Vendredi 9 juin 2000 5 09 /06 /Juin /2000 14:08

De la lumière dans la cave

par Marie-Paule Perez

 

Domina

 

Je me prénomme Marie-Paule. J'ai trente-deux ans, mon mari trente-cinq. Nous tenons tous les deux un petit commerce, un bar qui fait un peu de restauration le midi. Nous fermons régulièrement à huit heures le soir. A ce moment-là, j'en profite pour aller rendre visite à ma mère qui est impotente pendant que Bernard reste pour faire les comptes. Du moins, c'est ce que je croyais qu'il faisait en mon absence, jusqu'à ce dimanche du mois dernier où j'ai dû revenir en catastrophe au bar parce que j'avais oublié le cadeau d'anniversaire de ma mère derrière le zinc. La lumière de la grande salle était éteinte. J'ai cru que Bernard était déjà parti, je suis entrée avec mes clés.

 

Et voilà que j'aperçois de la lumière qui venait de la cave.

 

Ça m'a intriguée, parce que nous n'éteignons pas la lumière de la salle d'habitude quand nous descendons à la cave. J'ai cru à une erreur, et je m'apprêtais à appeler Bernard, quand j'ai entendu qu'on parlait dans la cave. Une voix féminine que je ne connaissais pas ! Mon cœur a fait un bond dans ma poitrine : Bernard avait une maîtresse... Je ne croyais pas si bien dire. Je suis descendue sans faire de bruit, bien décidée à les surprendre. Je comptais faire un éclat, j'étais folle de rage. Et là, en pleine lumière, j'ai eu la surprise de ma vie ! Bernard était bien là avec cette femme : Il était nu... et attaché à la tuyauterie par des courroies de cuir. L'une d'elle était fixée au plafond et rejoignait une ceinture de cuir passée autour de sa taille. Une autre lui maintenait les poignets solidement attachés ensemble, et rejoignait un gros tuyau de plomb au ras du sol, ce qui le maintenait plié en deux le cul en l'air... Il avait les yeux bandés, et pire que tout le reste, la femme était derrière lui et l'enculait frénétiquement avec un gode à ceinture. 

 

J'étais secouée par des sentiments contradictoires en voyant cette scène incroyable... Jalousie, étonnement bien sûr, mais aussi un trouble dont je ne m'expliquais pas la cause. Je suis restée bouche bée en bas des marches à les regarder. Ça a bien dû prendre deux minutes avant qu'ils ne réalisent ma présence, vu le délire dans lequel ils se trouvaient tous les deux. La femme avait dans les quarante ans, c'était une belle femme si on aime le genre plantureux, brune avec un visage typé d'Espagnole, très grande, au moins un mètre soixante-quinze. Elle était vêtue d'un corset de cuir à lacets qui lui comprimait la taille comme un corset 1900, et qui comportait quatre portes jarretelles de cuir retenant des bas de nylon noir. La ceinture de cuir cloutée retenant le gode, qui disparaît presque entièrement entre les fesses écartées de mon mari, était noué par-dessus le corset. Elle portait également des souliers à talons-aiguilles en cuir noir : elle devait avoir l'habitude de porter ce genre de chaussures, car malgré les ondulations très rapides de ses hanches, elle ne perdait absolument pas l'équilibre et gardant une certaine grâce dans ses mouvements. J'ai remarqué tout cela très vite parce que j'étais littéralement fascinée. Tout cela me fait l'effet d'une apparition surnaturelle. 

 

Enfin, ils ont dû se rendre compte de ma présence. La femme s'est retournée la première. Mon mari, lui, ne pouvait pas me voir de toute façon puisqu'il avait les yeux bandés par un foulard de coton noir (qui, entre parenthèses, m'appartient...) Je ne sais pas pourquoi, mais ce détail m'a fait entrer dans une colère noire, bien plus que le fait de le trouver dans cette position insolite avec une autre femme. Je me suis jetée comme une folle sur la maîtresse de mon mari et je lui ai donné une gifle retentissante. Il faut que je précise que je suis moi-même ce qu'on peut appeler une maîtresse-femme, je mesure un mètre soixante-dix-huit, J'ai toujours fait du sport (musculation et natation), et je n'ai pas froid aux yeux comme on dit. Ma rivale en est restée sonnée. Sous le choc, le gode est sortie complètement du trou du cul de Bernard qui, les yeux voilés par son bandeau, se demandait ce qui se passait. Il a dû reconnaître ma voix quand j'ai traité cette femme de tous les noms possibles : 

 

- Salope, morue, putain, pouffiasse... 

 

 Je lui ai dit que je ne voulais pas qu'elle vienne faire ses cochonneries sous mon toit. J'ai fait un paquet avec ses affaires qui se trouvaient entassées dans un coin et je l'ai poussée dehors. Elle a dû enlever très vite son gode ceinture pour enfiler ses vêtements.

 

- Celui-là, je le garde, ai-je précisé en lui confisquant l'objet.

 

J'avais déjà une idée précise de la manière dont je me vengerais de mon obsédé de mari... 

 

- Qu'est-ce qui se passe ? C'est toi, Marie-Paule ? M'a-t-il demandé d'une voix anxieuse quand je suis revenue dans la cave.

 

- Tais-toi et prépare ton cul ! Ai-je répondu d'une voix terrible.

 

J'étais dans un état de colère et d'excitation tel que je tremblais des pieds à la tête. Le gode-ceinture de sa maîtresse (dont j'ai appris ensuite qu'elle se prénommait Virginie) était composé de trois lanières de cuir assez larges, deux pour la taille et une troisième qui devait passer entre les lèvres du sexe, elles se rejoignaient au milieu des reins avec un système de clip spécial. Ma vulve était recouverte par une coque de cuir rigide de forme triangulaire qui supportait une fausse bite de bonnes dimensions (7 cm de diamètre x 25 cm de long, j'ai mesuré par la suite). Je me suis dit :

 

- Toi, mon cochon, tu ne vas pas tarder à te le prendre dans le cul.

 

Je me suis préparée. Je n'aurais pas su dire si c'était d'excitation ou de crainte réelle. C'est vrai qu'il était totalement réduit à l'impuissance. Je pouvais faire tout ce que je voulais pour me venger de l'outrage, et je n'étais pas du genre à m'en priver. J'ai disposé la pointe du pénis de plastique rigide sur sa rosette, après lui avoir fermement écarté les fesses d'une main. Il n'arrêtait pas de gémir et de me demander ce que j'allais faire. Je n'avais jamais regardé son anus en dix ans de mariage. Il m'a semblé un peu bizarre, rouge brun, crevassé, les plis distendus... J'ai pensé qu'il avait déjà dû en voir de drôles. De fait, le gode est rentré dans ses flans comme dans une motte de beurre frais. Ça m'a énervée parce que je faisais ça pour le punir : je voulais qu'il souffre, qu'il me demande pardon. Alors je me suis tortillée de telle façon que la bite lui a barattée le cul sans pitié. A la fin, J'ai saisi la base du godemiché entre mes doigts et j'ai carrément touillé son rectum. Je ne me suis arrêtée que lorsqu'il s'est mis à gueuler et à me supplier d'arrêter. J'avais dû lui élargir encore un peu son anus, qu'il avait pourtant déjà bien accueillant. Je ne m'estimais quand même pas vengée. Je lui ai donné une bonne fessée de toutes mes forces, de la main droite. Quand J'ai eu trop mal au bras pour continuer, car sinon il y aurait eu droit, et pas seulement sur les fesses : je lui aurais cravaché le sexe et les testicules, et les jambes sur toute la longueur. Je lui ai planté une dernière fois le gode entre ses fesses écartées, comme pour souligner mes paroles. Je me suis retirée sans douceur, ça a fait un bruit de bouteille qu'on débouche et je me suis esclaffée pour l'humilier davantage. 

 

strapon484a.jpg

 

C'est seulement en passant devant lui pour le détacher de ses liens que j'ai réalisé que ce pervers avait le nombril tout éclaboussé de sperme frais. Ma punition n'était pas si sévère que cela, apparemment : cela avait été plutôt une récompense. Nous n'avons pas parlé ce soir-là, mais seulement deux jours plus tard. Il m'a appris qu'il me trompait avec cette Virginie depuis six mois. Il ne s'agissait pas d'une relation sentimentale, non c'était purement physique, il avait besoin de ce genre de relations sexuelles et n'avait jamais osé me les proposer. Pourtant, quelque chose en moi lui indiquait depuis le début que j'étais une dominatrice dans l'âme. Il était heureux de ce qui était arrivé. Il m'a demandé d'un ton humble si je consentirais, éventuellement, à recommencer... 

 

- Nous verrons ! Ai-je grogné. 

 

C'est tout vu... Dès ce soir, quand j'aurai terminé de ce récit, il aura droit à une bonne fouettée...

 

Fin de la première partie

 

PS : Ce récit anonyme dont le titre original était "Mon mari a une maitresse" a été trouvé sur le web sur le site d'histoire aujourd'hui fermé de Sophiexxx, je l'ai juste un peu arrangé ! Crime ! Vol d'histoire ! Non, puisque je l'avoue ! Et puis cela m'a donné envie d'écrire une suite, Merci en tout cas au véritable auteur de ce texte, il a tout simplement suscité une vocation

 

Et voilà la suite, entièrement de ma main ce coup ci

 

2 - Le restau du Nord

 

On s'est un peu fait la gueule pendant deux jours, puis nous avons parlé. J'ai cru comprendre alors que mon mari avait besoin de ce genre de rapport, que bizarrement il ne m'avait jamais avoué ce fantasme, (je le savais certes un peu maso, mais pas à ce point) et que si j'en étais d'accord, il ne demanderait pas mieux que je remplace sa " maîtresse " dans ce genre de séance.

 

J'ai eu tendance à accepter, d'abord parce que cette proposition me confirmait l'attachement que Bernard avait pour moi, mais surtout parce que j'avais pendant ma "vengeance" connu un plaisir trouble qui était loin de me laisser indifférente

 

Nous sommes aujourd'hui lundi, c'est notre seul jour de repos, le bar restera fermé. Ça tombe bien parce qu'après cette histoire j'ai eu un mal fou à m'endormir ! En fait, je me posais mille questions. Pourquoi mon intervention violente m'avait-elle tant excité ? Pourquoi mon mari ne m'avait jamais parlé de l'ampleur de ses tendances masochistes ? Et surtout pourquoi le visage de cette pétasse persistait dans mon esprit ? Après tout, cette fille que j'avais chassée de chez moi comme une malpropre n'était venue dominer mon mari qu'à la demande de ce dernier, je n'avais aucune raison de lui en vouloir !

 

Je suis en robe de chambre, je me rends dans la salle de bain, justement mon mari Bernard en sort, lavé, bichonné et rasé de près, enveloppé dans son peignoir.

 

- Laisse-moi le peignoir je vais en avoir besoin !

Il le retire et me le passe, puis se dirige vers la chambre, j'ai alors la vision de son joli petit cul sur lequel j'ai eu si plaisir à taper l'autre jour ! Décidément il a dû se produire un déclic dans mon comportement car saisie d'une pulsion subite, je lui lance :

 

- Je te refoutrais bien une bonne fouetté !

- Pourquoi pas ?

- Pour l'instant fous-toi à genoux, sale chien !

 

Il obéit sans discuter, l'impromptu de la situation l'amuse et l'excite et déjà son sexe commence à se tendre :

 

- Maintenant tu vas me dire toute la vérité !

- Quelle vérité ?

- Ecoute, petite larve, quand je te domine, je ne suis plus ta femme, mais ta maîtresse, et tu devras me vouvoyer ! 

 

Je me surprends toute seule à faire ce genre de déclaration, cela doit-être une réminiscence inconsciente de certaines lectures...

 

- Mais enfin, Marie-Paule !

- Bon, d'accord on laisse tomber, puisque tu ne veux pas jouer.

 

Je fais mine de gagner la salle de bain, certaine de ce qui va se passer, je m'amuse, je m'amuse... effectivement ça ne loupe pas !

 

- Pardon maîtresse, si, si, je veux jouer avec vous, revenez, je ne suis qu'un esclave désobéissant, punissez-moi maîtresse !

 

Il rigole à moitié, ç'est en train de tourner à la farce, cette affaire-là, c'est du rigolo-masochisme... Je reviens et me positionne fièrement devant lui, il faudra que je fasse quelques courses et que je m'équipe, une dominatrice à poil ça ne fait pas très sérieux, à moins que je ne me fasse prêter tout cela par... hummmm... quelques idées fort perverses sont en train de germer dans mon esprit. Décidément cette petite séance dans la cave aura été un révélateur.

 

- Dis donc esclave, pourquoi ne m'as-tu pas parlé à moi, de tes penchants masochistes ?

- Je n'osais pas maîtresse, si j'avais su que toi aussi...

- Tu me vouvoie, je t'ai dit !

- Pardon maîtresse ! (il est hilare)

- Et tu l'as trouvé où, ta pétasse ?

- Sur Internet, maîtresse !

- Ah bon, tu te sers d'Internet pour aller sur les sites de cul ?

- Oui, maîtresse !

- Tu es décidément un porc !

- Je sais, punissez-moi, maîtresse.

 

Rien qu'à cette idée, son sexe est maintenant tout dur, mais je vais le faire poireauter. Le punir c'est lui donner satisfaction et je n'ai aucune raison de lui faire plaisir ce matin, et puis, il faut qu'il comprenne que je suis toujours sous le choc de ma découverte... Dans quelques jours on y verra plus clair. Et il faut que je me décide tout de suite, sinon la tentation de lui fouetter le cul va être trop forte... Je prends sur moi :

 

- Bon je te punirais un autre jour, cette nana tu as ces coordonnées ? Son téléphone ?

- Hein ! Mais qu'est-ce que tu veux lui faire ?

- Si on te demande...

 

En fait, je ne savais pas trop moi-même... Et puis le flash ! Je venais de m'apercevoir que si je n'avais pas trop envie de punir mon mari, c'est que l'excitation née de la scène dans la cave ne se reproduisait pas à l'identique.

 

- Laisse-la tranquille, elle n'a rien contre toi ! Reprit Bernard.

- Rassure-toi, j'ai juste envie de lui parler

- Ça ne sert à rien, je ne la reverrais jamais de toute façon

- Il ne faut jamais dire jamais ! Par contre après ce que tu m'as fait, tu as plutôt intérêt à être sympa avec moi !

 

Il finit par me donner son numéro, je ne téléphonais pas de suite, n'ayant aucune stratégie précise. Je décidais que ma douche me permettrait peut-être d'y voir un peu plus clair.

 

Je fis couler l'eau sur mon corps, inconsciemment je m'amusais à diriger le jet de la douchette sur mes tétons qui du coup s'érigeaient. J'étais excitée, mais j'étais incapable de comprendre véritablement pourquoi ! Ce n'était pas le petit jeu avorté avec mon mari, où alors il aurait fallu le continuer en fantasmant à mort sur la présence de... sans doute était-ce là la solution, il manquait quelqu'un. Il manquait Virginie ! Abracadabrant ! Impossible Impensable ! Je la revoyais devant moi, son visage de madone, ses seins parfaits, son port altier. Voilà que je suis en train de me tripoter en repensant à cette pétasse ! Ça ne va décidément pas très fort dans ma pauvre tête ! Je m'imagine entre ses cuisses, léchant sa liqueur intime, m'en régalant, m'en rassasiant. Bernard est complètement absent du fantasme, j'essaie de l'intégrer, mais mon esprit le chasse, l'oublie, l'abandonne ! Tant pis on s'en passera et je jouis dans un cri que je ne songe même pas à étouffer.

 

- Qu'est ce qui se passe ? Intervint Bernard

 

Je suis pantelante, je me suis assise quelques instant dans le carré à douche les fesses dans la flotte, je n'ai pu retenir mon envie de pisser, je me suis pissé dessus, j'en fous partout et j'aime ça, et si ça continue je vais me refaire jouir.

 

- Ça ne va pas ? Insiste-t-il.

- Si, Si, je viens juste de me faire jouir !

- Hein ?

- Ben oui !

 

Il n'en revient pas le pauvre biquet ! 

 

Je m'habillerais tout à l'heure, j'enfile le peignoir et direction le téléphone

 

- Allô ! Vous êtes Virginie ?

- Oui, c'est moi ! (la voix paraît étonnée d'une présence féminine au bout du fil, j'en conclue que Virginie n'est sans doute qu'un nom de guerre)

- Je tenais à m'excuser pour l'autre jour !

- Pardon ?

- Oui, je vous ai giflé ! Je vous présente mes excuses !

- Ah ! Oui, rue Bitenbier... dans la cave !

- C'est ça !

- Je ne vous en veux pas, ce sont les risques du métier ! Mais je vous remercie d'avoir appelé ! Répondit Virginie sur un ton monocorde.

- Euh... 

- Oui, je vous écoute...

- J'aimerais vous voir !

- Ce n'est peut-être pas indispensable, mais on peut continuer à se parler au téléphone, je ne raccrocherais pas !

- Non ça risque d'être un peu long !

- Dans ce cas, tant pis !

- Ecoutez-moi juste un instant, mettez-vous à ma place, quand je vous ai vu tous les deux j'ai failli péter les plombs. J'ai essayé d'analyser cela froidement, et je crois qu'avec mon mari on est assez intelligent et on s'aime assez pour pouvoir s'en sortir, mais tout n'est pas clair. Et il n'y a que vous qui...

- Bon, bon... vous voulez qu'on se voit où ?

- Je vous paye le restau ! Vous l'acceptez ?

 

Elle accepta, et nous convenions d'un rendez-vous pour le lendemain.

 

Quand même quelque chose me taraudait et malgré mon désir de ne rien dire de cette rencontre à Bernard, je l'interpellais :

 

- Elle est bi, ta copine ?

- J'en sais rien ! Pourquoi tu me demande ça, elle t'intéresse ?

- Ça m'étonne que tu n'en saches rien, c'est le genre de détails qui devrait normalement t'intéresser, non ? Réfléchis bien !

- Tu veux que j'y demande ? Proposa-t-il sans réelle conviction

- Mais non ! Laisse tomber !

 

Je vais complètement à l'aventure. Je préviens Bernard que je ne pourrais pas m'occuper du bar le lendemain. Ça, il n'aime pas ! Et la litanie commence, il va y avoir ceci et cela à faire et je ne vais pas y arriver et patati et patata... Je lui coupe le sifflet en lui disant qu'il m'est bien arrivé de le tenir toute seule et que si vraiment il n'y arrive pas, il lui reste la solution de se mettre en fermeture exceptionnelle ou d'engager un intérimaire. Il y a toujours une solution à tout !

 

Et le lendemain matin, en m'habillant, je choisis le haut le plus décolleté que je possède, un truc que je n'ai jamais osé porter dehors. Afin de ne pas trop me faire remarquer, je me contente en bas d'un pantalon, mais je le choisis le plus moulant possible. Et en dessous ? Demanderez-vous ?

Et bien en dessous : Rien du tout de chez rien du tout !

 

Mais, non je ne suis pas folle, enfin si je dois l'être un petit peu ! Avant d'aller au restaurant je passe dans une boutique de lingerie et j'achète un petit ensemble avec un petit string mauve et un soutien-gorge assorti, le genre de truc qu'il faut oser porter, avec des balconnets s'arrêtant à mi-téton ! Mais aujourd'hui j'ai envie d'oser !

 

A midi pile je me plante devant le restaurant et j'attends la dame ! Midi cinq, Midi dix, Midi un quart... Ça commence à sentir le lapin cette affaire, je décide d'attendre jusqu'à midi trente et après j'appellerais...

 

- Bonjour !

 

J'ai failli ne pas la reconnaître ! Que je suis conne des fois, il est bien évident qu'elle n'est pas toujours en train de se balader avec sa tenue de cuir. Elle est tout simplement en jean avec un pull-over bleu en grosses mailles, elle est toute bleue, je ne savais pas que j'avais rendez-vous avec une shtroumpfette ! Je suis déçue qu'elle n'ait fait aucun effort de toilette, mais après tout pourquoi en aurait-elle fait ?

 

Ma tenue n'a pas l'air de la troubler plus que ça et je réalise à présent que je suis peut-être en train de m'embarquer dans un truc qui va me mener dans le mur ! J'essaie alors une tactique de repli pour éviter le restaurant !

 

- Bonjour ! 

- Je suis un peu en retard, c'est le bus qui n'avançait pas ! S'excusa Virginie en arborant un charmant sourire.

- C'est pas grave, bon, ben on va y aller ! Vous avez beaucoup faim ?

 

Et si elle répond non, on va migrer vers un sandwich au bistrot...

 

- J'ai une faim de loup !

 

Raté ! Ce sont des choses qui arrivent ! Et on rentre dans la salle ! Je réalise que ce rendez-vous au restaurant n'est peut-être pas si discret que ça. Lille est une ville ou beaucoup de gens se connaissent. Il se peut très bien qu'un client nous connaît l'une et l'autre... Aïe, aïe, aïe... Je demande un coin discret... ça tombe bien il y en a un...

 

Je ne sais pas trop comment attaquer ! Il y a quelque chose dans son visage qui me fascine, allez donc savoir pourquoi ? Une peau lisse sans défaut, des yeux brillants et malicieux, une bouche bien ourlée, un nez bien dessinée ! Elle m'excite, elle m'excite !

 

Un silence s'instaure, juste entrecoupé de quelques considérations inutiles sur la circulation et la météo. Ça dure jusqu'à l'arrivé des apéritifs.

 

- Bon, alors, si vous m'expliquiez pourquoi vous teniez tant à me voir ?

 

Les hostilités sont déclenchées, plus moyen de reculer, j'avais pourtant préparé plusieurs scénarios, mais là je suis bloquée, je ne sais plus quoi dire !

 

- C'est pas facile !

- Je veux bien vous aider, mais aidez-moi à vous aider !

 

J'aime bien la formule ! Et puis, je décide de me lancer, si ça foire, tant pis, on parlera d'autre chose, elle a sans doute des tas de trucs à m'apprendre, ces deux heures ne seront de toute façon pas perdues, voilà qui me rassure, mais pourquoi n'y ais-je pas pensé plus tôt ? Alors autant savoir ! Vas-y Marie-Paule !

 

- Voilà ! Après que je vous ai viré et que je me suis retrouvée seule avec Bernard, je me suis vengé sur lui !

- Ah, bon ? Vous lui avez fait quoi ? Me demande-t-elle sans que son ton me laisse deviner si elle manifeste une réelle curiosité ou s'il s'agit d'une réplique de politesse.

- Je l'ai enculé avec votre gode ceinture ! Ah ! Au fait je vous l'ai ramené !

 

Je fouille dans mon sac, je l'ai enveloppé discrètement dans un sachet plastique, je le lui tends. Virginie prend le paquet en sort l'objet et le contemple. Je panique ! Si quelqu'un nous voit, je ne vous dis pas la honte...

 

- Heu... rangez-le, vous allez nous faire remarquer !

- Mais non, personne ne nous voit d'ici. En tous cas, merci, ça va m'éviter d'en racheter un, ça coûte horriblement cher ces trucs-là ! Mais continuez...

- Et après j'étais toute excitée !

- Ah oui !

- J'ai donc cru d'abord que c'était la situation de domination qui m'excitait, et c'était vrai, mais seulement en partie, parce que je me suis aperçue qu'il y avait autre chose...

 

Je marque exprès le silence afin de provoquer la question

 

- Et quoi donc ?

 

Putain que c'est dur à sortir !

 

- Vous ne devinez pas ?

- Si, mais il faut que vous le disiez vous-même, ça vous libérera.

 

Et voilà, je suis la reine des gourdes, non seulement elle sait, mais j'ignore ce que ça lui fait.

 

- A quoi bon, puisque vous savez maintenant !

 

Et que donc ça ne l'intéresse pas plus que ça !

 

- Allez dites !

- Laissez tomber, on va parler d'autre chose !

- Dites-le-moi ! Je crois que ça me ferait très plaisir de l'entendre !

 

Quoi ? Qu'est qu'elle vient de me dire ? Je ne me trompe pas, j'ai bien entendu ?

 

- Vous !

- C'est moi qui t'excite, c'est ça ?

- Ben, oui ! Je suis conne, hein ?

- Pas du tout, je suis même flattée !

- Arrête de me charrier !

 

Le garçon revient à ce moment-là.

 

- Ces dames ont-elles choisies ?

- On a un contretemps, répond Virginie ! On est obligée de partir, on va vous régler les apéritifs

 

Je n'en crois pas mes oreilles ! Qu'est-ce qu'elle fabrique ? Elle est vexée, elle veut partir, il me semblait pourtant que tout se passait bien, elle vient même de dire qu'elle était flattée...

 

- Attends, je ne comprends, pas c'est moi qui invite, il n'y a pas le feu !

- Ah ! Bon... répond Virginie, semblant subitement dépitée, puis s'adressant au garçon, " revenez dans cinq minutes, on aura choisi ! "

 

Je renonce à comprendre son manège ! Je reste muette comme une carpe.

 

- Je suis déçue ! Finit par reprendre Virginie !

 

Moi aussi, et je me demande si finalement on n'aurait pas mieux fait de partir !

 

- Explique-moi !

- Quand tu m'as avoué tout à l'heure que je t'excitais, j'étais ravie, parce que je peux te le dire maintenant, c'était réciproque, ton image en furie quand tu m'as chassé de ta cave n'arrête pas de me poursuivre, et elle m'a même fait mouiller.

 

Elle marque une pause, mais je ne sais toujours pas quoi dire ! Simplement je ne comprends de moins en moins. Je me demande si elle n'est pas en train de me bluffer. Elle s'étonne de mon silence.

 

- Tu ne dis rien ?

- Je ne sais plus quoi dire, Virginie !

- Donc, comme je te disais, je suis déçue, parce que je croyais que tu me désirais au point de vouloir faire l'amour avec moi...

- Mais...

- Laisse-moi finir... et quand je te propose d'y aller tout de suite, tu te dégonfles !

- Mais, Virginie c'est un malentendu !

 

Putain, mais ce n'est pas vrai ! Que faire maintenant ? Appeler le garçon pour lui dire qu'on a une nouvelle fois changé d'avis, on va passer pour de vraies barges, mais après tout qu'importe ! Elle me regarde en silence, le visage figé en un imperceptible sourire. Je répète comme une imbécile :

 

- C'est un malentendu ! Virginie, un malentendu !

- Et bien, tant pis pour toi, il fallait comprendre, tu as raté l'occasion, moi aussi d'ailleurs, ce sera pour une autre fois ! Bon qu'est-ce qu'on mange, moi je prendrais bien une escalope milanaise ? Et toi !

- Virginie, je peux te poser une question ?

- Peut-être ? Peut-être ?

- Ce n'est vraiment pas possible de bouffer tranquillement en discutant, en essayant de mieux se connaître, et après si tu veux bien de moi, je serais à ta disposition.

- Si, c'est sans doute possible...

 

Ouf, ça va s'arranger !

 

- Alors d'accord ? On fait comme ça ?

- Peut-être ? Peut-être ?

- Comment ça " peut-être ? ", Explique-toi !

- Si tu fais ce qu'il faut pour te faire pardonner !

- Et c'est compliqué ce que tu vas me demander ?

 

Je m'attends au pire. J'ai tellement lu d'histoires de maîtresses et de maîtres foldingues imposant des humiliations débiles à leurs esclaves. Si c'est ça je fous un billet sur la table et je me casse, j'aurais assez perdu de temps avec cette cinglée !

 

- Non, pas très !

- C'est quoi ?

- Tu passes sous la table et tu me suces la chatte !

- C'est tout ?

- Oui, c'est tout !

 

C'est tout, mais c'est déjà énorme ! Mais s'il n'y a que ça pour lui faire plaisir je peux lui prouver que je sais aussi me dépasser.

 

- Bon, on attend que le garçon prenne les commandes et je vais te le faire !

- Non maintenant !

- Mais enfin, Virginie...

- Avec la longueur de la nappe, il ne verra rien, il croira que tu es partie aux toilettes

- Bon d'accord !

 

 Un coup d'œil à gauche, un coup d'œil à droite et zlouf, je m'apprête à y aller !

 

- Laisse tomber !

- Hein ?

 

Non mais ça va durer longtemps ces petits caprices ? Elle ne sait pas ce qu'elle veut, je suis tombée sur une folle ou pas ?

 

- Laisse tomber, je te dis, je suis en train de te tester, j'adore m'amuser, mais tu as raison on va manger ensemble comme deux copines et après si on a encore envie on ira chez moi !

 

J'en ai marre de faire la girouette, je ne réponds même pas et je m'engouffre sous la table, disparaît sous la nappe, et lui dégrafe sa fermeture éclair, je lui dégage un peu son jean, elle m'aide à le faire, j'ai sa culotte devant le nez, je l'écarte ! La salope, elle est humide d'excitation, j'approche ma langue et je suce !

 

restaudunord.jpg

 

- Votre amie est partie ! (Ça c'est le garçon, un peu plus haut !)

- Non, elle est aux toilettes, on va prendre deux escalopes milanaises. Aaaah ! C'est bon !

- Oui, elles sont très bonnes ! 

 

Il se tait quelques instants, puis ajoute :

 

- Je n'ai rien vu, mais soyez discrètes et rapides.

 

Bon l'emmerdeur est reparti, je peux continuer tranquillement ce que je faisais, je lèche, je lape, c'est doux et c'est délicieux, ses grosses lèvres sont gonflées de plaisir, son clitoris se dresse tel un petit bourgeon, je le titille de la langue. De mon côté ça s'humidifie aussi pas mal, et je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là, il me faudrait un plan d'urgence, puisque maintenant les plats sont commandés, peut-être une petite diversion vers les toilettes. En attendant je continue à besogner Virginie, j'entends de vagues gémissements, j'ignore comment elle fait pour les étouffer, ma parole elle doit s'être foutue sa serviette de table devant la bouche, le délire quoi, pour l'exciter davantage, tout en continuant de donner des coups de langues sur son clito, j'introduis un doigt, puis un deuxième dans son vagin, ça rentre tout seul, c'est du super lubrifié. Soudain j'aperçois un objet qui se balade dans la semi-obscurité dans laquelle j'opère depuis plusieurs minutes. Je finis par comprendre que Virginie est en train de me passer le gode que je lui ais rapporté. Complètement folle ! On ne va quand même pas faire ça ici ! Et puis, tiens, je m'en fous, je lui enfonce le machin, je fais quelques va-et-vient, mais je redouble d'ardeur en lui lapant son clito. Et puis soudain, le cri ! Putain, elle va ameuter le quartier !

 

Ça ne rate pas, je sors aussi discrètement que possible, mais ils sont déjà trois gusses autour de notre table. J'ai honte. Je n'ai qu'une envie me faire toute petite et me barrer d'ici.

 

- Bon, nous allons vous demander de partir immédiatement sans faire aucun scandale ! Vous nous réglez 40 euros et vous disparaissez. Sinon nous appelons immédiatement la police ! 

 

Trop contente de nous en sortir à si bon compte, on prend nos cliques et nos claques et on quitte le lieu sous les regards des autres clients. Je suis rouge comme un cageot de tomates !

 

- Mais bon dieu, où t'as été voir qu'on pouvait faire ça dans les restaurants, toi ? Soupire Virginie.

- Mais c'est toi qui m'as demandé !

- Oui, mais après je t'ai demandé de t'arrêter !

- On fait quoi ?

- On va chez moi !

- Tu n'as pas oublié le gode j'espère !

- Oh ! Je crois bien qu'il est resté sous la table, je vais le rechercher !

 

Je fais comme si j'allais retourner dans le restaurant ! Ça défoule !

- Arrête, ils vont te faire coffrer !

- Bon, d'accord je t'en paierais un autre, et si tu veux, je te le dédicacerais

 

Fin de l'épisode

 

Marie-Paule Perez ! (Juin 2002)

 

Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

PS : toute ressemblance avec un restau du même nom et patati et patata...

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Juin 2002

 

  

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 14 mai 2000 7 14 /05 /Mai /2000 13:56

Rendez-vous avec Blanche-neige

par Nicolas Solovionni

cul015

 

Dire que j'étais devenu l'amant de Sandrine serait exagéré. On ne devient pas l'amant de quelqu'un qui, certes se déclare bisexuelle, mais qui en fait privilégie les relations avec les autres femmes. Malgré tout, jamais elle ne souhaitait s'attacher et son caractère sauvage et indépendant la conduisait à préférer le célibat à toute forme de vie en commun.

 

Nos relations avaient néanmoins dépassé le stade la simple complicité. Nous sortions à peu près tous les quinze jours ensemble. La soirée se terminait en interminables bavardages. Et quand épuisé, il fallait bien s'arrêter, c'était pour se rendre compte qu'il était vraiment très tard et qu'après tout je n'avais qu'à rester coucher chez elle. Oh ce n'était pas le super délire ! Elle qui adorait les mises en scènes, trouvait alors que l'heure ne s'y prêtait plus. Et donc, après quelques préliminaires qu'elle allait même jusqu'à parfois abréger, elle me chevauchait telle une Walkyrie, jusqu'à ma jouissance. Il fallait pour la sienne qu'ensuite je la lèche et que je la suce, mais cela n'était bien sûr pas une corvée.

 

Elle avait cessé toute activité régulière et placé son argent dans une petite affaire qui lui permettait de vivre raisonnablement ! Malgré tout elle avait gardé des contacts, notamment dans le milieu artistique. S'étant mise au défi de réaliser les fantasmes de n'importe qui, y compris les plus compliqués et les plus délirants, elle se fit rapidement dans ce domaine une réputation et parfois elle me racontait ses séances avec des personnalités connues dont elle me cachait le nom mais que je devais essayer de deviner en pratiquant le jeu des questions et des réponses. Je finissais par trouver, par élimination on trouve toujours :

 

- Non pas lui ! Je n'y crois pas !

- Puisque je te le dis !

 

Parfois les scénarii qu'elle réalisait réclamaient la présence de figurants plus ou moins actifs ! Elle me sollicitait de temps à autres. Cela me permettait de rencontrer dans d'inattendues circonstances des gens que j'avais aperçus la veille sur l'écran de mon téléviseur.

 

Cela me permit (mais cela n'est que parenthèses) de me révéler un peu plus l'hypocrisie ambiante car si voir certains ici m'amusait sans que je n'y trouve matière à tourmenter mon esprit, la présence d'autres me déclenchait des montés d'adrénalines et l'envie de péter un ou deux plombs en leur criant !

 

- Alors connard ! Tu crois vraiment que ton attitude correspond au personnage que tu incarnais hier soir !

 

Ce soir-là, Sandrine m'avait appelé en catastrophe, une défection de dernière minute dans son casting. Il lui fallait absolument un septième personnage.

 

- Je suis donc une vielle roue de secours !

- Non absolument pas, je ne t'ai jamais considéré comme ça, mais rends-moi ce service, je te le revaudrais ! Tu ne seras pas perdant !

 

Sur ce dernier point je savais pouvoir lui faire une absolue confiance ! Je me pointais donc chez Sandrine, ou plutôt dans ce qu'elle appelait avec amusement son " atelier professionnel " du 9e arrondissement

 

- Tu es en retard !

- Oui !

 

Je ne lassais pas d'admirer la beauté un peu sauvage de Sandrine, plus grande que la moyenne, sans être une géante, une belle poitrine tenant sans effort malgré sa quarantaine, une peau duvetée qu'un léger hallage rendait luisante au soleil ! Et surtout ce sourire, ce sourire de femme conquérante, qui parlait tout seul et avait l'air dans un murmure de nous dire :

 

- Cause toujours, je fais ce que je veux, c'est moi qui commande !

 

Elle avait passé au privé l'essentiel de ses activités de dominatrice mais savait en garder ce qui l'arrangeait…

 

- Et c'est quoi le délire de ce soir ?

- Dépêche-toi donc ! Déshabille-toi et déguise-toi avec ces trucs.

 

J'obéissais ! Il est difficile de ne pas obéir quand Sandrine m'ordonne quelque chose, je me déshabillais donc, enfilait une sorte de culotte de pyjama, sans rien en dessous, puis un tee-shirt. Je ne compris pas tout de suite pourquoi celui-ci portait cette inscription, " Grincheux " Pourquoi Grincheux ? Je n'ai rien d'un grincheux… quoique…

 

- Bon ! Tu te magnes !

- Il reste quoi ?

- Le masque !

 

Et, oui Le masque, un masque de nain, avec bonnet et barbiche incorporée, il fallait donc ce soir que je joue au nain, le thème était donc Blanche-neige

 

- Bon c'est très simple, tu vas facilement reconnaître qui c'est. Son fantasme ce soir c'est la douche blanche ! Vous allez vous masturber et jouir sur elle ! Mais avant tu lis ce scénario à toute vitesse et une fois sur place tu te mettras à côté de " Timide ! "

- Mais pourquoi, si j'ai envie de me mettre à côté d'Atchoum !

 

Mais ce soir Sandrine n'était pas d'humeur à écouter mon humour !

 

- - Dépêche-toi, je ne veux pas rater ma séance ! OK ?

 

Je lus le truc aussi vite qu'il m'en était humainement possible, haussait les épaules à cette histoire de fou, et fit signe à Sandrine que j'étais prêt. Elle me poussa alors dans une minuscule salle ou je retrouvais mes six collègues d'un soir. Nous avions l'air fin tous les sept dans cette pièce trop petite pour nous, à la limite du ridicule, puisque devant jouer des nains, l'un d'entre nous était un gaillard d'un mètre quatre-vingt-dix environ, mais l'attente ne dura pas.

 

Il fallait ensuite entrer dans la pièce contiguë en farandolant sur l'air de " Aie Ho ! Aie Ho ! On rentre du boulot ! "

 

Blanche-neige était là sur son fauteuil ! Je la reconnu bien sûr, peut-être pas un personnage de premier plan, n'empêche qu'on peut la voir toute les semaines sur nos lucarnes… Belle, magnifiquement coiffée et maquillée, sans loup sur le visage comme trop d'autres habitués de ces lieux ! Vêtue d'une robe bleue que je trouvais bien simple, elle me paraissait plus grande qu'à l'écran…

 

Il fallut danser autour d'elle en gesticulant, en grimaçant, et nous le fîmes tant et si bien que notre Blanche-neige éclata d'un fou rire non prévue qui se révéla vite communicatif.

 

Une voix au micro : celle de Sandrine.

 

- Les nains mettez-vous dans l'ordre !

 

Je me plaçais donc à côté de Timide. Le premier était Prof, il s'avança vers Blanche-neige, lui fit une révérence et s'approcha d'elle, puis, lui attrapa la main avec des trésors de délicatesse et la lui baisa, il la fit ensuite lever de son siège, puis se plaçant derrière elle dégrafa la fermeture de sa robe qui du coup tomba à ses pieds. Blanche-neige était maintenant en sous-vêtement aussi bleus que sa robe, Sa belle poitrine n'était que symboliquement cachée par le petit trésor de dentelles qui l'enveloppait. Simplet eu l'ingrate tâche de la libérer de ses escarpins. Dormeur dégrafa l'un des bas du porte-jarretelles et le retira avec d'infinies précautions comme s'il déshabillait une poupée en porcelaine qu'il craignait de briser. L'autre bas fut pour Joyeux, ce gredin trichait effrontément car contrairement aux instructions il en profitait pour caresser d'un doigt la chair de la cuisse de la belle. Atchoum eu droit à l'enlèvement du porte-jarretelles, ce qui n'est reconnaissons-le guère passionnant.

 

J'avais donc décroché le gros lot puisqu'il me revint l'insigne honneur d'être celui qui retirerait son soutien-gorge ! L'une des agrafes était plus ou moins coincée et j'eu un mal du diable à parvenir à mes fins, je craignais le ridicule, mais non, l'ambiance était rigolarde et bonne enfant par cette soirée d'automne ! Je libérais enfin ces deux globes laiteux et un peu lourds, terminés par d'adorables tétons bruns qui déjà se redressaient d'excitation contenue. Mon excitation personnelle ne se portait pas trop mal non plus ! Enfin Timide eu droit à l'ultime faveur et lui retira sa minuscule culotte en dévoilant une chatte que je n'aurais imaginée rasée d'aussi près !

 

Nous devions reprendre nos gesticulations, à ce moment-là, ce que nous fîmes, j'en profitais pour découvrir le cul de Blanche-neige et ce joli popotin blanchâtre et charnu ne me laissa pas indifférent.

 

Celui qui tenait le rôle de Prof tendit une serviette de bain sur le sol, et Blanche-neige s'y allongea. Stoppant nos danses, nous nous sommes installés autour d'elle. Au signal de Prof nous nous sommes alors débarrassés de nos bas de pyjamas, nous retrouvant donc, la bite à l'air !

 

Alors très lentement nous nous mîmes à tourner, au fur et à mesure que l'un d'entre nous arrivait à portée de sa main droite, elle s'emparait de sa bite et la maintenait quelques secondes dans sa main, sans rien faire, attendant simplement qu'à ce contact charnel, elle grossisse, puis elle esquissait un bref mouvement de masturbation. Quand nous fûmes passés tous les sept entre ces mains, la ronde stoppa, et nous nous sommes mis à nous masturber ! Timide m'attrapa alors ma queue pour la branler à ma place, je lui rendis la pareille puisque Sandrine tenait tant à offrir ce petit "plus" à cette chère Blanche ! Je me souviens que c'est Joyeux qui éjacula le premier, suivi de Dormeur, les autres suivirent rapidement. Avec Timide, nous avions pris du retard, et reprenant nos engins respectifs nous entreprîmes de conclure l'affaire, je fus le dernier et mon jet de sperme lui atterrit entre les seins, endroit déjà bien arrosé !

Preston02.jpg

 

La Blanche-neige était alors recouverte de sperme. Prenant ses deux mains, elle s'étala toute cette semence sur son corps, ses seins, son ventre, son nombril, ses cuisses, puis bien sûr son sexe, ses doigts étaient gluants de sperme, elle se les lécha, sa respiration devenait saccadée, déjà elle n'était plus là ! Très vite elle attaqua son clitoris, tandis que sa cyprine dégoulinait littéralement d'entre ses cuisses. Elle jouit très vite en convulsant son corps et en poussant un hurlement de plaisir qui dû s'entendre jusqu'à l'arrondissement voisin !

 

Elle se releva ébouriffée, et eu ce geste étrange de se couvrir le corps avec la serviette de bain !

 

Manifestement elle attendait quelque chose !

 

Sandrine arriva lui présentant un plateau d'argent sur lequel était posé le téléphone. Alors Blanche-neige prit le combiné et nous fûmes tous témoin de cette étrange communication téléphonique

 

- Allo ! Devine ce que je viens de faire !

 

Et de raconter la scène dans ses moindres détails. Mais voici qu'elle jette la serviette, qu'elle se pinçote les tétons, qu'elle se rebranle et qu'à nouveau elle jouit en hurlant !

 

- Bon ! Je prends une douche et je disparais, je vous remercie tous, vous avez été super ! Je vous ai prévu du champagne, ne vous gênez pas pour trinquer à ma santé !

 

Et en plus elle est sympa ! Bien sûr que nous allons trinquer !

 

Nicolas Solovionni © 2000

 

nikosolo@hotmail.com

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 2 mai 2000 2 02 /05 /Mai /2000 11:54

Le Bar à Travelos

par Eddy

 

stamp_transblack.jpg

 

 

C'est en discutant sur Internet que j'ai eu connaissance de cette adresse, il s'agissait d'un restaurant de quartier à Paris. Travaillant avec une clientèle de bureau, il fermait le week-end. Et le samedi soir se transformait en "boîte à travelos"...

 

Il y a longtemps que je rêvais de réaliser mes phantasmes avec des transsexuelles. C'était l'occasion ou jamais. Je m'y rendis donc. Arrivé sur place je m'acquittais du prix demandé, et première surprise le préposé à l'entrée m'en demande le double. Comme je m'en étonne, il m'explique que l'entrée simple ne donne pas droit à l'entrée de l'arrière salle, là où ont lieu les débats les plus hards, me dira-t-il ! Bon ! Je ne vais pas reculer maintenant... Je paye, le gardien me colle deux coups de tampons sur le dos des mains et j'entre.

 

Il doit y avoir une trentaine de personne, peu de transsexuelles, mais les quelques-unes présentes sont des merveilles. Je saurais plus tard leurs noms L'une d'entre elle (Lisa) de race noire trône au bar sur un haut tabouret, elle est vêtue d'une robe super décolletée et très moulante, fendue sur le côté, elle discute avec une copine à la peau plus claire (Vanity) qui elle est vêtue d'une mini-jupe et d'une sorte de mini pull noir à large maille ne cachant rien de sa merveilleuse poitrine. Un peu plus loin une autre coiffée de ravissantes boucles blondes (Christy) est habillée en pantalon vert fluo qui lui moule les fesses, le haut étant constitué d'un corsage en voile noir semi-transparent.

 

Inutile de vous dire que ces visions de rêve m'excitent au plus haut point. J'ignore comment les choses se passent, ici, et je décide de m'attabler en attendant la suite.

 

- Vous permettez que je m'installe près de vous ?

 

Allons, bon ! Qui est ce casse-pieds, il ne s'agit pas d'un transsexuel, mais d'un travesti, j'espère que je ne me suis pas fait avoir en pénétrant dans une boite à entraîneuses, le genre d'établissement ou on vous fait consommer très cher en vous promettant la lune et en ne vous donnant rien...

 

- Qu'est-ce qu'il fait chaud ce soir ?

 

Voilà qui s'appelle avoir de la conversation ! Je décide d'avoir une attitude de grognon pour faire partir l'indésirable, mais je me dis qu'après tout je vais pouvoir me renseigner sur les habitudes du lieu, quitte à lui demander d'aller voir ailleurs, si ça ne tourne pas comme je veux !

 

- Je suis nouveau et je suis un peu perdu ! L'informais-je.

- Je vois bien ! Alors vous me trouvez comment ?

 

Il faut dire que le type est superbement maquillé, il manque malgré tout le petit truc en plus, qui fait que si les transsexuelles m'excitent presque toujours, les travestis m'attirent beaucoup moins. Mais un certain trouble commence à m'envahir. Le type me raconte un tas de banalité... qu'il a dû refaire deux fois son maquillage, que ses chaussures neuves lui faisaient mal... Malgré tout, il est plein d'humour, et en plus il a un sourire désarmant. Sa conversation est soudain interrompue par un immense éclat de rire. C'est Lisa, la grande transsexuelle noire qui se marre comme une bienheureuse, tous les regards se tournent un instant vers elle.

 

- Quelle merveille !

- Et tu n'as pas vu sa bite, elle est splendide ? J'adore la sucer ! Ça t'intéresserait ?

- Bien sûr !

 

J'ai répondu d'instinct, sans réfléchir.

 

- Elle est très demandée, mais je peux t'arranger ça !

 

J'ai compris l'allusion, le type peut me rendre service, mais c'est donnant donnant ! Peu importe, je suis de plus en plus persuadé que ce ne sera pas une corvée !

 

- Tu aimes sucer ? Demande l'inconnu.

- Oui j'adore !

- Et tu fais ça souvent ?

 

Je vais pour improviser un mensonge, mais j'ai l'impression que quelque part la vérité l'excitera davantage.

 

- En fait, je ne l'ai fait que rarement, quelques bites au hasard de partouzes, rien de plus, mais j'en ai gardé un excellent souvenir !

 

Soudain, le travesti (appelons le Claude) effleure de sa main, ma braguette.

 

- Je peux ?

 

Je lui fais signe qu'oui, sa caresse devient plus appuyée, et ma bite se met à bander, il me descend alors la fermeture éclair et me tripote à présent à travers le slip. Je sais maintenant que je suis embarqué dans une aventure dont j'ignore la suite. Il entreprend à présent de me sortir ma bite de mon slip, la voici à l'air. Je me demande si je suis le seul dans la salle à être dans cet état, mais un coup d'œil circulaire me rassure, l'ambiance est de plus en plus débridée, des couples se forment mélangeant toutes les combinaisons entre hommes, travestis et transsexuels, je crois même apercevoir quelques femmes, mais on ne peut être sûr de rien. Des types se baladent carrément la bite ou le cul à l'air, c'est assez incroyable ! Claude a lâché ma queue, c'est dommage, il branlait bien !

 

- Tu veux voir la mienne ?

 

Il soulève sa minijupe, la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me provoque un trouble étrange, je regarde les jambes, il s'est entièrement épilé. Ce type me fascine, quand je pense que j'ai failli l'envoyer promener tout à l'heure. Sa bite fait une bosse énorme sous son slip de femme. A mon tour je lui caresse sa verge, quelques moments à travers le slip, puis, je lui sors carrément. Je commence un lent mouvement de masturbation, attendant je ne sais quel déclic pour pouvoir lui sucer !

 

- Je vais te dire mon fantasme. Je viens une fois par semaine ici, travesti en femme. Mon truc c'est de m'exhiber et de me faire sucer par un nouveau. Il y en pas toujours, et puis il y en a qui ne veulent pas... Allez, viens on y va !

 

Il me prend alors par la main, et veut me faire lever !

 

- Attends que je me rhabille, quand même !

- Mais non, reste comme cela, c'est bien plus excitant !

 

Puisqu'il le dit ! Il m'entraîne au bar !

 

- Lisa, soit sympa de me prêter un moment ton tabouret !

- D'accord, tu sais bien que je ne peux rien te refuser... Répond-elle d'une voix un peu rauque.

- Au fait, quand tu auras un moment tu pourras t'occuper du trou du cul de ce jeune homme ?

- Pas de problèmes je vais l'enculer bien comme il faut, ton copain !

 

Claude s'est maintenant installé sur le tabouret, il écarte les jambes, soulève sa jupe et me tend sa bite !

 

- Vas-y suce !

 

Je me demande à quoi sert l'arrière salle, et pourquoi j'ai payé double tarif, puisque apparemment on peut tout faire ici ! Mais c'est sans hésiter que je me saisis de son pénis en érection et que j'en approche la langue pour lui lécher le bout du gland, j'enferme ensuite celui-ci entre mes lèvres et le fait pénétrer plus avant dans ma bouche ! Que c'est bon, je l'engloutis, puis commence une série de va-et-vient. Un petit rassemblement se forme autour de nous. Je sens quelqu'un qui me baisse mon pantalon. Je laisse faire et je sens bientôt une langue qui s'attaque à mon trou du cul. Sensation étrange mais délicieuse. Un autre me branle la bite, mais il ne fait pas très bien. Soudain je sens la bite de Claude atteinte de soubresauts. Il décharge dans ma bouche. J'hésite une seconde entre avaler le sperme ou le recracher, mais voici qu'il m'embrasse sur la bouche en récupérant une partie. Je me retrouve tout con, là devant le bar, le pantalon par terre et la bite à l'air.

 

Je me rhabille un tout petit peu, mais voilà Lisa qui m'entraîne dans l'arrière salle. Je vais enfin savoir ce qu'il y a à voir là-dedans ! Je m'aperçois d'ailleurs qu'à l'entrée, personne ne contrôle si j'en ai payé le droit. On a disposé dans cette salle une dizaine de matelas recouverts de serviettes éponges. Sur l'un de ceux-ci, Christy, l'une des trans que j'avais repérée à l'entrée est en train de se faire enculer par un type.

 

Lisa se déshabille prestement, sans aucune élégance. Son corps est magnifique, d'un joli noir tirant sur le marron, les seins sont galbés à souhait et terminés par de jolis tétons arrogants tout noirs. Sa bite est plus sombre que le reste, d'un bon volume avec un gland magnifique

 

- Tu veux me sucer un peu, avant ? Demande-t-elle

 

Et comment que je veux la sucer ! Je me précipite vers ce chef d'œuvre et le travaille dans ma bouche, trop peu de temps, hélas ! Lisa veut bien rendre service, mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps.

 

- Tu veux que j'encule comment, à quatre pattes ou les jambes en l'air ?

- Les jambes en l'air, comme ça je peux te voir !

- T'as raison, c'est meilleur !

 

Je me couche, je lève les jambes, écarte mes fesses au maximum, pour laisser le passage, Lisa, elle a mis un préservatif lubrifié et essaye de passer.

 

- Ben dis donc ! Ça doit faire une éternité que tu t'es pas fait mettre, toi ! Qu'est-ce que tu es serré !

 

Je ne vais pas lui dire quand même que je suis puceau du cul ! Ça passe enfin, ça fait un peu mal, elle fait pénétrer la moitié de sa verge, puis tout. Un curieux plaisir m'envahit tandis que Lisa commence une série de va-et-vient de plus en plus rapides. Au bout de dix minutes, elle arrête, je n'en puis plus, c'est trop bon !

 

- Ça a été ?

- Super !

 

Elle me fait un bisou sur le nez et s'en retourne au bar !

 

mohh000.jpg

 

Je voudrais bien jouir, mais je ne sais pas trop comment, et décide à mon tour de rejoindre la salle, mais auparavant, il faut que j'aille faire un petit pipi. Les toilettes sont relativement grandes comme on en faisait autrefois, il y a trois urinoirs, deux sont occupés par des hommes, l'un d'entre eux se faisant branler par l'autre. Un travesti (Frédérique) est posté un peu en retrait, je ne sais pas ce qu'il attend, pas l'urinoir puisqu'il est libre. Je ne cherche pas trop à savoir, me dirige donc vers la pissotière de libre et dégage ma bite quand soudain une main se pose dessus, je regarde à qui appartient cette impertinente mimine. !

C'est le travesti qui s'est donc emparé de ma bite et qui la masturbe. Je me laisse faire.

 

- Tu aimes les jeux de pipi ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, d'abord je ne sais pas exactement ce qu'il entend par-là. Il se passe décidément de drôles de choses dans cette boite. Le type voyant que je suis un peu perdu reformule sa question :

 

- Ça ne te plairait pas de pisser sur un beau travesti comme moi ?

 

J'ai failli dire non, mais je me ravise, j'ai déjà pratiqué très rarement quelques jeux uro, et cela ne m'a pas déplu, et puis, je suis là pour m'éclater et découvrir un tas de choses.

 

- T'es pas pressé, on va attendre que ces deux connards se tirent de là !

 

Je comprends qu'il a dû essuyer un refus des deux types et qu'il n'a pas envie de se montrer en spectacle devant eux. Je me mets donc en retrait à côté du travesti.

 

- Je t'ai vu tout à l'heure sucer Claude ! Tu à l'air d'être doué !

 

Tout en me parlant, il me tripote la queue que j'ai rangée dans son slip, mais sans remonter la braguette, il me la sort carrément, et s'accroupit devant moi pour me sucer. Il fait ça très bien, mais j'ai toujours mon envie de pisser et je préférerais me soulager avant de jouir. Enfin les deux branleurs quittent la toilette. Alors à toute vitesse, Frédérique se déshabille sur place, me tend ses vêtements et s'agenouille devant la cuvette, face à moi :

 

- Vas-y pisse-moi dessus !

 

Je vise son sexe et l'asperge de mon urine !

 

- Remonte !

 

Je remonte légèrement lui mouillant le torse !

 

- Garde en une goutte !

 

Je suis à nouveau interloqué, mais je comprends, il veut que je lui pisse maintenant dans la bouche, sans pour autant je lui abîme son savant maquillage. J'introduis donc mon sexe dans sa bouche et lui donne ma dernière goutte.

Il a l'air tout content et pour me remercier veut me rouler une pelle. Je n'hésite même plus et l'embrasse, mélangeant nos saveurs intimes.

 

- Tu veux m'enculer ? Demande-t-il

- Ça peut se faire en effet !

 

Je n'avais pas envisagé de jouir de cette façon, mais après tout, pourquoi pas ? Il ne se rhabille même pas et nous nous dirigeons vers l'arrière salle qui en quelques minutes s'est considérablement remplie.

 

Christy est toujours là, se faisant toujours prendre par le même type. A un autre endroit c'est Lisa qui se livre à une partie de triolisme avec un grand noir à perruque qui l'encule, ce dernier se faisant sucer le cul par un troisième larron. Encore ailleurs c'est Vanity qui sodomise un type qui a les jambes relevées et qui suce un autre homme. Mais la véritable attraction c'est Claude qui penché en avant se fait fouetter les fesses à grands coups de martinet par un gigantesque escogriffe qui se masturbe en même temps.

 

Plusieurs hommes se branlent, se délectant du spectacle.

 

Frédérique m'entraîne sur un matelas, je me déshabille à nouveau.

 

- On va se sucer d'abord !

 

Ca me paraît une excellente idée ! Nous nous plaçons en position de soixante-neuf, et nous nous suçons mutuellement la bite, la sienne est encore imprégnée du goût de mon urine, mais qu'importe, je m'adapte très vite ce soir ! Soudain Frédérique lâche mon gland pour s'intéresser à mon trou du cul, cela ne fera que la deuxième fois qu'on me le lèche ce soir, et je commence à apprécier hautement cette caresse que je connaissais mal. Bien sûr, je lui rends la politesse et m'active à lui donner des petits coups de langues dans son petit trou.

 

- C'est trop bon, continue !

 

Certes, mais maintenant, j'ai envie de jouir ! Je décide malgré tout d'être correct et de retarder mon plaisir pour continuer à le satisfaire. C'est lui-même qui mettra fin à cet anulingus et qui se placera à quatre pattes, me tendant les fesses, le trou béant ! Sans hésiter j'enfile une capote et pénètre l'anus du type qui a dû en voir défiler un certain nombre. J'essaie à la fois de retarder ma jouissance et de lui donner du plaisir, pas facile, je n'ai jamais enculé personne, moi !

 

- Ne jouis pas dans mon cul ! Donne-moi ton sperme !

 

Il était temps, je me retire, ôte le préservatif et lui tend ma bite afin qu'il recueille ma semence. Je suis sûr qu'il va m'embrasser sur la bouche. Effectivement, c'est une manie ce soir !

 

- Bon, à mon tour de jouir, tu me donnes ton cul ?

 

J'aurais préféré attendre un peu que l'excitation revienne, mais bon s'il veut m'enculer, qu'il m'encule, après tout c'est si bon !

 

- Vas-y encule-moi !

 

Et pour la deuxième fois de la soirée, mon cul accueillit une bonne bite ! Frédérique prit son plaisir assez rapidement. Pour ma part j'étais épuisé.

 

Je retourne dans la grande salle où il n'y a plus grand monde à part quelques " couples " qui se branlent ou qui se sucent sur leur banquette.

 

J'ai un coup de pompe pas possible, je décide de partir. Mais vivement Samedi prochain que je revienne ! '

 

Eddy Stokien © 2000

edvardstokien@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mai 2000

Par Eddy - Publié dans : Eddy
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 mai 2000 1 01 /05 /Mai /2000 19:34

Les urinoirs de la gare
3 - la partie
par Estonius

 

Gaystamp

 

Les lecteurs reliront avec intérêt les chapitres 1 et 2 de cette série d'étranges aventures

 

J'avais donc un rendez-vous fixe avec Claude et son épouse. Pour le reste je pouvais passer n'importe quand pour voir Pablo au "Barcelone" et il y avait la proposition de Jim. J'avais donc de quoi faire.

 

C'est comme cela d'un coup, ce lundi que je me décidais à accepter la proposition de Pablo et donc d'aller me faire enculer par ce dernier. Je pensais y aller directement, mais je me persuadais quelque part que le plaisir serait meilleur si je m'excitais un peu avant et je décidais donc d'aller préalablement faire un tour aux urinoirs voir un peu ce qu'il se passait ce jour-là.

 

Ce jour-là justement, beaucoup de monde, des urinoirs très occupés et des tas d'hommes attendant derrière. L'affaire s'éternisait, je me rendis compte que certains n'attendaient pas de façon passive. Des mains traînaient sur les braguettes, des fermetures éclair s'ouvraient, des queues s'en libéraient. Tout cela assez discrètement néanmoins. Quant aux cabines, elles étaient pleines bien évidemment. J'attendais, assez excité par l'ambiance qu'une main se pose sur ma braguette, j'aurais pu faire de même mais je me sentais encore trop nouveau dans ce milieu pour prendre ce genre d'initiative. La main finit par venir raidissant encore un peu plus ma bite toute bandée. Le type se posa carrément devant moi. Et entreprit de me défaire ma braguette. J'étais un peu gêné par le manque de discrétion mais entreprit néanmoins de me laisser faire, après tout, les gens qui venaient ici le faisait en toute connaissance de cause. Bientôt ma bite toute raide surgit de mon pantalon, et l'inconnu se mit à la masturber. Il se mit soudain à genoux et allait commencer à la sucer quand un mouvement de foule fit soudain se vider la salle. Il s'agissait de deux flics en képi. Je me retrouvais donc dehors dans ce grand couloir de correspondance. Le type qui voulait me sucer se retrouva à mes côtés :

 

- Dommage ! Me dit-il

- Oui, mais on peut se revoir !

- Je te paye un coup !

- O.K !

 

Je pensais à l'emmener au Barcelone, mais sans trop savoir pourquoi, j'y renonçais. Nous nous dirigeâmes vers un bistrot tout à fait classique

- On se prend une petite conso au bar et on va se finir dans les toilettes ?

 

J'acquiesçais volontiers, les consommations furent vites… consommées et nous descendîmes l'un après l'autre dans les toilettes de ce café. Il semblait connaître les lieux et sans préambule baissa son pantalon et son slip, j'en fis bien sûr autant, il s'accroupit devant moi et introduisit mon sexe à nouveau durci dans sa bouche. Il suçait très bien je sentais sa langue me caresser le gland par petits coups nerveux tandis que ses lèvres développaient un mouvement de succion très efficace. Quand il estima que ma verge fut assez tendue, il se releva, me tendit un préservatif, puis se retournant, me demanda de l'enculer. Préalablement je répétais les gestes appris avec Claude et lui léchais l'entrée de l'anus avec ma langue, regrettant de ne pas lui sucer aussi la bite, mais ce serait peut-être pour plus tard, je m'introduisis facilement dans son petit trou. Excité comme tout, quelques allers et retours suffirent à me faire atteindre l'éjaculation tandis que l'inconnu se pâmait de plaisir. Mon désir disparut aussi vite qu'il était venu et je refusais poliment la réciproque, mais acceptait de le branler afin qu'il jouisse à son tour.

 

- Tu branles bien, mais j'aimerais autre chose, ça ne t'ennuierait pas de me cravacher les fesses pendant que je m'astique

 

Non, ça ne me dérangeait pas, je défis la ceinture de mon pantalon, et commençais à le flageller, réalisant en même temps que cette pratique était assez bruyante.

 

- Bon allez ! Branle-moi ! Ça fait trop de bruit !

 

Mais le désir remontant, c'est dans ma bouche que je le terminais. De retour au bar, il me fit cette étrange proposition :

 

- T'aime ça aussi les coups sur les fesses ?

- Ça ne me déplait pas !

- J'ai eu l'occasion de rencontrer un grand bourgeois qui organise des parties entièrement masculines, je lui sers un peu de rabatteur, si ça t'intéresse ?

- Et on fait quoi ?

- On se branle, on se suce, on s'encule, un peu de SM aussi, mais c'est lui qui dirige tout. Je t'assure c'est génial

 

Je lui demandais des précisons.

- Il ne veut pas que je donne l'adresse, mais il y a une partie jeudi prochain…je peux t'emmener

 

Je lui donnai mon accord. Le jour fixé Charlie était au rendez-vous, j'avais plein de questions à lui poser, ce que j'ignorais c'est qu'il avait appelé un taxi, et que dans ces conditions les questions risquaient fort de demeurer en suspens.

Une fois sur place, nous devions prendre un escalier de service et finalement le maître des lieux nous accueillit d'une chaleureuse poignée de main.

 

- Voilà, nous attendons encore deux personnes et nous pourront commencer. Je vous laisse conduire notre nouvel invité dans la grande salle, Il y a un petit buffet à votre disposition et quelques films. Vous pouvez vous exciter bien sûr !

 

Dans la salle, il y avait déjà six hommes, et le spectacle était tout à fait charmant. Deux grandes télés diffusaient des films gays, le premier dans le genre traditionnel avec des gays californiens super musclés ne m'intéressait pas du tout, mais l'autre montrait des jeunes hommes ressemblant davantage au commun des mortels et leurs ébats ne me laissèrent pas longtemps indifférent. Pour faire bonne mesure, je me servis quelques bricoles au buffet, il n'y avait pas d'alcool que des jus de fruits, aussi quelqu'un du voir mon air dépité et me rassura en me précisant que le champagne arriverait plus tard. Mon interlocuteur avait comme tous les autres la bite sortie de la braguette, une fort jolie bite, ma foi ! Je m'empressais de sortir également la mienne, puisque cela semblait être la tradition des lieux, mais je ne pouvais néanmoins pas m'empêcher de reluquer la queue de mon voisin !

 

- Elle est magnifique !

- Je sais, elle est très douce au toucher, vas-y caresse-là !

 

Je ne me fis pas prier et commençais quelques mouvements de masturbation. Je l'aurais bien sucé, mais j'étais un peu gêné de ne pas bien connaître les habitudes de la maison… Sur ces entre faits arrivèrent deux autres hommes dont un grand noir à l'air jovial qui tout de go sortit de sa braguette une énorme bite. Le maître des lieux nous avisa :

 

- On va bientôt commencer, ne restez pas comme cela, mettez-vous à poil ce sera plus cool !

Toute l'assemblée entrepris donc de se déshabiller, Hervé, mon voisin de tout à l'heure avait l'air de se coller à moi, mais cela ne me gênait pas du tout.

 

- Dis donc, tu en as des gros bouts de seins !

- C'est à force de me les faire pincer !

- Je peux ?

- Bien sûr !

 

Et pendant qu'il me tripotait les tétons, je continuais à jouer avec sa belle bite, je jetais un coup d'œil circulaire autour de moi et m'aperçut qu'un peu plus loin, un type en suçait un autre. Puisque la pratique semblait autorisé ici, pourquoi me gêner, je me mis donc à genoux devant Hervé et je commençais par lui donner de petits bisous sur la verge, sur les couilles, puis sur le gland. Comme il ne protestait pas j'introduisis son sexe dans ma bouche et commençait une fellation en règle ! Mais je fus vite interrompu par l'arrivée d'Eric le maître des lieux, suivi d'Alain une sorte d'assistant, tous les deux étaient complètements nus, hormis une grande cape noire, ouverte et un peu ridicule.

 

- Bien, nous vous laisserons terminer cette soirée comme vous l'entendez, mais auparavant nous allons nous livrer à quelques attractions. Tout le monde est d'accord ?

 

Il n'y eut bien sûr aucune objection

 

- Vous allez tous vous mettre en ligne ici, et Alain et moi nous allons désigner la plus belle bite de l'assemblée, le vainqueur commencera par recevoir un prix de *** euros.

 

Puis se tournant vers Alain :

 

- Ca ne devrait pas être trop difficile de trouver le vainqueur ce soir ?

- Ah ! Ce n'est pas dit, il faut goûter, dès fois on a des surprises !

- Alors on y va !

 

Eric se plaça à l'extrémité gauche de la file, Alain à l'extrémité droite, et les deux personnages entreprirent de nous sucer brièvement les uns après les autres. Je trouvais la situation extrêmement excitante. Etant pratiquement au milieu de la file je subis les assauts d'Eric et d'Alain pratiquement dans la foulée, me laissant dans un état de pré jouissance fort trouble.

 

- Alors ce vainqueur ?

- Pour moi, c'est William ! Répondit Alain en désignant le grand noir !

- On est d'accord, William est vainqueur

 

Gcode33.jpg

 

En disant cela Eric sortit de sa cape deux billets de *** euros qu'il tendit à William, qui ne sachant pas trop quoi en faire alla finalement les ranger dans la poche de sa veste accrochée un peu plus loin…

 

- Et maintenant tout le monde se tourne, nous allons désigner le plus beau cul de la soirée.

 

Chacun des deux larrons commença comme tout à l'heure à une extrémité, à peloter nos culs, à les embrasser, à y faire pénétrer un doigt. Bientôt ce fut mon tour.

 

- Regarde-moi cette merveille ! Un vrai cul de gonzesse, un chef d'œuvre. Quelle cambrure, et c'est tout doux !

 

Je ne m'attendais pas vraiment à ce genre de remarque et n'en éprouvais d'ailleurs aucune fierté. Ils étaient deux à m'ausculter les fesses à présent.

 

- Un petit peu étroit, peut-être ?

- Ca ne fait rien c'est le plus beau !

 

Puis s'adressant à l'assemblée :

 

- Le vainqueur est donc Pascal

 

Je reçus aussi mes 2 billets, et à l'instar de William alla les ranger.

 

- Je vous propose d'unir la plus belle bite avec le plus beau cul. William va donc enculer Pascal.

 

Je bredouillais quelques mots de protestation, précisant que je n'avais rien contre William, ni contre sa bite, mais quelque chose contre la grosseur de cette dernière, parce que relativement nouveau dans ce milieu… la situation amusa Eric qui se tourna cers Charlie.

 

- Dis donc, Charlie, tu aurais pu nous prévenir que tu nous amenais un puceau ?

 

Charlie essaya en vain de bredouiller quelques mots d'excuses.

 

- Non ça mérite une punition ! Viens ici on va t'attacher à cette croix et te punir comme il faut

 

Cette perspective n'avait pas l'air de contrarier l'ami Charlie qui se prêta de bonne grâce à cette petite comédie. On l'attacha à une croix de Saint-André, face contre croix, puis Eric qui s'était saisi d'un martinet commença à lui frapper les fesses. Les coups furent d'abord moyens, mais Charlie supportait bien, alors ils devinrent plus fort et atterrirent non seulement sur le cul, mais aussi sur le dos et sur les cuisses. Quand on le détacha sa bite était toute raide !

 

- Tu vas lui ouvrir le chemin, ça t'apprendra, et après William prendra le relais.

 

Je m'arc-boutais à une espèce de barre et écartais les jambes. Eric m'enduit le cul d'une sorte de gel et laissa la place à Charlie qui pénétra mon anus avec facilité. Il enculait très bien, pour une punition, il s'en sortait plutôt bien, mais Eric ne lui permit pas d'aller jusqu'au bout et William prit ensuite le relais

 

- Tu ne jouis pas dans son cul ! Tu te réserves pour le mien ! Quand tu sentiras que ça vient tu le laisses tomber et tu t'occupes de moi !

 

La bite de William ne passa pas sans douleur, mais il savait y faire. Après m'avoir pénétré, il accomplit des mouvements les plus lents possibles, puis accéléra insensiblement. La sensation était délicieuse. Soudain le rythme s'accéléra, il stoppa, attendit, puis décula, il changea alors de préservatif puis très vite pénétra Eric et déchargea !

 

- Messieurs je vous laisse, profitez du buffet et faites ce que vous voulez ! A minuit Alain viendra fermer, jusque-là la soirée est à vous ! Il y a ici une petite caméra, n'y touchez pas je crois que j'aurais un beau film à visionner demain, et rassurez-vous après je l'efface…

 

Puis se tournant vers moi en me donnant un petit carton.

 

- J'aimerais bien vous revoir, téléphonez-moi sur ce numéro de portable !

 

Il disparut avec son comparse, je ne cherchais pas trop à comprendre la raison d'une attitude aussi étrange. Hervé était à nouveau à côté de moi, sa bite toujours dressée. Je repris donc ma fellation interrompue. C'était vraiment un grand plaisir que de sucer une aussi bonne bite ! Le plus agréable quand on suce un sexe est quand la langue rencontre l'endroit où se termine le gland. Si l'homme est bien excité sa queue va sécréter quelques gouttes de liqueur séminale qui vont rendre le goût de la queue encore plus excitant. C'est justement ce qui était en train de se passer avec Hervé.

 

- Je t'enculerais bien pour finir !

 

Faut pas pousser, deux dans la soirée c'est déjà énorme, alors trois, mais j'acceptais quand même et je lui tendis mon cul dans lequel il jouit fort rapidement. Lui aussi me tendit un carton avec un numéro de téléphone, (A ce stade il faudra bientôt que je me rachète un carnet d'adresses) et disparu. Je n'avais pas joui et avais très envie. Mais comment ? Enculer quelqu'un n'est pas mon truc, me faire sucer ou branler, pourquoi pas ? Dans un coin un type suçait alternativement deux queues, je me plaçais en troisième position, mais manifestement cela n'intéressait pas le suceur.

 

Je résolus donc de me masturber moi-même en regardant la vidéo qui n'avait pas cessé. Une main secourable vint remplacer la mienne, je la laissais faire, puis l'homme s'accroupit devant moi et me suça, il suçait très bien, donnant des petits coups de langue nerveux, je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Il tint à m'embrasser sur la bouche alors qu'il n'avait pas encore avalé mon sperme, je le laissais faire, par politesse, mais je reconnus que cela n'avait rien de désagréable. Je bus un dernier verre, ce qui me permit de constater qu'on avait effectivement apporté du champagne !

 

Avant de partir, je me rendis aux toilettes, un des participants avait eu la même idée que moi au même moment, je le laissais donc entrer avant moi et me mit en devoir d'attendre mon tour.

 

- Non rentre ! On ne va quand même pas se gêner maintenant

 

Le type se mit à pisser, et tout en le faisant, il se badigeonna la queue et les testicules avec son urine. Un certain trouble se manifesta au niveau de ma queue qui se remit à bander légèrement. Je pensais qu'il allait me proposer quelque chose, mais il resta muet. Je me mis à pisser à mon tour, et histoire de voir jusqu'où irait mon voisin j'imitais ses gestes, me barbouillant également la verge et les couilles d'urine. Cette fois sa timidité fut vaincu, il se pencha vers mon sexe pour me le lécher, mais ne parvint cependant pas à me faire bander correctement. Sur cette dernière scène fort trouble, je quittais les lieux à mon tour...

 

à suivre

 

Edstonius - 2000

Par Estonius - Publié dans : Estonius
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 12 avril 2000 3 12 /04 /Avr /2000 23:33

Maud, son grand nez et son manteau violet

par Nicolas Solovionni

 

 

cul015

 

Je prends donc le train ce matin, toujours aussi décontracté, je ne suis pas du genre à pénétrer dans un train bourré à bloc, je préfère patienter ! Mais cette fois j'ai beau attendre, c'est une grève dure, il n'y a vraiment que peu de transport, la chance a voulu qu'une rame s'arrête de façon à ce que la porte du train soit pratiquement devant moi, et sans même réfléchir, poussé par une marée humaine, me voici dans le wagon, debout bien sûr !

 

Me voilà parti pour un long voyage, les douze minutes de d'habitude se multiplient, le train ne peut partir que les portes fermées, et les gens laissent les portes ouvertes pour faire monter les gens qui arrivent sans cesse. Dedans on est serré comme des sardines. Et on finit par se trouver nez à nez avec de joyeux inconnus. C'est exactement ce qu'il m'arrive, une dame qui se met à me parler (pas con d'ailleurs). Ça commence toujours pareil d'ailleurs, ça râle contre les grèves, plus ou moins violemment suivant ses opinions politiques, et comme on ne peut pas passer son temps à rabâcher les mêmes choses, après on essaie de parler d'autres choses…

 

Cette dame entreprend de me raconter de façon très pittoresque son voyage de la veille au soir, quand soudain mes yeux sont attirés par une femme en manteau violet à trois mètres de nous. En fait son visage ne m'est pas inconnu, je l'ai déjà aperçu plusieurs fois dans le bus, petite, les cheveux mi-longs, mais surtout un visage comme je les aime avec un visage très doux et un nez assez grand. Je la regarde, et elle s'en aperçoit, je crois deviner un sourire d'encouragement mais je ne suis pas sûr. Je décide donc de passer à l'attaque à la première occasion. On arrive à Sarcelles, premier arrêt. Le quai est noir de monde, et le train a beau être archi-plein, il y en a toujours qui se débrouille pour monter, il se produit un mouvement de foule, et là j'emploie un truc qui m'est resté des manifs étudiantes de 68. Dans une foule compacte il est presque impossible d'avancer librement, l'astuce consiste à profiter du fait qu'un corps humain est plus large de face que de profil (si ! si ! Je vous assure !) Et d'effectuer des rotations sur soi-même pour provoquer un "effet de bille" au contact des gens qui t'entourent ! (Vous essaierez, c'est génial !). Je tournicote donc vers la dame-au-long-nez. C'est un peu plus compliqué que prévu, parce que le mouvement de foule à tendance à l'éloigner de moi, mais bon j'y arrive quand même !

 

- Et ben, vous en avez fait des contorsions pour arriver jusqu'ici !

 

Je ne m'attendais pas bien sûr à ce qu'elle prenne l'initiative de l'engagement de la conversation, mais bon… elle se marre, je lui lance deux ou trois plaisanteries sur son magnétisme irrésistible qui m'attire inexorablement et la glace est définitivement rompue. Elle est un peu plus nunuche (non pas mal, soyons franc) que l'autre dame, mais enfin ça va… De près elle semble plus vieille que j'imaginais, le cou est un peu abîmé, et elle est très maquillée, mais bon, je ne regrette pas d'être là. 

 

On discute donc, il serait faux de dire que je drague, mais j'attends l'occasion. Et en fait cette occasion sera en fait un miracle. Le train arrive à Pierrefitte, là aussi c'est noir de monde, il me paraît impossible que quelqu'un puisse monter, mais des gens veulent descendre… L'espace d'un instant il y a un mouvement de foule assez violent, à ce point que les gens cherchent à s'accrocher à ce qu'ils peuvent. La plupart du temps ils n'ont rien pour le faire, comme ma compagne de voyage qui par réflexe s'accroche à ma taille, ma sacoche bascule en arrière, j'essaye de m'arc-bouter pour qu'elle reste en équilibre ce qui a pour effet de me coller contre elle, mon sexe contre son ventre… L'érection fut immédiate, je n'eus même pas le temps d'être gêné. Elle me décoche un sourire complice (Ah ! Ce regard, que je n'oublierais sans doute jamais !). J'essaie de reculer, mais c'est impossible d'une part à cause de la pression des gens (merci les gens !) Et surtout parce elle reste accrochée. Puisque c'est parti, j'essaie d'aller plus loin, mais non elle ne veut pas que je l'embrasse, me demandant d'attendre l'arrêt (il y a peut-être des gens qu'elle connaît…), mais il se passe quelque chose, son regard n'est plus le même, un véritable appel au viol, elle est assurément aussi excitée que moi. On resta là collés l'un contre l'autre pendant de longues minutes, assurant pour ma part de très légers mouvements de frottement pour maintenir une érection qui n'a d'ailleurs peut-être pas besoin de cela.

 

Enfin nous voici à Paris ! Nous étions dans un wagon de queue, et à cet endroit de la Gare du Nord, il y plein d'énormes piliers où ça drague et ça pelote sec à toutes les heures de la journée, on s'y précipite, on s'embrasse, on se pelote. Ça dure je ne sais pas, un quart d'heure peut-être, et j'avoue ne pas me rappeler comment on décide de conclure, mais on y va, premier arrêt obligatoire : La pharmacie de la Gare du Nord ou j'achète des capotes, mais pour cela on fait la queue un quart d'heure, j'ai bizarrement l'impression que son excitation retombe, je sens qu'il faut faire vite. Un premier hôtel, là aussi il faut attendre que Môssieur ait fini de discuter avec quelqu'un, tout cela pour nous entendre dire que c'était complet (que ce serait-il passé si cela n'avait point été le cas ?). On ressort pour en chercher un autre : Mais non, Maud intervient (elle s'appelle Maud) 

 

- Je crois qu'on s'est bien excités, mais maintenant on arrête le délire !

 

Ce sont ses termes à l'exact ! Ça ne s'oublie pas ces trucs-là ! Ne sachant trop quoi dire pour la contrer, je bafouille un vague !

 

- Tu ne vas pas me laisser comme ça !

- Ça va passer, ça passe toujours !

 

Très vite j'esquisse un contre plan, mais il ne marchera pas :

 

- Bon on va boire un café et on se quitte !

 

J'espère alors que la magie des arrière-salles va réveiller ses instincts. Mais dans un premier temps elle refuse de s'asseoir et commande au bar, pour se raviser :

 

- Finalement on s'assoit !

 

Je reprends espoir l'espace d'un instant et le perd quand je la vois s'arranger pour s'asseoir après moi (et donc en face de moi, pas à côté). Là elle me fait promettre de faire comme si je ne l'avais jamais connu. Je passe… et elle aura quand même cette réflexion : 

 

- Peut-être qu'un jour il y aura une autre grève, si vous vous approchez de moi, je ne dirais pas non, mais seulement dans ce cas-là !

 

Je suis dépité, je lui demande un dernier bisou, elle me le fera mais assez chastement.

 

Cette aventure m'a perturbé, je n'arrive pas encore à comprendre comment l'attitude de cette femme a pu changer en l'espace de quelques instants. J'ai déjà fait des rencontres dans le train, certaines étaient très prometteuses, et se poursuivaient autour d'un petit déjeuner avec bisous, pelotages et bien sûr promesse de se revoir le soir, pour aller un peu plus loin. Mais combien de fois ces rendez-vous ont-ils vraiment aboutis ? Et pourquoi ? Parce que loin du feu de l'action on redevient un être convenable, civilisé, social… Ça peut se comprendre, mais là, justement nous n'avions pas quitté le feu de l'action.

 

Le lendemain le trafic ferroviaire était redevenu normal, je monte les escaliers conduisant à mon quai et j'aperçois qui ? Maud et son manteau violet. Manifestement elle attend quelqu'un. Malgré nos accords, j'essaie de croiser son regard, mais peine perdue, je sais qu'elle m'a vue, mais je n'insiste pas. Je suis un peu dépité, je m'étais fait une raison, mais voilà ! Je m'installe dans le train, incapable de fixer mon attention sur le journal.

 

Arrivé à Paris, je me dirige vers les couloirs du métro, quand soudain quelqu'un vient m'aborder :

 

- Et bien dites donc, vous marchez vite, vous !

 

Maud, je n'en crois pas mes oreilles, ni mes yeux, je rêve ou quoi ? Et pourquoi a-t-elle abandonnée le tutoiement ? Je souris bêtement, trop interloqué pour formuler une réplique cohérente. Elle reprend :

 

- Je vois que vous êtes pressé, mais j'aurais voulu vous parler cinq minutes. Demain si vous voulez ?

 

Pressé n'est pas le mot, je suis sous le régime des horaires variables, mais j'ai une session de formation à animer à partir de 8 h 45, et plein de travail en retard, mais l'envie de savoir est trop forte.

 

- Je vous écoute !

- Non pas ici, vous connaissez sûrement un bistrot discret ?

 

Un bistrot discret ! Et puis quoi encore ? Et puis pourquoi discret d'abord ? Effectivement je connais ce genre d'endroit, et nous y allons donc. Maud est très paisible, et ne souhaitant pas me dire ce qu'elle à me dire dans la rue, elle alimente seule la conversation en me narrant ses péripéties pour rentrer chez elle, la veille. Elle cultive une sorte d'humour fataliste que j'apprécie beaucoup !

 

Nous voici au café, alors que les cafés devant la gare sont pleins à craquer, il suffit de faire cent mètres de plus pour trouver des petits trucs peinards et sympathiques. Maud se cale sur une banquette, me souvenant de la scène de la veille, je vais pour m'installer devant elle…

- Viens ! dit-elle en me montrant la place à côté d'elle.

 

Me voici stupéfait, elle m'accorde maintenant ce qu'elle me refusait hier, je n'y comprends plus rien mais je ne vais pas refuser l'invitation.

 

- Embrasse-moi ! Je n'en peux plus !

 

Et avant que j'aie eu le temps de faire quoique ce soit la voici qui se colle à ma bouche, nos langues se mélangent dans un élan irrésistible, tandis que mon sexe se durcit… Elle s'en aperçoit et me colle sa main dessus ! Elle cherche la braguette, elle la trouve, et lentement l'ouvre, sa main est maintenant sur mon slip, elle continue à fouiller, et caresse maintenant ma bite, je n'en peux plus.

 

Un raclement de gorge, c'est la servante, elle est marrante la servante, une petite bonne femme avec des taches de rousseurs sur le nez.

 

- Si ça vous intéresse, on a une salle privée, c'est 15 euros par personne !

- Une salle privée ?

- Oui, et comme c'est privé, vous pouvez faire tout ce que voulez !

 

Maud saute sur l'occasion

 

- Ça me paraît une bonne idée ! Non ?

- Mais, Maud, je ne peux pas, j'ai à peine dix minutes devant moi !

- Tu es en train de rater une belle occasion !

- Je le sais bien...

 

Elle ne me laisse pas terminer ma phrase, sa bouche s'approche de la mienne et nos langues se mélangent. A nouveau je me mets à bander, je m'aperçois que ma braguette était restée ouverte, elle imprime un mini mouvement de masturbation autour de mon gland ! Je perds mon contrôle, j'ai l'impression que je ne vais pas tarder à faire une grosse connerie !

 

- On ne vit qu'une fois…

- Mais je ne peux pas, J'anime une formation, il y a des gens qui viennent de province, il y en a même un qui vient des Antilles.

- Et si tu avais vraiment un cas de force majeure ?

- Je n'aurais pas prévenu au dernier moment…

- Bon ! Tant pis, je ne vais pas te supplier ! Laisse-moi passer, moi aussi j'ai du boulot…

 

Je referme ma braguette, me lève de la banquette pour la laisser passer, et elle disparaît sans un mot, il ne me reste plus qu'à payer et à rejoindre ma boite, le cœur gros. Je suis partagé, c'est vrai que j'aurais pu inventer un gros truc ! Après tout il n'y a personne d'indispensable sur terre. Mais je me dis aussi qu'une femme capable d'avoir de telles exigences doit être une super emmerdeuse et que finalement j'ai bien fait de ne pas céder.

 

Ma session se prolongeait le lendemain et ce jour-là, je pris la précaution de partir une heure plus tôt afin d'être sûr de ne pas la rencontrer. Par contre le jeudi je n'étais guère pressé, et pour parer à toute éventualité j'avais posé une journée de vacances. C'est très déçu qu'en arrivant sur mon quai je ne vis pas Maud ! Et Oui ! Et pourquoi l'aurais-je vu ? J'étais en train de me monter tout un cinéma, cette nana n'allait pas s'amuser à m'attendre tous les matins tout de même ! Malgré tout, j'attends un quart d'heure, puis encore cinq minutes… Et puis tant pis, je vais me payer une journée de célibataire à Paris. Ce sera la grande improvisation.

 

Je descends gare du Nord, j'aurais pu descendre plus loin, mais j'ai envie d'un petit déjeuner dans le coin.

 

- Vous êtes moins pressée que l'autre fois, on dirait ?

 

Maud ! Ce n'est pas vrai je rêve ! Elle m'attendait donc Gare du Nord !

 

- J'ai effectivement tout mon temps aujourd'hui !

- Ah ! Bon tu ne vas pas travailler ?

- Aujourd'hui je ne suis même pas obligé ! On retourne au café d'avant hier ?

 

A peine arrivée, Maud demande à la patronne deux entrées pour la salle privée. Une porte, une tenture… une chaîne avec un panneau :

" Privé - Entrée Interdite " 

 

- C'est en haut de l'escalier ! Si vous avez besoin de quelque chose (des préservatifs, des kleenex, des serviettes) il y a un bouton d'appel près de l'entrée !

 

Quel romantisme !

 

Je n'en crois pas mes yeux, dans la salle il y a deux types qui se font sucer alternativement par une fille, l'un des deux est complément nu, l'autre s'étant contenté de se débrailler un maximum. La fille elle, a remonté son pull-over et elle a libéré ses seins de son soutien-gorge. Dans un autre coin, un type est penché sur une femme qui est allongé sur la banquette et il lui lèche la chatte provoquant des gémissements de plaisir de sa partenaire. Enfin à un autre endroit, il y un type, il est seul, il regarde et se masturbe. Je ne m'attendais pas à ce que ça aille jusque-là !

 

- Ça alors !

 

Elle n'en revient pas Maud ! La serveuse nous a suivi, elle nous invite à nous installer, encaisse les 30 euros et nous demande si nous voulons consommer.

 

- Non pas tout de suite !

 

J'avoue ne pas savoir par quoi commencer, un peu perdu dans ce lieu invraisemblable. Maud n'en peut plus de regarder la femme qui en face continue ses fellations.

 

- Evelyne !

 

C'est le masturbateur solitaire qui appelle la serveuse, ils échangent quelques mots, puis l'homme sort quelques billets de son portefeuille. Je crois deviner ce qui va se passer. Mais non ! Evelyne revient vers nous :

 

- Monsieur Paul aimerait beaucoup venir s'asseoir près de vous pendant que je lui fais une petite gâterie ! Est-ce que vous seriez d'accord ?

 

Je ne sais plus ou me mettre ! Mais Maud fait signe que l'on accepte ! Evelyne fait donc signe à monsieur Paul de venir. Et le voici qui arrive, sa queue sortie de sa braguette ! Il nous tend la main et s'assied à côté de Maud, non sans avoir dégagé complètement son pantalon ! 

 

- Faites comme si je n'étais pas là, embrassez-vous, tripotez-vous !

 

Non trop c'est trop, je ne suis pas exhibitionniste à ce point, mais Maud n'en a cure, elle m'enlace, elle m'embrasse, en quelques instants ma bite est sortie de ma braguette et elle la branle ! L'excitation est à son comble, je lui tripote les seins à travers son corsage, puis je lui déboutonne, mais je ne vois pas bien ce que je fais.

 

- Attend ! Je vais le faire !

 

Maud retire rapidement son corsage et son soutien-gorge, je peux enfin voir ses seins, ils me plaisent, ils ne sont pas très gros, mais ils sont terminés par de gros tétons assez sombres, et il n'y a aucune trace de maillot. Je me précipite pour les sucer !

 

- Attention je suis sensible des seins !

 

Mais je ne l'écoute pas et je continue. A côté de nous Monsieur Paul n'en perd pas une goutte. Evelyne a mis ses seins à l'air, de jolis seins tout ronds et bien bronzés, elle a coincé la bite du type entre ses deux nichons et le masturbe de cette façon, de sa main il essaie de caresser le dos de Maud, mais celle-ci la lui écarte un peu violemment, il n'insistera plus !

 

Je me décide à me déshabiller, ne conservant que mes chaussettes, je reste debout amenant mon sexe au niveau de la bouche de Maud qui me le gobe aussitôt. Surprise, elle ne suce pas très bien, et elle a même tendance à me faire mal avec ses dents. Il se produit alors quelque chose d'incroyable, une main se pose sur mes couilles, ce n'est pas celle de Maud, c'est celle d'Evelyne. Maud lui abandonne la fellation, et voici Evelyne qui me suce ! Evidemment ça n'a rien à voir, je sens sa langue qui s'enroule par petits coups successifs sur mon gland, puis elle me masturbe l'extrémité de la verge avec le bord de ses lèvres avant d'entamer une série d'aller et retour parfaitement contrôlé. Puis elle s'arrête s'attaquant maintenant à nouveau à monsieur Paul. Du coup c'est Maud qui me reprend, elle n'a pas l'air vexé de cette intrusion inattendue, et elle s'applique mieux, j'ai malgré tout hâte de passer à autre chose. 

 

 gla30603

 

Je me libère de sa bouche et me place le préservatif que j'avais préparé, tandis que Maud achève de se déshabiller. S'ensuivent quelques instant de franche rigolade parce qu'on ne sait pas bien comment se placer, faire l'amour sur une banquette de bistrot n'a rien d'évident. Maud alors se met à quatre pattes, en levrette et me tend ses fesses, je peux ainsi apercevoir le charmant œillet tout brun de son trou du cul ! Mais c'est dans sa chatte que je pénètre. Je jouirais assez vite, trop vite pour elle, alors profitant du fait qu'elle se soit retournée, je me précipite vers sa chatte, et entreprend de la lui lécher, je m'enivre de ses odeurs intimes qui lui ont mouillé son corps jusqu'aux cuisses. Soudain elle est atteinte de soubresauts et se met à jouir en poussant de tels cris qu'Evelyne est obligée de lui mettre la main sur la bouche.

 

Tout le monde éclate de rire. Monsieur Paul, lui avait probablement joui, en tous les cas il était reparti à sa place.

 

- T'es pas fâchée pour tout à l'heure demanda Evelyne à Maud, c'est pour Monsieur Paul ça lui fait tellement plaisir de voir cela, et après il est généreux avec moi, j'en profite bien…

- Mais non ! Est-ce que j'ai l'air fâchée ?

- Alors si tu n'es pas fâché, on s'embrasse ?

 

Elles se font une bise bien chaste ! Brusquement Evelyne à l'air troublée !

 

- Bon, je vais vous chercher un petit déjeuner, tu me troubles de trop ?

- Arrête ! Tu dois en voir de toutes les couleurs ici ?

- Oui mais toi tu es différente tu as une sorte de magnétisme…

 

Maud ne la laissa pas finir sa phrase, elle l'attire vers elle et l'embrasse, mais cette fois-ci goulûment, Evelyne se laisse faire. Voir le spectacle de ces deux femmes l'une à moitié et l'autre complètement nue me fait l'effet d'un revigorant, et me revoilà reparti à bander !

 

Fin

 

Nicolas Solovionni © 2000

nikosolo@hotmail.com 

 

 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Vard26
  • Annabelle07
  • Martinov18u2
  • bii089
  • Martinov135a
  • Alba02

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés