Sieste crapuleuse par Mathilda Stenberg
La journée du dimanche débuta par un réveil un peu tardif, ce qui ne me permit pas de prendre une douche, mais juste de faire une petite toilette rapide car j’étais attendue pour déjeuner chez mes parents.
Je vérifie le temps et constate qu’il fait bon avec un peu de soleil, une belle journée de printemps comme je les aime. J’enfile une jupe légère avec un petit haut débardeur assorti, qui met bien mes formes en valeur.
Arrivée cher mes parents on s’embrasse, j’ai apporté des fleurs pour Maman, des cigares pour Papa. Ils ont adopté un chien, je le caresse, il est très affectueux et me fait une fête d’enfer.
Nous prenons un apéro et discutons de choses et d’autres avec mon père, car ma mère ne cesse de faire des allers et retours entre le salon et la cuisine en tortillant des fesses.
Faut dire que Maman a un cul d’enfer, j’ai déjà eu l’occasion de le lui lécher, j’aurais peut-être aujourd’hui l’occasion de recommencer.
Je file à la cuisine afin de papoter avec ma mère, et l’air de rien je lui mets la main aux fesses. Non seulement elle se laisse faire, mais elle me roule un patin magistral. Mais voilà qu’après quelques minutes de discussion, le chien rapplique et commence à me sauter dessus.
Il veut jouer et je le repousse gentiment mais rien n’y fait et revient à la charge. Il en profite pour mettre sa truffe sous ma jupe, je ressens alors des petits frissons m’envahir le corps.
Timidement je me recule pour le faire cesser et ma mère rigole de ce qu’il fait.
Il ne cesse son petit manège qu’au bout de quelques minutes, au moment où maman lève la voix et lui ordonne de se calmer.
Cela valait mieux car son petit jeu commençait à me donner des envies.
Ma pauvre petite toilette du matin n’avait pas dû dissiper les effluves de sperme de ma petite chatte honorée la veille par un de mes copains.
Je me demandais si cela ne l’excitait pas.
A la suite d’un déjeuner bien copieux et pas mal arrosé, on me propose de faire une petite sieste.
Je montais dans la chambre d’amis et poussais la porte sans la fermer. Après avoir quitté ma jupe et mon petit haut, je m’endormis assez vite avec la tête remplie de pensées cochonnes. Ma petite sieste ne dura pas bien longtemps car une sensation forte agréable me réveilla ce qui me fit ouvrir les yeux avec beaucoup de mal tellement c’était bon.
Je fus assez surprise de voir que le chien était là, sa tête entre mes cuisses. Je sentais sa respiration rapide à la manière d’un léger courant d’air sur mon sexe à travers mon string. Cette douce sensation me faisant complètement chavirer et je me sentis prisonnière du plaisir que cela me procurait, impossible de reprendre le dessus de cette situation.
Je ne sais même pas si j’en avais envie car j’étais trop bien, transportée dans un état second.
J’avais l’impression de passer de l’état de femme à l’état de femelle.
Tout s’enchaîna très vite et je m’abandonnai à ce plaisir charnel sans ne plus pouvoir contrôler mes gestes.
Je décale mon string sur le côté afin qu’il puisse atteindre l’objet de mon désir et de son excitation. Il humait mon odeur qui l’attirait tel un aimant. Il comprit rapidement que la voie était libre.
Ma petite chatte s’enflamma alors qu’il commença à me donner un premier coup de langue.
Une décharge me traversa le corps et me liquéfia.
Ses coups de langue commencèrent à s’accélérer sur mon clitoris et me firent mouiller comme jamais. Je me rendis compte que mes sécrétions avaient l’air de bien lui plaire du fait que sa langue ne s’activait plus qu’autour de mon vagin.
N’en pouvant plus de ses assauts linguaux, je retirais mon string sauvagement et releva les jambes en les écartant afin qu’il puisse bien profiter de moi.
Sa langue me parcourait le clitoris et s’introduisait jusque dans mon vagin, il me fouillait de fond en comble, il me buvait complètement. Il m’explorait vraiment partout et passa sur mon anus à plusieurs reprises jusqu’à y faire forcer sa langue qui n’eut pas grand mal à trouver l’entrée de mon orifice. Il s’agitait dans tous les sens au fur et à mesure qu’il fouillait de sa langue mon petit cul. Humm ! Humm ! Je poussais des petits gémissements tellement c’était bon, mais il me fallait faire attention à ne pas trop m’emballer car la chambre de mes parents où ils faisaient la sieste, se trouvait juste à côté de la mienne. Ceci ne faisant qu’accentuer mon désir car je m’abandonnais à un plaisir interdit. Sa langue exploratrice rechercha de nouveau mon vagin afin de me redonner un nouvel assaut. Il me fouillait de plus en plus vite au plus profond possible, j’étais sur le point de non-retour tellement il me faisait vibrer. Il me lapait de haut en bas avec une rapidité incroyable. J’en profitais en même temps pour me caresser les seins vigoureusement et me pinçais les tétons. Entendre les claquements de sa langue me rendait folle d’excitation. D’ailleurs je n’étais pas la seule à l’être car il devenait incontrôlable et sa queue grossissait à vue d’œil.
Je me mise à lui caresser le ventre ce qui lui fit passer la vitesse supérieure. Il m’attrapa le bras avec sa gueule afin de m’attirer vers lui. Je compris ce qu’il voulait : Que je sois sa femelle ! Son coté dominateur à faire de moi ce qu’il désirait et mon incapacité à reprendre le contrôle de cette situation me fit me rendre à l’évidence que je devenais une chienne, sa chienne. Je devenais chaude comme la braise et ça il le savait le coquin car il redoubla d’effort afin de faire monter un peu plus la température.
Ne sachant plus vraiment dans quel monde j’étais, je me mise à partir à la recherche de son sexe et l’attrapa entre mes doigts. Humm ! Quelle douce sensation de le sentir encore un peu plus proche de moi. Qu’est ce qu’elle était soyeuse et bien gonflée avec une assez grosse taille !
Je le masturbais doucement et le senti grossir au creux de ma main.
Je me rapprochais de son engin et senti une odeur assez forte mais je fus attirée par celle-là et me mise à lui lécher de haut en bas en m’attardant sur son bout qui avait une forme très différente de tout ce que je connaissais. Elle était si douce et si bonne que je m’en délectais comme d’une bonne glace. J’étais carrément ailleurs et si bien.
N’en pouvant plus tellement il me procurait un bien fou dans tout le corps, je descendis de mon lit, me positionnais à quatre pattes en écartant bien mes jambes afin qu’il me prenne. Je voulais le sentir en moi, m’abandonner à ses assauts.
– Viens, prends-moi ! lui dis-je.
Il ne me laissa pas longtemps patienter car il fit un bond sur mon dos avec ses pattes avant, ce qui me griffa mais ne fit qu’augmenter mon état de femelle en rut. Il balançait ses reins pour chercher mon entrée mais sa queue ne faisait que buter sur mes orifices. Cette sensation était très agréable elle m’excitait encore un peu plus mais je le voulais en moi qu’il me baise qu’il m’honore comme il le ferait à une chienne.
J’écartais ma petite chatte au maximum afin qu’il trouve enfin le chemin de mon tunnel. Quand il le trouva il m’arracha un petit cri pas très discret mais le phénomène de surprise ne me permis pas de me contrôler. Il ne fit que trois ou quatre aller et retour avant de ressortir, sa fougue ne lui permettait pas de prolonger sa pénétration plus longtemps. Le même manège recommença plusieurs fois et je coulais complètement de plaisir tellement j’étais excitée par son traitement.
Je l’attrapai pour le faire rester en moi un peu plus mais j’eus du mal car il avait de la force le bougre. Je le sentais grossir de plus en plus pour ma plus grande joie car cette sensation m’était encore inconnue auparavant.
Je lui murmurais : « Oh oui continue, encore, encore, humm »
Le fait que sa queue ait grossit l’empêchait de ressortir et il trouva alors la bonne cadence. J’en profitais pour passer ma main sur mon clito et m’envoya au 7ème ciel. Il me fit jouir comme jamais.
Je me demandais si c’était possible qu’il me prenne le cul, j’avais peur qu’il me déchire l’anus. De toute façon, c’était l’après-midi de toutes les expériences, il fallait que je sois fixée et puis au pire je le ferais sortir. Je lui attrapai la tête et lui colla devant mon petit trou il comprit vite et me lécha l’entre cuisses. Il m’avait bien léché car j’avais de sa salive partout, j’en récupéra un peu avec mon doigt et me l’introduisit dans le cul. Humm ! J’adore me doigter le cul surtout dans une pareille situation, c’est encore plus excitant et ça m’aide à le préparer. Une fois prête, je le guide vers mon entrée et je constate qu’il n’a rien perdu de sa vigueur. Je m’apprête à l’introduire en moi quand il balance un grand coup de rein et me défonce sauvagement le cul.
– Ahhh humm !
Il m’arrache un nouveau cri, me besogne comme un fou et me dilate de plus en plus l’anus, je suis transportée dans un autre monde. Il me comble de bonheur avec un tel savoir-faire qu’on croirait qu’il a fait ça toute sa vie. Quel amant parfait fait-il !
Je me sentais un peu honteuse de la situation, et ne compris pas très bien comment j’ai pu prendre autant de plaisir avec le chien. Que m’était-il donc arrivée ? Je ne sais pas ce qui s’est passé, je n’étais plus du tout moi-même et je ne risque plus de l’être. En effet, cela m’ayant procuré un si bon orgasme, je crois qu’il serait difficile de m’en passer à présent… Finalement je dois être un peu salope !
Toute à mes réflexions je n’avais pas fait attention à ce que mon père et ma mère sans doute intrigués par mes cris étaient maintenant présents sur le pas de la porte.
– Je vois que tu ne t’es pas ennuyée ! Me dit Maman.
Je rougis de confusion, mais Maman me confia alors qu’elle aussi s’était livrée à ce genre de fantaisie et qu’elle avait pris beaucoup de plaisir à se faire couvrir de la sorte..
Maman vint alors tout près de moi sur le lit et commença à me caresser les seins dont les tétons ne tardèrent pas à pointer comme il se doit. Voulant lui rendre la pareille, je la débraillais afin d’avoir accès à ses gros seins laiteux que je tétais avec gourmandise. Pendant ce temps mon père excité par notre petit jeu avait sorti sa bite et ses couilles et se masturbait sans vergogne.
Je savais ce qui allait suivre, il allait s’approcher de moi, me demanderait de le sucer ce que j’accepterai volontiers… ça ne sera pas la première fois.
Quand je vous dis que je dois être un peu salope !
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