Dimanche 3 décembre 2000 7 03 /12 /Déc /2000 17:49

Tina Pavussa

Par Jean Seb

 

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Elle s'appelle Valentina. Mais ici tout le monde l'appelle Tina. Il n'y a qu'ici qu'on l'appelle Tina. Au début ça l'avait embêté, et puis elle s'était habituée à ce diminutif, toujours plus agréable que la façon monstrueuse dont les gens prononçait son prénom. Mais quelque part ne plus avoir de prénom l'enfonçait un peu plus dans l'anonymat. Déjà qu'elle n'avait plus de pays. ! Elle avait acquit après bien des difficultés le statut de réfugiée politique. Son pays d'origine est tellement peu connu qu'on ne sait même pas vraiment comment l'appeler. Certains le nomment Biélorussie d'autres Bélarus ! Ca se comprendrait s'il s'agissait d'un territoire minuscule ! Mais non ce pays recouvre 200 000 km² (près de la moitié de la France et abrite 10 millions d'habitants) Mais voilà elle est tombée dans le pays des nuls en géographie et personne ne connaît son pays ! Personne ? Non ce n'est pas tout à fait vrai ! Elle s'est aperçue que deux catégories de citoyens en entendaient parfois parler : les lecteurs de la presse sportive, et aussi ceux de la presse d'opinion, car maintenant que Milosevic a été chassé du pouvoir en Serbie, la Biélorussie reste le seul pays d'Europe ou la démocratie n'existe que sur le papier, et où les opposants sont pourchassés. 

 

Ses tracasseries avaient commencé quand elle avait pris des responsabilités au sein de l'équipe dirigeante du syndicat étudiant. Arrestations, perquisitions, brimades… Elle en avait marre !

 

Sa copine Galina, lui avait présenté un cinéaste français.

 

- Si tu veux faire du cinéma, je t'emmène en France !

 

Elle n'en revenait pas. Tina plaisait mais n'avait rien d'un top modèle. Brune, les yeux bleus, les pommettes relevées à la slave, elle se trouvait légèrement grassouillette, et trouvait sa poitrine trop grosse (les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine)

 

- Autant te prévenir, c'est du cinéma un peu déshabillé, ça ne te gène pas au moins ?

 

Non, ça ne la gênait pas, elle se considérait comme une femme libérée, ce qui n'était pas spécialement bien vue dans ce pays à la mentalité paysanne.

 

- Et il faudra faire semblant ou pas faire semblant ?

- Beaucoup semblant ! Et un peu pas semblant !

- Je ne veux faire que semblant !

- On s'arrangera !

 

Bien sûr, une fois arrivée en France, on lui avait expliqué que pour l'instant les films "où on ne faisait que semblant" ne marchaient pas fort, et de fil en aiguille elle s'était très rapidement retrouvée dans les milieux du film X. Pas forcément la joie, mais elle s'adaptait, jusqu'au jour on elle se rendit compte que l'on profitait de son incompréhension du français pour la rouler financièrement. Elle avait plaqué tout cela après avoir piqué une vaine colère en langue natale.

 

Il existait une petite association de Biélorusses exilés que dirigeait de façon dynamique, un dénommé Pavel. Cet individu doué d'un charisme étonnant et d'une élégance rare avait une énorme influence sur les autres membres du groupe et avait su développer des réseaux afin de soutenir ses compatriotes.

 

Elle ne fut donc pas sans travail, mais malgré tout, réduite aux "petis boulot " et alors que commence notre histoire elle fait des ménages pour le compte d'une société de service.

 

- Ne néglige pas ton physique, maquille-toi, porte des bas et des portes jarretelles sous ta blouse. Un jour quelqu'un te remarqueras et peut-être qu'il t'entretiendra ou te proposera autre chose. Le pouvoir ça se grignote, mais il faut forcer la chance et la chance viendra, c'est mathématique, c'est une question de probabilité ! 

 

Sacré Pavel !

 

Tous les jeudis matin, de très bonne heure elle fait un remplacement dans les locaux de la Consulting Machin-Truc.

 

- Tiens ! Le bureau du fond est allumé !

 

Elle frappe, elle rentre, un type est à son bureau entouré d'un incroyable fouillis de documents, il répond à peine à son bonjour, elle à l'habitude…

 

- Dommage qu'il soit si impoli, il est mignon !.

 

Il s'en veut José, d'avoir été si grognon : elle n'est pas mal la femme de ménage, mais bon aujourd'hui, il a un rapport à rendre, il est en retard, il a essayé de travailler tard chez lui, la veille. Mais il s'est vite aperçu que sans un certain nombre de documents stockés dans son bureau la tâche était impossible. Lui qui n'est pas du matin s'est donc levé de très bonne heure pour venir. Et il est d'une humeur exécrable. Deux heures plus tard ça va mieux, le travail se termine mieux que prévu, il prend soin de se renseigner :

 

- La femme de ménage, la jeune avec un accent russe, elle est là tous les jours ?

- Non juste le jeudi, les autres jours c'est une personne d'un certain âge !

 

Le jeudi suivant, José revint de très bonne heure, et attendit, il verrait bien !

 

Un quart d'heure plus tard, elle rentrait dans le bureau, l'air contrarié de le voir

 

Il lui sourit, un beau sourire. Elle le lui rend !

 

- Quel magnifique sourire, la journée va être bonne !

 

Elle n'a pas tout compris, mais elle sait que c'est gentil, quelque chose la chatouille entre les cuisses. Elle n'a pourtant rien d'une nymphomane, mais ce type à décidément un charme fou, et elle lui ferait volontiers un petit câlin

 

Elle s'était aujourd'hui vêtue simplement de porte-jarretelles blanc auxquels sont attachés des bas légèrement bleutés. Une petite culotte blanche très classique, pas de soutien gorge, et sa blouse par-dessus tout cela. Elle avait rajouté malgré tout, une note qu'elle trouvait coquette sous la forme d'un petit foulard en soie noué autour de son coup, la signature bien en évidence pour montrer qu'elle savait aussi aimer les belles choses !

 

Ne sachant évidemment pas pourquoi le type était venu si tôt, elle décide de le provoquer, juste une fois, pour voir, pour s'amuser. S'il ne se passe rien elle n'insistera sans doute pas.. Elle lui tourne le dos, et se penche en avant faisant semblant de nettoyer un objet, elle s'arrange pour qu'il voie sa petite culotte, elle se retourne, il rigole, elle éclate de rire et devient toute confuse de son audace. Il lui fait signe d'approcher, elle obéit. Elle ne comprend pas bien, il lui fait signe de se rapprocher encore davantage. Quand il lui tend ses lèvres, elle comprend et les accepte. La voici en train de rouler une pelle à cet inconnu qui avait été si impoli la fois d'avant. 

 

José ne reste pas inactif et lui passe la main sur la culotte, et doucement, la lui baisse. Ce n'est pas forcément pratique dans cette position, alors elle l'enlève elle-même, elle rigole, la situation lui échappe un peu. Il lui demande de s'asseoir sur le bureau. Il a la surprise de constater qu'elle s'est fraîchement rasée, il passe alors délicatement sa langue sur sa chatte déjà bien mouillée.

 

José est à présent excité comme un cerf, il ouvre la fermeture éclair de sa braguette, défait la ceinture de son pantalon et baisse légèrement de dernier, dégageant son sexe déjà magnifiquement bandé. Tina s'en empare, et lui passe des petits coups de langue à la base du prépuce. Elle se sent si excitée qu'elle se caresse en même temps.

 

José à envie de la pénétrer, il lui désigne le fauteuil destiné aux visiteurs et lui demande de s'agenouiller dedans afin de la pénétrer en semi-levrette. Elle écarte d'une main ses fesses pour que son amant du matin puisse contempler mieux les secrets de sa slave anatomie 

 

José veut varier à présent les positions et lui demande de se coucher sur le bureau en relevant les jambes, elle en profite pour déboutonner sa blouse offrant sa jolie poitrine au regard de l'homme. Quelques minutes plus tard, José s'assied dans le fauteuil et demande à Tina de venir le chevaucher, quand soudain…

 

- Dring !

 

Le téléphone sonne !

 

José décroche, c'est son collègue du premier, comment a-t-il su qu'il était déjà là ? La lumière peut-être ?

 

- Je te rappelle, je suis sur une autre ligne

 

Puis pris d'une inspiration subite, il demande à Tina :

 

- Ça t'embête si je fais venir un collègue ?

 

Elle a du mal à comprendre. Il lui explique mieux, elle lui fait signe de la tête que cela ne l'embête pas. Il rappelle son collègue

 

- Tu va pas me croire, je suis en train de me taper la femme de ménage !

- Menteur !

- T'as qu'a pas me croire ! Mais tu peux venir, apparemment elle n'est pas contre le fait de faire ça à trois, j'espère qu'elle a compris parce qu'elle ne parle que le serbo-croate

- Niet ! s'exclame brusquement Tina

- Comment ça Niet ? T'es plus d'accord ?

- Pas serbo-croate, Bélarus !

- Ah bon ! T'es russe ?

- Non Bélarus !

- Bon mais t'es d'accord ou pas ? .

- Pas serbo croate !

- OK ! OK ! Il peut venir ou pas ? 

- Venir ?

- Oui venir !

- Da !

- OK ! Tu peux venir !

- Tu me mène en bateau !

- Non, et comme tu ne m'as pas cru t'auras un gage !

 

C'est tout étonné que Paul rentrant dans le bureau découvre le spectacle de Tina à demi-nue chevauchant José. Ils lui font signe de s'approcher, ce qu'il fait tout doucement tandis que sa queue commence à donner du volume à sa braguette.

 

Bien sûr Tina s'en aperçoit et lui met la main au pantalon. Paul retire donc ce vêtement qui ne sera d'aucune utilité dans les minutes qui vont venir, et Tina tout en continuant sa fantastique chevauché entreprend une fellation sur ce beau membre.

 

Tina a beau être sportive, la position fatigue un petit peu. Paul se couche alors sur le canapé visiteurs permettant à Tina de poursuivre sa fellation. José lui s'est couché par terre et recommence à lécher le joli minou de la slave, puis la fait mettre en levrette pour la pénétrer à nouveau.

 

C'est alors, mes bons amis, qu'il se passa quelque chose de tout à fait surprenant et inhabituel en ce genre de circonstances !

 

Tina était plus une fellatrice du bout de la langue qu'une avaleuse de sabre. Elle avait abandonné le gland de Paul pour venir s'occuper de ses couilles qu'elle aguichait de sa langue agile.

 

Et voir ce si beau gland sans personne pour s'en occuper troubla tant José qu'il y précipita sa bouche, et ce, sans abandonner sa levrette, 

 

La situation était très trouble. Tandis que José suçait la partie supérieure de la bite de Paul, Tina s'occupait plutôt de la partie inférieure.

 

Paul ne disait rien, cette double fellation inattendue avait l'air de lui convenir parfaitement.

 

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L'insolite de la situation vint encore augmenter l'excitation de Tina qui n'avait vraiment nul besoin de cela, toutefois, il ne se passa rien d'autre entre les deux hommes et elle se surprit à en être un peu chagrinée.

 

La pine de Paul étant super bandée, Tina vint le chevaucher, tandis que José lui pelotait les seins.

 

Mais les deux hommes voulurent faire une éjaculation extérieure. Ainsi pendant que Tina se réinstallait dans le fauteuil, Paul ne tarda pas à éjaculer sur sa chatte, tandis que José en faisant autant sur son visage.

 

- Spasibo ! Remercia Tina dans sa langue natale !

- Oui ! Pas serbo-croate, on a compris !

 

Ils rirent tous les trois

 

Quelques temps après Paul et José, tous deux divorcés, et à qui le hasard avait révélé leur bisexualité latente se mettaient en ménage.

 

Trois mois après ils contractèrent un PACS. Ils firent une petite fête et invitèrent quelques rares amis triés sur le volet. Tina fut évidemment de la partie.

 

Elle ne comprenait pas bien ce faux mariage entre hommes, son français avait progressé, mais elle ne saisissait pas tout

 

- Vous allez partir en voyage de noces ? demanda-t-elle en rigolant 

- Tu ne crois pas si bien dire, on se paie deux semaines au Brésil ?

- Vous auriez pu m'emmener ! Dit-elle en plaisantant !

 

Paul se retourna alors vers José :

 

- Mais pourquoi pas ? Cela me semble une excellente idée !

 

Jean Sébastien Tiroir

© Avril 1983 - Revu en décembre 2000 (Comme le temps passe... Tina était tchèque dans la première version…)

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Première publication sur Vassilia, le 03/12/2000

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Décembre 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:46

 

 

Martine la soubrette 2 – Les carreaux par Eddy

Fetish

 

  

Et, voilà, je l’avais voulu cette situation ! Moi, l’ancien cadre informatique, bien noté et toujours impeccable, j’étais en train de nettoyer la vitrerie d’un couple de bourgeois, travesti en tenue de soubrette, et sans culotte pour couronner le tout. C’est fatigant de faire les vitres et inintéressant au possible, et il y en avait des vitres et des miroirs dans cette maison !

Vers 10 heures j’eus un petit coup de pompe, j’aurai bien mangé un petit en-cas mais ignorais comment gérer ici ce genre de choses. Tant pis, j’attendrais midi, et puis il fallait que je satisfasse un besoin bien naturel… J’allais donc à la recherche des toilettes. Je supposais qu’il s’agissait de cet endroit derrière cette porte. Oui, mais voilà, elle était fermée à clé ! Tant pis j’irais me soulager dans la salle de bain. Mais cette dernière était également bouclée. De véritables obsédés de la serrure ces gens-là ! Restait la cuisine et son évier providentiel. Gisèle y était en train d’arranger un immense bouquet de glaïeul.

– Excusez-moi madame ?

Pas de réponse ! Elle le faisait exprès, bien sûr !

– Excusez-moi madame ?
– Dis donc petite pute, tu ne vois pas que tu me déranges ?
– C’est que pour les toilettes…
– Et que veux-tu faire aux toilettes ?
– Euh ! Ben… Uriner ?
– Pour te servir des toilettes, il faudra venir nous le demander, mais pour pisser, tu n’en as pas besoin !
– Mais comment dois-je faire ?
– Tu te retiens !
– Me retenir !
– Oui te retenir ! Et maintenant arrête de m’emmerder et retourne à ton travail, et que je ne trouve pas en train de pisser dans la cuisine derrière mon dos. Sinon c’est la porte et tu iras jouer à la soubrette ailleurs, petite tapette !
– Bien madame !

Je m’aperçois que j’ai donc oublié de parler avec mes employeurs de tout un tas de détails, par exemple, il faudra bien que j’aie accès à la salle de bain…Je repars continuer à astiquer les vitres, en me forçant à me retenir. Je ne me fais aucune illusion ceci est un jeu, et je suis aussi là pour ça !

Au bout d’une heure, la situation devient intenable, j’imagine quelques astuces pour m’en sortir quand Gisèle entre dans la pièce !

– Madame je suis désolé, mais je n’arrive plus à me retenir !
– Te retenir de quoi ?

Elle se fout de ma gueule ! Je craque :

– Je veux bien être un jouet, mais il faut quand même que le joujou fasse pipi, sinon le joujou il fout le camp…

Je n’en reviens pas d’une telle audace. Elle peut me jeter, maintenant tout de suite. Je m’en fous, il y a des limites tout de même !

– On se rebelle ?
– La question n’est pas là ! Si vous ne me dites pas où pisser, je pisse par terre et je me casse !
– OK ! Casse-toi !

La décision est brutale, mais tant pis, une vacherie comme ça le premier jour, ça veut dire que l’expérience va être intenable, je veux bien m’amuser, mais pas à n’importe quel prix ! Bien sûr ces crétins ont fermé ma chambre à clé ! Je hurle.

– Si on ne me file pas la clé, j’enfonce la porte !

Gisèle s’approche, elle a l’air hors d’elle. Elle me jette la clé qui passe à deux doigts de mon visage ! Tandis que précipitamment je mets quelques affaires dans mon sac, j’entends des bruits de clés. Elle a donc ouvert les toilettes. Mais c’est peut-être pour son usage personnel. Je jette un œil. Non, elles sont bien ouvertes sans personne dedans. Je me précipite. Mon dieu que ça fait du bien ! Ça veut dire aussi que Gisèle n’essaiera pas de faire le premier pas pour éviter cette rapide rupture de contrat. Le fait de pisser m’a calmé. J’ai été idiot de m’emporter. Sans doute attendait-elle une autre réaction de ma part, que je fasse sur moi ou dans je ne sais quel récipient. Je m’en veux. J’aurais volontiers prolongé cette expérience, mais il faut croire que j’en suis incapable. L’humiliation est terrible, après le divorce, et le licenciement, un autre échec ! Même pas capable d’être un esclave. J’en chialerais ! Alors humiliation pour humiliation je tente un va-tout, je cherche Gisèle, je la retrouve dans le salon et je m’agenouille comme une larve et je baisse la tête :

– Pardon Madame !
– Casses-toi !

Non, ce n’est pas possible qu’elle me repousse, elle joue, elle va me demander de revenir au dernier moment ! Mais pas cela ! Pas l’humiliation de l’avoir supplié en vain ! Je ne bouge pas ! Il ne se passe plus rien, je reprends espoir et lève timidement la tête. Elle me crache alors en pleine figure !

– Punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez, mais gardez-moi !

Et je me précipite sur ses pieds, j’aurais voulu lui lécher les bottes, mais elle est très prosaïquement en petits chaussons. Ça ne fait rien, je lui lèche les chevilles, je n’arrête pas, elle ne dit rien, le temps travaille pour moi.

– Casse-toi, connard !

Aie, tout mon univers s’écroule. L’estocade ! L’insulte et au masculin en plus, m’ôtant même ma condition de travesti. Je me relève. Je suis mal, je vais pour partir. J’ai maintenant pris mon sac, je déverrouille la porte d’entrée. Toute cette plaisanterie va se terminer dans quelques secondes. Il faudra ensuite que je gère le retour à la maison…

– Au pied !

Je n’ai pas compris tout de suite que l’ordre s’adressait à moi ! Elle me rappelle donc ! Un truc de dernière minute à me dire sans doute avant de me jeter comme un vieux kleenex.

– Suis-moi !

Non je n’y crois plus, j’hésite, déjà elle s’éloigne dans l’appartement. Elle se retourne.

– Je t’ai dit de me suivre ! A quatre pattes, comme un toutou !

Elle me garde donc, je la suis dans la position qu’elle m’indique. Arrivée dans la grande salle à manger, elle pose les mains sur la table, me tournant le dos, puis retire la jupe de son tailleur. Elle a le cul relativement large.

– Baisse ma culotte !
– Oui, Maîtresse !

Je lui baisse sa culotte jusqu’en bas, je m’arrange pour laisser traîner quelques doigts afin de lui frôler la peau de mes caresses.

– Va chercher un verre, un grand verre, ou plutôt un bol.

Je m’exécute et reviens avec l’objet demandé, elle le prend, le place sous sa chatte et se met à pisser dedans. En voilà une drôle d’idée ! Ses chiottes sont bouchées ou quoi ?

– Tiens bois ! M’ordonne-t-elle en me tendant le bol à moitié rempli.

Je n’ai rien contre l’uro, mais ne l’ai jamais pratiqué de cette façon. Peu importe sa pisse est délicieuse

Gisèle se retourne et s’écarte alors ses deux gros globes afin de bien dégager son trou du cul. Je devine ce qu’elle va me demander !

– Nettoie-moi le trou !

Je me dis que ce ne sera pas une corvée, néanmoins en m’approchant, je constate que tout n’est pas nickel chez cette bourgeoise. Ou bien elle a oublié de se laver ce matin, ou alors son papier toilette n’est pas de très bonne qualité. L’odeur est loin d’être insoutenable, mais elle est forte, je finis par m’y faire. Je réalise à présent qu’en fait cette petite fantaisie était probablement programmée. Encore une façon de m’humilier. Je m’en fous, je prends sur moi, je lèche les petites taches marrons. L’épreuve est plus facile que ce que j’aurais pu imaginer. Je lui remplis de cul de ma salive, j’essaie de pénétrer au plus profond avec ma petite langue. Le résultat de tout cela c’est que ça me fait bander !

– Tu m’as bien léché !
– Merci Maîtresse !
– Mais qui t’a autorisé à bander ?
– C’est le fait de vous lécher maîtresse
– Ça te fait bander de me nettoyer mon trou du cul plein de merde !
– Il n’y avait pas tant que ça, Maîtresse !
– Non pas aujourd’hui…. Branle-toi, ça va te calmer !
– Ici ? Maîtresse ?
– Non pas ici ! Sur le toit ! Ou devant la fenêtre ! Bien sûr que c’est ici, triple idiot, et dépêche-toi !

J’obéis et je me masturbe, j’ai un peu peur d’être en panne, mais non ça va venir, je le sens

– Il me faudrait un kleenex !
– Et puis quoi d’autre encore, Tu jouis par terre et tu nettoies avec ta langue !

Je n’aime pas cela. Contrairement à certaines personnes qui peuvent jouir plusieurs fois de suite sans aucun palier, chez moi la jouissance est immédiatement suivie d’une chute brutale de la libido, qui dure deux ou trois minutes et qui rend le genre de chose qu’elle me propose particulièrement désagréable. Du coup je débande, ça me panique, elle va s’en apercevoir !

– Ben alors ? T’as des problèmes de quéquette ?

Je ne sais plus où me foutre !

– Bon, laisse tomber ta saucisse ! Elle est complètement hors service. Demain on prendra rendez-vous pour toi chez le sexologue. Pour l’instant suis-moi, on va voir comment tu as travaillé…

Je suis rouge de honte mais j’arrive à balbutier :

– C’est que ce n’est pas fini ! Maîtresse !
– Je ne veux pas voir comment c’est fait quand c’est fini, je veux voir comment c’est fait quand c’est commencé…

Elle se dirige vers la grande fenêtre du salon, s’approche des vitres. C’est vrai qu’ils ne sont pas mal nettoyés mes vitres, pas une trace…

– C’est quoi ce travail ?
– J’ai fait de mon mieux, maîtresse !
– Et bien il n’y a pas de quoi être fier !

Et la voilà qui crache sur les vitres !

– Tu vois bien qu’ils ne sont pas propres tes carreaux, une pétasse a craché dessus !

Elle attend que je lui dise quelque chose, mais je ne sais vraiment pas quoi dire.

– Et d’abord, c’est qui la pétasse qui a craché sur les carreaux ?

Ignorant quelle genre de réponse elle souhaite entendre j’essaie :

– Je ne sais pas maîtresse, ça a dû se produire quand nous étions à côté.

Elle me gifle !

– Et pourquoi tu mens ? Tu étais là ! Je veux que tu me dises le nom de la pétasse qui a craché sur ces carreaux, sinon je t’en retourne une autre !
– C’est vous Maîtresse…

Le bras se lève, je l’évite et je crie :

– C’est vous maîtresse, mais vous n’êtes pas une pétasse !
– Ah ! Enfin une réponse intelligente ! Va nettoyer immédiatement ces saloperies !

Je m’empare d’un chiffon

– C’est pourquoi foutre ce chiffon ?
– Ben, pour essuyer, maîtresse !
– Lâche ça !

Je le lâche, j’ai décidé d’être obéissant !

– Nettoie avec ta langue !
– Mais maîtresse…
– Tu discutes mes ordres, maintenant ?
– Mais c’est que…
– C’est que quoi ? Ce n’est que de la salive, je n’ai pas la tuberculose à ce que je sache. C’est la même salive dont tu te régales quand tu roules un patin à quelqu’un !
– Ce n’est pas une question de salive, Maîtresse, mais il y a de l’ammoniaque dans ce produit…
– De l’ammoniaque, mais en voilà une drôle d’idée…

Elle s’en va en marmonnant, je lui ai encore tenu tête. Mais pouvais-je faire autrement ? Je ne suis quand même pas là pour jouer avec ma santé !

Et la voilà qui revient. A tous les coups elle a encore inventé un truc pour m’humilier.

Gisèle ouvre son chemisier et fait jaillir ses gros nichons de son soutien-gorge.

Je rêve !

Elle se met à cracher plusieurs fois sur ses seins qui se retrouvent rapidement gluants de salive.

– Maintenant lèche ! Il n’y a pas d’ammoniac sur mes nichons.

Incroyable qu’elle me demande une chose pareille, d’un côté cet aspect gluant qui n’est pas spécialement ragoutant, de l’autre ses jolis seins. Je ferme les yeux et je lèche… et je bande.

Je me remets à faire ses vitres et à essuyer ses conneries. Il faudrait que je m’isole pour faire le point. D’un côté, je subis humiliation sur humiliation, mais de l’autre, c’est aussi ce que je cherchais… Et à l’instant présent je suis incapable de dire si cette situation me satisfait ou non !

Le temps passe, il va être 14 heures, elle ne m’a pas appelé pour déjeuner. Je ne réclame pas, je n’ai pas très faim, mais j’ai compris maintenant son jeu… ce soir j’aurais à manger, par contre j’aurais bien bu un verre d’eau. Mais je peux me retenir, la maison est pleine de coins, de recoins, de placards, de tiroirs, demain je planquerais une bouteille d’eau et même peut-être quelques morceaux de pain ou des gâteaux secs.

C’est quand même dingue, j’en suis là, moi le brillant cadre informatique, en train de finir de refaire les vitres qu’une bourgeoise a maculées de son crachat. J’ai la bite à moitié en panne se baladant librement sous une jupette, et je suis en train de faire des plans pour ne pas tomber d’inanition. Il faudra aussi que je prévoie une bouteille vide, je pisserais dedans !

L’arrivé de Gisèle interrompt mes rêveries !

– Alors ? Ce ne sont pas les cadences infernales à ce que je vois ? J’ai ma mère qui va passer me dire bonjour, tu iras lui ouvrir et tu prépareras le café ? Tu sais faire ? J’espère !
– Bien sûr ! Maîtresse !
– Comment ça bien sûr ? Comme si c’était évident, surtout venant de la part d’un impuissant !

Ah ! La salope, elle va trop loin, l’adrénaline monte, j’avale ma salive pour me calmer !

– Faudra-t-il que je me change ?
– Te changer pourquoi faire ? Non !
– Je dois rester sans culotte ?
– Absolument !
– Bien ! Maîtresse !

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Une demi-heure après la maman qui se prénomme Bénédicte sonnait à la porte. Je vais ouvrir. Elle est très classe, la soixantaine, cheveux argentés, habillée d’un tailleur gris très BCBG. Pas un mot. Elle me regarde et pouffe de rire ! Toujours agréable !

Les deux femmes s’installent dans le salon, et je vais préparer le café. Ces gens sont pleins de frics et ils ne sont même pas foutus d’avoir une cafetière un peu moderne. Bon dieu ! Ça coûte 20 euros une cafetière ! Non au lieu de cela il faut faire le café avec un vieux machin à pression. Et le café est en grain, il faut le moudre. Je perds un temps fou à faire tout cela ! Je vais me faire engueuler, je le sens, d’autant que je ne sais pas trop comment le doser !

– Le café on va bientôt l’avoir, ou il faut qu’on descende au bistrot ?
– C’est presque prêt, maîtresse !

Il faut encore que je dégote un plateau. On ne me dit rien dans cette maison. Par chance j’en trouve un. Et le sucre ? il faut que je trouve le sucre ! Jamais je n’aurais imaginé que faire un simple café serait un tel calvaire. Ça y est… je trouve le sucre, mais je ne vais pas emmener le paquet comme ça ! Ça ne doit pas se faire, il faut maintenant trouver une sucrière, je vais craquer.

– Bon alors ?

Tant pis pour la sucrière j’apporte ça comme ça, je sers les tasses, je verse le café, je me rends compte que j’ai oublié les petites cuillères, je marmonne un mot d’excuse et m’enfuit dans la cuisine à la recherche des précieux ustensiles sous les éclats de rire des deux femmes qui n’en peuvent plus. Je reviens

– C’est quoi ce truc ?
– Une soubrette, c’est le dernier modèle à la mode !
– Mais c’est un mec !
– Non, enfin si, enfin, ce n’est pas une femme !
– Mais qu’est-ce que t’as fait d’Huguette ?
– On en avait marre, on l’a laissé partir !
– Et tu l’as trouvé comment ton dernier modèle à la mode ?
– C’est mon mari sur Internet…
– On trouve décidément n’importe quoi sur Internet !
– Et tu penses le garder ?
– Non ! Il est trop nul !

La salope, elle m’a fait reprendre espoir, pour mieux m’humilier, je vais finir par craquer pour de bon !

– Il ne sait rien faire alors ?
– Non ! Quoique si, il lèche très bien le cul !

Enfin quelque chose qui ressemble à un compliment. Gisèle sait très bien souffler le froid et le chaud. Mais elle reprend :

– Remarque, ce doit être un pervers, je devais avoir le cul dégueulasse, d’ailleurs ça l’a fait bander trente secondes.
– Oh ! Tu devrais peut-être lui faire dessus !
– C’est prévu, mais pour l’instant je n’ai pas envie, et toi ?
– Je peux essayer si tu veux.

– Allez Martine, couche-toi par terre, maman va te chier dessus.
– Je… je … je reste habillé ?
– Evidemment conasse, elle va te chier sur la gueule.

J’ai le cul de la vieille bourge au-dessus de mon visage, son anus s’ouvre, une petite crotte finit par apparaître, grossit, prend la forme d’un petit boudin, se détache et m’atterrit sur la tronche, un deuxième suit, puis plus rien. La femme se relève, ne s’essuie pas et ramasse les deux étrons, elle en pose un sur la table et lèche un peu le second, puis le passe à Gisèle qui en fait de même. Elles sont dégueulasses.

Gisèle me demande de me relever.

– Ma salope de mère ne s’est pas essuyé le cul, alors à toi de jouer : corvée de nettoyage.

Je lèche donc les traces de merde restées autour de l’anus. Ma foi, c’est pas mauvais.

Mon nettoyage terminée, je me relève, les deux femmes complètement déchainées après avoir léché et reléché l’étron, se roulent des patins d’enfer bien gluants. Je vous dis, elles sont dégueulasses.

– Je peux regarder sa queue ? Demande Bénédicte

Et sans attendre l’autorisation de sa fille, elle me fait tomber ma jupe. La voilà qui me tripote la bite, elle a les mains très délicates, je me remets à bander !

– Tu vois, moi j’arrive à le faire bander
– Ça ne m’étonne pas t’es qu’une salope !

Elles rient.

– Tu me le prêtes ?
– Je te le prêterais mais pas aujourd’hui !
– Je croyais que tu ne voulais pas le garder ?
– Je ne le garderais pas des années !

Me voici avec une érection tout à fait correcte, Bénédicte me branle carrément maintenant !

– Elle n’est pas si mal sa bite, bien bandée !
– Dans le genre modèle réduit, ouais !
– Tu exagères, moi elle me plait bien !

Et de façon tout à fait inattendue, Bénédicte me fourre ma queue dans sa bouche !

– Maman ! Je t’interdis !
– Gisèle ! Tu n’as rien à m’interdire !
– Si ! Je suis chez moi !

Mais c’est qu’elles sont sérieuses, elles vont s’engueuler, et c’est moi le sujet de discorde ! C’est la meilleure de la journée ! Bénédicte se lève, et se dirige vers la porte

– Bon à un de ces jours, et merci pour l’accueil !
– Arrête maman ! On ne va pas s’engueuler !

L’autre ne répond pas et disparaît de l’appartement.

– Mais, c’est pas vrai ! La voilà fâchée maintenant, et tout cela à cause de cette pédale ! Casse-toi sale connard et cette fois n’essaye pas de te raccrocher ou sinon je t’écrabouille !

C’est profondément injuste, je ne suis pour rien dans cette embrouille absurde ! Je crois qu’effectivement je suis resté un peu trop longtemps dans cette maison ! Je me précipite afin de prendre mon sac dans ma chambre, et vais pour sortir. Ça y est, je suis dans l’escalier. J’ai oublié de réclamer mes gages de la journée. Pour le principe parce que je n’attends pas après. Je descends ! Quelqu’un monte, j’ai eu le temps de mettre une culotte, tout va bien, mais ne voilà-t-il pas que je me retrouve nez à nez avec Bénédicte !

– Faut que je remonte, j’ai oublié mon briquet, c’est que j’y tiens à celui-là ! Mais tu te barres ? Elle t’a viré ?
– Oui ! Mais de toute façon j’en ai marre !
– Tu as tort, il faut les connaître, ils n’étaient pas si méchants que ça avec Huguette…
– C’est fait, c’est fait !
– Non ! Remonte avec moi !

J’accepte sans trop savoir pourquoi. Elle sonne.

– Qu’est-ce que vous foutez là tous les deux ?
– Je te propose un deal. Tu me rends mon briquet et je te rends ta soubrette !
– N’importe quoi ! Bon rentrez tous les deux, on va essayer d’y voir clair !

Bénédicte se rassoit, tranquillement, pas gênée, et elle s’adresse à moi :

– Et toi la petite tapette, tu vas nous refaire du café, mais cette fois tu vas le faire un peu moins fort, d’accord ?
– C’est toi qui donnes des ordres, maintenant !
– Oui parce que si tu n’en veux pas je l’embauche ! Et sur-le-champ en plus ! Et quand il va revenir je veux le sucer. Sauf si tu t’y opposes formellement, auquel cas, je n’insisterais pas !

Ce n’est pas possible, la bagarre va recommencer, je ne suis qu’un objet ridicule, un gadget, qui ne sait même pas faire le café.

Je prends les premières tasses pour les rapporter en cuisine.

– J’enlève ça ? Demandais-je en désignant l’étron resté sur la table.
– Laisse-le là ! Il est très joli cet étron !

Faut surtout pas les contrarier.

Quand je revins dans le salon, les deux femmes étaient très débraillées et tendrement enlacées. Elles avaient utilisé l’étron pour se badigeonner le corps. Gisèle léchait goulûment le téton droit de sa mère, qui bouche ouverte et yeux mi-clos se tripotait la chatte. La vision de ce chaud spectacle me provoqua une érection immédiate et non dissimulable. Je me raclais la gorge.

– Sers les tasses, laisses-nous et va finir ce que tu faisais ! M’ordonna sèchement Gisèle exposant un instant à mon regard de vicelarde ses seins lourds, laiteux et recouvert de matière.

Il me restait effectivement quelques vitres à finir ! Quelques heures après j’ai retrouvé le café refroidi. Elles ne l’avaient pas bu. Et Bénédicte n’était plus là pour me faire une pipe…

Je suis resté une semaine chez mes employeurs, le vendredi j’ai demandé mes gages ne sachant pas si je reviendrais mais ne leur en parlais pas.

Il s’est passé pas mal de choses pendant cette semaine, je vous les raconterais peut-être si vous êtes sages.

En fait, je voulais vivre une expérience, pourquoi la prolonger, j’ai vécu ce que je voulais vivre, j’ai eu mon compte de châtiments corporels et d’humiliations diverses. Inutile de s’éterniser dans cette relation où tout risque de devenir répétition, et puis je ne suis pas soumis 24 heures sur 24 non plus !.

J’ai maintenant un autre fantasme, rencontrer d’autres travestis comme moi et faire des tas de petites cochonneries ensemble.

Fin

Au départ ce texte était une commande d’un travesti qui d’ailleurs se faisait appeler Martine et qui voulait que je rédige ses fantasmes. J’ai pondu deux épisodes, qui lui ont plu, puis un troisième qui ne lui a pas convenu. On a donc arrêté là. Je n’ai pas conservé le chapitre trois et j’ai remanié les chapitres 1 et 2. Bisous

Edvard Stokien 2000
eddy@vassilia.net

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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:45

Martine, la soubrette

par Eddy

 

Fetish

 

 

Chapitre 1 – Entretien d’embauche

Mauvaise nuit ! Et mauvaise année ! Il y a deux mois ma femme me quittait après avoir découvert ma malle secrète au grenier. Il était impossible qu’elle la découvrît et qu’elle en force le cadenas. Elle l’a fait quand même ! Je n’avais pas d’explications de prête. La crise a eu lieu. Nous aurions pu nous en sortir, mais j’ai été malhabile et comme toujours dans ces cas-là, on atteint une situation de non-retour. Elle est partie avec les gosses ! En contrepartie j’acquérais un peu de liberté, plus besoin de malle pour planquer mes affaires destinées à me travestir. Mais cette rupture m’a traumatisé. Je m’en veux de ne pas avoir eu le courage de lui avouer mes fantasmes. Et puis, voilà hier, convocation chez le grand patron : et le couplet de l’hypocrisie : La survie de l’entreprise passe par des réductions drastiques de personnel, votre départ est une perte pour l’entreprise, mais… et blablabla, foutu à la porte ! Je ne me plains pas, j’aurais mon salaire pendant un an, et la possibilité de ne rien foutre ! Et passé ce temps je saurais bien trouver une entreprise qui appréciera mes services.

Envie de ne rien faire aujourd’hui. Je branche le micro et je décide d’aller m’exciter tout seul en regardant les sites de travelos, mais je n’ai même pas le cœur au sexe. Avant de refermer, je décide d’aller voir un site de petites annonces coquines qui m’amuse…

…et soudain je tombe sur ça :

« Couple bon milieu cherche soubrette travestie ou transsexuelle »

Pourquoi pas ?

Je réponds et attends fébrilement la réponse sur ma messagerie, elle ne tarda pas à arriver. L’auteur de l’annonce m’envoie une espèce de grille questionnaire sur les pratiques que je suis ou non prêt à accepter, je dois à chaque fois dire oui, non ou modérément… je réponds tout de suite, me demandant avec anxiété si mes blocages sur certains comportements ne feront pas capoter ma candidature ! Mais non, je ne risque rien de tenter le coup et répond « oui » à toutes les questions sauf pour la scato ou je coche « modérément »

Une heure après nouveau mail :

– Je vous trouve bien délicat, mais cela devrait s’arranger, téléphonez-moi avant midi à ce numéro !

Je me précipite sur le combiné !

Le type au bout du fil me demande de venir en début d’après-midi, il faudra bien sûr que je vienne en travesti !

Il y a quelques mois, je serais monté au grenier, j’aurais pris mon sac de sport (censé m’accompagner à des séances de gymnastiques) et je serais allé m’habiller et me maquiller dans les chiottes d’un bistrot ! Mais maintenant je m’en fous, ce que pense les voisins ne m’intéresse pas, et je me prépare doucement, je commence par me doucher puis, je me rase de très près comme j’ai l’habitude de le faire non seulement le visage, mais tout le corps, je me rase ainsi le torse, le ventre, les bras, les jambes, les fesses, et même les couilles, laissant juste un peu de poil à l’endroit du pubis, j’enduis mon corps de crème afin qu’il soit doux et lisse ! Puis j’entreprends de me maquiller. Le plus dur c’est les yeux, mais j’ai acquis un certain coup de main, le visage ensuite, puis les lèvres ! Il me reste à me faire les ongles, je me les fais avec applications y compris ceux des orteils que je néglige habituellement. Je mets ma perruque blonde, je regarde l’image que me renvoi mon miroir, je suis belle. Je suis Marie-Pierre, une femme à bite, un travelo et j’en suis fier !

Je m’habille maintenant, je choisis un bel ensemble slip et soutien-gorge rouge, j’aime les sous-vêtements rouges, ça fait pute, si j’avais été une femme j’aurais été pute ! J’ai aussi un porte-jarretelles et des bas de la même couleur ! Super, j’ai des belles jambes, j’en suis fier, certaines femmes n’en ont pas d’aussi belles, je me tourne pour regarder mes petites fesses, machinalement je me glisse un doigt dans le trou, j’espère que quand je reviendrais, je me serais fait enculer par une bonne bite ! J’adore ça !

Je complète ma tenue par une minijupe noire et par un chemisier beige clair. Restent les chaussures, je ne mis suis jamais faites aux chaussures, ça reste un véritable enfer, j’essaie quand même une paire relativement assortie en espérant qu’elles ne me feront pas trop mal ! Et voilà, un peu de parfum, mon petit sac à main de poulette et je suis prête pour l’aventure.

Je marche un peu, je prend un café dans un bistrot où je n’ai jamais mis les pieds, cela m’excite d’observer les regards ambigus des gens !

Je prends le RER, puis le métro, puisque ma femme a aussi embarqué la voiture et que la seconde est en panne… c’est la première fois que je me travesti au départ de chez moi, je sens dans les transports des regards qui m’interpellent, mais personne de connu, et une fois arrivé à Paris je peux me fondre dans un anonymat plus rassurant ! Je déjeune d’un simple hot-dog, et arrive enfin. Et sonne au 3ème étage de cette maison bourgeoise du 15ème arrondissement. Un type 45-50 ans, sans un poil sur la caillou, m’ouvre !

– Vous êtes Marie-Pierre, entrez donc !

Le ton est jovial, ça ne devait pas durer !

– Nous verrons dans un instant si vous faites l’affaire, mais de toute façon, je vous paye votre journée d’aujourd’hui, et j’attends de vous la soumission la plus totale !

Et ce disant, il me balance un billet de 50 euros que je ramasse, bien évidemment.

– Bon ! Marie-Pierre est un trop joli nom pour une pétasse comme toi, je t’appellerai Martine, Tu es d’accord ?
– Oui, Monsieur !
– De toute façon, d’accord ou pas, c’est comme cela, Je te tutoierais, mais toi tu nous dois le respect, tu nous appelleras Monsieur et Madame en temps ordinaire et Maître et Maîtresse pendant les périodes de soumissions.
– Oui monsieur !
– Evidement tu as mis une culotte ?
– Oui monsieur !
– T’es vraiment nulle, se présenter à un entretien d’embauche en culotte ?
– Je n’y avais pas pensé !
– Tu aurais dû le deviner !
– Oui Monsieur !
– Tu vas être punie pour cela !
– Oui Monsieur !
– Retire-la !

Le maître m’arrache des mains la culotte que je viens de retirer et me la déchire ! Il est con, ce type, je l’avais payé cher, mais je suis là pour être dominé et humilié et ne dis rien !

– Bon maintenant enlève ta jupe, on ne t’as jamais dit qu’elle était ridicule ?
– Non, Monsieur !

blond.jpg 

J’enlève donc ma jupe, et me voici, la bite à l’air devant ce type ! La vue de ma queue le trouble, je le sens, mais il ne fera aucun commentaire. J’ai envie de m’amuser et je vais jouer à l’aguicher, je prends ma queue et attaque quelques mouvements de masturbation

– Qui t’as dit de te branler, petite salope ?

La gifle était complètement inattendue, mais il n’a pas voulu me faire mal, mais m’humilier, oui !

– Désolé, Monsieur, je pensais que…
– Tu n’es pas ici pour penser, mais pour obéir, t’as compris, petite pute ?
– Oui Monsieur !

Le type est excité, ça se voit au chevrotement de sa voix, et à son visage qui rosit légèrement. Il est vêtu d’une espèce de veste d’intérieur croisée qui m’empêche d’observer sa braguette… Il me tripote un peu les couilles sans aucune délicatesse comme si j’étais une marchandise, puis me caresse la verge. Il enlève sa veste, il a chaud, et je distingue maintenant la grosse bosse derrière la braguette !

– Tourne-toi.

Parade facile et prévisible ! Il me tripote à présent mon petit derrière.

– Martine tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu aimes te faire enculer ?

Il le sait bien, ça faisait partie du questionnaire, mais puisque cela fait partie du jeu, je réponds :

– Oui Monsieur ! J’adore ça ! Vous pourrez me le faire quand vous voulez !
– Bien sûr que je vais le faire quand je voudrais, petite salope !

Il m’introduit maintenant un doigt dans le cul, on ne peut pas dire que ce type soit un modèle de délicatesse ! Mais ça ne fait rien, j’aime bien me faire doigter le cul !

– Un peu étroit quand même !
– Je vous avais prévenu !
– Ne t’en fais pas, si tu restes à mon service, il va s’élargir !
– Ce sera avec grand plaisir !
– Je vois que tu deviens une petite garce obéissante…

Il retire son doigt, en constate l’état.

– Pas très propre tout ça !
– Vous ne m’avez pas précisé que je devais… euh…
– Ça ne me dérange pas, mais nettoie-moi cette merde.
– Euh, j’ai un kleenex…
– Non, lèche !

Ce n’est pas un problème, je lui lèche le doigt qui redevient vite tout propre

Ce disant, il n’en peut plus, il ouvre sa braguette, et sort sa queue, toute raide, elle me plait, elle est belle et le bout est tout violacé ! Un amour de bite !

– Suce ma queue, pétasse !

Je ne réponds pas, je saisis la verge d’une main et approche ma langue de son gland, je donne quelques coups de langue, sa pine a une odeur assez forte, ce qui est normal à cette heure, j’entoure le gland avec ma bouche et commence mes mouvements de succion tout en continuant à tamponner le bout avec la langue, j’adore sucer des belles bites !

– Arrête !

Il finit de retirer son pantalon et s’en va, je ne sais où.

– Attends-moi !

Bien sûr que je vais l’attendre, je ne vais pas m’en aller ! Il ne tarde pas à revenir, muni d’un préservatif ! Ça y est ! Je vais passer à la casserole, je ne pensais pas que cela arriverait si tôt. Il me fait pencher en avant en m’arc-boutant contre une table, Et le voilà qui pousse, ce connard m’a fait mal, il aurait fallu qu’il lubrifie avant, je crie un peu, mais il s’en fout, il finit par rentrer, j’ai réellement mal, et je me demande si je ne vais pas tout planter là et aller voir ailleurs des gens aux pratiques un peu plus douces, mais peu à peu la douleur disparaît pour faire place à ce plaisir trouble que je n’ai que trop peu connu. C’est bon je me laisse faire ! Il ne tarde pas à jouir en poussant un hurlement de sapeur !

– Et maintenant, à genoux devant moi et bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule.

Son urine n’est pas trop forte, mais le débit est puissant, j’en fous plein à côté.

– C’est bon tu es engagé pour un mois !
– Merci Monsieur !
– Tu commences demain… tu peux apporter tes affaires ! Mais avant tu me nettoies les saloperies que tu as fait sur le parquet.

Ah bon, je commence demain ! J’aurais bien commencé tout de suite…mais il est vrai que je n’ai rien apporté pour rester.

– Tu coucheras ici, ton week-end est libre sauf si je te retiens, à ce moment-là tu seras payé en supplément ! Si tu as envie de prendre l’air tu devras me le demander Mais sinon tu es mon esclave 24 heures sur 24 du lundi 9 heures au vendredi minuit !

Il me parle après de mes honoraires, j’accepte ses conditions, il n’est pas censé savoir que je ne fais pas cela pour le fric. Je remets ma jupe, mais quelque chose ne va pas, l’absence de culotte me gêne et j’ai l’impression que tout le monde va s’en apercevoir

– Euh, vous n’auriez pas une culotte, ou un slip à me prêter, parce que…
– Certainement pas, tu n’avais qu’à y penser avant, démerde-toi ! Maintenant fout le camp et soit à l’heure demain matin !
– Bien Monsieur !

Me voici dans la rue, j’ai horriblement mal au trou du cul, et j’ai vraiment l’impression d’être à poil, ma bite fait une bosse sous ma jupe, et je ne sais plus où me mettre, j’essaie de cacher tout cela en plaçant mon sac à main devant, mais ça me donne une attitude ridicule, Je suis rouge de honte, j’essaie de déambuler sur les trottoirs où il y a le moins de monde. J’aurais pu héler un taxi, mais l’humiliation de la situation m’empêche de réfléchir correctement. Et ce qui devait arriver arriva. Deux jeunes loubards me croisent :

– T’as vu le travelo ? Mate un peu ce pédé, il n’a pas de culotte !
– Trop nul le mec, on lui pique sa jupe ?

J’aurais réfléchi, je me serais rendu compte, que la rue n’étant pas déserte, ils n’auraient jamais mis cette menace à exécution, mais non, paniqué, je me mets à courir, pour m’apercevoir que… ma jupe se soulève quand je cours ! Je suis désespérée ! Je ne m’attendais pas à une honte pareille ! Je craque, je m’assois cul nu sur le bord du trottoir et je me mets à chialer comme une madeleine. Trop c’est trop, je souhaitais être humiliée, rabaissée, mais pas à ce point… des gens me regardent ! J’ai peur que quelqu’un appelle les flics ! Je panique de plus en plus !

– Vous avez un problème ?

C’est qui celui-là ? La situation est déjà assez compliquée comme cela, je m’enfuis au petit trop pour ne pas que ma jupe se soulève ! Des gens rigolent !

Un Monoprix ! Sauvé, je vais pouvoir m’acheter une culotte. Où est le temps où l’on pouvait faire des tas de choses derrière les porches des immeubles ? Maintenant il y a des digicodes partout… Je finis par me changer dans les toilettes d’un bistrot ! Ça va mieux ! Je m’assieds à une table et tente de rassembler mes idées. Je ne me vois pas rentrer comme cela dans mon coin en pleine heure de pointe. Alors je retourne au Monoprix, soulagée, m’acheter du maquillage, des sous-vêtements de rechange et autres bricoles…et je loue une chambre d’hôtel pour la nuit !

A 9 heures précises, je me pointe chez mes nouveaux patrons. Avant dans l’escalier, je retire ma culotte que je glisse dans un sac de voyage que j’ai acheté la veille. Le maître m’accueille :

– Bonjour Martine, je vois que tu es ponctuelle, bien vérifions tout cela.

Et ce disant, il soulève ma jupe, constatant qu’aujourd’hui je n’ai rien en dessous, il recommence à me tripoter la bite, je suis sûr qu’il n’avait aucunement l’intention de le faire, mais c’est plus fort que lui… Bien sûr, il me fait bander. Je suis sûr qu’il a envie de me la sucer. Mais il se reprend.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, Monsieur !
– Je devrais te punir pour cela !
– Comme il vous plaira, Monsieur !
– Bon je n’ai pas trop le temps ce matin, je vais te présenter à madame !

Il appelle donc son épouse ! Gisèle est une grande femme, la cinquantaine, assez forte sans exagération. Elle est habillée d’un tailleur beige assez strict. Ses cheveux bruns sont coiffés en chignon strict et elle porte des lunettes !

– Bonjour madame !

Elle ne daigne pas me répondre ! Elle tourne lentement autour de moi, en prenant un faux air dégoûté !

– Retire ta jupe !
– Oui madame !

Décidément c’est une manie dans cette maison… Me voici à nouveau le cul et la bite à l’air, et l’autre qui n’arrête pas de tourner, elle finit par s’arrêter, et soudain alors que j’étais loin de m’y attendre, elle me crache au visage.

– Tiens ! Sale porc ! Mon cadeau de bienvenue !

Il ne faut surtout pas que l’humiliation me fasse bander… Mais je ne peux pas m’en empêcher ! Elle s’adresse à son mari :

– Eh bien, je crois qu’on n’a pas fini de s’amuser avec cette petite tapette…

Puis m’adressant enfin normalement la parole :

– Bon, toi tu me suis, et je vais t’expliquer ce qu’on attend de toi !
– Bien madame, je peux remettre ma jupe ?
– Tu es très bien comme cela !

Je suivis donc ma maîtresse dans une autre pièce où elle m’expliqua :

– Tous les jours tu auras une liste de tâches ! Tu te débrouilles pour faire cela correctement ! Inutile de saloper le travail pour espérer être puni, cela ne se passe pas comme cela ici. Si tu ne fais pas l’affaire, ce n’est pas une punition que tu auras, mais tu seras foutu à la porte ! Cela dit ici tu n’es qu’une merde d’esclave et on sera amené à jouer avec toi et à te faire subir les pires traitements quand bon nous semblera ! T’as compris poufiasse ?
– Oui Madame !
– Je veux t’entendre répondre : « je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit ! »
– Oui madame, Je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit !
– On a tous les droits, si on veut de cravacher ou te chier dessus, tu n’as rien à dire.
– Oui madame !
– Quand nous aurons du monde tu t’enfermeras dans ta chambre et tu n’apparaîtras que si on a besoin de toi ! En ce qui concerne la tenue, voici un tablier de soubrette et une petite coiffe. Tu te mets ça immédiatement !
– Oui madame !
– Bon tu as toutes les vitres à nettoyer aujourd’hui, t’en as pour un moment, je vais te montrer où sont les produits, les chiffons et tout cela et tu vas commencer ! Mais avant je vais te montrer ta chambre

Je m’attendais à une espèce de geôle, mais non c’est une chambre normale, même si le décor est quelque peu spartiate.

– Bon voici ta chambre, tu vas pouvoir y installer tes affaires ! Mais tu dois savoir deux choses, la première c’est que si on a envie de te faire coucher ailleurs une nuit, on en a parfaitement le droit, la deuxième c’est qu’il ne faut pas te figurer que cette chambre sera ton petit coin tranquille ! Il n’y a pas de clé et nous avons la liberté d’y entrer à n’importe quel moment. Par contre, je veux que cet endroit demeure impeccable ! T’as compris salope ? Parce que si tu n’es pas d’accord tu peux encore te tirer maintenant, après ça va être plus compliqué !
– J’ai parfaitement compris madame !

Ma vie de soubrette commençait donc ce matin…

à suivre

Edvard Stokien © 2000

eddy@vassilia.net 


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Mardi 28 novembre 2000 2 28 /11 /Nov /2000 14:41

L'exorcisme de l'abbé Xavier

par Ursulin

 

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Avis à la population : J'aime bien développer des histoires à chutes. L'érotisme n'y est qu'une indispensable épice, l'humour en est une autre. Cela m'amuse et c'est mon truc ! Malgré tout, je me suis demandé, si je saurais écrire une histoire carrément porno. Alors je vous propose celle-ci

 

La scène représente un salon bourgeois. Sur la gauche un vaste divan. Au centre un tapis d'orient. A droite un petit guéridon. Au fond un placard à balais, entrouvert et uniquement occupé par un plumeau à poussière.

 

Prologue

 

Robert et Anne-Thérèse forment un couple qu'il faut bien qualifier de respectable ! Ne pouvant avoir d'enfants, ils consacrent une grande partie de leurs loisirs à des activités charitables. Pour rien au monde ils ne manqueraient la messe du dimanche où ils font tous deux partie de la chorale paroissiale. Sur les questions sexuelles ils défendent une ligne très papale, leur seul credo étant l'amour conjugal, tout écart en ce domaine ne pourrait être qu'œuvre démoniaque ! Mais ne croyez pas qu'ils s'agissent d'un couple de coincés ! Non ! Anne-Thérèse n'a pas peur de dire qu'un couple a parfaitement le droit de chercher la variété dans les rapports ! Et la pauvre Anne-Thérèse est même persuadée qu'elle défend des idées très hardies, tout cela parce que son mari et elle, pratiquent de temps à autres fellations et cunnilinctus ! Robert est comme tout le monde, cela le rassure, et s'il lui arrive d'avoir un chatouillement de braguette à la vue d'une belle fille, il s'efforce de combattre ce genre de pulsion. Quant à Anne-Thérèse, elle ne veut pas qu'on la catégorise comme une grenouille de bénitier, alors elle essaie parfois de s'habiller moderne, mais cela ne va guère loin ! C'est néanmoins une belle petite femme. Elle est brune, ses cheveux sont mi-longs, ses yeux pétillants de malice, et sa peau très blanche. Elle a une très forte poitrine qui tient très bien !

 

Robert ne travaille pas le lundi, il s'est acheté un micro tout neuf, Robert, mais ne sachant pas bien se servir de ce genre de chose, il a contacté une jeune femme par petite annonce, une étudiante qui justement donnait des cours de micro-informatique. Elle se prénomme Elodie, n'a pas encore 20 ans et elle a de très longs cheveux châtains clair, et un petit corps bien proportionné.

 

Comme tous les lundis sa femme Anne-Thérèse rentre vers 14 heures et c'est alors qu'elle vit cette incroyable scène sur le canapé familial :

 

Elodie couchée sur le canapé et pratiquement nue suçait avec application la bite de son mari qui naturellement se laissait faire et avait une grosse carotte enfoncée dans le trou du cul !

 

- Oh !

 

Alors Anne-Thérèse, hurla, menaça, invectiva, rouspéta, crisa, mais que nenni, que nenni, rien n'y fit !

 

C'était comme si les deux amants ne l'entendaient point.

 

Fanette, la femme de ménage vint rejoindre Anne-Thérèse, Fanette était une petite blonde un peu nunuche qui aurait pu être mignonne si elle avait daigné s'arranger un tout petit peu.

 

- Ben oui, il y a plus de deux heures que ça dure ! C'est le démon qui a fait cela, ils n'entendent plus rien !

- Le démon ?

- Oui et d'ailleurs je me suis permis d'appeler un exorciste !

- Un exorciste ?

- Oui ! Il va arriver d'une minute à l'autre !

- Bien, disparaissez ! Je vais m'occuper de cela toute seule, et merci encore !

- Je ne peux pas rester pour…

- Non !

 

Mais Fanette était une femme curieuse, elle n'avait jamais assisté à un exorcisme, et n'en aurait sans doute plus jamais l'occasion. Elle voulait voir ! Elle attendit qu'Anne-Thérèse ait le dos tourné et se faufila dans un étroit placard du salon, celui destiné à recevoir la planche à repasser

 

Scène 1

 

Le prêtre était un bel homme dans la force de l'âge, Anne-Thérèse le conduisit le jusqu'au salon et lui montra du doigt le couple maudit :

 

- Non ! Mais regardez un petit peu ! C'est Satan qui est venue nous pervertir parce que nous sommes un couple qui refuse de se laisser pervertir ! Il n'y a pas d'autres explications ! C'est une abjection ! N'est-ce pas ?

 

L'abbé Xavier n'avait que rarement eu l'occasion de mettre à exécution ses qualités d'exorciste, et en tous les cas jamais dans une circonstance aussi charnelle. Il ne put qu'approuver les propos de la femme, mais cela ne l'empêchait pas de porter un regard trouble sur cet infernal divan où ces deux créatures forniquaient contre nature !

 

- Une abjection, en effet ! Mais faites-moi confiance, les démons qui sont entrés ici ne sauront me résister !

 

Il s'en voulut de ce péché d'orgueil, car après tout rien ne prouvait qu'il réussisse !

 

- En tous les cas, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir ! Rectifia-t-il !

 

L'abbé sortit de sa mallette les ustensiles nécessaires à l'exorcisme. Il alluma ensuite des cierges qu'il disposa un peu partout dans le salon. Puis il prit un morceau de craie et traça à même la moquette un double demi-cercle symbolique enfermant le divan et ses hôtes. Enfin après s'être saisi d'un antique grimoire qu'il tendait ouvert dans sa main gauche, il projeta de l'autre main des gouttes d'eau bénites dans le cercle :

 

- Quittez le corps de ces personnes, esprits pernicieux ! Vas dns le métro, Satanas !

 

Mais d'autres démons devaient traîner dans la pièce, car le prêtre tout en récitant ces incantations ne pouvait s'empêcher de loucher vers le chemisier d'Anne-Thérèse, que la chaleur et l'émotion lui avaient fait déboutonner plus que de raison, et qui laissait deviner une paire de seins à damner un saint…

 

Scène 2

 

N'y tenant plus et perdant tout self-control, l'abbé posa ses mains sur le chemisier blanc d'Anne-Thérèse, et entreprit de lui peloter les seins, sans brutalité, mais sans équivoque ! Notre héroïne en fut si intriguée qu'elle mit quelques temps à réagir. Son éducation ne pouvait admettre qu'un prêtre ne fut pas un saint homme. Elle ne se choqua donc point mais demanda timidement.

 

- Cela fait-il partie de l'exorcisme ?

- Précisément je dois appliquer mes mains sur vos avantages afin d'éloigner toute manifestation de Satan !

 

Etait-ce parce que le lieu était envoûté, ou était-ce par un excès de confiance envers le père Xavier ? Toujours est-il que les caresses explicites de ce dernier commençaient à envoyer des ondes de désirs dans le corps d'Anne-Thérèse. Et constatant que l'entre jambe du prêtre se modelait d'une bosse vivace, elle porta un regard interrogateur à l'homme d'église :

 

- Laisse aller tes pulsions mon enfant ! Nous sommes en situation exceptionnelle. Il faut vaincre Satan sur son propre terrain, le mal par le mal, le péché par le simulacre du péché

 

Elle ne fut pas sûre de comprendre complètement cet obscur charabia, mais toujours est-il que c'est avec une étonnante spontanéité qu'elle sortit alors la bite de l'abbé Xavier et qu'elle entreprit de lui tailler une pipe avec une passion toute dévote !

 

Scène 3

 

Sans qu'il sache dire comment cet évènement avait pu se produire, l'abbé Xavier s'aperçut qu'il était à présent à l'intérieur du cercle infernal, ce cercle qu'il était normalement chargé de briser !

 

Il était là sur le canapé, la bite à l'air en train de se faire divinement (oh !) sucer par Anne-Thérèse, tandis que juste à côté, Robert se faisait faire la même chose par Elodie.

 

Fanette, elle, était sortie de son placard, et les yeux hagards, et le torse dépoitraillé, elle se masturbait violemment en s'introduisant le manche d'un plumeau dans sa chatte !

 

Puis Robert pénétra Elodie qui ne pouvant rester la bouche inoccupée s'empara de celle de l'abbé, tandis qu'Anne-Thérèse lui caressait les couilles

 

C'est à ce moment qu'un léger courant d'air apporta avec lui de culinaires effluves. Un plat que Fanette avait fait mijoter. Instinctivement notre abbé s'en lécha les babines, tandis qu'il essayait d'en deviner la nature exacte.

 

- De la ratatouille probablement !

 

Par association d'idée, il se remémora certaines formules farfelues, qu'on lui avait communiquées pendant sa formation. Il se souvenait qu'on lui avait dit que certaines d'entre-elles étaient si efficaces sous leur aspect grotesque qu'il y avait souvent grand danger à les employer.

 

- Si j'essayais !

 

Et devant l'assistance médusée notre abbé fit cette docte injonction en désignant Elodie d'un doigt accusateur :

 

- Ratatouille ! Je te transforme en grenouille !

 

Il faut croire que la formule était la bonne, car instantanément, la lumière baissa, les rideaux se mirent à virevolter comme victime d'un vent invisible, la température de la pièce chuta de plusieurs degrés. Et, Elodie transformée en batracien s'échappa en bons successifs, pour finir par atteindre la fenêtre et disparaître dans le vert gazon du jardin.

 

L'incident troubla l'abbé, qui ne s'attendait certes pas à un tel résultat, il resta interdit, tandis qu'Anne-Thérèse reprenait sa fellation un moment interrompue. Robert quant à lui semblait avoir oublié jusqu'à l'existence d'Elodie et entrepris de sucer la chatte de son épouse avant de la pénétrer en levrette.

 

Scène 4

 

Anne-Thérèse reprit un instant ses esprits. La première chose qu'elle fit fut d'inviter sèchement Fanette à débarrasser le plancher, puis elle abandonna l'abbé ! Elle estimait à ce moment-là qu'il fallait qu'elle se rapproprie son mari, au comportement un moment égaré, et cela sans fioritures ni fantaisie extérieure à leur couple.

 

Robert la besognait avec une fougue et une bestialité inhabituelle faisant se tortiller d'extase son épouse. En même temps il lui massait les seins, ces gros seins douillets qui se balançaient violemment à chaque poussée du membre bandé. L'abbé Xavier contemplait la scène avec intérêt !

 

- J'ai réussi ma mission ! Se dit-il avec fierté ! Maintenant tout est rentré dans l'ordre, la ferveur conjugale brûle à nouveau entre le mari et la femme. C'est même un vrai brasier !

 

Scène 5

 

Le couple revint sur le canapé pour s'y reposer quelques instants. Anne-Thérèse prenait soin de masturber son mari afin que son érection ne faiblisse pas. Son regard s'égara un instant sur la pine de l'abbé. Il lui sembla alors injuste que ce saint homme qui venait de sauver son couple ne bénéficie pas lui aussi de sa main habile. Et voici notre Anne-Thérèse qui masturbe les deux hommes. Et tandis que son mari lui tripotait la chatte, l'abbé lui tripotait les nichons. Ce dernier ne réalisait plus très bien. Trop de choses venaient de se produire en si peu de temps. Alors il osa demander :

 

 

Anne Therese

 

 

- Anne-Thérèse, sucez-moi encore, je veux encore sentir votre bonne langue me titiller la pine !

- Mais comment ? L'exorcisme n'est-il point terminé ?

- Non ! Le démon est parti, mais il rode autour de la maison. Nous devons éliminer ses moindres traces et le déstabiliser en mimant les actes interdits !

 

Anne-Thérèse eut pour la première fois l'ombre d'un doute sur les motivations profondes de l'homme en soutane, mais exauça néanmoins son désir et tandis qu'elle chevauchait la pine de son époux, elle suçait avidement la queue fièrement dressée de l'exorciste.

 

Scène 6

 

Anne-Thérèse jubilait ! Un déclic s'était produit, elle venait de découvrir que varier les plaisirs de la chair peut apporter une extase insoupçonnée ! Il lui faudrait sans doute plusieurs jours pour analyser tout cela, mais il lui semblait que continuer à militer pour une vertu décalée en compagnie d'hypocrites était un exercice bien vain ! Hypocrite ! L'abbé ! Certes ! Et son mari ne valait guère mieux ! Restait cette étonnante grenouille ! Il faudrait qu'elle réfléchisse ! Qu'elle réfléchisse ! Oh sa pauvre tête tournait ! Demain les questions ! L'orgie est là ! Replongeons dedans !

 

- Votre pine est aussi bonne que celle de mon époux ! Murmurât-elle en soupirant. Il est vraiment dommage que vous ne l'ayez pas utilisé pendant si longtemps ! Ajouta-t-elle, moqueuse !

 

L'abbé Xavier avait autre chose à faire que d'analyser les curieuses allusions d'Anne-Thérèse et comme lui aussi voulait profiter jusqu'au bout de la situation il se mit à lécher avec application la chatte dégoulinante de son hôtesse.

 

Scène 7

 

Elle voulait savoir jusqu'où irait le prêtre, mais surtout, elle voulait savoir jusqu'où elle-même irait. Alors, abandonnant un instant sa fellation, elle chevaucha l'abbé Xavier, occupant sa bouche insatiable à sucer la pine de Robert.

 

Scène 8

 

L'abbé Xavier se sentait maintenant prêt à jouir. Il voulut le faire dans la bouche d'Anne-Thérèse. Celle-ci n'eut que quelques mouvements de fellation à accomplir avant que le sperme chaud ne s'écoule dans son gosier. Peu habitué à ce genre de chose, elle en recracha un petit peu s'en dégoulinant le menton.

 

Elle se coucha alors par terre, releva à demi les jambes, récupéra le plumeau qu'avait abandonné la femme de ménage et entrepris de se le pénétrer en criant de rauques :

 

- Encore ! Encore !

 

Effrayé par la tournure des événements, et le désir étant retombé le prêtre se rhabilla très vite, bredouilla quelques incompréhensibles paroles et s'en fut !

 

Le rideau tombe sur la scène, mais la pièce n'est pas finie !

 

Epilogue

(Se joue à rideau fermé !)

 

L'abbé Xavier est sur le chemin du retour, il s'approche du presbytère, et plaçant machinalement sa main dans sa poche il sent quelque chose de froid et de vivant. D'abord affolé, il sort la chose et découvre une belle grenouille :

 

- Embrasse-moi beau brun et je te ferais connaître l'extase !

 

Alors l'abbé hésite, il regarde autour de lui, la rue est vide, il rebrousse chemin !

 

- Alors beau brun, tu ne veux vraiment pas m'embrasser, je suis la reine du sexe !

- Si ! Si ! Mais d'abord je cherche un petit hôtel tranquille !

 

© 2000 Ursulin Neveway

pi_31416@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Mardi 28 novembre 2000 2 28 /11 /Nov /2000 11:49

Robert au confessionnal

par Ursulin

 

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Commune de Boulignac - Centre de la France - Printemps 1999

 

Jean-Pierre était fatigué. La vie de curé de campagne commençait à lui peser, des allers et retours entre cinq paroisses différentes, les messes où les gens se rendaient par habitudes, (ou surtout pour qu'on ne puisse pas dire qu'ils n'y allaient pas) qui ressemblaient plus à une corvée qu'à autres choses, les mariages, les baptêmes et toutes les beauferies qui vont avec, les enterrements et leur cortège d'hypocrisie. Mais le pire c'était peut-être la confession, il y avait ceux qui venaient se confesser pour des queues de cerises et qui n'en finissait pas de radoter des banalités, et puis il y avait ceux qui avaient quelque chose à dire, et ce n'était jamais très beau, les rancœurs de voisinage, les ragots, les cancans, les complots de campagnes et les querelles de foire aux bestiaux, et puis bien sur les éternelles coucheries. C'était de toute façon toujours la même chose, ils racontaient leurs salades, il leur donnait l'absolution, et un mois après rebelote, même confession, même punition. Il en venait à s'interroger sur l'efficacité de cet étrange sacrement.

 

Justement aujourd'hui c'était le jour des confessions. Quand faut y aller, faut y aller ! Jean-Pierre fut étonné d'y trouver cet homme qu'il n'avait jamais vu.

 

- Bonjour, mon fils, je ne vous ai jamais vu !

- Robert H…-Je ne suis pas d'ici !

- On m'a parlé effectivement de deux messieurs de Paris qui travaillerait pour quelques temps à la ferme du Père Daniel !

- Oui ! Nous resterons deux mois !

- Est-il indiscret de vous demander les raisons de ce séjour, avant de commencer la confession ?

- Nous sommes informaticiens, quand le père Daniel est décédé, ses fils ont voulu informatiser un petit peu la comptabilité de l'exploitation. Ils ont demandé un test an 2000 auprès de notre société. Effectivement il faudra deux mois, pour rendre compatible tout cela avec l'an 2000. !

- 2 mois à deux personnes pour ça !

- Oui ! Mon père !

- Ecoutez, je fais un peu de micro-informatique pendant mes rares heures de loisirs. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut tout ce temps-là !

 

Robert décida de ne pas mentir, après tout il parlait à un confesseur.

 

- Bien sûr que non, à la limite en une heure son machin aurait été à niveau, mais ma société lui a fait un devis de 40 jours de travail et les fils Daniel l'ont accepté et signé !

- Mais c'est du vol !

- Oui !

- Et c'est de ça que vous venez vous confesser ?

- Non mon père, car je ne me sens nullement coupable !

- Vous êtes au moins complice !

- Admettons !

- Alors cette confession ?

- Il s'agit de péché de chair !

- Dites-moi tout !

- J'ai couché avec une femme, j'ai donc commis le péché d'adultère !

- Avec une femme du village ?

- Absolument !

- Pouvez-vous me préciser avec quelle créature vous avez commis ce péché ?

- Si vous me le permettez, je préférais taire ce détail

- Mon fils, vos propos sont couverts par le secret de la confession !

- J'entends bien, mais je ne le souhaite pas, peut-être changerais-je d'avis tout à l'heure !

- Avez-vous effectué des pratiques interdites par l'église ?

- Oui ! Bien sûr !

- Comment ça ? bien sûr ?

- Ecoutez mon père, plutôt que de continuer dans les questions réponses, je préférerais vous raconter mon histoire à ma façon, ainsi, nous serons sûrs de ne rien oublier

- Je vous écoute :

- Nous étions là depuis deux jours, et mon collègue devait faire un bref aller-retour à Clermont-Ferrand, n'ayant rien de prévu cette après-midi, je me suis décidé à aller faire un petit tour dans les environs. Au bout d'une heure, je rencontre une belle jeune femme, je l'aborde et lui demande s'il y a des choses intéressantes à voir dans le coin, elle me répond gentiment, m'indique quelques curiosités à visiter, me raconte plusieurs anecdotes. Elle est très gaie, très enjouée. Je la complimente sur sa façon de s'exprimer, on fait un peu plus connaissance, je lui dis qu'elle a beaucoup de charme, elle me répond que moi aussi. Heu ! Je m'excuse de vous donner tous ces détails !

- Je vous en prie continuez !

- Je lui propose assez innocemment de nous asseoir sous un arbre afin de continuer notre bavardage et de nous reposer un instant, elle accepte avec enthousiasme…

- Vous ne voulez toujours pas me dire qui c'est ?

- Pas encore ! Une fois sous l'arbre, nous nous asseyons, je prends prétexte d'une improbable poussière sur sa joue pour lui enlever, et j'en profite pour lui caresser le visage, elle se laisse faire, elle sourit, je m'approche d'elle et je l'embrasse chastement d'abord, puis constatant qu'elle n'est point farouche, je lui roule un patin, mes mains descendent sur son corsage. J'en dégrafe les boutons, et j'ouvre le vêtement découvrant un soutien-gorge bien rempli !

- Certains détails ne sont peut-être pas nécessaires !

- Je crains que si ! Je lui pelote les seins d'abord à travers le soutien-gorge, puis, je glisse mon doigt dans la dentelle, puis un autre doigt de façon à faire sortir le sein ! Elle a de larges aréoles, terminées par de grosses pointes turgescentes !

- Mon fils !

- Je les tripote un peu, puis, je les suce, elle est aux anges !

- Ne serait-ce point la fille du garde champêtre ?

 

Robert fait semblant de ne pas entendre la question du curé et il continue son récit.

 

- La fille, ne voulant pas rester passive, me met la main à la braguette, bien sûr mon engin est tout dur, elle me débraguette avec une étonnante dextérité, en extrait ma pine qu'elle gobe dans sa bouche après l'avoir branlé quelques instants.

- Les détails trop crus ne peut-être pas nécessaires !

- Soudain, elle s'arrête, et m'indique qu'il faudrait mieux aller un peu plus loin, dans un coin ou personne ne pourrait nous voir. On se rhabille un petit peu et on y va. Effectivement il y a en contrebas, un petit bosquet qui me paraît bien tranquille. " On va se mettre ici me dit-elle ! " L'endroit me paraît confortable, le sol est recouvert d'un tapis de mousse. Je me rassieds, je pensais qu'elle en ferait de même, mais elle m'indique qu'elle a une petite envie de pipi, et me demande si je veux voir. Je lui réponds que bien sûr, je veux voir.

 

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- Vous avez exprimé le désir de la voir uriner devant vous ?

- Parfaitement, mon père !

- Elle paraissait très excitée, et elle a enlevé sa robe et sa petite culotte, elle avait une toison pubienne très abondante, cela m'a un peu étonnée

- Passons…

- Et alors elle s'est baissée et elle a lâché son petit pipi, enfin quand je dis petit ! Elle avait en fait une très forte envie, ça n'arrêtait pas. Je l'ai remercié pour le spectacle. Elle m'a alors demandé si j'avais envie, moi aussi, car elle aimerait bien me regarder pisser, je lui ai dit oui. J'ai sorti ma bite…

- Votre verge ! On dit une verge !

- Si vous voulez ! Et elle s'est mise à me la tripoter pendant que je pissais. C'est diabolique ce truc !

- Laissez le diable tranquille aujourd'hui s'il vous plait. !

- Et puis un moment, elle a fait une chose très, comment dire très osée, très spéciale, très vicieuse. Elle s'est carrément placé son visage devant mon jet et elle s'est aspergée, n'hésitant pas à en avaler quelques gouttes. Elle sembla apprécier !

- Dites-moi ! S'agirais-t-il de la fille de l'instituteur ?

 

Une nouvelle fois Robert fit semblant de ne pas entendre la question et continua son récit.

 

- Elle finit de se déshabiller. Sa peau était très blanche, seul le visage et les avants bras étaient halés par le soleil, elle ne devait pas souvent aller en vacances à la plage, elle s'amusa à faire quelques petits pas de danse pour me faire admirer son corps, ses seins un peu lourds étaient magnifiques, mais elle avait surtout un joli petit cul, je le pris à pleines mains pour le malaxer un peu. " Hum ! j'aime qu'on me tripote les fesses " disait-elle

- Epargnez-moi les dialogues !

- Elle me dit par taquinerie qu'elle n'était décidément pas sage et qu'elle méritait la fessée. Entrant dans son jeu, je lui demandais si elle en voulait une, et comme elle me répondit " oui ", je lui donnais quelques petites claques sur le cul, sans brutalité bien sûr, mais son fessier devint malgré tout très vite rouge comme un coquelicot.

- Mon dieu !

- Quand elle en eut assez, elle s'allongea alors sur le sol, et me demanda de venir la rejoindre, nous nous sommes alors placés en soixante-nef, et pendant qu'elle me pratiquait une pipe experte, je lui broutais son minou encore dégoulinant d'urine. Je la fis jouir assez rapidement, mais en ce qui me concernait, je souhaitais la pénétrer. Le problème c'est que je n'avais pas de préservatif, et elle s'y opposa, j'allais lui proposer alors qu'elle me suce à fond, quand elle m'offrit gentiment de finir dans son petit trou, à condition toutefois que ce soit elle qui dirige les opérations (comme elle disait). Je me couchais donc sur le tapis de mousse, et elle s'empala sur ma bite, contrôlant elle-même l'introduction. J'éjaculais dans son cul quelques minutes plus tard. Voilà

- C'est fini !

- Ben oui ! Après elle ramassa ses petites affaires, se rhabilla. Je fis de même ! Elle me dit que maintenant il fallait qu'elle y aille, elle me fit un petit bisou sur le bout du nez, et on est allé chacun de son côté !

- Et c'était qui ?

- Non, mon père je ne peux pas vous le dire ?

- Ah ! Mais bien sûr ! C'est la charcutière ! C'est cela c'est la charcutière ?

- Je ne vous le dirais pas !

- Comprenez que dans ce cas je ne puis vous donner l'absolution, vous êtes en état de péché mortel…

- Au revoir, mon père !

- Mais ne partez pas ! Je…

 

Mais déjà Robert s'était levé et franchissait le seuil de l'église. Sur un banc, dans le petit square en face son collègue l'attendait en lisant un magasine

 

- Alors ?

- Alors, ça y est j'ai dégoté trois super bonnes adresses !

 

© 2000 Ursulin Neveway

 

 

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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