Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:32

Anniversaire lubrique par Mathilda Stenberg

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Encore une histoire d’anniversaire ! S’écria le lecteur. Ben oui mais avouez que celles racontées sur ce site ne sont pas banales ! On y va ?

 

Bonjour, je suis Catherine, 35 ans, brune, cheveux frisés et les yeux bleus. Aujourd’hui, samedi, c’est mon anniversaire. Nous sommes seuls à la maison mon époux et moi. Seuls et plein d’idées coquines. Pour commencer, ce matin je me suis habillée sexy : moulée dans une petite robe de jersey qui souligne mes formes pleines. Mes seins sont prêts à jaillir du profond décolleté. Sous ma robe courte, je ne porte pas de culotte. C’est dans cette tenue que je prépare le brunch. En jouant à la soubrette sexy qui ondule du popotin. Dans le fauteuil en face de moi, Etienne me regarde en se tripotant la braguette et me fait des compliments un peu grossiers.

 

– T’as vraiment l’air d’une poufiasse en chaleur.

– Oui, mon chéri !

 

C’est fou ce que j’aime la grossièreté dans certaines situations. Il relève ma robe et embrasse mes fesses.

 

– Humm, tu pourrais te faire de l’or avec ton cul de salope !

– Oui, mon chéri !

 

Un coup de sonnette nous tire de nos jeux érotiques.

 

– Va donc ouvrir ! Me dit Etienne.

– Quoi ? Moi… dans cette tenue !

– Et alors ?

 

La sonnette continue à tinter, avec insistance et je me décide à ouvrir, un peu gênée de me montrer aussi peu habillée à un inconnu.

 

Mais l’homme sur le palier n’est pas un inconnu. C’est un collègue de mon mari, Steve, un beau garçon pour lequel j’ai d’ailleurs un faible avoué. Un sourire aux lèvres, il me détaille. Moi je m’éclipse vite à la cuisine, sous prétexte de leur préparer des boissons. J’entends les deux hommes qui ne font rien pour dissimuler leur voix et je sursaute.

 

– J’ai besoin de fric ces temps-ci, alors si tu veux baiser ma femme, c’est 300 balles.

 

L’autre tente de marchander

 

– Ecoute, c’est à prendre ou à laisser. Pour ce prix, je te la cède une heure entière… Tu verras, tu en auras pour ton argent !

 

Quand je les rejoins au salon, l’affaire semble conclue. Je ne sais si je vaux deux chameaux ou trois vaches laitières, mais les deux compères semblent satisfaits de leur affaire qui sent à plein nez la mise en scène, mais je suis prête à jouer le jeu.

 

– Ça te dirait de baiser avec mon collègue, il nous donnera 300 balles ?

– Pourquoi pas !

 

Steve soulève ma robe et caresse ma toison.

 

– Pour ce prix-là, elle te fera tout ce que tu veux ! Surenchérit Etienne. C’est une vrai salope, n’est pas Catherine.

– Oui, mon amour !

 

Et pour mieux tenter son collègue, il relève ma robe pour lui dévoiler mon joli derrière.

 

Les deux hommes se lèvent et Steve commence à caresser mes seins par-dessus ma robe. Et puis, en riant, il me fait ouvrir la bouche, il contrôle mes dents :

 

– Belle bouche ! Viens m’embrasser !

– Non les putes n’embrasse pas ! Précisais-je

– Elle n’embrasse pas mais tu as le droit de lui cracher dans la bouche ! Intervient Etienne.

 

Le salaud ! Mais je me laisse faire, en fait ça m’excite.

 

Bref, l’affaire est conclue.

 

Cette situation étonnante me met dans tous mes états. Mon fantasme enfin se concrétise, aujourd’hui je vais faire la putain.

 

L’homme me saisit par la main et je reprends mes esprits. Je le guide dans ma chambre, jusque vers l’armoire remplie d’accessoires érotiques.

 

En guise de bâillon, il me met une lanière de cuir avec à l’intérieur un gland en plastique. Je n’ai plus qu’à sucer et me taire.

 

Je retire mes escarpins et ma robe. Nue et tremblante, non pas de peur, mais d « émotion car je vais vivre mon fantasme, je me présente devant lui. D’une main il caresse mes seins, tandis que de l’autre il titille mon clitoris. Je mouille déjà et mon petit bouton durcit.

 

Il me fait monter sur le lit où je m’installe à quatre pattes. Il caresse ma croupe, il écarte mes fesses et y glisse un doigt mouillé de salive. Je frémis de plaisir. Alors doucement il enfile un petit godemiché qu’il fait aller et venir. Puis il me demande de m’installer sur sa verge en érection. L’opération est difficile. Je dois tenir le petit gode à l’intérieur de mon anus et en même temps m’accroupir sur son pieu. J’ai de la peine à maintenir toutes ces queues à l’intérieur, mais après trois essais, je trouve enfin la position adéquate. La bouche dilatée par le gland de plastique, l’anus rempli par le gode et la chatte travaillée par la grosse queue de Steve, je jouis comme une folle.

 

Mon mari est resté nous regarder, sa bite toute raide à la main. Il sort et revient nous apporter quelques rafraîchissements. Je suis toujours sur le lit, avec mon bâillon, et mon gode profondément planté en moi. Mon mari me regarde à peine, il s’adresse à son collègue :

 

– Alors satisfait ?

– Oui, oui, elle est aussi bonne que tu le disais !

 

On me retire enfin mon bâillon. Et j’enlève le gode.

 

– Qui t’as demandé de l’enlever ? Intervient Etienne simulant la colère. Veut-tu remettre ça tout de suite !

– Bon, bon !

– Alors dis-moi, reprend-il. Elle avait quel goût la bite d’Etienne ?

– Mais j’en sais rien, il ne m’a pas demandé de le sucer !

– Quoi ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Une bonne putain, ça doit prendre les initiatives, une bonne putain, ça suce des bites ! T’as compris, morue ?

– Ben…

– Tais, toi, trainée, chienne lubrique, tu mérites une bonne punition, tourne-toi et présente-nous tes fesses de pute, prépare-toi à recevoir cinquante coups de martinet.

 

Nous jouons parfois avec Etienne à des petits jeux un peu SM, mais là je trouve que cinquante coups, ça fait quand même beaucoup. Mais je ne dis rien, je sais que je peux avoir confiance, ils ne vont pas me démolir.

 

C’est Steve qui se charge de la « punition ». Je sens qu’il n’a pas trop l’habitude et qu’il n’ose pas taper trop fort, mais bon, ça chauffe quand même mon joli petit cul.

 

– Insulte-là ! Lui dit Etienne, elle adore !

– Tiens, salope ! Tiens poufiasse, garage à bites, fille à soldats.

 

Le pire, c’est que je mouille !

 

Après m’avoir massacré mes fesses, Steve me tend sa bite, une jolie bite, assez longue et épaisse, bien droite, et parcourue d’une insolente veine bleue. Le gland est fièrement décalotté aussi violet que l’améthyste d’un cardinal.

 

Je lui balaie largement la verge avant de remonter vers le gland où je fais danser le bout de ma langue, puis je mets tout dans ma bouche et c’est parti pour une série d’aller et retour. J’essaie de le faire jouir, mais comme il vient de prendre son pied, ce n’est guère évident.

catherine

–Elle suce bien cette salope ! Commente Steve dans un grand moment de poésie.

– Oui, c’est suspect, ça ! Intervient Etienne. Où as-tu appris à sucer aussi bien ?

 

Et là je me lance dans un vrai délire et je réponds n’importe quoi faisant volontairement dans la provocation.

 

– Le jeudi soir quand tu vas à ton académie de billard, moi aussi je m’occupe des queues mais autrement, je fais la pute au Café des Sports, j’allume les mecs et je les suce dans l’arrière-salle, je me fais aussi baiser et enculer, ça me fait de l’argent de poche.

– Eh ben ! Commente Steve qui n’a pas compris que je bluffais et que j’étais tout simplement en train de fantasmer.

– Alors ? Reprend Etienne, détournant la conversation, tu peux me répondre maintenant : elle avait quelle goût la bite d’Etienne ?

– Mais pourquoi tu insistes tant ? Lui répond l’intéressé, si tu veux vraiment savoir comment elle est ,je t’autorise à me la sucer.

– J’en serais capable, tu sais !

– Ben vas-y !

– Sérieux, tu aimerais que je te suce ?

– Je ne sais pas si j’aimerais, mais ça ne me dérange pas ! Allez, qu’est-ce que t’attends.

 

Et devant mes yeux ébahis, je vois mon mari engloutir dans sa bouche la bite de son collègue et lui prodiguer une superbe fellation.

 

– T’aimes, ça sucer, ma bite, hein pédé ?

– Humpf, humpf !

– T’as raison, on ne parle pas la bouche pleine ! Eh, dis-donc, pendant qu’on y est, ça te dirait que je t’encule ?

– Ben oui, pendant qu’on y est.

 

Je n’en reviens pas, mon macho de mari se met à quatre pattes, écarte ses fesses et offre sa rondelle à Steve qui après avoir revêtu un préservatif tente de le pénétrer.

 

Comme je sens qu’ils ne vont pas y arriver, je cours dans la cuisine chercher un peu d’huile d’olive pour lubrifier tout ça. Et quelques instants plus tard Steve enculait mon mari qui se branlait pendant l’assaut.

 

Les deux hommes se regardent un peu gênés par ce que qu’il viennent de faire.

 

– Nous voilà pédés ! Constate Etienne

– Juste un peu, n’exagérons rien !

– C’est à cause de cette salope, elle nous a excité et nous a entrainé dans le vice.

– Un tel forfait ne doit pas rester impuni ! Déclare Steve dans une belle envolé littéraire.

– T’as raison ! Catherine, va dans la cuisine et allonge-toi par terre, on te rejoint tout de suite.

 

Et l’instant d’après, mes deux bonhommes me pissait abondamment dessus, je ne manquais pas d’ouvrir largement la bouche pour avaler ce délicieux breuvage.

 

Et voilà que Steve s’accroupit pour mettre sa rondelle en contact avec ma bouche.

 

– Lèche lui le trou ! Me dit Etienne.

 

Je m’applique si bien avec ma petite langue que l’œillet s’entrouvre, je me rends compte alors qu’il est en train de pousser. Il ne va tout même pas oser faire ça ! Etienne s’en aperçoit et intervient :

 

– Vas-y soulage toi, mais ce sera 100 balles de plus.

– Pas sur le visage ! Précisais-je simplement.

 

Non mais, j’ai peut-être mon mot à dire, non ?

 

Alors, Steve m’a chié sur mes gros nénés, juste une petite crotte ridicule et risible.

 

Plus tard, nous sommes partis tous les trois bras dessus bras dessous, au restaurant pour fêter mon anniversaire.

 

Au dessert Etienne a profité du fait que Steve aille aux toilettes pour me faire cadeau d’un très joli bracelet.

 

– Je t’aimes ma belle putain !

– Moi aussi mon petit enculé !

– Tu as vu le serveur comme il te mate ?

– Oui, oui !

– Tu veux que je te négocie une passe avec lui !

– Salaud, ça te fait bander de me voir faire la pute !

– C’est aussi ton fantasme, non ?

– Alors d’accord, mais l’argent ce ne sera que pour moi !

– Pas de problème, ma chérie !

 

Fin

 

Mathilda

 

Rewriting d’un texte retrouvé dans mon fouillis et signé cvorard

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 08:27

Anne par Mathilda

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C’est Valérie qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes. J’y suis très attachée. C’est d’ailleurs elle qui m’a conseillé de vous écrire pour raconter notre histoire.

 

J’ai vite compris que si je voulais la contenter, et donc la garder, il me fallait exploiter ses vices et ses penchants. Au début c’était seulement pour lui faire plaisir que je l’embrassais et la caressais en public. Ça l’excitait beaucoup et quand nous rentrions, ou dès que nous étions seules, elle jouissait très fort. Elle était quelquefois si pressée qu’elle me demandait de la branler dans la voiture ou dans l’ascenseur que je bloquais entre deux étages.

 

Quand nous faisons l’amour chez nous, à cause du vis-à-vis, les rideaux ne sont jamais tirés. Valérie s’allonge face à la fenêtre, écarte généreusement les cuisses, et me demande de la branler ou de la sucer. Récemment je me suis rendu compte qu’un type nous mâtait au deuxième étage. Ce devait être un étudiant car il était jeune et très souvent chez lui. Je ne sais pas quelles études il prépare, mais côté anatomie féminine, il doit connaître son programme sur le bout des doigts. Car je me suis aperçue que ce salaud se branlait en nous regardant. Et ce jour-là mon plaisir a été si ravageur, que j’ai compris que j’étais moi aussi une exhibitionniste. Et que ce qui m excitait vraiment, c’était de baiser devant des mecs qui se branlaient. Pourtant j’ai vraiment pas envie qu’ils me touchent ou viennent nous rejoindre.

 

J’en ai évidemment parlé à Valérie. On se dit tout. Le lendemain elle a acheté une paire de jumelles qu’elle a fait livrer à notre voyeur. De chez nous on surveillait l’arrivée du livreur. Pour une fois on avait tiré les rideaux. Quand on a été certaines que notre petit cadeau était bien en sa possession, c’est moi qui me suis allongée sur le lit, face à la fenêtre. Valérie s’est attaché notre godemichet double. C’est une fantaisie que nous aimons beaucoup. Après avoir sucé Valérie pour la faire mouiller, elle s’enfonce une des deux bites artificielles. Elle fixe et boucle les lanières autour des hanches et des cuisses. Elle s’est mise juste au coin de la fenêtre et j’ai ouvert les rideaux.

 

Anne Valerie

D’où il était notre voyeur ne pouvait voir que cette queue qui dépassait. Comme avec son gland, sa texture et sa couleur elle imite parfaitement celle d’un homme, il y avait de quoi le mystifier. Je me suis agenouillée et j’ai sucé le gode. Le gland d’abord puis toute la tige. J’imaginais la tronche que devait faire l’autre derrière ses jumelles. La situation et la scène m’excitaient beaucoup. Régulièrement je passais mes doigts dans ma fente pour recueillir ma mouille et en badigeonner la tige. Le mélange du jus et de la salive est un grand aphrodisiaque. J’ai fini par ne plus tenir et je suis allée m’allonger sur le lit. Cuisses largement écartées pour que mon voyeur n’ignore rien des plus petits replis de ma chatte.

 

Valérie est venue me rejoindre. Elle portait un jean et une chemise kaki comme était souvent vêtu notre voyeur. Ses vrais cheveux étaient dissimulés sous une perruque qui ressemblait à s’y méprendre à la coupe et à la chevelure de celui qui nous observait. J’imaginais sa réaction quand, un quart de seconde, il a eu l’illusion d’être à la fois chez lui et dans notre chambre. Valérie m’a pénétré. Vraiment comme un homme. Sous ses coups de reins je criais et je me tortillais. J’étais trop excitée pour lutter contre l’orgasme qui montait en moi comme un ras de marée. Je me suis laissée emporter et, tout en jouissant, j’ai imaginé que sa queue, entre ses doigts, giclait sa semence. C’était si fantastique que j’ai noué mes jambes autour des hanches de Valérie qui venait aussi de jouir, et je lui ai demandé de me baiser longuement.

 

Vous voyez qu’avec elle la vie et le plaisir sont loin de tomber dans la monotonie.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:36

Un barbecue qui mène à tout ! par Irénée Vardin

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Enfin le week-end. En ce beau samedi de Juin, nous avons tôt fait de nous libérer des emplettes et des différentes courses hebdomadaires. Depuis que nous avons emménagé dans notre nouveau pavillon, nous n’avons pas eu vraiment le temps de nous relaxer et nous nous promettons bien de le faire ce week-end.

 

Nous projetons donc un petit dîner en tête-à-tête lorsque le téléphone sonne. Clémentine mon épouse décroche. Ce sont Paola et Gilles, nos anciens voisins que le hasard a conduit dans le coin et qui nous demandent s’ils peuvent passer nous dire un petit bonjour d’ici une heure ! Clémentine active l’ampli du téléphone

 

– Dans ce cas on apporte l’apéro ! Précisent-ils

 

Que la peste porcine emporte ces casse-pieds ! Tempêtais-je, in petto. Moi qui avais envie d’être tranquille, peinard, je cherche un prétexte pour les éconduire, mais Clémentine a été sur ce coup plus rapide, elle accepte leur visite et surenchérit en leur proposant de se joindre à nous pour le dîner.

 

Soirée foutue, et comme-ci cela ne suffisait pas, ma tendre et chère m’envoie au supermarché faire les courses « supplémentaires et nécessaires ».

 

Je finis par faire contre mauvaise fortune bon cœur, je ne suis pas si mauvais bougre, après tout Gilles sait être un convive intéressant et puis Paola… Ah Paola ! Oh Paola ! La température est chaude et humide et nous ferons donc cuire des steaks au barbecue, mais nous les dégusterons à l’intérieur en profitant ainsi du confort de l’air climatisé.

 

À l’heure convenue, ils arrivent et nous sommes tous très heureux de nous revoir. (enfin presque) Nous échangeons baisers de bienvenue et poignées de main. Comme vous vous en doutez, et la température aidant, les femmes portent des vêtements légers et nous aussi.

 

Clémentine, il faut que je vous la présente. Indiquer l’âge des dames étant déplacé, contentons-nous de dire qu’elle a « la trentaine », elle a les cheveux mi-longs blonds vénitiens, les yeux bleus, la peau très blanche constellée de tâches de rousseurs. Elle a opté aujourd’hui pour une petite robe très légère en soie qui moule bien ses seins mignons (90 D), assortie d’un short très court qui nous fait profiter de ses belles jambes élancées ainsi que du galbe de ses superbes fesses.

 

Pour sa part, Paola, grande brune aux longs cheveux retombant en boucle sur ses épaules porte un débardeur moulant mettant en valeur de ravissantes épaules halées par les premières chaleurs qui épouse parfaitement bien ses seins fermes arrogants et piriformes, ainsi qu’une jupe très courte qui nous laisse apprécier des jambes que j’ignorais aussi jolies. Nous étions habitués à voir cette belle femme porter soit des tailleurs de travail, la semaine soit d’affreux joggings (berck !) le week-end, cela ne lui allaient pas toujours très bien et nous sommes très surpris de la découvrir tout à coup dégager autant de sensualité.

 

Je me rends rapidement compte que je la trouve très désirable et que je la suis du regard dans chacun de ses déplacements. Pour sa part, Gilles découvre Clémentine sous un aspect nouveau puisqu’il ne l’avait sans doute jamais vue porter des choses aussi légères (du moins je suppose, mais aller savoir ?) et je constate qu’il a souvent les yeux rivés sur ses fesses et je ne saurais l’en blâmer. (ce gros cochon !)

 

Nous bavardons un peu en préparant le souper et nous descendons quelques apéritifs. Il m’incombe toujours de faire cuire la viande sur le barbecue et j’avoue que je me débrouille pas trop mal. Ce soir donc, Paola m’offre de m’aider afin de voir comment je pratique puisqu’elle n’est pas très familière de ce genre de cuisson. J’accepte avec empressement (tu parles !) et Gilles s’offre donc à mettre la table et à préparer la salade avec Clémentine.

 

Notre cuisine est grande et nous nous affairons tous les quatre en nous côtoyant de très près. C’est rapidement devenu un jeu de se frôler et j’en profite pour caresser une fesse de Clémentine quand Gilles la regarde. Aussitôt après, il passe une main sous le débardeur de Paola et caresse ses seins d’une façon non équivoque ce qui provoque l’érection de ses mamelons. Celle-ci rougit quand elle se rend compte que j’admire ses seins pointant fièrement sous le tissu. Spontanément, je lui dis qu’elle a de très beaux seins et qu’elle ne devrait pas éprouver de gène et que si je pouvais, j’aimerais moi aussi les caresser. Nous rions tous et Clémentine déclare que si elle était un homme, elle se laisserait tenter, elle aussi. Cette remarque a pour effet de détendre définitivement l’atmosphère et tout à coup, nous sentons que la soirée sera probablement plus chaude que prévue. (chic, alors !)

 

Quelques instants plus tard, Paola et moi nous dirigeons vers la terrasse et sous prétexte de mieux observer la cuisson, elle se colle sur moi pendant que je dispose les steaks sur la grille. Ses seins frôlent mon bras et son ventre se frotte sur ma hanche ; Elle est très excitante et je ne peux faire autrement que d’approcher ma main de ses seins. Loin de reculer, elle bombe le torse afin de mieux s’offrir. Sans hésiter, je passe la main sous son débardeur et commence à caresser ses seins à la peau douce. Elle me sourit et me tend ses lèvres et nous échangeons un baiser passionné.

 

– Humm ! Ce n’est pas prudent ! Me dit Paola… Si Caroline nous voit.

– Elle n’est pas jalouse, on a déjà fait un peu d’échangisme.

– Ah bon, vous aussi ? Alors tout va bien !

 

Paola caresse mon pénis par-dessus mon short et me dit que le souper s’annonce très appétissant. Elle se cabre lorsque ma main se dirige vers son ventre et elle écarte légèrement les cuisses pour mieux permettre la caresse. Je devine ainsi qu’elle ne porte pas de culotte et ma main passe sous le tissu de la jupe afin de mieux sentir sa chatte déjà toute mouillée. Nous cessons provisoirement ces chaudes discussions pour nous diriger vers la salle à manger afin de rejoindre les autres.

 

Ils n’y sont pas, ils sont donc dans la cuisine. Et lorsque nous y arrivons, nous sourions quand nous retrouvons Clémentine et Gilles enlacés, échangeant un baiser tout au moins aussi brûlant que le nôtre. Celui-ci presse ma femme contre lui en la tenant par les fesses et je constate que sa robe est presque complètement déboutonnée ce qui nous permet d’admirer ses jolis seins quand ils se séparent, à regret, semble-t-il. Clémentine déclare alors en rigolant qu’ils débattaient afin de savoir quelle sorte de vinaigrette utiliser dans la salade tout en essayant, tant bien que mal de refermer sa robe. Je ne lui laisse pas la chance de le faire puisque je m’approche d’elle et je saisis ses seins et je les embrasse passionnément en m’assurant que nos amis ne perdent rien du spectacle. Gilles est bandé à n’en plus pouvoir et approuve sa compagne lorsqu’elle déclare que nous avons eu la même discussion au sujet des épices à steak près du barbecue.

 

C’est presque à regret que nous cessons de batifoler pour nous mettre à table. La viande est excellente et le vin coule à flots. Ordinairement, ma femme et moi buvons une bouteille pendant un repas mais ce soir, nous avons déjà entamé la troisième. Nous rions tous comme des petits fous à la moindre occasion et l’atmosphère est très agréable. Dès que quelqu’un se lève pour aller chercher quelque chose, il se fait attraper et caresser avant de pouvoir ramener ce qu’il était parti quérir. C’en est devenu un jeu et bientôt, nous exigeons un gage pour chaque personne qui passe près de nous. La première « victime » du jeu est Paola que j’attrape lorsqu’elle désire aller chercher du poivre dans la cuisine. Je l’intercepte alors et j’exige son débardeur en gage qu’elle consent à me remettre à la condition que je le lui enlève.

 

Je ne me fais pas prier et j’en profite pour caresser ses jolis seins devant nos compagnons et je les embrasse goulûment. Elle se tortille et geint légèrement en signe d’approbation. Clémentine déclare alors que le service est trop lent et se lève pour aller à la cuisine et Gilles lui fait connaître le même sort que j’ai fait subir à Paola. Bientôt, nos compagnes se promènent les seins nus et elles se regardent avec un sourire complice. Elles ne portent plus qu’un short ou une jupe et Gilles et moi sommes aux anges. Leurs poitrines sont belles et désirables, les mamelons sont en érection constante et elles s’amusent énormément du désir qu’elles provoquent.

 

Alors que nous en étions au fromage, Paola nous fait part de son besoin pressant d’aller satisfaire un besoin bien naturel. On lui indique le chemin, mais elle insiste pour que je l’accompagne prétextant pour rire qu’elle risque de se perdre sur la route du retour. Je l’accompagne donc jusqu’à la porte, mais elle insiste pour que je rentre avec elle. Comme la chose est pratiquement impossible, vu la petitesse de l’endroit, je ne peux, hélas accéder à cette requête, et je me contente de laisser la porte ouverte. Alors sans se gêner, Paola se place au-dessus de la cuvette mais ne s’y assoit pas, et libère bruyamment une véritable fontaine d’or ! Ma bandaison atteint alors son point de rupture !

 

Elle me demande ensuite de l’essuyer, mais refuse le papier toilette avec lequel je m’apprêtais à accomplir cette noble tâche, et c’est avec ma propre langue que j’asséchais donc son surplus d’humidité salée. Ravie de ma prestation, elle me proposa que je la lèche derrière parce que me confia-t-elle « elle adore qu’on lui fasse ce genre de chose ». Je m’exécutais de bonne grâce, point rebutée par la saveur particulière de l’endroit.

 

En revenant par pure perversion j’embrassais goulument mon épouse qui me fit remarquer en rigolant que ma bouche sentait le roquefort, je lui expliquais alors qu’il s’agissait du goût du cul de Paola. Ma femme me traita alors de pervers incurable, mais c’était pour plaisanter car l’instant d’après elle sollicitait la permission de Paola de lui lécher le trou de balle à son tour.

 

J’étais, vous vous en doutez bien dans un drôle d’état. C’est alors que les filles décident alors qu’elles vont faire temporairement la grève et désirent que nous servions le dessert en ne portant que le minimum (slip ou caleçon). C’est maintenant leur tour de nous déshabiller et Paola s’approche de moi pendant que Clémentine va s’asseoir sur son compagnon pour commencer à déboutonner sa chemise. Celui-ci ne se prive pas de la caresser pendant qu’elle s’exécute et Paola fait preuve de dextérité pour m’enlever mon tee-shirt et lorsqu’elle retire mon short, elle s’attarde longuement à caresser mon pénis à travers mon caleçon. La sensation est délicieuse de me faire caresser pendant que je vois ma femme se faire caresser par un ami. Paola ne peut se passer de retirer mon pénis de sa prison et elle le prend bien en bouche, à genoux devant moi afin de permettre à nos conjoints de bien voir.

 

Presque aussitôt, l’autre couple se retrouve dans la même position et le souper a perdu toute son importance. Maintenant, un voile de sensualité et de luxure flotte dans la maison et personne ne cherche en s’en soustraire. Paola fait preuve de beaucoup de savoir-faire et elle m’excite au maximum en me léchant tout en se caressant la chatte. Elle émet des petits cris de plaisir et je constate qu’une pipe ne constitue pas une corvée pour elle. Elle me fait passer par toute une gamme d’émotions alors qu’elle sait s’arrêter juste avant que je ne jouisse.

 

De son côté, ma femme suce avidement Gilles et je constate qu’elle a enlevé son short afin de permettre à son partenaire du moment de l’admirer. Elle se trémousse et je peux me rendre compte de son excitation en voyant perler des gouttes dans les poils de sa chatte. Elle sait très bien combien j’aime la voir lorsqu’elle fait l’amour et elle me le rend bien. Elle pompe sans arrêt ce très joli sexe tout en serrant le reste dans ses mains.

 

Tout à coup, comme si tout avait prémédité, les rôles sont inversés et les filles se retrouvent étendues sur les fauteuils du salon, les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien déguster ces chattes dégoulinantes. Elles se tortillent sous les caresses pressantes de nos bouches affamées, soulevant le bassin afin de mieux s’offrir. De mon côté, j’ai introduit deux doigts dans le minou de Paola et ses soubresauts me prouvent son appréciation. Elle gémit sans arrêt et prend ma tête pour mieux la presser contre elle ; n’en pouvant plus, elle serre ses cuisses contre mes joues alors qu’elle s’abandonne dans un orgasme qui la laisse pantelante.

 

Paola me demande d’arrêter un peu afin de lui laisser la chance de récupérer. Je m’assois à ses côtés afin d’admirer Clémentine dans toute sa splendeur. Je reconnais les mouvements de son ventre et de tout son corps durant les périodes d’excitation maximale et j’aime voir combien Gilles la déguste en connaisseur. Je peux voir qu’elle ne pourra endurer très longtemps ce traitement sans jouir et son compagnon s’en rend compte ; c’est pourquoi il se couche sur le plancher en l’attirant sur lui. En quelques secondes, elle s’empale sur son pénis et commence ce mouvement de va-et-vient que je connais si bien. Ses fesses se contractent et il lui caresse les seins pendant qu’elle se fait enculer comme une reine.

 

Paola les regarde avec beaucoup d’attention et elle déclare qu’elle veut manger les seins de Clémentine. Je l’encourage à le faire et elle s’approche d’eux, à quatre pattes, me laissant admirer son joli cul. Elle suce vigoureusement les seins de ma femme en les mordillant légèrement, comme les femmes savent apprécier cette tendre douleur. Je me retiens admirant avec Gilles ce spectacle improvisé qui prend son point culminant quand les deux femmes s’étant placées dans la position classique du soixante-neuf entreprennent de se brouter respectivement le minou, tout en s’égarant parfois dans la région voisine ou siège l’œillet brun de l’orifice anal. Nous attendons qu’elles fassent éclater leur inéluctable jouissance, et cela ne tarde pas à se produire.

 

Alors, n’y tenant plus je m’approche, et ayant recueilli son assentiment, j’enfile Paola par derrière, tenant bien ses fesses pendant que Clémentine caresse ses seins. Il n’en faut pas plus pour Gilles et celui-ci laisse sortir son trop-plein dans un râle profond. Ma femme le suit immédiatement et son corps est parcouru de tous ces courants de jouissance qui font que je la désire tellement. Tout ce spectacle fait que je décharge vigoureusement dans la chatte pulpeuse de Paola. Toute cette frénésie sexuelle nous laisse pantelants et nous nous retrouvons tous couchés à même la moquette afin de récupérer.

 

Quelques instants plus tard, Clémentine se remet de ses émotions et invite Paola à l’accompagner sous la douche. Je les suivrais bien, mais dans ce cas je sais que Gilles suivra aussi et la douche ne pourra jamais abriter quatre personnes. Je fais donc comme si j’étais à moitié endormi. Il se passa alors quelque chose de très étrange…

 

Paola demande à mon épouse de l’attendre une seconde… Nous nous demandons tous ce qu’elle veut faire. Elle se baisse alors, saisit ma main gauche et la flanque carrément sur la queue de Gilles. Puis attrape la main de ce dernier et la pose l’air de rien sur mon propre sexe.

 

– Voilà qui va faire drôle quand ils vont se réveiller ! dit alors Paola

– Je crois qu’on va attendre un peu pour la douche ! Réponds Clémentine.

 

C’était donc très malin de faire semblant de dormir… Je peux bien sûr arrêter cette farce en faisant semblant de me réveiller en sursaut… mais c’est qu’il se passe autre chose, le contact de la main de Gilles sur mon sexe le fait rebander, et la réciproque est vraie aussi puisque je sens quelque chose d’insolite gonfler sous ma propre paume. De façon imperceptible la main de Gilles commence à bouger, comme animée d’une vie propre, et bien sûr plus elle remue, plus je bande. Dois-je arrêter tout cela ? Je ne pense pas parce que cela ne me gêne pas plus que ça, et surtout ces dames ont l’air de s’exciter comme des petites folles en nous voyant faire les pédés. Du coup je m’enhardis et branle carrément la queue de mon ex voisin. Celui-ci prenant cela pour un signal y va aussi dare-dare. Inutile de donner le change, tout le monde sait bien maintenant que nous ne sommes plus en train de somnoler.

 

– Mettez-vous en 69 et sucez-vous ! Propose Paola !

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On ne discute même pas et comme si cela allait de soi, on se place tête bêche et me voici avec la grosse queue toute raide de Gilles dans la bouche ! Voilà qui n’est pas désagréable… Et puis il suce très bien le voisin ! Finalement c’est une sensation tout à fait délicieuse que de sucer une bite ! Quelques minutes plus tard nous éjaculions presque simultanément provoquant les bravos des deux femmes qui nous rejoignirent en venant lécher le sperme qui restait dans nos bouches. Quelles belles cochonnes !

 

Après être tous passés sous la douche, nous discutons un peu, nous sommes tout contents de la soirée ! Gilles et Paola, pas trop en état de rentrer (boire ou conduire, il faut choisir !) passerons la nuit dans le canapé d’amis.

 

Nous avons déjà prévu la prochaine soirée, ce sera dans quinze jours chez eux !

 

– On fera une fondue ! Nous a promis Paola. Et j’espère que cette fois ci nos petits maris vont s’enculer !

 

Pourquoi pas ?

 

vardin_i@hotmail.com

 

Auteur : Irénée VARDIN – Mai 2002 Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du meilleur récit bisexuel publié sur notre site en 2002

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:34

Pedlimas et Mélisande

par Iro

————-

 

Sa bite était bleue à l’ombre du rivage.

Les libellules investirent le marécage.

Pedlimas s’approcha à la nage,

C’est une première pour ce jeune page.

 

Il la crut d’abord habillée, lui demande

Son prénom : c’est Mélisande.

Elle écarte les bras prête à l’offrande,

Alors le jeune page bande !

 

Car aux bras étendus sa chevelure

Frissonna tel un étrange murmure

Dévoilant à peine ses jolis fruits murs

Puis brusquement elle changea de posture.

 

La vision devient pour Pedlimas tel un éclair.

Il avait devant lui la magnificence de sa chair.

Ses seins dont les pointes dressaient en l’air

Et son pubis poilu de jeune lingère.

 

Pedlimas retire sa culotte de peau de lapin,

Dégageant son gros et noueux gourdin,

Melisande est effrayée par cet attribut masculin.

Des comme ça, elle n’en a jamais vu en magasin !

 

Serais-tu effrayé, jeune dame par mes pustules ?

Dans ce cas tourne-toi donc que je t’encule !

Le destin veut sans doute que l’on copule,

Et tu ne vas pas nous en faire une pendule !

 

Fi, mon bon seigneur, gardez-donc ce vit !

Je ne suis pas si conne et n’en est point l’envie

De l’avoir dans mon con, question de survie !

Ni dans mon trou du cul, cela est mon avis !

 

Alors fait moi donc une bonne turlutte !

Devant et derrière, juste une minute,

Mais ne me dit pas que je te rebute

Je sais bien que tu n’es qu’une petite pute !

 

Oh ! Que neni ! Que neni quelle odeur fétide !

Je ne saurais sucer une chose aussi morbide !

Et pourtant je suis bien intrépide

Mais n’ai nul goût pour les hémorroïdes.

 

Alors fou de colère, Pedlimas sortit son laser

Et rageur, visa la jeune lingère.

Qui esquive et d’un coup de pied en l’air

Eclate alors ses couilles, mettant fin à sa carrière.

 

Fin du poème

 

Irenée Vardin

 

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Ndw : Qu’est-ce que ça fait là, direz-vous ? Bien que je n’aie nul besoin de me justifier, le pouvoir de dire « non » à une proposition de relation sexuelle fait aussi partie de la philosophie de notre site, donc ce n’est pas hors sujet, en plus c’est rigolo, et puis voir éreinter l’œuvre gavante de Debussy qui n’a d’opéra que le nom n’est pas pour nous déplaire…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:31

Amanda

par Iro

 

——–

Introduction (si j’ose dire !)

 

Amanda, quand je pense à toi,

J’ouvre un monde où je peux t’emmener avec moi,

Afin d’y avoir tous les droits !

Dans ce lieu je suis le roi,

Je te prends dans mes bras avec passion,

Et t’empale sur mon érection

Tout en agrippant à pleines mains la chair de ton cul.

Je suce ta langue et goûte à tes lèvres vaincues.

 

1er mouvement : Modérato

 

Une seule pensée m’envahit

C’est de me servir de mon zizi.

De toute ma force, et tandis que de plaisir tu geins

De ma queue, je laboure les chairs de ton vagin.

Tu es à moi, tu es le visage de mon désir

Je sens les muscles de ta vulve me retenir

Tu veux que je te pénètre encore plus profondément.

Une obsession m’habite énormément,

En voyant les lèvres de ta chatte

Je veux sucer ton clitoris, je n’ai qu’une hâte

Lécher tes grandes lèvres,

Goûter tes nymphes en fièvre

Et enfouir ma langue dans l’orifice de ta moule

Tandis que le lit nous bercera, telle la houle.

 

2ème mouvement : Adagio

 

La vue des lèvres de ton visage

Me fait donner à ta bouche mon membre peu sage.

La tiédeur de tes lèvres et de ta langue

Font monter mon plaisir comme un big-bang.

Tu laisses mon gland te pénétrer

Jusqu’au fond de ta gorge outrée.

L’excitation est à son point culminant

Car je sens ta soumission du moment

Face à mes coups de queue.

Je te baise la bouche et tu en reveux

Je tourne alors ma tête vers ta minette

Et je me pâme à l’idée de boire à la sauvette

Les larmes de plaisir

S’écoulant de ton vagin en délire

Tes hanches rondes dansent avec mon bassin

Je peux entendre ta vulve gémir sur les coussins.

Les grandes lèvres se dressent toutes gonflées

Et je salive à la vue du miel qui s’y écoule tel un trophée.

 

3ème mouvement : Allégro

 

J’ai envie de crier tellement je bande !

Afin que l’on m’entende jusqu’aux plaines de Hollande !

Le monstre qui est en moi me crie de te baiser

Et il n’y a qu’un seul moyen de l’apaiser…

Ton clitoris luit d’excitation,

Son érection est si intense que j’ai l’impression

Qu’il pourrait exploser dans ma bouche !

Si de trop près par mégarde je le touche.

Les lèvres de ta vulve fleurent le sel marin

J’ai si soif de ton miel et aimerais qu’il s’écoule sans fin

Je me retire de ton minois

Pour me poser face à toi

Les jambes bien écartées devant moi

Je soulève ton bassin, tu es à moi

Et le dépose entre mes cuisses, tel est mon plan

En prenant ma queue je caresse du gland

Ton clitoris et les lèvres de ton minou

Je regarde tes yeux, ta bouche, je suis un filou.

Ton sexe tu veux que je le colmate

Tu me supplies de te défoncer ma chatte

Tu veux que je te traite de pute

Tu veux que j’assouvisse mes instincts de bête en rut.

Tu veux que je te prenne comme une bête

Et que j’éjacule dans ta zézette.

 

4ème mouvement : Molto allégro

 

Tranquillement je te pénètre jusqu’aux testicules

Mais, peut-être préférerais-tu que je t’encule ?

Ton vagin étrangle mon érection

Et désire se noyer dans mon sperme en production

Ta respiration est forte, ta poitrine est rouge de plaisir

Tes mamelons veulent que je les suce jusqu’au délire

Je cogne ta vulve de violents coups de rein

Mes mains agrippent avec force tes seins

Des index et des pouces je fais des pinçons

Et pour les exciter encore plus, je tire sur tes mamelons

Tes petits cris, assurément me rendent fou

Je glisse ma main sur ton visage et ton cou

Et j’insère mon pouce dans ton palais.

Tu le suces tel un pénis au rabais

Et je sens alors l’effluve de sperme

Se décharger dans mon membre ferme

Malgré mon désir de jouir dans ton ventre

La bête qui est en moi ne peut plus dire  » rentre !  »

Car je veux éjaculer sur tes seins

Et sur ton visage qui regarde le mien

Je retiens le premier spasme

Contrôlant l’énergie de mon orgasme

Je retire ma queue et vise ton visage

Mais j’en veux encore davantage

Je sens alors une grande quantité de liqueur

Voulant s’expulser de mon membre à la bonne heure !

Se frayer un chemin vers ton minois

La giclée atterrit sur toi

Un peu dans ta bouche, un peu sur ta poitrine

Un soupir s’échappe de ta jolie bobine

Un second spasme, plus bref, expulse ma jute

Sur ton cou et tes épaules, est-ce la fin de mon rut ?

Rapidement je réinsère ma queue dans ton orifice

Et je jouis une troisième fois tel un feu d’artifice

Au contact de ta chair

Qui a su tant me plaire !

Je crie de plaisir tellement cet orgasme est intense.

Et encore plus que tu ne le penses

Nos corps se soudent épuisés

D’avoir tant baisé !

Et la seule chose qui pourrait à présent nous désenlacer

Serait, je le pense, une bonne envie de pisser.

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Coda :

 

Pauvre idiot ! Répondit Amanda, tu ne m’as point fait jouir

Occupe-toi donc de moi de moi avant de t’endormir.

Et de grâce, si l’envie d’uriner vient te titiller

Arrose moi de ta pisse, fait moi frétiller.

Je te ferais sans doute à mon tour la même chose

Si toutefois, tu le mérites, car ce soir, c’est moi qui dispose.

 

 

 

Irénée VARDIN

(d’après un petit texte en prose-tutu publié naguère chez Sophiexxx sous le titre  » Muse Virtuelle « )

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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