La bite du collègue par Mathilda Stenberg
Je me prénomme Mathilda, J’ai 36 ans, je suis brune, les cheveux longs et frisés, pas très grande, des lunettes, assez quelconque mais avec des formes qui plaisent. Je suis mariée et fidèle mais, comme toutes les femmes, j’ai des fantasmes mais je ne pensais jamais pouvoir les réaliser.
Robert, mon mari a un très bon collègue de travail qui venait souvent avec son épouse dîner à la maison. Nous nous entendions très bien tous les quatre, sans qu’il n’y ait jamais eu aucune allusion sexuelle dans nos relations.
Mais un jour Hervé (le copain de mon mari) a dû, pour des raisons professionnelles quitter la région. On s’est retrouvé alors tous les quatre dans un espèce de repas d’adieu, nous promettant de nous revoir à la première occasion, mais sachant aussi sans le dire que peut-être nous ne nous reverrions jamais.
C’est environ deux mois après son déménagement qu’Hervé du revenir dans notre région pour régler d’obscurs détails administratifs. Il nous téléphona pour nous dire qu’il passerait à cette occasion nous dire bonjour, qu’il serait sans madame, et en profita pour nous demander de lui réserver une chambre d’hôtel car le voyage étant long, il avait décidé de ne repartir que le lendemain dans la matinée.
– Une chambre d’hôtel pourquoi faire ? Tu n’as qu’à venir coucher à la maison ! Lui proposa mon mari.
Du coup après avoir fait ce qu’il avait à faire, le soir il nous invita au restaurant pour nous remercier. Je m’habillais un peu pour la circonstance, troquant mon éternel pantalon pour une petite jupette et des bas autofixants. La table était excellente et je dois dire que la soirée fut assez arrosée. En rentrant mon mari nous proposa une dernière coupe de champagne. Je trouvais Hervé de plus en plus séduisant et il dut le sentir car son regard était de plus en plus malicieux. Robert, qui lui est très amoureux quand il a bu, commençait à me faire des bisous dans le cou et avoir les mains baladeuses. Hervé souriait mais n’en manquait pas une pour essayer de voir mes dessous et cela m’excitait de plus en plus. Je décidais donc de l’exciter lui aussi en écartant les jambes de plus en plus souvent. Il faut dire que ma jupe noire était assez courte et que ma culotte blanche et transparente devait bien ressortir en dessous. Je croyais que mon mari n’avait rien remarqué de notre petit jeu mais, alors que j’étais à la cuisine pour rapporter une deuxième bouteille de champagne, il déboula derrière moi et, en me mettant la main aux fesses, me dit
– Ça te dirais une petite baise à trois ma chérie ?
– Tu es fou…
– Mais non on va s’éclater… Excite-nous et ça devrait se passer tout seul… Répondit-il en ressortant de la cuisine.
Dans un premier temps j’étais choquée et, en même temps, je sentis ma chatte s’inonder. Je traînais un peu dans la cuisine cherchant des biscuits pour le champagne et quand je revins au salon, mon mari avait allumé la télévision et, je n’en croyais pas mes yeux, il avait mis un film porno. Je les voyais rire tous les deux et les commentaires allaient bon train » Regarde cette salope si elle suce bien… Quel cul ! Elle me fait bander cette garce… « . L’ambiance était chaude, vraiment très chaude, mon mari me dit :
– Viens t’asseoir entre nous deux ma chérie, des fois où j’aurais les mains baladeuses, que je ne caresse pas Hervé !
– Oh, tu sais, moi, ça ne me dérange pas ! Rétorqua ce dernier !
Et, bien voilà qui promettait ! Plus le film avançait, plus la bouteille se vidait et je mouillais de plus en plus. Mon mari commença à me caresser les cuisses et, sûrement dans un réflexe de pudeur, je les resserrais. Mais la pression des mains de Robert me les écarta à nouveau et me voilà les jambes écartées entre les deux hommes. La main remonta un peu plus haut jusqu’à la limite de ma culotte et, tout à coup, je sentis la main de Hervé qui me caressait discrètement les fesses sans que mon mari ne s’en aperçoive. Je n’en pouvais plus, mais que faire ! Je n’osais pas bouger et je décidais de me laisser faire et de voir venir. La main de mon mari montait maintenant sur ma culotte et il se rendit compte qu’elle était toute trempée. Il me regarda et sourit en me faisant signe de m’occuper de mon voisin mais je ne pouvais pas bouger, j’étais paralysée.
C’est alors Robert qui prit l’initiative en disant :
– Je vais aux toilettes, n’en profitez pas pour vous toucher tous les deux !
Cela fit rire tout le monde. Mais à peine fut-il parti que Hervé me retourna vers lui et m’embrassa sur la bouche. Je sentis sa langue en moi et sa main sous ma jupe qui me caressait par-dessus mon slip. Il me prit ma main et la posa sur son sexe raide comme un bâton, je le caressais de plus en plus fort en oubliant mon mari.
J’étais au bord de l’extase quand, tout à coup, j’entendis mon mari sortir des toilettes. J’eus un réflexe de recul et de panique mais il me dit :
– Continuez, ça m’excite de voir ma femme se faire tripoter par un autre devant moi !
Nous reprîmes nos caresses et je sentis les doigts de Hervé s’infiltrer sous ma culotte et s’enfoncer dans ma chatte toute trempée. Mon mari s’approcha et me souleva la jupe sur le ventre pour mieux voir les doigts de Hervé dans ma culotte, je le sentais tout près mais je ne voyais rien, j’étais trop occupée à défaire la braguette d’ Hervé et d’en sortir son sexe. Je le découvris . Il avait une très jolie bite, légèrement mate, la verge parcouru d’une belle veine très apparente, le gland un peu proéminant, brillant et de couleur lie-de-vin, au bout perlait déjà une goutte de liquide séminal. Je le masturbais alors délicatement
– Suce le chéri, il en meurt d’envie !
Et me voilà le sexe dans la bouche, je le suçais comme l’autre petite cochonne dans le film, ce qui rendait mon mari fou d’excitation. Il s’approcha de ma chatte et se mit à me lécher comme un fou entre les doigts de Hervé. Celui-ci sortit sa main de ma culotte et me caressa les seins au travers de mon soutien-gorge. Mon mari m’ôta ma culotte pendant que Hervé libérait mes seins de leur étoffe de dentelle.
En quelques secondes j’étais nue entre mes deux amants. C’est mon mari qui le premier me pénétra pendant que je suçais son copain. Il jouit rapidement en moi, puis ce fut le tour de Hervé de se mettre entre mes cuisses. Mais, au lieu de me prendre de suite, je sentis sa langue sur ma chatte pleine de sperme de mon mari et il me lécha comme ça jusqu’à ce je jouisse dans sa bouche. Je n’en pouvais plus mais j’avais envie de continuer ce rêve. Moi qui d’ordinaire suis si pudique, je m’entendis dire à Hervé »
– Viens mon chéri, viens me bourrer la chatte avec ta grosse bite.
Mon mari me regarda, sourit et me dit
– Tu te régales ma salope, tu en rêvais de te faire défoncer par deux mecs, tu prends ton pied cochonne et tu vas voir ce n’est pas fini, attend un peu que je rebande…
C’est alors que Hervé porta négligemment sa main sur la bite de mon mari.
– Si tu veux je peux t’aider à te faire rebander !
Je crus alors que Robert allait l’envoyer promener, mais pas du tout !
– Et comment tu vas t’y prendre, tu ne vas pas me sucer quand même !
– Tu ne m’en crois pas capable ?
– Oh, avec toi on peut s’attendre à tout, mais tu ne m’avais jamais dit que tu étais à voile et à vapeur !
– Je ne sais pas trop ce que je suis, en fait j’adore les femmes, mais quand je vois une belle bite, tu peux pas savoir ce que ça me fait, et la tienne elle est vraiment superbe, mes félicitations madame !
J’éclatais de rire devant l’insolite de la scène. En fait j’ignorai si c’était des mots en l’air ou s’il allait vraiment le faire. Je décidais de m’en mêler.
– Ben, vas-y suces-le, moi j’aimerais bien regarder, on ne voit pas ça tous les jours !
– Bon, à deux contre un je suis obligé de me laisser faire ! Allez viens me sucer ma bonne queue, viens petit pédé !
Hervé ne se le fit pas redire deux fois et engloutit la bite de son mari dans sa bouche, laquelle bite se mit à retrouver sa belle vigueur avec une rapidité fulgurante.
– Hum, elle est bonne ! Finit-il par dire après cinq minutes de fellation appliquée. Tu ne veux pas qu’on inverse les rôles ?
J’ai senti mon mari hésiter, si j’étais intervenu, je pense qu’il l’aurait fait, une prochaine fois peut-être… me dis-je… mais j’ignorais que j’allais avoir droit à encore mieux dans quelques minutes :
Robert me demanda de me mettre à quatre pattes et dit à Hervé :
– Vas-y, défonce-lui le cul, elle en meurt d’envie !
Et je sentis sa grosse queue pénétrer mon anus. Mon mari fit alors ce que j’avais toujours rêvé (Il le savait, nous en parlions dans nos fantasmes), il passa sous moi et se mit à me lécher la chatte pendant que Hervé m’enculait.. Ce fut l’explosion, j’ai joui comme jamais je ne jouirai, en sentant Hervé décharger dans mon conduit anal.
Il ressortit sa bite gluante de sperme et maculée de matière. Complètement déchaînée, je nettoyais sa queue me régalant du sperme de mon amant de ce soir et de ma propre merde.
Crevés, on a voulu faire une pause, mais il n’y avait pas de troisième bouteille de champagne. De plus une envie d’uriner me taraudait. Seule avec mon mari je n’aurais pas hésité, mais j’ignorais si Hervé goûtait de ce fantasme !
– Jus de fruit ou eau gazeuse ? Proposais-je
– A moins que tu ne veuilles déguster le champagne de ma femme ? Proposa Robert !
– Non, vous faites ça aussi !
– Disons que ça nous arrive !
Hervé se coucha alors sur le carrelage !
– Viens, Mathilda, viens me pisser dans la bouche !
Je positionnais alors mon bassin au-dessus de son visage et lâchait tout d’un coup incapable de contrôler le débit de mon urine. Il avalait ce qu’il pouvait, bavait le reste, créant une insolite flaque jaunâtre sur le plancher !
– Quelle soirée ! Finit-il par dire !
J’allais chercher une serviette afin qu’il s’éponge un peu le visage et le haut du corps, ce qu’il fit, puis il s’assit sur le canapé complètement exténué, et il s’y endormit en moins d’une minute.
– C’était super ! Dis-je alors à Robert en l’embrassant tendrement !
J’ignore comment je me suis couchée dans le lit conjugal, ce que je sais c’est que j’ai dormi d’une traite comme un bébé.
Le matin, je cherchais Robert, mais il n’était pas à mes côtés, il était donc déjà levé. Je m’étirais et me levais afin d’aller faire un gros pipi et me dirigeais entièrement nue vers les toilettes.
J’entendis du bruit, je m’approchais à pas de loup et ouvrit subrepticement la porte, et là un spectacle inattendu m’attendait :
Robert penché en avant se faisait sodomiser par Hervé et avait l’aire de trouver la chose à son goût. J’étais fascinée, l’excitation me gagnait. Mon mari finit par me voir !
– C’est trop bon, ce qu’il me fait, c’est trop bon de se faire enculer ! Me dit-il ! Tu n’es pas choquée, chérie j’espère.
Non , la « chérie » n’était pas choquée ! Aurais-je dû ?
Les deux hommes terminèrent leur affaire, je me frayais un chemin jusqu’à la cuvette des toilettes, il fallait absolument que je pisse, et pendant ce temps, les deux hommes se désemboîtant après qu’Hervé est joui dans un râle, Robert se retourna et offrit sa bite bandée comme un arc à son collègue qui la prit en bouche et la fit juter en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
– Et moi alors ? protestais-je
Ben moi, je n’eu droit à rien, Hervé ne voulait pas se mettre en retard et mon mari devait partir au travail, je les laissais se préparer mais ne me rhabillais pas.
J’embrassais mon mari avant qu’il ne parte
– Bonne journée mon petit enculé ! Lui dis-je
– C’est vrai tu ne m’en veux pas ! Demanda-t-il de nouveau, il devait être un peu honteux.
– Non, mais achatie moi donc un gode ceinture, ce soir c’est moi qui t’enculerais !
– Chic alors !
Mathilda Stenberg – janvier 2005
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