Dimanche 19 août 2001 7 19 /08 /Août /2001 09:35

Nos sorties le vendredi soir...

Par Fantasy (Couple coquin… un peu exhibitionniste)

stamp5

 

Nous sommes mariés depuis plus de 10 ans et avons tous les deux développés une complicité assez prononcée sur tous les sujets, mais aujourd'hui je vais vous parler de notre complicité sexuelle comme votre site s'y prête bien.

 

Tout d'abord, je dois vous préciser que nous habitions Québec et maintenant déménagés aux USA... Elle a 36 ans et j'en ai 34, elle est très jolie, elle fait 5' 5, 128 livres, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 36 c, elle a un style espagnol, moi, 5' 10, blond, yeux bleus, 150 livres, sexe de 7 3/4. Tous les deux nous sommes adeptes de l'épilation...

 

Traduction en mesures métriques par le webmaster : elle fait 1,65, 58 kg, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 90 C, elle a un style espagnol, moi, 1,78, blond, yeux bleus, 68 kg, sexe de 19,5.)

 

J'aime sortir ma femme tous les vendredis soirs, je l'amène dans les restaurants de la ville, toujours de nouvelles places, rarement le même, j'aime qu'elle soit vêtue sexy, robe, jupe, cat suit... J'aime la voir s'habiller sexy et j'aime que les gens se retournent sur son passage.

 

Alors maintenant je vais vous raconter comment vendredi dernier j'avais prévu la soirée, nous avions au préalable réservé une table pour 20 heures, j'avais fait des achats via Internet et j'ai reçu le tout trois jours avant ce vendredi. J'avais commandé une robe noire un peu transparente, un long décolleté s'attachant sur le devant avec une sorte de lacet. Une fois enfilée, ma femme pouvait faire elle-même l'ajustement du lacet, soit le serrer complètement ou soit le laisser lousse pour que l'on puisse voir une bonne partie de son cou jusqu'à son nombril et la courbure de ses seins. Après qu'elle eut revêtu cette robe, on pouvait voir ses seins par la transparence du tissu étiré. Pour ce qui est de la longueur du bas, elle mesurait environ 35 cm et on pouvait facilement voir ses belles jambes...

 

J'aime quand ma femme sort sans culotte et de plus avec cette robe avec le devant en lacet il est pratiquement impossible de mettre de soutien-gorge... alors c'est comme ça que nous sommes sortis ce vendredi, j'aime utiliser les services d'un taxi, ça évite de chercher un stationnement et ça nous permet de prendre quelques verres en toute sécurité. Il n'est pas rare de revoir le même chauffeur pour le trajet, même que des fois il nous demande s'il peut venir nous reprendre après notre soirée, ils nous laissent leur numéro de téléphone pour les contacter directement sans passer par l'agence... Quelques fois nous le rappelons et d'autres fois nous préférons appeler une autre compagnie de taxi...

 

Cela dit, nous embarquons dans la voiture et le chauffeur ne manque jamais de regarder bien où il le faut... Il peut apercevoir ses seins ou bien sa chatte épilée... J'entre à mon tour deux ou trois secondes derrière elle et je prends place, je donne l'adresse et le nom de l'établissement où nous désirons aller, et on part...

 

Tout le long du trajet, j'en profite pour glisser ma main entre les cuisses de ma femme, celle-ci ouvre immédiatement les jambes pour me faciliter l'accès à sa belle fente... J'aime bien la masturber tout le long du trajet... Elle devient toute humide et chaude comme j'aime...

 

Une fois arrivés au restaurant, je paye le type, je sors et elle sort, mais souvent sa robe est remontée et le type a une superbe vue, elle sait que cela m'excite alors elle prend son temps pour bien lui montrer ses parties intimes... Nous entrons dans le restaurant et on nous place à l'endroit réservé, souvent près de la rue, devant la terrasse, sur le bord des vitrines, un premier serveur nous apporte l'eau et le cendrier, ensuite un autre prend notre commande de boisson. Sans montrer que ma femme lui fait de l'effet, il la regarde discrètement sans montrer qu'elle l'excite... Il part quelques instants et revient avec nos consommations, nous trinquons quelques verres, question de détendre l'atmosphère et oublier le stress de la semaine...

 

Quand ma femme a quelques verres de pris, elle devient un peu plus exhibitionniste et fait volontairement de la provocation. Sous la table, je joue du pied et j'arrive toujours à sa chatte humide, j'aime l'exciter là et savoir que peut-être que quelqu'un a remarqué notre manège. Après quelques consommations, l'envie inévitable de se rendre aux toilettes se fait sentir. Elle part quelques minutes et revient. Quand elle n'est pas là, j'en profite pour tirer sur la nappe de mon côté, déplacer sa chaise pour offrir plus de visions aux autres hommes dans la place. Elle revient, s'assied et nous recommençons à parler de tout et de rien... de sexe devrais-je dire...

 

Le serveur vient plusieurs fois vider notre cendrier, remplir nos verres et je sais qu'il a une très bonne vue sur les attributs de ma femme... J'ai remarqué quelques clients qui observent discrètement les moindres gestes de ma femme... et ils en sont ravis aussi... Après un certain temps, je demande à ma femme de défaire le lacet de sa robe, ce qui laisse apparaître presque complètement ses seins... Je lui demande aussi d'écarquiller ses jambes aussi, le serveur revient et il voit tout, il est dans tous ses états et je lui demande son opinion, il répond :

 

- Sur quoi ?

- Ma femme me dit qu'elle aimerait avoir de plus petits seins, qu'en pensez-vous ?

 

Il répond tout rouge

 

- Hé hé, hé, bien moi je les trouve bien comme ça.

 

Ma femme de répondre,

 

- Vous ne les trouvez pas un peu gros, ils ne se tiennent pas tout seul, regardez, même mon lacet ne suffit pas à les retenir..., joignant le geste à la parole... Pensez-vous que je devrais rattacher mes lacets ?

 

Le serveur lui répond,

 

- Damme, soyez à l'aise, faîtes comme bon vous semble, mais moi je les trouve très bien comme ça...

 

Ensuite il part... rouge... intimidé...

 

Nous parlons de ça entre nous et je sais que ma femme a très envie de moi, je lui demande alors d'insérer ses doigts dans sa fente humide et ensuite de me les donner à lécher... Ce qu'elle fait sans trop porter attention aux autres clients, j'adore goûter à son miel d'amour et m'en délecter...

 

Je lui demande aussi de se masturber aussi discrètement, ce qu'elle fait sans se faire prier... Le serveur revient et cette fois avec les menus, nous choisissons nos plats et ma femme lui demande ce que contient l'assiette. Le gars se penche un peu pour lire les ingrédients et lui expliquer. En même temps, je pousse un peu la chaise pour qu'il puisse aussi avoir une bonne vue sur sa chatte épilée... Le gars ne regarde plus que ses seins et sa chatte humide, mais il semble plus à l'aise que tout à l'heure... Il ne se gêne pas pour détailler sa chatte. Ma femme, audacieuse, prend plaisir et ose se passer un doigt dans sa fente sous ses yeux, le gars me regarde et me dit qu'on doit être de super vicieux et que, s'il n'était pas en train de travailler, il aimerait bien nous accompagner... Bref, il aime ce qu'il voit et adore notre jeu, sans savoir si c'est un jeu... ou simplement de la provoc.

 

Les commandes sont prises et le serveur s'en va, ma femme retourne aux toilettes et elle a un sein complètement hors de sa robe, pris dans la corde je dirais. Plusieurs hommes ne se privent pas du spectacle. Aux toilettes, elle se masturbe frénétiquement et puis en ressort quelques instants après, elle a réajusté son sein dans sa robe... Je sens tous les regards sur elle maintenant...

 

Nos plats arrivent, nous commençons à manger. Dans le plat de ma femme il y a un petit mot disant, Je termine vers 2 heures du mat et un numéro de téléphone... Dans son assiette, il y a cinq ou six petites patates, je lui demande de s'en insérer trois dans le vagin, elle s'exécute... Elle les garde là jusqu'à temps que je lui dise la suite...

 

Nous terminons notre repas et quittons le restaurant, nous marchons un peu et allons dans un petit bar, nous choisissons une place au bar, assis sur de hauts tabourets... Là, discrètement, je demande à ma femme de retirer les petites patates, mais elles ne sont plus rondes mais plutôt comme de la purée. Elle va aux toilettes et les expulse... J'aurais bien voulu les manger, mais rondes, pas en purée...

 

Nous commandons un verre, des gars nous regardent... Je demande à ma femme si elle veut jouer au billard, elle accepte, vous savez toutes les positions qu'elle a pu prendre pour jouer, jambes écartées, semi-couchée sur la table, le cul bien en évidence. On voit les gars essayer de ne rien perdre... On se fait payer des tournées...

 

Il commence à se faire tard et on quitte, on appelle le taxi, le même, il arrive dix ou quinze minutes après et nous demande si on retourne à la maison, je lui réponds,

 

- C'est sûr, mais on va probablement s'arrêter en chemin...

 

Ok, on démarre et, à un moment donné, ma femme demande d'arrêter en bordure de la route pour un petit pipi. Le gars arrête... Elle sort et s'accroupit... Je sors immédiatement moi aussi et, lorsqu'elle a terminé son pipi, je me baisse pour la lécher et bien l'essuyer de ma langue. Le chauffeur est tout excité de voir ce spectacle et ne manque pas une miette du spectacle...

 

Je ferme la porte de derrière et j'appuie ma femme de dos à celle-ci. Je lui relève la robe et je me place à sa gauche pour laisser le chauffeur bien voir ce que je lui fais. Je commence à la masturber un peu, enfonçant un, deux, trois doigts en elle, je fais plusieurs allers en elle, je la pénètre bien, son souffle s'accélère... Maintenant qu'elle est bien dilatée et surtout très mouillée, j'enfonce complètement ma main en elle, je la fiste un bon moment, elle se tortille.

 

Des voitures passent près de nous, mais ne semblent rien voir du spectacle. Ma femme est très excitée par le passage fréquent des voitures et par la présence du chauffeur. A son tour il débarque de la voiture et se positionne devant elle à environ deux mètres, elle ouvre les yeux et elle l'aperçoit, elle atteint un orgasme fulgurant, et elle en redemande.

 

Le chauffeur a dézippé son pantalon et sort sa queue qu'il commence à masturber. Je prends dans une de mes poches un préservatif et le place dans la poche de ma chemise. J'enlève à mon tour mon pantalon et entreprends maintenant de la pénétrer. Je me sens lousse après le passage de ma main. J'ouvre la porte de la voiture et je m'assois. Je fais asseoir ma femme sur moi et pénètre facilement sa chatte, elle est assise sur moi bien ouverte faisant face au chauffeur. Je fais signe au chauffeur de s'approcher un peu plus pour qu'il puisse bien admirer les mouvements de sa chatte. Il est bandé au max, il continue de se masturber. Je jette à l'occasion des regards à son membre un peu plus gros que le mien, je fouille dans ma poche pour prendre le préservatif et je fais signe au chauffeur de le prendre, le chauffeur ne se fait pas prier et l'enfile lui-même. J'attire ma femme plus contre moi, offrant une meilleure vue de la chatte de ma femme, de mes deux mains, je l'écarquille pour laisser comprendre au chauffeur de venir en elle aussi. Il s'approche, il se tient avec une main sur le toit de la voiture et de l'autre main dirige son membre en elle, je le sens bien et ma femme est surprise de le voir si près et elle réalise qu'il est en elle. Elle voudrait protester mais le plaisir lui fait perdre toute inhibition...

 

Le chauffeur est bien en elle et je sens bien son membre caresser le mien, il s'accélère, ma femme commence à gémir comme jamais je ne l'avais entendu. Après quelques minutes j'éjacule en elle, elle crie, je laisse terminer le gars, il remplit le préservatif en un long râle de jouissance...

 

Il se retire, je me retire, ma femme toujours sur moi essaye de reprendre un peu ses esprits. Je demande au chauffeur s'il a aimé, oui de répondre, il a très bien aimé. Je lui demande de me détailler sa chatte, parce que je suis toujours derrière elle. Il me dit :

 

- Très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d'un rouge vif...

 

Je lui demande s'il aime lécher le sexe d'une femme. Il répond "Oui"... Alors je lui demande de bien la lécher. Il hésite, probablement à cause de la grande coulée de sperme...

 

Ma femme me demande d'attendre un peu, qu'elle a probablement la chatte en feu et une petite pause est bien méritée. En disant cela, le chauffeur plonge sa tête entre les deux cuisses bien ouvertes de ma femme et commence à la lécher. Elle sursaute, elle croyait sans doute que le chauffeur allait attendre un peu, mais non... Il la lèche habilement, pénètre sa langue bien profondément en elle. Elle bouge, se tortille, je suis toujours sous elle... Elle bouge tellement qu'elle m'écrase sans le vouloir.

 

Je la tasse sur le côté et sort de la voiture, je regarde l'homme s'exécuter... Je suis tout excité. Après quelques autres coups de langue, elle jouit encore... Elle demande grâce...

kp rosetta26

 

Nous prenons une pose et parlons avec le chauffeur, les voitures n'arrêtent pas de passer... On décide de tous reprendre nos places et de repartir. Je propose au chauffeur de prendre un dernier verre dans un petit bar sur la plage, ma femme est crevée et voudrait plutôt rentrer se reposer. Mais on vote, deux contre un, et on va au bar. Il n y a que deux autres clients qui sont prêts à partir. Nous venons juste de nous asseoir au bar sur des tabourets tournants quand le serveur dit : "C'est le last call", alors on commande doubles consommations.

 

Je me dirige vers les toilettes, il y a une distributrice à brosse à dents et préservatif, j'en achète deux. Je reviens et je m'assois, ma femme est entre nous deux. Je fais signe au chauffeur que j'ai quelque chose pour lui dans ma main, il tend sa main et je lui donne le préservatif.

 

Nous commençons à discuter de tout ce qui vient de se passer, comment ma femme était mouillée, comment elle a joui... Le serveur est à nettoyer mais il écoute attentivement notre conversation... Ma femme me dit qu'elle va aux toilettes, je lui demande

 

- Est-ce pour te masturber... .

 

Le serveur répond

 

- Pas besoin d'aller vous masturber seule dans les toilettes, elle pouvait le faire ici...

 

Elle de répondre

 

- Non, c'est pas pour ça, j'ai envie de pipi... .

 

J'attrape un verre et lui dis qu'elle peut le faire dans le verre ici, le serveur de répondre,

 

- Et bien oui, j'en ai plein d'autres s'il en manque...

 

Ma femme est gênée et se rassoit... Le serveur nous dit qu'elle est désirable et excitante. A ces mots, je relève la robe de ma femme et approche un verre de sa chatte. Le serveur est dans tous ses états de voir sa chatte épilée et toute rouge... Je positionne le verre à l'entrée de son vagin mais elle est incapable de pisser... Probablement la gêne...

 

Je commence à lui glisser trois doigts dans la chatte et le chauffeur commence à lui pétrir les seins... Le serveur nous dit de ne pas se gêner... Je relève complètement la robe de ma femme et le chauffeur m'aide à la passer par-dessus sa tête. Elle est complètement nue à l'exception de ses bas et talons hauts. Je la prends dans mes bras et l'assieds sur le comptoir. Je commence à la manger, le serveur commence à lui pétrir les seins, le chauffeur se défait de son pantalon, commence à se masturber, enfile le préservatif. Je lui fais signe de s'asseoir sur le tabouret. Je déplace ma femme et hop ! Je l'embarque sur le chauffeur, son sexe est en elle complètement.

 

Le serveur se défait à son tour de son pantalon et me demande si elle suce. Je lui dis que non... Je lui présente le deuxième préservatif que j'avais acheté dans les WC. Il me regarde et puis l'enfile.

 

Après quelques minutes je demande au chauffeur de faire place au serveur. Il a une belle queue, mais plus petite que les nôtres. Il s'approche de ma femme qui est maintenant assise sur le tabouret. Il se pointe devant elle, elle a les jambes écartées et les pose sur le comptoir, comme pour lui dire qu'il ne pourra pas lui échapper... Il entreprend ses va-et-vient et, au bout de sept ou huit minutes, il remplit le préservatif en un long râle...

 

Il se retire, ma femme me regarde et me dit que sa chatte est en feu... Je demande au chauffeur s'il aime enculer, "Oui", qu'il répond. La même question au serveur, même réponse. Ma femme prend la parole et dit :

 

- Ok, vous aimez enculer, ben vous aller enculer mon mari sous mes yeux.

 

Les gars se regardent, hésitent. Elle reprend : Si vous ne voulez pas, on arrête tout tout de suite...

 

Elle vient retirer mon pantalon et commence à me lécher l'anus. Elle me lubrifie et commence à glisser ses doigts en moi et ensuite elle prend le serveur par la queue et le dirige dans mon trou. Il commence sa pénétration, j'ai un peu mal, mais j'encaisse, ma femme est sous moi léchant mon sexe et les couilles du serveur... Il jouit et se retire.

 

Maintenant au tour du chauffeur de me pénétrer, il est plus gros, mais je le prends tout... Il s'active de plus en plus vite, je jouis tellement c'est bon... Il jouit à son tour et se retire, ma femme vient derrière moi et commence à glisser ses doigts en moi, ensuite la main entière... Dieu que c'est bon, j'en redemande... Après quelques minutes de ce sport, je ne supporte plus cette main en moi et me dérobe...

 

Je prends mon souffle, je suis assis sur le tabouret, ma femme vient s'empaler sur moi et demande aux deux autres de se tenir de chaque côté, elle leur tend chacun une jambe et demande de la soulever à la hauteur de mon visage pour que je lui lèche le vagin. Je commence à lui lécher quand soudain elle m'expédie un gros jet d'urine en plein visage. Les gars aiment ça et l'encourage à continuer. C'est ce qu'elle fait, elle m'arrose et ça ne semble pas terminer tellement elle a envie. J'en ai plein la bouche, les cheveux, ma chemise est toute mouillée...

 

Quand elle a terminé, elle me regarde et me demande de la baiser encore une dernière fois mais dans ses fesses, je m'exécute, je jouis en elle. Elle a du sperme qui lui coule de ses fesses, elle insert un doigt dans ses fesses et le donne au chauffeur pour qu'il le suce, ensuite au serveur. Après elle me dit,

 

- A toi de nettoyer le reste.

 

J'ai dû lui lécher l'anus jusqu'à ce qu'elle soit contente de mon nettoyage...

 

Il est 4 h 30 du matin, le chauffeur nous propose de nous ramener... Le serveur ne nous a même pas fait payer nos consommations et nous demande de revenir une autre fois...

 

Nous débarquons à la maison fatigués et allons dormir... toute une soirée, et nous nous sommes promis de recommencer vendredi prochain le 17 décembre...

 

Si d'autres lecteurs aimeraient correspondre avec nous ou si vous passez en Floride pour vos vacances, écrivez-nous sur notre E-mail :

 

Fantasy

 

Première publication sur Vassilia, le 19/08/2001

Par Fantasy - Publié dans : Années 1990
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 17:59

L’anniversaire de Magalie par Alexis Defond-Rossignol
(variation sur un texte anonyme)

scat
Ce texte contient des passages scatos explicites

thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, engodage masculin, feuille de rose, party, prostitution, scato, sodomie féminine, sodomie masculine, spermophilie, uro

Magalie avait 20 ans aujourd’hui. Ou peut-être plus, puisque ls femmes aiment tellement mentir sur leur âge. Elle était très jolie et bien faite. Tout ce qu’il faut là où il le faut.

A vrai dire, elle me plaisait beaucoup. On se connaissait depuis longtemps maintenant mais nous n’avions qu’une relation d’amitié. Elle vivait depuis peu dans son appart’ avec un jeune con arrogant.

Ce jour-là, elle me téléphona sur mon portable pour m’inviter à son anniversaire qui avait lieu le soir même chez elle. Je devais faire vite pour trouver un cadeau digne de ce nom, car l’heure du rendez-vous approchait. J’avais trouvé l’idée : un tee-shirt sur lequel on pouvait lire : Sea Sex and Sex

C’est vrai que Magalie était très portée sur la question et collectionnait les amants. L’année précédente, elle avait réussi à coucher avec les 10 mecs de la promo.

Il était huit heures, l’heure du rendez-vous avait sonné. J’arrivai à la porte de l’appart’ et elle m’ouvrit la porte en m’embrassant sur la bouche. J’étais agréablement surpris.

Elle avait invité Caro et Nathalie, deux copines que je ne connaissais pas encore. Après un apéritif bien arrosé, elle se décida enfin à ouvrir ses cadeaux.

Le premier fut une bague de très mauvais goût de son copain. Le deuxième, un stylo offert par Caro. Le troisième, un livre sur le Kâma-Sûtra. Et enfin, elle ouvrit mon paquet : un sourire se lit sur son visage quand tout d’un coup elle enleva son chemisier pour le remplacer par son nouveau Tee-shirt.

Pendant un court instant, elle me donna l’occasion d’admirer ses jolis seins car elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était digne des filles qui tournent dans les films pornos.

Son copain avait l’air énervé et, l’alcool aidant, lui fît remarquer qu’elle n’avait pas à se déshabiller de la sorte devant tout le monde. Cela était de trop pour Magalie qui lui retourna une gifle monumentale en le priant de sortir de chez elle. L’air penaud et humilié, le malappris s’exécuta.

La soirée commençait très mal. On voyait bien sur le visage de Magalie que le fait de se retrouver sans son copain du moment le soir de son anniversaire l’agaçait beaucoup.

On passa donc à table, où un festin nous attendait. C’est à ce moment que je réalisais que j’étais le seul mâle du groupe. D’un ton blagueur, je leur dis :

– Je ne sais pas si je peux rester, je risque de me faire violer.

Ni une ni deux, Magalie, Caro et Nathalie me lancèrent un regard qui en disait long sur leurs intentions.

– Pourquoi tu aimerais ça ?

La soirée ne se déroulait pas du tout comme je l’imaginais et je rétorquai

– Oh oui, ça serait intéressant. On commence quand ?

Caro n’hésita pas et me dit :

– Mais tout de suite, viens avec moi, tu vas connaître ce que le mot baiser veut dire ou plutôt être baisé.

Je la suivis et on se retrouva tous les deux dans la petite chambre de Magalie. Là elle me dit

– Déshabille-toi, enlève ton pull et ta chemise et allonges toi sur le lit.

Elle s’absenta quelques minutes puis m’ordonna de fermer les yeux. Cette sensation de soumission m’excitait énormément et une bosse se formait sous mon pantalon. Elle caressait mon sexe à travers le tissu puis, d’un coup, elle attrapa une corde qu’elle avait cachée dans son dos. Elle me lia les poignets aux barreaux du lit. Elle prit son foulard qui entourait sa poitrine et me banda les yeux. Sa dernière phrase fut :

– Maintenant que tu ne peux ni bouger ni voir, tu es à moi pour un moment.

Elle repartit quelques instants et, après ce qui me parut une éternité, revint sans dire un mot. Elle caressait mon corps et s’arrêta sur l’objet de son désir. Mon sexe devenait de plus en plus dur. Elle descendit ma braguette et ôta le bouton du pantalon. En un instant je me retrouvai en slip. Pas longtemps…

Elle me l’arracha puis accentua ses caresses. J’étais nu. C’était une sensation bizarre, longtemps j’avais rêvé d’être soumis mais ce soir, la réalité dépassait la fiction.

Elle continua ses caresses puis d’un coup sec elle commença à lécher mon sexe qui se raidissait de plus en plus. Elle le prit en bouche et commença à faire des mouvements réguliers de bas en haut, de gauche à droite, dans tous les sens. Je criai de bonheur. J’entendais dans la pièce d’à côté les filles rigoler.

Tantôt mon sexe, tantôt mes couilles se retrouvaient dans sa bouche. Elle accéléra le mouvement, reprit mon pénis en bouche. La seule chose qui l’intéressait c’était ma jouissance.

Je n’en pouvais plus…

– Je vais jouir, je vais jouir, oh oui encore…

J’explosai dans sa bouche et elle avala tout. Elle continua de lécher les dernières gouttes qui s’échappaient encore puis, m’embrassa dans la foulée. Sa salive mélangée à mon sperme, quel pied !

A ce moment je ne bandais plus, mais je savais que ce ne serait que de courte durée.

C’est à ce moment que je demandai à Caro de bien vouloir m’enlever son foulard, ce qu’elle fit de suite. Ce n’était pas Caro qui m’avait sucé de la sorte mais Magalie. Elle avait le sourire et n’attendait qu’une seule chose, recommencer.

Allongé sur le lit, je distinguais péniblement ce qui se passait au fond de la pièce, elle n’était pas seule, Caro et Nathalie étaient là, excitées comme nous deux par ce début de soirée. Elles étaient d’ailleurs prêtes toutes les trois à passer à l’attaque car elles étaient nues et se masturbaient mutuellement et se léchaient les seins.

     Rien qu’en apercevant ce spectacle je me remis à bander encore plus fort. Caro, experte en soirées coquines, me dit :

– Tu as intérêt à assurer car tu vas être notre objet sexuel à toutes les trois !

J’étais allongé sur le ventre et Caro s’accroupit sur mon visage et me dit :

– Lèche, lèche, lèche tout !

Je commençai un cunnilingus. Je léchai sa petite chatte toute trempée que je me délectai à sucer de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’aspirai tout. Tout en continuant mon affaire Nathalie, en manque de sensations fortes, m’enfila sur mon sexe bandé un préservatif et vint s’empaler d’elle-même sur mon sexe encore chaud.

Elle dirigeait les opérations mais je la pénétrai sans difficulté. Comme dans du beurre !

Mon cunnilingus devait faire plaisir à Caro car elle mouillait et mon visage en était maculé.

Dans mes souvenirs, elles ont joui toutes les deux ensembles. Actif pour l’une, passif pour l’autre, je subissais les assauts réguliers de ma cavalière. Nathalie se servait de mon sexe comme d’un gode qu’elle employait à enfoncer dans sa chatte.

Je n’en pouvais plus. J’étais mort de fatigue. Caro remit le foulard sur mes yeux en m’ordonnant de me reposer car la soirée ne faisait que commencer. Je devais être en forme pour le reste de la nuit. Le temps passait et elles n’étaient toujours pas de retour… Que se passait il donc à côté ?

J’avais soif et leur ordonnai au moins de me donner quelque chose à boire. Caro prit la parole :

– Ah bon, tu as soif ? Eh bien bois !

Elle se mit à quatre pattes et urina sur mon visage. J’avalai toute cette bonne pisse avec gourmandise, et cette action me fit bander instantanément.

– Si tu aimes ma pisse, tu devrais aimer ma merde !

Et sans me laisser le temps de répondre elle me fit lécher son anus, il sentait un peu fort mais ça ne me dérangeait pas. Son petit trou commença à s’ouvrir sous l’effet de ma langue. Elle poussa mais rien ne sortit.

– Tu ne perds rien pour attendre, tout à l’heure je te chierais dessus !

Magalie reprit la parole.

– Je vois que tu es en forme, alors tu vas nous prendre toutes les trois, l’une après l’autre !

L’une après l’autre, cloué au lit je m’exécutai pendant qu'elles venaient se faire enculer. J’étais leur jouet et cela me plaisait. J’adore être soumis. Après six pénétrations, je n’en pus vraiment plus et j’indiquai que ma queue me faisait souffrir. Mon sexe était gros et rouge. Il me faisait mal. Elles me détachèrent et je pus à nouveau bouger. Mais là Nathalie m’informa :

– Tu as le choix : soit de rester soit de continuer la soirée avec nous !

Je décidais de rester et, dans la minute qui suivit, je me retrouvai attaché sur le ventre, pieds et poings liés. Là, des voix s’élevèrent :

– Tu nous a bien enculées, à notre tour !

Elles dissimulaient sous le lit un gode qu’elles essayaient de faire entrer dans mon anus. Elles avaient beaucoup de mal, c’est pourquoi, tour à tour, elles me glissèrent trois doigts dans mon cul qui là se retrouvait bien dilaté.

A chaque fois elle me donnait le gode à nettoyer et je léchais ma merde.

En écartant mes cuisses elles glissèrent l’objet qui trouva sa direction en une seconde. Quel plaisir ! Quelle sensation ! J’en redemandais.

Je rebandais à nouveau et je réclamais une fellation. Elles voulaient encore une fois s’amuser et acceptèrent. Là, une voix inconnue apparût. J’appris ensuite que c’était le gardien de l’immeuble, un type approchant la soixantaine qui payait parfois les filles pour participer à leurs délires sexuels.

Magalie me détacha et me demanda de sucer la bite du gardien. Celui-ci baissa son pantalon et son caleçon et j’exécutais. Ce n’était pas ma première bite et je me régalais du contact de ce membre à la texture si douce, son gland sentait un peu la vielle pisse mais cela ne me dérangeait pas.

. baglick Au bout de cinq minutes, les filles me demandèrent de me mettre en levrette afin que le gardien m’encule. Il savait y faire et me pénétra sans violence me provoquant des sensations de plaisirs inouïes. Et pendant qu’il me pénétrait, Magalie passée sous moi s’amusait à me gober les couilles.

Le gardien prêt à éjaculer sortit sa queue de mon anus, se décapota et me la présenta à la bouche. Il éjacula dans ma bouche puis me roula une pelle.

En reprenant mes esprits, je vis le gardien se rhabiller, puis quitter l’appartement non sans avoir glissé un petit billet dans la main de Magalie.

Dans le fond de la pièce Caro et Nathalie entamait un 69 qui se termina par leur jouissance commune..

Magalie me demanda de me coucher par terre.

– Caro t’avais promis un cadeau, mais je peux t’en faire un aussi !  »

Le boudin qui sort de son cul est magnifique, Nathalie en attrape un morceau et se met à le lécher vicieusement tout en offrant l’autre extrémité à Caro. Magalie a fini de se vider, j’ai sa merde sur mon visage, je ne peux plus bander, trop crevé.

Je sers tout de même de papier à cul à Magalie, et elle me roule un patin, un patin merdeux.

Ça m’a fait plaisir, j’adore les bisous baveux.

Quelle soirée, mes amis, quelle soirée.

 

Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 13:43

Véronique a renversé le thé

par Bougetoi

 

Gode stamp

 

Véronique a renversé le thé


Mon nom est Sylvain et je souhaite que la petite histoire que voilà va vous faire autant de bien qu’à moi… 


Ce soir-là je me trouve chez des amis (Véronique et Patrick). Nous avons dîné tous les trois autour d'un barbecue, et après le dessert Véronique me propose un café. Sans vouloir être difficile je lui demande si elle ne peut pas me faire un thé à la place. Pour elle pas de problème. Véronique part à la cuisine et avec Patrick nous continuons de discuter de tous et de rien.


De retour de la cuisine Véronique me sert mon thé et en servant le café de Patrick elle reverse ma tasse. Même ayant bu quelques verres de vin je me lève brusquement et le thé finit sur mes jambes. La chaleur étant intense je pose mon pantalon sans même réfléchir à la situation dans laquelle je me mets. Véronique s’empresse de m’essuyer les jambes avec une serviette, c’est alors que l’on entend Patrick éclater de rire devant le comique de ma tenue et de la réaction de sa copine. Je regarde à nouveau Véronique et on part tous les trois dans un immense fou rire. Je fais le con en caleçon, quand Patrick très sérieusement me propose de passer la robe que porte Véronique car il a toujours rêver de me voir en femme.


Ni une ni deux j’accepte, de toute façon le ridicule ne tue pas. Véro retire sa jupe et je la mets. Je fais un peu la personne efféminée pour les faire rire. Véro me prend par la main me fait entrer à l'intérieur et me guide vers sa chambre. Elle sort de ses affaires une paire de porte jarretelles, un soutien-gorge et un petit haut de corps bien moulant..


- Passe tout ça et je vais te maquiller ! Me dit-elle


Je me mets nu et revêts ses affaires.


Elle revient vite de la salle de bain avec le nécessaire pour me grimer. 10 minutes plus tard je fais mon apparition devant Patrick de nouveau mort de rire. Il se lève et s’approche de moi, et passant son bras derrière mon cou :


xtcznedj.jpg- Vous habitez toujours chez vos parents, belle enfant ? Se gausse-t-il 

- Oh non ! Je peux rentrer très tard si je veux. - - Très bien. 


Je commence déjà à moins rigoler quand je sens sa main descendre sur mes fesses. Véronique s’est assise devant nous et tient ses jambes repliées sur elle. Patrick continue son numéro de charme et je ne sais pourquoi je rentre dans son jeu.


- Je vous aime. Sylvain

- Moi aussi grand fou ! Répondis-je


Et aussitôt il m’embrasse, sa langue pénètre ma bouche et je le laisse faire et même je l’accompagne. Ses mains se baladent sur mon corps et il commence à défaire ce que je porte. Je me retrouve vite nu et je bande. Patrick enlève ses vêtements et il est dans le même état que moi. Il passe dans mon dos et je sens son sexe contre mes fesses. Il prend ma tête dans ses mains et la dirige vers Véronique. Elle me sourit et écarte doucement les cuisses. Je comprends vite pourquoi elle était dans cette position. Entre ses cuisses je ne vois pas sa chatte mais une ceinture supportant un gode énorme. Elle se lève et se colle contre moi. Elle m’embrasse à son tour. Patrick me manipule sans problème et il m’allonge sur le dos sur la table : position gynécologie.


Véronique tient son "sexe" à la main et le dirige contre mon anus. Elle tend la main vers une feuille de salade qui traîne sur la table et la frotte contre. L’huile se dépose sur moi et son ‘sexe’ me pénètre. Une sensation nouvelle m’envahit, une très agréable sensation. Elle se penche complètement sur moi. Sa poitrine chaude touche mon corps et je prends ses seins dans mes mains. Patrick derrière elle la prend en levrette et commence de petits mouvements. Véro reprend alors les siens et les voilà tous deux en action. La position ne change pas jusqu’au moment où Véro s’affale sur moi dans en râlant son plaisir. Patrick donne alors encore de plus grands coups pour que son bonheur soit immense.


Elle se retire de moi, je sens alors un grand vide, mais Patrick prend alors sa place. Ses gestes sont moins tendres que ceux de Véro mais je l’encourage d’aller plus vite pour me faire jouir. Je porte ma main sur mon sexe pour me masturber mais Véro me la saisit et me fais non de la tête. Patrick accélère et joui dans mon corps, je sens son sperme pénétrer mes entrailles. Je veux bouger mais Véro prend aussitôt sa place et lui tient mes mains. Elle me sodomise plus de 10 minutes avant que mon sperme jaillisse de mon gland. Je cris tellement mon plaisir est grand. C’est la première fois que je jouis grâce à mon cul. Et c’est bon. On passa toute la nuit ensemble. Ils jouirent tour à tour de mon cul et de ma bouche et moi des leurs et depuis quand on se revoit, je ne peux que repenser à cette soirée.


Bougetoi 


(titre original : Le Thé Oh) Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001 (préalablement publié sur SophieXXX)   Légèrement révisé en 2024

 

Par Bougetoi - Publié dans : Années 1990
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 2 août 2001 4 02 /08 /Août /2001 18:45

 Maria Isabel par Dumigron

 

StampCravate

 

 

Dumigron et Maria Isabel

Le mec est à côté de moi dans le train, il pue, il ne doit changer de slip que le dimanche ! Mais il est habillé très classe ! Le genre bien propre au dehors et crado sur lui, j’ai une pensée bizarre pour son sexe que j’imagine crade et plein de fromage ! Il a un sac en plastique à ses côtés. Il pique un léger roupillon et ce connard se met à ronfler en faisant un raffut du diable. Le train s’arrête soudain, il roupille toujours. Et puis il se réveille brusquement, se lève comme un diable surgirait d’une boite à surprise et quitte le train. Il a oublié son sac. Ah ! Ah ! Je jette un coup d’œil. Un whisky, pas n’importe quoi, du pur malt, un truc cheros. Sans doute un cadeau d’entreprise ! Ce sera pour ma pomme. Je suis célibataire depuis que Maria Isabel est partie avec Pedro… Je n’ai plus personne dans ma vie. Je pensais qu’elle continuerait à m’accepter après l’accident qui m’a légèrement défiguré. Elle a essayé quelques mois, puis elle a craqué, je ne lui en veux pas… Ne pouvant plus m’exprimer avec les femmes, j’ai essayé les hommes, les relations dans les coins d’ombres (voir Dumigron à Sévilla), mais ça me laisse un drôle d’arrière-goût !

Il est 23 h 00 ! J’ai bu toute la bouteille, la tête me tourne et un fantôme agresse mes pensées, un souvenir aux formes parfaites, Maria-Isabel.

Maria-Isabel flashe dans mes pensées..

Il y a des gens qui aiment la vie rangée. Je suis l’une de ces personnes. J’ai un bon travail. J’avais une belle petite amie, très perverse et qui me satisfaisait pleinement. Cependant, il est arrivé une aventure imprévue qui m’a bouleversée et qui a aussi bouleversé les valeurs que j’avais jusqu’à ce moment.

Cette année là j’étais venu poursuivre mes études à Paris. Il avait été décidé que j’habiterai chez une amie d’enfance de ma mère, Maria-Isabel, qui vit seule car divorcée et dispose d’un grand appartement. C’est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde.

C’était un après-midi quand il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit d’autre que la sieste. Nous étions allongés sur le lit à moitié endormis et nus quand l’envie de baiser m’a pris. J’ai commencé à caresser les doux bras de Maria-Isabel, puis constatant qu’elle ne me repoussait pas, j’ai poussé plus loin mes investigations. N’étant pas particulièrement portée sur ça, il me fallait souvent du temps avant de pouvoir l’exciter et lui faire l’amour. Mais ce jour-là devait être le bon, car elle me laissait faire. Doucement d’abord, puis avec plus de fermeté je lui caressais les seins, le cul et la chatte. Allongée sur le côté, ses fesses bien rebondie s’offraient à moi et pour bien lui faire sentir mon désir, je plaquais ma queue dressée contre son cul.

J’étais en boîte avec l’un de mes amis et nous avions bu plus que nécessaire, le scotch est l’un de mes péchés mignon. Loin de vouloir draguer les filles, je dois même avouer que je ne les regardais pas plus qu’il le faut. C’est pourquoi je fus surpris d’entendre une voix féminine qui me chuchotait à mon oreille :

 » Est-ce que tu voudrais danser?  »

Une danse ce n’est pas la fin du monde et ce n’est même pas tromper ma blonde. Je me suis donc levé et c’est là que j’ai remarqué la beauté éclatante de cette déesse. les cheveux roux naturel (j’ai vérifié) bouclé. Des seins généreux et fermes et surtout un cul qui m’hypnotisait. Nous avons commencé à danser et je me suis senti transporté. Il n’y avait plus de bar, plus de clients, plus de blonde, seulement elle et moi et une musique douce. Il était 3 h 00 et les slow venaient de commencer.

Un soir j’avais décidé de profiter de ce qu’elle m’avait dit devoir passer la nuit en province pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

J’adore le sexe et l’ambiance était tellement propice qu’il me vint à l’esprit de lui proposer quelque chose d’un peu différent qu’à l’accoutumée. Je lui demandais donc de si elle voulait que je lui raconte des choses pendant que je la prendrais. Un peu surprise, elle me demanda quoi, mais je lui dis qu’elle verrait. A ma grande surprise, elle accepta. Mes caresses se firent plus précises, et mes doigts commençaient à jouer avec sa fente jusqu’à son petit trou. Elle me dit ne de ne pas faire ça. J’arrêtais aussi sec mais frottais plus rapidement encore sa chatte qui mouillait abondamment. C’est alors que je lui racontais une petite histoire qui allait me révéler sa vraie personnalité. Je lui dis d’imaginer que nous étions dans un coin tranquille de la forêt et que nous étions allongés à nous faire des câlins.

Seuls, je décidais alors de mettre ma main sous sa jupe et de caresser ses fesses, pendant qu’elle baissait mon short pour attraper ma queue et me branler gentiment. Je sentais que ma petite histoire commençait à lui faire de l’effet, car sa chatte devint plus chaude et plus mouillée et ses jambes s’écartèrent sensiblement. De mon côté, je me frottais à son cul, ma bite bien gonflée. Je lui dis alors d’imaginer qu’elle se mettait à quatre pattes et commençais à me sucer la bite, le cul en l’air. Là, elle a commencé à râler un peu, ça l’excitait vraiment ce que je lui racontais. Mais ce n’était qu’un début.

Je dois dire que je n’en revenais pas de ma chance. À peine avions nous commencé à danser qu’elle me regarde dans les yeux et qu’elle me dit :

– Ce soir tu vas découvrir la luxure !

Je ne suis quand même pas néophyte dans ce domaine mais là je dois dire qu’elle avait raison.

Ce soir là je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, offert depuis pas mal de temps et cela me mettait vraiment dans tous mes états : Je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé allait libérer mon plaisir. C’est alors que Maria-Isabel rentrée prématurément a frappé à la porte de ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entr’ouverte et que je l’ai vue apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.Maria-Isabel

Les mots que j’employais devenaient plus crus et ça lui plaisait. Habituées à la tendresse elle découvrait que ça, ça lui plaisait aussi. J’en profitais donc pour lui enfiler ma queue, c’était un vrai bonheur, jamais elle avait autant mouillé. Moi aussi, émoustillé, je m’en donnais à cœur joie et la baisais tout en lui parlant. Je lui dis alors d’imaginer que quelqu’un nous regardait pendant qu’elle me suçait et à mon grand étonnement elle me demanda ce qu’il faisait. Je lui dis qu’il se branlait et cela lui fit pousser aussitôt pousser des petits cris d’excitation. Je décidais alors d’aller plus loin et lui dis que le gars venait vers nous, et qu’elle, maintenant sur moi, pouvait voir le mec en train de branler sa queue. Je vis alors à son regard lubrique que je ne lui connaissais pas alors, qu’elle voulait que ça aille plus loin. Je lui dis qu’il était si près d’elle qu’elle n’avait qu’à ouvrir sa bouche pour le sucer, ce qu’elle allait faire. Pendant ce temps, moi je la baisais et m’enfonçais avec vigueur dans sa chatte.

Elle m’embrassa longuement et j’ai senti une décharge de désir monter en moi. Je désirais cette femme, je la voulais, j’allais me la faire. Durant ces longs baisers, nos mains ne restèrent pas inactives. Elles se promenaient sur le corps de l’autre comme si nous étions seuls dans le bar. Je lui caressais les fesses, le dos, la nuque, les seins tout était merveilleusement beau. Elle de son côté n’hésitait pas à faire de même. Je senti mes fesses se faire pétrir avec envie et lorsque qu’elle dirigea sa main vers mon pénis, la réalité m’est revenue et je me suis rendu compte que nous n’étions pas seuls. Je senti plusieurs paires d’yeux qui nous fixaient. Je lui ai alors demandé si nous pouvions aller dans un petit coin tranquille.

En effet en entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors, tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Maria-Isabel. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard. Elle s’est alors approchée, s’est assise près de moi sur le lit et m’a saisi par les cheveux pour m’obliger à la regarder, m’expliquant que je devrais maintenant lui obéir si je voulais que cet “incident” ne vienne pas aux oreilles de mes collègues tandis qu’elle essuyait le sperme répandu sur mon ventre avec les doigts de son autre main qu’elle me fit ensuite lécher un par un malgré mes supplications.

Cette petite garce aimait ça et prenait vraiment son pied à imaginer la scène. J’avais offert un gode à mon ex en pensant que cela pourrait lui plaire (moyen en fait) je me dis que ce serais une bonne idée de m’en servir. Je lui ai dit de se caresser seule un instant et suis aller le chercher. Je me suis ensuite remis à côté d’elle et j’ai continué à lui parler. Je lui dis que le gars était bien excité et qu’il passait derrière elle pendant que moi je continuais de la baiser. Je lui ai mis le gode entre les jambes (il était de bonne taille) et le faisait aller et venir. Elle n’a même pas bronché et s’est laissé faire. Je poursuivis mon histoire et lui demandais si elle sentait cette queue qui lui caressait le petit trou. Elle me fit signe sans dire mot qu’oui. Moi j’avais pris ma bite et la faisais glisser sur son trou. Je lui dis qu’il allait l’enculer et tout en le disant, je m’enfonçais dans son cul tout serré. Elle ne résista même pas et aux traits de son visage je pouvais voir que cela lui plaisait.
Elle me dirigea vers une porte qu’elle ouvrit. Nous étions dans les escaliers de la sortie de secours. Elle m’arracha la chemise et se mis à m’embrasser avec rage. Je n’avais jamais senti autant de désir sexuel de ma vie. Je dois même dire que j’ai pris peur lorsque la porte s’est ouverte de nouveau et que deux autres filles sont apparues, j’ai senti que je perdrais le contrôle de la situation. En effet c’est ce qui est arrivé.

Prenant manifestement un vif plaisir à mon humiliation elle enfonçait doucement ses doigts gluants de sperme entre mes lèvres le faisant aller et venir doucement tandis que je sentais la liqueur épaisse et salée couler au fond de ma gorge; après un premier mouvement de dégoût cette sensation commençait à me procurer un vif plaisir qu’elle mit à son comble en se livrant au même jeu avec mon anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe…

La première continuait à me déshabiller tandis que les deux autres m’embrassaient partout. En moins de deux j’étais nu comme un ver. Ma jolie rousse me pris en bouche et il n’en fallu pas davantage pour que je bande au maximum. Les filles semblaient très heureuses de me voir ainsi. Ils se déshabillèrent et ma jolie rousse se coucha sur le dos, jambes ouvertes. Elle commença à se masturber devant nous. Il ne m’en fallait pas plus pour que je me jette sur elle et je la laboure comme jamais je ne l’avais fait. La deuxième fille alla se placer assis sur le visage de ma déesse rousse pour se faire manger et la troisième debout accepta la langue de la deuxième. Nous quatre étions dans une extase sexuelle que je n’avais jamais ressentie. On gémissait avec force, on a joui chacun notre tour. Mes demoiselles se sont levées et m’ont laissé seul. Je me suis rhabillé, j’ai ouvert la porte et je me suis rendu compte qu’il était 4 heures du matin. Quand je suis rentré, Maria-Isabel m’attendait. Elle m’a giflé deux fois, puis elle est partie se coucher en sanglotant. Je me suis affalé tout habillé sur le canapé. Le lendemain matin, elle m’a simplement dit :

– Je ne t’en veux pas, ça peut arriver, mais j’espère que si cela m’arrive aussi tu sauras te conduire…

J’ai voulu me changer les idées en allant rendre visite à ma mère. Elle fait parfois la pute sur Las Ramblas, ne la voyant pas je suis renseigné, et on m’a dit qu’elle était occupé avec un miché dans la chambre 14. Je suis montée, la porte n’était pas fermée elle était à poil en train de faire sauter un Equatorien. Elle m’a dit que je tombais vraiment bien parce que le fantasme de son client était de sodomiser un homme. Je n’ai pas voulu contrarier maman, j’ai sucé un peu le type et lui est tendu mes fesses. J’aime qu’on m’encule de temps en temps. Le mec a joui et est parti, il a dit aurevoir à ma mère mais pas à moi. Malpoli, va ! Ma mère rigolait, elle en a vu d’autres et voyant ma bite demi-molle a proposé de me la sucer, ma mère m’a toujours très bien sucé ! Elle m’a fait jouir avec sa langue de putain, et m’a réclamé de pouvoir prendre son plaisir à son tour. J’ai donc léché sa chatte charnue encore pollué du sperme de son miché.

Après quelques mouvements furieux tout le corps de Maria-Isabel se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir, elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe, puis elle lâcha plusieurs gouttes de son urine, J’avalais, ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme… Maintenant la position elle se mit en demeure de vouloir me chier dessus. J’acceptais cette offrande, (que ne ferais-je pas pour la garder…) et puis sa merde est loin de me déplaire, d’ailleurs j’étais dans un tel état d’excitation que j’en ai léché un peu

Je suis rentré de l’hôpital, je demande à Maria-Isabel si elle m’aimera encore malgré mon nez cassé. Elle me répond oui. J’ai su qu’elle n’était pas sincère, j’ai su qu’elle aurait voulu être sincère, et j’ai su que j’avais été le roi des cons de lui poser une pareille question.

Non, il n’y a plus rien dans la bouteille…

Fin !

Postface :

La structure de ce récit n’est pas chronologique ! Je l’ai un peu fait exprès. .
D’ailleurs dans la conversation courante on ne raconte pas chronologiquement. Repensez à la dernière anecdote que l’on vous a raconté : « -Tu sais la dernière, Dolorès s’est mise en ménage avec Pedro ! (on commence par la fin), je vais te raconter ! (en fait, on ne raconte pas on résume) et puis attends, je vais te dire la meilleure…  » (et dans un troisième temps on va épicer l’anecdote de récits périphériques, il y en aura en principe plusieurs et évidemment ils ne seront pas chronologiques)

Amen

Dumigron (prononcez doumigrone en roulant les R)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 22 juillet 2001 7 22 /07 /Juil /2001 18:58

Féfesse et les abeilles 

(Une farce signée Ursulin)

 

Gs2

 

Wha ! Déjà cette heure-là ! Ça fait du bien de ronfler un peu ! Je me suis octroyée ce mardi un jour de repos ! Ça fait du bien, et c'est pour la bonne cause. Car il se trouve qu'aujourd'hui, c'est mon anniversaire, j'ai 30 ans !

 

D'ailleurs je n'aurais 30 ans que ce soir, je suis née à 21 heures paraît-il !

 

Allez, on se présente ? Vous êtes comment vous ? Moi, mon vrai prénom c'est Fabrizia, c'est joli ça, comme prénom, Fabrizia. Mais il y a un truc que les parents n'ont jamais compris, c'est que dès que le prénom est un peu compliqué, il ne sert plus à rien, les gens le remplace, ainsi petite j'étais Faby, ça passe encore. Mais quand j'ai commencé à travailler et que je signais mes pièces comptables je mettais mes initiales "F.S". Le chef trouvait très marrant de m'appeler comme ça "F.S". Et puis "éfesse" c'est transformé en Féfésse ! Bon c'était pour l'anecdote parce que dans le récit on ne va pas s'en servir.

 

Comment je suis, alors "je suis" 1 m 70, "je suis" quelques kilos de trop (4 ou 5), "je suis" la peau mate, je suis châtain clair, les cheveux coupés au carré, les fesses rebondies, la poitrine moyenne (95 C), je suis myope comme une taupe, j'ai les yeux bleus, la bouche pulpeuse et un sale caractère, je n'aime pas qu'on m'emmerde, mais sais être romantique et douce comme un agneau. Ais-je oublié quelque chose ?

 

Non ? Alors c'est mon anniversaire ! Et j'entends déjà le chœur antique des lecteurs : "encore une histoire de cadeau d'anniversaire, un cadeau vivant monté sur pattes, bien sûr !" Ben, non ! Vous n'y êtes pas du tout ! D'abord !

 

Parce que figurez-vous que mon copain après 4 ans de bon et loyaux rapports amoureux s'est carapaté le mois dernier avec une pétasse (ben oui c'est forcément une pétasse, non ?) Et que mon anniversaire, je vais me le faire toute seule comme une grande. A 21 heures piles, je vais me servir un petit repas, simple et sympa mais qui satisfera ma gourmandise, il y aura un joli plat de tagliatelles, une assiette de charcuterie italienne, et un petit rosé de Provence, pour le dessert je vais acheter une grosse religieuse au chocolat, je mettrai une grosse bougie dessus marqué 30 et je la soufflerai toute seule, toute seule ! Et puis, je mettrai de la musique, du Tchaïkovski, j'adore ce compositeur ! Et puis, je vais m'acheter des fleurs, j'ai envie de glaïeuls, je ne sais même pas si j'ai un vase assez grand pour les mettre, ça ne fait rien j'achèterais un vase. Je passerais chez le fleuriste en revenant du docteur.

 

A ben oui, il faut que je passe chez le docteur en fin d'après-midi, il doit me faire mon rappel de tétanos. Il est craquant ce docteur, je ne le vois pas assez souvent, c'est normal je ne suis jamais malade ! Un bel homme, des beaux yeux coquins, et les tempes grisonnantes, une belle allure sportive, beaucoup de charme, décontracté, sympa ! Tiens, pourquoi je mouille moi ?

 

Bon, je me lève ! Mais c'est qu'il fait super beau ! Après tous ces jours de flotte, voilà qui est une excellente surprise. Je regarde la température extérieure : 21° ! Bigre, Et pas un nuage ! Oh lala ! Je me douche vite fait, je reste à poil, me prépare sur un plateau tout ce dont j'ai besoin pour aller dans le jardin, mon petit déjeuner, mon portable, mon baladeur, mes cigarettes, mon briquet, mes chewing-gums, mon gode (mais non pas mon gode, je n'ai rien contre, remarquez, mais il se trouve que je n'en possède pas !) Et zou ! Je vais m'installer dans une chaise longue offrant mon corps de jeune femme au soleil.

 

lisa_cp02.jpg

>

 

Et oui trente ans, le meilleur âge, la jeunesse et l'expérience !

 

Le jardin est bien protégé, on ne peut pas me voir. En principe, parce que les baraques de quatre étages qui sont à cent mètres, il suffit d'une petite paire de jumelles et puis toc ! Mais je m'en fous, d'ailleurs non c'est faux, je ne m'en fous pas ! Ça m'exciterait plutôt cette affaire-là ! Je ne me classe pas comme exhibitionniste, mais je ne vais pas non plus bronzer à l'intérieur d'un chapiteau de toile ! Tiens, ça me rappelle le voisin qui l'an dernier par une belle journée de septembre était resté vingt minutes à bricoler en haut d'une échelle dans son cerisier. Dans son cerisier au mois de septembre ! Je l'ai croisé le lendemain je lui ai demandé s'il m'avait mis des cerises de côté, depuis on ne se parle plus !

 

Bon je suis là dans ma chaise, je me regarde, je ne suis pas trop mécontente de mon corps, il y a mieux, il y a pire, je suis dans la bonne moyenne, quoiiiiiii !

 

C'est instinctif, il faut que je me caresse ! Mais non ! Attendez, pour l'instant je ne m'occupe que de la douceur de ma peau, je me caresse les bras, c'est très doux un bras surtout à l'intérieur, ne trouvez-vous pas ? Les épaules à présent, ça aussi c'est pas mal, c'est rond, et puis les cuisses, les mollets, le ventre... Un coup d'œil aux fenêtres, pas de voyeur, comme c'est dommage, je lui aurais fait un petit spectacle, c'est vrai qu'on est en semaine, les gens travaillent. Ah ! J'ai cru voir bouger quelque chose, mais c'est peut-être moi qui me fais des idées. Mais ça ne fait rien, je vais faire comme-ci. Je commence à avoir très chaud au propre comme au figuré, je me caresse les seins, je les aime bien mes seins, ni trop gros, ni trop petits, et des petits tétons très réactifs. D'ailleurs je vais les faire réagir immédiatement, je me les pince, je me les tortille, j'adore me faire mal aux nénés. Oh ! N'allez pas croire que je suis maso ! Ou alors juste un petit peu !

 

Une abeille passe, cet abruti de bestiole est attiré par la confiture de ma tartine que j'ai laissée dans le plateau. Je n'aime pas ces trucs là, mais alors pas du tout !

 

Bon, elle m'a dérangé l'insectoïde avec ses bzzz-bzzz, reprenons, et non voilà cette conne qui recommence dans l'autre sens ! C'est d'un pénible, si on ne peut même pas se tripoter tranquille à présent ! J'attends un peu ! Plus d'abeilles pour le moment, c'est parfait ! Je continue là où je m'étais arrêtée. Je continue à me triturer mes pointes, je commence à mouiller sec, mais je n'ai que deux mains, pas pratique de se tripoter à la fois les nénés et la chatoune. Et puis en plus j'ai envie de pisser.

 

Ben oui, quoi ? Je n'ai jamais assimilé le pipi au crade, pour moi il s'agit d'un suc corporel dont nous a doté la nature et qui ne me dégoûte absolument pas, bien au contraire. Folie pour folie, on n'a pas tous les jours 30 ans, et je me pisse dessus, par petits jets successifs, ça me coule sur les cuisses, ça se barre sur le tissu de la chaise longue, une partie passe à travers et l'autre s'étale, du coup je soulève un peu mes fesses, mouillée pour mouillée, autant y aller carrément. Mais c'est que j'avais une grosse envie, j'en fous partout. Et me voilà follement excitée ! Ma main descend vers ma chatte en feu. Mais ça m'embête d'abandonner cette bonne pression sur mes pointes de seins.

 

Mais j'ai de la ressource ! Je me lève, je vais jusqu'à la corde à linge et j'y prélève quelques pinces, je me réinstalle, et hop une pince au téton droit, et hop une pince au téton gauche. Pas très forte la pression, je reprends deux autres pinces que je superpose. De cette façon, ça commence à serrer sévère !

 

L'abeille repasse ! Non, ce n'est pas vrai ! Je vais finir par aller chercher une bombe insecticide !

 

Je suis excitée comme rarement je l'ai été, du coup j'essaie de me placer une pince sur mes lèvres vaginales, ce n'est pas la première fois que je fais cette tentative, mais j'ai toujours laissé tomber, ça fait trop mal. Cette fois encore je la retire au bout d'une vingtaine de seconde, décidément je ne suis maso que des nénés, comme je vous le disais !

 

El l'abeille qui repasse...

 

Le bout de mon index frôle maintenant mon clitoris, il se fait de plus en plus insistant, des images se forment dans ma tête, des fantasmes, le docteur ! Comment ça le docteur ? Ben oui, le docteur ! Me voici en train de fantasmer sur le toubib !

 

Bzzz ! Bzzz !

 

Cette fois c'en est trop, il faut que je fasse quelque chose !

 

C'est alors que j'ai un coup de folie, je m'empare du portable :

 

- Allô docteur !

- Oui je vous écoute !

- Docteur c'est affreux, j'étais toute nue dans mon jardin en train de me faire bronzer, et voilà qu'une abeille est rentrée dans mon vagin et ne veut plus en ressortir

- Pardon ?

 

Je lui répété tout cela très calmement, en essayant de garder mon sérieux.

 

- Hum, voyez-vous cette abeille a été attirée par des phéromones sexuelles. Elle n'en sortira que si des phéromones plus puissantes l'attirent. Me répond doctement… le docteur.

- Et en clair je fais comment ?

- Et bien peut-être un mélange de phéromones masculines et d'éléments sucrés ?

- Pardon ?

- Demandez donc à votre mari de s'enduire le sexe de confiture, et l'abeille devrait sans doute préférer ce mélange !

- Ah ! Vous croyez ? Docteur !

- Je suis sûr ! Je peux vous laisser à présent, chère madame !

- C'est qu'il y a un problème !

- Il ne devrait portant plus y en avoir !

- Si ! Je n'ai pas de mari, je suis désespérément seule docteur !

- Ah ! Ben dans ce cas, ne touchez à rien, je vais me sacrifier, contentez-vous de préparer la confiture. Euh ? C'est à quelle adresse ?

 

C'était dingue, j'avais téléphoné comme ça pour délirer complètement, et le toubib rentrait dans mon délire. Je me demandais quand même s'il oserait allez jusqu'au bout ! J'allais néanmoins chercher un pot de gelée de groseilles, au cas où...

 

Il a osé, je lui ouvre, revêtue d'une robe de chambre passé à la hâte :

 

- Ah docteur comme c'est gentil d'être venu, suivez-moi docteur, nous allons faire cela dans le jardin, je ne veux pas d'abeille dans mes murs !

 

Hum, qu'il est beau ce docteur, tout à fait dans mes goûts, il veut bien jouer avec moi, il ne sera pas déçu.

 

- Voilà j'ai préparé la confiture ! C'est de la groseille, mais si vous préférez autre chose !

- Ça devrait aller, mais je vais être obligé de me déshabiller, afin de ne pas me salir !

- Mais faites, docteur, faites, je vous en prie !

 

Mon beau docteur se déshabille, c'est qu'il est mignon comme tout ce petit docteur là ! Un vrai petit bonhomme comme je les aime tant !

 

- Voilà, enlevez cette robe de chambre et restez assise dans la chaise ! Oh mais elle est toute mouillée, il aurait donc plu ?

- C'est possible docteur, nous avons des micro-climats par ici !

 

Je m'assois dans l'humidité de ma chaise et le docteur se penche vers moi et entreprend de me caresser.

 

- Mais que faites-vous donc docteur ? Je croyais que vous alliez vous badigeonner le sexe !

- Ce sera bien plus efficace s'il offre une surface plus importante !

- Et le fait de me caresser serait donc de nature à augmenter la surface de votre sexe ?

- La surface et le volume !

- Ciel ! Mais c'est vrai en plus ! Ça alors, je n'en crois pas mes yeux !

- Mais si vous n'en croyez pas vos yeux, croyez en vos mains, touchez donc chère madame, je vous y autorise !

- Oh ! Quel très bel objet que vous avez là !

- Certes, mais il y a un problème !

- Un problème ! Mais nous allons le résoudre j'espère !

- Je pense, oui ! La confiture ne tiendra pas sur mon sexe, il est trop sec !

- Trop sec, mais alors il faut l'humecter !

- Voilà qui me paraît une excellente idée !

- Je vais aller chercher une bouteille d'eau, vous la préférez plate ou gazeuse ?

- Ne vous donnez pas cette peine, un peu de salive fera parfaitement la peine !

- De la salive, docteur ?

- Hé !

- Rendez-vous compte heureusement que personne ne nous regarde, les gens auraient cru que je m'apprêtais à vous faire une pipe !

- Les gens ont de ces idées !

 

J'approchais ma bouche du membre viril de ce membre du corps médical, puis l'emprisonnait de mes lèvres, l'humectait comme il faut, le balayant de savants coups de langue. Ce coquin en profitait pour me peloter les nichons. Laissant un moment son sexe je m'étonnais de ce curieux traitement.

 

- Le tripotage de mes seins fait-il aussi partie de votre thérapeutique ?

- Absolument, disons que je vous prépare psychologiquement au choc que pourrait constituer une sortie trop violente de cette abeille !

- Ah ! C'est très bien, et bien je crois que je ne suis pas encore complètement préparée psychologiquement, continuez donc à me préparer docteur !

- J'y comptais bien, je vais me livrer avec votre permission à une petite action psycho-humide !

- Ciel ! Je suis impatiente de connaître ça !

 

Le toubib mit alors sa tête entre mes jambes, je crois qu'il fut un moment surpris d'y trouver cette curieuse odeur de pipi non essuyé, mais il finit par s'installer dans un cunnilinctus en règle, léchant d'abord tout ce qu'il pouvait pour venir en final m'agacer le clitoris avec une précision toute médicale. Je me surpris à jouir dans un déluge de tremblement et de cris.

 

- Et malgré tout cela la guêpe n'est pas sortie !

- Une abeille, docteur, pas une guêpe !

 

Je vis le docteur aller fouiller dans les poches de son pantalon, il en sortit (puisque extraya n'est pas français !)" un préservatif et sans me demander mon avis me pénétra carrément.

 

- Mais docteur que faites-vous donc ?

- J'ai changé de tactique, votre abeille, je vais l'assommer, et ensuite la noyer !

- Vous ne la noierez pas avec un préservatif !

- C'est exact, elle aura donc la vie sauve !

- Docteur !

- Oui, madame ?

- Quand vous aurez fini d'assommer cette abeille, aurez-vous encore un moment ?

- Je crois bien que je le prendrais !

- Parce que je ne vous ai pas tout dit !

- Vous m'auriez caché quelque chose ?

- Ben oui docteur, je suis très timide !

- Il faut tout me dire !

- Et bien, voyez-vous, je viens de me souvenir qu'une deuxième abeille m'est rentrée par mon autre trou...

 

Rideau sur la scène du théâtre érotique, Féfesse et le docteur viennent saluer le public !

 

Clap Clap Clap ! Tout le monde applaudit sauf qui se branlent… on ne peut pas tout faire.

 

U Neveway (E et MP Perez)

 

 

Première publication sur Vassilia, le 22/07/2001, légèrement révisé en 2010>

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Stamp Xmas
  • dick14
  • Orza08
  • Chanette17 d
  • lemur
  • gla30603

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés