ! Je mouille ! Je mouille ! Par contre je me demande ce qu'elle peut bien me trouver pour me faire des choses pareilles ? Ses mains ne restent pas inactives, elles me caressent partout les fesses, les seins, la chatte, les cuisses. Elle va me rendre folle. Elle a maintenant ses deux mains sur mes bouts de seins, elle les agace, les pince très légèrement, puis un peu plus fort, puis beaucoup plus fort, elle les serre, les tourne…

 

- Aie ! Tu me fais mal

- Excuse-moi ma chérie ! Je ne voulais pas te faire bobo !

 

Voilà qu'elle s'excuse la bourgeoise, maintenant ! On aura tout vu !

 

- Continue !

 

Elle continue, mais moins fort !

 

- Plus fort !

- Tu vois, tu t'habitue, tu me le dis si je te fais mal !

 

Prévenante avec ça !

 

- Encore plus fort ?

- Aie ! Non t'arrête pas ! Continue comme ça ?

- Tu aimes ça avoir un petit peu mal !

- Oui ! Fais mois mal !

 

Mais je suis conne, ou quoi ? Je me rends compte que je suis en train tout simplement de me soumettre. Et l'autre qui ne se le fait pas dire deux fois qui laisse tomber toute prévenance et toute précaution. Elle me les serre de toutes ses forces, les tirebouchonne carrément.

 

- Tu me dis d'arrêter ! D'accord ?

- Encore ! C'est bon ! Aïe ! Non, n'arrête pas, encore, encore, oh que c'est bon !

- T'es maso des seins, on dirait ! Seulement des seins ?

- Oui, enfin non !

- Ben c'est oui ou c'est non ? T'aimes qu'on te domine ?

- Non ! Enfin, c'est pas trop mon truc…

- Et les fessées, t'aimes bien ?

- Si c'est pas trop fort !

- Tu en voudrais une, là, maintenant ?

- Oui !

- Demande-le-moi alors !

- Donne-moi une fessée !

- Mieux que ça !

 

Mais qu'est-ce qu'elle veut ? Dans quel piège veut-elle me faire tomber ? Je tergiverse.

 

- Tu me la donneras tout à l'heure, continue à me pincer.

- Tu ne veux pas que je te domine un peu, juste un petit peu ?

 

Encore une fois, je préfère ne pas répondre et je louvoie.

 

- C'est ton truc, à toi de dominer ?

- Juste un peu, mais rassure-toi, ça ne va pas bien loin, je n'ai pas de panoplie en cuir noir, ni de cravache ! Alors tu veux qu'on essaie d'y jouer ?

- Oui !

 

J'ai dit " oui ", je suis dingue, bien sûr je suis libre de mes mouvements, il n'y a rien d'irrémédiable… quoique s'il elle…

 

- Je ne veux pas que tu m'attache, d'accord ?

- T'inquiètes pas, on va rester dans le soft ! Mets-toi donc à genoux !

 

Je le fais ! Je suis dans ses griffes ! Et en plus ça m'excite !

 

- Renifle ma chatte ?

 

Si c'est ça sa domination, ça devrait se passer sans problème, j'approche mon visage de son sexe, et je lui fais un petit bisou qui se veut le prélude à des choses bien plus hard

 

- J'ai dit de renifler, pas de lécher !

 

Je me recule.

 

- Tu sais ce qu'on leur fait aux petites filles désobéissantes ?

 

Je crois comprendre.

- La fessée ?

- Tu serais trop contente ! Relève-toi et met toi les mains dans le dos !

 

Je le fais, ça commence à être frustrant son truc.

-

  J'ai bien envie de te gifler !

- N'importe quoi !

- C'est un jeu Sophie ! Juste un jeu !

- Alors vas-y !

 

Elle m'en retourne deux, c'est vrai que ça ressemble à des gifles de cinéma, juste ce qu'il faut pour ça claque, mais ce n'est quand même pas du " semblant " Et puis un éclair me traverse l'esprit.

 

- Ne me fais pas ça devant mon mari !

- Mais, tu n'as pas fini d'avoir la trouille ! Je ne te veux aucun mal ! Allez va t'asseoir sur la cuvette des chiottes, je vais te raser les poils de la chatte.

 

Elle fit couler de l'eau chaude sur un gant de toilette, puis me l'appliqua sur le pubis. L'eau était légèrement trop chaude, supportable sans problème pour sa main, mais limite pour l'endroit où elle l'appliquait.

 

- C'est un peu trop chaud !

- Si ce n'est qu'un peu, ça devrait aller !

- C'est juste quand même !

- T'inquiète pas ! Me répondit-elle simplement tout en continuant à mouiller, plus ça sera mouillé, moins tu seras irritée.

 

Elle aspergea ensuite mon pubis de mousse, puis commença à raser. Elle fit un premier essuyage pour voir ce qui restait. Il en restait un petit peu. J'eus donc droit à un second gant chaud, une deuxième application de mousse et un deuxième rasoir neuf.

 

- Voilà c'est tout lisse maintenant ! Ce qui faudrait maintenant c'est mettre quelque chose de stérile dessus. Voyons, que pourrais-t-on mettre là-dessus ?

 

Elle me regarde avec un air ingénu ! Je ne vois pas pourquoi un simple after-shave masculin ne suffirait pas, mais apparemment elle à une autre idée derrière la tête.

 

- Un petit peu d'urine, voilà qui serait une bonne idée !

 

Dingue ! Elle est dingue ! Je suis chez une dingue !

 

- Tu ne t'es jamais fait pisser dessus ?

 

Je ne vais pas lui dire non, il nous arrive parfois avec Tony de jouer à des jeux uro. C'est vrai que je trouve ça amusant, et même plus, alors pourquoi cette réaction de rejet, parce que c'est une femme qui m'en parle ? Mon raisonnement ne tient pas debout !

 

- Je constate que tu ne dis pas non ! Et de toute façon tu n'as rien à dire, notre petit jeu n'est pas fini !

- Alors vas-y !

 

Cynthia me fait serrer mes cuisses, puis viens me chevaucher, elle se baisse légèrement, puis pisse. Je suis beaucoup plus troublée que je ne veux le laisser paraître. L'urine atterrit sur mon ventre et s'éparpille en un large delta un peu partout, sur mes cuisses et sur mon pubis. Elle l'étale avec ses mains, me masse un petit peu, puis se retire. Mais c'est pour mieux revenir. Elle écarte mes cuisses, s'agenouille devant moi, plonge son visage dans mon intimité et entreprend de me lécher les chairs avec la langue. Mes chairs baignées de son petit pipi ! La position est à vrai dire peu pratique.

 

- Allez viens, on va se mettre sur le canapé !

 

Voilà qui me paraît être une excellente idée. On se dirige vers le living, je suis devant elle et soudain je reçois une grande claque dans le cul.

 

- Je l'avais oublié celui-là ! Il est trop tentant !

 

La certitude d'avoir un plus beau cul que le sien me remonte en mémoire, mais je garde l'information pour moi !

 

- Encore !

 

Elle m'en balance quelques autres, plutôt fortes, mais manifestement elle a envie de jouer à d'autres jeux. Je rougis vite des fesses. J'imagine la tête de Tony quand il va me découvrir avec les fesses toutes rouges et le minou rasé

 

- Euh ! Nos maris ne vont peut-être pas tarder !

- Justement on va les exciter ! Tu sais ce que tu vas faire, tu vas me faire jouir devant eux !

 

L'idée n'était pas pour me déplaire. L'un des fantasmes récurant de Tony était de vouloir me faire raconter ce que j'aurais fait avec une femme. Je n'avais jamais eu l'occasion de le lui faire concrétiser. Là, il aurait du " direct ". Et puis, je lui devais bien cela, à Tony, pour le remercier d'être finalement venu.

 

- Et toi ça ne va pas te bloquer ?

- Non, non !

 

C'est en fait autre chose qui m'embêtait, il était clair qu'en allant chez elle, je savais pertinemment que c'était pour faire dans son intégralité ce que nous n'avions pu qu'esquisser sur la plage. J'étais par contre loin de penser que la soirée commencerait de la sorte, et servirait de prélude à une partouze classique. Or, l'idée de faire l'amour avec Pierre ne me disait trop rien, non pas que le personnage me repoussait, loin de là, mais je n'étais pas attirée, tout simplement ! Mais enfin si c'était le prix à payer, pour la petite séance avec Cynthia, je saurais m'accommoder de la chose. J'en étais là dans mes réflexions quand un bruit de porte se fit entendre.

 

- Continue, on n'a rien entendu ! Me chuchote Cynthia

- Ben, faut pas vous gêner les nanas ! S'esclaffa Pierre en rigolant.

- Regardez-nous, ça va vous exciter, et nous aussi, mais vous regardez, c'est tout ! On ne touche pas !

- Tu as vu j'ai un minou tout neuf ! Lançais-je, complice à Tony

 

Mais ça n'a pas l'air de le tourmenter plus que ça. Les deux hommes se sont assis et regardent incrédules le spectacle de nos corps emmêlés. Je ne les qu'entrevoie, Pierre a sorti sa queue et se la masturbe, en y jetant un bref coup d'œil je me dis qu'après tout porter les lèvres à ce charmant organe ne sera finalement pas une corvée. Quant à Tony, il est extérieurement fort sage.

 

Le corps de Cynthia est un véritable aphrodisiaque. Elle se donne à fond dans ce qu'elle fait. C'est la même femme qui me faisait mouiller mon maillot de bain en jouant à la balle, hier avec moi qui est là, avec le même dynamisme, la même façon de faire jouer les courbes de son corps. Et puis cette peau douce, ce parfum... Son corps est parfait, presque parfait ! Oh ! Elle doit se surveiller, ça doit y aller les régimes, les coupes faim et les menus "weight watcher" le tout entrecoupé de séance de fitness, de remise en forme, de thalasso machin chose, mais elle à l'intelligence de ne pas faire dans l'excès, ses membres n'ont rien de squelettiques, et elle a même un petit ventre. Elle reste tout à fait "pelotable", comme dirait, je ne sais plus qui ! Oh ça pour être pelotable elle l'est et j'y vais, je n'hésite pas, je touche, je caresse, je pelote quoi, je m'enivre de son contact, je sais très bien que je vis une expérience rare, autant la vivre à fond !

 

Nous gesticulons tellement que ce serait vain de tout décrire, elle m'entraîne dans un tourbillon inimaginable, je subis complètement ses désirs, mais quel délice, quel enivrement que de subir les assauts de ses mains, de ses doigts, de ses lèvres, de sa langue. Je dois mouiller comme je l'ai rarement fais, mais ce qui m'émeut au plus profond de moi-même c'est qu'elle n'est pas en reste.

 

A un moment j'ignore ce qu'elle veut faire, mais voici que je m'éjecte du canapé et que je me retrouve par terre les quatre fers en l'air. Tout le monde rigole franchement. Cynthia se lève un instant et m'invite à me coucher sur le dos.

 

- Prête pour le final ?

 

0729.JPG>

 

Je ne réponds pas, je ne veux pas que ce soit le final, je veux que ça dure des heures encore, toute la nuit s'il le faut. Cynthia se met en position de 69 sur moi ! Je me fais la réflexion que dans cette position ses fesses que je trouvais fort quelconques en position debout deviennent, elles aussi magnifiques. Après tout, peut-être l'expression " arrondir les angles ", est-elle venue dans des circonstances analogues, un jour à Lesbos dans les îles grecques ?

 

Ce cul, je lui lèche, je lui renifle, je suis au cœur de son intimité la plus personnelle. Ou pour parler crûment à deux centimètres de son trou du cul. Non plus deux centimètres, zéro centimètres, parce qu'à présent ma langue lui farfouille carrément l'anus. Mon dieu qu'est-ce que je mouille ! Et la Cynthia qui s'acharne sur mon clito. Ça m'embête de partir avant elle, alors à regret je quitte son petit trou pour atteindre de ma langue son clitoris. Et c'est alors le délire ! Nos mouvements se synchronisent, nous ne sommes plus qu'une, nous sommes en symbiose et nous éclatons à l'unisson... D'autres auraient marqué une minute de récupération, pas Cynthia qui se détend comme un diable de sa boite, se retourne, vient sur moi et me tend ses lèvres que j'accueille bien sûr comme vous pouvez l'imaginer.

 

Pierre applaudit avec enthousiasme, lâchant un moment sa bite bandée qu'il n'a cessé de tripoter pendant notre prestation. Tony applaudit aussi mais assez gauchement, émergeant d'un profond trouble ! On le comprend le pauvre biquet.

 

- Pouh ! Ça donne chaud tout cela ! Alors les garçons, ça vous a plu le spectacle ?

- Superbe ! Acquiesça le mari.

- Qu'est-ce que tu fous, Pierre ? Tu ne vas pas te branler tout seul quand même ?

- Mais, ma bite est la disposition de ces messieurs-dames

 

Je la regarde mieux et m'aperçois que l'individu a les testicules complètement épilés. Drôle d'impression ! Mais ce qui est encore plus bizarre c'est cette façon appuyée de parler des " Messieurs-dames " ! J'ai bien entendu " messieurs-dames " ? Cynthia se lève, désigne le canapé aux deux hommes

 

- Bon ! Vous aviez cru que c'était gratuit ? Ben, pas du tout, à votre tour les gars, de nous faire un petit spectacle, installez-vous, on vous matte !

 

La tête de Tony !

 

Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Je pensais d'abord que Cynthia serait excitée de voir deux mâles se branler l'un à côté de l'autre, et je me disais " chic cela m'éviteras d'avoir à m'envoyer Pierre ", mais je compris vite mon erreur, il ne s'agissait pas de cela ! Lorsque Pierre mit la main à l'emplacement du sexe de Tony, celui-ci devint blanc, vert, je ne sais plus trop, mais il n'avait plus la bonne couleur.

 

- Euh, c'est pas trop mon truc !

- Justement, laisse toi faire, ce sera encore plus excitant ! rétorque Cynthia

 

C'est ce qui s'appelle avoir réponse à tout. Malgré tout, je trouve ce genre d'attitude particulièrement gonflée. Je n'ai aucune idée des statistiques mais il me semble tout de même que dans 90% des cas, ce genre d'approche est condamné au fiasco (allant du refus poli, jusqu'à la réaction d'humeur) Et voici que Tony abat plutôt gauchement une nouvelle carte.

 

- Je ne suis pas très en forme, je suis désolé, mais je crois que j'aurais besoin d'un petit truc… Si vous aviez une aspirine…

 

Non ! Il ne va pas me faire ça ? Je me sens remontée à bloc ! Je n'ai pas du tout envie qu'il me foute en l'air cette soirée si bien commencée. J'interviens brusquement :

 

- Je crois en effet qu'il a besoin d'une aspirine, et après, il va être en super forme, il va pouvoir vous offrir un super spectacle.

 

Tony ne comprend plus ! Il me regarde avec un air de chien battu. Il a l'air de vouloir me dire : " je lance un appel au secours, et toi tu m'enfonce ! " Je soutiens son regard. Il cherche quelque chose à dire. Vite ! Intervenir ! Eviter qu'il ne dise quelque chose d'irréparable. Qu'il se taise ! Je lui attrape la main, je le tire, je l'entraîne dans la salle de bain. Les deux autres en reste ébahis !

 

- Ne vous inquiétez pas, on revient tout de suite… et en superforme !

 

Le Tony tente de balbutier quelque chose !

-

 Tais-toi, je t'en prie, Tony ! Tais-toi !

 

Puis je le regarde dans les yeux, le plus durement possible :

 

- Ecouté pépère ! Tu m'avais promis d'être sage ! Alors je te le répète une dernière fois, tu ne vas pas me gâcher pas ma soirée, sinon ça va aller vraiment très très mal !

- Je ne …

- Parle doucement s'il te plait !

 

Il chuchote à présent !

 

- Tu ne m'as pas dit qu'il faudrait que je fasse le pédé !

- Tout de suite les grands mots, ça ne te gêne pas pourtant de garder certaines photos sur ton disque dur !

 

Du coup, il bredouille, j'enfonce le clou !

 

- Et la perspective de caresser les nichons de Cynthia, ça ne motive pas ?

- Bon t'as gagné pour ce soir, mais il faudra qu'on en reparle, je ne t'ai jamais vu comme ça ?

- D'accord on en reparlera ! Allez, viens ! Fais-moi un bisou !

 

Tony me fait un petit bisou, je lui demande de m'en faire un mieux que cela, il s'exécute !

 

- C'est bon, passe-toi l'eau sur le visage et on retourne à côté !

 

Tony a manifestement décidé de jouer le jeu, et c'est tout sourire qu'il débarque dans le living

 

- Ca va mieux ? lance Cynthia, goguenarde

- C'était juste un coup de chaud, un peu de flotte, ça va déjà mieux.

- On reprend là, où on en était resté ?

 

Sans rien dire, Tony, se rassied sur le canapé, je le sens tout de même un peu fébrile. Pierre lui remet la main au sexe, celle resté libre tentant de redonner vigueur à son propre membre qui pour l'instant est quelque peu débandé. Cela m'amuse d'observer le regard de Tony qui n'en peut plus de regarder le corps de Cynthia mais qui de temps en temps louche sur la bite de son mari. C'était bien la peine de nous faire toute cette comédie !

 

Pierre tire alors sur le bermuda de mon époux, le slip suit le même chemin. Et voici mon Tony, la bite à l'air en train de se faire branler par un autre homme, et ça m'excite, ça m'excite, je suis comme au spectacle, j'attends la suite ! Et pourquoi comme au spectacle, je SUIS au spectacle ! Je me surprends à me toucher le minou d'une main, l'autre caressant chastement la cuisse de Cynthia. Cette fille à la peau d'une incroyable douceur. Du velouté de chez velouté ! Elle ne me fait rien en retour, ça ne m'étonne qu'à peine, c'est le genre " je fais ce que je veux quand je veux ! ". Bon alors cette suite ? Si seulement Tony pouvait participer un peu plus. Ce que j'aimerais le voir avec une bonne pine dans la bouche. Et pourquoi pas avec une pine dans le cul ! Mais voilà que je mouille, à fantasmer et à essayer d'anticiper les événements.

 

Pour l'instant, on n'en est pas là, Tony se fait toujours branler par le mari de Cynthia, il ne prend aucune initiative, peut-être faut-il le pousser un petit peu, oui c'est ça, poussons-le un petit peu :

 

- Tony ! Branle un peu Pierre, il ne demande que ça ?

- A bon ! Tu... veux ? Demande-t-il à ce dernier ?

 

L'autre à la bonté de ne pas sourire à cette question qui allait de soi et lui répond par un sourire d'invitation. Tony attrape donc la queue de l'homme et la branle à son tour. J'ai du mal à rester tranquille. Si ces messieurs vont plus loin je vais craquer. Mais je veux qu'ils aillent plus loin. Pierre ne tente rien, ce n'est pas Tony qui va le faire ! Et si j'osais ? J'ose !

 

- Suces-le, Tony !

 

Je n'en crois pas mes yeux, l'excitation change décidément beaucoup de choses. Un regard interrogateur de Tony vers Pierre. Ce dernier qui approuve. Et hop ! Voici mon mari en train de faire des bisous sur la bite du compère ! Ce n'est pas vraiment une fellation, mais ça en prend le chemin. J'ai vraiment l'impression qu'il a envie de la sucer, mais il tarde à franchir le pas. Il promène ses lèvres sur la hampe, s'égare un moment sur ses testicules glabres, mais ne s'y attarde pas, il remonte la hampe toujours en se contentant de faire bisous-bisous. Il arrive au gland, il est beau ce gland ! J'espère que je pourrais en profiter tout à l'heure même si ce n'est pas mon principal sujet de préoccupation ! Il l'embrasse.

 

Je jette un très bref coup d'œil vers Cynthia à qui je caresse toujours la cuisse, elle a les yeux écarquillés, les doigts sur ses bouts de seins qu'elle se tortille ! Quelle santé !

 

Tony a progressé dans ses mouvements d'approche et se sert maintenant de sa langue, il lèche cette bite partout, laquelle réagit fort bien en se tenant très droite. Du coup le gland est encore plus beau, lisse, violacée, brillant, arrogant, une merveille ! Comment va faire Tony pour ce priver encore plusieurs secondes d'un appendice aussi mignon, aussi trognon, aussi érotique ? J'ai envie de l'encourager d'un "aller Tony !" Mais je ne tiens pas non plus à être ridicule ! Tony écarte un moment son visage de la pine de son partenaire, mais sans la lâcher, il la regarde, semble se décider à prendre une décision et tout d'un coup plonge la bouche ouverte, gobe le gland, le garde quelques moment en bouche sans aller plus loin, le travaillant probablement de la langue, puis commence la fellation en règle. Je n'en peux plus, je mouille comme une folle. Il me paraît impensable de rester sur ma chaise à ne rien faire. Je regarde à nouveau Cynthia, mais elle semble avoir oublié ma présence. Je ne sais pas quelle initiative prendre ? Alors comme une conne je n'en prends pas. ! Il faut savoir se tenir chez les gens, et je me caresse le minou toute seule comme une grande fille.

 

Au bout de... (Au bout de je ne sais pas combien de temps, difficile de compter dans ses moment-là). Pierre fait signe à Tony d'arrêter. Puis il change de position, Je crois deviner qu'ils vont intervertir les rôles. Mais pas du tout. Pierre se met à quatre pattes et cambre les fesses devant Tony ébahi !

 

- Suce mois le cul !

 

Mais ça ne va pas la tête ! Il en demande de trop ! Faut tout de même pas exagérer ! Ils cherchent l'incident ou quoi ? Toute cette affaire va se terminer en nœud de boudin, mon excitation est partie je ne sais pas où et par réflexe, j'en suis déjà à regarder où j'ai mis mes affaires. Il faudra bien que je les récupère quand nous allons partir en catastrophe dans les secondes qui vont suivre. Je cherche le regard de Tony qui m'adresse un signe que je ne saisis pas bien : Sourire ? Grimace ?

 

Et me voici clouée sur ma chaise ! Je ne comprends plus ! Je suis abasourdie ! Tony après avoir fait quelques chastes bisous sur les fesses du monsieur est en train de lui faire une véritable feuille de rose. A un mètre de moi la langue de mon mari virevolte à l'entrée de la cavité anale d'un mec !

 

Comme dirait le penseur de Rodin "Heureusement que je suis assis(e) !"

 

Mais ce n'est pas tout, j'ai cru un moment qu'il faisait cela par bravade, il en serait bien capable, non pas du tout, il bande comme un cerf de compétition ! Qu'est-ce qu'elle est belle sa bite en cet instant ! Qu'est-ce que je l'aime mon Tony en ce moment, j'en ai presque les larmes aux yeux ! Et puis le bouquet, j'entends la voix de Pierre demander :

 

- Ça t'embêterais de m'enculer ?

 

Cette fois, il demande, la pratique est donc facultative, il va pouvoir refuser et on va passer à autre chose !

 

Mais voici que Tony se revêt le sexe d'un préservatif sortit de je ne sais où ! Ce n'est pas vrai, il va le faire ! Mon Tony, mon nounours qui va sodomiser un mec ! Non, je ne veux pas le croire. Mais si ! Et l'introduction s'est passée fort vite. Il l'encule ! Il le sodomise, il lui fout sa bite dans le cul ! Pincez-moi, je rêve ! Et puis cette pensée farfelue qui me traverse l'esprit "Ce serait encore plus excitant si les rôles étaient inversés" Tony n'en peut plus, je me demande avec inquiétude s'il se rend compte de ce qu'il fait, si après la jouissance il ne va pas nous faire le coup de la repentance ! On va bientôt savoir ! Dans l'état d'excitation où il est, il ne devrait pas tarder à jouir.

 

Et c'est à ce moment-là que j'entends un cri ! Ce n'est pas Tony, non c'est à côté de moi Cynthia qui s'est fait jouir, qui a gueulé comme une damnée et qui est maintenant pantelante sur sa chaise. Elle me sourit ! Chic elle me sourit ! Je souris à mon tour, elle est aux anges la Cynthia ! Et que ma modeste personne et mon nounours de mari contribuent à sa félicité présente me comble d'aise !

 

Un grognement ! C'est justement le nounours qui vient de jouir dans le cul de l'autre zouave. Il se retire, j'appréhende sa réaction. Non ! Ca à l'air d'aller ! Il se rassoit assez épuisé !

 

- Ça donne soif toutes ces conneries !

- Et tu ne voudrais pas qu'on inverse les rôles ? lui demande Pierre

 

Ben voyons ! Je la sentais venir, celle-là !

 

- Tout à l'heure peut-être ? On verra, pour l'instant je boirais bien un petit coup !

 

C'est vrai ça ! Il serait peut-être temps de nous servir l'apéro, ils ne vont pas le faire mourir de soif mon Tony.

 

Cynthia se lève assez mollement de son siège ! Qu'est-ce qu'elle est belle, je ne me lasse pas de la regarder :

 

- On a du champagne, tout le monde en prend ? Sinon, il a du whisky !

 

Non, tout le monde opte pour le champagne, je suis sûr qu'il sera bon et c'est autrement plus désaltérant que le whisky !

 

Cynthia va chercher la bouteille, les coupes ainsi qu'un plateau de machin-bidules pour l'apéro. Je reconnais bien là l'humour alimentaire de certains bourgeois. Le champagne doit être cher, voire très cher, mais pour ce qui est des petits gâteaux, on fait dans le très ordinaire !

 

On lève nos verres !

 

- Aux vacances ! Dira simplement Cynthia.

 

Aucune allusion vaseuse, je n'en reviens pas !

 

- Avec tout ça je n'ai pas joui ! Dira Pierre, se tenant son sexe maintenant à demi débandé !

- Et alors ? C'est ton problème le nargue sa femme.

 

Il se passa alors quelque chose d'inimaginable, Pierre de quelques mouvement de masturbation fit rebander correctement son membre, il lance alors à la cantonade :

 

- Si quelqu'un veut sucer quelque chose de salé avec l'apéritif ?

 

Je me dis c'est le moment d'y aller, et je m'approche de lui afin de mettre cette belle pine dans ma bouche ! Mais Tony m'a devancé ! Non je ne rêve pas, Tony m'a devancé et il est en train sans hésitation cette fois si de tailler une pipe à notre hôte. Je me positionne à côté de mon mari.

 

- Je peux goûter ?

- Vas-y

 

Je gobe à mon tour la bite du mari de Cynthia. Que c'est agréable, c'est vrai que je n'en ai pas sucé des centaines des bites dans ma vie, je manque donc d'éléments de comparaison, mais celle-ci me semble fort correcte. J'avais cru que Tony m'avait cédé la place, non il attend. Mais il m'énerve, je la garde cette bite, qu'est ce qui lui prend ce soir, après avoir joué les vierges effarouchées voilà qu'il fait dans la surenchère. Mais non, il y a peut-être moyen de s'arranger. Alors libérant la pine de ma bouche je lui agace le gland de ma langue légèrement sur le côté, laissant la place à mon mari de faire de même du sien. Sous l'action de cette double caresse, Pierre ne tardera pas à éjaculer, nous projetant sa semence sur nos visages.

 

- BRA-VO ! Scandera Cynthia avec un enthousiasme qui faisait tellement plaisir à voir, que je me jetais dans ses bras.

 

Nous nous étreignons tendrement. On me tape sur l'épaule ! C'est Tony.

 

- Et moi alors ? dit-il hilare.

- Mais non je te ne t'oublie pas mon biquet ! Et je l'étreins à son tour.

- Allez, on se ressert une coupe et après on se met à table ! La soirée n'est pas terminée ! Ce soir Cynthia reçoit !

 

FIN (?)

© Hélèna Sevigsky

helenesevigsky@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 10/03/2001

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 30 mars 2001 5 30 /03 /Mars /2001 09:04

Un petit coup de vent malicieux

Par Héléna

 

1  Pulsions inavouables

 

unknows

 

Contrairement à " La Flaque " qui est principalement autobiographique, (merci à ceux qui m'ont dit l'avoir aimé) ce récit est de pure invention. Mais j'ai mis beaucoup de moi-même dans le personnage de Sophie !

 

Hello ! Bonjour c'est Sophie ! (J'adore les histoires qui commencent comme ça !)

 

Dire que les rencontres se font par hasard est un euphémisme. N'empêche que celle-ci…

 

Je me faisais tranquillement bronzer sur la plage sous un soleil torride. Je sors un moment de ma torpeur pour envisager de me recouvrir les seins que je ne tiens pas à surexposer, quand un petit coup de vent malicieux me livra un chapeau que je n'avais jamais commandé.

 

Un chapeau bien commun, genre " Bob ", blanc, banal. Je le prends, machinalement. Je regarde vaguement autour de moi, constatant que personne n'avait l'air de le rechercher, et je m'assoupis sans relâcher l'objet.

 

- Excusez-moi, mais je crois bien que c'est mon chapeau !

 

L'affaire aurait pu en rester là, si la créature qui m'interpellait ainsi avait été différente. Mais là, je marquais un temps d'arrêt à contempler cette créature de rêve au bronzage parfait et à la poitrine arrogante. Elle avait un visage d'ange encadré de cheveux auburn. Ses lèvres étaient magnifiquement ourlées et son joli petit nez bien dessiné. Elle était vêtue (si je puis dire) d'un bas de maillot tout noir avec des boucles dorées sur le côté. " Le genre pute ", aurait dit mon mari, pour qui ce qualificatif n'avait rien de dépréciatif !

 

A ce stade du récit, il est sans doute temps que je présente. 1 m 65, un peu trop enveloppée (mais c'est de ma faute, je suis incapable de suivre sérieusement un régime plus de 15 jours), ma poitrine est trop grosse (90 D), je n'ai pas assez de fesses et j'ai trop de cuisses. Mon nez est trop long et je suis myope comme une taupe. Vous le voyez, un vrai top modèle ! Et pourtant je plais… Allez donc comprendre les hommes. ? Mes cheveux ? Quoi mes cheveux ? Ils descendent sur mes épaules et ils sont blonds décolorés et puisque quelques crétins ont décrété que toutes les blondes étaient connes, vous en tirerez les conclusions que vous voudrez !

 

Je vis avec un homme que j'appelle " mon mari " alors que nous ne sommes pas mariés. Il s'appelle Tony, il est aussi quelconque que moi, ni beau, ni moche, mais intelligent et cultivé, et surtout plein d'humour. Il a deux défauts (bien plus, en fait, mais restons dans le cadre du récit.) C'est un véritable ours : Aller chez des gens ou en inviter à la maison est pour lui une véritable épreuve, une atteinte à sa tranquillité. C'est aussi un obsédé sexuel (pas du tout honteux) Et après avoir eu droit aux revues danoises en tous genres, il y a eu la période vidéo X, maintenant ce serait plutôt Internet. Un jour ça m'a pris, j'étais seule à la maison, j'ai recherché s'il ne possédait pas de jardin secret sur son disque dur. Faire certaines découvertes m'aurait gênée, mais je voulais savoir ! Je trouvais sans trop de mal le répertoire où il stockait ses images. Il y avait un peu de tout, des pipes, des partouses, des lesbiennes, des travestis, des pisseuses, des fouetteuses (complètement polymorphe le Tony), des choses un peu surprenantes, mais qui n'allait pas jusqu'à me choquer. Je remarquais aussi un répertoire intitulé " divers ", j'y dégottais côtoyant quelques bizarreries (des catcheuses, des "body-buildeuses") une cinquantaine d'images carrément gays. La chose m'amusa.

 

Tony me fiche une paix royale et je lui rends bien. Sexuellement ça vivote plus qu'autre chose, je supporte ses fantasmes, mais ça m'énerve quand même quelque part qu'il soit obligé de visionner des kilos de viandes pour les activer. Ce n'est pourtant pas l'imagination qui lui manque, et là-dessus je suis assez ouverte à la nouveauté. En 15 ans on a du faire le tour de tout ce qui était acceptable, je l'ai attaché, je lui ai flanqué des fessées, je l'ai sodomisé avec un gode, on a joué à des jeux de pipi. Par contre la seule tentative d'échangisme avec un couple pourtant super sympa a été un fiasco total. Sinon, il m'a trompé, on a mis les choses au point. J'ai admis que tant qu'il ne prendrait pas de maîtresse attitrée, je tolérerais… Je l'ai trompé aussi, mais ça ne m'a pas vraiment passionné, les mecs deviennent vite collants. Par contre j'ai eu l'occasion deux fois d'avoir des relations avec des femmes. Une extase rare. Si c'était à refaire, je serais restée célibataire et je me serais envoyé une nénette de temps en temps. Maintenant c'est trop tard, j'y tiens à mon nounours.

 

Fin de la parenthèse, on revient sur la plage avec la femme qui vient rechercher son chapeau.

 

- Vous ne voulez pas me le rendre ?

- Si, bien sûr !

 

Je suis hypnotisée. Dans une seconde elle va déguerpir, je ne la reverrais sans doute jamais, il faut que je dise quelque chose, n'importe quoi !

 

- On ne s'est pas déjà vu quelque part ?

- Je ne pense pas, vous êtes de quelle région ?

- Paris

- Nous aussi ! Peut-être dans le métro, tout simplement ?

 

La conversation ne pouvant plus être relancée, j'ai l'idée de farfouiller dans mon sac, je suis sûre qu'elle fume.

 

- Vous aussi, vous avez perdu quelque chose ? S'amuse-t-elle.

- Je cherchais une cigarette, mais j'ai dû oublier mon paquet !

- Je peux vous dépanner, on vient d'acheter une cartouche. Venez ! On est juste à côté !

 

Et hop ! Je la suis. Oui !

 

- Oui moi aussi je fume celles-là, je vais vous chercher la monnaie…

 

Un coup d'œil sur leur emplacement. Le mari roupille à l'envers, je n'en vois rien. Un bouquin policier, je regarde le titre et je lance ma dernière bouée !

 

- Tiens, je croyais avoir lu tout Brussolo, je ne connaissais pas celui-là !

- Il vient de sortir…

 

Et toc, la conversation est partie, ça se passe très bien, on se découvre plein de goûts communs. J'en profite pour regarder un peu l'environnement de ces messieurs-dames. Ça a l'air d'aller plutôt bien pour eux : des tas de bijoux, des trucs de marques, que ce soit les lunettes, les maillots, les serviettes, et même le sac de plage. On parle bouquins, cinéma, cuisine. Et puis bon, ne voulant pas non plus avoir l'air de m'imposer, je lance le traditionnel :

 

- Bon, je vous laisse !

 

L'autre ne me retient pas, et je rejoins ma serviette de bain. J'étais beaucoup plus troublée que je voulais me l'avouer. Le visage et le corps de cette inconnue m'obsédait à ce point que je me couchais sur ma serviette de telle façon que je puisse l'observer, les yeux cachés derrière mes grosses lunettes de soleil. Je ne pouvais m'empêcher de la reluquer. J'étais devenu voyeuse, et l'objet de mon voyeurisme était une femme. Il fallait que je m'abreuve de son image, que je la fixe, qu'elle reste indélébile dans ma mémoire.

 

- Tu devrais de tourner, tu vas te brûler le dos !

 

C'est Tony qui rentre de sa balade, il s'amuse des heures entières à arpenter le bord de mer et à mater les nanas, entrecoupant cet étrange cheminement par des séquences de barbotages aquatiques. Je ne pouvais conserver un tel trésor visuel pour moi tout seul ! J'interpellais Tony.

 

- T'as vu la nana ?

 

Et je lui désignais mon inconnue.

 

- Comment tu la trouves ?

- Pas mal ! Vraiment pas mal ! Tiens, j'en ai vu une tout à l'heure et blablabla…

 

C'est tout à fait Tony, ça ! Il faut absolument qu'il me parle d'autres choses, j'en ai rien à foutre, moi des nanas qu'il a été maté. Je lui permets de le faire, il devrait déjà s'estimer heureux, je ne lui demande pas de me faire l'article. Je laissais tomber.

 

En quittant la plage, je me débrouillais pour passer à côté de l'inconnue et lui susurrais un timide :

 

- Au revoir ! Bonne fin de journée !

 

Auquel elle ne répondit que par un silencieux, mais ravissant sourire qui suffit à mon bonheur et ce n'est que 50 mètres plus loin que je réalisais que j'avais complètement oublié de lui payer son paquet de cigarettes.

 

Le lendemain, je la cherchais, en vain. Me voilà en manque ! Je scrutais la plage. Elle n'était nulle part ! J'étais désemparée, comme un gosse qui a perdu son joujou. Tony ne comprenait rien :

 

- Mais tu fais quoi ?

- Je cherche la nana d'hier !

- Et pourquoi donc ?

- Parce que !

 

J'en aurais chialé. Il y a des choses qui ne s'expliquent pas. Je me couche sur ma serviette, espérant qu'elle est simplement retardée et qu'elle finira par arriver. Mais non ! Au premier retour de Tony je prétexte un mal de tête et je quitte la plage.

 

Le jour suivant, je m'étais fait quand même une raison, je suis peut-être un peu bizarre, mais je ne suis pas foldingue quand même. Malgré tout je conservais un secret espoir de revoir à nouveau cette obsédante inconnue, et c'est avec une certaine appréhension que je me rendis sur la plage !

 

Et aujourd'hui, elle était là, magnifique, elle s'était mise un petit slip léopard, qui ne cachait pas grand-chose. J'avais mon plan, celui de la veille. Je laissais donc Tony prendre quelques mètres d'avance et préparer notre place et m'approchait de la fille :

 

- Bonjour !

- Bonjour !

 

Elle était tout juste aimable, sans doute voulait-elle me signifier par-là qu'elle n'avait nullement l'intention de prolonger ce qui n'avait même pas été un contact. J'en fus immédiatement contrariée.

 

- Je vous ai rapporté le paquet de cigarette que je vous ai emprunté avant-hier !

- C'était pas la peine ! Gardez-le ! Bonne journée !

 

Et zlouf, elle replonge dans sa lecture me laissant plantée comme une andouille. Je me sentais humiliée, pire : ridiculisée. Une journée à me morfondre, la joie de la revoir, et tout cela pour finir par me faire proprement envoyer promener... Et puis, je ne sais plus comment c'est sorti, mais c'est sorti et je lui balançais :

 

- Je n'aurais sans doute plus jamais l'occasion de vous adresser la parole. Mais je voulais vous dire que je vous trouve très belle ! Bonne journée !

 

 

1309045Mp.jpg

 

 

Et je m'éclipsais, les yeux embués de peine, me demandant si ma répartie était aussi pertinente que cela ! Mais je suis folle ! J'avais espéré quoi, au juste ? M'en faire une amie, une copine ! On ne se fait pas d'amie en vacances, ou alors juste le temps des vacances ! Non qu'une femme aussi belle puisse s'intéresser un petit peu à ma modeste personne me flattait. Mais j'étais donc redevenue inintéressante à ses yeux. L'avais-je seulement été un instant ?

 

Tony ne s'aperçut nullement de ma détresse et partit accomplir sa première promenade amphibie de l'après-midi. Je pris un bouquin et tournais ostensiblement le dos à cette pétasse peu amène. Mais ma lecture ne parvenait pas à m'accrocher. Qu'est ce qui m'arrivait de me mettre dans des états pareils parce qu'une petite bourgeoise me snobait ?

 

Renonçant à lire, je décidais d'aller nager un peu, et pour ce faire, comme j'en ai l'habitude, je remis mon haut de maillot. Je m'approche de l'eau, j'y trempe mes doigts de pieds. Elle est bonne, évidemment !

 

- Ça vous dirait de faire une partie de raquette avec moi ?

 

Non ! Mais c'est pas possible, je rêve ou quoi ? Elle est là devant moi, tout sourire, ses deux raquettes et sa baballe à la main. Il y a 10 minutes, elle me battait froid, et maintenant parce que madame s'ennuie, elle veut que j'aille faire joujou avec ! J'aurais dû l'envoyer promener, je ne suis pas à sa disposition ! Mais non ! Trop heureuse de ce retournement de situation complètement imprévu, j'acceptais, me laissant complètement dominer par l'aura que dégageait cette nénette. Pour rien au monde je n'irais la contrarier, et ne souhaitant pas passer pour une nunuche, je retirais mon haut de maillot. Ce serait donc la première fois de ma vie que je me livrerais à des jeux de plages les seins nus.

 

Et c'est parti ! Elle joue remarquablement bien, ne perdant pas une seule balle, parvenant même à rattraper des coups compléments tordus. Ce doit être le genre de nana à fréquenter toutes les semaines les cours de tennis. Je fais ce que je peux, je me surpasse, m'étonnant de me débrouiller finalement pas si mal que ça. Mais il y aussi autre chose : La voir jouer comme ça devant moi est un plaisir craquant... Son corps qui ondule, ses seins qui tressautent. Je me rends compte que je suis tout simplement en train de mouiller mon bas de maillot en jouant à la balle avec une bourgeoise. Je lui lance une balle très basse. Cela l'oblige à avancer pour la relancer, et elle ne pourra, je suppose, la relancer que basse. Elle s'avance, tend son corps en avant, rate son coup et dégringole dans la flotte. Je m'avance pour récupérer la balle. Elle émerge, éclate de rire, je ris à mon tour.

 

- Joli coup, mais tu ne l'as pas fait express !

 

Mauvaise perdante ? Mais je m'en fous ! Car voilà qu'elle me tutoie à présent ! Et j'ai la faiblesse de prendre ça pour une reconnaissance.

 

- On nage un peu ?

- OK ! C'est quoi ton prénom ?

- Cynthia !

 

Je suis persuadée qu'elle vient de l'inventer à l'instant, mais qu'importe ? Elle ne me demande pas le mien, elle s'en fout ! Et nous voici parties à faire les sirènes. Là aussi elle me surpasse sans problème, mais ce n'est quand même pas le genre à étaler sa supériorité. Au bout d'un quart d'heure, moins peut-être, je reprends pied, n'ayant pas son endurance.

 

- Ben alors ? Rigole-t-elle

 

Et la voici qui m'asperge comme le ferait une gamine ! Je l'asperge à mon tour, on joue à la flotte comme de vraies mômes. Nous regagnons le rivage, nos conjoints respectifs sont ailleurs.

 

- Viens avec moi, tu vas me passer de la crème

 

Je l'aurais pariée ! Et les lecteurs aussi qui vont crier au cliché !

 

Cette fille joue avec mes nerfs. A-t-elle devinée que je serais incapable de faire cela sans mouiller ? Ah ! Le massage à la crème solaire ! Combien de fois, sur les plages n'a-t-il pas été le prélude à des attouchements ensuite beaucoup plus torrides Je fais couler un peu de liquide entre les deux épaules et je commence mon tartinage. Je suis dans un autre monde. Je plane ! Ça ne m'empêche pas de m'appliquer, de masser, de caresser.

 

Et ben dit-donc ! Tu fais cela vachement bien toi ! Il faudra que je te donne mon adresse, tu viendras me masser à domicile !

 

Elle dit cela en plaisantant, mais moi j'en suis toute retournée ! Qu'elle se taise ! Mais qu'elle se taise ! Je vais craquer, et mon trouble va être de plus en plus visible. Mais l'autre a décidé d'être salope jusqu'au bout :

 

- Et si je me tourne de l'autre côté, tu continueras à me masser ?

 

Ah ! Non ! Pourquoi a-t-elle fallu qu'elle me sorte ça ? Et je m'imagine déjà en train de le faire, de lui prendre les seins, de les caresser, de les pétrir, de les sucer…

 

- Chiche ! Que je lui réponds !

- On ne va pas faire ça ici ! Mais j'ai bien envie de te donner l'occasion de le faire ailleurs !

 

Mon dieu ! Elle va me faire fondre ! J'espère simplement que c'est vrai, que ce ne sont pas des paroles en l'air !

 

- Bon aller, on change ! A mon tour de te tartiner !

 

Mais je n'ai rien demandé, moi ! Mais je me laisse faire, je me couche sur sa serviette, et à son tour elle fait couler de la crème !

 

- Je te mets de la mienne, de toute façon ça ne te fera pas de mal, c'est de la bonne qualité !

 

Si elle savait comme je m'en fous de la qualité de sa crème. Elle a les mains douces. Si ça continue, je vais me taper un orgasme comme ça, sans me toucher la minette. Mais ce devait être une diablesse que j'avais rencontrée. Elle m'applique de la crème sur les flancs, insistant lourdement à la hauteur des seins.

 

- Soulèves-toi un tout petit peu !

- Mais pourquoi ?

- Fais ce que je te dis !

 

L'ordre est sec, madame n'est pas du genre à ce qu'on discute ses ordres. Non mais, elle se croit où, celle-ci ? Je ne suis pas sa chose ! N'empêche que j'obéis quand même ! Je me soulève de quelques centimètres. Elle en profite aussitôt pour passer ses mains sous mes seins à la hauteur des tétons, et elle me les pince !

 

- Salope ! Murmurais-je en rigolant.

- T'aimes ça ! Hein ?

- Oh oui ! Continue !

- Plus fort ?

- Oui plus fort !

 

Elle le fait, je suis aux anges, mon seul souci est de savoir comment je vais m'empêcher de gueuler quand ma jouissance va venir. Cette pensée incongrue a pour effet de me déconcentrer un tout petit peu. Mais voilà qu'elle retire ses mains, et qu'elle continue à me masser le dos de façon hyper classique. Qu'est-ce que je fais ? Je lui dis, ou je lui dis pas ! Je décide de lui dire :

 

- J'aurais aimé que tu continues !

- Bien sûr, mais pas ici !

- Où alors ?

- Chez moi !

- Comme tu veux !

- Mais attention où tu mets les pieds, je suis une vraie cochonne ! Dit Cynthia en rigolant.

- Ça tombe bien, moi aussi !

 

Qu'est ce qui me prend de répondre des trucs pareils ?

 

- Et ton mari, aussi, c'est un petit cochon ?

- Oh ! Lui, un vrai pervers, tout y passe... (Et je ne pensais à ce moment-là qu'à sa passion de collectionneur d'images à fantasmes)

- C'est très bien ! Ce soir, viens à la maison avec ton mari, on se fera une petite bouffe !

 

Bien sûr que je suis contente. C'est complètement inespéré. Bien sûr que je lui dis oui, mais je réfléchis à cent à l'heure. Mon ours de Tony n'acceptera jamais, par contre, il ne s'opposera pas à ce que je vienne seule, et ce sera aussi bien pour ce que nous voulons faire. Je me retourne, je m'assoie, le lui dis :

 

- Non ! Tu te débrouille pour venir avec lui, si tu viens toute seule, je te vire !

- Euh ! On pourrait faire un compromis, mon mari vient juste pour l'apéro, et après il nous laisse

- Non ! S'il se tire, je te vire !

 

Je n'ose plus rien dire : surtout ne pas casser le beau cadeau qu'elle vient de me faire ! Je me débrouillerais, je saurais faire, je ferais tout ce qui est possible pour faire venir Tony. Mais pourquoi me parle-t-elle comme cela ? Pourquoi joue-t-elle avec moi ? Elle est en ce moment tout sourire, j'ai l'impression qu'elle me dévore des yeux, mais qu'est-ce qu'elle me trouve de si extraordinaire ?

 

- Tu trouves que je suis vache ? Hein ? Demande-t-elle ?

- Non, mais je ne comprends pas bien !

- Tu auras l'occasion de comprendre, ne t'inquiètes pas. Et tu ne le regretteras pas ! Mais ça tu le sais !

 

Elle me griffonne ensuite l'adresse sur un bout de papier et me fait un petit plan (les adresses de vacances sont toujours extrêmement simples !)

 

- Une dernière chose !

- Oui ?

- Approche-toi, c'est un secret !

 

Comme une conne, j'approche mon visage du sien, prête à écouter ce secret si mystérieux, Mais voici qu'elle m'attrape littéralement le visage et qu'elle colle sa bouche contre la mienne. L'estocade sans aucun doute. On s'embrasse fougueusement ! Le temps s'immobilise tandis que nos langues s'entremêlent et que nos salives s'échangent. C'est Cynthia qui mettra fin la première à ce doux baiser 100% pur femmes.

 

- Allez, maintenant casse-toi, et ne me fais pas faux bond ce soir !

 

Je me casse comme elle dit : à ma place Tony est là, il m'a vu, mais je ne sais pas encore s'il a vu ce qui s'est passé avant

 

- Tu roules des patins aux nanas, maintenant ?

 

Instinctivement, je reluque son ridicule caleçon de bain

 

- Et alors ? Ça te fait bander, on dirait !

- Tu vas la revoir ?

- ON va la revoir, on est invité tous les deux chez eux ce soir, et pour une fois, pour une seule fois dans ta vie, tu vas me faire plaisir, énormément plaisir, tu vas venir avec moi, sans rouspéter et rester jusqu'au bout !

- Mais...

- Il n'y a pas de mais, ne me refuse pas cela Tony ! Ne me le refuse pas ! Je pense que tu n'auras pas à le regretter !

 

J'avais une telle détermination dans le ton de ma voix, qu'il ne répliqua pas. Ce n'était pourtant pas encore gagné pour autant ! Mais je gagnerais, je le savais !

 

ET CE SOIR NOUS IRONS CHEZ CYNTHIA... 

 

Hélèna

helenesevigsky@hotmail.com 

 

Note : Je ne souhaitais pas écrire une suite à cette histoire qui dans mon idée était d'abord un truc assez soft destiné à faire vagabonder les fantasmes des lecteurs... Mais, bon ! On ne se refait pas, maintenant que j'avais créé mes petits personnages, j'ai eu envie de continuer à jouer avec ! La suite est donc à votre disposition, chers lecteurs (et elle est forcément moins soft...)

 

 

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 25 mars 2001 7 25 /03 /Mars /2001 11:19

Pas de strip-tease ce soir !

par Sylvain Zerberg

Gaystamp

 

Bonjour Sylvain,

 

Ça y est, j'ai franchi le pas et je te le raconte !

 

Comme tu le sais, je suis allé en Espagne, près de Valence cet été avec Claudette, mon épouse et Nicole et Roland, un couple d'amis. Bien sûr, quand on est en vacances, on pense beaucoup plus au sexe car il n'y a pas de stress comme en temps normal.

 

Donc tout se déroulait très bien, nous avions trouvé une location avec un salon et deux chambres, une pour chaque couple et le soir en revenant de la plage, nous faisions l'amour chacun de notre côté et nous pouvions entendre Nicole et Roland jouir de l'autre côté du mur qui nous séparait. C'était très excitant. Quand nous prenions nos douches, nous nous baladions tous nus dans l'appartement mais il ne se passait rien de plus, jusqu'à un certain soir...

 

Nous étions dans un petit bistrot près du port et avions un peu exagéré sur l'apéritif. La conversation s'était lourdement orientée vers le sexe, ce qui nous avait excité Roland et moi. Nos femmes n'étaient pas en reste et nous avaient alors promis qu'en revenant, nous aurions droit à un super spectacle. Je les imaginais déjà se déshabiller lentement et peut-être même se faire de tendres petits câlins, prélude à des choses beaucoup plus chaudes.

 

Mais les choses ne se passent jamais comme on les prévoit, nos épouses tenaient à peine sur leurs jambes. Nicole tenta bien de commencer un strip-tease mais quand elle voulut effectuer une sorte de pas de danse, elle atterrit directement sur le canapé dans les bras de Claudette, qui elle ronflait déjà. Supportant mieux l'alcool, nous nous retrouvions, Roland et moi comme deux andouilles. De plus nous étions excités et frustrés par ce contretemps J'indiquais alors à Roland, que n'en pouvant plus, j'allais me branler dans la salle de bain.

 

- C'est une bonne idée ! Quand tu auras fini, je prendrais le relais !

 

Cette soudaine franchise entre nous m'excita soudain et pris d'une inspiration subite, je proposais :

 

- Remarque ! On pourrait aussi bien le faire ici, tous les deux dans le salon. On ne risque rien, Nicole et Claudette ronflent comme des moteurs !

 

En signe d'acquiescement Roland enleva carrément son slip de bain. J'avais déjà vu sa bite, mais c'était la première fois que je la voyais dans cet état superbement bandé. Je l'ai imité et nous nous sommes installés dans le deuxième divan l'un à côté l'autre, branlant frénétiquement nos queues, quand tout à coup, l'air de rien il se met à regarder ma pine d'un air malicieux :

 

- Je te donnerais bien un petit coup de main, c'est bien meilleur quand c'est fait par un autre !

 

Il faut croire que quelque part au fond de moi-même j'attendais cette proposition, je lâchais ma queue et lui fit un sourire. Et tandis qu'il s'emparait de mon membre, je pris le sien dans ma main, ce fut comme une révélation pour moi de sentir ce beau sexe chaud et doux. Je n'avais alors qu'une envie, c'était de le goûter mais je ne savais pas comment lui dire. Résultat : Nous avons jouis, comme ça, chacun dans la poignée de l'autre, et c'est presque par instinct que je léchais le sperme déposé sur mes doigts et que je m'en régalais sublimement !

gay2103.jpg

 

Roland amusé par mon attitude, et voulant me montrer qu'il n'en était nullement choqué m'imita. A moins qu'il ait voulu m'indiquer par-là que nous pouvions aller encore plus loin. C'est en tous les cas, comme cela que j'ai reçu le message.

 

Alors, je me suis jeté sur lui pour l'embrasser, j'aimais sentir sa langue contre la mienne et ses mains qui me caressaient partout. Je pouvais enfin goûter cette belle grosse queue. Il m'a dit que ma petite bite l'excitait.

 

Nous nous sommes alors mis en position de soixante-neuf et nous avons commencé par nettoyer le sperme de la première jouissance, pour ensuite continuer dans une double pipe d'enfer jusqu'à ce que nous jouissions chacun dans la bouche de l'autre. Nous nous sommes après embrassés encore un peu, puis, un peu épuisé, nous avons convenu d'aller prendre une douche (ensemble, bien évidemment)

 

C'est là que je lui ai demandé de réaliser un de mes fantasmes : je voulais qu'il m'urine dans ma bouche. C'était sublime de sentir sa pisse chaude et un peu amère dans ma gorge et sur ma langue. Ensuite il m'a demandé de l'enculer.

 

Je lui ai alors léché son beau petit trou de cul et ensuite j'ai mis du savon pour faciliter la pénétration. Son urine m'avait tellement excité que j'ai joui presque tout de suite.

 

Sublime soirée entre hommes ! J'aurais voulu qu'il m'encule, ce qu'il fit le surlendemain et le jour d'après ! Nos femmes ne se sont doutées de rien.

 

Nous devons nous revoir en Octobre. J'ai déjà un plan. Nous referons boire les femmes, mais pas autant, il ne s'agit pas de les enivrer, mais simplement de leur faire sauter la barrière du sexe, et nous essaierons de les jeter dans les bras l'une de l'autre. Si cela marche, quelles perspectives alors ! Des parties à quatre ou nous pourrions vraiment tout essayer et tout mélanger !

 

Je te raconterais bien sûr quand nous nous reverrons, et ma bouche et mon petit cul seront à ta disposition

 

Bisous sur ta bite

 

 

Première publication sur Vassilia, le 25/03/2001

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 17 mars 2001 6 17 /03 /Mars /2001 17:49

Pearl et les 2 Américains par Marine et Thibault

 

bisou1719

Themes abordés : bisex féminine, party, spermophilie, uro. 


Bonjour, c’est Thibault (un tibo, deux tibos…) qui fera office de narrateur dans cette histoire très chaude, bien qu’elle ait été écrite à deux mains.

Ils sont cons les Américains, non seulement ils ont des machines à voter foireuses, mais du côté des idées reçues, ça y va !. En gros tous les français ont un béret sur la tête, passent leur temps à bouffer des baguettes de pains, et ont un portrait du général de Gaulle dans leur salle à manger.

Et je dois m’occuper de deux de ces grands escogriffes, Steve Wayne, et John McQuinn ! Ces messieurs sont envoyés par le cabinet Petersen & Petersen Consulting pour estimer la valeur de la boite dans laquelle j’ai l’honneur de travailler comme contrôleur de gestion.

Steve m’avait interpellé :

- Le problème avec les boites comme la votre, c’est que c’est du fifty-fifty, on peut très bien faire un rapport disant que ce n’est pas terrible, comme on peut en faire un indiquant qu’il s’agit d’une entreprise pleine de promesses.
- Certes mais quelles seront alors vos conclusions ?
- On ne sait pas encore, ça risque d’être très neutre, à moins que…
- Je vous écoute !
- A moins qu’un évènement extérieur nous influence dans un sens ou dans l’autre…
- ?

C’est ce qui s’appelle un appel à la corruption ! A moins que ce soit un piège ! Je prends le risque que ce n’en soit pas un ! Bon, réfléchissons ! On corrompt avec quoi ? La grosse enveloppe ! Mon budget  » divers  » ne me le permet pas ! Le big restaurant ! Ce sera insuffisant ! Alors le sexe ? Leur payer à chacun une escorte girl super canon, ce n’est pas « donné-donné » mais ça doit être plus dans mon budget.

C’est alors que Steve me lança !

- Nous repartons après demain pour les Etats Unis, il vous faudra faire vite !

La catastrophe ! Il ne me reste qu’une solution, ma propre épouse ! Elle était peu farouche et fort libérée, mais il me faudrait la convaincre ! Seulement juré, craché si elle n’était pas d’accord, je n’insisterai pas, et à ce moment là je mettrais toute mon énergie à dénoncer dans des livres, des articles, des émissions et des conférences l’attitude inadmissible de ces « consultings » à la manque. Evidement, si elle acceptait, les choses seraient plus simples.

Elle accepta !

Ma femme s’appelle Pearl. Du moins pour les besoins de cette histoire, car en fait, elle s’appelle Marine, mais Pearl c’était son nom de scène quand elle faisait du strip-tease à Pigalle ! Pearl est assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teint en blond, un joli petit sourire. Elle est un peu complexée par sa grande taille. Sexuellement elle n’est pas farouche, mais elle n’est pas obsédée non plus, et si sa pratique de la fellation en fait une quasi experte, elle ne goûte qu’assez modérément la sodomie, personne n’est parfait !

Pearl accepta donc après s’être renseigné sur à quoi ressemblaient ces étranges consultants, mais y émis toutefois une condition, il ne fallait pas que la séance s’éternise. Elle objecta par ailleurs que si une femme avec trois hommes constituait sans doute une association érotique très perverse, les possibilités restaient toutefois limitées, à moins que ces messieurs veuillent faire dans les voiles et les vapeurs. ! Faute de quoi, sans doute serait-il judicieux de dégotter une autre complice. ! Tout cela pour me proposer les services de notre charmante et pulpeuse voisine qui s’ennuyait ferme depuis que son mari s’en était aller vivre sur une péniche avec un marin d’eau douce hollandais.

La voisine se nomme Sandra, elle est un peu nunuche, mais cette fausse blonde à un corps de déesse, Du moins je le suppose, ne l’ayant jamais pratiqué. Bien que Pearl reste persuadée du contraire. Par contre Pearl a couché avec Sandra, et Pearl ne sait pas que je le sais. Pas simple cette situation, je vous l’accorde volontiers ! Cela faisant un peu fouillis il faudra un de ces jours que nous  » régularisions  » tout cela ! Mais ceci est une autre péripétie.

Il fut convenu afin de mettre un peu de forme dans cette affaire qu’un petit jeu servirait de prétexte, mais qu’il n’était surtout pas interdit à ces dames de faire semblant de perdre !

Pearl s’est habillée très sexy. Elle a revêtu une sorte de robe-blouse de couleur parme fermée devant par quatre boutons. Le bas du vêtement est frangé, le haut est échancré. Dans l’échancrure on voit le milieu et donc la rose d’un petit soutien gorge en imprimé semi transparent ou se combattent des motifs roses et blancs. Le slip assorti est de forme brésilienne. Elle n’a rien prévu d’autres et en tous les cas ni bas, ni porte-jarretelles, ayant horreur de ce genre d’accessoires.  » j’aime tellement me faire caresser les jambes « , dit-elle souvent,  » pourquoi donc les gainer sans raisons ?  » Sandra sonne, elle est un peu en avance, elle aussi à fait des efforts vestimentaires. En bas une toute petite jupette blanche ne descendant guère plus bas que la moitié des cuisses et dont la couleur immaculée contraste avec sa belle peau bronzée. En haut un petit boléro rouge à pois blancs, montant assez haut, mais laissant par contre apercevoir de façon incongrue la base de son soutien gorge bleue. Un petit foulard du même imprimé assorti attaché en bandeau dans ses longs cheveux parachève le tout.

Les deux femmes se complimentent mutuellement pour leur tenue. Puis, Pearl se mit à caresser langoureusement le petit ventre de notre voisine, en simulant de découvrir la subtile douceur de sa peau ambrée. Quelques secondes plus tard, je ne sais pas laquelle des deux se jeta sur l’autre, mais toujours est-il, qu’autant excitées par la situation à venir que par leur tenue inhabituelle, elles se lancèrent dans un baiser passionné associé à des pelotages de seins, de fesses et d’autres choses encore. La fièvre de l’érotisme les avait enveloppées tel un raz de marée de sensualité perverse. Sandra se baissa un moment pour fureter sous la robe de ma Pearl, qui se laissa faire un moment, puis se baissa à son tour, finit par poser son derrière sur la moquette, y entraînant la voisine, puis changea brusquement de position afin de se pouvoir se placer sur le sol en position de 69. J’avais devant mes yeux médusés le spectacle inespéré de deux ravissantes petites langues suçant avec gourmandise deux délicieuses petites chattes. Inutile de vous décrire, je pense l’état de mon devant de pantalon !

Ce coup de folie fut, hélas interrompu par l’arrivée de nos américains, je les fais boire un petit peu, ils adorent le martini, allons-y pour le martini, et même qu’on va y ajouter du gin. Puis après quelques échanges de banalités, je suggère de jouer à un jeu de mon invention : La bataille rangée, ça se joue avec des cartes, mais contrairement à la bataille classique on peut jouer à plus de deux et étaler plusieurs cartes. Pour tricher dans un sens ou dans l’autre il suffit de ramasser les cartes du coup précédent dans un certain ordre (si ça intéresse quelqu’un, précision par e-mail sur simple demande l) Et évidemment pour corser la chose d’entrée on préférera y jouer avec des cartes pornos ! Chaque perdant d’un échange devra enlever une pièce de vêtement comme au strip poker !

Ils acceptent tous en rigolant, étant tous passablement éméchés. Comme il faut de la place, on s’assoit sur la moquette. Pearl à l’honneur de perdre la première, elle décide avec une fausse témérité et une audace feinte de retirer sa robe. Elle déboutonne donc, avec grâce, la pièce de vêtement gênante, découvrant son joli petit ventre et son nombril. Ce nombril, au grand étonnement de Américains était percé d’un anneau. Je regarde ma femme qui me lance un sourire moqueur. Elle est donc la première à montrer ses sous-vêtements, et devient l’objet de toutes les convoitises. Les yeux de mes abrutis d’invités sont rivés sur elle. Nous continuions ainsi le jeu jusqu’à ce que tous le monde soit en sous-vêtement. Moi, Steve et John avons peine à cacher nos érections respectives. D’ailleurs, le cercle de jeu s’étant rapproché, des frôlements non réglementaires se produisent. A ce moment, le jeu s’interrompt, le temps est suspendu quelques secondes, des regards en rencontrent d’autres.

Sandra et moi sommes l’un à côté de l’autre. Un imperceptible mouvement nous rapproche alors que déjà, la main de John se pose sur les hanches de Pearl. Les corps de Sandra et le mien se frappent, elle appuie sa poitrine sur la mienne, les yeux soudés au mien. Je pose doucement les mains sur sa taille, au même moment, nos lèvres se joignent, d’abord doucement, puis rapidement nos bouches s’ouvrent, je laisse glisser ma langue entre ses lèvres. Elle en fait autant. Mes mains remontent le long de son dos, hésitent une fraction de seconde à son soutien-gorge puis continue vers sa tignasse blonde. Alors que je lui glisse quelques baisers dans le cou, mes mains s’affairent à dégrafer l’inutile  » soutif « , révélant sa poitrine magnifique, des seins généreux, couronnés de mamelons roses très érigés. Je lui caresse la base des seins alors que je me penche pour mettre ma langue en contact avec sa peau douce. Elle frémit pendant que ma langue se rapproche de ses tétons gonflés d’excitation. Je mordille enfin à tour de rôle les petits fruits auréolant ses seins.

Elle décide alors de me faire découvrir les parties inférieures de son anatomie, ce qui n’est pas sans me réjouir. La main droite appuyée sur ma nuque, elle me guide vers l’élastique de sa culotte. J’attarde ma langue dans la région du nombril, pendant que mes mains massent doucement les fesses fermes de Sandra Elle semble apprécier mes attentions et sans prévenir, elle fait glisser sa petite culotte, exposant à mes yeux ravis sa toison châtaine aux reflets blonds. Mes doigts se glissent sporadiquement entre ses fesses, frôlant ses lèvres humides.

Elle m’assoit, pour me donner un meilleur accès à son centre de plaisir. Ma langue se fraie un chemin à travers son poil. Son corps entier est parcouru d’un frisson lorsque ma langue entre en contact avec ses lèvres légèrement entrouvertes. Elle écarte les cuisses pour faciliter l’entrée de ma langue. Je glisse celle-ci entre les lèvres chaudes et humectées de Sandra. À l’aide de mes doigts, je dégage le clitoris de son refuge devenu trop étroit. Je concentre mes efforts sur cet endroit précis, faisant claquer ma langue sur son bouton érigé. Sandra commence à respirer de manière plus irrégulièrement, elle pousse d’une main ma tête entre ses jambes et de l’autre se caresse les seins avec frénésie. Alors que ma langue excite toujours son clitoris, je décide de glisser un doigt dans sa fente, histoire d’explorer plus en profondeur. Je fais d’abord des petits cercles, palpant les parois de mon index. À l’intromission de ce doigt, Sandra pousse un petit cri étouffé, entre deux halètements saccadés. Ensuite, je commence un mouvement de va-et-vient, invitant mon majeur à joindre la traversée. Ce deuxième doigt se glisse plus difficilement, malgré la lubrification abondante. Sandra pousse un deuxième soupir, celui-là moins contenu. La langue fatiguée, je remonte suçoter les mamelons de la voisine, continuant mon manège digital. Elle se tortille légèrement pour m’embrasser avec une fougue sans retenu. Je sens le rythme de sa respiration augmenter.

Nous nous étendons ensuite sur la moquette. Elle me fait pivoter afin que mon slip tendu au maximum se retrouve devant son visage. Je poursuis mon va-et-vient, plus rapidement encore, dans cette position nettement plus équitable pour nous deux. Elle baisse mon caleçon, et se recouche sur le dos, afin d’avoir mes testicules à portée de bouche. Ma langue étant reposée (il faut tout de même éviter les crampes), je repositionne celle-ci sur son clitoris. Elle accueille ce retour d’un râle aigu. Elle lèche mes bourses un moment puis, glisse lentement la langue sur mon pénis prêt à exploser. Sa langue s’enroule sur ma tige, atteignant bientôt mon gland. Elle embouche alors ma verge en entier, prouvant hors de tout doute son expérience dans le domaine. Mon ardeur augmente, sentant cette divine présence sur mon pénis. Elle fait aller sa bouche de plus en plus vite, je me sens sur le bord d’un orgasme. Je décide d’insérer un troisième et ultime doigt, pour la mener, elle aussi au plaisir ultime. La bouche occupée, je ne peux la prévenir de mon arrivée imminente. Alors, sa respiration, jusqu’alors très rapide, s’arrête un temps, ses muscles se contractent, ses cuisses viennent enserrer ma tête comme un étau. Elle lance alors un cri, dégageant ma verge de sa bouche. Je profite de son orgasme pour lancer le mien. Une saccade de sperme lui éclabousse le menton alors que son miel chaud s’écoule le long de mes lèvres. Nous soupirons au même moment, alors que je m’allonge près d’elle pour l’embrasser pendant que la chaleur lui consume encore l’intérieur. Elle accueille alors ma bouche !

Puis, elle se dégage de moi, m’informe avec malice qu’elle doit aller accomplir un besoin bien naturel. Je lui fais la suggestion que ce précieux nectar qui, venant d’elle ne peut être que merveilleux, serait le bienvenu dans ma bouche plutôt que d’aller se gâcher dans les tuyauteries citadines. Ce n’était pour moi qu’une boutade, ignorant si elle pratiquait ce genre de tocade. Mais elle accepta d’un sourire malicieux et accroupissant sa chatte sur ma bouche elle y fit s’écouler le long filet doré de son pipi, et j’avalais, satisfait, l’or de ses reins !

Notre union fut tellement forte, tellement intense que le monde extérieur avait, un temps cessé d’exister. Le plan ne se déroulait pas vraiment comme prévu car la logique aurait voulu que Sandra et Pearl s’occupent chacune d’un Américain.

Revenant à de triviales réalités, je regarde maintenant ma Pearl s’occuper seule des deux yankees. Elle suce le premier tandis que le deuxième lui lèche les fesses. Non, pas les fesses ! Le cul, il lui lubrifie l’anus. Ça m’embête, je sais que Pearl n’aime pas trop cela, mais je répugne à demander à Sandra de jouer la supplétive !

On entend alors Steve qui tout en continuant à se faire sucer dire avec un accent monstrueux :

- Je voudrais bien, vous prendre à rebours !
- En levrette ?
- Yes ! A rebours dans le petit trou !
- Non, non !

Il avait besoin de demander cela ? Encore les idées reçus des américains sur les françaises ! Une nouvelle fois l’envie de demander à Sandra de se sacrifier me tenaille mais je ne le fais pas. J’essaie de croiser les yeux de Pearl pour l’encourager, mais peine perdue nos regards ne se rencontrent pas

- Comment vous ne voulez pas que je vous prenne à rebours ? Insiste lourdement l’Américain !
- En principe j’aime pas ça, ce n’est pas que votre biroute soit exceptionnelle, mais j’ai la sodomie douloureuse.
- Ah ! Ah !
- On va jouer alors ?
- D’accord, mais à quoi ?
- Je vais jouer à l’attaque !
- C’est cela, c’est cela ! Donne-moi plutôt ta bite que je continue à te sucer, je vais te pomper à fond, ça va te calmer !

gr322

Pearl reprend donc sa fellation. Steve n’en peut plus, il devient congestionné. Et soudain alors que je crus qu’il allait jouir, le voici qui se libère de l’étreinte buccale de ma femme, qu’il se lève, la contourne, pousse son collègue toujours occupé à faire une langue-au-cul, se met un préservatif à la vitesse de la lumière et entreprend de présenter sa bite à l’entrée de l’anus de Pearl en criant :

 

- A l’attaque ! A l’attaque !

Pearl ne se dégage pas, mais ne fait aucun effort pour l’aider, le laissant se débrouiller, il essaie de forcer, n’y arrive pas, finit par débander, c’est encore pire, et il est obligé de se masturber un petit peu pour redonner de la vigueur à son membre, il réattaque, toujours sans y arriver, redébande de nouveau, se remasturbe et finit par jouir dans la capote !

- Pas de bol dira-t-il en français et en lui-même car il connaissait les deux langues.

John lui baragouine quelque chose d’incompréhensible en américain, tout en mâchouillant son chewing-gum. Manifestement, il se moque de son collègue. A son tour il se revêt d’un préservatif et imitant Steve il se rue vers l’anus de mon épouse en criant :

- Moi ! Je vais vous prendre à rebours ! A l’attaque, à l’attaque !

On frise le ridicule. Contrairement à son acolyte, il parvient à pénétrer, mais juste le gland, il n’arrive pas à aller plus loin, et croyant s’être mal introduit, et alors que Pearl commence à faire des « Aie Aie Aie » de douleur, il fera l’erreur de se retirer pour essayer d’entrer de nouveau, en vain mais la situation l’ayant assez excité, il jouira lui aussi dans sa capote à un demi centimètre du trou de ma compagne.

Moralité : L’attaque de Pearl à rebours à été une vraie catastrophe pour les Américains !

(que ceux qui n’ont rien compris consultent un livre d’histoire et se renseignent de ce qui s’est passé le 7 décembre 1941)
Première publication sur Vassilia, le 17/03/2001

 

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 17 mars 2001 6 17 /03 /Mars /2001 06:48

Sombre Dimanche ? par Marine et Thibault

 

bisou1719

Hello ! C’est Marine (deux qui la tiennent… comment cela je me répète ?)

La neige tombe aujourd’hui en ce mois de janvier du nouveau millénaire sur la région parisienne. Les flocons arrogants n’auront même pas le loisir de vivre quelques jours, voire même quelques heures sur l’herbe d’hiver. Non il fait trop humide et nos jolis cristaux blancs ne chutent que vers un anéantissement aussi liquide que brutal. Et moi cela me remplit de tristesse, et en plus le ciel est gris, et en plus c’est dimanche. Et ce dimanche, concours de circonstance oblige, il n’y a personne pour me tenir compagnie ! Je n’ai pas envie de lire, ni de regarder la télé, ni de surfer, ni de me balader. Je n’ai même pas envie de me caresser. Mais ça, ça peut venir ! Pour l’instant ma libido est aussi grise que la météo. Les mecs ont de la chance, ils se tapent une petite vidéo, ou alors une petite revue coquine et aussitôt le popol se redresse, prêt à l’emploi. Pratique ! Non ! Très peu pour moi, je préfère la réalité ou alors le rêve, mais foutaise de ces images sur papier glacé ou pixélisées sur un écran plus ou moins cathodique ! Non ! Voilà j’ai trouvé, je vais tapoter sur mon petit clavier et je vais saisir dans un petit fichier un petit truc dans lequel je vais raconter ce qui se passe les autres week-end !

D’accord ? Alors ouvrez le banc !

– Faut-il que je me décrive ?
– Oui ! Répond l’autre branleur dans le fond qui est arrivé en retard !

Je ne suis certes pas Paméla Anderson, mais pas non plus un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi longs teint en blond, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne !

Je me prénomme Marine ! Oui, je sais, je l’ai déjà dit au début ! Comme prénom idiot c’est pas mal ! Mais dans la réalité, il sert peu. Certains ont un pseudo sur le web, moi c’est le contraire dans la vie j’ai un surnom et mon vrai prénom me sert de pseudo (suivez-vous au fait ?). J’ai d’ailleurs un gros fantasme avec mon prénom : C’est de tourner un film avec six ou sept gars habillés en marins (évidemment) qui me prendraient en gang bang. Et puis à la fin, on se tiendrait tous comme à la farandole en chantant :

– C’est nous, les gars de la Marine eu…

Bon, on cause, on cause, mais ça nous éloigne de notre sujet, tout ça ! Vous avez lu mes autres aventures. Et vous avez pu constater que je ne suis pas vraiment lesbienne car pour moi, rien ne vaut une bonne queue qui vous défonce par tous les trous. Mais je dois avouer que de temps en temps, quand je n’ai pas trop le moral et que mon Thibault de mari est en déplacement, j’aime bien inviter quelques copines pour me laisser aller à quelques dérives sexuelles. Cela arrive une ou deux fois par mois et le plus souvent ça se passe chez moi, un samedi ou un dimanche après-midi. Ca commence toujours par une séance de vidéo, où l’on s’échauffe en matant ces couples qui partouzent, puis ensuite on « s’habille ». Je veux dire par-là qu’on se montre nos dernières acquisitions en matière de lingerie sexy. On s’échange les trucs, on prend la pose devant la glace, on joue un peu les putes parce que ça nous excite. C’est Virginie, ma copine rousse aux seins énormes, qui entre la première dans le feu de l’action en demandant sans aucune pudeur :

– Laquelle d’entre vous à envie de se faire lécher ?

Comme elle le fait vraiment bien, elle n’a pas besoin de renouveler sa demande car on a toutes envie d’exploser sous sa langue. Je dois dire que j’ai de la chance car elle a une préférence très nette pour ma chatte impeccablement épilée. Virginie me fait allonger sur le canapé, jambes bien écartées, et après quelques petits coups de langue sur mes tétines, elle descend en direction de ma chatte qu’elle ouvre d’un autre coup de langue. Il n’en faut pas davantage pour qu’aussitôt tout mon corps se tende et qu’un cri s’échappe de mes lèvres.

– Ahhhhhhhhhhh !

Je soulève alors mes reins et sa langue s’enfonce davantage et me pénètre exactement comme une petite bite. Commence alors un travail savant qui m’amène très vite à mouiller. Bientôt, ma chambre résonne de bruits de langues, de gémissements et de petites phrases du genre :

– Aspire-moi le clito ! Inonde-moi bien avec ta salive !

Les orgasmes arrivent à la chaîne, mais moi je ne veux pas encore jouir… et cette salope de Virginie le sait bien Sa langue mouille lentement ma chatte qui s’ouvre à son maximum. Sans cesser de me lécher, elle me branle les seins, me presse les pointes qui n’en peuvent plus de durcir. C’en est trop, cette fois-ci je supplie :

 » Plus vite ! lèche-moi plus vite ! Je vais éclater !  »

Elle accélère sa langue et trois secondes plus tard, je hurle de plaisir. Ensuite, chaque bouche défile dans ma chatte jusqu’à ce que le n’en puisse plus.

La dernière fois, nous n’étions que trois, il y avait Prisca la belle antillaise aux fesses bien rebondies et puis bien entendu, Virginie. Ce jour là, elle a innové, j’étais sur le canapé les jambes écartées, et elle me léchait consciencieusement. Seulement j’avais une envie de pisser plutôt grave, je le lui dis :

– Arrête-toi ! Il faut que j’aille faire pipi !
– Pas question ! Me répondit-elle.
– Non ne déconne pas, Virginie ! J’ai trop envie, je risque de te pisser dessus !
– Mais, Marine ça ne me dérange pas du tout ! Au contraire, tu le sais bien ! Me répondit-elle
– T’est vraiment une petite salope, ma chérie ?
– Oui, ma chérie !

Alors je me lâche, et je libère mon jet d’urine qui atterrit tout droit dans le gosier de Virginie. Cette cochonne absorbe tout ce qu’elle peut et s’en pourlèche les babines. Mais j’en fait vraiment beaucoup ! Alors Prisca ma copine antillaise, qui observait la scène prend une carafe que j’avais préparé pour le thé et me la présente de façon à ce que je finisse de faire dedans…

Mais je sens comme une autre envie, un peu plus consistante…

– Je ferais bien un petit caca, ça intéresse quelqu’un ?
– Moi, moi ! Répondit Virgine.
– Alors en position !

J’ai fais ma petit crotte sur le visage de Virginie qui se marrait comme une bossue, J’ai ramassé l’étron et je l’ai léché un peu le trouvant très bon, les deux copines l’ont léché aussi, puis je l’ai jeté dans la carafe qui contenait déjà mon pipi.

 

Greta Heidi Inga31

Mais ne croyez par que les choses s’arrêtent là ! Je vais prendre dans une cachette secrète ma collection de godes et là, commence une partouze d’enfer, qui s’est terminée une demi-heure plus tard autour d’une tasse de thé avec des petits gâteaux que nous avions bien mérité ! Sauf que ce jour là, le thé avait une saveur et une couleur bien particulière !

 

Fin

Exercice de contrôle : L’auteur a-t-il mouillé sa petite culotte en écrivant ce texte ? Si oui racontez cette péripétie en quelques lignes et envoyez tout cela à mt_devillers@hotmail.fr

Marine et Thibault – Janvier 2001

 
Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • 0anal05
  • chanette15a
  • Sylvie
  • Annabelle03
  • canis
  • cochon gris

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés