Dimanche 1 mai 2016 7 01 /05 /Mai /2016 07:00

Tu es… par Rakoto

cochon

 

Tu es…

 

Beau comme un chameau,

 

Adorable comme une décapotable,

 

Charmant comme un toucan,

 

Touchant comme un orang-outan

 

Comique comme une bourique

 

Mignon comme un cochon

 

Mature comme une stature

 

Aimant comme un flétan

 

Joli comme un ouistiti

 

Attirant comme un éléphant

 

Fabuleux comme un paresseux

 

Coquin comme un lapin

 

Brillant comme un faon

 

Extraordinaire comme une panthère

 

Original comme un chacal

 

Imaginatif comme un soutif

 

Alcoolique comme un porc epic

 

Ténébreux comme un émeu

 

Tête en l’air comme un phacochère

 

Riche comme un caniche

 

Fort comme un labrador

 

Bref, je suis zoophile et je t’aime.

Bebete Show

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Rakoto
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Vendredi 29 avril 2016 5 29 /04 /Avr /2016 18:02

Chanette 3 - Chanette à Saint-Tropez - 1 - Clara

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Qui a dit que la vie ne devait rien au hasard ?

 

Je n’aurais pas eu de timbre-poste ce jour-là, ou bien, je n’aurais pas eu envie d’en dépanner cette fille, ma vie aurait-elle été ce qu’elle est ?

 

Mais commençons par le commencement, j’ai écrit trois de mes aventures, un peu dans le désordre, je me suis dit qu’il faudrait à présent commencer par le début mais je ne raconterai pas tout.

 

Et si je commençais par me présenter ? On m’a toujours (ou presque) appelé Chanette. Mon vrai prénom, celui que mes parents ont eu la délicatesse de m’attribuer, est Jeanne-Christine, mes copines d’écoles n’en retinrent que la première partie qui se transforma très tôt en Jeannette. A l’époque, une pauvre fille, me collait aux basques, cette nana peu gâtée par la nature, était de plus affublée d’un défaut de prononciation qui rendait certains de ses propos proprement incompréhensibles. Elle était périodiquement victime des agaceries de nos petites camarades. Je trouvais cela profondément injuste et si j’étais incapable de la défendre, j’étais par contre capable de la réconforter. Infoutue de prononcer Jeannette correctement, elle lançait comme un défi à ceux qui venaient lui chercher querelle !

 

- Che fais le tire à Chanette !

 

Ce diminutif qui n’en est pas un, je l’ai traîné comme un boulet, ma scolarité durant. Je n’aurais dû jamais le faire revenir, pourtant le jour où Clara m’a demandé mon prénom, un neurone facétieux m’a fait dire « Chanette ». C’est la vie !

 

Je ne me suis pas décrite dans mes précédents récits ! On me l’a reproché ! Pas très grande, fine, le visage très ovale, des seins qui à l’époque de ce récit ne faisaient que 95 C (je fais maintenant du D et j’ai 2 petits piercings en forme de boucles d’or sur chaque téton). Je n’ai pas de piercings ailleurs, je n’ai pas de tatouage. Je suis légèrement mate de peau et je bronze très vite, mes cheveux sont châtain foncé, mais ils en ont vu de toutes les couleurs, et à l’époque de cette histoire, une copine antillaise m’avait fait d’adorables tresses blondes ! On me trouve mignonne, mais ce n’est pas mon avis !

 

J’étais cet été à Juan les Pins avec un copain. Je n’aime pas cette station qui pue le fric et l’arrivisme. Ces vacances étaient une expérience. Nous avions convenu avec Paul (appelons-le comme ça) que si tout se passait bien, nous nous mettrions en ménage au retour.

 

Ah ! Ça ! La première semaine impeccable, la deuxième les premiers accrochages commencèrent, puis les engueulades. Petit à petit, le naturel reprenait le dessus chez Paul qui, las de faire des efforts pour apparaître sous ses meilleurs jours, se révélait grossier, fainéant, coléreux, et jaloux. Inutile de rêver et d’espérer que l’animal se corrige, un type qui a un tel comportement au bout de 10 jours de vie commune ne pourra que me rendre l’existence impossible, et n’ayant aucune confiance dans ses promesses d’améliorations, je rassemblai mes affaires personnelles dans un sac à dos et adieu Popol !

 

Quand je pense que de nos jours encore, dans certains milieux, d’aucuns se marient sans se connaître vraiment et sans avoir vécu ensemble… mais bon !

 

J’avais attendu d’être loin de Paul pour ouvrir les vannes et pour chialer comme une madeleine. Je ne m’aimais pas dans ces moments-là, je ne penserais pas que je craquerais. J’aurais donné cher pour être alors dans de doux bras qui m’auraient consolée, et l’image furtive de quelques adolescentes galipettes avec des personnes du même sexe me traversa l’esprit comme un éclair.

 

Je me fis prendre en stop, par un type qui eut la correction de ne point me draguer. (Si ! Si ! Ça arrive !) Mais étais-je draguable ? Et je devais avoir triste tête ! Me demandant ma destination, je balançais « St Tropez » un peu au hasard, je ne connaissais pas.

 

Je ne pensais pas m’attarder dans cette ville, mais je souhaitais la connaître. L’après-midi touchait à sa fin, je me fixais une heure de ballade et ensuite je referais du stop vers une ville qui me permettrait de prendre un train pour Paris !

 

Finalement, Saint-Trop, on en a vite fait le tour et j'envisageais après deux heures de balade de sortir de la ville. Les bretelles de mon sac à dos commençaient à me mordre cruellement la chair et m’arrêtais quelques instants à proximité d’une boite aux lettres afin de les régler, quand une apparition surgit dans mon champ de vision : une grande jeune femme belle et bronzée, avec un visage aguichant et pétillant de malice. Elle était vêtue d’un short blanc, d’un haut de maillot de bain de la même teinte, d’un incroyable chapeau et portait de grosses lunettes noires ! Une fille superbe ! Et pourtant la ville n’en manquait pas de canons de toutes sortes. Mais celle-ci avait un je ne sais quoi d’indéfinissable. Elle se tenait là, une enveloppe à la main et pestait contre je ne sais quoi ! Et voici qu’elle m’adresse la parole :

 

- Vous n’auriez pas un timbre ?

 

Si ! J’en avais ! Mais je ne vous dis pas le cirque ! Enlever le sac à dos, rechercher le portefeuille, trouver les timbres. A n’importe qui d’autre j’aurais probablement refusé, mais là j’acceptais. Elle s’amusait de mon embarras.

 

- Je vous remercie, je vais vous le payer !

 

En me disant cela elle me regarde mieux

 

- Dites donc ! Ça n’a pas l’air d’aller ?

- Ça pourrait aller mieux !

- Rupture ?

- Ouais ! Vous êtes forte ! Vous !

- Gros chagrin et sac et dos, c’est malheureusement pas difficile ! Je connais ! Ce qui est terrible dans ces moments-là, c’est qu’on a envie de causer, et on n'a souvent personne pour nous écouter. Si vous avez envie de me parler, je suis prête à vous écouter !

- On ne se connaît pas, je ne vais pas vous casser les pieds avec ça !

- Je ne crois pas que vous me casserez les pieds, allez viens, je te paie une grosse glace !

 

Ce passage impromptu au tutoiement fut le début de ma très longue complicité avec Clara !

 

Si Clara n’avait pas que des qualités (loin de là !), elle en avait néanmoins une fort rare et très forte : elle savait écouter les gens, sans chercher dans le discours de l’autre des prétextes pour introduire ses propres anecdotes.

 

Elle n’était pas du genre non plus à prodiguer des conseils genre «courrier du cœur». Elle approuvait tout simplement mon attitude et comprenait très bien l’ampleur de la déception et de la désillusion que je ressentais !

 

- C’est quoi tes plans maintenant ?

 

Je lui expliquais, tandis que la serveuse nous apportait deux gigantesques compositions glacées ornées d’étincelants bâtons d’artifice

 

- Tu dois vraiment rentrer à Paris ? T’as un boulot fixe ?

- Non je fais de l’intérim ! Et normalement il me reste une dizaine de jours de congés.

 

Clara séjournait pour les vacances dans le studio d’une vielle tante qui n’y habitait pas, et me proposa de m’héberger quelques jours. C’était très gentil de sa part, mais je ne comprenais pas cet accès soudain de bonté gratuite et m’en étonnais.

 

- De temps en temps, j’aime bien faire une bonne action !

 

La réponse était débile, volontairement débile ! Par manque d’expérience je la pris au premier degré, alors que j’aurais dû ne pas insister…

 

- Mais tu ne me connais pas, je suis peut-être la reine des emmerdeuses !

- C’est bien pour cela que je ne te propose que quelques jours et pas plus !

 

Je ne répondis pas ! Quelque chose clochait ! Elle s’aperçut alors de mon trouble et décida de jouer cartes sur tables !

 

- Faut pas toujours chercher à savoir tout de suite ! Mais tu veux vraiment que je te le dise ?

 

Je lui fis signe que "oui", avec une certaine inquiétude.

 

- J’ai aimé la façon dont tu m’as regardée tout à l’heure devant la boite aux lettres. Je sais lire dans les yeux des gens...

 

Elle marqua un court silence, la chair de poule commençait à m’envahir, elle reprit

 

- Et j’aimerais tellement te donner l’occasion de me regarder encore comme ça !

 

Je n’étais pas née de la dernière pluie, et me doutais de ce que sous-entendaient les propos de Clara, mais d’une part cela ne me gênait pas trop et d’autre part j’étais si contente que dans ces moments de désarroi, quelqu’un s’intéresse à ma modeste personne, que je ne pus me retenir. L’émotion me fit craquer et me fit pleurer comme un robinet de salle de bain. Elle ne dit rien, me prit la main, je me laissai faire, et elle attendit quelques instants !

 

- Alors c’est d’accord ?

 

Je parvins à lui dire « oui » entre deux sanglots, et me calmai, je la dévisageai alors, contemplant sa frimousse où s’éclatait la satisfaction de sa victoire, et prise d’une pulsion irrésistible, je me levai de mon siège et me précipitai dans ses bras.

 

Elle me consola ! En fait, elle n’attendait que cela, mais elle le fit très bien, me caressant d’abord le visage du bout des doigts, puis m’embrassant les joues, me parlant doucement, puis rapprochant insensiblement sa bouche de la mienne. Dans un réflexe, je refusai de me laisser complètement dominer. J’échappai à son étreinte. Mais j’avais compris ce qui allait maintenant se passer. Je ne souhaitais pas non plus passer pour une conne.

 

- On en garde pour tout à l’heure ! Parvins-je à dire.

 

Elle me répondit d’un sourire éclatant, un sourire de vainqueur, ses yeux pétillaient de malice.

 

- T’as raison, rien ne presse ! On finit la glace ?

 

Je lui avais raconté ma vie, j’estimais normal qu’elle me raconte la sienne, mais elle en restait aux généralités. Mademoiselle était professeur de dessin, les vacances n’étaient donc pas finies. Elle était descendue sur la côte avec d’autres personnes qui étaient ensuite reparties, elle s’emmerdait !

 

Le magnifique studio de sa tante donnait sur le port.

 

- Je suppose que tu veux prendre une douche ?

 

Elle supposait très bien !

 

- On va la prendre ensemble !

 

Ce n’était même plus une question, une invitation plutôt, presque un ordre, mais l’idée ne me déplaisait pas. Devant moi, dans le séjour du studio, Clara dégrafa son soutien-gorge. Des seins magnifiques, plus poires que pommes, aux bouts proéminents. Le soleil les avait caressés leur donnant une magnifique teinte ambrée. Mon excitation montait, et j’en étais à me demander de quelle façon j’allais lui sauter dessus tout en respectant une certaine forme.

Comme si la vue de ses globes enchanteurs ne me suffisait pas, elle les prit à pleines mains, les fit bouger, les soupesa…

 

- Ils sont pas si mal que ça ? Hein ?

- Des merveilles, oui ! Parvins-je à bredouiller.

 

Et la voilà qui enlève le bas. Sa chatte est entièrement rasée. A cette époque je trouvais cela bizarre, ça me gênait même un peu. J’ai eu l’espace d’un instant l’impression que Clara était déçue que je ne sois pas aussi enthousiaste envers sa chatte que je l’avais été avec ses seins. Alors, l’air de rien elle se mit à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers mon regard, en ayant pris soin de bien relever ce dernier et d’écarter un tout petit peu les jambes. Elle tournait la tête, guettant mes réactions. Le trouble me reprit ! Quel spectacle magnifique que ces deux jolies petites fesses toutes rondes emprisonnant son petit abricot dénudé ! Mon entre-jambes devenait humide. L’invitation était claire, je ne pouvais ni avais envie de reculer, mais en même temps je voulais encore quelques secondes jouir de ce spectacle rare. C’était la première fois (il y a toujours une première fois !) que je voyais ainsi un cul de femme ainsi exposé. Je me souviens m’être dit à ce moment-là que même un trou du cul pouvait être beau ! Vers l’endroit où ses fesses se rejoignaient, sa peau se hérissait de minuscules protubérances. Je crus qu’elle avait la chair de poule, en m’étonnant que le phénomène ne se localise qu’ici. Non cet aspect chair de poule assez incongru était permanent et rajoutait un je ne sais quoi de quasi-insolite à cette vision paradisiaque ! J’étais paralysée, subjuguée, je parvins à murmurer

 

- Qu’est-ce que c’est beau !

- C’est pas mal hein ?

 

A présent Clara se caressait les fesses. C’en était trop, je décidai de me déshabiller plus tard et fonçai comme une dingue sur cette cible offerte, mes mains chassèrent les siennes et parcoururent la peau de son cul douce comme du satin, mais vite, les mains ne me suffirent plus, et je posais mes lèvres, lui faisant des tendres baisers sur ses globes fessiers. Cela dura assez peu, mon objectif était bien sûr au centre, j’approchai mon visage de sa chatte, la humai, elle sentait la mouille, l’excitation, la femelle, j’aimais cette odeur de plaisir qui lui coulait sur les cuisses. Alors je mis à la laper, tel un chat saisi de fringale qui dégusterait une assiette de lait. Je voulais la lécher partout, la manger, l’avaler, la phagocyter.

Stop ! Je me calme ! Je réalisais en pleine fièvre qu’elle attendait probablement que j’œuvre afin de lui donner du plaisir. C’est le moins que je pouvais faire. Cessant un instant mes folies, je me débarrassai de mes vêtements. Elle se tourna et se moqua gentiment :

 

- Pas si vite, tu vas tout déchirer !

 

Je m’en fous de déchirer, je veux que nos corps se donnent du plaisir, je veux vivre cet instant et oublier tout ce qui m’a emmenée ici. Je reviens à la charge, nue comme une grenouille. L’autre se met à siffler d’un air approbateur (quel romantisme !)

 

- C’est super, tout ça, je crois qu’on va bien s’amuser !

 

Je reviens à la charge, elle mouille comme une gouttière. Je lèche à nouveau puis, je tente de la faire basculer afin de la lécher dans l’autre sens, ce qui me paraît quand même plus pratique pour la faire jouir. Mais c’est qu’elle est tout en nerf, Clara : la voilà qui résiste, qui maintient sa position et qui ne veut pas en changer.

 

- Tu ne veux pas te tourner ?

- Pas encore !

 

Je crois comprendre qu’elle veut que je continue à m’occuper d’elle dans ce sens. Ma langue reprend son travail, la vue de son anus me trouble et je me demande si je dois y aller, je n’ai jamais léché un trou du cul, que ce soit d’homme ou de femme et j’ai envie de le faire, mais j’ignore si cela va lui plaire. Alors je m’approche, progressivement, guettant une réaction qui ne vient pas. Ma langue n’est maintenant qu’à moins d‘un centimètre de son trou. Je ne vais pas y tourner autour pendant des heures, je fonce. Un léger, très léger goût âcre me fait un instant hésiter, mais cela ne persiste, heureusement pas. Je lui titille maintenant l’œillet avec application. Clara ronronne comme un chat que l’on caresse, je ne comprends pas ce qu’elle raconte, je m’interromps pour lui demander

 

- Tu dis quoi ?

- Que t’es une petite cochonne !

- Je fais ce que je peux !

- Continue alors !

 

Evidemment que je vais continuer, ma langue fait semblant de tenter de forcer l’ouverture, elle en est évidemment incapable, mais elle peut la demander cette ouverture, la quémander, la supplier ! Non ! Clara a donc décidé de ne pas m’aider, alors de mes mains, je lui écarte au maximum les fesses contribuant à tirer sur l’anus qui s’entrouvre, ma langue y pénètre, je mouille comme une dingue. C’est la première fois que je fais cela, je suis autant excitée par la nouveauté que par la situation. Je prolonge ma caresse buccale, l’autre continue à ronronner, un véritable moteur ! Cela dure bien cinq minutes, peut-être plus, (allez compter le temps ! vous, dans ces moments-là !) Je décide d’arrêter, et pour la deuxième fois je tente de la basculer.

 

Mais c’est qu’elle ne veut pas, c’est qu’elle ne se laisse pas faire !

 

- Tape !

 

Je ne comprends pas ce qu’elle veut

 

- Tape !

- Tu veux que je te tape sur les fesses ?

- Oui vas-y !

 

Je me souviens avoir bêtement demandé pourquoi. Comme s’il fallait que tout soit justifié ! Elle rigole !

 

- Mais pour rien, parce que j’ai envie, c’est tout !

 

Alors je tape, j’ai peur de lui faire mal, mais elle veut plus fort, je tape alors plus fort, son cul vire assez vite au rouge.

 

- Aie !

- Je t’ai fait mal !

- C’est pas grave, continue, j’aime ça !

 

Et soudain, je me demande pourquoi les rôles sont ainsi inversés, c’est moi qui devrais recevoir la fessée, jusqu'à temps que j’en chiale et qu’elle soit obligée de me consoler.

 

- Tu m’en donneras une aussi ?

- Si t’es sage !

 

Elle se fout de moi, je continue à taper, elle mouille encore, il va bien falloir que je m’arrête, mais me dit qu’après tout, elle ne semble pas avoir eu sa dose. Et soudain alors que je n’attendais plus ce geste, la voici qui se retourne comme une crêpe. Elle écarte alors les jambes, ouvre sa chatte en l’écartant d’une main tandis que l’autre d’un doigt excite son clitoris….

 

- Viens me faire jouir !

 

Je n’hésite pas depuis le temps que j’attends ce moment et je plonge, ma langue est sur son clito turgescent. Je pressens que ce ne sera pas long, je lèche à qui mieux-mieux ce bourgeon épanoui, et voici que soudain je sens tout le corps de Clara qui d’abord se tétanise, puis s’arc-boute pratiquement en arc de cercle tandis qu’elle pousse un hurlement de plaisir. Elle retombe sur le lit, pantelante !

 

- Ben dis donc, tu pars vite !

 

Son visage rayonne de bonheur ! Attention ça va être contagieux, effectivement un frisson me parcoure entièrement, les larmes me montent aux yeux, et voilà que je re-chiale, j’avais donc encore quelques larmes, mais c’était des larmes de bonheur. Nous tombons dans les bras l’une de l’autre. Nos langues se mélangent dans un long baiser de tendresse et d’amour.

 

Je me sens soudain épuisée et reste quelques instants sans bouger sur le canapé. Clara me regarde, me détaille, je lui plais et suis contente de lui plaire. Elle me caresse alors partout mon corps, mais s’attarde sur mes seins, elle atteint mes tétons, les frôle, les agace, puis les presse entre ses pouces et ses index. Je frissonne. J’adore cette caresse ! Je sais qu’elle veut maintenant me faire jouir ; j’en ai envie, et je crois qu’après j’aurais envie de dormir, je suis crevée ! Clara recherche la meilleure position et la voilà qui dégringole du canapé. Elle ne se fait aucun mal mais attrape un fou rire nerveux et communicatif

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- On va peut-être défaire le canapé, ce sera plus pratique, propose Clara.

 

On se lève, il fait chaud, nous voici toutes les deux à poil en train de triturer le clic-clac. Cette manœuvre banale finit de nous épuiser, on se jette sur le lit. Cette interruption m’a un peu calmée. Je caresse tout de même le sein de Clara qui me rend la politesse, je n’en peux plus et tandis que ma compagne joue à nouveau avec mes tétons, j’entreprends de me masturber. Bonne fille, elle propose de me relayer, mais j’ai préféré me faire jouir comme ça pendant qu’elle s’occupait de mes seins.

 

- On devait prendre une douche !

- Demain la douche ! Attends faut que j’aille pisser !

 

 

La salle de bain est grande ouverte, et les toilettes y sont à l’intérieur, bien visibles de l’endroit où je suis allongée. Clara ne ferme pas la porte et pisse devant moi, les jambes écartées, provocante, allant même jusqu'à écarter ses lèvres afin que nul détail n’échappe à ma vision, et tandis qu’elle me sourit tendrement je m’endors, bercée par le délicieux clapotis de son petit jet doré !

 

(à suivre)


Première publication sur Vassilia, le 1/11/2000

© Chanette (Christine D’Esde) 2000 reproduction interdite sans autorisation de l’auteur 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000 ainsi et surtout celui du 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour l'ensemble de l'année 2000

Par chanette - Publié dans : Chanette
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Vendredi 29 avril 2016 5 29 /04 /Avr /2016 18:00

Chanette 2 : Chanette et la journaliste 2 – La punition d’Anna Gaëlle

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2 – La punition d’Anna Gaëlle

 

Prologue

 

Il est 7 heures du matin. Fulbert peut commencer. Il est décidé de faire pour le mieux, Fulbert ! 300 euros pour un boulot aussi facile, c’est inespéré. Il prend les trois plaques émaillées et aimantées, la plaque de cuivre autocollante et la bombe de peinture noire. Il détache l’échelle de la galerie de la camionnette dont les plaques d’immatriculation ont été trafiquées. Il pose l’échelle à proximité de la plaque indiquant le nom de la rue, et y grimpe. Quelques secondes plus tard la rue des Saulniers est rebaptisée rue Michelet-Languereau.

 

– Vous faites quoi ? Vous changez le nom de la rue, on aurait pu être prévenus !

 

Ce genre de situation a été prévu. Fulbert répond le plus jovialement du monde :

 

– C’est pour le film !

– Quel film ?

– Le film qu’ils vont tourner tout à l’heure !

– Ah Bon !

 

L’intrus a eu son explication, il s’en va. Fulbert continue à recouvrir les plaques et le 53 devient le 51 bis, le 55 le 51 ter. Arrivé à ce numéro, il compose le digicode et il entre, il donne un rapide coup de bombe sur le tableau indiquant l’emplacement des résidents, appelle l’ascenseur et bombe également les indications de numéros d’étages. Au 3ème il auto collera une plaque où les caractères sont très usés mais où l’on peut lire en s’y appliquant « Docteur Folenfant – rhumatologue ». C’est presque fini, dans 3 heures il remplacera les plaques par des plaques neutres, nettoiera ce qui a été bombé et il aura gagné 300 €, il est content Fulbert !

 

Préparatifs

 

C’est Phil qui mena une courte enquête afin de localiser cette Anne-Gaëlle de la Souderie de Chabreuil qui s’était copieusement moquée de nous. Ce n’était pas d’une évidence folle, le groupe de presse dont faisait partie le torchon  » Globo  » n’était qu’une nébuleuse de boites postales toutes plus anonymes les unes que les autres. Mais, faute d’un numéro professionnel, c’est carrément chez la donzelle qu’il appela !

 

– J’ai une grosse révélation à faire. Un scoop dingue…

– Non mais attendez, vous êtes chez un particulier…

– Vous n’avez jamais rêvé d’avoir un scoop énorme et d’en tirer bénéfice ? Moi, j’ai là l’occasion de me faire une montagne de fric, mais il me faut quelqu’un pour m’aider, quelqu’un qui connaît bien le milieu des journaux. Je n’ai pas envie de me faire avoir !

– J’ai une envie folle de vous raccrocher au nez, pourquoi moi ?

– On m’a donné votre nom !

– J’imagine bien, merci ! Mais qui ?

– J’ai promis de ne dire ce nom que si nous faisions affaire

– C’est bizarre votre truc, et c’est quoi le scoop ?

 

Phil entendit à ce moment-là un petit déclic, la conversation était à présent enregistrée.

 

– Justement, il faut que l’on se voie pour en parler…

– Bon, écoutez, je me doute bien qu’il va falloir qu’on se voie… et que vous ne pouvez rien me dire auparavant ! Tout cela est d’un classique ! Mais ce que je vous demande c’est de me mettre sur la voie. S’il s’agit d’OVNI ou de Louis XVII, ce n’est même pas la peine de continuer…

– Et s’il s’agit de la preuve irréfutable, documents à l’appui que toutes les élections de Miss France sont truquées ?

– Mouais, ce n’est pas un grand scoop !

– Et si je vous communique quelques photos des membres du jury en compagnie… disons très spéciale ?

– Parce que les gens qui couchent, ils se font prendre en photos ?

– Disons que quelqu’un a eu intérêt à ce que ces photos soient prises, et là vous comprendrez que je ne puis vous en dire plus au téléphone.

– Bon on se voit où et quand ?

 

Un rendez-vous fut fixé au 17 rue L… Ce n’était pas mon adresse, ni celle de personne de notre entourage, mais ce serait celle enregistrée sur son magnétophone.

 

J’avais prévenu Phil que la ponctualité n’était pas la qualité première de miss Anne-Gaëlle et le jour convenu, Phil se mit en embuscade devant l’immeuble de l’adresse de rendez-vous. C’est une demi-heure plus tard, qu’il vit une personne répondant au signalement qu’on lui en avait fait s’arrêter devant un digicode dont personne ne lui avait parlé. Il allait l’aborder, mais elle le devança.

 

– Vous habitez ici ? J’ai rendez-vous avec un Monsieur Potez et il ne m’a pas communiqué le code !

– C’est moi !

– Ah ben…

– J’ai un petit problème, je ne suis pas arrivée à vous recontacter. Un dégât des eaux chez moi, je ne peux plus y accéder pendant un mois… Heureusement tout ce dont je vous ai parlé est intact, j’ai déposé cela chez un ami, allons-y c’est à deux pas !

 

Première à gauche, deuxième à droite. Les voilà rue des Saulniers, où elle n’a jamais mis les pieds. Ils entrent, prennent l’ascenseur. Phil ouvre la porte avec la clé qu’on lui a prêtée, fait entrer la journaliste et prend soin de refermer le verrou derrière lui !

 

– Asseyez-vous ici, je reviens avec une partie des documents, à moins que vous désiriez prendre un verre auparavant ? Un café par exemple ?

– Non, je vous remercie, j’ai hâte de voir vos documents

– Vous n’allez pas être déçue !

 

A ce moment-là Phil se dirige vers la porte séparant le salon de l’entrée afin de bloquer cette sortie et se racle trois fois la gorge. C’était le signal !

 

La punition

 

Nous avions convenu Corinne et moi, de nous habiller exactement de la même façon que lors de cette interview qu’Anna-Gaëlle avait si bien trafiquée. Nous en avions marre d’attendre, aussi dès que Phil nous fit signe, nous entrâmes dans le salon découvrant le visage horrifié de la journaliste.

 

– Bienvenue chez Chanette, petite salope !

 

La tête d’Anna-Gaëlle !

 

Instinctivement elle se lève et se précipite vers l’entrée. Bloquée par Phil ! Nous n’avions pas prévu par contre le coup de genou qu’il reçut dans les couilles et qui le fit s’écrouler de douleur. Malgré tout elle fut vite maîtrisée et ramenée au centre de la pièce. Histoire de lui montrer que cette séance n’avait rien d’une plaisanterie, je lui balançai un léger coup de cravache qui cingla en s’enroulant autour de sa taille !

 

– Vous n’avez pas le droit, bandes de putes, je vais porter plainte pour séquestration…

– Ta gueule ! Ou je t’en balance une autre !

 

Et c’est reparti pour une crise de larmes !

 

– Pourquoi vous me faites ça ? Si c’est pour l’article j’y suis pour rien…

– Tu arrêtes de mentir !

– Je ne mens pas ! Et si vous me laissiez m’expliquer au lieu de faire du kidnapping !

– Et bien vas-y, explique-toi !

– Ce n’est pas moi qui ai réécris l’article…

 

Cette fois c’en est trop, je lui balance une gifle magistrale. Elle se tient la tête, elle pleurniche !

 

– C’est bien ta signature qu’il y a sur cette merde. Pas celle du voisin !

 

Je lui mets la feuille du journal devant le nez, de colère j’en fais une boule et lui fourre un instant dans la bouche.

 

– Ils ont laissé ma signature, mais ce n’est pas moi qui l’ai réécrit ! Ce n’est pas compliqué à comprendre.

 

– A comprendre non ! Mais à prouver ?

 

Tout d’un coup, elle redevient digne, et c’est avec une expression à la limite du mépris qu’elle nous fait maintenant face :

 

– Je ne peux rien prouver ! D’accord ! Et je ne vous dirai plus rien. Je ne sais pas ce que vous avez décidé de me faire. Mais comme je ne pense pas que vous allez me tuer, ce ne sera qu’un mauvais moment à passer et un mauvais souvenir. Il faudra bien que vous finissiez par me libérer. Et après je porterai plainte pour enlèvement et séquestration et sans doute pour coups et blessures et viol !

– Tu vas la fermer !

– Oui je la ferme ! Je vous ai dit ce que j’avais à vous dire ! Maintenant allez-y montrez-moi votre courage, acharnez-vous contre moi à trois contre une… Il faut sans doute que je me foute à poil, je vais le faire ! Ça nous avancera !

 

Je ne m’attendais pas à une telle résistance, mais ce n’était pas pour me déplaire, le fauve serait difficile à dompter. Je la giflai à nouveau. Elle reçut la gifle sans broncher, me cracha dessus et avant que j’aie le temps de réagir, elle me lance :

 

– Continue salope ! Ça m’excite !

 

Décontenancée ! C’est Corinne qui vint à mon secours en recentrant le scénario que nous avions préparé.

 

– Tu n’as rien compris, petite pétasse ! Tu es ici pour deux choses. Nous expliquer pourquoi tu as fait cela et ensuite te faire passer l’envie de recommencer

 

Anna-Gaële ne répondit rien. Je lui passe mon téléphone fixe.

 

– Mais tu n’es pas séquestrée ! Tiens prend ce téléphone et appelle qui tu veux pour dire où tu es !

 

Elle ne comprend plus. Phil s’est mis à côté de la prise pour couper s’il lui prenait l’idée saugrenue d’appeler la police, sinon on avait convenu de laisser faire. Elle prend le combiné, compose un numéro, ce n’est pas celui des flics, apparemment elle tombe sur un répondeur

 

– Allô ! Jean-Loup c’est Anne ! Je suis un peu coincée sur le truc dont je t’avais parlé hier. Si tu n’as pas de nouvelles de moi dans une heure je suis au 51 ter rue Michelet-Languereau chez le docteur Folenfant.

 

Elle repose le combiné. Nous éclatons tous les trois d’un fou rire nerveux ! Anna-Gaëlle ne comprend plus rien. Je peux reprendre l’avantage. Cependant le plan est devenu bancal, voire dangereux. En la faisant téléphoner nous ne pensions pas qu’elle donnerait ce délai d’une heure. C’est vrai, l’adresse n’existe pas mais un numéro de téléphone ça se localise ! Et puis il y a ses menaces de plainte. Il faudrait à présent la jouer fine et vite.

 

J’ouvre mon blouson. J’ai mis un soutien-gorge rouge en dentelle très sexy. Je ne lui laisse pas le temps de le détailler, je pivote et lui présente mon dos.

 

– Dégrafe-le !

 

Elle le fait en maugréant, plus pour éviter des baffes que par soumission.

 

– Vous êtes vraiment des salopes !

– Bien sûr !

 

Sauf que maintenant elle a mes seins sous le nez ! Son regard se trouble. Il se troubla encore plus quand quelques secondes plus tard, j’entrepris de faire durcir mes tétons en les faisant rouler entre mon pouce et mon index

 

– Tu devais te déshabiller, non ?

– Qu’allez-vous me faire ? Vous ne vous rendez pas compte des risques que vous prenez ?

 

Hé ! Hé ! La réflexion de trop, elle aurait dû rester dans son rôle de victime fière, hautaine. Elle est en train de fragiliser sa position.

 

– A poil, salope !

– Je peux encore m’expliquer ?

 

Son système de défense s’est complètement lézardé !

 

– A poil ! On verra après !

 

Elle se déshabille complètement. Elle est belle Anna-Gaëlle. J’aime ces gros seins laiteux terminés par des petites pointes roses. Exprès je la regarde avec envie. Je recommence à me faire durcir les tétons et soudain c’est les siens que j’agrippe.

 

– Non ! Non ! Arrête ! Salope ! Arrête ! C’est trop bon ! Arrête ça ! Tu n’as pas le droit !

 

Je continue et augmente ma pression.

 

– C’est trop fort ! Arrête !

 

Elle va tomber dans le piège dans une seconde, j’en mouille à l’avance.

 

– C’est vrai ? C’est trop fort ?

– Oui : c’est trop fort !

 

Je baisse ma pression.

 

– Et comme ça va ?

– Oui ! Ça va, continue, salope, tu es en train de m’avoir ! Tant pis pour moi !

 

Je relâche tout.

 

– Tu m’as traité de quoi ?

– De salope, Chanette ! Tu es une salope ! Mais moi aussi !

 

J’ai gagné ! Un frisson me surprend. Ma chatte coule !

 

– Alors j’écoute ! Et après on fera peut-être la paix !

– Tout ce que je vous ai dit est vrai. J’ai d’abord fait un premier article où je vous présentais toutes les deux sous un jour favorable, le chef de rubrique n’en a pas voulu. J’en ai refait deux autres enduite, de plus en plus neutres. Ça n’allait toujours pas. Alors je lui ai dit que je laissais tomber. Il a tout rectifié mais il a laissé ma signature. J’ai pensé à te prévenir mais j’ai laissé tomber. Je me suis dit que sans doute vous ne verriez jamais l’article et que finalement ce n’était pas si important que cela…

– Tu as pensé à me prévenir et après tu as changé d’idée. Et pourquoi donc ?

– Je viens de le dire !

– C’est si difficile un petit coup de fil ?

– Il y une autre raison ! Tu veux vraiment la savoir, Chanette ?

– Oui !

– C’est que je ne voulais pas me donner l’occasion de retomber dans tes griffes ! J’avais jusqu’ici une sexualité presque normale ! J’ai compris en venant ici l’autre fois que mes fantasmes avaient besoin d’êtres assouvis. J’ai eu peur de ne plus pouvoir me passer de ce que j’ai connu ici ! Tu comprends Chanette ? Oh pardon Chanette ! Pardon Corinne !

 

Et la voici à nouveau en larmes !

 

– Et maintenant ?

– Maintenant tu as gagné ! Salope ! J’ai envie de toi, j’ai envie de vous deux !

– Et tu ne crois pas que tu devrais être punie d’abord ?

– Chanette, je voudrais que nous soyons régulières toutes les deux, tu me punis mais après, je voudrais tant que nous fassions l’amour…

– C’est à toi de prendre le risque, si tu ne veux pas le prendre, tu peux partir tout de suite, on ne t’en empêchera pas, et je trouve que ce serait pas mal comme punition. Alors ?

– Je reste !

– Allons-y tu l’as mérité et puis tu aimeras peut-être ?

 

On emmène la journaliste dans la salle que j’ai aménagée en donjon, on la suspend à une barre. Corinne lui place des pinces sur les tétons et sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle, puis se calme. Je tourne autour d’elle le martinet à la main, et applique le premier coup

 

– Aie !

 

J’avais prévu 50 coups, mais tout d’un coup ça me semble énorme, au 15ème je décide de m’arrêter à 20. Anna-Gaëlle, manifestement souffre, elle crie, elle gigote, mais ne me dit pas d’arrêter.

 

– Plus fort ! Marque-moi !

 

Ça me paraît complètement invraisemblable, mais je m’apprête à le faire, quand soudain Corinne arrête mon bras en plein élan :

 

– Elle veut que tu la marques pour pouvoir faire un constat de coups et blessure !

 

Je n’y avais pas pensé ! Je continue à frapper mais normalement.

 

– Ecoutez-moi une minute ! L’autre jour j’ai trahi votre confiance, je veux la regagner, c’est pour cela que je veux que tu me marques, comme ça tu pourras constater que je ne donnerais pas suite à mes menaces de tout à l’heure !

 

Je regarde Corinne, elle a l’air comme moi de penser qu’on peut prendre ce risque. Alors de toutes mes forces, je vise le joli cul rebondi de la journaliste et je lui zèbre les fesses de longues traînées rouges, je le fais quatre fois, à ce stade on a comptabilisé 20 coups. Je stoppe. Moi non plus je ne tiens plus en place. Phil s’est lui déshabillé et s’apprête à entrer en scène !

 

– Non pas maintenant, mais va plutôt t’occuper de Corinne, elle est toute mouillée la pauvre !

 

Il n’en fera rien, ça n’a jamais été l’amour fou entre eux deux. Je détache Anna-Gaëlle. Je l’enlace, et me faisant tomber, l’entraîne dans ma chute. Je l’embrasse avec fougue, je lui caresse le corps, lui pétris les seins, les fesses, les cuisses, je lui mets mes doigts partout, dans la chatte, dans le cul… Elle non plus n’est pas en reste et veut m’embrasser partout. Elle me serre les tétons comme je les ai serrés tout à l’heure

 

– Toi aussi tu aimes ça !

– Bien sûr

– T’es vraiment une salope !

 

Greta Heidi Inga24bEncouragée, elle réussit à me faire hurler, je lui rends la pareille, nous devenons folles tandis que nos corps ruissellent de sueur et de mouille. Je veux la boire, on change de position et nous voici en 69. Je la bois et elle me boit. Ma langue lèche maintenant sa chatte au goût de miel, tandis qu’elle me suce le clitoris. J’ai du mal à me retenir de pisser et puis à quoi bon me retenir, je me laisse aller. Anna-Gaëlle lape mon urine comme un chat laperait une source de lait. J’ose espérer qu’elle me rendra la pareille, je la sens qui force et tout d’un coup elle libère à son tour sa source dorée qui s’écoule dans mon gosier. Son urine à un goût unique, (elle m’expliquera bien plus tard qu’elle avait l’habitude de boire du thé au jasmin). Ça y est ! La source est tarie, elle a repris ses mouvements de lèvres et de langue sur mon clitoris, je l’imite, je ne vais pas tenir longtemps, un geyser de cyprine s’écoule de ma chatte tandis que je suis atteinte de soubresauts nerveux, j’essaie de me reprendre au plus vite pour la faire jouir à son tour, elle le fera quelques minutes plus tard, en poussant un hurlement de tigresse. Nous nous enlaçons à nouveau et nos bouches qui ont connu tous les liquides se soudent à nouveau.

 

Je me relève fourbue !

 

Corinne est assise dans un fauteuil, les jambes écartées et s’envoie un vibro dans la chatte en poussant des petits cris. Phil s’est masturbé en nous regardant et nous a probablement arrosé de son sperme, mais nous ne nous en sommes pas aperçu.

 

– Je peux téléphoner ?

– Bien sûr !

– Allô Jean-Loup ! Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ? Un fax urgent à me faire porter ? Et le coursier n’a pas trouvé l’adresse ? Il est nul ton coursier, et il y avait quoi dessus ? Ah bon ! Ce n’est pas si important que cela ! Je ne passerai pas au bureau de la journée.

 

En raccrochant, Anna-Gaëlle ne comprit pas pourquoi nous étions de nouveau éclatées de rire

 

– Vous m’expliquerez ?

– C’est promis !

 

A ce moment-là, Anna Gaëlle s’approche de moi et me prend la main.

 

– J’ai une proposition à faire : on va se prendre une bonne douche toutes les deux, et après je vous paye le restaurant à tous !

 

Epilogue

 

Quelques jours après, en relevant mon courrier, je découvre une enveloppe provenant du Palais de Justice. Je l’ouvre stupéfaite et découvre qu’une dénommée Anna-Gaëlle de machin chose portait plainte… contre son journal pour extorsion de signature et abus de confiance.

 

Le téléphone sonna quelques moments après.

 

– Allô, tu vois, j’ai porté plainte !

– C’est malin ! Ça va être classé sans suite ton truc !

– Même pas ! C’est un faux !

– Tu mérites encore une fessée !

– Je sais, je peux passer la prendre vers quelle heure ?

 

Fin

 

© Chanette (Christine d’Esde) 2000 (révisé en 2012) reproduction interdite sans autorisation de l’auteur

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Vendredi 29 avril 2016 5 29 /04 /Avr /2016 17:22

Chanette 2 : Chanette et la journaliste

 Fetish2

1 - L'interview

 

- Allo Corinne, ça va ? Dis, j'ai un petit service à te demander, tu pourrais passer me voir au studio vendredi à 9 heures ?

- A 9 heures ! Tu vas me faire réveiller de bonne heure ! Et c'est quoi ce service ?

- Je t'expliquerai. Rassure-toi, ce ne sera pas une corvée, je pense même que ce sera très amusant.

- Tu ne peux pas m'en dire plus ?

- Disons qu'il faudra qu'on en discute un peu, et que là je n'ai pas trop de temps...

 

Ce qu'il y a de bien avec Corinne, c'est sa ponctualité, si on lui dit 9 heures, elle est là à 9 heures, pas à 9 heures un quart ! Je ne lui connaissais pas ce tailleur rouge, ça lui va à merveille !

 

- Il est bien ? Non ? Je l'ai acheté hier !

- Superbe !

 

Mais tout est superbe chez Corinne, cette grande femme élancée à des allures de panthère. Un grand parent indochinois lui a légué ses cheveux bruns, noir comme du jais et ses yeux très légèrement amandés. Elle s'est mis un rouge à lèvres d'un vrai rouge ! Elle est magnifique, elle m'excite, je me l'enverrais bien, là, tout de suite ! Mais j'ai autre chose à faire ! Elle reluque ma tenue avec un brin d'étonnement ! Je me suis habillée d'un ensemble cuir et pantalon noir complétement clouté. Je me suis chaussée d'invraisemblables cuissardes munies de talons vertigineux, et histoire de couronner le tout, j'ai accroché une cravache à ma ceinture. Ne sachant pas trop quoi faire de mes cheveux et ne voulant pas me perruquer aujourd'hui, je me suis confectionné un chignon. Ça frôle la caricature, à mi-chemin entre dominatrice extravertie et motarde militante.

 

Elle me regarde en rigolant.

 

- Tu attends quelqu'un, on dirait ? Me demande Corinne.

- Très perspicace !

- Pourquoi tu ne m'as pas dit que c'était pour une séance ? Je me serais habillée autrement !

- Ce n'est pas pour une séance !

- Ah ? Qu'est-ce que ça peut bien être ? Et c'est quoi tous ces cartons ? Tu vas déménager ?

- Absolument, je me suis acheté un studio dans le 9ème, un deux pièces, j'ai fait aménager la chambre en donjon avec des chaînes et des tas de machins !

- Whah ! La classe ! Tu m'inviteras pour la crémaillère ?

- C'est prévu !

- Et c'est pour attendre les déménageurs que tu t'es déguisée en Vampirella ?

- Et non ! Le déménagement c'est demain !

- Alors ? Tu attends qui ?

- Une journaliste ! C'est une nénette de "Globo". Ils doivent se creuser pour trouver des sujets scabreux, alors une dominatrice, je te dis pas !

- Mais il fallait refuser !

- J'ai le droit m'amuser un peu, et c'est là que tu vas m'aider, on va s'inventer un petit scénario pour lui casser sa baraque !

- Ah ben, en voilà une idée qu'elle est bonne ! S'exclame la copine.

 

On cherche ! On cherche ! On s'arrête un moment sur un scénario où Corinne ferait la soubrette qui lui renverse une boisson sur son corsage… mais bon, on peut dans doute trouver mieux !

 

- Ecoute Chanette ! Arrêtons de chercher ! On va improviser ! Le bon truc ce serait qu'on s'arrange pour qu'elle nous dévoile ses propres fantasmes et on essaiera de s'amuser avec.

 

- Et si son truc c'est un gang-band avec huit déménageurs, on va faire comment ?

- Les gens n'ont rarement qu'un seul fantasme ! Et puis si ça le fait pas, on la fera marcher, il suffit de répondre n'importe quoi à ses questions !

 

Elle a réponse à tout, Corinne ! A 10 heures, l'heure du rendez-vous : Personne ! Nous commençons à désespérer. Elle n'arrivera qu'à 10 heures 20

 

- Bonjour ! Je suis Anne-Gaëlle de la Souderie de Chabreuil…

 

Whaou ! Je suis allergique aux noms qui se dévissent, et puis pas un mot pour excuser son retard !

 

- Vous êtes en retard !

 

Je n'ai pas pu m'en empêcher de lui balancer cette vanne...

 

- Je suis désolée, il y a un embouteillage fou sur le boulevard...

 

L'envie de continuer à être désagréable m'effleure, ce serait si facile de lui dire qu'elle aurait pu me prévenir, mais je ne veux pas prendre le risque qu'elle s'en aille en claquant la porte, j'ai trop envie de m'amuser. Je change de tactique et c'est tout sourire que je lui lance :

 

- Je devrais vous punir !

 

Elle ne répond pas ! Mais l'espace d'un moment son regard se trouble ! Un instant je croise celui de Corinne ! Elle a compris, elle aussi !

 

Très vite Anna-Gaëlle veut reprendre la maîtrise des évènements, elle fouille dans son sac à dos à la recherche de son magnétophone. Je l'observe. Elle est de taille moyenne, simplement vêtue d'un fuseau noir et d'un petit pull blanc qui lui moule une poitrine d'une taille fort convenable, ses cheveux mi- courts et teints en blond sont plaqués sur la tête. Elle est très maquillée, trop même. Sans doute a-t-elle de petits problèmes de peau ? Mais j'aime bien le rouge à lèvres vieux rose qu'elle a apposé sur ses lèvres charnues. Bref, son look ne correspond en rien à ce qu'on pourrait imaginer aussi bien chez une journaliste que chez une aristocrate. Et si ce n'était pas une journaliste ? L'idée m'effleure un instant. La police est venue plusieurs fois fouiner dans mes affaires, sans qu'il n'y ait eu aucune suite d'ailleurs. Je n'ai rien à me reprocher, mais périodiquement ça les reprend !

 

- Vous avez votre carte de presse sur vous, bien sûr ?

- Vous n'avez pas confiance ?

- Ce n'est pas une question de confiance, je vous expliquerai après !

 

Elle farfouille dans son sac… ne trouve rien !

 

- Je ne dois pas l'avoir sur moi, on me la demande plutôt rarement…

 

Ça me rassure, une emmerdeuse, genre détective privée m'aurait exhibé une fausse carte !

 

- Laissez tomber ! Mais décidément je devrais vraiment vous punir !

 

A nouveau son visage se trouble ! Notre journaliste doit se demander dans quel guêpier elle a placé ses pieds.

 

- Bon alors on se donne deux heures ?

 

Mais Corinne ne la laisse pas démarrer :

 

- Ce reportage, c'est une idée à vous ?

- Oui, on cherchait des sujets, comment dire ? Un peu en marge !

- Et ça vous est venu comment ?

- Comme ça ! En parcourant un journal d'annonces, il y avait des annonces de dominatrices, alors j'ai essayé d'avoir un rendez-vous, mais elles ont toutes refusé. Et puis, quelqu'un m'a donné vos coordonnées !

 

Elle ment ! Elle ment effrontément ! Les journaux d'annonces évitent désormais de passer celles des travailleuses du sexe, sauf la "Vie Parisienne", les revues de sex-shop et Internet bien sûr !

 

- Comme c'est bizarre, et vous avez trouvé ça dans quel journal ?

 

- Oh ! Ça doit être dans un journal d'annonces gratuites !

 

Elle est devenue écarlate, Anna-Gaëlle ! Je lui laisse quand même le bénéfice du doute !

 

- Et qui c'est le zigoto qui vous a donné mes coordonnées ?

- Secret professionnel ! Répondit-elle en retrouvant un peu le sourire !

 

J'étouffe sous mon blouson de cuir, j'en ouvre la fermeture éclair, je n'ai rien en dessous, qu'un soutien-gorge en dentelle rouge, son échancrure laisse apparaître le haut de mes aréoles ! La journaliste a du mal à reprendre son contrôle !

 

- Bon on va commencer…

- Juste une question !

 

C'est Corinne qui est intervenue à nouveau

 

- Ecoutez ! Je vous propose de commencer, et après vous pourrez me poser toutes les questions que vous voulez, mais sinon on ne va jamais y arriver…

- Juste une question, une seule et après effectivement on vous laisse opérer !

- D'accord !

- Je suppose que tu as des fantasmes, je voudrais savoir si parmi tes fantasmes, il n'y en a pas un que tu pourrais concrétiser, ici ?

 

Une nouvelle fois, son visage s'empourpre, et je ne pense pas que ce soit parce que Corinne s'est mise à la tutoyer.

 

- C'est une bonne question ! Je vous promets d'y répondre tout à l'heure.

 

Je me lève ! Elle est à point !

 

- Non, tout de suite !

 

Elle ne répond pas ! Jette un coup d'œil désespéré à son enregistreur qui n'a toujours pas démarré ! Sans doute hésite-t-elle l'espace d'un instant sur la conduite à tenir ? Il est encore temps pour elle de prendre la fuite ! Le jeu me plaît bien. Il me faut maintenant porter l'estocade, je retire mon blouson et m'avance vers elle

 

- Je t'excite ?

- Euh...

- Pardon ?

- Oui, un petit peu !

- C'est mes nichons qui t'excitent ?

- Disons que c'est surtout l'ambiance !

- Ils sont pas beaux mes nichons ?

- Si, si !

 

Je dégrafe mon soutif et lui met carrément mes seins sous le nez.

 

- Vas-y ! Ils sont à toi ! Mais profites-en bien, ça ne va pas durer longtemps !

 

Elle se jette sur mes seins comme un chat sur un verre de lait, et tandis que d'une main elle me malaxe le gauche, de sa bouche elle me gobe l'autre. Je suis de plus en plus excitée. Je la laisserais bien continuer mais ce n'est pas le but de l'opération !

 

- Stop !

 

Elle ne stoppe rien du tout et continue !

 

- J'ai dit stop ! Sinon je t'en retourne une !

 

Elle continue. Je la repousse !

 

- Tu as entendu ce que je viens de dire ?

- Pardonnez-moi, je crois que je ne sais plus ce que fais !

- J'avais remarqué ! Mais tu vas l'avoir ta baffe !

- Non ! Ecoutez-moi !

 

Je lève la main ! Elle s'échappe et cavale au bout de la pièce ! A ce moment-là elle est à deux doigts de tout arrêter et de fuir ! Mais j'ai quelques expériences de ces situations !

 

- Bravo ! Bonne réaction !

 

Elle me regarde en essayant de comprendre ce que je veux dire ! Elle peut toujours essayer, il n'y a rien à comprendre !

 

- Tu es très belle !

 

Ça c'est plus facile à comprendre ! Elle me fait un sourire, déjà, elle ne sait plus quoi faire.

 

- N'aie pas peur !

- Je n'ai pas peur !

- Déshabille-toi !

- Ecoutez, je ne sais pas quoi dire ! C'est la première fois que... j'ai eu envie tout d'un coup… Un coup de folie...

- T'as encore envie !

- Je sais pas, peut-être...

- C'est plutôt non ou plutôt oui ?

- Plutôt oui, mais, bon, faites-moi ce que vous voulez mais ne me faites pas de mal !

 

- C'est promis ! Déshabille-toi maintenant !

 

Elle a repris confiance ! Elle se déshabille très vite, et je peux admirer ses jolis seins laiteux un peu lourds ! Soudain j'en ai envie ! Mais j'ai le temps…

 

- Tu ne restes pas debout : tu n'en as pas le droit, tu te mets à quatre pattes ou à genoux !

 

Elle s'exécute sans discuter, et la voici à quatre pattes, je regrette aussitôt l'ordre, car cela m'empêche de voir comment elle mouille. En ce qui me concerne ça va, je suis excitée comme je le suis rarement à cette heure de la journée. Je me débarrasse de mes cuissardes, de mon pantalon et de mon string. Me voici nue comme une grenouille. "Ce n'est pas une attitude de dominatrice" m'aurait dit Clara, mais Clara n'est pas là et je fais ce que je veux !

 

- Viens me boire !

 

Elle hésite ! Faut sans doute lui faire un dessin ? Alors Corinne l'accompagne jusqu'à moi. Ça va mieux, elle approche sa bouche de ma chatte et me lèche, elle lape la cyprine qui s'échappe de mon sexe avec avidité, et plus elle me lèche, plus cela m'excite. Je ne peux plus rester dans cette position il faut que je m'allonge et en plus une forte envie de pisser me taraude ! Pisser, pourquoi pas ?

 

- Stop !

 

Cette fois elle stoppe tout de suite, elle n'a manifestement pas envie d'être bousculée.

 

- Tu aimes boire tout ce qui sort de mon sexe ?

 

- Oh, Oui !

 

Après une telle approbation, je ne vais pas me gêner ! Je fais signe à Corinne que l'on va prolonger la séance dans la salle de bain ! Détail trivial, la baignoire est encombrée de trucs qui trempent ! Mais la salle de bain est carrelée, ça ira très bien ! Très vite, Corinne se déshabille à son tour !

 

- Allez ! On reprend !

 

Anna-Gaëlle reprend son mouvement de langue et attaque maintenant mon clitoris. Sait-elle seulement ce qui va lui arriver ? J'ai trop envie, mon urine s'évacue à présent en un jet puissant ! Et Anna-Gaëlle continue à sucer, à lécher ! Brave fille ! La bouche mi- ouverte, elle absorbe de temps en temps un peu de mon urine ! Cette fille est en train de réaliser ses fantasmes les plus fous !

 

- Oh que c'est bon ! Que c'est bon !

 

Sa réaction m'excite trop, j'en chialerais de bonheur, mais je ne veux pas rendre Corinne jalouse, une Corinne qui jusqu'à présent n'a pas fait grand-chose… Va-t-elle pisser aussi sur Anna-Gaëlle ? Non c'est le contraire !

 

- Pisse !

- J'essaie ! Mais ça ne vient pas !

- Force-toi !

- Il faut que je me concentre !

 

Alors on la laisse se concentrer, je ne suis pas calmée et Corinne est également dans un drôle d'état !

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- Ça y est !

 

Effectivement son urine dégouline maintenant sur ses cuisses, Corinne se met en position pour la lécher, pour la boire. Elle exagère Corinne ! Et moi alors ? Je m'accroupis pour recueillir son champagne ! ("Une dominatrice ne fait pas cela" dirait Clara) Il est délicieux, j'en veux encore, mais la source se tarit vite ! Qu'importe ! Elle en a partout, il suffit de lécher ! Et puis idée encore meilleure, je tends mes lèvres à Corinne et nous nous embrassons, mélangeant nos langues dans nos palais remplis d'urine.

 

Je m'assieds un moment, épuisée. Corinne en profite, elle n'est pas folle et j'ai son visage dans mon sexe, c'est elle qui me fera jouir la première. Ça vient très vite ! Mais je ne suis pas rassasiée. Anna-Gaëlle a commencé à se masturber en nous regardant ! Je quitte la salle de bain précipitamment prévenant que je reviens de suite !

 

Je reviens avec un coffret garni de godemichés. Les deux filles sont en train de s'embrasser goulûment. Je prends l'un des godes de taille moyenne, et désignant Anna-Gaëlle :

 

- C'est pour ton petit cul !

 

Au lieu de répondre, elle se met à quatre pattes et nous le tend ! Elle est tellement mouillée que son anus s'est pratiquement auto lubrifié, j'enfonce le truc provoquant des râles de satisfaction de la journaliste !

 

Je suis quand même pas mal épuisée, je demande à Anna-Gaëlle de me sucer ! Elle le fera avec une sauvagerie inimaginable. A tel point que Corinne qui à ce moment-là s'excitait seule dans son coin se placera à côté de moi et lui demandera de s'occuper de nous alternativement. Elle ne se fit pas prier. Corinne partit la première faisant tressauter son corps avant de retomber sans force sur le tapis de bain s'inondant de son urine trop longtemps retenue. Je la suivis assez vite ! Et tandis que Corinne semblait avoir un mal de chien à récupérer, je voulus rendre la politesse à Anna-Gaëlle, et je bus sa chatte toute dégoulinante où se mêlait les jus de mouille, de sueur et de pisse ! (" Une dominatrice ne fait pas cela " dirait Clara) Elle finit par jouir, elle aussi !

 

Nous nous sommes ensuite amusées à prendre une douche collective, après avoir débarrassé la baignoire, puis Anna-Gaëlle nous a expliqué que l'interview serait largement raccourcie. Ce qu'elle venait de vivre lui fournirait matière à article mieux que tout autre bavardage. Néanmoins Corinne et moi nous répondîmes avec honnêteté à toutes ses questions.

 

3 semaines plus tard… dans mon nouveau studio

 

- Corinne ! En voici une surprise ! Mais tu as l'air en colère, j'espère que ce n'est pas après moi ?

 

Elle me tend un magazine, le dernier numéro de Globo !

 

- Regarde ce torchon !

 

Je lis "un voyage au fond de la folie ! Une journée chez les maîtresses en cuir noir", s'ensuit un invraisemblable article dans lequel Corinne et moi sommes décrites de façon très reconnaissable, du moins physiquement parce que pour le reste nous passons pour de vraies cinglées ! Le pseudo reportage n'est qu'un tissu d'inventions invraisemblables.

 

- La salope !

- On ne va pas laisser ça comme ça !

- Non ! Elle mérite une bonne leçon !

 

à suivre

 1er prix des histoires érotiques de Revebebe en juin 2000 

Par chanette - Publié dans : Chanette
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Vendredi 29 avril 2016 5 29 /04 /Avr /2016 16:32

Chanette1 - Une gifle magistrale par Chanette

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Sans doute raconterai-je ici comment un jour j'ai eu la révélation de ma nature dominatrice. Sans doute raconterai-je ici mes premières dominations ou certaines des folles soirées organisées par le cercle SM ! Mais aujourd'hui j'ai envie de parler d'autre chose… Parce qu'à la longue toutes ces séances de donjon, avec les esclaves que l'on attache, que l'on dresse, pour nous ce n'est jamais pareil, mais pour le lecteur ça peut devenir lassant…

 

De cette soirée, je n'ai conservé que deux souvenirs, le premier c'est la date, puisque le thème en était Halloween, le second c'est… Mais patience l'histoire commence maintenant…

 

Ces soirées m'embêtaient un petit peu, trop de monde, trop de gens différents et surtout trop de gens bizarres, mais cela faisait tellement plaisir à Clara… Je m'étais habillée d'une tenue qui me laissait quasiment le torse nu, des lanières en cuir noir étant censées figurer un soutien-gorge qui ne soutenait rien du tout. A l'époque ma poitrine était moins volumineuse qu'à présent et je n'avais pas encore mes piercings, mes amis la trouvaient belle et je ne m'en plaignais pas ! Comme je ne me plaignais pas non plus des regards appuyés qu'elle provoquait dans l'assistance !

 

L'incident survint alors, il fut très bref !

 

Deux mains se posent sur mes seins et veulent commencer à les peloter. Il se croit où, celui-là ? Au club-med ? Ma réaction fut instinctive, je balançais à l'intrus une gifle magistrale qui l'envoya voir ailleurs.

 

- Tu as eu tort me dit Clara, ce qu'il aurait fallu c'est lui donner c'est un bon coup de pied, dans les couilles, il ne fallait pas le gifler, il reviendra…

 

Elle ne croyait pas si bien dire…

 

Mais les choses ne se passèrent pas du tout comme elle l'imaginait. Je n'ai pas revu l'olibrius de la soirée, sans doute était-il occupé dans son coin, pour ma part j'étais occupé dans le mien.

 

C'est quelques jours après que je reçus un étrange coup de téléphone :

 

- Bonjour, je vous appelle de la part de Corinne…

 

Il faudra un jour que je dise à Corinne d'arrêter de refiler mon numéro à tout le monde…

 

- Je suis le jeune homme que vous avez giflé l'autre jour ! Vous allez me trouver follement téméraire, mais je souhaiterais vous revoir…

 

Je ne sais pas pourquoi, je n'ai pas raccroché.

 

- Ah bon ! Parce que vous voulez encore des baffes !

- Oui tout à fait ! Cette gifle m'a terriblement excité ! Et Corinne m'a dit que vous accepteriez de faire des dominations sur des scénarios qu'on vous soumettrait…

 

Elle parle décidément trop, la Corinne…

 

Je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas envoyé paître.

 

- Et vous pouvez venir quand ?

- Je ne sais pas, moi, dans une demi-heure !

- Alors dépêche-toi !

 

Et je lui donnais l'adresse ! En l'attendant, je modifiais ma tenue, me dénudant complètement la poitrine, pour ensuite me couvrir d'un corsage super transparent, qu'en plus je laissais ouvert… Le type arriva, ponctuel, l'ayant à peine aperçu l'autre soir, je ne le reconnus évidemment pas !

 

- Je suis Phil…

- Silence ! Tu vas commencer par te foutre à poil, ensuite tu te mettras à genoux, et ensuite peut-être on discutera…

- Mais, je... J'avais apporté…

- Oui je sais, tu as apporté un scénario, mais ça m'étonnerait qu'en l'écrivant, tu aies indiqué que tu devrais rester habillé !

- Je suis obligé ?

- Non ! Tu peux aussi repartir !

 

Le type alors se déshabilla, il était assez frêle, fragile même, ses traits étaient délicats, presque efféminés. Tous les poils de son corps, à l'exception toutefois de la toison pubienne avaient été consciencieusement épilés.

 

- A genoux !

 

Il s'exécuta sans broncher !

 

J'adorais ce genre de situation. Le type peu habitué aux rituels des dominations qui arrive avec son scénario dans la tête et qui se figure que ça va se passer sans problème. Et bien, non ! C'est moi la maîtresse, c'est moi qui dirige les opérations. Son scénario, c'est si je veux, quand je veux et comme je veux ! Mes esclaves sont mes jouets, je les veux dociles et disponibles ! Mais les choses ne sont pas si simples, une domination réussie est une domination où le soumis aura envie de revenir… et ce point n'est jamais gagné d'avance !

 

- Bon relève-toi !

 

Il se relève et aussitôt je le gifle, en dosant le coup.

 

- On dit " Oui Maîtresse ! "

- Oui Maîtresse !

- Tu vas mettre les mains derrière ton dos, et tu ne les bouges plus…

- C'est que…

- C'est que quoi ?

- Oui Maîtresse !

- Bon, je vais te faire plaisir, regarde !

 

Et tout en parlant, j'ôte mon chemisier, libérant ma poitrine, je sens qu'il n'en peut plus, le pauvre.

 

- Alors ? Elle est comment ma poitrine ?

- Magnifique maîtresse !

- Alors baisse la tête et regarde-là !

 

Le pauvre bandait comme un sapeur rien qu'en matant mes nichons. J'en éprouvais une certaine fierté !

 

- Alors c'est quoi ton scénario ?

- Ben…

- Ben quoi ? Tu l'as perdu en route ?

- Non ! J'aurais voulu vous tripoter les nichons, et vous m'auriez giflé jusqu'à ce que je sois obligé d'arrêter, et après en punition j'aurais eu droit à une fessée !

 

Voilà qui avait le mérite d'être simple et de sortir de l'ordinaire !

 

- Et tu crois que je vais accepter cela ?

- Je suis venu pour cela, maîtresse !

- Bon vas-y !

 

Il n'y croyait plus, il s'empare sauvagement de mes seins et les pelote, les caresse, les malaxe. Je le laisse faire un moment, cela a l'air de le surprendre, et puis j'y vais, je dose mes gifles, il ne faut quand même pas qu'il s'arrête à la première, c'est un jeu. Son visage devient tout rouge, il me pelote toujours, il s'enhardit même et attaque mes tétons. Le voici qui baisse la tête pour essayer de me les sucer ! J'augmente la force de mes gifles, il résiste à une gifle, à deux, à trois, à quatre, pas à la cinquième, il est vaincu et n'insiste plus ! Alors il se tourne et m'offre son petit cul ! J'attends un petit peu, je ne suis pas pressée ! Et soudain je tape, je tape de plus en plus fort, mais ce type encaisse bien. J'essaie de taper plus fort mais je me fais mal aux mains. A ce stade normalement je ne continue plus, je prends un instrument, souvent un martinet ! Je le lui dis !

 

- Non je n'aime pas les instruments !

- Tu as essayé au moins ?

- J'ai essayé le martinet, ça me fait trop mal !

- Parce que ça cingle, mais j'ai quelque chose qui ne cingle pas !

- Non ! Maîtresse ! Je voudrais…

- Dis donc ! Ça te plairait de revenir ?

- Bien sûr !

- Alors tu te tais !

 

J'allais chercher une brosse à cheveux, le genre grand modèle avec plein de piquants

 

- Rassure-toi, je vais me servir du côté plat !

- Non !

- Mais tu vas te taire un petit peu !

 

Je commençais à taper, sans trop forcer !

 

- Alors c'est comment ?

- C'est pas mal du tout !

 

Du coup je m'arrêtai et attendis sa réaction !

 

- Je, je crois que j'en veux bien encore !

- Tu ne crois pas que tu exagères, ce sera pour la prochaine fois… Mais tu as vu comme tu bandes, tu veux jouir comment ?

- C'est que j'avais envisagé une suite…

- La prochaine fois la suite, je n'ai pas que toi à m'occuper…

- Maîtresse, laissez-moi vous parler juste 30 secondes et après je ferai ce que vous voudrez, et si vous voulez que je parte, je partirais…

- Bon 30 secondes, pas une de plus !

- J'ai un copain qui m'attend dans la voiture en bas ! Il serait ravi que vous lui fassiez subir le même sort qu'à moi…

 

J'avoue que je ne m'attendais pas à ce genre de chose !

 

- Tu le connais depuis quand ton copain ?

- Depuis 10 ans, c'est un ami d'enfance, un type formidable, super intelligent, plein d'esprit, un joyeux luron, mais il est super complexé et trop timide

- Et il a les mêmes fantasmes que toi ?

- Souvent nos fantasmes, on les bâtit ensemble en parlant…

- Vous vous excitez en vous racontant des histoires de cul ?

- Oui des fois !

- Et vous avez fait des choses ensemble ?

- Euh…

- C'est quoi Euh, c'est oui ou c'est non ?

- Des petits trucs !

- C'est quoi des petits trucs ?

- Des branlettes !

- Des branlettes, pas de pipes ?

- Si deux ou trois fois !

- Et vous ne vous êtes jamais enculés ?

- Non !

- Ça ne te plairait pas ?

- Si !

- Et pourquoi tu ne fais pas ?

- Je n'ose pas lui en parler !

- Ah bon ! Dis-lui de monter !

- Maîtresse ! S'il vous plait

- Quoi ?

- Obligez-nous à le faire !

- C'était bien mon intention !

 

Voir deux mecs faire l'amour était l'un de mes fantasmes. J'avais déjà vu des types se faire des trucs dans les soirées SM, mais il s'agissait de mecs complètement bodybuildés à moustaches qui ne m'excitaient guère. Certaines dominatrices s'amusaient à contraindre des soumis à avoir des relations sexuelles forcées, ce n'était pas encore mon trip… Non ce qu'il me fallait, c'est deux hommes presque ordinaires… et là j'en avais l'occasion. Les conseils de Clara me revenaient à l'esprit : " - Ne monte jamais deux hommes ensemble, contre un homme tu pourras toujours te défendre, contre deux c'est impossible… " Mais non je ne risquais rien

 

Ça y est l'autre était là maintenant. Phil ne m'avait pas dit qu'il était aussi laid, binoclard, trapu, bedonnant, le visage balayé d'un rictus ridicule, la peau constellée de défauts divers, berck, berck, mais je me devais de faire bonne figure maintenant !

 

- A poil !

 

Eric (il s'appelait Eric) ne se fit pas prier. A poil il passait mieux, moins frêle que son copain, et mieux monté, mais comme l'autre il était presque entièrement épilé ! Je décidai de jouer le jeu mais d'aller plus vite !

 

- Vas-y tripote-moi les seins

 

Eric était beaucoup plus délicat que Phil, en me tripotant les seins, j'avais l'impression qu'il découvrait quelque chose. J'appris beaucoup plus tard que c'était en fait une vraie découverte. J'étais son premier contact féminin ! J'hésitai un instant à gifler ce visage si ingrat, mais après tout il était venu pour cela et il eut sa dose de baffes. Moins résistant que son ami, il ne tarda pas à me tendre son postérieur que j'attaquai directement à la brosse sans que cela ait l'air de le gêner.

 

- Maintenant sucez-vous !

 

Les deux types étaient tellement excités qu'ils roulèrent par terre en se suçant mutuellement, en quelques brèves minutes ils parvinrent à la jouissance…

 

- La prochaine fois, vous vous enculerez !

- Oui maîtresse ! Me répondit Phil

 

J'étais quant à moi, mouillée d'excitation, l'envie de ma masturber me tenaillait.

 

- Viens me lécher

- Qui moi ?

- Oui toi !

 

Le pauvre Eric n'avait jamais fait cela de sa vie, il faisait ce qu'il pouvait, mais manquait cruellement d'expérience, je pris le parti d'être gentille.

 

- Tu suces très bien, mais maintenant c'est le tour de ton copain

 

Ce n'était pas l'extase absolue, mais au moins Phil savait ce qu'il faisait et parvint à me faire jouir rapidement ! Je pris congé de ces deux zouaves…

 Dom35

Il me fallait maintenant faire deux choses : téléphoner à Corinne, pour lui dire d'arrêter de donner mon téléphone à tout le monde ! Et téléphoner à Clara pour lui raconter tout cela, ensuite lui dire de venir et de passer ensemble une bonne soirée complice. Mais les choses ne se passent jamais comme on les prévoit !

J'entends encore Clara me dire " - Une dominatrice ne fait pas cela ! " Ça veut dire quoi ce genre de phrase ? Je suis libre ! Je fais ce que je veux. Il n'y a pas plus de vraies dominatrices que de vraies pizzas ou de vrais couscous ! J'ai raccroché !

 

- Allô Corinne !

- Bonsoir Chanette !

- Je ne te remercierais jamais assez d'avoir donné mon téléphone à Phil, j'ai passé avec lui un super moment !

- Sans déconner ?

- Viens me rejoindre, je suis toute mouillée, je vais te raconter tout, et si après je suis encore excitée, tu en profiteras !

- J'arrive !

 

J'ai souvent revu Phil, il est devenu mon compagnon, puis mon mari… En aurait-il été autrement si ce fameux jour d'Halloween, je lui avais botté les couilles au lieu de cette gifle magistrale ?

 

© Chanette (Christine D’Esde) 2000 reproduction interdite sans autorisation de l’auteur

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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