Mercredi 2 août 2000 3 02 /08 /Août /2000 00:15

Brigitte Parade,

Récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Brigitte est revenue de ce laborieux voyage professionnel qui a duré dix-sept jours. A l'aéroport, une mélodieuse et suave voix féminine invite les voyageurs à emprunter les transports en communs, les taxis étant affectés par un mouvement social (on ne dit plus en grève !)

 

Elle prend donc le train, puis le bus, le trajet est relativement long

 

Brigitte est une belle jeune femme aux cheveux blonds cendrés s'éparpillant en boucles sur ses épaules. Elle est assez ronde.

 

- " Trop ronde ! "

 

Non ! N'exagérons rien, peut-être légèrement forte, mais elle n'a rien de difforme ni d'obèse, loin s'en faut. Sa belle poitrine fait néanmoins un bon 100 D. cela la complexe un peu. Les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine. Elle est vêtue d'un tailleur gris légèrement rayé, à la coupe très classique, et orné d'une broche dorée en forme de paon. Un chemisier rose et l'inévitable foulard en soie paraphé d'une signature alambiqué complète cette trop sage panoplie.

 

Le trajet s'éternise, il y a des embouteillages partout et l'autobus n'avance pas. Un homme s'assoit devant elle et semble impressionné par le physique de Brigitte. Après être resté quelques minutes en arrêt devant elle il lâche brusquement et de façon tout à fait incongru :

 

-  Tiens bonjour ! J'ai failli ne pas vous reconnaître ! Comment allez-vous ?

 

Elle ne l'a jamais vu ! S'agit-il d'une confusion involontaire ou d'une nouvelle façon de draguer. ? Elle dévisage le type, genre cadre dynamique, la trentaine, pas moche, mais le pauvre n'a pas de chance, il ignore que Brigitte est peu attirée par les hommes. Elle décide de s'amuser et sans se démonter, lui répond le plus sèchement possible ! :

 

-  Je vais très bien, merci, et vous aussi sans doute, mais il ne me semble pas que nous nous connaissions ?

 

Le type est déstabilisé, et bredouille un vague truc, du genre :

 

- J'ai dû confondre avec quelqu'un d'autres !

 

Et il plonge dans son journal, en pleine confusion !

 

Elle décide d'insister un brin sadiquement.

 

- Remarquez, je rencontre beaucoup de monde, il est parfaitement possible que nous nous soyons déjà rencontrés, mais sans doute brièvement, et sans que cela me frappe sinon je m'en souviendrais !

 

Le type répond par monosyllabe, il ne sait plus où se mettre, la partie ne lui appartient plus

 

- Voyons, avec qui pourriez-vous bien confondre ? Vous travaillez dans quelle branche ? ... Ah ! Non alors ce n'est pas moi ! , Quoique. ?...

 

Elle fait semblant de chercher. Le type du coup se retrouve de l'intérêt, et tente de réorienter la conversation. Mais Brigitte ne répond a aucune de ses questions et alors qu'il lui parle d'on ne sait quoi elle n'aura comme toute réponse que :

 

- Quelle chaleur suffocante dans ce bus !

 

Réflexion non innocente qu'elle accompagne du geste en déboutonnant deux boutons de son chemisier. Du coup le type perd le fil de qu'il disait, deviens cramoisi, prend cela pour une invite et cherche déjà dans sa tête la petite phrase magique qui lui permettra d'entrer pour de vrai dans son rôle du dragueur irrésistible.

 

Ce qu'il ignore c'est que Brigitte est pratiquement arrivée à destination, et alors qu'il allait balbutier quelque chose, c'est fort sèchement, mais en soutenant son regard qu'elle conclut en ces termes cette rencontre de dupes :

 

- Ecoutez Monsieur, nous ne saurons jamais si nous nous sommes déjà rencontrés. Cela ne fait rien, cela m'a été agréable de causer avec vous, mais je tiens à ma tranquillité, et si vous me croisez de nouveau, je vous remercie de bien vouloir m'ignorer. !

 

Patatras ! Le type devient rouge comme trois tomates et deux poivrons.

 

Elle s'était bien amusée. En rentrant, elle trompe sa faim en mangeant n'importe quoi et se couche, harassée, sans avoir pris le temps de prendre une douche

 

- " On verra ça demain !"

 

Elle se réveille tard, trop tard !

 

- Putain, tout le boulot que j'ai à me taper ce week-end. Il y a tout le linge du voyage à laver, la maison qui est plein de poussière. Autant démarrer tout de suite !

 

Elle s'amuse à se coiffer la tête d'un fichu blanc, cela lui donne un petit côté " Perrette et le pot au lait ", puis va pour se recouvrir d'une simple blouse, puis se ravise

 

- " Si Annette se pointe ! "

 

Elle ouvre une commode

 

- " Plus rien à me mettre ! "

 

Par jeu elle choisit un porte-jarretelles noir ainsi que les bas assortis, un petit corset beige avec des motifs, un joli corsage blanc sans manches, et elle recouvre le tout d'une blouse tablier blanche à pois bleus

 

- " On va commencer par la lessive "

 

Brigitte jette tout le linge dans une panière et va pour descendre à la buanderie.

 

- Hello !

 

Brigitte_Ulla01.jpg

 

Evidemment c'est Annette, sa voisine, c'est bien le moment !

 

- Salut, toi ! Je suis un peu débordée, je démarre la machine à laver et je te fais un bisou !

 

Annette est une petite brune avec des cheveux coupés au carré. Elle est habillée d'un blue-jean et d'une espèce de tee-shirt publicitaire très ample et somme toutes assez nul dont elle s'est amusé à couper les manches. Elle a eu la coquetterie de rajouter une grosse ceinture grise par-dessus. 

 

Annette la suit dans la buanderie. Elle a l'œil coquin ! Elle attend patiemment que Brigitte déverse tout le linge dans le tambour du lave-linge, et fasse démarrer l'appareil, puis lui tend ses lèvres. Les deux jeunes femmes s'embrassent fougueusement un long moment mélangeant langues et salives.

 

- Alors ce voyage ?

- Crevant !

- Tu m'as trompé ! J'en suis sûre !

- Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?

- Alors c'est oui !

- Ben oui, c'est oui !

- Tiens ! Je t'ai fait une surprise ! Regarde ce que j'ai fait à ma petite chatte hier ? 

 

C'est avec un regard pétillant qu'Annette baissa son blue-jean.

 

- Oh ! C'est tout rasé ! C'est super excitant comme ça !

- J'ai une de ses envies !

 

Brigitte crut d'abord que l'envie de sa coquine de voisine était d'ordre sexuel. Et bien non ! Et elle eut la surprise de la voir lâcher un jet d'urine bien dorée dont une partie vint mouiller sa culotte à demi baissée.

 

- Te gênes pas, fais comme chez toi ! Pisse dans ma buanderie !

- C'est pour te punir de m'avoir trompé !

- Tu parles d'une punition !

 

Brigitte voulant montrer à sa copine qu'il en fallait d'autre pour la choquer, lui demanda d'en refaire un petit peu, puis recueillit quelques gouttes du liquide bouillonnant dans sa paume qu'elle lécha.

 

- Hum Délicieux !

 

Annette prit la main de Brigitte pour goûter à son tour

 

- Non ! C'est comme d'habitude !

- Mais c'est toujours délicieux !

- Qu'est-ce que tu en sais ? On a fait ça qu'une fois !

- Non deux fois ! Tu m'excites avec tes cochonneries !

 

Annette ouvrit alors le chemisier de Brigitte libérant ses deux magnifiques globes

 

- Qu'est-ce qu'ils sont beaux ! On ne s'en lasse pas !

- Ils sont trop gros, je vais me les faire raboter !

- Méchante !

 

Et tandis qu'elle pelotait les mamelles de sa copine, ivre de désir, elle lâcha un nouveau jet d'urine dans lequel Brigitte glissa ses doigts

 

Brigitte se débarrassa alors de sa blouse, attirant Annette vers elle pour l'embrasser fougueusement sur la bouche tandis que cette dernière lui tripotait la chatte

 

- T'as pas envie, toi ?

- Si ! Tu veux que je t'arrose ?

- Oui ! Sur ma poitrine ! On va jouer au tee-shirt mouillé !

 

Brigitte écarta bien sa chatte et arrosa copieusement sa copine, le fond blanc du tee-shirt devenait de plus en plus transparent et de plus en plus collant au fur et à mesure de l'opération ! 

 

- On est vraiment un peu dingues ! Commenta Annette d'une voix tremblante.

- Et alors ? Y a pas de mal à se faire du bien, et on ne fait de mal à personne !

 

Mais les apartés de sa voisine n'étaient pas de nature à interrompre l'envie de Brigitte. Et Annette tira sa longue langue sur laquelle le jet vint se briser. Elle ne se contentait pas d'avaler, elle dégustait !

 

- Hum ! Ta pisse est tellement bonne que tu devrais la mettre en bouteille, plaisanta Annette

- Pourquoi pas, la prochaine fois que je pars en déplacement je t'en garde un litre !

- T'es folle ! Frais c'est délicieux, mais après ça fermente ! Oh là là ! Je ne sais pas ce qui m'arrive j'ai encore envie ! répondit Annette se remettant à pisser comme une fontaine

- C'est pas possible ! Qu'est-ce que tu as bu pour qu'il y en ait autant ?

- Du thé au jasmin !

 

Annette retira son tee-shirt trempé, dévoilant une jolie guêpière à fleur de laquelle elle laissa s'échapper deux appétissants petits seins

 

Une banane en plastique traînait dans un coin de la buanderie

 

- Tiens pisse sur la banane demanda Brigitte à Annette qui s'exécuta.

 

Brigitte enfonça alors l'objet ainsi lubrifié dans la chatte d'Annette. Leurs seins se frôlaient leurs donnant la chair de poule

 

- Attends, j'ai mieux, regarde ce que je cache ici, petite coquine ! dit Annette, en exhibant un beau gode noir

- J'aime pas ces trucs-là !

- C'est pas grave, lèche-moi le bout des seins, je vais me le garder pour moi toute seule.

 

Et tandis que Brigitte obtempérait, elle s'enfonça l'objet dans sa chatte humide.

 

- Je ne suis pas vache, je vais te donner un coup de main !

 

Elle demanda à sa voisine de se coucher sur le dos et la chevaucha en lui branlant la chatte avec le gode, tandis qu'elle-même s'excitait. Mais ce sexe offert était trop tentant, il fallait qu'elle le lèche et elle revint titiller le clito de sa copine qui eut un violent orgasme lui provoquant un nouveau jet de pisse, Brigitte s'amusa à en avaler le maximum

 

- C'est mon tour ! décida-t-elle se plaçant au-dessus de sa voisine, qui avait repris son jeu de gode ; visant sa petite chatte rasée.

- Non pas là, dans la bouche, j'ai encore soif

 

Annette sentit le deuxième orgasme s'approcher et alors que Brigitte pissait copieusement dans sa bouche grande ouverte. Annette lampait comme si on lui avait servi une grande bière bien fraîche un jour d'été torride

 

- Moi aussi, je peux encore déclara Annette

- Chouette j'ai encore soif ! répliqua Brigitte

 

Elles changèrent une nouvelle fois de position et tandis que sa copine pissait, Brigitte pressa ses deux seins l'un contre l'autre et les souleva un petit peu de façon à ce que la pisse qui dégoulinerait de sa bouche lui chatouille les tétons.

 

- Tu m’étonneras toujours, mais comme je suis bonne fille je vais maintenant t’aider à finir ton ménage ! Dit Annette !

- Super ! Et qu’est-ce qu’on fait après ? Répondit Brigitte avec une feinte candeur.

- D’après toi ?

 

Fin de l’épisode

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 7/10/2000

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 août 2000 2 01 /08 /Août /2000 07:59

Laura Soif

récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Laura est une grande femme d'une trentaine d'année, elle a de magnifiques yeux bleus, ses cheveux châtains d'où émergent quelques rares mèches blondes sont maintenus sur le haut de la tête en une coiffure très moderne. Elle arbore un sourire conquérant. Ceux qui la connaissent, ne s'y frottent pas, ils savent sa réputation de nymphomane, mais savent aussi que c'est elle qui choisit. Grande amateur d'art moderne, il lui arrive souvent d'être conviée à des vernissages. Ce soir Machisko expose ses œuvres, des machins incompréhensibles dans un dégradé de vieux rose. Elle s'ennuie. Elle est vêtue ce soir d'un tailleur bleu foncé légèrement rayé de blanc. La coupe croisée en est très stricte. Les amateurs de décolletés en seront pour leurs frais.

 

Elle s'en est draguée deux, ce genre de situation l'excite. L'un s'appelle Kurt, c'est un allemand très décontracté, genre sportif aux cheveux court L'autre est Arnaud, type beaucoup plus réservé, la peau un peu mate et ses longs cheveux très bruns sont attachés avec un catogan.

 

C'est ce dernier qui essaie de faire la conversation, il est évidemment question de Machisko !

 

- Un fumiste, l'art moderne en est inondé !

 

Le ton est péremptoire, Arnaud se tait

 

A peine entrée chez-elle, elle attaque, pas de préliminaire, pas de petit verre, pas de musique douce, on ne s'assoit même pas ! Laura a déboutonné deux boutons de sa veste de tailleur et en écarte les pans toisant Arnaud ! Ce dernier ne comprend pas où est passé le chemisier, il y en avait tout simplement pas, il a une superbe vue à présent sur un magnifique soutien-gorge en soie bleue dont la partie supérieure s'orne de fine dentelle noire. Aucun des hommes ne prend d'initiative, subjugués par le charisme de leur hôtesse. Laura retourne la partie dentelée du soutif afin de libérer ses mamelons déjà érigés Elle laisse choir ensuite sa jupe de tailleur sous laquelle ne logeait aucune culotte, et elle se penche en avant et tandis que Kurt lui pelote son magnifique petit cul superbement cambré, elle a déjà dégrafé la ceinture d'Arnaud, lui faisant glisser caleçon et pantalon, et attaque avec la bouche sa bite déjà bien bandée.

 

- Elle est courte mais elle est bonne ! Diras-t-elle un peu plus tard.

 

Elle s'assied à présent sur le canapé. Kurt a à son tour libéré sa longue bite. Laura s'en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation, mais c'est celle d'Arnaud qu'elle garde en bouche, lui astiquant les couilles de son autre main. Cette autre main sera bientôt attirée par son propre sexe qui dégouline de mouille. Elle n'en peut plus, elle veut jouir comme une folle. Elle change de bite et suce maintenant celle de Kurt, demandant à Arnaud de venir la prendre, ce qu'il s'empresse de faire.

 

Mais présentement elle préfère sucer Arnaud que Kurt et demande aux deux hommes d'intervertir leur position, elle se met en position chevauchante sur Kurt et recommence sa fellation sur Arnaud. Ce n'est pas une " avaleuse de bite ", elle à la mâchoire plutôt petite, elle préfère travailler le gland.

 

- C'est ce qu'il y a de meilleur à sucer !

 

Elle s'amuse à le mordiller, faisant sursauter son propriétaire. Elle change de position et demande à Kurt de se placer sur le côté " en paresseuse ", puis en levrette couchée, sa fellation sur la bite d'Arnaud ne faiblit pas, elle la déguste, elle se régale, elle se goinfre ! Sa main astique son clito. D'un coup elle n'est plus là, elle ne sait plus où elle est partie ! Elle se tétanise soudain et elle pousse un hurlement de jouissance, puis son corps est atteint d'impressionnants soubresauts tandis que ses cuisses dégoulinent de mouille. Elle a joui, pas les mecs ! Elle se reprend assez vite.

 

- J'ai soif ! Donnez-moi à boire !

 

Déjà Kurt se précipite vers la cuisine, mais Laura à une autre idée en tête, elle demande à Arnaud de venir avec elle dans la salle de bain. Elle retire à présent son soutien-gorge, mais elle garde son porte-jarretelles assorti et ses bas. Kurt les rejoints avec trois bières et un décapsuleur.

 

- Pose ça là ! Pour l'instant, vous allez me pisser dessus !

 

Laura02.jpg

 

Elle dit cela avec un air si malicieux, une si belle coquinerie affichée dans le visage, que Kurt n'hésite même pas et tandis que la femme s'est accroupie, il lui dirige son jet de pipi sur sa belle poitrine.

 

- Je t'ai dit que j'avais soif ! Connard !

 

On ne lui dit pas deux fois à Kurt, et il réoriente le jet vers la bouche ouverte de Laura. Arnaud a plus de mal à démarrer, il se demande où il a mis les pieds mais il n'ose plus reculer, quelques gouttes finissent par émerger de son gland. Laura s'en empare afin de les laper à la source, décidément elle à une grosse préférence pour la bite à Arnaud. Elle revient au jet de Kurt qui lui ne tarit pas, elle en avale une goulée et pendant ce temps serre les dents, faisant dégouliner le trop plein sur son corps, une fois, la bouché avalée, elle desserre les dents et s'applique à recevoir le jet directement au fond de son gosier.

 

Il fallait bien qu'à un moment le jet de Kurt se tarisse. Alors elle le suce, lui mordille le gland. Arnaud, lui, semble avoir repris des ressources et libère un long jet. Laura se retourne et lui présente ses fesses

 

- Vas-y ! Fout-m'en partout !

 

Son cul et ses cuisses sont trempés. Elle se retourne !

 

- Les seins maintenant !

Il l'arrose

 

- Je veux encore en boire !

 

Son urine a été longue à venir mais dorénavant il n'arrête plus, il lui vise la bouche, ça dégouline de partout tellement le flot est abondant. Kurt en remet de son côté une petite lampée. Laura a maintenant saisi la bite d'Arnaud et s'en servant comme d'une douchette dirige le jet vers toutes les parties de son corps. Kurt se branle. Laura a pitié de lui et lui léchouille le gland. Arnaud s'aventure du côté de la chatte.

 

- Tu as aussi t'as soif ?

 

Il a un mouvement de recul.

 

- Tu as déjà essayé ?

- Non !

- Ben alors qu'est que tu attends ?

 

Son excitation ne prête pas à la réflexion, il lèche le minou rasé de Laura d'où quelques gouttelettes jaunes ne vont pas tarder à émerger. Il goutte, il est surpris par le goût qui n'a rien de repoussant. Il la lèche au milieu de sa pisse, il n'en peut plus il en redemande. Il s'applique à la faire jouir, ce qu'elle fit bientôt pour la deuxième fois de la soirée.

 

- J'ai la chatte brûlante, arrose-la-moi !

 

Arnaud trouve encore l'énergie de repisser et dirige le jet vers la chatte brûlante de Laura avant de finir n'importe comment sur son corps. Pendant tout ce temps Laura n'a pas lâché sa fellation sur la bite de Kurt. Et bientôt ce dernier éjacule dans sa bouche. Arnaud implore qu'on lui fasse pareil, il se branle, il est au bord, Laura va pour le prendre en bouche, mais le simple contact de sa main sera de trop, il éjacule sur le corps mouillé de Laura.

 

Elle regarde l'image que lui renvoi son miroir, celle d'une belle femme complètement trempée tenant dans chaque main une bite encore bandée. Une femme rayonnante de plaisir et de bonheur

 

Elle lâche la pine de l'Allemand.

 

- Alors tu nous les débouches tes bibines ? On a soif !

 

© Jean-Sébastien Tiroir - 1996 - revu et corrigé en 2000  

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 30 juillet 2000 7 30 /07 /Juil /2000 07:27

La Flaque

récit uro-lesbos

par Helena Sevigsky

 

unknows.jpg

 

Je suis divorcée et ça y est j'ai dépassé cette fatidique quarantaine.

 

Quelques mots sur moi : Blonde naturelle d'origine polonaise, 1,55 m, j'ai longtemps gardé les cheveux longs. Ma peau est pâle et craint le soleil, mes seins sont trop gros et j'ai comme disait Sophie dans ses moments de gentillesse : " un grand nez qui donne à mon visage un petit air canaille ". Je ne me plais pas mais je plais. Pas à tout le monde, mais je plais.

 

Gamine, je fantasmais plus sur les filles que sur les garçons.

 

- Ça te passera quand tu rencontreras un homme que tu aimeras ! M'avait dit ma marraine à qui j'avais confié mes angoisses.

 

Je me suis marié trop tôt à un garçon charmant et intelligent, qui me foutait une paix royale, j'étais vierge, je l'aimais, pas une foudre de guerre au lit, mais attentionné, il n'oubliait jamais mon propre plaisir.

 

Je ne l'ai trompé que deux fois, une fois avec un homme, c'était sympa mais ça ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, une autre fois avec une femme, et là cela m'a laissé un souvenir ineffaçable ! Mon mari me trompait à tour de bras, je fermais les yeux, je lui demandais simplement de ne pas prendre de maîtresse.

 

On a fini par se séparer, non pas à cause de ce que je viens de dire, mais tout simplement parce qu'on ne faisait plus rien ensemble, sinon bouffer et dormir. On ne s'est même pas fâché, et parfois on se téléphone.

 

J'ai essayé d'apprendre à vivre toute seule. Je n'ai pas mon permis de conduire, faire les courses au supermarché qui est à deux kilomètres avec mon caddie devint vite une corvée. Je me rendis compte que je n'avais jamais éprouvé le besoin d'apprendre comment faire fonctionner le magnétoscope. J'étais incapable d'effectuer une réparation, appelant l'électricien alors qu'il fallait juste changer un fusible. La goutte d'eau de trop fut quand je voulus refaire la peinture de ma cuisine, une catastrophe, j'avais tout simplement le vertige sur mon escabeau. Il me fallait un mec ! Mais d'autre part ma nouvelle liberté avait fait ressurgir de vieux démons et c'est souvent que je masturbais en m'imaginant au lit avec une femme.

 

Je ne me masturbais d'abord qu'en pleine nuit, dans ma chambre et sous mes draps, mais j'ai vite réalisé que cela m'excitait davantage de le faire en pleine lumière pour me permettre de regarder mon corps sous la jouissance. Je me donnais ainsi du plaisir les jambes écartées, deux doigts d'une main dans la chatte tandis que l'autre pinçait mes tétons. Un jour après avoir joui, je me rendis compte que les rideaux de la chambre n'étaient pas tirés à fonds. Peut-être m'avait-t-on vue ? D'autres en seraient mortes de honte. Pas moi, sans doute un vieil exhibitionnisme refoulé qui remontait à la surface !

 

A ma boîte, le volume de travail dans mon bureau baissait dangereusement, et on me proposa une mutation dans un autre immeuble. Enfin quand je dis " proposa "… Me voici donc à La Défense (40 minutes de trajets en plus) dans un environnement inconnu. On m'explique le boulot, ce n'est pas très compliqué.

 

Il y a dans le bureau une belle blonde (fausse) les cheveux tirés en arrière et maintenu par une petite queue. Mon dieu qu'elle est belle, je n'arrête pas de la reluquer. Si ça continue, elle va s'en apercevoir, j'essaye de me dominer, mais cette fille est un véritable aimant. J'essaie de me dominer, les femmes attirées par les femmes ne sont pas si nombreuses que ça, et même si c'était le cas, pourquoi serait-elle libre ? Plutôt la garder pour mes fantasmes. Voilà la solution, ce soir je me masturberais en pleine lumière en pensant à elle. Je suis tout excitée et sens une tiédeur moite dans ma culotte, il va falloir que je me calme ! L'aimant refonctionne, je la regarde à nouveau, et cette fois elle s'en est aperçue et me balance un doux sourire ! Je rêve ou quoi, je suis en train de fondre !

 

J'essaie de me concentrer sur mon travail et parviens à me calmer. Une heure après sans doute, la voici qui s'approche de mon bureau, je peux la voir entière. Elle est craquante, les seins ne sont ni trop gros ni trop petit, elle est plus grande que moi, elle me tend une enveloppe non cachetée. Elle se penche, et l'espace d'un instant j'aperçois un sein dans le déboutonnage de son chemisier. Je ne sais plus ou me foutre. Elle se redresse, et dans cette position personne ne peut plus rien voir.

 

- Je pense que c'est à vous ce document ?

- Non !

- Si ! Si ! Il y a votre nom à l'intérieur !

- Ah bon merci !

 

Elle regagne sa place, je sors de l'enveloppe un bout de papier plié en quatre. Je lis stupéfaite : " Si tu veux me joindre après 19 heures, voici mon téléphone personnel. Pour ce qui est du bureau, sois discrète, ma réputation est faite mais pas la tienne. Bisous (si tu veux)"

 

C'est pas vrai. ! Je m'efforce de ne pas regarder dans sa direction, le papelard je l'ai lu dix fois, vingt fois, je l'ai appris par cœur.

 

En sortant du boulot, je ne rentre pas chez moi, je décide de rester à Paris jusqu'à l'heure du coup de fil. Dès fois qu'elle me demande de la rejoindre. L'attente m'angoisse, il fait très chaud, une douche m'aurait fait du bien, je vais boire un truc dans un bistrot afin de profiter des toilettes pour me remaquiller.

 

- Allô c'est Hélène !

- J'étais sure que tu téléphonerais !

- Je n'ai pas été très discrète !

- Peu importe, j'adore ce genre de situation… Tu es où en ce moment ?

- Dans un bistrot près du Forum

- T'es libre ?

- Oui ! (J'ai failli crier !)

- Et bien, explique-moi où il est ton bistrot et j'arrive dans une petite demi-heure !

 

La petite demi-heure dure déjà depuis 35 minutes et toujours pas de Sophie à l'horizon. Après 10 nouvelles minutes, je retéléphone, ça ne répond pas, elle est donc en route… ou alors elle s'est foutu de ma gueule, ou il lui est arrivé quelque chose ou alors…

 

- Bonsoir Hélène !

- Bonsoir… Euh ! Je peux t'embrasser ?

- Bien sûr !

 

Elle se déplace pour me faire un bisou et au lieu de s'asseoir face à moi elle s'installe à mon côté. Elle défait un bouton de son chemisier et écarte légèrement le tissu, puis se positionne afin que je puisse y plonger mon regard. Elle n'avait pas les seins nus comme je l'avais cru tout d'abord, mais un soutien-gorge à balconnet, ce qui ne change pas grand-chose….

 

Je me souviendrais toujours de nos premiers propos échangés où en deux phrases elle jeta aux orties quelques idées que j'avais pourtant bien arrêtées.

 

- Alors comme cela, t'es attirée par les filles !

 

Alors je lui sors mon couplet, non, je ne suis pas lesbienne, je suis bisexuelle, et puis un homme c'est quand même pratique, et je lui parle de mes petits soucis domestiques ! Elle m'écoute sans m'interrompre, elle sait écouter, et soudain elle balance :

 

- Mais Hélène ! Tous ces trucs dont tu me parles, ça s'apprend ! Comment je fais, moi ?

 

Je ne sais plus quoi répondre !

 

- Ouais t'as peut-être raison !

- Je t'emmène chez moi ?

 

J'acquiesçais de la tête, ivre de bonheur, incapable de sortir un son.

 

Non, je ne vous raconterais pas cette torride première soirée, un jour peut-être. Sophie est devenue ma maîtresse. Jamais je n'avais connu un tel bonheur, le plaisir d'être avec quelqu'un que l'on aime et puis son savoir-faire qui m'épuisait littéralement en orgasmes à répétitions.

 

Elle avait ses cotés chiant.

 

Dans le catalogue des réflexions à deux balles sur les lesbiennes. Il y a toujours un imbécile qui posera la question stupide : C'est laquelle qui fait l'homme ? J'essayai de répondre que les amours entre femmes sont justement autre chose, et qu'il est ridicule de recréer des rapports singeant ceux des couples ordinaires.

 

N'empêche qu'elle me dominait, mais c'était un jeu et je m'y prêtais volontiers.

 

Un jour pour me punir de je ne sais pas trop quoi (elle était toujours en train de me punir !) elle a voulu me faire le ménage à poil avec le manche du plumeau enfoncé dans mon cul pendant qu'elle, assise comme un pacha dans le fauteuil bouquinait un roman policier. Bien sûr ça n'a pas tenu longtemps et en plus ça m'a fait mal au cul, mais ce genre de situation avait le don de m'exciter !

 

Et puis elle avait des idées spéciales, un jour pendant l'amour elle m'a carrément pissé dessus.

 

- Mais t'es givrée ou quoi ?

- Pourquoi ? C'est pourtant d'un classique, il faut sortir ma grande…

- Je ne veux pas de ça !

- Bon, d'habitude ça ne choque pas tant que ça, mais c'est comme tu le sens !

 

Et sur ce elle se lève du lit

 

- Tu fais quoi ?

- Ben je vais pisser dans les chiottes !

 

En revenant, elle enfila une robe de chambre !

 

- Qu'est-ce que t'as, t'es fâchée ?

- Je ne suis pas fâchée, je suis contrariée !

- C'est pas de ma faute si tu as des idées bizarres !

- C'est pas de ma faute si tu as des inhibitions !

- Ce que tu peux être chiante, bon allez pisse-moi dessus ! Puisque ça te fait vraiment plaisir !

- Je n'ai plus envie !

 

Le " boudage " sexuel dura quelques jours. Je décidais donc de mettre les pieds dans le plat.

 

- Bon, écoute Sophie, on n'est pas obligé d'avoir les mêmes fantasmes ! Alors je veux bien que tu me pisses dessus, ce que je ne veux pas c'est que ça devienne systématique. Et puis, je ne veux que la pisse ! Pas autre chose ! Ça te va comme ça ?

- C'est quoi autre chose ? Tu as peur que je te chie dessus ! Chaque chose en son temps.! La merde et la pisse c'est deux choses différentes, ça n'a rien à voir !

- Alors d'accord !

- Et toi tu me pisserais dessus ?

- Mais t'es malade, je suis incapable de pisser sur quelqu'un !

- C'est pas difficile, tu fermes les yeux et tu te forces !

- Mais je ne veux pas ! Pas tout à la fois, Sophie !

- Et si je te pisse dessus, t'en boira un peu ?

- Tu cherches quoi ? A me provoquer ?

- Je te signale que sauf quand on a mangé des asperges, le goût de la pisse n'a rien de désagréable, mais arrêtons là-dessus. Non, je ne provoque pas ! Je vois bien que ça te gênes, mais tout le monde à des pulsions cachées au fond de soi. Je n'aborderais plus le sujet pendant quelques semaines, mais je voudrais simplement une chose :

- Dis toujours !

- Je voudrais que maintenant à chaque fois que tu iras pisser, l'idée d'en déposer un peu sur tes doigts et de les lécher te vienne dans la tête !

- N'importe quoi ?

- Bon et maintenant on ne parle plus de ça et on fait la paix ! Viens m'embrasser !

 

On a du faire l'amour après, je ne me rappelle plus, mais sans pipi ! Quant à son idée ridicule j'espérais bien qu'elle allait disparaître de ma mémoire aussi facilement que ses autres idées biscornues !

 

C'est en allant pisser que sa phrase me revint en tête ! Elle est vraiment allumée la Sophie ! N'empêche que cela devenait obsessionnel, j'étais beaucoup plus troublée que je ne l'aurais imaginé par ce jeu pervers. Plusieurs fois, je me mouillais les doigts, mais me dégonflait toujours au moment de les porter à ma bouche, il y avait bien l'odeur, mais la pisse fraîche ne sent pas grand-chose, et cette odeur, cette légère fragrance ressemble tellement à celle de la chatte de Sophie. La solution était peut-être là, me contenter de l'odeur… Non ! Je savais maintenant qu'un jour je le ferais. Quel magnifique cadeau ce serait pour Sophie !

 

En fait les choses ne se passèrent pas tout à fait comme cela :

 

Nous étions sorties avec deux de ses copines. Elle m'agaçait à m'imposer ses copines, mais celles-ci étaient malgré tout supportables. Nous consommions à une terrasse de café.

 

On avait beaucoup bu et quand je suis un peu saoule, je ris sans arrêt, et là j'avais vraiment trop bu !

 

A force de rire et de boire une énorme envie de faire pipi vint me tordre le ventre. J'avais peur de me lever pour aller aux toilettes, je commençais à avoir le tournis…

 

La crainte de me faire pipi dessus me fit encore plus rire, mais pas longtemps, cette fois je serrais fort les cuisses, de véritables crampes me torturaient le ventre, mais comment demander à Sophie de me soutenir sans lui faire honte devant ses amies ? Je devais être blanche quand les premières gouttes arrivèrent, mon seul réflexe fut de retrousser ma jupe sous mes fesses pour ne pas la tacher. Le froid de la chaise sur mes fesses n'arrangea rien. Je paniquais comprenant qu'il ne m'était plus possible d'arrêter le flot. Je m'excusais en disant qu'il me fallait aller d'urgence aux toilettes. Une fois seule il fallut faire vite, ma culotte était déjà toute mouillée, je me levai et m'aidant des murs me sauvai vers les W-C. Je réussis tant bien que mal à baisser un peu ma culotte. Je fis un pipi énorme, mis ma culotte mouillée dans mon sac et m'aspergeai un maximum pour essayer de chasser les vapeurs d'alcool. En revenant j'eus la surprise de voir Sophie occuper ma place ! Je ne compris pas, elle allait avoir le cul trempé. Sans trop chercher à savoir, je m'assis donc à la sienne.

 

- Tu es belle ce soir !

- Pourquoi ce soir ?

 

Et puis quelle idée de me faire une déclaration devant les deux autres pétasses ! Sophie tendit sa main vers mon visage, sa main était légèrement humide, je ne compris pas tout de suite ce qui allait se passer. Elle approcha ses doigts de mes lèvres !

 

- Lèche !

 

Wetcat1037b.jpg

 

Je le fis et réalisa enfin, effectivement cela n'avait rien de dégoûtant, et tandis qu'un plaisir trouble envahissait l'intérieur de mes cuisses, je décidais de l'étonner, la Sophie !

 

- Donne-m'en encore !

 

J'ai encore en mémoire le visage de Sophie, rayonnante du présent que je lui faisais.

 

Sophie proposa alors d'aller boire un dernier verre chez elle, nous nous sommes levées.

 

Je repartis dans un fou rire en passant devant la table où nous étions, sur la chaise que quittait Sophie, une petite flaque attendait le prochain client...

 

© 2000 Hélèna Sevigsky

Helenesevigsky@hotmail.com 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 juin 2000 6 10 /06 /Juin /2000 19:40

Les urinoirs de la gare 4
4 - Une partouse très bizarre

 

stamp_partouz-copie-1.jpg

      Thémes abordés : bisex féminine, bisex masculine, coprophilie, domination soft, feuille de rose, party, pluralité masculine, scato, spermophilie, uro.

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Les lecteurs qui n'ont rien contre les histoires gays reliront avec intérêt les chapitres 1, 2 et 3 de la série des Urinoirs, celle-ci sera plutôt bisexuelle, uro et scato… âmes sensibles s'abstenir 

 

Quand je vais au travail, je pars quand je suis prêt, il ne m'arrive pas souvent d'être prêt de très bonne heure, mais ça m'arrive. Et ce jour-là j'étais très en avance. L'envie me prend de me rendre aux urinoirs de la gare. Cela faisait un petit bout de temps que je n'y étais pas retourné, j'en connaissais maintenant les pièges et les habitudes, et avait constaté que les habitués du matin étaient en général beaucoup plus corrects et intéressants que ceux du soir. Malgré tout je n'étais jamais venu si tôt. 

A ma grande surprise il y a pas mal de monde et les six urinoirs sont occupés. La plupart des occupants du lieu sont à l'évidence des gens s'apprêtant à prendre le train, bien habillés et serviette posée sur le sol, c'est plutôt rassurant. L'ambiance est assez sereine, il n'y a pas ces regards furtifs incessants vers l'entrée comme à d'autres heures, provoqués par la crainte d'être reconnu, ou par celle de l'arrivée du personnel ou de la sécurité. 


Ça ne se libère pas vite, tout ce petit monde se masturbe dans son urinoir respectif. L'un des branleurs masturbe maintenant son voisin qui non seulement se laisse faire, mais se décale légèrement pour que ce soit plus facile. 


Du coup tout le monde peut voir, et il se forme un mini attroupement. Quelqu'un quitte son urinoir, la bite à l'air pour aller voir. Je me précipite à sa place et je sors ma queue que quelques mouvements de va-et-vient suffisent à faire bander. Je jette un coup d'œil sur ma gauche, bite quelconque et type peu engageant, voyons à droite maintenant… Voilà qui est beaucoup plus intéressant ! Une bonne bite bien longue terminée par un gland bien découvert, une merveille ! 


Le type est un barbu d'une quarantaine d'année. Je mate carrément attendant un geste de sa part, mais il est occupé à regarder ce qui se passe sur sa droite. J'attends un peu, espérant que cette attente ne sera pas veine et qu'il me permettra de le caresser. Ça y est ! Il tourne la tête, il regarde ma bite, un très bref échange de regard et il lâche son sexe, me laissant le champ libre, je la lui branle un petit peu, et je lui caresse le gland, les couilles et la verge. Cette bite est trop belle, il me la faut dans la bouche et pourquoi pas dans le cul. Je vais pour lui proposer de nous déplacer dans une cabine, quand soudain un type avec un sans-gêne incroyable s'interpose entre nos deux urinoirs. Surpris, je lâche la bite de mon voisin laissant ainsi la place à l'intrus, et je quitte ma place, dépité. 


J'attends un peu derrière. Puis très vite le barbu se reboutonne et sort des toilettes… Je suis déçu, je sors à mon tour, je traîne quelques minutes au kiosque à journaux, puis monte dans le métro pour me rendre à mon travail, et là je me plonge dans la lecture de mon journal, quand soudain…


- Excusez-moi ?


La surprise est de taille, le barbu est là devant moi


- Ça va ?


Manifestement il ne sait pas trop quoi dire.


- Faut toujours qu'il y ait des cornichons qui viennent perturber nos plans ! Reprend-il.

- Oui c'est dommage, j'aurais bien continué ! 

- Mais rien ne nous en empêche !

- En effet !

- Vous êtes homo ou bi ?

- Je suis hétéro, légèrement bi, en fait j'aime bien les bites !

- Super ! Je peux vous proposer quelque chose. Je suis le patron d'une petite activité d'import-export dans le coin. On est que trois, moi, une secrétaire et une employée, et elles sont très délurées, mais ça faisait partie des conditions d'embauches. Si vous voulez, on peut y aller tout de suite ?


J'ai peur que ça fasse un peu juste, mais son bureau est dans le même quartier que le mien. Je suis donc d'accord !


Chemin faisant, il me parle de sa secrétaire, une blonde sculpturale prénommée Carole, il m'apprend aussi qu'il existe des filières recrutant des secrétaires, voire des femmes de ménages à qui leurs patrons demandent en plus de leurs activités d'avoir un comportement sexuel explicite dans certains cas. Souvent ces filles se recrutent dans le milieu des peep-shows ou des théâtres érotiques. Bien évidemment tout cela donne lieu à des primes substantielles ! Il m'explique aussi qu'aujourd'hui vendredi, seule Carole sera là !


Première surprise en arrivant : ce n'est pas Carole qui nous ouvre la porte, mais une ravissante Antillaise. Notre barbu, appelons le Olivier, a l'air déçu !


- Carole n'est pas là ?

- Non sa fille est malade, elle viendra peut-être cet après-midi, et elle m'a demandé de la remplacer !

- Bon d'accord, voilà je te présente Viviane ma deuxième secrétaire.


On s'installe dans le bureau d'Olivier et Viviane nous prévient qu'elle va faire du café !


- Bon comme tu es pris par le temps on va se foutre à poil tout de suite.


J'imite donc Olivier et on se déshabille. Mais voici ce dernier qui me mate les fesses


- Tu en as un joli petit cul ! Tu aimes bien te faire enculer ?

- Si tu fais ça bien, pas de problème !


On s'assoie dans deux fauteuils proches l'un de l'autre en attendant le café, bien sûr mon regard est rivé sur sa bite, il se la tripote un peu, je fais de même avec la mienne et elles ne tardent pas à atteindre chacune une taille respectable. Ma main s'aventure sur sa queue et je reprends ma masturbation interrompue tout à l'heure. Olivier de son côté me rend la politesse et me branle également. C'est dans cette position insolite que nous retrouve Viviane avec le café.


- Ben alors ! On se donne du bon temps !

- Viviane, tu vas nous faire un petit strip-tease, quelque chose de très hot !

- Comme ça, le matin de bonne heure ? Bon mais je vais faire un petit pipi avant et je reviens !

- Non ! Ça fera partie du spectacle, tu feras dans un verre devant nous comme tu l'as déjà fait une fois !

- Ah bon ! Vous voulez du super hard ! Vous n'allez pas être déçus !

- Tu sais ce qu'il va me faire Pascal tout à l'heure ?

- Non ! Mais tu vas me le dire !

- Tu ne devines pas ?

- Il va te sucer la queue ?

- Tu devines tout, et puis… ?

- Je ne sais pas moi, tu vas peut-être lui sucer la sienne !

- Ce n'est en effet pas exclu, et ensuite… ?

- Ensuite vous allez vous enculer !

- Et ça va t'exciter de voir tout cela ?

- Bien sûr, mais pour l'instant c'est moi qui vais vous exciter !


Sur ce, elle commence sa séance, elle n'avait évidemment pas prévu de venir en tenue sexy, et se débarrasse assez vite de son pantalon, fait un peu traîner le déboutonnage de son chemisier et se retrouve ainsi très vite en soutien-gorge et culotte, malgré tout, les gestes sont précis, calculés, on sent le professionnalisme ! Elle libère d'abord sa culotte, se retourne pour dandiner des fesses, puis se recule jusqu'à mon fauteuil, où elle se débrouille pour me frôler la bite avec son postérieur. Je commence à être dans un état d'excitation assez explosif. Elle libère ensuite sa poitrine, un joli 95 bien ferme agrémenté de tétons très noirs et très durs. Elle se penche maintenant vers un petit meuble et tout en tortillant à nouveau des fesses, elle en sort une flûte de champagne. Je n'en crois pas mes yeux, elle pisse carrément dedans. Lorsqu'il est pratiquement rempli, elle s'amuse avec le verre, fait avec sa main le geste de le masturber, puis soudain elle trempe son index dedans, le porte à sa bouche et le lèche. A nouveau elle retrempe son doigt mais cette fois ci elle s'approche de moi et me le tend. Je suis comme dans un rêve et je lui lèche son index dégoulinant de pisse.


- T'en veux encore ? Encore une petite fois ?

- Oui !


Elle recommence !


- J'ai encore envie, je peux te pisser directement dessus si tu veux !


J'approuve, je suis dans un état second. La voici qui retourne dans le petit meuble et qui en extrait une toile en plastique qu'elle dispose à terre. Je me couche dessus. Viviane se met debout au-dessus de moi et commence à me pisser sur la queue, puis elle remonte sur mon torse. Le reste va m'asperger le visage, dans un réflexe, je ferme les yeux et la bouche !


- Ouvre ta bouche, pédé !


J'obéis ! Et avale une gorgée de ce précieux liquide. Elle a terminé. Je veux alors lui lécher la chatte, mais elle refuse. C'est maintenant elle qui a pris la direction des opérations !


- Va le sucer maintenant !


Depuis le temps que j'attendais cela, je me précipite, lui sucer la belle queue d'Olivier est un vrai plaisir, j'essaye de l'engouffrer au plus profond de mon palais, mais elle est décidément trop longue, je me concentre donc sur son gland... Pendant ce temps-là Viviane me tripote les fesses, je sens quelque chose qui essaye de me pénétrer l'anus, effectivement elle tient un gode à la main, mais ne le pénétrera pas ce matin. Olivier vient de jouir dans ma bouche. Viviane s'empare alors de ma queue et la suce goulûment


- Tu me diras quand ça vient ! Je n'aime pas le sperme dans la bouche, mais tu pourras jouir sur mes nichons.


C'est exactement ce qui se passa 5 minutes plus tard. 


Il fallait maintenant que j'y aille ! Rendez-vous fut pris pour le lundi suivant vers 16 heures, et cette fois il y aurait Carole 


Lundi suivant


Olivier me téléphonera entre temps pour m'expliquer qu'il attendait un couple dont le mari était partouzeur, bisexuel et branché "uro". Et la femme une "sacrée cochonne". Il m'indiqua qu'il fallait tout faire pour que le type soit satisfait, ce dernier étant sur le point de signer un contrat…


C'est Carole qui vint m'ouvrir avec un sourire prometteur, cette sculpture devait mesurer 1,80 m et son tour de poitrine était impressionnant sous son chemisier blanc. Elle m'informa qu'Olivier avait été retardé par une démarche à l'extérieur et qu'il arriverait le plus tôt possible. Je m'installe dans un fauteuil, et Carole réapparaît, elle n'a pas changé sa tenue, mais son soutien-gorge a disparu d'en dessous le chemisier laissant apparaître derrière le voile deux magnifiques globes aux bouts déjà tendus par le désir !


- T'es un petit cochon, toi ! Viviane m'a tout raconté !

- Et oui !

- T'aime ça, sucer des bites ?

- Ben oui, quand elles sont belles !

- T'es un peu pédé alors ?

- Non, bi ! En fait, je préfère les femmes !

- Et je suis ton genre de femme ?

- Je n'ai pas de genre particulier, mais je te trouve tout à fait excitante !


- Tu boiras ma pisse tout à l'heure ?

- Bien sûr : avec plaisir !

- Et tu me nettoieras le trou du cul ?


Hum… terrain glissant (c'est le cas de le dire) Elle interprète mal mes hésitations et change de tactique 


- Et tu aimes qu'on te domine ?

- Parfois !

- Tu aimerais que je te domine, là maintenant ?


Mais l'arrivée du couple mit fin à cette curieuse conversation. Ils se présentent, la quarantaine, lui Jérôme, elle Martine, petite rousse à lunettes, très souriante. Le téléphone sonne et Carole revient en nous informant qu'Olivier en aurait décidément pour plus longtemps que prévu, mais que l'on pouvait commencer sans lui.


Carole fait asseoir les deux arrivants, Jérôme à ma gauche, et Martine à ma droite, elle met de la musique, puis commence à se trémousser, malaxant ses gros seins par-dessus son corsage. Le spectacle est très excitant. 


Soudain elle s'approche de moi et de Jérôme et place chacune de ses mains sur nos braguettes, elle parvint après quelques essais à les ouvrir, c'est maintenant à travers nos slips qu'elle tripote nos bites, mais elle n'ira pas plus loin :


- Allez sortez-moi tout cela !


Alba02.jpg 

J'obtempère sans problème, Jérôme également, sa queue est moins belle que celle d'Olivier, mais elle reste néanmoins très correcte. Et tandis que Carole toujours en chemisier entreprend d'enlever le bas, une main se pose sur ma queue, j'attendais celle de Jérôme, mais surprise, c'est Martine. Elle se met à ma masturber très doucement du bout des ongles avec un savoir-faire que je n'aurais pas soupçonné. Du coup Jérôme se met complètement à poil. La main de Martine est repartie, elle s'occupe maintenant de son propre sexe. Carole n'a plus que son chemisier pour vêtement, sa chatte est complément rasée. Elle se dirige vers moi et me demande de me déshabiller à mon tour. Je le fais, bien sûr, puis elle me demande de m'allonger sur le sol ou elle a étalé la même toile plastique que Viviane la semaine dernière. Je sais qu'elle va me pisser dessus. Elle vise carrément mon visage, j'ouvre la bouche, elle s'accroupit pour que cela soit plus facile, je déguste son bon champagne tout chaud et très goûteux, puis s'arrête :


- A toi maintenant ! 


Jérôme connaîtra exactement le même sort, je reste debout un peu idiot ne sachant que faire ! Puis Carole se redresse :


- Tu en voudrais aussi, Martine ?

- Avec plaisir !

- Regarde ce que je vais faire !


Carole recueille un peu de l'urine qui dégouline le long de ses jambes, puis l'applique sur son chemisier juste à l'endroit où sont ses bouts de seins, le chemisier ne tarde pas à devenir transparent, et elle le retire enfin, puis elle remet à nouveau de la pisse sur ses seins et s'approche de Martine.


- Lèche !


Elle le fait ! 


- Tu lèches bien ! Alors c'est bon ?

- Oui !

- Alors t'en veux aussi ?


Elle fait un petit signe de la tête pour dire oui, et déjà Carole l'emmène au milieu de la pièce. C'est à ce moment-là que mon attention est attirée par un bruit insolite, presque imperceptible, j'écoute attentivement, ça vient d'en haut, et je comprends. Olivier n'est pas parti du tout, il est en train de filmer tout cela à l'aide d'une caméra qu'il télécommande à distance. Je trouve le procédé un peu moyen, mais je ne dis rien ! Carole est en train d'embrasser goulûment Martine sur la bouche, c'est assez marrant à voir vue la différence de taille ! Puis elle entreprend de la déshabiller. Un petit peu maigre la Martine, mais les seins sont mignons à croquer…J'ai envoyé une main baladeuse sur la bite de Jérôme qui l'a accepté et que je branle, mais il ne me rend pas la politesse, allez donc savoir pourquoi ? Carole fait ensuite coucher Martine sur la toile déjà pleine d'urine et lui pisse dessus. Cette dernière en avale une bonne rasade.


- Hum c'est délicieux ! Si tu as quelque chose de plus consistant à m'offrir, n'hésite pas !

- Patience ma belle ! On va jouer à autre chose alors !


Carole ouvre un tiroir, d'où elle sort un grand sac plastique, elle en retire trois godes, ils sont quasiment identiques du moins quant à la taille, plutôt standard. Elle se couche sur le sol, toujours recouvert de la toile pisseuse, relève les jambes, puis s'introduit le premier gode dans l'anus, et lui fait faire quelques allers et retours, puis le ressort, souillé de sa merde. Je ne vois pas où elle veut en venir. 


Elle prend le deuxième gode, je crois que c'est pour sa chatte, mais non c'est encore pour son cul, elle le gardera un peu plus longtemps puis le retire et le place à côté du premier. Le troisième gode subira le même traitement. 


Elle se relève prend les godes merdeux et nous les présente 


- Sucez-les !


A ma grande surprise, Jérôme s'empare d'un des godes et sans se poser plus de questions se met à le suçailler. Martine n'hésite pas une seconde et en prend un à son tour en se léchant les babines. Pour ma part j'hésite un peu.


- Tu as tort ! Me dis Carole. Je vais te préparer une belle punition !


Carole recueille à nouveau de l'urine sur le drap, puis fait venir Jérôme et lui en badigeonne le cul ! Je cherchais à deviner quelle serait la suite, quand elle me demande de venir à mon tour.


- Lèche-lui le cul !

- Ça va pas non ?

- Allez, un peu de courage, tu auras sa bite après, ça te plait les bites ?

- Oui mais pas les culs !

- Tu lèches juste un peu, je ne t'ai pas demandé de lui nettoyer le trou !


J'obéis, lèche ce cul plein de la pisse de Carole, c'est de façon complètement inconsciente que je m'approche de son trou, que je l'écarte afin d'y faire pénétrer ma langue, tout cela à un goût un peu acre, pas vraiment génial, mais la situation est tellement excitante. Je veux me racheter de mon hésitation de tout à l'heure, je lui lèche le trou du cul aussi profondément que ma langue le permet


- Donne-moi le gode, maintenant je vais le lécher ! Annonçais-je fièrement. 

- Hé, hé, je savais bien…


Finalement, ce n'est pas mauvais du tout, je lèche bien le truc, le rend tout propre.


- Alors elle est bonne ma merde ?

- Elle n'est pas mauvaise !

- Je dirais qu'elle est délicieuse, reprend Martine. Si tu pouvais nous faire une petite crotte.

- Je vais essayer !


Carole s'accroupit sur le drap, pousse et parvint à sortir un petit étron. Elle le ramasse et alors que je pensais qu'elle allait l'apporter à Martine, elle le lèche, nous balançant un regard vicieux, puis se le met entièrement dans la bouche. Elle le ressort, le faisant dépasser de ses lèvres, et s'approche de Martine qui l'attrape avec sa propre bouche et se met à le sucer comme un bonbon.


Je n'avais jamais vu une chose pareille, je bande comme un sapeur. Je ne suis pas prêt à aller jusque-là, mais j'aurais bien léché un autre gode.


- Qui veut me nettoyer le cul ? demande Carole

- Moi, moi ! M'exclamais-je.


Son fion dégage une odeur très caractéristique, mais je m'en fous, je lèche, je nettoie les taches brunes et fais avancer ma langue dans son rectum. Un régal !


Carole revient vers Jérôme :


- Tu veux jouir maintenant ?

- Oui !

- Et tu veux jouir comment ?

- Sucez-moi ! Toi et Pascal.


Ok on commence par le lécher en même temps, c'est agréable mais pas forcément pratique, Carole prend la direction des opérations et lui gobe la bite, la sortant de temps à autre de sa bouche pour me la faire goûter. Il éjaculera assez vite balançant son foutre sur les nichons de la belle qui s'en badigeonne avec avant que Martine vienne lui nettoyer tout ça.


Martine complètement déchaînée me roule un patin, sa bouche sent le sperme, c'est un peu spécial..


- Je veux que tu m'encule ! Me dit-elle.


On se met dans un coin, elle se positionne en levrette, bien cambré, tous ces trous bien visibles. Je lui lèche un peu le trou du cul pour lubrifier, je mets une capote et je la pénètre.


- Vas-y bourre moi bien le cul ! Traite-moi de tous les noms, j'aime bien !

- Tiens ! Salope, traînée, morue…

- Oh ! c'est bon ! j'adore ça me faire enculer par un pédé.


On est en pleine poésie. Madame jouit en hurlant comme une baleine, je me retire sans avoir pris mon pied


- Bon je me suis bien marré, mais maintenant faut que j'y aille ? Et Olivier il ne revient pas ? Demande Jérôme 

- Je vais essayer de le joindre sur son portable, en attendant vous pouvez vous servir de la douche ! Répond Carole.


Comment c'est fini parce que Môssieur a joui ? Et moi alors ? C'est quoi ce truc ? Mais que dire ? Apparemment Jérôme ne se servira de la salle de bain que pour s'essuyer, car le voici qui se rhabille, et comme Martine l'imite, j'en fais autant… Carole, qui elle est toujours toute nue, revient !


- Il sera là dans une demi-heure !


Quel baratineur cet Olivier mais à quel jeu joue-t-il ?


- Bon je l'appelle demain midi, c'est OK pour ce qu'il m'a proposé ! Annonce Jérôme.

- Monsieur Olivier demande si vous pouvez lui laisser Martine jusqu'à ce soir ? C'est à charge de revanche bien entendu ! 


La partouze étant terminée, Carole a curieusement laissé tomber le tutoiement.


- Mais pas de problème si Martine est d'accord !


Elle a l'air d'accord. Jérôme prend congé et me file sa carte, (qu'en ferais-je ?) il est aux anges ! Je vais pour partir à mon tour quand Carole intervient :


- Ne partez pas, Monsieur Olivier tient absolument à vous enculer à son retour ! 


Quelle poésie ! Le temps de boire un petit rafraîchissement, voici notre Olivier qui se pointe, il ne sait pas que je sais, il doit être excité comme un fou


- Monsieur Jérôme a dû partir, mais il était content de notre petit numéro, et il vous a laissé sa femme pour la journée. Annonce Carole.

- Voici un homme qui a du savoir-vivre ! Répond Olivier


Tout en parlant, il se débraguette, et sort sa queue toute raide. J'ignore pourquoi je suis tout excité ! Je prends ce sexe magnifique et l'introduit dans ma bouche, la fellation dure trop peu de temps malheureusement. Il se chausse le sexe d'un préservatif, baisse son pantalon, et me fait baisser le mien, et tandis que Martine suce les bouts de seins de Carole, Olivier pénètre son dard dans mon fondement, il entrera facilement malgré la belle taille de son sexe, puis commencera par imprimer des mouvements de va et vient, je suis saisi d'un plaisir trouble, indéfinissable, je voudrais que ça dure encore, mais il prend rapidement son plaisir. Il me demande si ça va mais s'éloigne sans attendre ma réponse. En ce qui me concerne, je n'avais pas encore joui, mais il faut croire que tout le monde s'en foutait. Je commence donc à me masturber pour bien leur faire comprendre que j'aimerais bien moi aussi prendre mon plaisir. Carole et Martine sont trop occupées pour venir me soulager et Olivier est parti à côté faire je ne sais quoi…


Puisque c'est comme ça, je décide d'aller me finir dans les chiottes. Mais il y a quelqu'un. C'est donc là qu'allait Olivier tout simplement ! La porte s'entrebâille, et surprise ! J'aperçois Viviane assise sur la cuvette, elle me fait signe de venir.


- Si tu veux, tu peux me pisser dessus, je suis tout excitée


Je comprends alors qu'elle devait être aux côtés d'Olivier pendant la partouze


- J'ai plus envie de jouir que de pisser ! Lui répondis-je en lui montrant ma queue toute raide !

- Force-toi à pisser et après je te ferais un cadeau !


Je ne peux pas refuser pareille proposition, rapidement elle enlève le haut et se retrouve à poil, je lui pisse au visage, elle ouvre la bouche de plaisir, et se branle en même temps. Ça y est, j'ai fini de pisser, je n'ai plus la moindre goutte, elle est tout aspergée, elle continue à se branler et prendra son plaisir en poussant d'étranges petits cris. 


- Merci ! 


Elle se tourne, pose ses pieds sur les rebords de la cuvette et se met à califourchon dessus de façon à me présenter ses fesses. Elle pousse. Son anus s'ouvre.


- Tu es arrivé au bon moment, j'ai envie de faire caca, tu vas être mon papier à cul !


Des sentiments contraires m'assaillent, je me dis qu'ils sont complètement fous dans cette baraque, mais l'excitation est trop forte, je regarde l'étron sortir de son anus et tomber avec un gros "floc" dans l'eau dormante de la cuvette, puis un autre, le troisième aura un peu plus de mal à venir. 


- Humm ! J'ai fait trois jolis boudins ! Vas-y lèche ! 


Je m'approche comme dans un songe de son trou et je lèche, c'est cette fois très, très acre, mais la situation m'excite ! En même temps que je lèche le joli trou plein de merde de l'antillaise, je me branle et je jouis enfin… 


Estonius © 2000 Réintégration de tous les passages scatos en 2008.

 

 

 

Par Estonius - Publié dans : Estonius
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 juin 2000 5 09 /06 /Juin /2000 14:08

De la lumière dans la cave

par Marie-Paule Perez

 

Domina

 

Je me prénomme Marie-Paule. J'ai trente-deux ans, mon mari trente-cinq. Nous tenons tous les deux un petit commerce, un bar qui fait un peu de restauration le midi. Nous fermons régulièrement à huit heures le soir. A ce moment-là, j'en profite pour aller rendre visite à ma mère qui est impotente pendant que Bernard reste pour faire les comptes. Du moins, c'est ce que je croyais qu'il faisait en mon absence, jusqu'à ce dimanche du mois dernier où j'ai dû revenir en catastrophe au bar parce que j'avais oublié le cadeau d'anniversaire de ma mère derrière le zinc. La lumière de la grande salle était éteinte. J'ai cru que Bernard était déjà parti, je suis entrée avec mes clés.

 

Et voilà que j'aperçois de la lumière qui venait de la cave.

 

Ça m'a intriguée, parce que nous n'éteignons pas la lumière de la salle d'habitude quand nous descendons à la cave. J'ai cru à une erreur, et je m'apprêtais à appeler Bernard, quand j'ai entendu qu'on parlait dans la cave. Une voix féminine que je ne connaissais pas ! Mon cœur a fait un bond dans ma poitrine : Bernard avait une maîtresse... Je ne croyais pas si bien dire. Je suis descendue sans faire de bruit, bien décidée à les surprendre. Je comptais faire un éclat, j'étais folle de rage. Et là, en pleine lumière, j'ai eu la surprise de ma vie ! Bernard était bien là avec cette femme : Il était nu... et attaché à la tuyauterie par des courroies de cuir. L'une d'elle était fixée au plafond et rejoignait une ceinture de cuir passée autour de sa taille. Une autre lui maintenait les poignets solidement attachés ensemble, et rejoignait un gros tuyau de plomb au ras du sol, ce qui le maintenait plié en deux le cul en l'air... Il avait les yeux bandés, et pire que tout le reste, la femme était derrière lui et l'enculait frénétiquement avec un gode à ceinture. 

 

J'étais secouée par des sentiments contradictoires en voyant cette scène incroyable... Jalousie, étonnement bien sûr, mais aussi un trouble dont je ne m'expliquais pas la cause. Je suis restée bouche bée en bas des marches à les regarder. Ça a bien dû prendre deux minutes avant qu'ils ne réalisent ma présence, vu le délire dans lequel ils se trouvaient tous les deux. La femme avait dans les quarante ans, c'était une belle femme si on aime le genre plantureux, brune avec un visage typé d'Espagnole, très grande, au moins un mètre soixante-quinze. Elle était vêtue d'un corset de cuir à lacets qui lui comprimait la taille comme un corset 1900, et qui comportait quatre portes jarretelles de cuir retenant des bas de nylon noir. La ceinture de cuir cloutée retenant le gode, qui disparaît presque entièrement entre les fesses écartées de mon mari, était noué par-dessus le corset. Elle portait également des souliers à talons-aiguilles en cuir noir : elle devait avoir l'habitude de porter ce genre de chaussures, car malgré les ondulations très rapides de ses hanches, elle ne perdait absolument pas l'équilibre et gardant une certaine grâce dans ses mouvements. J'ai remarqué tout cela très vite parce que j'étais littéralement fascinée. Tout cela me fait l'effet d'une apparition surnaturelle. 

 

Enfin, ils ont dû se rendre compte de ma présence. La femme s'est retournée la première. Mon mari, lui, ne pouvait pas me voir de toute façon puisqu'il avait les yeux bandés par un foulard de coton noir (qui, entre parenthèses, m'appartient...) Je ne sais pas pourquoi, mais ce détail m'a fait entrer dans une colère noire, bien plus que le fait de le trouver dans cette position insolite avec une autre femme. Je me suis jetée comme une folle sur la maîtresse de mon mari et je lui ai donné une gifle retentissante. Il faut que je précise que je suis moi-même ce qu'on peut appeler une maîtresse-femme, je mesure un mètre soixante-dix-huit, J'ai toujours fait du sport (musculation et natation), et je n'ai pas froid aux yeux comme on dit. Ma rivale en est restée sonnée. Sous le choc, le gode est sortie complètement du trou du cul de Bernard qui, les yeux voilés par son bandeau, se demandait ce qui se passait. Il a dû reconnaître ma voix quand j'ai traité cette femme de tous les noms possibles : 

 

- Salope, morue, putain, pouffiasse... 

 

 Je lui ai dit que je ne voulais pas qu'elle vienne faire ses cochonneries sous mon toit. J'ai fait un paquet avec ses affaires qui se trouvaient entassées dans un coin et je l'ai poussée dehors. Elle a dû enlever très vite son gode ceinture pour enfiler ses vêtements.

 

- Celui-là, je le garde, ai-je précisé en lui confisquant l'objet.

 

J'avais déjà une idée précise de la manière dont je me vengerais de mon obsédé de mari... 

 

- Qu'est-ce qui se passe ? C'est toi, Marie-Paule ? M'a-t-il demandé d'une voix anxieuse quand je suis revenue dans la cave.

 

- Tais-toi et prépare ton cul ! Ai-je répondu d'une voix terrible.

 

J'étais dans un état de colère et d'excitation tel que je tremblais des pieds à la tête. Le gode-ceinture de sa maîtresse (dont j'ai appris ensuite qu'elle se prénommait Virginie) était composé de trois lanières de cuir assez larges, deux pour la taille et une troisième qui devait passer entre les lèvres du sexe, elles se rejoignaient au milieu des reins avec un système de clip spécial. Ma vulve était recouverte par une coque de cuir rigide de forme triangulaire qui supportait une fausse bite de bonnes dimensions (7 cm de diamètre x 25 cm de long, j'ai mesuré par la suite). Je me suis dit :

 

- Toi, mon cochon, tu ne vas pas tarder à te le prendre dans le cul.

 

Je me suis préparée. Je n'aurais pas su dire si c'était d'excitation ou de crainte réelle. C'est vrai qu'il était totalement réduit à l'impuissance. Je pouvais faire tout ce que je voulais pour me venger de l'outrage, et je n'étais pas du genre à m'en priver. J'ai disposé la pointe du pénis de plastique rigide sur sa rosette, après lui avoir fermement écarté les fesses d'une main. Il n'arrêtait pas de gémir et de me demander ce que j'allais faire. Je n'avais jamais regardé son anus en dix ans de mariage. Il m'a semblé un peu bizarre, rouge brun, crevassé, les plis distendus... J'ai pensé qu'il avait déjà dû en voir de drôles. De fait, le gode est rentré dans ses flans comme dans une motte de beurre frais. Ça m'a énervée parce que je faisais ça pour le punir : je voulais qu'il souffre, qu'il me demande pardon. Alors je me suis tortillée de telle façon que la bite lui a barattée le cul sans pitié. A la fin, J'ai saisi la base du godemiché entre mes doigts et j'ai carrément touillé son rectum. Je ne me suis arrêtée que lorsqu'il s'est mis à gueuler et à me supplier d'arrêter. J'avais dû lui élargir encore un peu son anus, qu'il avait pourtant déjà bien accueillant. Je ne m'estimais quand même pas vengée. Je lui ai donné une bonne fessée de toutes mes forces, de la main droite. Quand J'ai eu trop mal au bras pour continuer, car sinon il y aurait eu droit, et pas seulement sur les fesses : je lui aurais cravaché le sexe et les testicules, et les jambes sur toute la longueur. Je lui ai planté une dernière fois le gode entre ses fesses écartées, comme pour souligner mes paroles. Je me suis retirée sans douceur, ça a fait un bruit de bouteille qu'on débouche et je me suis esclaffée pour l'humilier davantage. 

 

strapon484a.jpg

 

C'est seulement en passant devant lui pour le détacher de ses liens que j'ai réalisé que ce pervers avait le nombril tout éclaboussé de sperme frais. Ma punition n'était pas si sévère que cela, apparemment : cela avait été plutôt une récompense. Nous n'avons pas parlé ce soir-là, mais seulement deux jours plus tard. Il m'a appris qu'il me trompait avec cette Virginie depuis six mois. Il ne s'agissait pas d'une relation sentimentale, non c'était purement physique, il avait besoin de ce genre de relations sexuelles et n'avait jamais osé me les proposer. Pourtant, quelque chose en moi lui indiquait depuis le début que j'étais une dominatrice dans l'âme. Il était heureux de ce qui était arrivé. Il m'a demandé d'un ton humble si je consentirais, éventuellement, à recommencer... 

 

- Nous verrons ! Ai-je grogné. 

 

C'est tout vu... Dès ce soir, quand j'aurai terminé de ce récit, il aura droit à une bonne fouettée...

 

Fin de la première partie

 

PS : Ce récit anonyme dont le titre original était "Mon mari a une maitresse" a été trouvé sur le web sur le site d'histoire aujourd'hui fermé de Sophiexxx, je l'ai juste un peu arrangé ! Crime ! Vol d'histoire ! Non, puisque je l'avoue ! Et puis cela m'a donné envie d'écrire une suite, Merci en tout cas au véritable auteur de ce texte, il a tout simplement suscité une vocation

 

Et voilà la suite, entièrement de ma main ce coup ci

 

2 - Le restau du Nord

 

On s'est un peu fait la gueule pendant deux jours, puis nous avons parlé. J'ai cru comprendre alors que mon mari avait besoin de ce genre de rapport, que bizarrement il ne m'avait jamais avoué ce fantasme, (je le savais certes un peu maso, mais pas à ce point) et que si j'en étais d'accord, il ne demanderait pas mieux que je remplace sa " maîtresse " dans ce genre de séance.

 

J'ai eu tendance à accepter, d'abord parce que cette proposition me confirmait l'attachement que Bernard avait pour moi, mais surtout parce que j'avais pendant ma "vengeance" connu un plaisir trouble qui était loin de me laisser indifférente

 

Nous sommes aujourd'hui lundi, c'est notre seul jour de repos, le bar restera fermé. Ça tombe bien parce qu'après cette histoire j'ai eu un mal fou à m'endormir ! En fait, je me posais mille questions. Pourquoi mon intervention violente m'avait-elle tant excité ? Pourquoi mon mari ne m'avait jamais parlé de l'ampleur de ses tendances masochistes ? Et surtout pourquoi le visage de cette pétasse persistait dans mon esprit ? Après tout, cette fille que j'avais chassée de chez moi comme une malpropre n'était venue dominer mon mari qu'à la demande de ce dernier, je n'avais aucune raison de lui en vouloir !

 

Je suis en robe de chambre, je me rends dans la salle de bain, justement mon mari Bernard en sort, lavé, bichonné et rasé de près, enveloppé dans son peignoir.

 

- Laisse-moi le peignoir je vais en avoir besoin !

Il le retire et me le passe, puis se dirige vers la chambre, j'ai alors la vision de son joli petit cul sur lequel j'ai eu si plaisir à taper l'autre jour ! Décidément il a dû se produire un déclic dans mon comportement car saisie d'une pulsion subite, je lui lance :

 

- Je te refoutrais bien une bonne fouetté !

- Pourquoi pas ?

- Pour l'instant fous-toi à genoux, sale chien !

 

Il obéit sans discuter, l'impromptu de la situation l'amuse et l'excite et déjà son sexe commence à se tendre :

 

- Maintenant tu vas me dire toute la vérité !

- Quelle vérité ?

- Ecoute, petite larve, quand je te domine, je ne suis plus ta femme, mais ta maîtresse, et tu devras me vouvoyer ! 

 

Je me surprends toute seule à faire ce genre de déclaration, cela doit-être une réminiscence inconsciente de certaines lectures...

 

- Mais enfin, Marie-Paule !

- Bon, d'accord on laisse tomber, puisque tu ne veux pas jouer.

 

Je fais mine de gagner la salle de bain, certaine de ce qui va se passer, je m'amuse, je m'amuse... effectivement ça ne loupe pas !

 

- Pardon maîtresse, si, si, je veux jouer avec vous, revenez, je ne suis qu'un esclave désobéissant, punissez-moi maîtresse !

 

Il rigole à moitié, ç'est en train de tourner à la farce, cette affaire-là, c'est du rigolo-masochisme... Je reviens et me positionne fièrement devant lui, il faudra que je fasse quelques courses et que je m'équipe, une dominatrice à poil ça ne fait pas très sérieux, à moins que je ne me fasse prêter tout cela par... hummmm... quelques idées fort perverses sont en train de germer dans mon esprit. Décidément cette petite séance dans la cave aura été un révélateur.

 

- Dis donc esclave, pourquoi ne m'as-tu pas parlé à moi, de tes penchants masochistes ?

- Je n'osais pas maîtresse, si j'avais su que toi aussi...

- Tu me vouvoie, je t'ai dit !

- Pardon maîtresse ! (il est hilare)

- Et tu l'as trouvé où, ta pétasse ?

- Sur Internet, maîtresse !

- Ah bon, tu te sers d'Internet pour aller sur les sites de cul ?

- Oui, maîtresse !

- Tu es décidément un porc !

- Je sais, punissez-moi, maîtresse.

 

Rien qu'à cette idée, son sexe est maintenant tout dur, mais je vais le faire poireauter. Le punir c'est lui donner satisfaction et je n'ai aucune raison de lui faire plaisir ce matin, et puis, il faut qu'il comprenne que je suis toujours sous le choc de ma découverte... Dans quelques jours on y verra plus clair. Et il faut que je me décide tout de suite, sinon la tentation de lui fouetter le cul va être trop forte... Je prends sur moi :

 

- Bon je te punirais un autre jour, cette nana tu as ces coordonnées ? Son téléphone ?

- Hein ! Mais qu'est-ce que tu veux lui faire ?

- Si on te demande...

 

En fait, je ne savais pas trop moi-même... Et puis le flash ! Je venais de m'apercevoir que si je n'avais pas trop envie de punir mon mari, c'est que l'excitation née de la scène dans la cave ne se reproduisait pas à l'identique.

 

- Laisse-la tranquille, elle n'a rien contre toi ! Reprit Bernard.

- Rassure-toi, j'ai juste envie de lui parler

- Ça ne sert à rien, je ne la reverrais jamais de toute façon

- Il ne faut jamais dire jamais ! Par contre après ce que tu m'as fait, tu as plutôt intérêt à être sympa avec moi !

 

Il finit par me donner son numéro, je ne téléphonais pas de suite, n'ayant aucune stratégie précise. Je décidais que ma douche me permettrait peut-être d'y voir un peu plus clair.

 

Je fis couler l'eau sur mon corps, inconsciemment je m'amusais à diriger le jet de la douchette sur mes tétons qui du coup s'érigeaient. J'étais excitée, mais j'étais incapable de comprendre véritablement pourquoi ! Ce n'était pas le petit jeu avorté avec mon mari, où alors il aurait fallu le continuer en fantasmant à mort sur la présence de... sans doute était-ce là la solution, il manquait quelqu'un. Il manquait Virginie ! Abracadabrant ! Impossible Impensable ! Je la revoyais devant moi, son visage de madone, ses seins parfaits, son port altier. Voilà que je suis en train de me tripoter en repensant à cette pétasse ! Ça ne va décidément pas très fort dans ma pauvre tête ! Je m'imagine entre ses cuisses, léchant sa liqueur intime, m'en régalant, m'en rassasiant. Bernard est complètement absent du fantasme, j'essaie de l'intégrer, mais mon esprit le chasse, l'oublie, l'abandonne ! Tant pis on s'en passera et je jouis dans un cri que je ne songe même pas à étouffer.

 

- Qu'est ce qui se passe ? Intervint Bernard

 

Je suis pantelante, je me suis assise quelques instant dans le carré à douche les fesses dans la flotte, je n'ai pu retenir mon envie de pisser, je me suis pissé dessus, j'en fous partout et j'aime ça, et si ça continue je vais me refaire jouir.

 

- Ça ne va pas ? Insiste-t-il.

- Si, Si, je viens juste de me faire jouir !

- Hein ?

- Ben oui !

 

Il n'en revient pas le pauvre biquet ! 

 

Je m'habillerais tout à l'heure, j'enfile le peignoir et direction le téléphone

 

- Allô ! Vous êtes Virginie ?

- Oui, c'est moi ! (la voix paraît étonnée d'une présence féminine au bout du fil, j'en conclue que Virginie n'est sans doute qu'un nom de guerre)

- Je tenais à m'excuser pour l'autre jour !

- Pardon ?

- Oui, je vous ai giflé ! Je vous présente mes excuses !

- Ah ! Oui, rue Bitenbier... dans la cave !

- C'est ça !

- Je ne vous en veux pas, ce sont les risques du métier ! Mais je vous remercie d'avoir appelé ! Répondit Virginie sur un ton monocorde.

- Euh... 

- Oui, je vous écoute...

- J'aimerais vous voir !

- Ce n'est peut-être pas indispensable, mais on peut continuer à se parler au téléphone, je ne raccrocherais pas !

- Non ça risque d'être un peu long !

- Dans ce cas, tant pis !

- Ecoutez-moi juste un instant, mettez-vous à ma place, quand je vous ai vu tous les deux j'ai failli péter les plombs. J'ai essayé d'analyser cela froidement, et je crois qu'avec mon mari on est assez intelligent et on s'aime assez pour pouvoir s'en sortir, mais tout n'est pas clair. Et il n'y a que vous qui...

- Bon, bon... vous voulez qu'on se voit où ?

- Je vous paye le restau ! Vous l'acceptez ?

 

Elle accepta, et nous convenions d'un rendez-vous pour le lendemain.

 

Quand même quelque chose me taraudait et malgré mon désir de ne rien dire de cette rencontre à Bernard, je l'interpellais :

 

- Elle est bi, ta copine ?

- J'en sais rien ! Pourquoi tu me demande ça, elle t'intéresse ?

- Ça m'étonne que tu n'en saches rien, c'est le genre de détails qui devrait normalement t'intéresser, non ? Réfléchis bien !

- Tu veux que j'y demande ? Proposa-t-il sans réelle conviction

- Mais non ! Laisse tomber !

 

Je vais complètement à l'aventure. Je préviens Bernard que je ne pourrais pas m'occuper du bar le lendemain. Ça, il n'aime pas ! Et la litanie commence, il va y avoir ceci et cela à faire et je ne vais pas y arriver et patati et patata... Je lui coupe le sifflet en lui disant qu'il m'est bien arrivé de le tenir toute seule et que si vraiment il n'y arrive pas, il lui reste la solution de se mettre en fermeture exceptionnelle ou d'engager un intérimaire. Il y a toujours une solution à tout !

 

Et le lendemain matin, en m'habillant, je choisis le haut le plus décolleté que je possède, un truc que je n'ai jamais osé porter dehors. Afin de ne pas trop me faire remarquer, je me contente en bas d'un pantalon, mais je le choisis le plus moulant possible. Et en dessous ? Demanderez-vous ?

Et bien en dessous : Rien du tout de chez rien du tout !

 

Mais, non je ne suis pas folle, enfin si je dois l'être un petit peu ! Avant d'aller au restaurant je passe dans une boutique de lingerie et j'achète un petit ensemble avec un petit string mauve et un soutien-gorge assorti, le genre de truc qu'il faut oser porter, avec des balconnets s'arrêtant à mi-téton ! Mais aujourd'hui j'ai envie d'oser !

 

A midi pile je me plante devant le restaurant et j'attends la dame ! Midi cinq, Midi dix, Midi un quart... Ça commence à sentir le lapin cette affaire, je décide d'attendre jusqu'à midi trente et après j'appellerais...

 

- Bonjour !

 

J'ai failli ne pas la reconnaître ! Que je suis conne des fois, il est bien évident qu'elle n'est pas toujours en train de se balader avec sa tenue de cuir. Elle est tout simplement en jean avec un pull-over bleu en grosses mailles, elle est toute bleue, je ne savais pas que j'avais rendez-vous avec une shtroumpfette ! Je suis déçue qu'elle n'ait fait aucun effort de toilette, mais après tout pourquoi en aurait-elle fait ?

 

Ma tenue n'a pas l'air de la troubler plus que ça et je réalise à présent que je suis peut-être en train de m'embarquer dans un truc qui va me mener dans le mur ! J'essaie alors une tactique de repli pour éviter le restaurant !

 

- Bonjour ! 

- Je suis un peu en retard, c'est le bus qui n'avançait pas ! S'excusa Virginie en arborant un charmant sourire.

- C'est pas grave, bon, ben on va y aller ! Vous avez beaucoup faim ?

 

Et si elle répond non, on va migrer vers un sandwich au bistrot...

 

- J'ai une faim de loup !

 

Raté ! Ce sont des choses qui arrivent ! Et on rentre dans la salle ! Je réalise que ce rendez-vous au restaurant n'est peut-être pas si discret que ça. Lille est une ville ou beaucoup de gens se connaissent. Il se peut très bien qu'un client nous connaît l'une et l'autre... Aïe, aïe, aïe... Je demande un coin discret... ça tombe bien il y en a un...

 

Je ne sais pas trop comment attaquer ! Il y a quelque chose dans son visage qui me fascine, allez donc savoir pourquoi ? Une peau lisse sans défaut, des yeux brillants et malicieux, une bouche bien ourlée, un nez bien dessinée ! Elle m'excite, elle m'excite !

 

Un silence s'instaure, juste entrecoupé de quelques considérations inutiles sur la circulation et la météo. Ça dure jusqu'à l'arrivé des apéritifs.

 

- Bon, alors, si vous m'expliquiez pourquoi vous teniez tant à me voir ?

 

Les hostilités sont déclenchées, plus moyen de reculer, j'avais pourtant préparé plusieurs scénarios, mais là je suis bloquée, je ne sais plus quoi dire !

 

- C'est pas facile !

- Je veux bien vous aider, mais aidez-moi à vous aider !

 

J'aime bien la formule ! Et puis, je décide de me lancer, si ça foire, tant pis, on parlera d'autre chose, elle a sans doute des tas de trucs à m'apprendre, ces deux heures ne seront de toute façon pas perdues, voilà qui me rassure, mais pourquoi n'y ais-je pas pensé plus tôt ? Alors autant savoir ! Vas-y Marie-Paule !

 

- Voilà ! Après que je vous ai viré et que je me suis retrouvée seule avec Bernard, je me suis vengé sur lui !

- Ah, bon ? Vous lui avez fait quoi ? Me demande-t-elle sans que son ton me laisse deviner si elle manifeste une réelle curiosité ou s'il s'agit d'une réplique de politesse.

- Je l'ai enculé avec votre gode ceinture ! Ah ! Au fait je vous l'ai ramené !

 

Je fouille dans mon sac, je l'ai enveloppé discrètement dans un sachet plastique, je le lui tends. Virginie prend le paquet en sort l'objet et le contemple. Je panique ! Si quelqu'un nous voit, je ne vous dis pas la honte...

 

- Heu... rangez-le, vous allez nous faire remarquer !

- Mais non, personne ne nous voit d'ici. En tous cas, merci, ça va m'éviter d'en racheter un, ça coûte horriblement cher ces trucs-là ! Mais continuez...

- Et après j'étais toute excitée !

- Ah oui !

- J'ai donc cru d'abord que c'était la situation de domination qui m'excitait, et c'était vrai, mais seulement en partie, parce que je me suis aperçue qu'il y avait autre chose...

 

Je marque exprès le silence afin de provoquer la question

 

- Et quoi donc ?

 

Putain que c'est dur à sortir !

 

- Vous ne devinez pas ?

- Si, mais il faut que vous le disiez vous-même, ça vous libérera.

 

Et voilà, je suis la reine des gourdes, non seulement elle sait, mais j'ignore ce que ça lui fait.

 

- A quoi bon, puisque vous savez maintenant !

 

Et que donc ça ne l'intéresse pas plus que ça !

 

- Allez dites !

- Laissez tomber, on va parler d'autre chose !

- Dites-le-moi ! Je crois que ça me ferait très plaisir de l'entendre !

 

Quoi ? Qu'est qu'elle vient de me dire ? Je ne me trompe pas, j'ai bien entendu ?

 

- Vous !

- C'est moi qui t'excite, c'est ça ?

- Ben, oui ! Je suis conne, hein ?

- Pas du tout, je suis même flattée !

- Arrête de me charrier !

 

Le garçon revient à ce moment-là.

 

- Ces dames ont-elles choisies ?

- On a un contretemps, répond Virginie ! On est obligée de partir, on va vous régler les apéritifs

 

Je n'en crois pas mes oreilles ! Qu'est-ce qu'elle fabrique ? Elle est vexée, elle veut partir, il me semblait pourtant que tout se passait bien, elle vient même de dire qu'elle était flattée...

 

- Attends, je ne comprends, pas c'est moi qui invite, il n'y a pas le feu !

- Ah ! Bon... répond Virginie, semblant subitement dépitée, puis s'adressant au garçon, " revenez dans cinq minutes, on aura choisi ! "

 

Je renonce à comprendre son manège ! Je reste muette comme une carpe.

 

- Je suis déçue ! Finit par reprendre Virginie !

 

Moi aussi, et je me demande si finalement on n'aurait pas mieux fait de partir !

 

- Explique-moi !

- Quand tu m'as avoué tout à l'heure que je t'excitais, j'étais ravie, parce que je peux te le dire maintenant, c'était réciproque, ton image en furie quand tu m'as chassé de ta cave n'arrête pas de me poursuivre, et elle m'a même fait mouiller.

 

Elle marque une pause, mais je ne sais toujours pas quoi dire ! Simplement je ne comprends de moins en moins. Je me demande si elle n'est pas en train de me bluffer. Elle s'étonne de mon silence.

 

- Tu ne dis rien ?

- Je ne sais plus quoi dire, Virginie !

- Donc, comme je te disais, je suis déçue, parce que je croyais que tu me désirais au point de vouloir faire l'amour avec moi...

- Mais...

- Laisse-moi finir... et quand je te propose d'y aller tout de suite, tu te dégonfles !

- Mais, Virginie c'est un malentendu !

 

Putain, mais ce n'est pas vrai ! Que faire maintenant ? Appeler le garçon pour lui dire qu'on a une nouvelle fois changé d'avis, on va passer pour de vraies barges, mais après tout qu'importe ! Elle me regarde en silence, le visage figé en un imperceptible sourire. Je répète comme une imbécile :

 

- C'est un malentendu ! Virginie, un malentendu !

- Et bien, tant pis pour toi, il fallait comprendre, tu as raté l'occasion, moi aussi d'ailleurs, ce sera pour une autre fois ! Bon qu'est-ce qu'on mange, moi je prendrais bien une escalope milanaise ? Et toi !

- Virginie, je peux te poser une question ?

- Peut-être ? Peut-être ?

- Ce n'est vraiment pas possible de bouffer tranquillement en discutant, en essayant de mieux se connaître, et après si tu veux bien de moi, je serais à ta disposition.

- Si, c'est sans doute possible...

 

Ouf, ça va s'arranger !

 

- Alors d'accord ? On fait comme ça ?

- Peut-être ? Peut-être ?

- Comment ça " peut-être ? ", Explique-toi !

- Si tu fais ce qu'il faut pour te faire pardonner !

- Et c'est compliqué ce que tu vas me demander ?

 

Je m'attends au pire. J'ai tellement lu d'histoires de maîtresses et de maîtres foldingues imposant des humiliations débiles à leurs esclaves. Si c'est ça je fous un billet sur la table et je me casse, j'aurais assez perdu de temps avec cette cinglée !

 

- Non, pas très !

- C'est quoi ?

- Tu passes sous la table et tu me suces la chatte !

- C'est tout ?

- Oui, c'est tout !

 

C'est tout, mais c'est déjà énorme ! Mais s'il n'y a que ça pour lui faire plaisir je peux lui prouver que je sais aussi me dépasser.

 

- Bon, on attend que le garçon prenne les commandes et je vais te le faire !

- Non maintenant !

- Mais enfin, Virginie...

- Avec la longueur de la nappe, il ne verra rien, il croira que tu es partie aux toilettes

- Bon d'accord !

 

 Un coup d'œil à gauche, un coup d'œil à droite et zlouf, je m'apprête à y aller !

 

- Laisse tomber !

- Hein ?

 

Non mais ça va durer longtemps ces petits caprices ? Elle ne sait pas ce qu'elle veut, je suis tombée sur une folle ou pas ?

 

- Laisse tomber, je te dis, je suis en train de te tester, j'adore m'amuser, mais tu as raison on va manger ensemble comme deux copines et après si on a encore envie on ira chez moi !

 

J'en ai marre de faire la girouette, je ne réponds même pas et je m'engouffre sous la table, disparaît sous la nappe, et lui dégrafe sa fermeture éclair, je lui dégage un peu son jean, elle m'aide à le faire, j'ai sa culotte devant le nez, je l'écarte ! La salope, elle est humide d'excitation, j'approche ma langue et je suce !

 

restaudunord.jpg

 

- Votre amie est partie ! (Ça c'est le garçon, un peu plus haut !)

- Non, elle est aux toilettes, on va prendre deux escalopes milanaises. Aaaah ! C'est bon !

- Oui, elles sont très bonnes ! 

 

Il se tait quelques instants, puis ajoute :

 

- Je n'ai rien vu, mais soyez discrètes et rapides.

 

Bon l'emmerdeur est reparti, je peux continuer tranquillement ce que je faisais, je lèche, je lape, c'est doux et c'est délicieux, ses grosses lèvres sont gonflées de plaisir, son clitoris se dresse tel un petit bourgeon, je le titille de la langue. De mon côté ça s'humidifie aussi pas mal, et je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là, il me faudrait un plan d'urgence, puisque maintenant les plats sont commandés, peut-être une petite diversion vers les toilettes. En attendant je continue à besogner Virginie, j'entends de vagues gémissements, j'ignore comment elle fait pour les étouffer, ma parole elle doit s'être foutue sa serviette de table devant la bouche, le délire quoi, pour l'exciter davantage, tout en continuant de donner des coups de langues sur son clito, j'introduis un doigt, puis un deuxième dans son vagin, ça rentre tout seul, c'est du super lubrifié. Soudain j'aperçois un objet qui se balade dans la semi-obscurité dans laquelle j'opère depuis plusieurs minutes. Je finis par comprendre que Virginie est en train de me passer le gode que je lui ais rapporté. Complètement folle ! On ne va quand même pas faire ça ici ! Et puis, tiens, je m'en fous, je lui enfonce le machin, je fais quelques va-et-vient, mais je redouble d'ardeur en lui lapant son clito. Et puis soudain, le cri ! Putain, elle va ameuter le quartier !

 

Ça ne rate pas, je sors aussi discrètement que possible, mais ils sont déjà trois gusses autour de notre table. J'ai honte. Je n'ai qu'une envie me faire toute petite et me barrer d'ici.

 

- Bon, nous allons vous demander de partir immédiatement sans faire aucun scandale ! Vous nous réglez 40 euros et vous disparaissez. Sinon nous appelons immédiatement la police ! 

 

Trop contente de nous en sortir à si bon compte, on prend nos cliques et nos claques et on quitte le lieu sous les regards des autres clients. Je suis rouge comme un cageot de tomates !

 

- Mais bon dieu, où t'as été voir qu'on pouvait faire ça dans les restaurants, toi ? Soupire Virginie.

- Mais c'est toi qui m'as demandé !

- Oui, mais après je t'ai demandé de t'arrêter !

- On fait quoi ?

- On va chez moi !

- Tu n'as pas oublié le gode j'espère !

- Oh ! Je crois bien qu'il est resté sous la table, je vais le rechercher !

 

Je fais comme si j'allais retourner dans le restaurant ! Ça défoule !

- Arrête, ils vont te faire coffrer !

- Bon, d'accord je t'en paierais un autre, et si tu veux, je te le dédicacerais

 

Fin de l'épisode

 

Marie-Paule Perez ! (Juin 2002)

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

PS : toute ressemblance avec un restau du même nom et patati et patata...

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Juin 2002

 

  

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Chanette20N1
  • Novassa10a
  • sanchez01
  • StGuignolet
  • Spanking
  • Martinov73b

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés