Dimanche 23 juin 2013 7 23 /06 /Juin /2013 11:19

Coiffeur pour dames

par Enzo

 

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A l'époque j'avais trouvé un petit boulot de coursier, non seulement c'était horriblement mal payé mais c'était à moi d'entretenir la bicyclette… Passons, j'avais 22 ans, pas de liaisons… Enzo, brun, presque imberbe, et plutôt allergique au sport sinon celui en chambre et la marche à pied.

 

J'apportais un paquet chez un coiffeur pour dame dans une rue bobo du 7ème arrondissement. Le mec, un quinquagénaire plutôt bien conservé me regarde comme si j'étais une apparition. La légende qui veut que tous les coiffeurs soient homos serait-elle fondée ?

 

Le type me file un pourboire de prince !

 

- Je vous trouve charmant ! Dommage que vous ne soyez probablement pas homo ? Me dit-il… Carrément.

- Je peux l'être si on me paie ! Répondis-je du tac au tac.

- Et bien passez me voir ci soir à 20 heures, vous aurez peut-être trois clients d'un coup.

- Sérieux ?

- Très sérieux.

 

Et à 20 heures, j'étais là ! La porte est fermée, je toque, une femme vient m'ouvrir. Une femme ?

 

- Bonjour, je suis Marie-Claire, la femme du patron, asseyez-vous, il est avec deux amis, je vais lui dire que vous êtes là ! Amusez-vous bien !

 

Ça alors !

 

Marie-Claire ferme le rideau de fer de la boutique, disparait dans une arrière salle et revient avec son mari et deux autres hommes, puis va tranquillement s'assoir sur un fauteuil d'attente.

 

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Max me dit le patron

- Moi, c'est Enzo !

- Et voici mes amis Gérard et Edmond.

- Il est mignon ! Commente Gérard !

 

L'autre me touche le cul ! Faut surtout pas se gêner ! Je me dégage avec un sourire de politesse

 

Max doit avoir la cinquantaine, cheveux grisonnants et petite moustache il est en chemise ouverte, grise et bordeaux à rayures. Les deux autres ont plutôt la soixantaine.

 

- Voilà une enveloppe pour vous, on se donne une heure et demie, ça te va ?

 

Je regarde dans l'enveloppe sans toutefois recompter, ça a effectivement l'air d'aller.

 

- OK quel est le programme ? Demandais-je.

- D'abord je te baise, mes amis se contenterons de regarder, ensuite ce sera la seconde partie, ce sera à eux de jouer… Toutes les pénétrations seront avec capotes. Ça te va ? Des questions ?

- Non, ça va !

- Et bien, allons-y mets-toi à poil !

 

Gérard et Edmond vont s'assoir mais du côté opposé à Marie-Claire.

 

Me voilà face à face avec Max. Je me déshabille devant lui sous son œil concupiscent. Lui aussi se déshabille, il est plutôt bien conservé avec quand même un petit peu de bedaine.

 

- Hum pas mal du tout ! Me flatte-t-il en me caressant.

 

Il bande bien

 

- Vas-y suce moi la queue !

 

Ben, oui, je suis venu pour ça ! Elle me plait bien sa queue, bien droite, terminé par un joli gland violacé. Allez hop dans la bouche, la bite, je fais des longs mouvements de va-et-vient, Max est aux anges. Histoire de faire durer un peu le plaisir, je lui gobe les couilles, il apprécie.

 

- T'es une bonne salope de suceuse ! Me dit-il dans un moment de poésie. Suce moi aussi un peu derrière.

 

Pourquoi pas, je ne déteste pas lécher un joli cul. Je le contourne et lui écarte les fesses, puis ma langue vient lui taquiner l'œillet. Odeur légèrement forte. Normal, un cul c'est un cul. Je parviens à bien lui lubrifier l'œillet, je me demande si je peux me permettre un doigt, mais il ne me le demande pas, il doit être exclusivement actif. Ça arrive !

 

Je repasse de l'autre côté et reprend sa bite en bouche

 

Vous connaissez la chanson ? "La bite en bouche, la voilà la jolie bite, bitons, bitons, bitons…"

 

Je m'amuse à lui titiller le bout du gland avec la pointe de la langue, comme j'adore qu'on me le fasse, je suppose que ça lui plait bien.

 

- Oh, là là, oh, là là là commente-t-il.

 

Je me recule un peu, examine le résultat de mes talents : Sa bite est raide comme la justice, elle est vraiment très jolie. Je sens que l'avoir dans mon cul ne sera pas une corvée. Mais j'attends qu'il me le demande.

 

- Suce encore !

 

Au cas où je n'aurais pas compris…

 

Un petit coup d'œil sur les fauteuils d'attente, sur ma droite Gérard et Edmond ont sorti leur bite et se masturbent en profitant du spectacle comme des gros pervers. Mais les gros pervers, moi, ça m'excite. De l'autre côté Marie-Claire s'est dépoitraillée et a baissé son pantalon, elle se branle la foufoune d'une main pendant que de l'autre elle se tire sur les tétons.

 

Quelle ambiance !

 

Je continue à sucer, mais je commence à avoir mal à la mâchoire, je fais diversion en donnant de grands coups de lèche sur sa verge.

 

- Mets-toi à quatre pattes, je vais t'enculer. Non, pas comme ça, il faut que ma femme puisse bien voir !

 

O.K. Je rectifie la position, je me cambre et m'écarte les fesses. Max me tartine le troufignon avec du gel, puis je sens le gland qui quémande l'entrée. Une petite poussée et ça entre. Il pousse encore, ça y est, j'ai toute sa bite dans mon cul. J'adore cette sensation, et j'adore encore davantage quand il entreprend d'aller et venir d'un bon rythme. Je me sens vraiment salope de me faire enculer comme ça devant trois témoins excités comme des puces.

 

J'ai le cul plein de sensations électriques, je suis bien, je suis aux anges, je plane !

 

Il m'a bien limé comme ça pendant dix minutes, je ne sais pas trop, on perd la notion du temps quand on se fait enculer. Il se retire, il n'a pas jouit. On fait quoi maintenant ?

 

- Mets-toi sur le dos, les cuisses bien en l'air !

 

O.K. Il va m'enculer par devant. Ce vieux cochon veut jouir en me regardant. Il a raison, là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! En revanche, pour ce qui me concerne, je n'aime pas trop cette position, d'abord elle devient rapidement fatigante, et puis le Max comme image érotique, on fait mieux quand même ! Mais que voulez-vous, business is business. Max a toutefois la très bonne idée de s'agripper plutôt après mes tétons, et ça c'est un truc qui m'excite super bien. Après dix minutes de "je rentre, je sors "en roue libre", il s'énerve brusquement, accélère et finit par jouir en poussant un cri de loup-garou sous la pleine lune.

 

Il m'a bien enculé, ce vieux cochon, j'ai joui du cul. Curieuse sensation post sodomique d'avoir le cul qui refuse de se fermer. Manifestement, il n'est pas rassasié, mon petit doigt me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir encore.

 

Max veut m'embraser, je me laisse faire, mais c'est un supplice, il pue le vieux tabac et pique comme un hérisson. C'est vraiment trop compliqué de se raser avant de recevoir un beau gosse comme moi et de s'asperger de spray buccal ?

 

- Va t'occuper de ces messieurs ! M'ordonne-t-il.

 

On y va, on y va…

 

Gérard est un homme complétement chauve habillé avec élégance, chemise bleue, cravate assortie d'un bleu plus soutenu. Edmond est en chemise blanche et cravate grise. Quel idée de porter cravate lorsqu'on est retraité !

 

Quelle queue entreprendre en premier ? Je choisis la plus belle (Tant qu'à faire !) C'est celle d'Edmond. Je la prends dans ma main, me baisse et l'engloutit aussi sec dans ma bouche. Et pour que Gérard ne soit pas jaloux, je tends la main gauche pour le branler.

 

Je me recule quelques instants pour permettre à ces messieurs le temps de se déshabiller, mais je ne les laisse pas se rassoir, je m'accroupis et joue avec les deux bites, tantôt dans la bouche, tantôt dans la main. Les deux retraités excités comme des puces se roulent des patins et se pince les tétons. Ça chauffe, mais, ça chauffe !

 

Edmond se dégage un peu, se met une capote sur la quéquette et passe derrière moi. Pas besoin de me faire un dessin, je me penche légèrement et écarte les fesses. Quelques instants plus tard, j'avais sa bite qui me pilonnait le trou du cul... Gérard lui, pendant ce temps s'agenouille devant moi et me suce la bite.

 

C'est à cet instant que j'ai eu un moment de panique, complétement occupé avec ces deux vieux mâles en rut, je ne pouvais observer le siège sur lequel j'avais laissé mes affaires et mon portefeuille. Max ou Marie-Claire pouvait s'en emparer sans problème… et dans ce cas-là, je ferais quoi ? J'étais en infériorité numérique et je ne me voyais pas aller porter plainte. Bon pensons à autre chose, on verra ça après !

 

Je dois avouer que ces deux retraités ne s'y prenaient pas trop mal, j'étais ma foi, bien enculé et bien sucé, mais ils ne souhaitent manifestement pas que l'affaire se termine trop vite. Edmond sort de mon cul, retire la capote et m'offre de nouveau sa bite à sucer pendant que Gérard se branle tout seul quelques instant avant de m'accompagner dans ma fellation. Heureux Edmond qui se fait sucer la bite par deux mecs !

 

Mais rapidement, Gérard a une autre idée en tête, il ne m'avait pas encore enculé celui-ci, alors il le fait pendant que je continue à sucer son ami.

 

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Petite pause, puis Edmond encule Gérard qui me suce. Ce dernier semble fatigué et se couche carrément par terre, il change encore une fois de capote (on en fait une de ses consommation) et je m'empale sur lui, il jouit facilement.

 

Au tour d'Edmond maintenant, mais il veut terminer autrement, on se met en soixante-neuf, je l'averti néanmoins de ne pas m'éjaculer dans la bouche.

 

Et tandis que je pompe la bite du retraité, je sens quelque chose de chaud qui m'arrose le cul ! C'est Gérard qui me pisse sur les fesses. Faut pas se gêner, mon vieux ! Je n'ai rien contre, mais les bons usages veulent que l'on demande avant ! Non mais des fois !

 

- Ça vient ! Me prévient Edmond.

 

Je dégage ma bouche et le laisse jouir.

 

Ben si je comprends bien, c'est fini, les trois mecs ont joui, j'étais venu pour ça, moi je n'ai pas joui, mais je n'étais pas venu pour ça !

 

Je me dirige vers le coin où j'ai laissé mes affaires, je prétexte le fait de prendre un kleenex pour m'essuyer le cul et je vérifie si l'enveloppe est toujours dans ma poche ! Oui ! Ouf !

 

- T'a été très bien, me dit Max, laisse-nous tes coordonnées, on pourra peut-être recommencer. Euh, je crois bien que Marie-Claire aimerait que tu la baises ! Mais tu n'es pas obligé, tu n'aimes peut-être pas les femmes ?

- Si, si ! Ce sera un plaisir !

 

Marie-Claire est affalée dans un fauteuil, dépoitraillée et la chatte à l'air.

 

- Baise-moi vite ! Supplie-t-elle

 

J'aurais aimé la caresser, la peloter un petit peu, non Madame veut de la bite, violente et directe, tant pis pour moi ! Je m'encapote, je m'approche, je m'enfonce et je la baise. Trois minutes après c'était fini. Pas très romantique et pas très érotique non plus ! Mais ça fait du bien de se vider les couilles.

 

Les deux cravatés finissent de se rhabiller, j'en fais autant de mon côté. On ne me demande pas si j'ai besoin de quelque chose, j'ai soif, mais on ne pense même pas à m'offrir un verre d'eau. Me voyant prêt, Max, va relever le rideau de fer de la boutique. Il me serre la main, les autres sont allés vers le fond et ne m'ont même pas dit au revoir.

 

Marie-Claire s'approche de moi et me roule une rapide gamelle.

 

- Tu sais, moi aussi j'ai été pute autrefois, me confie-t-elle, je ne regrette rien. Profites en bien.

 

Curieux comme ces quelques paroles m'ont fait un bien énorme.

 

C'est fini, je suis dans la rue ! Moment d'angoisse, pourvu qu'on n'ait pas profité de l'instant où je baisais Marie-Claire pour me faire les poches ! Non tout est là !

 

Allez, de quoi, je me plains, j'ai bien gagné ma journée !

 

Fin

 

23/6/2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Vendredi 14 juin 2013 5 14 /06 /Juin /2013 10:48

 Confessions bitophiles – 3 – (texte collectif)

BiteFlag

Un couple d’amis
par Gédéon

Depuis quelques temps, je passais de longs moments sur le net, à chercher des photos et des vidéos de trio bi. J’étais fasciné par la queue d’un type dans l’anus d’un autre, devant sa femme.

J’avais tenté les dominatrices professionnelles, et je m’étais fait goder. Aussi un transsexuel, qui m’avait bien enculé. J’ai même tenté le sauna, où là, c’est un mec qui m’a demandé de le prendre, ce que j’ai fait.

J’avais l’habitude de tout raconter à mon meilleur pote, lui seul savait mes petites perversions.

Un soir qu’il m’invitait à manger chez lui, comme ça arrivait régulièrement, je le trouvais bien fatigué. Alors que je lui en faisais la remarque, il me répondit qu’il travaillait trop, et qu’il me laissait ranger le couvert avec sa femme, lui allant se coucher.

Sa femme… 15 ans qu’elle me draguait, presque ouvertement devant lui, sans qu’il ne s’en rende compte. Elle était sexy ce soir là. Et est arrivé ce qui devait. Je la pelotais en l’embrassant sur la bouche, elle un peu effarouchée au début, puis se laissant aller. Je crus qu’elle éteignait les lumières pour plus de sécurité. Elle se rapprocha de moi, et me posa d’autorité un bandeau sur les yeux.

Je sentis mon pantalon tomber à terre, retiré complètement. Elle me dévêtit complètement, en quelques minutes, je me retrouvais nu dans leur canapé. Et là, je sentis sa langue sur mes bourses, puis sur ma queue. Un délice. Je ne tardais pas à bander. Elle me suçait bien, la salope. Je bandais d’autant plus que je pensais à mon pote qui dormait à côté. La situation me gênait vis à vis de lui, mais m’excitait davantage.

Bi286 Alors que ma queue mouillait de plaisir, raide comme un I, je l’entendis se lever, allumer la lumière et revenir à moi en m’arrachant le bandeau. Surprise, c’était mon meilleur pote qui me suçait.

Elle expliqua que son mari lui avait tout raconté, et que comme il était facilement soumis, elle allait jouer avec nous deux ensembles. J’étais confus, honteux, mais ne débandait pas. Elle fit mettre son mari à quatre pattes, et m’ordonna de l’enculer à sec, ce que je fis avec une étrange facilité. Il avait l’habitude de se faire péter la rondelle…

—-

Manon et Eric par Camille

J’étais mal remis de mon divorce. Au boulot une femme me plaisait beaucoup, Manon, elle était gentille avec moi mais repoussait mes avances. Une fois sans doute pour me refroidir, elle me dit qu’elle et son mari étaient libertins et bisexuels. Loin de me braquer, je fantasmais au contraire sur une possible rencontre. Je continuais donc à poursuivre Manon de mes assiduités.

- si t’es libertine, pourquoi tu ne veux pas de moi ? si je ne suis pas ton genre de mec, dis-le-moi carrément, je te fouterai la paix.

- t’es trop sentimental, mon gars, moi quand je baise c’est juste physique, quand il commence à y avoir des sentiments c’est dangereux, et d’abord j’aime mon mari.

- Ah bon !

- Si tu veux me baiser ce sera devant mon mari, et vu ses orientations sexuelles tu prends un risque.

Alors je lui répondis que je voulais bien prendre ce risque. Je fus invité chez eux, on a d’abord diné, je me souviens qu’ils m’avait fait un soufflé au fromage et une mousse au chocolat. On a bu l’excellent bordeaux que j’avais apporté, et au moment du café, Eric, le mari s’est levé et s’est approché de moi puis a baissé son pantalon. Et m’a demandé de lui sucer la bite. Court moment de panique mais Manon m’encourage du regard alors j’ai pris la bite et je l’ai sucé. C’était doux, chaud, délicieux, je me suis régalé, après il m’a sucé la sienne. Il a voulu m’enculer mais il n’est jamais réussi à passer, le chemin était trop étroit.

Après j’ai baisé Manon comme il se doit.

Le temps a passé, j’aime toujours les femmes et je vis en ménage avec une fille formidable, mais de temps en temps je m’arrange pour me rendre dans des endroits où il y a de la bite à sucer, c’est tellement bon. Je me fais aussi enculer, depuis le temps le chemin s'est ouvert !

Bisous sur la bite à tout le monde

Camille

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 14 mars 2013 4 14 /03 /Mars /2013 10:36

Ne pas confondre le Saint-Siège et le cul du Pape !
(par Caribou)

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Ah, les papes ! il y a parmi eux
Des assassins nauséeux,
Des infâmes voleurs,
Des escrocs magouilleurs,
Mais parlons des faux jetons
Juste quelques-uns
Car il le sont tous plus ou moins
Ces jeunes ou vieux croutons !

Paul 2
Il aimait la fête et les queues.
Mort en sodomisant un page
A moins que ce soit ce dernier
Qui força l’étroit passage.
Du pontifical panier

Alexandre 6
N’est point mort de syphilis,
Mais d’un poison distillé
Dans un verre qui ne lui était pas destiné
Il aimait beaucoup sa fille Lucrèce Borgia
Qu’il chevauchait dans sa loggia.

Paul III
Qui aimait les jeunes garçons au cul étroit.
Ne régna que 26 journées
Avant de mourir empoisonné

Pie 4
Mort dans les bras d’albâtre
De la jolie Elvira Cagliari
Après avoir commis tant de vilainies.

Et vous voudriez qu’on vous respecte ?
Désolé je n’aime ni les gourous, ni les sectes.

pape

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Jeudi 27 septembre 2012 4 27 /09 /Sep /2012 10:40

Confessions uro - 2
Nadine, astuce et caniveau
Texte collectif

 

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Thémes abordés : exhibition, fétichismes divers, uro, voyeurisme, uro

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Très différentes dans leur propos, il aurait été dommage de les laisser dans l’oubli !

 

Pipi-culotte
par Nadine
Je voudrais apporter mon témoignage personnel sur l’ondinisme. Je suis mariée, j’ai 50 ans et j’ai eu trois enfants. Quand j’étais plus jeune, il m’arrivait de souvent de faire pipi dans ma culotte, lors de fou-rires… Je me souviens qu’à l’âge de 19 ans j’étais en vacances en Suisse et lors d’une descente dans la poudreuse je suis tombée dans une telle épaisseur de neige que je n’arrivais pas à me relever, j’étais avec 2 copines et on riait fort. J’ai senti que je faisais pipi de rire et je ne pouvais pas me retenir ayant une grosse envie, j’ai pissé dans ma culotte à travers mon pantalon, mes deux amies ont pissé aussi en même temps que moi dans leur culotte et on est rentré se changer car nos pantalons fuseaux étaient auréolés à l’endroit des fesses.

 

Quand j’ai connu mon mari, je me souviens d’une sortie en forêt de Chantilly, je ne voulais pas faire pipi devant lui et je me retenais, il m’a caressé le sexe dans la voiture à travers ma gaine-culotte et au moment de l’orgasme, j’ai fait pipi dans ma gaine-culotte blanche qui était toute mouillée. Mon mari a bien rigolé et cela a dû le marquer car il m’en parle encore et m’a demandé souvent de pisser volontairement dans mon slip…

A mon 2 accouchement, j’ai eu un gros bébé et j’ai été recousue, pareil pour le 3° et depuis j’ai de gros problèmes de vessie. Pratiquement tous les jours je fais pipi dans ma culotte en riant ou éternuant, parfois il y a juste une auréole jaune sur le fond mais il m’arrive aussi de faire pipi dedans et à travers. au début cela me gênait, et puis je me suis habituée à avoir l’entre-jambe mouillé. Il m’arrive même, de ne plus aller aux toilettes quand j’ai envie, je fais pipi dans ma culotte au bureau, en regardant la télé ou au cinéma et cela m’excite. Souvent quand je rentre le soir, j’ai la culotte toute jaune bien au-delà du fond doublé, souvent je pisse debout à travers dans la rue avant de rentrer, je mets des culottes en coton blanc (Sloogy™ ou Playtex™) bien absorbantes une gaine-culotte par-dessus et des jupes foncées qui cachent l’auréole de pipi quand je mouille ma culotte.

Au lit, je garde ma culotte de la journée et mon mari est toujours excité par cela, il regarde si j’ai pissé dans la journée (c’est presque toujours le cas…) me caresse à travers et je fais pipi dedans avant qu’il me pénètre ou alors, il introduit son sexe en écartant la culotte et je fais pipi quand il est dans moi, cela nous conduit à un orgasme simultané et rapide.

Parfois, je me mets sur lui et je fais pipi dans ma culotte et mon pipi coule sur son pénis (il adore…) La femme de ménage était étonnée de voir tous les matins une culotte trempée de pipi ou tout jaune d’urine dans le linge sale aussi je lui ai expliqué que je faisais pipi dans ma culotte ayant des problèmes de vessie. Elle m’a dit qu’elle aussi faisait souvent pipi dans sa culotte en faisant le ménage.

Bref, les pipi-culotte nous excitent tous les deux, il paraît que la plupart des femmes pissent régulièrement dans leur culotte, souvent par plaisir, je ne suis donc pas la seule !
(18/12/02)

poire h

Une super-astuce !
par Christophe
Voici une astuce qui devrait intéresser de nombreux lecteurs : Comment retrouver les joies provoquées par le jet du pipi dans la bouche lorsqu’on est trop souvent célibataire (du moins dans l’accomplissement du fantasme) ? Il y a bien la méthode de la baignoire qui consiste à se positionner de telle façon de recevoir sa propre urine dans le gosier, mais avouez que ça manque de confort ! Alors voilà ! Il faut acheter une petite ‘poire pour hygiène intime  » ça s’appelle comme ça et ça s’achète chez le pharmacien ! Si le pharmacien vous pose des questions répondez que c’est pour faire des bains d’oreilles (ça sert aussi à ça !) Mais les pharmaciens ne sont pas curieux, ça fait partie de leur métier. Donc, vous pissez dans une cuvette, vous y plongez la petite poire en la pressant puis en relâchant la pression afin qu’elle se remplisse. Il ne reste plus qu’à vous en projeter le contenu dans la bouche par petites giclettes successives ? Ais-je gagné la meilleure astuce de l’année ?
(08/12/02)

 

 

Le caniveau
Par Luc, en Bretagne
C’est une histoire, mais vraie, c’est-à-dire plutôt un fait divers vécu. Ça se passe à Paris 14ème, rue Delambre je crois, vers 1995. Je marche sur le trottoir, il y a peu de monde dans la rue. J’aperçois un type qui travaille pour la propreté de Paris en tenue verte, un grand noir.
Un couple à pied me dépasse. Ordinaire. Quelques mètres plus loin, j’entends la femme qui dit à son mari :

 

Uro Rue

- « J’ai une de ces envies de pisser ! J’en peux plus, faut que je pisse ou je vais pisser dans ma culotte ! »

La vache ! elle commence à m’exciter celle-ci ! Elle se cambre, se contorsionne comme si elle offrait aux passants, son beau cul moulé par la jupe de coton blanc à travers laquelle je distingue déjà la culotte. Je ralentis le pas, pour ne pas les dépasser et savourer le spectacle, et je sens ma braguette qui gonfle et mon zob qui se déplie dans mon slip comme un jet quand on ouvre le robinet. La femme se caresse les fesses presque accroupie ; on croit que sa jupe va craquer, elle cherche désespérément des toilettes publiques… mais rien à l’horizon. Elle aperçoit l’éboueur et s’avance vers lui.

- « Je peux faire pipi dans le caniveau ? » dit-elle en riant.
- « Ah ! si vous voulez » répond le grand noir en souriant aussi, surpris, son balai à la main.

Elle ne le fera pas bien sûr. Le type à la cotte verte et blanche retourne à sa poubelle. Et moi je rêve… Lorsque j’arrive à hauteur du couple je vois la femme qui se retourne enjambe le caniveau, écarte les cuisses, remonte sa jupe, baisse sa culotte. Elle s’accroupit et se met à pisser. La salope ! Jamais j’aurais crû ça possible !

Y a que dans les films pornos qu’on voit ça ! même pas dans les érotiques ! Elle pisse, un jet dru gicle de sa fontaine ; je regarde sa chatte poilue comme un touriste japonais éberlué devant les grandes eaux des pelouses de Versailles. Le noir fixe la scène lui aussi paralysé de plaisir et de surprise.

« Allez tant pis pour les risques, me dis-je je tente le tout pour le tout! ».

Et devant le mari médusé je dis :

 » Madame excusez-moi, mais je collectionne les culottes portées, si je pouvais avoir la vôtre, ça me ferait grand plaisir  »

Elle finit de pisser, se relève et sort ses chevilles de sa culotte. Elle s’essuie la moule avec d’un geste rapide, me la donne

…et repart avec son mari qui n’a rien dit. Le grand noir l’appelle en se marrant :

 » Hé ! Madame on peut s’amuser tous les deux ! non ?

incroyable ! »

Le couple se met à courir et disparaît… Je porte la culotte chaude et mouillée à mes narines.
(23/10/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 10:29

 

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Thémes abordées : engodage masculin, prostitution

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Nous les republions aujourd’hui non pas pour faire du remplissage, mais parce qu’elles n’ont rien perdu de leur force de témoignage, ni de leur actualité

 

Histoire Flash ! Par Jean-Claude

Le couloir d’un bordel rue St Denis, j’attends que J. soit libre, une oreille discrète, des bruits de sommier, j’attends quelques instants, puis j’entends une conversation, c’est fini mais ça s’éternise, je frappe. Peut-être suis-je arrivé un peu tard, elle quitte vers midi en principe. Elle m’ouvre, me demande d’attendre 5 minutes ! Ce n’est pas un problème et m’en vais fumer une clope. La porte s’ouvre ! Le client sort hilare :

-  » Je vous la laisse, elle est à vous  » me dit-il manifestement enchanté de sa prestation.  »
- C’est sympa bonne journée ! « , Répondis-je.

C’est bien la première fois que je rigole avec un autre client… Cette rencontre commençait donc sous les meilleurs auspices. Je rentre, me déshabille (mon intention n’est pas de tout vous raconter). On se caresse un peu debout et elle me retourne pour me flanquer une fessée. Elle connaît mes habitudes, elle connaît aussi mes autres fantasmes, ceux que nous ne faisons pas, parce que… et bien parce que ça me ferait trop cher ! Elle a l’air en pleine forme, elle a l’impression de cacher quelque chose, mais comme elle commençait à ranger ses affaires pendant que je me déshabillais, je n’y fais pas attention plus que ça ! Elle se place derrière moi, quelque chose de frais force mon anus. Et me voilà avec un gode dans le cul, que je n’avais pas demandé. Elle l’agite, je suis aux anges… On rigole, on passe à la suite, mais je conserve le gode planté… j’ai joui comme rarement cela ne m’était arrivé. Superbe souvenir ! Pourquoi je vous raconte ça, me demanderez-vous ? Et bien parce que je voulais simplement rendre hommage à celles d’entre elles (et elles ne le sont pas toutes) qui font leur métier (leur métier je dis bien) avec gentillesse, décontraction et conscience professionnelle. Et puis moi d’abord j’ai même pas honte, je suis bien dans ma peau, nananére.
(JC 21/05/03)

 

Je suis un vilain client par Patrick

R Pross99 Je suis un vilain client. Je consomme du sexe ! Vous vous rendez compte à quel point je suis un être asocial ? Et alors ? Moi, je suis aussi pour la banalisation du sexe ! En matière de consommation on fait bien pire, et ça ne choque pas trop les ligueurs de la morale qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre (parce que consommer des vêtements ou des chaussures de marques fabriquées dans des conditions d’exploitation incroyables en Asie du sud-est, vous croyez que c’est bien, vous ?).

Envie d’écrire ce petit courrier de Paris, où je me rends chaque mois… La rue St Denis… Mais la personne que je rencontre d’habitude n’y était point. Cela arrive. Alors coup de poker, car il m’est déjà arrivé de choisir des filles qui se sont révélées peu consciencieuses, regardant leur montre (l’horreur) ou bâclant la prestation sur fond de blabla radiophonique (l’horreur – bis) …

Deux choses m’ont attiré chez cette jeune femme : sa grande taille et son sourire qui éclairait son visage de blonde vénitienne. Peu de seins, peu de fesses, mais une belle allure. Elle m’a fait ce que je lui demandais avec art et manière, puis elle m’a pratiqué une fellation d’anthologie… j’ai eu beau rechercher dans mes souvenirs, je ne me souviens pas avoir été un jour aussi bien sucé ! Quelle fougue ! Quelle ardeur ! Mais aussi quelle gentillesse. Cette fille possédait un certain niveau culturel et un humour détonnant, ne pratiquant bizarrement le tutoiement prostitutionnel qu’en fin de prestation.

Elle m’a sorti un truc assez spécial, me disant qu’elle aussi jouissait en même temps que son client, mais qu’il s’agissait d’une jouissance cérébrale, le plaisir de voir l’autre jouir, quoi … Blabla commercial qui ne rajoute pas grand-chose, mais du même ordre d’idée que la boulangère qui vous demande si ça va… Après tout être comme on dit : commerçante, n’est jamais un défaut.
J’ai passé un excellent moment. Et je ne comprends pas moi non plus l’entêtement de ceux qui s’acharnent contre nous au point de ne pas nous entendre. Vive les filles !

(Patrick 13/03/03)

 

Merci à vous, mesdames ! par Bernard

A l’âge de 22/23 ans j’étais puceau, n’arrivant pas à m’affirmer auprès des filles. Je n’avais donc jamais connu l’amour physique et cela me travaillait… j’ai donc été voir les prostituées. Et là je me suis aperçu que je développais un blocage : je bandais correctement mais pas moyen de jouir. La première fois, je m’en tirais avec un piteux, « ce doit être la fatigue… la chaleur « . Les autres fois cela n’a pas été mieux. Je changeais de fille à chaque fois, à raison d’une ou deux fois par mois. Et à chaque fois, l’échec. Et à chaque fois j’invoquais la chaleur, la fatigue, et même la marche à pied…. J’envisageais assez mal l’avenir, je me voyais vieux garçon refoulé, aigri, sans perspective, l’horreur ! Et puis un jour, il pleuvait des cordes, je monte avec une fille super gentille, qui commence par me sécher les cheveux, sans doute plus pour ne pas mouiller son dessus de lit que pour m’être agréable, mais elle était souriante et avenante. Le scénario se répétait. « La chaleur, la fatigue… » -

« Mais non, faut que tu jouisses ! » Me dit-elle et elle commença à me masturber.

Puis me demanda de le faire moi-même en se laissant caresser par mon autre main. Le fait d’avoir joui me fit changer complètement la vision que j’avais des séances avec ces dames. Et à partir de cet instant, après mes tentatives, au lieu d’invoquer la chaleur… je proposais : « Je vais me finir à la main… «  pas facile à sortir la première fois, mais on s’y fait vite !

Et puis un jour, une fille, (je me souviens de son prénom -c’était Brigitte-, de son visage malicieux et de ses grands cheveux blonds) me répondit « Mais, non, laisse toi faire ! »elle me chevaucha avec application et décontraction, y mit tout son savoir-faire, et pour la première fois de ma vie, j’éjaculais en faisant vraiment l’amour… J’en avais les larmes aux yeux de bonheur.

Le déclic fut radical, mon blocage disparut… Quelques mois après je rencontrai une femme, et ma vie sexuelle est devenue normale, à ceci près que parfois je retourne voir les filles. Mais non, je corrige, cela n’a rien d’une anormalité !
Simplement la question que je me pose, c’est : quelle aurait été ma vie, si je n’avais pas rencontré ces deux filles ? Merci encore, à toutes les deux et merci encore à toutes les autres, je vous dois ma vie d’homme. !

B. (14/06/02)

ce dernier témoignage est tout simplement l’un des plus beaux et des plus touchants qu’il m’a été donné de lire sur le sujet.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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