Vendredi 22 juin 2007 5 22 /06 /Juin /2007 13:51

Courte paille

par Sylvain Zerberg

 

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 Courte paille

par Sylvain Zerberg


Bonjour je m'appelle Patrick et j'ai 35 ans, je travaille dans la presse. Nous nous sommes rencontrés Yvette et moi il y a dix ans environ. Elle venait juste de divorcer d'un premier mariage malheureux et m'avait été présentée par une de mes amies qui connaissait bien mes goûts en matière de femme. Grande, bien en formes, fausse blonde aux yeux clairs, cultivée, de dix ans mon aînée : elle avait vraiment tout pour me plaire. Et étant donné moi je lui plaisais également, on ne tarda pas à se retrouver dans le même lit. Dans ce domaine également nous nous entendions parfaitement et à cette époque c'était souvent matin midi et soir. Elle ne tarda pas à se retrouver enceinte et je me décidai à l'épouser pour parfaire notre union. 


Les années qui suivirent furent parfaites, nous nous entendions à merveille et nagions dans le bonheur en toute complicité. Yvette commença à se poser des questions à l'approche de ses 45 ans, elle se sentait sans doute vieillir, avait peur de ne plus être aussi désirable, ni même intéressante au lit. J'essayais évidemment de la rassurer du mieux que je pouvais mais c'était plus fort qu'elle. Sans doute aussi la différence d'âge qui ne l'avait pas gênée jusque-là commençait-elle à l'inquiéter. Elle devenait jalouse et agressive. J'avais entendu dire par des amis que les femmes de cet âge soit commençaient à s'empâter dans la vieillesse en s'éloignant peu à peu des choses de l'amour, soit au contraire devenaient plus salopes et plus vicieuses et avaient besoin de plus de piment dans leurs relations. En ce qui me concerne, je n'avais nulle envie que ma femme opte pour la première solution. 


Aussi, je lui proposai de partir en vacances, rien que tous les deux pour un peu faire le point. 


Pendant le voyage, je lui fis part d'une idée. 


- J'ai lu un truc sur Internet, un jeu érotique, on tire au sort et le perdant doit obéir au gagnant pendant une période qu'on détermine, une heure, une journée, une semaine... Ça te dirait ?

- Je veux bien essayer ! 


Elle avait effectivement l'air intéressée... Et nous voici partis tous les deux en amoureux faire un peu de randonnée en montagne ce dont nous avions aussi perdu l'habitude depuis pas mal de temps. Et cette année-là le mois de septembre est radieux. Le premier jour, alors que nous faisons une halte près d'un petit étang, je dis à Yvette :


- Si on jouait au petit jeu dont on parlait hier !

- Ok on y jouera ce soir !

- Pourquoi pas tout de suite ?

- Pas dehors quand même ?

- Rassure toi je ne vais pas te demander des choses impossibles ! Et puis on n'a pas tiré au sort, c'est peut-être toi qui vas gagner !


Je me préparai à la faire tirer à la courte paille, mais une question restait en suspens :


- Pour la durée...

- La durée, ce sera nos huit jours de vacances, me proposa Yvette, le jeu ne s'arrêtera qua quand on repartira !


Bon pourquoi pas, je me demandais quand même ce qu'elle pourrait bien exiger de moi si je perdais, mais le sort me fut favorable...


- Ce n'est qu'un jeu, si tu veux qu'on arrête, on arrête !

- J'ai bien compris mais pour l'instant on n'a même pas commencé !

- Alors je vais commencer : J'aimerais que tu baisses ton pantalon et que tu me montres tes belles fesses, chérie, j'ai très envie de te faire l'amour.


Elle a l'air estomaquée. Elle se retourne et son regard me dit que je suis devenu fou, que ça ne se fait pas, pas ici... qu'on pourrait nous surprendre... Mais je réitère ma demande, cette fois de façon plus grossière :


- Oui tu as bien entendu, cela fait dix kilomètres que je vois ton cul balancer devant mes yeux et ça me donne la trique, tu comprends ? Alors défais-toi vite que je te baise et viens tâter ma bite pour voir si je mens.

- Non, arrête, pas ici, c'est tout dégagé, on pourrait nous apercevoir, on fera ça tout à l'heure à l'hôtel.


Mais je m'approche et fermement commence à dégrafer son pantalon


- Tu ne veux déjà plus jouer ?

- Si, mais fais attention...

- Pas de chichi Madame, vous n'aviez qu'à pas m'allumer en vous déhanchant, maintenant c'est trop tard.


Je baisse son pantalon et la culotte avec. C'est vrai qu'elle pourrait faire des efforts et s'habiller un peu plus sexy. Je m'agenouille derrière elle et commence par lui lécher les fesses et l'anus, j'adore lui lécher le trou du cul, en plus il n'est pas très net, et sent un petit peu la merde, mais ça ne me dérange pas du tout, au contraire, ça aurait tendance à m'exciter. Puis je la retourne et entreprends un savant cunnilingus qui ne peut que la troubler. Debout, les jambes écartées, sans rien pour se tenir, elle commence à fondre dans ma bouche. Je redouble d'effort et avale sa cyprine. Quoiqu'elle en dise cela fait longtemps qu'elle n'a pas été aussi trempée. Je me relève, on verra pour une petite pipe plus tard, pour le moment j'ai surtout envie qu'elle reste debout, penchée en avant, le cul bien tendu et que je la prenne debout face au lac. Et me voici en train de baiser cette cochonne près d'un lac en attendant de lui asperger copieusement son intimité. 


Ce qui devait arriver arriva, tandis que nous nous rhabillons, nous voyons arriver un couple dans la cinquantaine ainsi qu'un type entre 20 et 30 ans genre étudiant sérieux, peut-être leur fils. En dévalant le plateau, ils ont bien eu le temps d'observer toute la scène, il suffit de voir les regards lubriques des deux hommes pour en être assuré. Quant à la femme elle est pour le moins ulcérée quand son mari s'adressant à ma femme : 


- C'est un très beau panorama que l'on a ici et cela fait toujours plaisir de rencontrer une femme charmante !


Ça il aurait pu s'en passer, il ne va pas tarder à se faire remonter les bretelles. Quant à l'étudiant, il a les yeux rivés sur les fesses de mon épouse et ne sait pas comment camoufler la bosse qu'il a sur son pantalon. En définitive ils poursuivent leur chemin en se faisant incendier par leur mégère et nous leur emboîtons doucement le pas pour être sûr de ne pas les rattraper. Finalement, tout ceci me donne une idée. Au lieu de redescendre vers le village pour rejoindre notre hôtel, nous continuons de loin à suivre cette petite famille. Ma femme est un peu inquiète mais je lui dis qu'il y a un chalet en haut, un refuge pour les alpinistes, sans doute pas autant de confort qu'à notre hôtel mais ce sera plus sympa. Et j'ai fait mouche, c'est bien par-là que nos voyeurs se dirigent. Nous nous y retrouvons, le vieux est apparemment content de retrouver ma femme, il lui fait tout de suite la causette et elle a du mal à s'en dépatouiller. Pendant ce temps, je m'arrange pour que nous ne soyons pas trop loin d'eux dans le dortoir. Il n'y a que des petits lits superposés et je décide que je dormirai en haut et que ma femme prendra celui du bas. Le soir venu, après le repas, je propose à mon épouse d'aller faire un tour dehors et une fois à l'écart je lui dis.


- Quand on va retourner là-bas, je veux que tu te déshabilles entièrement près de ton lit et sans précipitation pour que ce type te regarde bien entièrement.

- Ça ne va pas, tu es complètement fou, c'est hors de question.

- Si tu vas le faire et ça va t'exciter de jouer l'allumeuse, je suis sûr que tu vas le faire bander ce cochon.

- Oh non, on arrête le jeu ! Je ne peux pas faire ça !

- Mais si tu veux, tu n'es pas obligée de faire un strip-tease non plus, tu n'as qu'à faire ça comme si tu étais habituée.

- Bon je te promets pas, on va voir !


Et le pire d'en tout ça c'est qu'elle a eu le cran de le faire. Elle retirait ses habits les uns après les autres, mimant calme et décontraction. Et il y avait au moins cinq personnes qui la regardaient, moi bien sûr, les trois membres de l'autre famille et un homme célibataire qui dormait de l'autre côté. Elle est d'abord restée très longtemps torse nu, seins à l'air à faire semblant de trier des papiers. Puis elle a ôté le reste et s'est carrément allongée nue sur le lit en train de feuilleter un dépliant. Au bout d'un moment elle a même posé sa main sur sa chatte, en faisant mine de se gratter, plusieurs fois de suite en écartant les cuisses à chaque fois un peu plus. Puis elle a fini par se glisser dans son duvet. 


Durant la nuit, je suis descendu de mon couchage et ai dégrafé lentement le duvet avant de m'allonger nu près d'elle et je l'ai caressée dans son sommeil. Evidemment, elle s'est réveillée en sursaut et j'ai dû lui mettre la mettre devant la bouche. Puis, sans plus hésiter, je l'ai pénétrée et ai commencé à la raboter. Et tandis que je la défonçais, l'étudiant s'est réveillé et nous a regardés en s'astiquant dans son duvet. Et lorsque j'ai sorti ma queue pour cracher ma semence sur ses fesses et dans son dos, je suis certain que le voyeur lui aussi a tout craché. 


Le lendemain, nous sommes repartis vers le village. Nous sommes redescendus vers la rivière. Il y avait de ce côté beaucoup plus de monde : Des pêcheurs et même des gens qui se baignaient. Je l'entraîne sous un arbre, un peu à l'écart des autres.


- Tourne toi chérie et montre-moi ton cul, j'ai envie de te donner une fessée.


Elle proteste à nouveau, menace de s'en aller. Mais je lui explique que vu la distance qui nous sépare des gens qui sont près de la rivière, ils pourront mater, mais pas la reconnaître ensuite. Je ne la convins qu'à moitié mais elle accepte de se tourner, elle m'exhibe ses fesses, du coup je c'est moi qui la retourne et qui la fesse. Ça m'existe terriblement, rapidement elle a le cul tout rouge, je lui dis de ne pas bouger d'un pouce, et fait quelques mètres pour approcher d'un arbuste dont je détache une toute petite branche assez souple que je débarrasse de ses feuilles. Je m'aperçois alors que plusieurs personnes plus loin regardent dans notre direction, plus près je perçois une sorte de mouvement derrière des fourrés. Un ou plusieurs zigotos ont donc décidé de s'approcher pour voir mieux ! Ça m'embête un peu pour la suite, mais je décide de faire comme si de rien n'était. Muni de ma mini branche, je vise le fessier de ma moitié et la cingle joliment. Le traitement à l'air de lui plaire, les rares fois où je lui ai donnée des fessées comme ça pour rire, cela lui avait plu, mais je n'avais jamais tapé si fort et je ne m'étais jamais servi d'autre chose que de mes mains.


- Bon ça va aller tu peux te reculotter, ma chérie !

- Ok, mais avant je voudrais bien faire pipi, je vais aller dans les fourrés là-bas !

- Sûrement pas, tu ne changes pas de place et tu pisses ici !

- Tu exagères !

- Je sais !


Yvette baisse son pantalon et sa culotte et s'accroupit, elle devait avoir une grosse envie car de suite son urine jaillit de sa chatte et dégringole en formant une petite flaque sur la terre grasse qui finit par l'absorber.


- Je vais aller plus loin, je crois qu'il faut que je fasse caca.

- Non, non, fais ici, tu sais bien que j'aime te regarder quand tu chie.

- Gros cochon !


Elle pousse, me fait un gros boudin et s'essuie avec des feuilles d'arbres


- Ne te rhabilles pas, du coup, j'ai moi aussi envie de pisser !

- Qu'est-ce que tu vas encore inventer ?

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Sans lui dire je m'approche d'elle, sort ma bite et avant qu'elle ne réalise, je l'arrose, elle se détourne alors que je visais son sexe mais en reçoit plein les cuisses.


- Tu es fou, tu m'en mets partout !


Mais elle rigole comme une bossue et moi aussi d'ailleurs, on attrape un vrai fou rire, on se rapproche on s'embrasse tendrement. Une folle envie de faire l'amour m'envahit, mais on ne fera le fera pas ici


- On va faire un tour par là-bas ! Proposais-je à Yvette !

- Mais non, on descend vers la rivière, ils vont pas nous tuer !


Nous tuer, non mais ils font des drôles de têtes quand on s'approche. Pas un mot, des regards étranges ! L'un deux très courageux attendra qu'on les ait dépassés de 20 mètres avant de lâcher :


- Faut pas vous gêner surtout !


Du coup les autres se déchaînent, on se fait traiter de tous les noms ! On accélère le pas ! 


- La prochaine fois on vous jette des pierres ! Nous prévient un autre abruti !


Quelles bandes d'hypocrites, ils se sont rincés l'œil et maintenant ils nous menacent d'un Intifada ! On emprunte un petit pont et on se sauve...


On a été trop loin, pas question de rester dans ce coin. Revenu dans la vallée on décide de quitter l'hôtel le lendemain. Entre temps nous apprenons qu'il y a un bal dans un bourg voisin, du coup j'emmène Yvette choisir une robe très décolletée et très provocante, le genre de truc à porter sans presque rien en dessous. Le hasard a voulu qu'il y ait dans le public l'un des types qui étaient au bord de la rivière l'après-midi ! Mais ici pas question de lui jeter des pierres, ils sont tous à essayer de l'inviter à danser en bavant comme des crapauds. On les laisse faire un peu mais ils commencent vraiment à la coller de très près, l'un d'entre eux lui a peloté les nichons, l'autre a essayé de l'embrasser. Je me rapproche, il ne faudrait pas que ça tourne en bagarre non plus... Alors je leur dis.


- Ma femme a très envie de vous montrer sa petite chatoune. Seulement montrer, alors pas touche, c'est chasse gardée. Chérie si tu remontais ta robe, je crois que nos amis sont intéressés.


Elle devient écarlate, Ils sont au moins six ou sept à nous entourer. Son regard semble m'implorer, elle espère encore que je vais la sortir de ce mauvais pas. On sort de la salle de bal.


- Vas-y chérie montre-nous tes belles fesses bien pleines et ta petite moule poilue.


Elle finit par y consentir et relève timidement sa robe laissant apparaître le haut de ses cuisses. Les autres sont très excités, ils l'incitent à aller plus loin, à montrer son cul et pourquoi pas le reste. Ils lui demandent de se mettre à poil. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais cette cochonne le fait. Elle se retrouve entièrement nue au milieu de tous ces mecs et ça n'a pas l'air de la gêner. Des mecs sortent leurs queues et commencent à se branler. J'ai bien peur de ne plus trop contrôler la situation car Yvette est au milieu en train de se caresser devant eux. L'un d'eux essaie de la toucher.


- On ne touche pas ! Répétais-je !


Je vais avoir du mal à contrôler la situation. D'autant qu'Yvette complètement à l'ouest se masturbe en plein milieu du groupe d'homme. Je ronge mon frein. Pourvu que ce ne soit pas elle qui leur disent de la toucher ! Ma femme se branle sans retenue, je ne l'ai jamais vue ainsi, d'ailleurs je ne l'ai jamais vue se branler. Deux des mecs se mettent à décharger, le jus de l'un d'eux gicle sur les fesses de ma femme, puis c'est au tour d'un deuxième et enfin deux autres mecs dont l'un encore lui projettent son foutre sur les cuisses. Les autres ont abandonné, nous ramassons vite fait nos affaires et rentrons à l'hôtel après les avoir salués.


C'est alors qu'elle m'a dit :


- Pour l'instant c'est toi qui me commande, quand j'en aurais marre on échangera les rôles ! Mais tu as joué avec le feu, j'ai réellement pris goût à ces petits jeux, j'ai encore des trucs à essayer, la prochaine fois que je me trouverais au milieu d'un groupe d'hommes, je leur sucerai la bite devant toi...

- Euh !

- Ben oui !


Sylvain Zerberg


Adaptation d'un récit intitulé " Je montre ma femme " signé " Jean-Paul " et publié en septembre 1999 sans mail d'auteur puis supprimé sur le site de revebebe


Juin 2007

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:49

Ma tante et ma voisine
2 - Le jouet de deux femmes matures

par Enzo Cagliari

 

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Texte comprenant des passages scato explicites

 

Bonjour, vous vous souvenez peut-être de moi, Pierre, jeune, brun, grand, fin… et très intéressé par tout ce qui touche au sexe, et plus particulièrement par les femmes mures… 


Je vous ai donc narré, il y a quelques temps dans une histoire intitulée " juste un peu de Chantilly " mes aventures avec ma tante Yvette et ma voisine Béatrice… 


L'après-midi nous avons mangé le gâteau ensemble mais ses dames étant fatiguées, nous n'avions rien fait d'autre. 


Quelques semaines après ces événements, je recevais un coup de fil de ma tante, j'étais ravi, m'imaginant déjà qu'elle allait me proposer une autre séance de folie sexuelle comme je les adore… Mais il ne s'agissait pas du tout de ça : 


- Pierre, tu pourrais me rendre un petit service ? 

- Mais bien sûr, ma tante… 


Déception ! Elle souhaitait en fait, que je lui enregistre un film à la télé… 


Le samedi suivant, je téléphonais à mon tour. 


- Allô, ma tante, je t'ai enregistré ce que tu m'as demandé, si tu veux, je t'apporte le DVD en fin d'après-midi. 

- C'est gentil, mais je ne sais pas si on sera rentré, mais ça ne fait rien, tu le laisseras dans la boite… 


Pourquoi avait-elle dit " on " ? Peut-être s'était-elle dénichée un copain. Quelque part cette idée m'embêtait, car si c'était le cas, cela voulait sans doute dire que nous n'aurions pas de sitôt l'occasion de nous amuser comme la fois précédente… 


Vers 18 heures je me rendis donc au domicile de ma tante Yvette. Personne ! J'attendais patiemment, un quart d'heure… une demi-heure… au bout de trois quarts d'heures, un peu dépité, je déposais le DVD dans la boite aux lettres et m'apprêtait à prendre le chemin du retour… 


Un coup de klaxon ! La voiture de ma tante qui stationne. Les portières s'ouvrent. Elle n'est pas seule, elle est avec ma voisine Béatrice ! Alors ça pour une surprise ! 


(Sans doute est-il temps maintenant de vous décrire de nouveau ces deux belles personnes : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 


- Pierre ! Comment vas-tu ? Tu tombes bien, tu vas nous aider à porter les paquets ! 


Je me retrouve avec plein de sacs dans les mains, on monte à l'appartement. 


- On revient du salon de la lingerie, on a acheté plein de trucs ! Me dit tante Yvette. Béa s'est trouvé un petit ensemble, c'est très sexy, ça devrait te plaire, tu veux voir ? 

- Oui, bien sûr 

- Montre lui, Béa… 


Béa ouvre un paquet et me montre un petit ensemble rouge, ça a l'air mignon mais comme ça, non porté, ça ne m'émeut pas plus que ça ! 


- Mais non Béa, montre-lui sur toi ! 

- Ça me paraît une excellente idée ! Répond cette dernière qui s'empare du paquet et s'en va dans une pièce voisine afin de se changer… 


Ma tante s'éclipse aussi mais vers la cuisine, afin d'aller chercher des rafraîchissements. Je reste seul un instant, assez confiant sur la suite des événements. Puis tandis qu'Yvette revient avec de la bière et des jus de fruit, Béa fait sa réapparition. Une merveille, ce petit ensemble soutien-gorge et string se marie magnifiquement avec sa belle peau bronzée ; elle pivote un peu afin de me faire admirer le verso, ses jolies fesses me provoquent littéralement. 


- Alors qu'est-ce que tu en penses Pierre ? 

- Superbe ! 

- On va vérifier s'il ne dit pas cela pour te faire plaisir ! Dit alors ma tante en s'approchant de moi et en me mettant alors sa main à la braguette. 


Je me laisse faire. Je bande comme un sapeur. 


- Ben dit donc, on dirait que tu lui as fait de l'effet ! Reprend ma tante à l'attention de son amie. 

- Attend, que je me rende compte… 


C'est maintenant ma voisine qui me tripote, sauf que son mouvement sur ma braguette est beaucoup plus explicite, elle me masturbe carrément à travers le tissu du pantalon. 


- On va sortir tout ça, sinon il va attraper un coup de chaud ! Reprend en plaisantant ma voisine, qui joignant le geste à la parole a déjà descendu la fermeture éclair… 


Puis la voilà qui farfouille, je sens maintenir sa main au-dessus du caleçon, l'exploration se poursuit et finalement elle me dégage tout, me voici le zizi à l'air devant ces deux si désirables femmes matures. 


- Embrasse-lui les fesses ! Me dit alors Yvette, tu en meurs d'envie ! 


Il n'y a pas que cela dont je meurs d'envie, mais évidemment je ne refuse pas l'invitation et pose mes lèvres sur la douce peau de ma tendre voisine. 


- Et toi tu n'essayes rien ? Lance Béa à sa complice. 

- Si, si bien sûr ! 


A son tour elle s'éclipse avec un paquet. Et pendant ce temps Béa me demande de me déshabiller complètement, et en attendant le retour de son amie, elle s'amuse un petit peu avec mon zizi. 


Et voilà ma tante Yvette qui revient ! Whaouuuu ! L'apparition ! Elle est carrément à poil, juste revêtue d'une nuisette rose, mais d'un rose transparent dont le tissu lui colle sur ces tétons turgescents ! C'est trop bandant comme spectacle, je vais finir par exploser. 


- Tourne toi, il va t'embrasser le cul ! Dit alors Béa. 


Je fais ce qu'on me dit, mais voici que ma tante écarte ses globes fessiers dévoilant ainsi son petit œillet brun et plissé. 


- Met-moi ta langue dans le trou du cul. 


Je lèche donc l'anus de ma tante et me régale de son odeur très particulière ! Béa m'encourage… 


- Tu aimes ça, petit cochon, lécher le trou du cul merdeux de ta tante, ça t'excite, hein ! Allez met lui bien ta langue au fond à cette salope ! Je suis sûre que tu aimerais bien l'enculer ta tante Yvette ? 

- Ben... 

- Ben, oui ou non 

- Je ne vais pas dire non ! 

- Ouais, un, jour peut-être... Qu'est-ce que tu en penses Yvette ? 

- Hum… Au fait puisqu'on est dans les essayages, si on ouvrait les paquets de "la petite boutique" ? 


En disant cela Yvette s'est relevée tandis que Béa farfouille dans les emballages. 


- Voilà c'est là, le paquet rouge c'est le mien, le paquet rose c'est le tiens ! Tu vois Pierre, au salon, il y avait quelques exposants très coquins qui avaient aussi autre chose que de la lingerie. ! 


C'est Béa qui ouvre la première boite, elle contient deux godes, l'un d'assez bonne taille et un autre légèrement plus petit. Ils sont très beaux, en matière plastique souple imitant parfaitement la forme d'un phallus dont il ne manque même pas que les grosses veines violacées. 


- Humm… deux bites, ça me plairait bien dit-elle tout en portant le plus gros gode à sa bouche et en le léchant de larges coups de langue vicieuse. 


Puis brusquement elle se le fourre dans le vagin et commence à se pilonner avec, toujours en restant debout. 


- Pas pratique cette position, si on allait dans ta chambre, Yvette ? 

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Ma tante étant (bien sûr) d'accord ; on change tous de pièce… Béa se précipite alors sur le lit, et se replace illico le gode dans sa chatte trempée dans laquelle il rentre avec une facilité déconcertante, elle se masturbe un peu avec, puis se retourne, se place à quatre pattes et m'exhibe ses belles fesses, mais tout en continuant à se donner du plaisir. 


- Yvette, soit gentille, fous-moi l'autre gode, le plus petit, dans le trou du cul. 


Ma tante s'approche alors de l'anus de ma voisine et lui plante l'instrument là où elle le souhaitait. 


- Ça va comme ça ? 

- Oui, fais-le bouger un peu... oh là là, je suis trop excitée, je sens que je vais jouir, surtout n'arrête pas, c'est trop bon. 


Quel magnifique spectacle de ces deux belles femmes matures qui se donnent en spectacle devant moi ! J'ai bien sûr la queue toute raide, j'interviendrais bien d'une façon ou d'une autre mais je n'ose pas prendre d'initiative. 


- Accélère, je sens que ça vient ! Dit alors Béa, d'une drôle de voix... Oui comme ça, comme ça, Ah oui c'est bon, c'est bon, c'est bon... c'est trop bon ! 


Elle s'écroule sur le lit, son entrejambe dégouline de mouille. 


- Tu m'as bien fait jouir, viens que je t'embrasse ! 


Les deux femmes s'embrassent en un long baiser baveux, je me demande du coup si je ne suis pas de trop... 


Les deux godes sont à côtés d'elles, celui qui était dans le cul de Béa est tachée de merde.


- Tiens suce-le, nettoie-le ! Me demande cette dernière.

- Euh !

- Ben quoi tu ne veux pas gouter au jus de mon cul ?

- Si, si !


Et me voilà en train de sucer le gode.


- Hum tu as vu comme il suce bien ! Fait remarque Béa à son ami.

- Tu as déjà sucé une vrai bite ! Me demande ma tante Yvette.

- Euh, oui, un concours de circonstance…

- Raconte !

- C'est tout bête j'étais dans un sous-sol de sex-shop à Paris, où il y a des cabines avec des films. Je passe devant une cabine non fermée, deux vieux se branlaient mutuellement, ils avaient de très belle bites bien bandées, j'étais fasciné. Il m'ont proposé de m'approcher, puis ça é été un enchainement, je les ai sucés tous les deux.

- Ça t'as plu ?

- Oui !

- T'as recommencé !

- Un peu !

- La prochaine fois qu'on se verra, on te présentera un ami, tu verras, il a une belle bite…

- C'est comme vous voulez !

- T'as vu comme il bande quand il nous raconte ses histoires de pédé ! Fait remarquer Béa

- Quel dommage tous ces poils ! Reprend ma tante Yvette 

- Ben oui, déjà la dernière fois on a été obligé de te raser... ça repousse trop vite ! 

- Allez Pierre ! File dans la salle de bain, on va te raser tout ça.... 


J'y vais, ça ne me dérange pas qu'elles me rasent, j'aime bien qu'on s'occupe de moi... Béa me suit, puis s'amuse à me caresser ma quéquette. Ma tante nous rejoint deux ou trois minutes plus tard, elle s'est harnachée avec le tout nouveau gode ceinture qu'elle a acheté au salon de la lingerie... 


- Tu as besoin d'un gode pour le raser ? S'amuse Béa ! 

- C'est pour après, j'aime bien enculer un beau petit cul bien lisse. 

- T'es vraiment une belle cochonne 

- Je sais, je sais, mais toi aussi répondit ma tante. 


Et tout en disant cela elle m'aspergea le sexe de mousse à raser, elle me fit ensuite asseoir sur le rebord de la baignoire et commença à me raser. Je me laissais faire m'abandonnant à ce curieux traitement avec délice. Ce fut assez long car il fallut plusieurs fois changer de rasoir et remettre de la mousse. A la fin elle me plaça une petite compresse d'eau chaude, puis termina par un peu d'after-shave " spécial ladie" Les deux femmes portaient des propos flatteurs sur mon pénis tout glabre, c'est vrai que le résultat n'était pas mal. Je croyais qu'on en avait terminé à ce genre de chose et qu'on pourrait passer à d'autres divertissements, mais c'est que ma tante Yvette a plus d'un tour dans son sac. 


- Tourne-toi, maintenant on va te raser les poils du cul ! Penche-toi, tiens-toi avec les mains sur le rebord de la baignoire et ne bouge plus 


J'offris donc mon postérieur aux doigts de ma tante qui le rasa donc de la même façon que mon pénis. C'est la phase finale qui fut un peu différente, car au lieu et place de l'après rasage, je sentis une sorte de gel me rafraîchir l'anus, puis l'extrémité du gode ceinture se mit à pousser. J'écartais alors les fesses pour faciliter l'introduction, et l'engin put entrer confortablement. Yvette put ainsi me pilonner et entama une série d'allers et retour qui me provoquèrent un plaisir à la fois trouble et intense, sous les quolibets de Béatrice ! 


- Ça t'excite, hein, d'enculer ton neveu ! T'es vraiment une salope ! 


Et tout en disant cela elle passa derrière elle et lui pinça le bout des seins, provoquant des petits cris de ma tante Yvette. 


- Et toi Pierre, ça te fait quoi de te faire enculer par ta tante ! 

- C'est trop bon ! 

- Quelle bande de pervers ! 


Béa réussi à se faufiler dans l'étroit espace entre mes jambes et le bord de la baignoire et commença à me branler la queue. Je ne vous dis pas la sensation de sentir le plaisir à la fois par-devant et par derrière. J'allais prévenir les deux femmes que je ne tiendrais plus longtemps, mais il était déjà trop tard, je déchargeais une longue giclée sur le visage de ma voisine… 


- Espèce de cochon, ça mérite un gage, ça ! Dit alors ma tante ! 

- Qu'est-ce qu'on va lui faire ? 

- Viens, on va dans la cuisine ! 


Décidément j'aurais fait toutes les pièces dans cette maison. 


Ma tante choisit alors dans une corbeille de fruits une banane pas trop mûre. Elle ne l'éplucha qu'à moitié, puis s'assit sur une chaise, cuisses écartées et se l'introduit dans le trou du cul. 


- Faut que je me fasse jouir ! Précisa-t-elle, je suis trop excitée 


Et tandis qu'elle se branlait avec la banane, Béa passa derrière elle. Les visages des deux femmes se rencontrèrent et elles échangèrent un long baiser vicieux, bien sûr ma voisine en profitait pour peloter les seins de ma tante…, 


- Si tu veux une banane aussi, n'hésite pas ! 

- Je crois que je vais effectivement t'accompagner répondit Béatrice, mais Pierre il va faire quoi, on pourrait peut-être lui demander de se fourrer une banane dans le cul ? 

- Pour l'instant il regarde, je lui réserve une petite surprise…. Oh là, là, ça fait du bien de se branler ! Oh, je ne vais pas tarder à venir. 


Elle ressortit la banane pour en descendre un peu plus l'épluchure afin de pouvoir en entrer davantage dans son anus, ses yeux devinrent hagards, sa peau transpirait à grosses gouttes rendant luisante la sphère de ses seins ! Quel spectacle ! 


- Je viens, c'est bon, c'est bon ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah C'est trop bon ! 


Elle poussa un soupir tandis que sur l'autre chaise, les yeux mi-clos Béa entamait le même genre de masturbation. 


Ma tante sortit la banane dont l'extrémité était partiellement écrasée et recouverte de sa merde. 


- Tiens Pierre, viens manger cette bonne banane ! 


Je n'hésitais même pas et consommais le fruit rempli des odeurs et des jus de ma tante Yvette. 


- C'est bien ! Pierre, tu es un gentil garçon ! Me dit-elle tandis que le cri de jouissance de Béa emplissait la pièce 


Fin

 

Enzo juin 2007 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 17 juin 2007 7 17 /06 /Juin /2007 17:23

     Ma tante et ma voisine

1 - Juste un peu de chantilly

par  Enzo Cagliari

 

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 Texte contenant quelques passages de scato explicite

Salut, je me prénomme Pierre, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j'ai les cheveux bruns et suis assez fin. Je suis majeur depuis plusieurs années mais j'habite toujours chez mes parents... J'aime le sexe et je fantasme sur beaucoup de choses. En matière de femmes mes préférences vont aux femmes qui sont plutôt mûres et en tous les cas plus âgées que moi... 

 

... Comme par exemple, ma tante Yvette, ou notre voisine Béa... Il se trouve que ces deux grandes et belles femmes avaient été invitées un jour chez nous à un repas de fête organisé pour l'anniversaire de mon père. Au dessert, alors que des groupes de discussions se formaient, et la boisson aidant, certains propos devenaient de plus en plus grivois. Je ne me rappelle plus suite à quelle réflexion Béa avait alors déclaré ne porter que des strings. En disant cela, elle m'avait adressé un sourire que je fis semblant de ne pas remarquer. Ce fut alors tante Yvette qui confessa à son tour qu'elle aussi, adorait être en string et que justement elle en portait un aujourd'hui absolument ravissant... Je craignis un moment que partie comme elle l'était, elle aille jusqu'à nous proposer de nous le montrer. Aussi, quelque peu gêné, je m'écartais de cette discussion... A la fin de la soirée. Béa et Yvette avaient sympathisé... mais j'ignorais alors que cette sympathie avait été très, très loin... 

 

Quant à moi, j'ai après cet événement fantasmé bien souvent sur les culottes de ces deux belles personnes... Je n'eus ensuite aucune occasion me permettant de me retrouver en tête à tête avec ma tante. Quant à ma voisine, il m'arrivait de la croiser, et dans ces moments-là, elle me faisait des yeux de biches très provocateurs, auxquels je ne répondais pas, mettant ça sur le compte de son comportement extraverti... Jusqu'au jour où... 

 

Mais, laissez-moi vous raconter... 

 

C'était en juillet, mes parents étaient partis passer trois semaines de vacances aux Baléares, et je restais seul à la maison. 

 

Nous sommes un dimanche en fin de matinée. La journée s'annonce particulièrement chaude et ensoleillée et j'avais souhaité me composer un bon petit repas en célibataire. Je m'étais ainsi préparé un appétissant gâteau à la framboise et il ne manquait plus qu'un peu de crème chantilly pour le parachever. Je cherchais donc partout la précieuse bombe, mais elle n'était nulle part, ni dans le frigo, ni dans la réserve. Bien sûr j'aurais pu aller faire un saut jusqu'au centre commercial, (et dans ce cas il n'y aurait pas eu d'histoire) mais pourquoi se fatiguer alors qu'il me suffisait d'en demander à notre adorable voisine ? 

 

La chaleur m'avait servi de prétexte pour rester nu toute la matinée (j'adore être nu) Je me revêt simplement d'un slip et d'un short, enfile des espadrilles et me pointe devant la porte extérieure en bois du pavillon jouxtant le nôtre. Je sonne et entends Béa la voisine crier : 

 

- Oui, c'est pourquoi ?

 - C'est Pierre, je voudrais vous demander un petit service ! 

- Pierre ! Entre donc ce n'est pas fermé. 

 

Quelle ne fut pas ma surprise de voir alors ma voisine allongée dans un transat en train de se faire bronzer. Mais, seconde surprise elle n'était pas seule, un second transat était également occupé à ses côtés. Et la charmante personne qui s'y faisait dorer était ma délicieuse tante Yvette ! La petite table était occupée par deux grands verres, un petit seau à glaçons et une bouteille de Martini. Les deux femmes prenaient ainsi l'apéritif dans la plus totale décontraction. 

 

Imaginez ma stupéfaction et mon émoi... Mais laissez-moi vous décrire ces deux coquines : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d'une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien. 

 

Elles sont là toutes les deux, même pas en maillot de bain, non en lingerie de "ville". En soutien-gorge et en string. Je n'en reviens pas, ces deux belles femmes un peu matures sont très attirantes avec leurs longues cuisses, leurs belles épaules dorées et surtout leurs trésors que leur lingerie dissimule à peine. J'ai du mal à contrôler mes pulsions et voilà que je bande comme un cerf ! 

 

- Heu, bonjour Béa, bonjour ma tante... je dérange peut-être ? M'excusais-je 

- Mais non, Pierre, si on t'a dit d'entrer c'est que tu ne nous déranges pas. Mais tu m'as l'air un peu troublé, ce n'est quand même pas nous qui t'intimidons à ce point ? Répond Béa 

- Je ne suis pas intimidé ! 

- Moi je crois quand même que si, mais on ne s'est pas dit bonjour ! Bonjour mon neveu, je serais passée te rendre visite cet après-midi, mais puisque tu es là, vérifions quelque chose ! Ajoute Yvette. 

 

Je me demande bien ce qu'elle souhaite vérifier. Elle se lève alors pour m'embrasser, et sa main se pose de façon très volontaire sur ma braguette ! Je ne sais plus où me mettre. Mais son audace ne dure pas et elle retourne s'allonger. 

 

- Alors, c'était bien dur ? Lui demande Béa.

 - Humm... Super dur, tu peux aller constater par toi-même ! Répond ma tante Yvette. 

- Ne soit pas timide, ça nous fait plaisir de savoir qu'on te met dans tous ces états ! Me dit alors Béa après s'être levé pour tester à son tour ma braguette. 

 

Je me laisse faire, mais la situation commence à devenir embarrassante. Manifestement ces deux-là sont super excitées, et si je n'abrège pas, elles vont me sauter dessus : 

 

- Heu, Béa, j'étais juste venu chercher de la chantilly, parce que j'ai fait un gâteau ... 

 

Ma tante ne me laisse pas terminer, elle m'entraîne dans la cuisine de son amie... 

 

- Allez viens, on va voir si Béa en a quelque part dans sa cuisine... 

 

Arrivé à l'intérieur elle s'approche et se place devant moi. Je suis pétrifié, la vue de ma tante en petite tenue, sa peau bronzée et scintillante de gouttes de respiration, sa poitrine moulée dans ce fin soutien-gorge de dentelle à quelques centimètres de mes yeux. C'en est trop ! Aussi quand Yvette entreprend de me baisser mon short, je n'oppose aucune résistance. Elle me tripote la bite à travers le fin tissu du slip, tandis que Béa contemple le spectacle d'un air très intéressé. Elle a sorti un téton d'un des bonnets de son soutien-gorge et se le pince tandis que son autre main écartant le string est en train de tripatouiller sa chatte... Si ça continue je vais éjaculer dans mon caleçon... mais après tout c'est peut-être ce qu'elles cherchent... 

 

Yvette baisse alors mon slip, continue quelques mouvements de masturbation sur ma bite tendue comme un arc de compétition, je ferme les yeux, je retiens ma respiration, je suis en train de me faire branler par ma tante, c'est la première fois que mes rêves les plus fous se concrétisent... je suis merveilleusement bien. 

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Puis la voilà qui s'accroupit ! Je me demande si elle va vraiment oser ? Oui, elle ose, sa bouche s'approche de mon pénis, l'enserre, sa langue intervient sur mon gland. Il faut absolument que je me retienne, sinon je vais éclater... 

 

Mais alors que je sentais déjà la jouissance proche, voilà qu'elle m'abandonne, qu'elle se relève et qu'elle interpelle Béa ! 

 

- C'est vraiment dommage qu'il ait trop de poil, tu ne trouves pas ? 

- Hum.... tu as raison, mais on pourrait lui faire un petit rasage, toutes les deux ?

- Qu'est ce tu en pense, Pierre ?

- C'est que j'étais juste venu pour chercher de la chantilly ! Répondis-je un peu bêtement. 

 

A ces mots, Béa, se dirige vers son frigo en ouvre la porte, sort une bombe de chantilly et me la tend ! 

 

- La voilà ta chantilly ! Tu as donc le choix : tu peux très bien rentrer finir de décorer ton petit gâteau, t'installer pour manger et passer l'après-midi à te dire que tu as sans doute raté quelque chose. Sinon, ben tu restes un peu avec nous, et je suis sûre qu'on va s'amuser un petit moment. 

 

Que croyez-vous que je fis ? Je restais, vous l'avez deviné, et me reculottant à peine je suivi ces deux belles femmes jusqu'à la salle de bain, ma bombe de chantilly dans la main... 

 

Arrivé sur place, Bea se débarrassa de son soutien-gorge dont un seul bonnet occupait sa fonction, sa jolie poitrine dont les bouts pointaient d'excitation se balançaient au rythme de ses gestes dans un curieux ballet érotique, puis dans la foulée elle envoya valser son string. Elle était donc entièrement nue et je pouvais admirer son pubis intégralement rasé. Imaginez mon trouble ! Notre voisine s'approcha alors du dos de ma tante et lui dégrafa son propre soutien-gorge, libérant ses deux petits seins aux tétons turgescents. Puis se courbant, elle fit glisser la culotte de son amie jusqu'en bas de ses chevilles. Je m'avançais un petit peu afin d'admirer derrière, la superbe croupe ainsi libérée, et devant un sexe aussi glabre que celui de notre belle voisine 

 

Elles me firent signe de me débarrasser de mon short et de mon slip et me demandèrent de m'asseoir sur le rebord de la baignoire. 

 

Béa s'approche avec une paire de ciseaux et commence à me couper les plus grosses touffes de poils qui ornaient jusque-là mon appendice sexuel. Cette petite coupe dura bien une dizaine de minutes. 

 

Puis Yvette prend le relais et commence à m'appliquer un gant chaud sur le pubis et sur les testicules. Effet garanti ! Elle tend la main vers ce qu'elle pense être la bombe à raser mais par distraction s'empare de la bombe de chantilly 

 

Avant que j'aie le temps de lui signifier son erreur, j'ai tout mon pubis recouvert de crème chantilly. 

 

- Yvette, tu t'es trompée de mousse ! Lui fait remarquer Béa en rigolant !

 - Ce n'est pas grave, l'essentiel, c'est que ça mousse, non ? 

 

Elle me masse les testicules avec la mousse, afin dit-elle que ça s'imprègne bien. Bea excitée comme une folle se caresse le minou en nous regardant. Puis Yvette commence à me raser délicatement, elle me rince à l'eau tiède, puis applique un gant chaud et termine par une lotion après rasage "spécial ladies" ! Ça y est je suis tout lisse, elle me masturbe un peu, mon sexe reprend vite la même vigueur que tout à l'heure dans la cuisine, et je me sens prêt à exploser dans les secondes qui vont suivre. 

 

J'ignore si ma tante s'en rendit compte, toujours est-il qu'elle m'abandonne une fois de plus pour se diriger vers la chatte de Béa, la voisine ! Elle se place à quatre pattes et lui lèche le minou comme une chienne en chaleur. 

 

Le spectacle est trop beau, ma tante à quatre pattes, le cul tendu, son gros fessier semblant me narguer. Alors prenant cette posture pour une invitation, je me baisse à mon tour et après quelques petits bisous très chastes sur la peau de ses fesses je m'enhardi très vite et fait fonctionner ma langue de plus en plus près de son petit trou, jusqu'à le lécher complètement en m'efforçant d'y pénétrer. C'est délicieux j'adore l'odeur de son cul. Il sent un tout petit peu la merde, mais dans l'état d'excitation où je me trouve, ça ne me dérange vraiment pas du tout. Elle se laisse faire, sans doute trop occupée à sa propre besogne. 

 

Encouragé je lui glisse un doigt dans l'anus et le fait aller et venir pendant deux ou trois minutes... Il ressort tout pollué. 

 

Mais voici qu'elle se relève et me dit : 

 

- Dis donc petit cochon tu m'as fait des choses sans me demander la permission ! Tu vas le regretter. Suce ton doigt. 

 

Voilà une chose qui ne me dérange pas du tout. 

 

- Alors, elle est bonne la merde de ta tante ? 

- Délicieuse ! 

- Si elle délicieuse, tu as le droit d'en reprendre !

- Je…

- C'est offert avec plaisir ! Me dit-elle.

 

Alors d'accord, je remets le doigt, ils touchent quelque chose de mou. Je les ressors, je ferme les yeux et je lèche. C'est bon !

 

Ma tante Yvette, me demande de me coucher sur le dos. Elle se positionne alors devant moi et me fourre d'abord sa chatte sous le nez afin que je la lui lèche....  Puis elle se recule en me demandant de garder la bouche ouverte 

 

- Je suis sûre que tu vas aimer la pisse. 

 

Je ne réponds pas, j'avale (on ne peut pas tout faire à la fois) Sa pisse est délicieuse. Mais quand le débit s'arrête, elle se contente de reculer un petit peu et continue à pousser.

 

Un magnifique étron dégringole de son cul et m'atterrit sur le torse. Béa vient le ramasser, le met dans ses mains et le lèche un peu, avant de me proposer de l'imiter. Ma foi, ce n'était pas mauvais.

 

Je sens qu'on me tripote l'anus, de la salive, un doigt, du gel, et c'est ensuite un gode qui tente de me pénétrer ! J'ouvre bien mon anus pour aider l'introduction. Une fois l'engin bien placé dans mon fondement ma tante Yvette s'empale alors sur mon sexe dressé et me chevauche, tandis que Béa s'amuse à faire des va-et-vient avec le gode fiché dans mon anus. Cette double excitation fit que je ne pus contrôler mon plaisir et excité comme jamais, j'explosais au fond de l'intimité de ma tante 

 

Me laissant un peu sonné, Yvette qui, elle n'avait pas encore joui m'abandonna pour aller rejoindre Béa, elles entamèrent alors un 69 incroyable, roulées par terre, ruisselantes de sueur et overdosées d'excitation, elles n'en pouvaient plus et haletaient, la langue de l'une sur le clitoris de l'autre. 

 

Du coup je me remis à bander devant ce spectacle magnifique ! Les deux femmes crièrent leur jouissance pratiquement en même temps ! C'était beau de les voir ainsi prendre leur plaisir en hurlant ! Elles sont restées un peu groggy quelques minutes, puis reprenant ses esprit Béa m'aperçut ! 

 

- Ce n'est pas vrai, tu bandes encore, alors d'accord, branle-toi devant nous, branle-toi devant deux belles femmes, mais attention à la fin tu devras avaler ton sperme ce sera ton gage ! Tu es d'accord ? 

 

Je leur dis que oui... De toute façon excité comme j'étais que pouvais-je dire d'autre ? Je finis par éjaculer sur les seins de Béa, puis de ma langue j'allais recueillir ma semence que j'avalais. 

 

Les deux femmes s'embrassaient maintenant avec infiniment de tendresse, la furie était passée, j'avais l'air de gêner... 

 

Je récupérais, mon slip, mon short et mes basquets, et m'apprêtais à partir ! 

 

- Bon je vous laisse, merci pour tout !

- C'est nous qui te remercions, Pierre, tu nous as permis de bien nous amuser, dis Yvette ! 

 

J'avançai vers la sortie, c'est Béa qui me rappela : 

 

- Dis donc n'oublie pas ta chantilly ! 

 

C'est vrai que j'étais venu pour ça ! 

 

- Ah oui c'est vrai ! 

 

J'allais donc la chercher dans la salle de bain ! 

 

- Va décorer ton gâteau et reviens avec au moment du dessert, on va le manger tous les trois et après... humm, tu sais qu'on connaît encore plein d'autre jeux ? Me confiât alors Béa très chatte. 

 

Enzo Cagliari - juin 2007

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 13 juin 2007 3 13 /06 /Juin /2007 20:00

Les cabines du premier

par Enzo

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Venu à Paris pour des raisons professionnelles, je devais rentrer par le train de 18 heures. Je l'ai raté, pas bien grave, il y en a un toutes les heures, du coup je décide de traîner un peu dans le quartier et mes pas me dirigent vers un sex shop. (On est obsédé ou on ne l'est pas !)

 

Je fouille dans les DVD, en choisis un et en demande la projection. Le type m'indique un numéro de cabine au premier étage. Je monte et m'attend à découvrir l'ambiance feutrée et discrète de ce genre d'endroit...

 

Je constate que la première cabine sur ma droite est ouverte, je regarde par curiosité, un mec est installé complètement nu et se masturbe, nos regards se croisent, il me fait un sourire auquel je ne réponds pas.... La seconde cabine est fermée, mais la troisième est également entrouverte, à l'intérieur un homme est penché entre les jambes d'un autre, je ne vois rien mais n'ai aucun doute sur ce qu'ils sont en train de faire. Décidément cet étage me parait bien chaud. Il y a encore une autre cabine d'ouverte, dans celle-ci, un type qui lui est resté habillé se branle mollement, m'apercevant, il me fait signe lui aussi... décidément c'est la mode ici... je ne réponds pas et repère ma cabine.

 

Je m'enferme, et commence à visionner le film que j'ai choisi. Mon choix n'était pas judicieux, ce film est ennuyeux, mal fait et pas excitant du tout. Je décide donc de quitter les lieux.

 

Je repasse devant les trois cabines, le monsieur est toujours en train de se branler dans la 8. Le couple homo dans la 4 a tiré la porte sans toutefois la fermer, mais on ne peut rien voir, je suis quand même très troublé par tout ça. J'entends des pas dans l'escalier, un mec arrive, et passe devant la cabine 2, là où il y a le mec à poil et s'y arrête. Je passe à mon tour devant cette cabine. Et je vois que l'homme nu est en train de débraguetter le nouveau.

 

Je descends, je suis très troublé, je me dirige vers la sortie, et puis me ravise, je refouille dans le bac à DVD et recherche un titre bien salace, je prends mon temps, en fait je me demande ce que je souhaite vraiment et si ma recherche n'est pas un prétexte pour retourner là-haut. Finalement, je choisis un film qui, je l'espère, sera mieux que le premier... et je remonte...

 

Je croise dans l'escalier le "nouveau" de tout à l'heure, j'ignore s'il s'en va où s'il va remonter. Je n'ose pas trop regarder dans les cabines ouvertes de peur de passer pour un pervers, et me dirige vers ma propre cabine. Mais, contrairement à tout à l'heure, je décide ne pas m'enfermer, uniquement pour voir ce qui va peut-être se passer. A ce stade je n'ai aucunement l'intention d'aller plus loin, c'est juste un jeu.

 

Je commence à mater, c'est pas la 8ème merveille du monde mais la fille est bandante, je me touche un peu le zizi, puis décide de le mettre à l'air puisque cela semble être la coutume locale. Me voilà donc en train de m'astiquer de façon très modérée... Et voilà le mec à poil qui s'amène. Il ne dit rien il est là dans l'ouverture de la porte, le sexe bandé, un très joli sexe, il est intégralement rasé, le visage est fin, limite efféminé, les cheveux légèrement bouclés, il me sourit.

 

- Je peux rester !

 

Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Si vous voulez !

 

J'ai le regard fixé sur sa bite... il faut absolument que j'arrête... de vieux fantasmes resurgissent dans mon esprit... Si je n'arrête pas ce cirque tout de suite, je vais me retrouver avec sa pine dans ma bouche dans moins de trois minutes...

 

- Elle te plait ma queue ? me demande-t-il.

- Euh...

- Touche là, si tu veux...

- Non, merci !

- Juste un peu...

- Non, n'insiste pas... murmurais-je sans trop de conviction.

- Tu en meurs d'envie...

 

Bon, ça ne m'engage à rien, je peux toujours toucher un peu, j'approche ma main et je caresse, c'est doux... et ça me fout une trique pas possible...

 

- Ben, ça te fait bien bander on dirait ! me dit-il.

 

Et sans me demander mon avis, c'est à son tour de me poser sa main sur mon sexe, je le laisse faire. Je branlote un peu mon visiteur. L'envie de la sucer est irrésistible... J'espère simplement qu'il n'a rien contre... Quelle évolution en quelques minutes. J'attends qu'il me le propose mais ça ne vient pas... J'approche alors mon visage n'osant rien lui demander directement.

 

Ma bouche est à présent à quelques centimètres de cette belle queue, il ne dit toujours rien.

 

- Tu veux me faire quelque chose on dirait ? Finit-il par demander.

- Peut-être !

- Dis-moi quoi ?

 

Il sait y faire le mec.

 

- Je peux te sucer un peu ? Proposé-je.

- T'es une petite salope, toi, mais tu as de la chance j'aime bien me faire sucer par les petites salopes !

 

J'approche ma bouche

 

- Tu ne veux pas te mettre à poil, ce serait plus excitant ! suggère-t-il.

- Euh... on ne risque rien ?

- Rien du tout, le patron est très cool, il ne monte ici que quand ça dégénère, sinon il sait parfaitement ce qu'on fait, il y a un circuit vidéo...

- Tu veux dire qu'il nous voit !

- Oui ! Allez déshabille toi, j'ai envie...

 

Je me dessape. Un autre type arrive, peut-être celui de la 8.

 

- Si tu veux nous regarder, te gènes pas, mais dans ce cas-là tu sors ta bite ! lui indique mon visiteur.

 

Le type n'hésite pas un seul instant et sort un très gros chibre !

 

- Oh, toi tu en as une grosse ! commente l'homme à poil.

 

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Ben oui, elle est plus grosse que la mienne... mais bon... L'autre est tout content ! Me voilà déshabillé et sans transition, j'ai pris la bite de l'homme à poil dans la bouche, et je me mets à la sucer tandis que le troisième larron lui pelote les fesses. Je m'applique, passe la langue sur le gland, fais descendre le long de la hampe, m'aventure un peu sur les testicules, je remonte, la serre entre mes lèvres, la fait aller et venir, je me régale... D'autant qu'il bande vraiment superbement...

 

- Attends, je ne vais pas jouir comme ça ! prévient-il tout à coup.

 

Je me recule, il sort alors un préservatif qui était logé dans sa chaussette, et l'enfile. Ok il ne veut pas me jouir dans la bouche, me dis-je mais ce n'était pas tout à fait ça...

 

- J'aimerais bien te prendre ! me prévient-il.

- Peut-être pas !

- Essaie, si ça ne le fait pas, je n'insisterais pas !

 

Du coup, j'hésite !

 

- OK on essaie ! Lançais-je

- On essaie quoi ? demande-t-il avec malice.

- Ben, ce que tu m'as proposé !

- Et je t'ai proposé quoi ?

- De me prendre !

- Il n'y a pas un autre mot pour ça !

- Il y en a plein d'autres...

- Dis-le !

- Tu vas me sodomiser !

- Un autre mot peut-être…

- Tu vas m'enculer !

- Oui, je vais t'enculer, petite salope !

 

Et la petite salope que je suis se tourne et tend ses petites fesses attendant la bite de cet étrange personnage !

 

- T'as vu son cul ? commente-il à l'attention du troisième larron !

- Superbe ! répond ce dernier.

- Mais ç'est pas pour toi, tu vas lui faire mal avec ta grosse queue...

 

Et voilà que l'organe de chair quémande l'entrée de mon petit trou !

 

- Je vais mettre un peu de gel.

 

Décidément ses chaussettes sont de vrais paniers magiques !

 

Il entre timidement, il force un peu, me demande de pousser, je le fais, il entre, s'installe et commence à aller et venir, curieuse sensation, ce n'est pas désagréable mais ça donne comme une sensation de gêne... Je me demande si je ne vais pas lui dire d'arrêter... Mais la sensation se modifie, je sens comme une sorte de frisson qui me parcourt tout le corps, c'est bien mieux, je le laisse faire tandis qu'il me pilonne de longs aller et retour.

 

- C'est bon ?

- Oui c'est bon, encule moi bien !

 

 

Le troisième type voudrait que je le suce pendant que je me fais prendre, mais ça ne me dit rien... du coup il s'en va. L'autre derrière pousse un râle, il vient de jouir dans la capote sans avoir déculé...

 

- Merci pour tout, bonne fin de soirée ! dit-il en regagnant sa cabine

- Toi aussi.

 

J'aurais préféré une fin de rencontre plus conviviale, Je ne sais pas, moi, un café, une mousse... et puis je n'ai pas joui.... J'ignore ce que je vais faire... Je ferme la cabine pour me rhabiller tandis que le film continue de se dérouler inutilement... inutilement... je peux toujours me branler en le regardant... et si je me faisais sucer à mon tour ? Une fois habillé, je ressors, mais toutes les cabines sont soit fermées soit inoccupées. Je regagne ma chaise et commence à me branler, porte ouverte....

 

J'entends des pas dans l'escalier....

 

13/6/2007

 

Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mardi 12 juin 2007 2 12 /06 /Juin /2007 18:36

Uro in Budapest

Par Enzo 

 

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Le hongrois est une langue difficile, parce que pour nous, francophones, nous n'avons aucun repère... J'avais quand même été intrigué par ce panneau dans cet immense sex-shop de Budapest qui semblait résumer les activités et services offerts par l'établissement. On y voyait à un endroit une femme uriner sur un homme, je pensais alors qu'il s'agissait d'une des spécialités du peep-show local, ce qui ne m'intéressait pas trop, et je me baladais nonchalamment dans la sex shop. Le fond était occupé par un bar, ou officiait quelques belles entraîneuses peu vêtues.

 

Je commandais une bière, elle me fut servie par une serveuse topless qui ne me fit aucune proposition d'ordre sexuel, laissant ce genre de choses aux autres filles. Je fus donc bien sûr abordé par l'une d'entre-elles qui me parla en anglais, me proposant carrément une passe. Je fis semblant de ne pas comprendre, et lui demandait si elle parlait l'islandais ! Non elle ne parlait pas l'islandais... ce vieux truc marche à tous les coups, elle essaya de me faire comprendre par gestes tout le bonheur qui pouvait m'attendre contre un peu d'argent, mais je jouais les abrutis, non pas que cela ne m'intéressait pas mais je voulais profiter pleinement de la soirée et pour l'instant, il était trop tôt...

 

La fille me laissa, en faisant semblant d'être déçue et elle alla aborder un autre touriste avec lequel le dialogue s'engagea et quelques secondes après le mec se faisait carrément sucer devant tout le monde avec force commentaires en allemand. Cette vision était très excitante mais ne dura pas très longtemps, car la fille finit par emmener son client vers une porte donnant vers un endroit sans doute plus discret.

 

Une deuxième fille tenta sa chance, m'expliquant à moitié en anglais, à moitié par gestes qu'on pourrait faire comme le couple en question, je refusais de nouveau. Du coup les nanas me snobèrent... Je pris mon temps pour siroter ma bière, puis me sentant une envie d'uriner je cherchais les toilettes... rien n'était indiqué de façon claire, je me dirigeais à tout hasard vers le sous-sol !

 

C'était là ! Mais juste à côté une autre porte affichait la même photo intrigante que celle du panneau que j'avais vu dans le hall. Je poussais, poussé (justement) par la curiosité et me retrouvait dans un petit vestibule où un gorille me fit comprendre que l'entrée était payante. Qu'à cela ne tienne, je payais, ce n'était pas excessif. Le mec me tendit alors une clé de vestiaire attaché à un bracelet à poche ! Ah ! C'est donc un sauna, je n'avais pas pensé à ça, mais bon j'avais payé...

 

Un minuscule couloir... avec des vestiaires, je me déshabille donc, me rend compte que le type ne m'a pas donné de serviette, je vais pour réclamer, mais voici qu'un autre client rentre, il n'a pas non plus de serviette... je ne cherche plus à comprendre j'avance, et me voici dans une petite salle de projection. Il faut que mes yeux s'habituent à l'obscurité, je ne vois donc que l'écran, où l'on projette un film uro... c'était donc ça, j'aurais dû m'y attendre... mais quelle idée ce vestiaire, peut-être n'était-il pas obligatoire ?

 

Sur l'écran une belle femme entièrement nue est en train de pisser des litres d'urine sur une copine qui rigole comme une bossue en s'efforçant d'en avaler un maximum... J'essaie de m'asseoir sans bousculer personne et en attendant de pouvoir distinguer quelles sont les autres possibilités du lieu je m'intéresse donc au film, où comme souvent dans ce genre de vidéos, les scènes sont interminables et répétitives, heureusement que les modèles sont jolies, et d'ailleurs je me surprends à bander et comme je suis nu et dans un établissement de sexe, je commence à me tripoter...

 

Et voilà qu'une main arrive sur ma cuisse... je regarde sur ma gauche, j'y vois mieux à présent, un mec nu bien sûr, c'est lui qui me tripote, ça ne me dérange pas, je me laisse tripoter, je regarde sa queue, un bel objet bien raide... j'y touche ou j'y touche pas... j'avoue m'être (assez rarement toutefois) laissé aller à ce genre de fantaisies dans quelques cinés parisiens assez spéciaux... Comme dit l'autre : "ça change !" J'empoigne donc la bite du monsieur, et commence à la branler... Nous voici donc à nous branler mutuellement. Il me demande si je suis Anglais ? Non ! Allemand ? Non, French !

 

- Ah ! Je suis suisse ! Me dit le type ! Avec un accent caractéristique.

 

Je lui demande de quelle ville, histoire de dire quelque chose !

 

- Fribourg ! Tu veux me sucer ?

 

Oui, je veux bien le sucer ! Souvent les masturbations mutuelles dans ces endroits finissent en sucette, et il se trouve qu'à tout prendre je préfère sucer que de l'être...

 

Sa queue a un bon goût salée, je me régale, en la travaillant de la langue et des lèvres... mais pas longtemps, monsieur est au bord de la jouissance, me prévient et comme je ne veux pas de son sperme je me retire !

 

- On inverse ?

 

Bien obligé de rendre la politesse, je me laisse faire, ce con suce comme une pro, je suis aux anges, d'autant que deux mimines sont arrivées derrière moi et me pincent les tétons... Moment d'extase, mais je n'ai pas envie de jouir de suite, je dégage poliment le suisse. Je m'aperçois alors que les mains qui continuent de me caresser ont les ongles manucurés et vernis, des mains de femmes... je me retourne, la frimousse est agréable et souriante, les seins sont adorables. Elle me baragouine en anglais :

 

- Un petit plan uro ça te dit ?

- Bien sûr !

- On va faire ça gentiment c'est xxxx forints (monnaie locale)

 

Aïe, une racoleuse, mais là, je sens que je vais me laisser faire... J'hésite encore un peu

 

- Je n'ai pas d'argent sur moi

- Je sais, mais tu en as dans ton vestiaire, va le chercher, je t'attends, Humm, on va faire ça très bien, tu m'as excité, j'adore les mecs qui sucent des bites... T'aime ça sucer des bites, hein toi ?

- Ce n'est pas désagréable !

 

Je suppose qu'elle tient le même discours à tout le monde, mais ce n'est pas bien grave ! Je vais chercher les sous en faisant attention que personne ne me suive. La fille m'attend à la sortie du vestiaire. Je lui tends le fric, j'espère que je ne vais pas me faire arnaquer...

 

- Si tu as un peu plus, je peux te dominer si tu veux, je te tiens en laisse, je te pisse dessus, je te fais sucer des bites, je peux aussi te faire enculer, te fouetter et tout un tas de trucs très cochons...

 

Je lui demande combien, j'hésite :

 

- Non on va faire comme on a dit, et si ça me plait, je reviendrais te voir et on fera la totale ! Tentais-je

- Je te fais un prix...

 

J'ai la faiblesse d'accepter, j'ai bien conscience que je prends un risque... Elle ouvre alors son propre vestiaire et en sort un collier de chien qu'elle me passe autour du cou, une laisse y est accrochée. Elle me demande de me positionner à quatre pattes et d'avancer.

 

J'obéis donc pendant qu'elle me fouette le cul !

 

- Allez viens, esclave, on va bien trouver quelqu'un qui va bien t'enculer...

 

Bon, je peux arrêter le jeu quand je veux. Une petite salle carrelée jouxte la salle de projection, ce devait sans doute être un hammam dans un concept antérieur, au milieu un mec se fait pisser dessus par une belle blonde, et autour sur les marches une dizaine de personnes, que des hommes, assistent au spectacle, certains se branlent, d'autres le font mutuellement, un autre se fait sucer... ambiance hot.

 

La fille attend que le couple ait finit ce qu'ils sont en train de faire, ça va d'ailleurs assez vite parce que le mec se masturbe comme un malade en avalant l'urine de sa partenaire et finit par jouir avec un grognement sourd. Nous prenons leurs places. Elle me fait tendre le cul et commence à me fouetter, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Hé, c'est que ça commence à chauffer. Je le lui dis. Bonne fille, elle diminue la force de ses coups mais continue à taper, je dois avoir le cul tout rouge, au bout de cinq minutes de ce traitement elle arrête, et entreprend de me tripoter le cul, un doigt me pénètre le fondement, puis un second.

 

- Un volontaire pour l'enculer ? demande-t-elle à la cantonade, et ceci en plusieurs langues.

 

pisssbabes604.jpg

 

Situation assez surréaliste quand on y pense... Un grand blond finit par arriver, bite en avant, me revoilà avec une bite dans la bouche, pas très longtemps, car dès que le gaillard se sent assez dur, le voilà qui me contourne et me force l'anus. Un peu de mal à entrer, un peu douloureux mais ça va ! Me voilà en train de me faire sodomiser, l'affaire dure un peu trop longtemps, je me débrouille pour le faire savoir, la fille demande au mec de se retirer, puis me fait coucher sur le carrelage. Elle vient alors sur moi, et sans transition m'arrose la bite, je lui fais signe de monter vers mon visage, miracle elle comprend tout de suite, et les derniers jets de son pipi seront pour mon visage. Comment fait cette fille pour être tout le temps en train de pisser, mystère, mais pour l'instant elle lorgne vers mon sexe, constate qu'il est bien rigide, le suçote légèrement, mais je bloque un peu, ça doit être l'émotion. Elle me propose un truc que je ne comprends pas bien, mais c'est plus cher, je refuse, elle n'insiste pas, et me se met à me branler vigoureusement, je finis par lâcher mon sperme, je suis à moitié dans les vapes...

 

Ça tambourine à la porte de ma cabine, je me réveille, j'ai le pantalon et le slip sur les chevilles, un kleenex autour du gland, j'ai dû m'endormir

 

- Vous remettez du crédit ou vous sortez ! hurle le videur !

- Une seconde ! Répondis-je, le temps de me reculotter...

 

Le mec m'attendait à la sortie !

 

- Ça va ? Me demande-il

- Oui, oui, je reviens juste de Budapest, j'étais bien là-bas...

 

Le mec me regarde d'un drôle d'air... pourtant des fous il doit en voir tous les jours, sauf que moi, je ne suis pas fou, juste un peu rêveur... très rêveur...

 

 

FIN

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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