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Chanette 16 – La partouze de monsieur le ministre 3 – Carrières brisées par Chanette
3 – Carrières brisées
Après cette séance de sexe complètement incongrue, vu les événements. Max prit doctement la parole :
– Bon on a deux problèmes sur le dos, d’abord Lucien. Si on le relâche il va parler à son patron, il faut donc le mettre hors circuit au moins jusqu’à la fin de l’affaire. Je vais m’en occuper. L’autre problème c’est que non seulement il y a un ministre d’impliqué, mais que ça ressemble à une affaire d’état. Je suppose que Tirondel a lui aussi des sbires pour le protéger et qu’entre ceux-ci et les mecs qui travaillent pour Bouchard, ça va être la guerre, et vous les nanas, vous êtes au centre… A ce stade je suis obligé d’en référer à mon patron.
Et le voilà parti à côté, je balise un peu, si Max est obligé de lâcher l’affaire sous prétexte qu’il y a un ministre et que ça va trop loin, je vais être mal ! Quoi que j’ai une petite idée, mais il faut que ça germe !
– Il m’a dit de continuer, mais il veut un rapport tous les jours
Je lui dis mon idée, il ne la trouve pas mauvaise. On va essayer.
– Si le mec est correct ça se passera bien. Que je sois bien clair, il est ministre, ce n’est donc pas un saint, mais ce n’est pas forcément un salaud fini pour autant… Bon, Valentin tu sais piloter une moto ?
– Oui !
– Tu prends la moto de Lucien, tu la gares où tu veux mais assez loin d’ici, tu oublies de mettre l’antivol et tu reviens en métro. Sinon, le Lucien j’attends qu’il se réveille, il sera dans un état second, je vais le prendre en charge.
– Vous allez lui faire quoi ? demande Carole
– Je connais des gens sans histoire, ils ont une cave capitonnée avec une fermeture canon et pas de fenêtre, on peut y enfermer des gens. Le principe est le suivant, on leur donne bien à manger, bien à boire, mais on ne les soigne pas s’ils sont malades et comme on ne leur laisse pas beaucoup de vêtements ils attrapent vite froid. En principe ils meurent de congestion pulmonaire. On abandonne le cadavre ailleurs, quand le corps est retrouvé, l’autopsie conclue par une mort « naturelle ».
– Arrêtez, vous me faites froid dans le dos !
On a attendu que Lucien se réveille, j’ai alors sorti mon téléphone portable :
– Bon Lucien, vous allez résumer vos aveux en quelques phrases, on va enregistrer tout ça sur le dictaphone de mon téléphone.
– Enregistrer ? Enregistrer quoi ? Je suis où ?
On le laisse reprendre ses esprits :
– On attend !
– « Bon, ben je travaille pour Bouchard, il voulait des nanas manipulables… » et ainsi de suite.
On n’a pas attendu que Max revienne, Valentin lui, est revenu assez vite et on a été se manger une bonne pizza au quartier latin. On s’est marré comme des bossus (sans doute encore un effet de la chute de stress) Carole et Valentin n’ont pas arrêté de faire les zouaves à ce point que je les ai pris en photos.
Mardi
Bouchard n’arrive pas à joindre Lucien, il trouve cela fort étrange mais ne s’y attarde pas, il a beaucoup de travail.
Je rappelais donc Tirondel, lui dit que suite à un désistement je pouvais le recevoir aux heures qu’il me proposait…
– OK, suite à votre fin de non-recevoir, j’avais pris un autre engagement mais je peux me dégager, je vais vous donner une adresse où vous pourrez me rejoindre…
– Non, je vous épargne les détails, mais je vais être obligé de rester à mon studio jeudi…
– Ah ! Il n’y a pas d’arrangement possible ?
– J’exerce dans un immeuble bourgeois, paisible et discret, il est occupé par des médecins, des conseillers juridiques, des musiciens qui donnent des cours…
– D’accord, donnez-moi l’adresse !
L’impression de prendre un risque énorme, je donne un double de mes clés à Max. Il n’y a plus qu’à attendre…
Jeudi 17 heures.
Bouchard n’arrive pas toujours pas à joindre Lucien, il fonde des hypothèses, accident de moto, problèmes familiaux ou plus grave : démêlés avec la police… Il trouve cela fort étrange mais ne s’y attarde pas, il a toujours beaucoup de travail.
Monsieur le ministre est fort ponctuel, après les civilités d’usage, il me tend une feuille sur laquelle il a noté un petit scénario accompagné de quelques indications sur le genre de misères que je peux lui faire subir. Pas trop compliqué, rigolo, même. Je l’enferme dans la salle d’attente et lui demande de se déshabiller.
Max ouvre la porte :
– C’est bien le ministre ! me confirme-t-il
(L’hypothèse d’un usurpateur avait été envisagée)
– Il est arrivé dans une voiture avec chauffeur et garde du corps, la voiture ne s’est pas garée et ses occupants n’ont pas vu où il allait. Donc tout va bien, je fais quoi ?
– Rien pour l’instant restez caché dans la cuisine on fera le point après.
J’avais d’abord envisagé de ne lui parler de l’affaire qu’en fin de séance, mais et après avoir recueilli l’avis de Max, il me semblait plus correct de le faire avant, de plus, cela évacuait les éventuels problèmes de timing.
Je le libère, il est rigolo à poil avec une enveloppe dans sa main : il me la tend je la prends, et sans l’ouvrir la pose sur la table.
– Asseyez-vous, avant de commencer, j’aimerais vous dire deux ou trois choses.
– Je vous suggère de me dire plutôt ces deux, trois mots tout à l’heure, quand nous en aurons terminé.
– Ce que j’ai à vous dire est grave et important.
Intermède
Tirondel soupira, que pouvait donc, cette nana, avoir de si important à lui dire ? Comme s’il n’avait pas eu sa dose ce matin ? Convoqué par le conseiller du président de la république, il s’était reçu un épouvantable savon : « Vous êtes un bon à rien, Tirondel, non seulement votre ministère ne fonctionne pas, mais vous êtes complètement transparent, vous n’êtes même pas capable, heureusement, de provoquer un scandale digne de ce nom ». Puis : »Vous êtes libre de faire ce que vous voulez de votre cul, mais quand on a l’imbécillité de faire en sorte que la presse soit au courant, ça ne va plus du tout, le président est particulièrement remonté contre-vous ! Il est évident que vous ne ferez pas partie de la prochaine équipe ministérielle ! Vous pouvez disposer, Monsieur Tirondel ! »
Son détracteur avait donc gagné, mais pour qui ce Valentin Machicour travaillait-il ?
Il téléphona à Bouchard !
– Je viens aux nouvelles, quoi de neuf ?
– Machicour n’est toujours pas rentré, il serait au Canada chez son frère, on attend confirmation et si ça se confirme j’envoie Lucien sur place ! Improvisa l’avocat !
– Ouais, mais il a gagné ce con, je suis viré du gouvernement !
– C’est dégueulasse, commenta Bouchard, cachant difficilement son énorme satisfaction.
– C’est la vie ! Mais j’aimerais bien savoir qui est derrière tout ça ?
– Tu le sauras bientôt, tu peux me faire confiance !
– Je sais !
– Tu vas faire quoi ?
– Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
Il avait espéré un moment que son ami l’invite au restaurant, mais il ne le fit pas, restait ce rendez-vous avec Chanette, ça lui changerait les idées !
Fin de le l’intermède.
– Ecoutez, il ne peut plus rien m’arriver aujourd’hui de grave ou d’important, alors, je vous en prie exécutez la prestation pour laquelle je vous ai – très bien payé – et oublions le reste.
Il devient pénible le ministre, mais on ne me l’a fait pas comme ça, je prends l’enveloppe sur la table, la lui tend :
– Tenez, reprenez votre fric, rhabillez-vous et disparaissez !
– Mais…
– C’est comme ça !
– Vous êtes vraiment différente de l’excellente jeune femme que j’avais rencontré, vous savez où. Mais comme le dit le proverbe, souvent « femme varie ».
– Je ne varie pas, ce que vous ne comprenez pas, c’est que si je suis une pute, je suis d’abord une femme, et que j’en ai marre qu’on me manipule, qu’on m’oblige à coucher avec des affreux, qu’on m’humilie en public, qu’on s’amuse à rechercher l’adresse de mes copines et que pour conclure on vienne me casser la gueule.
– Mais de quoi parlez-vous ?
– Vous savez au moins l’identité de la personne qui complote contre vous ?
– Absolument, et si c’était ça vos révélations fracassantes, j’ai donc bien fait de ne pas m’y attarder.
– Vous savez donc que c’est Bouchard ?
– Bouchard, vous connaissez Maître Bouchard ? Que vient-il faire dans cette histoire ! Bouchard est un ami, mon meilleur ami, d’ailleurs c’est mon avocat et c’est lui qui s’occupe de l’affaire à laquelle vous faites allusion.
De mieux en mieux !
– Je peux vous demander qui c’est, selon vous, qui cherche à vous nuire !
– Comme si ce n’était pas évident, c’est l’espèce de cinglé qui était habillé en marin d’eau douce !
– Valentin Machicour !
– Je vois que vous connaissez son nom, j’ignore pour qui il roule, mais on ne tardera pas à le savoir, il s’est mis au vert au Canada, mais il faudra bien qu’il revienne en France…
– Mais qui vous a dit qu’il était au Canada ?
– Permettez-moi de ne pas vous répondre.
– Parce que voyez-vous, hier soir, je dinais avec quelques amis, et il y avait justement Machicour !
– Quand allez-vous arrêter de mentir ?
Il m’énerve ce con, je sors mon appareil photo et lui met sous le nez la photo horodatée de notre petite bouffe d’hier soir.
– Bizarre ! Concède-t-il.
– Et n’allez pas me dire que la photo est truquée !
– Je n’ai pas dit ça ? Murmure-t-il dubitatif.
– Et prenez donc la peine d’écouter ça, c’est très instructif !
Je branche le dictaphone ! Tirondel écoute, il devient blanc !
– C’est censé être la voix de qui ? Demande-t-il voulant se raccrocher à n’importe quoi ? :
– De Lucien Renard !
– On ne reconnait pas bien sa voix !
– C’est pourtant lui !
– Comment avez-vous enregistré cette déclaration ?
– Moi aussi j’ai mes petits secrets !
– Lucien agit pour le compte de quelqu’un, mais ce n’est pas Bouchard.
– Il vous a dit quoi Bouchard quand vous lui avez parlé de l’affaire.
– Qu’il mettait Lucien sur le coup, et il m’a rappelé un peu plus tard pour me dire que Valentin était en fuite.
– Valentin n’a jamais été en fuite.
– Donc soit Lucien ment, soit Bouchard ment, il se trouve que j’ai confiance en Bouchard.
– Bouchard aurait-il une raison de vous chercher querelle !
– Je ne vois pas… à moins que…
Et cette fois, il comprend tout ! Bouchard n’a pas digéré qu’il lui refuse le service qu’il lui demandait, il aurait fait semblant de tourner la page, pour mieux se venger ensuite. Mais comment être sûr ?
– Où est Lucien ?
– Neutralisé pour quelques jours.
– Racontez-moi.
– Non !
– Il est neutralisé depuis quand ?
– Depuis Lundi après-midi.
– Permettez-moi de donner un coup de fil
Il téléphone à Lucien, m’indique qu’effectivement ça tombe tout de suite en répondeur. Alors il téléphone à Bouchard.
– Dis-moi, j’ai une idée, je vais carrément démissionner de mon poste !
– Ne fais pas ça, tes ennemis seraient trop contents ! S’amuse à répondre l’avocat.
– Si, ma décision est prise, je vais partir aux Caraïbes, la seule chose qui m’embête c’est ce Valentin Machicour, je ne voudrais pas le louper quand il va rentrer.
– Ça je ne sais pas ! J’attends déjà la confirmation qu’il soit au Canada. Lucien est sur une piste.
– Elle est récente la piste ?
– Lucien m’en a parlé ce matin !
– D’accord, je te rappellerais peut-être, en ce moment j’ai besoin de parler, j’ai besoin de mes amis, et je n’en ai pas tant que ça.
– Ne te gêne pas !
Tirondel est effondré !
– Ou bien c’est vrai, ou bien vous êtes une terrible manipulatrice ?
– Je suis tellement manipulatrice que j’avais deviné que vous aviez un contentieux avec Bouchard, je suis tellement manipulatrice que je savais d’avance que vous accuseriez Machicour et que c’est pour ça que j’ai pris une photo…
– Je ne sais plus
– Je suis tellement manipulatrice que je me suis fait quasiment violer par un connard pendant votre partouze, et après je suis tellement manipulatrice qu’un type est venu m’amocher le portrait et m’empêcher de travailler pendant huit jours.
– D’accord je vous crois ! Mais c’est dur, vous savez !
– Je n’en doute pas un instant !
Il se lève, il n’est pas bien.
– Je vais me rhabiller, gardez l’argent ! Je pense que vous comprendrez que j’ai plus du tout l’humeur à faire des fantaisies sexuelles.
– Certes, mais s’il vous plait reprenez cette enveloppe.
– Non, non gardez, après tout vous m’avez rendu service, vous m’avez ouvert les yeux, sans votre intervention, je n’aurais jamais su que Bouchard m’avait trahi ! Ah, le salaud, ah le connard ! Je me demande ce qu’il aurait inventé ensuite…
– Pour être très franche je m’en fous un peu, je n’ai pas provoqué cette discussion pour vous rendre service, mais pour assurer ma tranquillité, je voulais que cette histoire s’arrête et avoir votre version.
– Je m’en doute bien, j’aimerais voyez-vous que nous puissions continuer cette conversation autour d’une table, si vous êtes libre ce soir je vous emmène au restaurant ! Vous connaissez un petit truc discret dans le coin ?
– On peut faire mieux que ça, je peux appeler un bon traiteur et on se fait une petite bouffe ici, proposais-je.
– Ma foi, pourquoi pas ?
– Si vous le désirez, je peux aussi faire venir Monsieur Machicour, si vous avez des questions à lui poser…
– C’est vrai que j’aimerais avoir plus de détail sur tout ça, mais d’un autre côté j’aurais souhaité une certaine intimité.
– L’intimité, nous pourrons toujours la créer un de ces prochains jours.
– Alors d’accord invitons Machicour ! Je vais prévenir mon chauffeur que je ne rentre pas comme prévu…
J’ai « libéré » discrètement Max pendant que le futur « ex-ministre » téléphonait. Valentin me demanda s’il pouvait venir avec Carole, Tirondel ne s’y opposa pas. Le repas fut bien arrosé, mais le ministre savait se tenir. En fait ce dernier voulait avoir une vue aussi globale que possible de la machination, sans doute pour lever les derniers doutes qu’il pouvait encore avoir. Chacun apprit aux autres ce qu’ils ignoraient et le puzzle finit par s’assembler parfaitement.
– Voulez-vous un petit café ? Proposais-je.
– Non, merci, je crains que ça m’empêche de dormir, répondit le ministre.
– Parce que vous croyez que vous allez bien dormir après une journée pareille ?
– Ça risque d’être dur, en effet.
– A défaut de café, vous voudriez peut-être autre chose ? Minaudais-je.
– Hum, je vous vois venir, belle coquine !
– On débarrasse la table et on y va ?
– Je crois que je vais me laisser faire… Mais ces messieurs-dames ?
– C’est comme vous voulez, ils peuvent nous quitter, ils peuvent regarder, ils peuvent participer…
– Qu’ils regardent s’ils en sont d’accord, quant à la participation, peut-être un peu, s’ils en sont d’accord aussi !
Carole est d’accord… et puisque Carole est d’accord, Valentin l’est également.
Je m’amuse à regarder Tirondel nous aider à débarrasser la table, je me demande depuis combien de temps il n’a pas fait ça…
– Ah, Thibault, je peux vous appeler Thibault ? Vous ne nous avez pas dit comment vous aller nous assurer que Bouchard va cesser ses pitreries.
– Je m’en occupe dès demain matin et je vous préviens. C’est une promesse.
– Alors mets-toi à poil !
– Oui, maîtresse !
Je lui passe un collier de chien muni d’une laisse autour du cou.
– A genoux ! Fais le beau chien !
J’avais préparé une balle en roulant ensemble des bas hors d’usage. Je la lance :
– Allez, va chercher la baballe, le chienchien. Non tu ne te lèves pas !
(J’essaie de broder sur son scénario, mais j’ai conscience d’être un peu lourde et un peu fatiguée)
– Donne-moi ton cul, je vais te dresser, mauvais chien, ce sont les humains qui se mettent debout pas les chiens.
Je lui administre une dizaine de coups de cravache qu’il encaisse sans trop broncher.
– Allez viens je te montre comment il faut faire !
Je le fais marcher à quatre pattes et le conduit à l’endroit où est la balle.
– Voilà ! Renifle la balle !
Il la renifle, puis d’un coup de paume l’envoi valdinguer je ne sais où (ça faisait partie du scénario)
– Oh, le vilain chien qui ne comprend rien du tout à ce que lui explique sa maîtresse, je vais encore être obligé de te punir, mais bon, c’est pour ton bien.
Et hop dix nouveaux coups de cravache, il encaisse bien monsieur le ministre, alors je n’hésite pas à taper plus fort.
– Bon on recommence ! Viens ! Cherche la balle !
Elle est planquée pour de bon, mais on la retrouve. Le scénario se reproduit, Thibault envoie rouler la balle au lieu de la ramasser, et je le flagelle de nouveau. On joue à ce petit jeu cinq ou six fois.
Il finit par ramasser la balle et me la donner. Ouf ! Ça commençait à me gonfler un peu son truc. Je prends la balle, je la relance, il la ramène, je vais chercher un sucre dans la cuisine, je lui donne le susucre, il prend le susucre… un vrai chien, dommage qu’il ne remue pas la queue ça serait rigolo !
Et maintenant, on va faire plus hard, je l’emmène toujours en laisse et quatre pattes dans la salle de bain, je m’installe sur la cuvette mais sans m’assoir de façon à ce que mon soumis ne rate rien du spectacle. Je commence à pisser.
– Ça t’excite, hein, mon chien de voir ta maîtresse pisser !
– Whaf, whaf ! répond le ministre.
Il ne faut pas que je rigole, c’est supposé être sérieux, une domination !
Je prends la balle et la place sous mon jet, elle est vite trempée, je l’essore, je n’ai pas non plus envie d’en mettre partout. Je n’urine pas à fond, quelques gouttes en réserve pourront servir tout à l’heure, et j’omets volontairement de m’essuyer. Je ramène mon esclave dans le salon et je lance la balle. Il prend dans sa bouche la balle pleine de pisse et me la rapporte.
On fait ça plusieurs fois, puis le jeu devient encore plus hard !
– Viens mon chien ! Tu sais que ta maitresse est très vicieuse !
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
– Alors tu vas nettoyer sa chatte, à sa maîtresse.
Ah, ça, il ne se le fait pas dire deux fois, le ministre, et vas-y que je te lèche, que je te pourlèche et que je te lèche encore, il n’en reste pas une goutte. Il se recule.
– Je ne t’ai pas dit de partir ! Carole vient donc lui donner quelques coups de cravache pour lui apprendre à obéir !
Et tandis que Carole torture les fesses du ministre, je demande à ce dernier de bien coller sa bouche contre ma chatte, puis libère l’urine que j’avais en réserve. L’esclave s’efforce de tout avaler.
– Tu aimes ça la pisse, hein, chien ?
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
– Et maintenant tu vas me lécher le cul ! Et attention, je veux bien sentir ta langue !
Ça pour sentir sa langue, je sens sa langue, il n’arrête pas de faire bouger autour et devant mon anus, je pousse un peu pour qu’il puisse entrer un petit peu, puis j’arrête.
– Allez, fais le beau !
A ce stade, son scénario indiquait qu’il souhaitait que je le sodomise avec un gode ceinture… mais j’ai mieux que ça sous la main. Reste à savoir s’il va accepter ?
– Tu sais ce qu’ils font les chiens dans la rue quand ils rencontrent à un autre chien ?
– Whaf, whaf ! (interrogatif)
– Non tu sais pas, et bien ils se reniflent le cul, et après ils s’enculent. Tu aimerais que je te fasse rencontrer un autre chien !
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
Je demande alors à Valentin de se déshabiller et de venir nous rejoindre.
– Je suis un peu fatigué !
– Tu arrêtes de discutailler, tout le temps, fais ce que te demande de faire Chanette et tais-toi ! Intervient Carole.
– Je n’ai pas le droit de donner mon avis ?
– Si, si, bien sûr, mais on a aussi le droit de ne pas en tenir compte ! Reprend-elle
– Je suis obligé alors ?
– On n’est jamais obligé ! Rétorquais-je. Mais comme tu es un petit coquin, et que tu es un peu pédé sur les bords, tu vas m’obéir.
– Bon, bon !
– Et maintenant tu n’es plus qu’un chien, je ne veux plus t’entendre parler, par contre tu as le droit d’aboyer. Allez à poil !
Qu’est-ce qu’on peut perdre comme temps en palabre, parfois !
Valentin se déshabille, et entre dans le jeu… à quatre pattes.
– Allez ! Reniflez-vous le cul et la bite.
C’est assez comique de les voir tourner l’un autour de l’autre, ils se reniflent effectivement le cul mais sans grande conviction, pour ce qui concerne les bites, c’est déjà mieux. Maintenant qui va sucer l’autre, qui va enculer l’autre ! Dans une domination plus classique j’aurais commencé par les faire mettre en soixante-neuf, mais là, ce serait sortir du scénario !
Je décide d’être un peu plus directive, et m’aidant de la laisse, je guide le visage du ministre vers le cul de Valentin.
– Lèche-lui le cul !
Il hésite
– Carole, cinq coups de cravache !
Le ministre encaisse, puis s’en va spontanément lécher le trou du cul de Valentin.
– Sa bite maintenant !
Pour ça il n’hésite pas, et il se met à gober la bite de Valentin avec la même énergie qu’un bébé qui téterait le sein de sa mère. Les deux mecs bandent que c’en est un plaisir à voir. Carole a du mal à tenir en place et sans que personne ne lui demande quoi que ce soit à entrepris de se déshabiller. Je ne dis rien, je ne vois pas pour le moment quel rôle lui attribuer à part celui de me suppléer dans la distribution des coups de cravaches.
– Tu es un bon chien, tu lui as bien sucé la bite ! Tu aimes ça sucer les bites, hein ?
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
– Et dans ton cul, tu les aimes les bites ?
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
Je tends une capote à Valentin qui se l’enfile, tandis que le ministre se met en position. Un petit peu de gel pour que ça entre mieux et c’est partie pour une nouvelle enculade. Le ministre se pâme d’aise sous les coups de boutoir de la bite de Valentin… Mais voilà qu’il se met à lorgner sur Carole dont il découvre la nudité (il avait pourtant déjà pu la contempler pendant la fameuse partouze à ce que je sache.)
Il souhaitait qu’à la fin, je le branle pour qu’il jouisse, mais rien n’interdit de modifier tout ça. J’attends que Valentin en finisse, mais Valentin fatigue visiblement, je lui demande donc de se retirer du cul ministériel.
– Couché tous les deux !
Je demande à Carole si elle est d’accord pour « faire la chienne ». Aucun problème, cette fille a une disponibilité absolument remarquable ! La voilà donc qui se met à quatre pattes, croupe bien relevé et qui va à la rencontre des deux autres « chiens »
J’écarte le ministre de son passage !
– Oh, regarde cette chienne ! Tu aimerais bien la sauter ?
– Whaf, whaf ! (affirmatif)
– Et bien, tu vas pouvoir le faire, ne bouge pas que je te passe une capote, voilà, allez va baiser la chienne, va !
Il approche son visage du cul de Carole et commence par lui humecter le cul ! Mais ce n’est pas ce que je lui ai demandé de faire ! Il exagère ! Je reprends la cravache !
– Dis donc toi, je t’ai dit de la sauter, pas de lui lécher le cul !
A regret il rectifie la position, il approche sa bite de la chatte de Carole, puis pris comme d’une impulsion subite (mais en fait complétement prémédité, faut pas me la faire non plus !) il sodomise ma copine, qui non seulement ne proteste pas, mais accueille cette queue avec grand enthousiasme.
Quelques minutes plus tard, Carole hurlait son plaisir et le ministre épuisé s’affalait sur le sol.
Je jette un coup d’œil sur Valentin, il est hilare et se masturbe !
– Ça t’excite de voir ta copine se faire sauter !
– Oui, oui, mais si quelqu’un pouvait m’aider à me finir.
Carole n’a manifestement pas entendu, et j’allais proposer mes services, mais le ministre intervint :
– Cher monsieur, si je peux vous rendre ce service !
Et la partie se termina donc sur cette image insolite du ministre branlant Valentin tout en lui roulant une pelle magistrale. Ne voulant pas être en reste Carole se jeta alors dans mes bras !
Vendredi matin
Maître Bouchard est de mauvaise humeur, l’inexplicable silence de Lucien devient pesant. Il est en entretien avec un client à propos d’une affaire très embrouillée. Le téléphone sonne, c’est Tirondel. A tous les coups il vient pleurer dans son giron, c’est d’un pénible mais il a décidé de le faire poireauter encore quelques jours. A ce terme, il aura encore une suggestion à lui faire, celle de revenir sur son refus de lui rendre le service qu’il lui avait demandé. Une fois ce « détail » réglé, il pourrait l’envoyer promener et prendra ses distances. Il s’abstient néanmoins de décrocher espérant que l’autre ne renouvellera pas son appel.
Mais Tirondel rappelle ! Il décroche ;
– Je n’ai pas dormi de la nuit ! Commence Tirondel
– Je comprends !
– J’ai une bonne nouvelle à t’annoncer !
– Je t’écoute répondit Bouchard, craignant un moment que le président soit revenu sur sa décision de l’exclure du nouveau gouvernement.
– Le service que j’ai refusé de te rendre… et bien je n’ai plus aucune raison de ne pas le faire maintenant. Ils ne vont pas me virer une seconde fois !
Du coup l’humeur de Bouchard changea instantanément, il n’aurait même pas besoin de lui suggérer, Tirondel le proposait de son propre chef ! Mais quelle andouille ce type ! Et comme il l’avait bien manipulé !
– Je t’en remercie du fond du cœur !
– Tu as eu la confirmation pour la présence de Machicour au Canada.
– Oui, Lucien doit prendre l’avion vers 11 heures.
– Machicour n’est pas au Canada, je l’ai rencontré hier, il n’est pour pas grand-chose dans cette affaire, ou disons que ce n’est qu’un simple pion…
– Pardon ? Attend une minute, je suis avec un client
Il s’excusa auprès de ce dernier, et prétextant une affaire confidentielle s’isola dans un bureau voisin.
– Tu m’as dit quoi ?
– Machicour n’est qu’un pion !
– Mais on le sait bien, c’est pour cela qu’il faut que Lucien lui fasse faire dire quel est son commanditaire.
– C’est Lucien lui-même le commanditaire ! Mais il a quelqu’un derrière lui.
Bouchard commence à se sentir pas très bien.
– Tu veux dire que Lucien me doublerait ?
– Ce que je me demande surtout, c’est comment il va faire pour prendre l’avion, Lucien a été kidnappé !
– Hein, mais d’où tiens tu ça ?
– Peu importe, je préfère ignorer pourquoi tu me mens, mais Lucien a avoué le nom de la personne pour qui il manigance, j’attends juste une confirmation de façon imminente !
– Attend…
– Dès que j’aurais cette confirmation je donnerais l’ordre de supprimer Lucien. Quant au commanditaire principal, sa mort serait bien trop douce, mais l’éventualité de le voir finir ses jours dans un fauteuil roulant en ayant perdu l’usage de tous ses membres me réjouit le cœur !
– Mais qu’est-ce que tu racontes ?
– Quant à moi, cette affaire m’aura brisé, c’était le but de celui qui a organisé tout ça. D’un certain point de vue il a gagné, je suis viré du gouvernement. Ma dernière joie sera de savoir que le salopard qui m’a fait ça restera complétement paralysé. Après ça, j’avalerais ce qu’il faut pour quitter ce monde.
– Mais !
– Adieu, ordure !
Bouchard est blême comme un cachet d’aspirine
Il prend ses affaires, descend et se dirige vers la station de taxis toute proche, l’angoisse au ventre, il se fait conduire jusqu’à Roissy et de là prend un billet pour la Guyane ! C’est très pratique la Guyane, en cas de besoin il y a plein de pays en Amérique du Sud où il pourra se planquer,
Il lui faut malgré tout attendre deux heures avant d’embarquer.
Le hasard a fait que sans le savoir, puisque nous ne nous connaissions pas, j’étais moi aussi à Roissy où j’attendais Anna-Gaëlle.
L’arrivé du Tokyo-Paris est annoncée… et la voici : Elle est rayonnante, affublée de fringues impossibles qu’elle a dû acheter au Japon et d’une valise aux dimensions impressionnantes. Elle me saute au cou, me roule une véritable pelle.
– Alors tes petits problèmes, raconte-moi !
– Ça s’arrange…
Je commence à lui expliquer tout ça, et voilà que mon portable sonne : c’est Tirondel, il me raconte son entretien téléphonique avec Bouchard, il est tout joyeux.
– Otez-moi d’un doute, vous n’avez pas réellement l’intention de vous suicider.
– Pourquoi cette question, vous vous inquiétez pour moi ?
– Disons que ça m’attristerait de perdre un aussi bon client !
– Ah ! Vous ne perdez pas le nord, vous ? S’amuse-t-il. Ne vous inquiétez pas, le petit chienchien reviendra rejouer à la baballe !
Dans la foulée, je téléphone à Max !
– Génial ! Commente-t-il, Je pense que l’affaire est terminée et que vous ne risquez plus rien ! Je libère Lucien ou je le coupe en rondelles ?
– Libérez-le, ne lui faites pas de mal, mais foutez lui la trouille !
– C’était un peu mon intention.
Samedi matin vers 4 heures
Lucien est brusquement réveillé. Max lui projette une torche électrique au visage qui aveugle ses yeux déshabitués de la lumière.
– Putain ça pue la merde dans ce trou ! C’est dégueulasse. Allez, c’est l’heure ! Annonce Max.
– L’heure de quoi ? demande l’autre à demi hagard. .
– L’heure de partir en enfer ! Tu me suis gentiment où tu préfères que je te gaze.
– Pffff, je vais te suivre, connard !
Il menotte son prisonnier et le fait monter dans sa voiture. Ce n’est que cinquante kilomètre plus loin que le véhicule s’arrête en pleine cambrousse.
– Allez, on est arrivé !
Il fait nuit, la pleine lune éclaire néanmoins très faiblement la route.
– Mon patron est un grand sentimental, il m’a demandé de te laisser en vie. Mais c’est un sursis, au moindre écart, on ne te loupera pas ! Je te pose ton blouson un peu plus loin sur la borne kilométrique à 50 mètres Tous tes papiers sont dedans, j’ai juste prélevé un peu de sous pour m’acheter une glace à la pistache avec plein de Chantilly. Les clés des menottes, sont dans la poche du blouson.
Lucien avait un plan, un plan tout simple, un plan de désespoir : se jeter tête baissée sur son adversaire dès qu’il estimerait avoir une petite chance. Mais tout content d’être en vie, il y renonce.
– Ah, de plus tu préviendras Bouchard que tu ne souhaites plus travailler pour lui, lui non plus on ne va pas le tuer, on lui a réservé une place en fauteuil roulant !
Alors Lucien est allé vers la borne, s’est débarrassé de ses menottes. Il ne peut pas téléphoner, sa batterie est à plat. Il attend que le jour se lève savourant sa liberté inespérée puis se dirige à pied vers les 4 kilomètres qui le sépare de Chartres. Il n’ose pas faire du stop, il pue de trop. Arrivé en ville, il cherche en vain à joindre Bouchard qui est sur répondeur, il lui envoie un message.
Le temps de s’acheter des fringues propres et de quoi se laver, de faire une sommaire toilette et de se changer dans une toilette de bistrot, de prendre un train pour Paris, de rentrer chez lui, ce n’est qu’en début d’après-midi après avoir rechargé sommairement son portable, qu’il peut rappeler Bouchard.
– Je vous croyais mort ? Déclare celui-ci.
– Non, je ne suis pas mort, mais c’est un miracle… euh et vous ça va ?
– Oui, je suis en Turquie, je vais y rester quelque temps, répondit-il estimant que Lucien n’avait pas à connaitre sa véritable destination.
– Patron, j’ai été kidnappé, ils m’ont fait parler, j’ai été obligé de vous balancer !
– Lucien, t’es un con ! Je ne te paie pas pour tomber dans le premier guet-apens venu.
– Ils étaient trop fort pour moi, ces nanas sont liées avec le grand banditisme, des voyous corses, marseillais…
– Tu ne crois pas que tu en rajoutes un peu, non ?
– Non, ils m’ont dit qu’ils voulaient vous fracasser !
– Je prends note !
– Patron, je suis désolé de vous le dire, mais je ne souhaite plus travailler pour vous.
– Va te faire foutre !
On a été prendre un verre, Anna et moi dans l’aérogare.
– Je suis quand même confuse d’avoir monnayé tes charmes contre ma sécurité…
– Mais tu as bien fait, qui sait où cette histoire pouvait t’emmener, si tu n’avais pas eu Max, je risquais de ne plus jamais voir ma meilleure copine !
– Je te revaudrais ça !
– J’espère bien !
– Et puis, bof, le Gauthier-Normand, je me le suis fadé une fois, ce n’était pas un cauchemar, non plus !
– Evidemment puisque c’est moi qui tenais la cravache !
– Même si c’est lui qui la tient, cette fois-ci, il ne va pas me tuer, ne t’inquiètes pas ! Non la seule partie embêtante c’est qu’après la domination, il aura envie de me sauter !
– Ça te gonfle ?
– Oui, disons qu’au plumard, il est très dominateur, très directif, pas mal épuisant aussi, mais c’est pas ça le pire !
– C’est quoi ?
– Il pue l’ail !
– Je suis vraiment désolée de t’imposer un tel supplice ! Répondis-je en riant.
Le lendemain je téléphonais à Gauthier-Normand.
– Ah ! Chanette ! Max m’a tout raconté, dans quel guêpier avez-vous été vous fourrer ? Heureusement tout se termine bien !
– Je voulais vous remercier de l’aide que Max m’a apporté.
– Bof, c’est rien du tout !
– Et vous signaler qu’Anna-Gaëlle est rentrée de déplacement, nous allons donc pouvoir prendre date.
– Ah ! Anna-Gaëlle ! Elle va bien ?
– Elle est en pleine forme !
– Elle tient toujours sa galerie d’art, rue de Seine ?
– Oui, et ça marche plutôt bien !
– J’en suis ravi ! Je suis un peu débordé en ce moment, je vous rappelle dans la semaine.
Quelques jours plus tard !
J’ai repris mes activités, la vie reprend normalement, Je revois Anna régulièrement, Carole et Valentin ont développé une relation amoureuse aussi compliquée que particulière mais qui a l’air de leur convenir parfaitement.
Je m’occupais d’un soumis quand on sonna ! La dernière fois qu’on m’avait dérangé en pleine séance, c’était un faux facteur qui m’avait aligné la tronche. J’enfile mon kimono, je regarde dans l’œilleton, je ne vois que des fleurs et quelqu’un de planqué derrière. Par précaution je prends ma bombe de lacrymo et j’ouvre.
Ben c’était un vrai fleuriste avec des vraies fleurs. Qui peut bien m’envoyer des fleurs ? Et puis ce n’est pas un bouquet à quatre sous, c’est des méga fleurs ! Un bouquet de première classe ! Ce n’est pas mon anniversaire. Il y a une enveloppe que je peine à ouvrir, je décide de regarder tout ça un peu plus tard. Le travail d’abord !
Une demi-heure après j’ouvrais donc la petite enveloppe :
« Très chère Chanette, seul un véritable mufle aurait pu vous suggérer de vous servir de cette délicieuse Anna comme remerciement du service que vous m’avez demandé de vous rendre. J’ai été ce mufle, l’espace d’un moment, j’ai aujourd’hui honte de l’avoir été. Il est bien évident que ce service est un acte gratuit. Vous ne me devez rien et serais toujours à votre service en cas de besoin. Je vous embrasse tendrement.
Jean-Luc Gauthier Normand »
PS : votre aventure m’ayant intéressé, j’ai demandé à Max de faire quelques recherches sur vos persécuteurs. Il a localisé Maître Bouchard qui est en en Guyane, et qui pense s’y installer. Quant à Lucien Renard, il cherche à se faire réembaucher comme chauffeur de taxi. Vous n’avez plus rien à craindre de ce côté-là, mais s’il le fallait, Max ferait une petite piqûre de rappel. »
Je fais sortir mon nouveau client de la salle d’attente et regarde mon répondeur, comme je m’y attendais j’ai un message d’Anna.
« Le Jean-Luc, il m’a envoyé un bouquet de fleurs gigantesques, il m’a dit aussi que ce n’est pas la peine que je vienne le voir ! Serais-je devenue moche ? »
J’éclate alors de rire devant mon client qui a dû se demander sur quelle étrange maîtresse, il était tombé !
Fin de l’épisode
© Vassilia.net et Chanette (Christine D’Esde) octobre 2010/avril 2011. Reproduction interdite sans autorisation des ayants droits
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