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Thérèse et ses deux colocataires
par Estonius
Thémes évoqués : bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, scato, travestis, trio, uro.
20 ans déjà… souvenirs, souvenirs…
C’est donc à Montpellier que j’allais continuer mes études, pourquoi pas ? La ville n’est pas la 8ème merveille du monde, mais elle est sympathique, et puis la côte languedocienne me convient très bien, avec ses plages de sables fins interminables, sa quasi-absence de plages privées et ses cohortes de touristes hollandaises ou allemandes s’exhibant sans fausses gênes et ravissant l’amateur de belles poitrines que je suis.
On m’avait indiqué qu’il était relativement facile de se loger ici pour peu qu’on ne soit pas trop exigeant, et qu’une formule « chez l’habitant » ne rebute point par ses contraintes.
Je me rendis donc ce vendredi, chez cette madame Thérèse Lelonbec dont on m’avait communiqué l’annonce. J’y allais en toute confiance, me disant que si l’affaire se faisait, je m’y installerais dès le lundi suivant.
Je suis légèrement en avance (d’un bon quart d’heure), j’ai donc le choix ou bien d’attendre dans la rue, ou bien de passer outre et d’y aller au flan, je choisis cette dernière solution et me met à gravir les escaliers. Je croise un type dans les mêmes âges que moi…
– Si c’est pour la location, c’est râpé, la place est prise ! Qu’il se croit obligé de me dire !
Une petite voix intérieure eut alors la bonne idée de me dire d’ignorer la réflexion. (car dans le cas contraire ce récit n’aurais jamais vu le jour). Le gars se vexe.
– Tu ne me crois pas, alors ?
– Oh, vous savez, je viens juste réparer les antennes de télé ! Mentis-je effrontément afin de dégonfler l’agressivité latente de ce citoyen.
Cette rencontre m’avait malgré tout refroidi et c’est sans trop y croire que je sonnais à la porte.
Madame Lelonbec (Mais pour la commodité du récit, et le lecteur devinant bien que cette personne va finir dans ce récit par se livrer à des actes que la morale bourgeoise réprouve, nous l’appellerons désormais tout simplement Thérèse) Donc Thérèse m’ouvrit la porte et je découvrais une femme assez grande et légèrement forte, brune, la peau bronzée, le sourire aux lèvres, revêtue d’une petite robe noire légèrement décolletée. Elle devait avoir dépassé la quarantaine mais sa classe et sa beauté la rendait – osons le mot – désirable. Elle me dévisagea quelques instants…
– Bonjour, je suis Etienne Legrand c’est à propos de la location…
– Vous êtes en avance !
– J’en suis désolé, ma montre est complètement déréglée, il faut que j’en achète une autre.
A mon grand soulagement, elle me fit entrer.
– Suivez-moi, je vais vous montrer où c’est… Ce duplex est trop grand pour moi maintenant que je suis seule… Voilà, j’ai fait mettre un petit lavabo, mais vous pourrez bien sûr utiliser la salle de bain…
C’est propre, c’est coquet, il y a un coin bureau où je pourrais travailler, la fenêtre donne sur la rue, c’est clair….
– Si ça vous convient on va discuter des modalités et de tout le reste…
– D’accord !
– Je peux vous offrir un thé, un café ?
– Non merci !
– Donc voyons, vous faites quoi comme études ?
Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui indique quand même, et voilà qu’elle me pose des questions sur mes loisirs, mes goûts, mes livres, mes films… Du coup ça me refroidit un peu, je me demande si je ne vais pas tomber sur un véritable » pot de colle « .
– Je sais ce que vous pensez en ce moment ! Me dit Thérèse. Vous devez-vous dire « Qu’est-ce que cette bonne femme a besoin de me poser ces questions-là ! » Non ?
– Ben….
– Il y a deux ans, j’ai loué une chambre à un type qui n’avait pas du tout mes idées, et j’ai eu un mal de chien à m’en débarrasser… alors maintenant je me renseigne juste un minimum… Juste un
minimum ! Répétât-elle.
Elle me parle ensuite des modalités pratiques.
– Je loue deux chambres vous aurez donc un (ou une) colocataire. C’est le système pension de famille ici, on prend le petit déjeuner et le repas du soir ensemble. Evidemment vous êtes libre de faire ce que vous voulez mais si vous n’avez pas faim ou si vous mangez en ville, prévenez-moi d’avance…. Ah, au fait, vous ne serez pas autorisé à emmener du monde ici, pas de copains, pas de copines… mais vous avez peut-être une petite amie ?
Et c’est reparti pour les questions indiscrètes…
– Ben, non pas en ce moment !
– Oui mais vous aller en trouver, à votre âge c’est normal !
– On verra bien, pour l’instant l’important c’est mes études…
– Je suis très libérale sur les questions de sexe, mais je ne veux pas me faire envahir, vous comprenez ?
– Ce n’est pas un problème !
– Au fait, j’espère que vous n’êtes pas homophobe ?
Mais bon dieu, c’est quoi ces questions !
– Pas du tout, mais pourquoi me demandez-vous ça ?
– J’ai un candidat pour la deuxième chambre je crois qu’il est un peu… un peu comme ça, je ne voudrais pas qu’il y ait d’incident.
– Ecoutez, je pense être quelqu’un de très tolérant, et je n’ai rien du tout d’agressif…
– Alors ça ira, soyez rassuré, je ne vous poserais plus de question indiscrète
Cette présence d’un second colocataire m’ennuyait un peu, non pas à cause de ses tendances supposées mais simplement parce que je suis de caractère très sauvage et moins je suis obligé de vivre avec les gens plus je me sens bien… Mais les avantages l’emportant sur les inconvénients, je décidais néanmoins que je logerais donc chez Thérèse
Je me faisais mon petit cinéma, peut-être que l’étudiant se désisterait et qu’à la place j’aurais doit à un pulpeuse étudiante… on peut toujours rêver…
Mais il n’y eu pas de désistement… Et c’est le jour même de mon installation que je fis la connaissance de Jean-Yves (on ne rigole pas !) Blond, très pale, peu causant, il s’intéressait au théâtre et jouait dans une troupe amateur.
Le décor est planté, il est grand temps d’entrer dans le vif du sujet…
Thérèse nous avait indiqué quelles étaient les tranches horaires où nous pourrions utiliser la salle de bain. Nous étions là depuis déjà trois semaines et ce mardi, je m’apprêtais à prendre une douche quand poussant la porte juste entrebâillée, je découvris Jean-Yves complètement nu, devant le lavabo et en pleine érection.
– Oh, pardon !
– Il n’y a pas de problème, tu sais j’ai fait du naturisme ! Tu as besoin de quelque chose ? Me répondit-il alors que je rebroussais déjà chemin.
J’ignore alors pourquoi je fis un gros mensonge et répondis que je cherchais mon eau de toilette.
– Non je ne la vois pas, mais entre donc, on ne va pas se gêner, non ?
Je le fis, j’étais, je l’avoue, moi le grand dragueur de beautés féminines, troublé par ce corps lisse et imberbe, et par cette verge qui paraissait me narguer. Je fais semblant de chercher, il se tourne, mais maintenant j’ai ses fesses devant le nez, ce qui ne contribue pas à faire cesser mon émotion.
– Si tu veux prendre ta douche, ne te gêne pas pour moi ! Reprit-il
J’eus à ce moment-là la conviction que comme l’avait supposé Thérèse, il devait être homosexuel, ce qui m’indifférait complètement, mais je lui indiquais que je préférais attendre qu’il soit sorti pour me livrer à mes propres ablutions.
J’ai rejoué dans ma tête cette furtive scène toute la journée, et le soir dans mon lit, je me surpris à m’exciter en y repensant encore. J’ai toujours déclaré à qui voulait l’entendre qu’avoir une expérience avec un autre homme n’était pas exclue, ajoutant immédiatement qu’en la matière je n’étais vraiment (mais alors vraiment pas) pressé. L’occasion était-elle en train de se présenter beaucoup plus tôt que je ne l’envisageais ? Et puis, je me faisais sans doute des idées, il n’était peut-être pas gay, le Jean-Yves, peut-être simplement exhibitionniste sur les bords ?
Le lendemain, je décidais de ne pas me compliquer la vie en questions inutiles et pour éviter de renouveler mon trouble de la veille, je prenais le parti d’aller prendre ma douche le plus tard possible. Mais une surprise m’attendait aussi ce jour-là (nous attendait)
Dans la cuisine où nous prenons le petit déjeuner, Thérèse comme tous les matins n’est vêtue que de sa robe de chambre, j’ai déjà eu l’occasion de plonger dans son coquin décolleté, mais j’ai l’impression qu’aujourd’hui il montre plus de choses que d’habitude. Je remarque aussi que la ceinture est attachée si lâche qu’elle risque de se desserrer d’un moment à l’autre. Et d’ailleurs, ça ne rate pas, alors qu’elle se penche pour reposer une casserole fumante, la robe s’ouvre. Le temps qu’elle reprenne ses esprits et se réajuste, nous avons eu le temps se voir une superbe poitrine et une chatte bien touffue. Elle prit le parti d’en rire :
– Bon, vous n’avez rien vu, les gars, hein ! Dit-elle en souriant.
Je ne sais pas si j’ai vu ou si je n’ai pas vu quelque chose mais je bande comme un malade.
L’incident n’eut pas de suite immédiate, mais plusieurs minutes plus tard Jean-Yves m’apostropha :
– Dis donc, la Thérèse, je ne sais pas ce qu’en t’en penses mais le peu que j’ai vu, ça m’a bien plu !
– C’est vrai que c’était bien joli à voir ! M’entendis-je répondre !
J’en concluais que mon colocataire n’était sans doute pas homo, mais qu’il était sans doute aussi obsédé (non je n’aime pas ce mot-là, on va dire coquin) que moi et que cela m’ouvrait des perspectives intéressantes.
Je me levais le jeudi matin en me demandant qu’elle serait la surprise de la journée ! Je pénétrais de bonne heure dans la salle de bain où comme l’avant-veille, Jean-Yves finissait ses ablutions dans le plus simple appareil et la quéquette en pleine forme.
– C’est de penser à Thérèse qui te met dans cet état ? Le taquinais-je !
– Tu crois ?
Du coup il regarde sa queue, la prend dans la main et esquisse devant moi quelques mouvements de masturbation.
– C’est vrai que j’aime bien m’exciter le matin en pensant à des tas de trucs… Poursuit-il.
Que voulez-vous que je réponde ?
– T’as raison, y a pas de mal à se faire du bien !
– Et toi aussi, tu aimes bien te branler ? Me demande-t-il ?
– Oui, surtout en ce moment, je suis en panne de nana !
– Et là tout de suite, tu as envie de te branler ?
– Non, pas maintenant ! Mentis-je.
– C’est dommage, c’est super excitant de se branler en duo, t’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Ben essaie, vu la bosse que tu trimballes sous ton pyjama, ça ne devrait pas te poser problème.
– T’es marrant toi !
– Je ne sais pas si je suis marrant, mais j’aime le sexe et je n’ai pas de complexe. J’aime bien délirer, si tu veux délirer avec moi ne te gênes pas, mais si tu ne veux pas, c’est pas un
problème non plus !
– Pour se branler faut quelque chose, je sais pas, moi, un film, des images, quelque chose…
– Et qu’est ce qui te fait bander en ce moment ?
– La conversation, la situation… je suppose
– Peut-être, mais je crois plutôt que c’est ma bite, tiens, regarde comme elle est belle, elle est toute raide.
Il est en train de me piéger, cet olibrius, mais je ne comprends rien à son jeu, il est homo, il n’est pas homo, il est peut-être bisexuel, je n’avais pas encore envisagé cette possibilité, toujours est-il que je suis là en train de lui reluquer la quéquette, et que la mienne est en train de déformer mon pyjama de façon ridicule.
– Elle est belle, hein ? Insiste-t-il
Il s’y prend mal, en fait, il me rend mal à l’aise, je ne sais pas si j’ai envie ou non d’aller plus loin…
– Allez branle-toi, tu en meurs d’envie !
Je réalise que j’ai envie qu’il m’aide à franchir le pas, s’il pouvait faire un geste, je ne sais pas moi me baisser mon pyjama ou me mettre la main sur mon sexe…. Mais le souhaite-t-il ?
– Mets-toi à poil et pense aux gros nichons de Thérèse, imagine qu’elle me coince la bite entre ses seins et que toi tu attendes ton tour…
Je craque, en deux secondes, je me retrouve à poil et je me masturbe, les yeux rivés sur son engin, il en fait de même, on ne fait rien de plus, je dois être complètement frappé, il ne tarde pas à éjaculer une grosse giclée dont la plus grande partie atterrit sur le lavabo, je l’imite assez rapidement.
– Ce soir je sors, nous dit Thérèse quand nous la rejoignons dans la cuisine. Je vous laisse l’appartement !
Sa robe de chambre est aussi mal fermée que la veille. Ce n’est donc pas de l’inattention, c’est de la provocation. Par contre, elle a ce matin pris soin de bien serrer la ceinture. Si elle veut nous jouer une scène ce ne sera donc pas la même que celle de la veille. Elle ne s’assoit jamais pour prendre son petit déjeuner, elle grignote debout. Un moment elle se penche devant moi afin d’attraper le beurrier. Son échancrure se met alors à bailler, j’ai l’espace d’un instant la vision de sa poitrine presque entière. Vite elle se redresse… Mais nous avons alors échangé un regard… Il s’est passé quelque chose, mais quoi…
– OK ! Je serais de retour vers 22 heures ! Vous laissez le téléphone sonner, vous n’ouvrez à personne et surtout pas de bêtises… Sinon…
Ce n’est même pas une menace, où alors c’est une menace pour rire :
– Sinon, qu’est ce qui va nous arriver ? Demande de façon faussement innocente Jean-Yves.
– Une bonne fessée par exemple !
– Humm… du coup ça me donne envie de faire des bêtises !
Il ne perd pas le nord, lui !
– Tu ne serais pas un peu coquin, toi ?
Humm… le visage de Thérèse en disant cela…
– Si, si ! Répond alors Jean-Yves
– Ah, ces jeunes, heureusement qu’Etienne, lui il est sérieux, n’est-ce pas Etienne ! M’interpelle-t-elle.
– Euh ! Pas trop, non…
– Vous devriez faire attention, je tiens toujours mes promesses… allez, je file me préparer…
Je suis rentré en fin d’après-midi, je lance un « y a quelqu’un ? » qui ne reçoit pas d’écho ! Jean-Yves n’est donc pas rentré, je vais pour monter dans ma chambre quand je me rends compte que celle de Thérèse n’est pas fermée. Notre logeuse serait-elle rentrée prématurément. Par correction, je frappe :
– Rentre !
Ce n’est pas la voix de Thérèse, c’est celle de Jean-Yves ! Mais je le reconnais à peine, il a enfilé des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge qu’il a rembourré avec je ne sais quoi, et un chemisier blanc non boutonné ! Son sexe est tendu comme un arc !
– C’est une véritable caverne d’Ali baba qu’elle a là-dedans la Thérèse ! C’est dommage je ne trouve pas de godasses à ma taille.
Je ne réponds pas ! Cette situation m’excite de trop ! Je me jette à l’eau, je lui dis :
– Tu me fais bander avec tes conneries !
– J’espère bien ! Mais regarde un peu ce que j’ai trouvé !
Il me montre un grand sac de voyage ! A l’intérieur il y a deux tenues de cuir noir, des bas, des sous-vêtements, mais aussi une demi-douzaine de godemichés, une cravache, un martinet, des pinces… Un véritable arsenal de maîtresse pour séance sado masochiste.
– Putain, j’ai la trique ! Tu veux qu’on se branle ensemble comme hier ?
– OK, déshabille-toi !
Je le fais à la vitesse grand V et je commence à m’astiquer !
– Ça t’embête si je te la touche ? Me demande alors Jean-Yves.
– Non ! Vas-y ! Répondis-je partagé entre la résignation d’un engrenage annoncé et une réelle curiosité de faire une nouvelle expérience.
Déjà, il a mon sexe dans sa main, il me masturbe, ce n’est pas gênant mais outre l’aspect insolite, ça ne me fait pas grand-chose, il n’a pas le bon rythme, il va trop vite. Je ne lui demande pas par contre si je peux toucher à la sienne, étant certain de la réponse, je le fais ! Le contact est doux, soyeux, agréable et vient ajouter à mon excitation.
– On ne va pas jouir ici ! Me prévient-il, on ne va pas salir sa moquette !
On est allé se finir dans la salle de bain.
– Tu sais ce qu’elle nous a dit pour la fessée, maintenant qu’on connaît ses fantasmes, je crois qu’elle sera d’accord pour jouer avec nous, mais il va falloir rentrer dans son jeu. J’espère que
tu n’as rien contre la fessée qu’elle nous a promise !
– Oh, que non !
– Alors fais-moi confiance, on va peut-être passer une super soirée !
22 heures moins le quart : Jean-Yves et moi nous sommes installés devant la télé, ce dernier a conservé sa tenue semi-travestie, et moi je suis complètement à poil. On zappe, il n’y a rien d’intéressant, on a bien trouvé quelques vidéos (très sage) mais son lecteur n’a pas l’air de fonctionner. On attend, sagement, le risque que notre plan fasse un flop existe mais nous n’y pensons pas, par contre nous ignorons si Thérèse rentrera à l’heure et c’est assez stressant. Toujours est-il que les minutes passent. 10 heures, 10 heures et quart… 10 heures et demi. Si elle arrive trop tard, on pourra toujours refaire ce délire en modifiant légèrement le scénario, mais ce serait quand même frustrant de ne pas pouvoir s’amuser ce soir. 11 heures moins le quart… 11 heures moins dix, un bruit de clés. Comme convenu, on se prend respectivement le zizi en main afin de le faire grossir un maximum dans le bref intervalle de temps qui nous sépare du moment où elle va nous surprendre !
– Ben ! Qu’est-ce que vous foutez tous les deux ?
– Euh, comme il y a rien d’intéressant à la télé on se masturbe un petit peu !
– Non, mais je rêve ou quoi ? Et toi là, où est-ce que tu as trouvé ce que tu as sur toi !
– Ben j’ai un peu fouillé dans vos affaires, je suis désolé.
Il y a comme un instant de flottement. J’ai l’impression que Thérèse n’est pas vraiment certaine de savoir à quel jeu nous jouons. Nous saurons après qu’elle craignait que nous nous soyons enivrés.
– Vous nous aviez promis une fessée si nous faisions des bêtises ! Reprend Jean-Yves ! Punissez-nous, si vous pensez qu’on le mérite !
– Ah c’est donc ça ! Et vous croyez que je vais démarrer comme ça au quart de tour ? J’ai peut-être le droit d’être fatiguée ! Votre punition vous l’aurez, mais quand je l’aurais décidé.
Foutez-moi le camp dans vos chambres et toi tu enlèves mes affaires… Quoi que ça ne te va pas si mal, lève-toi et tourne-toi que je vois ton cul ! Humm finalement reste comme ça ! Joli petit cul
! Bon, vous êtes sûr que vous voulez être punis ? Parce que si c’est oui, vous n’allez pas être déçus !
On lui fait signe qu’oui !
– Bon alors d’accord, jusqu’à ce que je décide la fin du jeu, je suis votre maîtresse, vous allez faire tout ce que je vais vous dire et sans discuter, c’est toujours d’accord ?
– Oui, oui !
– Viens-là-toi ! Dit-elle en me désignant d’un index vengeur.
Je me lève, elle me fait mettre à genoux devant elle !
– Tu comprends maintenant pourquoi je fais passer un petit entretien aux candidats locataires, ça me permet de repérer ceux qui ont une tendance à la soumission, ceux qui sont obsédé par le sexe,
je crois que cette année je ne me suis pas trompé. Vous allez pouvoir être mes petits esclaves adorés pendant toute l’année universitaire. Tu t’es déjà fait dominer, toi !
– Ben non !
– Fais attention c’est un jeu dangereux ! Chacun a ses limites, et ses blocages, mais en principe je sais faire, les gens qui aiment la domination aiment souvent beaucoup de choses. Toujours
d’accord ?
– Oui !
– On dit « oui, Maîtresse ! »
– Oui Maîtresse !
– Bon, toi Jean-Yves, tu te mets à côté de l’autre et vous m’attendez cinq minutes, je vais me préparer !
On se regarde tous les deux !
– Tu es sûr qu’on ne fait pas une connerie ? m’inquiétais-je
– Qu’est-ce que tu veux qui nous arrive ?
– Justement…
Mais voilà Thérèse qui revient, elle s’est revêtue d’une sorte de kimono bordeaux, et tient à la main son sac de voyage, elle en extrait un gode ceinture, un martinet ainsi qu’une boite de pinces et pose le tout sur la table. Puis elle nous fait face, retire le kimono, apparaissant simplement en string de cuir et soutien-gorge assorti. Sa prestance est superbe ! Le corps est magnifiquement entretenu et sa peau légèrement halée brille sous l’halogène du salon. Du coup me revoici en train de rebander. Elle s’approche de moi, baisse ses mains au niveau de mes tétons, s’en empare et me les tord violemment. Voilà une caresse (si toutefois le mot de caresse est approprié) qui me rend fou.
– Ça fait mal, hein ?
– Ça fait mal, mais c’est bon ! Répondis-je
Elle renouvelle l’opération plusieurs fois de suite, puis après avoir dégrafé l’incongru soutien-gorge que Jean-Yves portait, elle lui administra la même torture. Puis de façon complètement inattendue elle nous gratifia chacun de deux paires de baffes. J’encaissais sans rien dire, mon camarade aussi ! Elle prend ensuite des pinces et sans aucun ménagement nous les place sur les bouts de nos seins, je supporte mieux que Jean-Yves qui commence à faire de drôles de grimaces.
– Supporte et tais-toi ! Sinon je te vire d’ici ! Lui lance Thérèse en guise d’avertissement.
Mon colocataire essaie de prendre sur lui, mais manifestement il a un problème.
– La pince de droite doit être mal placée ! Finit-il par dire !
Il reçoit comme première réponse une jolie paire de gifle… mais Thérèse n’est ni sotte, ni irresponsable, elle enlève prestement la pince litigieuse et la raccroche aussitôt !
– Merci Maîtresse !
– De rien, baisse ta tête et relève tes fesses, tu vas crier pour quelque chose !
Il obtempère !
– En voilà un joli cul de pédale, tu sais ce qui va lui arriver à ton petit cul ? Dit-elle, tenant en main de façon menaçante un superbe martinet.
– Oui, vous allez me frapper, maîtresse !
– Ça c’est clair ! Mais ensuite ?
– Je ne sais pas maîtresse !
Le coup a claqué, surpris Jean-Yves pousse un petit cri !
– Je ne veux pas t’entendre brailler, par contre tu as le droit de me remercier, et tu as même le droit de compter.
– Schlack !
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, le premier c’était pour rire !
– Schlack
– Deux ! Merci maîtresse !
– Non pas deux, quand on se trompe, on recommence à zéro !
– Schlack
– Un ! Merci maîtresse !
Au bout du quinzième il commençait à donner des signes de lassitude, mais ne se rebella pas. Thérèse alla jusqu’à vingt, le laissant épuisé, les yeux embués mais le sexe fier !
– Alors, maintenant tu vas peut-être pouvoir me répondre, qu’est ce qui pourrait bien arriver d’autre à ce joli petit cul de salope, hein !
– Je ne sais pas, vous allez peut-être me mettre un gode ?
– Ça ne serait pas une mauvaise idée en effet ! Qu’est-ce que tu en penses, toi, Etienne ?
Je ne suis pas fou, je suppose que les punitions dont elle va gratifier Jean-Yves ne me seront pas épargnées, mais je suis tellement excité par la situation que j’abonde dans le sens de Thérèse avec un véritable enthousiasme :
– Ça me paraît une bonne idée, je suis sûr qu’il adore se faire enculer !
– T’entends ce qu’il dit ton copain ? C’est vrai ça que tu aimes te faire enculer !
– Oui, maîtresse !
– Et ben dis donc que de surprise ! Moi qui pensais regarder tranquillement la télé en rentrant ! Bon allez Etienne, en position, je ne voudrais surtout pas faire de jaloux ! Oh ! Mais c’est que
ton cul n’est pas mal non plus ! Toi aussi tu aimes te faire prendre ?
– Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé !
– Et tu as envie d’essayer !
– Oui, mais…
– C’est oui, ou c’est non ? « Oui mais », je n’ai pas l’article dans mon catalogue ! Ecarte tes fesses que je me rende mieux compte… Hum, oui effectivement c’est super serré ce machin,
on, va s’occuper de bien dilater tout ça, tu verras à la fin de l’année universitaire tu auras un bon cul d’enculé, je te ferais mettre par un ami à moi, un superbe black avec une grosse queue !
Tiens ça me donne une idée ! Mais en attendant viens voir le cul de ton copain, lui au moins il n’est pas puceau de ce côté-là.
J’essaie d’imaginer ce qu’elle veut que je fasse !
– Lèche !
Hein ! Elle est complètement folle ! Je me demande de quelle façon je vais bien pouvoir refuser quand un coup de martinet me zèbre les fesses.
– Je t’ai dit de lécher !
Un second coup, un peu plus fort vient me rougir un peu plus mon pauvre petit fessier, c’est fou ce que ça fait réfléchir vite ce genre de truc, car je me dis qu’après tout je suis dans le cadre d’une relation sado masochiste et que prendre plaisir à exécuter un ordre à priori absurde fait aussi parti du jeu. Je positionne donc mon visage sur le trou du cul de mon colocataire et me met à le lécher avec application ne faisant pas trop attention à cette saveur un peu âcre qu’il dégageait.
– Schlack !
Mais voici qu’elle me fouette de nouveau, la Thérèse !
– Aie !
– Voilà ce que je leur fais aux lèche-culs !
Je ne comprends pas bien, du coup je m’arrête
– Schlack
– Je ne t’ai pas dit d’arrêter, pédale, continue à bien lui foutre la langue dans son trou du cul !
Je continue donc à m’appliquer sous les coups de martinet de notre logeuse, mes fesses commencent à me cuire sévèrement mais ça n’a rien de désagréable.
– Bien ! Dit-elle après m’avoir asséné le dernier coup, je vous avais promis une surprise, mais il faut que je passe un petit coup de fil, en attendant c’est toi Jean-Yves qui va lécher le cul d’Etienne.
Et tandis que je commence à sentir un gazouillis humide tout à fait insolite au niveau de mon anus, Thérèse se met à parler dans son combiné :
– Allô, Jean-Baptiste ! C’est Thérèse ! Dis donc Jean-Baptiste, j’ai deux petits étudiants bien soumis avec des mignons petits culs qui ne demandent qu’à se faire enculer, ça t’intéresse ?
– …
– Tu es avec un ami, et bien ce n’est pas un problème, passez tous les deux !
Je vous dis, elle est complètement atteinte, la pauvre Thérèse, mais nous sommes tellement partis dans son délire que nous ne protestons mêmes pas !
– Super, vous allez voir ce que vous allez prendre ! J’espère que mes amis seront contents ! Bon alors toi, tu lui a bien léché le cul, voyons voir ce que ça lui a fait, hum… pas grand-chose, je vais mettre un doigt pour voir.
Et voici que Thérèse m’introduit le doigt dans l’anus et commence à l’agiter ! Ce petit manège dure quelques minutes, puis elle ressort son doigt, l’approche de mon nez puis de ma bouche !
– Lèche !
– Non maîtresse, pas ça !
– Et pourquoi donc ?
– C’est peut-être pas très propre…
– Ah, oui ? Alors prenons le problème autrement ! Dis-moi que tu es une petite salope !
– Je suis une petite salope, maîtresse !
– Ok ! Alors tu vas m’obéir, parce que les petites salopes ça sucent les doigts qui ont été dans leur cul ! Compris !
– Oui, maîtresse !
– Bon Jean-Yves, fout lui vingt coups de martinet, ça lui apprendra à discuter… moi j’ai un petit coup de fatigue !
Il me fait mal, ce con ! Mais je sais qu’au bout des vingt coups, j’obéirais à ma maîtresse !
– Alors tu suces maintenant !
– Oui maîtresse !
– C’est comment ?
– Ça va !
– Drôle de réponse ! Maintenant tu me suceras toujours les doigts quand je te les aurais foutus dans le cul !
– Oui maîtresse !
– Alors ne perdons pas de temps !
Et elle me remet tout de suite un doigt dans le troufignon, mais cette fois son tripotage est beaucoup plus appuyé, et donc beaucoup plus agréable, mais j’ai peur de l’état dans lequel il va ressortir…. Mais pour l’instant elle me doigte magnifiquement, c’est trop bon, je pousse des gémissements de satisfaction, pour moi c’est une découverte…
– Allez nettoie !
Le doigt présente quelques traces douteuses, rien d’affolant. Je bande comme un dingue, et me voilà en train de sucer ce doigt, un goût acre m’envahit le palais, ni bon, ni mauvais, c’est particulier et le faire est excitant.
– Tu en voudrais encore ?
– Pourquoi pas Maîtresse ?
Jean-Yves a droit ensuite à la même inspection, mais son anus est vide ce qui a l’air de contrarier notre perverse logeuse.
– Maintenant Etienne, tu vas sucer la bite de ton camarade !
Alors ça ce n’est pas un problème, depuis le temps que j’attends cet ordre. Je prends le membre dans les mains, la situation m’excite, pour la première fois de ma vie, je vais sucer une bite et je suis content de le faire. Je commence par la caresser puis lui imprimer quelques mouvements de masturbation, je tire sur la verge vers le bas de façon à ce que le prépuce dégage au maximum le magnifique gland d’une belle couleur lilas. Je me penche, avance mes lèvres vers la hampe, les frotte dessus, je fais un léger et innocent bisou, puis je m’approche du gland où je recommence mon manège, quelques gouttes de pré jouissance y ont perlé et un léger goût salé m’est déjà perceptible. Dans quelques secondes je sais que je vais franchir le pas. J’ouvre la bouche, déjà le gland est dans mon palais, et ma langue le caresse, le petit goût est désormais beaucoup plus présent, et j’avoue que ça ne me déplait pas, j’avance mes lèvres les resserrant au passage du prépuce, délicieuse impression, je recule un tout petit peu, j’avance de nouveau, par jeu j’essaie de faire pénétrer le membre au maximum, la position droite n’est pas agréable, mais d’instinct je le fais entrer sur le côté où il vient cogner l’intérieur de ma joue. Je prends conscience que j’aime ça, cette bite que je suce, je sais aussi que ce ne sera pas la dernière, c’est trop bon et c’est avec une érection phénoménale que je reprends maintenant de courts coulissages par lesquels je fais aller et venir l’extrémité de son pénis. Jean-Yves se pâme…
– Bon ça va ! Je ne veux pas que tu jouisses tout de suite ! Intervint Thérèse stoppant l’affaire à mon grand dam.
Mon colocataire se retire de ma bouche, lui aussi paraît un peu contrarié, la jouissance devait être bien proche….
– Tu as aimé ça, lui sucer la bite ? Petit pédé. ?
– Humm ! J’ai adoré ! Elle est trop bonne sa bite !
– Super, si vous saviez ce que ça m’excite de voir deux mecs ensemble en train de se faire des trucs…Mais c’est pas tout ça avec tous ces imprévus j’ai même pas été aux toilettes en rentrant et ça commence à devenir urgent ! Bon, on ne va pas salir, la moquette… tout le monde dans la salle de bain !
On la suit.
– Voilà, allongez-vous par terre, non pas comme ça, vous êtes vraiment nuls ! L’un à côté de l’autre, voilà, rapprochez vos visages, je vais pouvoir vous arroser tous les deux… Allez, rapprochez-vous encore, joue contre joue, voilà vous êtes mignons comme ça !
Thérèse retire sa culotte et s’accroupit à environ cinquante centimètres de nos bouches.
– Allez, on ouvre bien la bouche ! Et je ne veux pas une goutte sur le carrelage ! Mieux que ça la bouche !
Vision magnifique que cette petite chatte partiellement rasée s’ouvrant devant nos yeux pendant plusieurs secondes avant de lâcher quelques gouttes de son urine, bientôt suivi par un mince filet doré, elle se retient de temps à autre de façon à nous verser à boire alternativement !
J’avais déjà, par curiosité goûté à quelques gouttes de ma propre urine, juste comme ça pour voir quel goût ça avait… J’avais trouvé ça amusant. La pisse de Thérèse me parait un peu plus forte mais pas mauvaise du tout…
– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci maîtresse !
– Et maintenant après le pipi, le caca !
Elle ne va tout de même pas… non elle se dirige vers les toilettes…
– Vous n’êtes pas obligé de regarder, mais j’aimerais bien que vous le fassiez.
Elle se met en position sur la cuvette, mais à l’envers, c’est-à-dire le cul tourné vers nous et légèrement relevé.
Moment d’hésitation, échange de regard entre Jean-Yves et moi, on ne bouge pas. Thérèse pousse, un étron marron s’échappe de son cul et tombe dans la cuvette en faisant floc. Un second ne tarde pas à rejoindre le premier.
– Lequel de vous deux m’essuie ?
C’est moi qui suis le plus près du rouleau de papier à cul, je m’apprête donc à obtempérer.
– Mais non ! Avec ta bouche ! Idiot !
– Non…
– Tout à l’heure tu as sucé mes doigts pleins de merde. Quelle différence ? Sauf que c’est le cul de ta maîtresse et que ça va être encore meilleur.
Je cherche du secours du côté de Jean-Yves qui me fais un geste d’impuissance, Alors je me lance et me mets à lécher le trou du cul de Thérèse. Je nettoie tout, je ne laisse rien pour Jean-Yves. Je ne me reconnais plus. Je bande !
– Allez tout le monde dans la chambre, pour la suite je veux mon petit confort… Mais essuyez-vous, bandes de ploucs, vous êtes encore plein de pisse, vous n’allez pas m’en foutre sur mon lit…
J’ignore ce qu’on va faire, tout cela m’amuse, mais j’ai au fond de moi un peu peur de me laisser entraîner trop loin… et puis cette affaire de ses deux amis qui doivent nous rejoindre ne me dit plus trop rien maintenant.
Dans la chambre, Thérèse finit de se déshabiller, j’aime la vue de ses jolis seins de bonne tenue et intégralement bronzé, je m’en régalerais bien la bouche.
– Maîtresse, vos seins…
– Quoi, mes seins ? Qu’est-ce qu’ils ont mes seins ?
– Ils sont très beaux !
– T’es gentil, merci !
– J’aimerais les caresser !
– Ah ! Oui ? Eh bien, non aujourd’hui tu regardes, on ne va pas tout faire le même jour !
– S’il vous plait !
Elle me retourne une torgnole !
– Quand je dis non, c’est non, j’ai horreur qu’on insiste !
– Pardon Maîtresse !
– Bon, à présent vous allez me baiser, il y a longtemps que je n’ai pas eu deux bites à la fois… Alors la plus petite dans le cul, et l’autre dans la chatte…
La voici lancée dans des explications techniques… pour débander ce n’est pas mal. Toujours est-il que Jean-Yves est invité à se coucher sur le dos dans le lit.
– Fais le rebander comme il faut, Etienne !
Je branle donc mon camarade quelques instants !
– Ressers-toi de ta bouche ! Précise-t-elle
Alors là je ne vais pas me le faire dire deux fois, je me précipite et gobe à nouveau ce magnifique membre. Du coup, le voici très vite redevenue raide et je dois cesser. Thérèse recouvre alors l’organe d’un préservatif, puis se positionne à califourchon, et s’empale dessus.
– Tu ne bouges pas, c’est moi qui conduis ! Lui indique notre charmante propriétaire…
Et effectivement elle va tout doucement !
– Mets-toi debout devant moi, je vais m’occuper de ta tige ! Me précise-t-elle
Et voilà comment Thérèse m’a sucé pour la première fois, pas longtemps parce que rien que l’idée me provoqua une érection déjà bien solide, aussi abandonnant l’affaire elle m’attribua à mon tour une capote, puis se pencha afin de relever ses fesses tout en continuant à chevaucher Jean-Yves. J’essayais de trouver la meilleure position possible, pas évident de placer ses jambes, et approchais ma bite de son anus. Je n’eus pas à forcer, ça rentrait tout seul.
– Vas-y rentre à fond, encule-moi bien !
Alors Thérèse reprit ses mouvements, pour ma part je me laissais guider par l’ondulation de son postérieur, drôle de sensation de sentir la bite d’un autre homme à une paroi de la sienne. Le mouvement s’accéléra, la chevauchée devint sauvage, et Thérèse se laissa faire. Au bout de quelques minutes je trouvais le rythme, je laissais un peu de répit pour que Jean-Yves puisse accélérer, puis augmentais ma propre cadence quand la sienne baissait. Notre logeuse poussait des cris de jouissance à l’unisson de mes pilonnages, je finis par accélérer sans plus pouvoir me contrôler et éjaculais en restant dans son conduit. Jean-Yves devait attendre ce signal pour se libérer à son tour et jouit à son tour enserrant Thérèse d’un grand mouvement de tendresse. Ne voulant pas être en reste, je lui fis un gros bisou sur les fesses.
– On va se déboucher une bouteille de champagne, ça vous dit les gars !
Quelques instants plus tard, sans nous être rhabillés nous trinquions dans le salon, en parlant de choses et d’autres, nul ne semblant vouloir orienter la conversation vers le sexe malgré le délire que nous venions de vivre. Le temps passait, j’osais soudain :
– Mais, vos deux amis, ils devraient être là, non ?
– Quels deux amis ?
– Mais ceux à qui vous avez téléphoné tout à l’heure ?
– Tout à l’heure ! Ah, oui, tu as cru que je téléphonais pour de vrai…
– A parce que …
– Ben oui, c’était juste pour le fun ! Tu es déçu, tu te serais bien fais enculer, hein ?
– Je ne sais pas, peut-être…
– Et toi Jean-Yves !
– Oui, pourquoi pas !
– Alors on va y penser…
Manifestement fatiguée, Thérèse finit par nous envoyer nous coucher, j’eus quelque mal à trouver le sommeil qui fut ponctué par des rêves où s’agitait devant moi et de multiples façons des dizaines de bites d’une raideur prête à les faire exploser.
Qu’allais manigancer Thérèse ces prochains jours ? Vous le saurez bientôt en lisant le prochain épisode de ce passionnant récit…
Estonius (août 2004)
estonius@hotmail.com
Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur récit bi pour l’année 2004
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