Mercredi 20 avril 2016 3 20 /04 /Avr /2016 18:01

Biquet on the road

par Enzo

stamp trav2

 

 

Nous somme en mai, le mois du muguet…

 

J'ai 35 ans, je me prénomme Eric et je suis technicien en machines à café (on ne rigole pas s'il vous plaît !). Je devais ce jour-là me rendre en Bretagne pour régler une affaire, après avoir terminé une intervention à Angers.

 

A la sortie de la ville, j'aperçois quelques autostoppeurs, je me dis que si dans le lot il y a une belle nana, je la prendrais volontiers, mais non, que des mecs... Je file en direction de l'autoroute... encore quelqu'un qui fait du stop, il est à moitié planqué derrière un poteau, pas très malin, je ralentis, dès fois que ce soit une fille... non c'est un mec, mais il a cru que j'allais m'arrêter.... Pas vache je pile, le mec court dans ma direction, je le fais monter.

 

- Je vais vers Quimper, vous pourriez me rapprocher ?

- C'est justement ma destination, mettez votre bazar à l'arrière...

 

Le mec a dans les 25 ans, les traits fins, légèrement efféminés mais pas trop, assez fin... On échange des banalités sur la météo, la circulation... Ce n'est qu'au bout de quelques kilomètres que je remarque un curieux petit drapeau sur son sac à dos. Alors là problème : c'est le drapeau gay ou le drapeau de la paix, ils se ressemblent et je ne sais pas faire la différence. Mais bon, le mec ne me doit rien, il est bien content de m'avoir trouvé, je ne vais pas me gêner pour lui demander.

 

- Le petit drapeau là, c'est le drapeau de la paix ?

 

Le mec devient rouge comme une tomate.

 

- Non... bafouille-t-il.

- Alors c'est le drapeau gay ?

 

Il n'est plus rouge, le gars, il est cramoisi.

 

- Oui, mais si ça vous choque, vous pouvez me déposer quand vous le pourrez.

- Mais ça ne me choque pas du tout, je suis très tolérant, et même très légèrement pratiquant...

- Vous êtes gay ? Me demande le gars étonné.

- Non, mais je suis un peu bi !

- Ah ?

 

Je décide de faire dans la provocation :

 

- Ben, oui, voyez-vous j'adore les femmes, mais j'aime bien sucer une bonne bite de temps en temps.

 

Le mec n'en revient pas.

 

- Vous ne me faites pas marcher ?

- Pas du tout, et pour être très franc, je ne vous trouve pas mal du tout.

- Vous n'êtes pas mal non plus ! Réplique-t-il

- Vous êtes pressé ?

- Non pas trop….

- Ça vous dirait, si on s'arrêtait un petit moment pour nous amuser un peu… Proposais-je.

- Je prends un risque, je ne vous connais pas.

- Alors c'est non ?

- Je ne sais pas, attendons un peu…

 

Pas de bol, moi qui commençais à fantasmer, son visage d'ange, ses long cheveux, son allure androgyne.

 

- Rassurez-vous, je respecte les gens, si vous me dites non, je ne vous forcerais pas. Repris-je.

- C'est tout à votre honneur, cher monsieur.

- Mais c'est vrai que vous avez un côté troublant, excitant…

- Merci, mais que diriez-vous si vous me voyez maquillé ?

- Parce que tu te travestis ? Oh, pardon, je vous tutoie

- Vous pouvez me tutoyez. Oui, je me maquille, je m'habille en fille avec une petite robe, des bas, des escarpins…

- Arrête, tu me fais bander !

- Il ne faut pas voyons. Mais vous me posez des questions, j'y réponds.

- Et pourquoi tu ne fais pas du stop en fille ?

- Je n'ose pas… j'ai peur des réactions.

- Et tu as ce qui faut sur toi pour te mettre en fille ?

- Tout !

 

On continue de discuter, le mec est maquettiste et là il prend quelques jours de repos, il va en Bretagne voir sa mère, mais aussi un ami qui habite dans le coin, son truc c'est de se travestir, il me dit qu'il est surtout passif mais qu'il peut être actif…

 

- Tu aimes bien sucer des bites alors ? Relançais-je.

- J'adore, et vous vous faites ça souvent ?

- Pas assez souvent à mon goût.

- Et la dernière fois c'était quand ?

- Il y a deux ou trois mois sur une aire de repos ! Lui mentis-je

- Racontez-moi, j'aime bien ce genre d'histoires !

 

S'il aime les belles histoires je vais lui en inventer une :

 

- Je m'étais déjà arrêté à cet endroit, il y a parfois des travestis qui tapinent, mais ce jour-là, il n'y en avait pas. Je vais donc aux toilettes et là un mec était en train de se faire sucer. Deux autres étaient en train de mater, la bite à la main. Du coup je m'approche, je sors ma queue et me met à me branler, je fais balader ma main vers le type à ma droite, il ne dit rien, et je commence à le branler, puis je me penche, il ne proteste pas et je le suce, le deuxième me tend aussi sa bite, mais, je ne sais pas pourquoi, elle ne me plait pas, pour ne pas le vexer, je lui dit "non, non, une à la fois". Un mec passe derrière moi, me descend carrément mon pantalon, je me retourne, j'ignore d'où il sort celui-là, il me pelote les fesses, puis me doigte le trou du cul. "Je peux te prendre ?" demande-t-il. Je regarde sa bite, j'ai pas envie de me faire démolir, non plus, mais la taille est correcte. Je réponds "oui", il me lèche un peu la rondelle, puis il s'encapote et m'encule. Ça a duré cinq ou dix minutes mais quelle sensation une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Quand le mec de derrière a joui, un autre a voulu prendre le relais, mais j'ai laissé tomber, j'avais eu ma dose, et surtout je voulais jouir. Je me suis branlé devant tout le monde espérant que quelqu'un m'offre son cul ou sa bouche, mais il n'y avait plus qu'une seule personne, le mec qui ne me branchait pas. Je suis sorti espérant faire une nouvelle rencontre, mais il n'y avait rien…

 

- Ça me fait bander ton histoire !

- J'espère bien que je te fais bander… Donc après j'ai eu une idée, je me suis foutu à poil et je me suis assis dans ma voiture, en laissant la portière passager entrouverte, et j'ai commencé à me branler tout doucement. Deux minutes plus tard un type arrivait, il m'a fait comprendre qu'il aimerait bien s'assoir à côté de moi, je l'ai invité à le faire, il m'a branloté un peu, a sorti sa propre queue, puis m'a sucé à fond… Il a voulu que je lui rende la politesse, je l'ai fait, je suis toujours très poli… Tu bandes toujours ?

- A fond !

- Tu me la montres ?

- Avec plaisir, cher monsieur.

 

Je rêve, ses craintes de tout à l'heure sont-elles tombées ? Ou est-ce l'effet de l'excitation ? Toujours est-il que le biquet extrait de sa braguette une superbe bite toute rose et super bandée avec un joli gland mauve et brillant. Intitule de vous dire que je bande aussi.

 

- Hummm ! Qu'elle est belle ? Et tu me laisserais la sucer ?

- Je crois bien, oui !

- Je vais essayer de trouver un coin tranquille.

- Tu veux que je me maquille un peu avant ?

- Ce serait une excellente idée.

 

Excellente idée, certes, mais, ça dure… ça dure… pire qu'une vraie femme… et que je te mette de la crème et que je te remette une autre crème, les machins pour les yeux, le rouge aux lèvres… j'espère qu'il ne va pas se faire les ongles…

 

- Alors ? Je te plais ? Quand je suis en fille, je m'appelle Suzy !

 

Le résultat est tout simplement extraordinaire, le visage est beau, doux, très féminin. Je bande comme un dingue. Si je ne me gare pas dans les cinq minutes je vais provoquer un accident de circulation. Mais ça tombe bien, je connais un peu le coin, je tourne à droite vers une voie peu fréquentée, dont je sais qu'elle longe un petit bois… Le moment venu je m'engage dans un chemin de terre et je stoppe.

 

Je lui fais un clin d'œil et je lui mets la main à la braguette qu'il a laissée ouverte, il se laisse faire et je sens son paquet qui durcit à mon contact, je lui sors tout ça et la masturbe un peu. Le visage de Suzy s'approche du mien, ça va être une première, je n'ai jamais embrassé d'homme, mais là, je n'hésite même pas, nos langues se mélangent, on se roule une vraie pelle bien baveuse, et pendant ce temps, la main du coquin en profite pour s'occuper de mon propre sexe.

Biquet16.jpg

Nous voilà tous les deux la bite à l'air, on se branle réciproquement, il fait ça très bien, n'allant pas trop vite et sachant très bien placer ses doigts, ce n'est pas le cas de tout le monde.

 

- T'es une bonne branleuse, Suzy !

- Merci mon chou !

 

Ah ! Voilà que je suis son chou, à présent ! Je me penche pour lui sucer la bite, de près à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche, elle est encore plus belle, je m'amuse à donner des petits coups de langues sur le gland, puis je glisse tout ça entre mes lèvres, avant de la faire coulisser. Je me régale ! Qu'elle est bonne cette bite ! Et je ne vous dis pas la trique que je me tape !

 

- Si on se mettait sur la banquette arrière ! Me propose Suzy.

 

Pourquoi pas ? Mais j'ai une meilleure idée, j'ai toujours une couverture dans mon coffre, au cas où je serais un jour obligé de dormir dans la voiture. Je lui explique qu'on peut s'installer dans un coin de ce bois qui a l'air désert.

 

On trouve facilement une petite clairière, j'étale la couverture, nous nous déshabillons et de façon quasi spontanée nous nous retrouvons en soixante-neuf. Quel plaisir de sucer cette bonne queue tout en se faisant faire la même chose. Il, (je ne sais plus si je dois dire il ou elle) suce divinement. Mais j'ai un peu peur de partir trop vite. C'est que sa bite, je la veux dans mon cul, moi !

 

- Prends-moi ! Lui demandais-je.

- Tu ne vas pas être déçu, je vais te la mettre bien profond ! Plaisante-t-il

- J'espère bien !

 

Je me mets en levrette, et Suzy commence par me lécher le fion, sa langue est une véritable anguille, aussi agile pour me préparer l'anus que tout à l'heure dans ma bouche. Il me met ensuite un doigt qu'il fait aller et venir, puis après s'être encapoté, son sexe quémande l'ouverture de mon intimité. Je pousse pour m'ouvrir au maximum, ça passe du premier coup, il s'enfonce bien, puis commence à coulisser. Je suis aux anges. Suzy m'encule trop bien, ma bandaison se maintient à un bon niveau ce qui n'est pas évident pendant la sodomie, mais la pensée de me faire mettre par une aussi jolie bite et par un personnage aussi ambigu contribue à m'exciter. D'ailleurs je me branlerais bien en même temps, mais je sais aussi que je me réserve, car Suzy va bien sûr me demander que je lui rende la politesse.

 

Au bout de 10 minutes, Suzy se retire, je suis dans un état second !

 

- C'était bien !

- C'était super, tu m'as enculé divinement, viens m'embrasser ma biche !

 

On s'embrasse très longuement, puis Suzy se positionne à son tour pour la sodomie. Son cul est magnifique, superbement galbé et avec une peau très douce. Moi qui d'ordinaire n'apprécie pas de lécher les culs, c'est sans hésitation que ma langue s'approche de sa rondelle et que je commence à mouiller tout ça. Ça m'excite, ça m'excite et je n'ai qu'une seule crainte : c'est de jouir trop rapidement… Suzy m'a donné du plaisir et j'aimerais lui en donner autant… Bah, si je pars trop vite on pourra toujours recommencer…

 

Ma bite entre très facilement dans le petit cul offert à mes assauts. Je me contrôle au maximum pour faire durer l'action. Suzy pousse des petits cris de satisfaction et je suis franchement content de réussir à lui donner du plaisir. Ma jouissance monte, monte encore, je ne peux plus me retenir ! Qu'est-ce que je fais ? Je décule en risquant de jouir dès que je suis retiré, ou alors je continue… Je continue… L'orgasme est violent, exceptionnel, pendant quelques courts instants je ne suis plus sur Terre. Je m'écroule à moitié sur Suzy. Puis on se relève.

 

- Tu m'as bien baisé ! Me dit Suzy.

 

Voilà un compliment que j'apprécie… Je lui demande comment il veut jouir ? Mon cul, ma bouche, ma main ?

 

- Ton cul ?

 

Ah, bon ! Il veut y retourner, je n'aurais pas cru : Mais ce n'est pas un problème, je me remets en levrette, mais il me demande de me placer sur le dos pour changer, en relevant les jambes… Pourquoi pas ?

 

Il a joui relativement rapidement, lui aussi devait avoir un trop plein de jouissance à évacuer avec toutes ces péripéties.

 

On s'embrasse, on se rhabille, et c'est là qu'on se rend compte qu'on avait un voyeur…

 

Le mec est là, pas gêné, la bite dans la main.

 

- Je n'ai vu que la fin, c'était très excitant ! Nous confie-t-il en guise de présentation.

- Et bien, tant mieux pour toi ! Lui répond Suzy.

- Vous ne voulez pas me sucer ? Demande le voyeur en s'approchant.

- Pourquoi pas ? Puisque c'est demandé gentiment !

 

Et sans transition, Suzy se met à genoux et commence à sucer la bite du mec.

 

- Baisse ton pantalon, je préfère sucer quand c'est bien dégagé, demande-t-il.

 

Le mec s'exécute et mon passager ambigu reprend sa fellation.

 

- Tu veux y gouter ? Me demande-t-il, moi je vais passer derrière.

 

Jolie bite, moins belle que celle de Suzy, un peu plus grosse et plus sombre, mais pas mal. Je mets donc en bouche ce bel engin tout imprégné de la salive de mon prédécesseur qui pendant ce temps-là était en train de faire de l'anulingus. Bien sûr la situation me fait rebander… et je commence à me tripoter la braguette.

 

Suzy revient de mon côté.

 

- Allez on change ! Me propose-t-il

- Je te baiserais bien ! Propose l'inconnu à Suzy

 

Et c'est là que le beau travelo intervient avec cette phrase surréaliste et en me désignant :

 

- Désolé, mais mon petit trou, c'est réservé à mon ami.

 

Le mec paraît dépité…

 

- Sauf bien sûr, s'il m'accorde cette permission… reprend Suzy

 

J'ai compris, c'est un jeu, je me marre intérieurement et ne bronche pas, tandis que l'inconnu reste comme un con avec sa bite dans la main.

 

- Alors c'est non ? Reprend-il.

- Je n'ai pas trop envie, et toi qu'est-ce que tu en pense, Eric ?

- Si tu en avais envie, je t'aurais donnée la permission, mais puisque tu n'as pas envie, je ne vois pas pourquoi tu le ferais… répondis-je

- Sauf si monsieur me dédommage d'un petit billet… reprend Suzy.

- Tu te fais payer ? Balbutie le voyeur.

- Pour la sodo, oui, et ne te plains pas tu t'es fait sucer gratuitement…

 

Le mec remballe ses outils :

 

- Bon, je vous laisse…

 

Il va pour s'en aller, puis revient sur ses pas.

 

- T'aurais voulu combien ?

- 50 euros !

 

Il hésite, puis se lance

 

- D'accord, on y va !

- L'argent d'abord !

- Mais tu es une vraie petite pute !

- Je sais, j'adore ça et j'assume.

- Vous n'avez pas honte de faire ça pour de l'argent ?

- Non, pourquoi, on devrait ? Répond crânement Suzy.

 

Le mec se recule, se reculotte et s'éloigne.

 

- Un pauvre type, frustré sexuellement, et en plus il se permet de nous juger. Il est sans doute plus à plaindre qu'à blâmer. Commente le travesti.

 

Il est 18 heures.

 

- J'ai faim je t'invite au restau !

- C'est gentil, mais je reste en fille ou je me remets en garçon ?

- Tu fais comme tu veux ! On pourrait s'arrêter pour la nuit et s'amuser dans une chambre bien confortable.

- Whaa, le super plan !

 

On tambourine sur la portière de la voiture.

 

- Oh, vous gênez le passage, là.

 

Le passage ! Quel passage ? Le temps de revenir à la réalité, je suis sur une aire de repos.

 

- Alors tu dégages, oui ou merde ?

- Oui ! Une seconde, et puis parlez-moi autrement !

 

Je démarre en vitesse, n'ayant pas envie de me quereller.

 

Je me souviens maintenant, ce type efféminé que j'ai pris en stop… où est-ce qu'il est passé ? J'ai donc rêvé tout ça ? Mais pourquoi, j'ai si mal au cul ?

 

Fin

 

 

 

Enzo Cagliari © 4/2016

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 20 avril 2016 3 20 /04 /Avr /2016 10:15

Chrissy, la rousse 

par Chanette

 

Fetish2

Pour Guillaume


Ce récit pourra surprendre par rapport à ma production habituelle. La raison en est simple, ce texte quoique remanié pour republication est ancien, il était destiné à une revue SM, qui souhaitait des récits très "descriptifs". Ce récit fut refusé (trop éloigné de la ligne de la revue) et je ne pensais pas l'avoir conservé, je l'ai retrouvé en faisant le ménage dans mes affaires, il avait été écrit à la main. Il serait probablement à réécrire de bout en bout. Je le ferais peut-être un jour, mais n'ai pas le temps actuellement. Alors pourquoi le publier ? Un lecteur m'avait demandé de lui écrire un récit mettant en scène des transsexuelles. J'avais accepté, mais ça va faire six mois... j'ai d'autres textes en cours, je le lui ferais, son récit, mais pour le faire patienter, je lui offre celui-ci. 


Chrissy, la rousse


Dans le petit monde du SM, tout le monde connaît Monsieur Henry, il se donne beaucoup de mal pour donner du SM une image différente de celui des clichés trop rabâchés. Bizarrement nous ne nous sommes jamais fréquentés.


Il m'a abordé récemment lors d'une soirée du cercle S.M. Je me rendais à l'époque de temps à autre dans ce genre de truc, ça me permettait de prendre des contacts, de revoir des vieilles connaissances et de prendre des nouvelles du "milieu SM"


- Il faudra un jour, que vous m'expliquiez les raisons de votre attitude envers moi ! Me dit Henry en me croisant.

- Pardon ? Quelle attitude ?

- Vous me détestez paraît-il ? C'est votre droit, mais pourquoi ne pas me dire pourquoi ?

- Mais je ne vous déteste pas, c'est vous qui m'évitez !


Bref chacun croyait que l'autre... il y a des situations parfois comme celle-ci ! Des années de malentendus... Du coup il me demanda s'il pouvait avoir l'honneur d'être mon esclave une heure ou deux ! Je lui répondis que tout l'honneur serait pour moi.


Je l'ai donc dominé dans un très bon esprit, ce mec est un type bien, il m'invita au restaurant le soir-même avec mon compagnon. C'est là qu'il me parla de cette soirée qu'il voulait organiser, il me dit qu'il avait rencontré deux travestis l'un plutôt maso, Chrissy et l'autre plutôt dominatrice, Loraine. Ils ne se connaissaient pas. Il m'expliqua que ma présence donnerait du sel à cette rencontre. J'acceptais, il me communiqua quelques lignes de scénario, tout cela était très soft. Ça collait parfaitement.


Nous étions donc six, Monsieur Henry, Phil mon compagnon, moi-même, les deux trans dont nous avions parlé et un autre homme prénommé Sylvain. Nous décrirons les personnages au fur et à mesure de leur entrée en texte.


Comme me l'avait demandé Henry je n'avais pas fait dans l'extravagance au point de vue toilette, juste une grande robe noire en vinyle et des chaussures assez acrobatiques (il y tenait) Le donjon est assez soft, des chaînes pendent du plafond terminées par des bracelets de cuir, cela pour les suspensions. Je remarque dans un coin une petite cage en bois, elle doit faire environ un mètre cube, sa surface supérieure est recouverte de ce qui semble être de la moquette bleue, cela doit donc servir également de table de travail.


Chrissy est une transsexuelle, très mignonne, et bien formée, elle a de jolis yeux coquins, un sourire souvent désarmant et une opulente coiffure rousse. Elle est vêtue d'une petite robe noire à bretelles, elle est boutonnée par-devant et descend à peine à mi-cuisse, le tissu ornée de motifs en est très diaphane.


Henry me demande de me lever et de me tenir prête à commencer. Puis il fait signe à Chrissy de venir me rejoindre. Nous voici debout face à face. Elle attend. Je commence par lui caresser la joue et le dessous du menton, puis ma main se fait baladeuse et parcourt son corps sans négliger les seins


- Tourne-toi !


J'en profite pour lui tripoter un peu son cul rebondi. Elle pivote à nouveau et j'entreprends de déboutonner sa robe, lui libérant ses jolis seins nus, je fais ensuite glisser les bretelles, baisse le vêtement jusqu'à la taille, je la contourne afin de pouvoir découvrir ses fesses au moment où je continuerais à dégager la robe, ça y est, je les pelote au passage, elle n'avait pas de culotte, ce devait être prévu dans le scénario, je reviens face à elle, découvrant avec amusement son charmant petit zizi.


- Tu es belle !


Elle sourit


- Baise-moi le pied !


Pas évident, il faut soulever la robe pour aller dénicher la partie qui n'est pas enfermée dans la chaussure. Voilà qui lui plait bien, elle me lèche le dessus du pied avec fougue.


- Redresse-toi !


Bon, assez rigolé, je lui accroche les poignets aux bracelets suspendus. Je lui caresse le visage avec tendresse, puis les seins. Je lui mets ensuite un collier d'esclave autour de son cou, symbole de sa soumission. Je vais chercher ensuite dans une petite boite que j'ai apporté avec moi, des bagues-ongles.


Vous ne connaissez pas j'en suis sûre ? Il s'agit donc de bagues non fermées (afin que l'on puisse les régler par serrage) qui se fixent sur chaque phalange extérieure, des ongles en métal sont montés dessus, des ongles très longs, la pointe doit en être juste assez acéré pour provoquer un picotement sur la peau, elles ne doivent pas blesser si l'on se contente d'effleurer.


Je la caresse avec ma main et mes ongles de fer, elle frissonne de ce curieux plaisir, elle a un sursaut de crainte quand j'entreprends de lui tripoter ainsi la bite, mais se laisse finalement faire sans rechigner. Rassurée, elle rigole. Je lui attrape le bout des seins cette fois, je serre, elle se pâme, j'aurais dû prévoir deux jeux de bagues, cela m'aurait permis de travailler les deux tétons simultanément, on ne peut pas penser à tout ! Je la retourne, c'est facile avec ce genre de liens, je lui envoie une petite tape sur les fesses, j'aime donner la fessée, c'est sans doute l'un des trucs que je préfère dans les dominations, sans doute parce que c'est très charnel de sentir la peau que l'on frappe, une fessée, deux fessées, trois fessées, je ne compte plus je tape à la volée.


- Encore ! Plus fort !


Chrissy aime ça, elle adore ça, elle en redemande, alors je lui en redonne. J'arrête, elle en voulait encore, mais c'est moi qui commande !


Je retire ma robe, Henry m'avait demandé de ne rien mettre en dessous, j'ai quand même mis une culotte, je la retire, me voici nue comme un ver. Drôle de tenue pour une dominatrice, mais j'ai gardé mes chaussures ! Je me harnache d'un gode ceinture, il est très beau ce gode, monté avec une bite noire très réaliste. Je m'amuse un peu à le frotter contre la queue du travelo. Ça l'amuse ! Ça l'amuse et ça l'excite, cette petite vicieuse !


pinceboisJe prends trois "pinces-baguette" en bois, il s'agit de pinces naturelles, sans aucun mécanisme, d'environ 35 centimètres de long (voir croquis sur les sites qui acceptent les illustrations) Sinon il s'agit de deux baguettes taillées dans le même morceau de bois, et non complètement séparées. Il y a une longue entaille dans la partie inférieure, (ce sont les bras) une petite entaille dans la partie supérieure (c'est la pince) Si l'on serre les " bras " la pince s'ouvre par contre pression ! (c'est fini, je vous promets, je ne parle plus de technique)


Première baguette sur le téton gauche. Chrissy a un mouvement de recul, elle serre les dents, ça pince, ça fait mal, mais finalement ça va, elle ne dit rien, attend la seconde, résignée, satisfaite même, je la lui pose, je joue un peu avec, les soulève, lâche ma main, les laisse pendre, le mamelon pincé est entraîné dans le mouvement des baguettes. Je les retire, je les remets aussitôt, je suis un peu sadique parfois ! Je m'empare de la troisième baguette, ce sera pour sa bite :


- Non !


Comment ça, non ? Je ne réponds même pas, je le lui place à la racine, en haut. Je lui caresse à nouveau le visage, je ne m'en lasse pas, il est trop doux, un peu les cuisses aussi. Avec mon gode, je m'amuse un peu à gifler la baguette accrochée à son pénis. Le voilà qui ballotte en tous sens et qui ballote en grandissant. Je me marre, elle aussi !


J'ai maintenant saisi le martinet ! Je commence par ce qui n'est même pas de la flagellation, je lui caresse les seins avec l'instrument, le jeu consiste justement à ce que le soumis ne puisse pas savoir à quel moment ça va commencer réellement, je tape un peu plus fort, puis je mouline, c'est très spectaculaire parce que les lanières n'arrêtent pas d'effleurer la peau, mais c'est finalement assez peu douloureux, je mouline aussi sur sa bite. Cette fois la voici enfin en érection, une fort belle érection d'ailleurs, ce n'est pas cela qui va m'arrêter dans mes efforts, bien au contraire, je tape maintenant "pour de vrai", assez fort sur les seins, beaucoup moins sur le sexe. Chrissy se pâme de plaisir. Je vise les fesses à présent mais sans la tourner, je tape fort.


- Tourne-toi !


60 2bFinalement, j'aime bien voir ce que je fais et cette fois je vise le dos, les cuisses, puis retourne aux fesses. Je tape très fort, cela n'a pas l'air de la gêner, elle adore ça !


J'ai apporté une petite tapette en caoutchouc, je m'en sers rarement, j'ai envie d'essayer, j'y vais et je lui cingle les fesses, ça fait mal, à présent elle a le cul tout rouge.


Puis comme convenu, j'accroche une chaînette à son collier d'esclave, la détache, lui demande de se mettre à quatre pattes, et la conduit dans la cage que l'on boucle.


Je vais alors m'asseoir à côté de monsieur Henry. C'est Loraine qui prend ma place. Comment vous décrire Loraine, Maîtresse Loraine, comme elle aime qu'on l'appelle, travestie, elle aussi, ou plutôt transsexuelle non opérée mais un tout autre genre que Chrissy. Grande brune, très brune, très typée italienne, le visage et le nez assez long, de grands yeux brillants, de belles lèvres. Très excitante dans son genre quoique trop maquillé. Elle est vêtue d'un curieux bustier à rayures dorées et vertes devant, l'arrière étant noir. Elle a revêtu une sorte de mini-jupe en cuir, et gainé ses belles jambes de bas auto-fixant. Comme elle doit chausser du 42 elle a des tatanes pas possibles, dommage d'ailleurs car ce détail est un peu ridicule !


Elle se pointe devant notre petite assistance, se saisit d'une cravache qu'elle tient devant elle à l'horizontale, elle écarte les jambes. Elle nous toise !


- Je veux un volontaire !


Le choix est restreint, je sens Phil hésiter, mais ce sera Sylvain.


- Moi. Dit-il simplement

- Ben approche ! Tu as la trouille, hein ?


Et le voilà qui se ramasse une paire de baffes, pas très forte d'ailleurs, mais il ne s'y attendait pas, ça fait rigoler tout le monde (les gens sont sadiques quand même !)


- A poil complètement ! Chaussettes comprises !


Combien de fois, l'ais-je entendu celle-ci "chaussettes comprises", ça a le don de m'amuser, personnellement je ne le pratique pas systématiquement, j'ai le plus profond respect pour les fétichistes du pied, mais ce n'est pas vraiment dans la priorité de mes fantasmes.


Loraine s'amuse à lui envoyer des coups de cravache pendant qu'il se déshabille, le pauvre finit par être entièrement déséquilibré. Essayez-donc, vous de retirer à la fois votre pantalon tout en esquivant un coup ? En principe on se retrouve par terre, et c'est exactement ce qui se passe, le père Sylvain encore revêtu d'un ridicule caleçon à petites fleurs se retrouve le cul par terre, il est le seul à ne pas en rire, il finit malgré tout par retirer chaussettes et caleçon alors que la dominatrice continue son office.


Loraine s'assied dans un fauteuil, curieux la façon dont elle s'assoit, ce n'est pas du tout "pouf-pouf je pose mon cul", non chaque geste, chaque mouvement est calculé, cette créature est pleine de grâce. En principe rien n'est prévue entre nous deux pour la suite de cette soirée, mais j'espère bien que nous pourrons improviser, ce soir ou alors un autre jour !


Elle demande à Sylvain de lui adorer ses bottes. Encore un truc que je n'aime pas trop pratiquer, mais je sais que beaucoup de soumis en sont friands. Il se met à genoux et commence à officier. Pendant ce temps la Maîtresse lui "griffe" le dos à l'aide des bagues ongles que je lui ai gentiment prêté. Elle le tripote ensuite un peu partout, lui fait embrasser ses cuisses, puis se retourne afin qu'il baise sa robe à l'endroit des fesses. Les doigts de Maîtresse Loraine parcourent maintenant le visage de Sylvain qui n'en mène vraiment pas large, mais cette trans est une artiste, elle sait parfaitement ce qu'elle fait, elle lui tripote les lèvres à présent, lui ordonne d'ouvrir la bouche et lui fait sucer son index. Elle demande ensuite au soumis de se placer devant un petit poteau, puis elle le bondage à l'aide d'une longue cordelette rouge, qu'elle croise plusieurs fois, elle serre un peu, pas trop, ce n'est pas une punition bien sévère; me dis-je ! D'autant que Loraine libère à présent ses beaux seins, monte sur un petit tabouret et lui fourre sous le nez !


- Suce !


Son art de la domination quoique intéressant n'a décidément pas grand-chose à voir avec mon propre univers, je ne bondage pas trop, je n'offre pas souvent mes seins non plus, mais que voulez-vous, chacun ses méthodes !


Loraine prend à présent un autre bout de corde, plus petit et lui passe autour des testicules, puis elle serre fort et fait un nœud, ses couilles rougissent et remontent, sa verge durcit.


- Bon j'en ai marre de ces godasses de putes, tu vas aller me chercher les autres dans le sac en plastique près de ma place, lui dit-elle en le détachant.


Le pauvre bougre n'a rien compris et s'apprête à y aller comme ça, en touriste !


- Tu n'as vraiment rien capté, toi, tu y vas à quatre pattes et tu me ramènes ça avec les dents ! Comme un chien, comme un bon toutou que tu es... et interdiction de te servir de tes mains


Le pauvre Sylvain fait ce qu'il peut, il renonce malgré tout au bout d'un moment à ramener les deux chaussures à la fois, il fera donc deux voyages sous les quolibets de l'assistance.


Pendant ce temps, Maîtresse Loraine a retiré sa petite culotte et exhibe fièrement sa quéquette. Sylvain revenu, elle lui fourre son sous-vêtement sous le nez !


- Respire ! Respire l'odeur de ma bite, l'odeur de ma pisse, l'odeur de mon trou du cul !


Oh la la ! Ça devient hard ! Puis elle lui fourre la culotte dans la bouche


- Tu la gardes !


Elle le caresse, les cuisses, le bas de fesses, puis l'intérieur des cuisses, puis le sexe, puis elle remonte, lui serre le bout des seins de plus en plus fort, jusqu'à ce que le soumis pousse un cri de douleur. Du coup la culotte dégringole !


- Qu'est-ce que tu as fait ?

- Oh pardon Maîtresse ! Je vais la ramasser !

- Avec les dents !


Il le fait !


- Et tu crois que ça va me suffire ?


Il la regarde avec des yeux de chien battu, il ne comprend plus rien, d'autant que Loraine lui reprend à présent la culotte et se la remet. Je me demande à mon tour ce qu'elle va bien fabriquer, mais j'ai ma petite idée sur la question. Loraine se positionne face à l'assistance et comme tout à l'heure nous observe en écartant les jambes. Elle ferme alors les yeux comme si elle attendait quelque chose. Et soudain une tache d'humidité apparaît sur sa culotte. Cette cochonne est en train de se pisser sur elle. Un petit pipi d'ailleurs, mais suffisant pour mouiller tout cela. Elle la retire alors et la tend à Sylvain :


- Attrape ! Avec les dents !


Il le fait, ça n'a pas l'air de le déranger trop ! Elle le fait ensuite se balader à quatre pattes tout autour de la pièce, puis :


- Suce ma queue !


Sylvain lâche à présent la culotte et entreprend de faire une véritable fellation au travesti, j'ignore s'il a l'habitude de ce genre de chose, mais le résultat est spectaculaire, en quelques minutes leurs deux bites obtiennent une érection tout à fait remarquable ! Loraine passe derrière Sylvain, lui tape un peu les fesses, puis le caresse, elle alterne fessées et caresses, son index gauche cherche l'anus du soumis, le trouve, y pénètre, effectue quelques aller et retour, ressort. Loraine revêt alors un préservatif et encule Sylvain sous les bravos de l'assistance.


Elle s'arrête d'ailleurs au bout de quelques va-et-vient, il n'était pas dans ses intentions de jouir à ce moment. Elle passe alors un collier d'esclave au cou du soumis Sylvain et le dirige vers la cage, où il prend la place de Chrissy


Chrissy monte à ce moment sur la cage.


- A quatre pattes, tend bien ton cul !


Loraine mouline ses fesses au martinet, qui du coup reprennent très vite leurs couleurs. Puis elle lui demande de lever les jambes. Se sont donc ses pieds qui vont être suspendus au plafond tandis que son dos reposera sur la cage. La chose étant faite, la dominatrice recommence ses coups de martinets, les cuisses, le sexe, les seins, elle lui prend le sexe et le caresse, prend ensuite la tapette en caoutchouc et s'acharne sur ses pauvres fesses, puis lui pince les seins. A ce moment Loraine est excitée comme une puce, elle libère Chrissy, lui ordonne de se relever et lui demande de venir lui sucer ses propres seins. Chrissy saute pour ainsi dire sur l'occasion, Loraine se pâme de plaisir mais cela ne l'empêche pas de continuer à pratiquer le martinet, Puis elle se tourne se fait embrasser les fesses, puis le trou du cul. Loraine bande à nouveau joliment. Elle s'allonge alors sur le sol.


- Viens me sucer et en même temps tu vas me tripoter le bout des seins !


Chrissy veut se mettre en 69, position la plus facile pour réaliser la chose, mais l'autre ne veut pas


- Non ! Dans l'autre sens ! Débrouille-toi !


Chrissy se " débrouille " donc, tant et si bien que Loraine finit par jouir dans sa bouche, sous les applaudissements de la petite assemblée.


Loraine fait alors signe à Monsieur Henry !


- C'est à vous pour le final !

- Merci, et encore bravo, je vais te laisser récupérer tes forces, mais j'aimerais que Chanette m'assiste !


Ah bon ? Ce n'était pas trop prévu au programme, mais pourquoi pas ? Monsieur Henry se met torse nu, je lui connaissais ses piercings en forme de boucle sur chaque sein ainsi que ses tatouages, beaucoup de tatouages, trop de tatouages, je n'aime pas trop ces machins là, mais enfin ce n'est pas moi qui les trimbale !


On commence par se balader autour de notre travesti vedette, je lui caresse les cheveux, Henry lui caresse les fesses, différence de culture probablement ? Puis nous le faisons remonter sur la cage, et comme précédemment nous lui suspendons les jambes en l'air, en plus nous accrochons ses bras en croix aux coins de la cage, ainsi à notre disposition nous pouvons nous en occuper, nous caressons son corps en tournicotant de part et d'autre, tout y passe, ses cuisses, ses fesses, son sexe, son ventre, ses bras, sa poitrine, son cou, son visage. Simultanément nous nous emparons de martinets, et commençons à mouliner, je m'occupe des seins, Henry des

-  fesses. Ça va de plus en plus vite, Chrissy commence à pousser de petits râles, je laisse tomber le martinet et lui pince durement les mamelons :


- C'est bon ! C'est bon ! Crie-t-elle


Henry, lui aussi a changé d'arme et se saisit de cette raclette en caoutchouc décidément très utilisée ce soir et entreprend de rougir les fesses de notre esclave. Puis il change de côté, se place derrière son visage, je crois qu'il va lui donner sa bite à sucer, non il n'offre que sa braguette ! Chrissy essaie de caresser des lèvres la bosse formée dans son pantalon. Pendant ce temps je me remets mon gode ceinture, le recouvre d'un préservatif et m'approche du cul de Chrissy !


- Je vais t'enculer maintenant !

- Vas-y ! Encule-moi !


Je ne me le fais pas dire deux fois et je pénètre le beau transsexuel qui suce à présent la queue de Henry enfin sortie de son pantalon. Ce dernier jouira assez vite ! Je me retire de son anus ! On le détache ! On libère Sylvain !


Mais j'ai envie de faire deux choses, pour la première je ne demande aucune autorisation à qui que ce soit et me précipite sur la bouche de Chrissy et l'embrasse alors qu'elle est encore dégoulinante du foutre de Henry. Le travesti croit d'abord que je fais cela pour récupérer le goût du sperme, non pas du tout, ça ne me dérange pas, mais c'est avant tout la bouche de Chrissy que je veux, cette créature a été trop craquante ce soir, je veux la remercier à ma façon !


La deuxième chose, je la demande à Henry !


- J'aime bien, parfois terminer mes séances sur quelque chose de très humide, de très rafraîchissant, je peux ?

- Mais bien sûr cher amie, choisissez votre partenaire pour ce petit plus !


J'entraîne Loraine, mais je dis à Chrissy de rester aussi, je les fais s'allonger l'une à côté de l'autre, je m'accroupis, leur demande d'ouvrir la bouche et je leur balance ma bonne urine bien chaude qu'elles s'empressent de déguster !


- Hum ! Bravo ! J'en aurais volontiers pris aussi une goutte, mais la soirée n'est pas finie ! Pour l'instant j'ai prévu une table privée dans un restaurant de mes amis, vous y êtes tous conviés.

- Désoleé, Monsieur Henry, mais ma journée est terminée, je rentre chez moi, mais nous nous reverrons c'est promis.


© Chanette (Christine d'Esde) 1996 reproduction interdite sans autorisation de l'auteur

 

Première publication sur Vassilia, le 21/05/2001

 

 

 

 

 

What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 20 décembre 2015 7 20 /12 /Déc /2015 17:49

Place de la Trinité par Enzo Cagliari

 

Stamp_Mature2.jpg

 

En cette fin d'après-midi de Septembre, je buvais tranquillement une bonne bière bien fraîche à la terrasse d'un café du quartier St-Lazare, quand j'entendis derrière moi cette réplique surréaliste prononcée par un homme à l'accent méridional :

 

- Ecoute Marie, arrête avec ça, je n'ai aucune envie de me faire enculer !

 

Je pensais la réflexion au second degré, elle m'amusa mais sans plus, mais il y eut une suite, et cette fois c'est une femme qui parlait :

 

- Fais-le au moins pour me faire plaisir, et si ça se trouve tu ne le regretteras pas !

- J'ai pas envie de devenir pédé, même pour tes beaux yeux… répliqua sèchement l'homme

 

Oups !

 

Marie_T.jpg Du coup je me tourne discrètement, la femme doit avoir au moins dans les 50 ans, mais super bien conservée, coiffure très chic, yeux verts, rouge à lèvres outrancier et sourire carnassier, elle est très bronzée (UV ?) avec pas mal de petites taches sur la peau, elle est vêtue d'une sorte de débardeur noir légèrement décolletée sur une poitrine qu'on devine généreuse (refaite ?). Le mec fait très chippendale, très grand, blond probablement décoloré, souriant et look de jeune loup.

 

- La question n'est pas là, ça ne va pas te tuer ! Je ne vois pas pourquoi, vous, les hommes vous voulez toujours nous enculer alors que vous vous avez honte de le faire…

 

De mieux en mieux !

 

- Ecoute, Marie, ou on parle d'autre chose ou alors je préfère qu'on stoppe tout de suite cette relation.

- Et bien stoppons tout de suite cette relation ! Répondit la bourgeoise du tac au tac.

- Bon, je te laisse, tu m'auras donné quand même quelques beaux souvenirs, mais on n'est pas vraiment du même monde, allez salut ! Répondit l'homme se levant…

 

La femme ne répondit même pas et se resservit une grande rasade de thé. Je venais donc d'assister à une rupture en direct, et rupture pourquoi, parce que si j'avais bien compris, la dame lui proposait une partouse bisexuelle, et que le monsieur ne voulait pas. Voilà qui m'amuse, et puis plus je mate cette personne, plus elle me branche, elle a un visage intéressant, une belle bouche, une jolie peau dorée, et puis ce joli décolleté bien rempli...

 

J'ai envie de m'amuser et je me lève de mon siège pour interpeller la dame, je vais me livrer à un exercice d'improvisation de haute voltige, je n'ai rien préparé, ça m'excite, j'ai neuf chances sur dix de me planter, et alors, quelle affaire, qu'est-ce que j'ai à perdre ?

 

- Bonjour Madame, je ne voudrais pas être incorrect, mais parfois on entend des choses qu'on ne souhaiterait pas entendre…

 

La tronche de la bonne femme qui me regarde comme si j'étais un martien fraichement débarqué de sa soucoupe ! Je continue :

 

- J'ai donc cru comprendre que le monsieur qui vous tenait, puis qui vous a faussé compagnie s'est éclipsé sans vous payer votre consommation, permettez-moi de la régler à sa place ?

 

Abasourdie, la nana se demande à qui elle a affaire :

 

- Mais, attendez, vous faites quoi là ?

- Je drague madame ! Répondis-je absolument pas démonté.

- Et bien j'en ai connu... mais des comme vous…

- M'autorisez-vous à m'asseoir à vos côtés ?

- Non, merci !

- Alors d'accord, je ne vous importunerais pas plus d'une minute, je voulais simplement vous dire que je vous trouve très séduisante...

- Très original !

- A ce point que si j'avais eu la chance que vous me fassiez la même proposition qu'à la personne qui était avec vous il y a cinq minutes, j'aurais en ce qui me concerne accepté sans hésiter !

- Qu'est-ce que vous racontez ? Me demande alors la bourgeoise éberluée qui se met à me détailler de la tête aux pieds comme si elle voulait savoir à qui elle avait vraiment affaire !

- Vous êtes craquante, réellement ! Repris-je.

- Vous, vous… avez entendu notre conversation ?

- Bien malgré moi.

- Asseyez-vous, ne restez pas debout, voyons, vous êtes qui ? Vous faites quoi dans la vie ?

- Je m'appelle Etienne, je suis courtier en œuvres d'art et ça me laisse beaucoup de temps libre !

 

Gros mensonge, mais ça fait plus branché que dépanneur en informatique.

 

- Intéressant, je m'appelle Marie-Claire et je vis de mes rentes, mais je m'intéresse à un tas de choses.

- La peinture ?

- J'aime les jolis tableaux, mais je ne m'y connais pas beaucoup !

- Le sexe !

- Ça fait partie des plaisirs de la vie, non ?

 

Et alors que je cherchais déjà ma prochaine réplique, la voici qui me balance :

 

- Alors comme ça vous aimez bien vous faire enculer ?

 

Ce langage aussi cru, proféré de façon si inattendu eut le pouvoir de m'exciter, et si elle veut vraiment jouer à ce jeu, je ne me déroberais pas ! Pire je la joue provoc :

 

- J'adore ça, une bonne bite dans le cul c'est génial !

- Homo ? Bi ?

- Bitophile !

- C'est quoi ça, c'est nouveau, ça vient de sortir ?

- Je ne suis pas attiré par les hommes, mais par leur queue, oui ! Oh vous avez une petite poussière sur le bras, permettez que je vous l'enlève !

 

Et sans attendre de réponse, me voici en train de lui caresser le bras...

 

- Vous avez la peau douce !

- Il parait, oui ! Vous caressez très bien !

- Je peux vous caresser encore mieux, si vous voulez...

- Ne rêvez pas, je ne suis pas non plus inconsciente au point de m'embarquer avec un inconnu.

- Alors faisons mieux connaissance !

- Je ne suis pas contre les aventures, mais j'ai une nette préférence pour les hommes soumis.

- Ça tombe très bien, j'adore jouer à l'esclave !

- Non ?

- Si !

- Caressez-moi encore les bras ! Quel dommage Que vous ne puissiez pas me caresser les fesses, j'adore qu'on me caresse les fesses !

 

L'idée !

 

- Je suis en voiture...

 

Je n'ai pas besoin de continuer, elle a compris !

 

- Vous êtes garé loin ?

- A cinq minutes à pied ! Dans le haut de la rue là-bas.

- Allez la chercher, je vous attends, mais bon, je reste cinq minutes avec vous et après je vous laisse, d'accord ?

 

Je marquais mon accord et déposais un billet sur la table !

 

- Je vous avais promis de payer votre consommation

- Garde ton fric, esclave et dépêche-toi !

 

O.K., je me dépêche, mais arrivé au coin de la rue, je me retourne par réflexe, Marie-Claire n'est plus à sa place. C'était trop beau pour durer, cette affaire. Tant pis, c'est pas bien grave !

 

Dix minutes plus tard, la voiture récupérée, je repasse malgré tout devant la terrasse du café. Miracle ! Marie-Claire m'attendait sagement, je donne un coup de klaxon et elle me rejoint.

 

Je ne connais pas trop le quartier où je suis venu pour un dépannage, elle m'indique quelques rues "tranquilles", on tourne pas mal. Marie Claire a relevé sa jupe bien plus haut que la mi-cuisse, j'y pose la main droite à chaque fois que je peux, me voilà en train de bander comme un dingue d'autant qu'à chaque contact, je monte un peu plus haut sans soulever de protestation. Finalement je parviens à me garer dans une petite rue.

 

Je lui remets ma main sur sa cuisse et approche mon visage du sien avec la ferme intention de l'embrasser.

 

- Attends ! Me dit-elle me stoppant net dans mon élan.

 

Et la voilà qui après avoir débouclé sa ceinture de sécurité, se soulève légèrement de son siège et retire sa culotte

 

- C'est un test, c'est pour voir si tu es un bon esclave, tiens renifle ! Me dit-elle, me passant l'objet.

 

Pas très nette, la culotte ! Elle est légèrement mouillée d'une urine récente, il y a aussi quelques traces moins claires.

 

Mes sentiments sont partagés parce que j'ai bien l'impression d'avoir perdu la maîtrise du jeu, mais il n'empêche que mon excitation est au maximum. Comme dans un rêve, je renifle la culotte, ces odeurs intimes me rendent fou. Je vais pour lui rendre :

 

- Non, tu la gardes, tu me la rendras ce soir ?

 

Ce soir ? Qu'est-ce qu'elle me raconte ? J'essaie de reprendre l'initiative, ma main s'approche de l'échancrure de son débardeur !

 

- Qu'est-ce que tu es en train de faire ? Fait-elle mine de demander en stoppant mon geste.

- J'essayais de découvrir ta poitrine...

- Ma poitrine, tu la verras ce soir, pour l'instant je suis venue pour que tu me pelotes les fesses.

 

Et en disant cela, elle se soulève un petit peu en pivotant légèrement sur la droite. Je réponds donc à l'invitation et entreprend de lui caresser ses globes fessiers. Elle a l'air d'aimer ça et me le redit :

 

- Hum, j'adore qu'on me tripote les fesses !

 

De caresses en circonvolutions, je m'approche l'air de rien du sillon, me demandant jusqu'où elle me permettra d'aller

 

- Fous-moi un doigt dans le cul !

 

Puisque c'est elle qui me le demande, on ne va pas se priver, je me lèche l'index, l'entre avec une facilité déconcertante et l'agite, elle m'encourage, pousse des petits cris, me demande d'introduire un second doigt que je lèche préalablement sans trop m'attarder sur l'état du premier. Un petit coup au rétroviseur, quelqu'un arrive côté trottoir. On arrête tout ! Je pensais qu'on reprendrait après, mais non :

 

- Lèche tes doigts ! Ordonne-t-elle

 

Bon, leur état n'est pas catastrophique mais ils sont quand même un peu pollués.

 

- Euh, peut-être pas !

- Ah bon, tu n'as pas envie qu'on se revoie ce soir ?

- Si !

- Alors tu lèches !

- J'aime pas trop !

- Mais si tu aimes, mais tu ne veux pas te l'avouer, lèche esclave, et ce soir je te pisserai dans la bouche !

 

Je lèche ! C'est la première fois que je mets mes doigts dans la bouche après qu'ils soient allés triturer un autre trou du cul que le mien. Parce qu'avec le mien, je l'ai déjà fait, mais uniquement dans les périodes de très forte excitation, je vainquis toutefois mes résistances et obtempérais, rencontrant un goût, certes âcre mais non repoussant.

- C'est bien ! Tu es libre ce soir ?

- Oui, en ce moment je suis célibataire !

- Voilà, c'est un petit club privé dans lequel je me rends presque tous les jeudis.

 

Elle m'explique, me note l'adresse :

 

- On se réunit entre copines et on joue à des jeux très coquins, Si tu aimes la soumission, tu ne devrais pas être déçu.

- Mais, attends, je ne tiens pas à me faire flageller non plus !

- Ne t'inquiètes pas, on n'est pas des sauvages ! On forme un petit club, parfois on amène des esclaves et on joue avec, quand on n'a pas d'esclave, on tire au sort et l'une d'entre nous devient l'esclave des autres, c'est ce qui m'es arrivé la dernière fois, ces salopes m'ont attaché, m'ont fouetté, m'ont pissé dans la bouche, ça m'a bien plu !

 

Elle me fait bander avec ces histoires…

 

- Ce soir je crois que Denise amènera un esclave, si tu as envie de te faire enculer tu pourras en profiter. Ça te tente, hein, gros cochon ?

- Ben !

- Tu aimes ça, les bites, hein ?

- J'aime bien les femmes aussi…

- J'avais compris, mais toi tu dois être le genre à trainer dans les pissotières de gare pour mater les queues des mecs. Je me trompe.

 

Je n'ai jamais fait ce genre de choses mais si ça l'amuse de le croire, je ne vais pas la contrarier

 

Elle me regarde vicieusement et ajoute :

 

-Allez, à ce soir, je compte sur toi, ne te dégonfles pas ! Au fait n'oublie pas de me rapporter ma culotte, tu as même le droit de te masturber dedans... Tiens, oui c'est une bonne idée, ça ! Rapporte la moi avec une belle tache de sperme !

 

Et sur ces paroles, elle sort de la voiture me laissant dubitatif.

 

C'était donc dix minutes de pure folie avec une mature nymphomane à moitié déjantée. Il n'était à ce moment-là dans mon esprit aucunement question que je donne suite à ses propositions délirantes. Un peu curieux, tout de même, je me demandais bien ce qui pouvait se passer dans ce mystérieux club privé... mon cerveau vagabonde... Je m'imagine découvrant le galbe de ses seins, tétant goulûment ses tétons, m'égarant ensuite vers son pubis, dégustant son suc intime, buvant son urine tiède. Et bien sûr, voilà que je bande ! Dilemme : gérer la situation tout de suite ou jouer au délicieux challenge du plaisir retardé. Un coup d'œil au rétro ! Après tout se branler dans une voiture en stationnement, voilà qui est d'une totale perversité ! Et puis il fallait que je me calme. Je me masturbais donc, très vite, sans rechercher un instant ni à optimiser mon plaisir ni à le retarder. J'éjaculais dans la culotte de la dame comme elle me l'avait suggéré, essayais en vain de m'essuyer avec, terminais avec des kleenex, fis une boule de tout cela que je m'apprêtais à jeter au caniveau par la vitre de la voiture, mais la présence sur le trottoir d'une mère de famille et de sa progéniture m'y fit renoncer. La boule atterrit donc sur le plancher de la bagnole et je démarrais, direction, la maison !

 

Une douche, une bière.... Puis la flemme de me faire à manger, je descends au traiteur chinois du coin. La serveuse est adorable, c'est une nouvelle, il n'y a que quelques semaines qu'elle est en France, j'ai du mal à communiquer avec elle. Quand je lui ai demandé son prénom elle n'a rien compris ! J'essaie de penser à un tas de choses afin de dissiper les images de l'après-midi qui reviennent en boucle dans mon esprit. Mais pas moyen. Ça revient, ça revient, ça n'arrête pas ! J'aurais mieux fait de rester chez moi et de regarder un truc à la télé.

 

Il n'y a pas grand monde au chinois ce soir, il y a des jours comme ça ! La serveuse me balance des petits sourires. Après tout, j'ai peut-être une chance ? Je la tente.

 

- Ça vous dirait si je vous emmenais boire un verre après votre service ?

- Oui !

 

Elle a dit "oui" c'est dingue ! Moi qui m'attendais à une longue procédure de drague, voilà l'affaire expédiée en un clin d'œil ! Mais bon, il faut fixer les modalités maintenant, je verrais ça plus tard, la fille est déjà repartie derrière son comptoir. Des images se forment déjà dans ma tête, je m'imagine en train de la déshabiller, de lui peloter les seins, de… et la voilà qui revient avec un verre qu'elle me pose à côté de celui qui est derrière mon assiette. Catastrophe, elle a tout compris de travers, tout est à refaire !

 

- Vous êtes très belle (nouvelle tentative)

- Oui ! répond-elle avec un petit sourire

 

Et puis, l'intuition

 

- You speak english ?

- Just a little !

 

Encore raté, il va falloir que j'apprenne le chinois, ou le vietnamien ou le thaïlandais, je ne sais même pas son origine. Je suis déçu parce que pendant deux minutes je me suis surpris à fantasmer trop fort sur elle. Tant pis, je rentre et je me masturberais à la maison (ça ne fera jamais que la deuxième fois aujourd'hui,) où j'irais voir une prostituée… où alors…. Et voilà les images de Marie-Claire qui reviennent…

 

Et si j'allais voir ? Je regarde l'heure, j'ai le temps ! Je m'installe sur le canapé, j'essaie de m'intéresser à la télé, mais il n'y a rien pour m'accrocher, plus il a de chaines, moins il y a de trucs à regarder voir, mes paupières deviennent lourdes, je m'endors.

 

Un bruit me réveille, il est à peine 21 heures, je n'ai pas dormi longtemps. Je me débarrasse de mon chéquier et de ma carte bleue, je ne prends que du liquide et je pars en reconnaissance... par le métro.

 

L'adresse qu'elle m'a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J'ai dix minutes d'avances, je tourne un peu dans le secteur. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d'y aller…

 

A 21 h 30 très précise, je sonne à l'interphone

 

- Oui ! Me répond une voix de femme

- Je viens de la part de Marie-Claire.

- Montez, 3ème gauche.

 

Je monte, la porte s'ouvre.

Denise_T.jpg

Une blonde plutôt mûre, un peu rondouillarde et très maquillée me toise, me fait entrer mais on reste dans l'entrée :

 

- Marie-Claire vous a expliqué comment ça se passait ?

- Juste en gros, elle n'est pas là ?

- Elle n'est pas arrivée !

- Ah ! Je vais faire un tour et je vais revenir, alors !

- Pourquoi je vous fais peur ?

- Non, non !

- Que vous a-t-elle dit au juste ?

- Elle m'a juste dit qu'on y pratiquait la domination entre amis ?

- Et vous êtes son esclave !

- Si on veut, oui !

- Tu as un droit d'entrée à payer, elle te l'a dit aussi ?

- Ben non !

- C'est 100 euros !

 

Je commence à me demander si je ne vais pas m'enfuir en courant, mais la somme demandé est relativement modeste et je l'ai sur moi. Je regarde Denise (puisque c'est son prénom) elle porte une petite robe blanche décolletée à fines bretelles et à grosses mailles, mais le petit plus c'est qu'elle n'a pas de soutien-gorge en dessous. Je ne vous dis pas l'effet que ça me fait ! Du coup je lui sors de mon portefeuille la somme demandée.

 

- Ils te plaisent mes nichons on dirait ?

- Ben, oui, faut avouer !

- Ne rêve, pas ce n'est pas pour toi ! Tu pourras peut-être mieux les voir tout à l'heure mais pour ce qui est de les toucher, nada !

- Tant pis pour moi !

- Voilà une grille, tu vas la remplir.

 

On vient de me tendre un questionnaire. Il comporte une série de pratiques regroupées en rubriques, je dois cocher dans des cases "oui", "non" ou "éventuellement". Déjà vu ce système-là chez une dominatrice il y a un bout de temps, je remplis le papelard debout, le rend à Denise Elle regarde ce que j'ai coché.

 

- Bon, t'es un petit soumis, toi ! Mais tu as l'air d'avoir de la bonne volonté. On va voir ça à l'usage ! Tu entres ici, il y déjà du monde. Tu te mets complètement à poil, complètement même les chaussettes !

 

Ok, on y va, je pénètre dans une très grande pièce avec un coin bar, genre salle de reception. Je dis bonjour, personne ne me répond. Pas trop sympa ! Le S.M. n'empêche pas la convivialité, mince alors. Je jette un regard circulaire mais Denise me presse :

 

- Tu fais quoi ? Je t'ai dit de te mettre à poil, pas de regarder ce qu'il y a au mur, c'est pas le musée du Louvre ici !

 

Bien, les hostilités commencent. Je pars ou je reste, mais maintenant que j'ai payé… Il y a là deux autres femmes matures qui sirotent des bières autour d'une petite table. On va les décrire un tout petit peu pour la suite :

 

Belinda_T.jpg Belinda, bronzée fausse blonde aux long cheveux raides, pas très grande, le regard noir et vicelard. Elle est vêtue d'un haut de maillot de bain assez ridicule aux couleurs du drapeau américain et d'une jupette courte bleu marine.

 

Tanya_T.jpg Tanya : forte brune à grosses lunettes perchées sur le bout du nez, les cheveux coiffés en chignon, très souriante, elle est vêtue d'un tailleur pantalon noir dont le haut est ouvert sur un énorme soutien-gorge mauve

 

Une petite soubrette black se tient près du bar, elle est juste habillée d'un petit tablier blanc de serveuse, ses seins de bonnes proportions débordent de chaque côté du plastron, c'est tout à fait bandant… Et puis il y a un quatrième personnage, dans le fond de la pièce, un homme, complètement nu à l'exception d'un ridicule nœud papillon, il est à genoux, plutôt bien foutu, un esclave comme moi sans doute ?

 

Denise s'approche de moi, me contourne, me regarde dans les yeux. Puis soudain sans prévenir, me crache au visage, me gifle et ordonne :

 

- Mets-toi à genoux ! Esclave !

 

J'accepte le jeu, elle se penche pour m'attraper mes tétons dans chacune de ses mains et me les serre avec force. Là, elle peut y aller, j'adore ce truc, et en plus ça me fait bander !

 

- On t'a donné l'autorisation de bander ?

- Non maîtresse !

- Bon, on va attendre Marie-Claire, mais tu ne perds rien pour attendre, tu vas déguster, mon salaud !

- Il a peut-être soif ? Suggère alors Belinda la petite fausse blonde au regard vicelard.

- Tu veux quoi ? Une bière ?

- Je veux bien, oui !

- Malou, une bière pour l'esclave de Marie-Claire !

 

Je ne suis pas dupe ! Ça cache quelque chose, mais cela m'étonne que l'on commence déjà les pratiques uro. Malou, la soubrette verse de la bière dans une chope et la tends à Belinda qui s'est levée ! Elle s'approche de moi et me balance tout le contenu à travers la figure ! C'est idiot parce que cette fantaisie me prive du plaisir d'observer mieux la soubrette qui regagne sa place le cul à l'air ! Quel joli popotin !

 

- Merci maîtresse ! Balbutiai-je en bandant encore plus fort.

 

La Belinda me parait bien excitée, elle se dirige vers un râtelier ou elle se saisit d'une fine cravache ! Ça y est je vais passer à la casserole… mais son geste est freiné par l'arrivé de Marie-Claire. Je le regrette presque, la perspective de me faire corriger par cette belle vicieuse m'excitait déjà !

 

- Alors les filles, on voulait commencer sans moi ? Plaisante-elle.

 

Elle embrasse ses trois copines, va mettre la main au panier de la soubrette, mais n'a pas un mot pour le chippendale toujours logé dans son coin.

 

- Mon petit esclave est là ! Je savais bien qu'il viendrait !

 

Tu parles, facile à dire, si j'avais pu communiquer avec la petite chinoise, je ne serais sûrement pas là !

 

- Tu m'as rapporté ma culotte, j'espère ?

 

Ah ! Oui la culotte ! Ben non je n'ai plus pensé à la culotte, qui est restée en boule avec un kleenex sur le plancher de la bagnole !

 

- Non maîtresse, j'ai oublié !

 

A ce stade, il est possible qu'elle me vire, ça se fait parfois, parait-il. ! Pas bien grave, enfin un peu dommage quand même. Et "vlatipa" que je reçois une paire de baffes. Je rentre vite dans mon rôle :

 

- Pardon maîtresse !

- C'est quoi ce jeu ? Intervient Denise, tu lui avais prêté ta culotte !

- Oui, il devait jouir dedans et me la rapporter…

- Humm, voilà qui mérite une sacrée punition ! Qu'est qu'on va lui faire ?

- On va voir, mais avant il faut que je vous raconte comment je l'ai trouvé ! En fait c'est lui qui m'a abordé en me disant qu'il voulait se faire enculer !

- Non ?

- Si ! Tiens racontes-nous tout ça ! me demande-t-elle et tu n'oublies aucun détail on n'est pas pressée, n'est-ce pas les filles ?

 

Me voici dans le rôle du conteur pour dames seules, c'est nouveau, je cherche mes mots ! La grosse Tanya est partie chercher des pinces à linges, elle s'approche de moi et m'en colle une à chaque téton ! Ça m'électrise. J'ai le malheur d'ouvrir la bouche, elle me crache dedans !

 

- Ça va t'aider à nous raconter !

- Il était une fois…

 

oooOOOooo

 

- Et voilà vous savez tout !

- On lui fait quoi ? demande Denise

- Si on jouait à Parfum de femme ? propose Belinda

- Je l'aurais parié ! rétorque Denise, mais tu n'es pas sûre de gagner cette fois ci ! Je passerais la dernière d'accord !

- Et moi juste avant elle ? reprend Belinda

 

C'est quoi ce jeu ?

 

- Bon je serais en deuxième alors ! dit Tanya. Tu connais le jeu, j'espère, toi l'esclave ?

- Ben non !

- Et bien tu vas nous renifler le cul et tu devras désigner laquelle a le meilleur parfum !

 

Ah, bon ! On ne me l'avait jamais faite encore celle-là ! Marie-Claire enlève sa robe ! Dingue, elle n'a pas remis de culotte, elle est nue en dessous à l'exception de son soutien-gorge blanc qu'elle n'a pas du tout l'air décidé le retirer. Elle doit s'entretenir sérieusement, pas de graisse, le bronzage est intégral, l'épilation aussi. Elle se tourne ! Quel beau cul !! Elle s'écarte les globes fessiers. On me fait approcher !

 

- Tu renifles et c'est tout pour l'instant !

 

Mon nez est collé à son trou du cul. Une légère odeur s'en dégage. Je pense déjà à l'état où doivent être ceux des deux autres qui disent gagner le concours. Et puis soudain la voilà qui pète, je me recule d'instinct mais une main me retient ! J'ai compris c'est ça le jeu ! Mais sa flatulence était plus bruyante qu'odorante. Manifestement elle tente de renouveler l'opération mais n'y parvient pas.

 

Elle s'éloigne ! Me voici partagé. Devenir testeur en flatulence n'a jamais été dans mes fantasmes, mais dans le cadre d'une domination, je prends plaisir à l'accepter… j'aurai quand même préféré d'autres choses, elles viendront sans doute après.

 

Et voici la "grosse" Tanya qui retire son pantalon et son énorme slip mauve !

 

- Allez, au boulot !

 

Elle n'écarte rien du tout et c'est moi qui sépare ses deux grosses masses de chair, ça sent la sueur, c'est plein de poils, mais ça sent la femme, j'approche, c'est très acre, je renifle, je fais le petit chien je suis en plein dans mon rôle, manifestement elle essaie de péter, elle n'y arrive pas !

 

- Lèche !

 

Ah bon, faut lécher maintenant ! Je lèche, ça ne m'a jamais dérangé de lécher un trou du cul et je commence même à y trouver du plaisir.

 

- Allez lèche encore ! Lèche mon cul plein de merde !

 

On est en pleine poésie !

 

- Tu as envie ? lui demande Belinda.

- Maintenant je ne sais pas, mais tout à l'heure sûrement, oui...

- Bon, à moi maintenant !

Belinda09.jpg

Et voici Belinda qui s'est débarrassée de sa jupette, c'est la troisième à garder le haut, ça m'énerve un peu ! Par contre j'ai l'impression que celle-ci elle peut me faire ce qu'elle veut, je l'accepterais, elle m'excite de trop ! Elle se met en position, moi aussi. Comme Marie-Claire elle est intégralement rasée et bronzée quoique moins intensément, son petit œillet est bien dessiné comme je les aime. L'odeur est envoûtante, pour l'instant c'est elle la meilleure... Si elle pouvait me demander de lécher... Je demande si je peux...

 

- Tu me lécheras tout à l'heure si c'est moi la gagnante et je te chierais même dessus pour te récompenser, je crois que j'ai une petite envie...

 

Glups ! Elle est un peu timbrée celle-là. Puis je me souviens avec horreur, que sur la grille que j'ai renseignée, j'ai indiqué scato : éventuellement ! C'est quoi pour elles "éventuellement" ?

 

Et me voici sous Denise, pas mal non, d'autant plus qu'elle accepte, elle, qu'on la lèche... Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle n'est pas très nette du cul, je me demande même si elle n'a pas carrément oubliée de s'essuyer. Elle me pète au visage plusieurs fois de suite... L'effet de surprise est passé, on s'habitue à tout... n'empêche que j'en ai plein les narines.

 

Alors c'est qui la gagnante ?

 

Dilemme, si je désigne Belinda, elle va me faire un truc que je ne souhaite pas... à moins que mon masochisme me le fasse supporter quand même...

 

- On dirait que tu hésites, me dit cette dernière, si c'est moi tu sais ce qui va t'arriver... je suis la seule à avoir envie, sinon les autres, elles te l'auraient dit...

 

Et histoire d'ajouter encore à la confusion elle retire son soutien-gorge, elle a de jolis seins un peu lourds dotés de larges aréoles brunes...

 

- Alors c'est moi ? Demande-t-elle.

- Oui ! M'entendis-je murmurer.

- Tu ne crois pas que tu as un peu trichée ? Lui lance Denise !

- Non j'ai joué, j'aurais pu perdre ! Bon je crois que j'aimerais assez que, puisque vous avez perdu, vous veniez me lécher le cul à votre tour en signe de reconnaissance de ma victoire !

 

Les trois femmes viennent à tour de rôle lécher le cul de Belinda. Puis on m'ordonne de me remettre à genoux. La femme se positionne comme tout à l'heure.

 

- Je n'ai jamais fait ça ! Crois-je utile de préciser...

 

Du coup elle se retourne, me crache au visage et m'envoie deux gifles !

 

- Dis donc, un esclave ça ne raconte pas sa vie, ça subit ! Tu savais ce que tu faisais en me désignant, oui ou non ? Alors pour l'instant tu lèches et moi je pousse... Surveillez-le bien les filles !

 

Je m'applique, mais manifestement, ça ne vient pas ! Elle se dégage, je crois alors m'être tiré du guêpier dans lequel je me suis moi-même fourré, mais ce n'est même pas évident.

 

- Bon on va attendre 5 minutes, en attendant on va boire un coup... Tu vas aller te mettre là-bas à la place de l'esclave et lui, il va venir ici... Pas debout, à quatre pattes comme un chien

 

Je croise donc le biquet et vais occuper son coin. On ne fait plus attention à moi, les quatre nanas, ont entrepris de maquiller le biquet, de lui mettre une perruque. Puis Marie-Claire se met à le masturber. Dès que sa bite a atteint une bonne érection, elle me fait signe de revenir...

 

- Allez, viens te faire enculer !

 

L'idée ne me déplait bien, mais je ne sais pas trop comment me disposer !

 

- Suce-lui la bite pour commencer, salope !

 

Je ne me fais pas prier. Sa bite est belle, bien droite, le gland est tout rose, je gobe l'objet avec avidité, je me régale, donne de savants coups de langue et de puissants mouvements de lèvres, je n'ai pas eu si souvent l'occasion de faire ça... mais me voilà excité comme un fou...

 

- Tu le lèches derrière maintenant !

 

Ça, ça me plait beaucoup moins, je n'ai jamais sucé le cul d'un mec, mais je m'aperçois que l'ordre ne s'adressait pas à moi, c'est le chippendale qui me lèche le fion afin de le lubrifier bien comme il faut.

 

- Vas-y encule la, cette salope !

 

Je pensais qu'il aurait du mal à entrer, mais non, ça passe à l'aise, et le voilà qui me ramone. C'est super bon, je me pâme...

 

- Alors, t'aimes ça te faire enculer, ma salope ? Me demande Marie-Claire.

- Oui, c'est bon !

- C'est comme ça qu'on répond à une maîtresse !

- Oui, j'aime bien me faire enculer, Maîtresse !

- Ah ! Voilà qui est mieux !

 

Belinda ordonne alors à mon sodomite de se retirer. C'était bon, même si j'ai un peu mal au cul... Elle s'approche de nous.

 

- Hum, il n'était pas très propre ton cul, tu as vu dans quel état tu lui as mis la bite !

 

Bon ! C'est vrai que la capote est un peu polluée, mais il n'y a rien de catastrophique non plus…

 

- Lèche ! Nettoie !

- Non, ça ne me dit rien !

 

Une lanière de cuir me cingle les fesses. L'ordre est répété :

 

- Lèche ! Nettoie !

- Non, je ne veux pas faire ça !

 

On me cingle de nouveau, la décision de quitter précipitamment ce lieu de débauches est quasiment prise.

 

- Dis-moi, tu es une petite salope, oui ou non ? Me demande Belinda en prenant un petit air canaille.

 

Ouf on parle d'autre chose, je crois donc avoir échappée au léchage… je réponds donc :

 

- Oui, oui, je suis une petite salope !

- Je ne suis pas sûre, les vraies petites salopes, ça n'hésitent pas à nettoyer les bites qui sortent de leur culs, toi pour l'instant tu te dégonfles, c'est pas bien… mais je sais que tu vas te ressaisir, allez lèche, nettoie et plus vite que ça, petite salope !

 

Cette nana m'envoute. Je réfléchis très vite, après tout j'ai bien sucé mes doigts cet après-midi, cette fois, c'est juste un peu plus gros. J'essaie, toujours la même impression, un goût assez neutre, un arrière-goût plutôt âcre, mais rien de franchement repoussant, je vais donc lui nettoyer comme il faut sa bite (ou plutôt sa capote) à l'autre chippendale ! Lequel est invité après cette petite fantaisie à retourner dans son coin.

 

- Tu t'es bien fait enculer, tu as droit à une récompense... me précise Belinda.

 

Je flaire le piège.

 

- Pour avoir ta récompense, il faut la demander ! Insiste-t-elle

- Maîtresse, est-ce que je peux avoir ma récompense ?

- Met toi déjà à quatre pattes et ensuite je veux que tu me nommes la récompense je vais te donner...

 

C'est bien ce que je pensais ! Je ne dis rien, je bloque ! Mais voilà que Tania est passé derrière moi et m'administre plusieurs coups de martinet à la volée... et elle n'est pas spécialement douce.

 

- J'arrêterais quand tu auras répondu à Belinda.

 

A ce stade, je peux très bien décider de me barrer de ce repaire de folles... mais Belinda s'accroupit devant moi, approche son visage à quelques centimètres du mien, fait quelques mouvements de langues et minaude :

 

- Et puis, ça me ferait tellement plaisir...

 

La salope, elle est en train de me manipuler, je résiste, je ne réponds pas, et l'autre derrière qui continue à me fouetter. C'est décidé, je me barre... Et puis le miracle : Belinda reprend ses mouvements de langues et cette fois atteint mes lèvres. Je craque, on s'embrasse l'espace de quelques secondes...

 

- Alors ?

- Chie-moi dessus, maîtresse !

 

Déjà je le regrette, mais on me fait allonger sur le sol, et comme tout à l'heure j'ai les fesses de cette superbe femme au-dessus de mon visage.

 

- Un petit pipi pour commencer ! Ouvre bien la bouche !

 

Jusque-là ça va, elle me pisse quelques gouttes que j'avale sans problème, la suite ça va être autre chose... si seulement elle pouvait bloquer comme la première fois... Mais elle ne bloque pas... je vois un étron qui commence à sortir de son anus, elle pousse encore... Elle a le tact de s'avancer un tout petit peu, pour que je ne reçoive pas tout ça sur le visage, effectivement l'étron se tortille, se détache et me tombe en bas du cou, drôle d'impression....

 

- Joli ! commente Denise.

- Attends j'ai pas fini ! Répond Belinda.

 

Un second et un troisième étron viennent rejoindre le premier. Je bande comme un cerf, et c'est tout à fait inattendu !

 

- Malou, le plateau ! Demande Marie Claire.

 

La petite soubrette s'approche de moi, ramasse à pleines mains les étrons échoués sur mon torse, et les dispose sur un plateau en argent.

 

- Je vois que ça t'excite ! Reprend Belinda, je ne pensais pas que ça te ferais bander comme ça, mais du coup, on va continuer le jeu, tu vas me servir de papier à cul ...

 

Bizarre, je la sentais venir, celle-là ! Sans réfléchir je précipite ma langue sur ses fesses et entreprend de nettoyer tout ça ! Ce n'est pas spécialement mauvais, un peu âcre peut-être, mais on s'y fait...

 

- Et ben dis donc, il t'a drôlement bien nettoyé, je me le réserve pour tout à l'heure ! Indique Tanya.

 

Oui, mais bon, j'en ai marre de faire le jouet, j'ai trop envie de jouir, je me branle, j'éjacule.

 

- Pourquoi tu t'es branlé ?

- Pourquoi tu as joui ?

- Salaud d'esclave !

- Vas-t-en ! Vas-t-en !

 

Elles sont de plus en plus menaçantes, qu'est-ce qu'elles vont me faire ?

 

Je me réveille en sueur, quel drôle de rêve, j'ai mouillé mon slip… il faut que je me lave et que je me change, mais je regarde ma montre, j'ai le temps, je n'ai pas beaucoup dormi.

 

J'hésite quand même à aller à ce curieux rendez-vous, le fait d'avoir joui m'a un peu démotivé, mais bon, ma curiosité l'emporte.

 

L'adresse qu'elle m'a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J'ai dix minutes d'avances, je tourne un peu dans le quartier. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d'y aller…

 

A 21 h 30 très précise, je sonne à l'interphone !

 

- Oui ! Me répond une voix d'homme

- Je viens de la part de Marie-Claire.

- Montez, 4ème droite.

 

Je monte, la porte s'ouvre. Une montagne de chair apparaît.

 

- Entrez !

 

J'obtempère, cherche Marie-Claire du regard. Le colosse m'indique qu'elle n'est pas encore arrivée, mais qu'elle ne devrait pas tarder.

 

- Une bière ?

- Non merci !

 

Le mec doit faire 1 m 95 il est bâti tout en largeur, un cou de taureau, son marcel laisse apparaître des biscotos impressionnants, un vrai pilier de rugby ! Il est coiffé en brosse, et est affublé de petites moustaches assez ridicules, à tous les coups, ce mec doit travailler dans l'armée ou la police. Je n'ai pas, mais vraiment pas envie de me faire dominer et sodomiser par ce monstre.

 

- Ah, zut, j'ai oublié le cadeau pour Marie-Claire dans la voiture, je reviens de suite ! Annonçais-je comme prétexte à ma fuite.

 

Arrivé en bas, je me faufile dans les rues, pas envie de rencontrer Marie-Claire à la station de métro.

 

C'est quelques minutes plus tard que je me rendis compte que j'avais oublié de rapporter sa culotte… comme dans mon rêve.

 

FIN

12/2015 © Enzo Cagliari

 

 

 

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 15 décembre 2015 2 15 /12 /Déc /2015 12:30

Pissotières chinoises par Jean-Sébastien Tiroir

Les gens ne sont jamais contents. Regardez cette image, elle est jolie, non ?
Chine toilet

Il s’agit d’une décoration originale dans les urinoirs des hommes d’un restaurant de Taiyuan (une ville de 4 millions d’habitants dans le Shanxi, en Chine. La décoration est composée de mannequins de vitrine portant de la lingerie ou des déshabillés…
Le problème, c’est que ces «dames» provoquent un effet indésirable sur les clients masculins. Ils trouvent cette déco trop sexy et disent: «on ne parvient pas à uriner»!

Un client de 24 ans, Sun Kao, a été surpris. « Quand j’ai vu ces femmes, j’ai fait demi-tour, je pensais que je m’étais trompé d’endroit. Mais quand j’ai réalisé que j’étais bel et bien dans les toilettes pour hommes, j’ai essayé de me soulager mais ça n’a pas marché. C’est perturbant d’avoir une belle femme, même en plastique, qui vous regarde quand vous essayez de faire vos besoins» »

Il n’avait qu’ a fermer les yeux, cette andouille !

Lisons maintenant le témoignage de Chiang Nu, 31 ans :

Comment voulez-vous pisser dans des conditions pareilles, en fait je bandais j’ai jeté un coup d’œil sur mon voisin de droite il se masturbait, sa bite était très jolie et je ne pouvais en détacher mon regard, il a fini par voir que je le regardais, il a pivoté légèrement dans ma direction m’invitant à m’occuper de sa bite, je l’ai prise dans mes mains, je l’ai caresser, elle était très douce, puis je me suis baissé pour la prendre ne bouche. C’était vraiment un régal de sucer cette bonne bite, un petit attroupement s’est alors formé autour de nous, les types se branlaient en nous regardant. Le gars que je suçais a fini par éjaculer dans ma bouche,. L’un des types qui nous observait a baissé son pantalon et a offert ses fesses à son voisin afin qu’il l’encule. Quels cochons ! Je voulais me relever mais une nouvelle bite m’a sollicité, je l’ai donc sucé avec plaisir. Puis je me suis relevé et j’ai pu enfin pisser. L’ambiance s’est un peu calmé, dommage, excité comme j’étais je me serais bien fait enculer moi aussi. En sortant un type m’interpelle :

– Il parait que c’est l’orgie là-dedans !
– Oh la la ne men parlez pas mon bon monsieur !

(mai 2015)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 24 juillet 2015 5 24 /07 /Juil /2015 16:54

Devinette par Chanette

Gs2

Goût tiède de bouillon de légumes
Odeur subtile de foin que je hume !
Que me fais-tu boire, femme impie ?
Quelques gouttes de mon pipi

Martinov19q2 !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • dick14
  • 07zz
  • Martinov
  • stamp slave
  • Estonius dep
  • Martinov16e1

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés