Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:45

Martine, la soubrette

par Eddy

 

Fetish

 

 

Chapitre 1 – Entretien d’embauche

Mauvaise nuit ! Et mauvaise année ! Il y a deux mois ma femme me quittait après avoir découvert ma malle secrète au grenier. Il était impossible qu’elle la découvrît et qu’elle en force le cadenas. Elle l’a fait quand même ! Je n’avais pas d’explications de prête. La crise a eu lieu. Nous aurions pu nous en sortir, mais j’ai été malhabile et comme toujours dans ces cas-là, on atteint une situation de non-retour. Elle est partie avec les gosses ! En contrepartie j’acquérais un peu de liberté, plus besoin de malle pour planquer mes affaires destinées à me travestir. Mais cette rupture m’a traumatisé. Je m’en veux de ne pas avoir eu le courage de lui avouer mes fantasmes. Et puis, voilà hier, convocation chez le grand patron : et le couplet de l’hypocrisie : La survie de l’entreprise passe par des réductions drastiques de personnel, votre départ est une perte pour l’entreprise, mais… et blablabla, foutu à la porte ! Je ne me plains pas, j’aurais mon salaire pendant un an, et la possibilité de ne rien foutre ! Et passé ce temps je saurais bien trouver une entreprise qui appréciera mes services.

Envie de ne rien faire aujourd’hui. Je branche le micro et je décide d’aller m’exciter tout seul en regardant les sites de travelos, mais je n’ai même pas le cœur au sexe. Avant de refermer, je décide d’aller voir un site de petites annonces coquines qui m’amuse…

…et soudain je tombe sur ça :

« Couple bon milieu cherche soubrette travestie ou transsexuelle »

Pourquoi pas ?

Je réponds et attends fébrilement la réponse sur ma messagerie, elle ne tarda pas à arriver. L’auteur de l’annonce m’envoie une espèce de grille questionnaire sur les pratiques que je suis ou non prêt à accepter, je dois à chaque fois dire oui, non ou modérément… je réponds tout de suite, me demandant avec anxiété si mes blocages sur certains comportements ne feront pas capoter ma candidature ! Mais non, je ne risque rien de tenter le coup et répond « oui » à toutes les questions sauf pour la scato ou je coche « modérément »

Une heure après nouveau mail :

– Je vous trouve bien délicat, mais cela devrait s’arranger, téléphonez-moi avant midi à ce numéro !

Je me précipite sur le combiné !

Le type au bout du fil me demande de venir en début d’après-midi, il faudra bien sûr que je vienne en travesti !

Il y a quelques mois, je serais monté au grenier, j’aurais pris mon sac de sport (censé m’accompagner à des séances de gymnastiques) et je serais allé m’habiller et me maquiller dans les chiottes d’un bistrot ! Mais maintenant je m’en fous, ce que pense les voisins ne m’intéresse pas, et je me prépare doucement, je commence par me doucher puis, je me rase de très près comme j’ai l’habitude de le faire non seulement le visage, mais tout le corps, je me rase ainsi le torse, le ventre, les bras, les jambes, les fesses, et même les couilles, laissant juste un peu de poil à l’endroit du pubis, j’enduis mon corps de crème afin qu’il soit doux et lisse ! Puis j’entreprends de me maquiller. Le plus dur c’est les yeux, mais j’ai acquis un certain coup de main, le visage ensuite, puis les lèvres ! Il me reste à me faire les ongles, je me les fais avec applications y compris ceux des orteils que je néglige habituellement. Je mets ma perruque blonde, je regarde l’image que me renvoi mon miroir, je suis belle. Je suis Marie-Pierre, une femme à bite, un travelo et j’en suis fier !

Je m’habille maintenant, je choisis un bel ensemble slip et soutien-gorge rouge, j’aime les sous-vêtements rouges, ça fait pute, si j’avais été une femme j’aurais été pute ! J’ai aussi un porte-jarretelles et des bas de la même couleur ! Super, j’ai des belles jambes, j’en suis fier, certaines femmes n’en ont pas d’aussi belles, je me tourne pour regarder mes petites fesses, machinalement je me glisse un doigt dans le trou, j’espère que quand je reviendrais, je me serais fait enculer par une bonne bite ! J’adore ça !

Je complète ma tenue par une minijupe noire et par un chemisier beige clair. Restent les chaussures, je ne mis suis jamais faites aux chaussures, ça reste un véritable enfer, j’essaie quand même une paire relativement assortie en espérant qu’elles ne me feront pas trop mal ! Et voilà, un peu de parfum, mon petit sac à main de poulette et je suis prête pour l’aventure.

Je marche un peu, je prend un café dans un bistrot où je n’ai jamais mis les pieds, cela m’excite d’observer les regards ambigus des gens !

Je prends le RER, puis le métro, puisque ma femme a aussi embarqué la voiture et que la seconde est en panne… c’est la première fois que je me travesti au départ de chez moi, je sens dans les transports des regards qui m’interpellent, mais personne de connu, et une fois arrivé à Paris je peux me fondre dans un anonymat plus rassurant ! Je déjeune d’un simple hot-dog, et arrive enfin. Et sonne au 3ème étage de cette maison bourgeoise du 15ème arrondissement. Un type 45-50 ans, sans un poil sur la caillou, m’ouvre !

– Vous êtes Marie-Pierre, entrez donc !

Le ton est jovial, ça ne devait pas durer !

– Nous verrons dans un instant si vous faites l’affaire, mais de toute façon, je vous paye votre journée d’aujourd’hui, et j’attends de vous la soumission la plus totale !

Et ce disant, il me balance un billet de 50 euros que je ramasse, bien évidemment.

– Bon ! Marie-Pierre est un trop joli nom pour une pétasse comme toi, je t’appellerai Martine, Tu es d’accord ?
– Oui, Monsieur !
– De toute façon, d’accord ou pas, c’est comme cela, Je te tutoierais, mais toi tu nous dois le respect, tu nous appelleras Monsieur et Madame en temps ordinaire et Maître et Maîtresse pendant les périodes de soumissions.
– Oui monsieur !
– Evidement tu as mis une culotte ?
– Oui monsieur !
– T’es vraiment nulle, se présenter à un entretien d’embauche en culotte ?
– Je n’y avais pas pensé !
– Tu aurais dû le deviner !
– Oui Monsieur !
– Tu vas être punie pour cela !
– Oui Monsieur !
– Retire-la !

Le maître m’arrache des mains la culotte que je viens de retirer et me la déchire ! Il est con, ce type, je l’avais payé cher, mais je suis là pour être dominé et humilié et ne dis rien !

– Bon maintenant enlève ta jupe, on ne t’as jamais dit qu’elle était ridicule ?
– Non, Monsieur !

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J’enlève donc ma jupe, et me voici, la bite à l’air devant ce type ! La vue de ma queue le trouble, je le sens, mais il ne fera aucun commentaire. J’ai envie de m’amuser et je vais jouer à l’aguicher, je prends ma queue et attaque quelques mouvements de masturbation

– Qui t’as dit de te branler, petite salope ?

La gifle était complètement inattendue, mais il n’a pas voulu me faire mal, mais m’humilier, oui !

– Désolé, Monsieur, je pensais que…
– Tu n’es pas ici pour penser, mais pour obéir, t’as compris, petite pute ?
– Oui Monsieur !

Le type est excité, ça se voit au chevrotement de sa voix, et à son visage qui rosit légèrement. Il est vêtu d’une espèce de veste d’intérieur croisée qui m’empêche d’observer sa braguette… Il me tripote un peu les couilles sans aucune délicatesse comme si j’étais une marchandise, puis me caresse la verge. Il enlève sa veste, il a chaud, et je distingue maintenant la grosse bosse derrière la braguette !

– Tourne-toi.

Parade facile et prévisible ! Il me tripote à présent mon petit derrière.

– Martine tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu aimes te faire enculer ?

Il le sait bien, ça faisait partie du questionnaire, mais puisque cela fait partie du jeu, je réponds :

– Oui Monsieur ! J’adore ça ! Vous pourrez me le faire quand vous voulez !
– Bien sûr que je vais le faire quand je voudrais, petite salope !

Il m’introduit maintenant un doigt dans le cul, on ne peut pas dire que ce type soit un modèle de délicatesse ! Mais ça ne fait rien, j’aime bien me faire doigter le cul !

– Un peu étroit quand même !
– Je vous avais prévenu !
– Ne t’en fais pas, si tu restes à mon service, il va s’élargir !
– Ce sera avec grand plaisir !
– Je vois que tu deviens une petite garce obéissante…

Il retire son doigt, en constate l’état.

– Pas très propre tout ça !
– Vous ne m’avez pas précisé que je devais… euh…
– Ça ne me dérange pas, mais nettoie-moi cette merde.
– Euh, j’ai un kleenex…
– Non, lèche !

Ce n’est pas un problème, je lui lèche le doigt qui redevient vite tout propre

Ce disant, il n’en peut plus, il ouvre sa braguette, et sort sa queue, toute raide, elle me plait, elle est belle et le bout est tout violacé ! Un amour de bite !

– Suce ma queue, pétasse !

Je ne réponds pas, je saisis la verge d’une main et approche ma langue de son gland, je donne quelques coups de langue, sa pine a une odeur assez forte, ce qui est normal à cette heure, j’entoure le gland avec ma bouche et commence mes mouvements de succion tout en continuant à tamponner le bout avec la langue, j’adore sucer des belles bites !

– Arrête !

Il finit de retirer son pantalon et s’en va, je ne sais où.

– Attends-moi !

Bien sûr que je vais l’attendre, je ne vais pas m’en aller ! Il ne tarde pas à revenir, muni d’un préservatif ! Ça y est ! Je vais passer à la casserole, je ne pensais pas que cela arriverait si tôt. Il me fait pencher en avant en m’arc-boutant contre une table, Et le voilà qui pousse, ce connard m’a fait mal, il aurait fallu qu’il lubrifie avant, je crie un peu, mais il s’en fout, il finit par rentrer, j’ai réellement mal, et je me demande si je ne vais pas tout planter là et aller voir ailleurs des gens aux pratiques un peu plus douces, mais peu à peu la douleur disparaît pour faire place à ce plaisir trouble que je n’ai que trop peu connu. C’est bon je me laisse faire ! Il ne tarde pas à jouir en poussant un hurlement de sapeur !

– Et maintenant, à genoux devant moi et bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule.

Son urine n’est pas trop forte, mais le débit est puissant, j’en fous plein à côté.

– C’est bon tu es engagé pour un mois !
– Merci Monsieur !
– Tu commences demain… tu peux apporter tes affaires ! Mais avant tu me nettoies les saloperies que tu as fait sur le parquet.

Ah bon, je commence demain ! J’aurais bien commencé tout de suite…mais il est vrai que je n’ai rien apporté pour rester.

– Tu coucheras ici, ton week-end est libre sauf si je te retiens, à ce moment-là tu seras payé en supplément ! Si tu as envie de prendre l’air tu devras me le demander Mais sinon tu es mon esclave 24 heures sur 24 du lundi 9 heures au vendredi minuit !

Il me parle après de mes honoraires, j’accepte ses conditions, il n’est pas censé savoir que je ne fais pas cela pour le fric. Je remets ma jupe, mais quelque chose ne va pas, l’absence de culotte me gêne et j’ai l’impression que tout le monde va s’en apercevoir

– Euh, vous n’auriez pas une culotte, ou un slip à me prêter, parce que…
– Certainement pas, tu n’avais qu’à y penser avant, démerde-toi ! Maintenant fout le camp et soit à l’heure demain matin !
– Bien Monsieur !

Me voici dans la rue, j’ai horriblement mal au trou du cul, et j’ai vraiment l’impression d’être à poil, ma bite fait une bosse sous ma jupe, et je ne sais plus où me mettre, j’essaie de cacher tout cela en plaçant mon sac à main devant, mais ça me donne une attitude ridicule, Je suis rouge de honte, j’essaie de déambuler sur les trottoirs où il y a le moins de monde. J’aurais pu héler un taxi, mais l’humiliation de la situation m’empêche de réfléchir correctement. Et ce qui devait arriver arriva. Deux jeunes loubards me croisent :

– T’as vu le travelo ? Mate un peu ce pédé, il n’a pas de culotte !
– Trop nul le mec, on lui pique sa jupe ?

J’aurais réfléchi, je me serais rendu compte, que la rue n’étant pas déserte, ils n’auraient jamais mis cette menace à exécution, mais non, paniqué, je me mets à courir, pour m’apercevoir que… ma jupe se soulève quand je cours ! Je suis désespérée ! Je ne m’attendais pas à une honte pareille ! Je craque, je m’assois cul nu sur le bord du trottoir et je me mets à chialer comme une madeleine. Trop c’est trop, je souhaitais être humiliée, rabaissée, mais pas à ce point… des gens me regardent ! J’ai peur que quelqu’un appelle les flics ! Je panique de plus en plus !

– Vous avez un problème ?

C’est qui celui-là ? La situation est déjà assez compliquée comme cela, je m’enfuis au petit trop pour ne pas que ma jupe se soulève ! Des gens rigolent !

Un Monoprix ! Sauvé, je vais pouvoir m’acheter une culotte. Où est le temps où l’on pouvait faire des tas de choses derrière les porches des immeubles ? Maintenant il y a des digicodes partout… Je finis par me changer dans les toilettes d’un bistrot ! Ça va mieux ! Je m’assieds à une table et tente de rassembler mes idées. Je ne me vois pas rentrer comme cela dans mon coin en pleine heure de pointe. Alors je retourne au Monoprix, soulagée, m’acheter du maquillage, des sous-vêtements de rechange et autres bricoles…et je loue une chambre d’hôtel pour la nuit !

A 9 heures précises, je me pointe chez mes nouveaux patrons. Avant dans l’escalier, je retire ma culotte que je glisse dans un sac de voyage que j’ai acheté la veille. Le maître m’accueille :

– Bonjour Martine, je vois que tu es ponctuelle, bien vérifions tout cela.

Et ce disant, il soulève ma jupe, constatant qu’aujourd’hui je n’ai rien en dessous, il recommence à me tripoter la bite, je suis sûr qu’il n’avait aucunement l’intention de le faire, mais c’est plus fort que lui… Bien sûr, il me fait bander. Je suis sûr qu’il a envie de me la sucer. Mais il se reprend.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, Monsieur !
– Je devrais te punir pour cela !
– Comme il vous plaira, Monsieur !
– Bon je n’ai pas trop le temps ce matin, je vais te présenter à madame !

Il appelle donc son épouse ! Gisèle est une grande femme, la cinquantaine, assez forte sans exagération. Elle est habillée d’un tailleur beige assez strict. Ses cheveux bruns sont coiffés en chignon strict et elle porte des lunettes !

– Bonjour madame !

Elle ne daigne pas me répondre ! Elle tourne lentement autour de moi, en prenant un faux air dégoûté !

– Retire ta jupe !
– Oui madame !

Décidément c’est une manie dans cette maison… Me voici à nouveau le cul et la bite à l’air, et l’autre qui n’arrête pas de tourner, elle finit par s’arrêter, et soudain alors que j’étais loin de m’y attendre, elle me crache au visage.

– Tiens ! Sale porc ! Mon cadeau de bienvenue !

Il ne faut surtout pas que l’humiliation me fasse bander… Mais je ne peux pas m’en empêcher ! Elle s’adresse à son mari :

– Eh bien, je crois qu’on n’a pas fini de s’amuser avec cette petite tapette…

Puis m’adressant enfin normalement la parole :

– Bon, toi tu me suis, et je vais t’expliquer ce qu’on attend de toi !
– Bien madame, je peux remettre ma jupe ?
– Tu es très bien comme cela !

Je suivis donc ma maîtresse dans une autre pièce où elle m’expliqua :

– Tous les jours tu auras une liste de tâches ! Tu te débrouilles pour faire cela correctement ! Inutile de saloper le travail pour espérer être puni, cela ne se passe pas comme cela ici. Si tu ne fais pas l’affaire, ce n’est pas une punition que tu auras, mais tu seras foutu à la porte ! Cela dit ici tu n’es qu’une merde d’esclave et on sera amené à jouer avec toi et à te faire subir les pires traitements quand bon nous semblera ! T’as compris poufiasse ?
– Oui Madame !
– Je veux t’entendre répondre : « je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit ! »
– Oui madame, Je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit !
– On a tous les droits, si on veut de cravacher ou te chier dessus, tu n’as rien à dire.
– Oui madame !
– Quand nous aurons du monde tu t’enfermeras dans ta chambre et tu n’apparaîtras que si on a besoin de toi ! En ce qui concerne la tenue, voici un tablier de soubrette et une petite coiffe. Tu te mets ça immédiatement !
– Oui madame !
– Bon tu as toutes les vitres à nettoyer aujourd’hui, t’en as pour un moment, je vais te montrer où sont les produits, les chiffons et tout cela et tu vas commencer ! Mais avant je vais te montrer ta chambre

Je m’attendais à une espèce de geôle, mais non c’est une chambre normale, même si le décor est quelque peu spartiate.

– Bon voici ta chambre, tu vas pouvoir y installer tes affaires ! Mais tu dois savoir deux choses, la première c’est que si on a envie de te faire coucher ailleurs une nuit, on en a parfaitement le droit, la deuxième c’est qu’il ne faut pas te figurer que cette chambre sera ton petit coin tranquille ! Il n’y a pas de clé et nous avons la liberté d’y entrer à n’importe quel moment. Par contre, je veux que cet endroit demeure impeccable ! T’as compris salope ? Parce que si tu n’es pas d’accord tu peux encore te tirer maintenant, après ça va être plus compliqué !
– J’ai parfaitement compris madame !

Ma vie de soubrette commençait donc ce matin…

à suivre

Edvard Stokien © 2000

eddy@vassilia.net 


Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Mardi 28 novembre 2000 2 28 /11 /Nov /2000 14:41

L'exorcisme de l'abbé Xavier

par Ursulin

 

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Avis à la population : J'aime bien développer des histoires à chutes. L'érotisme n'y est qu'une indispensable épice, l'humour en est une autre. Cela m'amuse et c'est mon truc ! Malgré tout, je me suis demandé, si je saurais écrire une histoire carrément porno. Alors je vous propose celle-ci

 

La scène représente un salon bourgeois. Sur la gauche un vaste divan. Au centre un tapis d'orient. A droite un petit guéridon. Au fond un placard à balais, entrouvert et uniquement occupé par un plumeau à poussière.

 

Prologue

 

Robert et Anne-Thérèse forment un couple qu'il faut bien qualifier de respectable ! Ne pouvant avoir d'enfants, ils consacrent une grande partie de leurs loisirs à des activités charitables. Pour rien au monde ils ne manqueraient la messe du dimanche où ils font tous deux partie de la chorale paroissiale. Sur les questions sexuelles ils défendent une ligne très papale, leur seul credo étant l'amour conjugal, tout écart en ce domaine ne pourrait être qu'œuvre démoniaque ! Mais ne croyez pas qu'ils s'agissent d'un couple de coincés ! Non ! Anne-Thérèse n'a pas peur de dire qu'un couple a parfaitement le droit de chercher la variété dans les rapports ! Et la pauvre Anne-Thérèse est même persuadée qu'elle défend des idées très hardies, tout cela parce que son mari et elle, pratiquent de temps à autres fellations et cunnilinctus ! Robert est comme tout le monde, cela le rassure, et s'il lui arrive d'avoir un chatouillement de braguette à la vue d'une belle fille, il s'efforce de combattre ce genre de pulsion. Quant à Anne-Thérèse, elle ne veut pas qu'on la catégorise comme une grenouille de bénitier, alors elle essaie parfois de s'habiller moderne, mais cela ne va guère loin ! C'est néanmoins une belle petite femme. Elle est brune, ses cheveux sont mi-longs, ses yeux pétillants de malice, et sa peau très blanche. Elle a une très forte poitrine qui tient très bien !

 

Robert ne travaille pas le lundi, il s'est acheté un micro tout neuf, Robert, mais ne sachant pas bien se servir de ce genre de chose, il a contacté une jeune femme par petite annonce, une étudiante qui justement donnait des cours de micro-informatique. Elle se prénomme Elodie, n'a pas encore 20 ans et elle a de très longs cheveux châtains clair, et un petit corps bien proportionné.

 

Comme tous les lundis sa femme Anne-Thérèse rentre vers 14 heures et c'est alors qu'elle vit cette incroyable scène sur le canapé familial :

 

Elodie couchée sur le canapé et pratiquement nue suçait avec application la bite de son mari qui naturellement se laissait faire et avait une grosse carotte enfoncée dans le trou du cul !

 

- Oh !

 

Alors Anne-Thérèse, hurla, menaça, invectiva, rouspéta, crisa, mais que nenni, que nenni, rien n'y fit !

 

C'était comme si les deux amants ne l'entendaient point.

 

Fanette, la femme de ménage vint rejoindre Anne-Thérèse, Fanette était une petite blonde un peu nunuche qui aurait pu être mignonne si elle avait daigné s'arranger un tout petit peu.

 

- Ben oui, il y a plus de deux heures que ça dure ! C'est le démon qui a fait cela, ils n'entendent plus rien !

- Le démon ?

- Oui et d'ailleurs je me suis permis d'appeler un exorciste !

- Un exorciste ?

- Oui ! Il va arriver d'une minute à l'autre !

- Bien, disparaissez ! Je vais m'occuper de cela toute seule, et merci encore !

- Je ne peux pas rester pour…

- Non !

 

Mais Fanette était une femme curieuse, elle n'avait jamais assisté à un exorcisme, et n'en aurait sans doute plus jamais l'occasion. Elle voulait voir ! Elle attendit qu'Anne-Thérèse ait le dos tourné et se faufila dans un étroit placard du salon, celui destiné à recevoir la planche à repasser

 

Scène 1

 

Le prêtre était un bel homme dans la force de l'âge, Anne-Thérèse le conduisit le jusqu'au salon et lui montra du doigt le couple maudit :

 

- Non ! Mais regardez un petit peu ! C'est Satan qui est venue nous pervertir parce que nous sommes un couple qui refuse de se laisser pervertir ! Il n'y a pas d'autres explications ! C'est une abjection ! N'est-ce pas ?

 

L'abbé Xavier n'avait que rarement eu l'occasion de mettre à exécution ses qualités d'exorciste, et en tous les cas jamais dans une circonstance aussi charnelle. Il ne put qu'approuver les propos de la femme, mais cela ne l'empêchait pas de porter un regard trouble sur cet infernal divan où ces deux créatures forniquaient contre nature !

 

- Une abjection, en effet ! Mais faites-moi confiance, les démons qui sont entrés ici ne sauront me résister !

 

Il s'en voulut de ce péché d'orgueil, car après tout rien ne prouvait qu'il réussisse !

 

- En tous les cas, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir ! Rectifia-t-il !

 

L'abbé sortit de sa mallette les ustensiles nécessaires à l'exorcisme. Il alluma ensuite des cierges qu'il disposa un peu partout dans le salon. Puis il prit un morceau de craie et traça à même la moquette un double demi-cercle symbolique enfermant le divan et ses hôtes. Enfin après s'être saisi d'un antique grimoire qu'il tendait ouvert dans sa main gauche, il projeta de l'autre main des gouttes d'eau bénites dans le cercle :

 

- Quittez le corps de ces personnes, esprits pernicieux ! Vas dns le métro, Satanas !

 

Mais d'autres démons devaient traîner dans la pièce, car le prêtre tout en récitant ces incantations ne pouvait s'empêcher de loucher vers le chemisier d'Anne-Thérèse, que la chaleur et l'émotion lui avaient fait déboutonner plus que de raison, et qui laissait deviner une paire de seins à damner un saint…

 

Scène 2

 

N'y tenant plus et perdant tout self-control, l'abbé posa ses mains sur le chemisier blanc d'Anne-Thérèse, et entreprit de lui peloter les seins, sans brutalité, mais sans équivoque ! Notre héroïne en fut si intriguée qu'elle mit quelques temps à réagir. Son éducation ne pouvait admettre qu'un prêtre ne fut pas un saint homme. Elle ne se choqua donc point mais demanda timidement.

 

- Cela fait-il partie de l'exorcisme ?

- Précisément je dois appliquer mes mains sur vos avantages afin d'éloigner toute manifestation de Satan !

 

Etait-ce parce que le lieu était envoûté, ou était-ce par un excès de confiance envers le père Xavier ? Toujours est-il que les caresses explicites de ce dernier commençaient à envoyer des ondes de désirs dans le corps d'Anne-Thérèse. Et constatant que l'entre jambe du prêtre se modelait d'une bosse vivace, elle porta un regard interrogateur à l'homme d'église :

 

- Laisse aller tes pulsions mon enfant ! Nous sommes en situation exceptionnelle. Il faut vaincre Satan sur son propre terrain, le mal par le mal, le péché par le simulacre du péché

 

Elle ne fut pas sûre de comprendre complètement cet obscur charabia, mais toujours est-il que c'est avec une étonnante spontanéité qu'elle sortit alors la bite de l'abbé Xavier et qu'elle entreprit de lui tailler une pipe avec une passion toute dévote !

 

Scène 3

 

Sans qu'il sache dire comment cet évènement avait pu se produire, l'abbé Xavier s'aperçut qu'il était à présent à l'intérieur du cercle infernal, ce cercle qu'il était normalement chargé de briser !

 

Il était là sur le canapé, la bite à l'air en train de se faire divinement (oh !) sucer par Anne-Thérèse, tandis que juste à côté, Robert se faisait faire la même chose par Elodie.

 

Fanette, elle, était sortie de son placard, et les yeux hagards, et le torse dépoitraillé, elle se masturbait violemment en s'introduisant le manche d'un plumeau dans sa chatte !

 

Puis Robert pénétra Elodie qui ne pouvant rester la bouche inoccupée s'empara de celle de l'abbé, tandis qu'Anne-Thérèse lui caressait les couilles

 

C'est à ce moment qu'un léger courant d'air apporta avec lui de culinaires effluves. Un plat que Fanette avait fait mijoter. Instinctivement notre abbé s'en lécha les babines, tandis qu'il essayait d'en deviner la nature exacte.

 

- De la ratatouille probablement !

 

Par association d'idée, il se remémora certaines formules farfelues, qu'on lui avait communiquées pendant sa formation. Il se souvenait qu'on lui avait dit que certaines d'entre-elles étaient si efficaces sous leur aspect grotesque qu'il y avait souvent grand danger à les employer.

 

- Si j'essayais !

 

Et devant l'assistance médusée notre abbé fit cette docte injonction en désignant Elodie d'un doigt accusateur :

 

- Ratatouille ! Je te transforme en grenouille !

 

Il faut croire que la formule était la bonne, car instantanément, la lumière baissa, les rideaux se mirent à virevolter comme victime d'un vent invisible, la température de la pièce chuta de plusieurs degrés. Et, Elodie transformée en batracien s'échappa en bons successifs, pour finir par atteindre la fenêtre et disparaître dans le vert gazon du jardin.

 

L'incident troubla l'abbé, qui ne s'attendait certes pas à un tel résultat, il resta interdit, tandis qu'Anne-Thérèse reprenait sa fellation un moment interrompue. Robert quant à lui semblait avoir oublié jusqu'à l'existence d'Elodie et entrepris de sucer la chatte de son épouse avant de la pénétrer en levrette.

 

Scène 4

 

Anne-Thérèse reprit un instant ses esprits. La première chose qu'elle fit fut d'inviter sèchement Fanette à débarrasser le plancher, puis elle abandonna l'abbé ! Elle estimait à ce moment-là qu'il fallait qu'elle se rapproprie son mari, au comportement un moment égaré, et cela sans fioritures ni fantaisie extérieure à leur couple.

 

Robert la besognait avec une fougue et une bestialité inhabituelle faisant se tortiller d'extase son épouse. En même temps il lui massait les seins, ces gros seins douillets qui se balançaient violemment à chaque poussée du membre bandé. L'abbé Xavier contemplait la scène avec intérêt !

 

- J'ai réussi ma mission ! Se dit-il avec fierté ! Maintenant tout est rentré dans l'ordre, la ferveur conjugale brûle à nouveau entre le mari et la femme. C'est même un vrai brasier !

 

Scène 5

 

Le couple revint sur le canapé pour s'y reposer quelques instants. Anne-Thérèse prenait soin de masturber son mari afin que son érection ne faiblisse pas. Son regard s'égara un instant sur la pine de l'abbé. Il lui sembla alors injuste que ce saint homme qui venait de sauver son couple ne bénéficie pas lui aussi de sa main habile. Et voici notre Anne-Thérèse qui masturbe les deux hommes. Et tandis que son mari lui tripotait la chatte, l'abbé lui tripotait les nichons. Ce dernier ne réalisait plus très bien. Trop de choses venaient de se produire en si peu de temps. Alors il osa demander :

 

 

Anne Therese

 

 

- Anne-Thérèse, sucez-moi encore, je veux encore sentir votre bonne langue me titiller la pine !

- Mais comment ? L'exorcisme n'est-il point terminé ?

- Non ! Le démon est parti, mais il rode autour de la maison. Nous devons éliminer ses moindres traces et le déstabiliser en mimant les actes interdits !

 

Anne-Thérèse eut pour la première fois l'ombre d'un doute sur les motivations profondes de l'homme en soutane, mais exauça néanmoins son désir et tandis qu'elle chevauchait la pine de son époux, elle suçait avidement la queue fièrement dressée de l'exorciste.

 

Scène 6

 

Anne-Thérèse jubilait ! Un déclic s'était produit, elle venait de découvrir que varier les plaisirs de la chair peut apporter une extase insoupçonnée ! Il lui faudrait sans doute plusieurs jours pour analyser tout cela, mais il lui semblait que continuer à militer pour une vertu décalée en compagnie d'hypocrites était un exercice bien vain ! Hypocrite ! L'abbé ! Certes ! Et son mari ne valait guère mieux ! Restait cette étonnante grenouille ! Il faudrait qu'elle réfléchisse ! Qu'elle réfléchisse ! Oh sa pauvre tête tournait ! Demain les questions ! L'orgie est là ! Replongeons dedans !

 

- Votre pine est aussi bonne que celle de mon époux ! Murmurât-elle en soupirant. Il est vraiment dommage que vous ne l'ayez pas utilisé pendant si longtemps ! Ajouta-t-elle, moqueuse !

 

L'abbé Xavier avait autre chose à faire que d'analyser les curieuses allusions d'Anne-Thérèse et comme lui aussi voulait profiter jusqu'au bout de la situation il se mit à lécher avec application la chatte dégoulinante de son hôtesse.

 

Scène 7

 

Elle voulait savoir jusqu'où irait le prêtre, mais surtout, elle voulait savoir jusqu'où elle-même irait. Alors, abandonnant un instant sa fellation, elle chevaucha l'abbé Xavier, occupant sa bouche insatiable à sucer la pine de Robert.

 

Scène 8

 

L'abbé Xavier se sentait maintenant prêt à jouir. Il voulut le faire dans la bouche d'Anne-Thérèse. Celle-ci n'eut que quelques mouvements de fellation à accomplir avant que le sperme chaud ne s'écoule dans son gosier. Peu habitué à ce genre de chose, elle en recracha un petit peu s'en dégoulinant le menton.

 

Elle se coucha alors par terre, releva à demi les jambes, récupéra le plumeau qu'avait abandonné la femme de ménage et entrepris de se le pénétrer en criant de rauques :

 

- Encore ! Encore !

 

Effrayé par la tournure des événements, et le désir étant retombé le prêtre se rhabilla très vite, bredouilla quelques incompréhensibles paroles et s'en fut !

 

Le rideau tombe sur la scène, mais la pièce n'est pas finie !

 

Epilogue

(Se joue à rideau fermé !)

 

L'abbé Xavier est sur le chemin du retour, il s'approche du presbytère, et plaçant machinalement sa main dans sa poche il sent quelque chose de froid et de vivant. D'abord affolé, il sort la chose et découvre une belle grenouille :

 

- Embrasse-moi beau brun et je te ferais connaître l'extase !

 

Alors l'abbé hésite, il regarde autour de lui, la rue est vide, il rebrousse chemin !

 

- Alors beau brun, tu ne veux vraiment pas m'embrasser, je suis la reine du sexe !

- Si ! Si ! Mais d'abord je cherche un petit hôtel tranquille !

 

© 2000 Ursulin Neveway

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Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

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Mardi 28 novembre 2000 2 28 /11 /Nov /2000 11:49

Robert au confessionnal

par Ursulin

 

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Commune de Boulignac - Centre de la France - Printemps 1999

 

Jean-Pierre était fatigué. La vie de curé de campagne commençait à lui peser, des allers et retours entre cinq paroisses différentes, les messes où les gens se rendaient par habitudes, (ou surtout pour qu'on ne puisse pas dire qu'ils n'y allaient pas) qui ressemblaient plus à une corvée qu'à autres choses, les mariages, les baptêmes et toutes les beauferies qui vont avec, les enterrements et leur cortège d'hypocrisie. Mais le pire c'était peut-être la confession, il y avait ceux qui venaient se confesser pour des queues de cerises et qui n'en finissait pas de radoter des banalités, et puis il y avait ceux qui avaient quelque chose à dire, et ce n'était jamais très beau, les rancœurs de voisinage, les ragots, les cancans, les complots de campagnes et les querelles de foire aux bestiaux, et puis bien sur les éternelles coucheries. C'était de toute façon toujours la même chose, ils racontaient leurs salades, il leur donnait l'absolution, et un mois après rebelote, même confession, même punition. Il en venait à s'interroger sur l'efficacité de cet étrange sacrement.

 

Justement aujourd'hui c'était le jour des confessions. Quand faut y aller, faut y aller ! Jean-Pierre fut étonné d'y trouver cet homme qu'il n'avait jamais vu.

 

- Bonjour, mon fils, je ne vous ai jamais vu !

- Robert H…-Je ne suis pas d'ici !

- On m'a parlé effectivement de deux messieurs de Paris qui travaillerait pour quelques temps à la ferme du Père Daniel !

- Oui ! Nous resterons deux mois !

- Est-il indiscret de vous demander les raisons de ce séjour, avant de commencer la confession ?

- Nous sommes informaticiens, quand le père Daniel est décédé, ses fils ont voulu informatiser un petit peu la comptabilité de l'exploitation. Ils ont demandé un test an 2000 auprès de notre société. Effectivement il faudra deux mois, pour rendre compatible tout cela avec l'an 2000. !

- 2 mois à deux personnes pour ça !

- Oui ! Mon père !

- Ecoutez, je fais un peu de micro-informatique pendant mes rares heures de loisirs. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut tout ce temps-là !

 

Robert décida de ne pas mentir, après tout il parlait à un confesseur.

 

- Bien sûr que non, à la limite en une heure son machin aurait été à niveau, mais ma société lui a fait un devis de 40 jours de travail et les fils Daniel l'ont accepté et signé !

- Mais c'est du vol !

- Oui !

- Et c'est de ça que vous venez vous confesser ?

- Non mon père, car je ne me sens nullement coupable !

- Vous êtes au moins complice !

- Admettons !

- Alors cette confession ?

- Il s'agit de péché de chair !

- Dites-moi tout !

- J'ai couché avec une femme, j'ai donc commis le péché d'adultère !

- Avec une femme du village ?

- Absolument !

- Pouvez-vous me préciser avec quelle créature vous avez commis ce péché ?

- Si vous me le permettez, je préférais taire ce détail

- Mon fils, vos propos sont couverts par le secret de la confession !

- J'entends bien, mais je ne le souhaite pas, peut-être changerais-je d'avis tout à l'heure !

- Avez-vous effectué des pratiques interdites par l'église ?

- Oui ! Bien sûr !

- Comment ça ? bien sûr ?

- Ecoutez mon père, plutôt que de continuer dans les questions réponses, je préférerais vous raconter mon histoire à ma façon, ainsi, nous serons sûrs de ne rien oublier

- Je vous écoute :

- Nous étions là depuis deux jours, et mon collègue devait faire un bref aller-retour à Clermont-Ferrand, n'ayant rien de prévu cette après-midi, je me suis décidé à aller faire un petit tour dans les environs. Au bout d'une heure, je rencontre une belle jeune femme, je l'aborde et lui demande s'il y a des choses intéressantes à voir dans le coin, elle me répond gentiment, m'indique quelques curiosités à visiter, me raconte plusieurs anecdotes. Elle est très gaie, très enjouée. Je la complimente sur sa façon de s'exprimer, on fait un peu plus connaissance, je lui dis qu'elle a beaucoup de charme, elle me répond que moi aussi. Heu ! Je m'excuse de vous donner tous ces détails !

- Je vous en prie continuez !

- Je lui propose assez innocemment de nous asseoir sous un arbre afin de continuer notre bavardage et de nous reposer un instant, elle accepte avec enthousiasme…

- Vous ne voulez toujours pas me dire qui c'est ?

- Pas encore ! Une fois sous l'arbre, nous nous asseyons, je prends prétexte d'une improbable poussière sur sa joue pour lui enlever, et j'en profite pour lui caresser le visage, elle se laisse faire, elle sourit, je m'approche d'elle et je l'embrasse chastement d'abord, puis constatant qu'elle n'est point farouche, je lui roule un patin, mes mains descendent sur son corsage. J'en dégrafe les boutons, et j'ouvre le vêtement découvrant un soutien-gorge bien rempli !

- Certains détails ne sont peut-être pas nécessaires !

- Je crains que si ! Je lui pelote les seins d'abord à travers le soutien-gorge, puis, je glisse mon doigt dans la dentelle, puis un autre doigt de façon à faire sortir le sein ! Elle a de larges aréoles, terminées par de grosses pointes turgescentes !

- Mon fils !

- Je les tripote un peu, puis, je les suce, elle est aux anges !

- Ne serait-ce point la fille du garde champêtre ?

 

Robert fait semblant de ne pas entendre la question du curé et il continue son récit.

 

- La fille, ne voulant pas rester passive, me met la main à la braguette, bien sûr mon engin est tout dur, elle me débraguette avec une étonnante dextérité, en extrait ma pine qu'elle gobe dans sa bouche après l'avoir branlé quelques instants.

- Les détails trop crus ne peut-être pas nécessaires !

- Soudain, elle s'arrête, et m'indique qu'il faudrait mieux aller un peu plus loin, dans un coin ou personne ne pourrait nous voir. On se rhabille un petit peu et on y va. Effectivement il y a en contrebas, un petit bosquet qui me paraît bien tranquille. " On va se mettre ici me dit-elle ! " L'endroit me paraît confortable, le sol est recouvert d'un tapis de mousse. Je me rassieds, je pensais qu'elle en ferait de même, mais elle m'indique qu'elle a une petite envie de pipi, et me demande si je veux voir. Je lui réponds que bien sûr, je veux voir.

 

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- Vous avez exprimé le désir de la voir uriner devant vous ?

- Parfaitement, mon père !

- Elle paraissait très excitée, et elle a enlevé sa robe et sa petite culotte, elle avait une toison pubienne très abondante, cela m'a un peu étonnée

- Passons…

- Et alors elle s'est baissée et elle a lâché son petit pipi, enfin quand je dis petit ! Elle avait en fait une très forte envie, ça n'arrêtait pas. Je l'ai remercié pour le spectacle. Elle m'a alors demandé si j'avais envie, moi aussi, car elle aimerait bien me regarder pisser, je lui ai dit oui. J'ai sorti ma bite…

- Votre verge ! On dit une verge !

- Si vous voulez ! Et elle s'est mise à me la tripoter pendant que je pissais. C'est diabolique ce truc !

- Laissez le diable tranquille aujourd'hui s'il vous plait. !

- Et puis un moment, elle a fait une chose très, comment dire très osée, très spéciale, très vicieuse. Elle s'est carrément placé son visage devant mon jet et elle s'est aspergée, n'hésitant pas à en avaler quelques gouttes. Elle sembla apprécier !

- Dites-moi ! S'agirais-t-il de la fille de l'instituteur ?

 

Une nouvelle fois Robert fit semblant de ne pas entendre la question et continua son récit.

 

- Elle finit de se déshabiller. Sa peau était très blanche, seul le visage et les avants bras étaient halés par le soleil, elle ne devait pas souvent aller en vacances à la plage, elle s'amusa à faire quelques petits pas de danse pour me faire admirer son corps, ses seins un peu lourds étaient magnifiques, mais elle avait surtout un joli petit cul, je le pris à pleines mains pour le malaxer un peu. " Hum ! j'aime qu'on me tripote les fesses " disait-elle

- Epargnez-moi les dialogues !

- Elle me dit par taquinerie qu'elle n'était décidément pas sage et qu'elle méritait la fessée. Entrant dans son jeu, je lui demandais si elle en voulait une, et comme elle me répondit " oui ", je lui donnais quelques petites claques sur le cul, sans brutalité bien sûr, mais son fessier devint malgré tout très vite rouge comme un coquelicot.

- Mon dieu !

- Quand elle en eut assez, elle s'allongea alors sur le sol, et me demanda de venir la rejoindre, nous nous sommes alors placés en soixante-nef, et pendant qu'elle me pratiquait une pipe experte, je lui broutais son minou encore dégoulinant d'urine. Je la fis jouir assez rapidement, mais en ce qui me concernait, je souhaitais la pénétrer. Le problème c'est que je n'avais pas de préservatif, et elle s'y opposa, j'allais lui proposer alors qu'elle me suce à fond, quand elle m'offrit gentiment de finir dans son petit trou, à condition toutefois que ce soit elle qui dirige les opérations (comme elle disait). Je me couchais donc sur le tapis de mousse, et elle s'empala sur ma bite, contrôlant elle-même l'introduction. J'éjaculais dans son cul quelques minutes plus tard. Voilà

- C'est fini !

- Ben oui ! Après elle ramassa ses petites affaires, se rhabilla. Je fis de même ! Elle me dit que maintenant il fallait qu'elle y aille, elle me fit un petit bisou sur le bout du nez, et on est allé chacun de son côté !

- Et c'était qui ?

- Non, mon père je ne peux pas vous le dire ?

- Ah ! Mais bien sûr ! C'est la charcutière ! C'est cela c'est la charcutière ?

- Je ne vous le dirais pas !

- Comprenez que dans ce cas je ne puis vous donner l'absolution, vous êtes en état de péché mortel…

- Au revoir, mon père !

- Mais ne partez pas ! Je…

 

Mais déjà Robert s'était levé et franchissait le seuil de l'église. Sur un banc, dans le petit square en face son collègue l'attendait en lisant un magasine

 

- Alors ?

- Alors, ça y est j'ai dégoté trois super bonnes adresses !

 

© 2000 Ursulin Neveway

 

 

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Mercredi 8 novembre 2000 3 08 /11 /Nov /2000 15:38

Marika Lynn par Jean-Seb

 

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Marika est au volant de sa voiture (ou du moins celle de son époux) elle rentre chez elle en banlieue parisienne. Ce voyage à Bordeaux n’a rien eu d’une partie de plaisir. Un enterrement n’est jamais drôle, même s’il s’agit d’une belle-mère qui la détestait. Son mari est resté quelques jours afin de régler un certain nombre de détails, il rentrera en TGV.

Marika est une femme plutôt grande, (1 m 75) Elle est bronzée (les seins aussi, et ceux-ci sont de taille moyenne 85 C). Elle a les yeux verts, les cheveux courts à peine bouclés, mais qui lui couvrent la nuque. Elle est (presque) toujours souriante. Elle est vêtue au moment où débute notre histoire d’une petite jupe blanche assez courte et d’un caraco bleu ciel en dessous duquel elle n’a pas mis de soutien-gorge, ce qui pour elle reste exceptionnel. (Pardon ? Est-ce qu’elle a une culotte ? Bien sûr qu’elle a une culotte ! Pour qu’elle raison n’en aurait-elle pas ?)

Elle sort de l’autoroute, elle en a marre, et d’abord elle mangerait bien un morceau, la voici maintenant sur une petite nationale qui traverse un tas de petits villages, elle cherche un restaurant, mais ne trouve rien, elle s’arrête néanmoins dans une sorte de bistrot ou elle achète un sandwich. Puis elle repart, pas envie de reprendre l’autoroute, elle continue sur la nationale. Là-bas une femme fait du stop une grande femme avec une grande robe blanche, elle rigole :

–  » La mariée s’est échappée !  »

Elle s’en approche et s’arrête à sa portée :

– Je vais à Paris !

Whaa ! La voix pas possible, encore une qui doit fumer ses 50 gitanes par jour !

– Je peux vous emmener jusqu’à Rambouillet !
– Ce sera très bien ! Merci !

 » Maintenant que je me suis arrêtée, je me sens un peu obligée de la prendre, j’espère qu’elle ne va pas bombarder tout le long du chemin !  »

– Autant vous prévenir tout de suite, c’est une voiture non-fumeur !
– Ce n’est pas un problème, je ne fume presque pas !

 » Elle se fout de ma gueule !  »

Marika la regarde, elle a un look marrant, très grande, mince, peu de poitrine, mais un peu quand même, le visage est assez allongé, elle a de longs cheveux roux bouclés et surtout un grand nez pas possible.

 » C’est ce qui fait son charme !  »

Elle est assez mignonne, assez pour réveiller certains démons qui ont décidément beaucoup de mal à rester tranquilles. Quelque chose cloche quand même, mais Marika ne sait pas encore dire quoi.

– Les vacances sont terminées ?
– Ben oui, hélas !
– Vous étiez où ?
– A Lacaneau !
– Je connais ! Je reviens de Bordeaux.
– Vous étiez où ?
– Je n’étais pas en vacances, je reviens d’un enterrement !
– Je suis désolée !

La conversation s’arrête, elle jette un coup d’œil sur son visage, et soudain :

Déclic !

Quelques imperceptibles poils sur le visage repoussent ! Un travelo ! Ou tout simplement une pauvre fille qui a des problèmes d’hormones. Et puis cette voix trop rauque. C’est instinctif, elle jette un coup d’œil dans l’entre jambe de la créature, mais l’ampleur de la robe l’empêche de découvrir le moindre indice, elle jette néanmoins un 2ème, puis un 3ème coup d’œil.

– Vous cherchez quelque chose ?
– Oui ! Mais je vous dirais pas quoi !

– Vous êtes en train de vous demander si je suis un travesti ou pas ! Alors autant vous le dire tout de suite : oui, je suis un travesti, mais rassurez-vous je ne mords pas, et si ça vous insupporte, vous vous arrêtez et je descends, ça m’aura toujours fait gagner 5 kilomètres !
– Ça ne m’insupporte pas comme vous dites, mais vous auriez pu le dire !
– Le dire ? Vous voulez que je fasse du stop avec un panneau « attention travelo » ?

Elle se rend compte de sa bévue.

– Excusez-moi ?
– Mais je vous en prie, vous êtes charmante !
– Vous allez me draguer à présent ?
– Pourquoi pas ? Mais je ne ferais rien sans votre permission !
– C’est gentil ! Mais vous n’avez pas peur en faisant du stop de faire de mauvaises rencontres ?
– Non ! Habillée comme je suis, beaucoup de voitures s’arrêtent, et j’en refuse un sacré paquet !
– Vous faites comment pour refuser ?
– Je leur demande s’ils vont à Bayonne, comme c’est l’autre direction…
– Et s’ils disent oui ?
– Je leur dis que finalement j’ai changé d’avis et je m’éloigne…
– Je vais vous dire un truc, les travestis m’ont toujours fascinée, j’ai toujours rêvé de discuter avec. Ça vous embête si je vous pose plein de questions ?
– Non pas du tout !

Il se met à bâiller

– C’est quoi ton prénom ?
– Gilda !
– Enchanté, moi c’est Marika, et tu peux me tutoyer.
– Ok ! Ça t’embête si je ronfle une petite heure, j’ai pas dormi de la nuit, et après c’est promis, je réponds à toutes les questions.
– Non vas-y, fais dodo !

Gilda s’endormit quasi instantanément, il ronflait littéralement. Charmant bruit de fonds. Le temps passe, la route défile. Elle ne se décide à le réveiller qu’en arrivant en région parisienne !

Marika ne peux s’empêcher de regarder le visage de Gilda. Lui vint une folle envie de l’embrasser sur ses lèvres, et aussi sur son joli nez atypique.

– Dis donc Gilda ! Faudrait penser à te réveiller, on arrive dans 10 kilomètres !
– Je suis désolée, j’étais crevée !
– J’ai bien vu ! C’est dommage j’aurais bien discuté !
– On peut toujours !
– Je peux être très indiscrète ?
– Vas-y toujours !
– Sexuellement tu vas avec les garçons ou avec les filles ?
– Les deux, je suis complètement bisexuelle. Quoique les choses ne sont pas si simples, si j’avais été une vraie fille, je crois que je serais devenu lesbienne, mais pas lesbienne exclusive, parce qu’une bonne queue quand même… heu, je ne te choque pas ?
– Non pas du tout, continue !
– En fait le super pied, c’est quand je vais avec un autre travesti !
– T’es pressée de rentrer ?
– Non pas spécialement ! Pourquoi ?
– T’avais quelque chose de prévu ce soir ?
– Non rien !
– Je t’invite chez moi, on se fait une petite bouffe, et j’aurais enfin ma discussion, t’es d’accord ?
– Mais bien sûr !
– Et après, je te raccompagnerais à la gare ! Remarque tu peux même coucher à la maison, si tu veux !
– Mais je suis prêt à toutes les éventualités, chère amie !

Elle s’apprête à lui demander si elle lui plaît, mais se ravise, elle a le temps désormais.

C’est vers 20 heures que Marika se gara devant son petit pavillon de banlieue.

– Je suis un peu crevée ! Je prendrais bien une douche, mais d’un autre côté j’ai une faim de loup. Qu’est-ce que tu en penses, toi ?
– J’ai un petit creux moi aussi ! répondit, Gilda tout sourire.

Après avoir fait l’inventaire des boites de conserves et inspecté le frigo, Marika poussa un soupir d’agacement !

– Je t’invite, et j’ai rien à bouffer ! On va appeler le traiteur ! Pizza ou Chinois ?
– Pourquoi pas chinois ?
– OK !

En attendant l’arrivée du livreur nos deux complices allèrent s’asseoir quelques minutes dans le jardin. Marika dévisageait Gilda, s’amusant de l’état quelque peu altéré de son maquillage sous lequel les poils de la barbe commençaient à se voir un peu trop. Malgré tout, le charme que dégageait cette créature était certain. Marika eut une idée :

– Tu sais ce qu’on va se faire On va faire un petit repas de fête, on va aller chercher une bonne bouteille, on va mettre une nappe, allumer des bougies, et puis on va se faire belles. Tiens ! Si tu veux te remaquiller un petit peu, j’irais après !

Gilda n’était pas folle, elle reçut parfaitement le message, récupéra sa petite trousse de toilette dans son grand sac et entreprit de rectifier tout cela.

Elle arriva rayonnante, dans la salle à manger, où le livreur chinois venait juste d’apporter les plats. Ils dégustèrent ensemble quelques nems et du canard laqué agrémenté de riz cantonais. Elles burent aussi plusieurs verres d’un bordeaux qu’on disait excellent. Marika n’en pouvait plus de regarder cette créature qui lui faisait face et qui la faisait mouiller d’excitation. Elle avait une façon quand elle parlait de se croiser les mains doigts tendus, mettant en valeur ses beaux ongles vernis. Des doigts faits pour la caresse ! Marika se demandait comment elle allait attaquer, mais ce fut Gilda qui fit le premier pas. D’une façon complètement innocente, elle se leva de sa place, vint se placer derrière la chaise de Marika, et lui mit les mains sur les épaules. Du bout des doigts, elle entama un mini massage.

– Délicieux ton petit repas !

Marika tourne légèrement son visage. Gilda se penche. Marika entrouvre la bouche et se passe la langue sur les lèvres. Gilda de sa propre langue vient caresser celle de Marika et les deux complices s’embrassent fougueusement. Un long baiser, un baiser passionné. Gilda fait alors glisser la fine bretelle du caraco de son hôtesse dévoilant un sein dont elle agace le joli téton entre deux doigts fureteurs. Marika ne veut pas être en reste et pelote les seins du travesti à travers l’étoffe. Mais ces vêtements finissent par gêner, elle l’en débarrasse, tandis que la deuxième bretelle de son caraco s’échappe à son tour. Elles sont à présent toutes les deux les seins à l’air.. Ceux de Gilda sont petits, mais très mignons, terminés par de petits tétons qui savent bien se raidir au contact de la langue de Marika. Gilda apprécie la caresse et se pâme de plaisir.

Gilda fait lever sa copine de son siège et en profite pour lui descendre sa petite jupe. C’est à son tour de lécher la poitrine de son hôtesse, une poitrine un peu lourde et pourvue de larges aréoles brunes.

Nos deux diablesses s’embrassent à nouveau tendrement. Marika rigole de sentir le grand nez de Gilda cogner contre le sien un peu à la manière dont les eskimos se disent bonjour. Marika a maintenant mis sa main sur la culotte de Gilda et palpe à travers le tissu la bite déjà raide du travesti.

Tout en continuant de s’embrasser, elles font toutes deux descendre leur culotte. Marika est donc maintenant toute nue, tandis que Gilda est en bas et porte-jarretelles blancs. Son sexe est bien bandé et présente un bel aspect, il est terminé par un ravissant petit gland de couleur rose foncé. Marika n’en peut plus, ce sexe, il lui faut, elle s’agenouille alors devant le travesti et lui lèche l’extrémité du gland, cela a pour effet immédiat de redresser encore un peu plus la chose. Elle continue pendant de longues minutes cette bonne caresse buccale ! Elle adore cela. Quelques gouttes finissent par surgir signifiant par-là que Gilda apprécie hautement cette gâterie. C’est le moment que choisit alors Marika pour commencer une fellation en règle, essayant d’introduire la verge de sa complice du 3ème sexe dans sa bouche, autant que faire se peut.

Elles décident de continuer leurs ébats dans la chambre conjugale. Gilda se couche alors sur le lit et Marika peut alors reprendre sa pipe savante. Cette dernière mouille comme elle n’a que rarement mouillé. Elle a envie de jouir, et sans lâcher de sa bouche la queue du travesti, elle change de position se mettant en 69. Gilda a très bien compris le message et entreprend de sucer la chatte de son hôtesse qui ne tarde pas à jouir et qui s’écroule pantelante, inachevant du coup sa fellation.

Mais personne n’est pressé ce soir, elle prend dans sa main ce joli petit sexe et le masturbe quelques instants. Soudain Marika à une idée. Elle fouille dans le tiroir de la table de chevet et en extrait un gode ceinture

– Tu vois j’ai des drôles de trucs chez moi ! Tu veux jouer avec ?
– Qu’est-ce que tu veux faire avec ça ? Tu vas m’enculer ?
– Si tu veux, oui !
– D’accord !

Marika s’harnache du gode ceinture et le revêt d’un préservatif bien lubrifié, puis elle se couche. Le gode est tout de même de bonne taille. Du coup Gilda s’empale dessus, contrôlant elle-même son introduction. Par rapport à Marika, elle s’est mise sur le côté, un pied entre les jambes de sa partenaire, l’autre à l’extérieur de ses cuisses. L’introduction est assez lente, mais elle parvient à presque tout faire entrer dans son anus, et entreprend alors des mouvements de va-et-vient. Marika en profite pour lui branler la bite qui a maintenant repris bonne forme.

Ginger13.jpgQuand il eut estimé que le  » chemin  » était fait, Gilda quitta sa position et se mit à quatre pattes

– Vas-y encule-moi bien comme il faut, maintenant !

Marika se plaça derrière lui, et après avoir réintroduit le diabolique objet avec l’aide de Gilda qui s’écartait les fesses au maximum, elle commença des mouvements saccadés provoquant les râles de plaisir du travelo

– Ah ! C’est bon ! Je jouis du cul ! C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer !

Elles finirent par s’écrouler sur le lit épuisées, et se reposèrent à nouveau quelques instants.

– Et toi Marika, tu aimes bien qu’on t’encule ?
– J’aime tout, moi, je suis une vraie cochonne ! Allez viens me la mettre !

A ces mots Marika s’empara à nouveau du sexe de Gilda pour le revigorer d’une main experte, et se plaça en paresseuse, invitant le travesti à la sodomiser. Sa bite rentra facilement. Mais Marika aimait bien rester maîtresse de la situation, et elle préféra finir cette enculade en chevauchant Gilda, et tandis que de son corps, elle faisait coulisser le sexe dans son anus, de son autre main elle se branlait le clitoris, les yeux fermés, ivre de plaisir. Elle ne tarda pas à jouir de nouveau. Alors Gilda de par en dessous donna quelques vigoureux coups de reins, pour jouir à son tour, éjaculant dans les entrailles de son hôtesse d’un soir !

– Un jour il faudra que tu viennes quand mon mari sera là !
– Pas de problèmes !

(voilà qui pourrait faire l’objet d’une autre histoire !)

Jean-Sébastien Tiroir – 1992 – revu et corrigé en 2000/2001/2022 ©

monsieur_tiroir@hotmail.com

Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour janvier 2001

 

Seule version autorisée, tout droit réservé.

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Vendredi 1 septembre 2000 5 01 /09 /Sep /2000 12:27

Pastichette se déchaîne

par Jean-Seb


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Hello ! Je m'appelle Orelia, et j'ai eu 18 ans très récemment, je vous livre quelques pages parmi les plus chaudes de mon journal intime

 

Jeudi 1 juin

 

Demain c'est mon anniversaire. Que vont-elles m'acheter ? Je dis "elles" car nous allons faire cela en petit comité, il y aura ma mère, (qui à 40 ans est encore une femme superbe !), ma Tante Sidonie que j'adore et ma grande sœur Bénédicte. Mon père ne sera pas là, il est en prison et on ne veut pas me dire pourquoi !

 

Vendredi 2 juin

 

Oh là, là ! Que d'émotions, ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire, Après un bon repas préparé par ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe, on ne le répètera jamais assez) celle-ci est allée chercher le dessert. Ma première réflexion fut de m'étonner que les bougies ne soient pas allumées.

 

Je m'aperçus ensuite que ce n'étaient pas des bougies qui ornaient mon gâteau d'anniversaire, mais des godes, 18 godes plantés dans le gâteau au moka !

 

J'embrassais ma mère et ma sœur pour les remercier, puis alors que je m'apprêtais à déposer un chaste baiser sur les douces joues de ma tante Sidonie (qui elle aussi à 40 ans est également une femme superbe !) Cette dernière dévia mon visage afin de coller ses lèvres contre les miennes, et me roula carrément un patin. Quel plaisir divin de se faire rouler une pelle par sa douce tata, je me laissais faire bien sûr. Elle me précisa que ce baiser faisait aussi partie des cadeaux.

 

Bon ! C'est pas tout cela, mais il fallait bien le manger, le gâteau, je fis la remarque qu'il manquait les petites assiettes et les cuillères :

 

- Inutile ! Dit ma sœur. Regarde comment on va faire !

 

Se saisissant de l'un des godes, elle l'enfonça dans le gâteau, le ressortit et le lécha. Voilà une excellente idée. Nous étions toutes les quatre en train de sucer nos godes plein de crème au moka ! Bien sûr ce genre de situation excite, et Tata Sidonie fut la première à enlever sa culotte, pour faire un usage un peu plus classique du godemiché. Quelques instants après elle en prit un deuxième afin de combler son petit trou qui devenait jaloux. Nous n'avons pas tardé à imiter Tata Sidonie (qui à 40 ans est toujours une femme superbe !). Tata Sidonie a voulu m'assister dans cette tâche, pensant que je manquais de pratique (si elle savait la pauvre !). Je me suis laissé faire. Elle m'a aussi demandé de lécher le gode qu'elle s'était introduite dans la chatte, j'ai pu ainsi déguster les saveurs intimes de ma Tata, et c'est moi qui lui ai demandé ensuite de lui nettoyer le gode tout merdeux qu'elle s'était carrée dans le cul. Ensuite Tata m'a demandé de la lécher pour la faire jouir. Cette partie à quatre a alors duré jusqu'à notre épuisement complet.

 

Mardi 6 juin

 

J'ai bouffé trop de gâteau, j'ai été malade, ce matin ça va mieux, j'ai 18 ans, le monde est à moi. Avec l'argent de poche que j'ai eu, je vais renouveler ma garde-robe. Je m'habille très très court, je mets le plus beau des 18 godes dans mon sac à main et je me décide à commencer par le marchand de chaussures. En pleine rue, je me dis que je n'aurais pas dû mettre de culotte, alors je la retire dans l'indifférence générale.

 

J'essaie quelques godasses, la vendeuse est mignonne, et je m'arrange pour qu'elle remarque mon absence de culotte. Mais elle fait semblant de ne pas voir, cette pétasse

 

- Ça ne vous dérange pas que je n'ai pas de culotte ?

- Mais pas du tout, nous avons l'habitude, si vous saviez le nombre d'exhibitionnistes qu'il y a chez les marchands de chaussures !

 

Ça me contrarie ce genre de réponse parce que ça ne correspond pas au scénario que j'avais dans la tête, alors je me décide à forcer la dose, je sors mon gode et me l'enfonce dans la chatte, puis je fais démarrer les piles du vibrateur. Quelques personnes se détournent juste un peu, mais c'est tout ! Un type se pointe devant moi :

 

- Je suis le directeur du magasin, veuillez me suivre !

 

J'accompagne le mec dans une arrière salle, j'espère qu'il va me violer, j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience !

 

- Nous, vivons, mademoiselle dans une société, où il est nécessaire de respecter les valeurs morales judéo-chrétiennes. Ce que vous n'êtes vraiment pas en train de faire. Je vais donc appeler les flics sauf si vous consentiez à me faire une petite turlutte !

- Ok !

 

Le type avait une bite monstrueuse, je léchais un peu son gros membre parcouru de grosses veines bleues, mais j'avais du mal à mettre dans ma bouche son énorme gland violacé. Pourtant au bout de trois minutes il me lâcha une considérable giclée. Je croyais que l'affaire allait en rester là, mais il m'indiqua qu'il rebandait déjà et m'intima l'ordre de me tourner afin qu'il m'enculât.

 

Ayant peur que cet engin surdimensionné me déchire le fondement, je décidais de fuir et me mit à courir. En traversant le magasin, je trébuchais sur une boite à chaussures et m'affalait, le cul à l'air. Deux vendeuses m'empoignèrent et me ramenèrent manu militari dans l'arrière-boutique.

 

- Laissez-vous faire, ce n'est une formalité !

 

Il me fit très mal, mais comme dans les histoires, après la douleur vint le plaisir et c'est toute contente que je sortis du magasin avec mes chaussures à l'œil.

 

Tout de même si on ne peut pas venir acheter des chaussures sans culotte, sans se faire enculer, où va-t-on ?

 

Mercredi 7 juin

 

Je cherche un petit ensemble, j'en trouve un super mignon, il faut que je l'essaye, je vais donc dans une cabine. Ils sont fous dans ce magasin, ils mettent des rideaux aux cabines, je laisse bien sûr la mienne ouverte et me déshabille, j'essaie le truc. Il me va très bien, je me déshabille à nouveau et dans la foulée j'enlève aussi mes sous-vêtements. Les gens passent, mais ne s'arrêtent pas. C'est désespérant. Je renouvelle la tactique de la veille et je sors mon gode en réglant le vibrateur à fonds. Une bonne femme arrive en pétard !

 

- Si vous n'arrêtez pas, j'appelle la sécurité !

 

Je ne réponds pas, j'espère bien que la sécurité va venir, j'espère aussi qu'ils vont me violer (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience). Ça y est la sécurité arrive. C'est un grand gaillard d'environ 1 m 98 !

 

- Mademoiselle, votre jouet dépasse le maximum de décibels autorisés dans cet établissement, si vous pouviez le régler ?

- Je ne sais pas faire !

- Donnez !

 

Et joignant le geste à la parole, il m'enlève le gode, baisse le vibrateur, et le remet en place

 

- Euh ! Il était bien dans cet orifice ?

- Non dans l'autre !

- Alors excusez-moi ! Je vais le remettre ou je l'ai trouvé, bonne journée Mademoiselle !

 

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Le goujat, il ne m'a même pas violé. Une fille rentre, une belle fausse blonde

 

- Toutes les cabines sont prises, ça ne vous dérange pas si je rentre ?

- Non, non !

 

La fille baisse son pantalon et sa culotte, s'accroupit et se met à pisser au milieu de la cabine d'essayage, provoquant la création d'une énorme marre d'urine

 

- Hé, mais qu'est ce que tu fais ? C'est des cabines d'essayage, ici pas des chiottes !

- Non, non ! Les cabines d'essayages se ferment de l'intérieur

- Mais les chiottes aussi !

- T'as raison, c'est super mal indiqué !

- T'es lesbienne ?

- Cette question ? Bien sûr ! Toutes les femmes sont lesbiennes !

- Ça te dirait de faire des trucs avec moi ?

- Non désolé, je ne fais cela qu'avec ma sœur, c'est beaucoup plus joli !

- Et pourquoi c'est plus joli ?

- Parce que l'inceste c'est beau ! Si tu ne comprends pas ça, c'est que t'es lourde !

 

Jeudi 8 juin

 

Bon c'est pas tout cela, mais on m'a pas encore violé (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience) Je décide de forcer la chance et je prends un train de banlieue aux heures creuses, je m'installe dans un wagon à moitié vide, il n'y a que trois loubards dans le fonds, et un vieux monsieur qui est à moitié planqué derrière un journal. Je retire ma culotte devant leurs yeux médusés et commence à jouer avec mon gode.

 

- Wha ! T'as vu l'autre salope ?

- Je t'ai toujours dis, il n'y a pas plus vicieux qu'une femme !

 

Evidemment ils s'approchent. Il faut que je résiste un peu, sinon c'est plus du viol (ben oui, le viol c'est comme le football, ça a des règles très strictes !)

 

- Laissez-moi tranquille !

- Wha l'autre ! Elle allume les mecs, et elle voudrait qu'on la laisse peinarde dans son coin. T'es qu'une grosse pute ! T'es qu'une salope !

 

Hmmmm, ça m'excite tous ces mots doux !

 

- On va te prendre tous les trois et on va t'enculer ! Tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite !

- Laissez-moi tranquille, vous n'avez pas le droit !

- On va se gêner !

 

Et après avoir rigolé grassement, déjà deux d'entre eux m'immobilisent, le troisième s'approche de moi, son haleine sent la bière trop forte et le big mac mal digéré. Il sort son énorme bite (les violeurs ont toujours des bites énormes) mal lavée et sans préliminaires me la fourre dans le con (c'est plus littéraire de dire con que chatte, personne ne parle comme ça, mais ça ne fait rien). Il jouit illico presto. Ils me retournent et le deuxième s'attaque carrément à mon trou du cul. Je hurle ! Il me fait très mal ! Il ne s'occupe évidemment pas de mon propre plaisir et ne pense qu'a lui, il ressort son énorme pieu et me le fourre dans la bouche tandis que le 3ème le remplace derrière. Je nettoie la bite du 2ème. Elle ne sent vraiment pas la rose, mais que voulez-vous un viol c'est un viol, je ne vais pas en modifier les règles ! Le troisième n'arrive pas à jouir. Mon cul est en marmelade. Tout d'un coup l'un des loubards, se rappelant la présence du petit vieux à l'autre bout l'appelle !

 

- Viens là toi, y a du spectacle !

 

Le type ne bronche pas

 

- Viens ici ou alors on t'encule !

 

Le type affolé se précipite vers le signal d'alarme ce qui ne tarde pas à immobiliser le train. Les trois loubards sautent par la portière et disparaissent dans la nature. Dans la foulée ils ont eu le courage et la bonté de me piquer mon sac à main. Les braves violeurs ! Qu'ils étaient beaux mes violeurs !

 

Quand même quand on y pense, se faire prendre comme cela par des individus mal lavés, mal éduqués, à moitié bourrés, qui ne respectent pas les femmes, qui nous insultent, nous considèrent toutes comme des salopes, disposent de notre corps comme des brutes en ne pensant qu'à leur propre plaisir, en nous faisant mal ! Quel pied ! Et en plus ils piquent les sacs à main. Tiens, rien que d'y penser, je mouille !

 

Vendredi 9 Juin

 

Je vais passer chez Pépé ! Pépé c'est mon grand-père maternel, donc le père de ma mère, je vous ai, je crois parlé de ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe) Ma mère est fâchée avec son propre père depuis qu'elle a surpris ce dernier en train d'enculer son mari (donc mon père, vous suivez ?) Ce sont des choses qui ne se font pas. La sodomie est chez la femme un plaisir exquis, c'est le dessert de l'acte, et même si ça fait mal, quel plaisir de voir cette douleur se transcender en plaisir (au fait j'ai encore mal au cul suite à mes conneries d'hier). Tandis que chez l'homme la sodomie est un avilissement honteux.

 

Mais j'aime bien mon pépé ! Il est encore bel homme et n'a que 56 ans.

 

- Je suis venue pour que tu me souhaites mon anniversaire !

- Bien sûr je ne te vois que pour cela ! Alors cette fois désolé, pas de nouvelle pendant un an et aujourd'hui tu te pointes comme un cheveu sur la soupe !

- Dis pépé c'est quoi l'inceste ?

- Tu ne vas pas me reparler de cette histoire, on était bourrés et entre beau-père et gendre, ce n'est pas de l'inceste !

- Et si on faisait des trucs tous les deux ce serait de l'inceste ?

- Oui ?

- Ça te tente ?

- Non !

 

Il m'énerve, il ne veut pas me donner d'argent, et voilà qu'il se met à avoir des principes !

 

- T'as vu ? Je n'ai pas de culotte !

 

Il devient cramoisi.

 

- Et je vais te montrer comment je joue avec mon petit gode !

 

Le pépé sort alors son énorme gland et s'avance vers moi. Je recule !

 

- L'argent d'abord !

- Mais t'es une vraie pute !

- On ne parle pas comme cela a sa petite fille !

 

Il va chercher quelques billets

 

- Encore un effort !

- C'est tout ce que j'ai !

- Alors c'est juste une pipe !

 

En sortant, je me demandais ce que cet acte avec ce vieux dégoûtant m'apportait de plus ! Mais je me disais que l'essentiel était de l'avoir fait, de pouvoir me dire que je l'avais fait et de pouvoir écrire que je l'avais fait.

 

Ce week-end je me repose, lundi j'ai rendez-vous chez Sonia car je veux absolument essayer Kiki. Kiki c'est son doberman !

 

FIN

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Postface du webmaster :

Un pastiche bien sûr ! Un pastiche d’histoires que l’on trouve ici et là, (mais pas sur ce site) Publié à l’origine sur l’excellent site de Revebebe, certaines des illusions passeront ici inaperçues. Ainsi Orelia se réfère à Aurelia, une série mettant en scène une petite délurée n’ayant pas atteint l’âge légal pour ce genre de choses. Les redondances "ma mère qui à cet Age est encore une femme parfaite..." se référaient à un auteur assez grave qui non content de fantasmer sur sa maman, invectivait copieusement les malheureux qui n’avaient pas la bonne idée de partager son fantasme.

 

Tel que, ce récit reste savoureux. Trop de sites d’histoires sont envahis par les histoires de familles tuyau de poêle, et par les histoires de viol ou l’infortunée violée se retrouve toute contente d’être passée à la casserole ! Et tout cela au nom de la liberté d’expression ! Chez ces curieux libertaires, cela semble passer avant le respect de la personne humaine ! N’empêche le père Tiroir dans ce récit à l’immense talent d’une seule phrase et sans aucun didactisme de remettre à leur place les violeurs et leurs thuriféraires ! Merci Jean-Sébastien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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