Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 23:46

Moi, j’aime le Music-hall !
Par Marine et Thibault

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Thémes abordés : travestis

Je n’ai donc pas le droit de citer le nom de ce célèbre music-hall un peu coquin, il paraît que son nom est une marque déposée et qu’il n’est pas dans le domaine public.

J’ai par contre celui de vous le décrire.

Alors vous sortez du métro, non ne cherchez pas les complications, il n’y a qu’une sortie, en queue de station (quoi que ça dépend d’où vous venez !) Vous marchez 200 mètres devant vous ! Et il est là, majestueux, sa façade a été ravalé. Grâce à des subventions publiques ce travail a bénéficié d’un gros budget et donc d’entreprises compétentes ! Les colonnades sont maintenant impeccablement blanchies et sont artistiquement illuminées la nuit. Le dôme a été refait et les ardoises crasseuses ont été remplacées à l’identique par des matériaux neufs.

Rentrons : La salle des billets est assez étroite, mais on a voulu la garder ainsi, le billet étant pris, on passe dans une espèce de corridor ou un préposé vérifie. Vous pouvez alors bénéficier du vestiaire, puis vous rentrez directement dans la grande salle ou l’immense et fier rideau rouge cache pour l’instant cette magnifique scène. La fosse d’orchestre est toujours là. Elle ne sert plus beaucoup. Il est tellement tentant dans un compte d’exploitation de remplacer les salaires de bons musiciens par un simple enregistrement sur cassette payé une misère à un stakhanoviste du synthétiseur

Mais moi je ne rentre pas par ce chemin, je pénètre carrément par l’entrée des artistes. Et pourtant je n’ai rien d’une artiste. Je me prénomme Marie-Lyse, j’ai 30 ans, vraie blonde (si ! Si ! Vous pouvez vérifier ! Une petite poitrine genre  » y a ce qu’il faut « , pas assez de fesses, on ne peut pas tout avoir. J’ai des yeux bleus et j’ai gardé de ma province un accent bourguignon dont je n’arrive pas à me débarrasser. Malgré ces quelques handicaps, le bilan n’est pas trop mauvais, et en règle générale je plais à ces Messieurs.

Parce que je ne vous ai pas tout dis, dans ma culotte, niche une jolie bite, bien blanche parcourue par une jolie veine bleue et terminée par un gland tout rose et tout lisse.

Je suis sûre que vous aimeriez bien la sucer, bande de petits cochons que vous êtes !

Mais confidence pour confidence, j’aime mieux sucer que me faire sucer ! C’est comme ça, ça ne se commande pas !

Mon métier n’est pas toujours facile, mais je n’en changerais pour rien au monde. Je suis habilleuse. Bien sûr mon rôle est avant tout d’habiller mais il arrive qu’entre deux tableaux mes fonctions dérivent vers quelque chose de moins sérieux. L’autre soir par exemple à l’entracte, il y avait Conrad J. Hamilton, vous savez le chanteur noir ! Non vous ne savez pas ! Plus personne ne se souvient de lui, mais ça ne fait rien, c’est un géant baraqué superbement monté. Il m’a fait appeler dans sa loge. Quand je suis arrivée, je l’ai trouvé entièrement nu, installé devant sa table de maquillage

J’ai vu tout de suite qu’il bandait, surtout qu’il n’a pas eu un geste pour cacher sa grosse bite qui se dressait entre ses cuisses. Il m’a jeté un coup d’œil fiévreux et m’a dit d’emblée :

- Je ne sais pas ce que j’ai, je suis excité comme un dingue, ça m’a pris tout à l’heure et depuis moi ne peux plus m’arrêter de bander !

Puis il a ajouté en matant la bosse qui pointait sous ma blouse

- Je sais bien que c’est pas ton boulot, mais j’aimerais bien que tu m’achèves, autrement je ne pourrais pas remonter sur scène !

Au lieu de me choquer la proposition m’a aussitôt fait monter l’adrénaline. Je ne pouvais détacher mes yeux du superbe engin qui pointait d’entre ses cuisses puissantes. Les mains moites, la gorge sèche et la bite en feu, je lui ai murmuré :

- Tu veux que je prenne ta grosse queue dans ma bouche ? C’est ça que tu veux ? Ou bien tu veux me la mettre directement jusqu’à la gorge ?
Marylise
Ses mâchoires ont frémi et il s’est mis à bander encore plus dur !

- Je vais te la mettre direct ! A-t-il gémi en me faisant pivoter sur lui.

Puis il a relevé ma blouse, s’est amusé un moment avec ma bite, puis s’est introduit dans mon petit cul. Le temps de quelques secousses hyper violentes et nous nous sommes explosés la tête de plaisir

- T’as aimé ça, hein, tantouse ?
- La tantouse, elle t’emmerde !

C’est vrai ça, j’ai horreur qu’on me manque de respect ! Mais…

…Moi j’aime le music-hall…

Publié sur revebebe le 2/12/2000, puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devilers - Publié dans : Marine et Thibault
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Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 06:57

Un bon coup de crayon.
par Marine et Thibault

 

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Thémes abordés : masturbation

 

Hello, vous vous rappelez de moi, c'est Marine ! (Deux qui la tiennent...)

C'est notre troisième histoire ! Elles n'ont pas un succès fou ! Que voulez-vous, comme dirait l'autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais l'essentiel c'est qu'elles ont plu à certains ! Faut de tout pour faire un monde !

Pour ceux qui débarquent, on vous refait la description : Je ne suis pas Claudia Chou-fleur mais je n'ai rien d'un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blonds, un joli petit sourire ! Ça ira ?

Vous en voulez encore ? J'ai un joli nez et surtout une bouche qu'on dirait dessinée pour faire des pipes !

Faut pas que je me plaigne ! Avec le salaire de mon époux, j'aurai pu rester chez moi à ne rien foutre, mais qu'est-ce que vous voulez, à la maison je m'emmerde, alors je travaille dans la boite de mon mari comme secrétaire de direction. Et comme nous prenons mon homme et moi nos vacances au mois de juillet, au mois d'août, et bien je suis au bureau, et au mois d'août ce connard de directeur adjoint n'est pas là. C'est son tour de partir en vacances. Donc je me satisfais très bien de cette situation, et en fait au mois d'août je baise au bureau au lieu de baiser à la maison. Parce que mon mari, lui qu'est-ce qu'il fait ? Lui qui ne s'occupe pratiquement pas de la gestion de la boite, et bien au mois d'août il trouve toujours un voyage d'affaire à se farcir ! En fait de farcir, il doit se faire une cure d'escorts-girsl de toutes nationalités et de toutes couleurs. Alors pourquoi, je me priverais ?

Donc, vous avez compris, quand les patrons ne sont pas là, les souris dansent et se tripotent ! C'est ce qui m'est arrivée l'autre jour sous le coup de quatre heures de l'après-midi. J'étais assise dans le fauteuil de l'adjoint en train de consulter un dossier quand celui-ci a téléphoné de Saint-Tropez (encore un qui doit se croire indispensable !) C'est alors qu'il m'est venu une envie irrésistible de me doigter la minette. Il faut dire que chez moi, ce genre de choses arrive n'importe où et n'importe quand.

Tout à coup ma chatte s'embrase, mes tétons durcissent et il faut alors que je me soulage, que mon minou explose de plaisir ce qui n'est pas toujours évident. Mais tandis que ce connard d'adjoint monologuait sur un dossier dont je me fichais royalement, je n'ai pas hésité, j'ai posé le combiné et j'ai branché l'ampli. Puis j'ai pris dans le pot à crayon un gros stylo à bout lisse, j'ai écarté les cuisses et la dentelle de ma petite culotte et je me le suis enfoncé en imaginant que l'homme de ménage, un gros black qui m'excitait me baisait comme une chienne.
marine
Quand cet imbécile d'adjoint m'a demandé pourquoi je criais comme ça, je lui ai raconté que je venais de me pincer avec une agrafeuse. Pendant que cet ahuri me plaignait et m'expliquait dans quel tiroir il rangeait ses pansements, je me suis amenée tout droit à un orgasme d'enfer, mais quand le gros black du ménage a frappé à la porte avec son seau et sa serpillière, j'ai coupé la communication et je me suis précipitée au-devant de cette grosse bite qui allait me défoncer sans plus tarder.

 

Je vous l'ai dit : le mois d'août au bureau, c'est show !!!

Publié sur revebebe le 21/12/2000 puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 1 juillet 2013 1 01 /07 /Juil /2013 06:35

Magique Provence
Par Marine et Thibault

stamp blackette

Thémes abordées : bisex féminine, scato hard, soubrette, triolisme, uro

Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ton ciel. Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ta mer, de tes filles brunes et de ton mistral. De tes pins parasols et de tes cigales. De ta soupe de poisson, de ta bouillabaisse et de ton pastis. De l’odeur des herbes de Provence et de la lavande. De cet arrière-pays qu’on si bien dépeint Alphonse Daudet et Marcel Pagnol à tel point que je ne peux y croiser une chèvre sans me dire que ce doit être celle de Monsieur Seguin, à tel point que je ne peux y croiser un chat sans qu’il ne me rappelle Pomponnette, la chatte de la « femme du boulanger », celle qui se fait engueuler par Raimu au lieu et place de sa femme ! Ah Pomponnette ! La chatte la plus célèbre du 7ème art.

En vacances je ne fous rien ! J’emmène toujours le nécessaire pour faire un peu d’aquarelle, mais je sais que je me lasserais vite, finalement je ne dois pas être doué !

J’ai du fric et je n’ai aucun mérite à en avoir, j’ai simplement hérité de la boite de mon père ! Je ne m’en occupe pas trop ! Mais je peux vivre tranquille. Je ne suis ni beau ni moche, je suis moyen ! Je me prénomme Thibault, c’est con comme prénom, hein ! Je le sais bien ! Et ma femme vous savez comment elle se prénomme : Marine ! Franchement c’est-t-y pas ridicule ? Dans le genre nouveau beauf on ne fait pas mieux !

Et puisqu’on parle de beauf c’est notre fête à tous les repas ! Ça commence par :

« Un Thibault, deux Thibault, trois Thibault doudou ! »

et quelques verres plus tard c’est le tour de bobonne

« Marine, deux qui la tiennent, trois qui la pinent !

S’ils savaient ces pauvres cloches qu’elle ne dirait pas non ma Marine !

Tiens, je vous la décris, mais retenez bien, je ne vais pas remettre ça à chaque histoire (ben oui ! Je vais peut-être vous en raconter plein !)

Bon ce n’est pas Paméla Anderson, mais ce n’est pas non plus un laideron. Non elle est moyenne, assez fine, assez grande, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des cheveux mi longs teint en blonds, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne

L’été les vacances, la Provence. Il faut que ce soit fun et super éclatant à tous les niveaux. Pour cela Marine et moi avons trouvé une solution. Chaque année on emmène avec nous dans notre maison du midi, une sorte de fille au pair qui moyennant un salaire coquet, non seulement assure les tâches ménagères, mais se soumet à nos caprices, principalement sexuels (il y a des officines spécialisées pour ce genre de choses ! faut chercher un peu, je ne peux pas tout vous dire !)

Cette année on s’y est pris assez tard et le connard qui s’occupe de cela me dit d’un air désolé qu’il ne lui restait plus qu’une antillaise ! Et alors ? Non seulement je ne suis pas raciste (on ne peut pas avoir que des défauts !) Mais j’adore ! Ça ne gêne pas non plus ma femme ! Alors allons-y et on embauche Margotte pour un mois !

En plus elle est superbe, Margotte, une jolie frimousse, des nichons pas possible, un cul d’enfer cambré comme un slalom modélisé !

Elle doit donc être à notre disposition à toutes heures du jour et de la nuit, prête à me tailler une pipe, à sucer ma femme ou à se faire enculer par-devant ou par derrière, bref elle doit exaucer le moindre de nos fantasmes.

Mais nous sommes de gens bien éduqués, nous la payons bien et la respections pourvu qu’elle joue le jeu que nous lui demandons.

La nuit dernière par exemple, je me suis réveillé à trois heures du matin avec une trique d’enfer et une seule obsession : baiser la Margotte à moitié endormie sur la table de la cuisine. La queue à la main je me suis donc précipité vers sa chambre et je l’ai réveillée et emmené à moitié dans les vapes en direction de la cuisine.

- Monsieur vous exagérez !
- Ça ne sera pas long !
- Alors ça va !

margotte
Je l’ai hissée sur la table et d’une main je lui ai ouvert la chatte. Toujours à moitié endormie elle a gémi et s’est mise à remuer des reins et à faire son cinéma :

- Oui allez y baisez-moi comme une chienne !

Elle nous vouvoie, cette petite à de l’éducation !

- En fait j’ai envie de t’enculer !
- Oui, enculez-moi Monsieur Thibault

Au moment où je me hissais sur la table pour la pénétrer, j’ai entendu la voix ensommeillée de ma femme :

- Espèce de salaud, tu aurais pu me réveiller pour que je profite du spectacle.

Puis elle a ajouté avec un petit rire :

- Vas-y encule la bien profond, mais ne jouis pas, c’est dans mon cul que tu vas décharger  »

J’ai enfourché d’un coup la belle blackette tandis que derrière moi ma femme se branlait…

Au bout de dix minutes, j’ai déculé. Ma bite était recouverte de merde.

- Eh bien Margotte ! En voilà des façons !
- Je vais nettoyer la bite de monsieur ! répondit-elle en prenant mon engin en bouche et en entreprenant un joli nettoyage de la langue et des lèvres.

Mais voilà que Margotte quitte la cuisine.

- Mais Margotte pourquoi es-tu si pressée ?
- Je vais pisser ! Monsieur !
- Non retiens-toi, tu nous pisseras dessus quand j’aurais baisé Madame

- Mais il faut aussi que je fasse caca.

- Essaie de te retenir.

 

Puis j'ai été m'occuper de ma femme qui m'attendait à quatre pattes sur le carrelage, ses fesses rondes et potelées offertes à ma bite prête à décharger. J'ai lubrifié son petit trou avec ma salive puis, je me suis frayé un passage. Alors Margotte est allée se poster sous la chatte de Marine et l'a sucée pendant que je prenais possession de son cul.

 

Quelques minutes plus tard la cuisine retentissait de nos cris aigus !

 

Alors Marine et moi nous nous sommes allongés sur le sol, avons ouvert la bouche afin de recueillir le joli pipi de Margotte. Son caca à suivi juste après.

 

Je vous disais la Provence c'est magique !

 

Fin

Publié sur revebebe le 20/11/2000 puis passé à la trappe

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Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Dimanche 23 juin 2013 7 23 /06 /Juin /2013 11:19

Coiffeur pour dames

par Enzo

 

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A l'époque j'avais trouvé un petit boulot de coursier, non seulement c'était horriblement mal payé mais c'était à moi d'entretenir la bicyclette… Passons, j'avais 22 ans, pas de liaisons… Enzo, brun, presque imberbe, et plutôt allergique au sport sinon celui en chambre et la marche à pied.

 

J'apportais un paquet chez un coiffeur pour dame dans une rue bobo du 7ème arrondissement. Le mec, un quinquagénaire plutôt bien conservé me regarde comme si j'étais une apparition. La légende qui veut que tous les coiffeurs soient homos serait-elle fondée ?

 

Le type me file un pourboire de prince !

 

- Je vous trouve charmant ! Dommage que vous ne soyez probablement pas homo ? Me dit-il… Carrément.

- Je peux l'être si on me paie ! Répondis-je du tac au tac.

- Et bien passez me voir ci soir à 20 heures, vous aurez peut-être trois clients d'un coup.

- Sérieux ?

- Très sérieux.

 

Et à 20 heures, j'étais là ! La porte est fermée, je toque, une femme vient m'ouvrir. Une femme ?

 

- Bonjour, je suis Marie-Claire, la femme du patron, asseyez-vous, il est avec deux amis, je vais lui dire que vous êtes là ! Amusez-vous bien !

 

Ça alors !

 

Marie-Claire ferme le rideau de fer de la boutique, disparait dans une arrière salle et revient avec son mari et deux autres hommes, puis va tranquillement s'assoir sur un fauteuil d'attente.

 

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max me dit le patron

- Moi, c'est Enzo !

- Et voici mes amis Gérard et Edmond.

- Il est mignon ! Commente Gérard !

 

L'autre me touche le cul ! Faut surtout pas se gêner ! Je me dégage avec un sourire de politesse

 

Max doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et petite moustache il est en chemise ouverte, grise et bordeaux à rayures. Les deux autres ont plutôt la soixantaine.

 

- Voilà une enveloppe pour vous, on se donne une heure et demie, ça te va ?

 

Je regarde dans l'enveloppe sans toutefois recompter, ça a effectivement l'air d'aller.

 

- OK quel est le programme ? Demandais-je.

- D'abord je te baise, mes amis se contenterons de regarder, ensuite ce sera la seconde partie, ce sera à eux de jouer… Toutes les pénétrations seront avec capotes. Ça te va ? Des questions ?

- Non, ça va !

- Et bien, allons-y mets-toi à poil !

 

Gérard et Edmond vont s'assoir mais du côté opposé à Marie-Claire.

 

Me voilà face à face avec Max. Je me déshabille devant lui sous son œil concupiscent. Lui aussi se déshabille, il est plutôt bien conservé avec quand même un petit peu de bedaine.

 

- Hum pas mal du tout ! Me flatte-t-il en me caressant.

 

Il bande bien

 

- Vas-y suce moi la queue !

 

Ben, oui, je suis venu pour ça ! Elle me plait bien sa queue, bien droite, terminé par un joli gland violacé. Allez hop dans la bouche, la bite, je fais des longs mouvements de va-et-vient, Max est aux anges. Histoire de faire durer un peu le plaisir, je lui gobe les couilles, il apprécie.

 

- T'es une bonne salope de suceuse ! Me dit-il dans un moment de poésie. Suce moi aussi un peu derrière.

 

Pourquoi pas, je ne déteste pas lécher un joli cul. Je le contourne et lui écarte les fesses, puis ma langue vient lui taquiner l'œillet. Odeur légèrement forte. Normal, un cul c'est un cul. Je parviens à bien lui lubrifier l'œillet, je me demande si je peux me permettre un doigt, mais il ne me le demande pas, il doit être exclusivement actif. Ça arrive !

 

Je repasse de l'autre côté et reprend sa bite en bouche

 

Vous connaissez la chanson ? "La bite en bouche, la voilà la jolie bite, bitons, bitons, bitons…"

 

Je m'amuse à lui titiller le bout du gland avec la pointe de la langue, comme j'adore qu'on me le fasse, je suppose que ça lui plait bien.

 

- Oh, là là, oh, là là là commente-t-il.

 

Je me recule un peu, examine le résultat de mes talents : Sa bite est raide comme la justice, elle est vraiment très jolie. Je sens que l'avoir dans mon cul ne sera pas une corvée. Mais j'attends qu'il me le demande.

 

- Suce encore !

 

Au cas où je n'aurais pas compris…

 

Un petit coup d'œil sur les fauteuils d'attente, sur ma droite Gérard et Edmond ont sorti leur bite et se masturbent en profitant du spectacle comme des gros pervers. Mais les gros pervers, moi, ça m'excite. De l'autre côté Marie-Claire s'est dépoitraillée et a baissé son pantalon, elle se branle la foufoune d'une main pendant que de l'autre elle se tire sur les tétons.

 

Quelle ambiance !

 

Je continue à sucer, mais je commence à avoir mal à la mâchoire, je fais diversion en donnant de grands coups de lèche sur sa verge.

 

- Mets-toi à quatre pattes, je vais t'enculer. Non, pas comme ça, il faut que ma femme puisse bien voir !

 

O.K. Je rectifie la position, je me cambre et m'écarte les fesses. Max me tartine le troufignon avec du gel, puis je sens le gland qui quémande l'entrée. Une petite poussée et ça entre. Il pousse encore, ça y est, j'ai toute sa bite dans mon cul. J'adore cette sensation, et j'adore encore davantage quand il entreprend d'aller et venir d'un bon rythme. Je me sens vraiment salope de me faire enculer comme ça devant trois témoins excités comme des puces.

 

J'ai le cul plein de sensations électriques, je suis bien, je suis aux anges, je plane !

 

Il m'a bien limé comme ça pendant dix minutes, je ne sais pas trop, on perd la notion du temps quand on se fait enculer. Il se retire, il n'a pas jouit. On fait quoi maintenant ?

 

- Mets-toi sur le dos, les cuisses bien en l'air !

 

O.K. Il va m'enculer par devant. Ce vieux cochon veut jouir en me regardant. Il a raison, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! En revanche, pour ce qui me concerne, je n'aime pas trop cette position, d'abord elle devient rapidement fatigante, et puis le Max comme image érotique, on fait mieux quand même ! Mais que voulez-vous, business is business. Max a toutefois la très bonne idée de s'agripper plutôt après mes tétons, et ça c'est un truc qui m'excite super bien. Après dix minutes de "je rentre, je sors "en roue libre", il s'énerve brusquement, accélère et finit par jouir en poussant un cri de loup-garou sous la pleine lune.

 

Il m'a bien enculé, ce vieux cochon, j'ai joui du cul. Curieuse sensation post sodomique d'avoir le cul qui refuse de se fermer. Manifestement, il n'est pas rassasié, mon petit doigt me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir encore.

 

Max veut m'embraser, je me laisse faire, mais c'est un supplice, il pue le vieux tabac et pique comme un hérisson. C'est vraiment trop compliqué de se raser avant de recevoir un beau gosse comme moi et de s'asperger de spray buccal ?

 

- Va t'occuper de ces messieurs ! M'ordonne-t-il.

 

On y va, on y va…

 

Gérard est un homme complétement chauve habillé avec élégance, chemise bleue, cravate assortie d'un bleu plus soutenu. Edmond est en chemise blanche et cravate grise. Quel idée de porter cravate lorsqu'on est retraité !

 

Quelle queue entreprendre en premier ? Je choisis la plus belle (Tant qu'à faire !) C'est celle d'Edmond. Je la prends dans ma main, me baisse et l'engloutit aussi sec dans ma bouche. Et pour que Gérard ne soit pas jaloux, je tends la main gauche pour le branler.

 

Je me recule quelques instants pour permettre à ces messieurs le temps de se déshabiller, mais je ne les laisse pas se rassoir, je m'accroupis et joue avec les deux bites, tantôt dans la bouche, tantôt dans la main. Les deux retraités excités comme des puces se roulent des patins et se pince les tétons. Ça chauffe, mais, ça chauffe !

 

Edmond se dégage un peu, se met une capote sur la quéquette et passe derrière moi. Pas besoin de me faire un dessin, je me penche légèrement et écarte les fesses. Quelques instants plus tard, j'avais sa bite qui me pilonnait le trou du cul... Gérard lui, pendant ce temps s'agenouille devant moi et me suce la bite.

 

C'est à cet instant que j'ai eu un moment de panique, complétement occupé avec ces deux vieux mâles en rut, je ne pouvais observer le siège sur lequel j'avais laissé mes affaires et mon portefeuille. Max ou Marie-Claire pouvait s'en emparer sans problème… et dans ce cas-là, je ferais quoi ? J'étais en infériorité numérique et je ne me voyais pas aller porter plainte. Bon pensons à autre chose, on verra ça après !

 

Je dois avouer que ces deux retraités ne s'y prenaient pas trop mal, j'étais ma foi, bien enculé et bien sucé, mais ils ne souhaitent manifestement pas que l'affaire se termine trop vite. Edmond sort de mon cul, retire la capote et m'offre de nouveau sa bite à sucer pendant que Gérard se branle tout seul quelques instant avant de m'accompagner dans ma fellation. Heureux Edmond qui se fait sucer la bite par deux mecs !

 

Mais rapidement, Gérard a une autre idée en tête, il ne m'avait pas encore enculé celui-ci, alors il le fait pendant que je continue à sucer son ami.

 

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Petite pause, puis Edmond encule Gérard qui me suce. Ce dernier semble fatigué et se couche carrément par terre, il change encore une fois de capote (on en fait une de ses consommation) et je m'empale sur lui, il jouit facilement.

 

Au tour d'Edmond maintenant, mais il veut terminer autrement, on se met en soixante-neuf, je l'averti néanmoins de ne pas m'éjaculer dans la bouche.

 

Et tandis que je pompe la bite du retraité, je sens quelque chose de chaud qui m'arrose le cul ! C'est Gérard qui me pisse sur les fesses. Faut pas se gêner, mon vieux ! Je n'ai rien contre, mais les bons usages veulent que l'on demande avant ! Non mais des fois !

 

- Ça vient ! Me prévient Edmond.

 

Je dégage ma bouche et le laisse jouir.

 

Ben si je comprends bien, c'est fini, les trois mecs ont joui, j'étais venu pour ça, moi je n'ai pas joui, mais je n'étais pas venu pour ça !

 

Je me dirige vers le coin où j'ai laissé mes affaires, je prétexte le fait de prendre un kleenex pour m'essuyer le cul et je vérifie si l'enveloppe est toujours dans ma poche ! Oui ! Ouf !

 

- T'a été très bien, me dit Max, laisse-nous tes coordonnées, on pourra peut-être recommencer. Euh, je crois bien que Marie-Claire aimerait que tu la baises ! Mais tu n'es pas obligé, tu n'aimes peut-être pas les femmes ?

- Si, si ! Ce sera un plaisir !

 

Marie-Claire est affalée dans un fauteuil, dépoitraillée et la chatte à l'air.

 

- Baise-moi vite ! Supplie-t-elle

 

J'aurais aimé la caresser, la peloter un petit peu, non Madame veut de la bite, violente et directe, tant pis pour moi ! Je m'encapote, je m'approche, je m'enfonce et je la baise. Trois minutes après c'était fini. Pas très romantique et pas très érotique non plus ! Mais ça fait du bien de se vider les couilles.

 

Les deux cravatés finissent de se rhabiller, j'en fais autant de mon côté. On ne me demande pas si j'ai besoin de quelque chose, j'ai soif, mais on ne pense même pas à m'offrir un verre d'eau. Me voyant prêt, Max, va relever le rideau de fer de la boutique. Il me serre la main, les autres sont allés vers le fond et ne m'ont même pas dit au revoir.

 

Marie-Claire s'approche de moi et me roule une rapide gamelle.

 

- Tu sais, moi aussi j'ai été pute autrefois, me confie-t-elle, je ne regrette rien. Profites en bien.

 

Curieux comme ces quelques paroles m'ont fait un bien énorme.

 

C'est fini, je suis dans la rue ! Moment d'angoisse, pourvu qu'on n'ait pas profité de l'instant où je baisais Marie-Claire pour me faire les poches ! Non tout est là !

 

Allez, de quoi, je me plains, j'ai bien gagné ma journée !

 

Fin

 

23/6/2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Vendredi 14 juin 2013 5 14 /06 /Juin /2013 10:48

 Confessions bitophiles – 3 – (texte collectif)

BiteFlag

Un couple d’amis
par Gédéon

Depuis quelques temps, je passais de longs moments sur le net, à chercher des photos et des vidéos de trio bi. J’étais fasciné par la queue d’un type dans l’anus d’un autre, devant sa femme.

J’avais tenté les dominatrices professionnelles, et je m’étais fait goder. Aussi un transsexuel, qui m’avait bien enculé. J’ai même tenté le sauna, où là, c’est un mec qui m’a demandé de le prendre, ce que j’ai fait.

J’avais l’habitude de tout raconter à mon meilleur pote, lui seul savait mes petites perversions.

Un soir qu’il m’invitait à manger chez lui, comme ça arrivait régulièrement, je le trouvais bien fatigué. Alors que je lui en faisais la remarque, il me répondit qu’il travaillait trop, et qu’il me laissait ranger le couvert avec sa femme, lui allant se coucher.

Sa femme… 15 ans qu’elle me draguait, presque ouvertement devant lui, sans qu’il ne s’en rende compte. Elle était sexy ce soir là. Et est arrivé ce qui devait. Je la pelotais en l’embrassant sur la bouche, elle un peu effarouchée au début, puis se laissant aller. Je crus qu’elle éteignait les lumières pour plus de sécurité. Elle se rapprocha de moi, et me posa d’autorité un bandeau sur les yeux.

Je sentis mon pantalon tomber à terre, retiré complètement. Elle me dévêtit complètement, en quelques minutes, je me retrouvais nu dans leur canapé. Et là, je sentis sa langue sur mes bourses, puis sur ma queue. Un délice. Je ne tardais pas à bander. Elle me suçait bien, la salope. Je bandais d’autant plus que je pensais à mon pote qui dormait à côté. La situation me gênait vis à vis de lui, mais m’excitait davantage.

Bi286 Alors que ma queue mouillait de plaisir, raide comme un I, je l’entendis se lever, allumer la lumière et revenir à moi en m’arrachant le bandeau. Surprise, c’était mon meilleur pote qui me suçait.

Elle expliqua que son mari lui avait tout raconté, et que comme il était facilement soumis, elle allait jouer avec nous deux ensembles. J’étais confus, honteux, mais ne débandait pas. Elle fit mettre son mari à quatre pattes, et m’ordonna de l’enculer à sec, ce que je fis avec une étrange facilité. Il avait l’habitude de se faire péter la rondelle…

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Manon et Eric par Camille

J’étais mal remis de mon divorce. Au boulot une femme me plaisait beaucoup, Manon, elle était gentille avec moi mais repoussait mes avances. Une fois sans doute pour me refroidir, elle me dit qu’elle et son mari étaient libertins et bisexuels. Loin de me braquer, je fantasmais au contraire sur une possible rencontre. Je continuais donc à poursuivre Manon de mes assiduités.

- si t’es libertine, pourquoi tu ne veux pas de moi ? si je ne suis pas ton genre de mec, dis-le-moi carrément, je te fouterai la paix.

- t’es trop sentimental, mon gars, moi quand je baise c’est juste physique, quand il commence à y avoir des sentiments c’est dangereux, et d’abord j’aime mon mari.

- Ah bon !

- Si tu veux me baiser ce sera devant mon mari, et vu ses orientations sexuelles tu prends un risque.

Alors je lui répondis que je voulais bien prendre ce risque. Je fus invité chez eux, on a d’abord diné, je me souviens qu’ils m’avait fait un soufflé au fromage et une mousse au chocolat. On a bu l’excellent bordeaux que j’avais apporté, et au moment du café, Eric, le mari s’est levé et s’est approché de moi puis a baissé son pantalon. Et m’a demandé de lui sucer la bite. Court moment de panique mais Manon m’encourage du regard alors j’ai pris la bite et je l’ai sucé. C’était doux, chaud, délicieux, je me suis régalé, après il m’a sucé la sienne. Il a voulu m’enculer mais il n’est jamais réussi à passer, le chemin était trop étroit.

Après j’ai baisé Manon comme il se doit.

Le temps a passé, j’aime toujours les femmes et je vis en ménage avec une fille formidable, mais de temps en temps je m’arrange pour me rendre dans des endroits où il y a de la bite à sucer, c’est tellement bon. Je me fais aussi enculer, depuis le temps le chemin s'est ouvert !

Bisous sur la bite à tout le monde

Camille

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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