Jeudi 31 août 2000 4 31 /08 /Août /2000 09:17

Radio Fantasme

Petit délire radiophonique

par Jean-Seb

 

cochon

 

 

 

Nous sommes dans les locaux de Super Sexy Interdit FM. Il est 2 heures du matin et les studios sont pratiquement déserts. Jean-Sébastien Tiroir et Cathy Roflan, sa pulpeuse collaboratrice sont prêts à prendre l’antenne

 

- Bonne nuit à tous et à toutes ! Ici Monsieur Tiroir votre animateur préféré, assisté de la voluptueuse Cathy et de son 95 D ! Et bienvenue dans notre émission favorite « Radio Fantasmes » Cathy quel va être le thème de ce soir ?

 

 - Le thème d’aujourd’hui sera : « L’amour dans des lieux insolites »

 

- Tout un programme ! Je vous répète la règle, il ne faut pas improviser mais lire un petit texte que vous avez écrit vous-même et comme on est à la radio vous avez même le droit de faire des fautes d’orthographes, personne ne les verra ! Allons-y, et j’espère qu’aujourd’hui nous aurons des filles!

 

- Allô !

- Bonne nuit Jean-Sébastien !

- Vas-y raconte-nous ton fantasme !

 

- J’étais dans un camping fin juillet à Anglet ou il m'est arrivé une aventure peu commune. Ma femme me dit un soir d'aller laver la vaisselle au sanitaire. "- Ok pas de problème chérie !" J'avais presque terminé quand tout à coup une superbe fille rentra dans les sanitaires, elle me regarda, et m'indiqua de la suivre d'un clin d’œil, ce que je fis. Elle m'attira dans une douche non loin, et mit directement sa main sur mon sexe. Elle enleva mon caleçon et pris ma queue dans sa bouche, jamais, je n'avais été sucé comme ça. Sa langue passait sur mon gland et me faisait frémir. Je n'en pouvais plus, je lui ai dit que j'allais jouir et qu'il fallait qu'elle se retire, elle insista pour que j'éjacule dans sa bouche. Je me suis laissé aller et lui ai envoyé quelques giclées qu'elle avala goulûment.

 

- C’est pas mal ! Tu as quelque chose à rajouter ?

- Oui il y a une morale à cette histoire !

- Une morale ? Ah bon laquelle ?

- Les femmes ! Continuez de faire la vaisselle !

 

- Rigolo va ! Vous pouvez voter pour cette histoire elle s’appelle le camping. Allez, on enchaîne…

 

- Allô Monsieur Tiroir !

- Vas y

 

- Je me souviens d'une fellation que ma femme m'a pratiquée dans la voiture tandis que nous roulions sur une petite route pour rentrer chez nous, un soir, il n'y a pas très longtemps.

Je roulais (très) doucement pour apprécier pleinement cette caresse buccale pour laquelle ma femme se laissait guider par les sursauts de la voiture sur la route cahoteuse.

Et me souviens surtout qu'en traversant un village, j'ai dû m'arrêter à un stop où un piéton indiquait sa route à un cycliste. Ce dernier se trouvait donc à notre droite et n'a manqué de voir à quoi était occupée mon épouse (qui, elle, n'a rien vu !). J'ai redémarré rapidement, non sans voir dans le rétro l'air interloqué du cycliste qui commençait à raconter au piéton ce qu'il venait de voir.

Ma femme a continué ses caresses et n'a pas tardé à me faire jouir. Génial !

 

- M’ouai, on va appeler ça la voiture, donc vous pouvez voter pour la voiture ou pour le camping, on en prend une autre !

 

- Allô Jean-Sébastien !

- Vas-y

 

- Tiens, mézigue j'ai eu une expérience dans une rame de métro (à heure creuse, certes, mais quand même), la cochonne était assise en face de moi, à l'heure de Jacques Dutronc, et elle voyait bien que je matais ses jambes jusqu'a la limite de sa mini-jupe. Autant dire que je me contorsionnais un max pour voir la couleur de sa culotte. La dessus, elle a fini par se laisser aller à me montrer l'objet de ma convoitise... niet culotte ! Glups ! N'étant pas de marbre, mon pauvre jean a commencé à accuser une violente protubérance, la rame étant déserte, et souhaitant garder une certaine pudeur, je vous laisse imaginer la suite...

 

- C’est tout ?

- C’est tout !

- Et la suite ?

- Ben justement je vous la laisse imaginer !

 

- Ah bon, on a donc 3 histoires, le métro, la voiture, le camping et toujours pas de filles, on en prend une autre !

 

- Allô ! Cathy !

- Non c’est Jean-Sébastien !

- J’aurais voulu faire un bisou à Cathy

- Elle est partie faire pipi, Cathy, je lui transmettrais ; Vas-y

 

- C'était un dimanche après-midi, en plein été, il faisait une chaleur torride, et croyez-moi quand il fait chaud à Lyon, ça fait pas semblant. Je devais prendre le train à la Part-dieu pour rentrer sur Metz. Mais franchement, avant de partir j'avais envie de faire l'amour à ma copine.

Il me restait plus de 2 heures avant le départ, alors une petite balade dans le centre commercial était le mieux à faire. Je n’arrêtais pas de la titiller, de l'embrasser, de la tripoter, histoire de lui faire comprendre qu'elle allait prendre une bonne ramonée... Elle me dit qu'elle avait envie d'aller aux toilettes. Je l'ai suivie, les chiottes étaient désertes... Quelle bonne aubaine ! On y rentrait largement à deux !

Une fois nos vessies soulagées, il était logique qu'on passe à des choses plus sérieuses, donc un début en levrette, puis elle finit assise sur moi sur la cuvette... la chaleur était au top ! Bref ce petit jeu dura une petite demi-heure et fini dans une super jouissance.

En sortant des toilettes, ruisselants de sueur, on s'est aperçu qu'environ dix personnes attendaient devant la porte ! La gueule qu'ils faisaient nous a pliés de rire !

 

- Pas mal ! Je récapitule. On a donc la voiture, le camping, le métro et les toilettes, et toujours pas de nanas

 

Allez, un autre auditeur ! On vous écoute.

 

J'avais ce jour là, rendez-vous avec la responsable d'un chenil; car je devais livrer un dalmatien à une bourgeoise des beaux quartiers

 

Quand je suis arrivé, il n'y avait personne, j'ai remarqué la porte de ce qui devait être une arrière-salle, j'ai poussé la porte, et la un spectacle fantastique m'attendais : la responsable à poil et en levrette se faisait sodomiser par son dalmatien qui la bourrait en haletant et en faisant gigoter sa queue. J'étais ébahi par ce spectacle que l'on ne voit guère tous les jours

 

"Venez, jeune homme !" M'a dit la responsable, je vais vous sucer la bite pendant que le chien m'encule.

 

- Eh bien elle est sévère, celle-ci ! On a donc la voiture, le camping, le métro, les toilettes et le chenil, et toujours pas de nanas

 

 X003

 

- Allô !

- Bonsoir Jean-Séb !

- Vas-y

 

Avec ma femme nous pratiquons l'échangisme, il y a quatre mois nous avons rencontré un jeune couple 19 et 20 ans. Nos deux femmes bi jusqu'au plus profond de leur âme se font souvent des câlins très intimes sous nos regards excités, un jour nous avons cédé à leur insistance : Les deux mecs devaient se faire de gros câlins voire beaucoup plus sinon on faisait ceinture ce soir-là.

Pendant que nous pratiquions un 69 torride (c'était ma première fois avec un homme et quelle excitation !!!!!) j’ai senti les doigts d'une des deux femmes me fouiller l'anus. J'ai demandé à mon jeune amant de me pénétrer. Sous ses assauts et les regards excités de ces deux chiennes, j'ai connu l'un de mes plus profonds orgasmes.

 

- A ben voilà qui change un peu, mais tu es hors sujet, c’était les endroits insolites ce soir !

 

- Ça se passait sur une falaise, et même que de temps en temps un gros hélicoptère venait nous survoler

 

- Bon vous allez pouvoir voter ! La voiture, les toilettes, le métro, le camping, le chenil ou l’hélicoptère. En attendant un peu de musique !

 

Jean-Sébastien souffla un peu, cette émission l’épuisait, mais c’était quelquefois amusant voir surprenant, Cathy lui communiqua les résultats du vote, l’hélicoptère arrivait bon dernier, c’était toujours pareil, dès que les fantasmes devenaient un peu particulier, c’était le rejet, il froissa le papier et le mit à la corbeille. Cathy attendit un moment et lui indiqua qu’il était temps de reprendre l’antenne

 

- Repasse un disque, on va les faire poiroter.

- Ça m’excite toutes ces conneries !

- A qui le dis-tu ! Allez viens, tu as trois minutes pour me sucer !

- Si on que trois minutes, je ne fais rien du tout !

- S’il te plait ?

 

Jean-Sébastien sorti son sexe de sa braguette et Cathy vint s’agenouiller, elle lui imprima quelques mouvements de masturbation avant de le lécher du bout de la langue, puis de l’engloutir dans sa bouche. Le disque finissait, il fallait vraiment reprendre l’antenne. Il avait envie de proclamer « l’hélicoptère » vainqueur, mais se ravisa, il fallait respecter un certain consensus, alors tandis que Cathy continuait de le pomper de plus belle il déclara :

 

- L’histoire qui a gagné ce soir c’est…. Je vous le donne en mille… C’est… « le studio de radio !

 

Cathy abandonna sa pipe pour partir d’un fou rire nerveux, tandis que Jean-Sébastien recoupait précipitamment l’antenne.

 

J.S Tiroir – Eté 2000.

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Samedi 5 août 2000 6 05 /08 /Août /2000 08:58

Jennifer Plait

récit trans

par Jean-Seb

 

stamp trans

 

Jennifer est une belle femme aux longs cheveux blonds et raides, son visage s'orne d'un sourire malicieux, elle est un peu grande, un peu forte, mais elle plait. Jennifer a malgré tout quelque chose de très particulier. Et cette particularité se trouve là, un peu plus bas, entre ses cuisses, sous la forme d'une belle verge de dimension fort correcte. Jennifer est une transsexuelle non opérée (et qui n'en a d'ailleurs pas du tout l'intention)

 

Jennifer sort de prison. De la prison pour trafic de drogue, alors qu'elle n'avait rien trafiqué du tout, se contentant de stocker chez elle des paquets que lui avait confiés une connaissance, des paquets ne contenant rien d'illégal, lui avait-on mentit. Une bouffé de haine l'envahit quand elle repense à tout ça, la perquisition, la garde à vue avec les injures et les coups gratuits des flics, la tronche de ce salaud de juge, et puis la prison où proche de la déprime elle avait failli se suicider. Pour lutter, elle s'était mise à écrire, d'abord des romans érotiques, mais l'état dans lequel cela la mettait, l'incita à chercher autre chose. Alors elle avait eu l'idée de rédiger des bouquins pour les gosses, des histoires toutes fraîches se passant chez les esquimaux, loin des embrouilles de la civilisation. Elle contacterait des éditeurs dès qu'elle aurait réglé le reste. Finalement elle fut libérée pour bonne conduite.

 

Le reste ! Oui parce que sortir de prison c'est bien beau, mais si vous n'avez ni famille, ni amis, vous faites quoi ? Il existe des associations caritatives qui s'occupent des transsexuelles, heureusement que ce genre de truc existe, mais elle pensait pouvoir se débrouiller toute seule.

 

Au moins n'avait-elle pas de soucis de logement, étant propriétaire d'un studio dans le 17ème. Mais tout avait été coupé, le gaz, l'électricité, le téléphone. Personne ne s'était occupé de sa boite aux lettres prête à éclater, des dizaines de courriers avaient probablement été perdues, il y avait quand même une belle lettre d'huissier lui signifiant que l'on faisait une saisie arrêt sur son compte afin de payer les charges… charmant… Il lui faudrait plusieurs jours pour régler tout cela

 

Elle sortit téléphoner dans un bistrot. Un coup de fil chez son ancienne patronne, elle travaillait avant comme manucure chez Arabella. Une bonne boite réservée à une clientèle avertie car il n'était pas rare que certains habitués demandent l'accès à l'arrière-salle dans laquelle les soins prodigués concernaient des parties du corps beaucoup plus intimes.

 

Elle se demanda si la boite était encore ouverte. Oui elle l'était ! On lui demande de patienter. N'importe quel juge d'instruction pouvait la fermer du jour au lendemain pour proxénétisme, mais, il fallait croire qu'ils avaient des complicités bien placées. Enfin elle obtint la patronne. Est-ce qu'elle allait la jeter ?

 

- Jennifer ! Mais que deviens-tu ? Oui on a appris cette affaire ! Mais passe nous voir, ça nous fera plaisir ! Non je n'ai pas de place pour le moment, mais attends j'ai une fille qui doit s'en aller le 15 décembre ? Tu peux attendre jusque-là ? Est que tu veux que je te la réserve ?

- D'accord t'es gentille, réserve là moi !

 

Jennifer calcula, cela faisait presque 4 mois à tenir, elle avait un petit pécule, jusque-là, elle pourrait vivoter.

 

- Je ne peux pas faire des remplacements en attendant ?

- J'ai déjà quelqu'un pour les remplacements, mais si j'ai une opportunité je t'appelle, donne-moi ton numéro ?

- Je suis dans un bistrot.

 

Il faudrait aussi qu'elle s'achète un portable ! Elle remercia la dame et raccrocha. Elle fit rétablir l'électricité, passa à sa banque, fit quelques courses, puis entreprit de faire ses comptes.

 

Ça faisait juste-juste pour tenir jusqu'à la date indiquée, où elle pourrait demander une avance sur salaire. Rogner sur la nourriture, elle pouvait essayer, mais le reste ? Elle avait maigri en prison, il aurait fallu qu'elle renouvelle sa garde-robe, et puis il y a toujours les impondérables. Il lui fallait trouver un petit boulot pour améliorer tout cela. Quelques passes en se limitant uniquement à ses besoins ? L'idée l'effleura. Mais comment ? Le bois de Boulogne ? Ou alors passer une annonce pour faire ça en studio ? NON ! La prostitution c'était l'argent facile, mais aussi des risques énormes, que le fait d'être transsexuelle aggravait encore. Elle refusait pour l'instant cet engrenage !

 

Histoire de se changer les idées, elle entreprit d'allumer la télé, qui ne voulut rien savoir restant désespérément éteinte, elle vérifia la prise, le courant passait, c'était donc une panne d'alimentation, il fallait soit appeler le réparateur soit racheter une télé. Les impondérables commençaient…

 

Elle réglerait ça plus tard, et se prépara à prendre une douche, son regard se porta sur son propre portrait, elle avait pris un coup de vieux, mais elle était toujours désirable. Il était beau ce portrait, ça datait du temps où elle posait pour des photographes…

 

Click !

 

Le déclic ! Elle était là, la solution !

 

- Ma douche, je me fais belle et je fonce

 

Elle revêtit une robe légèrement décolletée de couleur parme qui laissait les bras nus, mais la recouvrit d'un petit corsage transparent assorti, elle sera sa taille d'une ceinture de cuir noir et se chaussa d'escarpins blancs (ce ne fut pas évident car elle avait perdu l'habitude de ce genre de choses.)

 

Un coup de fil d'un bistrot pour s'assurer que l'agence existait encore. Et bien non elle n'existait plus, mais un message enregistré proposait de s'adresser au Photo Model Club de la rue Labas. Elle se rendit à l'adresse indiquée, pas de boutique, rien ! Se serait-elle trompée ? Elle pénétra dans l'immeuble où s'affichait une liste des occupants. Devant le nom de l'un des résidents avait été rajouté "Photo model Club". C'était au 2ème. Elle sonna. Un type vint lui ouvrir. Le genre monsieur quelconque :

 

- Le photo model club ?

- Oui entrez !

 

Il lui sert la main et se présente Charles Van den Meulen.

 

- Jennifer !

- Enchanté !

 

La tête du type qui n'en revient pas d'accueillir ce genre de créature ! Il n'y a pas de bureau, c'est tout simplement l'appartement du responsable de l'agence. Il la fait asseoir sur le canapé, et prend quelques documents dans un tiroir.

 

- C'est pour vous inscrire ?

- Oui !

- Transsexuelle ?

- On ne peut rien vous cacher !

- N'est-ce pas !

- Il y a de la demande pour des gens comme moi ?

- Oh ! Oui ! On a déjà deux travestis, ils sont très demandés, et comme les clients qui les demandent sont répertoriés, je vais pouvoir leur téléphoner et leur annoncer que nous en avons une nouvelle, vous voyez vous allez avoir plein de séances !

 

La chance !

 

- Bon on va faire un pola de votre visage, il est très joli mais parfois certains visages ne sont pas photogéniques, il vaut mieux s'en assurer !

- Vous allez faire quoi ?

- Un pola ! Un polaroïd !

 

Le type prend son " pola ", demande à Jennifer de faire un joli sourire, prend la photo et dégage l'épreuve.

 

- Superbe ! Votre visage est chargé d'un érotisme assez rare.

- Merci !

- Voyez-vous, en ce moment comment vous dire, je suis terriblement excité !

 

Jennifer lui sourit, lui montrant ainsi que ses propos ne la choquent pas

 

- Je vais jouer cartes sur tables ! J'ai beaucoup d'influence sur mes clients, vous savez, un simple mot, "elle n'est pas terrible", ou alors "elle est super", ça change tout ! Je ne demande pas mieux que de vous donner un coup de pouce, mais je, enfin il faudrait, je…

 

Le type bafouille, il ne sait plus où il en est. Jennifer n'est pas folle, elle a compris, encore un salopard qui profite de la situation, alors autant rester maîtresse du jeu, elle lui met carrément sa main à la braguette où elle sent effectivement une rigidité qui n'a rien d'innocente.

 

- C'est ça que tu veux ?

- T'as tout deviné !

- Petit salaud !

- Qu'est-ce que tu veux ? La chair est faible !

 

Jennifer dégrafe la fermeture éclair de Charles, et s'amuse à caresser sa bite à travers le slip, puis la dégage complètement, elle approche sa langue de son gland et le lui lape, comme pour goûter, mais qu'une seule fois. Elle savoure d'avance le plan qui vient s'échafauder dans son esprit !

 

- Si tu veux que je te suce, tu te laves, ou alors tu te mets une capote !

- Non ! Mais tu ne vas pas faire la mijaurée ! Tu suces ou tu te casses… et adieux les contrats…

 

Réaction prévisible, Jennifer se lève pour partir, c'est maintenant que tout va se jouer. Une chance sur deux, si elle perd, il y d'autres agences…

 

- Reste ! Excuse-moi ! C'est l'excitation qui me rend agressif, je suis désolé. Je n'avais pas du tout prévu cette situation, je vais me nettoyer.

 

Gagné ! Le type revient deux minutes après, il est resté tel qu'il était, il ne s'est même pas déshabillé, et son pantalon est légèrement mouillé

 

" Il ne sait plus où il en est le mec ! "

 

Jennifer branle un peu la queue de Charles pour lui redonner de la vigueur, puis porte le gland à ses lèvres, fait tourner sa langue dessus, puis par petits mouvements successifs la fait avancer dans sa bouche. Quand elle estime ne pouvoir en entrer plus, elle commence alors des mouvements de va-et-vient tout en continuant d'astiquer le gland avec sa langue ?

 

" Mais c'est que c'est toute une technique ! "

 

Charles est aux anges

 

" Si seulement il pouvait jouir tout de suite, ce serait une bonne chose de faite ! "

 

- Et si tu me montrais la tienne, de quéquette ?

- On demande gentiment !

- C'était pas gentil ?

- Mieux que ça !

- Ma petite Jennifer, fais-moi plaisir ! J'aimerais tant voir ta quéquette !

- Tu vois quand tu veux !

 

Jennifer baisse sa culotte, et déjà la main de Charles s'y aventure et tripote, il se penche pour la sucer

 

" Maintenant l'estocade ! "

 

Soudainement Jennifer le gifle

 

- Mais t'es tarée ou quoi ?

- Tu ne m'as pas demandé !

- Ecoute…

- Demande-moi et tu pourras me sucer !

- S'il te plait Jennifer, pardonne-moi ! J'aimerais tant te sucer !

- Mais avec grand plaisir, Monsieur Charles !

 

Le type se précipite sur la queue de Jennifer et la gobe. A sa grande surprise il suce bien, ce ne doit pas être sa première fellation

 

- Allonge-toi se sera plus pratique !

 

Charles s'allonge, Jennifer se met au-dessus de lui et lui redonne sa bite à sucer, puis elle se couche sur lui afin d'atteindre la sienne. Ils se sucent mutuellement ainsi en 69 pendant plusieurs minutes. Puis Jennifer abandonne sa fellation.

 

- Tu veux m'enculer, je suppose ?

- Oui Jennifer, j'aimerais tellement t'enculer !

- T'as une capote !

- Je vais en chercher

- Tu en prends deux !

- Pourquoi deux ?

- Tu verras bien, et puis mets-toi à poil on va pas faire ça à moitié habillé !

 

Jennifer se déshabille de son côté. Charles revient rapidement. Il a un regard amusé en découvrant la jolie poitrine de la transsexuelle, mais sans plus.

 

" Ça ne doit pas l'intéresser ce connard ! "

 

Jennifer lui demande de se coucher sur le dos sur le canapé, puis se place au-dessus de lui, écarte ses fesses et engloutit sa bite dans son trou du cul. Elle aime cela Jennifer, elle aime jouir du cul et elle aime cette position car elle peut tout contrôler, vitesse et profondeur, mais la position est néanmoins fatigante. Elle pivote alors sur le côté afin de continuer en "paresseuse" du coup c'est Charles qui doit maintenant besogner.

 

" Il manque de technique le mec !"

 

Jennifer13.jpg

 

Jennifer se retire

 

- Tu veux jouir comment ?

- Ben j'aurais bien joui dans ton cul, mais sinon tu peux me sucer à fond !

- Tu rêves ou quoi ? C'est pas la fête !

 

Jennifer place alors la deuxième capote sur sa propre queue

 

- Mais tu fais quoi ?

- Tu veux un dessin, tu en meurs d'envie, mais il faut que tu me le demandes, sinon je ne le fais pas !

- T'es vraiment une salope !

 

Et claque ! Une nouvelle gifle !

 

- Ça c'est pour la salope ! Allez demande !

- Demande quoi ?

- T'en veux une autre ?

- Pourquoi pas ! Même tes gifles m'excitent !

- Bon alors tu demandes, ou pas ?

- Encule-moi ! Jennifer !

- Ah ben quand même...

 

Déjà il se met en position.

 

- Non pas comme ça, reste sur le dos et lève les jambes, et tu vas te branler pendant que je t'encule !

 

Jennifer pose un peu de salive sur l'anus de Charles, puis pousse avec sa bite, la capote lubrifié aide le passage, une fois bien rentrée elle commence ses mouvements alternatifs. Jennifer se sent prête à jouir dans son cul

 

- Branle-toi, on va jouir en même temps

 

Les orgasmes de Jennifer sont toujours très violents, elle pousse un rugissement en lâchant son foutre dans la capote, puis se retire de son cul ! Charles n'a pas encore joui et continue à se branler.

 

- Je peux jouir sur tes seins ?

- Bien sûr, quelle question ?

 

Il est tout étonné Charles, mais c'est aussi ça dominer quelqu'un : c'est lui faire plaisir de façon inattendue. Du coup le Charles ne tarde plus à jouir et lâche son foutre sur les seins de la belle transsexuelle.

 

- Ah ben on peut dire que t'es un fameux phénomène !

- Certes, je pense que les formalités de cuissages sont terminées ?

- Ok ! Je tiendrais mes promesses !

- T'es un chou !

- On recommencera ?

 

" Aie ! Surtout ne pas lui dire non ! "

 

- Pourquoi pas ? Mais j'aurais quoi en échange ?

- Je ne sais pas moi ? Le restaurant ?

- Un bon alors ?

- Ok !

 

Jennifer fit quelques pas et s'empara du téléphone.

 

- Qu'est ce que tu fabriques ?

- Rien, mais si tu pouvais me dégotter un client rapidement, ça m'arrangerait

- A tes ordres princesse !

- C'est bien comme cela que je voyais les choses !

 

© Jean-Sébastien Tiroir - 1983 - revu et corrigé en 2000 et 2010

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mercredi 2 août 2000 3 02 /08 /Août /2000 00:15

Brigitte Parade,

Récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Brigitte est revenue de ce laborieux voyage professionnel qui a duré dix-sept jours. A l'aéroport, une mélodieuse et suave voix féminine invite les voyageurs à emprunter les transports en communs, les taxis étant affectés par un mouvement social (on ne dit plus en grève !)

 

Elle prend donc le train, puis le bus, le trajet est relativement long

 

Brigitte est une belle jeune femme aux cheveux blonds cendrés s'éparpillant en boucles sur ses épaules. Elle est assez ronde.

 

- " Trop ronde ! "

 

Non ! N'exagérons rien, peut-être légèrement forte, mais elle n'a rien de difforme ni d'obèse, loin s'en faut. Sa belle poitrine fait néanmoins un bon 100 D. cela la complexe un peu. Les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine. Elle est vêtue d'un tailleur gris légèrement rayé, à la coupe très classique, et orné d'une broche dorée en forme de paon. Un chemisier rose et l'inévitable foulard en soie paraphé d'une signature alambiqué complète cette trop sage panoplie.

 

Le trajet s'éternise, il y a des embouteillages partout et l'autobus n'avance pas. Un homme s'assoit devant elle et semble impressionné par le physique de Brigitte. Après être resté quelques minutes en arrêt devant elle il lâche brusquement et de façon tout à fait incongru :

 

-  Tiens bonjour ! J'ai failli ne pas vous reconnaître ! Comment allez-vous ?

 

Elle ne l'a jamais vu ! S'agit-il d'une confusion involontaire ou d'une nouvelle façon de draguer. ? Elle dévisage le type, genre cadre dynamique, la trentaine, pas moche, mais le pauvre n'a pas de chance, il ignore que Brigitte est peu attirée par les hommes. Elle décide de s'amuser et sans se démonter, lui répond le plus sèchement possible ! :

 

-  Je vais très bien, merci, et vous aussi sans doute, mais il ne me semble pas que nous nous connaissions ?

 

Le type est déstabilisé, et bredouille un vague truc, du genre :

 

- J'ai dû confondre avec quelqu'un d'autres !

 

Et il plonge dans son journal, en pleine confusion !

 

Elle décide d'insister un brin sadiquement.

 

- Remarquez, je rencontre beaucoup de monde, il est parfaitement possible que nous nous soyons déjà rencontrés, mais sans doute brièvement, et sans que cela me frappe sinon je m'en souviendrais !

 

Le type répond par monosyllabe, il ne sait plus où se mettre, la partie ne lui appartient plus

 

- Voyons, avec qui pourriez-vous bien confondre ? Vous travaillez dans quelle branche ? ... Ah ! Non alors ce n'est pas moi ! , Quoique. ?...

 

Elle fait semblant de chercher. Le type du coup se retrouve de l'intérêt, et tente de réorienter la conversation. Mais Brigitte ne répond a aucune de ses questions et alors qu'il lui parle d'on ne sait quoi elle n'aura comme toute réponse que :

 

- Quelle chaleur suffocante dans ce bus !

 

Réflexion non innocente qu'elle accompagne du geste en déboutonnant deux boutons de son chemisier. Du coup le type perd le fil de qu'il disait, deviens cramoisi, prend cela pour une invite et cherche déjà dans sa tête la petite phrase magique qui lui permettra d'entrer pour de vrai dans son rôle du dragueur irrésistible.

 

Ce qu'il ignore c'est que Brigitte est pratiquement arrivée à destination, et alors qu'il allait balbutier quelque chose, c'est fort sèchement, mais en soutenant son regard qu'elle conclut en ces termes cette rencontre de dupes :

 

- Ecoutez Monsieur, nous ne saurons jamais si nous nous sommes déjà rencontrés. Cela ne fait rien, cela m'a été agréable de causer avec vous, mais je tiens à ma tranquillité, et si vous me croisez de nouveau, je vous remercie de bien vouloir m'ignorer. !

 

Patatras ! Le type devient rouge comme trois tomates et deux poivrons.

 

Elle s'était bien amusée. En rentrant, elle trompe sa faim en mangeant n'importe quoi et se couche, harassée, sans avoir pris le temps de prendre une douche

 

- " On verra ça demain !"

 

Elle se réveille tard, trop tard !

 

- Putain, tout le boulot que j'ai à me taper ce week-end. Il y a tout le linge du voyage à laver, la maison qui est plein de poussière. Autant démarrer tout de suite !

 

Elle s'amuse à se coiffer la tête d'un fichu blanc, cela lui donne un petit côté " Perrette et le pot au lait ", puis va pour se recouvrir d'une simple blouse, puis se ravise

 

- " Si Annette se pointe ! "

 

Elle ouvre une commode

 

- " Plus rien à me mettre ! "

 

Par jeu elle choisit un porte-jarretelles noir ainsi que les bas assortis, un petit corset beige avec des motifs, un joli corsage blanc sans manches, et elle recouvre le tout d'une blouse tablier blanche à pois bleus

 

- " On va commencer par la lessive "

 

Brigitte jette tout le linge dans une panière et va pour descendre à la buanderie.

 

- Hello !

 

Brigitte_Ulla01.jpg

 

Evidemment c'est Annette, sa voisine, c'est bien le moment !

 

- Salut, toi ! Je suis un peu débordée, je démarre la machine à laver et je te fais un bisou !

 

Annette est une petite brune avec des cheveux coupés au carré. Elle est habillée d'un blue-jean et d'une espèce de tee-shirt publicitaire très ample et somme toutes assez nul dont elle s'est amusé à couper les manches. Elle a eu la coquetterie de rajouter une grosse ceinture grise par-dessus. 

 

Annette la suit dans la buanderie. Elle a l'œil coquin ! Elle attend patiemment que Brigitte déverse tout le linge dans le tambour du lave-linge, et fasse démarrer l'appareil, puis lui tend ses lèvres. Les deux jeunes femmes s'embrassent fougueusement un long moment mélangeant langues et salives.

 

- Alors ce voyage ?

- Crevant !

- Tu m'as trompé ! J'en suis sûre !

- Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?

- Alors c'est oui !

- Ben oui, c'est oui !

- Tiens ! Je t'ai fait une surprise ! Regarde ce que j'ai fait à ma petite chatte hier ? 

 

C'est avec un regard pétillant qu'Annette baissa son blue-jean.

 

- Oh ! C'est tout rasé ! C'est super excitant comme ça !

- J'ai une de ses envies !

 

Brigitte crut d'abord que l'envie de sa coquine de voisine était d'ordre sexuel. Et bien non ! Et elle eut la surprise de la voir lâcher un jet d'urine bien dorée dont une partie vint mouiller sa culotte à demi baissée.

 

- Te gênes pas, fais comme chez toi ! Pisse dans ma buanderie !

- C'est pour te punir de m'avoir trompé !

- Tu parles d'une punition !

 

Brigitte voulant montrer à sa copine qu'il en fallait d'autre pour la choquer, lui demanda d'en refaire un petit peu, puis recueillit quelques gouttes du liquide bouillonnant dans sa paume qu'elle lécha.

 

- Hum Délicieux !

 

Annette prit la main de Brigitte pour goûter à son tour

 

- Non ! C'est comme d'habitude !

- Mais c'est toujours délicieux !

- Qu'est-ce que tu en sais ? On a fait ça qu'une fois !

- Non deux fois ! Tu m'excites avec tes cochonneries !

 

Annette ouvrit alors le chemisier de Brigitte libérant ses deux magnifiques globes

 

- Qu'est-ce qu'ils sont beaux ! On ne s'en lasse pas !

- Ils sont trop gros, je vais me les faire raboter !

- Méchante !

 

Et tandis qu'elle pelotait les mamelles de sa copine, ivre de désir, elle lâcha un nouveau jet d'urine dans lequel Brigitte glissa ses doigts

 

Brigitte se débarrassa alors de sa blouse, attirant Annette vers elle pour l'embrasser fougueusement sur la bouche tandis que cette dernière lui tripotait la chatte

 

- T'as pas envie, toi ?

- Si ! Tu veux que je t'arrose ?

- Oui ! Sur ma poitrine ! On va jouer au tee-shirt mouillé !

 

Brigitte écarta bien sa chatte et arrosa copieusement sa copine, le fond blanc du tee-shirt devenait de plus en plus transparent et de plus en plus collant au fur et à mesure de l'opération ! 

 

- On est vraiment un peu dingues ! Commenta Annette d'une voix tremblante.

- Et alors ? Y a pas de mal à se faire du bien, et on ne fait de mal à personne !

 

Mais les apartés de sa voisine n'étaient pas de nature à interrompre l'envie de Brigitte. Et Annette tira sa longue langue sur laquelle le jet vint se briser. Elle ne se contentait pas d'avaler, elle dégustait !

 

- Hum ! Ta pisse est tellement bonne que tu devrais la mettre en bouteille, plaisanta Annette

- Pourquoi pas, la prochaine fois que je pars en déplacement je t'en garde un litre !

- T'es folle ! Frais c'est délicieux, mais après ça fermente ! Oh là là ! Je ne sais pas ce qui m'arrive j'ai encore envie ! répondit Annette se remettant à pisser comme une fontaine

- C'est pas possible ! Qu'est-ce que tu as bu pour qu'il y en ait autant ?

- Du thé au jasmin !

 

Annette retira son tee-shirt trempé, dévoilant une jolie guêpière à fleur de laquelle elle laissa s'échapper deux appétissants petits seins

 

Une banane en plastique traînait dans un coin de la buanderie

 

- Tiens pisse sur la banane demanda Brigitte à Annette qui s'exécuta.

 

Brigitte enfonça alors l'objet ainsi lubrifié dans la chatte d'Annette. Leurs seins se frôlaient leurs donnant la chair de poule

 

- Attends, j'ai mieux, regarde ce que je cache ici, petite coquine ! dit Annette, en exhibant un beau gode noir

- J'aime pas ces trucs-là !

- C'est pas grave, lèche-moi le bout des seins, je vais me le garder pour moi toute seule.

 

Et tandis que Brigitte obtempérait, elle s'enfonça l'objet dans sa chatte humide.

 

- Je ne suis pas vache, je vais te donner un coup de main !

 

Elle demanda à sa voisine de se coucher sur le dos et la chevaucha en lui branlant la chatte avec le gode, tandis qu'elle-même s'excitait. Mais ce sexe offert était trop tentant, il fallait qu'elle le lèche et elle revint titiller le clito de sa copine qui eut un violent orgasme lui provoquant un nouveau jet de pisse, Brigitte s'amusa à en avaler le maximum

 

- C'est mon tour ! décida-t-elle se plaçant au-dessus de sa voisine, qui avait repris son jeu de gode ; visant sa petite chatte rasée.

- Non pas là, dans la bouche, j'ai encore soif

 

Annette sentit le deuxième orgasme s'approcher et alors que Brigitte pissait copieusement dans sa bouche grande ouverte. Annette lampait comme si on lui avait servi une grande bière bien fraîche un jour d'été torride

 

- Moi aussi, je peux encore déclara Annette

- Chouette j'ai encore soif ! répliqua Brigitte

 

Elles changèrent une nouvelle fois de position et tandis que sa copine pissait, Brigitte pressa ses deux seins l'un contre l'autre et les souleva un petit peu de façon à ce que la pisse qui dégoulinerait de sa bouche lui chatouille les tétons.

 

- Tu m’étonneras toujours, mais comme je suis bonne fille je vais maintenant t’aider à finir ton ménage ! Dit Annette !

- Super ! Et qu’est-ce qu’on fait après ? Répondit Brigitte avec une feinte candeur.

- D’après toi ?

 

Fin de l’épisode

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 7/10/2000

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mardi 1 août 2000 2 01 /08 /Août /2000 07:59

Laura Soif

récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Laura est une grande femme d'une trentaine d'année, elle a de magnifiques yeux bleus, ses cheveux châtains d'où émergent quelques rares mèches blondes sont maintenus sur le haut de la tête en une coiffure très moderne. Elle arbore un sourire conquérant. Ceux qui la connaissent, ne s'y frottent pas, ils savent sa réputation de nymphomane, mais savent aussi que c'est elle qui choisit. Grande amateur d'art moderne, il lui arrive souvent d'être conviée à des vernissages. Ce soir Machisko expose ses œuvres, des machins incompréhensibles dans un dégradé de vieux rose. Elle s'ennuie. Elle est vêtue ce soir d'un tailleur bleu foncé légèrement rayé de blanc. La coupe croisée en est très stricte. Les amateurs de décolletés en seront pour leurs frais.

 

Elle s'en est draguée deux, ce genre de situation l'excite. L'un s'appelle Kurt, c'est un allemand très décontracté, genre sportif aux cheveux court L'autre est Arnaud, type beaucoup plus réservé, la peau un peu mate et ses longs cheveux très bruns sont attachés avec un catogan.

 

C'est ce dernier qui essaie de faire la conversation, il est évidemment question de Machisko !

 

- Un fumiste, l'art moderne en est inondé !

 

Le ton est péremptoire, Arnaud se tait

 

A peine entrée chez-elle, elle attaque, pas de préliminaire, pas de petit verre, pas de musique douce, on ne s'assoit même pas ! Laura a déboutonné deux boutons de sa veste de tailleur et en écarte les pans toisant Arnaud ! Ce dernier ne comprend pas où est passé le chemisier, il y en avait tout simplement pas, il a une superbe vue à présent sur un magnifique soutien-gorge en soie bleue dont la partie supérieure s'orne de fine dentelle noire. Aucun des hommes ne prend d'initiative, subjugués par le charisme de leur hôtesse. Laura retourne la partie dentelée du soutif afin de libérer ses mamelons déjà érigés Elle laisse choir ensuite sa jupe de tailleur sous laquelle ne logeait aucune culotte, et elle se penche en avant et tandis que Kurt lui pelote son magnifique petit cul superbement cambré, elle a déjà dégrafé la ceinture d'Arnaud, lui faisant glisser caleçon et pantalon, et attaque avec la bouche sa bite déjà bien bandée.

 

- Elle est courte mais elle est bonne ! Diras-t-elle un peu plus tard.

 

Elle s'assied à présent sur le canapé. Kurt a à son tour libéré sa longue bite. Laura s'en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation, mais c'est celle d'Arnaud qu'elle garde en bouche, lui astiquant les couilles de son autre main. Cette autre main sera bientôt attirée par son propre sexe qui dégouline de mouille. Elle n'en peut plus, elle veut jouir comme une folle. Elle change de bite et suce maintenant celle de Kurt, demandant à Arnaud de venir la prendre, ce qu'il s'empresse de faire.

 

Mais présentement elle préfère sucer Arnaud que Kurt et demande aux deux hommes d'intervertir leur position, elle se met en position chevauchante sur Kurt et recommence sa fellation sur Arnaud. Ce n'est pas une " avaleuse de bite ", elle à la mâchoire plutôt petite, elle préfère travailler le gland.

 

- C'est ce qu'il y a de meilleur à sucer !

 

Elle s'amuse à le mordiller, faisant sursauter son propriétaire. Elle change de position et demande à Kurt de se placer sur le côté " en paresseuse ", puis en levrette couchée, sa fellation sur la bite d'Arnaud ne faiblit pas, elle la déguste, elle se régale, elle se goinfre ! Sa main astique son clito. D'un coup elle n'est plus là, elle ne sait plus où elle est partie ! Elle se tétanise soudain et elle pousse un hurlement de jouissance, puis son corps est atteint d'impressionnants soubresauts tandis que ses cuisses dégoulinent de mouille. Elle a joui, pas les mecs ! Elle se reprend assez vite.

 

- J'ai soif ! Donnez-moi à boire !

 

Déjà Kurt se précipite vers la cuisine, mais Laura à une autre idée en tête, elle demande à Arnaud de venir avec elle dans la salle de bain. Elle retire à présent son soutien-gorge, mais elle garde son porte-jarretelles assorti et ses bas. Kurt les rejoints avec trois bières et un décapsuleur.

 

- Pose ça là ! Pour l'instant, vous allez me pisser dessus !

 

Laura02.jpg

 

Elle dit cela avec un air si malicieux, une si belle coquinerie affichée dans le visage, que Kurt n'hésite même pas et tandis que la femme s'est accroupie, il lui dirige son jet de pipi sur sa belle poitrine.

 

- Je t'ai dit que j'avais soif ! Connard !

 

On ne lui dit pas deux fois à Kurt, et il réoriente le jet vers la bouche ouverte de Laura. Arnaud a plus de mal à démarrer, il se demande où il a mis les pieds mais il n'ose plus reculer, quelques gouttes finissent par émerger de son gland. Laura s'en empare afin de les laper à la source, décidément elle à une grosse préférence pour la bite à Arnaud. Elle revient au jet de Kurt qui lui ne tarit pas, elle en avale une goulée et pendant ce temps serre les dents, faisant dégouliner le trop plein sur son corps, une fois, la bouché avalée, elle desserre les dents et s'applique à recevoir le jet directement au fond de son gosier.

 

Il fallait bien qu'à un moment le jet de Kurt se tarisse. Alors elle le suce, lui mordille le gland. Arnaud, lui, semble avoir repris des ressources et libère un long jet. Laura se retourne et lui présente ses fesses

 

- Vas-y ! Fout-m'en partout !

 

Son cul et ses cuisses sont trempés. Elle se retourne !

 

- Les seins maintenant !

Il l'arrose

 

- Je veux encore en boire !

 

Son urine a été longue à venir mais dorénavant il n'arrête plus, il lui vise la bouche, ça dégouline de partout tellement le flot est abondant. Kurt en remet de son côté une petite lampée. Laura a maintenant saisi la bite d'Arnaud et s'en servant comme d'une douchette dirige le jet vers toutes les parties de son corps. Kurt se branle. Laura a pitié de lui et lui léchouille le gland. Arnaud s'aventure du côté de la chatte.

 

- Tu as aussi t'as soif ?

 

Il a un mouvement de recul.

 

- Tu as déjà essayé ?

- Non !

- Ben alors qu'est que tu attends ?

 

Son excitation ne prête pas à la réflexion, il lèche le minou rasé de Laura d'où quelques gouttelettes jaunes ne vont pas tarder à émerger. Il goutte, il est surpris par le goût qui n'a rien de repoussant. Il la lèche au milieu de sa pisse, il n'en peut plus il en redemande. Il s'applique à la faire jouir, ce qu'elle fit bientôt pour la deuxième fois de la soirée.

 

- J'ai la chatte brûlante, arrose-la-moi !

 

Arnaud trouve encore l'énergie de repisser et dirige le jet vers la chatte brûlante de Laura avant de finir n'importe comment sur son corps. Pendant tout ce temps Laura n'a pas lâché sa fellation sur la bite de Kurt. Et bientôt ce dernier éjacule dans sa bouche. Arnaud implore qu'on lui fasse pareil, il se branle, il est au bord, Laura va pour le prendre en bouche, mais le simple contact de sa main sera de trop, il éjacule sur le corps mouillé de Laura.

 

Elle regarde l'image que lui renvoi son miroir, celle d'une belle femme complètement trempée tenant dans chaque main une bite encore bandée. Une femme rayonnante de plaisir et de bonheur

 

Elle lâche la pine de l'Allemand.

 

- Alors tu nous les débouches tes bibines ? On a soif !

 

© Jean-Sébastien Tiroir - 1996 - revu et corrigé en 2000  

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Dimanche 30 juillet 2000 7 30 /07 /Juil /2000 07:27

La Flaque

récit uro-lesbos

par Helena Sevigsky

 

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Je suis divorcée et ça y est j'ai dépassé cette fatidique quarantaine.

 

Quelques mots sur moi : Blonde naturelle d'origine polonaise, 1,55 m, j'ai longtemps gardé les cheveux longs. Ma peau est pâle et craint le soleil, mes seins sont trop gros et j'ai comme disait Sophie dans ses moments de gentillesse : " un grand nez qui donne à mon visage un petit air canaille ". Je ne me plais pas mais je plais. Pas à tout le monde, mais je plais.

 

Gamine, je fantasmais plus sur les filles que sur les garçons.

 

- Ça te passera quand tu rencontreras un homme que tu aimeras ! M'avait dit ma marraine à qui j'avais confié mes angoisses.

 

Je me suis marié trop tôt à un garçon charmant et intelligent, qui me foutait une paix royale, j'étais vierge, je l'aimais, pas une foudre de guerre au lit, mais attentionné, il n'oubliait jamais mon propre plaisir.

 

Je ne l'ai trompé que deux fois, une fois avec un homme, c'était sympa mais ça ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, une autre fois avec une femme, et là cela m'a laissé un souvenir ineffaçable ! Mon mari me trompait à tour de bras, je fermais les yeux, je lui demandais simplement de ne pas prendre de maîtresse.

 

On a fini par se séparer, non pas à cause de ce que je viens de dire, mais tout simplement parce qu'on ne faisait plus rien ensemble, sinon bouffer et dormir. On ne s'est même pas fâché, et parfois on se téléphone.

 

J'ai essayé d'apprendre à vivre toute seule. Je n'ai pas mon permis de conduire, faire les courses au supermarché qui est à deux kilomètres avec mon caddie devint vite une corvée. Je me rendis compte que je n'avais jamais éprouvé le besoin d'apprendre comment faire fonctionner le magnétoscope. J'étais incapable d'effectuer une réparation, appelant l'électricien alors qu'il fallait juste changer un fusible. La goutte d'eau de trop fut quand je voulus refaire la peinture de ma cuisine, une catastrophe, j'avais tout simplement le vertige sur mon escabeau. Il me fallait un mec ! Mais d'autre part ma nouvelle liberté avait fait ressurgir de vieux démons et c'est souvent que je masturbais en m'imaginant au lit avec une femme.

 

Je ne me masturbais d'abord qu'en pleine nuit, dans ma chambre et sous mes draps, mais j'ai vite réalisé que cela m'excitait davantage de le faire en pleine lumière pour me permettre de regarder mon corps sous la jouissance. Je me donnais ainsi du plaisir les jambes écartées, deux doigts d'une main dans la chatte tandis que l'autre pinçait mes tétons. Un jour après avoir joui, je me rendis compte que les rideaux de la chambre n'étaient pas tirés à fonds. Peut-être m'avait-t-on vue ? D'autres en seraient mortes de honte. Pas moi, sans doute un vieil exhibitionnisme refoulé qui remontait à la surface !

 

A ma boîte, le volume de travail dans mon bureau baissait dangereusement, et on me proposa une mutation dans un autre immeuble. Enfin quand je dis " proposa "… Me voici donc à La Défense (40 minutes de trajets en plus) dans un environnement inconnu. On m'explique le boulot, ce n'est pas très compliqué.

 

Il y a dans le bureau une belle blonde (fausse) les cheveux tirés en arrière et maintenu par une petite queue. Mon dieu qu'elle est belle, je n'arrête pas de la reluquer. Si ça continue, elle va s'en apercevoir, j'essaye de me dominer, mais cette fille est un véritable aimant. J'essaie de me dominer, les femmes attirées par les femmes ne sont pas si nombreuses que ça, et même si c'était le cas, pourquoi serait-elle libre ? Plutôt la garder pour mes fantasmes. Voilà la solution, ce soir je me masturberais en pleine lumière en pensant à elle. Je suis tout excitée et sens une tiédeur moite dans ma culotte, il va falloir que je me calme ! L'aimant refonctionne, je la regarde à nouveau, et cette fois elle s'en est aperçue et me balance un doux sourire ! Je rêve ou quoi, je suis en train de fondre !

 

J'essaie de me concentrer sur mon travail et parviens à me calmer. Une heure après sans doute, la voici qui s'approche de mon bureau, je peux la voir entière. Elle est craquante, les seins ne sont ni trop gros ni trop petit, elle est plus grande que moi, elle me tend une enveloppe non cachetée. Elle se penche, et l'espace d'un instant j'aperçois un sein dans le déboutonnage de son chemisier. Je ne sais plus ou me foutre. Elle se redresse, et dans cette position personne ne peut plus rien voir.

 

- Je pense que c'est à vous ce document ?

- Non !

- Si ! Si ! Il y a votre nom à l'intérieur !

- Ah bon merci !

 

Elle regagne sa place, je sors de l'enveloppe un bout de papier plié en quatre. Je lis stupéfaite : " Si tu veux me joindre après 19 heures, voici mon téléphone personnel. Pour ce qui est du bureau, sois discrète, ma réputation est faite mais pas la tienne. Bisous (si tu veux)"

 

C'est pas vrai. ! Je m'efforce de ne pas regarder dans sa direction, le papelard je l'ai lu dix fois, vingt fois, je l'ai appris par cœur.

 

En sortant du boulot, je ne rentre pas chez moi, je décide de rester à Paris jusqu'à l'heure du coup de fil. Dès fois qu'elle me demande de la rejoindre. L'attente m'angoisse, il fait très chaud, une douche m'aurait fait du bien, je vais boire un truc dans un bistrot afin de profiter des toilettes pour me remaquiller.

 

- Allô c'est Hélène !

- J'étais sure que tu téléphonerais !

- Je n'ai pas été très discrète !

- Peu importe, j'adore ce genre de situation… Tu es où en ce moment ?

- Dans un bistrot près du Forum

- T'es libre ?

- Oui ! (J'ai failli crier !)

- Et bien, explique-moi où il est ton bistrot et j'arrive dans une petite demi-heure !

 

La petite demi-heure dure déjà depuis 35 minutes et toujours pas de Sophie à l'horizon. Après 10 nouvelles minutes, je retéléphone, ça ne répond pas, elle est donc en route… ou alors elle s'est foutu de ma gueule, ou il lui est arrivé quelque chose ou alors…

 

- Bonsoir Hélène !

- Bonsoir… Euh ! Je peux t'embrasser ?

- Bien sûr !

 

Elle se déplace pour me faire un bisou et au lieu de s'asseoir face à moi elle s'installe à mon côté. Elle défait un bouton de son chemisier et écarte légèrement le tissu, puis se positionne afin que je puisse y plonger mon regard. Elle n'avait pas les seins nus comme je l'avais cru tout d'abord, mais un soutien-gorge à balconnet, ce qui ne change pas grand-chose….

 

Je me souviendrais toujours de nos premiers propos échangés où en deux phrases elle jeta aux orties quelques idées que j'avais pourtant bien arrêtées.

 

- Alors comme cela, t'es attirée par les filles !

 

Alors je lui sors mon couplet, non, je ne suis pas lesbienne, je suis bisexuelle, et puis un homme c'est quand même pratique, et je lui parle de mes petits soucis domestiques ! Elle m'écoute sans m'interrompre, elle sait écouter, et soudain elle balance :

 

- Mais Hélène ! Tous ces trucs dont tu me parles, ça s'apprend ! Comment je fais, moi ?

 

Je ne sais plus quoi répondre !

 

- Ouais t'as peut-être raison !

- Je t'emmène chez moi ?

 

J'acquiesçais de la tête, ivre de bonheur, incapable de sortir un son.

 

Non, je ne vous raconterais pas cette torride première soirée, un jour peut-être. Sophie est devenue ma maîtresse. Jamais je n'avais connu un tel bonheur, le plaisir d'être avec quelqu'un que l'on aime et puis son savoir-faire qui m'épuisait littéralement en orgasmes à répétitions.

 

Elle avait ses cotés chiant.

 

Dans le catalogue des réflexions à deux balles sur les lesbiennes. Il y a toujours un imbécile qui posera la question stupide : C'est laquelle qui fait l'homme ? J'essayai de répondre que les amours entre femmes sont justement autre chose, et qu'il est ridicule de recréer des rapports singeant ceux des couples ordinaires.

 

N'empêche qu'elle me dominait, mais c'était un jeu et je m'y prêtais volontiers.

 

Un jour pour me punir de je ne sais pas trop quoi (elle était toujours en train de me punir !) elle a voulu me faire le ménage à poil avec le manche du plumeau enfoncé dans mon cul pendant qu'elle, assise comme un pacha dans le fauteuil bouquinait un roman policier. Bien sûr ça n'a pas tenu longtemps et en plus ça m'a fait mal au cul, mais ce genre de situation avait le don de m'exciter !

 

Et puis elle avait des idées spéciales, un jour pendant l'amour elle m'a carrément pissé dessus.

 

- Mais t'es givrée ou quoi ?

- Pourquoi ? C'est pourtant d'un classique, il faut sortir ma grande…

- Je ne veux pas de ça !

- Bon, d'habitude ça ne choque pas tant que ça, mais c'est comme tu le sens !

 

Et sur ce elle se lève du lit

 

- Tu fais quoi ?

- Ben je vais pisser dans les chiottes !

 

En revenant, elle enfila une robe de chambre !

 

- Qu'est-ce que t'as, t'es fâchée ?

- Je ne suis pas fâchée, je suis contrariée !

- C'est pas de ma faute si tu as des idées bizarres !

- C'est pas de ma faute si tu as des inhibitions !

- Ce que tu peux être chiante, bon allez pisse-moi dessus ! Puisque ça te fait vraiment plaisir !

- Je n'ai plus envie !

 

Le " boudage " sexuel dura quelques jours. Je décidais donc de mettre les pieds dans le plat.

 

- Bon, écoute Sophie, on n'est pas obligé d'avoir les mêmes fantasmes ! Alors je veux bien que tu me pisses dessus, ce que je ne veux pas c'est que ça devienne systématique. Et puis, je ne veux que la pisse ! Pas autre chose ! Ça te va comme ça ?

- C'est quoi autre chose ? Tu as peur que je te chie dessus ! Chaque chose en son temps.! La merde et la pisse c'est deux choses différentes, ça n'a rien à voir !

- Alors d'accord !

- Et toi tu me pisserais dessus ?

- Mais t'es malade, je suis incapable de pisser sur quelqu'un !

- C'est pas difficile, tu fermes les yeux et tu te forces !

- Mais je ne veux pas ! Pas tout à la fois, Sophie !

- Et si je te pisse dessus, t'en boira un peu ?

- Tu cherches quoi ? A me provoquer ?

- Je te signale que sauf quand on a mangé des asperges, le goût de la pisse n'a rien de désagréable, mais arrêtons là-dessus. Non, je ne provoque pas ! Je vois bien que ça te gênes, mais tout le monde à des pulsions cachées au fond de soi. Je n'aborderais plus le sujet pendant quelques semaines, mais je voudrais simplement une chose :

- Dis toujours !

- Je voudrais que maintenant à chaque fois que tu iras pisser, l'idée d'en déposer un peu sur tes doigts et de les lécher te vienne dans la tête !

- N'importe quoi ?

- Bon et maintenant on ne parle plus de ça et on fait la paix ! Viens m'embrasser !

 

On a du faire l'amour après, je ne me rappelle plus, mais sans pipi ! Quant à son idée ridicule j'espérais bien qu'elle allait disparaître de ma mémoire aussi facilement que ses autres idées biscornues !

 

C'est en allant pisser que sa phrase me revint en tête ! Elle est vraiment allumée la Sophie ! N'empêche que cela devenait obsessionnel, j'étais beaucoup plus troublée que je ne l'aurais imaginé par ce jeu pervers. Plusieurs fois, je me mouillais les doigts, mais me dégonflait toujours au moment de les porter à ma bouche, il y avait bien l'odeur, mais la pisse fraîche ne sent pas grand-chose, et cette odeur, cette légère fragrance ressemble tellement à celle de la chatte de Sophie. La solution était peut-être là, me contenter de l'odeur… Non ! Je savais maintenant qu'un jour je le ferais. Quel magnifique cadeau ce serait pour Sophie !

 

En fait les choses ne se passèrent pas tout à fait comme cela :

 

Nous étions sorties avec deux de ses copines. Elle m'agaçait à m'imposer ses copines, mais celles-ci étaient malgré tout supportables. Nous consommions à une terrasse de café.

 

On avait beaucoup bu et quand je suis un peu saoule, je ris sans arrêt, et là j'avais vraiment trop bu !

 

A force de rire et de boire une énorme envie de faire pipi vint me tordre le ventre. J'avais peur de me lever pour aller aux toilettes, je commençais à avoir le tournis…

 

La crainte de me faire pipi dessus me fit encore plus rire, mais pas longtemps, cette fois je serrais fort les cuisses, de véritables crampes me torturaient le ventre, mais comment demander à Sophie de me soutenir sans lui faire honte devant ses amies ? Je devais être blanche quand les premières gouttes arrivèrent, mon seul réflexe fut de retrousser ma jupe sous mes fesses pour ne pas la tacher. Le froid de la chaise sur mes fesses n'arrangea rien. Je paniquais comprenant qu'il ne m'était plus possible d'arrêter le flot. Je m'excusais en disant qu'il me fallait aller d'urgence aux toilettes. Une fois seule il fallut faire vite, ma culotte était déjà toute mouillée, je me levai et m'aidant des murs me sauvai vers les W-C. Je réussis tant bien que mal à baisser un peu ma culotte. Je fis un pipi énorme, mis ma culotte mouillée dans mon sac et m'aspergeai un maximum pour essayer de chasser les vapeurs d'alcool. En revenant j'eus la surprise de voir Sophie occuper ma place ! Je ne compris pas, elle allait avoir le cul trempé. Sans trop chercher à savoir, je m'assis donc à la sienne.

 

- Tu es belle ce soir !

- Pourquoi ce soir ?

 

Et puis quelle idée de me faire une déclaration devant les deux autres pétasses ! Sophie tendit sa main vers mon visage, sa main était légèrement humide, je ne compris pas tout de suite ce qui allait se passer. Elle approcha ses doigts de mes lèvres !

 

- Lèche !

 

Wetcat1037b.jpg

 

Je le fis et réalisa enfin, effectivement cela n'avait rien de dégoûtant, et tandis qu'un plaisir trouble envahissait l'intérieur de mes cuisses, je décidais de l'étonner, la Sophie !

 

- Donne-m'en encore !

 

J'ai encore en mémoire le visage de Sophie, rayonnante du présent que je lui faisais.

 

Sophie proposa alors d'aller boire un dernier verre chez elle, nous nous sommes levées.

 

Je repartis dans un fou rire en passant devant la table où nous étions, sur la chaise que quittait Sophie, une petite flaque attendait le prochain client...

 

© 2000 Hélèna Sevigsky

Helenesevigsky@hotmail.com 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
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