Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:09

La bite du collègue par Mathilda Stenberg

BiteFlag

 

 

Je me prénomme Mathilda, J’ai 36 ans, je suis brune, les cheveux longs et frisés, pas très grande, des lunettes, assez quelconque mais avec des formes qui plaisent. Je suis mariée et fidèle mais, comme toutes les femmes, j’ai des fantasmes mais je ne pensais jamais pouvoir les réaliser.

 

Robert, mon mari a un très bon collègue de travail qui venait souvent avec son épouse dîner à la maison. Nous nous entendions très bien tous les quatre, sans qu’il n’y ait jamais eu aucune allusion sexuelle dans nos relations.

 

Mais un jour Hervé (le copain de mon mari) a dû, pour des raisons professionnelles quitter la région. On s’est retrouvé alors tous les quatre dans un espèce de repas d’adieu, nous promettant de nous revoir à la première occasion, mais sachant aussi sans le dire que peut-être nous ne nous reverrions jamais.

 

C’est environ deux mois après son déménagement qu’Hervé du revenir dans notre région pour régler d’obscurs détails administratifs. Il nous téléphona pour nous dire qu’il passerait à cette occasion nous dire bonjour, qu’il serait sans madame, et en profita pour nous demander de lui réserver une chambre d’hôtel car le voyage étant long, il avait décidé de ne repartir que le lendemain dans la matinée.

 

– Une chambre d’hôtel pourquoi faire ? Tu n’as qu’à venir coucher à la maison ! Lui proposa mon mari.

 

Du coup après avoir fait ce qu’il avait à faire, le soir il nous invita au restaurant pour nous remercier. Je m’habillais un peu pour la circonstance, troquant mon éternel pantalon pour une petite jupette et des bas autofixants. La table était excellente et je dois dire que la soirée fut assez arrosée. En rentrant mon mari nous proposa une dernière coupe de champagne. Je trouvais Hervé de plus en plus séduisant et il dut le sentir car son regard était de plus en plus malicieux. Robert, qui lui est très amoureux quand il a bu, commençait à me faire des bisous dans le cou et avoir les mains baladeuses. Hervé souriait mais n’en manquait pas une pour essayer de voir mes dessous et cela m’excitait de plus en plus. Je décidais donc de l’exciter lui aussi en écartant les jambes de plus en plus souvent. Il faut dire que ma jupe noire était assez courte et que ma culotte blanche et transparente devait bien ressortir en dessous. Je croyais que mon mari n’avait rien remarqué de notre petit jeu mais, alors que j’étais à la cuisine pour rapporter une deuxième bouteille de champagne, il déboula derrière moi et, en me mettant la main aux fesses, me dit

 

– Ça te dirais une petite baise à trois ma chérie ?

– Tu es fou…

– Mais non on va s’éclater… Excite-nous et ça devrait se passer tout seul… Répondit-il en ressortant de la cuisine.

 

Dans un premier temps j’étais choquée et, en même temps, je sentis ma chatte s’inonder. Je traînais un peu dans la cuisine cherchant des biscuits pour le champagne et quand je revins au salon, mon mari avait allumé la télévision et, je n’en croyais pas mes yeux, il avait mis un film porno. Je les voyais rire tous les deux et les commentaires allaient bon train  » Regarde cette salope si elle suce bien… Quel cul ! Elle me fait bander cette garce… « . L’ambiance était chaude, vraiment très chaude, mon mari me dit :

 

– Viens t’asseoir entre nous deux ma chérie, des fois où j’aurais les mains baladeuses, que je ne caresse pas Hervé !

– Oh, tu sais, moi, ça ne me dérange pas ! Rétorqua ce dernier !

 

Et, bien voilà qui promettait ! Plus le film avançait, plus la bouteille se vidait et je mouillais de plus en plus. Mon mari commença à me caresser les cuisses et, sûrement dans un réflexe de pudeur, je les resserrais. Mais la pression des mains de Robert me les écarta à nouveau et me voilà les jambes écartées entre les deux hommes. La main remonta un peu plus haut jusqu’à la limite de ma culotte et, tout à coup, je sentis la main de Hervé qui me caressait discrètement les fesses sans que mon mari ne s’en aperçoive. Je n’en pouvais plus, mais que faire ! Je n’osais pas bouger et je décidais de me laisser faire et de voir venir. La main de mon mari montait maintenant sur ma culotte et il se rendit compte qu’elle était toute trempée. Il me regarda et sourit en me faisant signe de m’occuper de mon voisin mais je ne pouvais pas bouger, j’étais paralysée.

 

C’est alors Robert qui prit l’initiative en disant :

 

– Je vais aux toilettes, n’en profitez pas pour vous toucher tous les deux !

 

Cela fit rire tout le monde. Mais à peine fut-il parti que Hervé me retourna vers lui et m’embrassa sur la bouche. Je sentis sa langue en moi et sa main sous ma jupe qui me caressait par-dessus mon slip. Il me prit ma main et la posa sur son sexe raide comme un bâton, je le caressais de plus en plus fort en oubliant mon mari.

 

J’étais au bord de l’extase quand, tout à coup, j’entendis mon mari sortir des toilettes. J’eus un réflexe de recul et de panique mais il me dit :

 

– Continuez, ça m’excite de voir ma femme se faire tripoter par un autre devant moi !

 

Nous reprîmes nos caresses et je sentis les doigts de Hervé s’infiltrer sous ma culotte et s’enfoncer dans ma chatte toute trempée. Mon mari s’approcha et me souleva la jupe sur le ventre pour mieux voir les doigts de Hervé dans ma culotte, je le sentais tout près mais je ne voyais rien, j’étais trop occupée à défaire la braguette d’ Hervé et d’en sortir son sexe. Je le découvris . Il avait une très jolie bite, légèrement mate, la verge parcouru d’une belle veine très apparente, le gland un peu proéminant, brillant et de couleur lie-de-vin, au bout perlait déjà une goutte de liquide séminal. Je le masturbais alors délicatement

 

– Suce le chéri, il en meurt d’envie !

 

Et me voilà le sexe dans la bouche, je le suçais comme l’autre petite cochonne dans le film, ce qui rendait mon mari fou d’excitation. Il s’approcha de ma chatte et se mit à me lécher comme un fou entre les doigts de Hervé. Celui-ci sortit sa main de ma culotte et me caressa les seins au travers de mon soutien-gorge. Mon mari m’ôta ma culotte pendant que Hervé libérait mes seins de leur étoffe de dentelle.

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En quelques secondes j’étais nue entre mes deux amants. C’est mon mari qui le premier me pénétra pendant que je suçais son copain. Il jouit rapidement en moi, puis ce fut le tour de Hervé de se mettre entre mes cuisses. Mais, au lieu de me prendre de suite, je sentis sa langue sur ma chatte pleine de sperme de mon mari et il me lécha comme ça jusqu’à ce je jouisse dans sa bouche. Je n’en pouvais plus mais j’avais envie de continuer ce rêve. Moi qui d’ordinaire suis si pudique, je m’entendis dire à Hervé  »

 

– Viens mon chéri, viens me bourrer la chatte avec ta grosse bite.

 

Mon mari me regarda, sourit et me dit

 

– Tu te régales ma salope, tu en rêvais de te faire défoncer par deux mecs, tu prends ton pied cochonne et tu vas voir ce n’est pas fini, attend un peu que je rebande…

 

C’est alors que Hervé porta négligemment sa main sur la bite de mon mari.

 

– Si tu veux je peux t’aider à te faire rebander !

 

Je crus alors que Robert allait l’envoyer promener, mais pas du tout !

 

– Et comment tu vas t’y prendre, tu ne vas pas me sucer quand même !

– Tu ne m’en crois pas capable ?

– Oh, avec toi on peut s’attendre à tout, mais tu ne m’avais jamais dit que tu étais à voile et à vapeur !

– Je ne sais pas trop ce que je suis, en fait j’adore les femmes, mais quand je vois une belle bite, tu peux pas savoir ce que ça me fait, et la tienne elle est vraiment superbe, mes félicitations madame !

 

J’éclatais de rire devant l’insolite de la scène. En fait j’ignorai si c’était des mots en l’air ou s’il allait vraiment le faire. Je décidais de m’en mêler.

 

– Ben, vas-y suces-le, moi j’aimerais bien regarder, on ne voit pas ça tous les jours !

– Bon, à deux contre un je suis obligé de me laisser faire ! Allez viens me sucer ma bonne queue, viens petit pédé !

 

Hervé ne se le fit pas redire deux fois et engloutit la bite de son mari dans sa bouche, laquelle bite se mit à retrouver sa belle vigueur avec une rapidité fulgurante.

 

– Hum, elle est bonne ! Finit-il par dire après cinq minutes de fellation appliquée. Tu ne veux pas qu’on inverse les rôles ?

 

J’ai senti mon mari hésiter, si j’étais intervenu, je pense qu’il l’aurait fait, une prochaine fois peut-être… me dis-je… mais j’ignorais que j’allais avoir droit à encore mieux dans quelques minutes :

 

Robert me demanda de me mettre à quatre pattes et dit à Hervé :

 

– Vas-y, défonce-lui le cul, elle en meurt d’envie !

 

Et je sentis sa grosse queue pénétrer mon anus. Mon mari fit alors ce que j’avais toujours rêvé (Il le savait, nous en parlions dans nos fantasmes), il passa sous moi et se mit à me lécher la chatte pendant que Hervé m’enculait.. Ce fut l’explosion, j’ai joui comme jamais je ne jouirai, en sentant Hervé décharger dans mon conduit anal.

 

Il ressortit sa bite gluante de sperme et maculée de matière. Complètement déchaînée, je nettoyais sa queue me régalant du sperme de mon amant de ce soir et de ma propre merde.

 

Crevés, on a voulu faire une pause, mais il n’y avait pas de troisième bouteille de champagne. De plus une envie d’uriner me taraudait. Seule avec mon mari je n’aurais pas hésité, mais j’ignorais si Hervé goûtait de ce fantasme !

 

– Jus de fruit ou eau gazeuse ? Proposais-je

– A moins que tu ne veuilles déguster le champagne de ma femme ? Proposa Robert !

– Non, vous faites ça aussi !

– Disons que ça nous arrive !

 

Hervé se coucha alors sur le carrelage !

 

– Viens, Mathilda, viens me pisser dans la bouche !

 

Je positionnais alors mon bassin au-dessus de son visage et lâchait tout d’un coup incapable de contrôler le débit de mon urine. Il avalait ce qu’il pouvait, bavait le reste, créant une insolite flaque jaunâtre sur le plancher !

 

– Quelle soirée ! Finit-il par dire !

 

J’allais chercher une serviette afin qu’il s’éponge un peu le visage et le haut du corps, ce qu’il fit, puis il s’assit sur le canapé complètement exténué, et il s’y endormit en moins d’une minute.

 

– C’était super ! Dis-je alors à Robert en l’embrassant tendrement !

 

J’ignore comment je me suis couchée dans le lit conjugal, ce que je sais c’est que j’ai dormi d’une traite comme un bébé.

 

Le matin, je cherchais Robert, mais il n’était pas à mes côtés, il était donc déjà levé. Je m’étirais et me levais afin d’aller faire un gros pipi et me dirigeais entièrement nue vers les toilettes.

 

J’entendis du bruit, je m’approchais à pas de loup et ouvrit subrepticement la porte, et là un spectacle inattendu m’attendait :

 

Robert penché en avant se faisait sodomiser par Hervé et avait l’aire de trouver la chose à son goût. J’étais fascinée, l’excitation me gagnait. Mon mari finit par me voir !

 

– C’est trop bon, ce qu’il me fait, c’est trop bon de se faire enculer ! Me dit-il ! Tu n’es pas choquée, chérie j’espère.

 

Non , la « chérie » n’était pas choquée ! Aurais-je dû ?

 

Les deux hommes terminèrent leur affaire, je me frayais un chemin jusqu’à la cuvette des toilettes, il fallait absolument que je pisse, et pendant ce temps, les deux hommes se désemboîtant après qu’Hervé est joui dans un râle, Robert se retourna et offrit sa bite bandée comme un arc à son collègue qui la prit en bouche et la fit juter en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

 

– Et moi alors ? protestais-je

 

Ben moi, je n’eu droit à rien, Hervé ne voulait pas se mettre en retard et mon mari devait partir au travail, je les laissais se préparer mais ne me rhabillais pas.

 

J’embrassais mon mari avant qu’il ne parte

 

– Bonne journée mon petit enculé ! Lui dis-je

– C’est vrai tu ne m’en veux pas ! Demanda-t-il de nouveau, il devait être un peu honteux.

– Non, mais achatie moi donc un gode ceinture, ce soir c’est moi qui t’enculerais !

– Chic alors !

 

Mathilda Stenberg – janvier 2005

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:32

L’âne dans le pré par Mathilda Stenberg

cheval

 

Je m’appelle Maryse, j’ai 51 ans et je vis seule, mais n’allez pas vous imaginer que je suis une vielle fille.

 

Je suis brune, j’ai quelques kilos de trop, je suis brune aux cheveux courts et il paraît que j’ai une belle poitrine. J’aime les plaisirs de la vie, les steaks bien saignants et les bites juteuses.

 

Cette histoire se déroula pendant mes vacances dans un coin perdu de la Corrèze. J’avais décidé ce jour-là de faire une grande promenade. Je m’étais vêtue d’une jolie robe imprimée à manches courtes, décolletée et descendant à mi- cuisses. Je me suis retrouvée dans un endroit partiellement boisé Je me suis dis que je trouverais peut-être des cèpes, à moins que je rencontre un jeune homme, ou même un moins jeune qui voudra passer un petit moment avec moi, après tout je suis encore tout à fait consommable !

 

Il me prend soudain une grosse envie de pisser je baise ma culotte, m’accroupis et libère ma vessie, mais voici qu’une autre envie apparaît, plus consistante, je pousse et libère un joli boudin.

 

Pas grand-chose pour m’essuyer et le kleenex se déchire, je me fous plein de merde sur les doigts, pas grave, je lèche, je connais bien ce goût, il n’est pas si mauvais.

 

Et voilà que j’arrive dans une clairière et dans la clarière devinez quoi qu’il y a ?

 

Un âne ! Une gentille bestiole toute grise.

 

– Qu’est-ce que tu fais là mon beau ? Tu broute ? Tu ne t’ennuie pas tout seul ?

 

Je le caresse, il se laisse faire, ma main passe sur le flanc et descend peut-être un peu trop bas, car voilà que s’offre à mes yeux subjugués une longue queue qui pend et une très grosse paire de couilles !

 

– Ben dis donc l’âne ! C’est moi qui te fais cet effet ? Qu’est-ce que tu bandes !

 

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais tout d’un coup j’ai eu une envie folle de le sucer, je me suis baissée et le caressant d’abord sur le ventre, j’ai passé ma main sous lui et j’ai enserré sa pine .

 

Quelle formidable sensation ! J’ai senti ma culotte qui s’humidifiait ! Je me suis agenouillé sous lui doucement et sans prononcer un mot, j’ai commencé des va-et-vient très sensuels au niveau de sa pine. Je ne me reconnaissais pas, je n’avais jamais fait ça !

 

La bite de l’âne a immédiatement gonflé, s’est allongée et est devenue très dure, elle mesurait au moins 80 centimètres, c’était chaud et tiède une fantastique sensation !

Zoo Jany

Je me suis déshabillée complétement et j’ai frotté l’extrémité de sa bite contre mon pubis, puis j’ai approché ma bouche et j’ai passé ma langue sur ce fascinant tuyau. Je me sentais salope de lécher ainsi la bite d’un animal.

 

Tout à coup une quantité important de liquide blanc très clair au goût de rouille m’a inondé le visage et le menton coulant sur mon corps ! Je m’en badigeonnais les nichons dont les pointes avaient durcis sous l’excitation.

 

J’ai continué à le sucer en essayant de mettre tout ce que je pouvais dans ma bouche le plus profondément possible

 

Je suis allé carrément sous son ventre tout en gardant sa pine dans ma bouche c’était inouï !

 

Puis j’ai voulu tenter quelque chose, j’ai saisi le bout de sa pine, puis me retournant, je l’ai mis en contact avec mon anus. Le liquide clair qui continuait à dégouliner de son sexe m’a lubrifié l’endroit et sa pine a pu entrer de quelques centimètres.

 

Je me faisait enculer par un âne et j’étais bien…

 

– Vous faites quoi ? Vous êtes malade ?

 

Je n’ai jamais su d’où venait cette voix rocailleuse, très vite je me suis emparé de ma robe et de mes chaussures et me suis faufilé dans les fourrés. Le type continuait à maugréer sans que je comprenne ce qu’il disait.

 

J’ai laissé là-bas ma culotte et mon soutien-gorge ! Pas grave, ça se rachète !

 

Quand même quand je pense à ce con, il ne pouvait me laisser tranquille, non ? Après tout je ne faisait de mal à personne !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:11

Jour d’été par Mathilda Stenberg

zoo

 

Ce fut un magnifique jour d’été au bord de la mer. Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

 

Il n’y avait pas grand monde sur la plage. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne, ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour faire trempette. Je me fis sécher un peu aux rayons du soleil.

 

Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille, réunis toutes mes affaires et retournai tranquillement à mon hôtel.

 

Mon grand fils de 19 ans n’était pas encore rentré et notre chien était tranquillement allongé sur le balcon. Pour éviter toute irritation causée par l’eau marine, je pris une bonne douche revigorante, m’amusant à pisser sur mes cuisses. Je poussais le vice jusqu’à recueillir un peu d’urine au bout de mes doigts avant de les lécher ! J’adore le goût de ma pisse.

 

J’enfilait un peignoir et séchai mes cheveux avant de m’allonger sur le lit. Je commençai à faire vagabonder mes pensées qui devirent rapidement plutôt obscènes. En fait j’avais envie de bite ! Je commençai donc à me caresser après avoir retiré le peignoir. J’entamais une petite masturbation qui ne tarda pas à me faire mouiller et gémir.

 

Ce sont sans doute mes cris qui attirèrent l’attention du chien, qui vint voir ce qui se passait. Je le vis à quelques centimètres de moi, ou plutôt de ma chatte. Voyant que cela l’intéressait beaucoup, je lui fit comprendre qu’il pouvait me la lécher. Chose qui fit sans problème. Hum, si vous saviez à quel point c’est bon !

 

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Puis, en regardant sa queue, je vis qu’il était excité. Je la lui tripotait pour mesurer son degré d’excitation. Elle était grosse, très grosse et bien dure. Et bien évidemment longue. Je la lui léchai un petit peu du bout de ma langue, puis, je mis ma chatte bien au bord du lit et lui fit comprendre qu’il pouvait me pénétrer. Il le fit par instinct, ce n’était pas la première fois. Il me chevaucha violemment et je me mis non pas à gémir, mais à hurler de plaisir tellement que ce fut intense. Hum, j’aime ça. C’est vraiment trop bon. Puis il s’arrêta car il avait eu un orgasme. Il me lécha encore ma chatte. Je me mis par terre et à quatre pattes en étalant ma mouille sur le trou de mon cul. Il compris ce que cela voulait dire. Il m’encula avec sa bite qui était toujours aussi grosse et dure. C’est connu, à force de se faire pénétrer à la chaîne, cela rend le plaisir encore plus intense et cela dure plus longtemps. Je gémis donc toujours autant. Cela dura au moins trois minutes, et pendant ces trois minutes, il me démonta le cul et la chatte une bonne petite dizaine de fois. Mes orifices étaient totalement à sa merci

 

Mais ce que j’ignorais, c’est que mon fils était dans l’encoignure de la porte laissé entrouverte. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de moi, il se branlait sa jolie queue. Je lui fis signe d’entrer.

 

Quand il s’avança vers le lit, l’épisode canin était terminé, mais lui, avait envie de baiser. Il me rejoignit sur le lit et se mit à me caresser avec beaucoup de douceur, en faisant rouler entre ses doigts délicats mes gros tétons durcis par le plaisir, il m’embrassa profondément Je m’emparais de sa bonne bite bien raide et la portait en bouche, Quel plaisir de sucer la bite de son fils !

 

Je lui introduis un doigt dans son petit cul, il adore ça, et le fit bouger aussi vite que possible. Cela dut lui donner des idées car à son tour il se mit à me doigter le cul. Quand il le retira, il le suça avec gourmandise, puis il vint me lécher la rondelle.

 

– Hum, j’adore le jus de ton cul, maman ! Veux-tu que je t’encule ?

– Oui, mais il faudrait peut-être que j’aille aux toilettes avant.

– Pas la peine, ça n’en sera que meilleur.

– Cochon !

– Oui maman.

 

Et mon fils m’encula avec vigueur, me provoquant des spasmes de plaisir inouïs.

 

Un moment il sortit sa bite, toute merdeuse, et je lui proposais de la lécher. Après cette petite toilette bien sympathique il revint dans mon cul et continua à pilonner jusqu’à ce qu’il jouisse.

 

A nouveau il me tendit sa bite qui cette fois était polluée à la fois par le sperme et par la merde.. Je nettoyais tout cela avant que nous nous embrassions avec passion, tandis que mes sphincters libérés lâchait une masse de matière sur le lit.

 

Je me sentais merveilleusement bien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 09:08

Gang bang par Mathilda Stenberg

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Nous étions sorties, Caroline et moi, comme pratiquement tous les week-ends. Après être passées boire un coup dans notre bar préféré, point de ralliement avant toute soirée, nous étions allées danser en boite au « Chapeau Bleu ». La soirée se déroulait normalement. Nous avions légèrement abusé de la boisson et nous dansions comme des folles. En somme, on s’éclatait.

 

Dans un coin de la boite, il y avait un groupe de mecs pas très discrets, qui visiblement fêtaient l’enterrement de vie de garçon de l’un d’eux. Je les avais remarqués parce que certains étaient trop mignons.

 

A un moment, ils entreprirent de faire le tour de boite avec le futur marié attaché avec une corde au cou à laquelle était accroché un petit cercueil. Le but était de récolter un peu d’argent, en le plaçant dans le cercueil. Il devait également glaner le plus de bisous possibles de la part des filles.

 

Une fois arrivé vers nous, il demanda une bise à ma copine et une petite pièce. :

 

– Je me marie la semaine prochaine. Je peux avoir une dernière bise, belle inconnue ?

– Oui sans problème !

 

Et là, je lui demande de fermer les yeux. Ce qu’il fit de suite.

 

Je m’approchai de lui et l’embrassai sur une joue puis sur l’autre pour enfin finir sur la bouche.

 

Il recula, surpris par mon geste.

 

– Ça ne t’a pas plu ? Lui demandai-je.

– Si bien sûr et même plus que tu ne le penses.

 

Ensuite ils nous invitèrent toutes les deux à boire un coup avec eux. Le futur marié vint s’asseoir entre nous deux. Après deux ou trois verres de plus, on commençait vraiment à avoir la tête qui tournait. On est restées un petit moment avec eux. On chouchoutait le marié en l’embrassant de partout sur le visage, la bouche et dans le cou. J’ai aussi profité de l’occasion pour promener mes mains sur ses épaules, son ventre, son dos. J’ai également fait un très bref passage sur sa bite pour constater qu’il avait la forme. A cet instant ma copine m’a regardée avec de drôles de yeux, comme si elle était choquée.

 

Puis, la soirée a continué. Nous alternions entre la piste de danse, notre table et celle du groupe de mecs.

 

Alors que nous étions en train de prendre un nouveau verre avec eux, on nous fit une étrange proposition, probablement parce qu’ils considéraient que nous n’étions sûrement pas les plus frigides de la soirée :

 

– On souhaiterait faire une surprise au futur marié. Ça vous dirait de lui faire un strip-tease, en somme son dernier petit plaisir extra-conjugal.

– C’est-à-dire ? Précisez-nous un peu tout ça !

– On va chez Stéphane (un des mecs du groupe), et là on s’installe tous dans le salon avec lui au centre et vous commencez à lui faire un strip.

– Tu en penses quoi, Caro ?

– Non moi je ne le fais pas. Tu ne vas quand même pas y aller ?

– Je n’en sais rien. Ça pourrait être amusant. Allez lâche toi un peu. Ce sera notre secret à toutes les deux.

– Non je ne veux pas.

– Vous pouvez nous laisser un moment de réflexion ? On se concerte et on vous répondra.

 

Pendant un quart d’heure, j’ai essayé de la convaincre, mais elle avait un peu peur que ça tourne mal parce qu’ils étaient assez nombreux.

 

Vers les trois heures du mat’ la boite commença à se vider. Moi, ma décision était prise : je restais encore un peu. Caro partit me demandant de l’appeler dès le lendemain matin, pour la rassurer et aussi pour lui raconter.

 

Une fois seule, je retournai vers le groupe et m’approchai du mec qui m’avait fait la proposition.

 

– Caroline est partie ; elle ne voulait pas faire ça, mais moi je suis partante.

– Ouais super, il va être vachement surpris et content je pense.

– Seulement, je ne fais pas ça gratuitement !

 

Je m’étais dit que si je refusais, ils demanderaient à une professionnelle (il y en avait quelques-unes dans la boite) de le faire. Alors pourquoi ne me ferais-je pas payer ?

 

Il y a un petit moment de flottement avant qu’il ne demande :

 

– Combien tu voudrais ?

 

Je lui indique un prix, j’ai dû dire n’importe quoi car je ne suis pas du tout au courant des tarifs et ça a eu l’air de lui convenir.

 

Sans doute est-ce son regard de concupiscence qui me fit dire alors :

 

– Mais si on va plus loin, c’est plus cher !

 

Il me regarde autrement et reste dans le vague, sans doute s’imagine-t-il déjà en train de se faire sucer ou de me baiser.

 

– On verra sur place !

– Non, non, je veux savoir et être payée à l’avance.

– T’es une pute, alors ?

 

Touché ! Mais il a raison, sur ce coup-là je suis bien une pute.

 

– Et alors qu’est-ce que tu as contre les putes, tu es bien content de les trouver, non ? Rétorquai-je

 

Le gars s’éloigne, parle avec ses copains, puis revient. Ils sont d’accord.

 

Un peu plus tard, un premier groupe de quatre partit en voiture avec le futur marié, une autre voiture suivit avec quatre autres garçons. On me fit attendre cinq minutes et je partis avec les trois derniers de la bande.

 

Devant la porte de l’appartement, mes accompagnateurs frappèrent trois coups, c’était le signal convenu. La musique démarra et je fis mon apparition. La tête du futur marié en disait long sur sa surprise. Ils étaient tous assis d’un côté et lui était devant eux assis sur une chaise.

 

Je me suis installée devant eux et ai commencé à danser lentement et lascivement. Il a tout de suite compris pourquoi j’étais là. J’étais son cadeau.

 

J’ai dansé comme ça environ cinq minutes puis je me suis arrêtée, lui faisant croire que c’était terminé.

 

– Et voilà, m’écriai-je.

– Merci beaucoup Mathilda. Je suis très content, dit-il avec un ton hésitant.

– Ah mais tu crois que c’est fini, non je déconnais. Rasseois-toi, ça commence juste

 

Et là, je recommence à danser en me déshabillant progressivement. Une fois en sous-vêtements, je fais un peu tour de salle pour leur faire admirer mon corps à tous ces mâles en rut, puis me place devant eux par terre et commence à me trémousser. Je me mets à quatre pattes puis sur le dos les jambes bien écartées, les positions devenant de plus en plus osées.

 

C’est à ce moment que je décide de me relever et de venir près de lui. Je feins de m’asseoir sur lui, il essaie de m’attraper mais je le repousse :

 

– Hop hop ! On touche avec les yeux !

 

Il est maintenant temps de tout quitter. Je commence par le soutien-gorge, ce qui m’attire quelques applaudissements et encouragements. Je passe ensuite à ma petite culotte. Je l’enlève et c’est une véritable ovation. Je la fais tourner au-dessus de ma tête et l’apporte sous le nez du futur marié qui la renifle comme si c’était la plus suave des eaux de toilettes.

 

Puis je reprends mes gestes au sol, ce qui avait l’air de vraiment lui plaire quand j’étais à quatre pattes et surtout quand j’étais en face de lui les jambes grandes ouvertes et la chatte offerte.

 

Je m’approche de lui pour m’asseoir sur lui. Je lui attrape les mains et les pose sur mes seins, puis les fait descendre sur mes fesses. Je bouge sur lui comme si j’étais en train de m’empaler sur sa bite.

 

Les autres commencent à être également passablement excités. Je me dis en moi :

 

– Et bien ma fille, depuis le temps que tu attends ce moment, vas-y jette toi à l’eau !

 

Et c’est ce que je fis. Je m’éloignai de lui pour m’approcher du reste du groupe.

 

– Alors les gars, vous avez l’air tout endormis. Réveillez-vous, y a une petite salope à votre disposition.

 

Une fois ces paroles lâchées, c’est la cohue. Ils se lèvent tous et veulent tous me toucher.

 

– Doucement, il y en aura pour tout le monde.

 

Des dizaines de mains sur moi se promènent et m’explorent. Mes seins et mon cul sont malaxés, je suce des doigts, ma chatte est doigtée et mes seins pincés et léchés.

 

Je leur demande de se déshabiller tous. Un des mecs va dans le couloir et revient avec des boites de préservatifs

 

– Placez-vous les uns à côté des autres, je vais vous sucer à la chaîne avec le marié en dernier !

 

A chaque fois que j’en suçais un, je branlais en même temps les deux qui étaient de chaque côté de lui. J’en profitais pour les compter, ils étaient 11 !

 

Je me suis bien évidemment attardée sur le marié. Dans le groupe, il y en avait trois dont deux blacks qui avaient des queues superbes et très grosses avec lesquelles je me suis régalée.

 

Ensuite, ils décidèrent de me baiser en levrette à tour de rôle. Une espèce d’organisation informelle s’était installée. En quelque sorte une ronde, où régulièrement les mecs se décalaient d’un rang.

 

Puis ils me posèrent sur le dos sur le canapé et me prirent là aussi chacun à leur tour, avant de commencer à m’enculer en levrette. Les coups de bites devenaient de plus en plus violents, me défonçant littéralement le cul.

 

Puis vint le moment des doubles pénétrations. J’empalais ma chatte sur un mec couché sur le dos, pendant qu’un autre m’éclatait le cul. Puis on inversa, et ce fut celui qui était couché qui m’enculait, l’autre me labourant la cramouille.

 

Mathilda144

Les autres n’oubliaient pas de me remplir la bouche et les mains. Mais, je le sentais bien, un coup se préparait.

 

Les trois mecs qui étaient très bien montés s’étaient concertés et ce qui devait arriver arriva : ils se mirent tous les trois autour de moi, les autres restant un peu à l’écart. Ils les avaient surnommés « pine d’ours », « couilles d’éléphant » et « bite de cheval », je crois bien. Ils les encourageaient. Ils me prirent en sandwich à tour de rôle, le troisième s’invitant dans ma bouche. Je dois le reconnaître, depuis cette fois-ci, j’ai peu de fois été défoncée aussi fort, aussi longtemps et aussi bien.

 

Les autres étaient comme fous. Ils me traitaient de tous les noms. Les mots crus pleuvaient à flots.

 

Puis, ils jouirent quasiment tous les trois en même temps sur mon visage. Alors les autres revinrent me reprendre dans d’innombrables positions.

 

J’étais un véritable objet entre leurs mains. Ils me bougeaient et manipulaient dans tous les sens, parfois même avec un peu de brutalité.

 

Ils finirent par m’offrir un véritable déluge de sperme sur mon visage, mes seins et dans ma bouche.

 

Quand je vis l’un d’eux qui avait déchargé pointer sa queue demi-molle vers moi, je compris qu’il allait me pisser dessus. Je l’encourageai du regard et ouvrit la bouche. Je bus sa bonne pisse bien chaude avec gourmandise. D’autres l’imitèrent. J’avais le visage maculé de sperme et d’urine.

 

Quand je me rendis dans la salle de bains et que je vis mon visage, j’eus un sourire de satisfaction. J’avais enfin réalisé l’un de mes fantasmes les plus chers. J’étais épuisée et j’avais un peu mal au cul et à la chatte. Ils m’avait baisée pendant plus de deux heures.

 

Il était sept heures du matin passées.

 

Quand je revins dans le salon, ils étaient presque tous rhabillés et mes affaires étaient sur le canapé. Pendant, que je remettais mes vêtements, je voyais bien qu’ils se marraient en se foutant de moi. Puis un des mecs lâcha :

 

– T’es vraiment une petite pute, toi. Tu t’es fait éclater comme une salope que tu es et tu en es heureuse.

– Oui, c’est vraiment une garce, lui répondit un autre.

 

Je pris cela comme un compliment. Cela voulait certainement dire qu’ils étaient satisfaits de ma prestation.

 

Avant de partir, l’un des mecs s’approcha en me tendant un bout de papier.

 

– Mathilda, tu peux nous donner tes coordonnées ?

– Non, mais je viens régulièrement au « Chapeau Bleu ». Vous pourrez me trouver !

 

Puis je suis partie. Une fois arrivée chez moi, je me suis couchée, éreintée mais satisfaite. C’est vers midi que le téléphone sonna. C’était Caroline.

 

– Salut Mathilda, Alors tu es rentrée ?

– Oui ça y est. Je peux te dire que tu as loupé quelque chose de fantastique cette nuit.

– Ah oui, ça s’est passé comment ?

 

Je lui racontai tout dans les moindres détails. Elle n’en croyait pas ces oreilles. J’ai l’impression qu’elle pensait que j’étais folle d’avoir fait ça.

 

Elle me conseilla de faire attention à moi, et je la réconfortai sur les risques.

 

– Je n’en reviens pas que tu te sois fait payer, que tu aies fait la pute !

– Ça m’est venu spontanément, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ?

– Tu vas les revoir ?

– Je n’en sais rien, ils savent où me trouver !

– Ça me fait réfléchir ton truc !

– Hé, hé !

 

 

 

(À suivre, peut-être)

 

Mathilda Stenberg (qui remercie Mélanie au passage)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:59

Fautes de copines par Mathilda Stenberg

 

zoo

Faute de copines..

 

Katia est une jeune et jolie coquine

Qui ce soir-là attendait ses deux copines

La première est Paula une grande blackette

Qui parfois sent un peu fort de la minette

L’autre se prénomme Angela, elle est rousse

Elle aime les chattes baveuses, les chips et les mousses

On s’était fait un plan gamahuchage lesbos

On avait prévu des bières et des olisbos

Je me suis mise toute nue pour gagner du temps

Juste un kimono qui s’ôte facilement

Le téléphone sonne, au bout, c’est Paula

« La voiture est en panne On ne sera pas là

Remettons alors à une fois prochaine

Je propose par exemple dans une semaine »

Je peste, je rage, je vocifère, j’ai la haine

Moi qui mouillais déjà comme une fontaine

Karli c’est mon chien à moi, mon beau labrador

Je le prends à témoin, lui dit que je l’adore

On dirait qu’il comprend la raison de mon émoi

Il remue sa queue en cadence et vient vers moi

Il s’approche tout près de mes douces cuisses

Et veut de sa langue, me lécher mes orifices

Mon petit trou du cul ou bien ma jolie chatte

Impertinent canin ! Donne-moi plutôt la patte

Mais non c’est bien de me lécher qu’il veut faire

Alors, qu’à cela ne tienne, je n’en mourrais guère

Sa large langue qui frétille est diabolique

Il me fait jouir telle une nonne lubrique

Sa grosse bite bande de joie et m’attire

Ma main s’y égare, je la fais reluire

Allons jusqu’au bout et folie pour folie

Ma voici en train de lui lécher le zizi

Concluant en beauté, me mettant en levrette

Voilà qui me pénètre de sa grosse quéquette.

Moralité

Un bon chien vaut mieux que deux tu l’auras

zoo190616

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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