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Les séances de Joy
1 - Une inconnue blonde
par Eddy
h
Note de l'auteur : Une gageure pour un écrivain, se mettre dans la peau d'une femme pour écrire ! Après tout pourquoi pas ? Et quand on sait que la femme en question n'est autre que Joy, ce travail devient absolument passionnant !
Je ne sais pas moi-même combien d'épisodes aura ce feuilleton dont je serais la coquine héroïne. Autant donc que vous sachiez à qui vous allez avoir affaire au fil de toutes ces lignes
Je me prénomme Joy, j'approche de la quarantaine, (mais je ne les fais pas) et je travaille, disons dans le commerce. Mes mensurations sont 90 C 60 90, Mes tétons sont bien roses et aiment toutes les caresses, des plus tendres jusqu'aux plus agressives. Ma peau est légèrement bronzée... partout. Je mesure 1,64 m pour 49 kg, mes jambes sont longues et mes petites fesses bien musclées attirent le regard, mon petit minou est joliment rasé de près et s'orne d'un petit tatouage représentant un glaive avec une rose, vie et mort, force et douceur. Ah ! Mon visage, j'ai les cheveux longs, bouclés, châtains clair, les yeux noisettes, l'un pale et l'autre foncé, mais j'ai aussi un petit secret, un joli petit piercing sur la langue, et j'aime m'amuser à m'en servir partout où ma langue aime fureter, et croyez-moi, elle aime ça fureter
Le jour de cette première aventure je m'étais vêtue un peu comme tous les jours d'une petite jupe noire, d'un chemisier beige, mes jambes étaient gainées de bas noirs, non, non pas des bas auto-fixants, des bas avec un porte-jarretelles, j'adore porter des dessous affriolants qui affirme ma féminité.
J'aurais très bien pu vouloir traverser cette rue avant ou après ce carrefour ! Allez donc savoir pourquoi, j'avais décidé de le faire ici, avant de m'engager, je regarde machinalement en direction d'une voiture en stationnement. Deux amants sont installés sur les sièges avant. Ils s'embrassent fougueusement ! Peut-être d'ailleurs ne font-ils pas que s'embrasser ?
Le petit démon voyeur qui devait m'accompagner ce jour-là m'aiguillonna ! Et si je pouvais en voir un peu plus ? Juste un peu plus ? Justement ça tombe bien, ma journée de travail est terminée, je ne suis pas pressée, alors je ne traverse pas. Je prends le pas le plus lent possible et rebrousse chemin.
J'ai le temps, ainsi de mieux regarder. Et là ! Surprise ! Je m'y reprends à deux fois, je regarde mieux ! Non il n'y a pas de doute, ce sont bien deux femmes qui se roulent une pelle ! Ah ! Ben ça je n'en reviens pas ! La situation m'émoustille ! J'aimerais en voir davantage et pendant plus longtemps ! Après tout, je suis à un coin de rue, je vais faire la fille qui attend quelqu'un, qui a un rendez-vous, je fais donc les cent pas devant leur voiture. Le jeu est quand même gonflé, leur bisou ne va pas durer tout l'après-midi et elles risquent de se rendre compte que quelqu'un les observe. Et alors ? Ce n'est pas interdit, si elles ne veulent pas qu'on les regarde, elles n'ont qu'à se planquer.
Enhardie par ce raisonnement simpliste, je me baisse, et fais un geste, comme si quelque chose me gênait dans ma chaussure, je peux alors constater que leur ardent baiser est accompagné d'un pelotage en règle. Je ne sais plus ou me foutre tellement je suis excitée !
Clac !
La portière s'ouvre ! Puis l'autre ! Je tombe en arrêt ! Je ne bouge plus ! Une fée vient d'apparaître. Grande élancé, le visage d'un ovale parfait, des grands cheveux blonds nattés en arrière lui donnent un air un petit peu sévère. Elle est vêtue d'une petite jupe droite en cuir et d'un petit haut à manches courtes, un machin blanc à gros pois rouges qui aurait été quelconque s'il n'enveloppait pas une superbe poitrine dont la naissance déborde fièrement de son décolleté.
Et... elle me regarde... droit dans les yeux... Je ne sais plus ou me foutre, mais avant que je baisse les yeux, voilà qu'elle me sourit ! Je suis rouge de confusion, je voudrais me faire toute petite, rentrer sous terre comme une petite taupe. Je songe à partir, puis me ravise. Après tout, je jouais le personnage de quelqu'un qui a un rendez-vous, pourquoi en changer, je regarde ma montre pour me donner une contenance, pour continuer mon rôle.
Les deux femmes discutent quelques courtes minutes, puis se font un petit bisou et se séparent. Je comprends que la grande blonde est la propriétaire de la voiture. Le flash va finir, elle va se mettre au volant et disparaître de ma vue.
Pas du tout, elle regarde dans ma direction, elle me toise, je me demande ce qu'elle cherche. Elle sourit, je réponds cette fois au sourire. De toute façon, c'était ça ou baisser les yeux ! Elle ouvre sa portière, pénètre dans son véhicule, c'est fini, je me prépare à quitter les lieux mais attend néanmoins qu'elle démarre, afin de donner le change.
Mais voilà qu'elle ouvre l'autre portière et qu'elle m'interpelle :
- Mademoiselle !
Je ne réfléchis même pas je m'approche, me disant qu'elle a sûrement besoin d'un renseignement.
- Vous avez cinq minutes ?
- Euh ! Je ne sais pas ! Pourquoi ?
- Rien de bien méchant, je voudrais vous parler !
Ce n'est pas vraiment une réponse !
- Euh parler de quoi !
Elle se fait chatte...
- Hé, Hé, venez, je vais vous dire !
- Bon, je vous écoute !
- Installez-vous 5 minutes, on serra mieux !
Je m'assois sur le siège passager à côté d'elle, je la distingue mieux, elle est sans doute un tout petit plus âgée que ce que je croyais, la quarantaine sans doute, elle est très belle, plus que belle, elle est craquante !
- Je m'appelle Carole !
- Euh... Joy !
- On ne va pas rester là, je vais me garer un peu plus loin !
Non mais ce n'est pas vrai, et elle démarre ! Elle m'enlève ou quoi ? Puis soudain :
- Alors il t'a plu le spectacle ?
Aïe ! Elle m'avait vue ! Que dire ? Je n'en sais rien ! Que faire ? Rien, la voiture roule ! Je balbutie un truc :
- Je suis désolé, ça m'a amusé !
- Amusé ou excité ?
Quelque chose me dit que je devrais jouer cartes sur table, cette nana est peut-être dangereuse, il s'agit déjà de ne pas la contrarier. Je décide donc d'attendre le prochain arrêt de circulation pour m'extirper de la bagnole et foutre le camp.
- Excité, oui !
- J'en étais sûre ! Excité parce que c'est insolite, ou excité par ce que c'est deux femmes qui s'embrassaient ?
- Les deux, en fait !
La voiture s'engage dans une rue faiblement fréquentée, elle ralentit, j'attends le moment où je vais pouvoir sortir. Un coup de volant, elle se gare.
- N'ai pas peur, je ne vais pas te bouffer !
- Je n'ai pas peur !
- Menteuse ! Regarde-moi dans les yeux !
Je ne sais pas trop à quoi elle veut jouer, je ne sais pas trop non plus pourquoi j'accepte de le faire, mais nos visages sont maintenant très près l'un de l'autre, et son visage, son joli visage, sa jolie frimousse avec ses yeux qui me regarde, sa bouche qui s'entrouvre. Mon dieu ! Je vais craquer ! Un simple détail un simple mot, et tout peut basculer. Je ne sais pas encore à ce moment-là si je le souhaite ou pas !
- Je te trouve vachement mignonne, tu sais ! Me dit carole !
Et voilà ! L'estocade, je n'ai plus de défense, je fonds, sa bouche cherche la mienne, je n'offre aucune résistance, je l'accueille, mes lèvres rencontrent ses lèvres, sa langue atteint la mienne... Qui est cette nénette pour rouler une pelle à deux filles différentes en un quart d'heures de temps ? Mais je m'en fous, je me sens toute chose, j'ai envie de vivre ce moment, de le faire durer. L'idée incongrue que l'on peut nous voir m'amuse l'espace d'une seconde, à chacun son tour ! Et puis soudain, presque brutalement, Carole se détache !
- J'ai bien envie de t'emmener chez moi !
Ca je ne vais pas dire non ! Mais l'invitation n'est pas directe !
- Pourquoi pas ?
- Ça te plairait, hein ?
- Je crois, oui !
- Mais tu ne me connais pas ?
- Ce n'est pas grave, on fera connaissance !
- Ça m'embête un peu...
- Bon, ben si ça l'embête, on n'ira pas, j'en ferais pas une maladie, mais alors pourquoi m'allumer comme ça ?
- Bon, ben tant pis ! Je vais te laisser ! proposais-je
- Je peux te poser une question ?
- Pose, pose !
- Parce que je m'amuserais bien avec toi...
- Qu'est ce qui t'embête alors ?
- Moi rien, c'est pour toi !
- ????
- J'aime bien parfois dominer, être très autoritaire, tout le monde n'aime pas cela !
Si elle savait !
- Du moment que ça reste un jeu !
- Tu as déjà fait de la domination ?
- Hummm, des fessées, des pinces, des trucs comme ça oui ! Mais sans exagération... Je suppose que tu n'as pas l'intention de m'abîmer !
- Abîmer une petite frimousse comme ça, il faudrait être folle !
- Qu'est-ce que tu veux me faire !
- Te faire du mal et te faire du bien !
- Hummm... J'ai bien envie d'essayer !
- Allez viens !
Je suivis Carole dans son vaste studio, je pensais au départ que c'était un local de "professionnelle", non, ça ressemblait bien à un appartement très classique avec la cuisine et la salle de bain où rien nulle part ne ressemblait à un instrument de domination.
- Euh, j'aurais dû t'en parler en bas, je ne veux pas que tu m'attache, je ne veux pas de bandeau sur les yeux et pas de bâillon, non plus !
- D'accord, mais pourquoi as-tu peur ? Tu ne risques rien, tu es toute tremblante !
- Je crois que je vais m'en aller !
- Moi je crois que tu ne sais pas ce que tu veux !
Et en disant cela elle m'asséna une gifle sur la joue, oh, pas trop forte, mais une gifle quand même ! J'allais réagir quand une seconde arriva, sur l'autre joue, une petite larme perla au coin de mes yeux !
- Tu veux jouer ou pas ? Me demande-t-elle avec un grand sourire !
Il n'y aurait pas eu ce sourire j'aurais sans doute dit non, mais je ne sais pas pourquoi, je m'accrochais...
- Oui mais si je te dis d'arrêter, tu arrêteras ?
- Si tu me dis d'arrêter, je n'arrête rien du tout, je ne connais pas ce mot-là, je ne sais pas ce qu'il veut dire... mais si tu me dis "crapaud pointu", j'arrête !
Ça me paraissait tellement idiot que j'éclatais de rire !
- Ce n'est pas drôle !
- Oh si !
- Bon alors cette fois on se décide pour de bon, on joue ou alors on se dit au revoir !
Je me lançais :
- On joue !
- Bon, reste comme tu es et ne bouge pas !
Carole s'approcha de moi et très lentement déboutonna mon chemisier, son visage était tout près du mien et m'enivrai, j'avais une envie folle de l'embrasser, je me passais la langue sur les lèvres, le vêtement tomba sur le sol, ma jolie petite poitrine enfermée dans son soutien-gorge de dentelle lui faisait maintenant face. D'un doigt elle pénètre le soutif, cherchant le téton, elle le trouva et s'amusa à passer plusieurs fois dessus. Un frisson me parcouru. Je me dis que si c'était là toute sa domination, je ne m'en tirerais pas trop mal, bien au contraire ! Finalement elle tira sur les le bas des bonnets dégageant ainsi mes seins pas le bas. Sans transition elle m'attrapa mes deux tétons roses et entreprit de me les serrer.
- C'est bon !
- C'est bon qui ?
- C'est bon, maîtresse !
Elle pinçait vraiment très fort, à un moment, je sentis le bout de ses ongles, je me mis à paniquer
- Ne laisse-pas de traces !
La gifle fut immédiate !
- Pour qui te prends-tu pour me donner des ordres ? Mets-toi les mains sur la tête et attend-moi, je reviens !
Elle partit farfouiller dans un placard et revint avec une petite cassette qu'elle ouvrit pour en retirer des pinces articulées. Sans aucun ménagement ni précautions elle me les accrocha à mes mamelons.
- Aïe !
- Qu'est-ce qu'on dit ?
Et qu'est-ce qu'elle voudrait qu'on lui dise ?
- Merci Maîtresse !
Elle s'amusait avec les pinces, les enlevait les remettait, les tournait. Elle fouilla de nouveau dans sa cassette et en ressortit des poids, elle en accrocha un à l'extrémité de chacune des pinces. Ça commençait à me tirer sérieusement sur les tétons entraînés par le poids.
- Enlève-moi tout le reste, je veux te voir complètement nue !
Je n'avais pas compris toute la perversité de cet ordre d'apparence anodin, en enlevant ma jupe, puis ma culotte, j'étais obligé de faire des gestes de mon corps en tous sens, ce qui faisait atrocement ballotter les poids de mes seins. Je terminais, repris la pose attendant que les poids stoppent leur balancement. Carole semblait hilare.
- Mets-toi à quatre pattes, petite pute en chaleur !
Elle m'ordonna ensuite de marcher dans cette position jusqu'à la fenêtre puis de revenir. Les poids n'en pouvait plus d'aller et venir de droite et de gauche ! Ça faisait mal mais provoquait en même temps un plaisir trouble, je me surpris à constater que mon entre cuisse commençait à mouiller.
- Bon, viens là, on va faire un break !
Ouf ! Elle me retira alors les pinces !
- Aïe !
Bon dieu que ça peut faire mal quand on les enlève ! Je criais, puis repris ma respiration
- Tu vas te calmer, oui ?
- Oui maîtresse, je suis calmée !
- Bon ! Alors je vais pouvoir te les remettre !
- Non !
- Non qui ?
- Non maîtresse !
- Et tu crois sans doute que je ne vais pas le faire, rien que parce que tu dis non.
Je cherche dans ma tête le mot de sécurité, Sabot tordu ? Chapeau fendu ? Chameau pointu ?
- Aïe !
Trop tard, elles sont déjà mises !
- Supporte les encore un petit peu, tu seras bientôt récompensée !
- Oui maîtresse !
- Va dans la cuisine, tu vas prendre une bouteille de vin blanc dans le frigo, tu trouveras un tire-bouchon dans le tiroir et deux verres dans le petit buffet. Allez ouste...
- Oui maîtresse, bien sûr, maîtresse !
- Et à quatre pattes ! Du moins pour l'aller, parce que pour le retour ça risque d'être difficile.
Je revenais avec tout ça !
- Débouche la bouteille !
Pour enfoncer le tire-bouchon ça va encore, mais pour extraire ensuite le bouchon avec ce vieux modèle, il faut tirer comme une dingue, l'extraction provoque alors un mouvement de mon corps qui fait rebondir les poids des pinces accrochés à mes seins, puis les fait redégringoler ensuite en tirant sur mes chairs.
- Aïe !
De nouveau Carole me retire les pinces. Ça pour déguster, je déguste, mais cette sensation de douleur se mêle à un plaisir trouble qui ne m'est pas du tout désagréable, que voulez-vous, on est maso ou on ne l'est pas !
Carole se tourne alors, je ne la vois que de dos, elle retire son haut et sa jupe !
- Dégrafe le soutif !
Ce n'est vraiment pas une corvée. Elle pivote, Sa belle poitrine nue me nargue. Elle est splendide, légèrement mate, reluisante, les aréoles très brunes, le téton presque noir et distendu ! Hummmmmmmmmm !
- Ça te plairait d'y toucher, hein ? Petite pute !
- Oui maîtresse ! Bien sûr, maîtresse !
- De la caresser ?
- Oui maîtresse !
- De m'en pincer les bouts ?
- Oui maîtresse !
- De me les lécher, de me les mordre...
- Oui maîtresse !
- Un de ces jours peut-être... si tu es sage
La salope !
Elle retire elle-même sa culotte, sa chatte n'est pas rasée, je veux dire pas rasée complètement, ses petits poils châtains clairs me fascine la vue.
- A genoux !
Je me demande ce qu'il va encore m'arriver quand je la vois remplir les deux verres de vins. Une petite pause désaltérante ne pourra que nous faire du bien.
- Tu as soif ?
- Oui maîtresse !
- Oui maîtresse, oui maîtresse, tu ne sais dire que cela !
- Oui maîtresse !
- Tu ne te fouterais pas un peu de ma gueule, non par hasard ?
Elle rigole, ce qui est bien chez elle c'est que malgré le fait qu'elle domine assez durement, elle ne perd pas son humour, elle joue, elle joue réellement.
Elle trempe alors deux doigts dans le verre, et me les mets dans la bouche
- Suce ! Suce comme si c'était une bite !
- Bien maîtresse !
- T'aime ça, sucer des bites ?
- Oui maîtresse !
- Et les culs aussi ?
- Oui maîtresse !
- On va voir ça !
Elle prend le verre de vin s'en fait couler sur les fesses, l'étale un peu partout avec la main afin de bien s'en humecter le trou du cul. Puis elle me le tend !
- Allez lèche-moi tout cela, que je sente bien ton piercing !
Pour la première fois je peux poser vraiment mes mains sur son corps, je commence à lécher les globes fessiers, apparemment elle me laisse faire ça à ma façon, je vais la gâter, la blonde ! Hummm c'est bien bon tout cela ! Je m'approche de plus en plus du petit trou ! J'ai quand même une petite appréhension, je suis excitée comme une puce, mais si l'endroit sent trop fort, je vais me bloquer. En fait non juste une petite odeur qui n'a rien du tout de repoussante. Je plonge ma langue. La coquine me sent venir et écarte son orifice, je m'y enfonce davantage. Elle s'aide des mains pour s'écarter au maximum et me faciliter le passage, je l'encule avec ma langue. Elle pousse des petits cris. Ça lui plait bien mes petits coups de langues dans son mignon petit trou du cul !
Mais voici qu'elle se tourne, dommage, on s'amusait bien, elle se couche carrément sur la moquette, écarte les jambes.
- Allez, viens me faire jouir !
Ah bon ! C'est comme ça, pas de problème, j'installe mon visage entre ses jambes, je lèche un peu tout cela, sa petite chatte est toute trempée, je lape ses grandes lèvres, me régale de sa mouille. Elle ferme les yeux, elle est avec les anges, alors je porte l'estocade, je pose d'abord mes lèvres sur son clitoris en faisant pression dessus, puis ma langue entre en action faisant frotter mon piercing contre son bourgeon raidie. Elle ne tarde pas à exploser !
J'aimerais bien que l'on s'occupe de moi, j'attends la suite !
- Tu en voudrais encore ? Hein ? Petite gourmande ?
- Oh ! Oui maîtresse !
- Alors il faudra revenir demain !
- Non !
- Si ! Et demain j'ai bien envie de te donner une bonne fouettée... à moins que j'aie entre temps une autre idée !
- Peut-être !
- Poste-toi au même endroit que cet après-midi à la même heure, je viendrais te cueillir en voiture, tu y seras ?
- Je ne sais pas maîtresse !
- Ah tu ne sais pas, mais moi je crois que tu y seras !
Je ne réponds pas, je suis en train de me rhabiller, frustrée de cette fin stupide, je n'ai même pas jouis, tant pis je me masturberais à la maison, ou je sauterais sur mon homme s'il est rentré ! Il y a quelques secondes je ne savais pas si je serais à ce rendez-vous, mais maintenant ma décision est déjà prise, j'y serais !
- Au fait ?
- Oui, maîtresse !
- Je ne suis plus ta maîtresse, la séance est terminée, mais demain, ne mets pas de culotte pour aller au rendez-vous. Je ne t'oblige pas, mais ça me fera plaisir !
- Ah ! Alors à demain... Carole !
A suivre (évidemment, je ne vais pas vous quitter comme ça !)
Copyright © 2001 Eddy Stokien
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