Dimanche 14 mai 2000 7 14 /05 /Mai /2000 13:56

Rendez-vous avec Blanche-neige

par Nicolas Solovionni

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Dire que j'étais devenu l'amant de Sandrine serait exagéré. On ne devient pas l'amant de quelqu'un qui, certes se déclare bisexuelle, mais qui en fait privilégie les relations avec les autres femmes. Malgré tout, jamais elle ne souhaitait s'attacher et son caractère sauvage et indépendant la conduisait à préférer le célibat à toute forme de vie en commun.

 

Nos relations avaient néanmoins dépassé le stade la simple complicité. Nous sortions à peu près tous les quinze jours ensemble. La soirée se terminait en interminables bavardages. Et quand épuisé, il fallait bien s'arrêter, c'était pour se rendre compte qu'il était vraiment très tard et qu'après tout je n'avais qu'à rester coucher chez elle. Oh ce n'était pas le super délire ! Elle qui adorait les mises en scènes, trouvait alors que l'heure ne s'y prêtait plus. Et donc, après quelques préliminaires qu'elle allait même jusqu'à parfois abréger, elle me chevauchait telle une Walkyrie, jusqu'à ma jouissance. Il fallait pour la sienne qu'ensuite je la lèche et que je la suce, mais cela n'était bien sûr pas une corvée.

 

Elle avait cessé toute activité régulière et placé son argent dans une petite affaire qui lui permettait de vivre raisonnablement ! Malgré tout elle avait gardé des contacts, notamment dans le milieu artistique. S'étant mise au défi de réaliser les fantasmes de n'importe qui, y compris les plus compliqués et les plus délirants, elle se fit rapidement dans ce domaine une réputation et parfois elle me racontait ses séances avec des personnalités connues dont elle me cachait le nom mais que je devais essayer de deviner en pratiquant le jeu des questions et des réponses. Je finissais par trouver, par élimination on trouve toujours :

 

- Non pas lui ! Je n'y crois pas !

- Puisque je te le dis !

 

Parfois les scénarii qu'elle réalisait réclamaient la présence de figurants plus ou moins actifs ! Elle me sollicitait de temps à autres. Cela me permettait de rencontrer dans d'inattendues circonstances des gens que j'avais aperçus la veille sur l'écran de mon téléviseur.

 

Cela me permit (mais cela n'est que parenthèses) de me révéler un peu plus l'hypocrisie ambiante car si voir certains ici m'amusait sans que je n'y trouve matière à tourmenter mon esprit, la présence d'autres me déclenchait des montés d'adrénalines et l'envie de péter un ou deux plombs en leur criant !

 

- Alors connard ! Tu crois vraiment que ton attitude correspond au personnage que tu incarnais hier soir !

 

Ce soir-là, Sandrine m'avait appelé en catastrophe, une défection de dernière minute dans son casting. Il lui fallait absolument un septième personnage.

 

- Je suis donc une vielle roue de secours !

- Non absolument pas, je ne t'ai jamais considéré comme ça, mais rends-moi ce service, je te le revaudrais ! Tu ne seras pas perdant !

 

Sur ce dernier point je savais pouvoir lui faire une absolue confiance ! Je me pointais donc chez Sandrine, ou plutôt dans ce qu'elle appelait avec amusement son " atelier professionnel " du 9e arrondissement

 

- Tu es en retard !

- Oui !

 

Je ne lassais pas d'admirer la beauté un peu sauvage de Sandrine, plus grande que la moyenne, sans être une géante, une belle poitrine tenant sans effort malgré sa quarantaine, une peau duvetée qu'un léger hallage rendait luisante au soleil ! Et surtout ce sourire, ce sourire de femme conquérante, qui parlait tout seul et avait l'air dans un murmure de nous dire :

 

- Cause toujours, je fais ce que je veux, c'est moi qui commande !

 

Elle avait passé au privé l'essentiel de ses activités de dominatrice mais savait en garder ce qui l'arrangeait…

 

- Et c'est quoi le délire de ce soir ?

- Dépêche-toi donc ! Déshabille-toi et déguise-toi avec ces trucs.

 

J'obéissais ! Il est difficile de ne pas obéir quand Sandrine m'ordonne quelque chose, je me déshabillais donc, enfilait une sorte de culotte de pyjama, sans rien en dessous, puis un tee-shirt. Je ne compris pas tout de suite pourquoi celui-ci portait cette inscription, " Grincheux " Pourquoi Grincheux ? Je n'ai rien d'un grincheux… quoique…

 

- Bon ! Tu te magnes !

- Il reste quoi ?

- Le masque !

 

Et, oui Le masque, un masque de nain, avec bonnet et barbiche incorporée, il fallait donc ce soir que je joue au nain, le thème était donc Blanche-neige

 

- Bon c'est très simple, tu vas facilement reconnaître qui c'est. Son fantasme ce soir c'est la douche blanche ! Vous allez vous masturber et jouir sur elle ! Mais avant tu lis ce scénario à toute vitesse et une fois sur place tu te mettras à côté de " Timide ! "

- Mais pourquoi, si j'ai envie de me mettre à côté d'Atchoum !

 

Mais ce soir Sandrine n'était pas d'humeur à écouter mon humour !

 

- - Dépêche-toi, je ne veux pas rater ma séance ! OK ?

 

Je lus le truc aussi vite qu'il m'en était humainement possible, haussait les épaules à cette histoire de fou, et fit signe à Sandrine que j'étais prêt. Elle me poussa alors dans une minuscule salle ou je retrouvais mes six collègues d'un soir. Nous avions l'air fin tous les sept dans cette pièce trop petite pour nous, à la limite du ridicule, puisque devant jouer des nains, l'un d'entre nous était un gaillard d'un mètre quatre-vingt-dix environ, mais l'attente ne dura pas.

 

Il fallait ensuite entrer dans la pièce contiguë en farandolant sur l'air de " Aie Ho ! Aie Ho ! On rentre du boulot ! "

 

Blanche-neige était là sur son fauteuil ! Je la reconnu bien sûr, peut-être pas un personnage de premier plan, n'empêche qu'on peut la voir toute les semaines sur nos lucarnes… Belle, magnifiquement coiffée et maquillée, sans loup sur le visage comme trop d'autres habitués de ces lieux ! Vêtue d'une robe bleue que je trouvais bien simple, elle me paraissait plus grande qu'à l'écran…

 

Il fallut danser autour d'elle en gesticulant, en grimaçant, et nous le fîmes tant et si bien que notre Blanche-neige éclata d'un fou rire non prévue qui se révéla vite communicatif.

 

Une voix au micro : celle de Sandrine.

 

- Les nains mettez-vous dans l'ordre !

 

Je me plaçais donc à côté de Timide. Le premier était Prof, il s'avança vers Blanche-neige, lui fit une révérence et s'approcha d'elle, puis, lui attrapa la main avec des trésors de délicatesse et la lui baisa, il la fit ensuite lever de son siège, puis se plaçant derrière elle dégrafa la fermeture de sa robe qui du coup tomba à ses pieds. Blanche-neige était maintenant en sous-vêtement aussi bleus que sa robe, Sa belle poitrine n'était que symboliquement cachée par le petit trésor de dentelles qui l'enveloppait. Simplet eu l'ingrate tâche de la libérer de ses escarpins. Dormeur dégrafa l'un des bas du porte-jarretelles et le retira avec d'infinies précautions comme s'il déshabillait une poupée en porcelaine qu'il craignait de briser. L'autre bas fut pour Joyeux, ce gredin trichait effrontément car contrairement aux instructions il en profitait pour caresser d'un doigt la chair de la cuisse de la belle. Atchoum eu droit à l'enlèvement du porte-jarretelles, ce qui n'est reconnaissons-le guère passionnant.

 

J'avais donc décroché le gros lot puisqu'il me revint l'insigne honneur d'être celui qui retirerait son soutien-gorge ! L'une des agrafes était plus ou moins coincée et j'eu un mal du diable à parvenir à mes fins, je craignais le ridicule, mais non, l'ambiance était rigolarde et bonne enfant par cette soirée d'automne ! Je libérais enfin ces deux globes laiteux et un peu lourds, terminés par d'adorables tétons bruns qui déjà se redressaient d'excitation contenue. Mon excitation personnelle ne se portait pas trop mal non plus ! Enfin Timide eu droit à l'ultime faveur et lui retira sa minuscule culotte en dévoilant une chatte que je n'aurais imaginée rasée d'aussi près !

 

Nous devions reprendre nos gesticulations, à ce moment-là, ce que nous fîmes, j'en profitais pour découvrir le cul de Blanche-neige et ce joli popotin blanchâtre et charnu ne me laissa pas indifférent.

 

Celui qui tenait le rôle de Prof tendit une serviette de bain sur le sol, et Blanche-neige s'y allongea. Stoppant nos danses, nous nous sommes installés autour d'elle. Au signal de Prof nous nous sommes alors débarrassés de nos bas de pyjamas, nous retrouvant donc, la bite à l'air !

 

Alors très lentement nous nous mîmes à tourner, au fur et à mesure que l'un d'entre nous arrivait à portée de sa main droite, elle s'emparait de sa bite et la maintenait quelques secondes dans sa main, sans rien faire, attendant simplement qu'à ce contact charnel, elle grossisse, puis elle esquissait un bref mouvement de masturbation. Quand nous fûmes passés tous les sept entre ces mains, la ronde stoppa, et nous nous sommes mis à nous masturber ! Timide m'attrapa alors ma queue pour la branler à ma place, je lui rendis la pareille puisque Sandrine tenait tant à offrir ce petit "plus" à cette chère Blanche ! Je me souviens que c'est Joyeux qui éjacula le premier, suivi de Dormeur, les autres suivirent rapidement. Avec Timide, nous avions pris du retard, et reprenant nos engins respectifs nous entreprîmes de conclure l'affaire, je fus le dernier et mon jet de sperme lui atterrit entre les seins, endroit déjà bien arrosé !

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La Blanche-neige était alors recouverte de sperme. Prenant ses deux mains, elle s'étala toute cette semence sur son corps, ses seins, son ventre, son nombril, ses cuisses, puis bien sûr son sexe, ses doigts étaient gluants de sperme, elle se les lécha, sa respiration devenait saccadée, déjà elle n'était plus là ! Très vite elle attaqua son clitoris, tandis que sa cyprine dégoulinait littéralement d'entre ses cuisses. Elle jouit très vite en convulsant son corps et en poussant un hurlement de plaisir qui dû s'entendre jusqu'à l'arrondissement voisin !

 

Elle se releva ébouriffée, et eu ce geste étrange de se couvrir le corps avec la serviette de bain !

 

Manifestement elle attendait quelque chose !

 

Sandrine arriva lui présentant un plateau d'argent sur lequel était posé le téléphone. Alors Blanche-neige prit le combiné et nous fûmes tous témoin de cette étrange communication téléphonique

 

- Allo ! Devine ce que je viens de faire !

 

Et de raconter la scène dans ses moindres détails. Mais voici qu'elle jette la serviette, qu'elle se pinçote les tétons, qu'elle se rebranle et qu'à nouveau elle jouit en hurlant !

 

- Bon ! Je prends une douche et je disparais, je vous remercie tous, vous avez été super ! Je vous ai prévu du champagne, ne vous gênez pas pour trinquer à ma santé !

 

Et en plus elle est sympa ! Bien sûr que nous allons trinquer !

 

Nicolas Solovionni © 2000

 

nikosolo@hotmail.com

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Mardi 2 mai 2000 2 02 /05 /Mai /2000 11:54

Le Bar à Travelos

par Eddy

 

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C'est en discutant sur Internet que j'ai eu connaissance de cette adresse, il s'agissait d'un restaurant de quartier à Paris. Travaillant avec une clientèle de bureau, il fermait le week-end. Et le samedi soir se transformait en "boîte à travelos"...

 

Il y a longtemps que je rêvais de réaliser mes phantasmes avec des transsexuelles. C'était l'occasion ou jamais. Je m'y rendis donc. Arrivé sur place je m'acquittais du prix demandé, et première surprise le préposé à l'entrée m'en demande le double. Comme je m'en étonne, il m'explique que l'entrée simple ne donne pas droit à l'entrée de l'arrière salle, là où ont lieu les débats les plus hards, me dira-t-il ! Bon ! Je ne vais pas reculer maintenant... Je paye, le gardien me colle deux coups de tampons sur le dos des mains et j'entre.

 

Il doit y avoir une trentaine de personne, peu de transsexuelles, mais les quelques-unes présentes sont des merveilles. Je saurais plus tard leurs noms L'une d'entre elle (Lisa) de race noire trône au bar sur un haut tabouret, elle est vêtue d'une robe super décolletée et très moulante, fendue sur le côté, elle discute avec une copine à la peau plus claire (Vanity) qui elle est vêtue d'une mini-jupe et d'une sorte de mini pull noir à large maille ne cachant rien de sa merveilleuse poitrine. Un peu plus loin une autre coiffée de ravissantes boucles blondes (Christy) est habillée en pantalon vert fluo qui lui moule les fesses, le haut étant constitué d'un corsage en voile noir semi-transparent.

 

Inutile de vous dire que ces visions de rêve m'excitent au plus haut point. J'ignore comment les choses se passent, ici, et je décide de m'attabler en attendant la suite.

 

- Vous permettez que je m'installe près de vous ?

 

Allons, bon ! Qui est ce casse-pieds, il ne s'agit pas d'un transsexuel, mais d'un travesti, j'espère que je ne me suis pas fait avoir en pénétrant dans une boite à entraîneuses, le genre d'établissement ou on vous fait consommer très cher en vous promettant la lune et en ne vous donnant rien...

 

- Qu'est-ce qu'il fait chaud ce soir ?

 

Voilà qui s'appelle avoir de la conversation ! Je décide d'avoir une attitude de grognon pour faire partir l'indésirable, mais je me dis qu'après tout je vais pouvoir me renseigner sur les habitudes du lieu, quitte à lui demander d'aller voir ailleurs, si ça ne tourne pas comme je veux !

 

- Je suis nouveau et je suis un peu perdu ! L'informais-je.

- Je vois bien ! Alors vous me trouvez comment ?

 

Il faut dire que le type est superbement maquillé, il manque malgré tout le petit truc en plus, qui fait que si les transsexuelles m'excitent presque toujours, les travestis m'attirent beaucoup moins. Mais un certain trouble commence à m'envahir. Le type me raconte un tas de banalité... qu'il a dû refaire deux fois son maquillage, que ses chaussures neuves lui faisaient mal... Malgré tout, il est plein d'humour, et en plus il a un sourire désarmant. Sa conversation est soudain interrompue par un immense éclat de rire. C'est Lisa, la grande transsexuelle noire qui se marre comme une bienheureuse, tous les regards se tournent un instant vers elle.

 

- Quelle merveille !

- Et tu n'as pas vu sa bite, elle est splendide ? J'adore la sucer ! Ça t'intéresserait ?

- Bien sûr !

 

J'ai répondu d'instinct, sans réfléchir.

 

- Elle est très demandée, mais je peux t'arranger ça !

 

J'ai compris l'allusion, le type peut me rendre service, mais c'est donnant donnant ! Peu importe, je suis de plus en plus persuadé que ce ne sera pas une corvée !

 

- Tu aimes sucer ? Demande l'inconnu.

- Oui j'adore !

- Et tu fais ça souvent ?

 

Je vais pour improviser un mensonge, mais j'ai l'impression que quelque part la vérité l'excitera davantage.

 

- En fait, je ne l'ai fait que rarement, quelques bites au hasard de partouzes, rien de plus, mais j'en ai gardé un excellent souvenir !

 

Soudain, le travesti (appelons le Claude) effleure de sa main, ma braguette.

 

- Je peux ?

 

Je lui fais signe qu'oui, sa caresse devient plus appuyée, et ma bite se met à bander, il me descend alors la fermeture éclair et me tripote à présent à travers le slip. Je sais maintenant que je suis embarqué dans une aventure dont j'ignore la suite. Il entreprend à présent de me sortir ma bite de mon slip, la voici à l'air. Je me demande si je suis le seul dans la salle à être dans cet état, mais un coup d'œil circulaire me rassure, l'ambiance est de plus en plus débridée, des couples se forment mélangeant toutes les combinaisons entre hommes, travestis et transsexuels, je crois même apercevoir quelques femmes, mais on ne peut être sûr de rien. Des types se baladent carrément la bite ou le cul à l'air, c'est assez incroyable ! Claude a lâché ma queue, c'est dommage, il branlait bien !

 

- Tu veux voir la mienne ?

 

Il soulève sa minijupe, la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me provoque un trouble étrange, je regarde les jambes, il s'est entièrement épilé. Ce type me fascine, quand je pense que j'ai failli l'envoyer promener tout à l'heure. Sa bite fait une bosse énorme sous son slip de femme. A mon tour je lui caresse sa verge, quelques moments à travers le slip, puis, je lui sors carrément. Je commence un lent mouvement de masturbation, attendant je ne sais quel déclic pour pouvoir lui sucer !

 

- Je vais te dire mon fantasme. Je viens une fois par semaine ici, travesti en femme. Mon truc c'est de m'exhiber et de me faire sucer par un nouveau. Il y en pas toujours, et puis il y en a qui ne veulent pas... Allez, viens on y va !

 

Il me prend alors par la main, et veut me faire lever !

 

- Attends que je me rhabille, quand même !

- Mais non, reste comme cela, c'est bien plus excitant !

 

Puisqu'il le dit ! Il m'entraîne au bar !

 

- Lisa, soit sympa de me prêter un moment ton tabouret !

- D'accord, tu sais bien que je ne peux rien te refuser... Répond-elle d'une voix un peu rauque.

- Au fait, quand tu auras un moment tu pourras t'occuper du trou du cul de ce jeune homme ?

- Pas de problèmes je vais l'enculer bien comme il faut, ton copain !

 

Claude s'est maintenant installé sur le tabouret, il écarte les jambes, soulève sa jupe et me tend sa bite !

 

- Vas-y suce !

 

Je me demande à quoi sert l'arrière salle, et pourquoi j'ai payé double tarif, puisque apparemment on peut tout faire ici ! Mais c'est sans hésiter que je me saisis de son pénis en érection et que j'en approche la langue pour lui lécher le bout du gland, j'enferme ensuite celui-ci entre mes lèvres et le fait pénétrer plus avant dans ma bouche ! Que c'est bon, je l'engloutis, puis commence une série de va-et-vient. Un petit rassemblement se forme autour de nous. Je sens quelqu'un qui me baisse mon pantalon. Je laisse faire et je sens bientôt une langue qui s'attaque à mon trou du cul. Sensation étrange mais délicieuse. Un autre me branle la bite, mais il ne fait pas très bien. Soudain je sens la bite de Claude atteinte de soubresauts. Il décharge dans ma bouche. J'hésite une seconde entre avaler le sperme ou le recracher, mais voici qu'il m'embrasse sur la bouche en récupérant une partie. Je me retrouve tout con, là devant le bar, le pantalon par terre et la bite à l'air.

 

Je me rhabille un tout petit peu, mais voilà Lisa qui m'entraîne dans l'arrière salle. Je vais enfin savoir ce qu'il y a à voir là-dedans ! Je m'aperçois d'ailleurs qu'à l'entrée, personne ne contrôle si j'en ai payé le droit. On a disposé dans cette salle une dizaine de matelas recouverts de serviettes éponges. Sur l'un de ceux-ci, Christy, l'une des trans que j'avais repérée à l'entrée est en train de se faire enculer par un type.

 

Lisa se déshabille prestement, sans aucune élégance. Son corps est magnifique, d'un joli noir tirant sur le marron, les seins sont galbés à souhait et terminés par de jolis tétons arrogants tout noirs. Sa bite est plus sombre que le reste, d'un bon volume avec un gland magnifique

 

- Tu veux me sucer un peu, avant ? Demande-t-elle

 

Et comment que je veux la sucer ! Je me précipite vers ce chef d'œuvre et le travaille dans ma bouche, trop peu de temps, hélas ! Lisa veut bien rendre service, mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps.

 

- Tu veux que j'encule comment, à quatre pattes ou les jambes en l'air ?

- Les jambes en l'air, comme ça je peux te voir !

- T'as raison, c'est meilleur !

 

Je me couche, je lève les jambes, écarte mes fesses au maximum, pour laisser le passage, Lisa, elle a mis un préservatif lubrifié et essaye de passer.

 

- Ben dis donc ! Ça doit faire une éternité que tu t'es pas fait mettre, toi ! Qu'est-ce que tu es serré !

 

Je ne vais pas lui dire quand même que je suis puceau du cul ! Ça passe enfin, ça fait un peu mal, elle fait pénétrer la moitié de sa verge, puis tout. Un curieux plaisir m'envahit tandis que Lisa commence une série de va-et-vient de plus en plus rapides. Au bout de dix minutes, elle arrête, je n'en puis plus, c'est trop bon !

 

- Ça a été ?

- Super !

 

Elle me fait un bisou sur le nez et s'en retourne au bar !

 

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Je voudrais bien jouir, mais je ne sais pas trop comment, et décide à mon tour de rejoindre la salle, mais auparavant, il faut que j'aille faire un petit pipi. Les toilettes sont relativement grandes comme on en faisait autrefois, il y a trois urinoirs, deux sont occupés par des hommes, l'un d'entre eux se faisant branler par l'autre. Un travesti (Frédérique) est posté un peu en retrait, je ne sais pas ce qu'il attend, pas l'urinoir puisqu'il est libre. Je ne cherche pas trop à savoir, me dirige donc vers la pissotière de libre et dégage ma bite quand soudain une main se pose dessus, je regarde à qui appartient cette impertinente mimine. !

C'est le travesti qui s'est donc emparé de ma bite et qui la masturbe. Je me laisse faire.

 

- Tu aimes les jeux de pipi ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, d'abord je ne sais pas exactement ce qu'il entend par-là. Il se passe décidément de drôles de choses dans cette boite. Le type voyant que je suis un peu perdu reformule sa question :

 

- Ça ne te plairait pas de pisser sur un beau travesti comme moi ?

 

J'ai failli dire non, mais je me ravise, j'ai déjà pratiqué très rarement quelques jeux uro, et cela ne m'a pas déplu, et puis, je suis là pour m'éclater et découvrir un tas de choses.

 

- T'es pas pressé, on va attendre que ces deux connards se tirent de là !

 

Je comprends qu'il a dû essuyer un refus des deux types et qu'il n'a pas envie de se montrer en spectacle devant eux. Je me mets donc en retrait à côté du travesti.

 

- Je t'ai vu tout à l'heure sucer Claude ! Tu à l'air d'être doué !

 

Tout en me parlant, il me tripote la queue que j'ai rangée dans son slip, mais sans remonter la braguette, il me la sort carrément, et s'accroupit devant moi pour me sucer. Il fait ça très bien, mais j'ai toujours mon envie de pisser et je préférerais me soulager avant de jouir. Enfin les deux branleurs quittent la toilette. Alors à toute vitesse, Frédérique se déshabille sur place, me tend ses vêtements et s'agenouille devant la cuvette, face à moi :

 

- Vas-y pisse-moi dessus !

 

Je vise son sexe et l'asperge de mon urine !

 

- Remonte !

 

Je remonte légèrement lui mouillant le torse !

 

- Garde en une goutte !

 

Je suis à nouveau interloqué, mais je comprends, il veut que je lui pisse maintenant dans la bouche, sans pour autant je lui abîme son savant maquillage. J'introduis donc mon sexe dans sa bouche et lui donne ma dernière goutte.

Il a l'air tout content et pour me remercier veut me rouler une pelle. Je n'hésite même plus et l'embrasse, mélangeant nos saveurs intimes.

 

- Tu veux m'enculer ? Demande-t-il

- Ça peut se faire en effet !

 

Je n'avais pas envisagé de jouir de cette façon, mais après tout, pourquoi pas ? Il ne se rhabille même pas et nous nous dirigeons vers l'arrière salle qui en quelques minutes s'est considérablement remplie.

 

Christy est toujours là, se faisant toujours prendre par le même type. A un autre endroit c'est Lisa qui se livre à une partie de triolisme avec un grand noir à perruque qui l'encule, ce dernier se faisant sucer le cul par un troisième larron. Encore ailleurs c'est Vanity qui sodomise un type qui a les jambes relevées et qui suce un autre homme. Mais la véritable attraction c'est Claude qui penché en avant se fait fouetter les fesses à grands coups de martinet par un gigantesque escogriffe qui se masturbe en même temps.

 

Plusieurs hommes se branlent, se délectant du spectacle.

 

Frédérique m'entraîne sur un matelas, je me déshabille à nouveau.

 

- On va se sucer d'abord !

 

Ca me paraît une excellente idée ! Nous nous plaçons en position de soixante-neuf, et nous nous suçons mutuellement la bite, la sienne est encore imprégnée du goût de mon urine, mais qu'importe, je m'adapte très vite ce soir ! Soudain Frédérique lâche mon gland pour s'intéresser à mon trou du cul, cela ne fera que la deuxième fois qu'on me le lèche ce soir, et je commence à apprécier hautement cette caresse que je connaissais mal. Bien sûr, je lui rends la politesse et m'active à lui donner des petits coups de langues dans son petit trou.

 

- C'est trop bon, continue !

 

Certes, mais maintenant, j'ai envie de jouir ! Je décide malgré tout d'être correct et de retarder mon plaisir pour continuer à le satisfaire. C'est lui-même qui mettra fin à cet anulingus et qui se placera à quatre pattes, me tendant les fesses, le trou béant ! Sans hésiter j'enfile une capote et pénètre l'anus du type qui a dû en voir défiler un certain nombre. J'essaie à la fois de retarder ma jouissance et de lui donner du plaisir, pas facile, je n'ai jamais enculé personne, moi !

 

- Ne jouis pas dans mon cul ! Donne-moi ton sperme !

 

Il était temps, je me retire, ôte le préservatif et lui tend ma bite afin qu'il recueille ma semence. Je suis sûr qu'il va m'embrasser sur la bouche. Effectivement, c'est une manie ce soir !

 

- Bon, à mon tour de jouir, tu me donnes ton cul ?

 

J'aurais préféré attendre un peu que l'excitation revienne, mais bon s'il veut m'enculer, qu'il m'encule, après tout c'est si bon !

 

- Vas-y encule-moi !

 

Et pour la deuxième fois de la soirée, mon cul accueillit une bonne bite ! Frédérique prit son plaisir assez rapidement. Pour ma part j'étais épuisé.

 

Je retourne dans la grande salle où il n'y a plus grand monde à part quelques " couples " qui se branlent ou qui se sucent sur leur banquette.

 

J'ai un coup de pompe pas possible, je décide de partir. Mais vivement Samedi prochain que je revienne ! '

 

Eddy Stokien © 2000

edvardstokien@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mai 2000

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Lundi 1 mai 2000 1 01 /05 /Mai /2000 19:34

Les urinoirs de la gare
3 - la partie
par Estonius

 

Gaystamp

 

Les lecteurs reliront avec intérêt les chapitres 1 et 2 de cette série d'étranges aventures

 

J'avais donc un rendez-vous fixe avec Claude et son épouse. Pour le reste je pouvais passer n'importe quand pour voir Pablo au "Barcelone" et il y avait la proposition de Jim. J'avais donc de quoi faire.

 

C'est comme cela d'un coup, ce lundi que je me décidais à accepter la proposition de Pablo et donc d'aller me faire enculer par ce dernier. Je pensais y aller directement, mais je me persuadais quelque part que le plaisir serait meilleur si je m'excitais un peu avant et je décidais donc d'aller préalablement faire un tour aux urinoirs voir un peu ce qu'il se passait ce jour-là.

 

Ce jour-là justement, beaucoup de monde, des urinoirs très occupés et des tas d'hommes attendant derrière. L'affaire s'éternisait, je me rendis compte que certains n'attendaient pas de façon passive. Des mains traînaient sur les braguettes, des fermetures éclair s'ouvraient, des queues s'en libéraient. Tout cela assez discrètement néanmoins. Quant aux cabines, elles étaient pleines bien évidemment. J'attendais, assez excité par l'ambiance qu'une main se pose sur ma braguette, j'aurais pu faire de même mais je me sentais encore trop nouveau dans ce milieu pour prendre ce genre d'initiative. La main finit par venir raidissant encore un peu plus ma bite toute bandée. Le type se posa carrément devant moi. Et entreprit de me défaire ma braguette. J'étais un peu gêné par le manque de discrétion mais entreprit néanmoins de me laisser faire, après tout, les gens qui venaient ici le faisait en toute connaissance de cause. Bientôt ma bite toute raide surgit de mon pantalon, et l'inconnu se mit à la masturber. Il se mit soudain à genoux et allait commencer à la sucer quand un mouvement de foule fit soudain se vider la salle. Il s'agissait de deux flics en képi. Je me retrouvais donc dehors dans ce grand couloir de correspondance. Le type qui voulait me sucer se retrouva à mes côtés :

 

- Dommage ! Me dit-il

- Oui, mais on peut se revoir !

- Je te paye un coup !

- O.K !

 

Je pensais à l'emmener au Barcelone, mais sans trop savoir pourquoi, j'y renonçais. Nous nous dirigeâmes vers un bistrot tout à fait classique

- On se prend une petite conso au bar et on va se finir dans les toilettes ?

 

J'acquiesçais volontiers, les consommations furent vites… consommées et nous descendîmes l'un après l'autre dans les toilettes de ce café. Il semblait connaître les lieux et sans préambule baissa son pantalon et son slip, j'en fis bien sûr autant, il s'accroupit devant moi et introduisit mon sexe à nouveau durci dans sa bouche. Il suçait très bien je sentais sa langue me caresser le gland par petits coups nerveux tandis que ses lèvres développaient un mouvement de succion très efficace. Quand il estima que ma verge fut assez tendue, il se releva, me tendit un préservatif, puis se retournant, me demanda de l'enculer. Préalablement je répétais les gestes appris avec Claude et lui léchais l'entrée de l'anus avec ma langue, regrettant de ne pas lui sucer aussi la bite, mais ce serait peut-être pour plus tard, je m'introduisis facilement dans son petit trou. Excité comme tout, quelques allers et retours suffirent à me faire atteindre l'éjaculation tandis que l'inconnu se pâmait de plaisir. Mon désir disparut aussi vite qu'il était venu et je refusais poliment la réciproque, mais acceptait de le branler afin qu'il jouisse à son tour.

 

- Tu branles bien, mais j'aimerais autre chose, ça ne t'ennuierait pas de me cravacher les fesses pendant que je m'astique

 

Non, ça ne me dérangeait pas, je défis la ceinture de mon pantalon, et commençais à le flageller, réalisant en même temps que cette pratique était assez bruyante.

 

- Bon allez ! Branle-moi ! Ça fait trop de bruit !

 

Mais le désir remontant, c'est dans ma bouche que je le terminais. De retour au bar, il me fit cette étrange proposition :

 

- T'aime ça aussi les coups sur les fesses ?

- Ça ne me déplait pas !

- J'ai eu l'occasion de rencontrer un grand bourgeois qui organise des parties entièrement masculines, je lui sers un peu de rabatteur, si ça t'intéresse ?

- Et on fait quoi ?

- On se branle, on se suce, on s'encule, un peu de SM aussi, mais c'est lui qui dirige tout. Je t'assure c'est génial

 

Je lui demandais des précisons.

- Il ne veut pas que je donne l'adresse, mais il y a une partie jeudi prochain…je peux t'emmener

 

Je lui donnai mon accord. Le jour fixé Charlie était au rendez-vous, j'avais plein de questions à lui poser, ce que j'ignorais c'est qu'il avait appelé un taxi, et que dans ces conditions les questions risquaient fort de demeurer en suspens.

Une fois sur place, nous devions prendre un escalier de service et finalement le maître des lieux nous accueillit d'une chaleureuse poignée de main.

 

- Voilà, nous attendons encore deux personnes et nous pourront commencer. Je vous laisse conduire notre nouvel invité dans la grande salle, Il y a un petit buffet à votre disposition et quelques films. Vous pouvez vous exciter bien sûr !

 

Dans la salle, il y avait déjà six hommes, et le spectacle était tout à fait charmant. Deux grandes télés diffusaient des films gays, le premier dans le genre traditionnel avec des gays californiens super musclés ne m'intéressait pas du tout, mais l'autre montrait des jeunes hommes ressemblant davantage au commun des mortels et leurs ébats ne me laissèrent pas longtemps indifférent. Pour faire bonne mesure, je me servis quelques bricoles au buffet, il n'y avait pas d'alcool que des jus de fruits, aussi quelqu'un du voir mon air dépité et me rassura en me précisant que le champagne arriverait plus tard. Mon interlocuteur avait comme tous les autres la bite sortie de la braguette, une fort jolie bite, ma foi ! Je m'empressais de sortir également la mienne, puisque cela semblait être la tradition des lieux, mais je ne pouvais néanmoins pas m'empêcher de reluquer la queue de mon voisin !

 

- Elle est magnifique !

- Je sais, elle est très douce au toucher, vas-y caresse-là !

 

Je ne me fis pas prier et commençais quelques mouvements de masturbation. Je l'aurais bien sucé, mais j'étais un peu gêné de ne pas bien connaître les habitudes de la maison… Sur ces entre faits arrivèrent deux autres hommes dont un grand noir à l'air jovial qui tout de go sortit de sa braguette une énorme bite. Le maître des lieux nous avisa :

 

- On va bientôt commencer, ne restez pas comme cela, mettez-vous à poil ce sera plus cool !

Toute l'assemblée entrepris donc de se déshabiller, Hervé, mon voisin de tout à l'heure avait l'air de se coller à moi, mais cela ne me gênait pas du tout.

 

- Dis donc, tu en as des gros bouts de seins !

- C'est à force de me les faire pincer !

- Je peux ?

- Bien sûr !

 

Et pendant qu'il me tripotait les tétons, je continuais à jouer avec sa belle bite, je jetais un coup d'œil circulaire autour de moi et m'aperçut qu'un peu plus loin, un type en suçait un autre. Puisque la pratique semblait autorisé ici, pourquoi me gêner, je me mis donc à genoux devant Hervé et je commençais par lui donner de petits bisous sur la verge, sur les couilles, puis sur le gland. Comme il ne protestait pas j'introduisis son sexe dans ma bouche et commençait une fellation en règle ! Mais je fus vite interrompu par l'arrivée d'Eric le maître des lieux, suivi d'Alain une sorte d'assistant, tous les deux étaient complètements nus, hormis une grande cape noire, ouverte et un peu ridicule.

 

- Bien, nous vous laisserons terminer cette soirée comme vous l'entendez, mais auparavant nous allons nous livrer à quelques attractions. Tout le monde est d'accord ?

 

Il n'y eut bien sûr aucune objection

 

- Vous allez tous vous mettre en ligne ici, et Alain et moi nous allons désigner la plus belle bite de l'assemblée, le vainqueur commencera par recevoir un prix de *** euros.

 

Puis se tournant vers Alain :

 

- Ca ne devrait pas être trop difficile de trouver le vainqueur ce soir ?

- Ah ! Ce n'est pas dit, il faut goûter, dès fois on a des surprises !

- Alors on y va !

 

Eric se plaça à l'extrémité gauche de la file, Alain à l'extrémité droite, et les deux personnages entreprirent de nous sucer brièvement les uns après les autres. Je trouvais la situation extrêmement excitante. Etant pratiquement au milieu de la file je subis les assauts d'Eric et d'Alain pratiquement dans la foulée, me laissant dans un état de pré jouissance fort trouble.

 

- Alors ce vainqueur ?

- Pour moi, c'est William ! Répondit Alain en désignant le grand noir !

- On est d'accord, William est vainqueur

 

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En disant cela Eric sortit de sa cape deux billets de *** euros qu'il tendit à William, qui ne sachant pas trop quoi en faire alla finalement les ranger dans la poche de sa veste accrochée un peu plus loin…

 

- Et maintenant tout le monde se tourne, nous allons désigner le plus beau cul de la soirée.

 

Chacun des deux larrons commença comme tout à l'heure à une extrémité, à peloter nos culs, à les embrasser, à y faire pénétrer un doigt. Bientôt ce fut mon tour.

 

- Regarde-moi cette merveille ! Un vrai cul de gonzesse, un chef d'œuvre. Quelle cambrure, et c'est tout doux !

 

Je ne m'attendais pas vraiment à ce genre de remarque et n'en éprouvais d'ailleurs aucune fierté. Ils étaient deux à m'ausculter les fesses à présent.

 

- Un petit peu étroit, peut-être ?

- Ca ne fait rien c'est le plus beau !

 

Puis s'adressant à l'assemblée :

 

- Le vainqueur est donc Pascal

 

Je reçus aussi mes 2 billets, et à l'instar de William alla les ranger.

 

- Je vous propose d'unir la plus belle bite avec le plus beau cul. William va donc enculer Pascal.

 

Je bredouillais quelques mots de protestation, précisant que je n'avais rien contre William, ni contre sa bite, mais quelque chose contre la grosseur de cette dernière, parce que relativement nouveau dans ce milieu… la situation amusa Eric qui se tourna cers Charlie.

 

- Dis donc, Charlie, tu aurais pu nous prévenir que tu nous amenais un puceau ?

 

Charlie essaya en vain de bredouiller quelques mots d'excuses.

 

- Non ça mérite une punition ! Viens ici on va t'attacher à cette croix et te punir comme il faut

 

Cette perspective n'avait pas l'air de contrarier l'ami Charlie qui se prêta de bonne grâce à cette petite comédie. On l'attacha à une croix de Saint-André, face contre croix, puis Eric qui s'était saisi d'un martinet commença à lui frapper les fesses. Les coups furent d'abord moyens, mais Charlie supportait bien, alors ils devinrent plus fort et atterrirent non seulement sur le cul, mais aussi sur le dos et sur les cuisses. Quand on le détacha sa bite était toute raide !

 

- Tu vas lui ouvrir le chemin, ça t'apprendra, et après William prendra le relais.

 

Je m'arc-boutais à une espèce de barre et écartais les jambes. Eric m'enduit le cul d'une sorte de gel et laissa la place à Charlie qui pénétra mon anus avec facilité. Il enculait très bien, pour une punition, il s'en sortait plutôt bien, mais Eric ne lui permit pas d'aller jusqu'au bout et William prit ensuite le relais

 

- Tu ne jouis pas dans son cul ! Tu te réserves pour le mien ! Quand tu sentiras que ça vient tu le laisses tomber et tu t'occupes de moi !

 

La bite de William ne passa pas sans douleur, mais il savait y faire. Après m'avoir pénétré, il accomplit des mouvements les plus lents possibles, puis accéléra insensiblement. La sensation était délicieuse. Soudain le rythme s'accéléra, il stoppa, attendit, puis décula, il changea alors de préservatif puis très vite pénétra Eric et déchargea !

 

- Messieurs je vous laisse, profitez du buffet et faites ce que vous voulez ! A minuit Alain viendra fermer, jusque-là la soirée est à vous ! Il y a ici une petite caméra, n'y touchez pas je crois que j'aurais un beau film à visionner demain, et rassurez-vous après je l'efface…

 

Puis se tournant vers moi en me donnant un petit carton.

 

- J'aimerais bien vous revoir, téléphonez-moi sur ce numéro de portable !

 

Il disparut avec son comparse, je ne cherchais pas trop à comprendre la raison d'une attitude aussi étrange. Hervé était à nouveau à côté de moi, sa bite toujours dressée. Je repris donc ma fellation interrompue. C'était vraiment un grand plaisir que de sucer une aussi bonne bite ! Le plus agréable quand on suce un sexe est quand la langue rencontre l'endroit où se termine le gland. Si l'homme est bien excité sa queue va sécréter quelques gouttes de liqueur séminale qui vont rendre le goût de la queue encore plus excitant. C'est justement ce qui était en train de se passer avec Hervé.

 

- Je t'enculerais bien pour finir !

 

Faut pas pousser, deux dans la soirée c'est déjà énorme, alors trois, mais j'acceptais quand même et je lui tendis mon cul dans lequel il jouit fort rapidement. Lui aussi me tendit un carton avec un numéro de téléphone, (A ce stade il faudra bientôt que je me rachète un carnet d'adresses) et disparu. Je n'avais pas joui et avais très envie. Mais comment ? Enculer quelqu'un n'est pas mon truc, me faire sucer ou branler, pourquoi pas ? Dans un coin un type suçait alternativement deux queues, je me plaçais en troisième position, mais manifestement cela n'intéressait pas le suceur.

 

Je résolus donc de me masturber moi-même en regardant la vidéo qui n'avait pas cessé. Une main secourable vint remplacer la mienne, je la laissais faire, puis l'homme s'accroupit devant moi et me suça, il suçait très bien, donnant des petits coups de langue nerveux, je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Il tint à m'embrasser sur la bouche alors qu'il n'avait pas encore avalé mon sperme, je le laissais faire, par politesse, mais je reconnus que cela n'avait rien de désagréable. Je bus un dernier verre, ce qui me permit de constater qu'on avait effectivement apporté du champagne !

 

Avant de partir, je me rendis aux toilettes, un des participants avait eu la même idée que moi au même moment, je le laissais donc entrer avant moi et me mit en devoir d'attendre mon tour.

 

- Non rentre ! On ne va quand même pas se gêner maintenant

 

Le type se mit à pisser, et tout en le faisant, il se badigeonna la queue et les testicules avec son urine. Un certain trouble se manifesta au niveau de ma queue qui se remit à bander légèrement. Je pensais qu'il allait me proposer quelque chose, mais il resta muet. Je me mis à pisser à mon tour, et histoire de voir jusqu'où irait mon voisin j'imitais ses gestes, me barbouillant également la verge et les couilles d'urine. Cette fois sa timidité fut vaincu, il se pencha vers mon sexe pour me le lécher, mais ne parvint cependant pas à me faire bander correctement. Sur cette dernière scène fort trouble, je quittais les lieux à mon tour...

 

à suivre

 

Edstonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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Mercredi 12 avril 2000 3 12 /04 /Avr /2000 23:33

Maud, son grand nez et son manteau violet

par Nicolas Solovionni

 

 

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Je prends donc le train ce matin, toujours aussi décontracté, je ne suis pas du genre à pénétrer dans un train bourré à bloc, je préfère patienter ! Mais cette fois j'ai beau attendre, c'est une grève dure, il n'y a vraiment que peu de transport, la chance a voulu qu'une rame s'arrête de façon à ce que la porte du train soit pratiquement devant moi, et sans même réfléchir, poussé par une marée humaine, me voici dans le wagon, debout bien sûr !

 

Me voilà parti pour un long voyage, les douze minutes de d'habitude se multiplient, le train ne peut partir que les portes fermées, et les gens laissent les portes ouvertes pour faire monter les gens qui arrivent sans cesse. Dedans on est serré comme des sardines. Et on finit par se trouver nez à nez avec de joyeux inconnus. C'est exactement ce qu'il m'arrive, une dame qui se met à me parler (pas con d'ailleurs). Ça commence toujours pareil d'ailleurs, ça râle contre les grèves, plus ou moins violemment suivant ses opinions politiques, et comme on ne peut pas passer son temps à rabâcher les mêmes choses, après on essaie de parler d'autres choses…

 

Cette dame entreprend de me raconter de façon très pittoresque son voyage de la veille au soir, quand soudain mes yeux sont attirés par une femme en manteau violet à trois mètres de nous. En fait son visage ne m'est pas inconnu, je l'ai déjà aperçu plusieurs fois dans le bus, petite, les cheveux mi-longs, mais surtout un visage comme je les aime avec un visage très doux et un nez assez grand. Je la regarde, et elle s'en aperçoit, je crois deviner un sourire d'encouragement mais je ne suis pas sûr. Je décide donc de passer à l'attaque à la première occasion. On arrive à Sarcelles, premier arrêt. Le quai est noir de monde, et le train a beau être archi-plein, il y en a toujours qui se débrouille pour monter, il se produit un mouvement de foule, et là j'emploie un truc qui m'est resté des manifs étudiantes de 68. Dans une foule compacte il est presque impossible d'avancer librement, l'astuce consiste à profiter du fait qu'un corps humain est plus large de face que de profil (si ! si ! Je vous assure !) Et d'effectuer des rotations sur soi-même pour provoquer un "effet de bille" au contact des gens qui t'entourent ! (Vous essaierez, c'est génial !). Je tournicote donc vers la dame-au-long-nez. C'est un peu plus compliqué que prévu, parce que le mouvement de foule à tendance à l'éloigner de moi, mais bon j'y arrive quand même !

 

- Et ben, vous en avez fait des contorsions pour arriver jusqu'ici !

 

Je ne m'attendais pas bien sûr à ce qu'elle prenne l'initiative de l'engagement de la conversation, mais bon… elle se marre, je lui lance deux ou trois plaisanteries sur son magnétisme irrésistible qui m'attire inexorablement et la glace est définitivement rompue. Elle est un peu plus nunuche (non pas mal, soyons franc) que l'autre dame, mais enfin ça va… De près elle semble plus vieille que j'imaginais, le cou est un peu abîmé, et elle est très maquillée, mais bon, je ne regrette pas d'être là. 

 

On discute donc, il serait faux de dire que je drague, mais j'attends l'occasion. Et en fait cette occasion sera en fait un miracle. Le train arrive à Pierrefitte, là aussi c'est noir de monde, il me paraît impossible que quelqu'un puisse monter, mais des gens veulent descendre… L'espace d'un instant il y a un mouvement de foule assez violent, à ce point que les gens cherchent à s'accrocher à ce qu'ils peuvent. La plupart du temps ils n'ont rien pour le faire, comme ma compagne de voyage qui par réflexe s'accroche à ma taille, ma sacoche bascule en arrière, j'essaye de m'arc-bouter pour qu'elle reste en équilibre ce qui a pour effet de me coller contre elle, mon sexe contre son ventre… L'érection fut immédiate, je n'eus même pas le temps d'être gêné. Elle me décoche un sourire complice (Ah ! Ce regard, que je n'oublierais sans doute jamais !). J'essaie de reculer, mais c'est impossible d'une part à cause de la pression des gens (merci les gens !) Et surtout parce elle reste accrochée. Puisque c'est parti, j'essaie d'aller plus loin, mais non elle ne veut pas que je l'embrasse, me demandant d'attendre l'arrêt (il y a peut-être des gens qu'elle connaît…), mais il se passe quelque chose, son regard n'est plus le même, un véritable appel au viol, elle est assurément aussi excitée que moi. On resta là collés l'un contre l'autre pendant de longues minutes, assurant pour ma part de très légers mouvements de frottement pour maintenir une érection qui n'a d'ailleurs peut-être pas besoin de cela.

 

Enfin nous voici à Paris ! Nous étions dans un wagon de queue, et à cet endroit de la Gare du Nord, il y plein d'énormes piliers où ça drague et ça pelote sec à toutes les heures de la journée, on s'y précipite, on s'embrasse, on se pelote. Ça dure je ne sais pas, un quart d'heure peut-être, et j'avoue ne pas me rappeler comment on décide de conclure, mais on y va, premier arrêt obligatoire : La pharmacie de la Gare du Nord ou j'achète des capotes, mais pour cela on fait la queue un quart d'heure, j'ai bizarrement l'impression que son excitation retombe, je sens qu'il faut faire vite. Un premier hôtel, là aussi il faut attendre que Môssieur ait fini de discuter avec quelqu'un, tout cela pour nous entendre dire que c'était complet (que ce serait-il passé si cela n'avait point été le cas ?). On ressort pour en chercher un autre : Mais non, Maud intervient (elle s'appelle Maud) 

 

- Je crois qu'on s'est bien excités, mais maintenant on arrête le délire !

 

Ce sont ses termes à l'exact ! Ça ne s'oublie pas ces trucs-là ! Ne sachant trop quoi dire pour la contrer, je bafouille un vague !

 

- Tu ne vas pas me laisser comme ça !

- Ça va passer, ça passe toujours !

 

Très vite j'esquisse un contre plan, mais il ne marchera pas :

 

- Bon on va boire un café et on se quitte !

 

J'espère alors que la magie des arrière-salles va réveiller ses instincts. Mais dans un premier temps elle refuse de s'asseoir et commande au bar, pour se raviser :

 

- Finalement on s'assoit !

 

Je reprends espoir l'espace d'un instant et le perd quand je la vois s'arranger pour s'asseoir après moi (et donc en face de moi, pas à côté). Là elle me fait promettre de faire comme si je ne l'avais jamais connu. Je passe… et elle aura quand même cette réflexion : 

 

- Peut-être qu'un jour il y aura une autre grève, si vous vous approchez de moi, je ne dirais pas non, mais seulement dans ce cas-là !

 

Je suis dépité, je lui demande un dernier bisou, elle me le fera mais assez chastement.

 

Cette aventure m'a perturbé, je n'arrive pas encore à comprendre comment l'attitude de cette femme a pu changer en l'espace de quelques instants. J'ai déjà fait des rencontres dans le train, certaines étaient très prometteuses, et se poursuivaient autour d'un petit déjeuner avec bisous, pelotages et bien sûr promesse de se revoir le soir, pour aller un peu plus loin. Mais combien de fois ces rendez-vous ont-ils vraiment aboutis ? Et pourquoi ? Parce que loin du feu de l'action on redevient un être convenable, civilisé, social… Ça peut se comprendre, mais là, justement nous n'avions pas quitté le feu de l'action.

 

Le lendemain le trafic ferroviaire était redevenu normal, je monte les escaliers conduisant à mon quai et j'aperçois qui ? Maud et son manteau violet. Manifestement elle attend quelqu'un. Malgré nos accords, j'essaie de croiser son regard, mais peine perdue, je sais qu'elle m'a vue, mais je n'insiste pas. Je suis un peu dépité, je m'étais fait une raison, mais voilà ! Je m'installe dans le train, incapable de fixer mon attention sur le journal.

 

Arrivé à Paris, je me dirige vers les couloirs du métro, quand soudain quelqu'un vient m'aborder :

 

- Et bien dites donc, vous marchez vite, vous !

 

Maud, je n'en crois pas mes oreilles, ni mes yeux, je rêve ou quoi ? Et pourquoi a-t-elle abandonnée le tutoiement ? Je souris bêtement, trop interloqué pour formuler une réplique cohérente. Elle reprend :

 

- Je vois que vous êtes pressé, mais j'aurais voulu vous parler cinq minutes. Demain si vous voulez ?

 

Pressé n'est pas le mot, je suis sous le régime des horaires variables, mais j'ai une session de formation à animer à partir de 8 h 45, et plein de travail en retard, mais l'envie de savoir est trop forte.

 

- Je vous écoute !

- Non pas ici, vous connaissez sûrement un bistrot discret ?

 

Un bistrot discret ! Et puis quoi encore ? Et puis pourquoi discret d'abord ? Effectivement je connais ce genre d'endroit, et nous y allons donc. Maud est très paisible, et ne souhaitant pas me dire ce qu'elle à me dire dans la rue, elle alimente seule la conversation en me narrant ses péripéties pour rentrer chez elle, la veille. Elle cultive une sorte d'humour fataliste que j'apprécie beaucoup !

 

Nous voici au café, alors que les cafés devant la gare sont pleins à craquer, il suffit de faire cent mètres de plus pour trouver des petits trucs peinards et sympathiques. Maud se cale sur une banquette, me souvenant de la scène de la veille, je vais pour m'installer devant elle…

- Viens ! dit-elle en me montrant la place à côté d'elle.

 

Me voici stupéfait, elle m'accorde maintenant ce qu'elle me refusait hier, je n'y comprends plus rien mais je ne vais pas refuser l'invitation.

 

- Embrasse-moi ! Je n'en peux plus !

 

Et avant que j'aie eu le temps de faire quoique ce soit la voici qui se colle à ma bouche, nos langues se mélangent dans un élan irrésistible, tandis que mon sexe se durcit… Elle s'en aperçoit et me colle sa main dessus ! Elle cherche la braguette, elle la trouve, et lentement l'ouvre, sa main est maintenant sur mon slip, elle continue à fouiller, et caresse maintenant ma bite, je n'en peux plus.

 

Un raclement de gorge, c'est la servante, elle est marrante la servante, une petite bonne femme avec des taches de rousseurs sur le nez.

 

- Si ça vous intéresse, on a une salle privée, c'est 15 euros par personne !

- Une salle privée ?

- Oui, et comme c'est privé, vous pouvez faire tout ce que voulez !

 

Maud saute sur l'occasion

 

- Ça me paraît une bonne idée ! Non ?

- Mais, Maud, je ne peux pas, j'ai à peine dix minutes devant moi !

- Tu es en train de rater une belle occasion !

- Je le sais bien...

 

Elle ne me laisse pas terminer ma phrase, sa bouche s'approche de la mienne et nos langues se mélangent. A nouveau je me mets à bander, je m'aperçois que ma braguette était restée ouverte, elle imprime un mini mouvement de masturbation autour de mon gland ! Je perds mon contrôle, j'ai l'impression que je ne vais pas tarder à faire une grosse connerie !

 

- On ne vit qu'une fois…

- Mais je ne peux pas, J'anime une formation, il y a des gens qui viennent de province, il y en a même un qui vient des Antilles.

- Et si tu avais vraiment un cas de force majeure ?

- Je n'aurais pas prévenu au dernier moment…

- Bon ! Tant pis, je ne vais pas te supplier ! Laisse-moi passer, moi aussi j'ai du boulot…

 

Je referme ma braguette, me lève de la banquette pour la laisser passer, et elle disparaît sans un mot, il ne me reste plus qu'à payer et à rejoindre ma boite, le cœur gros. Je suis partagé, c'est vrai que j'aurais pu inventer un gros truc ! Après tout il n'y a personne d'indispensable sur terre. Mais je me dis aussi qu'une femme capable d'avoir de telles exigences doit être une super emmerdeuse et que finalement j'ai bien fait de ne pas céder.

 

Ma session se prolongeait le lendemain et ce jour-là, je pris la précaution de partir une heure plus tôt afin d'être sûr de ne pas la rencontrer. Par contre le jeudi je n'étais guère pressé, et pour parer à toute éventualité j'avais posé une journée de vacances. C'est très déçu qu'en arrivant sur mon quai je ne vis pas Maud ! Et Oui ! Et pourquoi l'aurais-je vu ? J'étais en train de me monter tout un cinéma, cette nana n'allait pas s'amuser à m'attendre tous les matins tout de même ! Malgré tout, j'attends un quart d'heure, puis encore cinq minutes… Et puis tant pis, je vais me payer une journée de célibataire à Paris. Ce sera la grande improvisation.

 

Je descends gare du Nord, j'aurais pu descendre plus loin, mais j'ai envie d'un petit déjeuner dans le coin.

 

- Vous êtes moins pressée que l'autre fois, on dirait ?

 

Maud ! Ce n'est pas vrai je rêve ! Elle m'attendait donc Gare du Nord !

 

- J'ai effectivement tout mon temps aujourd'hui !

- Ah ! Bon tu ne vas pas travailler ?

- Aujourd'hui je ne suis même pas obligé ! On retourne au café d'avant hier ?

 

A peine arrivée, Maud demande à la patronne deux entrées pour la salle privée. Une porte, une tenture… une chaîne avec un panneau :

" Privé - Entrée Interdite " 

 

- C'est en haut de l'escalier ! Si vous avez besoin de quelque chose (des préservatifs, des kleenex, des serviettes) il y a un bouton d'appel près de l'entrée !

 

Quel romantisme !

 

Je n'en crois pas mes yeux, dans la salle il y a deux types qui se font sucer alternativement par une fille, l'un des deux est complément nu, l'autre s'étant contenté de se débrailler un maximum. La fille elle, a remonté son pull-over et elle a libéré ses seins de son soutien-gorge. Dans un autre coin, un type est penché sur une femme qui est allongé sur la banquette et il lui lèche la chatte provoquant des gémissements de plaisir de sa partenaire. Enfin à un autre endroit, il y un type, il est seul, il regarde et se masturbe. Je ne m'attendais pas à ce que ça aille jusque-là !

 

- Ça alors !

 

Elle n'en revient pas Maud ! La serveuse nous a suivi, elle nous invite à nous installer, encaisse les 30 euros et nous demande si nous voulons consommer.

 

- Non pas tout de suite !

 

J'avoue ne pas savoir par quoi commencer, un peu perdu dans ce lieu invraisemblable. Maud n'en peut plus de regarder la femme qui en face continue ses fellations.

 

- Evelyne !

 

C'est le masturbateur solitaire qui appelle la serveuse, ils échangent quelques mots, puis l'homme sort quelques billets de son portefeuille. Je crois deviner ce qui va se passer. Mais non ! Evelyne revient vers nous :

 

- Monsieur Paul aimerait beaucoup venir s'asseoir près de vous pendant que je lui fais une petite gâterie ! Est-ce que vous seriez d'accord ?

 

Je ne sais plus ou me mettre ! Mais Maud fait signe que l'on accepte ! Evelyne fait donc signe à monsieur Paul de venir. Et le voici qui arrive, sa queue sortie de sa braguette ! Il nous tend la main et s'assied à côté de Maud, non sans avoir dégagé complètement son pantalon ! 

 

- Faites comme si je n'étais pas là, embrassez-vous, tripotez-vous !

 

Non trop c'est trop, je ne suis pas exhibitionniste à ce point, mais Maud n'en a cure, elle m'enlace, elle m'embrasse, en quelques instants ma bite est sortie de ma braguette et elle la branle ! L'excitation est à son comble, je lui tripote les seins à travers son corsage, puis je lui déboutonne, mais je ne vois pas bien ce que je fais.

 

- Attend ! Je vais le faire !

 

Maud retire rapidement son corsage et son soutien-gorge, je peux enfin voir ses seins, ils me plaisent, ils ne sont pas très gros, mais ils sont terminés par de gros tétons assez sombres, et il n'y a aucune trace de maillot. Je me précipite pour les sucer !

 

- Attention je suis sensible des seins !

 

Mais je ne l'écoute pas et je continue. A côté de nous Monsieur Paul n'en perd pas une goutte. Evelyne a mis ses seins à l'air, de jolis seins tout ronds et bien bronzés, elle a coincé la bite du type entre ses deux nichons et le masturbe de cette façon, de sa main il essaie de caresser le dos de Maud, mais celle-ci la lui écarte un peu violemment, il n'insistera plus !

 

Je me décide à me déshabiller, ne conservant que mes chaussettes, je reste debout amenant mon sexe au niveau de la bouche de Maud qui me le gobe aussitôt. Surprise, elle ne suce pas très bien, et elle a même tendance à me faire mal avec ses dents. Il se produit alors quelque chose d'incroyable, une main se pose sur mes couilles, ce n'est pas celle de Maud, c'est celle d'Evelyne. Maud lui abandonne la fellation, et voici Evelyne qui me suce ! Evidemment ça n'a rien à voir, je sens sa langue qui s'enroule par petits coups successifs sur mon gland, puis elle me masturbe l'extrémité de la verge avec le bord de ses lèvres avant d'entamer une série d'aller et retour parfaitement contrôlé. Puis elle s'arrête s'attaquant maintenant à nouveau à monsieur Paul. Du coup c'est Maud qui me reprend, elle n'a pas l'air vexé de cette intrusion inattendue, et elle s'applique mieux, j'ai malgré tout hâte de passer à autre chose. 

 

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Je me libère de sa bouche et me place le préservatif que j'avais préparé, tandis que Maud achève de se déshabiller. S'ensuivent quelques instant de franche rigolade parce qu'on ne sait pas bien comment se placer, faire l'amour sur une banquette de bistrot n'a rien d'évident. Maud alors se met à quatre pattes, en levrette et me tend ses fesses, je peux ainsi apercevoir le charmant œillet tout brun de son trou du cul ! Mais c'est dans sa chatte que je pénètre. Je jouirais assez vite, trop vite pour elle, alors profitant du fait qu'elle se soit retournée, je me précipite vers sa chatte, et entreprend de la lui lécher, je m'enivre de ses odeurs intimes qui lui ont mouillé son corps jusqu'aux cuisses. Soudain elle est atteinte de soubresauts et se met à jouir en poussant de tels cris qu'Evelyne est obligée de lui mettre la main sur la bouche.

 

Tout le monde éclate de rire. Monsieur Paul, lui avait probablement joui, en tous les cas il était reparti à sa place.

 

- T'es pas fâchée pour tout à l'heure demanda Evelyne à Maud, c'est pour Monsieur Paul ça lui fait tellement plaisir de voir cela, et après il est généreux avec moi, j'en profite bien…

- Mais non ! Est-ce que j'ai l'air fâchée ?

- Alors si tu n'es pas fâché, on s'embrasse ?

 

Elles se font une bise bien chaste ! Brusquement Evelyne à l'air troublée !

 

- Bon, je vais vous chercher un petit déjeuner, tu me troubles de trop ?

- Arrête ! Tu dois en voir de toutes les couleurs ici ?

- Oui mais toi tu es différente tu as une sorte de magnétisme…

 

Maud ne la laissa pas finir sa phrase, elle l'attire vers elle et l'embrasse, mais cette fois-ci goulûment, Evelyne se laisse faire. Voir le spectacle de ces deux femmes l'une à moitié et l'autre complètement nue me fait l'effet d'un revigorant, et me revoilà reparti à bander !

 

Fin

 

Nicolas Solovionni © 2000

nikosolo@hotmail.com 

 

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Lundi 10 avril 2000 1 10 /04 /Avr /2000 19:27

Les urinoirs de la Gare

 2 - un retour récompensé

par Estonius

 

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Immédiatement après mes aventures aux urinoirs de la gare (voir chapitre 1), j'ai eu une liaison avec une stagiaire qui m'a occupé pendant environ deux mois. Celle-ci est ensuite partie vers une autre destination, et j'eus quelques temps après la curiosité de revenir dans cet endroit fort spécial. C'est très excité que j'e m'y rendis. C'est un peu toujours le même scénario, il faut attendre qu'un urinoir se libère, puis on s'approche, un coup d'œil à droite, un coup d'œil à gauche le temps d'admirer toutes ces belles bites dressées en train d'être lentement masturbés, certaines sont magnifiques. Je me suis un peu enhardi, après mes premières expériences et tandis que je me branle la queue, je laisse parfois balader ma main vers l'urinoir voisin, certains laissent faire, d'autres ne souhaitent aucun contact, parfois c'est une main qui se pose sur ma bite. Mais tout ceci ne va pas bien loin.

 

J'espérais retrouver Berty ou à défaut Claude, mais je ne les vois nulle part. Je n'eus aucun contact ce soir-là, je finis de me branler en solitaire et me promis de revenir le lendemain.

 

Le lendemain, mes tentatives de contact n'allèrent pas bien loin non plus, et je m'aperçus que ce lieu avait lui aussi son envers du décor, des types complètements toqués, d'autres venus là uniquement pour avoir des rapports payants. C'est un peu désabusé que je partis ce jour-là sans avoir joui et ne sachant pas si je reviendrais.

 

Je revins pourtant à nouveau le lendemain, il n'y avait pas grand monde ce soir-là, un urinoir se libéra assez vite, je m'y installais et commençait par faire un petit pipi avant d'entamer ma masturbation, le mur en carrelage reflétait parfaitement les queues de mes voisins, celle de gauche était belle et bronzée, mais j'attendis quelques secondes le temps que la mienne prenne un volume convenable avant de mater carrément à côté. Le type à côté de moi, un asiatique recula imperceptiblement et arrêta de se masturber, je savais maintenant ce que voulais dire ce signe, c'était une invitation, je ne refusais pas et entrepris de le branler doucement

 

- Tu suce ? Demanda-t-il

- Bien sûr !

 

Il me proposa que nous nous enfermions dans une cabine. Il fallut attendre un peu, je n'avais pas réalisé jusqu'ici que les cabines étaient aussi un lieu où il se passait des choses étranges. Une d'entre-elles finit par se libérer, j'aurais aimé prendre mon temps, mais l'homme paraissait pressé de jouir, il baissa rapidement son pantalon et son slip, se rebranla un petit peu. Je lui expliquais que je voulais bien le sucer, mais que je ne souhaitais pas qu'il jouisse dans ma bouche, il accepta, et j'entamais donc une fellation très vite écourtée car la jouissance de l'homme monta très vite. Je le terminais à la main, sa bite ne tardant pas à libérer un jet de sperme qui se répandit sur le sol. Sans un mot, et sans se préoccuper à présent de moi, il ne trouva rien de mieux à faire que de se rhabiller et de sortir de la cabine, puis des toilettes, je m'apprêtais à faire de même quand, divine surprise, je découvris Claude. J'espérais que ce dernier me reconnaîtrait sans problème. Effectivement ce fut lui qui le premier m'adressa la parole.

 

- Il ne se passe pas grand-chose ce soir !

- Non en effet !

- On va boire un coup ?

- Bien sûr !

 

Nous nous dirigeâmes vers "le Barcelone", le même bistrot que la dernière fois. Chemin faisant il m'expliqua que Berty était parti en province, que lui aussi était déçu par l'ambiance des toilettes de la gare, que néanmoins il avait conclu quelques fois en allant au bar, le patron de l'établissement ne permettant l'accès à la remise qu'aux "couples" et encore pas à tous.

 

- J'ai une de ses envies de me faire enculer ! me dit Claude

 

Je faillis lui dire que moi aussi, mais me retint au dernier moment, prenant soudain conscience que nous étions tous deux plutôt passifs, ce qui ne simplifiait pas vraiment la situation. Nous fûmes accueillis à bras ouvert par Pablo le patron qui carrément embrassa Claude, puis s'adressant à moi avec un délicieux accent espagnol :

 

- Je te reconnais toi, tu étais venu une fois dans la remise avec lui !

- C'est bien d'être physionomiste !

- Ma qué ! Je me souviens de ton petit derrière, tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu dois aimer cela te faire enculer, hein !

 

Je ne pouvais décemment pas répondre que je n'avais jamais essayé et me contentait de lui faire un clin d'œil approbateur.

 

- On peut aller directement dans la remise demanda Claude

- Ah ! Petit problème, je suis en travaux, mais provisoirement j'ai privatisé la salle du haut, vous pouvez y aller, il y a déjà deux gars. Vous pouvez faire absolument ce que vous voulez comme dans la remise !

 

Nous montâmes donc l'escalier, qui n'était condamné que par une simple cordelette, au milieu de laquelle pendouillait une pancarte "accès privé, fermeture provisoire"

Il y avait 2 hommes dans la salle, qui ne faisaient rien de particulier, peut-être attendaient-ils d'autres personnes. Claude m'invita à s'asseoir à côté de lui (et non pas en face) et dès que nous fûmes assis, il attaqua ma braguette, je lui rendis bien sûr la pareille, et très vite nos bites se retrouvèrent à l'air ! Claude pour être plus à l'aise, baissa carrément son pantalon et son slip, je ne pus que l'imiter. A ce moment survint Pablo le patron avec des consommations que nous n'avions pourtant pas commandé, il posa deux verres sur la table, puis s'adressant à moi :

 

- Regarde c'est pour toi !

 

A ces mots il sortit sa bite, pratiquement déjà en érection, une merveille, bien droite, la peau légèrement ambrée, le gland tendu. Comme dans un rêve je m'emparais de l'engin et lui imprimait quelques mouvements masturbatoires !

 

- Suces !

 

Je n'attendais que cela, le contact de sa bite dans ma bouche était délicieux, la bite à une texture de peau très particulière qui en rend le contact avec la langue extrêmement agréable. Tandis que je suçais Pablo, Claude lui s'était penché sur ma propre pine et me suçait lui aussi. Quel moment délicieux, j'essayais de calquer le rythme de la fellation que je faisais à Pablo sur celle que Claude me faisait. La bite de Pablo avait maintenant acquise sa rigueur maximum et j'étais comme sur un nuage de plaisir et de volupté. Mais tout à coup je sens qu'il va se retirer, je pense que c'est pour jouir hors de ma bouche. Mais non ce n'est pas cela. Et soudain je réalise, il va m'enculer, effectivement il habille rapidement sa queue d'un préservatif.

 

- Maintenant tu vas me monter ton petit cul !

 

Je finis de me déshabiller, et je lui tourne les fesses, pendant ce temps-là Claude me suce toujours. Pablo me malaxe les fesses, il n'en peut plus.

 

- Quel joli cul ! Tu vas voir comme je vais bien te prendre !

 

Je m'aperçois que les mecs du fond se sont rapprochés. Ils assistent maintenant à la scène tout près de nous et se branlent, toutes ces queues finissent par me rendre fou ! A présent Pablo me lèche le trou du cul, je sens sa langue me travailler l'anus et y pénétrer. J'ai peur de jouir à cet instant et je fais signe à Claude de marquer une pause. Lequel Claude en profite pour faire une tentative d'approche vers l'un de nos deux spectateurs qui accepte bien volontiers, mais le deuxième ne veut pas être en reste et voilà donc Claude en train de sucer alternativement les deux jeunes hommes. Sur ces entre faits Pablo m'a maintenant introduit un doigt dans l'anus, le voilà en train de me farfouiller, faisant naître un plaisir trouble. Mais soudain une voix retentit :

 

- Pablo !

 

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Apparemment Pablo fut obligé de tout interrompre pour redescendre, me plantant là avec mon cul prêt à l'emploi. Jim, l'un des deux spectateurs en profite pour venir derrière moi :

 

- Je peux te prendre ?

- Oui mais avec une capote ! Je vais te sucer un peu avant

- No problème !

 

Chaque bite possède finalement un goût un peu différent, celle de Pablo était parfaitement clean et récurée, celle de Jim sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas du tout, je trouve que c'est même bien plus authentique.

 

- Elle est bonne ma queue ?

- Elle sent un peu la pisse, mais elle est bonne !

- C'est express, c'est meilleur ! Rigole-t-il

-

Claude de son côté a cessé sa fellation et il est maintenant en train d'embrasser goulûment son partenaire sur la bouche. J'espère que je n'aurais pas à faire cela, n'en ayant absolument pas envie.

Jim se retire de ma bouche pour maintenant enfiler la capote, j'ai confiance, je me dis que ce n'est pas plus mal que ce soit lui qui me dépucelle, sa bite étant moins volumineuse que l'engin de Pablo. Après quelques préliminaires, il me fait courber en avant et je sens une poussée vers mon anus, ça fait un peu mal, mais j'essaie de supporter, il entre de plus en plus, je sens que je vais crier, il pénètre encore, je vais pour lui dire d'arrêter quand je perçois que Jim commence un léger mouvement de va-et-vient, je ressens un plaisir trouble et de plus en plus évident

 

- C'est bon !

 

A trois mètres de là, c'est maintenant Claude qui se fait enculer à son tour. Je sens que le va-et-vient ralentit, puis s'arrête, Jim vient de jouir, il se retire. Je me suis fait enculer et j'en suis fier. Les deux compères nous diront poliment au revoir, mais avant nous eûmes droit à cette étrange proposition :

 

- Ça vous dirait qu'on se revoit, et si ça vous intéresse, on pourrait s'arranger pour ma bite elle sente encore plus la pisse ! On pourrait se faire une petite partie uro. On est souvent là le mardi !

 

C'est avec enthousiasme que Claude accepta cette proposition et les deux larrons s'éclipsèrent alors me laissant seul avec ce dernier qui passant derrière moi, entreprit de me lécher l'anus.

 

- Il faut que je jouisse à présent ! Que je lui dis

- Je te suce à fonds ?

- Ok

 

Ce qui m'embête c'est que je vais être obligé de lui en faire autant après avoir joui.

 

- J'ai une autre idée, viens par terre, on va faire un soixante-neuf.

 

L'idée lui plut, nous voici sur le sol en train de nous sucer mutuellement, c'est lui le premier qui déchargea dans ma bouche, je ne tardais pas en en faire autant. On se relève, il s'approche de moi avec une infinie tendresse, c'est ce que je redoutais, mais je ne peux pas lui refuser cela, et donc pour la première fois de ma vie j'embrassais un homme sur la bouche, mais pas n'importe quelle bouche, une bouche remplie du goût du sperme, rien que ça faillit me faire rebander.

En descendant Pablo revenu derrière son bar nous interpella tous les deux mais je compris que quelque part le message s'adressait surtout à moi.

 

- Désolé pour tout à l'heure… un coup de fil urgent…Mais revenez quand vous voulez, même tout seul et cette fois, je vous enculerais bien comme il faut !

 

Que voilà une proposition bien alléchante, mais une troisième dans un tout autre genre m'attendait

 

- T'es quoi au juste, t'es homo ou t'es bi ? Me demanda Claude

- Bi !

- Je m'en doutais !

- Tu sais ma femme à un fantasme, c'est de me voir faire des trucs avec un autre homme, ça te dirait si j'organisais une petite rencontre, bien sûr tu pourras la baiser aussi si ça te dit

- Super pas de problèmes !

 

Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et quelques jours après nous convenions d'un rendez-vous chez Claude, mais ce ne serait que dans un mois.

 

à suivre

 

Estonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
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