Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:22

Les libertins du Cantal

2 - Les locataires

par Enzo

 

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Le lendemain matin, je me réveillais assez tard, je descendis en cuisine, n'y trouvait personne. J'effectuais un petit tour dans la maison, René devait être parti vaquer à ses occupations, Florence n'était nulle part et Dominique comme à son habitude devait ronfler comme un loir.

 

Je me fais un café, regarde la pendule, déjà 10 heures, un bruit de moteur, je jette un coup d'œil, c'est Florence qui revient de je ne sais où. Elle me fait un bisou rapide, n'a pas l'air de bon poil.

 

- Je viens de recevoir un coup de fil, je devais avoir des locataires pour la petite dépendance du fond, et ces conards se sont décommandés au dernier moment. Je vais garder les arrhes, mais ça va nous faire une perte… parce que repasser une annonce maintenant, il est trop tard.

- Pourquoi tu ne passerais pas une annonce sur un site libertin, je ne sais pas moi, "couple bisexuel hébergerait couple ayant les mêmes tendances…"

- N'importe quoi… Quoi que… on peut toujours essayer… bougonne-t-elle avant de me laisser en plan.

 

Et à midi, la voilà toute rayonnante qui m'annonce :

 

- J'ai eu quatre réponses à mon annonce, la quatrième ce sont des gens de Dijon, ils seront là en fin d'après-midi… Tu as eu une bonne idée, ça mérite un câlin, sors ton zizi je vais te faire une bonne pipe.

 

La sonnerie du téléphone portable de Florence mit malheureusement à mal cette intéressante initiative. Et tandis qu'elle s'en allait converser dans la salle à manger, j'allais ranger ma bite quand Dominique descendant du premier pénétra dans la cuisine.

 

- Ben qu'est-ce que tu fais la bite à l'air ?

 

- Florence voulait me sucer, elle a eu un contretemps.

- C'est pas grave, je vais la remplacer.

 

Et joignant le geste à la parole, ce ravissant jeune homme se penche vers ma virilité et la met dans sa bouche. Je ne tarde pas à bander pour ce bon, ce qui lui permet de soigner sa fellation… Qu'est-ce qu'il suce bien, je suis aux anges.

 

- Voilà, on s'absente cinq minutes et c'est l'orgie dans la cuisine ! Plaisante Florence en revenant. Dommage que je doive m'absenter un bon moment ! A tout à l'heure, amusez-vous bien, ne m'attendez pas pour le déjeuner. 

 

Dominique s'est hélas relevé,

 

- A ton tour de me sucer ! Me demande-t-il 

 

OK, ce n'est pas une corvée. Me voilà donc en train de sucer la très belle queue de Dominique. Elle raidit bientôt sous ma langue gourmande, et je me régale, mais il me fait signe d'arrêter et me propose :

 

- Tu veux que je t'encule ?

- Bien sûr !

 

Il a l'air étonné de ma réponse rapide, c'est vrai que j'y ai eu droit trois fois hier, et que c'était nouveau, mais j'ai apprécié, j'ai bien le droit, non ? Je m'arcboute contre le plan de travail de la cuisine et tends mon cul en le faisant dodeliner. Dominique ouvre tous les tiroirs les uns après les autres, je comprends qu'il cherche des préservatifs, il s'énerve, n'en trouve pas et part en chercher ailleurs… J'ai l'air fin tout seul dans la cuisine en train de tortiller du cul.

 

Il revient.

 

- Recommence à faire bouger ton petit cul, ça m'excite !

 

Il me tartine d'un peu de gel, et devant estimer que l'endroit est désormais habitué, me pénètre sans trop d'attention.

 

- Aie !

- Je t'ai fait mal !

- Un petit peu !

- Là, ça va ?

- Oui, ça va aller, vas-y doucement.

 

Ce mec a une bonne mentalité, il est très impulsif, parfois, il faut le freiner, le remettre à sa place, mais il n'est pas buté du tout et accepte volontiers les critiques, Il y va délicatement et me sodomise comme un dieu, en prenant son temps. Il finit par jouir et cherche ma bouche pour me rouler un patin. Dans mes relations avec les hommes c'est peut-être aujourd'hui le geste qui me plait le moi, mais je sens que vais m'habituer.

 

Ma queue est raide et je n'ai pas joui. Va-t-on inverser les rôles ? Je me souviens que Dominique m'a dit qu'il préférait les attitudes passives quand il se travestissait… Il m'attrape la queue, toujours revêtue du préservatif, me la tripote un peu. Je me laisse branler, après tout pourquoi ne pas jouir comme ça ? Quelques minutes après le préservatif se remplissait de ma semence, et nous nous embrassions de nouveau.

 

- Je vais en ville à pied chercher des trucs, tu viens avec moi ?

- Ben, il faut quand même que je bosse, il faut que je coupe du bois…

 

Je cherche de quoi me faire un sandwich et je monte travailler dans ma chambre.

 

Vers 16 heures, Florence tape à ma porte.

 

- Thibault, nos locataires seront là d'ici une heure. Comme René est pris en ville et ne rentreras pas de suite, je voudrais que tu sois à mes côtés pour les accueillir.

- Pas de problème.

 

Pas de proposition sexuelle ou de geste équivoque cette fois-ci… il n'y a pas que le sexe dans la vie…

 

Vers 17 h 30 une voiture pénètre dans la cour, je descends rejoindre Florence qui accueille les nouveaux venus : Bertrand a la trentaine, pas très grand, binoclard, dégarni et petite moustache, pas un play-boy, mais une bonne bouille quand même. Sophie a la même tranche d'âge, plus grande que son compagnon, sans doute une vraie rouquine, visage agréable avec des taches de rousseurs et de beaux yeux bleus, mais coiffée un peu n'importe comment avec des barrettes.

 

On se serre les mains, les deux zigotos nous dévisagent. Normal ils veulent savoir où est-ce qu'ils mettent les pieds. Florence me présente comme étant l'un de ses neveux. On les aide à décharger la bagnole, puis on les accompagne à la petite dépendance qui est de l'autre côté de la cour, on leur fait le petit topo d'usage sur les commodités, les formalités…

 

- Ah ! Il faut que je vous prévienne d'un petit truc, j'avais complètement oublié de vous brancher l'eau chaude, je viens juste de le faire… mais pour vous dédommager je vous ferais cadeau d'une demi-journée…

- Oh, ce n'est pas la peine ! Coupe Sophie.

- Si, si, il faut être régulier en affaires… cela dit si vous voulez prendre une douche vous pouvez profiter de la nôtre, cela ne nous gêne pas du tout…

- Je vais peut-être accepter ! Répond Sophie, le voyage m'a crevé, j'ai des courbatures partout… Et toi Bertrand ?

- Moi, ça va… mais on peut faire comme ça, va prendre ta douche, pendant ce temps-là je vais un peu déballer les valises…

- OK, je vous emmène alors ? Propose Florence.

- Le temps de prendre des affaires de rechange et je vous suis.

- Ah ! Reprend Florence, si vous en êtes d'accord, la maison vous offre un apéritif de bienvenue à 19 heures, nous pourrons ainsi faire mieux connaissance.

 

Ils sont d'accord.

 

Je reste dans la salle à manger pendant que Sophie prend sa douche. Elle ne s'y éternise pas et réapparait au bout d'un quart d'heure, vêtue d'un bermuda et d'un joli petit débardeur, la tignasse enroulée dans une serviette.

 

- Alors, ça fait du bien ? Dit Florence histoire de dire quelque chose d'intelligent.

- Oui, mais j'ai toujours mes courbatures… mais bon, c'est pas grave, après une bonne nuit, ça ira mieux…

- C'est un massage qu'il vous faudrait, je peux vous masser si vous voulez, je sais faire.

- Ah, ben pourquoi pas ?

- Couchez-vous sur le canapé, pendant ce temps-là je vais chercher les produits.

 

La femme s'installe sans rien retirer de ses vêtements. A son retour Florence lui propose :

 

- Faudrait peut-être enlever au moins le haut.

- Juste le tirer, peut-être ? Objecte-t-elle

- C'est comme vous voulez, mais ça va me gêner pour masser les épaules.

 

Elle enlève son truc tout en restant couchée… Pour quelqu'un qui vient de répondre à une annonce échangiste et bisexuelle, cet excès de pudeur ne manque pas d'être insolite.

 

Je me suis mis en retrait pour ne pas que ma présence gène Sophie. Florence masse la rousse avec application, l'autre à l'air d'apprécier.

 

- Vous faites ça très bien, ça me fait un bien fou !

- Et comme ça ? Demande Florence en lui parcourant la peau du bout de ses doigts.

- Oh, Oh, là là ! Arrêtez, ce n'est plus du massage ça !

- Ce n'est plus du massage, mais ça détend, vous voulez vraiment que j'arrête…

- Euh… non…

- On va peut-être enlever ce bermuda, je ne vous ai pas massé les fesses… Vous aimez qu'on vous masse les fesses ?

- Oui, oui, massez-moi les fesses !

 

Florence lui pétrit les fesses, les tapote du plat des doigts, les triture, les malaxe. Consciemment ou pas Sophie a écarté ses jambes permettant à la masseuse d'accéder à ses parties intimes.

 

- Ben dites-donc cher amie, on dirait que ça vous fais de l'effet ! Commente Florence en constatant que l'endroit commence à être bien mouillé.

- Je crois que vous avez fait ce qu'il fallait pour ça. Je suis toute mouillée.

- Je crois que nous allons bien nous entendre, chère Sophie… tournez-vous donc, je m'en voudrais de vous laisser dans cet état.

 

Ah, ce moment-là, Florence feint de découvrir ma présence :

 

- Thibault, peux-tu nous laisser entre femmes quelques instants, s'il te plait… Ah, moins que vous ne souhaitiez qu'il reste, chère Sophie.

 

Elle semble hésiter.

 

- On va en rester là pour le moment, ça m'embête d'aller trop loin sans que mon mari soit là…

- Tu es vraiment sûre, ma bibiche ? Répond Florence en lui explorant la chatte.

- Non, je ne suis pas sûre…

- Qu'est ce qui te ferait plaisir, tu penses à quoi en ce moment ?

- Je peux me lâcher !

- Bien sûr !

- J'aimerais bien sucer la bite de ton neveu pendant que tu me lèches la chatte !

 

Vite avant qu'elle ne change d'avis. Florence et moi sans aucune concertation nous retrouvons à poil, et j'offre ma virilité à cette énigmatique rousse. Elle suce bien, mais l'affaire ne dure pas longtemps, succombant sous les coups de langue de Florence elle pousse un hurlement et retombe comme une chique molle sur le canapé. Elle est mouillée de tous ces sucs et pas seulement de transpiration.

 

- Si vous voulez reprendre une douche, lui propose Florence.

- Oui, mais je vais d'abord rejoindre mon mari, il doit s'inquiéter… à tout à l'heure. Ah, il faut que je vous dise, mon mari, la bisexualité c'est un fantasme, il ne l'a jamais fait, mais il est prêt à franchir le pas, c'est une question d'ambiance… mais bon si ça ne le fait pas tout de suite, ne lui en voulez pas, il faudra peut-être plusieurs tentatives.

- Ne vous inquiétez pas, au contraire faire découvrir des plaisirs nouveaux à quelqu'un c'est très excitant. Mais dites-moi, son fantasme c'est juste sucer, ou aller plus loin.

- Il n'est pas contre la sodo, on a des godes à la maison, et on s'en sert tous les deux… Allez, j'y vais…

- Tu me finis ? Demandais-je à Flo.

- Pas question, la Sophie, je la veux dans mon plumard ce soir, avec ou sans René. Quant à toi et Dominique vous allez me baiser Bertrand, devant moi, ça va m'exciter un maximum. Au fait il est rentré, Dominique ?

- Oui, il est allé couper du bois près des grottes, je vais aller le prévenir qu'il soit prêt pour 19 heures.

- Quand tu lui auras expliqué de quoi il s'agit, je pense qu'il sera prêt sans problème.

- Tu vas t'habiller spécialement ? Lui demandais-je

- Non, je n'y pensais même pas, je pense qu'ils vont arriver "normalement"… et si ma foi, Sophie arrive en tenue sexy, je pourrais toujours aller me changer. Le plan c'est ça, je commence à chauffer Bertrand et quand il est bien excité, je vous fais entrer en jeu.

- Pas de problème.

 

Ces braves gens arrivent à 19 heures tapantes comme convenu, Bertrand en bermuda et polo de marque mais assez moche, Sophie en longue jupe de coton avec en haut un marcel noir assez quelconque qui lui découvre ses jolies épaules. Sur la table, une piquette locale qui permettra de faire du Kir, quelques autres bouteilles d'apéro, des jus de fruits, quelques biscuits apéritif concoctés par la maîtresse de maison… et plus insolite une belle assiette blanche un peu en retrait garnie de préservatifs et de dosettes de gel intime.

 

- Puis-je vous suggérez de vous placer sur ce canapé entre ces deux messieurs ! Indique Florence à Sophie. Et vous Bertrand venez donc près de moi… Voilà j'ai cuisiné un cake aux olives, et quelques autres bricoles, on ne mourra pas de faim… Je vous sers, vous prenez quoi, whisky, pastis…

 

Florence laisse passez le premier jet informel de la conversation, la météo, la région, la gastronomie locale, puis profitant d'un silence fortuit elle attaque :

 

- Et si vous nous disiez de quelle façon vous avez trouvé notre annonce ?

 

Les deux tourtereaux se regardent, puis Sophie répond :

 

- En fait, on a eu des problèmes familiaux cette année, ce qui fait qu'on avait rien prévu pour les vacances. Mais on n'allait pas passer trois semaines sans bouger non plus, on pensait au départ à se faire un petit week-end un peu coquin, on a cherché sur le net et on a trouvé votre formule, voilà c'est tout simple.

- Des petits week-ends coquins comme vous dites, vous en faites régulièrement ?

- Trois fois, non quatre fois… Reprend Sophie, Deux fois c'était pas mal du tout, avec un couple dont la femme était bi, les deux autres fois c'était assez décevant. On voudrait bien faire ce genre de rencontres plus souvent, mais on est vraiment dans une région paumée, et pour ce qui est de trouver des couples avec un mec bi, c'est la galère. Alors là, justement le fait d'être en vacances nous permettait d'aller plus loin.

- Très bien, nous allons essayer de ne pas vous décevoir, mon mari devrait rentrer tout à l'heure et se joindra à nous, et j'espère aussi que je pourrais vous présenter notre copine Claudine dans les prochains jours. Bon, j'enlève mon tee-shirt, il fait chaud ce soir.

 

Le soutien-gorge de Florence n'est pas vraiment ce qu'il y a de plus sexy, mais enfin, il n'est pas si mal et moule bien sa jolie poitrine. Le Bertrand reluque à la façon du loup de Tex Avery, c'était le but du jeu.

 

- Hummm, j'ai l'impression que Bertrand a envie de voir ma poitrine ?

-  Ma foi, ça ne me déplairait pas !

- Je m'en doute bien, qu'est-ce qu'on fait Sophie, on lui fait plaisir, je lui montre ?

- C'est comme vous voulez, mais le pauvre va être tout excité ! Répond l'intéressée avec un petit air coquin.

- Et il faudra gérer son excitation, je suppose ?

- C'est exactement ça !

- Je crois que je saurais faire ! Conclut Florence. Allez Bertrand, dégrafez-moi ce machin.

 

L'autre n'hésite pas, mais tout énervé qu'il est, il doit se reprendre à trois fois pour soulever les agrafes.

 

- Alors, c'est comment ?

- Très joli :

- Touchez, je vous en donne la permission, vous pouvez même me l'embrasser.

 

Ah, ça, il n'hésite pas, le voilà en train de gober les nichons de Florence, amusant spectacle… mais voilà que la main de Sophie que je n'attendais pas si tôt arrive sur mon entrecuisse. Je l'encourage du regard, mais comme un con je viens de m'apercevoir que j'ai enfilé un bermuda sans braguette. Elle veut passer sa main par en haut mais c'est trop serré, et j'ai fait un nœud. Alors elle essaie de passer par la cuisse, mais ce n'est pas évident.

 

- Je vais l'enlever ce truc, dis-je en me levant.

 

Et j'enlève le calcif avec, me voilà la bite à l'air… et je n'ai pas le temps de me rasseoir que la Sophie me pompe pour la deuxième fois de la journée. Du coup Dominique se lève à son tour, dégage son organe et se place à mes côtés, réclamant son dû. La rouquine nous suce alors alternativement. J'hésite à lui demander de se déshabiller, après tout, ça se fera naturellement.

 

De l'autre côté de la table basse, Florence assise est en train de sucer Bertrand qui s'est relevé et n'en finit pas de lui peloter les seins. Le spectacle de sa femme en train de sucer des bites n'a pas l'air de lui déplaire. Florence s'en aperçoit et lance sa première tentative.

 

- Ça te plait de voir ta femme sucer des bonnes bites, hein ?

- C'est vraiment une belle salope !

- T'aimerais bien être à sa place, hein, rien qu'un peu pour voir ce que ça fait...

 

Pas de réponse.

 

- Viens on va regarder de plus près, ça va nous exciter, n'ai pas peur je vais continuer à m'occuper de toi ! Attends on va tirer un peu la table basse, aide-moi un petit peu... Voilà…

 

Les voilà tous les deux près de notre trio.

 

- Accroupis-toi près de moi !

 

Florence profite du moment où Sophie abandonne ma bite pour prendre en bouche celle de Dominique, pour me prodiguer quelques mouvements de fellation.

 

- Regarde comme elle est belle ! Dit-elle à Bertrand.

 

Il est fébrile, Bertrand, il sait où il a mis les pieds, il respire un grand coup.

 

- Je peux essayer ! Dit-il dans un souffle.

 

Mais déjà il a ma bite sans sa bouche. Bon c'est sa première pipe, c'est un peu mécanique tout ça et ça manque de technique et d'expérience, mais on va lui apprendre au Bertrand, on n'est pas vache.

 

- Alors c'est bon la bite ? Plaisante sa femme.

- Délicieux ! Je peux goûter celle-là aussi ? Répond-il en désignant le membre de Dominique.

 

Elle lui abandonne sa proie ! Et hop le Bertrand en est déjà à sa deuxième bite. Il passe de l'une à l'autre dans la plus grande confusion, puis se calme et conserve la mienne en bouche, ce qui permet à Sophie de sucer Dominique.

 

Florence est passée derrière Bertrand, et lui a fait glisser son bermuda.

 

- Oh ! Le joli petit cul ! Plaisante-t-elle.

 

J'essaie de me dégager de sa fellation, qu'il me fait plutôt mal, sans le vexer.

 

- Attend je vais te montrer quelque chose !

 

Je profite du fait que la bite de Dominique est de nouveau libre pour m'en emparer.

 

- Voilà, regarde bien les mouvements que je fais !

 

C'est pourtant pas difficile, comment j'ai fait moi, j'ai bien appris tout seul… question d'appétence peut-être, je ne vais pas lui faire un cours magistral non plus, mais lui montre comment je fais avec ma langue, et avec mes lèvres.

 

- Allez, fais comme moi ! Lui demandais-je en lui tendant ma bite.

 

Bon, ça va, il a compris, c'est nettement mieux, et pendant ce temps-là Florence lui lèche le trou de balle, tandis que Dominique prodigue la même caresse sur l'intimité arrière de Sophie.

 

Bientôt Florence remplace sa langue par son index et lui trifouille le fion. Du coup il a du mal à se concentrer sur sa fellation et m'abandonne la bite.

 

- T'aimes ça qu'on te tripote ton petit cul ? Hein ma salope !

- J'adore ça, continue !

- Sophie, elle te le fait souvent ?

- Oui, et elle me gode aussi !

- Et ce que tu voudrais c'est une vraie bite ? Une bonne bite pour ton cul de pédé ?

- Oui !

- Et bien tu vas même en avoir deux pour le prix d'une… Allez Thibault, encule-moi cette salope.

- Euh, déjà ?

- Bien sûr, tu en meurs d'envie !

 

Je lui tartine un peu l'anus avec du gel, je m'encapote… et allons-y la jeunesse, je rentre relativement facilement dans ce petit cul. Le voilà dépucelé, je vais et je viens, la situation m'excite. Sophie s'est rapprochée pour ne rien perdre du spectacle.

 

- Alors c'est bon ?

- Oui, il m'encule bien !

- Depuis le temps que tu voulais une bite dans le cul…

- Qu'est-ce que c'est bon !

- Prépare-toi tu prendras le relais ! Indique Florence à Dominique.

 

Je ne peux plus me contrôler, je vais jouir, je jouis dans la capote, Sophie se penche, que veut-elle faire ? Et puis soudain, je comprends, j'ai à peine sortie ma bite du cul de Bertrand, que la voilà qui me la met dans sa bouche et entreprend de nettoyer la capote… je n'ai pas eu le temps de regarder quel était son état, mais la dame à l'air de se régaler.

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Après cet intermède, Dominique nique à son tour le Bertrand… je passe devant et m'occupe de sa bite que tout le monde a négligée jusqu'ici. Comme beaucoup d'hommes il a du mal à bander pendant la sodomie, mais mes caresses buccales réveillent un peu la bête. Plus loin, les deux femmes ont entamé un soixante-neuf d'enfer… Heureusement que la ferme est éloignée parce que dans quelques instants les cris de plaisirs vont fuser.

 

Ça ne rate pas, Sophie d'abord, puis Florence dans la foulée… Dominique décharge à son tour. Il n'y a donc que Bertrand qui n'est pas joui.

 

- Viens me prendre, ma salope ! Lui propose alors Florence en se positionnant en une levrette des plus suggestives.

 

Il n'hésite pas, s'encapote à la vitesse grand V et la besogne à qui-mieux-mieux, provoquant des jappements de plaisir de sa charmante monture.

 

- Encule-moi ! Finit-elle par dire.

 

Il ne se le fait pas dire deux fois, lui pénètre l'anus avec une facilité déconcertante, s'excite, s'énerve et finit par jouir dans un râle.

 

Dans un geste provocateur, Florence se retourne, et se met à lui lécher la queue toujours encapotée sans avoir trop vérifié dans quel état elle était ressortie de son cul. Ce doit être dans ses habitudes.

 

On est tous un peu crevés, on reste à poil à l'exception de Florence qui a remis son haut mais pas son soutien-gorge.

 

- Si vous voulez rester pour le repas, j'ai de quoi faire une super grosse omelette ! Propose-t-elle.

- Pourquoi pas ? Répond Sophie, T'as besoin d'aide ?

 

Les deux nanas partent en cuisine, nous voilà entre hommes. En fait on est un peu gênés, comme ça, tous les trois, la bite à l'air.

 

- On se ressert un apéro ? Propose Dominique.

- Plutôt un jus de fruit, ou même de l'eau ! Répond Bertrand, en fait j'ai vachement soif.

 

Dominique se lève pour nous servir du jus de pommes, il s'amuse à tortiller du cul. Je le soupçonne d'avoir envie de recommencer à faire des galipettes.

 

- Alors c'était bon ? Demande-t-il à l'adresse de Bertrand.

- Tu parles de quoi ? Du jus de fruit ou de mon dépucelage ? 

- D'après toi ?

- J'ai un peu mal au cul, mais sinon c'était super.

- Et mon cul tu le trouves comment ? Demande Dominique.

- Il est joli !

- Touche-le si tu veux, j'ai envie de me faire caresser le cul.

 

L'autre accepte, il paraît un peu gêné, tout de même.

 

- Alors c'est doux ?

- Oui, c'est doux !

 

Mais la conviction n'y est pas trop. Un peu bizarre quand même d'autant qu'il n'a pas du tout l'air de regretter ce qu'on lui a fait… Mais peut-être après tout, le fait de toucher les fesses d'un homme ne l'intéresse-t-il pas ?

 

Dominique n'insiste pas et lui dit :

 

- Tiens j'ai une idée, je reviens dans dix minutes…

 

Je crois avoir compris ce qu'il est parti faire, mais je n'en dis mot, espérant que l'initiative plaira à Bertrand. En attendant nous voici tous les deux comme deux andouilles, je ne sais pas trop quoi lui dire… je lorgne vers sa queue.

 

- Elle est belle ! Enonçais-je.

 

Il me répond d'un petit sourire. J'y mets la main, il se laisse faire, je le branle, ça grossit vite, et le voilà qui bande, Du coup sa libido se réveille et il me touche la mienne. Petits moments de branlette mutuelle, il ne branle pas très bien, c'est trop rapide, mais peu importe ce que je veux c'est la sucer. Je me penche et hop, je la gobe. Là je me régale, depuis que je suis dans le Cantal, j'ai vraiment appris à aimer sucer les bites, je ne m'en lasse pas. J'alterne les grandes mises en bouches, les léchages de verge et les lapements sur le gland. Il est aux anges, le Bertrand.

 

- Tu suces bien ! Me confie-t-il

 

Ça fait toujours plaisir, je devais avoir un don caché… 

 

- Tu ne voudrais pas essayer de m'enculer ? Lui demandais-je.

- On peut toujours essayer ! Qu'il me répond.

 

Je n'y croyais pas, je n'ose pas lui demander de me "préparer". Dommage que sa femme soit en cuisine, elle aurait été directive. Je lui demande malgré tout de me mettre un peu de gel. Il se met la protection d'usage, je m'ouvre au maximum et ça rentre… non ça ripe… deuxième tentative, ça ripe encore, qu'est-ce qu'il se passe ? Allez une troisième fois.

 

- Je ne bande plus assez, s'excuse-t-il, mais on ressaiera, peut-être tout à l'heure.

 

Pas bien grave et voici que Dominique arrive :

 

- Salut les garçons !

 

C'est spectaculaire, c'est la seconde fois que je vois Dominique en fille. Visage maquillé avec application, y compris les yeux, petite perruque blonde frisée. Chemisier blanc très transparent laissant deviner un petit soutien-gorge à balconnet d'où émergent ses gros tétons. En bas une petite jupe noire, des bas résilles noirs et bien sûr des escarpins.

 

- Alors ? Demande-t-il en virevoltant devant Bertrand.

- Etonnant ! Répond ce dernier.

- Ça te tente ?

- Ça me trouble !

- Ça te trouble, mais est-ce que ça te tente ?

- Disons que je n'ai rien contre le fait de me laisser tenter…

 

Et sur ces entrefaites, les deux femmes reviennent de la cuisine. Sophie est marrante, elle a recouvert sa nudité d'un tablier, mais ses seins débordent, c'est assez cocasse.

 

- Oh ! Bonjour madame… mais c'est toi Dominique ?

- Oui, oui, c'est bien moi !

- Et ben, ça alors ! T'es mignon tout plein comme ça !

- Mignonne ! Il faut me parler au féminin quand je suis en fille.

- Ah ! Bon, ben c'est pas un problème, tu es une femme à bite alors ?

- Et tu aimerais faire des choses coquines avec une femme à bite ?

- Pourquoi pas ? Et toi Bertrand ?

- Ma foi, je ne dis pas non ! 

 

L'ambiance est chaude, Florence rigole et prend la parole :

 

- Je voulais vous annoncer que pour l'omelette on va la faire cuire un peu plus tard, on va attendre René, mon mari, il va arriver d'un moment à l'autre.

- Et il est prévenu de qui se passe ici ? S'inquiète Bertrand.

- Florence l'a chauffé au téléphone, à mon avis tu vas avoir droit à ta troisième bite dans pas très longtemps ! Répond Sophie.

 

Bon, qu'est-ce que je deviens dans toute cette affaire ? Manifestement notre couple de locataires a envie de se payer un délire avec Dominique et réciproquement. Il ne me serait sans doute pas opportun d'intervenir, mais il me reste Florence, heureusement…

 

Alors tandis que Sophie roule un patin à Dominique et que Bertrand fait tomber la robe de cette dernière dévoilant une jolie petite culotte rose et un porte-jarretelles assorti. Je chuchote à l'oreille de Florence.

 

- J'ai demandé à Bertrand de m'enculer, mais il n'y est pas arrivé, je suis en manque…

- Mon pauvre Biquet… et en plus je suppose que quand René va arriver c'est sur Bertrand qu'il va jeter son dévolu… ton petit trou du cul n'est pas près d'avoir de la visite.

- A moins que tu me prennes avec un gode ? 

- Ah, oui, c'est une bonne idée, ça. Je vais chercher l'objet, j'ai un joli gode ceinture, je n'ai jamais eu l'occasion de te le montrer.

 

Les deux locataires asticotent Dominique qui se retrouve bientôt la bite à l'air. Une bite bien raide que Bertrand a prise en bouche, tandis que Sophie s'occupe du verso du travesti. Sa langue s'agite sur son œillet brun. Dominique se trémousse et fait sa folle :

 

- Oh, vas-y lèche-moi mon trou à merde, c'est trop bon. Minaude-t-il

- Oui, ben justement, on ne peut pas dire qu'il sente la rose ton trou du cul !

- Oh ! Alors arrête, j'ai du mal m'essuyer tout à l'heure, je suis désolé.

- Non, non, je finis toujours ce que j'ai commencé… et puis en fait ça ne me dérange pas tellement !

- Oh ! Quelle coquine tu fais, allez vas-y continue, nettoie-moi le troufignon puisque tu aimes ça !

- Bien sûr que j'aime ça, un jour, je te servirais de papier à cul… 

- C'est vrai ! Cochonne, va !

 

Florence revient harnachée d'un gode ceinture, un machin noir assez gros. Du coup j'ai un peu la trouille que ça me fasse mal.

 

- C'est pas un peu gros ?

- Tais-toi, je ne voulais pas le sortir si tôt mais puisque tu me l'as demandé, tu vas l'avoir. Suce-le, salope !

 

Je me prends au jeu et je suce le gode en latex, m'imaginant qu'il s'agit d'un vrai. Pendant ce temps-là Sophie fait aller et venir un, puis deux doigts dans le fondement de Dominique. Elle les ressort au bout d'un moment, constate leur état et fait semblant de s'énerver.

 

- T'es vraiment dégueulasse, tu as vu dans quel état tu as mis mes doigts ?

- Ma pauvre bichette, je croyais que ça ne te dérangeais pas ?

- Tu ne crois quand même pas que je vais bouffer de l'omelette avec des doigts plein de merde ?

- N'exagérons rien, ils sont à peine pollués.

- Alors dans ce cas, ce ne devrait pas être une corvée pour toi de les nettoyer !

 

Bien joué ! Dominique lèche donc les doigts de Sophie sans problème apparent, puis tend son cul, invitant Bertrand à le pénétrer. 

 

Miracle de la simultanéité, le gode de Florence s'enfonce dans mon cul en même temps que la bite de Bertrand dans le cul du travesti. On se fait bourrer en cadence, tandis que Sophie est partie s'astiquer la minouche sur le canapé en ne perdant rien du spectacle…

 

… Et c'est à ce moment-là que René rentre.

 

- Et bien il y a de l'ambiance ici, bonjour messieurs dames, moi c'est René, je suis le mari de Florence !

- Moi c'est Bertrand, se présente ce dernier. Permettez-moi de finir d'enculer votre neveu, ou votre nièce, je m'y perds, avant de vous rejoindre.

- Je vous en prie, faite comme chez vous, ce petit cul est délicieux, je l'ai souvent pratiqué, je ne m'en lasse pas.

- Ah, bon, vous enculez votre neveu ?

- Oui et il adore ça, et il suce bien aussi !

- Eh ben, quels cochons ! Moi, c'est Sophie, si voulez venir me rejoindre, ce ne sera pas de refus, toutes ces méchantes gens m'ont laissée seule et j'en suis réduite à me masturber toute seule.

 

Il y a des choses qu'il est inutile de dire deux fois à René. Il s'installe sur le canapé à côté de Sophie et commence à la peloter, puis il lui embrasse le bout des seins.

 

- Monsieur René ?

- Oui c'est moi !

- Vous n'avez pas de bite ?

- Pardon ?

- Je voulais savoir si vous avez une bite ? Répète-t-elle en mettant la main là où elle se trouve.

- Ben, vous voyez, vous l'avez trouvé !

- Sortez-moi ça que je la suce !

- Vos désirs sont des ordres… 

- Oh le bel organe. C'est mon mari qui va être content !

- Votre mari suce des bites ? Demande hypocritement René qui bien sûr avait été mis au courant de tout ça téléphoniquement par son épouse.

- Il a sucé ses deux premières bites aujourd'hui ! Jamais deux sans trois n'est-ce pas ?

- D'accord c'est promis, je vais lui en garder un peu, mais en attendant occupez-vous de la mienne.

- Volontiers, mais si vous pouviez me dégager tout ça, j'aurais ainsi le plaisir de vous peloter les fesses tout en prodiguant ma fellation.

 

Tout le monde s'amuse bien, je me fais défoncer par le gros gode-ceinture de Florence. Heureusement l'objet est souple, il est souple mais il est gros. Et soudain il m'arrive un truc de dingue, du sperme se met à couler de mon sexe sans qu'il y ait eu d'éjaculation.

 

- C'est normal, c'est le frottement sur la prostate qui fait ça ! Me rassure Florence.

 

Je me repose un peu. Bertrand exténué et en sueur arrête de limer Dominique et s'affale sur une chaise à mes côtés, avant de se raviser en demandant l'autorisation de prendre une douche. Je lui montre où ça se passe mais je ne reste pas avec lui… On jouera à la savonnette un autre jour. Du coup c'est Dominique qui vient à mes côtés, il doit manquer d'affection car le voilà qui me roule une pelle. Je me laisse faire. Après tout il embrasse bien !

 

Sur le canapé, René est en train de prendre Sophie en levrette. Quant à Florence elle débarrasse la table…Je l'aide un peu… je commence à avoir faim.

 

Et voilà que Bertrand revient, tout beau tout propre, mais pas très sec.

 

- Je me suis permis de vous emprunter une serviette ! Commente-t-il

 

Il est un peu à l'ouest, on le voit bien qu'il a emprunté une serviette, il en est entouré.

 

- T'es pas beau comme ça ! Le taquine Florence en lui retirant la serviette, je te préfère à poil.

 

Elle lui tripote un peu la bite, il se laisse faire, bande assez vite, elle le suce un peu histoire de le chauffer.

 

- Venez donc par ici ! Lui demande René qui continue à besogner Sophie.

 

Il a compris le message, il s'avance, place sa queue à hauteur du visage de René afin que ce dernier puisse le prendre en bouche.

 

- On va changer, tu vas me sucer, et pendant ce temps-là je vais sucer Sophie. Propose René.

 

Le trio se met en place et tandis que René lèche le sexe de la jolie Sophie, Bertrand suce sa troisième bite de la journée en ne cachant pas son plaisir.

 

- Allez suce-moi bien, j'attends que Sophie jouisse et après je vais t'enculer !

- Humpf, Humpf ! Répond ce dernier, la bouche pleine.

 

Sophie finit par hurler, et s'affale comme une chique molle, à moitié groggy.

Mais voici que Javert, le labrador de la maison fait son apparition en remuant de la queue comme un métronome. Il renifle un peu partout et jette son dévolue sur Sophie en venant entre ses cuisses.

 

- Oh ! Mais ça va pas, le chien ! Couché ! J'ai dit couché.

- Il n'est pas méchant ! Précise Florence revenue de cuisine.

- Oui, mais il veut me faire des cochonneries !

- Javert ! Viens ici ! Laisse Sophie tranquille.

 

Florence se rassoit, et du coup le chien s'en va la voir.

 

- Il est vicieux votre chien ! Ne peut s'empêcher de s'exclamer Sophie.

- Oui, mais il est si gentil !

- Il est en train de vous lécher la chatte !

- On dirait bien, oui !

- Et vous le laisser faire ?

- Oui, j'aime bien !

- Mais t'es une vraie salope ! (elle dit ça sans aucune animosité)

- Ça te choque ?

- Dison que c'est inattendu, j'ai déjà vu des vidéos sur Internet, des femmes qui se font monter par leur chien !

- Ben oui, c'est amusant, c'est excitant !

- Tu fais ça aussi ?

- Ça m'arrive.

 

Manifestement pendant quelques secondes, Sophie ne sait plus où elle en est.

 

- Tu devrais essayer tu en meurs d'envie ! Intervient Bertrand.

- OK, je me lance, renvoie-moi le chien, Florence, je vais me laisser faire.

 

Et c'est ainsi que Javert revint entre les cuisses de Sophie pour venir lui laper le minou.

 

- Oh ! Quelle langue !

- T'es vraiment une salope ! Te faire sucer par un chien ! Lui dit Bertrand.

- Oh oui, traite-moi encore de salope, ça m'excite !

- Tu veux qu'on lui suce la bite ! Propose Florence.

- La bite du chien ?

- Ben oui !

- Non quand même pas !

- Juste pour essayer !

- Alors d'accord juste pour essayer.

 

On couche le chien, Florence s'empare de la bite et commence à sucer avant de la proposer à Sophie qui a un mouvement de recul, puis ferme les yeux et se reprend.

 

Sophie se prend au jeu et comme elle a le croupion relevé, je m'autorise à lui doigter le trou du cul !

 

Le chien finit par éjecter un flot de liquide visqueux.

 

- Dommage je me serais bien fait monter... Déplore Florence.

 

Ce spectacle étant terminé, Bertrand qui a de la suite dans les idées est déjà en levrette, attendant l'assaut… et tandis que Florence part enfin faire cuire l'omelette, René encule le locataire.

 

Dominique proteste

 

- Et moi, alors ? Depuis que Thibault est là tu ne m'encules plus !

- Gros jaloux, place-toi à côté de Bertrand, je vais vous enculer tous les deux.

- Merci tonton !


à suivre
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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:21

Les libertins du Cantal

1 – Pension de famille

par Enzo

 

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Bonjour

 

Je m'appelle Thibault et je suis encore étudiant. Je suis châtain très clair, assez fin et je porte des lunettes en permanence. Je suis très porté sur le sexe et si j'adore les femmes, il m'est déjà arrivé lors de petites sauteries étudiantes de faire des choses avec des gens de mon sexe. 

 

Quelques semaines avant les vacances, ma petite amie a rompu avec moi. Ma mère auprès de laquelle je me suis confié a souhaité me consoler en me faisant une bonne branlette puis en me conseillant d'aller un peu à la campagne. Ne sachant pas trop où aller, je me retrouve quelques jours plus tard avec une adresse, il s'agit d'un couple d'amis d'une collègue de bureau de ma génitrice. Ils habitent le Cantal et louent pour les vacances quelques-unes de leurs chambres. Voici donc des vacances gratuites (merci maman)

 

Bon, on y va…

 

Après avoir galéré toute la journée, le train, le car, puis le taxi, j'arrive dans ce coin paumé à la tombée de la nuit. Très bon accueil, Florence est une jolie brune, la quarantaine épanouie, un beau sourire, une voix très suave et une jolie silhouette, elle me montre ma chambre… et là, première surprise, pas de coin cuisine, pas de douche, et même pas de chiottes. Elle paraît étonnée que je ne sois pas au courant et m'explique que dans cette partie, c'est la formule pension de famille, les repas se prennent donc… en famille et pour les commodités, je devrais me servir de ceux de la maison… Voilà qui ne me plait guère et je décide donc que je ne resterai pas… mais que je ne repartirai que le lendemain, car pour l'instant je suis crevé. Je précise à la dame que je n'ai pas faim, demande où sont les toilettes et vais me coucher direct.

 

Mal dormi, hâte de me barrer d'ici, mais rien ne presse, je vais au toilettes, remets mes habits de la veille, et comme j'ai un petit creux je descends voir si on m'a préparé quelque chose, je prendrais ma douche après... 

 

Florence est là, en robe de chambre en train de se tartiner une tranche de pain.

 

- Alors Thibault, bien dormi ?

 

Quelle familiarité ! Je n'ai pas autorisé cette bonne femme à m'appeler par mon prénom… mais bon, quelle importance ?

 

- Non, mais ce doit être le changement d'air. Bougonnais-je en guise de réponse.

- Vous verrez, vous allez vous plaire ici...

- Justement, je ne sais pas si je vais rester.

- A bon ? Un problème ?

- … votre… votre…

- Pardon ?

- Votre robe de chambre s'est ouverte…

 

Effectivement, et quel spectacle, les seins de cette femme qui s'offrent subrepticement à ma vue sont magnifiques, et voilà que je bande comme un âne. Et ces tétons ! Mon Dieu, ces tétons !

 

- Ah, oui, elle s'ouvre tout le temps, celle-ci ! Dit-elle en se réajustant, mais c'est pas bien grave, on est très décontracté ici, j'espère que je ne vous ai pas choqué, au moins ?

- Non, non…

- Par contre, on dirait que je vous ai fait de l'effet !

 

La salope, elle a maté ma braguette ! Et ce n'est pas ça qui va me faire débander.

 

- Normal je suis un homme.

- Vous me trouvez comment pour mon âge ?

- Très belle !

- Vous dites ça pour me faire plaisir !

- Non, non !

- Vous voudriez revoir un peu ?

- Je…

 

Elle ouvre de nouveau sa robe de chambre, l'enlève carrément, pivote sur elle-même afin de me montrer ses fesses… Je ne sais plus où me mettre. Je suis tombé sur la nymphomane du coin et je ne sais pas comment résister.

 

- Alors ?

- Je confirme, vous êtes très belle.

- Merci, dit-elle en remettant sa robe de chambre, mais sans l'attacher, il n'y a que nous deux ici ce matin, mon époux est parti aux champignons avec son neveu…

 

Bon, si ce n'est pas une proposition, c'est quoi ?

 

- Et puis, continue-t-elle, il n'est pas jaloux, il serait mal placé, d'ailleurs, il me fait cocu comme une femme de facteur, il baise tout ce qui a un cul, les femmes, les hommes… mais c'est un mari charmant, prévenant, un compagnon agréable et puis je l'aime, mais ça ne m'empêche pas de faire moi aussi mes petits extras. C'est de bonne guerre, non ?

 

Elle me caresse la joue du bout de doigts, ses seins sont à quelques centimètres de mon visage, je n'en peux plus...

 

- Je peux toucher ? Balbutiais-je

- Bien sûr, mon biquet.

 

Elle s'approche et je lui caresse les seins. Elle, de son côté me met la main à la braguette.

 

- Oh, le joli paquet qu'il y a là-dedans ! Je peux voir ?

- Il est à votre disposition…

- Je l'entends bien comme ça, mais j'aimerais que tu te déshabilles.

 

Elle me dit ça avec un tel sourire que je ne peux qu'obéir.

 

- Et bien en voilà un mignon petit jeune homme, et puis complètement épilé… et ces quoi ces petits anneaux sur tes seins, tu ne serais pas un peu maso, toi ?

- Très légèrement, très légèrement…

- Voyons ça ! Dit-elle en tirant dessus.

 

Je pousse un râle !

 

- Mais c'est qu'il aime ça le biquet, je suis sûr que tu aimes un tas de choses, toi ? Pas vrai ?

- On peut dire ça comme ça !

- Tourne-toi ! Oh les jolies petites fesses ! Comme elles sont mignonnes…

 

Et voilà qu'elle me triture le cul, qu'elle m'embrasse les fesses.

 

- Hum, je vais t'embrasser le trou du cul, j'adore ça ! 

 

J'aurais préféré qu'elle s'occupe de mon sexe, mais je suppose que ça viendra après.

 

- Hum, tu n'as pas pris ta douche, toi !

- Ben non, je comptais la prendre après le petit déjeuner… Je ne pouvais pas savoir que…

- Que quoi ?

- Que nous ferions ce genre de choses !

- Certes, et un doigt, tu aimes bien ?

 

Elle me demande, mais son doigt est déjà là !

 

- Attends, je vais me mettre comme ça… je pourrais te sucer la bite et te faire le cul en même temps.

 

C'est trop bon, j'ai peur de partir trop vite. Elle suce trop bien et son doigt dans mon cul est un régal.

 

- Tu veux que je retire mon doigt ?

- Non, non, continue…

- Hum, d'accord, c'est que t'aimes ça un doigt dans le cul ? Tu ne serais pas un peu pédé, toi ?

 

La question est embarrassante, je ne réponds pas, du coup elle me met un deuxième doigt. Quel bonheur !

 

- Allez viens dans ma chambre, on sera mieux...

 

Elle s'étale dans le lit sur le dos, me laissant ainsi l'initiative, je n'ose pas l'embrasser sur la bouche, mais par contre je lui lèche longuement les seins, titillant les pointes pour les faire grossir… Je ne m'en lasse pas...

 

- Si tu allais plus bas…

 

J'ai compris le message, sa chatte est toute trempée, je lèche là-dedans, écarte un peu tout ce fouillis, me régale de ses sucs, puis attaque son clitoris gentiment redressé et qui n'attendait que ma langue. Une minute après, Florence gueule comme une bête en se raidissant sur le plumard. Cela en est impressionnant. Un ange passe, puis elle me prend dans ses bras, m'embrasse d'abord chastement avant de me rouler un patin en règle tandis que sa main est déjà revenue sur ma bite. On a complètement changé de position, la voilà qui me suce la quéquette, tandis que sa main passant sous mes fesses réattaque mon cul avec son index... Elle me suce ainsi quelques minutes, puis se relève.

 

- Bouge pas, je cherche un truc !

 

Elle sort d'un tiroir un godemiché très réaliste et le recouvre d'un préservatif.

 

- Tu veux ?

 

Je ne suis pas sûr de ce qu'elle me demande.

 

- Tu vas faire quoi avec ça ?

- T'enculer !

- Peut-être pas !

- On va essayer, si ça te plait pas, on arrête, allez en position, tends-moi bien ton petit cul de pédé !

 

Je suis très joueur et j'obtempère, en fait je n'ai pas d'appréhension, des godes je m'en suis déjà introduit, mais je ne voulais pas qu'elle le sache. Ça y est, je l'ai dans mon cul, elle le fait aller et venir, je suis aux anges. Qu'est-ce que c'est bon de se faire ramoner le cul !

 

- C'est bon ?

- Génial, super !

- Je continue !

- Oui !

- Et avec une vraie bite tu as déjà essayé ?

- Non !

- Tu voudrais essayer ?

- Peut-être un jour, rien ne presse.

 

Elle continue à m'astiquer le fion pendant quelques minutes, puis ressort le machin, et se met en levrette.

 

- Allez mets-toi une capote, c'est à ton tour de m'enculer.

 

Je ne me le fait pas dire deux fois, je me positionne derrière elle, ça rentre comme dans du beurre, quelques mouvements de va-et-vient et je jouis. Elle aussi, à moins qu'elle ait simulé, alors histoire de ne pas être vache je m'apprête à lui lécher de nouveau son clitoris.

 

- Non attends un peu, il est encore trop sensible.

 

Bon, bon ! Elle se remet sa robe de chambre… Dommage je serais bien resté plusieurs minutes dans ses bras nus. J'adore qu'on me câline !

 

- Tu as déjà sucé des bites ! Me demande-t-elle à brûle-pourpoint.

- Oui comme, ça une ou deux !

- Comment ça une ou deux ? Tu ne te rappelles plus si c'est une ou si c'est deux…

 

J'ai dû rougir, car voyant mon embarras elle cherche à me rassurer.

 

- Moi les histoires d'hommes entre eux, ça m'excite, tu ne veux pas me raconter ?

- Rien de bien extraordinaire. C'était à une soirée étudiante dans une grande propriété, on devait être une vingtaine, des garçons, des filles, ça a vite tournée en partouze, il y avait là un mec très ambigu, très beau en fait, un espèce d'ange, il s'est mis à me caresser, les nanas à côté de moi m'ont demandé de me laisser faire, alors il m'a tripoté le sexe, me l'a un peu sucé et il m'a demandé de lui faire pareil, j'ai hésité, mais les filles m'ont mis au défi, alors je me suis lancé, ça m'a bien plus, du coup un autre étudiant s'est pointé et je l'ai sucé aussi. Il voulait aller plus loin, mais je n'étais pas prêt pour ça.

- Et tu as aimé faire ça ?

- Oui !

- Tu recommenceras ?

- Si l'occasion se présente…

- Si ça te dis, mon mari, il a une très belle queue, je suis sûr que tu aimerais bien la sucer… et après il pourrait te prendre, il fait ça très bien. Souvent, il encule mon neveu devant moi, c'est génial… 

- Ah, oui ?

- Mon connard de frère l'a viré de chez lui quand il a appris qu'il était à moitié pédé, alors on l'a recueilli et en échange il nous donne un coup de main.

 

Eh bien, quelle famille !

 

- Ah mais j'oubliais, reprend-elle, ça ne va pas être possible, puisque tu as décidé de ne pas rester.

- Euh, tout compte fait, je vais peut-être rester un peu…

- Je l'aurais pariée ! Dit-elle en se levant du lit. Je vais aller faire pipi, tu viens avec moi ?

 

Je la suis, je suppose qu'elle va me proposer de la regarder pisser, si c'est ça je ne vais pas dire non ! C'était bien ça !

 

Elle s'assoit sur la cuvette de façon à ce que je puisse bien voir… Effectivement un jet impressionnant ne tarde pas à jaillir, et mon sexe recommence à gonfler.

 

- Ça t'excite, hein de voir une femme qui pisse !

- J'avoue !

- Oh ! Je crois bien que je vais faire une petite crotte, ça ne te dérange pas 

- Euh… non.

 

Elle a poussé, une petite merde est sortie de son cul. J'ai trouvé ça rigolo.

 

- La prochaine fois, je te pisserais dessus, si tu veux !

- Pourquoi pas ?

- En revanche si toi tu as envie, tu peux m'asperger, et après on prendra notre douche ensemble.

 

Je n'en reviens pas d'une telle proposition, l'uro m'amuse et je m'y suis déjà essayé avec une copine, mais là…

 

- Vous voulez-dire, vous voudriez que… que…

- Bon écoute, tu vas peut-être arrêter le vouvoiement… allez pisse ! Pisse-moi dessus…

 

Gros effort de concentration mais ça finit par venir. Le jet atterrit sur son ventre, je le dirige mieux de façon à arroser ses seins. Elle ouvre la bouche, j'ai compris le message, je vise et elle en avale une bonne rasade.

 

- Humm, ça m'excite ce truc-là, dit-elle en agitant frénétiquement deux doigts contre son clitoris.

 

Je ne sais pas trop quoi faire, il y cinq minutes, elle me disait qu'il était encore trop sensible…

 

- Viens lécher !

 

OK, me revoilà entre ses cuisses, tout cela sent l'urine mais ça ne me dérange pas, je la lèche consciencieusement, c'est bien plus long que la première fois, à ce point que je commence avoir des crampes à la mâchoire… Mais son orgasme est aussi plus fort. Elle pousse un cri de furie en se tétanisant sur le siège de la toilette, c'en est impressionnant.

 

- Maintenant une vraie douche, tu vas me savonner, j'adore qu'on me savonne…

 

Ben voyons !

 

On est resté je ne sais combien de temps sous la douche, je l'ai caressé sous toutes les coutures, introduisant à sa demande mes doigts partout. Elle, de son côté n'était pas en reste, me tirant sur mes piercings, me branlant, me titillant les testicules et me doigtant le trou du cul. Elle finit par s'agenouiller entre mes cuisses et me faire jouir dans sa bouche… et là au lieu de recracher elle voulut m'embrasser… drôle d'impression…

 

René, son mari et son neveu Dominique, sont rentrés un peu avant midi. Brèves présentations, ces messieurs sont sympathiques et joviaux, René, la bonne quarantaine, sportif et beau garçon, Dominique, fluet, légèrement efféminé, très souriant.

 

Je ne suis pas fou, je me doute bien que Florence a parlé aux deux lascars de ce que nous avons fait ensemble ainsi que de ses propositions, mais pendant le repas pris ensemble, le sujet n'est pas abordé. J'ai bien mangé et la conversation était intéressante, ces gens-là sont vraiment sympathiques, intéressants et intelligents. Décidemment, je crois bien que je vais rester.

 

L'après-midi, Florence et René étaient occupés, ils ont suggéré à Dominique de m'emmener jusqu'à une fromagerie située à quelques kilomètres, prétexte à faire une bonne balade. Va-t-il en profiter pour essayer de me draguer ? Suspense… mais je décide de jouer le jeu. En fait il passe son temps à me raconter des tas d'anecdotes sur les lieux que nous apercevons, le mec est vraiment captivant… et puis au détour d'un chemin, il me dit qu'il a envie de pipi. Il pile, baisse son bermuda devant moi, et le voilà les fesses et la bite à l'air… il pisse en plein milieu du chemin, puis virevolte en se tripotant son engin, il me fait un clin d'œil et voilà que je bande… et qu'il s'en aperçoit.

 

- Si tu veux me caresser, je ne dis pas non, mais si tu ne veux pas, on n'en parle plus, je ne serais pas fâché. Me dit-il.

 

Mais déjà une force invisible a porté ma main sur ses fesses que je caresse…

 

- C'est doux, hein ! Caresse ma bite !

 

J'avais dit que je jouais le jeu, alors je le joue, je prends sa queue dans les mains et la masturbe un peu, elle est magnifique cette bite, bien droite, bien blanche avec une grosse veine, et un joli gland violacé et brillant d'excitation. J'ai vraiment envie de la sucer… je ne sais pas encore si je vais attendre qu'il me le demande ou si je vais prendre l'initiative.

 

- Florence t'as dit que mon truc c'était de m'habiller en femme ? M'indique Dominique

- Oui ! 

- Si tu veux je te montrerais, ce soir, tu veux ?

- Oui, bien sûr.

- Comme ça tu pourras me prendre, et pendant ce temps-là René t'enculera bien comme il faut. Il fait ça divinement, et il a une si belle bite ! J'y suis accro.

 

Ok, ça c'est le programme de ce soir, mais là pour l'instant on fait quoi ?

 

- Quand je suis en fille, je suis plutôt passive, quand je suis en garçon, je suis plutôt actif… Tu ne veux pas me sucer ?

 

Je ne réponds même pas, j'ai déjà sa queue dans la bouche. Ce n'est pas vraiment une première, mais je n'ai pas fait ça souvent… et là je me régale, le lèche, je suce, j'aspire.

 

- Arrête, v'la du monde !

 

Merde, c'est vrai en plus, un couple de randonneurs, ils ne nous ont sûrement pas vu, mais ils s'approchent par le chemin en lacet.

 

- Viens, je connais un coin où on sera peinard… allez viens, je suis frustré, je n'ai même pas vu ta queue.

 

On marche encore une demi-heure avant d'arriver devant une baraque en bois. Je crois l'endroit abandonnée, mais Dominique frappe à la porte et un sexagénaire barbu vient nous ouvrir.

 

- Bonjour, père Michel, je te présente Thibault, on voulait faire des choses ensemble, mais il y a des randonneurs… alors je me suis dit qu'ici on serait tranquille, et puis ça va te faire un spectacle.

- Entrez, je vais voir si j'ai un drap propre pour mettre sur le lit… vous voulez une bière ?

- Non après peut-être tout à l'heure, à moins que Thibault en veuille une…

- Non, non…

 

Le père Michel a la grande bonté d'actionner un spray de déodorisant. Il y en avait besoin. Sinon c'est un peu le bordel cette baraque, rien n'est rangé et le dernier ménage ne doit pas être récent. Je suis quand même un peu gêné et dès que le père Michel a le dos tourné, je le dis à mon compagnon :

 

- On ne va quand même pas faire ça ici devant lui ?

- T'inquiète pas, il est super cool, le père Michel… Allez enlève moi tout ça…

 

Je rêve ! Mais j'avais bien dis que je jouerais le jeu, me voilà à poil ce qui provoque un sifflement d'approbation du père Michel.

 

- Il est bien mignon ton copain, une belle bite comme je les aime…

 

Le père Michel se met à poil à son tour, ça ne me plait pas trop, mais il finit par s'assoir, gardant juste un string féminin rouge vif, complètement incongru, par lequel il fait dépasser son sexe par le côté.

 

Prenez une serviette propre, dans le bas de l'armoire, je ne trouve pas de drap ! Nous indique-t-il.

 

Nous voilà, Dominique et moi à genoux, l'un en face de l'autre sur le plumard. Il me tripote la bite et j'en fais autant avec la sienne qui grossit à vue d'œil.

 

- Allez suce, fait la bien bander !

 

Je ne me le fais pas dire deux fois, et me voilà de nouveau avec ce bel organe dans ma bouche. Cette fois je peux y aller sans appréhension, personne ne nous dérangera… je jette un coup d'œil en direction du père Michel, il se masturbe mollement et se tortille les tétons en ne ratant rien du spectacle. 

 

La bite de Dominique est bientôt raide comme un saucisson sec, je prends du recul, le gland dont la couleur tire sur le violet et qui luit à la lumière est magnifique, je l'embouche de nouveau et fait danser ma langue.

 

- C'est bon, je vais t'enculer, me dit Dominique, tourne-toi !

 

Je n'hésite même pas ! Me voilà en levrette tandis mon partenaire me lèche le fion en me complimentant :

 

- Humm, il est bon ton cul !

 

Je ne sais pas s'il est bon, mais ce qu'il me fait est tout à fait émoustillant, un doigt vient bientôt remplacer sa langue… puis un petit break, le temps qu'il s'encapote, il s'approche, me demande de l'aider en poussant, ce que je fais, il s'y reprend à plusieurs fois et finit par entrer.

 

- Tu la sens, ma bite ?

- Oui, vas-y encule-moi !

 

C'est le branle-bas de combat dans mon cul, ça va et ça vient et ça me fait un bien fou… Il est déchaîné le Dominique, le vieux sommier fait un bruit d'enfer… il finit par jouir en s'écroulant sur moi. Il décule me laissant avec le cul ouvert, drôle d'impression, manque d'habitude, peut-être… Je suppose qu'on va invertir les rôles, mais…

 

- Si tu enculais le père Michel, ça lui ferait plaisir ! Me suggère Dominique.

 

Le vieux sans attendre de réponse s'est déjà mis en levrette à même le sol de sa baraque.

 

On m'aurait proposé ce scénario il y a un quart d'heure, j'aurais carrément refusé, mais là ce doit être l'excitation, je m'enfile la capote que me tend Dominique, me positionne derrière l'ermite et le pénètre avec une facilité déconcertante. Je bouge un peu, essaie de ne pas partir trop vite, mais l'excitation est trop forte, je ne me contrôle plus et finit par décharger en poussant un rauquement de plaisir.

 

Il me félicite, me dit que je l'ai bien enculé, Dominique lui propose de le sucer mais il dit préférer se branler quand nous serons partis. Il nous offre de la bière, elle est tiède, mais ça désaltère quand même, puis se met à nous raconter ses souvenirs… des histoires d'aires d'autoroutes, car il avait été chauffeur routier, des bites qu'il suçait à la chaine, des partouzes dans les toilettes.

 

- Dés fois je me changeais en fille dans ma cabine, j'avais une petite robe, une perruque, je me maquillais, je me faisais appeler Micheline, j'avais du succès, maintenant je ne peux plus me travestir, le physique ne suit plus, on ne peut pas être et avoir été….

 

On finit par partir, on lui promet de revenir dans quelques jours. 

 

- Comment t'as connu ce vieux ? Demandais-je.

- C'est un type qui a hérité d'un bout de terrain, il s'est construit sa baraque dessus, il se débrouille… Un jour je me baladais, et un gros orage est dégringolé, je lui ai demandé de m'abriter. Il m'a offert une bière, on a papoté, et puis je me suis aperçu qu'il avait dans un coin quelques revues pornos avec des transsexuelles… le reste s'est fait tout seul…, il m'a sucé, je l'ai enculé… je l'aime bien, il est sympa ! 

 

- Bon, on va voir Claudine ! M'informe-t-il

- C'est qui, ça Claudine ?

- Ben c'est la nana qui fait des fromages. Tu vas voir, tu ne devrais pas être déçu ! Me confie Dominique.

- Ah, ah ! Et pourquoi donc ?

- Surprise, fais-moi confiance. Bon allons-y, il y a une heure de marche, je suis un peu crevé.

 

Claudine a de jolis cheveux auburn, coupés assez courts, elle doit avoir la quarantaine, une robuste femme aux formes bien affirmées, son visage à un côté "Belle des champs" qui lui va très bien, de beaux yeux bleus aussi. Elle salue Dominique en l'embrassant avec bonne humeur.

 

- C'est Thibault ! Me présente-t-il. Il est aussi cochon que moi !

 

En voilà une façon de me présenter, je deviens rouge de confusion.

 

- Alors on se fait la bise ! Embraye la fromagère. Je suis un peu débordée, mais entrez cinq minutes…

 

Elle nous propose du café et nous fait entrer dans la partie privée de son corps de ferme, puis nous laisse quelques instants, histoire de faire bouillir la cafetière.

 

- Tu vas voir, elle est super sympa ! Me dit Dominique

- Oui ça a l'air !

 

Claudine revient avec le café, nous le sert.

 

- Alors comme ça, vous êtes aussi cochon que Dominique, c'est vrai ça ? M'apostrophe-t-elle

- Je ne suis pas cochon, j'aime les plaisirs de la vie ! Parvins-je à balbutier.

- Vous avez bien raison ! Répond-elle.

 

Puis elle s'approche de Dominique, et lui met sa main sur la braguette.

 

- Et ça c'est en forme aujourd'hui ? 

- En pleine forme ! Tu peux lui faire prendre l'air si tu veux ?

- Je te dis, je n'ai pas beaucoup de temps… et puis, je ne voudrais pas gêner ton ami !

- Ça ne le gênera pas du tout, il la connait ma bite, il la même déjà sucé ! N'est-ce pas Thibault ?

 

Je réponds par un sourire niais, que la marchande de fromage doit prendre pour un signe d'encouragement car voici la bite de Dominique de nouveau sortie de sa braguette.

 

- Toujours aussi mignonne, cette quéquette ! Commente-t-elle en la masturbant un petit peu.

 

Puis, elle la porte à sa bouche et se met à la sucer ! Pour ma part je bande comme un dingue et me tripote l'entre jambe d'un air faussement négligé ! J'aimerais bien qu'elle s'occupe aussi de moi, j'aimerais bien la voir un peu déshabillée, la fromagère… j'aimerais bien un tas de choses.

 

Claudine fait une petite pause et tout en caressant les couilles de Dominique, elle me demande :

 

- Alors comme ça, toi aussi tu aimes bien sucer des bites ?

- Ben c'est un peu nouveau, mais j'avoue que ce n'est pas désagréable !

- Et tu t'es déjà fait enculer aussi ?

- Oui ! C'est tout récent d'ailleurs !

- Oh, ça m'excite de faire des trucs avec des mecs qui s'enculent… dommage que j'ai pas trop de temps… suce-le un peu pour me montrer comment tu fais.

 

Ok, je reprends dans ma bouche la bite de Dominique, je vais finir par la connaître par cœur, mais c'est vrai que je ne m'en lasse pas. Pendant ce temps-là fromagère a ôté sa blouse, enlevé son pantalon et retiré sa culotte. Mais elle ne va pas plus loin. Elle a une touffe de poils impressionnante, et je suis en train de me demander si je peux pendre l'initiative d'y aller voir de plus près… mais elle ne me laisse pas ce temps…elle se couche en deux sur la table, le cul offert. Le cul ! Qu'il est beau son cul ! Je bande comme un malade.

 

- Allez, Dominique ! Bourre-moi le cul !

- Directement !

- Oui, directement, un bon petit coup vite fait, après je retourne au travail… tu aurais dû me téléphoner au lieu de te pointer comme ça, on se serait organisé… Aïe ! Oh, oui vas-y enfonce moi bien ta bite, je la sens bien, allez encule-moi, c'est bon !

 

Il y met une telle énergie que la table avance toute seule. J'ai sorti ma bite mais je ne sais pas trop quoi en faire, me faire sucer en même temps est impossible dans la position qu'ils ont adoptée.

 

Claudine s'efforce d'étouffer ses cris de plaisir, son visage se congestionne, elle serre les dents. Dominique finit par jouir dans un râle et décule.

 

- Tu veux la sienne ? demande-t-il

- Oui, viens vite !

 

Proposition inespérée, je m'encapote (si ça continue comme ça on va épuiser tout le stock de Dominique) et pénètre dans le trou béant. Je la laboure en fermant les yeux, je suis dans un autre monde, je dois accélérer le mouvement pour qu'elle reprenne ses râles, ça marche, mais je sens que je vais partir trop vite, je finis par jouir en m'écroulant sur elle.

 

Elle se rhabille aussi sec, elle est radieuse.

 

- Buvez-vite votre café, il doit être froid… la prochaine fois appelez-moi, on prendra notre temps et on fera des tas de trucs… vous serez mes petits esclaves… d'accord !

- D'accord dit Dominique en me faisant un coup d'œil complice. Euh… Florence nous a demandé de rapporter un peu de fromage, tu nous fais un assortiment… avec de la Fourme…

 

- Tu as entrepris de me faire faire le tour des toutes les coquines et de tous les coquins du coin ? Plaisantais-je sur le chemin du retour.

- Hélas, le tour est fini ! S'il y en a d'autres, ils se cachent… Claudine n'est pas comme ça avec tout le monde, c'est une amie de Florence, elles se voient de temps en temps et elles se font des trucs, évidemment elle m'a présenté…

 

Bisex2803.jpgPour le repas du soir, Dominique a décidé de s'habiller en fille, le résultat est impressionnant, le visage est très bien maquillé sous une petite perruque blonde frisée, il s'est mis un chemisier bleu, recouvrant un soutien-gorge garni de faux seins. Mini-jupe, porte-jarretelles, bas noirs et escarpins complètent la tenue.

 

Dominique s'est assis à côté de René et moi à côté de Florence. Celle-ci nous a mitonnés un excellent cassoulet, hélas arrosé d'une pauvre piquette. La conversation est enjouée, mais très curieusement n'aborde pas le sexe. Ce n'est pas à moi de démarrer le sujet, j'attends, donc.

 

Arrive le fromage…

 

- Alors les jeunes, vous avez été dire un petit bonjour à Claudine ? Lance René.

- Elle était pressée, mais on l'a baisée quand même ! Répond Dominique

- Tous les deux ?

- Tous les deux ! Reprend-il. On lui a bien ramoné son petit trou à la coquine.

- Hum, tu m'excites quand tu parles comme ça ! Répond René qui attirant le travesti, entreprend de lui rouler une pelle.

- Je suis jalouse ! Me dit Florence qui m'embrasse à son tour tout en me mettant sa main sur la braguette. Et me voilà en train de bander…

 

Elle me demande de me lever de ma chaise, je m'exécute.

 

- Tu fais quoi, Florence ? Demande René.

- Je vais libérer le sexe de ce jeune homme, sinon, il va exploser…

- Ah ! Je te reconnais bien là, toujours prête à rendre service.

 

La maîtresse de maison est passée derrière moi, m'a dégrafé ma ceinture, baissé mon pantalon et mon slip, m'exhibant ainsi devant tout le monde. Elle m'enlève ensuite mon tee-shirt et se met à tirer sur les piercings de mes seins. Du coup, je me pâme et je bande un maximum.

 

- Oh, la belle quéquette ! S'exclame René, il faut absolument que j'y goûte !

- Attends, tu n'as pas tout vu ! Thibault tourne-toi et montre tes petites fesses à mon mari ! Ajoute Claudine.

 

Je me tourne et jouant le jeu à fond, je me mets à tortiller du cul.

 

- Mais c'est une véritable provocation, que ce petit cul là ! Clame René. Approche-toi de moi… ou plutôt non, tu vas passer sous la table et tu vas venir me sucer ! Tu veux bien ?

- Bien sûr !

 

J'obtempère, en fait je suis super excité par la situation, et par le fait de sucer ma deuxième bite de la journée. Je pensais trouver sa queue déjà dégagée… mais non, c'est à moi de faire tout le boulot, la procédure doit l'amuser. Donc OK, je dézippe la braguette, entre ma main là-dedans, sens la grosse bosse de sa bite bandée, caresse un peu tout ça, essaie de l'extraire, mais m'y prend comme un pied. Alors je change de tactique, je dégrafe la ceinture, écarte tout ça, dégage le haut du slip que je peux à présent descendre… et libère popaul qui se redresse fièrement. Une jolie queue, je la masturbe un petit peu, lui fait quelques bisous affectueux, puis je commence à sucer.

 

- Oh, mais c'est qu'il suce bien, ce petit minet ! Commente René.

- Et nous on fait quoi ? Demande Florence !

- Mais tu fais ce que tu veux, ma chère, pourquoi tu ne suces pas Dominique ? Elle est superbe, ce soir.

- J'y pense très sérieusement, mais on a le temps, il n'y a rien à la télé ce soir…

- Remarque si tu ne fais rien d'autre, tu pourrais peut-être aller chercher des capotes, car je crois que je ne vais pas tarder à enculer ce jeune homme… Sors de là-dessous, Thibault, on va faire une pause. Tu m'as bien sucé, alors dis-moi, ça te dirais que je t'encule ?

- Bien sûr !

- On va faire ça… on va faire ça là, par terre, vas-y met toi en levrette et écarte les fesses, j'arrive.

 

Encore une fois j'obtempère, finalement j'aime bien la passivité… 

 

- Hum, c'est serré tout ça… Commente Monsieur René.

- Un peu, oui, mais ça va aller, ce matin je lui ai foutu un bon gode dans le cul, il en redemandait, ce petit cochon, pas vrai Thibault ?

- Oui, c'est vrai ! Confirmais-je en entrant dans leur jeu.

 

Pour l'instant René est en train de me lubrifier le trou en me le léchant avec frénésie, et j'avoue que ses mouvements de langues sont très agréables. Dominique a enlevé sa petite jupe et est venu se positionner devant moi, bite à l'air déjà bien tendue. J'ai compris le message, et la mets dans ma bouche alors que pratiquement au même moment la bite de mon hôte pénètre dans mon étroit conduit. Quelle sensation, me voilà occupé avec deux bites l'une dans la bouche, l'autre dans le cul, et je n'ai ni à me forcer ni à me mentir pour me dire que j'aime ça. 

 

René me fait ça très bien, il est moins "brutal" que Dominique et sait se tempérer. Quant à Florence, elle nous a rejoint, elle se met sur le dos, rampe afin de venir sous moi et se met à me tripoter les tétons en tirant sur les piercings. Je bande comme un mulet et je sens que je ne vais pas tarder à éclater, même sans qu'on me touche la queue.

 

- On change ? Propose René à Dominique.

 

Ce dernier s'encapote et viens à son tour me prendre le cul, tandis que René me présente sa bite. J'ai un mouvement de recul, pourquoi n'a-t-il pas retiré la capote ? certes elle n'est pas vraiment sale, mais elle n'est pas non plus clean et puis elle sent mon odeur intime. L'autre n'est pas un sauvage, il a compris.

 

- Tu préfères que je la retire ? Me propose-t-il.

 

J'apprécie son tact, du coup j'ai envie de lui faire plaisir.

 

- On va essayer comme ça ! Répondis-je en embouchant la bite qui venait de m'enculer.

 

Effectivement pas la peine d'en faire un plat, et c'est le gout du latex qui domine. Dominique me pilonne derrière de plus en plus vite, je comprends qu'il va décharger… effectivement. Du coup René se replace derrière et s'agite de nouveau dans mon cul jusqu'à ce qu'il jouisse. J'ai un peu mal au cul, mais surtout j'aimerais bien jouir à mon tour. Je commence à me branler tandis que tout le monde se relève, René me donne une petite tape amicale sur les fesses.

 

- Alors c'était comment ?

- Super !

- Ça te dirait de m'enculer à ton tour ?

 

Demande complètement imprévue, mais pourquoi pas. Il se plie en deux sur la table, écarte ses globes fessiers, attendant ma bite. De l'autre côté, Florence utilise tout son savoir-faire pour faire rebander Dominique. Quelle vitalité celui-ci !

 

- Vas-y encule moi bien ! Me dit René

 

Je comprends que les mots l'excitent, je joue le jeu :

 

- Tu la sens bien dans ton cul, ma bite, hein ?

- Hummm… J'adore me faire enculer devant ma femme…

 

Je ne tarde pas à jouir et après avoir déculé, je m'affale sur une chaise, regardant d'un œil envieux Florence les cuisses écartés, la chatte dégoulinante de mouille....

 

Mais voici qu'entre un intrus, c'est Javert, un paisible labrador beige sans doute attiré par l'odeur de stupre qui règne dans la pièce... Il se dirige directement entre les cuisses de sa maîtresse et se met à la lécher. Loin de le repousser Florence l'encourage.

 

- Ben mon toutou ! Toi aussi tu as envie de faire des chose coquines ! Vas-y lèche bien ta maîtresse et après je m'occuperai de ta bite.

 

Ses propos n'ont l'air de choquer personne. La situation me fait rebander...

 

Et effectivement après que le chien eut bien lécher la maîtresse de maison, celle-ci coucha l'animal sur le flan pour avoir accès à son sexe qu'elle emboucha avec gourmandise.

 

C'est alors que Dominique vint la rejoindre pour participer à cette fellation bestiale.

 

 

Quelle famille !

 

©Enzo Cagliari mars 2010

 

(à suivre)

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 17 octobre 2009 6 17 /10 /Oct /2009 07:54

Construire un pont

Par Estonius

 

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Je suis Ludovic, j'ai quarante ans et je suis cadre commercial dans une grosse entreprise de constructions métalliques.

 

L'action se passe à Minouville, petite ville du centre de la France, célèbre par son église du XIIe siècle.

 

Ah, ces réunions en province (on ne dit plus en province, d'ailleurs, on dit "en région", il paraît que c'est du dernier chic) ! Cela a pour moi été toujours une corvée. Le transport, les civilités, les paroles convenues, le repas obligatoire, les petits marchandages, les propos péremptoires, les mesquineries et les règlements de compte. Aujourd'hui on est 25 dans la salle ! Que voulez-vous qu'il ressorte d'une réunion à 25 ? Il existe pourtant des règles de tenue de réunions, on envoie même des gens en séminaire pour leur apprendre… et la règle essentielle c'est qu'il faut éviter la pléthore de participants… Mais non, la bienséance l'emporte sur l'efficacité… que voulez-vous, si on invite le représentant du conseil départemental, on est obligé de faire venir celui de la région… et tant pis s'il ne sont pas du même bord politique et que la confrontation entre eux va être inévitable…

 

Il est question de la construction d'un pont, mon entreprise a été sollicitée, mais on doit être trop cher, on nous a mis en concurrence avec une autre boite. J'essaie d'expliquer que notre projet est le seul qui soit fiable, le gars de la région me soutient, celui du département me contre… Et ça dure, et ça dure… on répète des arguments déjà dit vingt fois, on prend la parole pour dire exactement ce qu'un autre a déjà exposé, d'autres font de l'hors-sujet ou alors semblent sortir de leur rêve sans avoir tout suivi… Bref, n'étant pas mandaté pour baisser nos prix et la bataille semblant perdue, je prends la parole une dernière fois, mais me la fait couper immédiatement par celui qui aurait dû être le président de séance s'il avait su présider.

 

- Excusez-moi, monsieur, mais, il est presque 14 heures, je vous propose d'aller déjeuner, nous reprendrons à 16 heures. Nous avons réservé une table au…

 

Aller déjeuner à 25 ! N'importe quoi ! Et je ne vois pas ce que je reviendrais faire à 16 heures. D'autant que deux heures pour ripailler, aller et revenir ça ne semble pas très sérieux !

 

- C'est cela, allez vous empiffrer, moi je vous laisse, j'ai assez perdu de temps ici… Bougonnais-je.

 

Et je sors de la salle, indifférents aux protestations hypocrites…

 

- Quelle bande de cons !

 

Qui a dit ça ? Je me retourne, une participante, j'ai oublié sa fonction, elle n'a pas ouvert la bouche pendant toute la réunion. La quarantaine, lunettes, chignon, tailleur pantalon pied de poule, elle fait très business woman.

 

- Comme vous dites ! Répliquais-je, histoire de dire quelque chose d'intelligent.

- Je vais voir à quelle heure j'ai un train, je rentre ! Ajoute-t-elle.

- Pour Paris ?

- Amiens, mais je change à Paris.

- Je crois qu'il n'y a rien avant 19 heures…

- Super ! dit-elle dépitée.

- Je vous invite au restau, si vous voulez ! Ça nous fera toujours passer une bonne heure.

- Pas assez faim, je suis trop énervée. Je me contenterais d'un sandwich.

 

On est sur le parking en plein zone industrielle. Je me marre parce qu'autour de nous, il y a les 23 autres rigolos. Certains sont venus en taxi de la gare, d'autres se sont fait accompagner par des cadres de la boite, une minorité seulement a fait tout le trajet par ses propres moyens et il n'y a apparemment pas assez de voitures pour emmener tout ce petit monde au restaurant en un seul voyage… Quand c'est n'importe quoi, c'est n'importe quoi !

 

- On va à pied vers la ville ? Proposais-je fort hypocritement puisque je n'avais pas d'autres solutions.

- Allons-y.

 

On échange quelques banalités, elle se présente, se prénomme Carole, travaille aux Ponts et Chaussées, et je n'ai pas bien compris quel était son rôle dans cette réunion, mais à vrai dire je m'en fous. Elle est marante, très décontractée…

 

On arrive à une espèce d'embranchement, il y a une route qui mène directement à la ville et une autre qui prend un peu la tangente et qui coupe un petit bois un peu plus loin.

 

- Si on passait par là, on a le temps ? propose Carole.

- Moi je veux bien, mais ça m'étonnerais qu'on trouve un sandwich dans ce coin...

- Je mangerais mieux ce soir, mais c'est comme vous voulez, si vous avez faim on va tout droit.

- Non, non, je ferais comme vous, je me rattraperais ce soir.

 

On marche, on rigole, le courant passe vraiment bien entre nous. Aller plus loin ? Je pense avoir mes chances. J'y vais au culot :

 

- Si je n'étais pas un homme sérieux je crois que je vous draguerais ! Lui lançais-je à brûle-pourpoint.

- Ah ! C'est dommage, car si vous n'aviez pas été un homme sérieux je me serais peut-être laisser faire.

- Et bien je vais vous faire une confidence, je ne suis pas un homme sérieux.

- Moi aussi je vais vous faire une confidence, je m'en doutais.

 

A ce moment à nos visages sont très proches, l'instant d'après nos lèvres se collaient, nos langues se mélangeaient, j'ai rarement dragué aussi vite.

 

- Quelle fougue ? Me dit-elle

- La fougue, ça élimine le stress…

- D'accord éliminons, mais ne restons pas là.

 

On longe le bois, un petit chemin perpendiculaire à la route permet d'y entrer, nous l'empruntons. Je cherche un coin où on pourrait se détendre… et plus si affinités… Nous croisons deux hommes, pas très vieux, ils nous saluent, on répond, ils pilent, manifestement ils ont envie de faire la causette, pas nous, on s'éclipse. On marche encore, et 200 mètres plus loin, c'est un mec seul qui nous croise. Un mec entre deux âges, habillé sport et chic, il ne fait pas du tout vagabond des bois.

 

- Bonjour, je peux vous être utile ?

- Bonjour, non merci on se balade, Répondis-je.

- J'en ai une belle, et je suis très respectueux, vous savez… Reprend le type en nous indiquant sa braguette de son doigt.

- Bon, allez bon après-midi ! Coupais-je.

- Vous ne voulez pas la voir ? Ça ne vous engage à rien…

 

Il devient pénible l'animal, je cherche une formule assassine pour l'éconduire, mais voilà que Carole prend la parole.

 

- D'accord, montrez-nous ça !

 

Elle est folle !

 

Le mec n'hésite pas et sort sa bite de sa braguette. Elle n'a rien d'extraordinaire, de la bonne bite bien moyenne et bien standard, pas désagréable à regarder mais ce n'est pas non plus la huitième merveille du monde.

 

- Alors ? Ça vous tente ? Demande l'inconnu.

- Pas mal… j'en ai vu des plus belles, mais c'est vrai qu'elle n'est pas mal. Répond Carole. Qu'est-ce que vous en pensez-vous ? Me demande-t-elle.

- Euh…

 

En fait, elle se fiche de ma réponse, elle a pris la bite du mec dans la main et commence à la branler. Le type bande presque instantanément. Une belle bandaison, bien raide avec le bout tout violacé… Tout ça commence à me troubler.

 

- Elle est mieux comme ça ? Non ?

- Certes !

 

Carole attrape la ceinture de l'inconnu et la dégrafe, faisant ensuite dégringoler, pantalon et caleçon sur ses chevilles.

 

- J'aime bien quand les choses sont bien dégagées…

 

Elle s'agenouille et sans autre formalité commence à le sucer. Ce n'est pas vrai, je suis tombé sur la nymphomane de service. Je me demande comment je vais gérer la suite de cette affaire, quand elle me fait signe de m'approcher.

 

- Mettez-vous à l'aise, je vais vous sucer tous les deux !

 

Après tout, pourquoi pas ? Et quelques instants plus tard, sa bouche gourmande alterne ma bite et celle du zigoto. Elle suce bien, très bien même. L'inconnu me lorgne mon engin avec concupiscence, Carole s'en aperçoit et fait une pause.

 

- Vous ne seriez pas un peu bi, vous ? lui demande-t-elle

- Un petit peu, oui. Il y en a beaucoup ici, faut bien qu'on se débrouille quand il n'y a pas de couples.

- Ah, bon, c'est donc un bois de rencontres ! Et vous avez déjà fait des choses ici, aujourd'hui ?

- Oui, j'ai rencontré deux mecs, j'en ai sucé un pendant que l'autre m'a pris !

- Pendant que l'autre vous a fait quoi ?

- Il m'a pris !

- Il vous a pris quoi ?

 

Manifestement, Carole s'amuse.

 

- Il m'a sodomisé, si vous préférerez.

- Ce ne sont pas mes préférences, ce sont les vôtres, et dites-moi, c'était bon, je suppose, sinon vous n'en parleriez pas ?

- Oui, j'aime bien tout ça, j'aime bien les bites... dans la bouche, dans le cul…

- Vous êtes célibataire ?

- Non, je suis marié, mais pourquoi cette question ?

- Votre femme sait que vous aimez les bites ?

- Oui !

- Et que vous vous faites enculer ?

- Enculer, oui, nous avons un gode ceinture et on s'en sert, Sinon je ne lui raconte pas les détails, elle ne sait pas que je viens ici… mon fantasme ce serait de me faire prendre par un mec devant elle.

- Hummm, mais c'est vachement excitant ton fantasme… et tu lui en as parlé (vous aurez remarquez le passage au tutoiement)

- Oui…

- Et alors ?

- Elle n'est pas contre, je crois même que ça pourrait l'intéresser… mais disons qu'elle ne cherche pas… on va dire que si l'occasion se présentait...

- Je vois, je vois !

 

Le type s'exprime très bien, il n'a pas du tout l'air d'un paumé, mais plutôt d'un bourgeois qui vient s'encanailler dans ces bois…

 

- Et toi, t'es un peu bi aussi ? M'interpelle alors le type.

- Euh, non, ou alors juste un petit peu…

 

Le lecteur aura deviné que ma parole m'a trahi, j'aurais prononcé un non ferme et définitif, j'ignore qu'elle aurait été la suite des événements, mais là inconsciemment j'ouvrais une porte, une porte que dis-je ? Un boulevard !

 

- Comme moi, alors ! Reprend l'autre.

 

Ben, non pas comme lui… mais ma bite est déjà dans sa main, je sais qu'elle sera dans sa bouche dans quelques secondes… et voilà c'est fait, je venais négocier la construction d'un pont dans la France profonde et au lieu de ça je me fais sucer par un mateur de bite dans un bois louche… et ce n'est surement pas fini… Et c'est qu'il suce divinement le rigolo…, je le freine, je n'ai pas envie de jouir tout de suite… Hé, c'est qu'il y a Carole qui se régale.

 

- Putain, ce que ça peut m'exciter deux mecs qui se font des trucs. Rends-lui la politesse !

- Lui rendre la politesse ?

- Ben, oui suce-le !

- Peut-être pas ?

- Tu ne vas pas te dégonfler ? Essaie au moins, ça ne va pas t'enlever ta virilité et puis ça me fera plaisir.

 

Je ne sais plus comment me défiler, et puis surtout est-ce que j'ai vraiment envie de me défiler ? Je me baisse, tripote un peu la quéquette du gars, imprime quelques mouvements masturbatoires sur la verge, puis la constatant de nouveau bien bandée j'ouvre un large bec comme le corbeau de la fable et le referme sur ce joli cylindre de chair… Quelques secondes après j'effectuais avec application la seconde fellation de ma vie (la première remontant très, très loin) en me demandant pourquoi je m'étais privé de ce plaisir pendant des années.

 

- Ben dis donc, t'aimes ça sucer des bites ? S'étonne Carole.

- Humm, Humm ! Répondis, la bouche pleine…

 

Je bande comme un dingue en le suçant, je ne sais plus où j'en suis, mais je m'en fous, je suce, je suce, j'explore sa bite avec la langue parcourant tantôt la verge, tantôt le gland, je goûte aux testicules, mais ça ne me branche pas trop, j'essaie de combiner le mouvement des lèvres et celui de la langue, j'essaie aussi de la mettre complètement dans ma bouche faisant se cogner l'organe contre l'intérieur de mes joues.

 

- Qu'est-ce qu'il suce bien ton mec ! Commente l'inconnu.

- Mieux que moi ? demande Carole.

- Non, quand même pas… Vous ne pourriez pas me sucer tous les deux ensembles.

- Aucun problème ! Comment tu t'appelles ?

- On va dire Charlie.

 

Pas si facile à coordonner, ça devient vite plus du léchage que du suçage !

 

- Suce-lui le cul ! Me propose Carole

- Non !

- Ben pourquoi ?

- J'ai pas envie !

- Et le mien tu aurais envie de le sucer ?

- Le tien ? Oui ?

- Quelle différence un cul, c'est un cul…

 

Mais, elle n'insiste pas et s'en va lui lécher la rondelle pendant que je reprends ma fellation en solo, mais au bout d'un moment le gars me stoppe, m'indiquant qu'il ne souhaite pas jouir tout de suite. Je me relève et découvre à quelques mètres de notre trio les deux mecs que nous avions croisés tout à l'heure, ils sont en train de nous mater en se branlant.

 

- Venez, venez ! Leur propose Carole.

 

Les deux gars s'amènent la bite à l'air, Carole choisit le mieux monté des deux et commence à lui pratiquer une fellation, le second s'approche de moi.

 

- Tu veux me sucer ?

 

Je crois que je n'ai même pas répondu, mais je me suis mis à genoux et je me mis à déguster ma deuxième bite de la journée.

 

- Tu veux que je t'encule ? Me propose ce citoyen.

- Non, non, ce n'est pas mon truc ! Répondis-je coupant court à toute attitude insistante.

- Moi tu peux ! Intervint Charlie.

 

Le mec quitte ma bouche, et alors que Charlie se met en position, il s'encapote, et se positionne derrière lui, la bite entre avec une facilité déconcertante. C'est la première fois que je vois deux mecs faire ça, j'avoue être troublé. L'affaire ne dure pas bien longtemps, le type derrière est déchainé et provoque chez Charlie des petits jappements de plaisirs, ça va de plus en plus vite et l'enculeur jouit dans un râle.

 

Carole s'est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, (mais a gardé tout le haut) et s'est mise en levrette, le cul offert à son partenaire. Celui-ci non plus ne fait pas dans la dentelle et excité comme un pou finit son affaire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

 

- T'aurais pu me faire jouir ! Lui reproche-t-elle.

 

Le mec ne répond pas, il se recule, retire sa capote qu'il jette en pleine nature comme un dégueulasse, il se rebraguette, rejoint son copain et ils partent tous les deux sans un mot.

 

- Malheureusement il y en a plein des comme ça, ici, il faut faire avec ! Soupire Charlie.

- Alors viens me faire jouir, toi, lui demande Carole

 

Elle s'adosse alors à un arbre et Charlie s'agenouille devant elle afin de lui lécher le minou.

 

- Encule-moi en même temps ! Me demande-t-il en me passant un préservatif.

 

Il est insatiable, ce mec, mais je n'hésite même pas, après avoir fait ce qu'il fallait je me positionne derrière le joli petit cul de Charlie et j'enfonce ma bite dans son trou, ça rentre tout seul. Et pendant que j'accélère mes va-et-vient, j'entends Carole qui commence à haleter, puis qui pousse un cri à faire fuir les oiseaux du coin. On a du jouir en même temps. Seul Charlie n'a pas eu son plaisir, mais Carole bonne fille, le reprend en bouche et le fait cracher en quelques minutes.

 

- C'était bon ! Dit-il, Vous venez souvent ici, je ne vous ai jamais vu ?

- On n'est pas de la région, on est passé ici par hasard, répond Carole. J'ai une de ces envies de faire pipi, mais vous pouvez regarder, ça ne me dérange pas du tout.

 

Carole sans s'éloigner s'accroupit après avoir de nouveau baissé pantalon et culotte et se met à pisser un torrent d'urine.

 

- Que c'est beau ! S'exclame Charlie, j'aime bien les jeux de pipi, aussi.

- Décidément tu es un gros cochon, attend que j'ai fini, tu pourras me nettoyer avec ta langue.

 

Le type est aux anges, il lape le minou tout imbibé de pisse comme une vrai friandise, il n'arrête pas.

 

- Continue, continue… lui dit Carole en fermant les yeux

 

Il continue, jusqu'à ce que la fille hurle son second orgasme de l'après midi

 

- Euh, vous restez quelques jours dans notre région ? Demande Charlie

- Non, on rentre ce soir, on a un train vers 19 heures.

- Dommage…

- Toi, tu avais une idée derrière la tête…

- C'est-à-dire, si vous aviez la possibilité de vous attardez un peu….

- Pourquoi pas ? Reprend Carole, mais c'est quoi ton plan ?

- Ben mon fantasme…J'aurais bien aimé me faire enculer devant ma femme…

- Elle est comment ta femme ?

 

Il sort une photo de son portefeuille, une petite brune coupée au carré, pas toute jeune mais le visage très agréable et les yeux malicieux…

 

- Il nous arrive de faire des trucs à la maison avec d'autres couples, elle est un peu bi, mais je n'ai jamais trouvé d'homme bi… et puis demander aux habitués d'ici de venir chez moi, je m'y refuse, je préfère rester incognito.

- Qu'est-ce qu'on fait, on y va ? Me demande Carole.

 

Je ne dis rien mais opine de la tête en guise d'assentiment

 

Deuxième partie

 

- Il est à quelle heure le train d'après ? Me demande Carole

- Vers minuit, je crois.

- Impeccable !

 

Charlie s'est éloigné pour téléphoner à sa femme, toute la conversation n'est pas audible mais il monte le ton (sans doute volontairement) pour affirmer "Ce sont des gens très corrects, très gentils et ils ne sont pas de la région"

 

Nous convenons avec Carole de rester sur nos gardes, tant que nous n'aurons pas la certitude qu'il ne nous amène pas dans un traquenard, on ne sait jamais…

 

Il revient nous confirmer que son épouse est d'accord, et nous demande de le suivre jusqu'à sa voiture.

 

- Je n'habite pas à Minouville, nous confie-t-il, je suis à Chatoune-les-bains… c'est un petit patelin à 20 kilomètres… Je viens dans le bois quand je peux me libérer, ce n'est pas toujours évident. Il y a de tout dans le bois, mais bon… j'arrive toujours à faire des rencontres… il y a toujours des belles bites… les couples c'est plus rares, mais ça arrive…

- Et il y a longtemps que vous le fréquentez ?

- Pas tant que ça… disons quelques mois… Avec ma femme on a toujours eu des pratiques un peu marginales, un peu de godes, un peu d'uro, un peu de domination… mais bon avec le temps notre libido réciproque s'est un peu émoussée. J'allais voir ailleurs et elle aussi, et un jour des amis de rencontre en vacances ont abordés avec nous le thème de l'échangisme, ils nous ont invités… des gens très corrects, ça s'est super bien passé, du coup on s'est mis à éplucher les petites annonces, là aussi on trouve de tout mais nous avons eu des belles expériences, surtout quand la femme est bi. Et puis un jour on est tombé sur un couple, des jeunes, le mec avait une bite superbe, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai eu envie de la sucer. J'ai lancé quelques ballons en le flattant, tout ça, mais il n'a pas rebondi… j'aurais peut-être dû être plus directif. Du coup, ça m'a travaillé, j'ai eu envie de sucer une bite, j'avais entendu parler de ce bois, dès que j'ai pu, je suis venu voir, ça n'a pas trainé, il n'y avait pas un quart d'heure que j'étais là, que j'arrive dans une clairière où deux mecs se faisant un soixante-neuf, un troisième les regardait en se masturbant. Je me suis approché, je lui ai regardé la queue, il s'est tourné vers moi sans un mot, je l'ai branlé un peu, et quelques instants plus tard je l'avais dans la bouche. Je l'ai sucé à fond, mais ça m'a suffi pour cette fois, je suis reparti aussitôt, content d'avoir réalisé mon fantasme. La semaine suivante j'y suis retourné avec un double objectif, sucer un maximum de bites, et me faire sodomiser. Et voilà…

 

On arrive dans une superbe propriété bourgeoise, le porche s'ouvre et une jolie antillaise en tenue de soubrette viens nous ouvrir. Fichtre ! Ce gars-là a donc des domestiques !

 

- Madame vous attend dans le salon, précise la nana.

 

Effectivement, Isabelle (puisque c'est son prénom) nous accueille, et Charlie fait les présentations

 

- Bonjour Madame, vous êtes ravissante, mon mari ne m'a pas menti ! Dit-elle à Carole.

- Votre mari ne nous a pas menti non plus, je vous trouve charmante ! Répond cette dernière.

- Et vous Monsieur, c'est donc vous qui allez enculez mon mari devant moi ?

 

L'audace de la réplique me fait rougir et je me mets à bafouiller… du coup tout le monde rigole.

 

- Il est 18 heures, c'est quasiment l'heure de l'apéritif, reprend Isabelle, accepteriez-vous quelque chose ? Nous avons un excellent whisky que mon mari a rapporté d'Ecosse, sinon nous avons du champagne et plein d'autres choses.

- J'ai oublié de te dire que nos amis apprécient tous les champagnes, précise Charlie.

- Hummm… ce n'est pas si courant… voilà qui tombe très bien, j'ai comme une petite envie, mais ça peut attendre un peu, je vous propose pour commencer de boire un vrai champagne. Tania, apportez-nous du Champagne, il est fort probable que nous partouzions, alors je vais vous demander de nous servir les seins nus et sans culotte... pour l'ambiance.

- Aucun problème, madame.

 

Je n'en reviens pas, je suis vraiment tombé vers les gros coquins du coin….

 

On s'installe, les deux femmes sur le canapé, moi et Charlie sur des fauteuils de part et d'autre d'une table basse.

 

- Je crois que je vous ai accueilli en vous serrant la main, cela n'était peut-être pas le geste le mieux adapté à notre genre de rencontre. Me permettez-vous de vous embrasser ? demande Isabelle

- Avec plaisir ! Répondit Carole

 

Les deux femmes rapprochent leur visage, manifestement elles souhaitaient toutes deux la même chose et c'est le plus naturellement du monde que leurs lèvres se collent en un long baiser baveux. Ça commence à m'exciter sévère ce truc-là.

 

Sur ces entrefaites, Tania a apporté le champagne, comme demandé, elle a les seins nus, de jolis seins couleur chocolat terminés par de larges aréoles et de gros tétons très sombres. Voilà qui est émoustillant.

 

- Tania, offrez donc à nos amis un téton au champagne, servez-vous de mon verre.

 

Tania trempe alors l'index et le majeur dans la coupe de sa patronne et s'en badigeonne les deux tétons. Elle s'avance alors vers moi, me fout son sein sous le nez… et bien sûr je lèche.

 

- Alors c'est comment ? Me demande Isabelle tandis que Tania se fait à présent lécher l'autre téton par Carole

- Délicieux et excitant !

- Excitant… hum vous bandez, alors ?

- Il me semble bien, oui.

- D'ordinaire, c'est moi qui vérifie ce genre de choses, mais les circonstances étant ce qu'elles sont, je vais laisser ce soin à mon mari.

 

Charlie se lève alors de son fauteuil et vient m'estimer la braguette.

 

- Oui, oui, ça bande ! Confirme-t-il.

- Et bien, montrez-nous là… Vous n'avez rien, cher Carole contre le fait que Charlie sorte la bite de Ludovic ?

- Non, non et d'ailleurs nous sommes un peu venu pour ça, non ?

- C'est bien ce qui me semblait !

 

Charlie me dégage donc la queue et la branlote un peu afin de parfaire son érection.

 

- Elle est très sympathique cette bite, commente Isabelle… et bien Charlie qu'attends-tu pour la sucer ?

- Euh… bien sûr… mais j'aurais préféré que ça passe comme on avait dit… Objecte-t-il

 

Késako ?

 

- Ah, d'accord ? Et bien buvons d'abord le champagne ! Reprend la maîtresse de maison en levant son verre… Je vous en prie Ludovic laissez donc votre bite sortie, j'adore les apéritifs insolites.

 

C'est bien la première fois que je trinque la bite à l'air.

 

- Je dois vous dire, continue Isabelle, que nous nous amusons parfois, Charlie et moi à jouer aux rapports de domination, avec ou sans Tania, c'est souvent moi qui domine mais pas toujours… et comme ce qui va se passer ici est un peu une première, mon mari préfèrerai que cela se passe dans le cadre d'une domination… mais, ce n'est pas obligatoire, si ça vous gêne on va faire classique…

- Donc si je comprends bien, vous allez vous changer et donner des ordres à votre mari, c'est cela ? demande Carole

- Donner des ordres, oui, me changer, je n'y avais pas pensé, mais ça me paraît une excellente idée !

- Ben moi ça ne me gêne pas du tout, mais je deviens quoi dans tout ça ? reprend ma complice du moment.

- C'est un peu comme vous voulez ! Vous avez essayé les rapports de domination ?

- Oui, une fois on a joué à l'esclave et à la maîtresse avec une copine…

- Et vous faisiez ?

- L'esclave !

- Alors vous allez recommencez avec moi.

- Pas de problème !

- Et vous Ludovic…

 

Je cherche ma réponse, la tournure que l'affaire est en train de prendre, me gêne… mais Carole ne me laisse pas m'exprimer.

 

- Je crois que Ludovic fera aussi un excellent soumis. Indique-t-elle

- Mais…

- Tais-toi, je connais les hommes, tu as le profil et tu vas adorer…

- N'ayez crainte, je ne suis pas une brute, préviens Isabelle, par contre dites-moi si au niveau des mots je peux me lâcher ou si vous préférez une certaine réserve…

- Lâchez-vous ! Répond Carole.

- OK, finissez votre champagne, je vais allez me changer et ensuite on commence tout de suite le délire.

 

Elle disparaît. Un peu interloqué par la façon dont se déroulent les événements, je ne sais que dire, et comme ni Carole, ni Charlie ne prennent la parole un silence lourd s'installe. Je sirote mon champagne en faisant semblant de m'intéresser aux moulures du plafond quand Isabelle revient.

 

Curieuse tenue, on va dire que c'est de la tenue de dominatrice simplifiée, de bas en haut, de longues bottes, pas de culotte, une grosse ceinture à pointes métalliques, un gilet sans manche ouvert sur une jolie petite poitrine. L'ensemble a une certaine allure et je me surprends à rebander.

 

- Bon, mettez-vous à poil, tous les trois, et que ça saute… Tania va vous ranger vos affaires à côté…

 

On s'exécute, je me demande un peu ce que je fais là, mais curieusement la présence de Carole me rassure. Je peux enfin admirer ses seins à la fille des Ponts et Chaussées, de curieux seins un peu lourds, en forme de poires qu'il me tarde d'aller caresser...

 

- Les deux pédés, vous vous approchez l'un de l'autre et vous branlez mutuellement, mais tout doucement… et toi la pute, tu viens me voir.

 

Nous voici en pleine poésie !

 

Et tandis que je branle la bite à Charlie, lequel me masturbe mollement la mienne, Carole se positionne devant Isabelle.

 

- Alors tu aimes ça, jouer à l'esclave ? Lui demande la maîtresse de maison

- Je l'ai fait qu'une fois mais ça m'a bien plu.

- Bouffe-moi la chatte !

- Avec plaisir.

 

Isabelle s'assoit alors sur le canapé et écarte ses jambes, tandis que Carole commence à lui brouter le minou. Charmant spectacle, je suis excité comme un pou et ma queue est toute dure dans la main de Charlie.

 

- Bon maintenant, Charlie je veux te voir en train de sucer une bite.

 

J'aurais préféré le contraire, mais bon, le fantasme d'Isabelle c'est de voir son mari jouer un rôle passif... et puis je ne vais pas me plaindre non plus…il suce très bien, même si je suis persuadé que son épouse le fait encore mieux… mais aurais-je droit à cette faveur ?

 

- Non, mais regarde-moi ça comment, il lui bouffe sa queue, on dirait qu'il va la gober… Commente Isabelle. Tania, mets-lui ton doigt dans le cul pendant qu'il le suce.

- Avec plaisir, madame !

- Et toi ? M'apostrophe-t-elle, t'aimes ça te faire sucer la queue par un mec ?

- Quand c'est fait comme ça, c'est super !

- Plus vite ton doigt, Tina fait le frétiller du cul, cet enculé !

- Oui, madame !

- Et parle-lui, on ne t'entend pas !

- Oui, madame !

 

Tina accélère son mouvement et semble chercher l'inspiration, puis soudain se lâche :

 

- Alors, Monsieur Charlie, ça vous plait de vous faire foutre un doigt dans le cul par votre bonniche pendant que vous sucez une bonne bite ?

- Humpf, humpf ! Répond l'intéressé qui ne me la lâche pas (la bite)

- Bon, Charlie, c'est l'heure de passer aux choses sérieuses, mets-toi en levrette, et Monsieur Ludovic va te prendre le cul ! Ordonne Isabelle.

 

Ça tombe bien parce que, excité comme je suis, une minute de plus et je jouissais dans sa bouche, ce qui n'était pas le but du jeu. Je m'encapote le zizi, et je rentre dans son fondement comme dans une motte de beurre des Charentes.

 

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- Et ben, dis donc, tu as l'air d'aimer ça, c'est meilleur que le gode ceinture à Maman, non ! Non, mais Carole, tu as vu, j'ai mon mari qui se fait enculer, j'ai un mari pédé, et moi ça m'excite… On doit être un peu bizarre, non ?

- Il n'y a rien de bizarre entre des gens qui s'aiment et se respectent ! répond doctement Carole.

- Oui, mais n'empêche que c'est un enculé !

- Et si tu me suçais la chatte ?

- Dis donc toi, qui c'est la maitresse, ici, ce soir ?

- On s'en fout, suce moi la chatte !

- D'accord, dès qu'ils ont fini je vais te faire un broute-minou d'anthologie ! Allez Ludovic, encule-le bien mon pédé de Charlie. Enfonce-lui bien ta bite dans son trou du cul.

 

Quel langage, mes amis ! Mais contre toute attente, ça augmente mon excitation, je sens monter mon plaisir et je finis par jouir.

 

- Alors, c'était bon de se faire enculer ? demande Isabelle.

- Super !

 

Je suis crevé, je m'affale dans le fauteuil, j'ai soif. Charlie aussi, il demande à boire à Tania, mais Isabelle l'interpelle.

 

- S'ils ont soif, pisse-leur dessus, Tania.

 

Sans discuter Charlie s'allonge sur le sol, après avoir soigneusement éloigné les tapis...

 

- Toi aussi, Ludovic tu te mets à côté de lui, la bouche ouverte.

 

Pas trop envie, ma libido est retombée et j'aurais plutôt avalé un verre de flotte.

 

- Ludo, fait ce que te dis la dame ! Me demande Carole.

 

Bon, celle-ci je n'ai pas envie de la contrarier, je me force à m'allonger, Tania vient au-dessus de nous, quelle magnifique vision que cette chatte dans cette position. J'avais pratiqué l'uro trois ou quatre fois avec une ancienne copine, j'avais trouvé ça amusant sans que cela devienne un fantasme obsessionnel… mais pour le moment la vue de cette chatte réveille (déjà ?) mon plaisir et j'ouvre la bouche. Et voilà que ça coule ! Charlie doit être habitué, il n'en gâche presque pas, moi c'est plus difficile, mais c'est vrai qu'il est vachement bon son pipi à la blackette.

 

On se relève, et Charlie se dirige vers la table sans doute pour nous verser quelque chose de moins troublant mais plus désaltérant.

 

- Tsss, tssss… intervient Isabelle, je n'ai pas donné cette autorisation. Je crois Messieurs que vous pouvez encore nous donner du spectacle, qu'en penses-tu Carole ? Si on leur faisait inverser les rôles.

- J'allais te le proposer ! Mais je te signale que j'ai toujours la chatte en feu.

- Justement, il n'est pas meilleur plaisir qu'un plaisir retardé… Allez messieurs, en position.

- Viens ! Me dit Charlie.

 

Je ne réfléchis plus, me voilà déjà entre les cuisses du gars en train de lui sucer la queue, et il faut bien avouer que je me régale, d'ailleurs je rebande.

 

- Je vais m'allonger on sera mieux ! Me propose Charlie.

 

Tania venant d'essuyer les tommettes, je continue donc à me régaler de ma fellation dans cette position, qui permet à cette même Tania de m'introduire un doigt dans le fondement. Voilà une combinaison de plaisir tout à fait insolite. Je cherche néanmoins comment échapper à la sodomie que je n'ai jamais pratiquée. Sans doute, il n'y aurait pas Carole, aurais-je inventé un malaise passager, mais je ne veux pas me dégonfler à mes yeux… Hé, c'est que la Carole, je ne l'ai pas encore baisé, et que cela reste dans mes intentions. Alors je me dis que je vais me laisser faire, et seulement si ça se passe mal, je demanderais d'arrêter. Tiens, je vais même les épater les nanas. Sans que personne ne me le demande, j'arrête de le sucer, et je me mets en levrette.

 

- Vas-y encule-moi ! Demandais-je à mon partenaire.

- Il aurait pu attendre que je lui demande, cet enculé ! Commente Isabelle.

- Qu'est-ce que tu veux, les gens ne savent plus obéir ! Répond Carole faussement désabusée.

 

Charlie a du mal à entrer, il doit demander du gel à Tania et m'en tartine le cul. Il s'y reprend plusieurs fois, mais ça finit par le faire. Drôle de sensation de se sentir rempli comme ça, et le voilà qui commence à faire des va-et-vient. Mélange de gêne et de plaisir.

 

- Je ne te fais pas mal ?

 

Prévenant, le monsieur ! Non, il ne me fait pas mal, alors il accélère. C'est bon, j'e découvre quelque chose à ce point que quand il se retire, je regrette que ce soit déjà fini.

 

- Alors c'était bon de se faire enculer ? Me demande Isabelle toujours aussi romantique.

- Oui, et maintenant, je peux vous l'avouer, c'était la première fois !

- Non ?

- Si ! Mais ça ne sera pas la dernière, c'était trop bon.

- Il faut arroser ça ! Propose Carole, sers le champagne, Tina et trinque avec nous.

 

C'est du vrai champagne, cette fois, mais Carole chuchote quelque chose à l'oreille de la soubrette. Je vais pour prendre mon verre, mais la maîtresse de maison (et de séance) intervient :

 

- Attends on va faire quelque chose.

 

Tina se plie en avant, et Carole lui verse du champagne sur la raie fessière.

 

- Vas-y lèche !

 

Je ne me fais pas prier et je lèche le liquide pétillant répandu sur la peau satinée de la petite soubrette, j'ai dû boire le contenu d'une coupe de cette façon.

 

- Ne te gêne pas, tu peux lui lécher le trou du cul, elle adore ça, cette petite garce !

 

Ben si elle adore ça, pourquoi me gêner, et me voici entrain de lui lécher l'anus avec application. Bien sûr je rebande comme un sapeur. Pendant ce temps Charlie s'est affalée sur le fauteuil et a allumé un petit cigare, tandis qu'Isabelle plongée entre les cuisses de Carole entreprend de la faire jouir tandis que ses longs doigts lui tortillent le bout de ses seins.

 

Carole finit par hurler son plaisir et ma blackette se dégage en me disant que j'étais un bon suceur de trou du cul.

 

- C'était très bien, Messieurs, dit alors Isabelle, Je pense que pour les remercier, nous allons nous mettre à leur disposition.

- Bonne idée ! Confirme Carole qui se dirige alors vers le fauteuil de Charlie et lui gobe la queue.

 

Isabelle fait de même avec la mienne. Retour à des plaisirs plus classiques, après m'être fait sucer par la dame, je lui ai rendu la politesse, et pour ce qui est de la pénétration, elle souhaita qu'elle fût anale, ce qui ne me posa aucun problème.

 

L'affaire terminée, je m'étonnais de l'absence des autres. Isabelle m'informa qu'ils étaient très probablement en train de se doucher… J'ai pris moi aussi une bonne douche.

 

On s'est tous rhabillés, on est resté diner, le repas était improvisé, quiche et salade, l'ambiance était agréable mais on avait notre overdose de sexe, nous avons parlé d'autre chose. On s'est fait accompagner à la gare. Dans le train Carole s'est endormie.

 

On est arrivé vers 5 heures en Gare de Lyon à Paris, elle avait un train à 6 heures Gare du Nord pour Amiens, je l'ai accompagné, puis on s'est séparée, j'attendais qu'elle me roule une pelle, non elle m'a gentiment tendu ses joues pour un double et chaste bisou. Elle ne m'a pas donné sa carte, je n'ai pas osé lui demander, et elle a disparue de ma vie… Ça m'a un peu contrarié… Quand je pense que je ne l'ai pas baisé… C'est pô juste !

 

Estonius © octobre 2009

 

<i>Ce récit a eu l'honneur d'être élu 3ème prix de la meilleure nouvelle pour 2009 :

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Samedi 10 octobre 2009 6 10 /10 /Oct /2009 16:36

Hector et ses locataires

(fable moderne et érotique)

par Maire Paule Perez

 

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Il était une fois un homme né sous une bonne étoile et à qui tout souriait : Il se prénommait Hector, il était riche, propriétaire de plusieurs immeubles, de trois agences immobilières et de quelques restaurants et même d'un haras. L'argent ne comptait pas pour lui, mais cela ne l'empêchait pas de se montrer intraitable avec ceux qui avaient des difficultés à le payer. Il était beau et la cinquantaine n'avait rien entamé de son charme. Il multipliait les conquêtes féminines, quant à son épouse, toute heureuse de profiter de son argent, elle lui foutait une paix royale. Il était dominateur et préférait nettement les femmes soumises... Mais il ne dédaignait pas de temps à autres, d'aller voir du côté des hommes.

 

Intéressons-nous à présent à un couple de ses locataires : Florence et Laurent. Florence approche de la quarantaine, Laurent l'a désormais dépassé. Florence est une grande brune, légèrement charpenté, coiffée à la Lady Diana et arborant un adorable sourire ainsi qu'une poitrine généreuse. Divorcés chacun de leurs côtés, ils vivent maritalement et se sont connus dans l'entreprise où lui était ingénieur informatique de haut niveau, et elle secrétaire. La vie était belle, grand appartement, résidence secondaire, yacht, grandes tables, voyages, voitures...

 

Et puis le scénario classique, la boite qui se restructure et qui délocalise : ils refusent tous les deux de suivre, ils ont alors droit au discours devenu convenu sur les français qui ne veulent pas bouger de leurs coins, alors que les américains... Ce que nos ânes d'économistes ne comprendront jamais, c'est que la situation de Florence et de Laurent n'est en rien une exception, enfants uniques chacun de leur côté, ils ont des mères âgées dont la santé n'est pas terrible. Donc pour eux la province, ça veut dire abandonner les mamans aux bons soins de leurs voisins, ou les placer en maisons de retraite. Ils font alors la bêtise de démissionner au lieu de se faire licencier, pensant la solution plus apte à retrouver rapidement un emploi. Ce fut vite la désillusion : le secteur de l'informatique est bouché, les patrons préférant embaucher des jeunes, payés moins cher et plus malléables... quant au secrétariat... arrêtons de rêver. Alors ce fut l'intérim, le hasard des missions sous-payés et tout empira très vite. Ils furent obligés de restreindre leur train de vie. Ils ne purent continuer à honorer les prélèvements pour le remboursement de la résidence secondaire et du yacht et les biens hypothéqués furent vendus. Quelques mois plus tard ils vendirent leurs deux voitures, déménagèrent dans un appartement plus petit, puis rognèrent sur tous les budgets, les loisirs, la bouffe, l'habillement...

 

La même semaine, la machine à laver et le réfrigérateur rendirent l'âme, les réparateurs ne purent rien faire mais facturèrent un lourd déplacement. Ils firent alors la bêtise que l'on fait dans ces cas-là, ils contractèrent un crédit revolving pour renouveler les appareils. Du coup les voilà avec un peu d'argent devant eux, cela faisait longtemps... alors ils s'en vont à Deauville, casino, grand hôtel et restaurant haut de gamme plus quelques fringues et d'autres babioles, et hop le plafond du crédit est déjà atteint... et voilà nos deux tourtereaux déjà bien justes en budget obligés de rembourser tout ça sur 36 mois avec des intérêts monstrueux !

 

Il arriva donc un jour où il ne purent payer le loyer, ils temporisèrent auprès du propriétaire, se firent prêter de l'argent par des amis qu'ils eurent un mal fou à rembourser et qui déclarèrent forfait à la seconde sollicitation, c'est dans ces situations qu'on perd beaucoup "d'amis" ... Bref ce fut de plus en plus difficile et au moment où commence l'histoire, ils en sont à trois mensualités de retard.

 

Bien sûr, avec le physique qu'elle a, Florence pourrait facilement se trouver un autre compagnon, mais elle n'envisage aucunement cette éventualité. C'est qu'elle l'a dans la peau son Laurent

 

Ils passent leurs journées comme ils peuvent, évitant le piège de la boisson... dans l'attente d'un éventuel coup de fil d'une boite d'intérim. Souvent Laurent part en promenade, arpentant les rues de la capitale, économisant cigarettes et chewing-gum. Florence reste à la maison, plantée devant la télé ou relisant un bouquin. Heureusement il reste le sexe.

 

Du temps où tout allait bien, ils s'étaient bien amusés, conquis par l'ambiance du Cap d'Agde, mais déçus par celui des boites échangistes de Paris. Intéressé par le SM, ils sont tous les deux des fantasmes de soumission, pas facile de se faire des scénarios à deux dans ce cas-là, mais ils essaient, ils s'amusent, c'est du SM rigolard, mais après tout pourquoi pas ?

 

Florence s'est renseignée afin de savoir si elle ne pourrait trouver un débouché dans les métiers du sexe, mais répondant à une annonce qui demandait une strip-teaseuse, elle s'entendit répondre qu'elle était trop vieille. Cela l'a dégoûté, reste la prostitution, mais elle ne sait pas comment se lancer, la rue lui fait peur, et ils n'ont même plus d'ordinateur pour passer des annonces sur le Net !

 

Allez cette fois l'histoire commence.

 

Ce jour-là, ils regardent un DVD qu'ils ont déjà vu vingt fois, un film hollandais où une superbe fille pisse sur son soumis avant de le sodomiser avec un concombre, puis de le fouetter à tour de bras avec une branche de céleri. Laurent a sorti sa bite et se masturbe mollement. Florence s'évade à moitié, préférant les films où c'est la fille qui est soumise.

 

Aujourd'hui Hector exécute une visite de routine dans un de ses immeubles où on a réparé une colonne d'eau usée, il va voir si le travail a été fait correctement. Se souvenant qu'il a un couple de mauvais payeurs à cette adresse, il décide d'aller sonner à leur porte sachant que psychologiquement une visite est toujours plus marquante qu'un coup de fil.

 

Laurent sursaute, range son sexe, et éteint le DVD en catastrophe, puis va ouvrir :

 

- Bonjour, c'est vrai que nous nous sommes jamais rencontrés, mais figurez-vous que je suis votre propriétaire. Je peux entrer cinq minutes ?

- Oui balbutie Laurent qui devine bien la raison de sa présence ici, et qui cherche déjà ce qui va bien pouvoir lui répondre...

 

Hector entre, salue madame non sans flasher sur son étrange beauté...

 

- Vous savez pourquoi je suis là, je suppose ? Déclame Hector, très théâtral.

- Oui, mais comme je vous ai dit au téléphone on a de grosses difficultés...

- Ce n'est pas mon problème ! Je veux que vous m'indiquiez la date précise à laquelle vous allez me payez les loyers en retard.

- Donnez-nous encore un mois !

- Et dans un mois, il y aura une échéance de plus !

- Je sais !

- Bon, alors d'accord, si dans un mois, vous ne m'avez pas versé la totalité, je dis bien la totalité de ce que vous me devez, c'est la lettre d'expulsion.

 

Ça devait bien arriver un jour, mais Florence et Laurent deviennent pâles comme des linges.

 

- Evidemment, je me suis retourné vers les personnes qui s'étaient portés garantes, continue-t-il, mais ces braves gens se sont empressés de changer de banque, vous devriez mieux choisir vos amis ! Bon je vais me permettre de faire un rapide tour du propriétaire, après tout je suis chez moi, c'est pour voir combien on pourra tirer de vos meubles si on en arrive là un jour.

 

La télé est vieillotte, récupérée chez la mère de Florence qu'une cécité croissante l'empêche désormais de regarder, le lecteur de DVD est bas de gamme, mais le regard d'Hector est attiré par la jaquette du film qu'ils étaient en train de regarder. Au lieu de se montrer discret, il fait dans la provocation :

 

- Tiens, je ne le connais pas celui-là, je vous l'achète, 20 euros, ça va ?

 

Florence est au bord de la syncope mais Laurent trouve la force de répliquer :

 

- Laissez-nous nos affaires, s'il vous plaît.

 

Hector, sans rien dire continue sa tournée, puis va pour sortir.

 

- Bon, je ne me fais aucune illusion, dans un mois, vous ne m'aurez pas payé... Au fait, monsieur, j'aimerais vous parler mais en particulier, il s'agit de tout à fait autre chose.

- Bon, je vais à côté, dit alors Florence

- Non, il faut que vous descendiez avec moi, monsieur, rassurez-vous, ce sera l'affaire de cinq minutes. Mes hommages, chère Madame, j'espère que nous aurons l'occasion de nous rencontrer dans des circonstances moins dramatiques.

 

Florence ne répondit rien et Laurent sans réfléchir, parce qu'assommé par la perspective de ce qui serait sans doute leur vie dans un mois, enfila des chaussures, passa un blouson et suivit son propriétaire.

 

- Je vous emmène au café ! Précisa Hector, une fois dans la rue.

 

Installé au bar, Hector attaqua en ces termes :

 

- J'ai une proposition à vous faire, mais je voudrais d'abord mettre les choses au point, j'ai horreur du chantage et je n'en fais jamais. Pour faire un chantage, il faut que le maître chanteur possède quelque chose de compromettant ou de précieux qu'il a en sa possession de façon malhonnête. Je n'ai rien, moi pour vous faire chanter. Ce que je vous propose c'est simplement une alternative ou une solution, appelez ça comme vous voulez !

- Si vous en veniez au fait !

- Si ma proposition vous choque, je vous remercie à l'avance de ne faire aucun scandale, nous en resterons là ! OK ?

- On pourrait peut-être savoir ?

- Promettez-moi d'abord de ne faire aucun scandale !

- Si vous voulez !

- C'est une promesse ?

- On va dire ça comme ça !

- Votre femme est charmante...

- Je vous vois venir !

- Une heure avec elle, et je passe l'éponge sur une mensualité complète !

- Vous vous rendez compte de ce que vous me demandez ?

- Tout à fait, j'ai laissé mon numéro de portable sur votre table basse. Je vous laisse en discuter avec Madame !

- Adieux conard ! Répondit Laurent en quittant les lieux.

- A très bientôt, j'espère, répondit Hector sans se démonter.

 

- Alors qu'est-ce qu'il te voulait ? Demanda Florence.

- Coucher avec toi ! Je l'ai envoyé chier !

- Et en échange de quoi, d'un délai ?

- Non d'une mensualité !

- Une mensualité entière ?

- C'est ce qu'il m'a dit…

- Et il aurait voulu que je couche combien de fois ?

- La conversation n'a pas été jusque-là.

- Rappelle-le et demande-lui ! Jusqu'à quatre fois pour une mensualité, je peux accepter.

- Pardon ?

- Et pour la mensualité suivante tu négocie un délai

- Ah bon, tu serais partante, alors ?

- Il n'est pas si mal, ce mec, qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Faut mieux ça que de se retrouver SDF dans un mois !

- Tu me surprendras toujours !

- Tu le rappelles, tu mets les choses au point ! Exige simplement qu'il utilise des préservatifs. Et puis je veux pas qu'il me batte, ni qu'il m'attache.

- T'es vraiment une petite pute ! Lui dit-il, sans aucune agressivité.

- Embrasse-moi !

 

Finalement Laurent laissa sa compagne négocier avec Monsieur Hector et une demi-heure plus tard ce dernier était de retour :

 

- Voilà, je vous pose la quittance de juin ici, elle est acquittée ! Je me fais une toute petite toilette intime et on y va ?

 

Intime mais expresse, au bout d'à peine une minute, il était déjà revenu.

 

- On fait ça dans la chambre ? Proposa Florence

- Mais non, on est très bien là !

- Bon, je vous laisse, je vais à côté ! Intervint Laurent.

- Tss, tss, restez donc, vous profiterez du spectacle ! dit alors Hector.

 

Laurent se lève sans répondre :

 

- Je préfère aussi que tu restes, précise Florence qui à ce moment-là n'avait aucune intention "perverse" mais ne pensait qu'à sa sécurité.

 

Laurent compris le message et s'assit donc sur une chaise tandis que sa compagne sur les injonctions de son propriétaire se déshabillait.

 

- J'enlève tout ?

- Tout !

 

Une fois à poil, Hector est admiratif !

 

- Et bien c'est pas mal tout ça !

 

Il se met à la caresser avec frénésie sous les yeux ébahis de Laurent. Certes il l'a déjà vu se faire prendre par des inconnus, notamment au Cap d'Agde, mais là, la situation est particulière, il se surprend néanmoins à avoir un début d'érection. Le propriétaire approche alors sa bouche des seins de sa victime consentante :

 

- Je peux ? Lui demande-t-il

 

Elle est agréablement surprise qu'il ait la délicatesse de lui demander.

 

- Bien sur, vas-y suce mes gros nichons.

 

Ce volontarisme imprévu de la part de Florence fait bander encore davantage Laurent :

 

- Tu devrais te déshabiller, toi, tu serais plus à l'aise ! Lui lance Hector

 

Il hésite, mais la femme en remet une couche... en lui faisant un petit clin d'œil.

 

- Allez, Laurent met toi à poil !

 

Il le fait, et le proprio également, qui une fois nu comme un ver se met à lécher les pointes des seins de Florence en bandant comme un taureau.

 

- On se calme, on se calme ! Finit-elle par dire.

- T'as raison, mets-toi en levrette que je te mate un peu le cul...

- A vos ordres, cher monsieur ! Ironise-t-elle en prenant la pose.

- Tu te cambres un peu, comme ça oui...

 

Hector lui fourre carrément le nez sur l'anus et renifle comme une truie.

 

- Ben dis donc, ça sent pas la rose par ici !

- Fallait me laisser prendre une douche ! Répond-elle... mais je peux toujours en prendre une maintenant si vous le désirez !

- Mais pas du tout, les culs c'est comme ça que je les aime, quand ils ont une odeur, une bonne odeur de merde !

- Vous êtes un poète, Monsieur ! Rigole-t-elle.

 

Hector ne répond pas et se met à lui lécher le fion avec une gourmandise non dissimulée.

 

- Hum c'est bon, c'est quand même meilleur que les culs qui sentent la savonnette ! Bon à genoux maintenant !

- Ah ! C'est l'heure de la pipe ?

- Absolument, tu vas bien me sucer ma grosse queue, maintenant... Elle te plait j'espère, comment tu la trouves ma grosse queue ?

- Pas mal, franchement pas mal, voyons voir que je la décalotte, oh, joli gland, je crois que je vais me régaler...

- Suce, salope, au lieu de discuter !

 

Florence à un mouvement de recul :

 

- Ecoutez, on a accepté votre proposition, vous pouvez me faire ce que vous voulez ou presque, mais si vous pouviez éviter de m'insulter, ça m'arrangerait.

 

Hector est surpris de cette réaction mais il ne manque pas de répartie :

 

- Je n'ai pas l'intention de vous faire ce que j'ai envie sans que vous ne soyez d'accord, je ne suis pas là pour abuser de la situation mais pour en profiter, ce qui n'est pas la même chose... Et puis je ne vous insulte pas, si je vous tutoie et si je dis des gros mots, c'est par jeu... uniquement par jeu... maintenant on peut aussi tout arrêter, vous serez dédommagée mais ça ne fera pas le compte...

- Alors si c'est un jeu, jouons ! Conclue Florence.

- Je peux te traiter de salope alors ?

- Bien sûr, je suis ta salope... et je vais te sucer ta grosse bite, c'est ça que tu veux... mon salaud... finit-elle, avec un joli clin d'œil.

- Je crois qu'on est fait pour s'entendre ! Allez suce !

- On y va !

 

Florence engloutit la bite de son propriétaire dans sa bouche, avant d'entamer une fellation en règle... Voilà un bout de temps qu'elle n'avait pas sucé d'autre sexe que celui de son compagnon, elle se demande ce qu'elle doit faire, l'exciter à mort pour en terminer au plus vite avec cette "séance imposée" ou le chauffer pour qu'il en ait pour son argent et surtout pour qu'il ait envie de recommencer afin de faire diminuer leur dette... En attendant de trouver la réponse elle s'applique serrant ses lèvres contre la couronne, glissant sa langue sur le frein et sur le méat, redescendant en de longues coulées jusqu'à la racine des testicules qu'elle agace de ses mains.

 

Laurent bande tellement que ça en devient douloureux.

 

- T'as vu comme elle me suce bien ta putain ! C'est une bonne bouffeuse de bite, et elle aime ça ! Hein que tu aimes ça, ma salope !

- Bien sûr que j'aime ça mais je suis obligée de m'interrompre pour répondre, je ne peux pas parler la bouche pleine.

 

Florence se repose un peu la mâchoire et branlotte un peu le bel engin de son propriétaire... lequel interpelle de nouveau Laurent.

 

- Alors ça te plait le spectacle ? Tu bandes bien mon cochon, ça t'excite d'être cocu ?

 

Laurent ne répond pas.

 

- Et ma bite comment tu la trouves, ma bite ? Elle te plait ? T'aimerais peut-être bien la sucer, toi aussi ?

- Faut peut-être pas exagérer ! Balbutie l'intéressé.

- C'est dommage que ton mari n'aime pas les bites, je lui aurais bien fait goûter la mienne ! Reprend Hector.

- Mais si, il aime ça ! Répond Florence !

 

Laurent ne comprend pas pourquoi sa compagne entre à fond dans ce jeu... Oui, il lui est arrivé de le faire un peu, un tout petit peu pendant une partouze au Cap... Ça lui a plu et depuis il n'a jamais eu l'occasion... mais il aurait préféré que cette occasion ne soit pas celle que lui donne aujourd'hui son proprio... N'empêche qu'il bande à cette idée et que quand Hector s'avance vers lui la bite tendue, il n'hésite pas une seconde à la prendre en bouche.

 

- Hummn mais c'est qu'il suce bien ce pédé ! Tu avais raison.

 

Florence s'est approchée !

 

- Vas-y suce la bien sa bonne bite ! Attends, redonne la moi un peu.

 

Le propriétaire est surpris de la façon dont Florence participe… Sa bite passe alternativement entre la bouche de Laurent et celle de son épouse. Il sent le plaisir monter et se dégage.

 

- On va dans la chambre pour le final propose la femme ?

 

Hector ne répond pas, il semble hésiter, puis demande à Laurent de lui montrer ses fesses qu'il se met à peloter avec avidité.

 

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- Joli cul ! J'y foutrais bien ma bite ! Madame, me permettez-vous d'enculer votre mari ?

- Et si vous demandiez à l'intéressé ! Intervient Florence.

- Lui demander, quoi ? Il en meurt d'envie ! Rétorque le proprio.

- Mais pas du tout ! Proteste Laurent.

- Si, si, il a raison, intervient la femme, dès fois je lui mets un petit gode dans son trou, il adore ça, ça le fait tortiller… Combien de fois, je lui ai dit qu'il faudrait qu'il essaie une vraie bite… Allez Laurent, mets-toi bien en levrette, le monsieur va te faire ça gentiment.

- OK, mais si je vous dis d'arrêter, vous arrêtez !

- Mais oui, allez…

 

Hector après avoir enfilé la protection d'usage, se place derrière Laurent et quémande l'entrée.

 

- Allez, pousse, ne te contracte pas, fais comme quand ta femme te fous un gode dans ton cul de pédé.

 

Après deux ou trois essais, ça rentre, et le proprio se met à pratiquer des allers et retours de plus en plus rapides et de plus en plus sauvages à ce point que Laurent à un peu de mal à maintenir sa position.

 

- C'est bon, Laurent ? Lui demande sa compagne.

- Ça peut aller ! Répond-il, n'osant avouer qu'il trouve la chose plutôt agréable.

 

Hector finit par jouir. Il se rhabille sans un mot. Florence s'est passé une robe de chambre, Laurent est resté à poil.

 

- Z'avez pas un verre d'eau ! Finit par demander le proprio.

- Ce sera de l'eau du robinet.

- Pas grave ! Bon j'ai tenu parole, mais il faut que je vous parle de la suite.

- La suite ? Quelle suite ?

- Ben le mois prochain, vous n'aurez pas plus d'argent ?

- Ben…

- Ben non ! Parce que là je vous ai fait une fleur, une petite orgie de trois quart d'heure pour le prix d'un loyer, c'est super généreux de ma part… vous comprenez ?

- Pas bien, non ! Répond Florence.

- On peut continuer à trouver des arrangements… par exemple si je passais toutes les semaines, ça serait pas mal… oui ça serait pas mal, on va faire ça : je vais passer toutes les semaines… on va dire une petite séance ça fait un quart de loyer, d'accord ? Mais faut quand même chercher du travail, parce que je peux aussi me lasser de vous, vous comprenez ?

- Oui, oui, on comprend… passez nous un coup de fil avant de venir qu'on s'organise.

- Pas de problème, bonne fin de journée, Messieurs dames et à très bientôt !

 

Une fois partie, Florence se tourne vers Laurent, un peu inquiète de la façon dont celui-ci risque de gérer "l'après".

 

- Bon ce n'était pas si méchant que ça… et puis on n'est pas à la rue… commence-t-elle.

- Tu n'étais peut-être pas obligée de te montrer si participative ! Lui reproche-t-il.

- Je l'ai fait sciemment, pour lui donner l'envie de recommencer.

- Oui, mais ce n'était peut-être pas la peine de m'impliquer comme tu l'as fait...

- Ben si justement, parce que déjà c'est son fantasme au mec et comme je viens de te le dire, il fallait lui donner l'envie de revenir, et puis si je l'ai fait c'est que je savais que pour toi ce ne serait pas une corvée. Et puis c'est aussi une question de principe, je ne vois pas pourquoi j'aurais été la seule à faire la pute !

- T'as réponse à tout !

- J'ai pas raison ?

- Si peut-être, mais là tu vois, j'ai un peu mal au cul ! Répond Laurent.

- Mon pauvre biquet, il t'a fait mal ?

- Non, pas trop, ça m'a fait aussi du bien, mais disons qu'il s'est un peu énervé… et puis je n'ai pas joui, moi !

- Ben moi non plus, allez viens sur le plumard, on va s'arranger ça…

 

Environ une semaine plus tard… une fin d'après-midi vers 18 heures

 

Le portable de Florence sonne.

 

- Ah, votre portable n'est pas encore coupé ? Ricane la voix au téléphone.

- A qui ais-je l'honneur ?

- C'est votre propriétaire. Est-ce que vous êtes chez vous tous les deux.

- Euh, oui….

- Bon je passe dans 5 minutes avec ma femme, c'est pour vérifier les canalisations !

 

- Pourquoi, il faudrait qu'on soit là tous les deux, pour une vérification de canalisations ? S'étonne Hervé devant Florence.

- Parce que c'est un prétexte, à mon avis, on va encore passer à la casserole… mais bon si on peut gagner un bout de mensualité…

- Tu dis n'importe quoi, il est avec sa femme…

- Qui te dis que c'est sa femme, c'est peut-être une copine, il a peut-être envie d'une partie à quatre.

 

On sonne.

 

Anne-Marie a mal vieillie, les liftings, l'esthéticienne et le coiffeur ont sans doute fait ce qu'ils pouvaient, mais que peut-on, faire contre un visage revêche ? Le corps, lui semble convenir.

 

- Mon épouse, Anne-Marie. Dira simplement Hervé, puis se tournant vers cette dernière :

 

- C'est la pute et le pédé dont je t'ai parlé…

 

Le ton est volontairement humiliant, Florence éclate.

 

- Dis donc connard, ce n'est pas parce que tu nous as baisé comme un porc la dernière fois qu'il faut te croire obligé de nous humilier devant ta rombière. Vous êtes venu regarder les canalisations, alors dépêchez-vous parce qu'une fois que vous allez êtes partis, il faudra qu'on désinfecte !

 

Anne-Marie n'en revient pas d'un tel déluge verbal, elle se tourne sans rien dire vers son mari, le visage empreint d'incompréhension.

 

- Elle est belle quand elle est en colère, non ? Commente simplement ce dernier.

 

Hervé s'en va alors regarder sous l'évier, puis sous le lavabo, il n'a rien vérifié du tout, ce n'était qu'un prétexte… il revient.

 

- Tout à l'air correct… bon on vous laisse, au fait vous en êtes où dans le loyer ?

- Vous devez le savoir mieux que nous, c'est vous qui tenez les comptes, non ? Réplique Florence.

- Je peux encore vous faire sauter une part de mensualité, j'ai comme une petite envie… et faire ça avec mon épouse devrait être amusant.

- Si c'est pour nous traiter comme vous l'avez fait tout à l'heure, ce n'est même pas la peine d'y penser.

- Tout à l'heure je plaisantais, mais vous ne comprendrez jamais mon humour… mais bon d'accord je vais m'efforcer de ménager votre susceptibilité. Si vous voulez bien vous déshabillez… tous les deux.

 

Laurent et Florence se regardent, hésitent. Florence soupire un coup, défait son jean, puis enlève le reste. Laurent l'imite conservant uniquement ses chaussettes.

 

- Approchez-vous tous les deux ! Demande Anne-Marie.

 

Cette dernière commence par se pencher vers la bite de Laurent et commence à la sucer, pendant que Hervé pelote à qui-mieux-mieux les seins de Florence.

 

- Hé, doucement ce n'est pas de la pâte à modeler !

- Bon, ce ne doit pas être votre jour, je vous laisse entre les mains de mon épouse, moi je vais m'occuper de votre mari !

 

Effectivement, Hervé se mit à sodomiser directement Laurent pendant que Florence devait subir les mains baladeuses de sa bourgeoise. Celle-ci tint à prodiguer un cunnilingus à sa locataire qui abrégea la chose en simulant un orgasme aussi bien que l'aurait fait une actrice de film X.

 

La foi suivante, Hervé revint avec trois hommes qu'il présenta comme étant ses amis. Cette fois-là ce fut Florence seule qui paya de sa personne dans une interminable partouze, où Laurent se contenta de regarder sans excitation particulière. Il supposa que son propriétaire n'avait pas eu envie de dévoiler sa bisexualité devant ses amis.

 

Il y eu encore d'autres séances avec Hervé seul, avec sa femme, avec des copains… à ce point que bientôt le retard de loyer finit par être presque résorbé.

 

- Ouf ! Soupira Florence.

- Oui, mais on arrive en fin de mois, on s'en sortira jamais.

- Faut voir le bon côté des choses, on pourrait aussi bien être à la rue, en ce moment…

 

On sonne !

 

- Merde ! Ce n'est pas encore le propriétaire bougonne Florence.

 

Ben, non ce n'était pas le propriétaire, c'était le facteur… une lettre recommandée provenant d'un notaire à Lyon.

 

Fébrile, Laurent ouvre la lettre, il a du mal à comprendre, les notaires n'écrivent jamais comme tout le monde, mais il est question d'une convocation à Lyon au sujet de l'héritage d'une très lointaine cousine qui vient de décéder.

 

- Tu ne crois pas que je vais aller à Lyon pour aller récupérer une vieille commode et de l'argenterie invendable…

- Fais voir… à mon avis tu devrais y aller… Dit-elle en parcourant en vitesse les annexes au courrier.

- Avec quels sous ?

 

Il y alla sans billet de train et se chopa une amende dans le TGV. La cousine était propriétaire de trois immeubles de rapport dans le vieux Lyon, elle avait un compte en banque conséquent, quelques actions bien placées, sans compter les bijoux, les tableaux, les meubles de styles et autres fantaisies. Impôts et frais de notaire déduits, Laurent devenait rentier à l'aise… Une chance inespérée.

 

Quelques semaines plus tard :

 

Hervé frappe à la porte, on le fait entrer, il a la surprise de voir l'appartement envahi de cartons.

 

- Ah, je vous trouve enfin, vous aviez disparus ?

- On a pris quelques jours de bon temps !

- Vous avez gagné au Loto ?

- Hé, hé !

- Et là, vous partez, si je comprends bien ? Mais vous allez aller où ?

- Ça ne vous regarde pas !

- Admettons ! N'empêche que vous me devez encore un loyer.

- Je sais, c'est là dans l'enveloppe.

 

Incrédule, Hervé compte les billets, il ne comprend plus.

 

- Je suis sûre que vous êtes déçu de devoir dire adieu à vos pitreries sexuelles. Lui dit Florence.

- Je m'en remettrais !

- On s'en fait une dernière ? Propose Florence !

 

Alors là, il comprend de moins en moins.

 

- Je ne vais pas dire non !

- Mais il y a une condition !

- Oui ?

- C'est que cette fois c'est moi et Laurent qui allons décider de la façon dont ça va se passer.

- Je rêve !

- Alors d'accord ou pas ?

- Allons-y je suis très joueur !

- Alors foutez-vous à poil et attendez-moi, je reviens.

 

Quelques minutes plus tard, Florence entièrement nue réapparaissait harnachée d'un magnifique gode ceinture très réaliste.

 

- Et voilà, conard, met toi en levrette ! Et écarte bien tes fesses. Depuis le temps que je rêvais d'enculer mon propriétaire…

- Avec grand plaisir ! Répondit ce dernier, beau joueur, en adoptant la position demandée.

 

FIN

 

© Marie Paule Perez - Octobre 2009

 

  Marie_paule_perez@hotmail.fr

 

Ce récit a eu l'honneur d'être élu Prix spécial bisex pour 2009 

Par Marie-Paule Perez - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Dimanche 6 septembre 2009 7 06 /09 /Sep /2009 10:00

Cassandra de Palovia

Un Space opéra transsexuel

par Jean-Seb

 

Solo

 

 

La chronique de la conquête galactique est bourrée d'anecdotes savoureuses en tout genre, l'érotisme y a bien sûr sa place, et dans cet érotisme pourquoi ne pas choisir l'insolite. Je vais vous narrer ici une petite aventure du capitaine Hans Jorgensen. Ce navigateur free-lance a beaucoup fait parler de lui, jusqu'au jour où il a décidé de prendre une paisible retraite.

 

Hans Jorgensen commandait le navire TROKA108, un bon vieux vaisseau de baroudeurs du cosmos, avec 60 personnes d'équipages. Faut-il décrire cet homme ? La cinquantaine, un visage en lame de couteau, les yeux bleus et quelques restes de cheveux blonds. Aventurier, mais payant peu de sa personne, navigateur génial, obsédé sexuel et fier de l'être, pervers polymorphe, intarissable Don Juan et amateur d'art romantique.

 

Pour donner plus de corps à ce petit récit, je l'écrirais à la première personne, Je serais donc Jorgensen, m'identifier à cette sympathique crapule n'étant pas une corvée !

 

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Il fallait que je me refasse, j'avais perdu pas mal de fric dans cette affaire de roses des sables dont personne ne voulait sinon à des prix dérisoires. Le vaisseau était prêt à partir, l'équipage aussi, je consultais les annonces un peu à l'aveuglette. Un type cherchait à importer du bois exotique en importante quantité. Bois exotique ? Plusieurs planètes en produisaient, mais je savais où il y avait des stocks. Des tonnes et des tonnes de bois débités en planches se languissaient sur Goufor, il suffisait d'aller chercher tout cela. Le temps de faire signer un pré contrat électronique au demandeur et quelques heures plus tard, j'étais en route vers Palovia.

 

Ah ! Oui, Palovia c'est quoi ? Disons que c'est une région très montagneuse de la planète référencée Gu45bn87, que ses colons appellent parfois Goufor. Pas grand-chose d'exploitable sur cette planète peu hospitalière, que l'administration centrale a vendue en concessions, il y en a ainsi une centaine. Les premières se sont bien vendues, d'autres ont attendu longtemps un éventuel acheteur, comme Palovia, situé à flanc de montagne. On s'est aperçu après que le coin regorgeait d'une espèce de conifère dont le bois outre sa beauté naturelle était doté de propriétés remarquables. Une petite campagne de marketing et la chose se vendit comme des petits pains assurant la fortune de son chanceux acquéreur. Mais la roue de la fortune se mit un jour à tourner et on trouva mieux ailleurs. Le commerce du bois se mis à vivoter, les exportations cessèrent, l'exploitation aussi et la concession se mit à vivre en autarcie. L'acheteur d'origine était à présent décédé et avait légué la concession à sa maîtresse. Celle-ci avait modifié la constitution locale transformant la société anonyme en royaume plus ou moins démocratique et régnait sous le nom de Cassandra Rose, première du nom.

 

Tous ces renseignements me furent communiqués à l'astroport de Goufar, ils ne m'apportaient pas grand-chose, je savais déjà tout cela ! Sauf toutefois le dernier épisode. Une photo de sa majesté ornait l'article, une belle femme avec beaucoup de classe, des cheveux auburn coiffés à la lionne, le visage légèrement triangulaire, les pommettes relevées et de malicieux yeux noirs ! Il y avait d'autres pages mais elles étaient soumises à juridiction. Je n'insistais pas, n'étant pas vraiment le roi de la bidouille !

 

Cassandra19.jpg

 

Elle ne laissait pas pénétrer grand monde dans son royaume, par ailleurs peu accessible. J'ai dû saisir un tas de renseignements plus ou moins indispensables à l'astroport afin de recueillir l'autorisation nécessaire. Après m'avoir fait poireauter trois jours, car à chaque fois il manquait quelque chose, un responsable se cru obligé de me recevoir pour me signifier que j'avais enfin cette autorisation :

 

- Faut quand même qu'on vous prévienne ! Commença le fonctionnaire.

- Me prévenir de quoi ?

- Ah ! Ah !

 

Il pianota sur son ordinateur et m'imprima instantanément une photo de la reine qu'il me tendit !

 

- Je connaissais, merci !

- Elle est splendide, n'est-ce pas ?

- Splendide, c'est le mot !

- Ouais, mais ne vous amusez pas à la draguer ?

- Pourquoi, elle mord ?

- Non attendez ! Il y en a peut-être d'autres.

 

Le mec devait être myope, je le vis saisir son numéro d'agent, mais fut incapable de le mémoriser, dommage, il tapa ensuite un code secret, je ratais la première lettre mais le vis fort bien taper à toute vitesse les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 ! Non pas 8 d'ailleurs le dernier caractère était un B ! Quel con, si je pouvais récupérer le numéro d'agent j'avais droit à la partie cachée de la documentation de Palovia ! Il me tendit une autre photo, de plein pied celle-ci.

 

- Voilà, vous ne remarquez rien ?

- Ben, non !

 

Je ne voyais pas où il voulait en venir, mais je m'en foutais un peu, car l'homme maintenant tourné vers moi laissait apparaître brodé au-dessus de sa poche de chemise... son numéro d'agent. Je le mémorisais bien évidemment !

 

- Bon alors autant que je vous le dise, si vous voulez vous l'envoyer, vous allez avoir une drôle de surprise !

- Dites-moi !

- C'est un mec ! Alors je vous dis pas, vous la draguez, vous la foutez à poil et vous vous retrouvez avec une bite dans le plumard que vous n'avez pas invitée ! Ha ha ha !

- C'est cela que vous vouliez me dire ?

- Ben oui, quoi, on est humain, je vais pas vous envoyer au casse-pipe !

- Je peux prendre l'autorisation !

- Oui, la voici !

- Merci de l'information, je n'ai pas l'intention de me "l'envoyer" comme vous dites, mais si cela devait se produire, et bien j'en prendrais mon parti. Ne dit-on pas qu'il ne faut pas mourir idiot ! Adieu Monsieur !

 

Le type marmonna quelque chose en haussant les épaules tandis que je disparaissais du lieu !

 

Revenu au vaisseau, je me connectais. Restait à compléter ce fameux code, et donc cette touche initiale, J'essayais tout l'alphabet, minuscule, puis majuscule. Rien, ça ne passait pas. J'avais dû me tromper quelque part, je recommençais, minutieusement en notant les lettres utilisées. Rien ! Quelque chose m'échappait. Je laissais tomber ! Avoir plus de renseignements sur Palovia aurait sans doute facilité ma tâche, mais cela n'avait rien d'indispensable. Je pouvais m'y rendre dès le lendemain, c'est ce que je ferais !

 

Qui a dit qu'on était moins con le matin que l'après-midi, Je me réveillais avec une idée lumineuse en tête ! Le premier caractère de son code ne venait pas avant le 1 mais le remplaçait, et comme la dernière lettre, un B remplaçait le 8 qui y ressemble, il y avait fort à parier que cette première lettre était un I... Et si ce n'était pas un I, et bien ce ne serait quand même pas trop difficile !

 

Allons-y !

I234567B

Ça passe !

 

Beaucoup de fouillis dans ces pages secrètes, une estimation du recensement de la population (environ 100.000 personnes), le curriculum vitae des principaux dirigeants de ce royaume d'opérette. On y apprenait au passage qu'on n'était pas vraiment sûr de l'identité réelle de sa majesté Cassandra, l'hypothèse transsexuelle étant simplement mentionnée parmi d'autres, comme quoi les rumeurs... Je faillis laisser tomber tout cela et parcouru les dernières pages en diagonale. L'administration centrale avait effectué plusieurs audits secrets, l'un d'eux avait pour thème la situation des droits de l'homme dans la concession. Le rapport était assez élogieux à ce sujet, la reine étant considérée comme très à cheval sur le sujet. L'information était plus importante qu'on pourrait le croire. La colonisation planétaire a parfois engendré des mini dictatures assez incontrôlables dans lesquelles il est parfois dangereux de mettre les pieds.

 

Un autre audit secret concernait le budget de l'état, bof ! Quoique ! Je regardais les conclusions ! On parlait de vol et de détournement, je repris en détail. Oh ! la la ! Super intéressant ! On apprenait que la reine déléguait tout ce qui était trop technique à son gouvernement et en particulier à son Premier ministre, un dénommé Durango ! L'audit relevait des virements réguliers sur un compte "terrien" appartenant à un certain Loussec. Un complément d'enquête montrait que Loussec et Durengo étaient la même personne. Autrement dit le Durengo se servait dans les caisses de l'état qu'il était censé administrer. Voici une information qui pouvait être capitale, je copiais tout cela et décidais de l'emporter avec moi !

 

Je me rendis seul à bord d'une navette intercontinentale de location à Palovia. J'étais attendu, et on me conduisit sous bonne escorte au château royal. Un grand nom d'ailleurs pour cette demeure qui faisait plus penser à une antique hacienda mexicaine qu'à une résidence monarchique.

 

D'emblée on me conduisit dans le bureau de Durengo.

 

- Bienvenu sur Palovia, nous allons régler les détails pratiques de votre visite, et ensuite nous parlerons affaire, je crois que vous avez une proposition à nous faire !

 

Hum ! Dans mon scénario, je n'avais pas vraiment prévu d'être confronté si vite à ce type, il me paraissait néanmoins incontournable à ce stade, et je pris le parti de faire pour le moment avec sans bien sûr lui laisser dévoiler quoique ce soit de mes intentions futures.

 

- Pas de problèmes ! J'espère que j'aurais l'occasion de présenter mes hommages à votre reine, ne serait-ce que quelques courts instants !

- Si les négociations aboutissent, sa majesté, envisageait de vous recevoir à sa table ce soir...

 

Aïe, me voilà obligé de me farcir un repas de gala !

 

La négociation se passa très bien, il se fichait royalement (c'est le cas de le dire) de l'écoulement du stock existant et n'en discuta même pas les modalités, non ce qui l'intéressait c'est de savoir s'il existait de nouveau un marché qui lui permettrait de reprendre l'exploitation, je le rassurais, bien sûr qu'il existait un marché, une fois le stock écoulé, on pourrait signer un contrat ou je m'engagerai à lui acheter un minimum de bois par période. Je pouvais lui raconter ce que je voulais, je n'en avais strictement rien à faire.

 

- Si nous pouvions conclure ce contrat de suite, j'irais jusqu'à vous faire cadeau du stock ! Si vous le voulez, nos juristes vont vous proposer un contrat type dans les minutes qui vont venir !

- Non, il me faudra deux voyages pour embarquer le stock, Alors disons qu'au second voyage vous aurez votre contrat !

- Magnifique, je n'en espérais pas tant ! Topez là, Capitaine Jorgensen

- Je ne suis pas Capitaine !

- Excusez-moi commandant Jorgensen !

 

Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire, c'était nerveux, mais ce type était décidément trop naïf.

 

- Autorisez-vous mes hommes d'équipage à se rendre ici afin de préparer techniquement l'affaire ?

- Bien évidemment, je vais donner des ordres en ce sens immédiatement,

- Une dernière chose, mon équipage est presque exclusivement masculin, nous avons fait un long voyage, peut-être pourriez-vous faire un petit quelque chose...

- Ah ! Décidément vous me plaisez ! Je vais demander que l'on organise pour vos gens une petite sauterie dans l'aile du château, il y aura tout ce qu'il faut, bien sûr, tout ce qu'un homme peut désirer, nous avons les idées très larges en notre royaume.

- Merci pour eux !

- Euh pour ce soir, nous n'avons pas prévu de banquet, nous ne pouvions savoir le résultat des négociations, et je vous avouerais que nous n’étions guère optimistes. Néanmoins sa majesté vous fera l'honneur d'un dîner en tête-à-tête ! Me permettrez-vous de dire à sa majesté que vous acceptez cette invitation ?

- Mais avec le plus grand plaisir !

 

S'il savait ce con !

 

Sa majesté Cassandra Rose, première du nom est grande, son visage a conservé une belle fraîcheur malgré une quarantaine probablement bien dépassée. Une discrète couronne de platine indique à qui ne le saurait pas encore le titre du personnage. Le maquillage est savant, sans aucune agressivité. Son expression est un mélange de calme et de malice. Elle est habillée d'une sorte de pull-over gris clair à paillette à manches longues, évidemment de bonne facture, mais de la part d'une reine on pouvait s'attendre à autre chose. La jupe est grise aussi, très longue très ample et plus foncée. Elle porte un large collier, que je devine en or, avec en sautoir la grande croix d'un ordre quelconque qu'elle a certainement créé.

 

La reine de Palovia jouit (si l'on peut dire) d'une réputation sulfureuse. Je savais que je serais bien reçu, mais je ne m'imaginais pas cela tout de même...

 

- Ecoutez comme c'est joli, je n'en abuse pas ! Cinq minutes par jour suffisent à mon bonheur !

 

Je ne me trompe pas. Le bruit que j'entends est bien un bruit de flagellation. Une flagellation, mais pas de cris, ce qui ne veut rien dire, la victime est peut-être tout simplement bâillonnée. J'espère ne pas être tombé sur une sadique, pourtant ce rapport d'audit de la garde planétaire n'indiquait aucune atteinte aux droits de l'homme, mais je sais aussi ces gens-là corruptibles. Alors me reviennent en mémoire des images terribles.

 

C'était il y a 6 ans, j'avais négocié un contrat d'exportation d'algues aromatiques avec un roitelet local sur la planète Beyria, tout se passait bien, et l'affaire devait se conclure par une grandiose fête avec spectacle suivi d'un dîner. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que le spectacle en question était celui d'exécutions qu'on ne pouvait même pas qualifier de sommaires. Il m'était techniquement impossible de m'en aller. Je ne sais plus ce que j'ai prétexté pour ne pas aller à ce repas, et j'ai dégueulé toute la nuit, puis j'ai fini par me tirer, laissant tomber les algues et me promettant de revenir avec quelques bombes. Mais même ce plaisir me fut refusé, un coup d'état ayant entre temps remplacé ce sanguinaire tyran par un autre, peut-être moins sanguinaire. Mon commanditaire lui a eu le culot de me menacer d'un procès pour ne pas avoir honoré notre contrat. Alors j'ai été le voir, je lui ai expliqué et quand il m'a répondu que tout cela n'était pas son problème, moi qui ai horreur de la violence, je lui ai proprement cassé la gueule. Je suis peut-être une crapule, mais il y a des choses que je n'accepterais jamais...

 

- Vous êtes tout pâle, capitaine !

- Arrêtez cela, je vous prie ! Je crois que je vais m'en aller...

 

Et je repense à mon équipage, ils ont des instructions précises, ne pas boire, et se tenir prêt, sinon ils font ce qu'ils veulent. Pourvu que tout se passe bien !

 

- Capitaine ! Laissez-moi vous dire un mot ! Je suis désolée !

- Pas tant que moi !

- Cinq minutes, pas une de plus et après vous pourrez partir, si vraiment je vous ai déçu à ce point. Cinq minutes, juste cinq minutes, je vous en conjure !

- Admettons !

- J'ai voulu savoir qui vous étiez, quand votre demande de visite est parvenue, Durengo a voulu dire oui tout de suite, je lui ai demandé de patienter un jour ou deux, j'aime savoir à qui j'ai affaire. J'ai téléchargé le livre que vous avez écrit, votre livre de souvenir, il est assez gros, je voulais le terminer avant de donner mon accord. Mais quand je l'ai eu fini, j'avais terriblement envie de vous voir. Il y a là-dedans de grands moments, des moments d'hommes. Certaines scènes m'ont fait pleurer, d'autres rires, d'autres m'ont excité. Ce n'est peut-être pas de la grande littérature, mais on sent que c'est écrit avec vos tripes, avec vos couilles ! Je peux continuer

- Oui !

- Il y a une scène qui est très belle, c'est quand vous racontez votre liaison avec Elvira Cagliari !

- Ce n'était pas une liaison, on ne s'est vu que pendant cette soirée !

- Oui, mais cette scène est très belle, très coquine !

 

Une de ces super réceptions au Silenor, un truc dont j'ai horreur, mais parfois on est obligé d'aller dans des endroits... La réception chiante, et voilà qu'on me présente Elvira Cagliari, la Cagliari, la grande Cagliari, celle qui porte le même nom que la maîtresse du pape Pie VI qui mourut de plaisir dans ses bras !

- Jorgensen ! Ravi de vous voir !

- Que devrais-je dire ? Vous êtes éblouissante !

- Ne me regardez pas comme ça on dirait que vous avez envie de me sauter !

- Je pourrais vous dire que vous lisez dans mes pensées, mais je ne suis pas un goujat, je sais me tenir !

- Ne vous donnez pas cette peine, ce ne serait pas une corvée !

- Dois-je prendre cela comme une invitation ?

- Hum ! Juste une invitation à un jeu ! Rejoignez-moi dans une demi-heure à la suite 124, si vous le voulez bien, bien sûr !

 

Je n'avais pas compris, j’ai certes une réputation de Don Juan mais n'ai rien d'un tombeur, et voilà que l'une des plus belles femmes de la galaxie me prenait dans ses griffes.

 

- Valez-vous votre renommée Jorgensen ?

- Non, madame ! Si vous cherchez un étalon, vous avez fait un mauvais choix !

- Non justement les étalons m'emmerdent ! A la limite, je préfère quelqu'un qui ne me fait rien et qui me caresse toute la nuit ! Merci de votre franchise en tous cas ! Voulez-vous qu'on joue ?

- Volontiers

 

Alors devant mes yeux subjugués la Cagliari retira sa robe du soir, puis sa culotte, puis rien d'autre, elle était à présent complètement nue.

 

- Frappez-moi les fesses !

- Pardon !

- Oui ! Avec votre ceinture !

- Mais, ce n'est pas trop mon truc !

- C'est un jeu, Jorgensen, rien qu'un jeu ! Allez-y ! Deux coups suffiront !

 

Comme un zombi je frappais deux coups, elle ne broncha pas !

 

- Attention, je vais vous demander de vous remémorer le bruit, le bruit de la ceinture sur mes fesses !

 

Une cinglée ! Mais qu'importe, elle veut jouer, jouons !

 

C'est alors qu'elle fit entrer neufs autres jeunes femmes.

 

- Voilà le jeu ! Je vais vous bander les yeux, je vais m'intégrer à ces jeunes filles, et nous allons chacune recevoir deux coups de ceintures. Il faudra me dire laquelle je suis ?

- Mais c'est impossible !

- C'est un test, si vous avez vraiment envie de moi, vous me reconnaîtrez, et nous passerons la soirée ensemble !

- Et sinon ?

- Ne soyez pas défaitiste !

 

On passa aux actes, deux coups pour la première, deux coups pour la deuxième... tout cela se ressemblait trop, et puis à la septième un déclic, c'était elle !

 

- Alors ?

- La septième !

- Tu as gagné, je vais te garder l'enregistrement du bruit, ça te fera un beau souvenir non ?

 

Une femme délicieuse, attentionnée, pas du tout le personnage public qu'elle aimait à montrer. La nuit fut inoubliable. Mais je ne la revis jamais. Et j'avais oublié d'emporter l'enregistrement...

 

- Je ne suis qu'une imbécile, reprend-elle, je voulais évoquer Elvira, et c'est le souvenir de Beyria qui s'est réveillé. Rassurez-vous, je n'ai rien d'un tyran sanguinaire, il s'agit simplement de flagellation sur les fesses administrée à des gens qui aiment ça et qui en plus l'ont bien mérité. Mais afin de vous rassurer complètement peut-être désirerez-vous voir tout cela de plus près ? Venez avec moi !

 

Je la suivis dans la pièce mitoyenne, deux jeunes filles rousses attendaient je ne sais quoi. Cassandra demanda à l'une d'entre elle de me montrer ses fesses. Elles étaient bien rouges, mais la demoiselle n'avait pas l'air de se plaindre, du coup j'avais l'air un peu con !

 

- Je suis désolé, majesté !

- Laisse tomber la majesté, tu peux m'appeler Cassandra et même Cassie si tu veux, je peux t'appeler Hans ?

- Bien sûr !

- Et ne sois pas désolé, tu sais ce qui fait notre force ?

- Non !

- C'est qu'on ne refoule pas notre sensibilité, on est capable de la contrôler, mais pas de la refouler. J'ai voulu te faire plaisir, je suis passée à côté, mais quelque part, ta réaction me plait, je suis vachement content d'être avec toi ce soir... installons-nous, je vais demander que l'on nous serve !

 

C'est alors que je décidais qu'il était temps de la prévenir des agissements de son premier magistrat.

 

- Il faut absolument que tu regardes cela, ce n'est pas très long !

- Est-ce si important ? Je n'ai pas vraiment la tête à cela !

- Je le crains !

 

Blanche, livide, elle n'en revenait tout simplement pas, j'attendais une réaction d'humeur, une colère, non ce fut très contenu :

 

- Je sais très bien que l'on peut truquer complètement ce genre de choses. Mais j'ai les moyens de vérifier, demain je saurais. Nous allons dîner à présent, mais me voici un peu contrariée !

- J'en suis désolé, je ne me voyais pas rester au courant et ne pas te prévenir !

- J'ai compris !

 

C'est à ce moment que des hommes en armes firent irruption dans le boudoir royal.

 

- Ne faites pas un geste, vous êtes en état d'arrestation tous les deux !

 

C'est évidemment Durengo qui prononçait ces paroles

 

- Et pour quel motif, je vous prie ? Répondit crânement la reine !

- De toute façon, cette arrestation est illégale ! Vous rendez-vous compte que toute l'opération "bois" va être compromise ?

 

En disant cela je me grattais l'épaule de ma main levée, provoquant un joli petit signal inaudible ici, mais...

 

- Nous parlerons de tout cela demain ! Enfermez-moi ces deux-là où je vous ai dit !

 

On s'approche de nous, on nous maîtrise, nous n'opposons aucune résistance. Des bruits surgissent du couloir. La petite escouade paraît surprise. Durengo encore plus ! Une partie de mes hommes d'équipage investissent les lieux. La situation est retournée. Durengo et ses sbires sont proprement menottés, et emmené à l'intérieur de la navette intercontinentale.

 

- Qu'allez-vous en faire ? Je ne souhaite nulle violence !

- Demain nous relâcherons ses hommes, quant à Durengo nous allons lui demander de restituer tout ce qu'il pourra restituer, et après, soit je te le rends pour agrémenter tes geôles, soit on l'embarque et nous le déposerons quelque part lors d'une escale...

- Ce sera donc la deuxième solution. Il me faudra retrouver un autre Premier ministre, mais nous verrons cela plus tard. En attendant, Hans, pourrions-nous enfin dîner ? Cela ne t'a pas coupé l'appétit j'espère ?

- Non et d'ailleurs j'ai grand soif !

- Alors installe-toi ici, je donne deux ou trois instructions, je me change et je reviens !

 

Il s'agit d'un véritable dîner en tête-à-tête. Cassandra s'est vêtue d'une robe toute simple, noire à bretelle, plutôt courte et relativement décolletée. Je ne me lasse pas d'admirer sa large chevelure auburn qui lui sied si bien au visage. Elle a retiré ses colliers et sa couronne, ses seuls bijoux voyants sont un énorme bracelet en or massif et d'invraisemblables boucles d'oreilles constituées d'anneaux enchaînés à l'oreille droite et d'une sorte de très grande étoile à l'oreille gauche. Elle porte des bas noirs et des mitaines de même couleurs. Elle s'assied à l'extrémité d'une longue table en marbre blanc et dans un large fauteuil en cuir crème. Je me déplace pour venir à son côté. Une accorte serveuse vient décorer la table d'un magnifique triple chandelier munis de bougies noires et apporte une carafe de vin rosé. Ce sera donc l'apéritif

 

Nous levons nos verres, nous trinquons "à l'ancienne". Cassandra est magnifique !

 

- Ce repas était excellent, voilà qui nous a bien détendus après toutes ces émotions

- Il n'est pas forcément terminé, l'usage voudrait que nous le terminions par un petit digestif, ou un petit cigare, à moins que mon invité ait une autre idée ? Reprit-elle en minaudant ! Mais pourquoi te lèves-tu ? Une envie pressante sans doute ?

- L'envie pressante de te caresser, avec ta permission bien entendu...

- Hum, viens donc par ici, que je te donne la permission, et tu voudrais me caresser quoi donc ?

 

Pour toute réponse je viens me positionner derrière Cassandra, lui défais une bretelle et lui pelote les seins sous sa robe, elle se laisse faire, réagit à cette caresse et me câline le bras avec tendresse, s'abandonnant presque. Encouragé, je m'enhardis, l'autre bretelle est maintenant victime de mon désir, je ne me contente pas de l'enlever, mais la tire vers le bas, dévoilant ainsi ses seins que ne dissimulait aucun soutien-gorge, elle arbore ainsi une belle poitrine dont les tétons bien développés pointent d'excitation.

 

Cassandra15.jpgj

 

Je suis maintenant presque certain du sexe de ma partenaire, la seule question reste "Opérée ou pas opérée ?". Sans que je sache pourquoi la deuxième hypothèse ne serait pas celle qui me conviendrait le mieux ! Un coup d'œil vers son entre cuisses me répond, il n'y aura pas de suspense, la réponse est bien là sous la forme d'une jolie bosse. Un vieux proverbe ne dit-il pas que toucher les bosses porte-bonheur ? Je ne vois pas pourquoi je me priverais des vertus de ce talisman offert à mes mains concupiscentes. Je touche. Elle me répond d'un sourire, et sans plus de formalité j'extirpe de la culotte de Cassandra sa magnifique verge déjà grossie, la tiens par la base. Elle est désormais toute raide. Nous nous regardons dans les yeux, un étrange courant passe, je suis bien, elle aussi. Je lui branle la queue et en même temps, j'ose lui embrasser le bout d'un sein, l'embrasser, que dis-je ? Le téter, l'aspirer... Et Cassandra se pâme de plaisir !

 

J'ai soudain envie de l'embrasser partout ! Le sexe aussi ? Bien sûr le sexe aussi ! Pourquoi ferais-je exception pour ce bel organe fièrement dressé qui ne demande qu'à s'émouvoir sous les assauts de ma bouche ? Je ne suce pas pour l'instant, pas tout de suite, non je me contente de "chastes" baisers sur la hampe juste en dessous du gland, je sens bien la raideur du membre d'où perlent à présent quelques gouttes de liqueur séminale.

 

La moiteur de l'endroit conjugué à la chaleur de l'action me fait le temps d'une halte ôter mes vêtements du haut, le reste viendra après, j'adore être nu, je plais à ma déesse, mais ne lui laisse pas le temps de m'observer, je ne voudrais pas non plus qu'elle soit déçue, je suis fort quelconque je trouve, et je replonge vers cette bite dont je n'arrive pas à me rassasier, la suçant cette fois pour de vrai !

 

La reine de Palovia cesse d'être passive et ouvre mon pantalon, elle en extrait mon sexe qu'elle gobe sans préalable. Je la laisse faire, me dégage, et la laisse se branler en même temps

 

Cassandra s'amuse alors à rendre la pose :

 

- Regarde comme je suis belle !

 

Elle est debout, une jambe à terre, l'autre sur la table, genou plié, elle a une main sur la cuisse et l'autre dans les cheveux. Elle est à ce moment-là follement désirable. Alors, moi aussi, je décide de faire dans la fantaisie, je passe derrière elle fait descendre la queue de la reine et la suce " à l'envers ". Mon dieu que c'est bon ! Mon dieu que je suis excité ! Elle me met alors la main dans mes cheveux, les tire sans brutalité, uniquement pour guider mon visage vers son petit trou du cul qu'elle m'invite à lui lécher, ce que je fais volontiers, tout en lui massant les couilles du plat de ma main. Elle écarte alors bien ses fesses afin de me faciliter la tâche, son anus est alors bien ouvert, et c'est plaisir que j'ai de lui faire ainsi une feuille de rose.

 

Ma main cherche ma bite, elle va éclater, je me débarrasse enfin de mon pantalon et du reste. Cassandra a conservé la même position et m'offre son cul, je m'y présente doucement, le gland taquine l'anus, l'anus s'ouvre, l'humidité des lieux fait glisser les chairs, et je rentre aidé par la reine qui écarte ses fesses. Je rentre mieux, je rentre tout et commence à pistonner, essayant de me contrôler afin de ne pas jouir trop vite, provoquant des râles de plaisir de Cassandra Rose qui crie sa jouissance, à tel point que la serveuse alertée fera irruption, pour repartir aussitôt avec un large sourire ! Une coquine que celle-ci !

 

Je finis par éclater, j'aurais voulu jouir autrement, mais trop d'excitation ne font pas toujours faire ce que l'on veut, et puis la soirée n'est pas terminée, ce n'est pas bien grave. Je décule, fourbu et hilare. Je n'avais pas vraiment prévu la suite :

 

- Allez ! On change ! Met-toi sur la table, je voudrais bien jouir à mon tour !

 

Je n'hésite même pas, ce n'est pas mon truc préféré, mais je n'ai rien contre, et ça a l'air de lui faire tellement plaisir, je me mets sur le dos sur la table. Oh lala c'est froid ce marbre ! Je lève les cuisses et la laisse m'introduire son membre dans mon fondement. Elle fait cela très bien et me pénètre rapidement de son sexe entier, ses allers et retour me provoque une sensation fort trouble, décidément je suis très bien ce soir. La position est toutefois assez inconfortable, je vais avoir le dos en compote. Je le lui dis. Elle rigole, sort de moi, me fait placer en paresseuse sur la table et me pénètre à nouveau cette fois jusqu'à sa jouissance, tandis que l'excitation de la situation mêlé au spectacle de sa magnifique poitrine que la position me permet d'admirer a quelque peu réveillé (déjà) mon sexe que je branlotte d'une main distraite...

 

Je me relève tandis qu'elle s'affale dans son fauteuil, et pour la première fois nos bouches s'unissent en un long, en un interminable baiser d'amour.

 

Fin du récit de Jorgensen

 

Ils ne se quittèrent plus. Jorgensen devint Premier ministre de sa majesté, l'exploitation du bois exotique repris doucement. Ils se marièrent en grande pompe au bout d'un an suivant un rite qu'ils avaient eux-mêmes inventé. On se demanda alors quel titre prendrait Jorgensen, prince consort ou roi de Palovia. Ni l'un ni l'autre ! Par décret elle abdiqua au profit de sa première soubrette et nos deux tourtereaux prirent retraites dans un endroit que je me garderais bien de divulguer.

 

Récit commencé en avril 96 et réécrit à Arcachon en juillet 01 © Jean-Sébastien Tiroir

Première publication sur Vassilia, le 22/07/2001 retouché en sept 2009

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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