Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 19:22

Une soirée au château

par Sylvain

 

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Je viens par cette belle soirée de septembre où le temps était de la partie, d'organiser une soirée dans mon modeste "château" en Sologne afin de fêter comme il se doit ma nomination comme DRH au sein de la société XXX (merci Papa). J'ai voulu fêter ça décontracté avec pas mal de copains et de prétendus amis de la jeunesse. En fait c'était une idée de Sophie, ma compagne, on avait déjà fait la fête "officielle", non pas la fête, la corvée, et cette présente soirée permettait de décompresser.

 

Nous avions pris la précaution de préciser sur les cartons : "ambiance libertine et décontractée". Ben non, il faut croire qu'il y en a qui ne savent pas lire, un couple a cru intelligent de venir avec ses gosses. Résultat, pas de partouze avant qu'ils ne se décident de partir, un peu après minuit. Et après personne n'osait faire le premier pas, jusqu'à ce que Christelle, une jolie blonde délurée entraîne deux convives derrière un bosquet et en revienne complètement débraillée et le maquillage destroy.

 

Sophie, ma compagne, ne voulant pas être en reste, s'approcha d'un type et quelques minutes plus tard se retrouvait avec sa bite dans la bouche. Cette fois la partie était lancée.

 

Le problème, c'est qu'il ne restait plus grand monde, beaucoup étaient partis, et dans ceux qui restaient pas mal n'étaient plus en état de faire quoique ce soit.

 

Sophie vint à ma rencontre, sa bouche sentait le sperme.

 

- Pfff… un éjaculateur précoce, il n'a pas tenu la distance, dommage il avait une belle bite, je l'aurais bien prise dans mon cul. Et toi ? Tu fais banquette ?

- Je ne sais pas, Christelle ne me branche pas trop, et les autres sont H.S.

- Quelle horreur, tu vas être obligée de t'envoyer ta femme ! Un comble pour une partouze. Plaisantât-elle.

- Mais ce ne sera pas une corvée, ma chérie !

- Heureusement encore ! Pourquoi tu ne te branches pas Nicolas, il est en train de bailler tout seul devant la piscine.

- Et qu'est ce que tu veux que j'en fasse ?

- Je sais pas, moi, vous vous sucez, tu l'encules, ou tu te fais enculer, et après tu me racontes.

- Pas devant tout le monde !

- Qui t'as dit de le faire devant tout le monde ?

 

Je décidais de tenter le coup, pour voir et me retrouvais seul avec Nicolas au bord de la piscine à discuter de tout et de rien, l'alcool n'aidant pas à cacher nos préoccupations réelles... Nicolas me parla de Sophie et m'avoua qu'il était jaloux... Voilà un aveu qui ne manqua pas de me surprendre !

 

Je pensais donc qu'il m'en voulait d'être avec en couple avec Sophie… mais ce n'était pas ça du tout, il m'avoua qu'il était jaloux que Sophie soit avec moi car je le faisais craquer depuis des années... Je fus surpris de sa révélation mais me trouvais flatté tout de même, il me dit que si je voulais je pouvais encore tenter l'aventure avec lui... Je ne savais plus que penser... Faire des galipettes avec un mec ne me dérange pas, mais si le type s'amuse à devenir amoureux, ça ne va plus du tout.

 

Gêné par ses paroles, il me demanda si je pouvais le déposer chez lui car il voulait aller se coucher, je lui proposais de rester ici mais ça ne le tentait pas... alors il insista pour que je le ramène.

 

- J'ai pas mal bu !

- Il n'y a personne sur la route à cette heure-là !

- Si, il y a des platanes !

- Tu rouleras doucement.

 

On est monté en voiture malgré une atmosphère assez pesante entre nous deux, au bout de quelques kilomètres je mis de la musique pour nous détendre un peu. Mais soudain, il arrêta la radio et me demanda de me garer. J'obtempérais sans trop comprendre. Alors, il sortit de la voiture et se mit soudain à courir à travers champs. Je l'appelais pour qu'il remonte en voiture mais il continuait à courir, je me mis à sa poursuite, il venait de rentrer dans un petit bois, fatigué de la soirée je continuais ma poursuite en marchant. La nuit était claire mais arrivé à l'orée du bois je ne voyais plus rien. Cet andouille avait grimpé sur la première branche d'un arbre et sauta de l'arbre juste quand je passais dessous. il se rattrapa à moi dans sa chute, ce qui me fit rouler à terre avec lui... nous étions allongés dans la boue enlacés dans les bras l'un et de l'autre, il me serra fort dans ses bras et commença à m'embrasser dans le cou, j'essayais d'abord de me débattre puis je me suis dit que je pouvais me laisser embrasser.

 

Des baisers dans le cou, on alla vite vers des baisers plus appuyés avec la langue, je me mis à bander car cela m'excitait, Nicolas dû s'en apercevoir car ses baisers furent plus vigoureux. Je sentais son sexe grossir contre moi à l'intérieur de son jean. Ses mains se baladèrent sur mes fesses puis sur mon entre-jambe, je me laissais faire telle une marionnette, il déboutonna mon jean, ses mains glissèrent sur mon caleçon. Il me renversa sur le dos et me dit de me détendre et de me laisser faire, la fatigue et l'alcool aidant, je me suis laisser aller.

 

Gay2103.jpg

 

Quelques secondes plus tard mon sexe se trouvait en dehors de mon caleçon, je bandais à fond il commença à me branler par de longs va-et-vient puis plus rapidement, me sentant venir il reposa mon sexe sur mon ventre, se mit debout et se déshabilla entièrement (on se trouvait dans un bois en pleine campagne, on ne risquait pas d'être vu). Lui aussi bandait à fond et son sexe me parut énorme, il s'approcha et me dit de le prendre en main comme si c'était le mien et de lui faire ce que je me ferais si j'étais seul. Je le branlais tranquillement pendant qu'il continuait de me déshabiller, après quelques aller-retour sur sa hampe je me retrouvais nu comme lui. Il se coucha sur moi et m'embrassa à pleine bouche puis glissa vers mon sexe en m'embrassant partout sur le corps, il le prit en bouche et me suça aussi bien qu'une femme (même mieux sans doute)... j'étais aux anges je vins rapidement lui envoyant de bonnes giclées de sperme au fond de la gorge, et lui tenant la tête enfoncée sur mon sexe pour qu'il me vide jusque la dernière goutte.

 

Il se mit sur le dos et me regarda avec le sexe tendu vers moi, je compris qu'il attendait que je le suce à mon tour. Pas de problème, les belles queues m'ont toujours attirées, mais néanmoins, je ne voulais pas paraître "céder" trop facilement. Je prétextais ne pas vouloir pendant quelques instants puis me jetais sur son sexe goulument. Je le suçais comme il me l'avait fait et comme j'aurais aimé être sucé... me régalant de sa douce texture et de son léger goût d'urine salée. Il vint rapidement lui aussi et je me suis retrouver englué à mon tour.

 

Profitant de mon sperme comme lubrifiant il me proposa (sans trop y croire) de me sodomiser, j'acquiesçais, lui mentais en disant que la chose était nouvelle pour moi, mais qu'excité comme je l'étais je voulais bien essayer, et me présentais à quatre pattes devant lui avec le cul bien relevé. Il commença par me lécher le fion, puis il fit entrer un doigt dans mon œillet, puis deux, puis trois mais je ne me dilatais pas assez pour qu'il rentre son sexe sans me faire mal, il me dit de faire comme si j'allais chier, il me cracha sur l'anus pour le lubrifier une fois de plus et se cracha dans la main pour se lubrifier le sexe. Ensuite il s'approcha, je sentais son gros gland tendre et chaud se positionner sur ma rondelle puis je le sentis glisser sans problème à l'intérieur puis vinrent des allers-retours rapides puis lents puis de nouveau rapides. Des frissons de plaisirs m'envahirent, puis je sentis une déflagration à l'intérieur de moi, c'était chaud et j'étais super bien.

 

Il se retira laissant mon cul néanmoins quelque peu douloureux et me proposa d'essayer de le sodomiser à mon tour, il me dit que je pouvais y aller comme ça car il avait l'habitude. Il se mit sur le dos avec les jambes repliées sur les épaules, son anus me faisait face, je m'approchais et le pénétrais sur toute la longueur sans ménagement, il eut un cri de douleur car il ne s'attendait pas à ce que je sois si bien remis de ma sucette. Il eut rapidement ensuite des râles de joie, je lui envoyais la purée après quelques va-et-vient, je me suis écroulé sur lui de fatigue avec le sexe encore en lui, on resta encore quelques minutes ainsi puis ce fut la sonnerie de mon portable qui me ramena sur terre, c'était Sophie qui voulais savoir où j'étais. Je la rassurais et raccompagnait Nicolas jusque chez lui.

 

- Merci pour le délire ! Pour toi, c'était purement physique ou il y a avait un petit quelque chose en plus ? Me demanda-t-il.

- Je t'aime bien mais c'était purement physique ! Lui répondis-je, préférant le décevoir plutôt que de lui laisser entretenir de vaines illusions.

 

- Alors Adieu ! Répondit-il, d'une voix triste.

 

De retour au château, je constatais qu'il n'y avait plus personne à l'extérieur. Au salon Sophie discutait avait un bellâtre, ils ne draguaient pas mais donnait l'impression de bien s'être amusés ensemble. Mais sans doute me trompais-je.

 

- Alors, t'as fait quoi ? Me demanda-t-elle.

- Comme tu l'avais prévu ! Répondis-je ne souhaitant pas me dévoiler devant le biquet.

- Hummm… tu me raconteras tout à l'heure ! Elle était bonne sa bite ?

 

Je compris alors que Sophie avait mis au courant Biquet de mes tendances bisexuelles.

 

- Délicieuse ! Je l'ai bien sucé et il me l'a bien enfoncé dans le cul.

- Hummm, tu sais que Henri (le biquet, donc) il aime bien enculer les hommes, ça te dis ?

- Non, j'ai un peu mal au cul, mais en revanche je veux bien lui sucer sa bite.

- On va le faire à deux alors ? Propose Sophie.

- Bien sûr !

 

Henri baisse alors pantalon et caleçon et nous nous précipitons sur son sexe afin de la faire durcir.

 

Un raclement de gorge, l'une des soubrettes embauchées pour faire le service de la soirée est devant nous, un plateau à la main avec un verre et une carafe d'eau dessus.

 

- Voici le cachet que Madame m'a commandé !

- Ah, très bien, j'espère que vous n'êtes pas choquée par ce que vous voyez !

- Oh, non Madame j'en ai vue d'autres !

- Et bien sucez donc ce jeune homme en compagnie de mon mari pendant que j'avale ce cachet. Vous aurez un petit pourboire spécial pour la peine.

- Avec plaisir, Madame.

 

Rideau

 

 

30/10/2010 Sylvain Zerberg ©

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 18:49

Service à domicile

par Sylvain Zerberg

 

Bombe

Thémes abordés :  bisex masculine, bizarre, domination soft, donjon, engodage masculin, exhibition, feuille de rose, party, prostitution, scato, shaving, travestis, uro.

 

Je m’appelle Sylvain, j’ai 35 ans, châtain clair, divorcé et remarié. Hétéro, mais aimant bien les petites perversités et ne refusant pas de nouvelles expériences. Je bosse dans une société de services à domicile, je fais donc des dizaines de rencontres par jour et je vois donc toutes sortes de gens. Hier, j’avais rendez-vous toute la journée avec une femme, Madame Morgane S…qui avait des problèmes avec sa piscine en banlieue ouest. Il s’agit d’une superbe maison bourgeoise avec des domestiques.

La journée était chaude, une jeune asiatique en tenue de soubrette (qui, je le saurais plus tard, se prénommait Suzy) me fit entrer dans les lieux, je vis une superbe bombe d’une trentaine d’année en monokini sur le bord du bassin. Elle vient vers moi, sans se cacher ses seins, se présente, c’est elle Morgane. Je ne vous dis pas dans quel état je suis de voir cette merveille à 50 centimètres de moi ! Elle est toute désolée de ne pouvoir faire trempette, elle me demanda si je pouvais me dépêcher pour qu’elle puisse jouir des plaisirs de la baignade rapidement. Je lui répondis que je ferais mon possible pour la satisfaire. Ma réponse dû l’amuser car elle me sourit puis me dévisagea lourdement de la tête au pied, fit demi-tour puis et disparut dans la maison.

J’avais prévu la journée entière pour cette intervention, mais l’affaire fut plus rapide que prévue. Il était inutile de faire trainer puisqu’elle avait accepté par courrier un devis qui ne dépendait pas du temps de travail. Alors que la réparation était presque terminée, elle vint me voir, me proposa de prendre un verre, je lui répondis que je préférais finir et boire un coup ensuite, curieusement, cela parut la contrarier mais me laissa finir.

Une fois tout remis en état et les outils rangés dans la camionnette, je retourne la voir, elle me demande alors si je ne peux pas en profiter pour vérifier le robinet d’arrivée d’eau de la maison qui est, me dit-elle, difficile à manier.

– Oui bien sûr !
– O.K. Suivez-moi, et ne vous étonnez pas si vous voyez des choses bizarres.

Je vais chercher une pince multiprise dans la camionnette et suis la dame qui se dandine en tortillant ses fesses, je m’en fous plein la vue et ne me fais pas de soucis pour les « choses bizarres ». Des choses bizarres, j’en ai vu pas mal dans mon métier et je crois bien que pour me surprendre il faudrait y mettre le paquet. On descend au sous-sol.

Et pourtant là le choc : on entre dans une salle complètement surréaliste, avec des chaines, des instruments pour sado maso… et une croix de Saint André sur laquelle est attaché un beau jeune homme, complètement nu, imberbe, plutôt bien monté et qui donne l’air de se trouver très bien dans cette situation.

– Ah, ben ça alors ? Ne puis-je m’empêcher de m’exclamer.
– Je vous avais dit de ne pas vous étonner !
– Je vois qu’on s’amuse bien ici ?
– Je ne vous le fais pas dire… nous sommes un petit club, mais parfois on joue avec des invités… Si ça vous intéresse, il suffit de me le dire.
– Non, ce n’est pas mon truc… enfin je ne crois pas…
– Humm… vous n’avez pas l’air très sûr de vous…On dirait bien que ça vous intéresse un petit peu quand même… petit cochon… on va en parler après si vous voulez, mais pour l’instant si vous pouviez vous occuper de cette arrivée d’eau.

Je suis troublé de chez troublé. L’arrivée d’eau se trouve dans un petit placard bas dans cette pièce. Je desserre très légèrement l’écrou du robinet. C’est tout ce qu’il y a à faire.

– Et voilà !
– Quelle efficacité ! Quelle rapidité ! Je vous remercie. Mais dites-moi maintenant : votre trouble quand on est arrivé ici, c’était pourquoi ? Vous voudriez être à la place de ce charmant jeune homme ? Ou vous voudriez faire des choses avec lui ?
– Ben…
– Ben vous ne savez pas, ou vous n’osez pas le dire… Dites-moi : Vous aimez qu’on vous domine ?
– Non, enfin, très légèrement.
– Je vois… Vous voudriez que je vous domine, là tout de suite !

J’hésite, je regarde ma montre…

– Ne me dites pas que vous n’avez pas le temps ?
– J’hésite ! Je ne m’attendais pas à ce genre de proposition…
– Alors je compte jusqu’à 10. Si à 10 vous n’êtes pas décidé, on n’en parle plus et vous pourrez regretter d’être passé à côté de quelque chose… 1, 2…
– D’accord !
– On dit « Oui maîtresse ! »
– Oui maîtresse !
– Mets-toi à poil !
– Là tout de suite ?

Je reçois une gifle !

– Bien sûr que c’est là tout de suite, tu en as d’autres des questions idiotes ?

Je me déshabille et range mes vêtements sur une chaise qui à la bonne idée de se trouver là.

– Tu vas te pencher sur le chevalet, je reviens m’occuper de ton cul de salope.

Comment qu’elle cause, la bourgeoise ?

Me voilà semi couché sur le machin tandis qu’elle quitte la pièce. Elle revient plusieurs minutes après. Elle s’est changée, un blouson de cuir noir fermé devant avec une fermeture éclair, des grandes bottes, mais la chatte (rasée) et le cul à l’air. Elle s’empare d’un martinet et commence à me chauffer les fesses. Je pousse des petits cris de douleur.

– Je ne veux pas t’entendre, si tu veux tout arrêter tu dois prononcer deux fois le mot « alouette », et à ce moment-là je te vire, sinon le reste, tu peux gueuler, je n’en tiens pas compte.

Les coups continuent à dégringoler, mais je m’habitue, j’ai vite le cul en feu. Elle me détache.

– A genoux et ouvre ta bouche, je vais te cracher dans la gueule !
– C’est peut-être pas indispensable !
– Je crache toujours sur mes esclaves, ils adorent ça. Ouvre ta bouche !

Je n’aime pas trop ça, mais que voulez-vous, il faut bien qu’elle s’amuse aussi.

– Dis-moi, que préférerais-tu ? Sucer la bite de cet esclave ou me lécher mon trou du cul !
– Euh, votre trou du cul, maîtresse.
– Mauvaise pioche ! Tu vas d’abord sucer l’esclave.

Et bé ! Il y a bien longtemps que je n’ai pas sucé une bite, moi ! Mais ça ne me dérange pas, je la prends en bouche et la suçote pour lui donner une vigueur qu’elle ne tarde pas à acquérir, puis je commence une fellation en règle, en fait je me régale, l’occasion de faire ce genre de chose ne se renouvellera peut-être pas de sitôt, à moins de revenir ici.

– C’est bon la bite, hein ?
– Humm ! Répondis-je la bouche pleine.
– Je crois qu’on va bien s’entendre, j’adore les hommes qui sucent des bites… Bon assez ! Je ne veux pas que tu le fasses jouir.
– Bien maîtresse !
– Tu te rends compte de ce que tu viens de faire, tu viens de sucer la bite d’un mec, tu es pédé ? Rigole-t-elle.
– Non maîtresse, mais j’aime bien essayer des trucs.
– Et bien, on ne va pas se gêner, lèche-moi le cul, maintenant.

Je lui écarte les fesses, et approche mon visage. J’ai un léger mouvement de recul : Son cul ne sent pas vraiment la rose ! Mal essuyé ? Mal lavé ? Ou alors elle vient de péter ? Après un instant d’hésitation et d’accoutumance, je lèche son anus, le goût est âcre, mais pas désagréable du tout, on s’habitue à tout.

– Il est comment mon cul ?
– Il est bon maîtresse !
– Ça je le sais bien, mais il a quel goût ?
– Eu un peu fort ?
– Un peu fort ? Je ne comprends pas, il a une odeur alors ?
– Oui, mais ça ne me dérange pas.
– Je vois bien que ça ne te dérange pas, mais dis-moi l’odeur c’est quoi ?
– Ben disons que ça sent un tout petit peu le caca…
– Ah, oui, j’aurais donc oublié de m’essuyer ce matin… je suis tellement distraite… mais en fait ça m’arrive souvent, j’adore que mes esclaves sentent l’odeur de mon cul et me servent de papier-toilette… Bon c’est bien nettoyé, où il faut que tu continues ?
– Je ne sais pas, mais je veux bien vous lécher encore…
– Mais c’est qu’il y prend goût ce petit salopard… Non, pour le moment on va faire autre chose, j’ai une idée, tu n’es pas pressé au moins ?
– Non, non.
– Je vais faire une surprise à mon mari, il ne devrait pas tarder à entrer, je vais te préparer et il va t’enculer…
– C’est que…
– C’est que quoi ? Il a une très belle bite, et toi tu es un suceur de bite, quand on suce des bites, on ne doit pas avoir peur de se faire enculer…
– C’est que je ne l’ai jamais fait…
– Et bien justement il va te dépuceler, ce sera encore plus excitant.

Elle appelle alors deux domestiques, Suzy, l’asiatique qui m’a fait entrer tout à l’heure et Melissa, une blackette et leur demande d’apporter le matériel nécessaire afin de me raser intégralement…

– Ce n’est peut-être pas nécessaire… Balbutiai-je, et puis que va dire ma femme…

Je reçois une gifle !

– UN ! C’est nécessaire, mon mari n’encule que des mecs complètements rasés, il a horreur des poils ! Quant à ta femme, ne t’inquiètes pas, je t’expliquerais ce qu’il faut dire, tout se passera bien, je ne suis pas là pour briser ton ménage…

Les deux nanas reviennent avec le matériel, cuvette, gel de rasage, après rasage, serviette… puis se déshabillent intégralement. Elles commencent par le torse, les jambes puis ma queue et mon anus. Je ne vous explique pas dans l’état où se trouve mon sexe, je suis bandé à fond. Morgane contemple le résultat…

– Humm… pas mal du tout… les filles, allez lui chercher des collants, un porte-jarretelles, une perruque blonde, et de quoi le maquiller… allez plus vite que ça… Si Monsieur arrive dites-lui de ne monter que dans une demi-heure, vous lui expliquerez que je lui prépare une surprise.

Manquait plus que ça, mais je ne réagis même pas…

– Tu les trouves comment mes soubrettes ?
– Mignonnes !
– N’est-ce pas ! Si nous devenons amis, tu pourras faire des trucs avec, elles sont très obéissantes et pas farouches du tout… mais faut le mériter…

On me fait enfiler les bas, on me maquille, on me perruque… Mon image dans le miroir renvoie celle d’un inconnu, je ne me trouve décidément pas mal en travelo…

– Je te fais grâce des escarpins, c’est la première fois, tu risques d’être plus ridicule qu’autre chose et ce n’est pas le but recherché… Par contre je vais te rougir un peu les fesses, je n’ai pas assez tapé tout à l’heure, elles sont vraiment trop pâles. Allez, cambre-toi.

Je ne proteste même pas, j’espère simplement qu’elle ne va pas frapper trop fort… Non ça va… ça va, mais c’est juste. Au bout d’une vingtaine de coups de martinet, elle s’arrête, me fais me retourner, et me fixe deux pinces sur le bout des tétons, curieuse sensation qui me fait rebander comme jamais.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, maîtresse…
– Tu fais ce que tu veux, alors, si je comprends bien ?
– C’est ce que vous me faites qui me fait bander, maîtresse !
– Bon, alors ça va !
– Monsieur est arrivé, il attend dans le salon ! Viens dire Suzy, la petite asiatique.
– OK, tu lui as dit que je lui préparais une surprise ?
– Oui, madame !
– Demande-lui qu’il se déshabille avant de descendre, et suce-lui la bite avec Melissa, je veux qu’il arrive ici bandé et excité.
– Comptez sur nous, madame !

dom612.jpgQuelle maison de dingues !

Morgane m’attache les mains au plafond à l’aide de poulies, puis Norbert (le mari) fait son apparition.

– Bonsoir chérie ! J’ai vu que la piscine était réparée, et la surprise, je suppose que c’est cette tantouse, dit-il en me désignant !
– Il te plait j’espère ? Sinon, c’est pas grave, on le vire…

C’est humiliant tout de même cette façon de parler de moi…

– Il a l’air mignon ! Juge le Norbert qui me contourne et me pelote les fesses… Joli cul en tout cas… il a dû en voir passer des bites par-là !
– Ben, non justement, il m’a dit qu’il était puceau du cul !
– Il est puceau de la bouche aussi ?
– Non, il a sucé mon client tout à l’heure, il avait l’air de se régaler…

Hein ? Quoi ? Elle a parlé de client ! Ce serait donc une professionnelle ? Une fois le trip fini, elle va me demander de l’argent ou alors une réduction sur la facture de la réparation… Ça me paraissait bizarre aussi cette affaire de « club » ! Je décide d’en avoir le cœur net.

– Vous avez parlé de client vous êtes une pro ?

Elle a l’air étonné de ma question, mais ne se défile pas.

– Nous en parlerons tout à l’heure, je suis une semi pro, je fais des choses avec des clients et avec des non-clients… comme toi par exemple… si ça te pose un problème de savoir que je fais la pute, tu es libre de partir, je ne te demande rien.
– Non, je veux bien rester !
– Ok, tu ne le regretteras pas !

Du coup, Norbert prend alors conscience de la présence du mec attaché à la croix dans le coin obscur de la pièce.

– Heu, et celui-là, tu le laisses attaché ?
– Pour l’instant oui, mais si tu ne veux pas qu’il te voit faire des choses avec ce jeune homme, je peux lui bander les yeux.
– Non, non, plus on est de fous, plus on rit.

Morgane me détache et me fait mettre à genoux devant Norbert.

– Suce, salope !

Je l’aurais parié. Cette queue était plus grosse que celle de l’esclave, mais tout aussi agréable à prendre dans la bouche, je m’efforçais de sucer de mon mieux, me disant que plus il serait excité moins la sodomie serait longue.

– T’aime ça sucer des bites ?
– Oui, maîtresse ! Répondis-je interrompant un instant ma fellation.
– Ne répond pas à ses questions idiotes, on voit bien que tu aimes sucer des bites, pas la peine de demander, suce-moi encore !

Je suce encore, je vais finir par me faire mal à la mâchoire… puis l’ordre tant redouté intervint :

– A quatre pattes…

Le mec se capote, me fout du gel sur l’anus, puis m’enfonce un doigt qu’il fait aller et venir.

– Il est étroit, tu aurais dû le préparer avec un gode ! Dit Norbert.
– Je n’y ai pas pensé, et puis je n’ai pas eu tellement le temps.
– Fallait te débrouiller… ça mérite une punition…
– Ben voyons !
– Tu ne veux pas jouer ? S’inquiète le mari.
– Si, si punis-moi !
– OK, vous les deux boniches, vous allez m’attacher Madame sur la seconde croix et vous lui donnerez chacune dix coups de martinet sur le cul…

Ça devient du délire, bien sûr Morgane se laisse faire, même qu’elle a l’air de prendre son pied en se faisant fouetter son joli petit cul.

– Laissez-la attachée, Suzy, tu prends un gode, le plus petit modèle et tu encules ce travelo avec, Melissa tu en prends un plus gros et tu passeras après, moi je passerai en troisième…

J’ai donc droit à un premier gode qui me trifouille le fondement, j’avoue que la sensation n’est pas désagréable sauf cette impression de gêne que le plaisir n’arrive pas à faire disparaître complètement, question d’habitude probablement, avec le deuxième je me sens déjà mieux rempli… ce n’est pas vrai que l’accoutumance se fait déjà ? Puis sans transition la bite de Norbert m’encula…

– Alors c’est bon ?
– Ça va !
– Je ne t’ai pas demandé si ça allait, je t’ai demandé si c’était bon !
– Oui, c’est bon !
– Ah, je savais bien !

Au bout de dix minutes, il ressort de mon cul sans avoir joui, j’ai l’anus en marmelade et j’ai surtout envie de me reposer, mais voilà qu’il me tend sa bite toujours encapotée et pas très nette. Pourvu qu’il ne me demande pas de la nettoyer. Pas tout le même jour quand même… Effectivement le mec est intelligent, il a dû voir ma tronche, et se tourne vers Melissa qui lui nettoie tout ça sans aucun problème.

– Détachez Madame ! Toi, me dit-il, tu mérites une récompense, tu vas enculer ma femme, et moi je vais regarder le spectacle pendant que ces deux petites putes vont me sucer la queue. Mais avant, je vais gouter ta bite…

Il me suça donc quelques instants, très bien d’ailleurs et sans doute mieux qu’aucune femme… La suite était pour moi complètement inespérée, je me demande si ça ne cache pas un piège… En fait non, Morgane se met gentiment à quatre pattes, on me passe une capote, et je m’enfonce en elle avec une facilité déconcertante. Je suis tellement excité que je jouis en elle en moins de cinq minutes, tandis que Norbert décharge dans la bouche de la petite asiatique.

Bon je suppose que c’est fini, je vais pouvoir me rhabiller et repartir avec plein de souvenirs inénarrables dans la tête.

– Ça donne un peu soif tout ça ! Dis-je espérant qu’on m’apporte à boire.
– C’est vrai, je t’avais proposé un verre tout à l’heure, ça m’est sorti de l’idée. M’indique Morgane.
– Ce serait bien volontiers, maîtresse !
– Alors, couche-toi sur le dos, ouvre ta gueule de porc, je vais te pisser dedans.

Pour avoir déjà fait ce genre de choses, ce ne fut pas une corvée, je m’efforçais de boire tout ce joyeux liquide, Melissa et Suzy furent invitées à la rejoindre, j’étais littéralement trempé dans une marre de pisse et me surprenait à rebander…. mais je fus un peu plus inquiet quand je la vis s’accroupir différemment de façon à ce que son anus soit à quelques centimètres de mon visage.

- Et maintenant un bon gâteau au chocolat !

Je vois avec stupeur son trou du cul qui se dilate.! Je suis fasciné par ce spectacle et me dis que vu l'état d'excitation dans lequel j'étais de nouveau, je n'aurais aucun recul devant cette pratique extrême ! 

Un long boudin brun s'éjecte de son anus et vient s'écraser sur mon menton. Morgane se saisit de l'étron le porte près de son visage et y donne quelques coups de langue, puis l'approche de mes lèvres.

- Non !
- Si je l'ai fait, tu peux le faire aussi ! Rétorque-t-elle

Alors j'ai léché sa merde et me suis surpris à rebander.

- Maintenant tu me nettoies, devant et derrière !

Bien sûr que je lui nettoie la chatte dont les plis sont encore imbibés de son urine. Mais j'ai fermé les yeux pour lui nettoyer l'anus il avait bon goût 

- Melissa et Suzy, finissez-le !

Les deux femmes se badigeonnèrent les mains avec l'étron de Morgane, puis Suzy me masturba pendant que Melissa me pinçait les seins avec ses doigts merdeux.

Pour la deuxième fois je jouissais comme un dingue, Suzy récupéra tout mon sperme dans sa jolie bouche avant de le partager avec sa collègue. Je me relevais, me demandant comment j'avais pu faire de pareilles choses.


- Bon je vais te laisser partir… il faut que je finisse cet esclave. Douche-toi un peu, tu en as besoin.

On se quitte, à mon grand regret elle ne me propose pas de revenir, elle redevient distante, elle me donne congé avec une poignée de main accompagnée d’un merveilleux sourire, j’aurais aimé un petit bisou, tant pis !

A 19 heures j’étais chez moi, j’embrasse ma femme

– Alors Sylvain, cette journée ?
– Bof un gros problème avec une piscine, j’y ai passé un temps fou…
– La routine quoi ?
– Ben oui, la routine

Putain, comment vais-je faire pour lui cacher mes fesses ? Quelle explication vais-je trouver pour expliquer le rasage de mon corps ? Morgane m’avait dit qu’elle m’en reparlerait, elle a oublié… Et voilà mon téléphone qui sonne.

– Allo !
– Je suis le docteur Martin ! Entendis-je

Mais c’est la voix de Morgane.

– J’ai oublié de vous donner le nom du produit pour vous badigeonner le corps, vous notez ?

Je note et elle raccroche. Ma femme m’interroge, je lui explique alors que j’ai dû aller au dermatologue suite à une allergie inconnu et qu’on a été obligée de me raser les poils… L’explication passe comme une lettre à la poste.

Et voilà que ça sonne de nouveau

– Il me semble que vous ayez oublié votre pince multiprise ! Me dit Morgane
– Pas bien grave, j’en ai d’autres, gardez là en souvenir.
– Non, tu vas venir la rechercher mercredi prochain à 14 heures très précise. Je recevrais un couple d’amis et nous aurons besoin de toi pour nous amuser.
– D’accord !
– Et si tu veux je te ferais un bon gâteau au chocolat…
– D’accord !
– Ce n’est pas comme ça qu’on dit !
– D’accord Maîtresse !

– A qui tu parlais, me demande ma femme ?
– Oh, à une maîtresse d’école…

Sylvain Zerberg – 2010

D’après une nouvelle signée James 007 et publié sur le site de Sophiexx en 1999

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 15:18

Masculin-Féminin

Aventure alpestre

par Enzo Cagliari

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Thémes évoqués :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, jeux érotiques, masturbation, party, pluralité masculine, scato légère, spermophilie, uro, voyeurisme.

 

Dans les Alpes


Ah ! Je le retiens le Patrick avec ses plans foireux. Mais enfin, bon, ça ne s'est pas si mal terminé que ça…


- J'ai un plan super pour passer dix jours de vacances avec des super randonnées. Nous avait-il annoncé.


Effectivement, il s'agit d'un séjour dans un chalet de haute montagne à un prix défiant toute concurrence. On cherche le piège, "non, c'est très propre", nous a garanti le correspondant de Patrick, simplement l'hébergement est qualifié d'un peu spartiate avec le coucher en dortoir, mais ça on s'en fout, nous avons tous l'âme un peu partouzarde !


Et voilà, nous sommes six garçons et trois filles, tous en dernière année de médecine, à l'exception de Patrick qui est notre jeune prof d'anatomie, ils se connaissent bien entre eux, mais c'est la première fois que j'intègre leur groupe. Nous sommes en train de gravir à pied les deux kilomètres et quelques qui nous séparent de "la Félicité", avec les bagages, les duvets, les chaussures de rando et tout le tremblement.


Il nous a fallu changer de train à Lyon pour aller jusqu'à Briançon, là attendre plus d'une heure un car pour La Génoire, pour nous entendre dire ensuite que pour le reste, il fallait se débrouiller à pied.


Patrick tente de donner l'exemple en marchant en tête, les filles sont à la traîne, moi aussi d'ailleurs ! Je tiens compagnie à Elodie, superbe brune à la bouche pulpeuse et à la poitrine de star. Je l'aime bien, Elodie, j'ai essayé de la draguer dans le train, mais me suis rendu compte que c'était peine perdue, on a quand même fait tout le voyage en train face à face. A un moment, elle m'a demandé de lui descendre sa valise du porte bagage, elle l'a ouverte et s'est mise à chercher je ne sais quoi de façon frénétique. Elle sort des trucs, en met partout, puis range tout ça, referme la valise, et me demande de la remonter. Evidemment, elle a oublié d'y remettre un sachet.


- Tiens, tu peux le mettre dans ton sac à dos, tu me le rendras quand on sera arrivé !


Ben voyons ! Heureusement, c'est léger comme tout son truc !


On décide de faire un petit arrêt et la plupart en profite pour se soulager. Je n'en crois pas mes yeux, Lucia s'est accroupie pour pisser devant nous sans aucune pudeur. Je croise son regard, elle rigole. Jérôme, quant à lui urine à deux mètres de moi, sans se tourner, il a une jolie queue assez longue, quand elle bande elle doit être magnifique !


- Humm ! Ça te plaît bien de mater la queue à Jérôme ? Me lance Sophie.

- Ben quoi, elle est belle ?

- Tu aimes les bites, alors ?


Aïe, me voilà sur un terrain glissant… D'autant que Jérôme s'est approche de moi et me propose carrément.


- Caresse-là si tu veux !


Je cherche une phrase qui me permettrait de me sortir de cette situation embarrassante, mais Sophie en remet une couche.


- Je parie que t'es pas cap' de le sucer ?


Tout le groupe est maintenant autour de nous. Jérôme s'est un peu masturbé et arbore maintenant une magnifique bite en érection. Je décide de faire front :


- Ben, si ! Je suis cap'. Vous voulez voir ?

- Oui, oui, vas-y suce-le !


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Et je me retrouve avec sa queue qui sent le pipi dans la bouche. Manifestement, personne ne s'attendait à ce que je me lance aussi facilement. Je prends plaisir à sucer cette belle bite en de longs va-et-vient de mes lèvres. La situation doit exciter les filles puisque Elodie et Lucia se roulent une gamelle en se tripotant partout. Sophie m'a baissé mon pantalon et m'introduit son doigt mouillé dans mon trou du cul. Cinq minutes plus tard la bite de Jérôme explosait dans ma bouche, j'avalais une partie de son sperme, tandis que Patrick donnait le signal du départ, mon érection non calmée me faisait mal. 


Enfin, on arrive à la Félicité, on tambourine à la porte, ça ne répond pas, on retambourine, on s'énerve, et ce n'est qu'au bout de dix bonnes minutes (c'est quoi d'abord des bonnes minutes ?) que la porte consent à s'ouvrir, nous laissant découvrir un moine en aube de bure, le type doit avoir au moins soixante-quinze ans, il a dû se peigner avec un crayon, et se raser avec une râpe à fromage :


- Soyez les bienvenus ! Dit ce dernier sans conviction, je vais vous montrer le dortoir des hommes, celui des femmes est à vingt minutes de marche à "l'étape", je vais vous confier la clé, je vous conseille d'y aller avant que la nuit tombe !

- Comment ? On n'est pas tous ensemble ? Proteste Sophie.

- C'est le règlement de notre communauté !

- Les règlements, c'est fait pour être adaptés, objecte Patrick, personne ne nous avait précisé ce point, on est crevé, on reste ensemble.

- Ici, le dortoir n'a que six places ! Réplique le moine.

- Et bien dans ce cas, quatre garçons vont rester là avec deux filles, et les autres vont monter à l'annexe, on va tirer au sort ! Propose Lucia.


Le moine devient rouge comme une tomate.


- Il n'en est pas question, votre hébergement suppose que vous acceptiez notre règlement.

- Bon on laisse tomber pour ce soir, on avisera demain ! Décide Patrick de guerre lasse.


On dit aurevoir aux filles, le moine nous présente sa communauté, en fait trois autres moines, deux d'entre eux ont un âge canonique, le dernier est plus jeune mais ne semble pas avoir toutes ses billes. Pour le confort on a des chiottes à la turque à l'extérieur, et un lavabo dans le dortoir caché derrière un rideau. Rien n'est prévu ni pour le repas de ce soir, ni pour le petit déjeuner du matin. Le moine nous explique qu'il nous faudra faire nos courses au village, donc plus de deux kilomètres plus bas. Personne n'a envie de redescendre. Le moine nous propose de nous avancer douze pommes de terre qu'il faudra lui remplacer demain, il nous montre la cuisine, le réfectoire (collectif, il faudra donc manger avec les moines) et la minuscule chapelle.


- Nous allons y prier quatre fois par jour, nous dit-il en ayant la bonté de nous en indiquer les horaires, nous vous invitons à nous rejoindre. 


Ils nous attendent encore !


Il y a une certaine tension, Patrick se sent un peu péteux. On fait bouillir nos patates, on boude le réfectoire et on les mange dans le dortoir.


La nuit tombe vite, on est crevé, on se couche, mais avant on sort pisser chacun à notre tour en s'aidant d'une torche électrique.


Je ne suis pas pressé, j'irais en dernier. Auparavant je sors quelques bricoles de mon sac à dos, et je m'aperçois que j'ai oublié de rendre le petit sachet en plastique qu'Elodie avait omis de remettre dans sa valise. Je l'ouvre !


Glups !


Un soutif, deux strings et une paire de bas autofixant.


C'est ce qui s'appelle se faire rejoindre par son destin.


Explication et présentation


Je me prénomme Corentin, 29 ans, célibataire malgré quelques liaisons assez éphémères. Je mesure 1 m 70 pour 65 kg, cheveux noirs, yeux marrons. J'ai un penchant pour tout ce qui touche la lingerie féminine, et depuis une dizaine d'années je me suis fait une belle garde-robe de ce côté-là. Cela a commencé il y a plusieurs années quand alors que mes parents venaient d'emménager en pavillon, j'ai vu notre voisine pendre ses sous-vêtements dans son jardin. Elle avait toujours des dessous de dentelles et en couleur. A son insu, je me branlais chez moi en pensant à son beau linge. II faut dire que notre voisine était très mignonne et le montrait assez bien. Je continuais donc à épier ses sous-vêtements qui séchaient, jusqu'au jour où je décidai de m'en acheter pour me branler avec. 


Quelle super sensation que de porter un soutien-gorge, un porte-jarretelle, des bas et une culotte de dentelle. Au début je les mettais dans les W-C et je me masturbais. Je ne jouissais pas longtemps après avoir commencé mes va-et-vient. Cela a continué jusqu'au jour où pris d'une pulsion incontrôlable je réussis à m'introduire dans le jardin de la voisine afin de lui piquer une culotte de dentelle bleue qui m'excitait. Arrivé chez moi, je l'ai mise sur mon visage et je me suis caressé furieusement J'ai joui comme jamais je ne l'avais fait. Le lendemain, la voisine est venue demander si par hasard le vent n'aurait pas fait voler une culotte jusque chez nous. Si elle savait que c'était moi qui l'avais ! 


Cet épisode m'a fait réfléchir, j'étais sur une pente un peu compliquée, et je pris la décision de ne me masturber qu'avec des sous-vêtements que j'aurais achetés et portés.


C'est ainsi que quand l'envie me prenais, je revêtais des dessous féminins sous ma tenue d'étudiant décontracté. Le soir, après les avoir portés toute la journée, je me masturbais comme un dingue. 


Lors de ma première liaison sérieuse avec une fille, je cru judicieux de jouer la carte de la franchise et après une quinzaine de jours, je lui avouais mon fantasme et allais jusqu'à lui demander qu'elle me prête son string afin que je le porte. Elle m'a ri au nez, et je ne l'ai plus jamais revu. La seconde a été plus tolérante, elle n'est pas partie, mais a refusé de me prêter sa culotte, et s'est mise à me regarder d'un drôle d'air, c'est moi qui ai cassé. Quant à la troisième, ça l'indifférait complètement, et comme rien n'est pire que l'indifférence, je laissais également tomber. Je me suis dit alors que puisqu'aucune femme ne voulait partager mes fantasmes, je me ferais femme un jour et comme il faut bien commencer par quelque chose je décidais de me raser le corps intégralement et régulièrement.


J'ai ensuite essayé de voir sur Internet comment se débrouillaient les hommes qui avaient le même fantasme que moi. Cela m'a permis de rencontrer en réel Michael dabs son petit studio. Il avait mon âge et pour lui comme pour moi, c'était une première. On a essayé des tas de fringues chez lui, il en avait une sacrée collection ! Puis excités comme nous étions on s'est tripoté mutuellement, et je me suis retrouvé avec sa jolie bite dans la bouche. J'ai aimé le sucer, on s'est mis en soixante-neuf, puis je lui ai proposé de m'enculer. J'ai aimé sentir sa bite dans mon cul aussi bien physiquement que psychologiquement. Il a joui rapidement tandis que je me branlais à fond. Belle expérience gâchée par l'attitude finale (stress post éjaculatoire sans doute) de ce garçon qui s'inventa ensuite un rendez-vous imaginaire afin que je libère rapidement les lieux.


Une deuxième expérience avec un homme plus mûr fut plus intéressante, il portait remarquablement la lingerie pour un homme et ses jambes étaient fabuleuses. Quant à sa bite, c'était un petit bijou, un joli cylindre bien droit parcouru par une veine bien visible et terminé par un gland bien formé et de belle apparence. C'est avec une réelle gourmandise que je l'ai sucé plusieurs fois et puis d'une façon presque naturelle, il s'est occupé de mon petit trou, y mettant la langue et les doigts avant d'y enfoncer sa bite bien profondément. Il fit ça tellement bien que j'ai failli pleurer de bonheur. Nous ne souhaitions ni l'un ni l'autre donner suite à cette aventure, et nous ne nous sommes jamais revus.


J'assumais donc ma bisexualité, en plus de ma passion pour les sous-vêtements. J'obtins l'adresse de quelques boites et y allait de temps à autres sucer de la bite, en attendant de trouver l'hypothétique femme idéale, celle qui saurait m'accepter "en l'état" !


A la fac je m'efforçais de ne rien laisser transparaître de mes penchants. On disait Patrick bisexuel, et c'est vrai qu'il me regardait parfois d'une curieuse façon, mais cela n'alla guère plus loin. Un jour cependant, j'étais venu paré de mes sous-vêtements souhaitant me rendre en club dès la fin des cours. Et là l'enchaînement de circonstances : envie d'aller aux toilettes, celles des hommes inaccessibles, je crois m'enfermer dans une cabine de femme mais ferme mal le loquet, une nana se pointe, pousse d'abord une exclamation de surprise et se met à rigoler comme une bossue. J'ai fui sans croiser son regard espérant qu'elle ne raconte pas ça à toute la fac. J'avais honte et décidais de redoubler de prudence et donc de ne plus porter de sous-vêtements n'importe quand.


Retour dans les Alpes


Et voilà qu'aujourd'hui, suite à un concours de circonstances je me retrouve avec les sous-vêtements d'Elodie ! 


La tentation est trop forte, je sors pour pisser avec l'un des strings, l'enfile sous mon caleçon ridicule, puis au moment de me coucher, je m'arrange sans être vu pour me mettre à poil sous le duvet à l'exception du string ! Je me branle alors en pensant à Elodie, je ne l'ai retiré que quand l'excitation devenant trop forte, mon plaisir montait, il n'était pas question que j'éjacule dans son string ! 


Le lendemain matin, je me réveille le premier, je vais au lavabo en emportant mes vêtements de rechange mais aussi le fameux sac en plastique, après m'être rasé et lavé sommairement j'enfile le second string ainsi que les bas autofixants, je mets aussi le soutien-gorge, mais sans le rembourrer. Personne ne m'a vu, tout cela est planqué sous mes fringues "traditionnelles". Quelle sensation !


Je rejoins mon lit, les autres se réveillent. Et là j'ai conscience d'avoir fait une bêtise. Il est quasiment certain que dans la journée Elodie va me réclamer son sachet de sous-vêtements. Il faudra bien que je lui rende, et pour lui rendre, il ne faut pas que je les porte sur moi. Je cherche à m'isoler, mais il y a toujours quelqu'un… Même la cabane de WC qui ne possède aucun système de fermeture n'est pas la solution !


Patrick pris la parole !


- Bon, je suis conscient de vous avoir entraîné dans un plan foireux, j'en suis seul responsable et je vais tâcher de trouver une solution. On ne va peut-être pas s'éterniser ici, mais pour aujourd'hui, on va commencer par assurer la bouffe. Je vous propose qu'on descende tous au village pour faire des achats. Ah ! Au fait, j'ai eu les filles au téléphone, elles sont furieuses, rien à bouffer hier soir et ce matin non plus. Je leur ai dit qu'on s'occupait du petit dej' et on ira leur monter et on le prendra tous ensemble, que les moines soient d'accord ou pas !


On est tous d'accord, on descend, on achète plein de trucs à bouffer, du jambon, du saucisson, des chips, des patates pour remplacer celle que les moines nous ont "prêtés", de la bière, du pinard, et pour le petit-dej', de quoi faire du café, des croissants et des brioches. Tout ça dans nos sacs à dos.


Sur le chemin du retour, on avise une petite baraque abandonnée. L'idée de loger là-dedans plutôt que chez les moines nous effleure, mais c'est vraiment trop pourri. On hésite quand même, on tournicote un peu dans la cabane… et soudain…


- Attention !


C'est Jérôme qui perd l'équilibre et qui m'entraine dans sa chute, j'essaie de me contrôler, mais je n'y arrive pas, je dégringole sur une vielle planche. Rien de grave, je vais m'en tirer avec un hématome.


Les autres arrivent, nous entoure :


- Rien de grave ? demande Patrick

- Non, non, répond Jérôme !

- Montre-nous on ne sait jamais !


De bonne grâce, ce dernier baisse son pantalon, effectivement, il n'a rien… Je panique en me disant qu'après ce sera mon tour et qu'on va me découvrir avec les sous-vêtements d'Elodie, je ne sais plus où me foutre !


- Et toi Corentin, tu n'as rien ?

- Non, non, plus de peur que de mal !

- Fais voir quand même ta jambe, on ne sait jamais

- Non, non, je vous assure, je n'ai rien du tout…

- Fais voir quand même ! Parfois on croit qu'on a rien et il y a quand même quelque chose et après il peut y avoir des complications.

- Bon, je vous dis qu'il n'y a rien, je ne vais quand même pas vous signer une décharge de responsabilité, non ?

- Pourquoi tu ne veux pas nous montrer tes jambes, ce ne sont que des jambes, non !

- Parce que j'ai pas envie !

- Tu as fini de faire ta chochotte. Après tout c'est moi le responsable du groupe, s'il t'arrive quelque chose, ça peut me retomber sur le dos, donc je veux voir ! Reprend Patrick

- Non !

- Bon on va un peu t'aider, les gars vous m'aidez à lui retirer son pantalon !


J'ai cinq mecs qui sont autour de moi, ils ne sont pas vraiment menaçants, ni méchants, mais ils vont me déculotter, ça c'est sûr !


- Bon, vous l'aurez voulu !


Je baisse mon pantalon, et je me suis retrouvé debout devant eux en string blanc, les bas autofixants et le pantalon aux chevilles.


- Whah ! C'est quoi ce délire ?

- C'est MON délire, je fais ce que je veux, et ça ne fait de mal à personne. D'accord ?

- Regardez ça, les gars, on a un travelo dans notre groupe. C'est marrant comment sa bite tend le string ! 

- Et alors ? 

- Tu aimes te sentir femme, mon petit cochon. Est-ce que tu voudrais qu'on s'amuse ? Demande alors Patrick.

- Qu'on s'amuse à quoi ? Demandais-je.


Mais, ils avaient tous compris le message et se retrouvèrent vite les pantalons aux chevilles et les queues à l'air. 


- Ça te dirait de nous nous sucer, petite salope ? Demanda Patrick sans aucune méchanceté dans le ton de sa voix

- Pourquoi pas ?


Je pris le gland de Patrick en bouche, un peu maladroitement au début, mais très vite ma caresse buccale se précisa. II faisait le commentaire aux autres qui se paluchaient devant nous. Je me suis mis à sucer les autres à tour de rôle. Lionel avait une queue raisonnable, celle de Jérôme (que je suçais donc pour la deuxième fois) était longue et large, Philippe était le moins pourvu, François lui avait la queue qui sentait fort. 


Les commentaires allaient bon train : "Qu'est-ce qu'elle suce bien, la salope !", "Hum ! Une vraie petite langue de pute !"


J'ai appris plus tard que pour au moins deux d'entre eux (Lionel et Philippe) c'était la première fois qu'ils faisaient des trucs entre garçons. Mais ils avaient l'air de prendre goût à ces jeux puisque le premier suçait maintenant la bite de Jérôme et que Patrick se régalait de la queue de Philipe.


Un randonneur nous aurait aperçu, il se serait surement demandé si nous étions tous membre de l'amicale des suceurs de bites !


La partie battait son plein quand j'ai senti un doigt plein de salive sur ma rosette, c'était Patrick qui me préparait l'anus. 


- Tu voudrais que je t'encule ?

- Bien sûr !


Ravi de cette perspective, je poussais pour ne pas souffrir. Il approcha son sexe et pénétra mon petit cul d'un seul coup, j'ai failli mordre la queue de François que je suçais toujours. J'étais pris en sandwich pour la première fois et c'était bon.


Au bout de quelques minutes les deux garçons échangèrent leur place. Je me retrouvais avec la bite de François dans l'anus et celle de Patrick parfumée à l'odeur de mon cul dans la bouche. Ils ne tardèrent pas à décharger pratiquement en même temps. François me demanda de lui nettoyer sa bite gluante de foutre et de merde et je m'exécutais de bonne grâce. Lionel et Jérôme m'arrosèrent ensuite de leur sperme sur le visage, alors que Philippe voulut jouir entre mes fesses. J'étais le seul à ne pas avoir joui, mais je m'étais fait enculer par trois bites différentes. Patrick eu alors la bonté d'offrir sa bouche à ma queue afin que je puisse exploser à mon tour. 


Quand l'orgie fut terminée, ils m'ont dit qu'ils avaient une surprise pour moi. Ils m'ont offert un porte-jarretelles blanc, une culotte de soie, un soutien-gorge à balconnets et des bas, le tout assorti. 


- Mais ça sort d'où ?


J'ai compris alors que cette scène avait été préméditée. Comme avait été prémédité l'épisode du petit sac en plastique d'Elodie.


Quand nous sommes arrivés au chalet des filles, Patrick les salua :


- Bonjour les filles, on vous apporte le petit déjeuner, alors comment s'est passé votre soirée ?

- Rien à bouffer, juste quelques restes de biscuits, et rien pour s'occuper : Répondit Lucia, heureusement Elodie nous a bien léché toutes les deux, si elle fait des pipes aussi bien que les broutes-minous, vous ne devriez pas être déçus, les garçons !

- Hum ! On a aussi une surprise. Allez Corentin montre leur comme tu es belle !


Je ne me décidais pas et j'étais rouge de confusion, partagé entre le risque d'être un sujet de moquerie de la part des filles et l'éventualité de faire des trucs avec elles. 


Patrick raconta tout, les filles m'encouragèrent alors à me montrer en sous-vêtements. Puis Elodie décida de me maquiller, tandis que Sophie me vernit les ongles. Ensuite, Lucia, la plus cochonne, sortit un gode de son sac, me demanda de me mettre en position et sans trop de ménagement me l'introduisit dans le cul.


- Regardez comme il aime bien se faire enculer ! Dit-elle, allez dis-le nous que tu aimes ça !

- Oui, oui, j'aime ça !


Quand le gode ressortit, il était un peu merdeux


- Regardez-moi ce cochon, il m'a tout sali mon gode. Nettoie-le ! Me demanda-t-elle en l'approchant de ma bouche.


Cela ne me gêna pas du tout de le nettoyer


- Allez, montre-nous comment tu fais la salope ! Nous on veut voir ! Allez les garçons sortez vos bites !


Je recommençai à sucer les garçons quand Elodie haussa le ton : 


- Applique-toi ! Je crois qu'on va bien s'amuser avec toi, tu vas être notre petit esclave. A genoux, viens me lécher mon cul.


Elle me précisa qu'elle était probablement très mal essuyé le derrière, les WC locaux étant démuni de papier toilettes. Je m'exécutais de bonne grâce et après avoir nettoyé quelques inopportunes taches brunes de ma langue, je léchais le troufignon au goût âcre de la belle Elodie. Hum, délicieux ! Puis les filles voulurent me voir en action avec les autres garçons.


Je suçais donc Lionel, puis Philippe pendant que Jérôme m'enculait avec de grands coups de bite Puis Sophie me fit coucher sur le sol et vint s'empaler le cul sur ma bite dressée comme un mât de cocagne, pendant ce temps Lucia me donnait sa minette à lécher. 


J'étais la vedette du moment, cinq garçons aux bites fièrement dressées et trois jolies filles m'entourent. Et soudain Patrick se mit à me pisser dessus, le jet atterrit sur ma bite, puis Lionel pissa à son tour, j'ouvrais la bouche pour recevoir cette offrande, tout le monde se mit alors à pisser, j'en avais partout en avalait de grandes rasades. 


Quelle récompense ! 


Et j'en eu droit à une autre, car les filles m'ont ensuite fait cadeau de leurs dessous féminins. Et en écrivant ce récit, je porte les bas et le porte-jarretelles d'Elodie, la culotte de Sophie et le soutien-gorge bleu de Lucia. 


Enzo Cagliari

30/10/2010


Ce récit est une réécriture d'un récit homonyme publié par le site de Sophiexxx en 1999. Certains passages ont d'ailleurs été laissés intacts. La publication sur ce site aujourd'hui disparu était elle-même une copie d'une lettre publiée par une des nombreuses revues de correspondances érotiques telles qu'ils en existaient dans les années 1990, elle était signée "Claude, 25 ans"

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Samedi 30 octobre 2010 6 30 /10 /Oct /2010 07:04

Laisse-moi t'aimer comme ça !

par Enzo

 

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Le coup de bol, je reçois un coup de téléphone de mon ami Charlie. C'est un black dans la trentaine, un gars très jovial, très décontracté, il est musicien et travaille à la télé.

 

- Tu n'as toujours pas de boulot ? Me demande-t-il.

- Ben non !

- Figure-toi qu'hier soir je dinais avec Gisèle…

- Ta patronne ?

- Oui, et avec Tristan Lamont, et il nous a dit qu'il cherchait un accompagnateur, parce que le sien a eu un accident, et que dans les gars qu'il connait pour le remplacer, il n'y en pas un de libre… alors j'ai pensé à toi. J'ai un peu arrangé le tableau, je lui ai dit que tu étais génial, que tu avais une bonne mentalité…

- C'est qui Tristan Lamont ?

- Bof ! Un mec qui se croit chanteur ! Il chante des conneries mais ça se vend très bien, tu n'as jamais entendu parler ?

- Ben non !

- C'est le type qui chante : "Laisse-moi t'aimer comme ça !"

- Ça ne me dit rien !

- Je vais te le chanter !

 

Non pas ça, Charlie est un très bon batteur, mais il chante comme un pied !

 

- Ce n'est pas la peine. Bon ! Qu'est-ce qu'il faut que je fasse, que je l'appelle ? Demandais-je

- Non, il veut que je vienne te présenter, il m'a proposé de passer chez lui à 17 heures, tu apporteras ta guitare.

- Et tu crois qu'il va m'engager ?

- Ah, il faudra peut-être forcer la chance, mais tu sauras faire, s'il te drague laisse-toi faire.

- Il est homo ?

- Il serait plutôt bi, il baise tout ce qui bouge, au restau, pendant que Gisèle était aux toilettes, il m'a carrément demandé s'il avait des chances de la sauter. Je lui ai répondu que ça pouvait se "négocier", ça ne l'a pas gêné du tout. Du coup il m'a demandé si c'était possible qu'elle vienne avec nous quand on va aller te présenter.

- Ah, bon ? Et elle va venir ?

- Oui !

- Mais qu'est ce qui la motive ?

- Je sais pas !

- OK, on y va quand ?

- Vers 15 heures.

- On se retrouve où ?

- Je passe te chercher avec Gisèle.

- D'accord, je te remercie, j'espère pouvoir te remercier comme il se doit, s'il m'engage.

- Ben tu me feras une pipe ! Me répond Charlie, hilare.

 

Ce n'est pas un problème, j'adore sucer des belles bites.

 

- D'accord je te ferais une pipe d'enfer !

- Allez, je te laisse te préparer, bichonne toi, rase-toi les poils, parfume-toi…

 

Bon, vous aimeriez savoir à qui vous avez affaire : Enzo, 29 ans, divorcé, bisexuel et musicien.

 

Je me rase le visage de très près, puis je me rase un peu partout, le torse, les bras, les jambes, les couilles, j'ai bien dû user dix rasoirs, et je ne me suis même pas coupé, je suis bon quand même. Je me regarde dans le miroir, je me trouve mignon. Ah, reste le cul, j'ai le choix, soit faire ça au-dessus d'un miroir, soit demander à Charlie de me raser, mais bon Gisèle sera là c'est un peu embêtant.

 

Je pensais qu'on serait entre hommes, dans cette hypothèse, je me faisais fort de chauffer le Tristan comme il le fallait. Là ça va être plus compliqué. Et puis je ne comprends plus, s'il veut se faire Gisèle, je ne vais pas le draguer en même temps… A moins que ça tourne en partouze, allez savoir ?

 

Bon je me rase le cul tout seul, si je dois passer à la casserole, ce sera service minimum, juste la pipe, la sodo est parfois un problème, certains mecs refusent d'entrer dans un cul qui n'a pas subi dix-huit lavements et vingt-trois déodorants. Je ne vais pas me prendre la tête avec ça !

 

Bon, allez, je me parfume, me peigne comme un zozor, passe un pantalon qui me moule bien mon petit cul, je mets une chemise rose et j'attends ces messieurs dames.

 

Charlie me présente Gisèle, on me l'avait déjà présentée mais elle ne doit pas s'en rappeler. C'est une belle femme dans les quarante-cinq ans, très brune, une bouche à tailler des pipes et un regard de salope (ce qui n'est absolument pas péjoratif dans mon propos)

 

Elle me toise, rigole un peu.

 

- Bon, on va peut-être au fiasco, mais sinon, normalement Tristan devrait craquer en vous voyant. Alors la consigne est la suivante, vous allez faire comme si Charlie et moi nous n'étions pas là. Vous vous laisser draguer, vous répondez à ses avances, s'il veut vous faire une pipe ou vice-versa vous vous laisser faire. Ça vous convient ?

 

Je n'en reviens pas, la productrice de la télé qui me donne des conseils…

 

- Moi, je veux bien, mais vous croyez vraiment qu'il va se lâcher comme ça en votre présence ? Demandais-je

- J'ai confiance ! Ne vous inquiétez pas ! Et s'il veut vous sodomiser, ne faites pas votre jeune fille, exigez juste une capote, j'espère qu'il en a sinon, j'en ai apporté.

 

Et en plus, elle fournit les capotes… Je rêve !

 

- J'avais pas trop prévu de me faire sodomiser, justement. Précisais-je.

 

Gisèle me fout alors une grande claque sur le cul, puis se met à me peloter les fesses. Voilà que je bande !

 

- Quand on a un cul comme le vôtre, on assume.

- Bon si j'ai bien compris je suis obligé de me faire enculer devant vous si je veux obtenir ce contrat d'accompagnateur !

- Obligé, non, vous faites ce que vous voulez, personne ne vous oblige, mais je peux vous assurer que si vous le faites, le contrat est dans la poche. Le seul risque c'est au tout début, est-ce qu'il va flasher sur vous ou pas ?

- Est-il indiscret de vous demander quel est votre rôle dans tout ça ?

- Bonne question, Charlie, je pense que tu seras d'accord pour que je ne réponde pas. Ça fait un peu partie du jeu. Quand nous en aurons fini vous aurez votre réponse, si toutefois la question se pose encore.

 

Et la voilà qui me tripote la braguette, c'est une sorcière cette bonne femme !

 

- Vous avez mis quoi en-dessous ?

- Un caleçon, un caleçon à fleurs

- Faites-voir !

- Vous voulez voir mon caleçon ?

- J'aimerais bien, oui.

 

Je baisse mon pantalon, lui montre le truc, elle glisse alors sa main dans l'ouverture du caleçon et en ressort ma bite toute bandée.

 

- Et bien dites-donc, vous êtes en forme, vous !

 

Elle se baisse, tire mon caleçon vers le bas et se met à me sucer la bite pendant quelques instants.

 

- Hum ! Elle est bonne, goutez-là donc, Charlie !

- Mais je la connais déjà, Gisèle.

- Bon enlevez moi ce caleçon, ce sera mieux avec le pantalon et rien en dessous.

 

Si elle le dit… mais le temps de faire tout ça, la voilà derrière moi à me caresser les fesses.

 

- Humm, qu'est-ce qu'il est doux votre cul ! Ecartez-moi bien tout ça, je vais vous lécher le petit trou !

 

J'adore cette caresse, sa langue s'agite pendant quelques courtes minutes sur mon œillet qui finit par s'entrouvrir par tant de sollicitations, j'ai à présent sa langue dans mon cul ! Quelle délicieuse sensation !

 

Et la voilà qui me glisse un doigt dans le cul, puis un deuxième, ça aussi j'adore ça. Elle me fait toute une série de va-et-vient puis ressort ses doigts, en vérifie l'état.

 

- Très légèrement merdeux, tout à fait comme j'aime ! Commente-t-elle en nettoyant tout ça avec sa langue. Mais, bon faut y aller ! On y va comment ?

- En métro ! Propose Charlie.

- C'est une bonne idée, ça ! On restera debout et vous vous collerez tous les deux contre moi, je veux bien sentir vos bites à travers vos pantalons.

 

On a fait comme elle avait dit, je suis collé devant Gisèle, Charlie est derrière. Les deux mains de la coquine enserrent nos bites perspectives. Tout cela est relativement discret, d'ailleurs ma guitare cache une partie de la scène, mais n'échapperait pas à un observateur attentif. C'est exactement ce qui se passe ! A un arrêt un type descend en nous lançant d'un air courroucé :

 

- Ne vous gênez surtout pas, faites ça devant tout le monde !

- Merci du conseil ! Répond Gisèle.

- Pauvres malades ! Conclue le coincé de la braguette en disparaissant.

 

Tous les regards sont sur nous, mais il n'y a plus rien à voir, nous nous sommes légèrement décollés et Gisèle a déplacé ses mains. Mais ces quelques minutes de folies ont été aussi excitantes qu'amusantes.

 

Et nous voilà chez Tristan : physique de jeune premier, très brun avec des gros sourcils, la barbe de trois jours, le cheveu très court. Il est vêtu d'un jean informe (quoique de grande marque très apparente) et d'un col roulé blanc très fin. Les présentations sont rapides.

 

Il me détaille des pieds à la tête. Je m'efforce de lui présenter le plus beau des sourires que je possède en stock. Il daigne me le rendre.

 

- On va commencer pour voir si c'est bon ! Nous dit-il. Toi, Enzo tu t'installes ici avec ta guitare. Et vous deux, mettez-vous là !

 

"Là" c'est un peu plus loin !

 

- Bon on y va, tu connais "Laisse-moi t'aimer comme ça" bien sûr ?

 

Aïe, la catastrophe, ben non, je ne le connais pas son tube sirupeux. Si je dis "non", je me fais jeter, si je dis "oui" je peux espérer le bluffer, je dis "oui".

 

- Voilà la partition, dans l'enregistrement on ne l'a pas respecté à la lettre, tu essaies de faire pareil.

 

Mission impossible ? Mais bon, on verra ! Le bellâtre branche son ampli, sort son micro et se met à pousser la chansonnette, c'est une horreur aussi bien musicalement qu'en ce qui concerne les paroles. Qu'est-ce que je fous là ? L'accompagnement n'est donc pas bien difficile. Il ne m'interrompt pas, on va jusqu'au bout.

 

- Pas mal ! Mais tu as trop respecté la partition…

 

Il me montre le truc, m'indique l'endroit où il faut modifier un accord et de quelle façon. Ça va, c'est dans mes cordes (c'est le cas de le dire) Donc on recommence.

 

- Formidable ! On essaie un autre morceau.

 

Ça passe aussi ! Le mec est enchanté !

 

- Putain qu'est-ce qu'il fait chaud ici ! Dit-il en enlevant son tee-shirt.

 

Surprise je m'attendais à une forêt vierge, mais non, c'est rasé ! Il m'invite à faire de même, j'ai compris le message, la route de la bite est ouverte, l'inconnue restant de savoir dans combien de temps je vais me faire enculer ! Une autre inconnue : c'est le rôle de Gisèle et de Charlie dans cette salade. On verra bien.

 

- Mets-toi à l'aise ! Reprend-il.

 

Pas de problème, si Monsieur est amateur de torse imberbe et de jolis tétons il va en avoir plein la vue.

 

- Hummm ! T'es troublant, toi, je peux toucher ? Demande-t-il

- Bien sûr !

 

Il me passe une main sur le torse, s'attarde sur le téton et me le pince. Ça m'électrise, j'aime bien ce truc-là.

 

- T'aimes ça, on dirait ?

 

Il est perspicace le mec !

 

- T'es quoi hétéro, homo, bi ?

- Bi !

- Bon on va encore essayer une chanson, je vais me mettre en caleçon, ce jean m'engonce de trop.

 

Quand je pense que Gisèle trouvait mon caleçon ridicule, celui de Tristan avec des petits dauphins et des petits ballons imprimés est tout simplement consternant.

 

- Fais pareil, tu seras plus à l'aise !

- C'est que je n'ai rien en dessous !

- Ah !

 

Il reste dubitatif quelques secondes, apparemment j'ai dû contrarier son plan. Mais le bonhomme a de la ressource. Il me remet la main sur le torse et me pince de nouveau le téton gauche, et tant qu'il y est l'autre main s'occupe du téton droit ! Bien joué l'artiste ! Je me pâme et je bande.

 

Il me fait un sourire qui se veut ensorceleur, puis approche son visage du mien. Je vais avoir droit à la gamelle. Je n'aime pas trop, mais ça ne va pas me tuer non plus. Ça y est, il me roule une pelle ! Berck, ce connard a bouffé de l'ail et a oublié de se laver les dents.

 

Diversion, je m'occupe à mon tour de ses tétons, il apprécie mais ils sont petits et difficiles à pincer. Je choisi donc de lui glisser la main dans le caleçon et je dégage une bite, qui ma foi, présente un très bel aspect, c'est bien bandé, c'est bien droit, le gland est luisant et attendrissant, je n'attends aucune autorisation et après l'avoir branloté un moment je me la fourre dans la bouche. Le goût est un peu fort, ça sent un peu l'urine mais je fais avec. Allez, je le suce comme une pro, petits coups de langue, grands coups de langues, va-et-vient, aspiration, mouvements des lèvres, gobage des couilles : tout y passe !

 

La bonne question, c'est : est-ce qu'il va vouloir que je le suce à fond, ou faudra-t-il faire autre chose ?

 

Il se dégage :

 

- Tu suces bien ! A moi !

 

OK ! Je suis dans ce genre de relations plus passif qu'actif, mais il faut aussi savoir partager les plaisirs. Je quitte (enfin) mon pantalon. Me voilà en quéquette et en chaussettes, et hop, ça y est, j'ai ma bite dans sa bouche ! Ho ! Mais c'est qu'il suce bien l'animal ! Je me laisse faire, puis essaie de me contorsionner pour qu'on se mette en soixante-neuf, mais je n'y arrive pas. Je lui indique quand même par signe que s'il continue comme ça je ne vais pas tarder à décharger. Il marque donc une pause.

 

- Qu'est-ce que c'est bon de sucer des bites ! Commente-t-il.

 

Il a bien raison, le garçon !

 

Puis il demande à Charlie de se déshabiller et de nous rejoindre. Celui-ci se pointe donc et Tristan lui prodigue une fellation à genoux, Je m'allonge donc sur le sol et recommence à sucer ce dernier.

 

On reste comme ça un certain temps, puis Tristan se relève, me demande d'en faire autant et commence à s'intéresser de près (de très près même) à mes fesses. Et que je te les pelote et que je te les malaxe, et que je te les caresse, et que je te lèche le trou du cul et que j'y mets les doigts.

 

- Prépare-moi ! Demande-t-il à Charlie on va faire le petit train.

 

Il va fouiller dans un tiroir, reviens avec deux capotes, l'une pour lui, l'autre pour Charlie. Il prend aussi du gel. Il m'en tartine le trou du cul tandis que mon copain black fait de même avec la rosette de Tristan.

 

- Je commence et je te dirais quand tu pourras venir, dit-il à l'adresse de Charlie.

 

Attention, ça va être la fête à mon cul ! Je me mets en levrette, il arrive derrière. Quand c'est bien fait, j'aime bien, mais encore faut-il que ce soit bien fait. Il me pénètre du premier coup et se met à me limer, il débute trop vite, me fait mal.

 

- Attention !

- Ne fais pas ta chochotte ! Me répond-il.

 

Charmant !

 

Mais bon, ça va mieux, je devrais dire "ça glisse mieux", et tout ça commence à me procurer des frissons de plaisir. Puis il reste enfoncé en moi, me fait me baisser jusqu'au sol toujours sans déculer, et on se met en cuillères, le temps qu'il reprenne le rythme, il demande à Charlie de venir le sodomiser à son tour.

 

Ça y est on fait le petit train, le seul problème c'est que Tristan semble plus intéressé par ce qui se passe dans son cul que par ce qu'il fait subir au mien, ses mouvements deviennent désordonnés, ça devient du grand n'importe quoi, il finit d'ailleurs par déculer pour laisser Charlie jouir dans son fondement.

 

Me voilà largué.

 

Tristan appelle alors Gisèle.

 

- Prend l'enveloppe sur la cheminée !

 

Elle le fait, compte les billets, puis lit un petit papier qui est avec.

 

- D'accord, mais tu ne tapes pas trop fort et tu ne m'attaches pas ! Dit-elle.

- Tu ne risques rien, tes amis sont là !

- Bon d'accord !

- T'as tout lu ?

- Oui !

- Plus d'objections ?

- Non ! On peut y aller !

 

Elle se déshabille entièrement. Elle est très belle avec ses seins un peu lourds aux mamelons très sombres.

 

- T'aime ça faire la pute, hein salope ? Lui lance Tristan.

- Oui et alors ?

- Alors rien, arcboute-toi après la table, lui dit-il tout en disposant une grande bâche sur le sol.

 

Il lui attache une barre d'écartement entre les chevilles, lui fait allonger les bras qu'il attache à une chaise coincée de l'autre côté de la table, puis s'en va chercher un gode qu'il recouvre d'une capote, avant de lui introduire dans l'anus, puis il se saisit ensuite d'une cravache.

 

Le premier coup zèbre la fesse de Gisèle en une trainée rose. Elle sursaute, étouffe un cri. Le deuxième coup tombe, laissant une trace chevauchant la première, puis le troisième. Vers le quinzième coup elle crie à chaque fois, désormais incapable d'étouffer sa souffrance, mais elle sublime néanmoins la douleur.

 

On a dépassé les quarante, son cul est devenu violet et boursouflé, Tristan continue à frapper, Gisèle pleure, mais sans crise. Elle encaisse, je me demande comment elle fait.

 

49, je suppose que le cinquantième sera le dernier. Effectivement mais pour le final Tristan augmente la force de son coup. Cette fois Gisèle hurle.

 

- Connard !

- Je sais ! Répondit-il.

 

Il pose la cravache, retire le gode, qu'il introduit tel quel dans la bouche de Gisèle, puis lui tartine un peu le trou du cul, s'encapote sa bite bandée comme un pieu, et l'encule.

 

- Détachez-la ! Nous demande-t-il

 

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Gisèle pousse des petit cris sous les coups de butoir de Tristan, elle fait ce qu'elle peut pour maintenir le gode dans la bouche, mais il finit par dégringoler. Trois minutes plus tard alors la femme se met à jouir du cul, notre chanteur à la mode décule, et après avoir demandé à Gisèle de se retourner, il lui éjacule en plein visage.

 

- Ne bouge pas et ouvre la bouche ! Lui indique-t-il.

 

Il se concentre quelques instants (en fait il attend que sa bite débande), puis se met à pisser d'abondance en visant le visage de la productrice de télévision. Gisèle avale tout ce qu'elle peut sans problème, le reste finissant par faire une flaque insolite sur la bâche.

 

- Ah ! Ben ça fait du bien tout ça ! Commente-t-il. Vous pouvez vous rhabiller !

 

On le fait.

 

- Bon, vous allez devoir me laisser ! Reprend-il, j'attends du monde. Quand à ce monsieur, continue-t-il en me désignant, je ne crois pas qu'il fera l'affaire, je ne vais quand même pas engager un type qui n'a manifestement jamais écouté aucune de mes chansons.

 

Je tombe du placard, je me suis donc fait enculer pour rien !

 

- Qu'est-ce que tu en as à faire, l'essentiel c'est qu'il soit un excellent guitariste. Intervient Charlie.

- Justement, un excellent guitariste ne va pas s'abaisser à faire l'accompagnateur de Tristan Lamont ! Raille ce dernier.

 

Il y a une certaine tension.

 

- Je peux peut-être prendre une douche, et il faut que je me remaquille… je ne vais pas repartir comme ça. Intervient Gisèle

- Bon d'accord, mais si tu pouvais faire vite ! Concède Tristan.

- Nous on se casse, Gisèle, on t'attend au bistrot d'en face, propose Charlie.

 

- Quel fiasco, je t'ai emmené dans un plan foireux, je suis vraiment désolé ! Me dit Charlie une fois que nous étions dehors.

- On ne pouvait pas savoir… et puis je n'ai pas pensé non plus à écouter ses chansons avant d'y aller…

 

Vingt-cinq minutes plus tard, Gisèle ne nous avait toujours pas rejoints. On commence à s'inquiéter, mais la voilà qui sort de l'immeuble de Tristan.

 

- Quand une femme dit qu'elle va prendre une douche rapide, il ne faut jamais la croire ! Plaisante Charlie

- Bon, cet abruti m'a filé un bon paquet de fric, il m'a payé comme une escort de luxe ! Je vous offre le restau, j'ai envie d'un gros plateau de fruits de mer ! Propose Gisèle.

 

Je brûle de lui poser la question qui me brûle les lèvres. Mais est-ce bien nécessaire ? J'ai compris que cette femme un peu nympho et qui n'a pas de problèmes financiers vu sa situation a simplement le fantasme de faire "la pute", elle a eu l'occasion de le faire, elle l'a fait. Elle m'avouera plus tard aussi que de voir des mecs faire des trucs ensemble l'excitait terriblement. Côté sexe elle a donc eu ce qu'elle était venu chercher. Pour le reste elle est très remontée contre Tristan et parle même de lui briser sa carrière…

 

On arrive au restau, on choisit une table, on s'assoit, on commande du champagne. Le serveur s'en va préparer notre commande. Gisèle le rappelle :

 

- Madame désire autre chose ?

- Oui, un bon coussin pour mon cul !

 

FIN

 

 

Enzo Cagliari - 30/10/2010

Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 19 avril 2010 1 19 /04 /Avr /2010 23:23

Les libertins du Cantal

3- Le facteur, la crémière et les autres

par Enzo

 

 

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Malgré cette folle journée, je me suis levé de bonne heure le lendemain matin… et avec la trique. Je descends à la cuisine en pyjama. Florence est en robe de chambre. Me voyant arrivé elle ouvre sa robe de chambre, du coup on s'embrasse et je lui pelote les seins pendant qu'elle me tripote la bite. Quelques instants plus tard, la voilà qui se met à me sucer… Voilà une journée qui s'annonce bien… Mais on sonne, elle se relève précipitamment, se réajuste…

 

- C'est le facteur ! Passe derrière la porte de l'escalier, ne la ferme pas à fond, comme ça, s'il y a du spectacle tu pourras en profiter…

 

Je ne cherche pas à comprendre, effectivement placé comme je suis, j'ai une vue très partielle sur l'évier de la cuisine, et j'entends entrer le facteur, probablement un antillais vu l'accent.

 

- Bonjour Madame Florence, c'est un paquet pour vous !

- Merci, vous voulez une signature ?

- Non, pas la peine, vous êtes toute seule, Madame Florence ?

- Et oui, mon mari est déjà parti et mes locataires sont en train de ronfler… Mais pourquoi me demandez-vous ça, petit coquin ?

- D'après vous ?

- Non je ne vois pas ! Plaisante-t-elle.

- Je peux ouvrir votre robe de chambre ?

 

Je n'entends pas la réponse, elle a dû approuver d'un geste de la tête, mais il est en train de la peloter…

 

- Doucement, doucement avec mes seins, ce n'est pas de la pâte à modeler… Attends, attends, arrête de t'agiter, je vais m'occuper de ta bite… et puis viens par ici, là on est en plein courant d'air.

 

Elle l'emmène jusque devant l'évier en plein dans mon champ de vision. C'est bien un antillais. Florence lui sort sa queue, un chibre impressionnant qu'elle est incapable de mettre entièrement dans sa bouche. Elle lui suçote le gland, lui lèche les couilles. Hummm, ça me fait bander tout ça, dommage qu'il ne soit probablement pas bi, le facteur, je l'aurais bien sucé à mon tour.

 

- Allez viens me prendre ? T'as une capote ?

 

Elle retire carrément sa robe de chambre et se met en levrette en bas de l'évier. L'autre se pointe.

 

- Non laisse mon cul tranquille, tu es trop gros.

- Je te donnerais un peu plus !

- Ce n'est pas une question d'argent, aujourd'hui je ne veux pas. Allez viens me baiser.

 

Je n'en reviens pas, elle se prostitue avec le facteur ? Et pourquoi ne m'a-t-elle pas demandé de l'argent à moi ? Bizarre tout ça ! Le facteur s'agite comme un forcené pendant une dizaine de minutes et finit par jouir en silence.

 

Black1104.jpg- Hummm, tu m'as bien baisé, le facteur !

- C'était bien, hein madame ?

- Très bien, n'oublie pas mon petit cadeau !

- Voilà Madame Florence.

- Merci, et surtout sois discret, je compte sur toi.

- Pas de soucis, Madame Florence, au revoir Madame Florence.

 

Je sors de ma cachette.

 

- Alors t'a bien maté ?

- J'ai surtout entendu et j'ai un peu vu aussi… il a une belle bite !

- Tu aurais bien aimé la sucer, hein petit cochon ?

- J'avoue !

- Pas de bol, il n'est pas bi !

- Dommage !

- Et regardez-moi, ça ! Rien que d'en parler, ça te fait bander… me dit-elle en me mettant la main là où il faut.

 

Mais à mon grand regret elle retire sa main, et s'éloigne.

 

- Bon, on va se boire un café, on verra le reste après…

 

C'est comme elle veut. Elle sert le petit déjeuner et s'assied en face de moi

 

- Faut peut-être que je t'explique deux, trois trucs… commence-t-elle. René et moi avons toujours été libertins. On habitait Lyon, on avait tout ce qu'on voulait sur place, les amis, les clubs… et puis les parents de René sont morts accidentellement, il a voulu reprendre la ferme, ça a toujours été son rêve. On a été bien accepté par les gens d'ici, mais côté libertinage, c'est pas tellement le genre du coin. Ici les gens sont hypocrites, on ne peut pas se dévoiler, on continue à voir quelques amis, pas beaucoup… et de temps en temps on va faire un tour à Aurillac ou à Clermont, mais ici on s'est efforcé d'être discret. 

 

Elle fait une pause, se prépare une tartine.

 

- Le facteur, j'ai fait une bêtise, reprend-elle, j'ai fantasmé sur lui et quand il m'a fait des avances, j'ai craqué. Je l'ai regretté ensuite, il y a des hommes qui ne peuvent s'empêcher de parler de leurs conquêtes aux copains, qui les racontent aux autres qui les racontent à leur femme… et c'est comme ça qu'on se fait une réputation. Je lui ai donc dit que j'avais eu un coup de folie mais qu'il n'était pas question de recommencer… J'ai cru l'affaire terminée, mais il est revenu ensuite à la charge : "Juste encore une fois, on prend son temps, on fait ça bien et après on n'en parle plus…" J'ai dit non, mais c'est vrai que quelque part j'en avais envie… il fallait que je trouve quelque chose pour stopper ces avances. Alors j'ai eu l'idée de lui dire que j'étais une ancienne prostituée, que je conservais quelques clients et que je n'avais pas l'intention d'en avoir d'autres… mais que pour lui je pouvais faire une exception. Ça changeait complètement la donne et j'ai cru qu'il laisserait tomber… Et bien pas du tout, il m'a répondu qu'il était d'accord pour me payer. J'ai accepté, en me disant que vu les nouvelles conditions, le risque qu'il en parle à tout le monde devenait moindre… payer pour faire l'amour n'est pas un acte dont on se vante quand on est macho.

- Et pourtant avec moi…

- Mais ça n'a rien à voir… il n'y a peu de risque, je ne vois quand même pas un locataire aller raconter dans tout le patelin qu'il s'est envoyé sa logeuse…

- Et Claudine ?

- C'était un matin en hiver, elle m'avait commandé un lapin, et elle est descendue le chercher à pied. Elle était frigorifiée, je lui ai préparé une boisson chaude, mais elle avait des frissons, je lui ai proposé sans aucune arrière-pensée de lui frictionner le dos. Elle m'a alors complimenté sur la douceur de mes mains, je lui ai expliqué que j'adorais masser, les hommes, les femmes. La conversation a dévié, les gestes aussi, et dix minutes après on se broutait la chatte… Depuis on se connait mieux, on se voit de temps en temps, elle aime bien les jeux de domination, elle m'a un peu initié…

 

Puis sans finir sa phrase, elle ouvre sa robe de chambre.

 

- Il fait chaud non ? 

- C'est vrai !

- Alors viens que je te suce, ça va me rafraîchir !

 

Je me lève, m'approche d'elle et lui caresse de nouveau les nichons.

 

- Bon tu me le quitte ce pyjama, tu vas crever de chaud !

 

Je m'exécute.

 

- Ça ne bande plus beaucoup, tout ça… Ne bouge pas, on va arranger ça !

 

Elle se lève, passe derrière moi et m'attrape les piercings de mes pointes de seins. L'effet est immédiat, me revoilà en train de bander comme un mulet. Je pense alors qu'elle va s'occuper de mon sexe, mais sa main, ou plutôt son doigt se dirige vers mon petit trou et le pénètre sans autre forme de procès.

 

- Alors tu aimes te faire enculer, maintenant, hein ?

- Oui, j'avoue !

- Tu aimes ce que je te fais avec le doigt ?

- Oui, continue…

 

Un raclement de gorge. C'est Dominique qui se pointe…

 

- Bonjour tout le monde ! Alors on commence la journée sur les chapeaux de roues ?

- Tu ne crois pas si bien dire, le facteur m'a fait une petite visite tout à l'heure, mais approche-toi donc, j'ai deux mains, je peux m'occuper de toi en même temps.

 

Elle baisse le pantalon de pyjama de Dominique, dégageant ainsi ses ravissantes petites fesses, puis nous doigte en même temps, puis se baisse pour nous sucer. Pendant ce temps Dominique me caresse… ça me fait drôle de me faire caresser par un mec, d'autant que ce matin non seulement il n'est pas travesti, mais il n'est pas rasé… J'accepte quand même son baiser, j'ai du savoir-vivre.

 

La sonnette.

 

Florence jette un coup d'œil.

 

- Super, restez à poil et continuez ce que vous faisiez…

 

Je m'apprête à protester mais Dominique me rassure.

 

- Faisons comme elle a dit, ne t'inquiètes pas.

 

Et voilà Claudine qui fait son apparition.

 

- Salut les petits pédés ! Quel joli spectacle ! Justement Florence, je venais t'acheter un lapin et en profiter pour te demander si je ne pouvais embarquer tes neveux pour quelques heures, j'ai envie de m'amuser.

- Si tu veux, mais j'ai quoi en échange ?

- Moi !

- Ça marche ! Alors les gars, ça vous dit de passer un bon moment avec Claudine… Dominique y a déjà eu droit, mais Thibault, si tu y vas, attends-toi à ce qu'elle te fasse des petites misères… Oh, rien de bien méchant, ce n'est pas une tortionnaire tout de même.

- Viens, tu ne regretteras pas ! Insiste Dominique.

 

Je donne mon accord, et on se donne rendez-vous trois quart d'heures plus tard pour le départ, le temps pour moi et mon complice de déjeuner, et de prendre une douche… et le temps pour ses dames de prendre du bon temps entre-elles… Et d'ailleurs elles ont commencé devant nos yeux en se roulant un patin d'enfer… avant de se diriger vers la chambre de laquelle nous n'avons pas tardé à entendre le bruit de leur jouissance

 

Une heure plus tard, Claudine, nous conduisait chez elle.

 

- Je me suis bien avancée, je n'ouvrirais la boutique que vers 16 heures, d'ici là on va pouvoir s'amuser, vous allez revenir avec des culs tous rouges, les mecs !

 

Surprise ! Claudine n'est pas seule chez elle, elle nous présente une grande brune à lunettes d'une quarantaine d'année :

 

- C'est Nathalie, ma grande sœur, elle vient de divorcer, et je lui fais un peu rattraper le temps perdu… Comment trouves-tu mes petits esclaves ma sœurette ?

- Humm… ils sont mignons, j'ai hâte de voir ce que tu vas leur faire.

- Tu ne vas pas être déçu ! Et l'autre dans sa cage, il a été sage, il n'a pas fait de saleté ?

- Non, il dort !

 

De qui parle-t-elle ? D'un chien ? D'un autre "esclave" ?

 

- Libère le et ramène le ici, on va l'exciter. Ou plutôt, non, on va tous aller le rejoindre. Allez, on descend !

 

Claudine a aménagé une pièce de son sous-sol avec une croix de Saint-André, un chevalet, des poulies, des cordes, et des planchettes garnies de divers instruments de flagellation et autres… Mais il y a aussi un pilori… et dans ce pilori ressortent le visage et les mains du… père Michel. Que fait-il ici, celui-ci ?

 

Nathalie libère le prisonnier, il n'est pas complètement nu, non ces dames l'ont affublé de bas auto fixant qui le rende assez ridicule.

 

- Oui, il vient une fois par semaine, et il me fait le ménage en grand, je le paie avec une petite séance de domination et il emporte quelques fromages et d'autres bricoles. C'est un échange de bons procédés… et il est tout content le père Michel, n'est-ce pas père Michel ?

- Oui, bien sûr Madame Claudine ! Approuve ce dernier.

- Tu as vu les deux mignons petits pédés que j'ai trouvés, tu les connais je crois ?

- Oui !

- Alors raconte, ma sœurette elle n'est pas au courant :

- Ben, Thibault a sucé Dominique devant moi, et après il s'est fait bien enculer. Après c'est Thibaut qui m'a enculé.

- Et après ?

- Après je me suis bien branlé en repensant à tout ça !

- Quels cochons ! Constate Nathalie.

- Tu vas voir, ils vont faire tout ça devant nous… lui confia Claudine.

 

Claudine nous demande de nous déshabiller, puis se tourne vers sa sœur. 

 

- Nathalie tu vas me dire celui des deux qui a la plus belle bite, le perdant aura droit à vingt coups de martinets et le gagnant celui de te sucer le cul !

- Et tu crois que je vais être d'accord pour me faire sucer le cul ? Répond Nathalie faussement choquée.

- Ben si tu ne veux pas qu'il te suce le cul, on va dire qu'il gagnera un fromage !

 

Les deux nanas rigolent comme des bossues.

 

- Alors ?

- C'est lui ! Répond Nathalie désignant Dominique qui fait son fier.

 

Les deux nanas m'attachent sur la croix, et elles s'amusent à me fouetter alternativement, c'est un peu fort quand même, je supporte, mais il ne m'en aurait pas fallu dix de plus.

 

Nathalie enlève alors le bas afin d'offrir son cul à Dominique. Le bougre se régale plusieurs minutes, puis on me délivre.

 

- Bon deuxième concours, dit-moi maintenant celui qui a le plus beau cul ! Reprend Claudine.

- La punition reste la même ?

- Oui, par contre pour la récompense, qu'est-ce que tu pourrais lui offrir ?

- Je sais pas, moi, mes nichons par exemple !

- Non, ce sont des esclaves, les esclaves, ça ne lèchent pas les nichons de leur maîtresse… mais tu n'aurais pas une petite envie de pipi ?

- Oh, ben si !

- Et bien voilà le vainqueur gagnera ton pipi ! Alors c'est qui le vainqueur ?

 

Pourvu que ce soit moi, je n'ai vraiment pas envie de me retaper vingt coups sur les fesses !

 

- Ça aurait dû être lui, dit Nathalie en me désignant, mais maintenant qu'il a le cul tout rouge, c'est difficile de départager.

- Tu as raison, on va fouetter Dominique, comme ça leurs culs seront tous les deux dans le même état.

- Mais pour quel raison ? Il n'a pas perdu !

- Parce que j'ai envie que ça se passe comme ça, après tout, une maîtresse n'a pas besoin de se justifier.

 

Elles attachent Dominique, le fouette en s'échangeant des plaisanteries qui ne font rires qu'elles.

 

- Et vingt ! On ne le détache que s'il a gagné, sinon ce n'est pas la peine. Annonce Claudine.

- Il n'a pas gagné, les plus belles fesses, c'est lui.

 

Ah, mais !

 

Les nanas ne sont pas méchantes, la deuxième série de martinet sur le cul de Dominique est beaucoup moins forte.

 

- Je fais comment pour le pipi ?

- Ben Thibault va se coucher par terre, tu l'enjambes et tu lui pisses dessus, vise bien sa bouche, il doit avoir soif !

- Il va boire mon pipi !

- Je crois bien, oui ! Les esclaves adorent boire la pisse de leur maîtresse.

 

Je me positionne, Nathalie aussi…

 

- Accroupis-toi se sera plus pratique.

 

Me voilà donc réduit à l'état de chiottes à la turque… mais il a bon goût son pipi.

 

- Je peux faire caca, aussi ? Demande Nathalie.

- Oh, oui, Oh oui ! Répond Claudine.

 

J'aurais pu protester, mais parfois les circonstances et l'excitation qui avec font que… bref, je n'ai pas protesté.

 

La salope chie un long boudin qui m'atterrit sur le torse. Drôle d'impression ! Je cherche à me débarrasser de tout cela mais les deux femmes m'en empêchent.

 

- Il faut que tu lui nettoies l'anus, maintenant me dit Claudine.

 

Ça ne coute rien d'essayer et ma langue sert donc de papier à cul a cette jeune débauchée. Et pendant ce temps-là la Claudine ne trouve rien de mieux à faire que de m'étaler le caca un peu partout, j'ai l'air intelligent comme ça !

 

A l'autre bout de la salle, le père Michel bande comme un bienheureux.

 

- Dis donc, toi la vielle salope, quelqu'un t'a autorisé à bander ?

- Euh, non !

- Détache Dominique, on va t'attacher à sa place.

 

Le pauvre vieux reçu à son tour une volée de martinet.

 

Claudine s'harnacha ensuite d'un gode-ceinture, puis après l'avoir détaché, demanda au sexagénaire de s'arcbouter sur une table. Elle l'encula avec l'objet pendant quelques minutes avant de refiler son instrument à sa sœur !

 

- Tu as vu comment il faut faire, à toi de jouer.

 

Nathalie, à ce jeu se montra assez douée, elle pilonna le père Michel pendant de nombreuses minutes. Ce dernier poussait des petits cris bizarres et s'écroula à moitié quand l'exercice fut terminé.

 

- Bon, maintenant, disparaît, il reste du ménage à faire en haut ! Lui ordonna Claudine.

 

Les deux femmes revinrent vers nous :

 

- Alors les garçons, on a le cul qui chauffe ! Bon dis-moi Nathalie, qu'est-ce que tu voudrais qu'on leur fasse maintenant ?

- Ben j'aimerais bien voir ce qu'ils se font entre eux.

- Bon, vous avez compris les gars, faites-nous un petit spectacle, mais attention : défense de jouir !

 

O.K. on y va et comme je préfère sucer qu'être sucé, je me mets à genoux devant mon partenaire et lui gobe la bite, ça a beau faire je ne sais combien de fois que je le suce, le plaisir est toujours le même. Je fais en sorte de l'exciter au maximum, afin qu'il soit bien raide pour la suite annoncée. Quand je sens qu'il est à point, je lâche son sexe et me positionne en levrette. Dominique demande une capote se l'enfile, puis m'encule sans difficulté. Il faudra que je compte le nombre de sodomie que j'ai subie depuis que je suis arrivé… Quand on aime on ne sait plus compter.

 

- Stop ! Dira Claudine après quelques minutes.

 

Dommage, c'était bien, par contre je ne suis pas encore bien habitué à l'après sodo, ces instants où on a le trou béant et où on se demande un peu ce qu'il se passe.

 

Les deux femmes nous demandent de les suivre. On se retrouve dans la chambre. Là elles se mettent à poil, et je peux enfin admirer leurs charmes, leurs jolis seins pyriformes, leurs petits culs et leur zézette assez poilues.

 

- Allez, je t'offre Dominique ! Lui dit Claudine.

 

J'ai compris, c'est donc le final, en double couple. La crémière me suce, elle fait ce qu'elle peut mais elle a des progrès à faire. Je suis soulagé quand elle écarte les jambes, le temps de mettre la capote et on y va, je la besogne pendant que Dominique fait de même avec Nathalie. Claudine au bout d'un moment me demande de changer de trou. Dominique aura-t-il aussi ce privilège ? Non, on, ne peut pas tout avoir ! 

 

Claudine gueule, je décharge un peu après, à côté c'est un peu plus laborieux, ce qui fait que la crémière rampe vers sa sœur et lui suçotent les tétons pour l'aider à prendre son pied. Miracle, ça marche !

 

On s'est fait une petite douche, à cinq avec le père Michel, puis Claudine nous a ramené chez Florence et René

 

Belle matinée, mais qu'est-ce que j'ai mal au cul !

 

A midi, je me suis fait une omelette, tout seul comme un grand, Dominique était parti en ville chercher je ne sais quoi ! Florence qui avait déjà déjeuné passe en coup de vent :

 

- Bertrand m'a signalé qu'ils ont pété une ampoule électrique, tu veux bien t'en occuper ? Je suis débordée.

 

Je voulais faire une sieste, tant pis, ce sera pour plus tard.

 

Je vais d'abord voir quel est le type d'ampoule. Bertrand est carrément à poil, Sophie est en maillot de bain. On se dit bonjour et Sophie me roule carrément un patin baveux. Je monte sur un tabouret afin de dévisser l'ampoule usagée. Puis je vais pour descendre :

 

- Humm, reste là-haut, je vais vérifier un truc.

 

Elle me met la main sur la braguette :

 

- Tu vois c'est juste la bonne hauteur. Tu veux jouer ?

 

Je réponds d'un sourire entendu, tandis qu'elle appuie sa caresse. Je bande comme un cerf. Je décide néanmoins de changer l'ampoule de suite.

 

- Je reviens tout de suite !

- J'espère bien, on t'attend de pied ferme !

 

Cinq minutes plus tard, j'étais de retour. Je remonte sur le tabouret, je change l'ampoule. On fait un essai.

 

- Reste là-haut !

 

En disant cela, Sophie a descendu mon bermuda et me branle la bite. J'ai beau être fatigué, je me laisse faire bien volontiers, d'autant qu'une fois la chose ayant atteinte sa taille optimale, elle se la fourre sans la bouche, la gobe, la suce, la lèche ! Je craque.

 

Bertrand ne loupe rien du spectacle et se branle frénétiquement.

 

- Tu veux venir à ma place ? lui demande Sophie.

 

Bien sûr que le voilà qui arrive, à son tour il me prodigue quelques bons moments de fellation. Il est doué, il a encore du progrès à accomplir, mais pour un mec qui n'avait jamais fait ce genre de choses avant la veille, il ne faut pas se plaindre.

 

Je profite d'un répit de mon fellateur pour descendre de mon perchoir.

 

- Rien ne vaut la terre ferme ! Commentais-je.

- Tu veux rester t'amuser un peu avec nous ? Demande Sophie, en retirant son haut de maillot.

 

J'acceptais, bien évidemment.

 

- On a un jeu ! Reprend-elle, pile c'est moi qui commande, face c'est Bertrand ! Et au bout d'une demi-heure on change ! Ça te va ?

- Ce n'est jamais moi qui commande alors ?

- Ben non !

- D'accord on y va !

 

Elle lance une pièce, c'est Bertrand qui a gagné. Sophie sans rien dire se met à genoux. Leur jeu doit être super rodé !

 

- Ça te dirait de lui pisser dessus ? me demande Bertrand ? Elle adore ça, cette catin !

- Pourquoi pas, j'ai justement une petite envie.

 

Sophie est devant moi, la bouche ouverte, elle vient de retirer son bas de maillot et attend. J'essaie de mon concentrer, mais ce n'est pas facile de pisser quand on a la bite en érection. D'autant que Bertrand croit intelligent de passer derrière moi afin de m'introduire un doigt dans mon fondement.

 

- Elle aime, ça… et bien justement on va la faire attendre, tu aimes mon doigt ?

- Bien sûr, tu peux continuer !

 

Il m'en met un deuxième, j'adore ça ! Je vais pour lui proposer de m'enculer, mais à quoi bon, l'acte viendra dans la logique des choses, et puis on joue, et le jeu c'est Bertrand qui commande pendant une demi-heure, alors je me tais, je me laisse dominer.

 

- Allez suce moi bien, et quand elle sera bien raide je vais te la foutre dans le cul !

 

Qu'est-ce que je vous disais !

 

Je le suce donc, et me régale de cette fellation, sa bite n'a pas été lavé depuis le matin, elle sent un peu la pisse, mais ça ne me dérange pas, je la suce, je la lèche, je la tète, c'est trop bon !

 

- T'aimes ça, sucer des bites, hein ma salope ? 

- J'adore !

- Ma femme aussi elle adore ça, une fois on avait été dans un club échangiste à Paris, ce n'était pas terrible, ma femme se faisait draguer sans arrêt, ce que je n'avais pas vu, c'est que cette coquine avait donné rendez-vous à trois types à notre hôtel, ils nous ont rejoint, et moi je me demandais ce qu'ils venaient foutre ici. Sophie m'a demandé de me laisser faire. Alors on m'a attaché sur une chaise et on m'a mis un écriteau au cou marqué "cocu". Elle a sucé à fond les trois mecs, pas les uns après les autres, mais un peu l'un, un peu l'autre, ils avaient des bites superbes, je fantasmais vraiment dessus, mais apparemment ces mecs n'étaient pas bi du tout. Elle a fait durer l'affaire presque une heure, et à la fin les a fait jouir dans sa bouche. Puis elle leur a demandé de nous laisser. Après on a baisé tous les deux, ce fut rapide mais très intense. Bon allez tourne-toi, je vais te baiser le cul !

 

Je me mets en levrette, j'ouvre mon cul, et j'accueille sans difficulté la bite de Bertrand. Et hop, le voilà qui m'encule en cadence ! Quand je pense qu'il n'y a même pas une semaine, j'étais vierge du cul ! Il m'encule bien, mais il ne se contrôle pas, je le sens s'exciter et le voilà qui se met à jouir dans la capote, il reste quelques instants comme groggy avant de déculer.

 

J'ai légèrement débandé (effet du frottement de sa bite sur ma prostate ?). Sophie s'en aperçoit et ouvre une large bouche, en voilà une qui ne perd pas le nord ! Quelques instants de concentration, et allez hop, je lui pisse dessus sans me contrôler, elle en avale une partie, le reste dégouline sur son visage, son cou, ses seins son ventre ses cuisses… et sur le carrelage !

 

- Tu as encore droit à un petit quart d'heure ! Dit-elle à Bertrand.

- Je t'en fais cadeau, je suis "out"

- On continue à jouer ou pas !

- Laisse passer 10 minutes et vas-y, mais là je souffle un peu.

 

C'est assez surréaliste, nous voilà tous les trois assis au bord du lit, on est à poil et on discute de choses et d'autres. En fait ils vont partir en randonnée le lendemain et me demande si je connais des circuits. Ben pas vraiment, je suis nouveau dans la région… Mais j'ai quand même l'idée de leur parler du père Michel (en revanche par discrétion je ne parle pas de Claudine, la fromagère perverse). La suggestion a l'air de les amuser.

 

Mais voilà que les dix minutes sont déjà passées et la douce main de Sophie me masturbe bien efficacement.

 

- Toi le PD, tu restes à genoux un peu plus loin pendant que ce beau jeune homme va me baiser ! Et te plains pas, je te donne la permission de regarder, tu vas pouvoir t'en mettre plein la vue, hein cocu !

 

Mon portable sonne, c'est ma mère :

 

- Allo, Thibault, alors tu ne m'appelle pas ?

- Mon portable est tombé, je n'arrive plus à appeler, mentis-je

- Est-ce que ça se passe bien ? Est-ce que c'est joli comme coin

- Oui, oui, la vue est magnifique ! Là en ce moment je vois de belles collines.

 

Fin

 

Note de l'auteur : j'aurais pu continuer mais le risque était de faire de la répétition, ce troisième épisode sera donc en principe, le dernier…

 

Avril 2010

 

 

(c)Enzo Cagliari


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Par Enzo Cagliari - Publié dans : Enzo Cagliari
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