Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:51

Fils de pute ! Par Elian Lvekman

double stamp

Merci à ce site de me permettre de publier cette histoire peu banale

 

J’ai 24 ans, je m’appelle Lauric, ma copine m’a foutu à la porte et je suis retourné chez ma mère en attendant de voir venir.

 

Ma mère à 56 ans, elle est retraitée, elle m’a avoué il y a quelques temps qu’elle rencontrait des hommes qui la payait pour faire l’amour. Autrement dit je suis un fils de pute, mais je ne la juge pas, elle ne fait de mal à personne. Elle est encore pas mal pour son âge, un corps harmonieux, un joli sourire, des cheveux gris coupés courts.

 

– Et elle t’a viré pour quelle raison ? Me demande ma mère.

– Son connard de frère est allé lui raconter que je lui avait sucé la bite !

– Et tu l’avais vraiment fait ?

– Ben oui, je l’avais aidé à réparer sa bagnole, on s’est envoyé quelques bières, on a déconné, et on s’est regardé un porno, on a sorti nos bites et de fil en aiguille…

– Je comprends, et t’as aimé ça ?

– C’est pas déplaisant !

– T’as bien raison, c’est bon la bite ! C’est la première fois que tu faisais ça ?

– Disons que j’ai eu quelques expériences, mais je ne suis pas homo, je préfère les femmes…

– Tu t’es fait enculer aussi ?

– Un peu !

– C’est quoi un peu ?

– Je veux dire quelque fois !

– T’es un gros vicieux !

 

Elle m’a dit ça avec un drôle de sourire.

 

– Ce n’est que du sexe !

– Et ça c’est quoi ? Me dit ma mère en me touchant la braguette.

– Mais enfin maman !

– Ben quoi, ce n’est que du sexe, c’est bien ce que tu viens de dire, non ?

– Oui, mais…

– Mais quoi ? Laisse-toi faire !

 

Elle ouvre ma fermeture éclair. Je suis tétanisé. Sa main pénètre dans l’ouverture et touche ma bite à travers mon slip.

 

– Mais ça bande là-dedans !

– Mais maman tu es ma mère !

– Sans blague ! J’ai bien le droit de regarder ta bite non ? Juste une petite envie comme ça…

– Alors si c’est juste une petite envie comme ça…

 

Elle m’a sorti ma queue, elle me branle, je me laisse faire, c’est bon. Elle se baisse, est-ce qu’elle va me sucer ? Pendant qu’on y est, pourquoi se gêner, hein ?

 

Elle me suce comme une reine, mais c’est vrai que c’est une pute, elle a de d’expérience. De sa main elle me flatte les couilles.

 

– Hum, je me régale ! Me dit-elle en s’interrompant un moment, tu aimes ?

– Oui !

– Oui qui ?

– Oui Maman !

 

Bon, allez on va boire un coup, on reprendra tout à l’heure si tu veux !

 

Ah bon ? J’aurais bien continué tout de suite, moi ! Tout à l’heure je serais peut-être démotivé.

 

– Je pensais à un truc ! Me dit-elle, j’ai un client, qui aimerait sucer de la bite, mais j’ai du mal à lui trouver un rendez-vous avec un autre qui est toujours par monts et par vaux…

 

Je la vois venir, la maman.

 

– Evidement dans ces cas-là on se partagera le prix de la passe. Ça te dit ?

– Je ne suis pas contre, il est sympa au moins ?

– Correct, sympa, doux, ce n’est pas un playboy mais il n’a rien de repoussant non plus.

– Je veux bien essayer.

– Je vais l’appeler !

 

Elle le fait, le mec lui propose de passer dans une heure. Je ne pensais pas que ça se ferait si tôt, mais bon, j’ai dit, oui, j’ai dit oui.

 

– Je vais le recevoir, et je le chaufferai sur le canapé, à ce moment-là tu te ramèneras à poil, la bite bandée et on improvisera.

 

On sonne, je laisse ma mère le recevoir, je regarde par l’entrebâillement de la porte, ma mère se met en sous-vêtements, un ensemble assorti en dentelles rouges. Le mec se met à poil, il a effectivement l’air sympa, son torse est rasé. Il s’assoit sur la canapé, cuisses écartées et ma mère vient le sucer. Il ne tarde pas à bander.

 

Je prends mon courage et ma bite à deux mains et je fais mon entrée.

 

– Bonjour m’sieu dames !

 

Le gars tout sourire, me fait signe de venir près de lui afin qu’il puisse avoir accès à ma bite.

 

Je ne pensais pas que les choses iraient si vite. Mais c’est vrai qu’il suce divinement l’animal, et pendant qu’il me gâte de sa bouche, sa main m’attrape les tétons et les pince, j’adore cette caresse

 

On reste comme ça quelques minutes, puis ma mère me fait signe de venir le sucer à mon tour, je me précipite, j’adore sucer des bites, et la sienne est délicieuse et douce.

 

Avec ma mère on le suce alternativement. Puis le type demande s’il peut m’enculer.

 

– Bien sûr, mais avec capote !

 

Pas de problème, je me mets en levrette.

 

– Doigte-le un peu avant ! Demande-t-il à ma mère.

 

Et voilà que ma génitrice me fourre un doigt dans le cul et l’agite frénétiquement. Ça me fait tout drôle, mais ça me fait du bien.

 

Et voilà que je sens derrière moi la bite du gars solliciter l’entrée de mon derrière, je m’ouvre, ça entre. Whaf ! C’est que j’ai pas trop l’habitude, ce ne sera jamais que la quatrième fois.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

 

S’il le dit ! Et c’est parti ! Putain que c’est bon d’avoir une bite dans le cul. Je planque mon visage dans mes mains, je suis au paradis, je suis un enculé et j’aime ça !

 

Le mec se retire au bout de quelques minutes ! Dommage, je serais bien resté comme ça quelques minutes de plus, mais il faut croire qu’il avait d’autres projets.

 

Il demande à ma mère de quitter ses sous-vêtements, je peux ainsi voir ses gros tétons bruns. Puis il demande si on peut faire une « double ».

 

J’ai un peu de mal à suivre… le mec se couche sur le dos, ma mère s’empale dessus et se baisse afin de permettre l’accès à on anus.

 

– Vas-y ! Lauric, encule-moi ! Me dit ma mère !

 

Que faire ? Sinon le faire ? Et après avoir recouvert ma bite d’un préso, j’ai enculé ma génitrice tandis qu’elle gigotait sur la bite de son client. Il a joui assez vite, a murmuré quelques paroles de remerciement et est allé faire un brin de toilette intime. Je n’avais pas joui, ma mère a retiré ma capote, m’a sucé à fond et s’est badigeonné les seins avec mon foutre.

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On a attendu que le type s’en aille, et elle m’a demandé de m’occuper d’elle, je me suis jeté sur ses gros tétons enduit de sperme et les ai sucés comme des bonnes friandises, puis je suis descendu vers sa chatte que j’ai léchée jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un geyser de mouille.

 

On s’est roulé une pelle et on a ouvert une bière.

 

Je suis un fils de pute et un enculé et je suis très bien dans ma peau ! Puisque je vous le dit !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:47

Donnant donnant par Elian_Lvekman

Gode stamp

– J’ai une heure avant d’aller à mon rendez-vous. Alors ne me fait pas trop languir.

 

Laura raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Bobby le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtains et les yeux verts. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le lit conjugal. Bobby avait 13 ans de moins quelle, il avait été facile à séduire.

 

– Si mon frère apprenait ce que l’on faisait il nous tuerait.

– J’ai un moyen pour te faire oublier, dit Laura en ouvrant la braguette de son pantalon.

 

Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Laura commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Bobby et couvrit la totalité de son ventre de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Laura se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’a emprisonné dans sa bouche et le suça goulûment. Laura l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Bobby se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.

 

– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon chéri ! dit-elle avec amusement.

 

Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.

 

– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.

 

Bobby se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre musclé fut collé aux fesses dures de Laura. Elle poussa un long soupir ravi.

 

– C’est meilleur comme ça ! murmura-t-elle. Déchire-moi comme tu sais si bien le faire.

 

Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les 25 centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devaient y être pour quelque chose. Laura répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Pour lui, elle avait commençait à faire de la gym pour avoir des fesses plus fermes lorsqu’il la sodomisait, il la prenait ainsi à chacune de leur rencontre. Laura hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui ne l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Bobby continuait ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur.

 

– Continue ! Ah, tu me déchires, tu… tu me fais mal, c’est booon… Aaah…

 

Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Laura avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Bobby rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par ses instincts. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance monter de ses reins. Il donna encore quelques furieux coups de butoir et se répandit dans les reins gracieusement offerts en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anale, ouvert et distendu de sa compagne, d’où suintait quelques gouttes de sperme.

 

Comme souvent son sexe n’était pas ressorti intact de cette folle chevauchée. Du sperme mais aussi des traces brunes. Cet état ne gênait point Laura qui prenait un malin plaisir à narguer son amant en lui nettoyant tout cela de sa langue agile.

 

– On a plus le temps ! Indiqua Bobby voyant ensuite Laura farfouiller dans son sac.

– Si ! Répondit-elle sèchement.

 

Elle s’harnacha de son gode ceinture, et lui fit face, crânement.

 

– Suce, suce cette bonne bite !

 

Donnant

Sans conviction excessive, Bobby entreprit de faire un simulacre de fellation au sex-toy en latex noir de bonnes dimensions que son amante avait accroché entre ses cuisses, puis sans qu’elle ne lui demande il s’allongea sur le dos et releva ses cuisses afin de faciliter la pénétration. Laura commença à embrasser ce charmant anus qui s’exposait à ses yeux, puis elle sortit sa langue, exerçant de savantes circonvolutions afin de la forcer à s’entrouvrir, ce qu’il finit par faire. Elle introduisit alors un doigt, puis un deuxième, les fit aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez son amant.

 

– Alors, tu le veux ? demanda-t-elle

– Oui, vas-y ?

– Demande le moi mieux que ça !

– Enfonce-moi ton gode, Laura

– Plus crûment !

– Encule-moi !

 

Après avoir tartiné de gel le fondement de son amant, elle fit pénétrer le gode d’un mouvement sec, avant de le faire aller et venir.

 

– Qu’est-ce que c’est bon ! C’est bon, c’est trop bon ! Psalmodiait-il.

– Qu’est ce qui est donc si bon ?

– Ce que tu me fais ?

– Et je te fais quoi ?

– Tu m’encules !

 

Du sperme finit par s’écouler du sexe semi-bandé de Bobby.

 

– Alors ?

– Je ne te remercierais jamais de m’avoir fait découvrir ce plaisir !

– Un jour je tacherais de te dégoter une vraie bite, ça sera mieux que le gode !

– Il n’en est pas question !

– On dit ça, on dit ça !

 

FIN

 

Rewriting d’une nouvelle non signée titrée  » Gail  » parue sur SophieXXX en 1999. Le style d’origine a été respecté.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 11:31

Solange et son fils par Elian Lvekman

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- Regarde comme je suis écartée, salaud, je suis toute mouillée à cause de toi !

 

Voilà plus d'un quart d'heure que Solange est empalée sur la queue de Cédric, son fils de dix-neuf ans.

 

- Et alors, tu n'aimes pas, salope ? Ton clito est tout dur, je sûr qu'il est tout rouge. Papa te donne pas assez, c'est pour ça que tu fais la pute avec moi.

- Tais toi, tu sais que j'aime ta queue. Même si c'est celle de mon fils. Oh, que c'est bon, ce que tu me fais, oui...ouiii.

- Moi aussi je viens, salope, ouais, prend ça. Que c'est bon de tremper sa queue dans ta chatte de sa mère.

 

Le couple s'écroule sur le canapé.

 

- Hum c'était trop bon, il faut que je pisse maisnteant !

- Pisse moi dans la bouche, mon fils, je vais tout boire…

 

Solange est entièrement soumise à son fils, depuis qu'il l'a surprise au lit avec le voisin

 

Ça c'était passé très simplement :

 

- Ben maman, tu t'envoie en l'air avec le voisin !

- Et alors ? Tu n'as pas à me juger !

- Je te juges pas, mais je trouve qu'il a beaucoup de chance, le voisin, j'aurais bien voulu être à sa place !

- Chiche ?

- Euh…

- Ben qu'est-ce que t'attends, viens me montrer ta bite, je vais te la sucer…

 

Et ce fut le début d'une relation torride.

 Frankie

- Demain, y a Paul qui vient, dit Cédric. On va le chauffer, Alors, mini-jupe et rien dessous !

- Hi, hi !

- Ça t'excite déjà on dirait ?

- Oh, oui !

- T'es vraiment une cochonne, j'ai bien envie de te donner une fessée !

- Vas-y ne te gêne pas, rougis-moi le cul.

 

Cédric à couché sa mère sur ses genoux et l'a fessée à la volée jusqu'à ce qu'il en attrape mal aux mains, ensuite il l'a enculé sauvagement.

 

Paul est le cousin de Cédric, donc le neveu de Solange. Il arrive à quatorze heures.

 

- Bonjour tout le monde : Dit-il, ça va tata ? En forme ?

- Et toi , tu t'es enfin décidé à venir me voir. Comment va ma sœur ?

- Très bien, le trantran.

 

Cédric est installé sur le canapé. Il prend sa mère par la taille, la tire vers lui et l'assoie sur ses genoux. il glisse une main entre ses cuisses.

 

- Tu t'es épilé la chatte, m'man, ça m'excite ça !

- J'ai fait ça pour toi, mon chéri.

 

Paul est sidéré par la scène. Il aperçoit l'entre-jambe de sa tante.

 

- Mais, Cédric tu es fou ! Dit-il. Qu'est-ce-que tu fais ? C'est ta mère enfin !

- Approche Paul, viens voir la petite chatte de ma maman comme elle est belle. Elle est déjà toute mouillée. Viens la lui caresser.

- Arrête de parler comme ça ! Gémit Solange, tu vas me faire jouir. Tu sais que je résiste pas longtemps. Tu me rend folle. Allez viens Paul, tu n'en mourras pas, au contraire ça devrais te plaire !

 

Paul s'avance timidement, et caresse la chatte de sa tante.

 

- C'est vrai qu'elle mouille ! Constate-il.

- Je vous en prie, supplie-t-elle, niquez-moi, les garçons ! Vous ne voyez pas que j'en crève d'envie.

 

Tout le monde se déshabille.

 

- Oh la belle queue que tu as, Paul, et tu bandes bien ! Tu l'as déjà sucé, Cédric ?

- Ben non, je ne suce pas les garçons !

- Même si c'est moi qui te le demande ?

- Dans ce cas…

- Mais moi, je ne veux pas, proteste Paul.

- De qui, tu ne va refuser de faire plaisir à ma mère, d'autant qu'après tu vas pouvoir la baiser.

 

Et c'est ainsi que Cédric se mit à sucer la bite de son cousin.

 

- Allez maman, maintenant une petite turlutte à ton fils, ça te dis? Regarde comme elle est raide !

 

Paul se place derrière sa tante, la queue en érection. Il la fait aller et venir entre les lèvres humides, puis la pénètre.

 

 -Ha.. ha.. l'enfoiré ! Hurle Solange, quelle bite, oh putain, il est mieux monté que toi, ton cousin, oh le con. Et ses couilles, fait moi toucher tes couilles !

 

Solange passe une main entre les jambes de son neveu, et fait rouler les testicules entre ses doigts.

 

Paul accélère ses coups de queue dans la chatte en feu de Solange. Cédric donne des signes de faiblesse.

 

- Salope, pipe, avale bien, brave maman. Que tu es bonne ! Pauvre papa, s'il savait que sa femme se fait tirer par son fils. Quel cocu !

-Tais-toi ! Gémit Solange, laisse-moi jouir tranquille, vas-y Paul, nique-moi, bourre-moi, vide tes grosses couilles dans la chatte de tata ! Ha..ha..oui..ouiii, je jouiiis.

 

Paul envoie sa semence dans le ventre de sa tante, en hurlant de plaisir. Elle se retourne, l'embrasse sur la bouche..

 

-Petit vicieux ! Plaisante Solange, tu n'as pas honte de niquer ta tante ? Tu le ferai avec ta mère ? Vilain !

 

Paul se recule. Cédric tend une main, et lui prend la queue.

 

- C'est vrai que tu es bien membré ! Dit-il. je comprends que tu ais fais gueuler ma mère. Tu veux qu'il t'encule maman ?

- Non, dit Paul, pas ça, je peux pas me permettre. Restons-en là.

- Comme tu veux, répond Cédric, ce sera pour moi ce soir, hein m'man ?

- Bien sur mon chéri, dit Solange, ton père ne rentre pas ce soir, on aura toute la nuit.

 

Elle se retire dans la salle de bains. Les deux cousins restent assis sur le canapé. Cédric prend la main de Paul, et la porte à son sexe.

 

- Caresse moi, lui dit-il, décalotte-moi comme il faut. Prends-moi les couilles aussi.!

- Je n'ai pas osé dire devant ta mère qu'on se tripotait de temps en temps. Tu veux un doigt dans ton cul, Cédric ?

- Bien sûr !

- Comment tu es devenu, Cédric. Baiser avec sa mère ! Quand même !.

- Tu devrais essayer avec la tienne, répond-il. Du reste, tu devrais l'emmener un jour pour qu'elle se gouine avec sa sœur devant nous, ça doit être excitant, non ? Oh putain, je crache, regarde, tu as fait jouir ma mère, maintenant tu fais jouir son fils, quel famille.

- T'as joui trop vite, c'est dommage, je t'aurais bien fait une bite au cul ! Attend je vais lécher ton sperme tu en a mis partout.

 

Deux jours plus tard, Solange appelle sa sœur.

 

- Allo, allo.

- Ha.. ha.. oui.

- Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? Demande Solange.

- Si tu savais, c'est mon fils, il m'a tout raconté…

- Oh !

- Et là, il est en train de me mettre des coups de queue ce salaud, ça fait deux fois qu'il me fait jouir. Tu m'entendrais crier. Ha.. ha... oui, je viens encore, je jouiiiis.

 

Tut. tut. tut. tut.

 

Rewriting d'un texte signé Frankie publié sur le site "Histoire érotique" (au singulier) titré :"Une maman soumise", catégorisé dans Histoire "Extra conjugale", bourrée de fautes de toutes sortes et encombré de caractères exotiques.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 08:13

Deux mecs et leur mère par Elian Lvekman

Rosemonde

Bonjour je suis Gilles, j’ai 24 ans, étudiant, j’habite encore chez papa maman, de même que mon frère Cédric qui en a 22, étudiant comme moi.

 

J’ai toujours été obsédé par tout ce qui touchait au sexe, j’aime la compagnie des femmes, surtout quand elles sont plus âgées que moi, mais ne dédaigne pas celle des hommes. J’aime avoir une bonne bite dans ma bouche ou dans mon cul.

 

Mon frère est aussi cochon que moi et… mais laissez-moi vous raconter :

 

Ce matin, je me dirige vers la salle de bain après une nuit calme, Cédric y est déjà, il est à poil et il bande comme un malade.

 

– Tu m’as l’air en forme ce matin !

– T’as vu, hein ! Me nargue-t-il en me faisant face. Ça c’est de la bite, c’est pas de la rigolade !

– Hum je crois bien que je vais la sucer.

 

Un petit scénario qui se répète parfois, mais dont je ne me lasse pas…

 

Je me baisse et prends ce magnifique cylindre de chair dans ma bouche de salope, je pompe, je pompe, je me régale de la bonne bite de mon frère

 

– Relève-toi et tourne-toi ! Je vais t’enculer ! Me dit Cédric.

 

Il ne l’a pas fait de suite, souhaitant me préparer le cul en me léchant consciencieusement la rondelle… W?h ! Quelle langue ! Puis il m’a pénétré avec beaucoup de douceur jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon petit cul.

 

Quand il s’est retiré, sa bite était gluante de sperme et du jus de mon cul. J’ai nettoyé tout ça avec ma langue en me branlant.

 

Puis Cédric a quitté la salle de bain, je m’en étonnais car à l’évidence il n’avait pas terminé ses ablutions.

 

Qu’importe, je pris une douche rapide et revigorante, et me séchait sommairement avant de remonter pour m’habiller.

 

En passant, je constatais que la porte de la chambre de mes parents était restée entrouverte. j’y entendais des cris étranges.

 

Je m’approche à pas de loup. Et là, je découvre une scène hallucinante. Ma mère est à genoux sur le lit, appuyée sur les mains, et se fait prendre en levrette par Cédric.

 

– Ah, mon salaud ! Gémit-elle. Ah, comme tu me niques ! Tu n’as pas honte de faire ça à ta mère ? Oui, vas-y mon chéri, bourre-moi bien avec ta bonne bite ! Je joui, oui, oui…

– C’est bon ça, hein maman ? Un bon coup de queue. Tu sens comme je te baise. moi aussi je viens, ouah…. que tu es bonne, maman, ha, oui. oui….

 

Cédric se retire prestement et vient se placer devant sa mère.

 

– Ouvre la bouche, dit-il.

 

Mon frère tient sa queue en main, et se branle au bord des lèvres de ma mère. Les jets de sperme giclent au fond de sa gorge. Elle suce le gland, pendant que Cédric, par de lents va-et-vient, évacue les dernières gouttes. Ma mère s’écroule sur le lit, les yeux fixés au plafond.

 

J’aurais peut-être dû partir, non je restais là complètement halluciné, et puis j’ai dû faire un faux mouvement ce qui fait que la porte s’ouvrit carrément.

 

– Oh, mais qui est là ? Demande ma mère en me découvrant.

– Euh rien, je passais dans le couloir et la porte s’est ouverte. Je vous laisse.

– Tu ne te demandes pas ce qu’on fait tous les deux à poil ? Me chambre-t-elle.

– Euh…

– Tu sais, Gilles quand il y en a pour un il y en a pour deux.

– Ben… Il y a longtemps que vous faites ça ?

– Plusieurs semaines on va dire, même un peu plus ! Allez viens, approche que je goûte à ta queue. On va voir si elle est aussi bonne que celle de ton frère !

– Je, je…

– Tu ne vas pas te dégonfler, intervient Cédric, viens te faire sucer par maman, elle est très douée, tu sais.

 

J’étais fasciné de voir ma mère à poil avec ses gros nichons si excitants avec leurs grosses pointes durcies.

 

Alors comme un zombi, je me suis approché et j’ai laissé ma mère me prendre en bouche !

Mother 2son

Putain qu’est-ce qu’elle suçait bien ! Et en même temps mon frangin m’introduisait un doigt dans le cul.

 

Puis ma mère s’est retournée, elle s’est mise en levrette, me demandant de l’enculer, j’étais tellement excité que je suis parti en moins de deux minutes. Elle s’est couchée sur le dos, a commencé à se palucher avant de me demander de la relayer

 

Ce fut le début d’une longue série de baise à trois, souvent ma mère nous demande à mon frère et à moi de nous sucer et de nous enculer devant elle avant que nous la prenions en sandwich.

 

Tiens à propos de sandwich, j’ai comme un petit creux.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 08:07

Bouboule par Elian Lvekman

zoo

 

Ma tante Margot, était une très belle femme de cinquante-trois ans, mince, très sexy, les fesses bien pommelées, une taille fine et une poitrine ferme, très haute, en forme de grosses poires. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.

 

Veuve depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous ne l’avions jamais vue en compagnie d’un homme. Une rente confortable laissée par son mari lui permettait de bien vivre sans travailler.

 

Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un Labrador baptisé Bouboule à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.

 

Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.

 

Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand ’débarras’ ou devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.

 

Ma crainte fit place à la stupéfaction. Margot à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Bouboule. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau arrachant des râles de plaisir.

1 Indira

Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.

 

La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.

 

Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.

 

J’allais me retirer discrètement, quand Bouboule reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.

 

Margot qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Bouboule, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devînt cramoisie et s’écroulât en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant :

 

– Quelle honte?! Quelle honte?!

 

Aussi gêné qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :

 

– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à le faire. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.

 

Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :

 

– Que j’ai honte, que j’ai honte?!

 

Je continuais de la rassurer :

 

– Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.

 

Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Bouboule s’était relevé, il sautillait autour de nous.

 

Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Margot délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :

 

– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?

 

– Non, non, je trouve cela plus excitant de baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Bouboule. Soit chienne j’adore ça.

 

Margot s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Bouboule prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.

 

C’est ainsi que ma Tante devînt ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes ou elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.

 

Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Bouboule, je lui avouais être bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.

 

Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle prit un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :

 

– Il est gros, ce sera mieux.

 

Margot profitait de « l’encrémage » pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais ou, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle.

 

– Ça te plait, hein petit pédé ?

 

Elle appelât Bouboule, il me reniflait le cul, puis sa langue balayât le petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commençât à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser?! De lui-même il se montait sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.

 

Margot saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.

 

Dès qu’il fût en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon?!

 

La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Bouboule comme une chienne ! Je me régalais. Tante Margot aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.

 

Bouboule s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.

 

Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avait qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, puisque nous nous étions sucé la bite, et qu’il m’avait enculé, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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