Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:32

Sieste crapuleuse par Mathilda Stenberg

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La journée du dimanche débuta par un réveil un peu tardif, ce qui ne me permit pas de prendre une douche, mais juste de faire une petite toilette rapide car j’étais attendue pour déjeuner chez mes parents.

Je vérifie le temps et constate qu’il fait bon avec un peu de soleil, une belle journée de printemps comme je les aime. J’enfile une jupe légère avec un petit haut débardeur assorti, qui met bien mes formes en valeur.

Arrivée cher mes parents on s’embrasse, j’ai apporté des fleurs pour Maman, des cigares pour Papa. Ils ont adopté un chien, je le caresse, il est très affectueux et me fait une fête d’enfer.

Nous prenons un apéro et discutons de choses et d’autres avec mon père, car ma mère ne cesse de faire des allers et retours entre le salon et la cuisine en tortillant des fesses.

Faut dire que Maman a un cul d’enfer, j’ai déjà eu l’occasion de le lui lécher, j’aurais peut-être aujourd’hui l’occasion de recommencer.

Je file à la cuisine afin de papoter avec ma mère, et l’air de rien je lui mets la main aux fesses. Non seulement elle se laisse faire, mais elle me roule un patin magistral. Mais voilà qu’après quelques minutes de discussion, le chien rapplique et commence à me sauter dessus.

Il veut jouer et je le repousse gentiment mais rien n’y fait et revient à la charge. Il en profite pour mettre sa truffe sous ma jupe, je ressens alors des petits frissons m’envahir le corps.

Timidement je me recule pour le faire cesser et ma mère rigole de ce qu’il fait.

Il ne cesse son petit manège qu’au bout de quelques minutes, au moment où maman lève la voix et lui ordonne de se calmer.

Cela valait mieux car son petit jeu commençait à me donner des envies.

Ma pauvre petite toilette du matin n’avait pas dû dissiper les effluves de sperme de ma petite chatte honorée la veille par un de mes copains.

Je me demandais si cela ne l’excitait pas.

A la suite d’un déjeuner bien copieux et pas mal arrosé, on me propose de faire une petite sieste.

Je montais dans la chambre d’amis et poussais la porte sans la fermer. Après avoir quitté ma jupe et mon petit haut, je m’endormis assez vite avec la tête remplie de pensées cochonnes. Ma petite sieste ne dura pas bien longtemps car une sensation forte agréable me réveilla ce qui me fit ouvrir les yeux avec beaucoup de mal tellement c’était bon.

Je fus assez surprise de voir que le chien était là, sa tête entre mes cuisses. Je sentais sa respiration rapide à la manière d’un léger courant d’air sur mon sexe à travers mon string. Cette douce sensation me faisant complètement chavirer et je me sentis prisonnière du plaisir que cela me procurait, impossible de reprendre le dessus de cette situation.

Je ne sais même pas si j’en avais envie car j’étais trop bien, transportée dans un état second.

J’avais l’impression de passer de l’état de femme à l’état de femelle.

Tout s’enchaîna très vite et je m’abandonnai à ce plaisir charnel sans ne plus pouvoir contrôler mes gestes.

Je décale mon string sur le côté afin qu’il puisse atteindre l’objet de mon désir et de son excitation. Il humait mon odeur qui l’attirait tel un aimant. Il comprit rapidement que la voie était libre.

Ma petite chatte s’enflamma alors qu’il commença à me donner un premier coup de langue.

Une décharge me traversa le corps et me liquéfia.

Ses coups de langue commencèrent à s’accélérer sur mon clitoris et me firent mouiller comme jamais. Je me rendis compte que mes sécrétions avaient l’air de bien lui plaire du fait que sa langue ne s’activait plus qu’autour de mon vagin.

N’en pouvant plus de ses assauts linguaux, je retirais mon string sauvagement et releva les jambes en les écartant afin qu’il puisse bien profiter de moi.

Sa langue me parcourait le clitoris et s’introduisait jusque dans mon vagin, il me fouillait de fond en comble, il me buvait complètement. Il m’explorait vraiment partout et passa sur mon anus à plusieurs reprises jusqu’à y faire forcer sa langue qui n’eut pas grand mal à trouver l’entrée de mon orifice. Il s’agitait dans tous les sens au fur et à mesure qu’il fouillait de sa langue mon petit cul. Humm ! Humm ! Je poussais des petits gémissements tellement c’était bon, mais il me fallait faire attention à ne pas trop m’emballer car la chambre de mes parents où ils faisaient la sieste, se trouvait juste à côté de la mienne. Ceci ne faisant qu’accentuer mon désir car je m’abandonnais à un plaisir interdit. Sa langue exploratrice rechercha de nouveau mon vagin afin de me redonner un nouvel assaut. Il me fouillait de plus en plus vite au plus profond possible, j’étais sur le point de non-retour tellement il me faisait vibrer. Il me lapait de haut en bas avec une rapidité incroyable. J’en profitais en même temps pour me caresser les seins vigoureusement et me pinçais les tétons. Entendre les claquements de sa langue me rendait folle d’excitation. D’ailleurs je n’étais pas la seule à l’être car il devenait incontrôlable et sa queue grossissait à vue d’œil.

Je me mise à lui caresser le ventre ce qui lui fit passer la vitesse supérieure. Il m’attrapa le bras avec sa gueule afin de m’attirer vers lui. Je compris ce qu’il voulait : Que je sois sa femelle ! Son coté dominateur à faire de moi ce qu’il désirait et mon incapacité à reprendre le contrôle de cette situation me fit me rendre à l’évidence que je devenais une chienne, sa chienne. Je devenais chaude comme la braise et ça il le savait le coquin car il redoubla d’effort afin de faire monter un peu plus la température.

Ne sachant plus vraiment dans quel monde j’étais, je me mise à partir à la recherche de son sexe et l’attrapa entre mes doigts. Humm ! Quelle douce sensation de le sentir encore un peu plus proche de moi. Qu’est ce qu’elle était soyeuse et bien gonflée avec une assez grosse taille !

Je le masturbais doucement et le senti grossir au creux de ma main.

Je me rapprochais de son engin et senti une odeur assez forte mais je fus attirée par celle-là et me mise à lui lécher de haut en bas en m’attardant sur son bout qui avait une forme très différente de tout ce que je connaissais. Elle était si douce et si bonne que je m’en délectais comme d’une bonne glace. J’étais carrément ailleurs et si bien.

Melissa41N’en pouvant plus tellement il me procurait un bien fou dans tout le corps, je descendis de mon lit, me positionnais à quatre pattes en écartant bien mes jambes afin qu’il me prenne. Je voulais le sentir en moi, m’abandonner à ses assauts.

– Viens, prends-moi ! lui dis-je.

Il ne me laissa pas longtemps patienter car il fit un bond sur mon dos avec ses pattes avant, ce qui me griffa mais ne fit qu’augmenter mon état de femelle en rut. Il balançait ses reins pour chercher mon entrée mais sa queue ne faisait que buter sur mes orifices. Cette sensation était très agréable elle m’excitait encore un peu plus mais je le voulais en moi qu’il me baise qu’il m’honore comme il le ferait à une chienne.

J’écartais ma petite chatte au maximum afin qu’il trouve enfin le chemin de mon tunnel. Quand il le trouva il m’arracha un petit cri pas très discret mais le phénomène de surprise ne me permis pas de me contrôler. Il ne fit que trois ou quatre aller et retour avant de ressortir, sa fougue ne lui permettait pas de prolonger sa pénétration plus longtemps. Le même manège recommença plusieurs fois et je coulais complètement de plaisir tellement j’étais excitée par son traitement.

Je l’attrapai pour le faire rester en moi un peu plus mais j’eus du mal car il avait de la force le bougre. Je le sentais grossir de plus en plus pour ma plus grande joie car cette sensation m’était encore inconnue auparavant.

Je lui murmurais : « Oh oui continue, encore, encore, humm »

Le fait que sa queue ait grossit l’empêchait de ressortir et il trouva alors la bonne cadence. J’en profitais pour passer ma main sur mon clito et m’envoya au 7ème ciel. Il me fit jouir comme jamais.

Je me demandais si c’était possible qu’il me prenne le cul, j’avais peur qu’il me déchire l’anus. De toute façon, c’était l’après-midi de toutes les expériences, il fallait que je sois fixée et puis au pire je le ferais sortir. Je lui attrapai la tête et lui colla devant mon petit trou il comprit vite et me lécha l’entre cuisses. Il m’avait bien léché car j’avais de sa salive partout, j’en récupéra un peu avec mon doigt et me l’introduisit dans le cul. Humm ! J’adore me doigter le cul surtout dans une pareille situation, c’est encore plus excitant et ça m’aide à le préparer. Une fois prête, je le guide vers mon entrée et je constate qu’il n’a rien perdu de sa vigueur. Je m’apprête à l’introduire en moi quand il balance un grand coup de rein et me défonce sauvagement le cul.

– Ahhh humm !

Il m’arrache un nouveau cri, me besogne comme un fou et me dilate de plus en plus l’anus, je suis transportée dans un autre monde. Il me comble de bonheur avec un tel savoir-faire qu’on croirait qu’il a fait ça toute sa vie. Quel amant parfait fait-il !

Je me sentais un peu honteuse de la situation, et ne compris pas très bien comment j’ai pu prendre autant de plaisir avec le chien. Que m’était-il donc arrivée ? Je ne sais pas ce qui s’est passé, je n’étais plus du tout moi-même et je ne risque plus de l’être. En effet, cela m’ayant procuré un si bon orgasme, je crois qu’il serait difficile de m’en passer à présent… Finalement je dois être un peu salope !

Toute à mes réflexions je n’avais pas fait attention à ce que mon père et ma mère sans doute intrigués par mes cris étaient maintenant présents sur le pas de la porte.

– Je vois que tu ne t’es pas ennuyée ! Me dit Maman.

Je rougis de confusion, mais Maman me confia alors qu’elle aussi s’était livrée à ce genre de fantaisie et qu’elle avait pris beaucoup de plaisir à se faire couvrir de la sorte..

Maman vint alors tout près de moi sur le lit et commença à me caresser les seins dont les tétons ne tardèrent pas à pointer comme il se doit. Voulant lui rendre la pareille, je la débraillais afin d’avoir accès à ses gros seins laiteux que je tétais avec gourmandise. Pendant ce temps mon père excité par notre petit jeu avait sorti sa bite et ses couilles et se masturbait sans vergogne.

Je savais ce qui allait suivre, il allait s’approcher de moi, me demanderait de le sucer ce que j’accepterai volontiers… ça ne sera pas la première fois.

Quand je vous dis que je dois être un peu salope !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:28

Ma patronne est une garce… par Mathilda Stenberg

 

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Ma patronne est une garce… mais je l’adore

Je me prénomme Fabienne et j’ai quarante-cinq ans. Je travaille dans un magasin de prêt-à-porter. Ma patronne, Julia est bien plus jeune que moi, n’ayant pas encore 30 ans. Elle est blonde, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie brune, large de fesses et de poitrine. Pour seul point commun nous avons toutes les deux le même tempérament explosif qui a besoin de jouir plusieurs fois par jour. Au début ce fut quelques attouchements furtifs pendant les heures creuses du magasin et quelques patins bien baveux, pour se donner quelques plaisirs dans la cabine d’essayage, puis nous sommes allées de plus en plus loin. C’était bon mais on n’avait pas assez d’aise, on se sentait frustrées. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos époux qu’on allait faire de la gymnastique dans un club privé, on est allé faire l’amour dans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.

Malgré sa jeunesse elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minet à la pénétration par godemichés. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle m’a demandé si j’étais prête à tout accepter de sa part, y compris des punitions corporelles et des humiliations. Je lui ai répondu que je voulais bien essayer et que je pouvais être très soumise.

– La seule chose que je ne te ferais jamais c’est de t’attacher, tu seras toujours libre, tu pourras toujours quitter une séance et cela n’aura aucune conséquence pour ton travail. Mais réfléchis bien, si tu te sauves, ça en sera peut-être fini de nos jeux érotiques ! Ce serait vraiment dommage.
– On verra bien !

Le soir même, arrivé au studio elle me demanda de me mettre complètement nue, elle restant habillée. Elle alla alors chercher une ceinture en cuir et m’en cingla les fesses en exigeant que je lui dise merci à chaque fois, j’ai eu un peu d’appréhension mais rapidement l’excitation me gagna et je sortis de cette séance toute mouillée… mais mes tourments n’étaient pas terminés, elle sortit d’un sac en plastique un cintre à jupes muni de deux pinces et voulut me le fixer sur la pointe de mes seins.

– Non pas ça, ça va faire trop mal !
– Tu n’en sais rien tu n’as même pas essayé.
– J’ai pas envie !

La gifle me surprit, j’aurais pu partir à ce moment-là, mais la situation m’excitait, je murmurais un simple merci.

– Allez, on essaie ! Reprit Julia revenant à la charge

Je me laissais faire cette fois, retenant mon souffle, la douleur était supportable et me provoquait même quelques frissons qui augmentèrent en intensité quand ma patronne se mit à jouer avec le cintre, le tirant vers elle, le faisant tomber puis y rajoutant des poids. Un quart d’heure plus tard, elle m’ôta l’instrument de mon supplice et nos langues s’unirent précédent nos corps pour une étreinte torride.

– Ouvre ta bouche, petite chienne, j’ai envie de te cracher dedans !
– Ça ne va pas, non ? Me rebellais-je.
– C’est quoi ces protestations ? Quand on s’est roulé une pelle tout à l’heure, tu as bien avalé ma salive, non ?
– Oui, mais…
– Mais quoi, je n’ai pas changé de salive , c’est toujours la même. Tiens j’ai une idée…

Et Julia se crache alors sur ses seins. laissant une trace dégoulinante.

– Nettoie-moi mes nichons.

J’ai un peu hésité et je me suis lancée, il y a juste un pas psychologique à franchir, et quand elle m’a craché dans la bouche, je l’ai accepté comme une douce humiliation qui m’a provoqué des frétillements entre les jambes.

On s’est reposé ensuite quelques instants, puis Julia, m’avertit de son intention d’aller faire pipi, elle voulait absolument que je la regarde. Le spectacle n’était pas déplaisant, ce petit jet doré sortant de sa petite chatte blonde était ma fois tout à fait charmant…

– Essuie !

J’attrapais une feuille de papier toilettes !

– Tu fais quoi ?
– Ben, je prends du papier !
– Non, c’est avec ta langue de pute que tu vas me nettoyer !
– Mais tu es folle ! Je n’ai jamais fait ça.
– Il y a un début à tout. Si tu aimes le goût de ma chatte, tu vas aimer, essaie !

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J’avançais ma langue méfiante, mais c’est vrai que ça n’avait rien d’insurmontable, et ce petit côté défendu était même excitant…

– Tu y prends goût, tu es une vraie salope !
– C’est de ta faute tu me fais faire des trucs impossibles !
– J’ai encore envie d’en faire une petite goutte, ouvre ta bouche, je vais te pisser dedans !
– Non !
– On dis pas non, on dit  » Ou, Julia  »
– Je te préviens, je vais tout cracher !
– Essaie de ne pas le faire… demain tu en redemanderas !
– Allez, assez discuté ouvres-moi ta bouche de pute :

Il ne restais qu’une goutte, je l’avalais sans problème, regrettant presque qu’il n’y en eut pas davantage !

– Dommage que je n’ai pas envie de chier, tu m’aurais nettoyé le cul !
– T’es vraiment malade !
– Tu n’as jamais sucé tes doigts après que tu te les sois foutus dans le cul !
– Je ne fais pas ça !
– Il t’en reste des choses à apprendre ! Tourne-toi ! Je vais te montrer…

Alors Julia, m’introduit son index dans le trou de mon cul l’agitant de telle sorte que je me trémoussais de façon obscène. Puis brusquement elle le retira !

– Ferme les yeux et ouvre la bouche, tu vas me mouiller mon doigt !
– Non !
– Arrête de dire toujours non ! C’est énervant à la fin

Je refusais de fermer les yeux, j’aime bien voir ce qui m’arrive, Julia porta son doigt sous mon nez !

– Ça sent simplement l’odeur de ton cul !
– Il y a des odeurs plus agréables !
– Oui, mais celle-là elle est aphrodisiaque ! Regarde-moi je n’ai pas peur !

Et devant mes yeux effarés, je la vis sucer son doigt merdeux avec gourmandise, son manège dura un petit moment !

– Hum c’est délicieux ! conclut-elle

Elle me remit le doigt dans mon cul, cette caresse m’était très agréable, je savais ce qui allait se passer après, aussi ne souhaitant pas tergiverser cent sept ans, dès qu’elle le sortit, je pris les devants.

– Donne, je vais goûter !

J’affrontais l’épreuve, prête à tout cracher, à lui dire que décidément elle exagérait et à foutre le camp à toute vitesse. Or surprise, le goût sans être génial ne m’agressa pas. Je me surpris à conserver mon doigt dans la bouche !

– Alors ? me dit Julia
– Sorcière !
– Ben oui !

Mais voici que l’on sonne à la porte ! Je cours me passer un peignoir !

– Veut tu rester à poil ! m’ordonne ma patronne
– Mais…
– A quatre pattes, c’est un ordre, n’ai pas peur, il ne va rien t’arriver !

J’obéis, mais je n’en mène pas large.

– Guillaume, un ami, et lui c’est Jean-René, un autre ami…

Et après cette brève présentation ma patronne le plus naturellement du monde s’empare d’un godemiché s’arc-boute sur le montant du lit et commence à jouer avec …

Mais cette visite ne me plaisait guère. Les deux zigotos me palpent, j’ai la sensation de devenir une marchandise. Mais voilà que leurs grosses paluches me tripotent la chatte. Ça ne me fit pas grand-chose, aussi Julia leur conseille de s’occuper plutôt de mes tétons…

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris.

Du coup je me suis mise à mouiller et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard complice et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que Guillaume s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé Jean-René à m’astiquer le minet. Et elle m’a ordonné de retarder au maximum le moment de ma jouissance…

– Après ça n’en sera que meilleur !

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli crier mais au dernier moment, je me suis retenue. J’avais l’impression de planer dans un autre monde. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemiché et en demandant Jean-René de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer les queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de Guillaume dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place du mec, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

Jean-René fini par sortir de mon cul ! Il me contourna ! Je compris qu’il souhaitait finir dans ma bouche, mais pour l’instant il cherchait probablement un kleenex, effectivement sa bite était toute maculée de ma merde.

Alors regardant droit dans les yeux Julia qui venait de se faire jouir, je criai à mon enculeur qu’il n’avait pas besoin de s’essuyer, que je saurais le nettoyer de ma langue…

Aussi pris-je un plaisir masochiste à nettoyer toute la merde qui maculait cette jolie bite.

– T’es vraiment une trainée! Me traita Jean-René
– Oui, mais j’aime ça.

Julia ordonna ensuite à Jean-René de sucer la bite de son collègue. J’étais jalouse cette bite, je l’aurais bien sucé, moi ! Ensuite Guillaume lui pénétra le cul.

J’étais subjugué, c’est si beau de voir deux mecs s’enculer.

Mais je ne put continuer à regarder, ma patronne m’ayant entrainé dans un soixante-neuf torride, bien sûr je me régalais de cette bonne chatte ou persistait une tenace odeur d’urine.

Tout le monde ayant joui,  Julia confuse se leva pour aller chercher quatre coupes de champagne. Elle demanda aux deux hommes de pisser dedans avant que nous trinquions.

Mathilda Stenberg

E-mail: Xmathilda@hotmail.com

Ce récit a été restauré dans sa version intégrale en 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:24

Lola, son chien et son père par Mathilda Stenberg

scat

Ames sensibles, s’abstenir : scato explicite inside !

Coucou ! Je m’appelle Jade, j’ai vingt-cinq ans, fausse blonde, un peu dodue, 1,75 m. célibataire et salope à mes heures. Je suis bisexuelle et j’ai une copine attitrée qui a 45 ans et que j’adore, mais elle n’interviendra pas dans ce présent récit. J’aime sucer des chattes, des bites et des trous du cul, J’aime qu’on me pisse dessus et quand je suis très excitée, je m’adonne parfois à des choses un peu scato. Je vais vous raconter une histoire qui, je le sais, va sûrement choquer quelques personnes ici…

 

C’était l’état dernier, je devais passer par Poitiers et me souvenais qu’habitait là-bas Lola, une ancienne camarade de fac assez délurée, laquelle m’avait en son temps servi le traditionnel « si un jour tu passes dans le coin… »

 

Coup de fil à Lola. Aucun problème, elle m’attend… me donne l’adresse.

 

Lola est une brune, latine, avec un corps magnifique. Dans mes fantasmes je me disais que si par bonheur elle n’était pas insensible à mes charmes… Bref je verrais bien !

 

J’avais décidé pour l’occasion de m’habiller assez… sexy afin de pouvoir éventuellement l’allumer (j’étais loin de m’imaginer qu’en fait elle était encore plus salope que moi, mais n’anticipons pas…) J’ai donc mis une petite jupe noire assez courte et mon dos nu noir aussi, que je porte évidemment sans soutien-gorge et qui met donc ma poitrine assez imposante avec les tétons qui pointent, en valeur. J’ai complété tout cela par mes petites chaussures noires à lanières grimpantes (jusque mi tibia). Je me suis regardé dans la glace, j’avais l’air un peu pute, mais cela ne me dérangeait pas !

 

Après avoir trouvé une place de parking, j’arrivais chez mon amie et je fus quelque peu surprise lorsqu’elle m’accueillit en serviette de bain, prétextant un manque de temps pour se préparer.

 

Nous nous sommes embrassées et à ce moment la serviette mal attachée dégringola. Elle se réajusta aussitôt en riant mais la vision de sa nudité m’avait déjà émoustillée.

 

Elle avait un corps parfait, avec une poitrine assez imposante tout comme la mienne, et de plus elle était toute bronzée déjà en raison de ses origines italiennes.

 

Elle me proposa de m’asseoir dans le canapé le temps qu’elle s’habille. J’acceptai sans problème, m’installant sur le sofa et j’allumai une clope pour patienter, et son chien, un très beau labrador s’installa également à mes côtés. Un quart d’heure plus tard, (un quart d’heure pour s’habiller ! Vous vous rendez compte ?) elle revint, superbe, avec un pantacourt taille basse, un débardeur blanc super moulant et des Buffalo aux pieds. Je ne pus me retenir de rougir, elle était trop belle (bien plus que moi !) Elle me proposa à boire, j’acceptai volontiers car il faisait horriblement chaud.

 

On échange quelques banalités, elle m’apprend qu’elle s’est séparée de son mec et qu’en attendant de se trouver un logement, elle vit ici chez ses parents.

 

– Le paternel m’a demandé de laver le chien, il ne sent pas très bon et en plus avec la chaleur…

– Je peux t’aider si tu veux !

– Volontiers, mais finis ton jus d’orange !

 

Une fois fini, elle appela Globo (le chien) qui se montra récalcitrant. On finit quand même par le mettre dans la baignoire. Je devais le tenir, pendant que Lola, elle, faisait couler l’eau à la bonne température. Une fois la baignoire remplie, la séance de frottage et de lavage commença. C’est après quelques minutes de ce shampooing énergique, que l’on vit toutes deux en même temps, le sexe de Globo grossir énormément. On se regarda toutes les deux en rigolant. Lola n’hésitait pas à passer sa main dessus pour bien le nettoyer aussi. C’était vraiment très gros, et le chien avait l’air d’apprécier beaucoup nos caresses. Une fois rincé, on l’essuya énergiquement et il courut aussitôt finir de se sécher sur le canapé. Lola nettoya la baignoire… penchée comme elle était, je pouvais voir ses superbes seins ballotter dans son débardeur, et je ne me rendis même pas compte qu’un de mes seins, lui, était sorti de mon dos-nu pendant que je m’étais penchée. Lola me le fit alors remarquer en rigolant, je rougis de honte, et à ma plus grande surprise, elle s’approcha de moi, me regarda dans les yeux et me dit :

 

– Ce n’est pas grave, tu as une superbe poitrine !

 

C’est à ce moment-là que je me dis qu’il allait peut-être se passer quelque chose…

 

D’un geste très décontracté, Lola pris mon sein dans ses mains et me le remit en place. Je lui adressa un sourire complice mais sans insister.

 

On regagna alors le salon après s’être lavé les mains.

 

La chaleur était étouffante dans le salon, alors cela lui servi de prétexte pour ôter son débardeur, laissant apparaître son soutien-gorge et ses magnifiques seins. Elle me dit alors :

 

– Tu sais, tu peux faire pareil, ne te gêne pas

 

J’en crevait d’envie, mais pour faire genre je lui répondis :

 

– Oui mais moi je n’ai pas de soutif en dessous, je suis seins nus après.

– Mais pas de problème ma chérie, attends, on est entre nous, je sais ce que c’est une poitrine quand même !

 

Alors à mon plus grand étonnement, elle défit le nœud arrière de mon dos nu, et celui-ci tomba tout doucement le long de mon corps, laissant apparaître ma poitrine face à elle.

 

– Wha ! Quelle merveille ! Je ne regrette pas de t’avoir ôtée ton dos nu, tu es superbe ma chérie !

– Tu parles j’ai quelques kilos en trop !

– Penses-tu ! C’est toujours mieux que les paquets d’os !

– Merci c’est gentil, tu es superbe aussi… autant que tu sois au courant, je suis un peu bi, mais n’ai pas peur je ne vais pas te sauter dessus.

– Si tu me saute dessus, je me laisserais faire,parce que figure-toi qu’il faut que je t’avoue que j’ai moi aussi une forte attirance pour les filles

 

Alors, je ne pus m’empêcher d’approcher mes lèvres des siennes et de l’embrasser sur la bouche en un long baiser aussi profond que baveux.

 

Elle en profita pour mettre sa main sur mon sein, m’agacer le téton et commencer à me peloter un peu partout… je gémis tout doucement, c’était trop bon…

 

Je lui retirai son soutien-gorge et la pelotais à mon tour, ma main glissa à l’arrière de son pantacourt et j’agrippais ses fesses, mon doigt venant fureter dans son trou du cul.

 

Nous étions donc théoriquement parties pour une petite séance d’amour saphique… mais l’imprévu survint :

 

Alors qu’on le croyait déjà en train de dormir, le labrador sauta sur le canapé près de nous, et on eut vite fait de voir que son sexe était toujours aussi gros que tout à l’heure, voire même encore plus. Lola rigola et me dit :

 

– Ben lui en tout cas il a la forme. Tu as vu sa bite ? C’est énorme ! Tu crois que ça fonctionne comme celle d’un mec ?

– Je sais pas du tout… j’ai jamais goutée ! Lui dis-je en rigolant

 

C’est alors qu’elle me dit :

 

– Chiche ?

– Chiche de quoi ?

– Ben de gouter !

 

Je fus énormément surprise de sa suggestion. J’aime bien suce des bites et j’adore le sperme, en avoir partout, en avaler… Mais bon une bite de mec et une bite de chien ce n’est pas la même chose !

 

Je répondis :

 

– Euh… bah… et toi ? Tu gouterais ?

– Bin je sais pas, répondit-elle avec malice, si tu oses, j’oses aussi… On pourrait déjà toucher sa bite pour voir, non ?

 

J’hésitai mais fini par acquiescer.

 

C’est alors qu’elle prit sa main et enroula le sexe de Globo, et commença des va-et-vient, les mêmes que l’on fait pour masturber un mec

 

Le chien qui était tout fou au début, eut vite fait de se calmer, savourant certainement cet instant.

 

– Wha, il grossit encore ! Me dit-elle, vas-y, touche.

 

Alors je pris ma main et fit pareil qu’elle. En effet, c’était gros et très chaud.

 

– Tu crois qu’il aimerait aussi qu’on le suce ? Demandais-je.

 

Je fus super surprise de sa réponse

 

– Je sais pas, ça doit avoir un gout bizarre, mais on va voir.

 

Je compris alors à son ton, qu’elle bluffait et qu’elle avait déjà pratiqué ce genre de choses.

 

Sans hésitation, alors que j’avais encore la main sur le sexe de l’animal, elle approcha sa bouche de son sexe et y posa les lèvres. J’ôtai ma main illico, qu’elle remplaça sans attendre par ses lèvres. Je voyais sa bouche remplie du sexe de Globo, je savais plus quoi faire.

 

Elle gémissait tout doucement, elle avait l’air d’apprécier énormément.

 

Elle dégagea sa bouche et me dit :

 

– Putain, c’est géant ! Essaye !

 

J’hésitai un peu… puis, je donnai mon accord, mais je préférais avant qu’on se mette par terre, car ce n’étais pas confortable sur le sofa et surtout pas pratique

 

Elle descendit le labrador et je me mit à quatre pattes, la tête sous le chien, et après quelques nouvelles secondes d’hésitation, je finis enfin par faire glisser le sexe de l’animal dans ma bouche. Elle fut vite remplie, son sexe était très gros. Je commençai alors à le sucer, faisant des va-et-vient avec ma bouche. Lola elle, se plaça sous moi et me pelota fort tout en me léchant mes nichons.

 

C’était trop bon…. Comme une petite salope, je suçais le chien, et la vision de me voir ainsi offerte et soumise m’excitait davantage

 

Elle me dit alors :

 

– Attend, pousse-toi, je vais essayer un truc

 

J’obéis. Elle allongea le labrador par terre, le sexe tendu vers le haut…

 

– J’ai trop envie d’me faire prendre ! dit-elle

 

Elle porta sa main à sa bouche, lubrifia son sexe et s’empala presque d’un coup sur le chien. Je ne savais plus quoi dire ni faire… mais mon instinct lesbienne me fis aussitôt m’occuper de ses seins sublimes qui ballottaient dans l’air. Elle faisait des mouvement de va-et-vient sur son sexe, engloutissant entièrement celui-ci.

 

Au bout de cinq minutes, elle se retira, se mit à quatre pattes. Le chien se redressa, se mit debout et d’un coup, s’étala sur Lola, les pattes en avant, et la prit sans ménagement. Lola hurlais de plaisir :

 

– Oh ouiiiii c’est trop bon… waf je suis une chienne… oh ouiiiii il me baise à fond. Vas-y mon chien, baise la bien ta salope !

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J’étais surexcitée de la voir ainsi offerte. Je crevais d’envie d’essayer moi aussi.

 

– A moi, à moi ! lui dis-je.

 

Elle me regarda en souriant, je cru qu’elle ne voulait pas et préférait jouir de suite. Mais il n’en fut pas ainsi, elle repoussa le chien, et je me mis aussitôt à quatre pattes. Mon sexe dégoulinait de mouille, j’étais trop excitée, le chien n’eut aucun mal à venir sur moi à mon tour et à me pénétrer d’un coup. Je hurlai mon plaisir. Son sexe était dur et chaud, il n’arrêtait pas de me combler !’

 

C’est alors qu’à ma grande stupeur, je vis la porte s’ouvrir, et un type entrer… je voulu me retirer, mais le chien ne décollait pas… J’étais envahie par la honte me demandant comment me sortir de cette situation trop gênante

 

– Tout va bien ! Ne vous inquiétez pas pour moi ! Dit l’homme.

– C’est mon papa ! Me précisa Lola

 

Ah bon ?

 

– Eh bien, je vois qu’on s’amuse bien quand je suis pas là. Reprit le père. Tu me présentes ta copine ?

– C’est Jade, une amie de Paris.

– Bonjour Monsieur, répondis-je bêtement.

 

Tout en continuant à être prise par le chien, je vis le père de Lola, sortir de sa braguette une bite bien bandée.

 

– Oh ! Tu bandes bien Papa ! S’exclama Lola

– Si tu veux me sucer, j’aimerais bien.

– Mais bien sûr Papa !

 

Sans perdre une seconde Lola s’approche de son père, et lui baisse son pantalon.

 

– Si je veux lui mettre un doigt dans le cul, c’est plus pratique ! M’explique-t-elle.

 

Et elle commença à le sucer. J’étais trop étonnée de voir ça : Lola, sucer son propre père. Jamais je n’aurais pu imaginer ça… Quand je vous disais qu’elle était encore plus salope que moi !

 

Je me retirai du sexe du chien, et je me mis à le sucer de nouveau. C’était long, dur et chaud et ça dégoulinait bien…

 

Au bout de dix minutes de fellations respectives, Lola et moi n’avions qu’une envie, se faire jouir dessus. Elle abandonna le sexe de son père avec la bouche mais continua à le masturber, tout en se rapprochant du chien. Elle entrepris la fellation du labrador avec moi. Au bout de quelques minutes, le chien jouit, une quantité incroyable de sperme se déversa dans nos bouches et sur nos visages. Nos petites frimousses de salopes étaient recouvertes de sperme, de long fils blancs se dessinaient sur nos visages. J’avalais le plus de sperme que je pouvais, Lola en faisais de même.

 

A peine après avoir fini de s’occuper du sperme de Globo, on s’occupa de son père. On était déjà toutes couvertes de sperme, que son père n’a pas tarder à jouir aussi et tout nous mettre en bouche, sur le visage et les seins. Je rempli ma bouche avec le plus de sperme possible, puis, je recracha tout sur le visage de Lola qu’on avait maintenant peine à reconnaître. La petite vicieuse en fit autant, alors je me retrouvais également couverte.

 

Ensuite, on se lécha le visage, avec les mains on s’étalait toute cette quantité de sperme, nos seins brillaient avec tout le sperme qu’il y avait dessus

 

– Je vais vous rincer ! Dis le père.

 

Je ne compris pas de suite, mais Lola me demanda de mettre à genoux à côté d’elle. Le père se mit alors à nous pisser dessus d’abondance.

 

– Mais ouvre la bouche, voyons, me dit Lola.

 

Je le fis volontiers ! C’était bon.

 

Le père quitta les lieux suivi du chien nous laissant seules dans un drôle d’état mais satisfaites.

 

Nous nous sommes longuement embrassés.

 

– Y’a longtemps que tu fais ça avec ton père ? Lui demandais-je.

– Non, c’est depuis que je suis revenue chez eux, on s’est retrouvée nues avec ma mère dans la salle de bain, on a un peu déconné, puis on s’est caressé et on a fini par se lécher la moule. Quand elle va rentrer je te la présenterai, elle adore qu’on la lèche.

– Et ton père ?

– Ma mère lui a raconté ce qu’on avait fait ensemble alors il m’a carrément demandé… J’ai dit oui !

– Eh ben !

– Bon, on va se rincer pour de vrai, mais il faudrait que je fasse caca, avant.

– Tu vas faire où ?

– Ben dans les chiottes, à moins que tu ais une idée salace derrière la tête.

– J’aimerais bien voir !

– Pas de problème, je fais des jolis merdes, tu sais ! Tu veux que je me mette où pour faire ça ?

– Je voudrais te montrer que je peux être aussi cochonne que toi !

– Ça ne répond pas à la question !

– Chie moi dessus ma chérie !

– Ce n’est pas un problème, allonge-toi, je vais te gâter !

 

J’appréhendais quand même un peu, certes j’avis pratiqué un peu de scato mais cela n’avait été que léchage de doigts ou de gode. Je n’avais jamais été jusqu’à ce que l’on s’apprêtait à faire, mais ce défi que je me lançais à moi-même, je voulais l’accomplir.

 

La merde me tomba sur le visage. Par reflexe, je la dégageais, mais me reprenait aussitôt. Je saisit entre me doigt un petit bout de matière, le portait à mes lèvres et le suçait légèrement avant de le mettre dans ma bouche.

 

Je me relevais et fit signe à Lola de venir m’embrasser. Elle n’hésita pas une seconde et nous nous échangeâmes un long baiser merdeux. De la bave merdeuse dégoulinait de nos lèvres.

 

– Alors qui c’est la plus cochonne ?

– Match nul, ma chérie ! Mais tu as oublié de me lécher le cul…

 

Et la journée n’était pas terminée

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:18

Le jardinier du mois d’août par Mathilda Stenberg


Flag culote

 

C’était un mercredi d’août. Il faisait chaud ce jour là. Assise à ma table de jardin devant un verre de coca qui me rafraîchissait mal j’observais, depuis un moment Antoine, le jardinier que m’avait envoyé la société de service. Il travaillait; il était torse nu et musclé, la sueur faisait briller sa belle peau noire Je n’avais pas fait l’amour depuis longtemps et des idées cochonnes me traversais l’esprit.

J’étaie en maillot de bain deux pièces et je le surprenais à regarder parfois dans ma direction. Je cherchais à le chauffer. Enlever mon soutien-gorge me paraissait trop direct. Il me fallait trouver autre chose…

L’idée me vint rapidement, et après avoir été chercher des capotes à l’intérieur (au cas où…) je me dirigeais vers un bosquet, le contournait, fit semblant d’hésiter, puis changeais de bosquet pour finalement revenir au premier. Mon manège finit par éveiller la curiosité du jardinier. Changeant une nouvelle fois de position, je fini par m’accroupir après avoir fait semblant de m’assurer qu’il ne me regardait pas. Je pris mon temps, puis écartait légèrement ma culotte par le côté, je dégageait ma chatte trempée et poussait pour pisser. Au bout de quelques instants un long filet d’or s’échappa de mon intimité pour arroser le sol. Un petit coup d’œil à droite : rien ni personne, à gauche, une tête venait de disparaître, mais pas assez rapidement. Je me relevais brusquement :

– Dites donc vous ?
– Moi madame ?
– Bien sûr vous, qui voulez-vous que ce soit d’autre ? Il me semble qu’on vous paie pour faire du jardinage, pas pour me mater en train de pisser !
– Je ne comprends pas…
– Bon, arrêtez de faire l’innocent, je vous ai vu !
– Non, non !
– Approchez-vous donc je vais vous expliquez mieux !

Il s’approcha, peu rassuré, sans doute craignait il (à juste raison) de recevoir une belle gifle ! Je n’avais pas pensé à cela, mais pourquoi pas ?… Si seulement il pouvait jouer le jeu ! Je suis moi-même très joueuse, la gifle pouvait avoir des effets que je ne souhaitais pas. Il pouvait partir, ou pire se rebeller, mais le fait qu’il se soit approché me paraissait bon signe ! La main partit, il encaissa.

– Pardon madame !
– Je te pardonne, ce sont des choses qui arrivent, surtout par cette chaleur.
– Je ne recommencerais plus !
– Ça t’a excité, on dirait !
– Que voulez-vous je suis un homme…

Brusquement je lui saisit la braguette et touchais à travers le tissu, son membre encore durci !

– Dis donc, c’est à toi tout ça !
– Madame, vous jouez avec le feu !
– Je sais ce que je fais ! Ecoute tu as envie, moi aussi, alors viens… occupe-toi de moi, mais si je te dis d’arrêter, tu arrêtes, d’accord !
– Oui, madame !

En quelques secondes il était là, il vint se serrer contre moi par derrière et commença à me peloter les seins à travers mon haut de maillot tout en m’embrassant dans le cou. Je pouvais sentir son sexe bandé frotter contre mes fesses : trop tard pour arrêter !

Il me fit faire demi-tour et décrocha rapidement mon soutien-gorge et se mit à caresser mes seins puis à les sucer, à les embrasser, à les lécher. Sa langue jouait avec mes tétons jusqu’à me faire gémir. Pendant ce temps une de ses mains descendit entre mes cuisses et glissa dans ma culotte toute mouillée depuis un moment, il commença à caresser ma chatte jouant avec mon clitoris. Puis il fit entrer un doigt dans ma chatte, puis un deuxième et les fit aller et venir. Je mouillais de plus en plus.

Il retira ses doigts et les porta à ma bouche pour que je goûte ma mouille ; je les léchai avec délectation puis il m’embrassa à pleine bouche pour en profiter lui aussi. Pendant que sa langue jouait avec la mienne il prit ma main et la reposa sur sa braguette; et je me mis à le caresser à travers le tissu. Puis il appuya sur mes épaules pour m’inciter à m’agenouiller. Sans plus attendre je lui enlevai son pantalon et son slip pour libérer une queue toute dure et dressée, d’une longueur et d’une grosseur impressionnante.

Inter0514 Je commençai par lécher son gland puis ma langue descendit le long de sa grosse bite. Je le branlais en lui malaxant les couilles. Puis je pris sa queue dans ma bouche (avec du mal car elle était vraiment grosse) et je commençais à le sucer. Il me maintenait la tête et donnait des coups de reins pour faire aller sa bite au fond de ma gorge, c’était bon une belle queue comme ça à sucer…

Il me fit me relever, fit descendre ma culotte détrempée de mouille et m’allongea sur la table de jardin.

Je lui tendis la capote et il me fit écarter les cuisses pour me pénétrer d’un seul coup. J’étais tellement excitée que j’eus un premier orgasme quand son engin entra dans ma chatte. il se mit à me ramoner, doucement au début puis de plus en plus vite, sa bite entrait de plus en plus profond il me remplissait complètement et j’aimais ça. Puis il se retira, me fit descendre de la table et me retourna pour que je m’appuie dessus. Brutalement il m’enconna de nouveau par derrière, sa queue allait et venait jusqu’au fond de mon vagin lubrifié par une mouille abondante. Ses couilles venaient battre contre mes fesses à chaque mouvement. Sans s’arrêter il prononça ses premières paroles :

– Je peux vous enculer ?
– Pardon ?
– Je peux vous enculer ! Répéta-t-il
– Non je ne veux pas, elle est trop grosse !
– Vous ne voulez pas qu’on essaie, si vous avez mal, je ne continuerais pas

Alors pris d’une impulsion subite je répondis :

– Oui, oui je la veux, fous la moi dans le cul

Il retira de ma chatte sa queue toute trempée, prit de ma mouille avec ses doigts et me l’appliqua sur mon petit trou. Il me fit me pencher un peu plus écarta mes fesses et pointa sa queue sur mon anus, à ce moment j’eus peur d’être allée trop loin : sa queue était énorme, il allait me déchirer…mais c’était trop tard. Il appuya progressivement pour faire rentrer sa bite dans mon anus. Je criais tellement j’eus mal, mais il ne s’arrêta pas et me pénétra entièrement. Une fois en place il commença à bouger. Une de ses mains était venue se poser sur mon clitoris et me caressait pendant qu’il me sodomisait. J’avais très mal mais sa caresse me faisait du bien et le plaisir reprit le dessus à tel point que je me mis à l’encourager :

– Vas-y tu peux y aller plus fort !
– Vous aimez ça madame ?
– Oui j’aimes ça allez défonce moi, oui comme ça c’est bon, oui encore, plus fort!

Il se mit à donner de grands coups de reins, si fort que sa queue ressortait parfois entièrement; mais ma rosette était tellement dilatée par son engin qu’il n’avait aucun mal à ma la remettre et à recommencer .Je n’aurais jamais cru que j’aimerais autant me faire enculer.

Au bout d’un moment je sentis l’orgasme venir et je jouis comme jamais en poussant un long cri !

Il retira la capote, dévoilant sa bite gluante de sperme. Je m’empressais de nettoyer tout cela de ma petit bouche vicieuse.

– Bon allez, viens dans la cuisine, je vais te verser à boire, tu peux te reposer un quart d’heure, mais après il faut retourner bosser, il faut que toutes les haies soient taillées ce soir !
– Bien madame ! Mais je voudrais aussi faire pipi !
– Et bien fais ici !
– Là ?
– Non pas là ! Là lui répondis-je en lui montrant mes seins !
– Madame est décidemment très cochonne !
– Gardez vos commentaires et pissez-moi donc dessus, gentil jardinier !
– Avec grand plaisir, Madame !

 

Mathida (mai 2006)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:12

La mutante par Mathilda Stenberg

StampCravate

 

Fille d’une longue série de mutation génétique, sur l’ancienne colonie abandonnée de Fozar-8, je suis invisible… quand je veux… Gourmande de sensations, j’utilise cette capacité pour prendre et surprendre. Je suis nymphomane et j’ai le cul en chaleur.

Je suis arrivée depuis peu sur cette planète avec une vieille soucoupe volante que je peux, elle aussi rendre invisible. Je suis arrivé dans la capitale, avec une furieuse envie d’assouvir mes désirs. Que choisirai-je aujourd’hui ? Tous ces gens qui me regardent… C’est vrai que je me fais trop remarquer avec ces porte- jarretelles visibles sous ma minijupe et qui ne doivent plus être à la mode sur ce monde… Je disparais…. Ah, enfin tranquille… Je mate…. un peu petit celui-là… je tâte… et je ris, celui-là était vraiment surpris d’avoir senti ma main ! Je ne sais même pas ce que je veux…Tiens, et celui-là qui a l’air casé et revenu de tout ? Si je lui faisais une petite surprise à ma façon ? Je lui emboite le pas, j’effleure ce renflement qui m’attire… pas mal pour un terrien… Il ne s’agirait pas d’être déçue, j’ai sur moi quelque chose qui a fort besoin d’être comblé. Où va-t-il ? Sans doute là-bas… un immeuble abritant des sièges sociaux de grandes sociétés… mon idée se précise. Son pas est fort, décidé.. si le reste suis ça risque de ne pas être triste… j’en suis humide de désir.

Il appelle l’ascenseur qui mène directement à son bureau. Impeccable, pas difficile à mettre en panne ce modèle-là. Et puis non, pas de panne franche… je ralentis juste la vitesse du mécanisme. Il serait temps de l’éveiller un peu… Je lui offre la vision fugitive d’un bas qui glisse… il cligne des yeux, pas sûr de sa vue… je dévoile juste un sein sortant de mon bustier noir… il ferme les yeux… puis les rouvre pour ne rien voir de plus. Mais son imagination travaille.

On est arrivé. Son bureau est un classique des bureaux actuels de directeurs : grand, sobre, il y a même un canapé, une table de réunion… Zut, un intrus, son supérieur on dirait. Tant pis, il ne me voit pas lui non plus, je me déshabille peu à peu gardant juste mes dessous, je relève un petit peu une jambe de son pantalon et je commence à l’effleurer de bas en haut du bout de mon sein. Il tressaille, puis se reprend. Je déboutonne son pantalon et commence à masser de ma bouche son membre qui s’affermit sous le tissu et commence à demander sa libération.

Heureusement pour lui, son boss n’a rien remarqué et sort après lui avoir donné des instructions dont je me fiche royalement. Il ferme les yeux, pousse un soupir de soulagement. Je lui chuchote (toujours invisible) de baisser les stores des vitres de son bureau. Il s’exécute en somnambule pas plus étonné que ça, il doit croire qu’il rêve. Il y a un store voilé, celui qui donne sur les autres bureaux, on ne voit pas grand-chose de toute façon.

Intrigué tout de même par ce qui vient de se passer il fait les cent pas, hésitant entre faire inspecter son bureau ou se laisser guider par ses instincts. Il finit par s’assoir sur la table de réunion, pensif. Je glisse ma jambe sous sa main. Elle joue avec les attaches du bas, il les défait machinalement presque… Les bas ont glissé par terre. Je fais glisser son pantalon, puis le slip, admire une fraction de seconde l’objet dressé devant moi, mourant de désir de l’enfourcher de suite.

Mais j’en veux plus. Je darde une langue coquine sur sa cheville, remontant lentement le mollet, la cuisse, l’autre, effleurant de ma joue son membre, comme par hasard, redescendant à l’intérieur de ses cuisses. Il me cherche des mains, je me laisse effleurer, m’échappe, le repousse sur cette table dure et froide. Je lui enlève ses derniers vêtements, et attache ses mains avec mes bas et monte sur la table au-dessus de lui. Mes deux seins encadrant son membre, je lèche le périmètre de son gland, le caresse du bout de mes dents. Ma respiration s’est accélérée, je suis tendue, ma forêt s’est fendue d’une rivière de désir. Elle est attirée comme un aimant vers son membre, le désir brouille mon invisibilité et il me voit par instants. Je résiste un peu, lui offre un peu de mon élixir en chevauchant juste le bout… Tout son corps se tend pour pénétrer le mien… pas encore…

Je redescends le sucer, il est de plus en plus dur, il se débat dans ses liens, j’ai senti une goutte amère… serait-il prêt ? Je suis brulante, tremblante, prête à l’accueillir en moi… Je l’abandonne tremblante de désir pour desserrer ses liens pour qu’il puisse se libérer aux moments les plus forts. Il ne sait plus où je suis lorsqu’il me sent à nouveau sur lui. Je le chevauche tout doucement… le plaisir me fait geindre… cela force un petit peu, je l’avais sous-estimé, je me retire de suite pour ne pas m’habituer, je le lèche à nouveau le long de son membre… je n’en peux plus. je me précipite, le chevauche violemment.

Je le veux au plus profond de moi, plus fort, je lâche un cri malgré moi. Je m’arrête et l’immobilise pour ressentir les pulsations de son membre en moi…. Il a déchiré mes bas. Enfin libre de ses mouvements, il prend le dessus et me lie les mains dans le dos avec sa cravate. Prisonnière il me fait languir, m’effleure les seins de son membre chaud et humide, darde à l’entrée de mon sexe, il me fait frémir du bout des doigts, y rentre un doigt, deux, trois… puis change d’orifice et vient explorer mon anus.

Il prend doucement le temps de me bander les yeux, de m’attacher les deux jambes bien écartées au bord de la table. Je ne sais pas ce qui m’attend. je suis là, offerte… Il ignore que je peux me détacher comme je veux, quand je veux.

Mutante 

Il est descendu de la table et me nargue en frôlant mes jambes avec son membre chaud… il m’abandonne dix secondes qui me paraissent une éternité… Soudain il me sodomise de toute la longueur de son membre avec une force qui m’arrache un râle, il prend un rythme de plus en plus fort, cherchant son plaisir à coup de butoir. Je perds tout repère pour ne plus ressentir que ce va-et-vient qui me fouille, m’écartèle, me remplit, s’accélère au rythme de mes cris. Je sens qu’il est près de jouir et lorsque que le sperme jaillit en moi, j’abandonne toute maitrise, je jouis, arque mon corps à la rencontre du sien et resserre mon intime étreinte par spasmes, comme pour sucer encore les autres jets qui arrivent par à-coup et brulent mes sens.

Je me libère, récupère mes vêtements et redeviens invisible, j’urine un long jet dru qui vient former une flaque incongrue sur la moquette.

Il se rhabille et appelle la femme de ménage. Elle comprend qu’il s’agit de pisse mais ne comprend pas.

– Ce doit être un chat ! Dit-elle
– Ou une chatte !

Je profite de la porte ouverte et redescend pas l’ascenseur.

FIN

 

Variation sur un texte paru en 1999 sur le site de Sophiexxx et signé O2X, l’esprit et le concept ont été conservé, les fautes ont été corrigées.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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