Vendredi 14 juin 2013 5 14 /06 /Juin /2013 10:48

 Confessions bitophiles – 3 – (texte collectif)

BiteFlag

Un couple d’amis
par Gédéon

Depuis quelques temps, je passais de longs moments sur le net, à chercher des photos et des vidéos de trio bi. J’étais fasciné par la queue d’un type dans l’anus d’un autre, devant sa femme.

J’avais tenté les dominatrices professionnelles, et je m’étais fait goder. Aussi un transsexuel, qui m’avait bien enculé. J’ai même tenté le sauna, où là, c’est un mec qui m’a demandé de le prendre, ce que j’ai fait.

J’avais l’habitude de tout raconter à mon meilleur pote, lui seul savait mes petites perversions.

Un soir qu’il m’invitait à manger chez lui, comme ça arrivait régulièrement, je le trouvais bien fatigué. Alors que je lui en faisais la remarque, il me répondit qu’il travaillait trop, et qu’il me laissait ranger le couvert avec sa femme, lui allant se coucher.

Sa femme… 15 ans qu’elle me draguait, presque ouvertement devant lui, sans qu’il ne s’en rende compte. Elle était sexy ce soir là. Et est arrivé ce qui devait. Je la pelotais en l’embrassant sur la bouche, elle un peu effarouchée au début, puis se laissant aller. Je crus qu’elle éteignait les lumières pour plus de sécurité. Elle se rapprocha de moi, et me posa d’autorité un bandeau sur les yeux.

Je sentis mon pantalon tomber à terre, retiré complètement. Elle me dévêtit complètement, en quelques minutes, je me retrouvais nu dans leur canapé. Et là, je sentis sa langue sur mes bourses, puis sur ma queue. Un délice. Je ne tardais pas à bander. Elle me suçait bien, la salope. Je bandais d’autant plus que je pensais à mon pote qui dormait à côté. La situation me gênait vis à vis de lui, mais m’excitait davantage.

Bi286 Alors que ma queue mouillait de plaisir, raide comme un I, je l’entendis se lever, allumer la lumière et revenir à moi en m’arrachant le bandeau. Surprise, c’était mon meilleur pote qui me suçait.

Elle expliqua que son mari lui avait tout raconté, et que comme il était facilement soumis, elle allait jouer avec nous deux ensembles. J’étais confus, honteux, mais ne débandait pas. Elle fit mettre son mari à quatre pattes, et m’ordonna de l’enculer à sec, ce que je fis avec une étrange facilité. Il avait l’habitude de se faire péter la rondelle…

—-

Manon et Eric par Camille

J’étais mal remis de mon divorce. Au boulot une femme me plaisait beaucoup, Manon, elle était gentille avec moi mais repoussait mes avances. Une fois sans doute pour me refroidir, elle me dit qu’elle et son mari étaient libertins et bisexuels. Loin de me braquer, je fantasmais au contraire sur une possible rencontre. Je continuais donc à poursuivre Manon de mes assiduités.

- si t’es libertine, pourquoi tu ne veux pas de moi ? si je ne suis pas ton genre de mec, dis-le-moi carrément, je te fouterai la paix.

- t’es trop sentimental, mon gars, moi quand je baise c’est juste physique, quand il commence à y avoir des sentiments c’est dangereux, et d’abord j’aime mon mari.

- Ah bon !

- Si tu veux me baiser ce sera devant mon mari, et vu ses orientations sexuelles tu prends un risque.

Alors je lui répondis que je voulais bien prendre ce risque. Je fus invité chez eux, on a d’abord diné, je me souviens qu’ils m’avait fait un soufflé au fromage et une mousse au chocolat. On a bu l’excellent bordeaux que j’avais apporté, et au moment du café, Eric, le mari s’est levé et s’est approché de moi puis a baissé son pantalon. Et m’a demandé de lui sucer la bite. Court moment de panique mais Manon m’encourage du regard alors j’ai pris la bite et je l’ai sucé. C’était doux, chaud, délicieux, je me suis régalé, après il m’a sucé la sienne. Il a voulu m’enculer mais il n’est jamais réussi à passer, le chemin était trop étroit.

Après j’ai baisé Manon comme il se doit.

Le temps a passé, j’aime toujours les femmes et je vis en ménage avec une fille formidable, mais de temps en temps je m’arrange pour me rendre dans des endroits où il y a de la bite à sucer, c’est tellement bon. Je me fais aussi enculer, depuis le temps le chemin s'est ouvert !

Bisous sur la bite à tout le monde

Camille

Ce contenu a été publié dans ConfessionsHistoires, avec comme mot(s)-clef(s) 
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 27 septembre 2012 4 27 /09 /Sep /2012 10:40

Confessions uro - 2
Nadine, astuce et caniveau
Texte collectif

 

Gs2

Thémes abordés : exhibition, fétichismes divers, uro, voyeurisme, uro

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Très différentes dans leur propos, il aurait été dommage de les laisser dans l’oubli !

 

Pipi-culotte
par Nadine
Je voudrais apporter mon témoignage personnel sur l’ondinisme. Je suis mariée, j’ai 50 ans et j’ai eu trois enfants. Quand j’étais plus jeune, il m’arrivait de souvent de faire pipi dans ma culotte, lors de fou-rires… Je me souviens qu’à l’âge de 19 ans j’étais en vacances en Suisse et lors d’une descente dans la poudreuse je suis tombée dans une telle épaisseur de neige que je n’arrivais pas à me relever, j’étais avec 2 copines et on riait fort. J’ai senti que je faisais pipi de rire et je ne pouvais pas me retenir ayant une grosse envie, j’ai pissé dans ma culotte à travers mon pantalon, mes deux amies ont pissé aussi en même temps que moi dans leur culotte et on est rentré se changer car nos pantalons fuseaux étaient auréolés à l’endroit des fesses.

 

Quand j’ai connu mon mari, je me souviens d’une sortie en forêt de Chantilly, je ne voulais pas faire pipi devant lui et je me retenais, il m’a caressé le sexe dans la voiture à travers ma gaine-culotte et au moment de l’orgasme, j’ai fait pipi dans ma gaine-culotte blanche qui était toute mouillée. Mon mari a bien rigolé et cela a dû le marquer car il m’en parle encore et m’a demandé souvent de pisser volontairement dans mon slip…

A mon 2 accouchement, j’ai eu un gros bébé et j’ai été recousue, pareil pour le 3° et depuis j’ai de gros problèmes de vessie. Pratiquement tous les jours je fais pipi dans ma culotte en riant ou éternuant, parfois il y a juste une auréole jaune sur le fond mais il m’arrive aussi de faire pipi dedans et à travers. au début cela me gênait, et puis je me suis habituée à avoir l’entre-jambe mouillé. Il m’arrive même, de ne plus aller aux toilettes quand j’ai envie, je fais pipi dans ma culotte au bureau, en regardant la télé ou au cinéma et cela m’excite. Souvent quand je rentre le soir, j’ai la culotte toute jaune bien au-delà du fond doublé, souvent je pisse debout à travers dans la rue avant de rentrer, je mets des culottes en coton blanc (Sloogy™ ou Playtex™) bien absorbantes une gaine-culotte par-dessus et des jupes foncées qui cachent l’auréole de pipi quand je mouille ma culotte.

Au lit, je garde ma culotte de la journée et mon mari est toujours excité par cela, il regarde si j’ai pissé dans la journée (c’est presque toujours le cas…) me caresse à travers et je fais pipi dedans avant qu’il me pénètre ou alors, il introduit son sexe en écartant la culotte et je fais pipi quand il est dans moi, cela nous conduit à un orgasme simultané et rapide.

Parfois, je me mets sur lui et je fais pipi dans ma culotte et mon pipi coule sur son pénis (il adore…) La femme de ménage était étonnée de voir tous les matins une culotte trempée de pipi ou tout jaune d’urine dans le linge sale aussi je lui ai expliqué que je faisais pipi dans ma culotte ayant des problèmes de vessie. Elle m’a dit qu’elle aussi faisait souvent pipi dans sa culotte en faisant le ménage.

Bref, les pipi-culotte nous excitent tous les deux, il paraît que la plupart des femmes pissent régulièrement dans leur culotte, souvent par plaisir, je ne suis donc pas la seule !
(18/12/02)

poire h

Une super-astuce !
par Christophe
Voici une astuce qui devrait intéresser de nombreux lecteurs : Comment retrouver les joies provoquées par le jet du pipi dans la bouche lorsqu’on est trop souvent célibataire (du moins dans l’accomplissement du fantasme) ? Il y a bien la méthode de la baignoire qui consiste à se positionner de telle façon de recevoir sa propre urine dans le gosier, mais avouez que ça manque de confort ! Alors voilà ! Il faut acheter une petite ‘poire pour hygiène intime  » ça s’appelle comme ça et ça s’achète chez le pharmacien ! Si le pharmacien vous pose des questions répondez que c’est pour faire des bains d’oreilles (ça sert aussi à ça !) Mais les pharmaciens ne sont pas curieux, ça fait partie de leur métier. Donc, vous pissez dans une cuvette, vous y plongez la petite poire en la pressant puis en relâchant la pression afin qu’elle se remplisse. Il ne reste plus qu’à vous en projeter le contenu dans la bouche par petites giclettes successives ? Ais-je gagné la meilleure astuce de l’année ?
(08/12/02)

 

 

Le caniveau
Par Luc, en Bretagne
C’est une histoire, mais vraie, c’est-à-dire plutôt un fait divers vécu. Ça se passe à Paris 14ème, rue Delambre je crois, vers 1995. Je marche sur le trottoir, il y a peu de monde dans la rue. J’aperçois un type qui travaille pour la propreté de Paris en tenue verte, un grand noir.
Un couple à pied me dépasse. Ordinaire. Quelques mètres plus loin, j’entends la femme qui dit à son mari :

 

Uro Rue

- « J’ai une de ces envies de pisser ! J’en peux plus, faut que je pisse ou je vais pisser dans ma culotte ! »

La vache ! elle commence à m’exciter celle-ci ! Elle se cambre, se contorsionne comme si elle offrait aux passants, son beau cul moulé par la jupe de coton blanc à travers laquelle je distingue déjà la culotte. Je ralentis le pas, pour ne pas les dépasser et savourer le spectacle, et je sens ma braguette qui gonfle et mon zob qui se déplie dans mon slip comme un jet quand on ouvre le robinet. La femme se caresse les fesses presque accroupie ; on croit que sa jupe va craquer, elle cherche désespérément des toilettes publiques… mais rien à l’horizon. Elle aperçoit l’éboueur et s’avance vers lui.

- « Je peux faire pipi dans le caniveau ? » dit-elle en riant.
- « Ah ! si vous voulez » répond le grand noir en souriant aussi, surpris, son balai à la main.

Elle ne le fera pas bien sûr. Le type à la cotte verte et blanche retourne à sa poubelle. Et moi je rêve… Lorsque j’arrive à hauteur du couple je vois la femme qui se retourne enjambe le caniveau, écarte les cuisses, remonte sa jupe, baisse sa culotte. Elle s’accroupit et se met à pisser. La salope ! Jamais j’aurais crû ça possible !

Y a que dans les films pornos qu’on voit ça ! même pas dans les érotiques ! Elle pisse, un jet dru gicle de sa fontaine ; je regarde sa chatte poilue comme un touriste japonais éberlué devant les grandes eaux des pelouses de Versailles. Le noir fixe la scène lui aussi paralysé de plaisir et de surprise.

« Allez tant pis pour les risques, me dis-je je tente le tout pour le tout! ».

Et devant le mari médusé je dis :

 » Madame excusez-moi, mais je collectionne les culottes portées, si je pouvais avoir la vôtre, ça me ferait grand plaisir  »

Elle finit de pisser, se relève et sort ses chevilles de sa culotte. Elle s’essuie la moule avec d’un geste rapide, me la donne

…et repart avec son mari qui n’a rien dit. Le grand noir l’appelle en se marrant :

 » Hé ! Madame on peut s’amuser tous les deux ! non ?

incroyable ! »

Le couple se met à courir et disparaît… Je porte la culotte chaude et mouillée à mes narines.
(23/10/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 10:29

 

coin102

Thémes abordées : engodage masculin, prostitution

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Nous les republions aujourd’hui non pas pour faire du remplissage, mais parce qu’elles n’ont rien perdu de leur force de témoignage, ni de leur actualité

 

Histoire Flash ! Par Jean-Claude

Le couloir d’un bordel rue St Denis, j’attends que J. soit libre, une oreille discrète, des bruits de sommier, j’attends quelques instants, puis j’entends une conversation, c’est fini mais ça s’éternise, je frappe. Peut-être suis-je arrivé un peu tard, elle quitte vers midi en principe. Elle m’ouvre, me demande d’attendre 5 minutes ! Ce n’est pas un problème et m’en vais fumer une clope. La porte s’ouvre ! Le client sort hilare :

-  » Je vous la laisse, elle est à vous  » me dit-il manifestement enchanté de sa prestation.  »
- C’est sympa bonne journée ! « , Répondis-je.

C’est bien la première fois que je rigole avec un autre client… Cette rencontre commençait donc sous les meilleurs auspices. Je rentre, me déshabille (mon intention n’est pas de tout vous raconter). On se caresse un peu debout et elle me retourne pour me flanquer une fessée. Elle connaît mes habitudes, elle connaît aussi mes autres fantasmes, ceux que nous ne faisons pas, parce que… et bien parce que ça me ferait trop cher ! Elle a l’air en pleine forme, elle a l’impression de cacher quelque chose, mais comme elle commençait à ranger ses affaires pendant que je me déshabillais, je n’y fais pas attention plus que ça ! Elle se place derrière moi, quelque chose de frais force mon anus. Et me voilà avec un gode dans le cul, que je n’avais pas demandé. Elle l’agite, je suis aux anges… On rigole, on passe à la suite, mais je conserve le gode planté… j’ai joui comme rarement cela ne m’était arrivé. Superbe souvenir ! Pourquoi je vous raconte ça, me demanderez-vous ? Et bien parce que je voulais simplement rendre hommage à celles d’entre elles (et elles ne le sont pas toutes) qui font leur métier (leur métier je dis bien) avec gentillesse, décontraction et conscience professionnelle. Et puis moi d’abord j’ai même pas honte, je suis bien dans ma peau, nananére.
(JC 21/05/03)

 

Je suis un vilain client par Patrick

R Pross99 Je suis un vilain client. Je consomme du sexe ! Vous vous rendez compte à quel point je suis un être asocial ? Et alors ? Moi, je suis aussi pour la banalisation du sexe ! En matière de consommation on fait bien pire, et ça ne choque pas trop les ligueurs de la morale qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre (parce que consommer des vêtements ou des chaussures de marques fabriquées dans des conditions d’exploitation incroyables en Asie du sud-est, vous croyez que c’est bien, vous ?).

Envie d’écrire ce petit courrier de Paris, où je me rends chaque mois… La rue St Denis… Mais la personne que je rencontre d’habitude n’y était point. Cela arrive. Alors coup de poker, car il m’est déjà arrivé de choisir des filles qui se sont révélées peu consciencieuses, regardant leur montre (l’horreur) ou bâclant la prestation sur fond de blabla radiophonique (l’horreur – bis) …

Deux choses m’ont attiré chez cette jeune femme : sa grande taille et son sourire qui éclairait son visage de blonde vénitienne. Peu de seins, peu de fesses, mais une belle allure. Elle m’a fait ce que je lui demandais avec art et manière, puis elle m’a pratiqué une fellation d’anthologie… j’ai eu beau rechercher dans mes souvenirs, je ne me souviens pas avoir été un jour aussi bien sucé ! Quelle fougue ! Quelle ardeur ! Mais aussi quelle gentillesse. Cette fille possédait un certain niveau culturel et un humour détonnant, ne pratiquant bizarrement le tutoiement prostitutionnel qu’en fin de prestation.

Elle m’a sorti un truc assez spécial, me disant qu’elle aussi jouissait en même temps que son client, mais qu’il s’agissait d’une jouissance cérébrale, le plaisir de voir l’autre jouir, quoi … Blabla commercial qui ne rajoute pas grand-chose, mais du même ordre d’idée que la boulangère qui vous demande si ça va… Après tout être comme on dit : commerçante, n’est jamais un défaut.
J’ai passé un excellent moment. Et je ne comprends pas moi non plus l’entêtement de ceux qui s’acharnent contre nous au point de ne pas nous entendre. Vive les filles !

(Patrick 13/03/03)

 

Merci à vous, mesdames ! par Bernard

A l’âge de 22/23 ans j’étais puceau, n’arrivant pas à m’affirmer auprès des filles. Je n’avais donc jamais connu l’amour physique et cela me travaillait… j’ai donc été voir les prostituées. Et là je me suis aperçu que je développais un blocage : je bandais correctement mais pas moyen de jouir. La première fois, je m’en tirais avec un piteux, « ce doit être la fatigue… la chaleur « . Les autres fois cela n’a pas été mieux. Je changeais de fille à chaque fois, à raison d’une ou deux fois par mois. Et à chaque fois, l’échec. Et à chaque fois j’invoquais la chaleur, la fatigue, et même la marche à pied…. J’envisageais assez mal l’avenir, je me voyais vieux garçon refoulé, aigri, sans perspective, l’horreur ! Et puis un jour, il pleuvait des cordes, je monte avec une fille super gentille, qui commence par me sécher les cheveux, sans doute plus pour ne pas mouiller son dessus de lit que pour m’être agréable, mais elle était souriante et avenante. Le scénario se répétait. « La chaleur, la fatigue… » -

« Mais non, faut que tu jouisses ! » Me dit-elle et elle commença à me masturber.

Puis me demanda de le faire moi-même en se laissant caresser par mon autre main. Le fait d’avoir joui me fit changer complètement la vision que j’avais des séances avec ces dames. Et à partir de cet instant, après mes tentatives, au lieu d’invoquer la chaleur… je proposais : « Je vais me finir à la main… «  pas facile à sortir la première fois, mais on s’y fait vite !

Et puis un jour, une fille, (je me souviens de son prénom -c’était Brigitte-, de son visage malicieux et de ses grands cheveux blonds) me répondit « Mais, non, laisse toi faire ! »elle me chevaucha avec application et décontraction, y mit tout son savoir-faire, et pour la première fois de ma vie, j’éjaculais en faisant vraiment l’amour… J’en avais les larmes aux yeux de bonheur.

Le déclic fut radical, mon blocage disparut… Quelques mois après je rencontrai une femme, et ma vie sexuelle est devenue normale, à ceci près que parfois je retourne voir les filles. Mais non, je corrige, cela n’a rien d’une anormalité !
Simplement la question que je me pose, c’est : quelle aurait été ma vie, si je n’avais pas rencontré ces deux filles ? Merci encore, à toutes les deux et merci encore à toutes les autres, je vous dois ma vie d’homme. !

B. (14/06/02)

ce dernier témoignage est tout simplement l’un des plus beaux et des plus touchants qu’il m’a été donné de lire sur le sujet.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 27 août 2012 1 27 /08 /Août /2012 10:14

Confessions bitophiles – 2
par Mirando, Looker et Dami 62

BiteFlag

Thémes abordés : bisex masculine, naturisme

                Cinoche par Mirando

Je viens de vivre une de mes expériences bi les plus excitantes depuis ces 5 dernières années…

 

Je suis agent commercial indépendant ce qui me laisse beaucoup de temps de libre ainsi je vais parfois faire un tour dans un des derniers cinés pornos de Paris à Bonne Nouvelle. On entre dans une vraie salle de cinéma ou bon nombre de mecs présents sont en train de se branler soit tous seuls soit aidés par leur(s) voisin(s).Ambiance ultra excitante devant de vieux films pornos d’il y a dix ans…

La meilleure place est celle au bord du couloir tout en haut avec le mur dans le dos, ainsi on peut observer les nouveaux arrivants qui restent parfois quelques instants debout afin de mieux habituer leurs yeux à l’obscurité et savoir où ils vont pouvoir s’asseoir. Beaucoup de vieux bien murs et puis quelques âges intermédiaires un ou deux jeunes comme moi parfois. Sur le dernier rang il peut tout se passe…

Me voilà donc debout avec deux autres hommes plutôt bien murs l’un devant moi appuyé contre le mur comme moi et l’autre à côté. Nous regardons le film et rapidement celui de devant passe ses mains derrière son dos pour me palper la braguette. Érection immédiate, je me laisse faire il sort mon sexe et commence à me branler…. Je suis BIEN inutile de vous le dire…

En quelques instants ils sont trois autour de moi à me branler et caresser les couilles le cul à travers le pantalon cinq ou six mains au niveau de mon bassin en même temps le REVE. Et puis le temps passe… mais je commence à fatiguer de rester debout aussi quand la fameuse première place au bord se libère je retire doucement les mains de mes « Assaillants » et je vais m’asseoir.

Et là les choses deviennent incontrôlables car l’un de mes ex palpeurs se met à genoux et entreprend de me sucer goulûment (je n’ai rien contre… ils le comprennent tous…) et quand mon suceur me laisse un peu de répit, ma queue se dresse de ces 19 cm avec le gland luisant de bave épaisse et dure dans l’obscurité… Alors c’est mon voisin qui prend le relais pour me pomper en gorge profonde en me titillant les seins (Je fais tout mon possible pour ne pas jouir et prolonger cette expérience) je suis en transe, on me baisse le pantalon et cette fois c’est mon voisin de devant qui s’est retourné et commence à enfoncer son doigt lentement et avec délicatesse dans mon trou du cul. L’opportuniste en profite pour me prendre en bouche dès que son complice libère ma queue et me voilà sucé par trois mecs à la fois tour à tour…. C’est quand le tout premier reprend son goûter que, à bout d’excitation et saisi par de gros spasmes, je lui envoie les jets chauds et salés de mon sperme au fond de la gorge ce qui semble le combler d’aise (même s’il recrache le tout ensuite ce qui me parait une attitude prudente par les temps qui courent).

J’avais du mal à marcher en sortant du ciné, et cette expérience me sert de sujet de masturbation très souvent ces derniers temps.

 

Biscarosse par Looker
branlettes J’ai eu une première expérience avec un homme cet été dans les dunes de la plage de la lagune à Biscarrosse.

 

J’étais en train de me faire bronzer à poil lorsque j’ai été intrigué par des va-et-vient de mecs derrière un bosquet pas très loin. Je me suis approché et j’ai alors vu un couple en train de faire l’amour devant une demi-douzaine de mecs assis en cercle autour d’eux et tous en train de se branler. Je me suis joint au groupe et j’ai moi aussi commencé à me caresser doucement car j’étais très excité et j’avais peur de jouir devant tout le monde. Malheureusement, la séance devait avoir déjà commencée depuis un petit moment et le couple finit sa « prestation » peu après.

Toujours très excité, je suis retourné me faire bronzer dans mon coin et allongé sur le dos, ma main continuait à aller et venir sur ma queue toujours bandée. Mon manège ne tarda pas à attirer l’attention d’un mec qui rodait par là et qui s’approcha doucement. Pour la première fois de ma vie, j’étais en train de me branler devant un mec et cela m’excitait terriblement. Au bout d’un moment, il était carrément debout devant moi à 50 cm !!! J’étais de plus en plus excité et ma queue prête à exploser. A ce moment-là, il s’est agenouillé et il a posé sa main sur mes couilles et a saisi ma queue. C’était trop pour moi !! Je lui ai fait signe « non » de la tête tout en serrant mon gland dans ma main et il est parti silencieusement sans se rendre compte que ce simple contact m’avait fait jouir et que ma main était pleine de sperme.

Inutile de vous dire que je suis retourné ensuite à cette plage que je vous recommande.

 

La première fois par Dami 62
J’avais 33 ans au printemps 1978 et j’étais déjà attiré par les petites annonces (sur revues uniquement, il n’y avait pas internet).

 

Il fallait correspondre pour se fixer un rendez-vous et pour la première fois je fus attiré par un portugais de dix ans mon aîné, et qui voulait un modèle pour faire des photos. Par très rassuré, je me rendis à son domicile à Paris. Il s’appelait Jésus et il m’attendait à poil dans son petit deux pièces. Cela m’enhardit à faire de même et armé de son polaroid il me demanda de prendre tous genres de poses : de face, de dos, couché, des plans entiers et des gros plans de mon sexe.

J’y pris vite goût de me montrer ainsi et comme je bandais, il me proposa de me caresser. Ce fut ma première expérience et après ses mains, se fut bientôt sa bouche qui prit possession de mon « mât » tout dressé. De plus en plus excité, mes mains maladroitement prirent son beau sexe bien long pour le caresser et bientôt je fis comme lui, et j’y portais ma bouche. Ce fut ma toute première expérience d’un homme et j’en garde un très bon souvenir.

La preuve j’ai recommencé souvent ensuite, ne pouvant plus m’en passer !

 
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 4 juin 2012 1 04 /06 /Juin /2012 18:35

Trente et un chameaux

par Lena Van Eyck

 

coin102

 

Préambule

 

J'avais perdu ce texte tapé à la machine à écrire au milieu des années 1980. Le récit est authentique, il m'a été narré oralement par Carole, j'en avais simplement fait une transcription littéraire dans le style épistolaire, (le récit parlé et le récit écrit n'obéissant pas forcement aux même règles). Je l'avais proposé à une revue qui publiait des "lettres érotiques" et qui ne l'a pas retenu. Je l'ai retrouvé… dans mon fouillis…

 

Bonjour Léna

 

Comme convenu je te raconte par le détail cette étrange "cérémonie" à laquelle j'ai participé il y a quinze jours dans le Loir et Cher chez Jean-Pierre.

 

Jean-Pierre avait loué mes services du début de la soirée jusqu'au lendemain midi. Il m'explique que ce soir, le thème sera le marché aux esclaves et que les invités pourront nous acheter suivant le principe de la vente aux enchères !

 

Ça ne va pas la tête, je ne suis ni un objet ni une bête de foire ! J'émets donc une vigoureuse protestation et fait part à mon hôte de mon intention de ne pas rester.

 

Je le connais bien, Jean-Pierre, si je décide de partir, il fera la gueule mais respectera ma décision.

 

Il m'explique quand même en long et en large que tout cela n'est qu'un jeu, que parmi les invités il y aura Machin, Truc et Bidule que je connais déjà et qui sont des gens très respectueux, bref, il m'embobine et ajoute, que le montant de l'enchère me reviendra intégralement. Ce dernier argument fut bien sûr décisif.

 

- Tu auras peut-être droit à quelques coups de cravaches. Ajoute-t-il.

- Du moment que ce n'est pas trop fort et qu'on ne me marque pas…

 

En attendant le début des hostilités, je me remaquille et discute avec les autres filles, il y en a deux que j'avais déjà croisé, je fais connaissance avec les trois autres. Nous serons six esclaves.

 

Jean-Pierre a réuni un casting de folie : imaginez : une blonde, une rousse, une blackette, une beurette, une asiatique... Et moi, grande brune à la peau claire.

 

Il nous fait mettre en tenue, saroual blanc ridicule pour le bas, voile transparent pour le haut, ça c'est très joli, chacune à sa couleur, jaune, rose, parme, vert, blanc, le mien est bleu. On se ceint la taille avec une ceinture de danseuse du ventre, le machin doré avec plein de chapelets de perles et de médailles qui en dégringolent, tout ça en toc, faut pas rêver non plus !

 

Vers 20 heures, ça commence, on nous fait monter sur une petite estrade d'environ 50 centimètres de haut dissimulée derrière un rideau rouge.

 

Une estrade dans un appartement ? Et oui, il parait que ça se loue. Certains riches bourgeois se payent parfois un concert privé d'un grand interprète classique, (ceux-ci sont donc aussi putes que nous !) Evidemment avec une estrade, c'est plus classe. J'ignorais toutes ces choses avant de venir, j'en ai appris beaucoup au cours de cette soirée !

 

Le rideau se lève ! Je manque de pouffer de rire, j'ignorais que les invités de Jean-Pierre devaient respecter un dress-code. En fait tout ce beau monde s'est passé un keffieh sur la tête à la façon des bédouins. Nous faisons toutes un joli sourire au public : que des hommes à l'exception d'une femme qui est venu avec son mari. Ils applaudissent. J'ignorais qu'on applaudissait les esclaves avant de les acheter ! Je reconnais quelques visages, des amis de Jean-Pierre. Sa bande ! Je reconnais aussi un animateur de télé bien connu, c'est lui qui s'est fait accompagner de sa femme. Ce mec est, dit-on, bourré de fric.

 

Puis commence la présentation. Musique ! Des mélopées orientales comme il se doit ! Chacune doit se déshabiller, se déhancher et s'exhiber pendant la durée du morceau de musique, soit à peu près trois minutes, à la fin on annonce son prénom, et après, zou on passe à la suivante. Pendant mon propre show, je me souviens d'un truc qu'on m'avait appris quand j'étais strip-teaseuse et entraîneuse, je me choisis une cible dans l'assistance et je ne le quitte pas des yeux. Pourquoi pas le mec de la télé ?

 

Après cela vint la séance de pelotage. Jean-Pierre, lui aussi coiffé d'un torchon de cuisine à la manière de Yasser Arrafat, prit la parole :

 

- Ces demoiselles vont maintenant passer parmi vous, pendant cinq minutes, pas une de plus, vous allez pouvoir tâter la marchandise...

 

Il a bien dit "tâter la marchandise" ! Effectivement, on descend de l'estrade et tout le monde s'agglutine autour de nous. Festival incontrôlé de mains baladeuses, qui me fait demander s'il s'agit d'êtres humains ou bien de poulpes ! Et que je t'attrape un sein, et que je te tripote le cul, et que les mains sur la chatte tentent d'aller plus loin qu'il conviendrait.

 

- On reprend tous nos places !

 

Pas trop tôt, ces cinq minutes furent franchement pénibles.

 

Arrive alors une secrétaire équipée d'un carnet de notes, la quarantaine, lunettes à grosses montures, cheveux noir en chignon, tailleur noir, (tiens, elle n'est pas déguisée, celle-ci !) pas mal, elle distribue un bout de papier et un crayon à chaque invité.

 

- Voilà, précise Jean-Pierre, les filles vont se présenter à nouveau pour qu'il n'y ait pas de confusion, puis vous aller les noter de 0 à 5, on additionnera tout ça et on commencera les enchères avec celle qui aura eu la note la plus basse.

 

Pendant que ces messieurs dames peaufinent leur bulletin de vote, Jean-Pierre et la secrétaire nous font passer chacune la tête et le visage dans un carcan. Ainsi affublées, notre hôte, qui s'est équipé d'une cravache nous examine une par une, nous fait se retourner et distribue des coups de cravaches. Je remarque que la petite asiatique y échappe, elle a dû dire qu'elle n'aimait pas ça et Jean-Pierre en tient compte ! Un bon point pour Jean-Pierre, malgré le fait que ce salaud prenne un plaisir évident à me faire rougir le cul.

 

Ensuite il nous fait mettre toutes à genoux en rang d'oignons. Le spectacle à l'air de plaire particulièrement à un type au premier rang, le visage tout rond et tout rose, le nez trop petit… un petit, non plutôt un gros cochon car il a sorti au grand jour son engin reproducteur et se masturbe hardiment. Il aurait tort de se gêner, c'est bien une soirée sexe, non ?

 

La secrétaire ramasse les bulletins et s'en va les compiler dans un coin de l'estrade sur une chaise, puis donne les résultats à Jean-Pierre qui les regarde à peine, je suis persuadé que c'est truqué, mais quelle importance ?

 

- Mesdames Messieurs, nous allons procéder dans quelques instants à la vente de ces demoiselles, mais avant j'ai un petit gadget à vous proposer ! Si le gadget veut bien s'avancer.

 

Le gadget est une espèce de pâtre grec frisé comme un mouton et ma foi, assez joli garçon, il est complétement nu et glabre, il salue l'assistance qui lui répond par ce qu'il est convenu d'appeler des mouvements divers.

 

A mon avis, Jean-Pierre dont je sais les tendances bisexuelles, a voulu faire une sorte de clin d'œil à ses invités, mais je me trompais, ce n'était pas tout à fait ça…

 

Mesdames Messieurs, si quelqu'un en veux, il est à vendre ! Je rappelle que les enchérisseurs éventuels ont le droit de tester tous les produits proposés…

 

"Les produits !" On est des "produits !"

 

… pendant seulement trois minutes et ensemble. Le test n'est pas gratuit, il coûte un demi-chameau qui ne sera remboursé que si vous emporter la mise !

 

C'est quoi cette nouvelle monnaie : le chameau ???

 

- La mise à prix est de 5 chameaux, qui veux tester la marchandise ?

 

Deux mains se lèvent ! Je n'aurais pas cru ! Le premier est une espèce de type taciturne avec une barbe mais sans moustache ce qui lui donne un air de professeur Mortimer, l'autre (et là je suis sur le cul) est la dame accompagnant le type de la télévision.

 

Ils montent tous les deux sur l'estrade, la dame commence à caresser le pâtre grec de façon assez soft, Mortimer, lui, se met à lui peloter les fesses tandis que Jean-Pierre passe derrière et lui administre un coup de cravache sur les cuisses suivi d'un ordre sec.

 

- Suce !

 

Pâtre grec s'agenouille se demandant par qui il doit commencer, mais Mortimer décide à sa place, sortant sa bite et la lui fourrant dans la bouche. Ça devient chaud tout ça !

 

- Et si vous échangiez vos rôles ? Leur propose la femme.

 

Pâtre grec se relève alors, et sans hésiter une seconde, Mortimer s'empare de sa queue et la suce. Pendant ce temps la femme roule un patin au bel éphèbe.

 

- Le test est terminé ! 5 chameaux ! Qui le prend le gadget pour 5 chameaux ?

- Moi ! Dit la femme.

- Quelqu'un veut surenchérir ! Monsieur peut-être ?

- Non, ça m'aurait intéressé, mais galanterie oblige, je le laisse à madame. Répond Mortimer.

- C'est très gentil je vous revaudrais ça ! En fait c'est un cadeau pour mon mari !

- Vous m'en direz tant ?

- Je vous en dirais peut-être plus tout à l'heure.

Gerome_Selling_Slaves.jpg

 

Arrive le tour de Martine la rousse.

 

- Il fallait bien une dernière, c'est elle, mise à prix 5 chameaux. Qui est intéressé ?

- Moi, intervient un grand binoclard.

 

C'est le seul. Jean-Pierre l'interpelle quand il monte sur scène.

 

- Prenez cette cravache et donnez-lui en dix coups, ça lui apprendra à être la dernière !

 

Et tandis que les coups cinglent, j'aperçois que la dame de la télé, son mari et le pâtre ont reculé de deux rangs afin de s'installer tous les trois, le pâtre au milieu, pour une bonne partie de tripotage.

 

Il n'y a pas eu de surenchère, grand binoclard a emporté le lot pour 5 chameaux et je ne sais toujours pas la valeur d'un chameau !

 

Ensuite ça devint routine, la beurette dut sucer trois hommes qui firent monter les enchères à 15 chameaux. Beurette vendue ! La blackette eut quatre hommes autour d'elle et ne savait plus où donner de la tête. L'un deux était gros cochon, il emporta la mise à 18 chameaux. Au tour de l'asiatique, cette fois c'est cinq hommes qui montent sur l'estrade, mais je viens de comprendre que certains trichent, ils payent le prix du test mais ne renchérissent pas. 11 chameaux seulement pour l'asiatique.

 

Reste à vendre : la blonde Karita, un véritable canon et moi-même.

 

- Voici Carole, mise à prix 10 chameaux !

 

Et hop en voilà cinq sur scènes autour de moi, je ne comprends pas que Jean-Pierre, ne pénalise pas les tricheurs. Il y a parmi les testeurs, le gars de la télé qui n'a pas participé aux tests précédents, je me fais un plaisir de le sucer mieux et plus longtemps que les autres.

 

- 10 chameaux, qui dit mieux ?

- 11 chameaux ! Tente un petit rondouillard

- 12 chameaux ! Tente un troisième

- 13 chameaux ! lance un quatrième

- 14 chameaux ! Répond le gars de la télé

- 15 chameaux ! Reprend le premier.

 

Moi je préfère le gars de la télé, et comme j'avais commencé à le faire tout à l'heure j'essaie de fixer son regard.

 

La bataille fait rage, il ne reste plus que le rondouillard et le gars de la télé

 

- 28 chameaux ! Lance rondouillard

- 29 ! Répond Télé

- 30 ! Reprend l'autre du tac au tac.

 

- 30 chameaux ! 30 chameaux ! Qui dit mieux ?

 

Télé se tait, je le regarde de nouveau dans les yeux lui fait un sourire enjôleur.

 

- 31 chameaux ! Finit-il par lâcher.

- 31 chameaux ! 31 chameaux ! Qui dit mieux ? Personne ! Adjugé vendue ! Vous pouvez venir chercher votre achat.

 

Télé me prend par la main et me conduit au troisième rang où Madame et le pâtre continuent de se tripoter.

 

La belle Karita n'eut qu'un seul amateur qui la rafla à 10 chameaux, le montant de la mise à prix. Ce qui prouve bien l'idiotie de ce système de vente puisqu'une fille dix fois plus belle que moi a donc été estimée trois fois moins…

 

Mais nous n'étions pas au bout de nos surprises. Jean-Pierre reprit la parole.

 

- Je vois que tout le monde n'a pas été servi…

 

En fait c'était faux, je me suis aperçue après que les gens misaient en groupe, tout le monde étaient donc servi même si certains groupes étaient mieux servis que d'autres

 

- …J'ai, continua-t-il, quelques articles en solde. D'abord Marie-Claude, la secrétaire, je n'en ai plus besoin, elle a tenu les comptes de façon méticuleuse et il faudra messieurs dames avant d'aller batifoler, passer à la caisse. Marie-Claude, retirez ce tailleur ridicule, que l'assistance puisse voir votre cul !

- Bien sûr, monsieur !

 

Pas si mal à poil, la mature ! Trois types virent se faire sucer et elle eut l'air de se débrouiller fort bien. Vendue 15 chameaux après une petite enchère, mieux que Karita !

 

- Et maintenant, la dernière surprise, je reviens de suite.

 

Jean-Pierre revint avec une femme nue, tenue en laisse et se déplaçant à quatre pattes.

 

Murmures dans la salle, certains savent de qui il s'agit : c'est sa femme. Vendue 20 chameaux après qu'elle eut sucé quelques bites !

 

Cette fois la vente est finie. Jean-Pierre nous refait un laïus que je n'entends pas étant occupé à doigter le cul de Madame télé, on ne peut pas tout faire à la fois !

 

Mes mouvements de doigts n'empêchent pas ma "propriétaire" d'interpeller Mortimer qui se radine.

 

- J'ai apprécié votre geste tout à, l'heure, si vous voulez maintenant vous joindre à nous, nous vous accepterons bien volontiers.

- J'avais un autre plan, mais je crois que je vais accepter le vôtre.

 

Je ne raconterais pas la partouze par le détail, d'abord parce que ce n'était pas l'objet de cette lettre, ensuite parce qu'elle n'a pas vraiment tenu ses promesses.

 

Disons qu'au départ les trois hommes se sont mélangés, sucés, pénétrés de façons diverses et variées pendant que Madame s'occupait de ma personne (et vice-versa). Les sexes ont ensuite finit par se mélanger à leurs tours, mais une heure après les hommes étaient amorphes, et madame télé avait un petit creux, on est donc redescendu où un excellent buffet (oriental, bien sûr !) nous attendait tous.

 

Curieuse expérience, le fantasme est masculin, la façon dont il fut traité l'est peut-être encore plus. Alors qu'est-ce que j'en pense vraiment, je n'ai pas eu la réponse tout de suite, refusant de l'admettre.

 

Au-delà du business, cette soirée a eu quelques côtés un peu amusants, d'autre franchement pénibles (le pelotage collectif), mais ce que j'en ai retenu c'est que quand deux hommes se sont battus pour moi à coup d'argent afin de me posséder (si peu en réalité), j'en ai ressentie une grande fierté, Je me suis dit : "ma grande, tu es si désirable que des hommes sont prêt à payer très cher pour t'avoir !" à ce point que si un jour on me propose de nouveau une telle expérience, j'accepterai sans hésiter.

 

Je t'embrasse très tendrement.

 

Carole"

 

Deux précisions :

 

1) La loi française est ainsi faite que même s'il s'agit d'un cadre privé, même s'il s'agit de rapports entre des adultes consentants, même si les organisateurs n'ont rien touché du montant des enchères, l'organisation d'une telle mise en scène tombe sous le coup des lois réprimant le proxénétisme. Absurdité, quand tu nous tiens !

 

2) Carole ne m'a jamais précisé à combien équivalait un chameau, mais la somme qu'elle a récoltée devait être coquette, elle s'est offert une croisière avec !

 

Léna Van Eyck, 1985 et 2012

 

Le tableau "Vente d'une esclave à Rome" est de Jean-Léon Gérôme (1824-1904)

 

PS : On m'a reproché que ce petit texte était de loin inférieur à d'autres choses que j'avais écrites. J'en suis bien consciente. Mais j'ai aussi le droit de m'amuser !

 

 

Par Léna Van Eyck - Publié dans : Léna Van Eyck
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • mast ejac
  • Couturiere
  • Massage2
  • stamp transblack
  • concours
  • cosmo pee

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés