Lundi 18 décembre 2000 1 18 /12 /Déc /2000 08:47

C'est tout à fait Claire - 1

par Nicolas

bi stampThèmes abordés :  bisex masculine, exhibition, spermophilie, trio.


Cette histoire date des débuts de l'Internet, ce qui explique que certaines précisions techniques soient complétement dépassées, j'aurais bien sûr pu actualiser ! Mais à quoi bon ! Il faudrait encore réactualiser dans quelques années !


Je m'appelle Nicolas, marié, sans enfant. Il me prend parfois l'envie de partir en chasse, j'avais jusqu'à maintenant deux territoires le Minitel (finalement souvent assez décevant !) et la FNAC ? Et bientôt sans doute un 3ème : Internet. A la FNAC j'ai souvent dragué au rayon musique classique (où j'ai eu 2 contacts " racontables " l'un avec un couple dont j'ai perdu - hélas - les coordonnées, et un autre avec une fille qui m'a avoué un peu tard être une semi-pro). D'autres rencontres n'ont abouti à rien (des férus de musique avec lesquels des conversations sans fin ont continué des heures durant dans des bistrots des alentours, mais pas de sexe là-dedans.)


Ce lundi, allez donc savoir pourquoi, quelque chose me démange et je décide qu'après le boulot je me livrerai à une chasse ciblée en abordant systématiquement toutes les nénettes qui hésitent à choisir un disque. Pas méchant comme démarche et au pire j'aurais un échange culturel intéressant.


Il se trouve que l'après-midi je reçois un coup de fil de Chantal (voir l'histoire, le décolleté de Chantal) cette fille amatrice de fessée à laquelle j'avais dispensé des leçons d'Excel. Elle souhaite me revoir, mais pas de suite, cela me donne une idée, au lieu d'aller au rayon musique, je vais essayer au rayon des bouquins sur la micro-informatique.


A ma grande surprise, il ne m'a fallu que 5 minutes de présence et de baratin pour décrocher une série de cours auprès d'une femme 40-50 pas trop mal foutue.


Bon je passe parce que ce n'est pas l'objet du récit mais il faut bien remettre les choses dans leur contexte.


J'ai donné quatre cours à cette femme, je me suis rendu compte que côté sexe, ça ne marchera jamais, mais j'ai continué, j'ai en effet le projet de prendre une semi-retraite dans quelques années et de compenser le manque à gagner par des cours d'informatique, autant tester maintenant si je saurais faire...


Cela dit, elle m'énerve, elle a des côtés très "beauf". Pour les cours ça va, elle suit plutôt bien, mais quand elle se met à aborder d'autres sujets elle n'est vraiment pas très intéressante...


Je cherche plus ou moins à laisser tomber quand un jour, elle me demande :


- J'ai une collègue qui voudrait des cours d'Internet, vous savez faire aussi ?


Je réponds oui, ça ne mange pas de pain et téléphone à cette personne (bon contact, suave voix féminine). Je me renseigne sur un certain nombre de caractéristiques techniques. Puis prend rendez-vous pour le samedi suivant en tout début d'après-midi. C'est en banlieue sud


La fille doit avoir la quarantaine, elle n'est pas très grande, menue, son visage est très fin, elle est brune avec une chevelure un peu courte, le maquillage est très léger, et il émane d'elle une sensation de grand calme. Pas spécialement jolie, mais un certain charme quand même ! Elle est vêtue d'un petit pull-over crocheté noir. Les manches en sont courtes et ses bras nus dévoilent ainsi un insolite léger duvet. Une courte jupette grise toute simple quoique assez courte et un collant noir (à moins que ce ne soit des bas) complètent la panoplie. Elle se présente :


- Bonjour je suis Claire P…


Je me demandais avant d'arriver si elle vivait seule, mais ici les signes d'une présence masculine sont évidents. Elle prend d'ailleurs les devants en m'informant que son mari fait la sieste tous les samedis et que cela durait parfois d'une à quatre heures.


Là encore, je passe, j'avais tout prévu, sauf que la prise du téléphone ne serait pas vraiment proche de l'ordinateur. Je lui demande si elle a un prolongateur de téléphone, elle va donc regarder je ne sais où, me laissant seul. Ça dure ! Ça dure ! J'en profite pour essayer de voir à qui j'ai affaire, je ne vois pas de bibliothèque, mais elle est peut-être enfermée. Je jette un regard sur les CD surtout du jazz, un peu de classique, et tout Brel, tout Brassens, plutôt prometteur ! Je dégotte les CD roms, mais ce sont surtout des jeux et des utilitaires pas vraiment utiles... Pourtant quelques C.D. sont entourés de papier kraft et ficelés avec un élastique, je n'ose les défaire...


Claire revient sans le prolongateur, et me propose d'aller en chercher un dans une grande surface locale. Elle parle peu, c'est au retour qu'elle lâchera :


- J'ai un mari formidable, il ne sait pas quoi faire pour me faire plaisir, mais il est un peu obsédé, il veut s'abonner à Internet pour le cul, j'espère que cela ne vous choque pas.


Je lui réponds un truc du genre "J'ai les idées larges..."


Elle devient soudain plus bavarde et on parle alors de tout et de rien, je comprends alors que son silence de tout à l'heure était dû au fait qu'elle n'arrivait pas à se décider à me dire les véritables motivations de son mari


On installe donc le prolongateur, tandis que Monsieur roupille toujours.


Le temps d'installer le logiciel, d'expliquer ensuite comment ça fonctionne (elle est marrante, elle prend des tas de notes d'une écriture très appliquée) il est environ 16 heures. Et là on passe dans le vif du sujet, mais, à présent, nouvelle difficulté, je me retrouve comme chez moi, mon premier jour de connexion quand je cherchais des sites de cul, c'est à dire très mal. Les " moteurs de recherches " donnent n'importe quoi. Au mot-clé " sexe ", on arrive pêle-mêle, dans des sites de sexologie, dans des études comparées de l'égalité entre les sexes, et même dans des officines anti-sexe, à force de recherche on tombe quand même sur des sites offrant quelques belles photos échantillons, mais pour en avoir plus, il faut payer, ce n'est pas cher, mais ça veut dire qu'on laisse se trimbaler son numéro de carte bleue n'importe où dans le Monde. 


Déception visible de la dame qui "ne pensait pas que ce serait si compliqué..., Mais bon sang ça ne l'est pas ! Comment ai-je fait chez moi ? J'ai tout simplement acheté des revues spécialisées avec des adresses, et d'adresse en adresses j'ai trouvé des sites gratuits et inépuisables. Mais là comment faire ? Je ne trouverais pas ce genre de bouquin dans ce coin paumé. 


Je refais quelques essais, et voilà que le mari apparaît au moment où s'affiche la seule photo gratuite d'un site (une superbe fellation en gros plan). J'imaginais, je ne sais pourquoi, un grand beauf au physique de déménageur, c'est pas du tout cela, c'est un petit bonhomme à lunettes à moitié chauve et très rigolard, un peu dans le genre Michel Blanc. Présentations ! Le monsieur se prénomme Patrick ! Enchanté ! Quand même : quand j'y repense : cela a un côté surréaliste, le mec qui se réveille, qui tombe sur sa femme avec un mec devant une photo de cul... Je continue à patauger, quand soudain je me dis qu'il suffit de téléphoner chez moi et de demander à mon épouse de nous télécharger les adresses par Internet. (Je passe les détails, pour ne pas rallonger). Toujours est-il que quelques minutes après nous avions cette fois des milliers d'images à notre disposition, la manip était facile, mais à leurs yeux je passai pour un magicien. Je demandais au type quelle spécialité de photos, il aimerait voir en particulier, il me répond "les pipes". Allons-y pour les pipes ! En voici plein ! Il n'en peut plus, et du coup va chercher un siège pour s'asseoir à nos côtes. Il pousse des exclamations d'incrédulité :


- Que c'est beau ! Que c'est net ! Que c'est excitant...


Jusqu'au moment où il tombe en arrêt devant une photo qui le fait réagir encore plus que les autres.


- Superbe la nana ! Quelle merveille !


C'est vrai, elle a un visage magnifique !


- Et quelle belle bite ! Ajoute-t-il

- Superbe ! M'entendis-je approuver.


Oups : Voilà que je me mets à avoir une opinion sur la beauté des bites, à présent ! Mais comment me rétracter ! Je regarde à nouveau ! C'est vrai qu'elle est belle cette bite ! Du coup ma vision des choses se modifie complètement et ce qui devait être absolument inconscient jusqu'ici devient évident. On peut raisonner par l'absurde, les bites me dégoutteraient, je ne regarderais jamais de porno (d'ailleurs ce genre de comportement existe !). Le petit "plus" qui fait que l'on regarde une bite autrement qu'avec indifférence est-il le premier pas vers l'affirmation d'une certaine bisexualité ? Me voici en plein rêve ! Et l'autre, sans doute encouragé par mon lapsus qui ne se retient même plus !


- Quelle merveille ! Ça c'est de la bite, et regarde comme elle le suce, comme elle a l'air contente !


Ce n'est pas possible ! Il va nous faire une crise d'apoplexie. Et tout d'un coup le voici qui se lève de son siège :


- C'est pas possible ! Ça m'excite trop ! Claire, il faut que tu me fasses une pipe !

- Mais, enfin, chéri on n'est pas seuls !

- Mais monsieur en a vu d'autres !


Je me demande à ce moment-là s'il dit cela pour s'excuser de sa précipitation ou s'il s'agit d'une invite, et je ne sachant trop quoi répondre, je balbutie une idiotie du genre :


- Ne vous gênez pas pour moi !


Claire me regarde, me fait un geste désabusé des bras !


- Il est complètement fou !


Puis s'adressant à moi :


- C'est vrai, que ça ne vous dérange pas ? Remarquez, si vous êtes un peu voyeur, ça vous fera un petit spectacle !


Elle me dit ça avec un petit sourire, d'une voix très douce, sans aucune ironie. 


Patrick me lance un regard interrogateur. Je lui confirme d'un signe de tête qu'il peut y aller. Alors, le voici qu'il sort sa queue effectivement toute bandée que Claire engloutit aussitôt. Je n'ai quant à moi pas le temps de réfléchir davantage, que sur une proposition de son mari, la même Claire me met la main à la braguette. Voici un contact qui conjugué à l'étrangeté de la scène me fait bander à mon tour. Elle me dézipe ma fermeture éclair d'un geste habile. Je me surprends à regarder ses petites mains. Elles sont belles ses mains, très fines. J'en imagine le contact sur ma verge, un contact qui ne devrait pas tarder. Elle me tripote maintenant à travers le slip, mon pénis qui est à présent bien tendu, mais aussi mes testicules. Je me demande ce qu'elle attend pour sortir tout cela. Elle n'attend rien, elle fait durer le plaisir et ne peut tout faire à la fois ! Enfin elle dégage mon sexe et la voilà qu'elle me masturbe tout en suçant le mari. 


De mon côté mes mains ne restent pas inactives, je commence par lui mettre la main aux fesses sous sa petite jupe et tombe sur son collant, je n'insiste pas car il m'intéresse davantage de passer la main sous son pull-over afin d'y rejoindre ses seins. Elle n'a pas de soutien-gorge et n'en a pas besoin vue la petite taille de sa poitrine. Moi qui suis un fanatique des gros nénés, je prends un plaisir extrême à caresser ce petit format et à en titiller les tétons bien durcis.


Elle abandonne un moment sa fellation, la bite de monsieur est maintenant toute raide, une belle bite bien charnue terminée par un joli gland rose foncé. Une belle bite ? Mais qu'est-ce que je suis en train de me raconter ? Je ne peux m'empêcher de lorgner dessus tandis que Claire la masturbe. Elle la remet en bouche ! Ouf ! Ça va me calmer ! En fait ça ne me calme pas, la main de ce diable de petite bonne femme étant très efficace. Claire et son mari se font des gestes du regard que je ne comprends pas. A nouveau la femme éloigne la queue de Patrick de sa bouche, celle-ci est maintenant à 20 centimètres de mon visage. Claire me regarde d'un air interrogateur ! Je lui fais un petit signe approbateur. Tout cela en geste, sans rien se dire, on s'est compris. Elle rapproche un peu la verge de mon visage, c'est à moi de faire le reste du chemin, je le fais bouche ouverte, et me voici avec la bite d'un homme dans ma bouche ! Le contact physique est agréable, mais c'est la situation qui m'excite. Je fais pénétrer plus avant sa verge dans ma bouche, puis d'instinct je fais des petits mouvements de va-et-vient, c'est agréable.


Patrick à la courtoisie de me prévenir qu'il va jouir (déjà ?) D'instinct j'abandonne ma fellation. Claire me relaie et recueille son sperme dans sa bouche. Elle ne dit rien, elle ne déglutît pas ! Elle reprend alors la branlette de mon sexe un moment interrompu. Je suis follement excité, mais ce n'est pas pour autant que je vais jouir de suite. Il se passera alors quelque chose d'extraordinaire :


Claire tout en continuant son travail "manuel" me regarde avec des yeux de chatte, j'ai peur de comprendre, la voici qui ouvre la bouche, très légèrement et qui se passe la langue sur les lèvres. Ma verge est raide à faire mal ! Son visage s'approche du mien ! Je m'apprête à crier : "Non !" …à déguerpir, à quitter ce foyer de malades sexuels. Je n'en fais rien, paralysé, je la laisse approcher, sa bouche gluante du foutre de Patrick s'approche de la mienne. Je ne lutte plus, nos langues se mélangent, j'avale un peu de ce curieux liquide, je me prends au jeu, du coup c'est moi qui ne veux plus la lâcher. 


Et puis tout d'un coup je ne sens plus ses mains sur ma bite ! Elle ne va pas me laisser comme ça, c'est trop cruel, mais avant que j'aie eu le temps d'envisager quoique ce soit, voici Patrick qui à présent entreprend de me rendre la politesse en me suçant à son tour. Bizarrement cette fellation reçue ne faisait pas partie de mon catalogue de fantasmes plus ou moins secret. Si l'idée ne m'excite guère, sa pratique n'en est pas moins bougrement efficace. Claire a entrepris de me déboutonner ma chemise et me pince maintenant le bout des seins, j'adore cette caresse ! Elle m'excite plus que la fellation du mari ! Je finis par décharger dans la bouche de Patrick qui avale tout d'un satisfait.


L'après jouissance est parfois difficile à gérer ! Je suis abasourdie ! Comment ais-je pu me laisser entraîner dans un truc pareil ! J'ai honte ! J'ai sucé un mec, un mec m'a sucé, j'ai avalé du sperme ! Tout d'un coup, je ne suis pas bien dans ma peau !


- Tu as été formidable, viens me sucer !


C'est à moi qu'elle s'adresse, pas à son mari ! Son visage est radieux, Comment un visage peut-il offrir une telle image chargée de gentillesse ? Je ne me fais aucune illusion, je n'ai été en rien formidable, me contentant de me laisser faire. Mais elle a le tact de savoir me dire des choses qui déculpabilisent !


Son visage a perdu un peu de son calme, ses yeux brillent. Promptement, elle descend son collant, puis retire sa culotte, me la fourre sous le nez, elle est trempée ! J'aime cette odeur ! Déjà je rebande. Elle se rassoit écarte les cuisses découvrant une chatte extrêmement poilue. Elle a un système pileux assez développé, c'est insolite, mais il serait faux de dire que c'est laid. Une mince rangée de poil court de la toison pubienne jusqu'au nombril qui est loin d'être épargné ! Je me précipite vers ce sexe offert, attaquant carrément son clito de ma langue ! Je m'inquiète un peu de savoir ce que fait Patrick, mais il se contente de se pencher vers le visage de sa compagne pour l'embrasser fougueusement. Claire jouira en poussant un impossible cri et en s'agitant l'espace de quelques secondes de spasmes spectaculaires, avant de s'amollir sur sa chaise, épuisée !


- Et ben ! Dit-elle simplement 

- C'est du spontané ! Et du bon ! Commente Patrick


Ils attendent sans doute que je dise quelque chose, mais je ne sais pas quoi dire Encore une fois c'est Claire qui viendra à mon secours :

- C'est la première fois que…

- Comme ça ! Oui !

- C'était un fantasme ?

- Sans doute, mais assez enfoui !

- C'est bien de faire revenir les fantasmes à la surface.

- Je sais pas, je ne réalise pas trop !

- Mais si, maintenant t'es un petit suceur de bites, c'est sympa de sucer des bites !


Voilà une façon amusante et désinvolte de voir les choses, mais après tout pourquoi pas ?


L'écran s'est mis en veille et diffuse une image un peu stupide d'une balle qui rebondit sur ses bords tout en changeant de couleur. Voilà qui me rappelle que nous n'avions pas tout à fait terminé. Alors on se remet au boulot, car il reste pas mal de trucs à expliquer (comment conserver définitivement les images d'Internet, comment les trier, comment échanger du courrier.)


Il devait être dans les 18 heures quand nous estimions d'un commun accord avoir fait le tour de ce qu'il faut savoir, je m'apprête à prendre congé quand le mari propose à Claire que nous allions au restaurant.


Laquelle Claire qui n'a pas envie de sortir suggère une autre idée, 


- Non on pourrait rester là et faire venir le traiteur chinois.


Patrick s'enthousiasme à cette idée, je ne veux pas, ils insistent, bon j'accepte à la condition qu'ils me raccompagnent en voiture ensuite, je n'ai pas envie de rentrer à minuit par les transports en commun, il me reste à trouver un prétexte et à téléphoner à mon épouse :


- La formation est plus longue que prévue, ils me gardent à manger.

- Ben voyons… j'espère qu'on te paie bien.


Le dîner se passe fort bien, ces gens sont d'un commerce agréable et ont des sujets de conversations intéressants. A la fin de cet excellent repas (pas mal arrosé), le mari s'adresse à Claire :


- On se fait un petit truc à trois pour finir ?

- Bien sûr, ça te fait tellement plaisir !


Il ne me demande même pas mon avis, ils doivent considérer que c'est implicite. Ça me gêne un peu quelque part malgré tout ! Mais je me vois mal prétexter une soudaine migraine, et puis, on ne vit pas cela tous les jours. Une petite angoisse m'assaille malgré tout. La forte bisexualité de Patrick va l'entraîner jusqu'où vis-à-vis de moi ? Je n'ai pour ma part aucune envie d'aller plus loin que là où j'ai été entraîné. Du moins pas aujourd'hui.


Toujours est-il que nous nous rendons directement dans la chambre et là, on se fout à poil. Elle est mignonne à poil, Claire, elle n'a pas des formes extraordinaires, (quoique son petit cul…) mais son physique est néanmoins agréable et j'aime bien ses gros tétons.


Patrick se couche carrément sur le plumard. Je ne sais pas trop quoi faire, mais il m'invite à venir à ses côtés. Claire se met alors à quatre pattes face à nous et commence une masturbation simultanée. 


Puis elle entreprend de sucer et de lécher nos bites alternativement. Enfin j'ai droit à la fellation de Claire. Elle fait ça très bien ! D'ailleurs elle ne nous traite pas de la même façon, alors qu'elle suce avidement son mari, elle préfère pour la mienne me lécher la verge et les couilles en évitant le gland, mais ça ne fait rien, c'est délicieux quand même et ma bite a vite fait d'être toute raide.

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Patrick fit ensuite mettre son épouse en levrette, tandis que je passais devant elle afin qu'elle continue à s'occuper de ma bite. Mon regard s'égare un moment vers la table de chevet sur laquelle j'aperçois avec appréhension un gros gode. Je ressens sa présence comme une indicible menace. Je m'efforce de cacher mon trouble. Claire signifie à son mari qu'elle veut changer de position et lui demande de se coucher sur le dos. Elle m'abandonne pour l'instant saisit la queue de son mari et se met à califourchon dessus en en dirigeant lentement l'introduction dans son anus. Le sexe étant introduit, elle entame une savante chevauchée. Je suis hors circuit pour l'instant, Claire est trop concentrée pour s'occuper en même temps de moi. Et j'évite de croiser le regard de Patrick, ne souhaitant pas trop qu'il reprenne des initiatives qui m'impliquerait. (Toujours ce sacré gode qui me terrorise.) 


Claire pousse maintenant des petits cris de plaisirs, des cris de plus en plus rapprochés. Soudain elle quitte sa position, et suivant un rituel qui doit leur être habituel, elle se masturbe frénétiquement sur le lit tandis que Patrick lui redonne sa bite à sucer ! Je me souviens m'être interrogé sur cette pratique assez rare consistant à sucer directement une bite qui sort du cul, mais il est vrai que l'excitation rend tant de choses différentes ! Ils jouirent tous les deux presque en même temps, Claire de façon très spectaculaire faisant un véritable bond sur le matelas et restant plusieurs minutes, pantelante sans presque bouger, presque au bord de l'inconscience. J'étais un peu comme un con avec ma bite bandé dont personne ne s'occupait plus, mais trop excité pour rester dans cet état je me masturbais m'abreuvant du délicieux corps de Claire, pourtant si loin de mes fantasmes. Cette dernière sortait peu à peu de sa torpeur et s'amusa de ma situation :


- Tu veux jouir comment ?

- Comme ça en te regardant !

- Donne-lui un coup de main ! Dit-elle à Patrick 


Ce n'était pas vraiment nécessaire, mais je me laissais faire, abandonnant ma bite à la main du mari. Une main experte, certes ! Mais je n'avais pas vu ce que contenait l'autre. Je le réalisais en sentant un objet me parcourir la raie des fesses tout en émettant une curieuse vibration. Patrick avait mis le vibrateur du gode en marche et m'en caressait le cul. Il se contenta d'ailleurs de me le caresser, ma jouissance arrivant rapidement, et je déchargeais mon sperme sur le ventre de Claire.


Bien évidemment je n'osais réclamer le prix du cours, c'est Claire qui se tournant vers son mari qui lui demande de me régler.


Je refuse bien évidemment, mais ils insistent.


Evidemment, je leur dis qu'au moindre problème ils peuvent faire appel à moi. 


- On a peut-être un peu trop picolé pour te raccompagner en voiture, on va appeler un taxi et te donner de l'argent pour le payer.

- Non, non !

- Mais si, c'est la moindre des choses !


Le taxi arrive, je prends congé, Patrick m'embrasse chastement, mais Claire m'offre ses lèvres.


- A bientôt, mon petit suceur de bites !


nikosolo@hotmail.com © 

Première publication sur Vassilia.net, le 18/12/2000, 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Dimanche 10 décembre 2000 7 10 /12 /Déc /2000 13:29

Déroutante Rachel

par Estonius

 

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Déroutante Rachel

 

Je n'avais pas de nouvelles de Claude depuis un certain temps. Dommage car la perspective d'une soirée bi avec sa femme m'avait fait fantasmer. L'affaire aurait dû se faire un peu avant les vacances. Nous étions quand même fin novembre. Je n'avais pas trop osé le relancer estimant que si lui ne le faisait pas, c'était qu'il devenait réticent. J'avais arrêté également mes visites assidues aux urinoirs, ayant eu pas mal de déconvenues pour finalement assez peu de contacts intéressants.

 

A vrai dire quand il me téléphona, j'étais à cent lieux de penser qu'il me recontacterait un jour.

 

D'emblée il me reparla de cette éventuelle soirée, il souhaitait me voir pour m'en parler et qu'on prenne une décision ferme.

 

- Bon ! Soyons clair, en près de 20 ans de mariage, je lui ai parlé quelques fois de mes fantasmes. Elle n'a pas toujours réagi de la même façon, tout dépend de la manière dont c'était amené, mais dans le meilleur des cas elle me disait qu'elle aimerait beaucoup me voir faire des trucs avec un autre homme, et ça elle me l'a répété plusieurs fois, avec un certain enthousiasme d'ailleurs !

- Où est le problème alors ?

- Attends ! Après ta rencontre, tu me paressais être le profil du mec avec qui on pouvait faire ça, c'est pour cela que je te l'ai proposé. Mais quand j'en ai parlé à Rachel, elle l'a pris de haut, genre : "tu ne vas pas m'emmener n'importe qui à la maison !", j'ai voulu temporiser mais elle a fermé la discussion.

- Elle ne veut pas passer des fantasmes à la réalité, c'est tout !

- J'ai refait d'autres tentatives, non elle s'est créé un blocage, elle veut bien que je fasse des trucs avec des mecs, mais uniquement dans sa tête, pas ailleurs !

- On laisse tomber alors ?

 

Je jouais un peu les naïfs, si la solution retenue avait été celle-ci il n'aurait pas cherché à me revoir.

 

- Non on va provoquer le destin, il faut qu'on trouve un prétexte pour que tu viennes à la maison, ou alors que je t'y emmène, par exemple pour réparer un truc, on ferait traîner en longueur, on t'invite à rester dîner, et à la fin du repas, on entame la conversation sur le sexe, on se lance des défis… Ça t'irait comme scénario ?

- Si tu crois que ça peut marcher, alors pas de problème !

- Tu sais réparer quoi ?

- Je sais pas, moi : Les ordinateurs !

- Super ! J'en ai un ! Mais il n'est pas en panne !

- C'est pas un problème, on va le mettre !

 

Le lendemain, j'envoyai un e-mail à Claude en lui annexant un petit script ridicule qui se contenterait de renommer l'un des fichiers essentiel de Windows. Son épouse qui se sert de l'ordinateur dans la journée ne pourrait donc pas le faire redémarrer. Elle appellerait son mari qui déclarerait ne rien pouvoir faire, mais une demi-heure après il re-téléphonerait tout content !

 

- Chérie ! Super, ce soir je rentre avec un réparateur !

 

Une fois sur place nous convenons que je devrais faire durer le temps y compris avec l'aide d'une disquette programmée pour créer d'autres "faux problèmes".

 

Le plan me plaît assez, nous convenons d'une date.

 

Ce matin-là Claude avant de partir travailler introduit le fichier que je lui ai confectionné, recopié sur disquette. Il lance le script qui automatiquement commet les dégâts escomptés ! Tout se déroule suivant le scénario initial et le soir nous nous donnons rendez-vous dans Paris afin que je l'accompagne à son appartement. 

 

Sur le chemin, il me paraît anxieux, on envisage malgré tout ensemble quatre ou cinq scénarios très simples. Au moins l'un d'entre eux devrait marcher. Et sinon tant pis ! Je lui demande de me montrer une photo de sa femme, il en pas sur lui, mais il me rassure en me disant :

 

- Ne t'inquiète pas ! Elle plaît !

 

On arrive à son appartement. Il me présente Rachel son épouse. Je ne la voyais pas du tout comme ça. Sans doute pas loin de la quarantaine, la peau assez mate, le visage constellé de tâche de rousseurs, les cheveux mi-courts, bouclés et teints en blond platiné, les yeux bleus. Elle s'est attifée un peu n'importe comment (un jean, et une chemise bleue à carreaux genre cow-boy), mais il me semble deviner de jolies formes en dessous tout cela. Bref, une femme charmante. Elle a l'air douce et reste souriante. Si les choses se passent comme prévues, je ne devrais pas être déçu. Claude me conduit devant l'ordinateur et je m'y installe, m'apprêtant à faire semblant de faire des tas de trucs, attendant un signal de Claude pour passer à la suite 

 

Rachel n'avait rien d'une idiote, bien sûr elle ne pouvait deviner l'origine réelle de la panne, mais savait comment la réparer, simplement elle n'avait pas osé le faire ! Elle m'explique ce qui se passe et me propose :

 

- Je pense qu'il faut tout simplement réinstaller Windows, il y a un fichier d'abîmé !

 

Bien sûr que c'est la solution, mais si on l'applique, ma présence ici n'a plus de sens. Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'elle intervienne sur la partie technique de notre plan. J'improvise :

 

- On n'est peut-être pas obligé d'aller jusque là ! Et puis il faut essayer de sauver vos fichiers personnels.

- Pourquoi faire, on peut très bien réinstaller Windows, sans reformater le disque ?

- Zut, zut, zut et rezut ! Elle s'y connaît vraiment pas trop mal. Le plan va fouarrer ! Je renonce à lui dire n'importe quoi…

- Bon, je vais regarder !

 

Et qu'est ce qu'elle fait la madame ? Elle se plante à côté de moi et elle me regarde faire. Le plan basé sur des manipulations imaginaires et sur l'introduction d'une seconde disquette devient irréalisable. Je ne peux au bout de trois minutes que lui confirmer son diagnostic !

 

- Bon, vous avez vu juste ! Il faut réinstaller Windows !

- Je ferai cela demain, mon mari vous a dérangé pour rien !

 

L'estocade ?

 

- Euh ! Vous ne préférez pas qu'on le fasse tout de suite, pendant que je suis là, comme cela on pourrait voir s'il y a autre chose, parce que quand même cette panne, c'est pas très normal !

 

Pas terrible la répartie. Claude est obligé d'intervenir.

 

- Ecoute, Monsieur A… est un bon spécialiste, au boulot il nous a sorti de situations pas possibles, je crois que tu peux lui faire confiance.

 

Ouf ! Merci Claude ! Je reprends doctement la parole.

 

- Dans la plupart des cas, si on réinstalle Windows sans reformater le disque, on ne résout pas tous les problèmes. Or avant de reformater le disque il faut sauvegarder vos fichiers personnels.

- Mais comment vous allez faire ? Puisqu'on a pas accès au disque ?

 

C'est faux, on y a accès, ça me rassure un peu. 

 

- J'ai deux ou trois outils qui vont m'aider, enfin j'espère. Je vous promets d'essayer d'être le plus rapide et le plus discret possible !

- Bon, si vous le dites !

 

Et re-ouf ! Madame me laisse tranquille cette fois et je me livre pendant près de deux heures à cette activité hautement passionnante qui consiste à faire semblant de faire quelque chose. Vers 20 heures, Claude vient me voir et me dit discrètement :

 

- C'est bon, j'ai dit à ma femme que si ça durait trop longtemps on te gardait à dîner, on doit être dans les temps.

 

J'annonce donc fièrement que dans 5 minutes tout marchera comme sur des roulettes. Tu parles ! Je viens juste de renommer un fichier !

 

Je suis maintenant incrusté dans les lieux. On peut passer à la seconde partie du plan.

 

- Vous prendrez bien l'apéritif ?

- Volontiers ! On va fêter ça !

Tu parles !

 

Et c'est parti. Claude lance son premier ballon d'essai et me pose benoîtement une question :

 

- On ne vous pas vu pendant un bout de temps à la boite, rien de grave j'espère ?

- Non je faisais un remplacement ! Le genre de truc que tout le monde refuse !

- Pourquoi ? C'était à Tchernobyl ?

- Non dans une sex shop !

- Dans une sex shop ?

 

Et je raconte une salade : Que j'aurais travaillé dans un établissement ou une centaine de cabines est équipée de moniteurs, le tout relié à des ordinateurs, que dans les cabines les mecs se donnent parfois du plaisir, etc… Claude relance :

 

- Que des mecs dans des cabines individuelles, quoi ?

- Oui, jamais de femmes seules, très rarement des couples. Par contre j'ai vu pas mal de fois des messieurs qui s'enferment ensemble !

 

On ne peut aller trop loin sur ce terrain là. Rachel reste de marbre et n'intervient pas dans la conversation, on laisse tomber, on lancera un second ballon tout à l'heure.

 

- Vous êtes venu avec Claude, vous n'êtes pas motorisé ?

- Non, je rentrerai par les transports en commun !

- Non pas question, il va rester dîner ici et je le raccompagnerai, ou alors on lui appellera un taxi, il l'a bien mérité ! coupe Claude.

 

Rachel ne réagit pas, elle était déjà d'accord. Ça nous donne deux heures pour essayer de débloquer la situation.

 

Pendant le repas, on essaie avec Claude de relancer des ballons, mais rien n'y fait, ni l'allusion au film " Tenue de Soirée " avec Depardieu, Blanc et MiouMiou, ni les habitudes sexuelles de Jody Foster. Nous avions prévu deux dernières cartouches au cas ou rien de fonctionnerait ! L'avant dernière était une série de blagues idiotes, la dernière serait la question directe. Donc après quelques bêtises Claude intervint :

 

- On m'en a raconté une, ce matin, c'est attendez que je me rappelle : Ah voilà : Comment appelle-t-on un bisexuel qui ment sur sa sexualité ?

- ? ? ?

- Un bikini !

- Un quoi ?

- Un bi qui nie répéta Claude en détachant bien les syllabes !

- Il faudra que je la note celle-ci. Remarque ! On est sans doute tous des bis qui nient.

- Non mais qu'est ce que vous racontez ? intervint Rachel qui suivait tout cela d'assez loin.

- Il dit que tout le monde est un peu bi, enfin plus ou moins !

- Tout le monde ? Je ne suis pas bi, moi !

- T'as pas toujours dis ça, rétorque Claude !

- Pour que je fasse des trucs avec une femme, il faudrait qu'elle ait des qualités exceptionnelles !

- Donc tu ne dis pas non !

- Non !

- Donc t'es bi !

- On a eu cette conversation mille fois, mais qu'en pense monsieur. ?

- Je pense qu'effectivement tout le monde a consciemment ou pas une part de bisexualité en lui !

- Vous voulez dire les femmes et les hommes ?

- Oui bien sûr !

- Vous ne fantasmez pas sur les hommes tout de même ?

 

Nous y voici, maintenant il s'agit de faire attention à ce que je vais répondre. Elle a l'air pour l'instant passionnée par le sujet, pourvu que ça dure !

 

- J'aimerais bien vous répondre, mais je ne souhaite pas vous choquer.

- Je vous en prie, je ne me choque pas comme ça !

- Ce ne sont pas vraiment sur les mecs que je fantasme, ce serait plutôt sur leur sexe.

- Les gros ?

- Non ! Ce n'est pas une question de taille ! Leur sexe, c'est tout !

- C'est marrant, c'est un peu ce que me disait Claude, l'autre fois !

- Et qu'est ce qu'il disait, Claude ?

- La même chose que toi…

- Tiens ! Vous vous tutoyez maintenant ?

 

La gaffe !

 

- Excusez-moi !

- Non mais attendez, vous jouez à quoi tous les deux ?

- Des fois on se tutoie, ça fait des années qu'on se côtoie !

- Ecoute Claude, si tu arrêtais de jouer au con !

- Rachel !

- Ton collègue est fort sympathique, mais pourquoi ne pas dire les choses clairement, vu les fantasmes que tu me sors parfois, vu toutes les allusions que j'ai fait exprès de pas relever depuis tout à l'heure, il est clair que tu l'as emmené ici pour essayer un truc !

- Un truc ?

- Oui, un truc, vous ne savez d'ailleurs peut-être même pas ce que ça va être votre truc ? Alors j'ai raison ou pas ?

 

Claude me regarde avec des yeux de chien battu.

 

- Je t'assure qu'on n'avait rien comploté !

 

- Claude je t'en prie arrête ! Tiens vous avez l'air malins tous les deux. Votre fantasme c'est de faire une petite partie de sexe en ma présence ? C'est bien ça hein ?

- Euh ! 

- Mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Vous vous demandez comment faire ? Vous échafaudez des trucs et des machins ! Tiens j'en viens à me demander si la panne était une vraie panne !

- Ah ben ça si ! J'en suis sûr !

 

Nouvelle gaffe de Claude

 

- Mais enfin Claude ! Ton affirmation ne prouve rien !

 

Il se rend compte de sa gaffe et devient rouge comme une pivoine

 

- Et si je vous disais que vous me faites marrer tous les deux. Vous ne savez pas quoi faire pour débloquer la situation ? Vous voulez peut-être un coup de main ? Tiens ! C'est une idée, ça ! C'est ça qu'il vous faut ? Quelqu'un pour vous diriger !

 

Vite répondre avant que Claude ne s'enferre !

 

- Pourquoi pas ?

 

Du coup le Claude surenchérit !

 

- Chiche ! C'est d'accord dirige-nous !

 

Rachel est défiée ! Elle hésite, il y a quand même un pas à franchir, il n'est pas si facile que cela, mais revenir en arrière en arrêtant tout lui paraît lâche et frustrant ! Et puis cette situation l'excite. Alors elle va y aller ? Oui elle y va !

 

- Bon d'accord, je vais vous diriger ! Mais vous m'obéissez alors ?

- Pas de problèmes !

- OK !

- On va aller dans le salon, on finira de manger tout à l'heure.

- Euh ! On pourrait peut-être d'abord finir de manger, et puis tu pourrais te mettre des sous-vêtements sexy et…

- Mais Claude, tu avais peut-être TON scénario, ou Monsieur, mais vu votre prestation lamentable, maintenant c'est MON scénario ! Allez ouste ! Je vais m'asseoir sur le canapé et vous allez vous mettre devant moi !

 

On y va. Rachel est toute excitée, son visage est devenu rose, ses yeux luisent. Très vite elle avait compris la bizarrerie de la situation, confirmée par nos premiers ballons sexuels. Elle nous avait fait lanterner exprès pour voir jusqu'où on irait, et puis elle a voulu elle-même débloquer la situation, elle en est pas peu fière ! Et maintenant les choses sérieuses vont commencer. Elle hésite encore un peu, elle sait que son premier ordre va déclencher une spirale infernale que rien ne pourra arrêter.

 

- Bon, cher monsieur, pendant cette séance, je ne vais pas vous vouvoyer, c'est quoi ton prénom ?

- Pascal !

- OK ! Tournez-vous tous les deux, je ne veux pas voir vos bobines pour l'instant. Voilà comme ça, rapprochez-vous l'un de l'autre. Maintenant vous allez… 

 

Elle marque un temps d'arrêt, elle reprend sa respiration, elle a l'impression d'être une sauteuse à l'élastique s'élançant dans le vide pour la première fois. C'est pourtant pas compliqué ce qu'elle va leur demander.

 

- Vous aller baisser votre pantalon, pas le retirer, le baisser !

 

C'est donc parti, Claude n'hésite pas, mais pourquoi hésiterait-il, je m'exécute. 

 

- Les caleçons maintenant !

 

Ils viennent rejoindre nos pantalons sur nos chevilles, et nous voici tous les deux les fesses à l'air.

 

- Hum ! C'est ravissant deux petits culs de mecs, comme ça l'un à coté de l'autre. Reculez d'un pas que je teste la marchandise.

 

Et bien sûr Claude avance d'un pas ! 

 

- J'ai dit " reculer " ! Je n'ai pas dit " avancer " !

 

Le Claude paraît un peu déstabilisé, il recule d'un pas.

 

- Encore un !

 

- Je comprends maintenant le but de la manœuvre, j'ignore si elle touche aux fesses de son mari (elle doit les connaître par cœur !), Mais voici donc que la femme de Claude, d'une main me tripote les miennes. Sa caresse est très sensuelle et me provoque un début d'érection, mais j'ignore si cela était le but du jeu. Sa deuxième main rejoint la première à présent, je tente de me tourner pour la regarder.

- On ne se retourne pas !

 

Ses mains deviennent plus insistantes, la voici qui m'écarte mes globes fessiers, les doigts deviennent fureteurs. Elle ne va quand même pas me doigter l'anus ? Pas déjà ? Le doigt disparaît un instant, le voilà qui revient, elle l'a tout simplement humecté, il s'approche de mon trou du cul dessine un cercle autour, puis se présente à l'entrée, je l'aide en détendant mes muscles locaux, elle s'introduit doucement en vrillant le doigt.

 

- T'aimes ça ? Hein ?

- Tu fais ça très bien ! 

 

Je passe aussi au tutoiement, je ne vais quand même pas vouvoyer quelqu'un qui est en train de me foutre un doigt dans le cul !

 

- Combien de fois tu as du te faire sodomiser ? Hein mon salaud ?

- Pas tant que ça, en fait !

 

Elle stoppe son doigtage

 

- Masturbez-vous maintenant !

 

Je m'apprête à obéir, mais elle rectifie le tir 

 

- Je veux dire, vous ne vous masturbez pas chacun dans votre coin, Claude masturbe Pascal et vice-versa.

 

Ca y est, ça devient plus hard, la dame reste très correcte, elle ne dit pas branler, mais masturber, elle ne dit pas enculer, mais sodomiser. Ma bite est déjà bien bandée, et celle de Pascal que je manipule entre mes doigts est également fièrement redressée.

 

- Ca y est ? Vous bandez ?

 

Nous répondons par l'affirmative et elle nous intime alors l'ordre de nous retourner.

 

-  Je ne vous ai pas dit d'arrêter de vous branler

 

Ah ! Le vocabulaire évolue ! Rachel est dans un drôle d'état, son chemisier est entièrement déboutonné et elle a fait glisser son sein gauche par-dessous le soutien gorge, un joli sein bien rond, dont elle pince fermement le gros téton brun. Je n'en reviens pas ! Ma bite est au bord de l'explosion et je dois dire à Claude de ralentir la cadence de sa masturbation.

 

- Déshabillez-vous complètement !

 

Je le fais, je garde mes chaussettes, comme je le fais habituellement, j'aime bien mes chaussettes, j'en ai toute une collection illustrée avec des personnages de bandes dessinées.

 

- Complètement ! J'ai dit ! 

- D'accord !

- Bon ça va pour vous les garçons ? 

- Oui ! Oui !

- Parce que moi je vais bientôt imploser ! Bon Claude tu va te mettre à genoux devant Pascal, et je vais enfin te regarder en train de sucer une bonne queue.

 

Est-ce bien raisonnable ? J'ai un peu peur de ne pas pouvoir tenir ! Mais je n'ai pas le temps de discuter, ma bite est déjà dans la bouche de Claude qui me passe de bref et voluptueux coups de langue sur mon gland, avant d'entamer une série de va et vient entre ses lèvres. Sur le divan, Rachel son jean sur les chevilles, sa petite culotte descendue à mi-cuisse, se masturbe frénétiquement. Et la voici soudain qui pousse un hurlement de jouissance tandis que son corps se tétanise un instant avant de retomber comme une poupée de chiffon. Quelques secondes plus tard ma bite lâchait son jus dans la bouche de Claude. Il l'avala avec une réelle gourmandise.

 

Rachel nous fait signe de venir la rejoindre, elle embrasse goulûment son mari, j'ose tenter une caresse sur ses cuisses, elle ne dit rien, et encouragé, je dirige ma main sur son sein, elle ne dit rien et mes caresses deviennent de plus en plus hardies. Elle abandonne un moment son baiser conjugal pour m'embrasser à mon tour sur la bouche, mais cela ne durera pas très longtemps. Elle recommence alors à bécoter son mari. Je me suis osé à lui lécher le sein et je vais bientôt m'occuper de son joli téton.

 

Mais voici que Rachel tressaute bizarrement, je mets quelques secondes pour me rendre compte qu'elle pleure à chaudes larmes. Qu'est ce qui ne se passe pas bien ? Claude la console lui tapote les épaules. Voici une affaire qui va se terminer en queue de poisson.

 

- Qu'est ce qui ne va pas ?

- Mais tout va bien, triple idiot ! Tu ne comprends donc rien ? 

- Non, mais parle, ça te fait du bien !

- C'est nerveux ! Je suis bête, je n'arrive pas à cacher mes émotions !

- Bon je vais te chercher des kleenex !

- Si tu savais depuis quand j'ai ce fantasme, et c'est de ta faute, c'est toi avec tes petites allusions qui l'a fait naître dans mon cerveau, mais je ne voyais pas comment te demander de le concrétiser, et puis quelque part ça me faisait peur et puis…

- Et puis ?

- Et puis ce soir on l'a fait ! Oh que je suis heureuse !

 

Ouf ! C'était donc ça, je peux reprendre mes caresses !

 

- Mais toi tu n'as pas joui mon biquet ! Tiens ! Tu sais ce qu'on va faire ? On va te sucer à deux !

 

Voici une excellente idée ! Rachel prend la bite de Claude à la racine et commence par lui léchouiller le gland et elle me la tend, un peu comme une gamine qui partagerait sa sucette avec une copine. Je le languote à mon tour, puis rend la politesse à Rachel qui cette fois, la fait pénétrer plus profondément dans sa bouche. Je joue pendant ce temps avec ses couilles. Et m'amuse à les rouler dans ma bouche. Une nouvelle fois Rachel me rend la politesse et je gobe la queue de Claude sous les regards approbateurs de son épouse.

 

- Elle est bonne la bite de mon homme ? Hein ?

- Super bonne !

- T'aimerais bien qu'il te la foute dans ton cul ?

- Bien sûr !

 

Le Claude ne se le fait pas dire deux fois, il va chercher un préservatif dans SA poche ! Ce n'est pas Gaston la gaffe, c'est Claude La Gaffe !

 

- Tu te balades avec des préservatifs dans tes poches, maintenant ?

- Bien sûr, puisque c'était prémédité !

 

Ouf ! Il s'en sort bien ! Je me mets à quatre pattes, la tête face au canapé, j'espère simplement que Rachel va accepter ce que j'ai envie de lui faire. Et tandis que Claude entreprend de me pénétrer, j'embrasse les cuisses de Rachel. Je vous l'ai dit cette femme est loin d'être idiote, elle comprend mes intentions et y répond en écartant les cuisses !

 

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Un plaisir divin, de lécher cette chatte parfumée du jus de ses désirs tandis qu'une bonne bite me laboure le fondement. Déjà, je rebande, j'ai du mal malgré tout à sucer le clito de Rachel, mon visage ayant du mal à rester en place, victime des coups de boutoir de mon acolyte. Des coups de boutoir pourtant bien efficaces, puisque me voilà à me pâmer de désir. Décidément, il me faudrait un peu d'entraînement pour faire deux choses à la fois. Claude finit par jouir, et je peux alors reprendre mes léchouilles. Je sens le plaisir de Rachel venir, elle se tire le bout de ses seins avec une violence inouïe et finit par pousser un hurlement aussi jouissif que le précédent. Je la laisse reprendre mes esprits. J'ai envie de pisser. Je sais Claude priser les jeux uros, et il m'avait dit que sa femme n'y était pas hostile. Mais pas là sur la moquette. Un peu plus tard peut-être !

 

- Il manque encore quelque chose !

- Oui on va boire un coup et finir de manger !

- Non, Claude, je veux maintenant que Pascal t'encule !

- Pas de problème, si Monsieur veut bien s'en donner la peine plaisante-t-il.

- Non pas comme ça ! Je veux que tu dises : " j'ai envie de me faire enculer par une bonne bite !"

 

L'évolution du langage de Rachel en une demi-heure à quelque chose de remarquable.

 

- Mais enfin Rachel !

- Allez répète ! Je ne te demande pas la lune !

- Bon d'accord ! J'ai envie de me faire enculer par une bonne bite ! 

 

Je m'acquittai donc de cette tâche, un peu crevé, j'eus du mal à jouir et pensais un moment que je ne pourrais le faire, quand mes yeux aperçurent ceux de Rachel qui avait un regard embué et plein d'amour pour son mari en train de se faire prendre. C'était tellement craquant que je craquai à mon tour et lâchai ma liqueur dans l'orifice anal de mon complice. Il se passa alors un moment de pure folie, Rachel se débarrassa de ce qui lui restait de vêtement, pris la main de Claude, se coucha sur le canapé et entraîna son mari sur elle ! 

 

- Viens, viens maintenant !

 

Et le couple se mit à faire l'amour avec une frénésie incroyable, la Rachel poussant des jappements de plaisir. Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ? Je décidai qu'il serait sage de ne pas m'en mêler cette fois-ci ! Et m'occupais en ramassant, en triant et en pliant les vêtements des uns et des autres. Cependant je ne me rhabillais pas. Il faut toujours rester optimiste.

 

Nos deux tourtereaux ayant fini leurs affaires se relevèrent tout sourire ! Rachel vint gentiment me faire un petit bisou sur le bout du nez. !

 

- Quel pied, et tout cela grâce à toi ! Si tu as envie d'un petit truc spécial profites-en demande ! Je crois que peux donner beaucoup aujourd'hui !

- Tu me pisserais dessus ?

- Oui, on fait ça des fois avec Claude, viens dans la salle de bain !

 

Je m'allongeais sur le carrelage, Rachel s'accroupit alors juste au-dessus de ma bouche. Je pouvais donc atteindre sa chatte avec ma langue et je ne m'en privais pas.

 

- Non arrête de lécher, sinon ça ne va pas venir !

 

Je suis un garçon obéissant, ça n'avait pas l'air de vouloir démarrer, quand soudain une petite goutte vint me remplir le gosier, le jet devint vite plus important. Par manque d'habitude elle ne saccadait pas son pipi. Tant pis c'était délicieux quand même et j'avalais par goulée, fermant la bouche quand ma capacité d'absorption était dépassée, et m'en foutant un peu partout.

 

- C'était bon ?

- Oh ! Que oui !

- Et comment je peux savoir, moi si c'est bon ?

 

Je crus un moment qu'elle souhaitait qu'à mon tour je lui urine dessus, non ce n'était pas cela ! Elle approcha ses lèvres des miennes et embrassa ma bouche dégoulinante de son urine.

 

- Et tu sais ce qu'on va faire maintenant ?

 

Je voulais surtout me reposer un petit peu, mais bon…

 

- Non ?

- On va découper la tarte aux myrtilles !

 

Ouf !

 

© Estonius 

 

 

Première publication sur Vassilia, le 10/12/2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Dimanche 3 décembre 2000 7 03 /12 /Déc /2000 17:49

Tina Pavussa

Par Jean Seb

 

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Elle s'appelle Valentina. Mais ici tout le monde l'appelle Tina. Il n'y a qu'ici qu'on l'appelle Tina. Au début ça l'avait embêté, et puis elle s'était habituée à ce diminutif, toujours plus agréable que la façon monstrueuse dont les gens prononçait son prénom. Mais quelque part ne plus avoir de prénom l'enfonçait un peu plus dans l'anonymat. Déjà qu'elle n'avait plus de pays. ! Elle avait acquit après bien des difficultés le statut de réfugiée politique. Son pays d'origine est tellement peu connu qu'on ne sait même pas vraiment comment l'appeler. Certains le nomment Biélorussie d'autres Bélarus ! Ca se comprendrait s'il s'agissait d'un territoire minuscule ! Mais non ce pays recouvre 200 000 km² (près de la moitié de la France et abrite 10 millions d'habitants) Mais voilà elle est tombée dans le pays des nuls en géographie et personne ne connaît son pays ! Personne ? Non ce n'est pas tout à fait vrai ! Elle s'est aperçue que deux catégories de citoyens en entendaient parfois parler : les lecteurs de la presse sportive, et aussi ceux de la presse d'opinion, car maintenant que Milosevic a été chassé du pouvoir en Serbie, la Biélorussie reste le seul pays d'Europe ou la démocratie n'existe que sur le papier, et où les opposants sont pourchassés. 

 

Ses tracasseries avaient commencé quand elle avait pris des responsabilités au sein de l'équipe dirigeante du syndicat étudiant. Arrestations, perquisitions, brimades… Elle en avait marre !

 

Sa copine Galina, lui avait présenté un cinéaste français.

 

- Si tu veux faire du cinéma, je t'emmène en France !

 

Elle n'en revenait pas. Tina plaisait mais n'avait rien d'un top modèle. Brune, les yeux bleus, les pommettes relevées à la slave, elle se trouvait légèrement grassouillette, et trouvait sa poitrine trop grosse (les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine)

 

- Autant te prévenir, c'est du cinéma un peu déshabillé, ça ne te gène pas au moins ?

 

Non, ça ne la gênait pas, elle se considérait comme une femme libérée, ce qui n'était pas spécialement bien vue dans ce pays à la mentalité paysanne.

 

- Et il faudra faire semblant ou pas faire semblant ?

- Beaucoup semblant ! Et un peu pas semblant !

- Je ne veux faire que semblant !

- On s'arrangera !

 

Bien sûr, une fois arrivée en France, on lui avait expliqué que pour l'instant les films "où on ne faisait que semblant" ne marchaient pas fort, et de fil en aiguille elle s'était très rapidement retrouvée dans les milieux du film X. Pas forcément la joie, mais elle s'adaptait, jusqu'au jour on elle se rendit compte que l'on profitait de son incompréhension du français pour la rouler financièrement. Elle avait plaqué tout cela après avoir piqué une vaine colère en langue natale.

 

Il existait une petite association de Biélorusses exilés que dirigeait de façon dynamique, un dénommé Pavel. Cet individu doué d'un charisme étonnant et d'une élégance rare avait une énorme influence sur les autres membres du groupe et avait su développer des réseaux afin de soutenir ses compatriotes.

 

Elle ne fut donc pas sans travail, mais malgré tout, réduite aux "petis boulot " et alors que commence notre histoire elle fait des ménages pour le compte d'une société de service.

 

- Ne néglige pas ton physique, maquille-toi, porte des bas et des portes jarretelles sous ta blouse. Un jour quelqu'un te remarqueras et peut-être qu'il t'entretiendra ou te proposera autre chose. Le pouvoir ça se grignote, mais il faut forcer la chance et la chance viendra, c'est mathématique, c'est une question de probabilité ! 

 

Sacré Pavel !

 

Tous les jeudis matin, de très bonne heure elle fait un remplacement dans les locaux de la Consulting Machin-Truc.

 

- Tiens ! Le bureau du fond est allumé !

 

Elle frappe, elle rentre, un type est à son bureau entouré d'un incroyable fouillis de documents, il répond à peine à son bonjour, elle à l'habitude…

 

- Dommage qu'il soit si impoli, il est mignon !.

 

Il s'en veut José, d'avoir été si grognon : elle n'est pas mal la femme de ménage, mais bon aujourd'hui, il a un rapport à rendre, il est en retard, il a essayé de travailler tard chez lui, la veille. Mais il s'est vite aperçu que sans un certain nombre de documents stockés dans son bureau la tâche était impossible. Lui qui n'est pas du matin s'est donc levé de très bonne heure pour venir. Et il est d'une humeur exécrable. Deux heures plus tard ça va mieux, le travail se termine mieux que prévu, il prend soin de se renseigner :

 

- La femme de ménage, la jeune avec un accent russe, elle est là tous les jours ?

- Non juste le jeudi, les autres jours c'est une personne d'un certain âge !

 

Le jeudi suivant, José revint de très bonne heure, et attendit, il verrait bien !

 

Un quart d'heure plus tard, elle rentrait dans le bureau, l'air contrarié de le voir

 

Il lui sourit, un beau sourire. Elle le lui rend !

 

- Quel magnifique sourire, la journée va être bonne !

 

Elle n'a pas tout compris, mais elle sait que c'est gentil, quelque chose la chatouille entre les cuisses. Elle n'a pourtant rien d'une nymphomane, mais ce type à décidément un charme fou, et elle lui ferait volontiers un petit câlin

 

Elle s'était aujourd'hui vêtue simplement de porte-jarretelles blanc auxquels sont attachés des bas légèrement bleutés. Une petite culotte blanche très classique, pas de soutien gorge, et sa blouse par-dessus tout cela. Elle avait rajouté malgré tout, une note qu'elle trouvait coquette sous la forme d'un petit foulard en soie noué autour de son coup, la signature bien en évidence pour montrer qu'elle savait aussi aimer les belles choses !

 

Ne sachant évidemment pas pourquoi le type était venu si tôt, elle décide de le provoquer, juste une fois, pour voir, pour s'amuser. S'il ne se passe rien elle n'insistera sans doute pas.. Elle lui tourne le dos, et se penche en avant faisant semblant de nettoyer un objet, elle s'arrange pour qu'il voie sa petite culotte, elle se retourne, il rigole, elle éclate de rire et devient toute confuse de son audace. Il lui fait signe d'approcher, elle obéit. Elle ne comprend pas bien, il lui fait signe de se rapprocher encore davantage. Quand il lui tend ses lèvres, elle comprend et les accepte. La voici en train de rouler une pelle à cet inconnu qui avait été si impoli la fois d'avant. 

 

José ne reste pas inactif et lui passe la main sur la culotte, et doucement, la lui baisse. Ce n'est pas forcément pratique dans cette position, alors elle l'enlève elle-même, elle rigole, la situation lui échappe un peu. Il lui demande de s'asseoir sur le bureau. Il a la surprise de constater qu'elle s'est fraîchement rasée, il passe alors délicatement sa langue sur sa chatte déjà bien mouillée.

 

José est à présent excité comme un cerf, il ouvre la fermeture éclair de sa braguette, défait la ceinture de son pantalon et baisse légèrement de dernier, dégageant son sexe déjà magnifiquement bandé. Tina s'en empare, et lui passe des petits coups de langue à la base du prépuce. Elle se sent si excitée qu'elle se caresse en même temps.

 

José à envie de la pénétrer, il lui désigne le fauteuil destiné aux visiteurs et lui demande de s'agenouiller dedans afin de la pénétrer en semi-levrette. Elle écarte d'une main ses fesses pour que son amant du matin puisse contempler mieux les secrets de sa slave anatomie 

 

José veut varier à présent les positions et lui demande de se coucher sur le bureau en relevant les jambes, elle en profite pour déboutonner sa blouse offrant sa jolie poitrine au regard de l'homme. Quelques minutes plus tard, José s'assied dans le fauteuil et demande à Tina de venir le chevaucher, quand soudain…

 

- Dring !

 

Le téléphone sonne !

 

José décroche, c'est son collègue du premier, comment a-t-il su qu'il était déjà là ? La lumière peut-être ?

 

- Je te rappelle, je suis sur une autre ligne

 

Puis pris d'une inspiration subite, il demande à Tina :

 

- Ça t'embête si je fais venir un collègue ?

 

Elle a du mal à comprendre. Il lui explique mieux, elle lui fait signe de la tête que cela ne l'embête pas. Il rappelle son collègue

 

- Tu va pas me croire, je suis en train de me taper la femme de ménage !

- Menteur !

- T'as qu'a pas me croire ! Mais tu peux venir, apparemment elle n'est pas contre le fait de faire ça à trois, j'espère qu'elle a compris parce qu'elle ne parle que le serbo-croate

- Niet ! s'exclame brusquement Tina

- Comment ça Niet ? T'es plus d'accord ?

- Pas serbo-croate, Bélarus !

- Ah bon ! T'es russe ?

- Non Bélarus !

- Bon mais t'es d'accord ou pas ? .

- Pas serbo croate !

- OK ! OK ! Il peut venir ou pas ? 

- Venir ?

- Oui venir !

- Da !

- OK ! Tu peux venir !

- Tu me mène en bateau !

- Non, et comme tu ne m'as pas cru t'auras un gage !

 

C'est tout étonné que Paul rentrant dans le bureau découvre le spectacle de Tina à demi-nue chevauchant José. Ils lui font signe de s'approcher, ce qu'il fait tout doucement tandis que sa queue commence à donner du volume à sa braguette.

 

Bien sûr Tina s'en aperçoit et lui met la main au pantalon. Paul retire donc ce vêtement qui ne sera d'aucune utilité dans les minutes qui vont venir, et Tina tout en continuant sa fantastique chevauché entreprend une fellation sur ce beau membre.

 

Tina a beau être sportive, la position fatigue un petit peu. Paul se couche alors sur le canapé visiteurs permettant à Tina de poursuivre sa fellation. José lui s'est couché par terre et recommence à lécher le joli minou de la slave, puis la fait mettre en levrette pour la pénétrer à nouveau.

 

C'est alors, mes bons amis, qu'il se passa quelque chose de tout à fait surprenant et inhabituel en ce genre de circonstances !

 

Tina était plus une fellatrice du bout de la langue qu'une avaleuse de sabre. Elle avait abandonné le gland de Paul pour venir s'occuper de ses couilles qu'elle aguichait de sa langue agile.

 

Et voir ce si beau gland sans personne pour s'en occuper troubla tant José qu'il y précipita sa bouche, et ce, sans abandonner sa levrette, 

 

La situation était très trouble. Tandis que José suçait la partie supérieure de la bite de Paul, Tina s'occupait plutôt de la partie inférieure.

 

Paul ne disait rien, cette double fellation inattendue avait l'air de lui convenir parfaitement.

 

bi-sex202bm.jpg

 

L'insolite de la situation vint encore augmenter l'excitation de Tina qui n'avait vraiment nul besoin de cela, toutefois, il ne se passa rien d'autre entre les deux hommes et elle se surprit à en être un peu chagrinée.

 

La pine de Paul étant super bandée, Tina vint le chevaucher, tandis que José lui pelotait les seins.

 

Mais les deux hommes voulurent faire une éjaculation extérieure. Ainsi pendant que Tina se réinstallait dans le fauteuil, Paul ne tarda pas à éjaculer sur sa chatte, tandis que José en faisant autant sur son visage.

 

- Spasibo ! Remercia Tina dans sa langue natale !

- Oui ! Pas serbo-croate, on a compris !

 

Ils rirent tous les trois

 

Quelques temps après Paul et José, tous deux divorcés, et à qui le hasard avait révélé leur bisexualité latente se mettaient en ménage.

 

Trois mois après ils contractèrent un PACS. Ils firent une petite fête et invitèrent quelques rares amis triés sur le volet. Tina fut évidemment de la partie.

 

Elle ne comprenait pas bien ce faux mariage entre hommes, son français avait progressé, mais elle ne saisissait pas tout

 

- Vous allez partir en voyage de noces ? demanda-t-elle en rigolant 

- Tu ne crois pas si bien dire, on se paie deux semaines au Brésil ?

- Vous auriez pu m'emmener ! Dit-elle en plaisantant !

 

Paul se retourna alors vers José :

 

- Mais pourquoi pas ? Cela me semble une excellente idée !

 

Jean Sébastien Tiroir

© Avril 1983 - Revu en décembre 2000 (Comme le temps passe... Tina était tchèque dans la première version…)

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Première publication sur Vassilia, le 03/12/2000

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Décembre 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:46

 

 

Martine la soubrette 2 – Les carreaux par Eddy

Fetish

 

  

Et, voilà, je l’avais voulu cette situation ! Moi, l’ancien cadre informatique, bien noté et toujours impeccable, j’étais en train de nettoyer la vitrerie d’un couple de bourgeois, travesti en tenue de soubrette, et sans culotte pour couronner le tout. C’est fatigant de faire les vitres et inintéressant au possible, et il y en avait des vitres et des miroirs dans cette maison !

Vers 10 heures j’eus un petit coup de pompe, j’aurai bien mangé un petit en-cas mais ignorais comment gérer ici ce genre de choses. Tant pis, j’attendrais midi, et puis il fallait que je satisfasse un besoin bien naturel… J’allais donc à la recherche des toilettes. Je supposais qu’il s’agissait de cet endroit derrière cette porte. Oui, mais voilà, elle était fermée à clé ! Tant pis j’irais me soulager dans la salle de bain. Mais cette dernière était également bouclée. De véritables obsédés de la serrure ces gens-là ! Restait la cuisine et son évier providentiel. Gisèle y était en train d’arranger un immense bouquet de glaïeul.

– Excusez-moi madame ?

Pas de réponse ! Elle le faisait exprès, bien sûr !

– Excusez-moi madame ?
– Dis donc petite pute, tu ne vois pas que tu me déranges ?
– C’est que pour les toilettes…
– Et que veux-tu faire aux toilettes ?
– Euh ! Ben… Uriner ?
– Pour te servir des toilettes, il faudra venir nous le demander, mais pour pisser, tu n’en as pas besoin !
– Mais comment dois-je faire ?
– Tu te retiens !
– Me retenir !
– Oui te retenir ! Et maintenant arrête de m’emmerder et retourne à ton travail, et que je ne trouve pas en train de pisser dans la cuisine derrière mon dos. Sinon c’est la porte et tu iras jouer à la soubrette ailleurs, petite tapette !
– Bien madame !

Je m’aperçois que j’ai donc oublié de parler avec mes employeurs de tout un tas de détails, par exemple, il faudra bien que j’aie accès à la salle de bain…Je repars continuer à astiquer les vitres, en me forçant à me retenir. Je ne me fais aucune illusion ceci est un jeu, et je suis aussi là pour ça !

Au bout d’une heure, la situation devient intenable, j’imagine quelques astuces pour m’en sortir quand Gisèle entre dans la pièce !

– Madame je suis désolé, mais je n’arrive plus à me retenir !
– Te retenir de quoi ?

Elle se fout de ma gueule ! Je craque :

– Je veux bien être un jouet, mais il faut quand même que le joujou fasse pipi, sinon le joujou il fout le camp…

Je n’en reviens pas d’une telle audace. Elle peut me jeter, maintenant tout de suite. Je m’en fous, il y a des limites tout de même !

– On se rebelle ?
– La question n’est pas là ! Si vous ne me dites pas où pisser, je pisse par terre et je me casse !
– OK ! Casse-toi !

La décision est brutale, mais tant pis, une vacherie comme ça le premier jour, ça veut dire que l’expérience va être intenable, je veux bien m’amuser, mais pas à n’importe quel prix ! Bien sûr ces crétins ont fermé ma chambre à clé ! Je hurle.

– Si on ne me file pas la clé, j’enfonce la porte !

Gisèle s’approche, elle a l’air hors d’elle. Elle me jette la clé qui passe à deux doigts de mon visage ! Tandis que précipitamment je mets quelques affaires dans mon sac, j’entends des bruits de clés. Elle a donc ouvert les toilettes. Mais c’est peut-être pour son usage personnel. Je jette un œil. Non, elles sont bien ouvertes sans personne dedans. Je me précipite. Mon dieu que ça fait du bien ! Ça veut dire aussi que Gisèle n’essaiera pas de faire le premier pas pour éviter cette rapide rupture de contrat. Le fait de pisser m’a calmé. J’ai été idiot de m’emporter. Sans doute attendait-elle une autre réaction de ma part, que je fasse sur moi ou dans je ne sais quel récipient. Je m’en veux. J’aurais volontiers prolongé cette expérience, mais il faut croire que j’en suis incapable. L’humiliation est terrible, après le divorce, et le licenciement, un autre échec ! Même pas capable d’être un esclave. J’en chialerais ! Alors humiliation pour humiliation je tente un va-tout, je cherche Gisèle, je la retrouve dans le salon et je m’agenouille comme une larve et je baisse la tête :

– Pardon Madame !
– Casses-toi !

Non, ce n’est pas possible qu’elle me repousse, elle joue, elle va me demander de revenir au dernier moment ! Mais pas cela ! Pas l’humiliation de l’avoir supplié en vain ! Je ne bouge pas ! Il ne se passe plus rien, je reprends espoir et lève timidement la tête. Elle me crache alors en pleine figure !

– Punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez, mais gardez-moi !

Et je me précipite sur ses pieds, j’aurais voulu lui lécher les bottes, mais elle est très prosaïquement en petits chaussons. Ça ne fait rien, je lui lèche les chevilles, je n’arrête pas, elle ne dit rien, le temps travaille pour moi.

– Casse-toi, connard !

Aie, tout mon univers s’écroule. L’estocade ! L’insulte et au masculin en plus, m’ôtant même ma condition de travesti. Je me relève. Je suis mal, je vais pour partir. J’ai maintenant pris mon sac, je déverrouille la porte d’entrée. Toute cette plaisanterie va se terminer dans quelques secondes. Il faudra ensuite que je gère le retour à la maison…

– Au pied !

Je n’ai pas compris tout de suite que l’ordre s’adressait à moi ! Elle me rappelle donc ! Un truc de dernière minute à me dire sans doute avant de me jeter comme un vieux kleenex.

– Suis-moi !

Non je n’y crois plus, j’hésite, déjà elle s’éloigne dans l’appartement. Elle se retourne.

– Je t’ai dit de me suivre ! A quatre pattes, comme un toutou !

Elle me garde donc, je la suis dans la position qu’elle m’indique. Arrivée dans la grande salle à manger, elle pose les mains sur la table, me tournant le dos, puis retire la jupe de son tailleur. Elle a le cul relativement large.

– Baisse ma culotte !
– Oui, Maîtresse !

Je lui baisse sa culotte jusqu’en bas, je m’arrange pour laisser traîner quelques doigts afin de lui frôler la peau de mes caresses.

– Va chercher un verre, un grand verre, ou plutôt un bol.

Je m’exécute et reviens avec l’objet demandé, elle le prend, le place sous sa chatte et se met à pisser dedans. En voilà une drôle d’idée ! Ses chiottes sont bouchées ou quoi ?

– Tiens bois ! M’ordonne-t-elle en me tendant le bol à moitié rempli.

Je n’ai rien contre l’uro, mais ne l’ai jamais pratiqué de cette façon. Peu importe sa pisse est délicieuse

Gisèle se retourne et s’écarte alors ses deux gros globes afin de bien dégager son trou du cul. Je devine ce qu’elle va me demander !

– Nettoie-moi le trou !

Je me dis que ce ne sera pas une corvée, néanmoins en m’approchant, je constate que tout n’est pas nickel chez cette bourgeoise. Ou bien elle a oublié de se laver ce matin, ou alors son papier toilette n’est pas de très bonne qualité. L’odeur est loin d’être insoutenable, mais elle est forte, je finis par m’y faire. Je réalise à présent qu’en fait cette petite fantaisie était probablement programmée. Encore une façon de m’humilier. Je m’en fous, je prends sur moi, je lèche les petites taches marrons. L’épreuve est plus facile que ce que j’aurais pu imaginer. Je lui remplis de cul de ma salive, j’essaie de pénétrer au plus profond avec ma petite langue. Le résultat de tout cela c’est que ça me fait bander !

– Tu m’as bien léché !
– Merci Maîtresse !
– Mais qui t’a autorisé à bander ?
– C’est le fait de vous lécher maîtresse
– Ça te fait bander de me nettoyer mon trou du cul plein de merde !
– Il n’y avait pas tant que ça, Maîtresse !
– Non pas aujourd’hui…. Branle-toi, ça va te calmer !
– Ici ? Maîtresse ?
– Non pas ici ! Sur le toit ! Ou devant la fenêtre ! Bien sûr que c’est ici, triple idiot, et dépêche-toi !

J’obéis et je me masturbe, j’ai un peu peur d’être en panne, mais non ça va venir, je le sens

– Il me faudrait un kleenex !
– Et puis quoi d’autre encore, Tu jouis par terre et tu nettoies avec ta langue !

Je n’aime pas cela. Contrairement à certaines personnes qui peuvent jouir plusieurs fois de suite sans aucun palier, chez moi la jouissance est immédiatement suivie d’une chute brutale de la libido, qui dure deux ou trois minutes et qui rend le genre de chose qu’elle me propose particulièrement désagréable. Du coup je débande, ça me panique, elle va s’en apercevoir !

– Ben alors ? T’as des problèmes de quéquette ?

Je ne sais plus où me foutre !

– Bon, laisse tomber ta saucisse ! Elle est complètement hors service. Demain on prendra rendez-vous pour toi chez le sexologue. Pour l’instant suis-moi, on va voir comment tu as travaillé…

Je suis rouge de honte mais j’arrive à balbutier :

– C’est que ce n’est pas fini ! Maîtresse !
– Je ne veux pas voir comment c’est fait quand c’est fini, je veux voir comment c’est fait quand c’est commencé…

Elle se dirige vers la grande fenêtre du salon, s’approche des vitres. C’est vrai qu’ils ne sont pas mal nettoyés mes vitres, pas une trace…

– C’est quoi ce travail ?
– J’ai fait de mon mieux, maîtresse !
– Et bien il n’y a pas de quoi être fier !

Et la voilà qui crache sur les vitres !

– Tu vois bien qu’ils ne sont pas propres tes carreaux, une pétasse a craché dessus !

Elle attend que je lui dise quelque chose, mais je ne sais vraiment pas quoi dire.

– Et d’abord, c’est qui la pétasse qui a craché sur les carreaux ?

Ignorant quelle genre de réponse elle souhaite entendre j’essaie :

– Je ne sais pas maîtresse, ça a dû se produire quand nous étions à côté.

Elle me gifle !

– Et pourquoi tu mens ? Tu étais là ! Je veux que tu me dises le nom de la pétasse qui a craché sur ces carreaux, sinon je t’en retourne une autre !
– C’est vous Maîtresse…

Le bras se lève, je l’évite et je crie :

– C’est vous maîtresse, mais vous n’êtes pas une pétasse !
– Ah ! Enfin une réponse intelligente ! Va nettoyer immédiatement ces saloperies !

Je m’empare d’un chiffon

– C’est pourquoi foutre ce chiffon ?
– Ben, pour essuyer, maîtresse !
– Lâche ça !

Je le lâche, j’ai décidé d’être obéissant !

– Nettoie avec ta langue !
– Mais maîtresse…
– Tu discutes mes ordres, maintenant ?
– Mais c’est que…
– C’est que quoi ? Ce n’est que de la salive, je n’ai pas la tuberculose à ce que je sache. C’est la même salive dont tu te régales quand tu roules un patin à quelqu’un !
– Ce n’est pas une question de salive, Maîtresse, mais il y a de l’ammoniaque dans ce produit…
– De l’ammoniaque, mais en voilà une drôle d’idée…

Elle s’en va en marmonnant, je lui ai encore tenu tête. Mais pouvais-je faire autrement ? Je ne suis quand même pas là pour jouer avec ma santé !

Et la voilà qui revient. A tous les coups elle a encore inventé un truc pour m’humilier.

Gisèle ouvre son chemisier et fait jaillir ses gros nichons de son soutien-gorge.

Je rêve !

Elle se met à cracher plusieurs fois sur ses seins qui se retrouvent rapidement gluants de salive.

– Maintenant lèche ! Il n’y a pas d’ammoniac sur mes nichons.

Incroyable qu’elle me demande une chose pareille, d’un côté cet aspect gluant qui n’est pas spécialement ragoutant, de l’autre ses jolis seins. Je ferme les yeux et je lèche… et je bande.

Je me remets à faire ses vitres et à essuyer ses conneries. Il faudrait que je m’isole pour faire le point. D’un côté, je subis humiliation sur humiliation, mais de l’autre, c’est aussi ce que je cherchais… Et à l’instant présent je suis incapable de dire si cette situation me satisfait ou non !

Le temps passe, il va être 14 heures, elle ne m’a pas appelé pour déjeuner. Je ne réclame pas, je n’ai pas très faim, mais j’ai compris maintenant son jeu… ce soir j’aurais à manger, par contre j’aurais bien bu un verre d’eau. Mais je peux me retenir, la maison est pleine de coins, de recoins, de placards, de tiroirs, demain je planquerais une bouteille d’eau et même peut-être quelques morceaux de pain ou des gâteaux secs.

C’est quand même dingue, j’en suis là, moi le brillant cadre informatique, en train de finir de refaire les vitres qu’une bourgeoise a maculées de son crachat. J’ai la bite à moitié en panne se baladant librement sous une jupette, et je suis en train de faire des plans pour ne pas tomber d’inanition. Il faudra aussi que je prévoie une bouteille vide, je pisserais dedans !

L’arrivé de Gisèle interrompt mes rêveries !

– Alors ? Ce ne sont pas les cadences infernales à ce que je vois ? J’ai ma mère qui va passer me dire bonjour, tu iras lui ouvrir et tu prépareras le café ? Tu sais faire ? J’espère !
– Bien sûr ! Maîtresse !
– Comment ça bien sûr ? Comme si c’était évident, surtout venant de la part d’un impuissant !

Ah ! La salope, elle va trop loin, l’adrénaline monte, j’avale ma salive pour me calmer !

– Faudra-t-il que je me change ?
– Te changer pourquoi faire ? Non !
– Je dois rester sans culotte ?
– Absolument !
– Bien ! Maîtresse !

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Une demi-heure après la maman qui se prénomme Bénédicte sonnait à la porte. Je vais ouvrir. Elle est très classe, la soixantaine, cheveux argentés, habillée d’un tailleur gris très BCBG. Pas un mot. Elle me regarde et pouffe de rire ! Toujours agréable !

Les deux femmes s’installent dans le salon, et je vais préparer le café. Ces gens sont pleins de frics et ils ne sont même pas foutus d’avoir une cafetière un peu moderne. Bon dieu ! Ça coûte 20 euros une cafetière ! Non au lieu de cela il faut faire le café avec un vieux machin à pression. Et le café est en grain, il faut le moudre. Je perds un temps fou à faire tout cela ! Je vais me faire engueuler, je le sens, d’autant que je ne sais pas trop comment le doser !

– Le café on va bientôt l’avoir, ou il faut qu’on descende au bistrot ?
– C’est presque prêt, maîtresse !

Il faut encore que je dégote un plateau. On ne me dit rien dans cette maison. Par chance j’en trouve un. Et le sucre ? il faut que je trouve le sucre ! Jamais je n’aurais imaginé que faire un simple café serait un tel calvaire. Ça y est… je trouve le sucre, mais je ne vais pas emmener le paquet comme ça ! Ça ne doit pas se faire, il faut maintenant trouver une sucrière, je vais craquer.

– Bon alors ?

Tant pis pour la sucrière j’apporte ça comme ça, je sers les tasses, je verse le café, je me rends compte que j’ai oublié les petites cuillères, je marmonne un mot d’excuse et m’enfuit dans la cuisine à la recherche des précieux ustensiles sous les éclats de rire des deux femmes qui n’en peuvent plus. Je reviens

– C’est quoi ce truc ?
– Une soubrette, c’est le dernier modèle à la mode !
– Mais c’est un mec !
– Non, enfin si, enfin, ce n’est pas une femme !
– Mais qu’est-ce que t’as fait d’Huguette ?
– On en avait marre, on l’a laissé partir !
– Et tu l’as trouvé comment ton dernier modèle à la mode ?
– C’est mon mari sur Internet…
– On trouve décidément n’importe quoi sur Internet !
– Et tu penses le garder ?
– Non ! Il est trop nul !

La salope, elle m’a fait reprendre espoir, pour mieux m’humilier, je vais finir par craquer pour de bon !

– Il ne sait rien faire alors ?
– Non ! Quoique si, il lèche très bien le cul !

Enfin quelque chose qui ressemble à un compliment. Gisèle sait très bien souffler le froid et le chaud. Mais elle reprend :

– Remarque, ce doit être un pervers, je devais avoir le cul dégueulasse, d’ailleurs ça l’a fait bander trente secondes.
– Oh ! Tu devrais peut-être lui faire dessus !
– C’est prévu, mais pour l’instant je n’ai pas envie, et toi ?
– Je peux essayer si tu veux.

– Allez Martine, couche-toi par terre, maman va te chier dessus.
– Je… je … je reste habillé ?
– Evidemment conasse, elle va te chier sur la gueule.

J’ai le cul de la vieille bourge au-dessus de mon visage, son anus s’ouvre, une petite crotte finit par apparaître, grossit, prend la forme d’un petit boudin, se détache et m’atterrit sur la tronche, un deuxième suit, puis plus rien. La femme se relève, ne s’essuie pas et ramasse les deux étrons, elle en pose un sur la table et lèche un peu le second, puis le passe à Gisèle qui en fait de même. Elles sont dégueulasses.

Gisèle me demande de me relever.

– Ma salope de mère ne s’est pas essuyé le cul, alors à toi de jouer : corvée de nettoyage.

Je lèche donc les traces de merde restées autour de l’anus. Ma foi, c’est pas mauvais.

Mon nettoyage terminée, je me relève, les deux femmes complètement déchainées après avoir léché et reléché l’étron, se roulent des patins d’enfer bien gluants. Je vous dis, elles sont dégueulasses.

– Je peux regarder sa queue ? Demande Bénédicte

Et sans attendre l’autorisation de sa fille, elle me fait tomber ma jupe. La voilà qui me tripote la bite, elle a les mains très délicates, je me remets à bander !

– Tu vois, moi j’arrive à le faire bander
– Ça ne m’étonne pas t’es qu’une salope !

Elles rient.

– Tu me le prêtes ?
– Je te le prêterais mais pas aujourd’hui !
– Je croyais que tu ne voulais pas le garder ?
– Je ne le garderais pas des années !

Me voici avec une érection tout à fait correcte, Bénédicte me branle carrément maintenant !

– Elle n’est pas si mal sa bite, bien bandée !
– Dans le genre modèle réduit, ouais !
– Tu exagères, moi elle me plait bien !

Et de façon tout à fait inattendue, Bénédicte me fourre ma queue dans sa bouche !

– Maman ! Je t’interdis !
– Gisèle ! Tu n’as rien à m’interdire !
– Si ! Je suis chez moi !

Mais c’est qu’elles sont sérieuses, elles vont s’engueuler, et c’est moi le sujet de discorde ! C’est la meilleure de la journée ! Bénédicte se lève, et se dirige vers la porte

– Bon à un de ces jours, et merci pour l’accueil !
– Arrête maman ! On ne va pas s’engueuler !

L’autre ne répond pas et disparaît de l’appartement.

– Mais, c’est pas vrai ! La voilà fâchée maintenant, et tout cela à cause de cette pédale ! Casse-toi sale connard et cette fois n’essaye pas de te raccrocher ou sinon je t’écrabouille !

C’est profondément injuste, je ne suis pour rien dans cette embrouille absurde ! Je crois qu’effectivement je suis resté un peu trop longtemps dans cette maison ! Je me précipite afin de prendre mon sac dans ma chambre, et vais pour sortir. Ça y est, je suis dans l’escalier. J’ai oublié de réclamer mes gages de la journée. Pour le principe parce que je n’attends pas après. Je descends ! Quelqu’un monte, j’ai eu le temps de mettre une culotte, tout va bien, mais ne voilà-t-il pas que je me retrouve nez à nez avec Bénédicte !

– Faut que je remonte, j’ai oublié mon briquet, c’est que j’y tiens à celui-là ! Mais tu te barres ? Elle t’a viré ?
– Oui ! Mais de toute façon j’en ai marre !
– Tu as tort, il faut les connaître, ils n’étaient pas si méchants que ça avec Huguette…
– C’est fait, c’est fait !
– Non ! Remonte avec moi !

J’accepte sans trop savoir pourquoi. Elle sonne.

– Qu’est-ce que vous foutez là tous les deux ?
– Je te propose un deal. Tu me rends mon briquet et je te rends ta soubrette !
– N’importe quoi ! Bon rentrez tous les deux, on va essayer d’y voir clair !

Bénédicte se rassoit, tranquillement, pas gênée, et elle s’adresse à moi :

– Et toi la petite tapette, tu vas nous refaire du café, mais cette fois tu vas le faire un peu moins fort, d’accord ?
– C’est toi qui donnes des ordres, maintenant !
– Oui parce que si tu n’en veux pas je l’embauche ! Et sur-le-champ en plus ! Et quand il va revenir je veux le sucer. Sauf si tu t’y opposes formellement, auquel cas, je n’insisterais pas !

Ce n’est pas possible, la bagarre va recommencer, je ne suis qu’un objet ridicule, un gadget, qui ne sait même pas faire le café.

Je prends les premières tasses pour les rapporter en cuisine.

– J’enlève ça ? Demandais-je en désignant l’étron resté sur la table.
– Laisse-le là ! Il est très joli cet étron !

Faut surtout pas les contrarier.

Quand je revins dans le salon, les deux femmes étaient très débraillées et tendrement enlacées. Elles avaient utilisé l’étron pour se badigeonner le corps. Gisèle léchait goulûment le téton droit de sa mère, qui bouche ouverte et yeux mi-clos se tripotait la chatte. La vision de ce chaud spectacle me provoqua une érection immédiate et non dissimulable. Je me raclais la gorge.

– Sers les tasses, laisses-nous et va finir ce que tu faisais ! M’ordonna sèchement Gisèle exposant un instant à mon regard de vicelarde ses seins lourds, laiteux et recouvert de matière.

Il me restait effectivement quelques vitres à finir ! Quelques heures après j’ai retrouvé le café refroidi. Elles ne l’avaient pas bu. Et Bénédicte n’était plus là pour me faire une pipe…

Je suis resté une semaine chez mes employeurs, le vendredi j’ai demandé mes gages ne sachant pas si je reviendrais mais ne leur en parlais pas.

Il s’est passé pas mal de choses pendant cette semaine, je vous les raconterais peut-être si vous êtes sages.

En fait, je voulais vivre une expérience, pourquoi la prolonger, j’ai vécu ce que je voulais vivre, j’ai eu mon compte de châtiments corporels et d’humiliations diverses. Inutile de s’éterniser dans cette relation où tout risque de devenir répétition, et puis je ne suis pas soumis 24 heures sur 24 non plus !.

J’ai maintenant un autre fantasme, rencontrer d’autres travestis comme moi et faire des tas de petites cochonneries ensemble.

Fin

Au départ ce texte était une commande d’un travesti qui d’ailleurs se faisait appeler Martine et qui voulait que je rédige ses fantasmes. J’ai pondu deux épisodes, qui lui ont plu, puis un troisième qui ne lui a pas convenu. On a donc arrêté là. Je n’ai pas conservé le chapitre trois et j’ai remanié les chapitres 1 et 2. Bisous

Edvard Stokien 2000
eddy@vassilia.net

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:45

Martine, la soubrette

par Eddy

 

Fetish

 

 

Chapitre 1 – Entretien d’embauche

Mauvaise nuit ! Et mauvaise année ! Il y a deux mois ma femme me quittait après avoir découvert ma malle secrète au grenier. Il était impossible qu’elle la découvrît et qu’elle en force le cadenas. Elle l’a fait quand même ! Je n’avais pas d’explications de prête. La crise a eu lieu. Nous aurions pu nous en sortir, mais j’ai été malhabile et comme toujours dans ces cas-là, on atteint une situation de non-retour. Elle est partie avec les gosses ! En contrepartie j’acquérais un peu de liberté, plus besoin de malle pour planquer mes affaires destinées à me travestir. Mais cette rupture m’a traumatisé. Je m’en veux de ne pas avoir eu le courage de lui avouer mes fantasmes. Et puis, voilà hier, convocation chez le grand patron : et le couplet de l’hypocrisie : La survie de l’entreprise passe par des réductions drastiques de personnel, votre départ est une perte pour l’entreprise, mais… et blablabla, foutu à la porte ! Je ne me plains pas, j’aurais mon salaire pendant un an, et la possibilité de ne rien foutre ! Et passé ce temps je saurais bien trouver une entreprise qui appréciera mes services.

Envie de ne rien faire aujourd’hui. Je branche le micro et je décide d’aller m’exciter tout seul en regardant les sites de travelos, mais je n’ai même pas le cœur au sexe. Avant de refermer, je décide d’aller voir un site de petites annonces coquines qui m’amuse…

…et soudain je tombe sur ça :

« Couple bon milieu cherche soubrette travestie ou transsexuelle »

Pourquoi pas ?

Je réponds et attends fébrilement la réponse sur ma messagerie, elle ne tarda pas à arriver. L’auteur de l’annonce m’envoie une espèce de grille questionnaire sur les pratiques que je suis ou non prêt à accepter, je dois à chaque fois dire oui, non ou modérément… je réponds tout de suite, me demandant avec anxiété si mes blocages sur certains comportements ne feront pas capoter ma candidature ! Mais non, je ne risque rien de tenter le coup et répond « oui » à toutes les questions sauf pour la scato ou je coche « modérément »

Une heure après nouveau mail :

– Je vous trouve bien délicat, mais cela devrait s’arranger, téléphonez-moi avant midi à ce numéro !

Je me précipite sur le combiné !

Le type au bout du fil me demande de venir en début d’après-midi, il faudra bien sûr que je vienne en travesti !

Il y a quelques mois, je serais monté au grenier, j’aurais pris mon sac de sport (censé m’accompagner à des séances de gymnastiques) et je serais allé m’habiller et me maquiller dans les chiottes d’un bistrot ! Mais maintenant je m’en fous, ce que pense les voisins ne m’intéresse pas, et je me prépare doucement, je commence par me doucher puis, je me rase de très près comme j’ai l’habitude de le faire non seulement le visage, mais tout le corps, je me rase ainsi le torse, le ventre, les bras, les jambes, les fesses, et même les couilles, laissant juste un peu de poil à l’endroit du pubis, j’enduis mon corps de crème afin qu’il soit doux et lisse ! Puis j’entreprends de me maquiller. Le plus dur c’est les yeux, mais j’ai acquis un certain coup de main, le visage ensuite, puis les lèvres ! Il me reste à me faire les ongles, je me les fais avec applications y compris ceux des orteils que je néglige habituellement. Je mets ma perruque blonde, je regarde l’image que me renvoi mon miroir, je suis belle. Je suis Marie-Pierre, une femme à bite, un travelo et j’en suis fier !

Je m’habille maintenant, je choisis un bel ensemble slip et soutien-gorge rouge, j’aime les sous-vêtements rouges, ça fait pute, si j’avais été une femme j’aurais été pute ! J’ai aussi un porte-jarretelles et des bas de la même couleur ! Super, j’ai des belles jambes, j’en suis fier, certaines femmes n’en ont pas d’aussi belles, je me tourne pour regarder mes petites fesses, machinalement je me glisse un doigt dans le trou, j’espère que quand je reviendrais, je me serais fait enculer par une bonne bite ! J’adore ça !

Je complète ma tenue par une minijupe noire et par un chemisier beige clair. Restent les chaussures, je ne mis suis jamais faites aux chaussures, ça reste un véritable enfer, j’essaie quand même une paire relativement assortie en espérant qu’elles ne me feront pas trop mal ! Et voilà, un peu de parfum, mon petit sac à main de poulette et je suis prête pour l’aventure.

Je marche un peu, je prend un café dans un bistrot où je n’ai jamais mis les pieds, cela m’excite d’observer les regards ambigus des gens !

Je prends le RER, puis le métro, puisque ma femme a aussi embarqué la voiture et que la seconde est en panne… c’est la première fois que je me travesti au départ de chez moi, je sens dans les transports des regards qui m’interpellent, mais personne de connu, et une fois arrivé à Paris je peux me fondre dans un anonymat plus rassurant ! Je déjeune d’un simple hot-dog, et arrive enfin. Et sonne au 3ème étage de cette maison bourgeoise du 15ème arrondissement. Un type 45-50 ans, sans un poil sur la caillou, m’ouvre !

– Vous êtes Marie-Pierre, entrez donc !

Le ton est jovial, ça ne devait pas durer !

– Nous verrons dans un instant si vous faites l’affaire, mais de toute façon, je vous paye votre journée d’aujourd’hui, et j’attends de vous la soumission la plus totale !

Et ce disant, il me balance un billet de 50 euros que je ramasse, bien évidemment.

– Bon ! Marie-Pierre est un trop joli nom pour une pétasse comme toi, je t’appellerai Martine, Tu es d’accord ?
– Oui, Monsieur !
– De toute façon, d’accord ou pas, c’est comme cela, Je te tutoierais, mais toi tu nous dois le respect, tu nous appelleras Monsieur et Madame en temps ordinaire et Maître et Maîtresse pendant les périodes de soumissions.
– Oui monsieur !
– Evidement tu as mis une culotte ?
– Oui monsieur !
– T’es vraiment nulle, se présenter à un entretien d’embauche en culotte ?
– Je n’y avais pas pensé !
– Tu aurais dû le deviner !
– Oui Monsieur !
– Tu vas être punie pour cela !
– Oui Monsieur !
– Retire-la !

Le maître m’arrache des mains la culotte que je viens de retirer et me la déchire ! Il est con, ce type, je l’avais payé cher, mais je suis là pour être dominé et humilié et ne dis rien !

– Bon maintenant enlève ta jupe, on ne t’as jamais dit qu’elle était ridicule ?
– Non, Monsieur !

blond.jpg 

J’enlève donc ma jupe, et me voici, la bite à l’air devant ce type ! La vue de ma queue le trouble, je le sens, mais il ne fera aucun commentaire. J’ai envie de m’amuser et je vais jouer à l’aguicher, je prends ma queue et attaque quelques mouvements de masturbation

– Qui t’as dit de te branler, petite salope ?

La gifle était complètement inattendue, mais il n’a pas voulu me faire mal, mais m’humilier, oui !

– Désolé, Monsieur, je pensais que…
– Tu n’es pas ici pour penser, mais pour obéir, t’as compris, petite pute ?
– Oui Monsieur !

Le type est excité, ça se voit au chevrotement de sa voix, et à son visage qui rosit légèrement. Il est vêtu d’une espèce de veste d’intérieur croisée qui m’empêche d’observer sa braguette… Il me tripote un peu les couilles sans aucune délicatesse comme si j’étais une marchandise, puis me caresse la verge. Il enlève sa veste, il a chaud, et je distingue maintenant la grosse bosse derrière la braguette !

– Tourne-toi.

Parade facile et prévisible ! Il me tripote à présent mon petit derrière.

– Martine tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu aimes te faire enculer ?

Il le sait bien, ça faisait partie du questionnaire, mais puisque cela fait partie du jeu, je réponds :

– Oui Monsieur ! J’adore ça ! Vous pourrez me le faire quand vous voulez !
– Bien sûr que je vais le faire quand je voudrais, petite salope !

Il m’introduit maintenant un doigt dans le cul, on ne peut pas dire que ce type soit un modèle de délicatesse ! Mais ça ne fait rien, j’aime bien me faire doigter le cul !

– Un peu étroit quand même !
– Je vous avais prévenu !
– Ne t’en fais pas, si tu restes à mon service, il va s’élargir !
– Ce sera avec grand plaisir !
– Je vois que tu deviens une petite garce obéissante…

Il retire son doigt, en constate l’état.

– Pas très propre tout ça !
– Vous ne m’avez pas précisé que je devais… euh…
– Ça ne me dérange pas, mais nettoie-moi cette merde.
– Euh, j’ai un kleenex…
– Non, lèche !

Ce n’est pas un problème, je lui lèche le doigt qui redevient vite tout propre

Ce disant, il n’en peut plus, il ouvre sa braguette, et sort sa queue, toute raide, elle me plait, elle est belle et le bout est tout violacé ! Un amour de bite !

– Suce ma queue, pétasse !

Je ne réponds pas, je saisis la verge d’une main et approche ma langue de son gland, je donne quelques coups de langue, sa pine a une odeur assez forte, ce qui est normal à cette heure, j’entoure le gland avec ma bouche et commence mes mouvements de succion tout en continuant à tamponner le bout avec la langue, j’adore sucer des belles bites !

– Arrête !

Il finit de retirer son pantalon et s’en va, je ne sais où.

– Attends-moi !

Bien sûr que je vais l’attendre, je ne vais pas m’en aller ! Il ne tarde pas à revenir, muni d’un préservatif ! Ça y est ! Je vais passer à la casserole, je ne pensais pas que cela arriverait si tôt. Il me fait pencher en avant en m’arc-boutant contre une table, Et le voilà qui pousse, ce connard m’a fait mal, il aurait fallu qu’il lubrifie avant, je crie un peu, mais il s’en fout, il finit par rentrer, j’ai réellement mal, et je me demande si je ne vais pas tout planter là et aller voir ailleurs des gens aux pratiques un peu plus douces, mais peu à peu la douleur disparaît pour faire place à ce plaisir trouble que je n’ai que trop peu connu. C’est bon je me laisse faire ! Il ne tarde pas à jouir en poussant un hurlement de sapeur !

– Et maintenant, à genoux devant moi et bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule.

Son urine n’est pas trop forte, mais le débit est puissant, j’en fous plein à côté.

– C’est bon tu es engagé pour un mois !
– Merci Monsieur !
– Tu commences demain… tu peux apporter tes affaires ! Mais avant tu me nettoies les saloperies que tu as fait sur le parquet.

Ah bon, je commence demain ! J’aurais bien commencé tout de suite…mais il est vrai que je n’ai rien apporté pour rester.

– Tu coucheras ici, ton week-end est libre sauf si je te retiens, à ce moment-là tu seras payé en supplément ! Si tu as envie de prendre l’air tu devras me le demander Mais sinon tu es mon esclave 24 heures sur 24 du lundi 9 heures au vendredi minuit !

Il me parle après de mes honoraires, j’accepte ses conditions, il n’est pas censé savoir que je ne fais pas cela pour le fric. Je remets ma jupe, mais quelque chose ne va pas, l’absence de culotte me gêne et j’ai l’impression que tout le monde va s’en apercevoir

– Euh, vous n’auriez pas une culotte, ou un slip à me prêter, parce que…
– Certainement pas, tu n’avais qu’à y penser avant, démerde-toi ! Maintenant fout le camp et soit à l’heure demain matin !
– Bien Monsieur !

Me voici dans la rue, j’ai horriblement mal au trou du cul, et j’ai vraiment l’impression d’être à poil, ma bite fait une bosse sous ma jupe, et je ne sais plus où me mettre, j’essaie de cacher tout cela en plaçant mon sac à main devant, mais ça me donne une attitude ridicule, Je suis rouge de honte, j’essaie de déambuler sur les trottoirs où il y a le moins de monde. J’aurais pu héler un taxi, mais l’humiliation de la situation m’empêche de réfléchir correctement. Et ce qui devait arriver arriva. Deux jeunes loubards me croisent :

– T’as vu le travelo ? Mate un peu ce pédé, il n’a pas de culotte !
– Trop nul le mec, on lui pique sa jupe ?

J’aurais réfléchi, je me serais rendu compte, que la rue n’étant pas déserte, ils n’auraient jamais mis cette menace à exécution, mais non, paniqué, je me mets à courir, pour m’apercevoir que… ma jupe se soulève quand je cours ! Je suis désespérée ! Je ne m’attendais pas à une honte pareille ! Je craque, je m’assois cul nu sur le bord du trottoir et je me mets à chialer comme une madeleine. Trop c’est trop, je souhaitais être humiliée, rabaissée, mais pas à ce point… des gens me regardent ! J’ai peur que quelqu’un appelle les flics ! Je panique de plus en plus !

– Vous avez un problème ?

C’est qui celui-là ? La situation est déjà assez compliquée comme cela, je m’enfuis au petit trop pour ne pas que ma jupe se soulève ! Des gens rigolent !

Un Monoprix ! Sauvé, je vais pouvoir m’acheter une culotte. Où est le temps où l’on pouvait faire des tas de choses derrière les porches des immeubles ? Maintenant il y a des digicodes partout… Je finis par me changer dans les toilettes d’un bistrot ! Ça va mieux ! Je m’assieds à une table et tente de rassembler mes idées. Je ne me vois pas rentrer comme cela dans mon coin en pleine heure de pointe. Alors je retourne au Monoprix, soulagée, m’acheter du maquillage, des sous-vêtements de rechange et autres bricoles…et je loue une chambre d’hôtel pour la nuit !

A 9 heures précises, je me pointe chez mes nouveaux patrons. Avant dans l’escalier, je retire ma culotte que je glisse dans un sac de voyage que j’ai acheté la veille. Le maître m’accueille :

– Bonjour Martine, je vois que tu es ponctuelle, bien vérifions tout cela.

Et ce disant, il soulève ma jupe, constatant qu’aujourd’hui je n’ai rien en dessous, il recommence à me tripoter la bite, je suis sûr qu’il n’avait aucunement l’intention de le faire, mais c’est plus fort que lui… Bien sûr, il me fait bander. Je suis sûr qu’il a envie de me la sucer. Mais il se reprend.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, Monsieur !
– Je devrais te punir pour cela !
– Comme il vous plaira, Monsieur !
– Bon je n’ai pas trop le temps ce matin, je vais te présenter à madame !

Il appelle donc son épouse ! Gisèle est une grande femme, la cinquantaine, assez forte sans exagération. Elle est habillée d’un tailleur beige assez strict. Ses cheveux bruns sont coiffés en chignon strict et elle porte des lunettes !

– Bonjour madame !

Elle ne daigne pas me répondre ! Elle tourne lentement autour de moi, en prenant un faux air dégoûté !

– Retire ta jupe !
– Oui madame !

Décidément c’est une manie dans cette maison… Me voici à nouveau le cul et la bite à l’air, et l’autre qui n’arrête pas de tourner, elle finit par s’arrêter, et soudain alors que j’étais loin de m’y attendre, elle me crache au visage.

– Tiens ! Sale porc ! Mon cadeau de bienvenue !

Il ne faut surtout pas que l’humiliation me fasse bander… Mais je ne peux pas m’en empêcher ! Elle s’adresse à son mari :

– Eh bien, je crois qu’on n’a pas fini de s’amuser avec cette petite tapette…

Puis m’adressant enfin normalement la parole :

– Bon, toi tu me suis, et je vais t’expliquer ce qu’on attend de toi !
– Bien madame, je peux remettre ma jupe ?
– Tu es très bien comme cela !

Je suivis donc ma maîtresse dans une autre pièce où elle m’expliqua :

– Tous les jours tu auras une liste de tâches ! Tu te débrouilles pour faire cela correctement ! Inutile de saloper le travail pour espérer être puni, cela ne se passe pas comme cela ici. Si tu ne fais pas l’affaire, ce n’est pas une punition que tu auras, mais tu seras foutu à la porte ! Cela dit ici tu n’es qu’une merde d’esclave et on sera amené à jouer avec toi et à te faire subir les pires traitements quand bon nous semblera ! T’as compris poufiasse ?
– Oui Madame !
– Je veux t’entendre répondre : « je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit ! »
– Oui madame, Je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit !
– On a tous les droits, si on veut de cravacher ou te chier dessus, tu n’as rien à dire.
– Oui madame !
– Quand nous aurons du monde tu t’enfermeras dans ta chambre et tu n’apparaîtras que si on a besoin de toi ! En ce qui concerne la tenue, voici un tablier de soubrette et une petite coiffe. Tu te mets ça immédiatement !
– Oui madame !
– Bon tu as toutes les vitres à nettoyer aujourd’hui, t’en as pour un moment, je vais te montrer où sont les produits, les chiffons et tout cela et tu vas commencer ! Mais avant je vais te montrer ta chambre

Je m’attendais à une espèce de geôle, mais non c’est une chambre normale, même si le décor est quelque peu spartiate.

– Bon voici ta chambre, tu vas pouvoir y installer tes affaires ! Mais tu dois savoir deux choses, la première c’est que si on a envie de te faire coucher ailleurs une nuit, on en a parfaitement le droit, la deuxième c’est qu’il ne faut pas te figurer que cette chambre sera ton petit coin tranquille ! Il n’y a pas de clé et nous avons la liberté d’y entrer à n’importe quel moment. Par contre, je veux que cet endroit demeure impeccable ! T’as compris salope ? Parce que si tu n’es pas d’accord tu peux encore te tirer maintenant, après ça va être plus compliqué !
– J’ai parfaitement compris madame !

Ma vie de soubrette commençait donc ce matin…

à suivre

Edvard Stokien © 2000

eddy@vassilia.net 


Par Eddy - Publié dans : Eddy
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