Mercredi 12 avril 2000 3 12 /04 /Avr /2000 23:33

Maud, son grand nez et son manteau violet

par Nicolas Solovionni

 

 

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Je prends donc le train ce matin, toujours aussi décontracté, je ne suis pas du genre à pénétrer dans un train bourré à bloc, je préfère patienter ! Mais cette fois j'ai beau attendre, c'est une grève dure, il n'y a vraiment que peu de transport, la chance a voulu qu'une rame s'arrête de façon à ce que la porte du train soit pratiquement devant moi, et sans même réfléchir, poussé par une marée humaine, me voici dans le wagon, debout bien sûr !

 

Me voilà parti pour un long voyage, les douze minutes de d'habitude se multiplient, le train ne peut partir que les portes fermées, et les gens laissent les portes ouvertes pour faire monter les gens qui arrivent sans cesse. Dedans on est serré comme des sardines. Et on finit par se trouver nez à nez avec de joyeux inconnus. C'est exactement ce qu'il m'arrive, une dame qui se met à me parler (pas con d'ailleurs). Ça commence toujours pareil d'ailleurs, ça râle contre les grèves, plus ou moins violemment suivant ses opinions politiques, et comme on ne peut pas passer son temps à rabâcher les mêmes choses, après on essaie de parler d'autres choses…

 

Cette dame entreprend de me raconter de façon très pittoresque son voyage de la veille au soir, quand soudain mes yeux sont attirés par une femme en manteau violet à trois mètres de nous. En fait son visage ne m'est pas inconnu, je l'ai déjà aperçu plusieurs fois dans le bus, petite, les cheveux mi-longs, mais surtout un visage comme je les aime avec un visage très doux et un nez assez grand. Je la regarde, et elle s'en aperçoit, je crois deviner un sourire d'encouragement mais je ne suis pas sûr. Je décide donc de passer à l'attaque à la première occasion. On arrive à Sarcelles, premier arrêt. Le quai est noir de monde, et le train a beau être archi-plein, il y en a toujours qui se débrouille pour monter, il se produit un mouvement de foule, et là j'emploie un truc qui m'est resté des manifs étudiantes de 68. Dans une foule compacte il est presque impossible d'avancer librement, l'astuce consiste à profiter du fait qu'un corps humain est plus large de face que de profil (si ! si ! Je vous assure !) Et d'effectuer des rotations sur soi-même pour provoquer un "effet de bille" au contact des gens qui t'entourent ! (Vous essaierez, c'est génial !). Je tournicote donc vers la dame-au-long-nez. C'est un peu plus compliqué que prévu, parce que le mouvement de foule à tendance à l'éloigner de moi, mais bon j'y arrive quand même !

 

- Et ben, vous en avez fait des contorsions pour arriver jusqu'ici !

 

Je ne m'attendais pas bien sûr à ce qu'elle prenne l'initiative de l'engagement de la conversation, mais bon… elle se marre, je lui lance deux ou trois plaisanteries sur son magnétisme irrésistible qui m'attire inexorablement et la glace est définitivement rompue. Elle est un peu plus nunuche (non pas mal, soyons franc) que l'autre dame, mais enfin ça va… De près elle semble plus vieille que j'imaginais, le cou est un peu abîmé, et elle est très maquillée, mais bon, je ne regrette pas d'être là. 

 

On discute donc, il serait faux de dire que je drague, mais j'attends l'occasion. Et en fait cette occasion sera en fait un miracle. Le train arrive à Pierrefitte, là aussi c'est noir de monde, il me paraît impossible que quelqu'un puisse monter, mais des gens veulent descendre… L'espace d'un instant il y a un mouvement de foule assez violent, à ce point que les gens cherchent à s'accrocher à ce qu'ils peuvent. La plupart du temps ils n'ont rien pour le faire, comme ma compagne de voyage qui par réflexe s'accroche à ma taille, ma sacoche bascule en arrière, j'essaye de m'arc-bouter pour qu'elle reste en équilibre ce qui a pour effet de me coller contre elle, mon sexe contre son ventre… L'érection fut immédiate, je n'eus même pas le temps d'être gêné. Elle me décoche un sourire complice (Ah ! Ce regard, que je n'oublierais sans doute jamais !). J'essaie de reculer, mais c'est impossible d'une part à cause de la pression des gens (merci les gens !) Et surtout parce elle reste accrochée. Puisque c'est parti, j'essaie d'aller plus loin, mais non elle ne veut pas que je l'embrasse, me demandant d'attendre l'arrêt (il y a peut-être des gens qu'elle connaît…), mais il se passe quelque chose, son regard n'est plus le même, un véritable appel au viol, elle est assurément aussi excitée que moi. On resta là collés l'un contre l'autre pendant de longues minutes, assurant pour ma part de très légers mouvements de frottement pour maintenir une érection qui n'a d'ailleurs peut-être pas besoin de cela.

 

Enfin nous voici à Paris ! Nous étions dans un wagon de queue, et à cet endroit de la Gare du Nord, il y plein d'énormes piliers où ça drague et ça pelote sec à toutes les heures de la journée, on s'y précipite, on s'embrasse, on se pelote. Ça dure je ne sais pas, un quart d'heure peut-être, et j'avoue ne pas me rappeler comment on décide de conclure, mais on y va, premier arrêt obligatoire : La pharmacie de la Gare du Nord ou j'achète des capotes, mais pour cela on fait la queue un quart d'heure, j'ai bizarrement l'impression que son excitation retombe, je sens qu'il faut faire vite. Un premier hôtel, là aussi il faut attendre que Môssieur ait fini de discuter avec quelqu'un, tout cela pour nous entendre dire que c'était complet (que ce serait-il passé si cela n'avait point été le cas ?). On ressort pour en chercher un autre : Mais non, Maud intervient (elle s'appelle Maud) 

 

- Je crois qu'on s'est bien excités, mais maintenant on arrête le délire !

 

Ce sont ses termes à l'exact ! Ça ne s'oublie pas ces trucs-là ! Ne sachant trop quoi dire pour la contrer, je bafouille un vague !

 

- Tu ne vas pas me laisser comme ça !

- Ça va passer, ça passe toujours !

 

Très vite j'esquisse un contre plan, mais il ne marchera pas :

 

- Bon on va boire un café et on se quitte !

 

J'espère alors que la magie des arrière-salles va réveiller ses instincts. Mais dans un premier temps elle refuse de s'asseoir et commande au bar, pour se raviser :

 

- Finalement on s'assoit !

 

Je reprends espoir l'espace d'un instant et le perd quand je la vois s'arranger pour s'asseoir après moi (et donc en face de moi, pas à côté). Là elle me fait promettre de faire comme si je ne l'avais jamais connu. Je passe… et elle aura quand même cette réflexion : 

 

- Peut-être qu'un jour il y aura une autre grève, si vous vous approchez de moi, je ne dirais pas non, mais seulement dans ce cas-là !

 

Je suis dépité, je lui demande un dernier bisou, elle me le fera mais assez chastement.

 

Cette aventure m'a perturbé, je n'arrive pas encore à comprendre comment l'attitude de cette femme a pu changer en l'espace de quelques instants. J'ai déjà fait des rencontres dans le train, certaines étaient très prometteuses, et se poursuivaient autour d'un petit déjeuner avec bisous, pelotages et bien sûr promesse de se revoir le soir, pour aller un peu plus loin. Mais combien de fois ces rendez-vous ont-ils vraiment aboutis ? Et pourquoi ? Parce que loin du feu de l'action on redevient un être convenable, civilisé, social… Ça peut se comprendre, mais là, justement nous n'avions pas quitté le feu de l'action.

 

Le lendemain le trafic ferroviaire était redevenu normal, je monte les escaliers conduisant à mon quai et j'aperçois qui ? Maud et son manteau violet. Manifestement elle attend quelqu'un. Malgré nos accords, j'essaie de croiser son regard, mais peine perdue, je sais qu'elle m'a vue, mais je n'insiste pas. Je suis un peu dépité, je m'étais fait une raison, mais voilà ! Je m'installe dans le train, incapable de fixer mon attention sur le journal.

 

Arrivé à Paris, je me dirige vers les couloirs du métro, quand soudain quelqu'un vient m'aborder :

 

- Et bien dites donc, vous marchez vite, vous !

 

Maud, je n'en crois pas mes oreilles, ni mes yeux, je rêve ou quoi ? Et pourquoi a-t-elle abandonnée le tutoiement ? Je souris bêtement, trop interloqué pour formuler une réplique cohérente. Elle reprend :

 

- Je vois que vous êtes pressé, mais j'aurais voulu vous parler cinq minutes. Demain si vous voulez ?

 

Pressé n'est pas le mot, je suis sous le régime des horaires variables, mais j'ai une session de formation à animer à partir de 8 h 45, et plein de travail en retard, mais l'envie de savoir est trop forte.

 

- Je vous écoute !

- Non pas ici, vous connaissez sûrement un bistrot discret ?

 

Un bistrot discret ! Et puis quoi encore ? Et puis pourquoi discret d'abord ? Effectivement je connais ce genre d'endroit, et nous y allons donc. Maud est très paisible, et ne souhaitant pas me dire ce qu'elle à me dire dans la rue, elle alimente seule la conversation en me narrant ses péripéties pour rentrer chez elle, la veille. Elle cultive une sorte d'humour fataliste que j'apprécie beaucoup !

 

Nous voici au café, alors que les cafés devant la gare sont pleins à craquer, il suffit de faire cent mètres de plus pour trouver des petits trucs peinards et sympathiques. Maud se cale sur une banquette, me souvenant de la scène de la veille, je vais pour m'installer devant elle…

- Viens ! dit-elle en me montrant la place à côté d'elle.

 

Me voici stupéfait, elle m'accorde maintenant ce qu'elle me refusait hier, je n'y comprends plus rien mais je ne vais pas refuser l'invitation.

 

- Embrasse-moi ! Je n'en peux plus !

 

Et avant que j'aie eu le temps de faire quoique ce soit la voici qui se colle à ma bouche, nos langues se mélangent dans un élan irrésistible, tandis que mon sexe se durcit… Elle s'en aperçoit et me colle sa main dessus ! Elle cherche la braguette, elle la trouve, et lentement l'ouvre, sa main est maintenant sur mon slip, elle continue à fouiller, et caresse maintenant ma bite, je n'en peux plus.

 

Un raclement de gorge, c'est la servante, elle est marrante la servante, une petite bonne femme avec des taches de rousseurs sur le nez.

 

- Si ça vous intéresse, on a une salle privée, c'est 15 euros par personne !

- Une salle privée ?

- Oui, et comme c'est privé, vous pouvez faire tout ce que voulez !

 

Maud saute sur l'occasion

 

- Ça me paraît une bonne idée ! Non ?

- Mais, Maud, je ne peux pas, j'ai à peine dix minutes devant moi !

- Tu es en train de rater une belle occasion !

- Je le sais bien...

 

Elle ne me laisse pas terminer ma phrase, sa bouche s'approche de la mienne et nos langues se mélangent. A nouveau je me mets à bander, je m'aperçois que ma braguette était restée ouverte, elle imprime un mini mouvement de masturbation autour de mon gland ! Je perds mon contrôle, j'ai l'impression que je ne vais pas tarder à faire une grosse connerie !

 

- On ne vit qu'une fois…

- Mais je ne peux pas, J'anime une formation, il y a des gens qui viennent de province, il y en a même un qui vient des Antilles.

- Et si tu avais vraiment un cas de force majeure ?

- Je n'aurais pas prévenu au dernier moment…

- Bon ! Tant pis, je ne vais pas te supplier ! Laisse-moi passer, moi aussi j'ai du boulot…

 

Je referme ma braguette, me lève de la banquette pour la laisser passer, et elle disparaît sans un mot, il ne me reste plus qu'à payer et à rejoindre ma boite, le cœur gros. Je suis partagé, c'est vrai que j'aurais pu inventer un gros truc ! Après tout il n'y a personne d'indispensable sur terre. Mais je me dis aussi qu'une femme capable d'avoir de telles exigences doit être une super emmerdeuse et que finalement j'ai bien fait de ne pas céder.

 

Ma session se prolongeait le lendemain et ce jour-là, je pris la précaution de partir une heure plus tôt afin d'être sûr de ne pas la rencontrer. Par contre le jeudi je n'étais guère pressé, et pour parer à toute éventualité j'avais posé une journée de vacances. C'est très déçu qu'en arrivant sur mon quai je ne vis pas Maud ! Et Oui ! Et pourquoi l'aurais-je vu ? J'étais en train de me monter tout un cinéma, cette nana n'allait pas s'amuser à m'attendre tous les matins tout de même ! Malgré tout, j'attends un quart d'heure, puis encore cinq minutes… Et puis tant pis, je vais me payer une journée de célibataire à Paris. Ce sera la grande improvisation.

 

Je descends gare du Nord, j'aurais pu descendre plus loin, mais j'ai envie d'un petit déjeuner dans le coin.

 

- Vous êtes moins pressée que l'autre fois, on dirait ?

 

Maud ! Ce n'est pas vrai je rêve ! Elle m'attendait donc Gare du Nord !

 

- J'ai effectivement tout mon temps aujourd'hui !

- Ah ! Bon tu ne vas pas travailler ?

- Aujourd'hui je ne suis même pas obligé ! On retourne au café d'avant hier ?

 

A peine arrivée, Maud demande à la patronne deux entrées pour la salle privée. Une porte, une tenture… une chaîne avec un panneau :

" Privé - Entrée Interdite " 

 

- C'est en haut de l'escalier ! Si vous avez besoin de quelque chose (des préservatifs, des kleenex, des serviettes) il y a un bouton d'appel près de l'entrée !

 

Quel romantisme !

 

Je n'en crois pas mes yeux, dans la salle il y a deux types qui se font sucer alternativement par une fille, l'un des deux est complément nu, l'autre s'étant contenté de se débrailler un maximum. La fille elle, a remonté son pull-over et elle a libéré ses seins de son soutien-gorge. Dans un autre coin, un type est penché sur une femme qui est allongé sur la banquette et il lui lèche la chatte provoquant des gémissements de plaisir de sa partenaire. Enfin à un autre endroit, il y un type, il est seul, il regarde et se masturbe. Je ne m'attendais pas à ce que ça aille jusque-là !

 

- Ça alors !

 

Elle n'en revient pas Maud ! La serveuse nous a suivi, elle nous invite à nous installer, encaisse les 30 euros et nous demande si nous voulons consommer.

 

- Non pas tout de suite !

 

J'avoue ne pas savoir par quoi commencer, un peu perdu dans ce lieu invraisemblable. Maud n'en peut plus de regarder la femme qui en face continue ses fellations.

 

- Evelyne !

 

C'est le masturbateur solitaire qui appelle la serveuse, ils échangent quelques mots, puis l'homme sort quelques billets de son portefeuille. Je crois deviner ce qui va se passer. Mais non ! Evelyne revient vers nous :

 

- Monsieur Paul aimerait beaucoup venir s'asseoir près de vous pendant que je lui fais une petite gâterie ! Est-ce que vous seriez d'accord ?

 

Je ne sais plus ou me mettre ! Mais Maud fait signe que l'on accepte ! Evelyne fait donc signe à monsieur Paul de venir. Et le voici qui arrive, sa queue sortie de sa braguette ! Il nous tend la main et s'assied à côté de Maud, non sans avoir dégagé complètement son pantalon ! 

 

- Faites comme si je n'étais pas là, embrassez-vous, tripotez-vous !

 

Non trop c'est trop, je ne suis pas exhibitionniste à ce point, mais Maud n'en a cure, elle m'enlace, elle m'embrasse, en quelques instants ma bite est sortie de ma braguette et elle la branle ! L'excitation est à son comble, je lui tripote les seins à travers son corsage, puis je lui déboutonne, mais je ne vois pas bien ce que je fais.

 

- Attend ! Je vais le faire !

 

Maud retire rapidement son corsage et son soutien-gorge, je peux enfin voir ses seins, ils me plaisent, ils ne sont pas très gros, mais ils sont terminés par de gros tétons assez sombres, et il n'y a aucune trace de maillot. Je me précipite pour les sucer !

 

- Attention je suis sensible des seins !

 

Mais je ne l'écoute pas et je continue. A côté de nous Monsieur Paul n'en perd pas une goutte. Evelyne a mis ses seins à l'air, de jolis seins tout ronds et bien bronzés, elle a coincé la bite du type entre ses deux nichons et le masturbe de cette façon, de sa main il essaie de caresser le dos de Maud, mais celle-ci la lui écarte un peu violemment, il n'insistera plus !

 

Je me décide à me déshabiller, ne conservant que mes chaussettes, je reste debout amenant mon sexe au niveau de la bouche de Maud qui me le gobe aussitôt. Surprise, elle ne suce pas très bien, et elle a même tendance à me faire mal avec ses dents. Il se produit alors quelque chose d'incroyable, une main se pose sur mes couilles, ce n'est pas celle de Maud, c'est celle d'Evelyne. Maud lui abandonne la fellation, et voici Evelyne qui me suce ! Evidemment ça n'a rien à voir, je sens sa langue qui s'enroule par petits coups successifs sur mon gland, puis elle me masturbe l'extrémité de la verge avec le bord de ses lèvres avant d'entamer une série d'aller et retour parfaitement contrôlé. Puis elle s'arrête s'attaquant maintenant à nouveau à monsieur Paul. Du coup c'est Maud qui me reprend, elle n'a pas l'air vexé de cette intrusion inattendue, et elle s'applique mieux, j'ai malgré tout hâte de passer à autre chose. 

 

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Je me libère de sa bouche et me place le préservatif que j'avais préparé, tandis que Maud achève de se déshabiller. S'ensuivent quelques instant de franche rigolade parce qu'on ne sait pas bien comment se placer, faire l'amour sur une banquette de bistrot n'a rien d'évident. Maud alors se met à quatre pattes, en levrette et me tend ses fesses, je peux ainsi apercevoir le charmant œillet tout brun de son trou du cul ! Mais c'est dans sa chatte que je pénètre. Je jouirais assez vite, trop vite pour elle, alors profitant du fait qu'elle se soit retournée, je me précipite vers sa chatte, et entreprend de la lui lécher, je m'enivre de ses odeurs intimes qui lui ont mouillé son corps jusqu'aux cuisses. Soudain elle est atteinte de soubresauts et se met à jouir en poussant de tels cris qu'Evelyne est obligée de lui mettre la main sur la bouche.

 

Tout le monde éclate de rire. Monsieur Paul, lui avait probablement joui, en tous les cas il était reparti à sa place.

 

- T'es pas fâchée pour tout à l'heure demanda Evelyne à Maud, c'est pour Monsieur Paul ça lui fait tellement plaisir de voir cela, et après il est généreux avec moi, j'en profite bien…

- Mais non ! Est-ce que j'ai l'air fâchée ?

- Alors si tu n'es pas fâché, on s'embrasse ?

 

Elles se font une bise bien chaste ! Brusquement Evelyne à l'air troublée !

 

- Bon, je vais vous chercher un petit déjeuner, tu me troubles de trop ?

- Arrête ! Tu dois en voir de toutes les couleurs ici ?

- Oui mais toi tu es différente tu as une sorte de magnétisme…

 

Maud ne la laissa pas finir sa phrase, elle l'attire vers elle et l'embrasse, mais cette fois-ci goulûment, Evelyne se laisse faire. Voir le spectacle de ces deux femmes l'une à moitié et l'autre complètement nue me fait l'effet d'un revigorant, et me revoilà reparti à bander !

 

Fin

 

Nicolas Solovionni © 2000

nikosolo@hotmail.com 

 

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Lundi 10 avril 2000 1 10 /04 /Avr /2000 19:27

Les urinoirs de la Gare

 2 - un retour récompensé

par Estonius

 

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Immédiatement après mes aventures aux urinoirs de la gare (voir chapitre 1), j'ai eu une liaison avec une stagiaire qui m'a occupé pendant environ deux mois. Celle-ci est ensuite partie vers une autre destination, et j'eus quelques temps après la curiosité de revenir dans cet endroit fort spécial. C'est très excité que j'e m'y rendis. C'est un peu toujours le même scénario, il faut attendre qu'un urinoir se libère, puis on s'approche, un coup d'œil à droite, un coup d'œil à gauche le temps d'admirer toutes ces belles bites dressées en train d'être lentement masturbés, certaines sont magnifiques. Je me suis un peu enhardi, après mes premières expériences et tandis que je me branle la queue, je laisse parfois balader ma main vers l'urinoir voisin, certains laissent faire, d'autres ne souhaitent aucun contact, parfois c'est une main qui se pose sur ma bite. Mais tout ceci ne va pas bien loin.

 

J'espérais retrouver Berty ou à défaut Claude, mais je ne les vois nulle part. Je n'eus aucun contact ce soir-là, je finis de me branler en solitaire et me promis de revenir le lendemain.

 

Le lendemain, mes tentatives de contact n'allèrent pas bien loin non plus, et je m'aperçus que ce lieu avait lui aussi son envers du décor, des types complètements toqués, d'autres venus là uniquement pour avoir des rapports payants. C'est un peu désabusé que je partis ce jour-là sans avoir joui et ne sachant pas si je reviendrais.

 

Je revins pourtant à nouveau le lendemain, il n'y avait pas grand monde ce soir-là, un urinoir se libéra assez vite, je m'y installais et commençait par faire un petit pipi avant d'entamer ma masturbation, le mur en carrelage reflétait parfaitement les queues de mes voisins, celle de gauche était belle et bronzée, mais j'attendis quelques secondes le temps que la mienne prenne un volume convenable avant de mater carrément à côté. Le type à côté de moi, un asiatique recula imperceptiblement et arrêta de se masturber, je savais maintenant ce que voulais dire ce signe, c'était une invitation, je ne refusais pas et entrepris de le branler doucement

 

- Tu suce ? Demanda-t-il

- Bien sûr !

 

Il me proposa que nous nous enfermions dans une cabine. Il fallut attendre un peu, je n'avais pas réalisé jusqu'ici que les cabines étaient aussi un lieu où il se passait des choses étranges. Une d'entre-elles finit par se libérer, j'aurais aimé prendre mon temps, mais l'homme paraissait pressé de jouir, il baissa rapidement son pantalon et son slip, se rebranla un petit peu. Je lui expliquais que je voulais bien le sucer, mais que je ne souhaitais pas qu'il jouisse dans ma bouche, il accepta, et j'entamais donc une fellation très vite écourtée car la jouissance de l'homme monta très vite. Je le terminais à la main, sa bite ne tardant pas à libérer un jet de sperme qui se répandit sur le sol. Sans un mot, et sans se préoccuper à présent de moi, il ne trouva rien de mieux à faire que de se rhabiller et de sortir de la cabine, puis des toilettes, je m'apprêtais à faire de même quand, divine surprise, je découvris Claude. J'espérais que ce dernier me reconnaîtrait sans problème. Effectivement ce fut lui qui le premier m'adressa la parole.

 

- Il ne se passe pas grand-chose ce soir !

- Non en effet !

- On va boire un coup ?

- Bien sûr !

 

Nous nous dirigeâmes vers "le Barcelone", le même bistrot que la dernière fois. Chemin faisant il m'expliqua que Berty était parti en province, que lui aussi était déçu par l'ambiance des toilettes de la gare, que néanmoins il avait conclu quelques fois en allant au bar, le patron de l'établissement ne permettant l'accès à la remise qu'aux "couples" et encore pas à tous.

 

- J'ai une de ses envies de me faire enculer ! me dit Claude

 

Je faillis lui dire que moi aussi, mais me retint au dernier moment, prenant soudain conscience que nous étions tous deux plutôt passifs, ce qui ne simplifiait pas vraiment la situation. Nous fûmes accueillis à bras ouvert par Pablo le patron qui carrément embrassa Claude, puis s'adressant à moi avec un délicieux accent espagnol :

 

- Je te reconnais toi, tu étais venu une fois dans la remise avec lui !

- C'est bien d'être physionomiste !

- Ma qué ! Je me souviens de ton petit derrière, tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu dois aimer cela te faire enculer, hein !

 

Je ne pouvais décemment pas répondre que je n'avais jamais essayé et me contentait de lui faire un clin d'œil approbateur.

 

- On peut aller directement dans la remise demanda Claude

- Ah ! Petit problème, je suis en travaux, mais provisoirement j'ai privatisé la salle du haut, vous pouvez y aller, il y a déjà deux gars. Vous pouvez faire absolument ce que vous voulez comme dans la remise !

 

Nous montâmes donc l'escalier, qui n'était condamné que par une simple cordelette, au milieu de laquelle pendouillait une pancarte "accès privé, fermeture provisoire"

Il y avait 2 hommes dans la salle, qui ne faisaient rien de particulier, peut-être attendaient-ils d'autres personnes. Claude m'invita à s'asseoir à côté de lui (et non pas en face) et dès que nous fûmes assis, il attaqua ma braguette, je lui rendis bien sûr la pareille, et très vite nos bites se retrouvèrent à l'air ! Claude pour être plus à l'aise, baissa carrément son pantalon et son slip, je ne pus que l'imiter. A ce moment survint Pablo le patron avec des consommations que nous n'avions pourtant pas commandé, il posa deux verres sur la table, puis s'adressant à moi :

 

- Regarde c'est pour toi !

 

A ces mots il sortit sa bite, pratiquement déjà en érection, une merveille, bien droite, la peau légèrement ambrée, le gland tendu. Comme dans un rêve je m'emparais de l'engin et lui imprimait quelques mouvements masturbatoires !

 

- Suces !

 

Je n'attendais que cela, le contact de sa bite dans ma bouche était délicieux, la bite à une texture de peau très particulière qui en rend le contact avec la langue extrêmement agréable. Tandis que je suçais Pablo, Claude lui s'était penché sur ma propre pine et me suçait lui aussi. Quel moment délicieux, j'essayais de calquer le rythme de la fellation que je faisais à Pablo sur celle que Claude me faisait. La bite de Pablo avait maintenant acquise sa rigueur maximum et j'étais comme sur un nuage de plaisir et de volupté. Mais tout à coup je sens qu'il va se retirer, je pense que c'est pour jouir hors de ma bouche. Mais non ce n'est pas cela. Et soudain je réalise, il va m'enculer, effectivement il habille rapidement sa queue d'un préservatif.

 

- Maintenant tu vas me monter ton petit cul !

 

Je finis de me déshabiller, et je lui tourne les fesses, pendant ce temps-là Claude me suce toujours. Pablo me malaxe les fesses, il n'en peut plus.

 

- Quel joli cul ! Tu vas voir comme je vais bien te prendre !

 

Je m'aperçois que les mecs du fond se sont rapprochés. Ils assistent maintenant à la scène tout près de nous et se branlent, toutes ces queues finissent par me rendre fou ! A présent Pablo me lèche le trou du cul, je sens sa langue me travailler l'anus et y pénétrer. J'ai peur de jouir à cet instant et je fais signe à Claude de marquer une pause. Lequel Claude en profite pour faire une tentative d'approche vers l'un de nos deux spectateurs qui accepte bien volontiers, mais le deuxième ne veut pas être en reste et voilà donc Claude en train de sucer alternativement les deux jeunes hommes. Sur ces entre faits Pablo m'a maintenant introduit un doigt dans l'anus, le voilà en train de me farfouiller, faisant naître un plaisir trouble. Mais soudain une voix retentit :

 

- Pablo !

 

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Apparemment Pablo fut obligé de tout interrompre pour redescendre, me plantant là avec mon cul prêt à l'emploi. Jim, l'un des deux spectateurs en profite pour venir derrière moi :

 

- Je peux te prendre ?

- Oui mais avec une capote ! Je vais te sucer un peu avant

- No problème !

 

Chaque bite possède finalement un goût un peu différent, celle de Pablo était parfaitement clean et récurée, celle de Jim sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas du tout, je trouve que c'est même bien plus authentique.

 

- Elle est bonne ma queue ?

- Elle sent un peu la pisse, mais elle est bonne !

- C'est express, c'est meilleur ! Rigole-t-il

-

Claude de son côté a cessé sa fellation et il est maintenant en train d'embrasser goulûment son partenaire sur la bouche. J'espère que je n'aurais pas à faire cela, n'en ayant absolument pas envie.

Jim se retire de ma bouche pour maintenant enfiler la capote, j'ai confiance, je me dis que ce n'est pas plus mal que ce soit lui qui me dépucelle, sa bite étant moins volumineuse que l'engin de Pablo. Après quelques préliminaires, il me fait courber en avant et je sens une poussée vers mon anus, ça fait un peu mal, mais j'essaie de supporter, il entre de plus en plus, je sens que je vais crier, il pénètre encore, je vais pour lui dire d'arrêter quand je perçois que Jim commence un léger mouvement de va-et-vient, je ressens un plaisir trouble et de plus en plus évident

 

- C'est bon !

 

A trois mètres de là, c'est maintenant Claude qui se fait enculer à son tour. Je sens que le va-et-vient ralentit, puis s'arrête, Jim vient de jouir, il se retire. Je me suis fait enculer et j'en suis fier. Les deux compères nous diront poliment au revoir, mais avant nous eûmes droit à cette étrange proposition :

 

- Ça vous dirait qu'on se revoit, et si ça vous intéresse, on pourrait s'arranger pour ma bite elle sente encore plus la pisse ! On pourrait se faire une petite partie uro. On est souvent là le mardi !

 

C'est avec enthousiasme que Claude accepta cette proposition et les deux larrons s'éclipsèrent alors me laissant seul avec ce dernier qui passant derrière moi, entreprit de me lécher l'anus.

 

- Il faut que je jouisse à présent ! Que je lui dis

- Je te suce à fonds ?

- Ok

 

Ce qui m'embête c'est que je vais être obligé de lui en faire autant après avoir joui.

 

- J'ai une autre idée, viens par terre, on va faire un soixante-neuf.

 

L'idée lui plut, nous voici sur le sol en train de nous sucer mutuellement, c'est lui le premier qui déchargea dans ma bouche, je ne tardais pas en en faire autant. On se relève, il s'approche de moi avec une infinie tendresse, c'est ce que je redoutais, mais je ne peux pas lui refuser cela, et donc pour la première fois de ma vie j'embrassais un homme sur la bouche, mais pas n'importe quelle bouche, une bouche remplie du goût du sperme, rien que ça faillit me faire rebander.

En descendant Pablo revenu derrière son bar nous interpella tous les deux mais je compris que quelque part le message s'adressait surtout à moi.

 

- Désolé pour tout à l'heure… un coup de fil urgent…Mais revenez quand vous voulez, même tout seul et cette fois, je vous enculerais bien comme il faut !

 

Que voilà une proposition bien alléchante, mais une troisième dans un tout autre genre m'attendait

 

- T'es quoi au juste, t'es homo ou t'es bi ? Me demanda Claude

- Bi !

- Je m'en doutais !

- Tu sais ma femme à un fantasme, c'est de me voir faire des trucs avec un autre homme, ça te dirait si j'organisais une petite rencontre, bien sûr tu pourras la baiser aussi si ça te dit

- Super pas de problèmes !

 

Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et quelques jours après nous convenions d'un rendez-vous chez Claude, mais ce ne serait que dans un mois.

 

à suivre

 

Estonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Dimanche 5 mars 2000 7 05 /03 /Mars /2000 19:19

Les Urinoirs de la Gare

1 - contact

Par Estonius

 

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J'adore les femmes. Je peux avoir une érection rien qu'en voyant un visage agréable. Je ne pourrais pas m'en passer. Les hommes ne m'attirent pas, j'ai bien comme beaucoup d'autres joué à touche quéquette pendant mon adolescence mais ça n'a jamais été bien loin. Pourtant….

 

…Au départ une envie de pisser, et je me dirige vers les toilettes de la gare. Il y a un monde fou là-dedans. Les toilettes sont grandes, et il doit bien y avoir une dizaine d'urinoirs de part et d'autre de la pièce. Plusieurs personnes semblent attendre, et effectivement je trouve que c'est long, observant sans le vouloir l'un des "pisseurs" je constate qu'en fait, il semble se masturber. Je me dis que quand même il exagère, mais je m'aperçois qu'un deuxième l'imite et d'autres sans doute...

 

Un urinoir se libère, j'y vais, et commence à pisser. Je ne sais quelle folie me pousse à regarder sur ma gauche, où un homme fort bien monté est en train d'astiquer sa bite avec une savante lenteur. Je ne peux m'empêcher de la regarder, de la trouver belle, je ne sais pas quoi faire, j'ai fini de pisser, mais je n'arrive pas à décoller, je jette un coup d'œil de l'autre côté et découvre une autre fort jolie quéquette, une noire cette fois, l'homme ne fait rien pour se cacher, ayant reculé un peu par rapport à la cuvette de façon, justement à ce qu'on le voit. Troublé, je range ma bite et me retire, je vais pour partir, et jette un regard circulaire autour de moi, vers le fond de la pièce, il y a un petit attroupement derrière les deux derniers urinoirs, je m'aperçois vite que l'un des deux se fait branler par l'autre. J'essaie de m'approcher plus mais je n'en ai pas la possibilité. C'est pratiquement sans réfléchir que je profite d'un urinoir qui vient de se libérer pour venir l'occuper, je mate les bites qui m'entourent, l'une d'elle ne me plait pas trop, mais l'autre est superbe, légèrement bronzé, bien raide, pleine de vie, comme dans un rêve, je sors ma bite et me met à la branler. Complètement excité, je ne tarde pas à éjaculer. Et je profite de ce moment de répit dans mon excitation pour m'éclipser.

 

Je me demandais après ce qui m'était arrivé. Le soir fort excité en me remémorant tout cela je fis l'amour à ma femme en fantasmant sur les bites que j'y avais vues. Ma nuit fut agitée, étais-je en train de devenir homo ? J'allais à pied à mon travail pour faire un test. Non pas de doute, les femmes attiraient mon regard autant qu'avant, et pas un seul homme n'était susceptible de me provoquer ne serait-ce que le quart de la moitié d'un fantasme. Bizarrement mes pulsions se résumaient donc aux bites.

 

J'avais dans la journée pris la résolution d'éviter ces toilettes, ne sachant où pourrait me conduire le trouble que m'avaient provoqué les organes de ses habitués.

 

Mais le soir, cette bonne décision avait quelque peu évolué, je me disais alors que je pourrais y retourner, une dernière fois, comme cela pour voir. Et j'y allais !

 

Il y avait nettement moins de monde que la veille, et si quelques personnes stationnaient en plein milieu, des urinoirs restaient vides. Je me dirigeais vers l'un de ceux-ci, et tout en pissant vérifiait que mes deux voisins étaient bien là pour se masturber. La bite de mon voisin de gauche était une pure merveille, il bandait très fort, on la sentait au bord de l'éjaculation, et le type se contentait de la caresser très doucement, je remarquais aussi qu'il avait sorti ses couilles de sa braguette. Ma bite était, elle aussi dans un bel état. Soudain très vite, il se passa quelque chose, mon voisin croisa mon regard, puis tout en lâchant sa queue, il me fit un petit geste de la tête, je compris qu'il m'invitait à prendre le relais (si j'ose dire), j'aurais pu hésiter, je ne fis pas et ma main se retrouva sur son sexe dont je caressais la peau douce. Je me demandais un moment s'il me rendrait la pareille. Non !

 

- Fais-moi jouir ! Murmurât-il

 

Ce ne fut pas long ! Moins d'une minute après avoir commencé à lui caresser la bite, elle crachait son sperme. L'homme s'essuya et cessa de s'occuper de ma présence. Je restais à mon poste, mon voisin de droite ne m'intéressant pas, j'attendais un instant que quelqu'un vienne sur ma gauche, mais en vain... Je pris la résolution d'aller faire un petit tour et de revenir plus tard, je remballais donc ma bite et me dirigeait vers la sortie.

 

Et là une surprise m'attendait, le type que j'avais branlé était en train de discuter avec une autre personne. Nos regards se croisèrent :

 

- T'as cinq minutes ? Je te paie un pot !

 

L'engrenage s'actionnait, j'acceptais, et nous nous dirigeâmes tous les trois vers un petit bistrot du coin à deux minutes de la gare. Je pus ainsi pendant quelques instants mieux cerner ce personnage qui se présenta sous le nom de Berty, grand, brun, la quarantaine, le visage émacié, genre artiste, je ne savais pas du tout d'où sortait le troisième personnage qui déclara s'appeler Claude, petit, rondouillard mais très jovial habillé d'un costume bleu marine sans grande fantaisie et chargé d'une serviette sans doute plein de documents ramenés de son travail...

 

Le café n'était pas très fréquenté malgré la proximité de la gare, mais devait fonctionner avec une clientèle d'habitués. Le patron avait l'air de fort bien connaître Berty, lequel d'emblée lui posa cette étrange question :

 

- La remise est libre ?

- Pas de problème, je vous sers une blanche de Bruges pour tout le monde ?

- Ok

 

Et voilà que nous pénétrons dans une arrière salle privée qui est en fait un bric à brac de caisses, de fût, de tables remisées et d'objets divers. J'ai vraiment l'impression d'être dans un rêve et je me demande ce que je fais là ! En tout cas, un drôle d'endroit pour aller boire un demi. Claude et Berty se mettent à l'aise, c'est à dire qu'ils mettent dans un coin, vestes, serviettes, pochettes et parapluies, puis Berty fait signe à Claude :

 

- Vas-y !

 

A ces mots, Claude visiblement fou d'excitation défait la fermeture éclair de la braguette de Berty, et lui sort la queue. Bon sang c'était ça le coup à boire, il veut jouir à nouveau ! Je ne comprends pas bien mon rôle dans cette affaire. J'envisage un moment de prétexter un léger malaise pour me tirer, mais non je reste. Claude s'active à branler la bonne bite de Berty. J'ai droit à ses commentaires :

 

- Quelle merveille ! J'ai rarement vu une bite aussi belle, et aussi bonne. J'adore sucer des belles bites. Tiens ! Commence si tu veux ?

 

Il me laisse la place, je ne m'attendais pas à cela, mais quelque part j'ai envie de la faire. Je me retrouve à genoux devant sa bite. J'hésite encore un peu mais à quoi bon, et la voilà dans ma bouche, Quelle sensation de douceur, le goût est un peu acre, le nettoyage de sa dernière jouissance n'a pas été parfait, Mais qu'importe, tandis qu'avec mes lèvres je donne des petits coups d'aller et retour, je suce le gland avec ma langue, c'est formidable, je suis aux anges, mais j'essaie d'en profiter un maximum, je sais que Claude va me la reprendre d'un moment à l'autre. Une voix m'interrompt :

 

- Et trois demis. Trois !

 

Ce n'est pas vrai ! Le patron est venu les apporter jusqu'ici !

 

- Vous gênez pas pour moi !

 

Et il repart, Claude me fait comprendre que c'est son tour. Je me relève dans un état second.

 

Claude engloutit la bite de Berty. Pour ma part je bande comme un cerf, et souhaitant faire preuve d'initiative, je sors ma queue et me met à me masturber sans essayer de deviner quelle sera la suite.

 

- Alors elle est bonne ma queue ?

- Délicieuse ! Dommage qu'elle ne sente pas un peu plus la pisse ! Répond Claude en cessant un instant sa fellation.

- Ça c'est pas un problème, tu veux que je te pisse dessus ?

- Ah ! Oui ! Répond l'autre complètement pâmé

- Allez à poil !

 

Claude se déshabille donc, et comme Berty en fait autant, je fais pareil.

 

- A genoux ! Petite salope !

- Oh oui ! Vas-y pisse-moi dessus !

- Ouvre bien la bouche !

 

Il le fait, le jet part, et atterrit dans la bouche de Claude qui déglutit avec joie, il lui asperge ensuite tous le corps notamment le sexe puis le fait se retourner pour lui arroser le derrière, ensuite il se badigeonne lui-même entièrement le pénis et les testicules avec son urine, puis il s'en étale sur les seins, à l'intérieur des cuisses, sur les fesses et près de l'anus.

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- Qu'est-ce qu'on dit ?

- Oh merci ! C'est délicieux !

 

Je songe sérieusement à partir, mais un je-ne-sais-quoi me retient encore.

 

- Bon suce-moi maintenant !

 

Claude va s'exécuter, mais Berty apporte une précision :

 

- Non la bite c'est pour lui ! Puis en me désignant : Toi tu me lèche le trou du cul.

 

Cette suggestion n'a pas l'air de contrarier Claude qui passe derrière et entreprend de farfouiller l'anus de son partenaire avec sa langue tandis qu'après un moment d'hésitation j'engloutis dans mon palais sa queue dégoulinante de pipi, mais je n'y fais pas attention, au contraire cela participe un peu plus à l'excitation du moment. Ma bite est prête à éclater, je me demande comment et quand je vais jouir.

 

- Allez ! On change !

 

Non, je ne veux pas ! Je vais pour refuser de me déplacer, mais peine perdue, c'est Berty qui effectue un demi-tour sur lui-même et qui me présente son derrière. Je lui lèche les fesses, évitant de m'approcher trop de l'anus, mais un mouvement inconscient m'y fait quand même m'en approcher et me voilà en train de lui fouiller la sortie de son petit trou avec une application surprenante.

 

- Bon assez les suceurs ! Maintenant je vais jouir dans un bon petit cul !

 

Il me tripote le mien

 

- T'as un vrai cul de tapette, toi, mais on se reverra, lui, je lui ai promis la totale !

- Tu me fouettes avant comme l'autre fois ?

- D'accord, et devant tout le monde ?

- Oui vas-y encule-moi ! Fouette-moi ! Fait moi mal.

 

Berty se dirige vers la porte, il passe une tête et dit quelque chose au patron qui se ramène avec trois clients. Il fait coucher Claude (ou du moins sa partie supérieure sur une table et va chercher sa ceinture de pantalon, et sans aucun préalable, il commence à lui cingler les fesses

 

- T'aimes ça ! hein ? Petite salope ?

- Oui ! Vas-y ! Plus fort !

 

Berty me demande alors de me positionner devant Claude pour qu'il me suce en même temps, mais la position n'est pas pratique, ce sera pour plus tard. Les fesses de Claude sont rapidement rouges, un rouge de plus en plus foncé.

 

- Ça va t'as ta dose ?

- Encore 10

- Alors compte !

- 1 2 3…

 

Sadiquement Berty lui en rajoute quatre autres et sans aucun préalable engloutit sa bite dans son trou du cul. Ça ne dure pas très longtemps, Claude gémit de douleur puis bientôt de plaisir tandis que Berty éjacule dans son anus.

 

- Super mais je suis crevé ! Dira Berty. Mais vous, vous n'avez pas joui !

 

Saisi d'une impulsion subite je me place à genoux devant Claude qui a du mal à tenir debout et engloutit sa bite. La sienne aussi est super bonne et je ne tarde pas à sentir le sperme chaud s'écouler dans mon palais, j'exécute quelques mouvements de masturbation pour jouir enfin et tandis que les voyeurs ressortent, nous dégustons enfin notre bière.

 

- Et toi tu aimes te faire enculer ?

- Je n'ai jamais essayé !

- Et tu voudrais essayer ?

- Pourquoi pas ?

 

Je le sens mijoter un truc

 

- Mais pas ce soir, je suis crevé, et il faut que je rentre !

 

On se rhabille, on quitte le bistrot en on se sépare.

 

A suivre

 

 

Estonius © 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mercredi 1 mars 2000 3 01 /03 /Mars /2000 23:27

Le Décolleté de Chantal

Par Nicolas Solovionni

 

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Thémes abordés :  domination soft, exhibition, masturbation

      Ce jour-là je prends le train comme d’habitude, il y a devant moi une femme entre 35 et 45 ans, vêtue d’une robe bleue légèrement décolletée, légèrement mais tout de même assez pour que je n’y sois pas insensible, son visage est agréable et elle dégage une certaine sensualité.

Comme je ne peux pas passer tout mon temps à la mater, je me mets à bouquiner un livre de micro-informatique. Et là voici qui m’interpelle

– Excusez-moi mais je vois que vous lisez un bouquin sur Excel, j’ai justement un problème au boulot avec ce logiciel et bla-bla-bla…

Elle m’explique le problème. Il est simple et j’ai la solution, je vais pour lui dire mais au dernier moment, je me ravise.

– Pas facile comme ça sans voir l’écran, vous travaillez dans quel coin ?

Elle m’explique qu’elle travaille dans le 9ème (donc à 5 minutes de mon lieu à moi) Le midi elle peut rester seule au bureau. Aubaine ! J’y vais donc le midi, je résous son problème, elle me pose plein d’autres questions, du coup pas le temps de bouffer, parallèlement j’essaie de la draguer, mais rien n’y fait, je finis par me lasser.

Elle me dit ne pas savoir comment me remercier (moi je sais !), et me propose finalement un verre au bistrot à 18 heures. Je reprends espoir !

18 heures donc, j’attends un peu. Elle est en retard je commence à désespérer, quand la voilà qui arrive, mais elle n’est pas seule, elle est avec une copine, (pas mal du tout la copine, une vingtaine d’année, mais la question n’est pas la !)

Combien de fois ne m’as-t-on pas fait le coup de la copine quand j’étais plus jeune…

Il y a quelques années une nénette à qui j’avais donné rencard s’est même pointée avec… sa mère (mais comme il ne s’est rien passé je n’ai pas d’autre souvenir de cette anecdote)

Revenons à nos moutons, à défaut de drague ça ma permit de mieux connaître cette femme qui se révèle intelligente, instruite et pleine d’idées intéressantes. Ce qui la rend encore plus désirable.

J’attends donc la fin de ce coup à boire, me disant que peut-être nous pourrions repartir tous les deux par la Gare du Nord, si toutefois la copine n’habite pas dans le coin.

Effectivement, nous nous rendîmes Gare du Nord, c’est à deux pas… et là : gros problèmes de train. Je lui propose d’attendre, mais Madame est pressée, elle me propose un taxi à deux. Ce que nous fîmes. Pas facile de draguer dans un taxi. Elle descend la première. Je ne pense donc jamais la revoir. Notre rencontre étant le fruit d’une circonstance : j’étais en retard le matin et elle exceptionnellement très en avance.

Rideau fin du 1er acte.

Deux jours après : coup de fil au bureau, je ne reconnais pas. :

– Mais si c’est Chantal Machin-chose !

Je lui avais donné mon numéro, par contre je ne connaissais pas encore son prénom…

Elle me dit qu’elle manque cruellement de formation en micro-informatique et me demande si par hasard je ne donnerais pas des cours… Je saute sur l’occasion et on se met d’accord. Je lui dispenserais donc des cours à son bureau tous les lundis à 18 h.

Les deux premiers cours se sont déroulés sans problèmes, mes quelques tentatives de dragues tombant à l’eau, je n’insistai pas, cela dit, au cours de ces séances les rapports se sont nettement détendus et décontractés, je plaisante sans problème avec elle mais pas moyen d’aller plus loin.

Donc nous sommes hier soir le 2 octobre, elle a remis sa belle robe bleue, je lui apprends certaines manips La voilà qui butte sur un truc qui ne m’a pas l’air difficile mais qu’elle n’arrive pas à assimiler. Je lui refais faire plusieurs fois. Et puis comme ça histoire de dire quelque chose :

– Si vous vous trompez encore je vais vous donner un gage ! »
– Un gage c’est vrai ? Une fessée ? Demande-t-elle levant du coup son petit nez mutin vers moi.
– Ce serait une excellente idée, ça une bonne fessée !
– Arrêtez, j’adore ça !

…et de me raconter qu’avec son ancien patron elle y avait droit souvent.

– Uniquement la fessée ou d’autres choses aussi ?
– Plein d’autres choses, mais celles-là ne me manquent pas du tout.

Ça a le mérite d’être clair, et elle reprend :

– Allez ! Vous en mourrez d’envie ! Mais la fessée pas autre chose !

Elle se plie en deux sur son bureau, je lui soulève sa robe, elle a une ravissante petite culotte à pois rouges. Je commence à la fesser par-dessus la culotte et je suis vite en pleine érection, ensuite, je la lui enlève, puis, je continue, elle me réclame des coups de plus en plus fort, je suis troublé et terriblement excité bien que cela ne soit pas mon truc, (j’inverserais bien les rôles, mais je n’ai même pas pensé à lui demander)

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Elle, elle n’en peut plus elle pousse des petits gémissements de plaisir, mais il lui en faut encore plus et elle me demande de continuer avec ma ceinture. J’hésite mais elle insiste. Je lui ai fait un cul tout rouge. Je prends une petite pause. Et lui fait quelques caresses, mon doigt atteint son petit trou et très délicatement je commence à pénétrer, mais elle me stoppe vite et se retourne.

Je bafouille :

– Excusez-moi mais je suis terriblement excité ! Soyez gentille montrez-moi votre poitrine, je ne vous toucherais pas, je vais juste me masturber devant vous !

Je craignais un refus, mais la voilà pratiquement à poil en train de se masturber à son tour, j’ai joui très vite, elle après. On doit se revoir.

Rideau

Y-aura-t-il une suite ? On verra bien !

En fait, il n’y en eut pas, cette première histoire n’a que le défaut d’être authentique, et si pour moi le souvenir est fort, il est évident que les lecteurs n’y trouveront sans doute pas leur compte. Dans mes récits suivants, j’ai fait appel à beaucoup plus d’imaginaire et je crois que c’est une bonne chose.

Nicolas Solovionni © 2000

nikosolo@hotmail.com

 

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Mercredi 2 février 2000 3 02 /02 /Fév /2000 09:01

Le Parc aux Fauvettes

par Eddy

 

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Thémes abordés : doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, gay, party, spermophilie, uro

 

En déplacement dans cette ville de province et n’ayant pas le temps matériel de rentrer à Paris, je m’inquiétais auprès des gens avec qui j’étais en contact des lieux de loisirs et de promenades du coin. :

– Oui, il n’y a pas un parc ? Un endroit pour respirer l’air frais…
– Il y a bien le Parc aux fauvettes, mais vaut mieux pas y aller, le samedi et le dimanche matin c’est un vrai repère de pédés !

Cet imbécile venait sans le savoir de m’indiquer un superbe but de promenade. J’avais emporté un jogging et des baskets et c’est donc dans cette tenue que je me rendis le samedi matin au parc en question, celui-ci (en fait une espèce de bois) plus ou moins entretenu se trouvait à la sortie de la ville. Ne sachant évidemment pas où se passait ce que j’y cherchais, j’y entrais un peu au hasard, et me mis à la recherche de quelque chose d’intéressant. Toujours est-il qu’au bout d’une demi-heure sans la moindre rencontre, je commençais à me désespérer, ceux qui m’avaient indiqué le tuyau étaient peut-être mal renseignés ?

J’étais très déçu, car j’avais bien l’intention d’occuper une partie de mon week-end en réalisant mes fantasmes homos ! Je rêvais d’avoir une belle queue dans ma bouche, une belle queue que je rendrais bien raide avant qu’elle ne m’encule ! Une autre demi-heure passa, je décidais donc de partir quand je me rendis compte que je m’étais à moitié égaré dans ce parc impossible. Je commence à m’énerver sérieusement, me voici sur un chemin que je ne me souviens pas avoir emprunté dans l’autre sens, et évidemment, aucune pancarte, je suis bel et bien perdu. Mais voilà que j’entends des voix, effectivement un peu plus loin, deux types arrivent dans l’autre sens. Ils s’approchent, ils m’ont vu et pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté ils se tiennent par la main.

– Bonjour !
– Bonjour !
– Tu as l’air perdu ?
– Je suis perdu !
– Tu veux sortir du parc ?
– Non je ne suis pas pressé.
– On monte à la clairière aux noisettes ! Tu veux venir avec nous ?

Fauvette J’ignore qu’elle est cette clairière, mais je ne refuse évidemment pas. Les deux hommes ne démarrent pas pour autant. Sans que j’aie le temps de réaliser, le premier baisse son pantalon, libérant son sexe qu’il tient à pleine main et qu’il fait maintenant grossir en le masturbant légèrement. Cette bite est magnifique, bien droite et terminé par un gland bien lisse d’une belle couleur un peu mauve. Le trouble me gagne. Cette bite il me la faut. Soudain l’homme (appelons-le, Mario) cesse de se branler, sa bite à maintenant grossi, et il me l’exhibe, que dis-je, il me l’offre. Je la prends dans mes mains et la masturbe à mon tour. Elle est douce, elle est chaude. Le deuxième promeneur (Arnaud) passe alors derrière moi et sans me demander mon avis baisse mon jogging et mon slip, me voici les fesses à l’air.

– T’as un beau petit cul, un vrai petit cul de gonzesse !

Le voilà qui maintenant me lèche l’anus, il y a longtemps que l’on ne m’avait pas fait cela, mais par un homme c’est la première fois, il fait cela très bien, sa langue est douce et agile, et il n’hésite pas à pénétrer dans mon trou aussi profondément qu’il le peut. Il arrête soudain de me lécher, je sens maintenant un doigt me pénétrer, il me masturbe le cul à coup de va-et-vient. Cette position n’est pas pratique, j’écarte les jambes et me penche en avant, j’ai donc du coup la bite de Mario à hauteur de ma bouche, et j’entreprends donc de la sucer, elle est délicieuse, un léger goût d’urine, mais ce n’est pas pour me déplaire.

Derrière moi, Arnaud a retiré son doigt, j’ignore ce qu’il fabrique ne souhaitant pas retourner, et tout d’un coup je sens quelque chose de plus gros qui tente de pénétrer mon anus. Il est tout bonnement en train d’essayer de m’enculer, la pénétration n’est pas facile, en fait, je ne suis pas habitué, ça fait un peu mal, mais le type à du savoir-faire et continue à me pénétrer, une fois entré, il reste un moment sans bouger, puis commence des petits va-et-vient qui deviendront de plus en plus rapides. Je suis aux anges, voici des années que je recherchais ce plaisir trouble, et me voici dans ce bois de province en train de me faire enculer tandis que je suce une bonne queue. Le bonheur, quoi !

La bite de Mario est devenue toute dure au contact de mes lèvres et de ma langue, j’agis d’instinct en donnant des petits coups de langues sur le gland, puis me sert de mes lèvres pour effectuer un mouvement de succion. Arnaud s’est retiré de mon cul. Le voici qui passe devant, et retire son préservatif, du coup c’est Mario qui se positionne derrière moi et qui me prend le cul, la pénétration est plus facile, sa bite doit être plus longue que celle de son copain car je la sens nettement aller plus loin. Dans le même temps je suce la bite d’Arnaud, le contact du préservatif lui a donné un goût de plastique peu agréable, mais ça ne dure pas.

Mais voici que j’aperçois au bout du chemin deux types qui viennent dans notre direction, d’instinct je cesse de sucer la pine d’Arnaud !

– V’la du monde, on va peut-être changer de coin ?
– Pourquoi ? T’aimes pas t’exhiber ?

C’est vrai que j’en ai pas grand-chose à faire, je suis à 500 Km de chez moi, et comme si de rien n’était, je reprends ma fellation interrompue. Les deux types se sont maintenant approchés à la hauteur de notre groupe. Ils se contentent dans un premier temps d’observer, puis au bout de quelques instants, ils sortent leur bite et se masturbent en nous regardant. Moi qui adore voir des bites, me voici servi ce matin. L’une d’elle est à portée de ma main, je la tends, le type (Kévin) me laisse faire et je le masturbe un peu, pas longtemps, parce que synchroniser tous ces mouvements demande une technique que je ne possède pas… Il se place à présent juste à côté d’Arnaud, sa bite tendue vers mon visage, je comprends l’invitation, et abandonnant quelques instant la pine d’Arnaud, j’entreprends de sucer cette nouvelle queue qui s’offre à ma bouche, Je passe de l’une à l’autre, c’est trop bon ! Je suis en plein rêve, et Mario qui continue à m’enculer ! Tout cela est trop nouveau et trop bon.

Le quatrième comparse (Bertrand), ne s’intéresse pas à moi, mais profite du fait que je suce son copain, pour engloutir à ma place la bite d’Arnaud ! Je bande comme un cerf, mais personne ne pense pour l’instant à me sucer ou à me branler… Mario, lui vient de jouir dans mon cul, il repasse à nouveau devant moi, ôte sa capote et me tend son sexe gluant de sperme. J’hésite, je n’ai jamais fait cela, puis je me lance, je lui nettoie tout de la langue et des lèvres, avalant tout.

Bertrand s’est aperçu que la place était libre, et sans me demander mon avis, entreprend de m’enculer à son tour, il n’a malheureusement pas le savoir-faire des deux précédents et me fait un peu mal, à moins que ce soit mon cul qui ne supporte plus une fantaisie aussi longue et varié. Je vais pour le lui dire, mais la douleur à tendance à se calmer et finalement je le laisse faire. J’ai recommencé à sucer alternativement les bites d’Arnaud et de Kévin, ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche, et cette fois j’avale tout sans hésiter, puis il va s’asseoir un peu plus loin, attendant probablement que son copain cesse de me sodomiser.

Voici de nouveau quelqu’un qui arrive par le chemin, il s’agit d’un grand noir, seul. Il connaît Arnaud. Ils se saluent. Le voilà devant moi, j’ai maintenant sa braguette à la hauteur de mon visage

Bizarrement il ne fait rien, on m’expliquera plus tard que certains mecs ne sortent pas eux-mêmes leurs queues, trouvant beaucoup plus excitant qu’on le fasse à leur place… Je commence à tripoter sa bite à travers son jean, je la sens se raidir, mais pas assez, je continue donc. Pendant ce temps Arnaud que j’ai arrêté de sucer s’est glissé sous moi et me suce (enfin !) à son tour ! Lentement je descends la fermeture de la braguette d’Alexis, je lui tripote maintenant la bite à travers son slip, je sais que je vais découvrir un très gros sexe, il me tarde de le voir, de le toucher, de le sucer… Délicatement je sors l’engin du slip. Une merveille, j’esquisse à peine quelques mouvements de masturbation et l’englouti dans ma bouche. Ma quatrième pipe de la matinée ! Elle est très bonne, peut-être encore plus douce que les autres, question de texture de peau sans doute.

– Je peux t’enculer ?

Au moins lui il est correct, il demande ! J’appréhende quand même un peu. C’est quand même pas mal gros, tout cela !

– Ok ! Mais vas-y doucement !

Du coup Bertrand cède la place en maugréant et se finit à la main. Je n’ai plus personne à sucer ! Dommage ! Alexis pousse pour rentrer, seule l’introduction sera un peu difficile, après ça glissera tout seul, mon cul ayant été bien lubrifié par les trois autres lascars.

L’excitation est à son comble, je sens que je vais bientôt jouir dans la bouche d’Arnaud, tandis que le plaisir anal que me donne le grand black monte à son paroxysme. Ça y est ! Je jouis enfin, précédant Alexis de quelques secondes. Arnaud lui se finira à la main

– C’était bien ? Demande Alexis.
– Divin !

Puis se tournant vers Mario et Arnaud :

– Vous faites quoi, maintenant ?
– On voulait aller à la clairière !
– J’en reviens, y a personne !
– Et bien on y va comme ça y aura du monde !

Puis Mario me demande :

– Tu aimes bien les trucs un peu masos, sans exagération ?
– Si c’est sans exagération, alors d’accord !

On se rhabille et nous voilà partis vers cette fameuse clairière, qui est à un quart d’heure de marche

Arrivé sur place, il n’y a effectivement personne et, Alexis exprime le désir de pisser un coup.

– Tu veux que je te pisse au cul ?

J’avoue ne pas bien comprendre et Arnaud viens à mon secours

– Il n’est pas habitué, et de toute façon il aura sa part bientôt !

Tout en parlant, il s’est déshabillé, il va très vite n’ayant qu’un jogging.

– Vas-y ! reprend-il.

Je n’en crois pas mes yeux, Alexis commence à pisser, il vise le postérieur d’Arnaud et le lui asperge. Il s’arrête de pisser, afin d’étaler le liquide sur ses deux fesses. Ce spectacle insolite me fait bander à nouveau. Arnaud s’est maintenant retourné, et Alexis lui asperge maintenant la bite…puis ce dernier s’accroupit doucement. Alexis ne change rien à la direction du jet qui atteint maintenant le torse d’Arnaud… puis son visage, il ferme les yeux, mais entrouvre la bouche, avalant une lampée de l’urine de l’autre. Je n’ai jamais vu cela, il m’est arrivé très rarement de pratiquer des jeux uro avec des femmes, mais là, je n’en reviens pas, et ma bite est vraiment toute raide ! Mario intervient !

– Mets-toi à poil ! Tu vas faire l’esclave !

J’hésite un peu.

– Ai confiance, on respectera tes limites !

Je me déshabille

– Tu vas déjà aller nettoyer le trou du cul d’Arnaud qui est plein de pisse

J’hésite encore, il faut que je me lance dans ce jeu, mais un je ne sais quoi m’en empêche encore

– Bon on va te faire obéir !

Mario va chercher quelques branchettes, il en choisit une et la tend à Arnaud.

– Vas-y ! Essaye-la sur moi !

Arnaud cingle d’un violent coup de branchette les fesses de son copain. Le coup laisse une traînée rouge

– Super ! Viens là, toi !

Je m’approche et lui tends mes fesses. Sans préavis un premier coup atteint mon cul, ça fait mal mais c’est supportable

– Tu aimes cela petite salope ?
– Oui !

Ce n’est pas tout à fait vrai mais j’ai envie d’essayer un tas de trucs ce matin ! Un deuxième coup arrive, plus fort, puis un troisième, ça commence à faire mal.

– Assez !
– Comment ça assez ?
– Assez !
– Bon alors un dernier !

Et celui-là fait très très mal.

– Maintenant va lui nettoyer le trou

J’y vais ! La pisse a séché, mais il reste une odeur un peu forte, je lèche minutieusement essayant de pénétrer au plus profond que je peux avec ma langue.

Mario s’approche à nouveau de moi

– Mets-toi à genoux et ouvre la bouche, je vais te pisser dans la bouche !
– Juste un peu !
– D’accord !

Mario vise ma bouche et me balance une goutte. Ce n’est pas mauvais, son urine est très claire, il doit boire beaucoup d’eau.

– C’est tout ? Demandais-je.
– Faudrait savoir ?
– Encore ?

Cette fois il pisse d’abondance et j’en avale plusieurs lampées

Quand il eut terminé, il se masturbe légèrement, faisant atteindre à sa bite une taille convenable, il me demande maintenant de lui présenter mes fesses, je crains une autre volée de branchette, mais non, il m’encule à nouveau, tandis qu’un peu plus loin Alexis se fait prendre le cul à son tour par Arnaud.

C’est complètement épuisé, le cul défoncé que je terminais.

– Je suis invité ce soir à une party un peu spéciale chez un bourge du coin ? Je t’emmène ?
– Bien sûr !

Je rentre à l’hôtel, m’amusant à l’avance de la question que me poseront mes imbéciles de collègues lundi matin sur mes occupations du week-end. C’est par la pensée que je leur répondrais :

– Si tu savais combien de bites j’ai sucé, et combien de fois je me suis fait enculer !

Mais, il n’est pas fini ce week-end et j’espère que la soirée avec mes nouveaux amis sera très… chaude !

Edvard Stokien © 2000
edvardstokien@hotmail.com

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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