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Club trans
par Eddy
h
Comment introduire cette histoire ? Rapide présentation, la quarantaine, physique moyen, obsédé sexuel et grand amateur de belles femmes, je ne dédaigne pas de temps à autre m'égarer vers d'autres plaisirs et j'avoue bien volontiers ma fascination pour les transsexuelles.
Une passion pas si facile à assumer que ça, je n'aime pas l'ambiance du bois de Boulogne, reste les clubs et il faut souvent être un peu initié si on ne veut pas être déçu.
On m'avait fourni, bien difficilement, les coordonnées d'un club très privé où officiaient certaines de ces créatures. C'était dans mes prix, et l'endroit était facilement accessible par les transports en commun.
Je m'y rends donc vers 20 heures. Immeuble cossu, je sonne l'interphone au nom que l'on m'avait indiqué, on m'invite à monter, bel escalier, c'est au deuxième, on m'ouvre, et me voici dans une petite entrée où une créature est assise derrière une petite table basse. Elle est blonde claire, les cheveux bouclés mi-longs encadrant un visage très agréable et souriant, un joli petit nez légèrement pointu, de beaux yeux bleus. Elle est vêtue d'une nuisette jaune transparente sous laquelle je perçois un petit soutien-gorge en dentelle. Je ne sais pas à ce moment-là s'il s'agit d'une transsexuelle ou d'une femme, toujours est-il qu'elle me dévisage de haut en bas !
- Bonjour, c'est pourquoi ?
- Bonjour, j'ai eu vos coordonnées sur le net...
- C'est un club privé, ici, réservé aux adhérents, mais si vous voulez adhérez... me chuchote-t-elle.
- Ben oui...
Je paie, on me donne une jolie carte en plastique :
- Voilà, je t'explique un peu, tu dois acheter un ticket...
- En plus de l'adhésion ?
- Ben, oui, ça te donne droit à une heure et demie, si tu prends deux tickets, il n'y a plus de limite de temps.
Ça commence à faire un peu plus cher que prévu, mais bon ça va encore... Je me fends de deux tickets.
- Il y a toujours en permanence au moins quatre trans. Il y a une salle principale, deux chambres pour les gens qui veulent s'isoler, une salle de bain, et une salle spéciale pour les masos... Pour le reste c'est comme au sauna, tu mets ce que tu veux dans un de ces petits vestiaires et tu gardes la clé... La plupart des clients se mettent à poil, mais pas tous, et d'autres se travestissent un peu... tu vas faire quoi toi ?
- Ben je vais me mettre à poil !
Elle me tend la clé et je me déshabille donc.
- Je ne me suis pas présentée, je suis Angel ! Tu aimes quoi toi ? Tu es passif, actif ?
- Plutôt passif, mais pas exclusivement.
- Je vois, tu aimes sucer les bites alors ?
- Oui j'aime bien !
- Ben, tu vas te régaler ici, les belles bites ce n'est pas ça qui manque !
- Chic alors !
- Oh, mais tu as de jolis tétons, je suis sûre que tu aimes qu'on te les pinces !
- Oui j'adore !
Elle ne fait ni une ni deux et me serre les bouts de seins avec une certaine force. C'est plus fort que moi, cette caresse me fait bander instantanément.
- Et ben dis donc, ça te fait de l'effet, on dirait, tu ne serais pas un peu soumis, toi ?
- Très légèrement...
- Hum intéressant… j'aime bien les soumis parce qu'avec eux on peut faire plein de choses qui sortent de l'ordinaire. Mets-toi à genoux une minute.
Je suis dans un rêve, je ne réfléchis plus et j'obéis.
- Renifle ma bite ! Me dit-elle en écartant sa nuisette.
Je m'approche de sa culotte, mon nez cogne contre le renflement de son sexe.
- Ça sent bon ?
- Oui, mentis-je, en fait ça ne sentait pas grand-chose, par contre la sensation d'avoir cette queue collée à mon visage, simplement séparée par une fine barrière de tissu, m'excitait terriblement.
- Vas-y, sort là !
Je ne me le fis pas dire deux fois, j'extrayais donc son pénis semi bandé de sa culotte et je le caressais.
- Elle te plait, ma bite ? Elle est belle, hein ?
- Oui, beaucoup !
- T'aimerais bien la sucer ? Dis-moi ?
- Oui, je peux ?
- Non pas maintenant, mais tout à l'heure, oui… et si tu me le demandes gentiment je pourrais même te la foutre dans le cul ! Tu voudras ?
- Oui…
- Compte sur moi, je vais te la foutre bien profond dans ton petit cul, je vais te défoncer comme on ne te l'a jamais fait.
C'est qu'elle va me faire peur, la transsexuelle, si elle continue sur ce registre…
- Allez, viens, on va continuer dans la salle.
On pousse le rideau. Me voici dans une grande salle, trois grands canapés sont disposés sur trois côtés. Celui du fond est très occupé, un mec chauve, la soixantaine, complètement nu est en train de sucer la queue d'une très belle trans black avec avidité. A gauche un mec à lunettes entre deux âges et qui a gardé son caleçon tape la causette avec une grande bringue en sous-vêtements à l'allure vaguement asiatique tout en buvant je ne sais quoi. Et à gauche deux trans également en sous-vêtement semblent attendre... sans doute le client. Au milieu une petite table avec des bouteilles d'eau et des jus de fruits, des gobelets jetables, quelques revues pornos, des préservatifs et du gel intime. Dans un coin, un écran large diffuse silencieusement un porno dans lequel s'activent deux transsexuelles et un homme.
- Ces deux beautés sont disponibles, commente Angel en m’indiquant le canapé de gauche, moi je le serais tout à l'heure, un client m'a réservé, il va arriver d'une minute à l'autre. Il ne reste pas longtemps, je le suce avec une copine, ensuite il encule l'une des deux et il s'en va. Tu pourras regarder, il aime bien faire ça devant tout le monde.
Elle me conduit vers les deux trans.
- Voilà, ce gentil jeune homme vient pour la première fois, il m'a dit qu'il adorait sucer des bites, je vous le confie, je le reprendrais quand j'aurais fini avec Monsieur Benjamin.
La plus grande se décale un peu, et me fait signe de m'asseoir entre elle et son amie. Elle est belle, la peau est très claire, les cheveux sont coiffés au carré, légèrement frisés et châtains foncés, et la poitrine semble prometteuse.
- Je suis Lisa ! Se présente-elle et ma copine c'est Vanity.
Vanity est plus petite, plus dodue, elle a la peau café au lait, et malgré ses cheveux teints en roux, elle ne peut cacher son métissage, son sourire est charmant.
- Alors c'est vrai, t'aimes bien sucer les bites ? Me demande Lisa en me mettant sa main sur la mienne.
- Oui, entre autre !
- Je me doute bien que tu n'aimes pas que ça... Qu'est-ce que tu aimes d'autre, laisse-moi deviner... Je crois que tu aimes bien sucer les culs aussi...
- Oui aussi...
- Super, je vais t'offrir le mien, les mecs en raffolent...
- Hummmm, volontiers !
- T'aimes te faire enculer aussi ? Poursuit-elle.
- Pourquoi pas ? Si c'est bien fait, ce n'est pas désagréable.
- Tu as vu le gars à côté comme il suce bien notre copine !
- Oui, c'est excitant !
- Ça t'excite de regarder ? Viens, on va le regarder de près, il adore qu'on le regarde.
On se lève tous les trois et on se place à cinquante centimètres du couple.
- C'est un habitué ! Me précise Lisa, un vrai petit cochon, il suce toutes les bites qui sont à sa portée, même parfois celle des autres clients... N'est-ce pas, Monsieur André ?
- Bien sûr ! Répond l'homme interrompant un moment sa fellation.
- Ça ne te dérange pas s'il te suce un peu ? Me demande la trans.
- Non, non…
En fait je comprends que les trans essayent de faire plaisir à ce bonhomme qui est probablement un client régulier. Le voilà donc qui me suce, je n'étais pas venu pour ça, mais la soirée ne fait que commencer. Il suce plutôt bien, même très bien, il ne faudrait pas que ce zigoto me fasse jouir déjà. Je me retire donc au bout de quelques instants.
- Tu veux me sucer, toi ? Me propose-t-il.
- Bien sûr qu'il va te sucer, il m'a dit tout à l'heure qu'il adorait sucer des bites ! Répond Lisa à ma place.
- Heu…
- Ben quoi, elle n'est pas belle sa bite ?
- Si, mais…
- Suce ! Tu en meurs d'envie !
Que j'en meurs d'envie est une exagération, d'autant que je suis venu ici pour faire des trucs avec des transsexuelles, pas avec leur clients, mais il est vrai que l'objet est joli. Une queue très droite, un gland foncé et luisant bien dans le prolongement de la verge. Allez, j'y vais, la texture est agréable, le goût plutôt neutre, ses sucs ayants probablement été absorbés par ceux (pardon, celles) qui l'ont sucé avant moi. La taille est moyenne, je peux donc jouer avec dans ma bouche sans m'étouffer, j'alterne la position classique de pompage avec des introductions en biais à l'intérieur des joues. Je suçote un peu aussi les couilles, mais ça ne me passionne pas trop. Je m'amuse à lui lécher le gland, mais voilà qu'il se retourne, m'offrant son cul, j'ai un mouvement de recul.
- Lèche-lui le cul ! Me demande Lisa.
- Ça ne me dit rien…
- Essaie…
- Pas maintenant !
- Je croyais que tu aimais sucer les culs ?
- Ceux des trans, oui…
- Et tu crois vraiment qu'il y a une différence de goût ? Allez suce, quand on est un petit vicieux comme toi, on ne refuse pas de lécher le cul d'un mec. Me dit-elle en me tripotant la bite.
Voilà un argument ! Bon allez, je me lance, je lui écarte les globes, dégage sa rosette et me présente langue en avant, son trou s'entrouvre et mon bout de langue le pénètre un petit peu… une première. Et tandis que je pratique cet anulingus, Vanity s'est positionné derrière moi et me fait la même chose. Sentir cette langue virevolter autour de mon anus me procure un plaisir rare, d'autant que bientôt sa langue est remplacée par son doigt qui s'agite frénétiquement. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, puis plus rien… Quelques secondes passent, quand je sens quelque chose de froid sur mon anus. Du gel ! Ça y est, je vais passer à la casserole, c'est ce qui s'appelle ne pas perdre de temps. Effectivement le gland de Vanity ne tarde pas à quémander l'entrée de mon petit trou. Je l'aide comme je peux, abandonnant mon léchage de cul. Une tentative, deux tentatives, la troisième est la bonne, ça entre, ça entre très bien même, me voici avec une bite dans le cul qui commence à me pilonner… qu'est-ce que c'est bon. Je m'en tortille d'aise.
- Ça va ? Tu la sens bien ma bite ? Me demande-t-elle.
- Hummm, oui, c'est bon, continue !
- Bien sûr que je vais continuer, j'adore ça enculer les mecs.
A côté de nous, Monsieur André a offert son cul à Carita, la superbe black qui l'encule avec énergie. C'est très excitant de se faire enculer tout en en regardant d'autres le faire aussi. Des ondes de plaisir me traverse le corps, comme je la sens bien cette bite qui va et qui vient dans mon cul. Je voudrais que ce moment se prolonge, mais se prolonge… se prolonge encore. Lisa se pointe devant moi, m'offre sa queue, c'est vraiment la fête, et je la prends en bouche. Vanity ralentit ses mouvements afin que je puisse sucer plus confortablement. Je suis aux anges.
- Vanity, viens une seconde ! Dit une voix
Voilà qui s'appelle un contre temps ! La belle rousse sort de mon cul et jette son préservatif à la corbeille. J'ai compris : C’est ce Monsieur Benjamin qui vient d’arriver ! C'est super frustrant ! Qu'est-ce que c'est que ce club à la con où certains clients sont plus clients que d'autres à ce point qu'on en laisse carrément certains en plan pour aller en satisfaire d'autres, tout ça parce qu'ils ont plus de fric. Je commence à me dire qu'ils ne risquent pas de me revoir… Lisa, qui a dû voir ma mine déconfite tente de me consoler :
- Suce-moi bien, régale-toi avec ma bonne bite… Vanity va bientôt revenir…
Monsieur Benjamin, la cinquantaine, trône en plein milieu de la pièce, il est resté habillé, dans son triste costume cravate de businessman. Angel lui tripote la braguette et lui en extrait la bite, puis commence à le sucer. Vanity les rejoint donc et dégage le pantalon du client, lui baisse son ridicule caleçon à petites fleurs, puis lui lèche les testicules. Les deux trans sucent alors la verge à tour de rôle. Puis le type se dégage, il désigne Lisa qui s'arcboute contre un canapé, puis il s'encapote et sodomise la belle rousse sans autre forme de procès.
L'affaire a duré à peine trois minutes.
- Tu m'as bien enculé, chéri ! Lui dit Vanity.
- Et moi, tu n'aimes plus mon cul, je suis fâchée ! Minaude Angel.
Le mec ne répond même pas, il retire la capote, la jette dans une corbeille, se kleenexe le zizi, se reculotte et se dirige vers la sortie.
Vanity revient vers moi :
- Je suis désolée, suce-moi un peu que je rebande bien et je vais continuer à te bourrer le cul.
O.K. et comme Lisa reste là, me voici avec deux bites à sucer, je les suce donc à tour de rôle, ça me donne une de ses triques… Et voilà Angel qui les rejoint ! Trois bites ? Non, car cette fois Lisa quitte le groupe, elle va rejoindre Monsieur André et relayer, dans son cul, Carita qui donnait des signes de fatigue. Sur le canapé du fond, la très belle trans asiatique et son client se masturbent maintenant mutuellement tout en continuant à papoter.
Lisa et Monsieur André ont très vite inversés les rôles et c'est désormais ce dernier qui sodomise la belle trans.
- Il va jouir, m’indique Vanity, mais il va demander qu'une d'entre nous reste à côté de lui pendant qu'il récupère. C'est le moment le plus pénible, il nous pelote sans arrêt et raconte des trucs qui ne nous intéressent pas, mais faut faire semblant…
Certes, ça a le mérite d'être lucide mais pourquoi me confie-t-elle ça à moi ?
- Je t'avais promis de t'enculer, autant le faire maintenant, alors qu'il n'y a pas grand monde ! Me propose Angel. Toujours d'accord, mon biquet ?
Je n'ose pas refuser, mais j'aurais préféré que Vanity me reprennes, j'ignore pourquoi, question de feeling sans doute. Mais ça n'empêche pas Angel d'être adorable !
- A tout à l'heure ! Me dit Vanity en m'offrant le plus beau des sourires.
Je fonds !
Vanity s'en va remplacer Angel au guichet d'entrée. Cette dernière me pelote le cul !
- C'est un joli petit cul de pédé que tu as là !
- Ah ! On me l'avait jamais dit !
- Je te donnerais bien une petite fessée !
- Si tu veux !
- Tu veux qu'on joue un peu à la maîtresse et à l'esclave ?
- Pourquoi pas ?
- Bouges pas, je reviens.
Effectivement, elle revient avec un collier d'esclave qu'elle m'attache autour du cou, une laisse et une cravache.
- Avance à quatre pattes, comme un bon chien ! Me dit-elle en faisant cingler la cravache.
- Aïe !
Elle m'emmène vers le canapé où Carita se repose :
- Suce, suce sa bonne queue !
Des punitions dans ce genre, j'en veux bien tous les jours, c'est avec gourmandise que je me jette sur ce bel organe et que j'entreprends de la langue de lui donner de la vigueur.
- Elle est bonne sa queue, hein ? Tu la prendrais bien dans ton cul !
- Oh, oui, alors !
La trans asiatique et son client sont partis s'isoler dans une des chambres. Il n'y a plus grand-chose à voir…
Angel m'inflige plusieurs coups de cravache successifs, ça commence à me chauffer les fesses, mais faudrait peut-être qu'elle arrête sinon je ne vais plus pouvoir m'assoir. Elle me tire par la laisse.
- Viens avec moi, il faut que j’aille pisser, et après je t'encule !
Je la suis à quatre pattes jusqu'à la salle de bain.
- Je te pisserais bien dessus ! Me confíe Angel.
- Vas-y ! Lui répondis-je.
- Ouvre la bouche, tu vas te régaler, c'est de la bonne pisse de femme à bite, ça !
OK, ça va son urine n'est pas trop forte, j'en avale pas mal, j'en laisse couler aussi pas mal à côté, Je me rince le visage, mais j'ai une petite envie moi aussi, je le dis à Angel.
- D'accord mais tu me pisses sur la bite, sur le visage, ce n'est pas possible… à cause du maquillage.
Je commence à lui pisser dessus, elle se retourne en me montrant son cul et en l'écartant. Je lui urine dans la raie culière, elle rigole. Je m'essuie le visage, tandis qu'Angel se passe un peu d'eau sur le bas ventre et sur les fesses. Puis elle me fait ressortir, toujours à quatre pattes.
Monsieur André se repose et est en train d'expliquer quelque chose avec force détails à la belle Lisa qui approuve mollement de la tête. Au milieu c'est plus intéressant, deux bellâtres, genre tennismans en parade viennent d'arriver, ils sont debout et Vanity les suce à tour de rôle.
Je reçois encore quelques derniers coups de cravache, puis Angel m'offre sa bite à sucer afin de la faire rebander correctement. Je m'en régale quelques minutes, ensuite, ma partenaire me contourne, et après m'avoir léché quelques instants le troufignon, en quémande l'entrée d'une poussée de sa bite.
Et hop ! Voilà ma deuxième sodo de la soirée, elle est moins douce que Vanity, plus rapide aussi, (j'allais dire plus sauvage), mais c'est néanmoins bien agréable. Cette sensation d'être rempli par quelque chose de vivant a quelque chose de fascinant et d'extraordinairement excitant. Je lui dis que c'est bon (pas très original)
Au centre, Vanity a fait placer les deux bellâtres en soixante-neuf et ils se sucent donc la queue mutuellement. J'ai l'impression que l'un des deux a déjà joui. Oui effectivement, du coup, il abandonne son partenaire. Celui-ci rouspète, alors que l'autre lui demande de faire un break. Vanity propose alors gentiment de "finir" le deuxième, il accepte, mais le premier se dirige vers le vestiaire, le second le suit, toujours sans avoir joui. J'entends des éclats de voix à l'entrée. C'est Carita qui se déplace pour tenter de les calmer.
Elle revient deux minutes plus tard, informant ceux que ça intéresse que les deux zouaves sont partis. J'avoue ne pas comprendre ce qu'ils venaient chercher.
Vanity est revenue vers moi et me donne à nouveau son sexe à sucer. Angel m'indique qu'elle veut changer de position, elle m'entraine vers le canapé, s'y assoit et je m'empale sur elle, c'est donc moi qui fait "le travail" et dans cette position je ne peux plus sucer Vanity, alors du coup, c'est elle qui me suce.
- Tu viens me remplacer ? demande Angel à Carita.
- Tout à l'heure ! Tergiverse la blackette.
Je ne dois pas être son genre, ce sont des choses qui arrivent, dommage j'aurais bien aimé sucer de nouveau cette jolie queue. Je continue à faire le piston sur la bite d'Angel, c'est assez fatigant comme truc, même si l'effort est compensé par le plaisir.
- Attends, attends ! Me dit Angel
- Attendre quoi ?
- Ça ne fait rien continue… Aaaaaaaah.
Je viens de comprendre qu'elle vient de jouir. Je me dégage, Elle se relève, m'embrasse sur la joue.
- Tu m'as fait jouir, petit salaud !
Elle se dirige vers Carita, les deux trans échangent à voix basses des propos que je ne distingue pas, mais apparemment, elles ne sont pas d'accord. Puis elles se dirigent l'une après l'autre vers le vestiaire. De nouveau des éclats de voix, mais cette fois c'est en portugais.
- Elle est chiante, la Carita, me dira Vanity… On a toujours le droit de refuser un client, mais elle, elle fait le contraire, elle en choisit un ou deux et ne s'occupe pas des autres. Tout à l'heure quand Monsieur André est arrivé, elle l'a piqué à Angel qui devait commencer avec elle… tout ça parce que Monsieur il donne des bons pourboires.
Je m'aperçois qu'être prostituée transsexuelle en club n'est parfois pas toujours si simple.
- Elle est partie ! Viendra dire Angel à sa collègue.
- Tu appelles une copine pour la remplacer ?
- Je sais pas, je vais voir, ça ne se bouscule pas trop ce soir…
Elle se met entre mes cuisses et commence à me sucer tandis que je caresse la belle Vanity.
- Ohé ! Il y a une fille de libre, mon client voudrait finir en trio ! Dit une voix provenant de la porte d'une des chambres
Ça c'est la belle asiatique enfermée avec son client depuis tout à l'heure qui fait sa réapparition.
- J'y vais ! Me dit Angel, tu es en bonnes mains.
Le salon n'a jamais été aussi vite, nous ne sommes plus que deux couples, Monsieur André qui continue sa causette avec Lisa qui a l'air de s'emmerder comme pas possible. Et puis moi et Vanity. On se regarde, on se sourit, nos visages se rapprochent, on se roule un patin, je lui pelote les seins, elle me pince les miens, je touche à sa bite, elle tripote la mienne, et puis surtout nous nous caressons longuement, sensuellement. Cette fille est trop câline, trop sensuelle.
- Tu bandes bien ! Constate-t-elle.
- C'est parce que tu m'excites.
- Tu veux jouir ?
- Peut-être, oui…
- Je te suce à fond, où tu m'encules ?
- Suces moi un peu et on finira en sodo, mais laisse-moi te caresser avant.
En fait, je la caresse déjà, ma main teste le satiné de sa peau, j'explore son corps, ses cuisses, son ventre, ses bras, ses seins bien sûr, dont je palpe le galbe, deux de mes doigts viennent ensuite effleurer un téton, je l'interroge du regard, elle me répond d'un petit sourire. Me sentant encouragé, je pince le téton, le tortille un petit peu, puis passe à l'autre, puis ma bouche remplace mes doigts, je la tête, et m'enivre de sa douceur. Je fais une petite pause, croise son regard. Et c'est à ce moment qu'elle approche son visage du mien, bientôt nos bouches se collent, nos langues se mélanges, nos salives s'échangent. Je suis à ce moment-là le plus heureux des hommes. Elle m'attrape ma bite bandée au maximum, la masturbe un peu, s'apprête à descendre pour la sucer.
- Vanity !
Catastrophe, c'est Lisa qui l'appelle, Monsieur André la réclame. Comme je l'ai déjà remarqué tout à l'heure, certains clients ici sont favorisés par rapport à d'autres et je trouve que la façon dont ça se passe n'est pas très fine. Encore que, Lisa a sans doute eu l'intelligence de ne pas appeler sa collègue en pleine fellation.
Du coup, mon excitation est retombée.
- Excuse-moi, chéri, je reviens ! me dit Vanity avec un merveilleux sourire.
Cette perspective m'empêche bien sûr de partir, je pensais que Monsieur André voulait changer de partenaire, non il voulait finir avec deux filles ! Gonflé le mec. Il s'est assis sur le canapé et Vanity s'est empalé sur lui. En même temps Lisa, debout lui donne sa bite à sucer. Cette jolie figure de style ne dure pas bien longtemps, il chuchote quelque chose aux filles qui viennent alors entre ses cuisses le sucer à deux en s'aidant un peu de leurs mains. Il finit par jouir au bout d'un quart d'heure.
Les deux trans raccompagnent Monsieur André au vestiaire, ça bavarde pas mal, ça rigole, et moi je m'emmerde.
Enfin, elles reviennent, se dirigent vers moi et s'assoient à mes côtés. Lisa est très belle, n'empêche que j'aurais préféré terminer en solo avec Vanity, mais bon…
Cette dernière me caresse un peu pour me faire rebander, et agace un peu mes tétons, je la caresse à mon tour. Lisa descend entre mes cuisses et me branle un peu avant de me prendre en bouche.
- Je te suce aussi ? Me demande Vanity
- Embrasse-moi !
Comme tout à l'heure, nous nous roulons un long baiser baveux, mon sexe n'en peut plus et libère sa semence dans la bouche de Lisa. Je suis épuisé, mais satisfait.
- Tu veux rester encore ? Me demande Vanity
- Non, je vais rentrer !
Je me dirige vers la salle de bain pour me nettoyer le zizi, me fait la réflexion que Monsieur André, lui est parti sans le faire, Vanity m'a suivi.
- Ça te dirait qu'on se voit tous les deux, juste tous les deux ?
- Bien sûr !
- Ça me fait plaisir, je vais te donner mon numéro de portable au vestiaire… appelle moi quand tu veux après 10 heures du matin.
Au vestiaire, nous nous sommes de nouveau embrassés sur la bouche. Finalement malgré quelques côtés agaçants, il n’est pas si mal ce club ! Dans la rue je sifflotais comme un pinson.
Le lendemain, je n'étais pas libre, mais le jour d'après elle m'avait donné rendez-vous dans un café
- On va parler un peu ! avait-elle dit.
Elle est marrante en tenue de ville, un jean et un tee-shirt avec un petit blouson et un immense sac à main.
- Voilà, j'ai senti qu'il se passait quelque chose entre nous, me dit-elle, je ne cherche pas un amant, je cherche un ami, quelqu'un avec qui je puisse sortir du cadre de mon milieu, quelqu'un qui me fasse visiter Paris, qui m'emmène dans les musées, au restaurant, au théâtre… Attention, je ne cherche pas à me faire entretenir, d'ailleurs aujourd'hui c'est moi qui te paie le restaurant… Ça te convient !
Oups ! Ce n'est pas du tout ce que j'escomptais, je pensais simplement qu'elle me proposerait ses propres prestations en dehors de ses heures de club. Mais bizarrement sa proposition me plait bien.
- Ça me convient, mais pourquoi moi ?
- Je cherchais un homme qui nous prenne pour des êtres humains et pas pour des poupées gonflables, ce n'est pas si courant dans ce milieu, mais il y en a, tu n'es pas le seul, mais disons que tu es arrivé au bon moment ! M’indique-t-elle avec le plus merveilleux des sourires.
- Et si je veux du sexe avec toi, il faudra que je retourne au club ?
- Obsédé ! Rigole-t-elle. Mais non on fera ça chez moi, tu seras alors mon client pendant une heure… et je te gâterais…
On s'est levé, elle m'a pris la main, et j'ai eu à ce moment-là du mal à réprimer une larme de bonheur.
FIN
© Edvard Stokien, Septembre 2009
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