Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:11

Surprise-partouze
3 - La punition de Carole

Stamp uro

 

Vous vous imaginez bien que ce qui s'est passé chez Thibault ce samedi soir et ce dimanche matin a laissé des traces. En fait, je suis plutôt satisfait de la façon dont les choses se sont passées. Tous ces gens sont peut-être un peu allumés, mais se sont révélés très corrects. N'empêche que j'ai l'impression que ma sexualité a pris un virage. Des perspectives que je n'envisageais qu'à travers le filigrane de mes fantasmes se font jour.

 

Le début de la semaine a été calme et tranquille, ce n'est que le jeudi que l'étrange proposition de Gwladys se mit à me tarauder. La carte comportait juste l'indication d'un numéro de portable sans autre précision. Elle m'avait sans doute donné que dans l'enthousiasme du moment, mais ça ne me coûtait rien d'essayer de l'appeler.

 

- Allô, c'est Vincent !

- Vincent, je ne vois pas...

 

Ça commence mal, non seulement c'est Gwladys qui me répond alors que j'aurais préféré que ce soit Simon, son mari, mais en plus elle ne me remet pas ! Je lui explique :

 

- Ah, d'accord, et tu aimerais bien que Simon t'encule, c'est ça ?

 

Quel romantisme !

 

- Ben oui !

- Hummm, tu vas lui sucer sa grosse bite noire, et après il va bien te la foutre dans le cul, et moi pendant ce temps-là, je vais me branler en vous regardant...

 

Manifestement, les mots l'excitent.

 

- Je peux passer quand alors ?

- Hum, si tu venais samedi vers 18 h 30, il y aura du monde et des surprises ?

 

Je donne mon accord, ça m'embête un peu qu'il y ait d'autres personnes, mais bon... Pour être très honnête, j'ai failli me dégonfler, c'est vrai qu'il y a quelque chose d'incongru de prendre un rendez-vous afin d'aller se faire sodomiser...

 

Ce matin, avant ma douche j'ai peaufiné le rasage de mon corps, ça m'amuse d'être ainsi tout lisse de partout… J'arrive donc vers 20 heures, une bouteille d'apéritif à la main. Gwladys m'accueille, joviale, on s'embrasse sur le bord des lèvres. Cette petite antillaise est décidément très mignonne, elle s'est habillée d'une petite robe verte à motif en tissu léger, courte et décolletée.

 

- Simon est en course, il va arriver d'une minute à l'autre... Et Carole et Thibault, ben on les attend.

 

C'est donc eux les autres invités ! Super on sera entre connaissances !

 

- Je parie que ton petit trou du cul, il piaffe d'impatience ! Me dit-elle en me mettant la main à la braguette.

 

Ça commence fort ! Ne voulant pas être en reste, je lui mets la main sur les nichons.

 

- Pas touche pour l'instant, par contre, moi j'ai le droit ! Reprend-elle en accentuant sa pression sur mon sexe. Hummm, je suis toute excitée, tu sais ce qu'on va faire tout à l'heure ?

- Du sexe ? Répondis-je bêtement.

- Obsédé !

- Ça c'est vrai !

- J'ai proposé à Carole de la punir pour avoir osé sucer la bite de mon mari devant moi. Elle est complètement d'accord, elle m'a dit qu'elle adorait la soumission.

- Et qu'est-ce que vous allez lui faire ?

- Tu es un peu trop curieux. Tiens tu sais ce que tu vas faire, tu vas te mettre entièrement à poil, j'ai envie de revoir ton petit cul de pédé !

 

Ce n'est pas un problème, je me déshabille, espérant un moment que Gwladys en fasse autant, mais non…

 

- T'est trop mignon, toi comme ça, tout rasé… et tes gros tétons... hummmm ça m'excite.

 

Et la voilà qui se met à me les tripoter, à me les serrer, à me les tortiller. Du coup, je bande comme un malade !

 

- On dirait que ta bite est en forme, ce soir, mais tourne toi que je vois ton cul ! Oh ! Les jolies fesses ! Qu'est-ce qu'elles sont belles !

 

Elle a vraiment l'air de les apprécier, me les caresse, puis vient me les embrasser.

 

- Ecarte les, j'ai envie de faire un bisou à ton petit trou du cul

 

Je sens sa langue s'approcher de mon œillet et le titiller, mais elle s'arrête assez vite, se relève et approche son index de ma bouche :

 

- Suce !

 

Je le fais.

 

- Et maintenant laisse toi faire, je vais te mettre un doigt...

 

Elle me farfouille le troufignon sans trop de ménagement. J'aime bien... et de temps à autre de son autre main me balance de petites fessées.

 

Elle finit par ressortir le doigt et me demande de le sucer à nouveau... Le problème c'est qu'il est pollué son doigt. Je refuse donc...

 

- Dis donc, tu ne vas pas nous faire de manières...

- C'est pas des manières, il est sale.

- Bon alors d'accord, mais dis-moi que tu es une petite salope !

- Je suis une petite salope !

- Alors les petites salopes, ça suce les doigts qu'on leur a mis dans le cul...

 

Bon, je ne suis pas bloqué par la scato tant qu'on en reste à la lisière, et puis l'excitation arrange parfois bien des choses, je finis par obtempérer et elle me remet son doigt dans mon orifice intime

 

Un bruit de clé, Simon rentre, suivi de Carole et de Thibault qu'il a rencontré en revenant des courses.

 

Pas gênée, Gwladys continue de me doigter, me faisant tortiller d'aise.

 

- Ça va, faut pas vous gêner ! commente Simon, hilare !

- Où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! Répond l'antillaise en finissant par se lever afin d'accueillir Thibault et Carole en les embrassant sur la bouche.

 

Je me lève à mon tour, on se congratule, tout le monde en profite pour me peloter...

 

- Dis donc Carole, je t'ai embrassé, mais je n'aurais peut-être pas dû, tu viens bien ici pour que je te punisse, non ? Lui fait remarquer Gwladys.

- Ben, vas-y punis moi, je suis venue pour ça ! Répond l'autre !

- Et je vais pouvoir te faire tout ce que j'ai envie ?

- Presque... comme on en a convenu au téléphone...

- Alors à poil !

 

Et tandis que Carole se déshabille, Gwladys m'apostrophe.

 

- Dis donc, toi l'enculé, qui c'est qui t'as dit de quitter ta position ?

- Bien obligé, fallait bien que je dise bonjour...

- Mouais... ben remet toi comme tu étais et attend moi, je reviens.

 

Scène surréaliste, je suis à poil, à quatre pattes par terre, tandis que Thibault habillé et Carole déshabillée aident Simon à installer les gâteaux à apéritifs...

 

Et voilà que Gwladys revient, elle a un tas de trucs dans les mains qu'elle dépose sur une petite table : un martinet, des pinces, des menottes, du gel, des capotes... mais c'est son accoutrement qui m'intrigue le plus, elle est entièrement nue et harnaché d'un gode ceinture... et j'ai bien l'impression que c'est pour moi... L'idée ne me plait que moyennement, c'est le sexe de Simon qui m'intéresse, pas un substitut en plastique, mais bon, l'un n'empêche pas l'autre...

 

De façon très érotique elle revêt le faux sexe d'un préservatif, puis fait semblant de se masturber... Bizarrement ce spectacle ne me laisse pas insensible.

 

Elle m'enduit le trou du cul avec du gel, elle doit forcer un petit peu pour que ça entre, ça finit par entrer, oups, ça fait un peu mal, je serre les dents, et elle se met à limer. Les trois autres se sont approchés pour jouir (si on peut dire) du spectacle. Les deux mecs se sont débraguettés et se paluchent la quéquette. Celle de Thibault s'approche de ma bouche, je la prends, finalement j'adore sa bite à celui-là, et commence à la sucer avec délectation, le seul problème c'est que les coups de boutoir que je reçois dans mon cul, me font bouger et que j'ai du mal à sucer correctement.

 

Gwladys finit par se retirer, me laissant le cul béant.

 

- Oh, le cochon, il a mis de la merde sur ton gode ! Constate Carole, qui fait semblant d'être outrée.

- Hummm, ça mérite bien 10 coups de martinet ! Répond l'antillaise.

- Moi je lui aurais fait nettoyer avec la langue ! Propose Carole !

- T'aimerais bien être sa place pour faire ça ? Répond Gwladys.

- Peut-être...

- Tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce qui va t'arriver tout à l'heure...

 

Tout en discutant, l'antillaise s'est emparé du martinet et commence à me cingler les fesses, elle n'y va pas de main morte, mais je ne dis rien, je préfère ça que de sucer son machin... J'encaisse les dix coups et me surprend à bander... décidément qu'est-ce que je découvre comme trucs en ce moment. Thibault s'était reculé, préférant sans doute attendre la fin de la flagellation pour que je reprenne ma fellation. Effectivement, il s'avance, mais Gwladys l'écarte :

 

- Il faut d'abord qu'il nettoie !

 

La salope ! Moi qui croyais y échapper... Encore une fois personne ne m'oblige à rien (du moins j'espère) je peux toujours arrêter ce cirque et quitter cette bande d'hurluberlus. Mais l'envie de jouer et de me dépasser est la plus forte... Le gode n'est quand même pas si pollué que ça, en tout cas beaucoup moins que la réflexion de Carole me le laissait présager. Je nettoie donc les traces de merde, une fois vaincu les premières réticences, ça n'a rien de terrible.

 

- Quel cochon ! S'écrie Carole.

- Bon, allez relève toi, on va trinquer, après on s'occupera de Carole, après Simon t'enculera, et après on verra bien, on improvisera.

 

On s'approche tous de la table.

 

- Non pas toi, Carole, les chiennes, ça ne boit pas l'apéro avec les humains, tu restes à quatre pattes, tu auras peut-être quelques miettes...

 

Gwladys qui venait de parler, passe un collier de chien à la belle blonde qui sans protester, entre dans son rôle, se met à genoux, et attends.

 

Simon fait le service, on trinque... petit moment de flottement, parce qu'on ne sait pas trop comment va s'organiser la suite, mais c'est Gwladys encore une fois qui prendra l'initiative.

 

- Elle veut peut-être un bretzel notre chienne ? Allez Carole fait la belle !

 

Carole fait ce qu'elle peut et présente ses mains en les recourbant à la façon d'un chien qui quémande...

 

- Aboie un peu pour voir comment tu fais !

- Wouh, wouh !

- J'espère qu'elle ne mord pas. Plaisante Simon.

- Mais, non ! répond Thibault, elle peut même te lécher la bite... ou le trou du cul, hein la chienne ?

- Wouh, wouh ! approuve Carole.

 

Simon ne se le fait pas dire deux fois et donne sa queue à sucer à la belle blonde qui se jette dessus comme la pauvreté sur le monde.

 

- Non, mais attends, tu crois que c'est vraiment une punition ce que tu lui fais faire ? Intervient Gwladys...

- T'as raison on va lui faire lécher le cul de Vincent, il doit être encore pollué, propose Thibault.

 

Je me positionne donc devant-elle afin qu'elle accomplisse ce qu'on lui demande.

 

- Dis donc, t'es un vrai cochon, dit-elle, t'aurais pu t'essuyer un petit peu, quand même...

 

Ben, oui, personne n'y a pensé, mais tout cela n'a pas l'air de rebuter la jolie Carole qui entreprend de me lécher l'œillet et elle fait ça, ma fois, de façon bien excitante...

 

Et voilà que le portable de Simon sonne !

 

- Ah ! Vous avez pu vous libérer ? Oui, oui montez, plus on est de fous, plus on rigole... l'entend ton dire avant de raccrocher.

- Continue à lécher, ne t'occupes pas des gens qui vont entrer ! Ordonne Gwladys à Carole.

 

Simon ouvre aux nouveaux arrivants, on s'embrasse, on se congratule. C'est un couple, la cinquantaine, madame est une grande brune, cheveux mi-longs et légèrement bouclés, très bronzée, habillée d'un pantalon et d'un débardeur qui met en valeur de jolies épaules et qui lui moule une poitrine qu'on devine généreuse, monsieur est en chemisette rose. On fait des rapides présentations pendant que Carole continue à me lécher le troufignon, ils se prénomment Katia et Alain.

 

- On va juste rester une petite heure, après il faut qu'on file ! Précise Katia.

- Et bin, y'a de l'ambiance, on dirait ! S'exclame Alain.

- C'est notre esclave, ce soir, on peut lui faire tout ce qu'on veut... enfin, presque...

- Hummm, c'est vrai ça ? Je peux me lâcher ? demande Katia.

 

Gwladys s'approche alors d'elle et lui susurre quelque chose à l'oreille, sans doute ce qu'elle peut et ce qu'elle ne peut pas lui faire...

 

- Tu me passe ton martinet ? demande Katia... et apporte-moi deux bonnes pinces à linges...

 

Et en attendant, elle se déshabille, pas complètement puisqu'elle a l'idée saugrenue de garder son soutien-gorge, j'espère qu'elle finira par l'enlever, mais la vision est sublime ! Quelle jolie femme, ma bite en est toute raide d'émotion. Par un beau mouvement d'ensemble, Simon, Thibault et Alain enlèvent aussi leurs vêtements, et j'ai la surprise de voir ce dernier se jeter à mes genoux.

 

- Je peux te la sucer ?

- Bien sûr !

- J'adore sucer des belles bites ! Me confie-t-il.

- Moi aussi ! Me surpris-je à répondre.

- T'aimes bien te faire enculer aussi ?

- Oui, d'ailleurs je suis venu pour ça !

- On est tous des enculés ! Conclue-t-il philosophiquement en me prenant en bouche...

 

Putain, qu'est-ce qu'il suce bien ce bourgeois ! J'en ai des frissons...d'autant que Carole continue simultanément à me lécher le cul... pas pour longtemps, Katia l'emmène sur le canapé.

 

- Voilà, je vais accrocher ces deux pinces sur tes tétons de salope et après tu vas te mettre à genoux là-dessus, tu baisses la tête, et tu relèves les fesses...

 

Carole en bonne soumise ne bronche pas pendant la pose de la première pince, mais ne peut s'empêcher de lâcher un petit cri pour la seconde. Katia la gifle en criant :

 

- Supporte et tais-toi !

- Oui !

- Je t'ai demandé de te taire... Ouvre ta bouche.

 

La belle blonde obéit, laissant Katia lui cracher au visage...

 

- Allez, en position...

 

La grande brune ne perd pas aucun temps et assène immédiatement à sa victime un coup en travers des fesses qui laissent de très explicites marques roses.

 

- Je vais bien te fouetter et après tu vas me sucer, et tu auras intérêt à me faire jouir.

- Vas-y fouette moi !

 

Elle le fait, rythmant ses coups de façon à surprendre sa victime, alternant les petites séries rapides et les pauses.

 

- Non, mais, regarde un peu tous ces pédés ! dit-elle, s'interrompant un moment.

 

Il est vrai que le spectacle est cocasse ! Thibault, Simon et moi-même sommes debout devant Alain qui nous suce à tour de rôle, tandis que Gwladys qui est passée derrière lui, lui trifouille l'anus.

 

J'ai peur de jouir trop vite, et puis je préfère sucer que de me faire sucer, aussi je me mets à genoux à mon tour, et comme Alain est en train de sucer Thibault, c'est vers la grosse bite noire de Simon que je jette mon dévolu. Hummm, je me régale, c'est fou ce que la texture d'une bonne queue est douce dans la bouche. Je ne m'en lasse pas, mais à un moment Alain me propose d'échanger nos partenaires. Pas de problème et me voilà avec la bite de Thibault dans la bouche, moins impressionnante, mais plus facile à sucer. Gwladys elle aussi change de victime et passe derrière moi pour s'occuper de mes tétons qu'elle serre comme un dingue. Je m'en fous, j'adore ça, et ça maintient mon érection au top.

 

A l'autre bout de la pièce on a droit à une sonate pour martinet et gémissements d'esclave. Le cul de la pauvre Carole est maintenant rouge comme une tomate.

 

- Bon, tu as eu ta dose, relève toi et mets-toi face à moi pour le final, commande Katia.

 

Quand Carole voit alors sa tortionnaire lever son martinet vers ses seins elle comprend ce qu'elle veut faire et par réflexe porte ses mains à sa poitrine afin de la protéger.

 

- Retire tes mains !

 

Elle le fait, mais les replace aussitôt !

 

- Bon si tu veux tout arrêter, tu as un mot de sécurité, lui demande la brune.

- Non, non, mais...

- Mais quoi ? Tu veux arrêter, ou pas ?

- Non !

- Alors retire tes mains.

 

Katia lève son martinet, et cette fois Carole fait un demi-tour pour se protéger.

 

- Bon, Gwladys, viens la tenir, sinon, je ne vais jamais y arriver...

 

L'antillaise se place derrière la blonde et la maintient en position en lui tenant vigoureusement les poignets. Katia arme son bras, vise la première pince à linge qui se décroche du téton. Carole pousse un cri, puis attend crânement le second coup. Katia le rate, se reprend et fait sauter la deuxième pince. Nouveau cri de Carole.

 

- T'as vu, elle a les cuisses toutes trempées, elle mouille cette salope ! Fait remarquer Gwladys.

- Il n'y a pas qu'elle qui est trempée, répond Carole... si tu pouvais aller nous chercher des serviettes, sinon on va noyer ton canapé.

 

Et tandis que Katia s'installe et que la blonde commence à la lécher, Thibault propose à Simon :

 

- Bon, ils nous ont bien sucés, maintenant on pourrait peut-être les enculer !

 

Les deux mecs se capotent, nous font mettre, Alain et moi à quatre pattes. Thibault pénètre le petit bourgeois avec une facilité déconcertante, il doit être habitué. Avec moi, Simon a plus de mal, d'abord parce en ce qui me concerne, je ne suis pas vraiment habitué, après tout ce n'est que ma troisième sodomie et mon deuxième partenaire et le sexe de celui-ci sans être énorme est tout de même une pointure supérieure.

 

Ça finit par entrer ! Et le voilà qu'il se met à coulisser dans mon étroit conduit. Toujours cette sensation un peu pénible au début qui disparaît assez vite au fur et à mesure que la prostate devient excitée. Je n'aurais jamais cru que c'était si bon de se faire enculer... J'aurais dû commencer avant...

 

Nous voilà donc en méga partouze : Katia se fait sucer la chatte par Carole, elle a enfin retiré son soutien-gorge et offre ses seins à Gwladys. Simon m'encule et Alain se fait faire la même chose par Thibault. Ce dernier prend rapidement son plaisir et se retire, contourne son partenaire et lui offre sa bite toujours encapotée et légèrement pollué à nettoyer, ce qu'il accepte de faire sans problème. Simon jouit à son tour. Va-t-il me faire la même chose que son voisin... Ben oui... faut surtout pas se gêner, mais je me surprends à accepter de le faire... tandis que sur le canapé, Katia crie comme une cinglée, Carole l'ayant fait jouir... Les deux femmes s'embrassent avec tendresse...

 

Et voilà qu'Alain manifeste le désir de jouir en me sodomisant à son tour ! Pourquoi pas ? Après le passage de la grosse bite de Simon, ça devrait se faire sans problème. Ça ne dure pas très longtemps (hélas), et sitôt fini je me relève, je voudrais bien jouir à mon tour.

 

- Un peu de patience, me dit Gwladys, tu as mérité une récompense et j'ai envie que tu me prennes, mais il n'y a pas le feu !

 

Pas le feu ! Pas le feu ! Je voudrais bien l'y voir elle, ce n'est pas elle qui a les bourses pleines, mais bon s'il faut attendre, on attendra...

 

- J'ai une de ses envies de pisser ! Déclare Katia, tu veux que je fasse sur toi ? demande-t-elle à Carole.

- Bien sûr !

 

Et voilà qu'on se dirige tous vers la salle de bain, mais il ne faut pas rêver, sept personnes ça ne rentre pas. Carole s'installe dans le fond de la baignoire, Katia s'accroupit au-dessus, je me faufile avec Thibault et Gwladys, les deux autres restent sur le pas de la porte.

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- Tu préfères que j'évite le visage ? demande Katia.

- N'évite rien, j'ai soif !

 

Pour une grosse envie, c'était une grosse envie, un vrai jet d'arrosage dégringole sur Carole qui essaie d'avaler ce qu'elle peut au passage.

 

- Si vous avez envie de pipi, les mecs, profitez-en... propose Gwladys

 

Délire pour délire, j'arrose à mon tour Carole, et Thibault ne tarde pas à m'imiter. Quant à Katia, elle reste en position semblant mijoter quelque chose... c'est le cas de le dire...

 

- J'ai une autre envie, un peu plus consistante, je peux ou pas ?

- Bien sûr que tu peux !

- Je veux que ce soit toi qui me le demandes !

- Vas-y chie moi dessus ! Mais peut-être pas sur le visage !

 

Et devant l'assistance médusée la belle Katia lâche un premier étron, rejoint bientôt par un deuxième puis un dernier qui atterrissent mollement sur les seins de la belle blonde. Un mélange de répulsion et de fascination finit par me faire rebander. Je commence à avoir mal aux couilles, moi !

 

Et quand Katia va pour quitter la baignoire c'est Carole qui lui propose :

 

- Reste-là, c'est moi qui vais te nettoyer le cul... avec ma langue !

- T'es une vraie salope, toi ! Vas-y nettoie mon cul plein de merde !

- Hé, hé !

- Tu aimes ça, hein ?

- Quand je suis excitée à fond, je peux aller très loin... ce ne sont pas des choses qu'on fait tous les jours... mais en ce moment, je m'éclate !

 

Après quelques brèves minutes de léchage de cul, la blonde se relève et offre ses lèvres à Katia qui les accepte (pouvait-elle faire autrement ?)

 

Carole prend une douche... Katia et Alain se rhabillent.

 

- Vous prenez quand même un verre avant de partir ? Propose Simon.

 

Ils acceptent, on est là tous les sept autour des bouteilles, on lève nos verres :

 

- On trinque à quoi ? demande Simon

- Aux enculés, bien sûr ! Répond Katia.

- Et aux salopes ! Ajoute Thibault provoquant l'hilarité générale.

 

Les deux zouaves boivent en vitesse, on se dit au revoir... La belle brune s'approche de moi, avec quelque chose dans la main.

 

- Toi, ça te dirais de passer chez nous un de ces jours ? J'aimerais bien que tu sois notre petit esclave et après tu pourras me baiser.

- Bien sûr !

- Voilà notre carte !

 

A suivre

Juin 2007

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être nommé Prix Spécial Extrême pour 2007

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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:10

Surprise-partouze
2 - un couple antillais
par Enzo 

 

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Donc à mon réveil, souhaitant prendre une douche, Thibault m’informe que les filles sont parties et que la douche on pourrait sans doute la prendre ensemble… Je devais être dans une période particulièrement libidineuse car cette proposition me fit (légèrement) bander… Du coup je retardais mon envie de pisser et me dirigeais vers la salle de bain.

 

- Je vais d’abord me raser !

- Tu te raseras après, viens donc ! M’invite-t-il

 

Et nous voici face à face, et sans aucun préalable voici le Thibault qui me caresse le torse… Alors bon, essayons de faire le tri, à la limite je veux bien faire des trucs bisexuels avec un mec (ben oui) quand on est un peu parti et qu’il y a des filles, mais là en duo masculin, ça me gêne un peu. N’empêche que quand le zigoto me serre mes tétons, non seulement je ne dis rien, mais cette fois ci ma bandaison devient dure de dure.

 

- Tu peux me faire pareil ? Quémande-t-il

 

Ben voyons, mais j’obtempère, et je ne tarde pas à voir le résultat, sa jolie verge se redresse à présent avec fierté exhibant son petit bout violacé d’où jaillit une petite goutte brillante… hum… envie de lui sucer… C’est dingue quand même, je suis entré dans ce studio hétéro, hétéro avec les idées larges, mais hétéro quand même et si ça continue je vais ressortir pédé comme un phoque (comme un foc ?). Mais au diable l’introspection, j’ai envie de sucer cette bite et je ne vois pas pourquoi je me gênerais, je me baisse donc, la tripote un petit peu, la cajole, la caresse, fais joujou avec, la presse contre me lèvres, et finis par l’emboucher, ce n’est jamais que la troisième fellation que je lui fais à ce gars-là, mais bon, je ne m’en lasse pas ! J’avance et je recule avec ma bouche, je me régale et je m’excite.

 

- Tu veux que je t’encule ? Me propose alors Thibault.

- Pourquoi pas, tu aimes ça toi enculer les mecs ?

- J’aime bien enculer les beaux culs, les mecs, les filles… allez, tourne-toi. Et mets tes mains à plat contre le mur.

 

En me tournant je le vois prendre un préservatif, dans la niche à savon, l’animal avait bien prémédité son coup…

 

- Ce ne serait pas plus confortable sur le canapé, non ?

- Ça change, on va faire couler l’eau, tu vas voir c’est génial...

 

Puisqu’il le dit !

 

Mais pour l’instant, il me lèche le trou du cul et vu l’ardeur qu’il y met, il a l’air de trouver ça très jouissif.

 

- Hum, il sent bon ton cul ! Commente-t-il

 

Comme ma dernière douche remonte à la veille, je suis un peu étonnée, mais bon, c’est vrai qu’il y a des amateurs d’odeurs un peu fortes, chez les femmes cela ne me dérange pas, chez les hommes je suis incapable de dire…

 

- Bon allez, prêt ?

- Prêt !

 

Il pousse, il pousse un peu plus et ça rentre… et le voilà qui m’encule… et comme hier soir après une petite période d’adaptation, je me surprends de nouveau à aimer cet acte… j’ai vraiment découvert quelque chose…. Thibaut continue à me défoncer, je suis bien, mais curieusement ma bite débande. Bizarre ce phénomène. La sodomie dure une dizaine de minutes, je suis complètement ailleurs, puis je le sens s’arrêter, puis se retirer. Je me retourne, il vire la capote.

 

- Finis-moi à la bouche !

- C’est que…

- Allez fais-moi plaisir, si tu n’aimes pas ça, tu craches, ça ne me vexera pas.

 

Bon, je reprends donc ma fellation, sa bite à un vague goût de latex auquel je n’ai pas trop le temps de m’habituer, je sens sa verge qui se livre à de curieux soubresauts dans mon palais, tandis qu’une bonne giclée finit par l’envahir. J’en avale un peu, j’en recrache une autre partie, le sperme (même si pour l’instant, je ne connaissais que le goût du mien) ne m’a jamais passionné…

 

Je ne bande pas, et j’ai envie de pisser, mais Thibaut a encore plus envie de moi et le voilà qui sans prévenir se met à me pisser sur le torse. Ça m’amuse, c’est chaud, c’est rigolo, et du coup je fais pareil, nos jets dorés se croisent et sans échanger un mot nous finissons notre délire en une immense partie de rigolade.

 

Bizarrement, le fait que je n’ai pas joui à l’air de l’indifférer complètement… Pas bien grave, je me dirige vers le lavabo pour me raser. Et tandis que je finis d’enlever la mousse, revoici Thibault qui se ramène :

 

- Pourquoi tu ne te rases pas partout ?

- Je le ferais peut-être un jour…

- Tu veux que je te le fasse, pour certains endroits c’est plus facile de faire ça à deux.

 

J’ai fini par accepter, n’hésitant pas à user un nombre impressionnant de rasoirs, il entreprit de me débroussailler l’ensemble du corps. Je me sens un autre homme, je ne me reconnais qu’à peine dans le miroir, Thibault passe derrière moi et me pince les tétons, et voilà que je rebande… il me masturbe doucement… mais le téléphone sonne !

 

Cinq bonnes minutes après, il n’était toujours pas revenu. Il y a des mecs comme ça, ils sont incapables de faire bref, il faut qu’ils bavardent, quelles que soient les circonstances extérieures…

 

Du coup je sors de la salle de bain, recherche mes fringues et me rhabille. Par politesse j’attends quand même que monsieur ait terminé sa communication pour me tirer…

 

- Tu t’en vas ? Finit-il par dire au bout d’un quart d’heure.

- Ben oui j’ai des trucs à faire chez moi !

- C’est dommage, je t’aurais bien proposé un plan cul !

- Une autre fois !

- Comme tu veux ! Ah, n’oublie pas ton portable ! Dit-il en me tendant un petit téléphone tout bleu.

- C’est pas à moi celui-là !

- Ah, bon, ce doit être à l’une des deux nanas….

- C’est vraiment dommage que tu partes, j’aurais bien aimé te mater encore comme ça tout rasé de près…

 

C’est qu’il insiste l’animal !

 

- On se rappelle…

- Montre-moi une dernière fois tes tétons et je te laisse filer.

 

D’accord, je soulève mon tee-shirt. Il me les attrape, me les tortille, mon dieu que c’est bon ! Et voilà que je bande de nouveau.

 

- Allez, tu n’es pas à une heure près, j’ai une petite idée derrière la tête, laisse-moi faire, on va s’éclater.

- Mais…

- Mais tu n’as pas bientôt fini de rouspéter, tu sais ce qu’on va faire, on va jouer au maître et à l’esclave et je vais te mettre au coin une demi-heure le temps qu’on s’organise !

- N’importe quoi !

- Va donc me chercher deux pinces à linges dans la salle de bain.

 

Allez donc savoir pourquoi j’y suis allé ? Allez donc savoir pourquoi je l’ai laissé faire quand il me les a accroché sur le bout de mes seins et allez donc savoir pourquoi j’ai accepté de me mettre au coin, à genoux et culotte baissée.

 

Thibault téléphone, il passe un coup de fil, deux coups de fil, trois coups de fil, et ça dure et ça raconte des tas de trucs… Je me fixe une heure limite pour mettre fin à ce cirque.

 

- Ça te dirait de sucer une belle bite noire ! Me demande-t-il

- Si le mec est sympa et correct, ça peut se faire ! M’entendis-je répondre.

 

Et le voilà qui refait un numéro ! Je ne saisis pas tout de la conversation, mais j’ai l’impression que l’affaire est en train de s’arranger. Effectivement après avoir raccroché, Thibault jubile.

 

- C’est un couple d’antillais, ils allaient partir pour une fête de famille qui ne leur disait pas grand-chose, du coup ils vont passer, ils n’habitent pas très loin… Mets-toi donc complètement à poil pour les attendre… Ou plutôt non, rhabille toi, ça t’embête de me faire quelques courses… à tous les coups ils vont vouloir du punch.

 

Et me voilà avec mon caddie à la main dans la supérette du coin ! La situation est surréaliste, je viens de me faire raser tous les poils par un mec qui m’a enculé deux fois, que j’ai sucé trois fois, et qui vient d’inviter un black bisexuel avec sa copine ! Il me semble pourtant qu’hier j’étais hétéro…

 

Simon et Gwladys sont arrivés un peu avant midi ! On se présente, la fille est charmante, un beau visage, une belle peau café au lait, le mec n’est pas très grand, petite moustache, l’air malicieux, très souriant.

 

- Alors comme ça tu sucerais bien une bite de black ! M’interpelle la fille entrant donc tout de suite dans le vif du sujet !

- Oui, pourquoi pas ?

- OK, alors allons-y ! Mais tu vas faire comme je vais dire, mets ta main sur sa braguette et caresse jusqu’à ce que tu sentes que ça devienne dur…

 

J’obtempère, je fais comme elle a dit, et effectivement après plusieurs passages, je sens une belle rigidité se former sous ma paume.

 

- Ça y est, il bande ?

- Je crois bien, oui !

- Vérifie, Thibault !

 

Thibault met la main à son tour, et confirme mes dires.

 

- Bon alors défait la fermeture et rentre ta main.

 

Je le fais, la fine épaisseur de coton est un bien pauvre obstacle et bientôt sans qu’on me le demande me voilà en train de tripoter la verge de ce charmant jeune homme.

 

- Bon sort lui sa queue maintenant et branle-la

 

Pas de problème, l’engin est sorti de son nid, j’avoue que je m’attendais à plus gros, mais sans être démesurée cette bite est de bonne taille… et puis je me rassure quelque part, s’il veut m’enculer autant que cela se fasse avec une pine à dimension humaine…

 

- Thibault, sors aussi ta bite, il va vous branler chacun avec une main !

 

C’est un vrai plaisir de se faire commander par cette coquine, j’espère que je la verrais un peu plus déshabillée dans quelques instants… Me voilà donc en train de branler deux queues à la fois.

 

- Prêts à sucer ? me demande Gwladys !

- Oui !

- Alors vas-y !

 

Et me voilà, (déjà devrais-je dire) avec la pine du black dans la bouche ! Quelle sensation ! Le problème c’est que je n’ai jamais subi de stage d’avaleur de sabre et que tout mettre dans ma bouche est impossible, alors je me contente de sucer le gland et de lécher la hampe…

 

- Bon, belle entrée en matière ! Maintenant mettez-vous à poil tous les trois, ce sera plus cool…

 

Pas de problème !

 

- Fais-moi voir ce petit cul d’enculé ! M’ordonne la belle antillaise ! Hum pas mal, jolies petites fesses, et tu as vu, il est tout lisse, Thibault ne nous avait pas menti … Allez remettez-vous comme vous étiez et continuez.

 

Je continue donc, osant même lécher ses gros testicules…

 

- On change un peu, Thibault à ton tour de lui lécher la bite, et toi Vincent, tu vas lui sucer le trou du cul ! Ordonna Gwladys décidément très à l’aise dans son rôle de maîtresse de cérémonie

- Euh, peut-être pas ! Protestais-je

- Pourquoi ? Si c’était le mien tu le ferais !

- Oui ! Répondis-je sans hésiter un instant !

- Bon ben, tu vois, ça a peu près le même goût ! Alors tu fais ce que tu veux, mais nous on est juste de passage, si tu veux me voir à poil et me caresser un peu, ben il faut lui lécher le cul !

 

Que voulez-vous faire devant de pareils arguments ? Je me positionnais et entrepris de sucer la rosette de Simon qui d’ailleurs sentait surtout la savonnette…

 

Dring !

 

Voilà que l’on sonne à l’entrée !

 

- Continuez, je vais voir, nous dit Thibault, qui s’enfile vite fait son caleçon avant d’aller ouvrir.

 

On ne continue pas, on attend la fin de cet intermède… mais je reste malgré tout agenouillé derrière le cul de l’antillais qui exhibe en même temps une bite super bandée… Et voilà qu’on rentre… C’est Carole qui vient rechercher son téléphone portable !

 

- Et ben, faut pas vous gêner, bonjour messieurs dames, moi c’est Carole, bonjour madame, bonjour monsieur, oh, vous avez une bien jolie queue, je peux toucher ?

- Mais avec grand plaisir ! répond l’intéressé.

 

Placé comme je suis j’enrage de ne pas pouvoir assister à la fellation improvisée que la belle blonde est en train de lui faire, mais elle doit y mettre tout son cœur car elle n’est guère silencieuse émettant de très curieux gloup-gloup

 

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- Bon, dis donc Simon, mon truc c’est de te voir faire des choses avec des mecs, et là t’es en train de contourner mon fantasme on dirait…Intervient Gwladys

- Tu veux que j’arrête alors ? répond Carole s’interrompant un moment afin de ne pas répondre la bouche pleine !

- Non, non, j’allais venir ! Proteste Simon.

- Alors je fais quoi ? Insiste Carole

- Bon finis-le ! Mais tu n’avales pas ! Tu gardes tout dans ma bouche ! Allez suce, salope !

 

Carole un peu perturbée de ce contretemps et de cet écart de langage reprend son travail. La petite assistance comprend assez vite que l’homme lui éjacule dans la bouche. Gwladys se précipite alors vers elle, lèvres contre lèvres. La blonde un peu étonnée finit par se laisser faire et les deux femmes se mettent alors à s’échanger un long baiser au sperme frais.

 

- Ben, dis donc, tu suces vachement bien ! La complimente Simon.

- C’était un plaisir cher monsieur ! Répond notre pipeuse

- Ouais, tu n’as pas un petit peu honte de te faire sucer par une femme devant moi ? Intervient Gwladys

- Ben, non, et puis c’est toi qui lui a dit de me finir… euh les filles ça ne vous dérangerait pas de vous mettre un peu à poil !

- Tu ne le mérites pas ! Lui rétorque sa compagne.

 

Quand je pense que j’ai léché le cul de son mec pour pouvoir la voir à poil et maintenant elle est en train de se défiler...

 

- Tu sais que t’embrasses bien ! Intervient Carole en caressant avec tendresse la joue de la petite antillaise !

- Tu en revoudrais ?

- Humm bien sûr !

- Mais tu n’as plus de sperme.

- Je peux aller t’en rechercher si tu veux !

- Chacun le sien alors ?

- Bonne idée ! Allez, on se désape !

 

Les deux filles se déshabillent de conserve, et je peux enfin admirer le joli corps couleur de chocolat au lait de Gwladys, ses seins nerveux aux aréoles très sombres, et les poils tous crépus de sa petite chatte. Et voici que tandis que Carole se positionne entre les jambes de Thibault pour lui pomper le sexe, c’est Gwladys qui s’est emparé du mien et qui se met à me le gober avec avidité. Du coup, Simon s’assoit dans un fauteuil et regarde comme au spectacle, assez mal placé pour faire quelque reproche à sa compagne.

 

Thibault jouira assez rapidement, il faut dire que Carole paraît déchaînée, quand à ma partenaire du moment j’ai l’impression qu’elle fait traîner la chose afin d’agacer Simon, mais ne voulant pas être en reste, elle finit par accélérer la cadence et l’action combiné de sa langue et de ses lèvres finit par avoir raison de ma quéquette.

 

Les deux femmes alors s’élancent l’une vers l’autre, comme tout à l’heure elles cherchent à s’embrasser, mais ou bien elle se coordonnent mal ou bien le volume de sperme devient trop important, toujours est-il que ça bave, ça dégouline, elles s’en étalent partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, sur les fesses… et ça pelote, et ça lèche… Un moment Gwladys lèche les fesses de Carole, puis s’approche de son trou qu’elle lui chatouille de la langue se faisant pâmer sa partenaire de plaisir, qui du coup ramène ses jambes au-dessus d’elle offrant sa chatte à dévorer. Ce qui n’est pas un problème pour la blackette qui accepte la position ainsi offerte et suce le clito de la blonde jusqu’à la jouissance…

 

De son fauteuil, Simon est aux premières loges, il a une vision imprenable sur le cul de sa copine qui vient de se tortiller pendant cinq minutes au rythme de ses coups de langues. Pris d’un accès fou et subit de désir, il se précipite bite en avant et la sodomise sans préalable. Son sexe pénètre dans l’étroit passage apparemment bien habitué à ce genre d’assauts, il y coulisse en de larges mouvements en soufflant comme un bœuf tandis que sa dulcinée ronronne de plaisir. L’affaire dure peu de temps et nos deux tourtereaux finissent par s’écrouler l’un sur l’autre et complètement groggy… Quant à Carole elle est restée au sol devant l’autre fille lui caressant le visage pendant la saillie avec une infinie et surprenante tendresse.

 

- Je peux pisser ? demande Simon, se redressant. T’inquiètes pas je t’aiderais à passer la serpillière !

 

Devant l'acquiescement de Thibault, il se met alors à pisser sur sa femme qui loin de s’en émouvoir se badigeonne le corps de cette pluie dorée allant même jusqu’à en croiser le jet dru de sa bouche ouverte. Il n’avait sans doute pas prévu que Carole quémanderait sa part, la source du pauvre Simon étant alors tarie, nous nous sommes fait un devoir Thibault et moi d’aller le suppléer afin d’arroser à son tour la jolie blonde….

 

- Bon, faut qu’on y aille ! Dit Simon récupérant ses vêtements, on est attendu… Rien ne s’est passé comme prévu, mais c’était sympa

- Tiens, Vincent voici notre carte, ajoute Gwladys, si tu veux que Simon t’encules tu passes un coup de fil tu seras toujours le bienvenu…

 

Ben voyons !

 

à suivre

 

 

Enzo – avril 2005

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Mercredi 20 novembre 2013 3 20 /11 /Nov /2013 17:09

Surprise-Partouze
par Enzo Cagliari

 

Stamp uro

 

 

Bonjour tout le monde, moi c’est Vincent, j’ai 29 ans, célibataire, très friand et très curieux de sexe et je vais vous raconter une petite histoire comme j’aime en lire sur ce site, sauf que cette fois c’est moi qui suis au clavier (et je ne tape que d’une main…)

 

C’était la fête chez Paul. C’est un incorrigible fêtard, tous les prétextes sont bons, mais là c’était son anniversaire. On l’a tous gâté, on s’est empiffré de petits fours et d’alcools, certains plus que les autres, on a dragué comme des bêtes, et moi je me suis levé une petite rouquine toute menue qui a la drôle d’idée de se nommer Angèle. Tout baigne, elle est d’accord pour venir chez moi et me faire "des tas de choses coquines et des tas de choses cochonnes"

 

On s’apprête à filer à l’anglaise, mais la nana veut absolument dire au revoir à sa copine, je la laisse aller la saluer, mais voilà qu’elle revient avec elle, je devrais dire avec elle et il ! C’est quoi ce cirque ?

 

- Voilà c’est ma copine Carole ! Et lui c’est….

- Thibaut… répond le zigoto

 

Carole est une fausse blonde pas mal foutue et qui serait sans doute canon si elle se décidait à sourire, je crois comprendre qu’elle s’est faite draguer durant la soirée par le dénommé Thibaut, un blondinet aux cheveux plats, très pâle de peau. Je serre la main à tout ce petit monde.

 

- Vous allez où ? nous demande fort indiscrètement Carole.

- On va chez lui ! Répond Angèle, à moins que tu ais un meilleur plan…

 

Comment ça un meilleur plan ? Voilà que toutes les conditions étaient réunies pour faire un "ça va, ça vient" avec cette charmante demoiselle qui ne correspond absolument pas à mes canons de beauté mais qui est néanmoins mignonne et excitante, et voilà qu’elle demande à sa copine si elle a un "meilleur plan" ? Je rêve !

 

- Si on se faisait une petite partie à quatre ? Propose carrément Carole.

- Ça te dit ! Me demande Angèle !

- C'est-à-dire…

 

Je ne peux pas finir ma phrase, Carole m’a posé la main sur ma braguette !

 

- Bien sûr que ça lui dit… conclue-t-elle à ma place.

 

Je remarque qu'on n’a pas demandé l’avis du biquet qui suit comme un toutou… puis je comprends que c’est chez lui qu’on se dirige.

 

On a tous pris le métro, on est face à face, moi à côté d’Angèle et les deux autres devant, on n’arrête pas de se rouler des pelles sous les regards mi-intéressés, mi-courroucés des voyageurs du samedi soir. Carole est particulièrement en délire, n’hésitant pas à peloter l’entre jambe du blondinet qui se pâme de contentement.

 

- C’est qu’il bande ce gros cochon ! Déclare Carole ! Tu sais, dit-elle s’adressant à Angèle, il a une très belle bite, je l’ai un peu sucé tout à l’heure dans la salle de bain, mais on a vite été dérangé… Tu veux la voir ?

- Bien sûr que je veux la voir, on a plus longtemps à attendre maintenant !

- Attendre quoi ? Tu peux nous la monter tout de suite, il n’y a presque plus personne !

- D’accord, montre-nous ta bite ! demande Angèle

 

Des dingues, me voilà embarqué avec une bande de dingues, pas grave je peux toujours quitter leur compagnie quand je veux, personne ne me retient ! Et l’autre qui s’exécute, et qui nous sort de son pantalon une superbe verge bien bandée !

 

- Hum ! Joli, j’ai hâte de la sucer ! Déclare la petite rousse.

- Moi j’ai hâte de me la foutre dans le cul… ajoute Carole. Et toi Vincent, tu la trouves comment la bite à Thibault ?

- Elle est très jolie, j’avoue ! Répondis-je avec une objectivité calculée.

 

Voilà une réponse qui interpelle fortement Angèle !

 

- Ah, bon, t’aime bien les bites ?

- Vous m’avez demandé si je la trouvais jolie, c’est vrai qu’elle est jolie !

- Oui mais est-ce que tu irais jusqu’à la caresser ou la sucer… demande de nouveau Angèle, le regard de plus en plus lubrique.

 

Et histoire d’ajouter à ma confusion elle a placé ma main sur ma braguette, me provoquant une érection quasi instantanée. Je cherche une réplique intelligente mais le blondinet me devance :

 

- En ce qui me concerne, s'il veut me la sucer, ça ne me dérange pas !

 

Du coup me voici bouche bée.

 

- J’ai toujours dis que tous les hommes étaient pédés ! Affirme doctement Carole ! Mais je m’en fous moi, ça m’excite ! J’ai vu une fois deux mecs s’enculer, c’était génial ! Bon Vincent, tu nous as pas montré ta quéquette, toi !

- Trop tard on arrive ! La coupe Thibault, semblant sincèrement désolé de ce contre temps.

 

Bon alors, je fais quoi ? Me voici embarqué avec deux nymphomanes complètement allumées et un bisexuel lubrique ! La petite phrase est prête à sortir : "J’ai un coup de pompe, je crois que je vais vous laisser et rentrer"… Mais ma petite phrase j’aurais déjà dû la sortir en sortant du métro… Car maintenant on est en haut des marches, et on se dirige vers l’immeuble du blondinet !

 

- Heu… je crois que j’ai…

 

Angélique ne me laisse pas finir, elle me colle sa bouche contre la mienne, m’entraîne dans un long baiser baveux, me recolle la main sur la braguette !

 

- Allez vient ! Conclut-elle

 

Ce que j’ai fait !

 

Et nous voilà tous les quatre dans le studio de Thibault ! C’est très moderne, très design, il nous met une petite musique planante et s’en va chercher à boire… Comme si on n'avait pas assez bu jusque-là ?

 

- Et tu vas nous servir comment ? demande Angèle

- Vous auriez aimé que je mette un petit tablier de soubrette ! Mais je n’en ai pas !

- Ben sers nous à poil alors ! Réplique-t-elle.

- C’est vrai, vous voulez ?

- Puisqu’on te le dit ! Confirme Carole.

 

Et pendant que notre hôte se prépare, Angèle me trifouille de nouveau, mais cette fois elle dézipe la fermeture éclair, introduit sa petite main à l’intérieur, fait quelques mouvements pour s’assurer de la rigidité de la chose, puis finit par l’extraire. !

 

- Pas mal, mais je préfère celle de Thibault dit Carole !

- Tais-toi, je goûte !

 

Et voilà la petite rousse qui plonge vers ma verge, et qui sans hésiter se la fourre dans le palais et entame quelques mouvements de va et viens

 

- Pas mal, un peu avancée, ça sent le mâle et la vielle urine !

 

Quel romantisme !

 

Mais voici que Carole veut goûter à son tour, elle suce d’une façon très différente de sa copine, privilégiant les mouvements de langue à ceux des lèvres.

 

Raclement de gorge. Voilà Thibault qui revient, il est nu comme un ver, il a une bouteille de champagne dans une main, et deux coupes dans l’autre. Personnage équivoque, très peu musclé, pour ne pas dire pas du tout, sans aucune pilosité, ce qui lui fait un torse lisse très ambigu renforcé encore par la présence de deux gros tétons roses aux bouts arrogants.

 

- Je vais chercher deux autres coupes ! déclare-t-il en se retournant !

 

Et le voici qui se dirige vers la cuisine en tortillant du cul, un joli cul bien rebondi… mais qu’est-ce que je suis en train de dire moi ?

 

- Il est mignon, hein ? M’interpelle Carole

- C’est assez troublant, je dois dire…

- Mets-toi donc à poil, nous les filles on se déshabillera après.

 

Je m’exécute en vitesse ! Thibault a servi le champagne.

 

- Tu sais Thibault, dit alors Carole, devines ce que Vincent a dit quand tu étais parti chercher les verres ?

 

Que va raconter cette folle ?

 

- Dis-moi !

- Il a dit qu’il mourrait d’envie de te sucer la queue !

- Hé, Oh ! Je n’ai jamais dit ça !

- Si, si il l’a dit ! Intervient Angèle.

 

Bon je récupère mes fringues et je me casse ? Mais voilà le blondinet devant moi, son sexe à hauteur de ma bouche :

 

- Ne fais pas attention, elles sont un peu agitées, contente-toi de me la caresser, ça va leur faire plaisir !

 

Bien joué, je touche, je caresse, c’est doux, très doux même, je la branlote un petit peu, les deux filles sont au spectacle ! Et le problème, le big problème c’est que ça me fait bander de faire ça et que je ne peux pas le cacher…

 

- Embrasse-la, juste un petit bisou ! Demande Angèle

 

C’est rien du tout un petit bisou sur la bite d’un homme, mais pour moi c’est beaucoup.

 

- Allez montre-nous que tu n’as pas de préjugé ! Ajoute Carole.

 

Ah ! Si le problème devient philosophique… j’embrasse la verge du mec.

 

- Un petit coup de langue, juste un petit coup de langue !

 

Ben voyons ! Mais je le fais ! J’ai compris aussi que l’escalade n’aurait de cesse que lorsque j’aurais toute sa bite dans la bouche ! Alors je souffle un grand coup et me voilà en train de le sucer. Je pensais en le faisant, me débarrasser de ce qui après tout, n’est qu’un jeu, mais voilà que j’y prends goût, je suce et je suce encore, c’est bon et ça me plait !

 

- Bon, tu en laisses un peu pour les autres ! Finit par dire Angèle !

 

Je lâche l’affaire presque à regret, réalisant ce que je viens de faire, de vieux fantasmes remontent à la surface de ma conscience… L’image de mon anus pénétré par le sexe d’un homme m’apparaît soudain, je chasse cette évocation, tout en sachant qu’elle ne pourra que revenir ! Surtout ne pas culpabiliser, surtout ne rien regretter, sinon je vais perdre les pédales, il faut au contraire assumer et c’est d’une voix affirmée que je déclare au grand étonnement des deux filles !

 

- Elle est super bonne, ta bite !

- Tu suces bien pour un débutant… si tu veux un jour je t’emmènerais dans un endroit où il a plein de bites à sucer….

 

Faut pas charrier, non plus… Bon, il faudrait peut-être qu’on passe à autre chose…

 

- Je peux goûter la tienne ? Demande Thibault

- Ben, oui….

 

Et voilà l’autre qui me suce… et c’est qu’il s’y prend divinement, à ce point que je suis obligé de le freiner afin de ne pas éjaculer dans sa bouche…. Il faut que je me calme… Un coup d’œil vers les filles, elles ne s’occupent plus de nous et se roulent un patin d’enfer. J’adore ça voir deux filles s’embrasser à pleines bouches.

 

On boit enfin notre champagne, je me suis rapproché d’Angèle et je la pelote, après tout c’était le but initial de l’après soirée, non ? Je lui déboutonne son corsage, puis le retire, elle se laisse faire sans problème, idem quand je dégrafe le soutien-gorge… la voici torse nue et je peux lui embrasser ses petits seins dont je fais buter les pointes contre le bout de ma langue. En face c’est à peu près la même chose, Thibault est en train de débrailler sa partenaire, elle aussi se retrouve rapidement dépoitraillée. Splendide poitrine, je n’ai pas choisi la bonne nana ce soir, mais telle que la partie a démarrée je pense que j’aurais aussi ma "part".

 

Angèle se redresse pour enlever rapidement tous le "bas", j’ai sa petite chatte sous le nez, et déjà je pointe ma langue, elle me laisse faire mais pas longtemps, se tournant et me présentant son petit cul. Elle s’écarte ses fesses, dévoilant son anus. Elle veut que je le lui lèche, ce n’est pas un problème ! La seule chose c’est que son trou du cul sent décidemment très fort, mais ça ne me dérange pas plus que ça ! Je m’efforce de pénétrer ma langue le plus avant possible.

 

- Alors il est comment mon troufignon ?

- Euh…

- Quoi, euh, t’as l’air d’apprécier en tout cas ? Dis-moi s’il sent beaucoup ?

- Pas mal oui ?

- J’peux goûter ? demande alors Carole qui me vire à moitié et dont la langue vient remplacer la mienne dans l’intimité de la petite rousse.

 

Je vous dis, pas moyen d’être tranquille ce soir ! Du coup pendant que la blonde lèche sa copine j’en profite pour lui tripoter les seins. Quant à Thibault, il est venu rouler un patin à Angèle, nous voici donc tous les quatre complètement mélangés. On souffle un peu, notre hôte ressert le champagne. Mais il n’y en pas assez pour tout le monde et il n’y a plus de bouteilles en réserve !

 

- C’est pas grave, je vais vous offrir le mien ! Dit alors Carole qui se saisit alors de la première coupe et se met à uriner à l’intérieur.

- T’es vraiment une cochonne ! lui dit Angèle en rigolant.

 

Carole finit de remplir les quatre coupes !

 

- J’ai encore du pipi en réserve, ceux qui veulent boire à la source sont les bienvenus !

 

J’adore ce genre de jeux, je me précipite aux genoux de la blonde et j’ouvre la bouche signifiant par-là que je suis volontaire pour recueillir le reste de son urine !

 

- Non, mais regardez-moi ce petit pédé, non seulement, il suce des bites, mais il boit du pipi, quel gros vicelard ! Plaisante telle !

- Pourquoi gros ?

- Allez place-toi bien, tu ne vas pas être déçu !

- Tu m’en laisseras une goutte ? Quémande Angèle

- Pas de problème c’est toi qui va me nettoyer.

 

Mais pour l’instant la douche dorée de la blonde me coule dans le gosier et j’avale tout avec délectation, ça va d’ailleurs trop vite et j’ai tendance à en mettre un peu partout, je reçois une véritable douche de pisse. Puis elle me demande de laisser la place à la rouquine.

 

Angèle recueille ainsi les dernières gouttes de sa copine, puis elle lui lèche la chatte, prétextant la nettoyer, mais Carole n’est pas folle, elle se baisse progressivement finissant par s’asseoir puis s’allonger sur le carrelage tandis que l’autre continue à lui laper le sexe. Un moment elle cesse, son visage vient à la hauteur de sa bouche et les deux femmes s’échangent un long baiser parfumé au nectar dorée, puis nouvelle pirouette, les voici en position de 69, Angèle dessus, Carole dessous, se léchant la chatte avec frénésie jusqu'à ce que leurs jouissances éclatent.

 

 

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Elles se relèvent toutes les deux un peu groggy et s’assoient l’une à côté de l’autre dans le canapé. Elles réclament de la flotte, c’est dire comme elles sont repues et fatiguées.

 

- Bon les mecs, vous allez nous faire un petit entracte ! Propose Carole quelques minutes plus tard…

 

Je pensais qu’elle allait nous proposer de nous sucer de nouveau mutuellement, aussi quand elle nous demanda si nous étions d’accord je répondis oui tout comme Thibault.

 

- Vincent, mets-toi à quatre pattes, me demanda la blonde ! Thibault passe devant et fais toi sucer, jusqu’à ce que ta bite soit très dure !

 

Pour l’instant le programme me convient, je reprends pour la seconde fois le joli cylindre de chair nervuré de mon partenaire et m’en délecte en bouche, m’acharnant à force de coups de langue et de mouvements de lèvres à le faire bander de fort belle façon.

 

- Continue, je vais le préparer ! Me dit soudain Carole

 

Me préparer quoi ? Et la voici qui se lève, qui me contourne et qui très rapidement m’introduit un doigt dans l’anus. Je me laisse faire, j’ai compris ce qu’elle veut, je m’étonne de ne même pas tergiverser ! J’ai envie de laisser faire tout simplement comme si le fait de me faire enculer était ce soir inéluctable. Un second doigt est venu accompagner le premier dans mon cul, puis un troisième, elle les écarte, me fouille.

 

- Met une capote et tu peux y aller ! Ordonne-t-elle à Thibault

 

Il y va, je sens le gland quémander l’entrée, puis passer, je sens la verge s’enfoncer, je sens le sexe de Thibault aller et venir en moi et j’aime ça ! Des ondes de plaisir me parcourent le corps ! L’affaire sera brève, mon partenaire jouira facilement. Je suis crevé, crevé mais content. Je n’ai pas joui, je ne bande plus. Je m’assois à moitié sonné sur le carrelage, surpris que mon cul mette autant de temps à se refermer. Carole, bonne fille vient me pincer les tétons afin de tenter de réaffirmer mon érection, et ça finit par marcher !

 

- Allonge-toi, je m’occupe de tout !

 

Si elle le dit… Effectivement, après l’avoir protégée, elle vient s’empaler sur ma bite quelques instants, puis très rapidement change de trou et viens faire coulisser son anus sur ma verge. C’en est trop, je finis par décharger. J’étais déjà crevé, me voici anéanti.

 

Je me suis réveillé au petit matin, allongé sur le canapé et revêtu d’une couverture.

 

- Les filles sont parties ! Me dit Thibault, Tu prends quoi pour ton petit déjeuner ?

- Je ne sais pas trop ! Je vais commencer par prendre une douche si ça ne te dérange pas !

- Tu veux qu’on s’amuse à la prendre à deux ?

- Pourquoi pas ! Répondis-je tandis que mon sexe commençait à se redresser…

 

Fin de l’épisode (à suivre)

 

Enzo - avril 2005

 

 

<i>Cet épisode a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle Bi pour l'année 2005</i>

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Dimanche 20 octobre 2013 7 20 /10 /Oct /2013 18:09

Saucisse-party

 par Enzo Cagliari

 

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Bonjour ! Je vis depuis peu avec Carole, une jolie brune assez délurée, nous avons la trentaine tous les deux. J'ai récemment changé de service dans ma boite d'assurance et j'ai rapidement sympathisé avec un nouveau collègue, qui se prénomme Victor.

 

Nous étions ce samedi soir invités chez lui dans son pavillon pour un barbecue ou plus exactement une saucisse-party puisque c'est le terme qu'il avait employé. Il habite un coin tranquille et d'épaisses rangées de thuyas sont de nature à dissuader les regards indiscrets. Il nous présenta sa femme Bérénice, une belle blonde, très souriante. Elle avait mis un petit haut très décolleté et comme vous pouvez l'imaginer je n'arrêtais pas de reluquer la naissance de sa poitrine. Bien sûr, discret comme je suis, elle s'en aperçut mais n'en fut point contrarié, bien au contraire, car elle se contenta de me faire des petits sourires.

 

D'après les conversations que nous avions eu au bureau, le collègue n'avait pas l'air coincé, mais bon, ce n'est pas parce qu'on est libéré côté cul qu'on partouze tous les jours avec tout ce qui bouge.

 

Les fins de repas sont souvent propices aux ouvertures coquines, l'alcool ingurgité aidant à se désinhiber.

 

Je décidais de lancer un "ballon d'essai" et proposais à Bérénice cette petite plaisanterie assez connue :

 

- Je vous parie 5 euros que je peux vous toucher les seins sans que vous vous en aperceviez.

- Je veux bien parier mais pas 5 euros.

- 10 ?

- Non, 50 !

 

Je me demande si c'est du lard ou du cochon, mais vu le petit sourire qu'elle me faisait, je lui dis "d'accord !", conscient que je prenais le risque que l'affaire se stoppe au bout de trois secondes.

 

C'est alors que Victor intervint et me demande :

 

- Euh, vous faites ce que vous voulez tous les deux, mais est-ce que je peux faire le même pari avec ta copine ?

- Si elle est d'accord…

 

Carole opine du chef, elle était d'accord.

 

Je commençai le premier. Ma main à l'extérieur de son petit haut, je caressais et massais le dos de Bérénice. Constatant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, je glissai ma main en dessous en me concentrant toujours sur le dos. La chaleur de sa peau m'encourageait à aller plus loin dans mon exploration Doucement, je passai ma main vers son ventre en remontant lentement jusqu'à sa poitrine. Je senti alors la pointe ferme de ses seins se dresser sous mes doigts. La sensation était merveilleuse. Bérénice ne disait rien, se contentant d'apprécier la caresse. De l'autre côté de la table, mon collègue faisait la même chose avec Carole.

 

Je ne sais pas ce qui m'excitait le plus : voir ma copine se faire tripoter les seins par un autre homme ou moi-même caresser les seins d'une autre femme, toujours est-il que je commençais à sentir une certaine pression dans mon pantalon.

 

Berénice s'en aperçut et me plaqua sa main sur la braguette.

 

- Tu me montres ? Demanda-t-elle.

 

Il y a des moments où l'on raisonne davantage avec son sexe qu'avec son petit cerveau, aussi détachais-je donc mon pantalon et montrais à ces messieurs dames, l'effet que la situation produisait chez moi.

 

- Quelle jolie bite ! S'exclama Victor.

- T'aimerais bien la sucer, hein ? Ajoute Bérénice.

- Pourquoi pas ?

 

Je ne réponds pas. Me voilà embarqué dans une direction totalement imprévue. Si ça va trop loin, je vais invoquer une migraine diplomatique pour arrêter les frais.

 

Bérénice n'insiste pas et demande alors à sa vis-à-vis de vérifier si l'effet était le même chez son compagnon. Ce qui fut aussitôt fait. Et voici donc notre Victor à son tour la queue à l'air !

 

- Elles sont bien belles toutes les deux, difficile de dire qu'elle est la plus belle ! Commente Bérénice

- Faut tâter la marchandise ! Propose Carole.

- Alors tâtons !

 

Bérénice après s'être débarrassée prestement de son haut et exhibant une magnifique poitrine lourde et laiteuse prit ma queue dans sa main et commença à la caresser en lui imposant un doux mouvement de va-et-vient. Elle demanda alors à Victor de s'approcher à ses côtés et lui fit la même chose de son autre main. Quelle spectacle de la voir ainsi au milieu de deux hommes une queue entre chaque main ! Carole choisit de se déshabiller complétement avant de venir prendre la place de Bérénice et s'affaira de la même façon à nous prodiguer ses douces caresses pendant quelques minutes avant de passer de nouveau le relais à sa complice.

 

Il se passa alors quelque chose d'étrange, Bérénice nous fit nous rapprocher Victor et moi et nous placer face à face de telle façon qu'elle puisse faire rouler nos deux bites l'une sur l'autre. Ce contact me troubla profondément. Mais ce n'était pas fini, elle s'agenouilla et se mit à sucer nos deux bites d'abord alternativement puis en même temps.

 

Tout d'un coup, alors que Bérénice continue à me sucer, Victor se baisse, et sans que j'ai le temps de réaliser, il se joint à sa compagne pour me sucer.

 

Moment d'hésitation ! Je regarde à gauche, je regarde à droite. Carole s'approche !

 

- Laisse-toi faire, laisse toi faire ! Me dit-elle.

 

Ben oui je me suis laissé faire ! Et je vais vous dire : Qu'est-ce qu'il suçait bien, c'est la première fois qu'on me suçait d'aussi belle façon ! Je dû malgré tout le faire arrêter n'ayant pas l'intention de jouir de suite.

 

- A ton tour ! Me propose-t-il.

- A mon tour ?

- Ben, oui, c'est chacun son tour ! Intervint Bérénice.

- Peut-être pas aujourd'hui ! Balbutiais-je.

- Tu ne vas pas te dégonfler ! Intervient Carole

- C'est pas mon truc !

- T'en sais rien, t'as jamais essayé !

- Mais vous m'emmerdez un peu, là. Je ne suis pas pédé d'abord !

- Mais moi non plus ! Rigole Victor.

- Qu'est-ce que ça te coute d'essayer ! Insiste Carole. Regarde comme elle est belle cette bite ! Avec ce joli gland, cette petite veine toute bleue ! Gloups ! Un régal.

 

Les deux filles se remettent à sucer la bite de Victor. Puis je sens deux mains qui me tirent. Je me retrouve à genoux.

 

- Tu ne vas pas gâcher la soirée avec tes caprices de jeune fille ! Tu essaies, et si vraiment tu bloqué, alors on en parlera plus, mais au moins tu auras essayé ! S'énerve un peu Carole.

 

Evidemment vu comme ça !

 

Allez, je me lance ! Etonnant comme le pas a été rapide à franchir, j'ai la bite de Victor dans la bouche et je la suce, du moins je fais ce que je peux, je fais comme dans les films porno, je la fais coulisser entre mes lèvres.

 

SP.jpg

- C'est bien ! M'encourage Bérénice.

 

Bon ben voilà, si c'est bien je vais arrêter, et on va peut-être passer à autre chose… Mais non, Bérénice s'agenouille à mes côtés, me fait signe de rester en place.

 

- Je vais te montrer comme faire. Voilà, commence par donner des petits coups de langue sur le frein, comme ça pas trop vite, vas-y essaie.

 

Elle me fait craquer avec son sourire et ses gros nichons, je n'ai pas envie de la contrarier, je fais comme elle a dit

 

- Tu apprends vite, maintenant fais courir ta langue tout le long de la verge, voilà, comme ça…

 

Bref, elle me donne un cours, puis y met fin en me présentant sa chatte. Elle est trempée, une vrai soupe, je lèche le jus, je me délecte de ses chairs intimes, elle s'allonge, je continue à sucer et attaque son clito. Quelques minutes plus tard son cri de jouissance perçait le silence du crépuscule.

 

Je me relève pour apercevoir Carole et Victor en parfait 69.

 

Ces deux-là n'ont pas tardé à jouir. Et moi ?

 

- Je vais te faire un beau cadeau me dit Bérénice.

 

Elle enlève le bas et se met alors en levrette, le cul ouvert ! Quel spectacle !

 

- Prend une capote dans la coupelle sur le rebord de la fenêtre et encule-moi !

 

Carrément !

 

Et ils avaient même prévus les capotes.

 

Comment résister au spectacle de ce joli cul dont elle écarte l'orifice brun de ses mains parfaitement manucurées ? Une irrésistible envie de lécher, je m'enivre de l'odeur de son cul, puis n'y tenant plus je la pénètre hardiment. Et c'est parti, je m'efforce de faire durer le plaisir, mais ce n'est pas facile.

 

Victor passe derrière moi et me tripote les fesses. Il ne peut pas me foutre la paix celui-ci ? Carole le rejoint. Et tandis que j'encule toujours Bérénice je sens un doigt qui me pénètre le trou de mon cul ! Je ne suis pas insensible à cette caresse que Carole aime me prodiguer, mais ne me servant pas de rétroviseur quand j'encule, voilà que j'ignore si le doigt qui me doigte est masculin ou féminin. En tous cas j'aime bien.

 

Carole repasse devant moi et s'en va rouler une pelle à Bérénice. Le doigt est donc bien celui de Victor, je vous dis, c'est la soirée des nouveautés.

 

La belle blonde finit par crier sa jouissance (pas trop discrète la nana). Du coup je me lâche et la rejoins quelque part dans le ciel !

 

Bérénice s'est affalée sur la pelouse, et Carole vient la câliner. Très vite elles se retrouvent en 69 en train de se lécher le minou !

 

Je suis un peu H.S. je me sers un grand verre d'eau gazeuse. Avec Victor on mate.

 

- Quelles sont belles ! Commente ce dernier !

 

Sa main se fait baladeuse et il me tripote la bite ! Il est complétement obsédé ce mec-là ! Je ne dis rien, qu'est-ce que voulez que je dise ? Il se sent encouragé et se met à me branler nonchalamment.

 

- On va peut-être faire une pause ! Proposais-je

 

Les deux nanas n'en finissent plus se s'emmêler et de s'entremêler, elles ont la rage de jouir et finissent par se faire hurler mutuellement. Elles se relèvent dégoulinantes de sueur, de mouilles, et des brins d'herbes collés sur le corps. Mais Bérénice ne reste pas longtemps debout, elle s'accroupit et se met à pisser d'abondance. Quel spectacle que ce jet très dru qui rebondit en clapotant sur la terre. Du coup Carole en fait autant. J'aurais dû emporter mon appareil photo.

 

Victor s'approche de sa femme… il ne va pas… Si ! Il pisse carrément sur sa femme qui rigole comme une bossue…

 

- T'en veux aussi ? Demande-t-il à Carole !

- Oh, oui ! Pisse-moi dessus !

 

Et ma cochonne de Carole ouvre la bouche afin de pouvoir avaler quelques gouttes.

 

Moment de franche rigolade. Mais on est tous exténués, on ramasse nos vêtements, on rentre dans le pavillon.

 

- On va peut-être rentrer, il se fait tard ! Proposais-je !

- Ce n'est pas très prudent…

- Je n'ai pas tant bu que ça, je conduirais ! Intervient Carole.

 

Bisous, bisous, on se quitte.

 

- On pourrait les inviter chez nous dans quinze jours ? Me propose Carole une fois dans la voiture.

- Si tu veux !

- Victor faisait une telle fixation sur toi qu'il ne m'a même pas baisé ! C'est pas juste !

- Tu sais que finalement, ça ne m'a pas déplus de lui sucer la bite ?

- Oui, je m'en suis rendu compte ! Tu aimerais recommencer ?

- Oui ! J'aimerais même aller plus loin !

- Tu voudrais qu'il t'encule ?

- Oui, j'ai maintenant envie d'essayer ! Sentir sa belle bite dans mon cul, ça doit être quelque chose, non ?

- Arrête, tu m'excites

 

Octobre 2013

 

© Enzo Cagliari

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 5 octobre 2013 6 05 /10 /Oct /2013 17:36

DVD privé (L’initiation)

par Marie-France Vivier

Fetish2

J’ai 24 ans, je m’appelle Sonia, on dit que je suis plutôt jolie avec mes cheveux bruns coupés courts. J’ai de jolis seins qui répondent vite aux caresses. Pour le moment, je n’ai ni ami de cœur ni amant. Quand la tension sexuelle est trop forte, je n’hésite pas à me masturber. J’aime le sexe et j’ai beaucoup de fantasmes, j’aime sucer une belle bite bien bandée ou lécher une chatte bien juteuse J’adore flatter de ma langue un trou du cul accueillant, et s’il est un peu sale, je n’en fais pas une maladie, j’aime avoir un peu mal et supporte souvent des pinces à linges accrochées à mes tétons. J’aime aussi les jeux de pipi et quand je suis très excitée, un peu de scato ne me rebute pas. « Drôle de fille ! » direz-vous ! Je m’en fous, je suis bien dans ma peau. Et puis nous somme sur un site d’histoires érotiques…

Pour mes jeux sexuels en solitaire, je me suis rasé tous les poils du pubis. La plupart du temps, pour me masturber, je me frotte la chatte avec de l’huile de massage. Je peux me faire venir plusieurs fois en une seule séance de masturbation. Je peux faire l’amour avec moi-même deux ou trois fois par semaine, mais ces temps-ci, je me masturbe tous les jours en pensant à ce qui m’est arrivé un samedi après-midi. Je vais vous raconter ça !

Je travaille depuis trois semaines comme domestique dans une belle et grande maison cossue de Montréal. Mes employeurs sont un couple de trentenaires sans enfants. Lui est architecte, plutôt bel homme. Sa femme est une avocate pénaliste réputée. Elle est un peu plus vieille que lui et je la trouve très séduisante. Tous les deux semblent heureux, très complices et ils gagnent très bien leur vie. Leur maison en est une preuve. Je ne les vois pas souvent, le matin j’ai une liste de tâches à accomplir. Pour l’instant tout se passe bien et je n’ai eu à essuyer aucun reproche.

Voilà comment tout a commencé :

Un après-midi, en époussetant les meubles, j’ai trouvé un DVD laissé sur la bibliothèque. Il n’y avait qu’un numéro en guise de titre. Par curiosité, je l’ai inséré dans le lecteur du salon.

Je ne vous dis pas ma surprise !

J’ai de suite reconnu ma patronne. Entièrement nue, attachée par les poignets à une grosse poutre en bois, ses longs cheveux noirs défaits. ses pieds touchant à peine le sol. A un moment donné, un homme cagoulé lui a appliqué des pinces métalliques sur ses mamelons érigés. Elle n’a pas bronché, puis l’homme s’est saisi d’un martinet et s’est mis à fouetter copieusement une jeune femme nue attachée devant lui. Je pouvais voir clairement les lanières de cuir s’abattre en claquant sur ce corps aux formes parfaites qui réagissait à chaque coup. Aucune partie de son anatomie n’était épargnée par le martinet : fesses, dos, cuisses, ventre, seins. Un autre homme la bite en étendard, s’occupait de ma patronne qui semblait prendre un intense plaisir à se faire fouetter. J’ai augmenté le son. J’entendais alors nettement le bruit sec du martinet qui frappait la peau nue et ma patronne qui, en se tortillant à chaque coup, disait :

– Oui ! Plus fort ! Oui ! J’aime ! Oui ! Encore ! Je vais jouir ! Encore ! Encore ! Ahhh !!!

Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Ainsi, la célèbre avocate Laura Darwin. était une adepte des jeux sadomasochistes. La scène que je voyais était bien réelle et sans équivoque. Je fis un peu d’avance rapide pour découvrir une femme d’âge mûr mais de belle prestance faisait avancer Laura, tenue en laisse et à quatre pattes. Et c’est là que j’ai vu l’incroyable ! Une grande blonde était allongée sur le sol occupée à sucer la bite d’un grand chien noir. La mâture ordonna à Laura de prendre la place de la blonde, ce qu’elle fit sans hésitation, et les gros plans pris par la caméra montrait le plaisir que lui procurait l’accomplissement de cette perversité inouïe.

J’étais tellement excitée par ce que je voyais que j’ai mis une main dans ma culotte humide. Je me suis mise à me masser ma minouche toute chaude et mouillée, en me frottant bien mon clitoris tout dur et enflé. Je suis venue en moins de trois minutes, en poussant un long gémissement de plaisir. Avant, j’ignorais qu’une scène de ce genre pouvait m’exciter à ce point. J’étais tellement absorbée par ce que je voyais et entendais et occupée à me donner du plaisir, que je n’avais pas remarqué la présence de ma patronne dans la pièce où je me trouvais. Laura était rentrée plus tôt que prévu.

En l’apercevant, j’ai laissé échapper un « Oh ! » de gêne et de surprise. Je ne savais quoi dire.

– Eh bien, Sonia, c’est comme cela que vous faites le ménage ?
– Je, je…
– Je quoi ?
– Un moment d’égarement, je vais m’en aller…
– Je ne te demande pas de partir.
– Si, si ce sera mieux !
– Je te propose une punition et on oubliera cette indiscrétion.
– Une punition ?
– Une bonne fessée par exemple.

Après tout pourquoi pas, si elle le prend comme ça…

– D’accord punissez-moi !
– Tu es bien sûr, je peux être très méchante.
– Oui, oui, punissez-moi.

Je ne risque pas grand-chose, si elle me fait trop mal, je me barre !

– Méchante et vicieuse ! Ajoute-elle. Mets-toi à poil !
– Complétement !
– Je ne t’ai pas autorisé à me poser des questions idiotes, allez dépêche-toi de te déshabiller.

J’obéissais, pas trop rassurée quand même !

– J’ai trop envie de pisser, viens avec moi aux toilettes, je vais me soulager sur toi ! Me dit-elle

Si elle s’imagine que ce sera pour moi une punition… j’adore ces jeux, mais je ne vais pas le lui dire.

Les toilettes sont spacieuses, Laura me fait m’allonger sur le sol et après avoir retiré son pantalon et son string m’enjambe au niveau de ma poitrine.

Le jet m’arrose mes seins, j’adore cette sensation et oubliant que je suis « en punition », je me frotte le corps avec cette urine toute tiède et j’ouvre la bouche. Evidemment Laura s’aperçoit de mon manège.

– Dis donc petite vicieuse, on dirait bien que ça ne te déplait pas qu’on te pisse dessus ?
– Euh…
– T’as raison d’ouvrir la bouche, tu vas avaler le reste tu me diras si c’est bon !

J’avale une bonne goulée.

– Votre pisse est délicieuse, madame !
– J’ignorais que tu étais si vicieuse ! Et si je te faisais gouter ma merde ?
– Je veux bien essayer, Madame, mais juste un peu !
– T’es vraiment trop vicieuse ! Suis-moi sur le canapé, tu vas me lécher l’abricot !

Voilà qui était inattendu, mais il faut croire que mon attitude (et peut-être mon corps, ne soyons pas modeste) l’avait excité.

Je pus ainsi admirer de très près le corps magnifique de ma belle patronne maintenant complètement nue.

– Allez, on se dépêche, et t’as intérêt à me faire jouir, sinon, je te vire ! Tu as déjà léché des femmes, dis-moi ?
– Oui, madame et j’aime ça !

Je m’approchais et me plaçais visage contre pubis, puis commençais à laper sa chatte mouillée comme une soupe.

– Pince-moi les bouts de seins en même temps, salope ! Tu veux bien que je traite de salope ?
– Bien sûr, Madame !

Je me régalais de son jus, mélange de moulle et d’urine car Madame ne s’était pas essuyée après son petit pipi sur moi.

– Plus fort, les seins ! Salope !

Je serrais plus fort, et accentuais mes mouvements de langue. Laura commençait à gémir, j’introduisis un doigt qui émit un insolite bruit de floc-floc quand je le fit aller et venir tandis que ma langue cibla son clito érigé comme une petite bite.

Laura haletait, jappait, miaulait, puis soudain tout son corps se raidit quand elle laissa éclater sa jouissance. Je n’étais pas peu fière de moi !

– Tu m’a l’air douée ! On va peut-être faire quelque chose de toi ! Va me préparer une citronnade avec des glaçons, tu peux en prendre pour toi si tu veux, et on va discuter cinq minutes.

Quand je revins avec les boissons, Laura s’était passé une robe de chambre.

– Tu ne rhabilles pas, toi ? Me demande-t-elle.
– Si, je vais le faire…
– Pas la peine, assis toi et écoute-moi.
– Oui madame !
– Je vais te faire un aveu, nous n’avions pas l’intention de te garder…
– Mais..
– Laisse moi finir ! En fait nous recherchions une bonne à tout faire qui soit en même temps un peu coquine et qui puisse participer à nos jeux érotiques. Pas si facile à trouver, alors comme il fallait bien entretenir la maison on t’a pris en attendant de trouver la perle rare…
– Mais…
– Tu vas te taire quand je parle, oui ? Mais comme on dirait que tu as certaines dispositions on va peut-être te garder. Tu as tout à y gagner, ton salaire va au moins doubler, mais faut qu’on te teste.
– D’accord, testez-moi !
– Le test ça va être de nous accompagner à l’une de ces soirées comme sur le DVD, on verra comment tu t’en sors! D’accord ?
– Oui, madame avec plaisir !
– Tu vas être fouettée, attachée, humiliée, mais tu ne seras pas prisonnière, si tu veux quitter le jeu, il suffira de le dire… mais dans ce cas adieu l’embauche.

Le samedi suivant en fin d’après-midi, j’étais dans ce qui avait dû être la salle de banquet d’un restaurant. Il y avait environ 25 personnes, un type me proposa un bracelet. Laura m’expliqua que les esclaves devaient porter un bracelet rose, les dominas un bracelet rouge et les voyeurs un bracelet blanc.

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– Un bracelet rose pour cette pouffasse ! Demanda Laura

Des matelas recouverts de serviettes éponges étaient disposés contre les parois de la pièce. Dans un coin trônait un buffet froid avec charcuteries, fromages et petits fours salés et sucrés, mais il y avait aussi des coupelles remplies de préservatifs et de dosettes de gel intime. Sur les murs, il y avait toute une panoplie de fouets, de chaînes et de menottes en métal et en cuir. Certains hommes étaient cagoulés, tous étaient nus et beaucoup bandaient. C’était très excitant de voir toutes ces bites ! Quelques femmes, dont ma patronne, étaient vêtues de longues robes blanches transparentes sans rien en-dessous. D’autres femmes étaient complètement nues. Deux d’entre-elles, des esclaves portaient des menottes de cuir aux poignets et aux chevilles. Elles avaient les poignets liés dans le dos et les chevilles entravées par une courte chaîne. L’une d’elles prodiguait déjà une fellation vorace à l’homme qui se tenait près d’elle. Il y avait aussi deux gros chiens tranquillement assis dans un coin.

J’étais la seule femme qui portait encore ses propres vêtements.

– C’est qui ça ? Demanda un vieille bourgeoise à Laura en me désignant.
– C’est Sonia ! C’est une boniche vicieuse. Elle est venue ici ce soir pour voir comment ça se passe !

Je rougissais à ces propos volontairement humiliants

– Tu veux que je ta prête ? Demanda Laura.
– Est-ce qu’elle lèche bien ?
– Elle se débrouille !
– Alors suis-moi, poufiasse !

Puis, se tournant vers moi, elle m’a ordonné de me déshabiller. J’ai obéi, un peu mal à l’aise, mais excitée malgré tout. Une fois nue, la vieille salope m’a fait face et m’a nargué.

– Je vais te montrer que je suis encore plus salope que ma fille !

Sa fille ? C’est donc la mère de Laura ! Je rêve !

– Ouvre ta bouche, je vais te cracher dedans !

J’hésitais, malgré mes penchants maso, il y a quelques turpitudes que je n’ai pas eu l’occasion de pratiquer.

– T’attends quoi ? Me dit la mamie, en me giflant. Je t’ai dit d’ouvrir la bouche.

Je le fis, et mamie me cracha plusieurs fois dans la bouche, j’avalais sa salive, humiliée comme jamais.

– Voilà c’est bien, je n’aime qu’on me résiste, la dernière fille qui m’a résisté, je l’ai emmené sur un chantier où travaillait une dizaine de blacks bien montés et ils l’ont tous enculé ! C’est peut-être ça que tu voudrais ?

Elle bluffait bien sûr, mais n’empêche que j’ai laissé ma bouche ouverte afin qu’elle continue son travail d’humiliation.

Elle m’a ensuite conduit vers l’un des matelas et s’est positionnée en levrette en relevant son cul !

– Maintenant tu me vas me lécher le trou du cul. Quand je viens ici, je ne me torche pas, je garde le cul sale, je sais que je trouverais toujours une morue pour me le nettoyer.

J’approchais mon visage de ses fesses. Effectivement ça ne sentait pas la rose.

– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– Oui, beaucoup !
– Décris moi mon anus ! Comment il est ? Est-ce qu’il y a des taches de merde ?
– Oui, il y a quelques taches.
– Alors nettoie tout ça !

Je l’ai fait ! Pour avoir déjà pratiqué des choses dans le genre, je trouve la pratique moins humiliante que le fait de me faire cracher dessus… et puis ce petit goût n’est pas si désagréable.

Je pensais qu’après ce petit délire, elle me demanderait de la faire jouir, mais non, elle m’abandonna à mon sort en allant faire d’autres rencontres

– Viens on va s’occuper de toi ! Me dit un gros barbu vite rejoint par un grand maigrelet.

On m’a ensuite bandé les yeux avec un épais foulard noir, puis des mains d’hommes, (ou de femmes, allez savoir ?) m’ont saisi. On m’a entravé les poignets avec des sangles de cuir et on m’a suspendu à cette poutre que j’avais vu sur le DVD. J’aperçus les fouets accrochés au mur et les redoutais.

On m’a accroché des pinces sur mes tétons et sur mes lèvres vaginales. Puis j’ai senti la morsure de la cravache. La douleur était supportable, maïs ce n’était pas des caresses non plus, je ne me souviens plus combien de coups j’ai reçu, mais le soir quand tout cela fut terminé et que j’ai pu me mirer, je découvris mon corps strié de zébrures qui persistèrent plusieurs jours avant de s’effacer.

Puis on m’a détaché de la poutre. C’est alors que j’ai senti qu’on m’huilait partout le corps, les mains et les doigts s’attardant et insistant sur mes fesses, mes seins et ma foufoune qu’on frottait doucement. J’avais l’impression que toute l’assistance me touchait ainsi. Ma respiration a changé de rythme et j’ai commencé à laisser échapper des premiers halètements de plaisir. Bientôt, une ou deux langues s’activaient sur mon clitoris et dans ma fente, tandis que d’autres glissaient sur mes seins et mes mamelons durcis. Le plaisir était incroyable. Quelqu’un m’a enlevé mon bandeau et j’ai pu voir enfin qui s’occupait ainsi de mon corps. Une imposante femme noire me léchait le clitoris tout en branlant la queue d’un homme, tandis qu’un homme me léchait les seins tout en se faisant sucer la bite par l’une des femmes aux chevilles et aux poignets attachés. D’autres langues, surtout celles des femmes aux robes transparentes, se promenaient sur mes fesses. L’une des langues s’est frayé un chemin dans ma raie jusqu’à mon anus, pour tenter de s’enfouir dans mon petit trou. Elle y est parvenue, car je l’ai sentie pénétrer. D’autres bouches et langues s’occupaient de mes cuisses, mes jambes et mes pieds.

Je découvrais des sensations restées inconnues pour moi auparavant. Je sentais mon jus d’amour qui s’échappait de ma chatte trempée et qui coulait le long de mes cuisses. La langue de la blackette en léchait cependant la plus grande partie. J’ai joui, criant, hurlant de plaisir.

Mais c’était loin d’être terminé. On m’a étendue en croix sur un chevalet, bras et jambes écartés au maximum. Pendant un long moment (difficile d’évaluer le temps dans ces moments-là) des langues se sont activées sur mon corps, partout, dans les moindres recoins, alors qu’on me mettait queue après queue dans la bouche, la chatte et le trou du cul J’ai eu orgasme sur orgasme.

On a fini par me détacher, j’ai voulu souffler un petit peu. Profitant que j’étais étendue sur le plancher, ma patronne est venue s’asseoir sur mon visage.

– Honore ma fente ! m’a-t-elle dit.

Naturellement, sans contrainte, avec joie, comme si je n’avais fait que cela toute ma vie, je lui ai léché la chatte, forçant ma langue dans son trou mouillé. En même temps, un homme, ou une femme, je ne sais plus, me léchait également la chatte. J’avais le visage trempé par le jus de ma patronne. C’était délicieux. J’en avalais. Elle s’est mise ensuite à me pisser dru dans la bouche. J’ai trouvé que son urine était décidemment délicieuse.. Ma patronne se recula légèrement afin de mettre en contact son anus avec ma bouche. Excitée comme j’étais, je n’étais même pas gênée par l’odeur de merde qui s’en dégageait. Elle me demanda de lui introduire un doigt, je le fis donc et le remuais en cadence dans son trou du cul. Quand je le ressorti, elle me demanda de le lécher. pourquoi pas ?

Des mains m’ont ensuite mise à quatre pattes et j’ai senti une queue bien dure pénétrer une nouvelle fois dans mon anus. Devant moi, une autre bite s’est présentée et je l’ai prise aussitôt dans ma bouche, la suçant comme un veau affamé. L’homme m’a éjaculé au fond de ma gorge, tandis que celui qui m’avait prise par derrière est venu décharger son sperme sur mon visage déjà couvert de sueur, de salive, de mouille et de pisse. Il m’a ensuite fait nettoyer sa bite maculée de merde. Tous près de moi, tout le monde copulait dans toutes les positions possibles.

Me demandant où était passée ma patronne, je l’aperçu un peu plus loin, elle était étendue sur un matelas avec une autre femme en position de soixante-neuf. Ma curiosité me fit m’approcher, c’est alors que je compris quelle était en train de se gamahucher avec sa propre mère. Cette vision me troubla profondément et je senti mon jus dégouliner sur mes cuisses.

Les deux femmes finirent par jouir et se caressèrent tendrement. C’est alors qu’un grand black se présenta devant elles, la bite tendue comme un arc, Laure et Mamie se mirent à la sucer de conserve, l’homme ne tarda pas à lâcher sa purée, c’est Mamie qui recueillit le sperme dans sa bouche, avant de le partager avec sa fille dans un incroyable baiser de folie !

Je m’éloignais et continuait d’explorer cette orgie hors du commun. A gauche, c’étaient trois jolies femmes qui se mangeaient mutuellement le minou en formant une sorte de triangle. A droite, c’était encore une belle femme qui après avoir chié un gros boudin le léchait vicieusement en compagnie d’une autre femme. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises puisque près de l’entrée mon patron se faisait enculer par un homme barbu tout en suçant une belle queue.

Tout le monde était occupé à jouir et à faire jouir. Plus loin, au fond de la pièce, une splendide femme nue suspendue à la fameuse poutre se faisait abondamment fouetter, demandant à l’autre femme qui tenait l’instrument de frapper encore plus fort. Un peu plus loin, une femme chiait sur le visage d’un homme. J’ai regardé la scène pendant quelques instants puis j’ai sauté avec ma bouche sur la première queue qui s’est présentée. Une belle jeune femme s’est jointe à moi et, toutes les deux, nous avons léché et sucé cette jolie bite bien bandée qui a fini par nous éclater au visage. Un déluge de sperme nous a inondé les yeux, les joues et la bouche. La femme et moi, nous avons léché ce sperme pour éviter qu’il ne se gaspille, nous l’échangeant avec nos langues en nous embrassant. Une troisième femme, la bouche pleine de décharge, est venue se joindre à nous et nous avons aspiré tout le liquide d’amour du fond de sa gorge. On aurait dit qu’elle était venue nous faire une offrande.

Les deux chiens étaient très occupés. L’un subissait une fellation de la part de deux jolies femmes qui se repassait sa bite en gloussant de plaisir. L’autre chien couché sur le flan se faisait sucer par Mado, une mature blonde assez dodue qui s’en pourléchait les babines,

Je voulais absolument vivre cette expérience, mais personne ne s’occupait plus de moi, je m’approchais donc du deuxième chien, hésitant un peu..

– Tu fais quoi ? Me demande Mado, arrête de regarder et viens le sucer avec moi !

Je respire un grand coup, je me baisse, je m’approche, je ferme les yeux, les rouvre. Je n’ose pas lécher par le bout et me contente lécher la verge sur le côté.

– Suce mieux que ça ! Sinon c’est pas le jeu ! Me dit Mado.

Alors prenant mon courage à deux mains (je devrais dire prenant mon courage en bouche) j’ai sucé l’extrémité de cette bite, m’habituant progressivement à cette substance visqueuse qui s’en dégageait. Au bout d’un moment Mado a voulu me rouler une galoche, excitée comme j’étais, je n’ai pas hésité une seconde.

Il s’était formé un attroupement autour du premier chien, j’ai compris pourquoi. L’une des deux femmes s’était mise en levrette et se faisait saillir par le chien qui la pénétrait en cadence.

– Qu’est-ce que tu attends pour faire pareil ? Me demanda ma patronne qui nous avait rejoint.

Toute honte bue, je me suis mise à quatre pattes, Laura et Mado on fait ce qu’il fallait pour attirer le chien vers mes fesses. Je n’étais plus qu’une chienne qui se faisait prendre par un chien… et j’étais bien !

Depuis ce jour mon statut chez mes patrons a changé, on me fouette quand je fais des bêtises et même quand j’en fais pas ! Parfois je sers de chiotte et de papier à cul à mes patrons, et quand il y a des convives, je suis, si l’ambiance s’y prête invitée à sucer les bites de ces messieurs et les chattes de ses dames, Et si l’on veut m’enculer, je ne dois pas refuser.

Croyez bien que je ne me plains pas, et puis je vais vous confier un secret, mon salaire a triplé !

 

D’après une histoire parue sur le site de SophieXXX en 2000 signée Maude et titrée « l’initiation »

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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