Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 21:50

Blonde et soumise

par Sylvain Zerberg

scat

Attention : scato explicite inside

 

e voudrais raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a quelques temps. Ayant toujours été fasciné par tout ce qui touche aux rapports de domination, j’ai posté sans trop y croire une petite annonce sur un site spécialisé demandant si une jeune femme serait intéressée par une expérience dans ce domaine avec un parfait inconnu. Recevant rapidement une réponse, nous échangeâmes nos numéros de portable (pour davantage de discrétion). Elle refusa de préciser ce qui l’intéressait au téléphone m’expliquant qu’elle en avait assez de perdre son temps avec des mecs qui fantasmaient et qui ne donnaient jamais suite. Je peux comprendre. Elle exigea simplement que l’on échange des tests récents. Et un rendez-vous fût pris à la terrasse d’un bistrot bruxellois.

Elle arriva pile à l’heure, j’étais déjà installé devant une bonne bière. Pour nous reconnaitre, il avait été convenu que je serais habillé d’une chemise vert clair, et le journal « Le Soir » serait déposé sur la table. Elle m’avait simplement dit qu’elle était blonde et porterait un petit sac rouge. Quand je la vis arriver, déjà mon excitation commença. Une belle femme, pas un canon, mais une belle femme, la quarantaine arrogante, le genre fausse blonde revendiquée puisque les sourcils sont restés bruns. Lunettes à grosses montures, joli sourire, nez mutin; tailleur bon marché et une bouche maquillée en rouge cerise et si sensuelle que je l’imaginais déjà en train de me sucer la bite. Elle s’installa à mes côtés et nous nous saluèrent.

– Bonjour ! me dit-elle. Vous existez réellement, c’est déjà ça !
– Bonjour ! Lui répondis-je, commençons par les formalités, j’ai apporté mon test…

Elle a aussi apporté le sien, tout va bien de ce côté-là !

– Donc on va préciser ce qu’on ne s’est pas dit au téléphone afin de ne pas faire d’impair : vous aimez être dominée de quelle façon ?
– Des souffrances physiques, dans la limite du raisonnable, pas de sang, et je ne veux pas qu’on m’attache…
– Ça ira ! Et les humiliations !
– J’allais y venir ! Vous pouvez me traiter de tous les noms, me faire faire des choses dégoutantes…
– Des choses un peu crades ?
– Ça ne me dérange pas !
– Toutes ?
– Crachat, pipi : tant que vous voulez, la scato on va dire qu’il faut faire ça modérément, enfin c’est surtout une question d’ambiance… de feeling… Parfois je peux me lâcher à fond…
– Bon, nous allons tester immédiatement votre aptitude à l’obéissance
– Allons-y ! Mais d’abord, puisque nous allons passer quelques moments ensembles, nous pourrions peut-être nous tutoyer ?
– D’accord ! Répondis-je, je m’appelle André et toi ?
– Moi c’est Sonia !

Je la trouve un peu effrontée pour une personne qui va se faire dominer, mais je ne dis rien, quelque part, elle me plait bien.

Le garçon lui apporta le Coca qu’elle avait commandé.

– Tu vas te rendre aux toilettes, y enlever ta culotte et ton soutien-gorge, tu les mettras dans ton sac et me les montreras quand tu remonteras.
– Fastoche !

Elle se leva et descendit vers les toilettes pour en revenir à peine 5 minutes plus tard. Elle ouvrit son sac discrètement et me montra le contenu : une petite culotte rose pâle et un soutien-gorge assorti.

– Quel effet cela te fait-il d’avoir la chatte à l’air ?
– C’est bizarre, on me l’avait jamais fait, celle-là !
– Tu est connu dans ce bistrot ?
– Jamais foutue les pieds !
– Alors d’accord, si t’aimes les humiliations, je vais te gâter ! Tiens, voilà un billet, c’est toi qui le donneras au serveur.

J’appelle le serveur qui revient avec l’addition !

– C’est la salope qui paye ! Lui dis-je tandis que Sonia tend son billet.

A la limite, le garçon est plus gêné qu’elle.

– Elle fait des pipes pas chères ! C’est une bonne pute, vous savez ? Ça vous intéresse ?

Il ne répond pas et disparaît ! Sonia est morte de rire. Ce n’était pas le résultat escompté. Pas grave.

– Je possède un petit studio pas loin d’ici, nous allons nous y rendre.
– Et je vais marcher comme cela ? La chatte à l’air ?
– Mais bien sûr ma chérie, comme ça tu sentiras le vent te rafraîchir la moule !

Nous arrivâmes chez moi très rapidement car il était situé à peine deux rues plus loin. Nous sommes entrés dans mon studio composé d’une assez grande pièce, d’une petite salle de bain et d’une kitchenette. Je lui déclarai tout de go :

– Tu es ici pour me montrer ton obéissance, tu as déjà réussi la première épreuve en venant ici sans culotte. Maintenant tu vas faire tout ce que je te dis et pour commencer tu vas te mettre à poil et à genoux.

Elle obéit. Je la trouvais déjà ravissante. Mais à poil elle n’est vraiment pas mal, de beaux seins laiteux exactement comme je les aime, elle se place face à moi dans une attitude de soumission parfaite. Je la contournais et lui saisit les seins par l’arrière et les pétris des deux mains. Elle ne disait mot.

J’au alors l’idée d’ouvrir son sac pour en extraire la culotte qu’elle avait retirée à ma demande au restaurant. La culotte est toute polluée, des traces d’urine devant, des traces brunes derrière.

– Dis donc trainée ! Ça t’arrive te t’essuyer ?
– Parfois, je suis un peu distraite !

Je lui pince fortement les seins pour la punir de cette impertinence.

– Et c’est quoi cette tache marron ?
– Mon caca, je suppose !
– Tu supposes donc tu n’es pas sûre, lèche pour être sûre !

Elle le fait avec une facilité déconcertante !

– T’es vraiment une morue ! Maintenant c’est le moment de la première fessée ! Lui précisais-je, redresse-toi et mets-toi contre la table, les mains bien à plat sur la table, bien loin.

Les jambes bien écartées. Je lui remontai la jupe et découvris une paire de fesses magnifiques. Je les caressais légèrement puis lui appliquai une première tape assez légère. Une seconde suivit, plus forte qui lui fit pousser un petit cri et je continuais de plus en plus fort. Une dizaine de tapes suffisaient pour une première fois. Quelques larmes couvraient son visage lorsqu’elle se retourna, je les essuyais et en profitais pour l’embrasser. J’ai ensuite caressé ses fesses pour faire disparaitre la douleur, mes mains passaient et repassaient pour arriver sur sa petite fente. Elle était toute mouillée. Je me suis déshabillé à la hâte et lui ai ordonné de me sucer la bite.

– Hum, tu suces trop bien !a

C’est alors qu’elle me dit :

– Si tu veux que je jouisse très fort, il faut que tu m’humilie, c’est ce qu’on avait convenu.

Bon, là tout de suite, je ne suis plus très motivé pour ce genre de chose, je me suis bien excité en la fessant, maintenant j’ai plutôt envie d’être romantique, alors j’hésite…

– Bon st tu ne veux plus jouer, c’est dommage, mais l’amour vanille ce n’est pas mon truc ! Minaude-t-elle

Je me dis alors que la motivation va venir toute seule, il me suffit de me forcer un peu. Et je lui fous une paire de claques, pas trop fort, je ne suis pas une brute.

– Tiens chiennasse !
– Oui, insulte-moi !
– Ouvre la bouche, grosse salope, morue, vipère lubrique, pute à dix balles.

Je lui crache dessus, elle en est béate de ravissement, elle doit être un peu zinzin.

Il me vient une idée farfelue que j’ai déjà vu sur Internet : je prends un gros feutre rouge et lui inscrit le mot « salope » sur le front, puis comme ça m’amuse je rajoute « pétasse » au-dessus des seins et « garage à bites » au-dessus du pubis avec une petite flèche.

Sonia– Allez suce moi encore ! Suce moi comme une pute !
– Humpf !
– Bon, ça va, je ne vaux pas jouir maintenant. Viens dans la salle de bain, je vais te pisser dans la bouche !
– Oh , oui ! Oh, oui !

Elle est à genoux devant moi, j’essaie de pisser mais vous croyez que c’est facile, vous, de pisser quand on bande, j’aimerais bien vous y voir ! Elle est là à genoux, la bouche ouverte, tellement belle et désirable. Je ferme les yeux, j’essaie d’épeler Shakespeare, à l’endroit et à l’envers, ça marche, ma bite est désormais demi-molle, je libère les sphincters du pipi et j’arrose la belle Sonia qui nous avale ça comme si c’était du champagne Ruinart, et comme elle ne peut pas tout avaler, ça dégouline sur ses seins, l’urine lui sculpte le corps de ma pluie dorée. Jolie spectacle !

– Tu peux me chier dessus si tu veux !

Ben voyons ! Je voudrais bien lui faire plaisir mais je ne sais pas si j’ai envie, enfin on peut toujours essayer ! Et puis je ne sais pas comment me mettre !

– Tourne-toi, je vais t’aider ! Me propose-t-elle.

Comment ça, « elle va m’aider » ? Je me retourne, et la voilà qui me lèche le fion, ça tombe bien d’adore cette caresse, cette langue dans mon cul, hum c’est bon !

Et voila qu’elle m’enfonce un doigt, à moins qu’il y en ait deux, quand on aime on ne compte pas ! Et elle y va, elle me pilonne en d’énergiques va-et-vient, c’est bon !

– T’aimes ça un doigt dans le cul ! Hein mon salaud !
– T’inverse pas un peu les rôles, là ?
– Non, je suis toujours ta soumise, mais j’ai aussi le droit de jouer. T’aimes ça qu’on te travaille le cul ?
– Mais tu vas te taire !
– Je suis sûre que tu te fous des godes dans le cul !
– Qu’est ce que ça peut te foutre !
– Et quand tu sors la gode du cul, s’il est plein de merde, tu lèches ?

Bon elle est partie dans ses délires, on ne va pas la contrarier d’autant que tout ça m’excite un maximum.

– T’en a un ici ?
– Un gode ? Oui mais je ne sais pas où je l’ai mis ! Mentis-je
– A mon avis il est dans le tiroir de ton chevet, c’est toujours là que les mecs les rangent ! Je peux regarder ?

Elle est infernale !

Evidemment elle découvre le gode et ne trouve rien de mieux à me proposer que de me le mettre dans le cul. Bof, soyons beau joueur, de toute façon j’adore ça.

Je me mets en levrette, je dandine du cul, je fais ma femelle, Sonia viens à nouveau me lécher le cul. Et je vous assure qu’elle ne fait pas semblant, sa langue est une véritable éponge.

– J’adore le goût de ton cul ! Me déclare-t-elle.

Puisqu’elle le dit.

Elle s’arrête un petit peu, me demande si j’ai du gel, et prépare le gode, avec capote et lubrifiant… Et hop ça entre, elle fait bouger le machin, actionne le vibrateur, je sens des ondes de plaisir me parcourir le corps.

– T’aimes ça, un gode dans le cul, hein ? Tu t’es déjà fait enculer par un mec ?
– Si on te demande, tu diras que tu n’en sais rien !

Elle me demande de « pousser » en même temps, j’ai compris ce qu’elle veut et fais comme elle a dit. Et puis tout d’un coup, elle ressort le gode.

Il n’est pas net, net, mais ce n’est pas non plus une catastrophe, et elle se met à le lécher comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat avec l’air de se régaler bien comme il faut.

– Maintenant je me laisse faire, chie moi dessus !

Quelle poésie !

Sonia s’est allongée sur le sol, je ne sais pas trop comment me positionner, mais elle me fait signe de venir au niveau de son visage.

Bon quand faut il aller, faut y aller, je pousse, et je sens que ça sort, puis plus rien !

– Nettoie mon cul salope !

Elle n’y va pas, elle se précipite, je savais que ça lui ferait plaisir

Je sens sa petite langue qui me trifouille l’anus, c’est rigolo, c’est rafraichissant. Puis elle s’arrête, je me retourne, je regarde ce qu’elle fabrique. Elle joue avec ce que je viens d’expulser, elle en a plein les mains et elle s’étale tout ça un peu partout, les seins, le cou, et même le visage et tout cela avec un sourire quasi extatique !

C’est dégoutant ou c’est fascinant, je n’arrive pas à me décider ! Ma bite le fait pour moi puisque je bande comme un sapeur.

Cela ne pouvait pas durer plus longtemps, nous n’en pouvions plus ni l’un ni l’autre et nous avons fait l’amour. Sauvagement !

Je lui ai proposé d’aller au restau, elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas, On s’est quitté avec un gros bisou, gros mais sans passion. On devait se revoir, on ne s’est jamais revu, c’est la vie…

Sylvain

Rewriting d’un teste anonyme paru en 1999 sur le site canadien de Sophiexxx sous le titre « elle était blonde ».

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 18:01

Les collants existent, d'ailleurs j'en ai vu ! par Estonius

Coup de gueule (du latin coupdegueulus)

Collants2

 

Le père Tiroir qui a su si bien décrypter le récit érotique disait à propos du collant : 

Collant : accessoire tellement vilipendé dans les récits érotiques qu'on se demande qui ose encore acheter ce genre de machin ?

Alors je me suis dit : ils vont s'arrêter, se rendre compte que dans la vrai vie (comme on dit) le collant existe !" Alors j'ai continué à lire des récits érotiques et un jour je suis tombé sur cet extrait :

 

- Je vois que sur le contrat , vous exigez que les vendeuses ne portent jamais de pantalon et que leur robes ou jupes ne dépassent jamais le genou. D'autre part les collants sont interdits, vous n'en vendez pas d'ailleurs.

- Les collants sont une hérésie, encore plus dans un établissement qui vend de la lingerie

- C'est bien mon avis !

(in "la guerre des classes aura-t-elle lieu ? Partie 9" par un auteur signant "Catherine", publié sur le site de Revebebe, (et retiré depuis)

 

Evidemment c 'est son droit le plus absolu à Monsieur Catherine de proclamer cela ! Mais c'est aussi le mien de d'hurler ! "Y'en a marre"

 

J'ai le droit de dire que j'appartiens à une génération qui lorsqu'elle fantasmait sur une fille qui se déshabillait , c'est son collant qu'elle en enlevait et pas autre choses ! J'ai aussi le droit de dire que le fantasme du collant existe et qu'il y a de nombreux sites aux Etats-Unis qui lui sont consacrés ! Ben oui !  Ça fait drôle de voir s'écrouler parfois quelques idées reçues

 

Allez on se calme !  Et sans rancune, le monde de l'érotisme est assez grand pour accueillir les amateurs de porte-jarretelles, ceux des auto fixant et ceux des collants. Laissons donc les exclusives et les invectives aux représentants de religions

 

En prime, voici un petit texte anonyme que j'ai corrigé, extrait des archives de Sophiexxxx où justement la vedette est un collant

 

Collants

 

CollantsDepuis que ma mère a divorcé, ce n'est plus la même femme, elle est devenue guillerette, enjouée, s'habille et se maquille mieux, mais sans être provocante. Bref elle est devenue une femme mature désirable. Elle ne s'est pas remise avec quelqu'un mais elle m'a confié avoir un copain qui vient la voir de temps en temps. Je ne la rencontre pas souvent, uniquement quand mon boulot m'amène en Bretagne, autrement dit deux ou trois fois par ans.

Ce jour-là, j'étais arrivé vers 16 heures, après avoir bien papoté, elle m'a dit qu'elle aimerais bien regarder son feuilleton à la télé. 

 

Flute et zut et crotte de bique, me voilà obligé de regarder une niaiserie sans nom pendant près d'une heure, mais que voulez-vous, il faut parfois faire des concessions dans la vie.

 

Ouf, c'est fini, ma mère à l'air ravie

 

- Qu'est qu'il est beau, Gilles Kermayeur ! Me dit-elle en me parlant d'un des acteurs du feuilleton.

- Ah, tu trouves ?

- Oui, je me l'enverrais bien !

- Carrément !

- Ben oui, y'a pas de mal à se faire du bien, quand je pense que je suis restée coincée pendant plus de 25 ans !

- Mais tu as un copain !

- Certes, mais je ne vais pas le voir aujourd'hui ! C'est dommage il me fait mouiller Kermayeur.

 

Le terrain devenait glissant.

 

- Bon, on parle d'autre chose ?

- Pourquoi, je te choque ?

- Non pas du tout !

- Mais si je vois bien que tu es choqué

- Non, je te dis !

- Alors on s'embrasse.

 

O.K. on s'embrasse, mais c'est qu'elle me serre fort dans ses bras, je ne vais quand même pas lui faire l'affront de me dégager. 

 

- Laisse toi faire !

 

Ses lèvres sont sur les miennes. 

 

- Non ! Pas comme ça ! Protestais-je !

- Pourquoi on fait quelque chose de mal ?

- Ça ne se fait pas !

 

Mes lèvres se sont ouvertes, sa langue est entrée dans ma bouche, on s'est embrassée, je me suis laissé faire et on s'est roulé une véritable galoche.

 

- Touche mes cuisses ! Je suis encore plus mouillée.

- Mais tu es ma mère !

- Justement, c'est encore plus excitant.

- Euh… 

- Je ne suis pas une belle femme ?

- Oh ! si !

- Alors, touches, les tabous c'est fait pour être brisé.

 

J'ai mis la main sur ses cuisses, elle est en collants, complètement excité par la situation je la caresse à travers le tissu soyeux, ma main ose remonter jusqu'à l'endroit de sa chatte, après tout elle l'a voulu. Effectivement c'est mouillé ! Et moi je bande comme un âne. 

 

Ma mère me touche la braguette et en extrait mon sexe bien dur. Elle se penche pour… elle ne va pas faire ça ? Si, elle le fait, elle a ma bite dans sa bouche.

 

Elle me suce joliment un moment puis elle s'arrête, me propose que nous nous mettions à l'aise, je suis vite nu ne gardant que mes chaussettes, elle retire son haut et son soutien-gorge dégageant une poitrine superbe qui m'attire comme le miel pour une mouche, je lui tète ses tétons durcis d'excitation, je suis dans un autre monde.

 

Elle se recule, elle est belle comme ça à moitié nu, n'ayant gardé que son collant. Elle va fouiller dans un tiroir, en sort un préservatif et me le tend. Je ne vais quand même pas baiser ma propres mère ? Mais n'empêche que j'enfile la capote. Ma mère retire son collant en fait une boule et s'affale sur le canapé, jambes écartées 

 

Je me suis avancé, bite en avant et j'ai baisé ma mère, elle a hurlé très vite sa jouissance et j'ai continué à la limer jusqu'à ce que j'éjacule.

 

- Qu'est-ce que tu m'a fait faire ? Commentais-je

- Tu regrettes ?

- Non, pas du tout !

- Alors embrassons-nous.

 

On s'est ensuite calmé et nous avons papoté, puis j'ai profité du bon petit repas qu'elle nous avait préparé. Elle m'a proposé que nous dormions dans son lit. Pouvais-je refuser ? Nous avons refait l'amour en nous couchant.

 

Le lendemain matin alors que je préparais mes affaires pour repartir, j'aperçu son collant qu'elle avait laissé en boule sur un coin du canapé.

 

- Tu le veux ? Ça te fera un souvenir.

 

Je le portais à mes narines et me mis à rebander !

 

Fin

Estonius

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:32

Samba par Christelle_Baxter

zoo

Je m’appelle Christelle et j’ai 50 ans, bien conservée dit-on et je suis une salope; divorcée assez vite, je ne me suis jamais remise en couple, mais j’ai multiplié les aventures avec des hommes ou avec des femmes. J’aime sucer des bites bien juteuses, des chattes ruisselantes et des culs bien ouverts, j’aime le sexe extrême, j’aime les partouzes, j’adore qu’on me domine, qu’on me pisse dessus et parfois je me laisse aller à la scato.

 

Je vais maintenant vous parler de Cynthia, c’est ma fille. Elle est très belle et bien faite, j’ai longtemps eu envie de la sauter, mais je n’ai jamais franchis ce pas, ne voulant pas risquer une dénonciation qui me ferait condamner pour pédophilie ! Comme si coucher avec une nana de 17 ans était de la pédophilie, mais passons ! Aujourd’hui elle a 19 ans et le problème ne se pose plus de la même façon.

 

Elle revient d’Angleterre où elle a passé près d’une année à perfectionner son usage de la langue de Shakespeare.

 

Mon histoire commence au mois de juillet de cette année, lorsque nous étions en vacances, dans un camp de nudistes, et j’avais décidé de filmer ma fille à son insu, afin d’avoir des séquences où elle apparaissait dans son plus naturel. Je la suivis donc, lorsqu’elle décida de faire une promenade le long de la côte pour permettre à notre chien Samba, un joli labrador beige, de se défouler quelque peu. Un petit chemin suivait la côte rocheuse et elle le suivait, tenant Samba en laisse. Je pris un chemin plus ou moins parallèle au sien et pu ainsi chaque fois la devancer pour trouver un endroit discret, d’où je pouvais zoomer sur elle. Au bout de vingt minutes de promenade, elle s’arrêta en dessous d’un promontoire rocheux, entouré d’arbustes feuillus. Elle s’accroupit pour pisser et je pu la prendre en train de se soulager. Imaginez mon émoi ! Imaginez l’état de ma chatte ! Ensuite Cynthia se coucha pour prendre un peu de repos et finit par s’assoupir, laissant les rayons du soleil caresser la peau bronzée de ses jolis seins. Couché sur flanc, Samba avait pris place devant elle et observait sa maîtresse d’un œil et les mouettes de l’autre.

 

Quelle ne fut ma surprise de voir la main droite de Cynthia descendre vers son entrejambe. Rêve érotique ou était-elle réveillée, les yeux fermés, je ne pouvais savoir ? Me trouvant plus haut qu’elle, je mis le zoom de ma caméra au maximum et pus ainsi voir les doigts caresser sa vulve. C’était la première fois que je voyais ma fille se masturber et cela m’excitait fortement. De l’autre main elle s’écartait les lèvres pour permettre à deux doigts de dégager son clitoris et le caresser à un rythme rapide, croissant. Elle écarta les jambes et replia celles-ci, ce qui lui permit de soulever le bassin à chaque vague de chaleur dégagée par sa vulve en feu. Samba s’était relevé et observait la scène, le museau ramené entre les jambes de Christine. Je trouvais le tableau un peu comique : un chien voyeur !

 

Tout à coup le chien s’approcha et commença à lécher le con de ma fille. Je mouilias déjà si bien que je me branlais d’une main pendant que je filmais de l’autre. Mon excitation s’accrut lorsque je vis le chien enjamber ma fille qui s’était retournée en levrette, son dard pointant hors de son logement. Une bite longue d’au moins 20 cm, rouge foncé avec le bout enflé. Christine le prit dans sa main et le guida vers ses lèvres déjà dégoulinantes de cyprine. Le chien s’introduit ainsi en elle et commença à la baiser en cadence. Ce tube de viande animale était en train de violer ma fille consentante ! Elle se mordait la main pour étouffer les cris de jouissance. Au bout de quelques minutes il se retira et lécha le sperme qui coulait entre les lèvres gonflées. Elle le caressa et flatta son échine. Puis elle l’amena au-dessus de son visage et le masturba, sa queue toujours raide. Au comble de mon étonnement, elle le prit en bouche et le suça longuement, lui faisant une pipe fabuleuse. Samba se mit à balancer du cul comme seuls savent le faire les chiens, baisant dans la bouche de ma fille et y déversa une nouvelle giclée de sperme qu’elle a dû avaler car je ne la vis pas cracher la sauce.

 

Ce spectacle m’avait énormément excité et mon entre jambe était devenu très humide. Je commençais à me tripoter, et c’est à ce moment que j’ai trébuché, ma caméra a dévalé la pente et s’est retrouvée à quelques mètres de ma fille.

 

Elle se retourne, je n’ai pas le temps de me cacher.

 

Ça va être la crise et il faut que je tente de la désamorcer de suite, je dévale la pente pour rejoindre Cynthia qui ne sachant manifestement pas de quelle façon s’en sortir, choisit l’agressivité.

 

– C’est quoi, tu m’espionnes maintenant ? J’ai bien le droit de délirer, ça ne fait de mal à personne !

– Mais je ne te reproche rien du tout ! Moi aussi j’ai déjà joué avec le chien !

 

Cette affirmation était un beau mensonge, j’avais envisagé la chose mais sans jamais passer à l’acte.

 

– Ah, bon, t’as fait ça ?

– Ben oui, je ne voulais pas mourir idiote.

– Et pourquoi tu me filmais ?

– Parce que t’es belle !

– Tu ne vas pas me dire que je t’excite ?

– Un petit peu quand même !

 

Cynthia dirigea son regard vers mon sexe.

 

– Si tu veux te branler, ne te gêne pas pour moi !

– A moins que je demande au chien de venir me lécher !

– Laisse-le, il roupille ! Mais si vraiment tu veux une langue, je peux te proposer la mienne.

– Mais enfin, ça ne se fait pas !

– Mais si, ça se fait !

 

Je n’ai pas protesté davantage, je me suis allongée, les cuisses ouvertes et j’ai laissé ma fille me lécher la chatte.

 

Depuis le temps que je rêvais de cette scène, mon excitation était à son comble, je n’ai pas tenu longtemps, ma fille suce trop bien !

 

Je n’ai pu m’empêcher d’hurler mon plaisir, ce qui a réveillé le chien qui s’est approché de nous en frétillant de la queue

 

– Viens Samba, et toi Maman mets-toi en levrette, il va t’enculer.

– Euh, je préférerai le sucer un peu avant.

 

Pas de problème on s’est mise à sucer la bite du chien, et c’est avec la bouche remplie du foutre canin que nous nous sommes roulé un patin magistral.

zoo190613

 

Ensuite, je me suis mise en levrette, et j’ai attendu l’assaut.

 

Salope, moi ? Pourquoi ? A qui aurais-je fais du mal ?

 

fin

Samba par Kriss Baxter

 

Je m’appelle Christelle et j’ai 50 ans, bien conservée, dit-on et je suis assez cochonne. Divorcée assez vite, je ne me suis jamais remise en couple, mais j’ai multiplié les aventures avec des hommes ou avec des femmes. J’aime sucer des bites bien juteuses, des chattes ruisselantes et des culs bien ouverts et odorants, j’aime le sexe extrême, j’aime les partouzes, j’adore qu’on me domine, qu’on me traite en esclave, qu’on me pisse dessus et parfois je me laisse aller à quelques fantaisies scatos.

 

Mais aujourd’hui je vais vous parler de Cynthia, c’est ma fille. Elle est très belle et bien faite, j’ai longtemps eu envie de la sauter, mais je n’ai jamais franchis ce pas, ne voulant pas risquer une dénonciation qui me ferait condamner pour pédophilie ! Comme si coucher avec une nana de 17 ans était de la pédophilie, mais passons ! Aujourd’hui elle a 19 ans et le problème ne se pose plus de la même façon.

 

Elle revient d’Angleterre où elle a passé près d’une année à perfectionner son usage de la langue de Shakespeare.

 

Cette histoire commence au mois de juillet de cette année, lorsque nous étions en vacances, dans un camp de naturistes, et j’avais décidé de filmer ma fille à son insu, afin d’avoir des séquences où elle apparaissait dans son plus naturel. Je la suivis donc, lorsqu’elle décida de faire une promenade le long de la côte pour permettre à notre chien Samba, un joli labrador beige, de se défouler quelque peu. Un petit chemin suivait la côte rocheuse et elle le suivait, tenant Samba en laisse. Je pris un chemin plus ou moins parallèle au sien et pu ainsi chaque fois la devancer pour trouver un endroit discret, d’où je pouvais zoomer sur elle. Au bout de vingt minutes de promenade, elle s’arrêta en dessous d’un promontoire rocheux, entouré d’arbustes feuillus.

 

Elle s’accroupit pour pisser et je pu la prendre en train de se soulager. Imaginez mon émoi ! Imaginez l’état de ma chatte ! Mais ce n’était pas terminé, sa miction terminé, ma fille conserva la position et se mit à chier un magnifique boudin brun. Elle chercha ensuite mais en vain de quoi s’essuyer.

 

Cynthia se coucha ensuite afin de prendre un peu de repos et finit par s’assoupir, laissant les rayons du soleil caresser la peau bronzée de ses jolis seins. Couché sur flanc, Samba avait pris place devant elle et observait sa maîtresse d’un œil et les mouettes de l’autre.

 

Quelle ne fut ma surprise de voir la main droite de Cynthia descendre vers son entrejambe. Rêve érotique ou était-elle réveillée, les yeux fermés, je ne pouvais savoir ? Me trouvant plus haut qu’elle, je mis le zoom de ma caméra au maximum et pus ainsi voir les doigts caresser sa vulve. C’était la première fois que je voyais ma fille se masturber et cela m’excitait fortement. De l’autre main elle s’écartait les lèvres pour permettre à deux doigts de dégager son clitoris et le caresser à un rythme rapide, croissant. Elle écarta les jambes et replia celles-ci, ce qui lui permit de soulever le bassin à chaque vague de chaleur dégagée par sa vulve en feu. Samba s’était relevé et observait la scène, le museau ramené entre les jambes de Cynthia. Je trouvais le tableau un peu comique : un chien voyeur !

 

Tout à coup le chien s’approcha et commença à lécher le con de ma fille. Je mouillais déjà si bien que je me branlais d’une main pendant que je filmais de l’autre. Mon excitation s’accrut lorsque je vis le chien enjamber ma fille qui s’était retournée en levrette, son dard pointant hors de son logement. Une bite longue d’au moins 20 cm, rouge foncé avec le bout enflé. Cynthia le prit dans sa main et le guida vers ses lèvres déjà dégoulinantes de cyprine. Le chien s’introduit ainsi en elle et commença à la baiser en cadence. Ce tube de viande animale était en train de violer ma fille consentante ! Elle se mordait la main pour étouffer les cris de jouissance. Au bout de quelques minutes il se retira et lécha le sperme qui coulait entre les lèvres gonflées. Elle le caressa et flatta son échine. Puis elle l’amena au-dessus de son visage et le masturba, sa queue toujours raide. Au comble de mon étonnement, elle le prit en bouche et le suça longuement, lui faisant une pipe fabuleuse. Samba se mit à balancer du cul comme seuls savent le faire les chiens, baisant dans la bouche de ma fille et y déversa une nouvelle giclée de sperme qu’elle a dû avaler car je ne la vis pas cracher la sauce.

 

Ce spectacle m’avait énormément excité et mon entrejambe était devenu très humide. Je commençais à me tripoter, et c’est à ce moment-là que j’ai trébuché, ma caméra a dévalé la pente et s’est retrouvée à quelques mètres de ma fille.

 

Elle se retourne, je n’ai pas le temps de me cacher.

 

Ça va être la crise et il faut que je tente de la désamorcer de suite, je dévale la pente pour rejoindre Cynthia qui ne sachant manifestement pas de quelle façon s’en sortir, choisit l’agressivité.

 

– C’est quoi, tu m’espionnes maintenant ? J’ai bien le droit de délirer, ça ne fait de mal à personne !

– Mais je ne te reproche rien du tout ! Moi aussi j’ai déjà joué avec le chien !

 

Cette affirmation était un beau mensonge, j’avais envisagé la chose mais sans jamais passer à l’acte.

 

– Ah, bon, t’as fait ça ?

– Ben oui, je ne voulais pas mourir idiote.

– Et pourquoi tu me filmais ?

– Parce que t’es belle !

– Tu ne vas pas me dire que je t’excite ?

– Si, un petit peu quand même !

 

Cynthia dirigea son regard vers mon sexe.

 

– Si tu veux te branler, ne te gêne pas pour moi !

– A moins que je demande au chien de venir me lécher ! Répondis-je.

– Laisse-le, il roupille ! Mais si vraiment tu veux une langue, je peux te proposer la mienne.

– Mais enfin, ça ne se fait pas !

– Mais si, ça se fait !

 

Je n’ai pas protesté davantage, je me suis allongée, les cuisses ouvertes et j’ai laissé ma fille me lécher la chatte.

 

Depuis le temps que je rêvais de cette scène, mon excitation était à son comble, je n’ai pas tenu longtemps, ma fille suce trop bien !

 

Je n’ai pu m’empêcher d’hurler mon plaisir, ce qui a réveillé le chien qui s’est approché de nous en frétillant de la queue

 

– Viens Samba, et toi Maman mets-toi en levrette, il va t’enculer.

– Euh, je préférerai le sucer un peu avant.

 

Pas de problème on s’est mise à sucer la bite du chien, et c’est avec la bouche remplie du foutre canin que nous nous sommes roulé un patin magistral.

 

Ensuite, je me suis mise en levrette, et j’ai attendu l’assaut.

 

– Alors ça ta plus !

– Super !

– Dis-moi, cette jolie merde, à côté, c’est toi qui l’a pondu !

– Ben oui, j’avais une grosse envie et je n’ai rien trouvé pour m’essuyer.

– Tu veux que je te le fasse ?

– Maman, t’es une salope !

– Alors on est fait pour s’entendre ! Tourne-toi que je te nettoie ton joli petit cul.

 

Ce fut délicieux !

 

Un petit vent se lève, on décide de rentrer… Et ce n’est que le début des vacances….

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:29

Rupture par Christelle Baxter

Stamp MD

Deux Femelles en rut.

Orgasmes en contre-ut.

Moment tranquille,

Regards graciles,

Volutes de cigarettes,

Mains sur la minette.

Lucie m’a demandé,

L’air de ne pas y toucher,

Si j’avais eu beaucoup

D’amourettes goudous.

On ne devrait pas tant parler,

Après avoir autant baisé…

– Une dizaine de partenaires,

– Mais la première ce fut ma mère.

– Ma pauvre, tu connus l’inceste,

– Pratique maudite et funeste,

– Tu dois ressentir une blessure,

– Que dis-je une salissure !

– Mais que nenni, personne ne m’obligea,

– Et je n’étais plus une enfant, déjà !

– Malheureuse, tu es si marquée,

– Que tu ne sais te l’avouer,

– Cours chez un psy qui t’écoutera,

– Et qui de cette horreur te délivrera !

– Pourquoi devrais-je trouver abject,

– Cet acte qu’on nomme inceste ?

– Parce que c’est tabou,

– Et que ce n’est pas bien du tout !

– Tu me feras la morale un autre moment,

– Rhabille toi et fous-moi le camp

Marre des semeuses de certitudes.

Cette conne a gâché ma plénitude.

Où est mon portable maintenant,

Que je prenne rendez-vous avec Maman ?

02

CB

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:26

Petits pipis dans les bois par Christelle_Baxter

 

Gs2

Bonjour à toutes et à tous. Pour ce récit je serais Isabelle, grande fausse blonde de 30 ans. L’action commence dans l’appartement conjugal un dimanche matin de printemps :

– Et si on profitait du beau temps pour allez en pique nique ? Me propose Romuald, mon époux.

– J’avais prévu autre chose…

– Ton « autre chose » tu le feras ce soir… on va pas rester enfermés d’un temps pareil… répondit-il sur ton péremptoire.

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Autant faire de la bouffe ne me dérange pas, autant préparer un pique nique me gonfle, d’autant qu’il ne va pas m’aider, enfin presque pas. Je tente une dernière carte.

 

– Ça ne me dit rien !

– Bon, ben dans ce cas je vais faire un tour, je reviendrais ce soir pour le dîner…

 

Il en est capable, il m’a déjà fait le coup une fois, le problème c’est que quand il est revenu, il était à moitié bourrée, non merci, je cède ! (je suis de plus en plus persuadée que je ne vais pas passer le reste de mes jours avec ce lascar, mais bon…)

 

Alors on a pique-niqué à 50 mètres de la route, il m’a raconté des choses que je connaissais par cœur, et je l’ai à moitié écouté, par contre il a très bien descendu la bouteille de muscadet. Ça me fous la trouille parce que si il reprend le volant avec tout ça dans le sang… mais heureusement Romuald finit par sombrer dans le sommeil et offrir son ronflement aux petits oiseaux de la forêt qui n’avaient jamais quémandés un tel accompagnement.

 

Alors que voulez-vous que je fis ? D’abord ranger un peu le bordel, puis mettre tout ce qui est fauchable dans la bagnole, puis aller faire un tour, et en profiter pour pisser un coup.

 

Je prend un petit chemin, je cherche un endroit, mais il me semble entendre des bruits, j’avance donc, il y a un homme devant moi à 100 mètres, il ne m’a pas vu, et ne risque pas de me gêner, mais allez savoir pourquoi, je continue d’avancer.

 

Plus je me rapproche de l’endroit où le chemin prend un virage, plus il me semble entendre un drôle de bruit, comme une petite source. J’avance encore et me trouve pratiquement à 5 mètres de l’homme qui est tranquilou en train de pisser. Il ne m’a pas vu, je me cache comme je peux, mais ce n’est pas facile d’être discrète dans ces sous bois, j’ai du écraser une branche, il me voit, gêné il exécute un petit tour de 180° sur lui-même !

 

– Euh, bonjour. Je suis désolée de vous avoir dérangée ! Dis-je bêtement.

– Euh, vous voulez passer ?

– En fait, je n’en sais rien, je cherchais un endroit pour me soulager moi aussi !

– Je n’en ai pas pour longtemps ! Croit bon de préciser l’homme, puis changeant de ton… Vous venez souvent par ici ?

– Non, c’est mon mari… (je lui explique)

– Faites attention, il y a parfois des mecs bizarres dans ce secteur, des voyeurs, des exhibitionnistes, moi je suis un peu exhibitionniste mais je ne ferai pas de mal à une mouche. Ne vous inquiétez pas..

– Vous avez de l’humour, vous alors ?

 

Tout en parlant il s’est arrangé pour pivoter à nouveau mais dans le sens opposé, et comme de mon côté j’ai un peu bougé également, je peux maintenant le voir en train de pisser. Je suis extrêmement troublée, mes yeux ne peuvent quitter ce beau membre bien lisse au gland violet, je suis sûre qu’en érection ce doit être une merveille, je suis paralysée, il faut que je me sorte de là, mais comment faire, me voici hypnotisée par un inconnu train de pisser dans un sous bois !

 

– On dirait que ça vous plait ?

– C’est pas mal, il faut bien l’avouer !

 

Les dernières gouttes de pipi sont tombés, pas la dernière qui perle coquinement au bout de son méat ! Envie folle de la lui lécher, souvenir furtif de mon ancien amant… bien avant Romuald…. retour à la réalité…

 

– Je vais vous proposer un truc, j’espère que vous n’allez pas me prendre pour une folle !

– Mais non…

– Je peux la caresser juste un instant, et après je disparais, je ne voudrais pas que vous preniez ce geste pour autre chose, ce n’est absolument une permission de me sauter que je vous donne.

– Touchez donc, mais moi aussi je voudrais vous demander quelque chose !

– Ce sera non !

– Laissez moi d’abord demander ! Vous m’aviez dit que vous aviez envie de faire pipi, je voulais simplement regarder !

– Alors, ça d’accord ! Mais bon je peux toucher d’abord ?

– Allez-y !

 

Je caresse la hampe, du coup il se met à bander, si je ne retire pas ma main tout de suite un enchaînement infernal va se produire, d’autant qu’il me naît une envie folle de la sucer, j’esquisse quelques mouvements de masturbation, puis je trouve la volonté de m’arracher…

 

– C’est dommage que vous ne continuiez pas !

– Tsss, tss, ne soyez pas trop gourmant, allez, je vais pisser, je vais me mettre là, dans l’allée.

– Pourquoi pas sur ce petit tronc d’arbre, là, je verrais mieux !

– M’ouais, j’espère que c’est stable !

– Je vois que les jeux de pipi ne vous choquent pas, ça fait partie de vos jeux ? demande ce monsieur bien curieux.

– J’ai eu un copain assez branché là-dessus, il m’a beaucoup appris !

– Et si vous me pissiez dessus !

– Non, c’est trop intime !

– S’il vous plait, je vais calquer mon attitude sur la votre, vous me pissez dessus, et après je vous laisse, je disparais, promis juré… Vous vous mettez sur le tronc et moi je vais mettre mon visage au-dessous, juste quelques gouttes…

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Alors on y va, je monte sur le truc, je baisse le bas, je me concentre, ça vient, l’autre s’arrange pour placer sa bouche en pleine trajectoire et se met à tout laper comme un chat. Putain ça m’excite tout ça, j’espère qu’il va tenir parole et qu’il va disparaître sinon je ne me retiens plus !

 

Ça y est j’ai fini, l’inconnu se relève, ce gros cochon en a plein sa chemise, bof avec le temps qu’il fait ça va sécher rapidement.

 

Il va pour s’éloigner !

 

– Merci pour tout et bonne journée !

 

Isabelle, retiens-toi ! Je n’en peux plus, je mouille comme une machine à laver… Penser à autre chose, Vite. Impossible ! Tant pis !

 

– Stop !

 

Il ne le fait pas dire deux fois. Je le rejoins, en courant, je lui met la main sur le sexe et colle ma bouche contre la sienne, on s’embrasse longuement, sa bite grossit dans ma main, j’aime ce contact chaud. Le mec n’en peut plus et commence à me trifouiller les seins… C’est le moment de reprendre l’initiative. Slups, je me baisse au niveau de sa braguette, sort l’engin déjà bien raide, le branlote deux ou trois fois et sans autre forme de procès l’engloutit dans ma petite bouche gourmande. Hum, ça sent encore un peu son pipi de tout à l’heure, j’adore, je lèche, je suce, je me régale et finit par lui faire une vraie pipe. Ça me démange partout, non pas partout d’ailleurs, mais mon entre cuisse est en feu !

 

– Tu as des préservatifs ?

– Oui !

 

J’ai demandé ça à tout hasard, sa réponse me surprend un peu.

 

– Tu rencontres souvent des nanas dans les bois, toi ?

– Non jamais, mais ça m’est arrivé de croiser des couples, c’est rares mais ça arrive… je veux dire des couples il y en a, mais ce qui est rare c’est qu’ils t’invitent à participer

– Je comprends. Alors enfile-le, je veux bien que tu me baises, c’est ton jour de chance

– Tu l’as dis !

 

On se déshabille à la barbare ! J’ai du mal à le calmer quand je lui dévoile mes seins, il n’arrête pas de les peloter, de les caresser, de les lécher, il va me les user…. on dirait que c’est la première paire qu’il a sa disposition depuis des années… On se sert de ses vêtements et un peu des miens comme d’une couverture et je m’étale dessus, mais décidément je ne suis pas à l’aise, alors le monsieur à la délicatesse de prendre la place, il se couche et moi je le chevauche comme une diablesse. J’espère qu’il ne va pas jouir trop vite parce que j’aimerais bien être perverse jusqu’au bout…

 

– Et mon petit trou, ça te dirait ?

– Bien sûr !

 

Je me relève, m’arc-boute sur un tronc d’arbre, et le voilà qui commence à me doigter le troufignon, excitée comme je suis il s’est imprégné de mouille, et le doigt n’a aucun mal à gigoter, puis il approche sa langue, il me fout de la salive partout, j’aime bien, il a carrément le visage collé contre mon anus.

 

– Tu devrais te reculer, j’ai envie de péter, le préviens-je !

 

Il ne me croit pas cet andouille et reçoit un pet en plein dans les narines ! Du coup il se recule, se demande une minute s’il doit prendre ça à la rigolade ou pas, finalement il rigole !

 

– Cochonne !

– Encule-moi donc !

 

Il le fit, et finit par jouir, je lui demandais d’avoir l’extrême obligeance de me sucer afin que je jouisse à mon tour, il le fit aussi, avec un peu de mal, pas très habitué le mec mais plein de bonne volonté, puis nous échangeâmes (oh, lala le passé simple !) nos numéros de portables…

 

Romuald m’interpelle :

 

– Ben alors Isabelle, je te cherche partout ?

– J’ai été pisser et je me suis un peu perdue ?

– Bon on va rentrer, je vais pisser aussi !

– Tu as raison, c’est très agréable de pisser dans les bois après un pique nique !

– Pardon ?

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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