Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:18

Agnès au Glory Hole par Boris Vasslan

 

Fetish2

Attention, ce texte contient un passage scato explicite, âmes sensibles, vous voilà prévenus.

 

Le « Glory Hole » ? Connaissez-vous cette pratique assez particulière ? Non ? Patientez ! Vous le saurez bientôt !

 

Je cherchais un endroit où la chose se pratiquait et qui ne soit pas trop glauque ! On trouve tout sur Internet, mais là j’ai vraiment eu du mal à avoir cette adresse. Comme nombre de soirées spéciales, c’est gratuit pour les femmes, assez cher pour les couples et exorbitant pour les hommes seuls. Mais tant pis, on ne vit qu’une fois. Et je voulais absolument concrétiser ce curieux fantasme. J’ai bien tenté de convaincre une copine de m’y accompagner, mais l’idée lui déplaisait, et je n’insistais pas. Quelques relations pas trop anciennes traînaient dans mon carnet d’adresses, j’essayais, mais décidément personne n’était chaud. Je résolus donc d’y aller seul et de payer le prix fort, on ne vit qu’une fois ! (bis repetita)

 

Il s’agissait d’une ancienne auberge rurale au fin fond de l’Essonne, la construction d’une voie rapide un peu plus à l’ouest en avait fait baisser le taux de fréquentation dans des proportions alarmantes, provoquant la faillite de l’établissement. Le lieu avait été racheté pour une bouchée de pain par un riche inconnu qui y organisait des soirées fort spéciales.

 

A l’entrée un panneau illustré rappelle la philosophie du lieu. :

 

« Dans cet établissement la bisexualité y est la bienvenue. Ne venez pas vous plaindre si on vous fait des propositions en ce sens ! Certaines pratiques ne s’exercent ici que dans des lieux dédiés, vous n’êtes pas obligé de vous y rendre si elles vous rebutent ! Amusez-vous bien, mais pourquoi mourir idiot ?  »

 

On rentre directement dans ce qui devait être le bar de l’ancien établissement. Il y a deux couples au bar, l’une des deux femmes est en robe du soir, un truc assez incroyable avec un décolleté dorsal en lacets qui lui descend en dessous de la naissance des fesses. C’est la femme qui sert au bar qui fait fonction d’hôtesse, une géante avec des cheveux partout, un peu sur le retour, mais qui a dû être magnifique. Par contre, elle est aussi aimable qu’une feuille d’impôt. Je paie, elle me donne en échange, une clé de vestiaire, une feuille A4 censée renseigner des usages du lieu ainsi qu’un certain nombre de tickets de couleurs différentes. Je lui demande des précisions, et elle ne me répondra que d’un laconique :

 

– Faut lire la feuille !

 

Je lis donc la feuille, où tout n’est d’ailleurs pas expliqué, il est conseillé de laisser ses « valeurs » et une partie de ses vêtements au vestiaire », ce que je fais donc, ne conservant que mon boxer. Il y a plusieurs salles au rez-de-chaussée et au premier, des salles thématiques. L’une porte l’étonnante appellation de « salle des conjoints punis ». Le sous-sol est entièrement consacré aux cabines de Glory-Hole. Je bois donc plutôt rapidement mon verre de cocktail « offert par la maison » (pas bon !) Et entreprend de descendre découvrir enfin ce dont pourquoi je suis venu ! (Ah ! Mais !)

 

A ce stade du récit, il est sans doute temps d’expliquer ce qu’est un Glory Hole ! A l’origine c’était une pratique de chiotte. Un trou d’une dizaine de centimètres de diamètre dans la cloison mitoyenne de deux cabines de toilettes. Imaginez tout ce qu’on peut faire avec ça ? L’utilisation habituelle étant d’y introduire son zizi que l’occupant d’à côté, suçait s’il en avait convenance !

 

OK ? On reprend le récit ! Il me faut un certain temps pour comprendre le mode d’emploi de ce sous-sol et de ses cabines. En fait un panneau explicatif est apposé au mur, mais je ne l’avais pas remarqué. J’ai le temps d’apercevoir l’intérieur d’une cabine avant que son dernier occupant ne la referme. Elles paraissent assez spacieuses et peuvent contenir jusqu’à quatre personnes, sans qu’elles ne se gênent. Si les quatre places ne sont pas prises, il est d’usage de déverrouiller le loquet. Il y en a ailleurs qui font 6 places. Mais ce soir tout semble complet.

 

Je traîne un peu. Et voilà que devant moi déboule un couple. Mais laissez-moi vous le décrire : Si l’homme n’a rien de particulier sinon d’être d’une taille inférieure à la moyenne, la femme qui l’accompagne me subjugue complètement. D’abord elle ne l’accompagne pas vraiment, il la tient en laisse, une petite laisse relié à un collier d’esclave ! Elle est entièrement nue hormis ses chaussures à haut talons ! Superbe, brune aux longs cheveux, la peau légèrement matte, un beau visage ovale, avec des grands yeux noirs, un nez un petit peu long, et une bouche bien ourlée qui se dessine en un charmant sourire. Les seins en forme de poires sont superbes et terminés par des pointes que l’humidité du lieu fait ressortir (à moins que ce soit l’excitation de la situation). Sa chatte est rasée. Un puriste jugerait sans doute qu’elle a un tout petit peu de ventre. Personne n’est parfait. Elle a une petite panthère tatouée à gauche du nombril et porte une ravissante chaîne de taille. Elle n’a vraiment pas l’air malheureuse et paraît s’amuser comme une folle de la condition qui est la sienne ce soir !

 

Je ne peux évidemment m’empêcher de regarder ! Et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. Quand on est exhibitionniste à ce point on ne craint pas les regards des voyeurs !

 

– Elle est pas mal, hein ? m’apostrophe le type.

– Magnifique !

– Elle t’intéresse ?

 

Si je m’attendais à ça ! Quand même, il est gonflé le type, il pourrait lui demander son avis, au moins, à la fille ?

 

– Pourquoi pas ? Répondis-je un peu par réflexe.

– Elle t’excite ?

– Oui !

– Fais voir !

 

J’ai peur de ne pas avoir bien compris.

 

– Pardon ?

– Fais nous voir ta queue !

 

Un instant, je crains de me faire dépasser par des comportements imprévisibles. Mais après tout j’ai payé assez cher pour venir jusqu’ici. S’il faut jouer, faisons au moins preuve de bonne volonté à défaut d’en comprendre toutes le règles. Je fais donc le geste de commencer à baisser mon boxer, mais je demande :

 

– Et qu’est-ce que je gagne ?

– Elle !

 

Et la voilà qui m’adresse un large sourire, mais un de ces sourires, à faire fondre un iceberg ! Manifestement le jeu l’amuse.

 

– Intéressant !

– Bon alors cette queue ?

 

J’allais lui demander s’il est permis de faire ça dans le couloir, sans entrer une cabine, mais ils ont l’air de connaître les habitudes de la maison. Je sors ma bite déjà à moitié bandée, mais sans baisser mon boxer ! Si le type s’attend à découvrir une bite de compétition, il va être déçu, mon engin étant fort moyen !

 

– Branle-toi un petit peu !

 

Euh ! C’est tout ce qu’il va me demander ? J’obtempère malgré tout, la récompense promise valant bien ces quelques mouvements masturbatoires. A ce moment-là quelqu’un sort d’une cabine. Je fais signe à mes interlocuteurs qu’on pourrait peut-être y aller.

 

– Non il en reste trois ! Six dans cette cabine-là ça fait trop serré ! Et puis ça me plait bien de faire ça ici !

 

Le gars qui est sorti de la cabine, intéressé par le spectacle se plante à un mètre de nous.

 

– L’affaire est déjà conclue, enfin presque, mais rien ne t’empêche de te branler aussi ! Lui dit mon interlocuteur.

 

Le mec semble hésiter, mais finalement disparaît, ayant semble-t-il eu déjà son compte en cabine, le pauvre, il voulait juste regarder.

 

– Si tu baissais un peu tout ça ! Me propose l’inconnu en me désignant mon boxer, ce serait bien plus pratique ! Et puis on verrait tes couilles !

 

Ben voyons ! O.K ! Je fais descendre le boxer, et je continue ma branlette avec le machin sur les chevilles.

 

– J’aime bien sa bite, elle est mignonne !

 

Tiens la dame n’est pas muette, j’apprécie le compliment.

 

– Tourne-toi un petit peu qu’on voie comment tu es fait derrière !

 

Voilà autre chose ! Mais si ça leur fait plaisir ! Je me tourne.

 

– Wha ! Le joli petit cul ! Un vrai petit cul de nana ! Regarde ça Agnès !

 

Ah bon ! Elle s’appelle Agnès, la sculpture ! Et elle approuve, Agnès. Elle trouve mon cul superbe. Ce n’est pas la première fois qu’on me sort ce genre de choses, je vais finir par croire que c’est vrai ! Et voilà que le type me tripote les fesses ! Quel sans gêne, il aurait pu me demander. Ce serait une petite caresse encore, mais non, il tripote, il malaxe, il pétrit, il fait une tentative incertaine vers mon trou du cul, mais je fais un petit mouvement tournant pour le décourager.

 

– T’as vraiment un cul à faire bander les bites !

 

Entre temps un homme qui recherchait une cabine s’est planté devant nous, suivi bientôt d’un second, puis d’un troisième. Deux d’entre-eux se branlent. Ça commence à faire beaucoup de monde

 

– On va se mettre dans le coin là-bas, ce sera plus peinard

 

On se dirige donc vers le « coin là-bas », je remonte plus ou moins mon pantalon. Les types renoncent à nous suivre.

 

– C’est embêtant, la tendance ici c’est de laisser mater, mais je ne sais pas où sont les types de la sécurité, je ne veux pas non plus que ça se transforme en viol collectif !

 

L’art l’air de rien de me lancer des messages : le premier étant « Je suis un habitué tu peux me faire confiance » et l’autre « je ne suis pas un sauvage ! »

 

– Je peux lui, toucher moi, son petit cul ? Demande Agnès à son compagnon.

– Non, t’as pas été sage ! N’oublie pas que tu es punie, sale pute.

 

Et le gars lui balance une gifle et lui crache à la gueule, mais tout cela n’a vraiment pas l’air de traumatiser la dame.

 

Finalement le type se ravise !

 

– O.K. T’as le droit de le tripoter, avec tes mains de fées, on va le faire craquer !

 

Tu m’étonnes que je vais craquer ! Je me tourne, la donzelle s’occupe de mon cul ! Les mains douces qu’elle a ! Il est inutile que je continue à me masturber pour entretenir mon érection, elle s’entretient toute seule. Elle me pelote les fesses quelques instants puis décidant que les préliminaires ont assez duré, m’écarte carrément mes globes fessiers pour venir positionner un doigt à l’entrée de mon anus.

 

– Oh ! C’est tout serré dis donc ! Comment-ça se fait ?

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Je ne réponds pas, alors elle devient plus directe :

 

– Tu ne vas pas me dire qu’un joli petit cul comme ça ne s’est jamais fait enculer ?

– Pas très souvent, en fait !

– Ah ! Je comprends ! Et c’est pour ça que tu es venu ici ? Pour retrouver ces bonnes sensations ?

– Euh !

– Euh ! Quoi ?

 

Elle est revenue face à moi, j’ai ses seins sous le nez, elle me porte la main à la bite, et approche ses lèvres des miennes pour y coller un petit baiser. Un tout petit, mais je ne sais plus où me foutre !

 

– Je serais à toi tout à l’heure, mais seulement si Etienne t’encule !

 

Comme quoi on arrive toujours à savoir le prénom des gens ! Je suis en pleine confusion, balancé entre l’envie de profiter de cette femme à la sensualité enivrante et la réticence devant un acte que je ne suis vraiment pas venu chercher.

 

– Alors ?

– Je ne sais pas !

– On ne dit pas je ne sais pas, on dit : « Oui j’aimerais beaucoup que le monsieur m’encule ! » ou alors « Non-merci, je suis coincé de la braguette ! »

 

Un peu facile le procédé ! Je choisis de continuer à me taire. Agnès se caresse les seins, se lèche les bouts et se les tortille bizarrement entre l’index et le majeur, bizarre d’habitude c’est entre le pouce et l’index que ça se passe ces choses-là. Etienne, lui a baissé à son tour son caleçon et exhibe un fort bel engin. Je me surprends à le trouver beau. Une belle bite bien droite, la peau légèrement mate laissant voir le cheminement d’une grosse veine bleue, un gland propre et brillant. Je vais tomber dans le piège, je le sens. Mais après tout je n’avais qu’à pas venir dans cet établissement. Il a aussi de belles couilles bien remplies. Je sais qu’il va me demander de le toucher, de le branler, de le sucer sans doute. Je sais déjà que j’accepterais de le faire !

 

– Elle est belle ! Hein ?

– Superbe !

 

Hein ? C’est moi qui ai dit ça ? Il faut que j’arrête de jouer les faux-culs ! Il faut que j’assume ce que je suis venu chercher ici !

– Suce-la ! M’ordonne Agnès !

– Avec grand plaisir ! M’entendis-je répondre !

 

D’une part mes scrupules étaient en train de tomber, mais aussi je me disais qu’une belle fellation m’éviterait sans doute cette sodomie promise qui ne me disait trop rien ! Si j’arrivais à le faire jouir, rien qu’en le suçant ? Voilà c’était ça la solution !

 

Je pris la pine dans ma main et la masturbait quelques instants, sa peau en était infiniment douce, puis j’avançais mes lèvres et commençais par lui embrasser la verge, je continuais par des petits coups de langue, puis n’en pouvant plus et saisi d’un élan irrésistible j’engobais le gland dans ma bouche et le léchait à peine langue, je fis ensuite avancer la verge à l’intérieur de mon palais attrapant avec mes lèvres la peau située en-dessous du prépuce pour lui imprimer des mouvements d’aller et retour. Pendant ce temps Agnès s’était à moitié couchée par terre sous moi et s’occupait de lubrifier mon anus avec sa langue. Cette caresse trouble, cette  » feuille de rose  » comme on disait autrefois me procurait un plaisir inédit et trouble. Cette langue experte ne se contentait pas de rester à l’entrée de mon œillet mais celui-ci s’ouvrant à sa caresse buccale, elle pénétrait de quelques millimètres à l’intérieur, intensifiant ainsi mon plaisir. Si l’autre zouave se servait de sa bite comme Agnès se servait de sa langue, ça devrait… Mais ça y était, me voilà en train d’envisager froidement de passer à la casserole. Etienne, soudain se libéra de ma fellation, et sans rien demander à personne se capuchonna la biroute d’un préservatif. Je décidais de l’étonner, je me mis à quatre pattes comme une chienne, je cambrais le cul et lançais le cœur battant :

 

– Vas-y encule-moi !

 

Si le type paraît agréablement surpris de mon initiative, que dire de la dame qui manifestement rayonne de bonheur. Bizarre les fantasmes tout de même ! Etienne s’acharne à me faire pénétrer son engin. Ça a vraiment du mal à vouloir rentrer. Je fais pourtant ce que je peux, j’écarte mes fesses au maximum, je pousse sur les muscles du rectum. De plus Etienne n’est pas d’une douceur exemplaire. Ce n’est pas une brute, ce n’est pas ce que je veux dire, mais ça m’a l’air d’être un grand nerveux, et il manque un peu de patience.

 

– Pousse encore un peu, ça va être bon !

 

Je fais ce qu’il me dit, pas évident ! Et ça y est ! Je sens que ça rentre ! Comme le dit le proverbe, c’est le premier pas qui compte ! Le reste sera plus facile ! Je le sens pénétrer petit à petit. C’est curieux cette impression. Et la miss qui se croit obligée de faire des commentaires :

 

– Tu te rends compte, Etienne, c’est dingue ! Tu es en train de le dépuceler du cul ! Il paraît que les puceaux ça porte bonheur ! Tu devrais nous acheter un « millionnaire ».

 

Elle éclate de rire ! Bonjour l’humour à deux balles ! Il a dû maintenant rentrer l’objet jusqu’à la garde. Ça comment dire… Ça m’encombre ! Voilà le terme « ça m’encombre ! » Je le sens l se dégager un petit peu, drôle de sensation, puis il se ré-enfonce de nouveau. Vraiment pas désagréable, et il recommence le mouvement. C’est fou l’effet que ça procure, tous mes nerfs rectaux sont réveillés. J’ai l’impression de ne plus n’être qu’un trou du cul. Des ondes de plaisir viennent jusque dans ma bite sans toutefois la faire bander correctement. Je la prends à pleine main et me branle pendant que l’autre me pistonne l’anus !

 

– C’est bon, hein ! De se faire enculer ?

 

C’est bien sûr le commentaire de Miss grain de sel.

 

– C’est super !

 

04dkUn nouvel attroupement s’est formé autour de nous ! J’en ai rien à foutre, c’est trop bon, si ça les amuse, tant mieux pour eux ! Deux fois de suite des types veulent s’approcher pour participer, mais Agnès leur demande fermement de ne pas insister. Ça fait combien de temps qu’il m’encule l’Etienne ? Je n’en peux plus, j’ai le sang à la tête, mon anus devient trop sensible, je suis ballotté entre cette sensation de plaisir indéfinissable et une sorte de fatigue latente. Mais voilà que mon sodomisateur (je sais, ce n’est pas français) se retire pour de bon. J’ai un peu mal et surtout mon anus n’arrive pas à reprendre sa taille d’origine. J’aurais dû feuilleter un bouquin spécialisé avant de venir ! Il retire sa capote très vite :

 

– Venez sucer !

 

On se met, Agnès et moi à genoux devant lui. Agnès engloutit sa queue, il ne me reste pas beaucoup de place pour faire quoique ce soit, alors je lui lèche les couilles. Mais la fellation sera ultra rapide. Etienne jouit dans la bouche d’Agnès qui se relève les lèvres et la langue gluantes pour embrasser son compagnon. J’espère que je ne vais pas avoir droit à ce genre de choses. Je me recule un peu.

 

– Tu n’en veux pas un peu, vraiment ? Juste un peu ?

 

Elle a l’air sincèrement désolée !

 

– Non, merci, j’ai déjà donné pas mal ce soir !

– Tu ne sais pas que tu perds ! Insiste Agnès.

– Allez ouste, il n’y a plus rien à voir ! lance Etienne en direction des quelques voyeurs attardés, puis il me tend la laisse qui pend au collier d’Agnès :

– Tiens ! Tu l’as gagnée pour la soirée ! Moi je vais passer à d’autres réjouissances !

 

Certes le cadeau est appréciable, mais pour l’instant je ne sais pas trop quoi faire, j’aimerais bien me reposer un peu, j’ai quand même très mal au cul, mais Etienne intervient à nouveau.

 

– Remarque ! Tu ne vas pas te la farcir toute la soirée ! Au bout d’un moment elle va te gêner plus qu’autre chose. Non ce que je te propose c’est la coller dans la « salle des conjoints punis », et tu viendras la chercher quand tu voudras !

– C’est quoi ce truc-là ?

– Viens ! On y va ! Je vais te montrer !

 

Je remontais accompagné d’Etienne vers la salle d’accueil qui sert un peu de dispatching… Je tenais donc Agnès en laisse, et cette situation n’avait pas l’air de la déranger le moins du monde. Au contraire elle s’exhibait crânement dans une nudité souriante. Puis nous nous dirigeons vers un escalier qui mène au premier étage et débouchant sur un couloir assez large. Toutes les portes ne sont pas accessibles mais certaines sont affublées de panneaux aux noms plus ou moins évocateurs :

 

– La salle des conjoints punis

– le cabinet des caresses obscures

– la salle marron

– la salle jaune

 

On m’expliqua que cette dernière était consacrée aux amateurs de douches dorées… Quant à la marron, j’avais compris… mais c’est dans la première que nous nous rendions. Un type à l’entrée nous demande l’un de nos tickets (le ticket rouge)

 

– Vous venez attacher madame ?

– Oui !

– Je vous laisse faire, il reste trois attaches de libre ou alors la petite cage ! Tenez, je vous remets trois tickets rouges

 

Etienne m’explique, un ticket rouge correspond à une entrée dans la salle, celui qui apporte une prisonnière ou un prisonnier gagne 5 entrées. A chaque entrée, on peut s’occuper des punis suivant les instructions indiquées par la personne qui l’a emmené.

 

Je jette un coup d’œil dans la salle, une femme assez jeune est attachée à une croix de Saint-André. Elle est complètement nue. Une ardoise est posée à ses pieds, ce sont les fameuses instructions.

 

« 2 coups de martinets sur les seins, pas trop fort, crachats comme vous voulez  »

 

Etienne se saisit d’un martinet et lui balance deux fouettées provoquant des rauquements ambigus de la suppliciée, il me tend l’engin, mais je n’ai guère l’instinct sadique, je balance deux coups bien mollement. Je trouve quand même ce lieu assez sordide…

 

On change de salle et on entre dans la jaune. Une femme est couchée par terre sur le côté. Elle est nue, les bras immobilisés par des boucles en cuir placées de part et d’autre d’une ceinture noire, les chevilles sont maintenues par une petite barre d’écartement. Je remarque qu’à cet endroit le sol est carrelé et légèrement en dénivellation par rapport au reste. En fait l’endroit ressemble à une pataugeoire, il n’y a pas d’eau, mais un égout d’écoulement est prévu. Je cherche le panneau, c’est écrit assez petit :

 

« Aucun coup SVP ! Mais vous pouvez lui pisser dessus autant que vous voulez. Elle ne retrouvera sa liberté que quand quelqu’un l’aura emmené en salle marron… »

 

Je quitte cette salle que je trouve bien glauque.

 

– Dès que j’ai quatre clients je reviens vous chercher, me dit Etienne.

– Pardon ?

– Ne vous inquiétez pas, tout se passera bien !

 

C’est possible, mais je n’ai rien compris

 

Je déambule et une femme brune attire mon regard : elle est grande, forte, mais bien agréable à regarder, elle n’est vêtue que d’un ciré noir ouvert sur une poitrine gigantesque. Elle a l’air d’avoir du mal à se débarrasser de deux types qui lui collent aux fesses.

 

– Excusez-moi, je vous laisse, j’aperçois un ami ! S’exclame-t-elle en me voyant.

 

Je ne la connais évidemment pas, mais cela m’amuse d’entrer dans son jeu.

 

– Bonjour, vous ! Répondis-je simplement

 

Du coup, les deux importuns rebroussent chemin.

 

– Vous me plaisez bien, me dit-elle. Si c’est réciproque on pourrait peut-être se faire une cabine ?

– Pourquoi pas ?

– Je peux être super gentille, aller très loin, mais je suis une super cochonne, vous assumerez ?

 

J’aime bien l’expression se faire une cabine, je la rassure, on cherche une cabine de libre, elle ferme la porte derrière elle. Personne ne l’y oblige, mais je suppose qu’elle ne souhaite pas être entouré de dix mecs. Elle me tourne le dos, enlève son ciré et s’écarte son globe fessier. C’est assez fantastique ! Fantastique oui, mais il y autre chose, manifestement, mademoiselle a oublié de se torcher le cul ! Bizarrement la situation me provoque une érection.

 

– Il te plait, mon cul plein de merde ?

– Plutôt oui !

– Alors tu vas me le lécher ! je m’appelle Dolorès.

 

J’hésite un peu, je n’ai rien à priori contre la scato, quand elle est pratiquée avec modération, mais la réserve plutôt à mes fantasmes.

 

– Bon, c’est oui ou c’est non ? Je peux aussi être ta maîtresse et te demander de le faire dans le cadre d’une domination.

– Oui…

– Sur ?

– Oui, oui !

– Je reviens, je vais chercher ma copine. Ce sera plus marrant.

 

Ah, bon ? Je réalise alors que les cabines à cet endroit son carrelées, muni d’un système d’évacuation et d’une chasse d’eau. En fait ce sont des chiottes aménagées. J’attends cinq minutes, me demandant quand même où je suis tombé.

 

Elle revient, me présente sa copine, une grande blonde qui me dit se prénommer Carole, elle aussi en ciré noir ouvert, une très belle femme. J’ai de la chance ce soir.

 

– Tu commences ? Demande Dolorès à Carole.

– Je ne sais pas si je vais y arriver, mais je vais déjà pisser !

– Si tu n’y arrives pas, je vais encore être obligé de te punir, lui répond l’autre.

– Allez, toi l’esclave, mets-toi par terre, elle va te pisser dessus et tu as intérêt à en avaler sinon ce n’est pas drôle.

 

Voilà qui ne me dérange pas du tout, bien au contraire, recevoir l’urine tiède d’une aussi jolie femme est pour moi un privilège que je ne saurais refuser, je m’installe donc comme demandé, ouvre une bouche aussi grande que la grenouille de la fable et avale ce que je peux de sa cascade dorée.

 

– Maintenant ? lui demande Dolorès quand elle eut terminé sa miction.

– Je préfère attendre cinq minutes.

 

J’ai du mal à suivre.

 

– Viens me nettoyer le cul ! M’ordonne Dolorès.

 

Je me précipite ! Et commence à lui embrasser les fesses ! Elle me laisse faire quelques minutes.

 

– Le trou, maintenant !

– Un instant ! Tentais-je de temporiser.

 

Deux gifles m’atterrissent sur le visage.

 

– Quand Dolores te demande de lui lécher le cul, tu lui lèches le cul ! Compris esclave !

– Oui.

– On dit « oui Maîtresse » !

– Oui Maîtresse !

– Et maintenant c’est un ordre, tu vas lui lécher son cul plein de merde !

– Oui maîtresse

 

Je lèche avec parcimonie, le goût un peu acre n’est pas si désagréable, on s’y habitue et puis c’est tellement excitant de faire des trucs hors du commun. Je me prends au jeu !

 

– Qu’est-ce que c’est bon !

– Bien sûr qu’elle est bonne, la merde de ma copine, tu vois, ce n’était pas la peine de faire ta jeune fille.

 

Dolores se recule et me demande de me coucher à nouveau sur le carrelage, il est tout mouillée de la pisse de Carole, mais on ne va pas s’arrêter à ce genre de détail trivial.

 

Carole se positionne au-dessus de moi, légèrement accroupie, et s’écarte les fesses, puis se baisse en se rapprochant de mon visage.

 

– Je vais chier, reste en position, tu as le droit de me lécher le trou du cul en attendant que ça vienne.

 

Je tente d’avancer la langue, mais tout va très vite, un gros boudin se fraye un chemin, je m’écarte afin qu’il ne me tombe pas sur le visage.

 

– Pourquoi t’as bougé, connard ? Rouspète Dolorès.

– Je sais pas, moi, un réflexe.

 

Elle ne me répond pas, les deux femmes tripotent la merde tombée au sol et s’en badigeonnent mutuellement le corps avec. Elles se lèchent partout comme de vraies furies. Un moment Dolores ramasse un large étron, se le met dans la bouche en en laissant dépasser un morceau. Carole vient lécher ce qui dépasse. Elles se roulent un patin merdeux, c’est dégueulasse mais ça m’excite et je bande comme un cochon.

 

Carole s’empare de ma bite et me la branle.

 

– Ça te plait que te branle avec mes mains pleines de merde.

 

Ne voulant pas être en reste Dolores me pince les seins. Je pensais qu’elles allaient me faire jouir, mais non :

 

– On te libère, je veux rester seule avec ma copine pendant qu’elle va me lécher l’abricot ! m’informe Carole.

 

Je vais me doucher puis retourne dans la salle où Agnès est restée attachée

 

– T’étais passé où ? Tu fais attendre tout le monde ! Me reproche-t-elle.

 

Je ne comprends rien. Elle me demande de la détacher, on quitte la salle et on descend à la réception, là Agnès demande au préposé de diffuser un message.

 

« Les numéros 27, 36, 11, 14 et 16 sont attendus en cabine 18?. Monsieur Etienne est attendu devant la cabine 18. »

 

– Passe à ton vestiaire et prend un billet de 50 me demande Agnès !

– Mais pourquoi faire ?

– Parce que ça fait partie du jeu !

– Quel jeu ?

– Tu verras bien, tu veux me baiser ou pas ?

– Oui, bien sûr !

– Bon alors ?

– Je n’ai pas de liquide !

– T’as une carte bleue,

– Oui mais…

– Tu vas à l’accueil avec ta carte et ils vont te donner 50 balles.

 

Devant la cabine Etienne nous attend et me demande l’argent. J’avoue avoir hésité, je n’ai rien contre la prostitution, mais là c’est carrément du proxénétisme. On entre à six dans la cabine, Agnès nous désigne :

 

– Toi tu passes en premier, toi en deuxième…

 

Je serais donc l’avant dernier.

 

– C’est parti ! T’as droit à 10 minutes, en levrette ou je viens sur toi ? Dit-elle au premier.

– Je peux t’enculer ?

– Oui, mais dans ce cas, ce sera juste cinq minutes.

 

Au secours, c’est carrément de l’abattage, et moi au lieu de m’enfuir je suis là comme un con à attendre mon tour, je l’ai prise en levrette, j’ai joui dans son cul (avec capote). Après, j’ai fait comme tous les autres, je suis sorti la laissant avec le dernier. Etienne a disparu.

 

J’ai alors eu l’idée d’attendre Agnès, afin de ne pas partir avec cette image glauque dans la tête.

 

Je remarque sans y faire trop attention deux grands blacks qui semble attendre eux aussi qu’Agnès sorte.

 

Le dernier participant sort et s’en va on ne sait où, Agnès sort à son tour, l’un des deux blacks s’avance vers elle.

 

– Mademoiselle, je vous rappelle que la prostitution est interdite dans l’établissement, je vais donc vous demandez de nous suivre.

– Je ne me prostitue pas ! Où serait l’argent ? Se défend-elle.

– C’est votre maquereau qui l’a, nous lui avons infligé la punition d’usage, veuillez nous suivre sans faire de scandale, vous allez recevoir 50 coup de martinets et nous allons vous enculer !

– Oh, lala, qu’est-ce qu’on perd comme temps en formalités, je vous suis, mais il est parti où mon copain ?

– Il est au bar, il vous attend !

 

Il se passe décidemment ici des choses étranges. Je réalise à ce moment que je viens d’en vivre de toutes les couleurs mais que je n’ai pas encore expérimenté la spécificité du lieu, parce que à l’origine, c’est bien un Glory Hole, non ? Et je venais là pour sucer des bites qui sortent des parois.

 

Mon excitation étant tombée, j’ai trainé un peu pour voir s’il y avait d’autres choses à découvrir, puis je suis allé prendre un verre au bar, décidé à m’en aller ensuite.

 

– Alors Boris, on s’en va ? M’interpelle Etienne.

– Oui, je suis un peu crevé !

– Je te paye un verre ?

– Vite fait !

– J’attends Agnès, elle ne devrait plus tarder. Me précise-t-il

 

Et justement la voilà qui arrive toute pimpante, et qui nous fait voir son cul strié de marques de flagellation

 

– C’était génial, tu aurais vu les deux blacks qui se sont occupés de moi, ils m’ont fait un cul tout rouge…

– Je sais bien, c’est moi qui les ai choisis !

 

De mieux en mieux !

 

Boris ©

vasslan@hotmail.com

 

 

Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000 et complétée… 18 ans plus tard !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:15

Marisa à l’hôtel – 3 – Mission spéciale par Sylvain_Zerberg

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On fait un break, on va tous se doucher, Brigitte passe une serpillère sur le sol, puis on boit quelques rafraichissements et j’aperçois les trois femmes se faire des messes basses et rigoler entre-elles…

Brigitte finit par prendre son téléphone.

 

– Allo, Walter, tu peux passer vingt minutes, on a un petit délire à te proposer.

– …

– Ah ! Tu es avec Sammy ! Eh bien passez tous les deux !

 

Puisqu’on va avoir de la visite, j’ai le réflexe de remettre mon slip, je me souviens alors qu’en fait de slip, je n’ai qu’une culotte féminine, j’ai peur de paraître ridicule et je cache tout ça derrière une serviette

 

J’ai comme l’impression alors que nos trois coquines vont se remettre à partouzer avec des partenaires « frais ».

 

Les deux jeunes hommes finissent par arriver, Sammy est un grand black assez fin et jovial, Walter, un blondinet en chemise rose.

 

Présentations, bisous, on boit un coup. Non, non plus d’alcool pour moi, je me mets au jus de fruits.

 

– Alors les filles vous vous être bien amusées ! Lance Walter !

– Plutôt oui ! Répond

– Donc on va assurer le bonus !

 

Les deux types font un petit geste de connivence et sans plus de cérémonie se mettent à poil.

 

Les voilà tous les deux devant moi à moins d’un mètre, ils se branlent, leurs queues deviennent dures. Je suis tétanisé par ces deux bites qui me narguent.

 

Je me dis qu’il faut que je réagisse, mais je fais comment ? Récupérer mes vêtements, m’enfuir, rentrer à pied à l’hôtel.

 

– Allez suce !

 

Qui m’a donné cet ordre ? Je n’en sais rien mais bientôt c’est les trois nanas qui m’intime de sucer.

 

Ma tête me tourne ! Les deux mecs se rapprochent, la bite de Walter est maintenant à trente centimètres de mon visage. J’ouvre la bouche, mes lèvres se referment sur la bonne bite du blondinet.

 

Les filles applaudissent ! C’est moi l’attraction de la soirée. On me demande de me mettre à quatre pattes. Je ne comprends pas pourquoi mais si ça peut faire plaisir… Et puis je comprends pendant que je suce la queue de Walter, Sammy passe derrière moi, me flatte les fesses, m’écarte les globes, me suce le fion, me mets un doigt. C’est la totale. Est-ce que je peux encore maîtriser les évènements ?

 

Un prétexte, il me faut un prétexte…

 

– Pouce, j’ai soif !

 

Je me relève, sans rencontrer d’objections. Brigitte me verse un grand verre de jus d’orange que je siffle comme un mort de soif. Ça fait du bien ! Je me tourne : Sammy est devant moi, sa grosse queue en point de mire !

 

– Tu me suces la mienne ?

 

C’est demandé si gentiment que je ne saurais refuser.

 

– Juste un peu alors ! Répondis-je

 

Et me voici avec cet énorme morceau devant mon visage, impossible de mettre tout ça dans ma bouche, je n’ai pas pris de cours d’avaleur de sabres, moi ! Alors je triche, envoyant la bite se cogner à l’intérieur de mes joues. Puis je me dis qu’au lieu de faire des fausses gorges profondes, il est aussi agréable de se concentrer sur le gland, c’est encore plus doux que le reste et ce petit gout légèrement salé m’excite, mais m’excite. Voilà que je m’excite en suçant une bite, maintenant ! Et alors ? C’est mon problème, je fais ce que je veux de ma bouche, non ? Et j’en reprend encore.

 

Comme tout à l’heure on me demande de continuer ma pipe à quatre pattes, cette fois je ne me fais plus aucune illusion, je me mets dans la position demandée et tandis que Walter me tripote le cul je me tourne vers lui, abandonnant un instant la bite que je suce, et lui demande :

 

– Tu vas m’enculer ?

– Si tu veux !

– Oui, je veux bien, mais je suis puceau du cul, alors vas-y doucement.

– C’est vrai, t’es puceau ?

– Ben oui !

 

On me tartine, on écarte le passage avec un, deux, puis trois doigts. Le gland de Walter tente de passer, il ripe, recommence, ripe à nouveau…

 

– Ouvre-toi ! pousse !

 

Je fais comme ça, et ça y est le gland est rentré.

 

– Attention !

– Humpf !

 

Je sens que ça rentre, une nouvelle poussée, j’ai maintenant toute la bite de Walter dans mon cul. Je suis un enculé ! Psychologiquement ça fait un peu drôle, mais j’assume en me disant que tout le monde n’a pas la chance de connaitre cette expérience.

 

Walter commence ses va-et-vient. Mais c’est que ça ne va plus du tout.

 

– Non, non arrête ça fait mal !

– Ça va passer, respire par le nez,

– Non, non !

– Juste une minute ou deux…

 

Il en a de bonnes lui, ce n’est pas lui qui se fait enculer… la douleur s’atténue, et au bout d’un moment ce n’est même plus de la douleur mais de la gêne, mon cul n’est pas habitué à ce genre de choses. Des frissons, ça devient bon, ça devient même très bon. On m’encule et j’aime ça. Les mouvements de Walter deviennent réguliers et du coup je peux reprendre en bouche la bite de Sammy que j’avais un moment lâché. Il a débandé un peu mais retrouve vite sa vigueur. Je sens soudain des soubresauts dans ma bouche. Le type se retire à toute vitesse et je reçois tout son sperme sur le visage.

 

Je m’essuierai plus tard à moins que ça intéresse quelqu’un en particulier, pour l’instant j’ai envie de prolonger encore un peu ce qui se passe dans mon cul.

 

Walter fatigue ! Ce sont des choses qui arrivent, je pense alors l’affaire terminée mais pas du tout, il se retire, s’assoit, fesses par terre et me demande de venir m’empaler sur sa bite. Je me demande si je vais le faire, moi aussi je fatigue, mais voici Lucie et Brigitte qui se radinent, elles m’aident à me positionner et à bouger. Braves filles ! Je monte et je descends en coulissant sur la bite de Walter pendant cinq bonnes minutes, Puis voilà que mon « sodomisateur » qui me laissait faire tout le boulot se met à s’agiter frénétiquement et cela jusqu’à sa jouissance. Il se retire et curieusement il m’a encore donné du plaisir en se retirant comme si mon corps se délivrait.

 

Ces dames applaudissent de nouveau, je les ai pas saluées, on n’est pas au théâtre ! Mais quand Walter a voulu m’embrasser, je n’ai pas trouvé comment lui refuser, et voilà que pour la première fois de ma vie un homme m’a roulé une gamelle. Je vous dis c’est la soirée des grandes découvertes.

 

Peu en état de repartir en voiture nous avons Marisa et moi couché sur place après avoir dévorés des pizzas.

 

Jeudi

 

En rentrant à l’hôtel, le lendemain matin, le réceptionniste donne une enveloppe à Marisa. Elle ouvre et me montre.

 

« C’est quand vous voulez, je suis au 368, vous pouvez m’appeler, ma femme est au courant. »

 

– C’est le petit vieux de l’ascenseur ! Me précise-t-elle.

– Tu vas vraiment le faire ?

– Il faudrait que je le fasse ce matin ! Cet après-midi, je ne suis pas libre.

– Ah bon ?

– Je t’expliquerais !

– Ce matin il y a la conférence du directeur de…

– Et bien je la sécherai !

 

Nous montons dans la chambre et Marisa demande au petit vieux de le rejoindre au bar dans une demi-heure.

 

– Viens avec-moi, mais ne t’éloigne pas trop et ne m’approche que si je te fais signe. Me dit-elle.

– Mais la conférence ?

– Elle n’est pas commencée, arrête de paniquer !

 

Le petit vieux arrive :

 

– Je m’appelle Robert, ici ce n’est pas très discret, prenons une table.

 

Je me mets juste derrière eux et j’entend tout.

 

– Voilà les sous, mais je peux donner plus, tout dépend de…

– De ce que vous voulez ! J’ai compris ! Vous voudriez quoi ?

– Que vous me sodomisiez avec un gode et me faire boire votre urine.

– On ne fera pas l’amour ?

– Non, je me branlerais pour finir.

– OK, disons 100 euros de plus

– Et si ma femme veut regarder ?

– Pour mater 50 euros en plus !

– On fait ça quand alors ?

– Tout de suite si vous voulez, vous me rejoignez dans ma chambre au 215 dans un quart d’heure !

 

Il est d’accord et se lève pour rejoindre l’ascenseur quand Marisa lui demande.

 

– Vous êtes sûre que votre femme ne souhaite que regarder parce que pour 50 euros de plus, je peux lui présenter un collègue jeune, vigoureux et bien monté.

– On pourrait lui faire la surprise, mais je voudrais le voir ce monsieur.

 

Et là Marisa me fait signe de la rejoindre. Elle est complétement folle, je veux bien délirer avec elle mais il y a des limites, je me lève mais me réserve de lui dire ma façon de penser, je n’ai aucune envie de jouer les apprentis gigolos.

 

– C’est ce jeune homme ? Demande Robert.

– Oui !

– Pas de problème ! On vous rejoint dans votre chambre dans un quart d’heure ?

– O.K.

 

J’attends que pépère se soit éloigné et me levant comme au théâtre en faisant face à Marisa, je lâche un :

 

– Il n’en est pas question ?

– Pas question de quoi ?

– Je ne fais pas ça !

– T’as pas envie de gagner 100 euro ?

– Non !

– T’as pas envie de me rendre service ?

– Quel service, je croyais que tu n’avais pas besoin d’argent.

– Mais c’est MON délire, tu ne veux pas rentrer dans mon délire ?

– Pas celui-là ?

– Et qu’est ce qui te gène, on en a fait bien d’autres, je t’ai fait sucer des bites, je t’ai fait prendre le cul, je t’ai pissé dessus, je t’ai fait nettoyer mon trou de balle et là tu refuses quoi, la vieille elle va juste de demander de lui lécher les seins et se lui astiquer la chatte, ça ne va pas te tuer ?

– Question de principe !

– Quel principe ! Tu ne fais de mal à personne dans cette affaire, tout le monde y trouve son compte, alors c’est quoi le principe ?

– C’est de la prostitution !

– Je ne dis pas le contraire ! Et alors ? Tu te décides ?

– La conférence…

– On arrivera un peu en retard, quelle affaire !

– Bon ! Je vais le faire, mais ça ne me plait pas de faire ça, je veux que tu le saches.

– Oui bon, allez appelle l’ascenseur.

 

Robert arrive avec mémère, il nous la présente, elle s’appelle Hélène, elle a dû être pas mal, le visage reste agréable, pas trop de ride (elle a sans doute été liftée) maquillée sans exagération, cheveux mi court blanc argenté. Elle s’est habillée d’une simple robe en imprimé rouge et bleu.

 

Elle est surprise de ma présence.

 

– Ce jeune homme va nous laisser ! Lui explique Marisa, mais si vous le désirez il peut aussi s’assoir à côté de vous et regarder…

 

La mémère me dévisage.

 

– Oui, pourquoi pas ?

 

Elle semble partie dans le vague !

 

– Oui, c’est une très bonne idée… mais il va juste regarder ?

– Ce sera comme vous le souhaitez !

– Alors d’accord.

 

Pépère se dé débarrasse de ses vêtements, on ne peut pas dire qu’il soit sexy, Marisa se déshabille de son côté mais conserve ses sous-vêtements.

 

Helene qui est assise à ma droite me pose sa main sur la cuisse, attend un instant, puis la remonte jusqu’à mon entre jambe. Elle me tripote le paquet et voilà que je me mets à bander.

 

Pendant ce temps Marisa propose à Pépère de lui retirer son soutien-gorge. Elle croyait sans doute lui faire plaisir, mais le pauvre Robert s’emberlificote avec les agrafes et est obligé de s’y reprendre à trois fois pour y parvenir.

 

– Il sera toujours aussi doué ! Commente Mémère à mes côtés.

 

Pépère se jette sur les seins de Marisa comme la pauvreté sur le monde, il tripote, il malaxe, il lèche, il suce, il aspire… A ce point que la belle brune est obligée de le recadrer sur le ton de la plaisanterie.

 

– Ben dit donc, ça te fait de l’effet, tu bandes joliment ! Retire-moi ma culotte, mais pour l’instant tu ne touches pas à ma chatte, on verra ça après.

Marisa3

 

Marisa s’harnache avec le gode ceinture, elle est impressionnante. Pendant ce temps Mémère me tripote toujours la braguette d’une main en se passant l’autre sur son sein gauche avec un air vicieux.

 

J’ai compris le message, je lui pose d’abord une main sur son bras et suis surpris par sa douceur, puis je fais glisser la bretelle de sa robe. Je découvre un soutien gorge vert turquoise enfermant une poitrine de bon volume. Je tripote à l’intérieur, atteint le téton que je m’amuse à titiller, puis fait sauter les seins par-dessus les bonnets. Je suis agréablement surpris je m’attendais à un désastre, genre gants de toilettes, non ça tient plutôt bien, c’est peut-être refait mais je m’en fous, ses seins me plaisent bien et je me mets à les sucer avec avidité.

 

– Oh, qu’est ce que vous me faites là jeune homme ? Dit-elle comme au théâtre.

– Je, je…

– Je vous trouble à ce point ? A mon âge !

– Vos… vos seins sont très beaux !

– Je ne me plains pas, mais je crois que je vais retirer ma culotte, elle est trempée.

 

Elle retire sa robe et sa culotte, et reste en porte-jarretelles (qui monte assez haut) et bas couleur chair.

 

Je porte sa main à sa chatte, effectivement c’est trempé, elle écarte les cuisses, j’entre trois doigts et commence à la doigter, c’est impressionnant, ça fait floc-floc là-dedans.

 

Devant nous Pépère est à genoux devant Marisa qui lui fait lécher le gode.

 

– T’aime ça lécher ma bite en plastique ?

– Humm hummm

– Et une vraie bite t’as déjà essayé ?

– Oui !

– Et ta femme le sait ?

– Oui !

 

Déclic !

 

Je viens de comprendre ce qui se prépare, le Robert m’a choisi non seulement pour sa femme mais pour lui. A tous les coups, il va me demander de me sucer. Mais sans doute à cause de l’excitation et de l’ambiance, j’acceptais cette perspective avec fatalité, espérant simplement qu’il n’allait pas me mordre la bite !

 

Mémère se met à jouir comme une damnée. Je la laisse souffler. Pas longtemps elle en veut encore et se met à lever les cuisses.

 

– Doigte moi les deux trous en même temps !

 

Je n’ai rien contre mais ça m’embête un tout petit peu parce que je n’aurais pas accès à ses seins, mais bon, la séance n’est pas terminée, j’obtempère et j’ai la surprise de découvrir que son anus n’est pas serré du tout, à ce point que je suis obligé de lui enfiler trois doigts pour qu’elle sente quelque chose.

 

Pépère, lui est à genoux sur le lit en train de faire défoncer le cul par Marisa. Il pousse des « hi » et des « han ».

 

– T’aimes ça te faire enculer, hein ?

– Ouiiii !

– Et si je demandais au petit jeune là-bas de te foutre sa bite dans le cul.

– C’est plus cher ?

– Oui, mais pas trop !

– Je veux bien !

 

Et voilà Marisa qui m’appelle !

 

– Non ! je ne suis pas assez en forme ! Répondis-je histoire de dire quelque chose.

– Mais si t’es en forme, t’as vu comment tu bandes, va l’enculer mais pas à fond, réserve-toi pour moi !

 

Allez, c’est parti, évidemment Pépère veut d’abord me sucer. Surprise ! Alors que je pensais que ce serait une corvée, je m’aperçois que ce type suce merveilleusement bien, il me travaille la bite des lèvres et de la langue, un vrai plaisir, à ce point que je suis obligé de lui dire de freiner ses ardeurs s’il veut que la suite s’accomplisse. Une capote, pas besoin de gel, le chemin est fait et me voilà en train d’enculer Pépère. Marisa vient alors rejoindre Mémère et lui roule une pelle, tandis que leurs mains se font baladeuses et pelotent tout ce qui leur tombent sous… la main.

 

Au bout de cinq minutes, Marisa revient vers nous et me fais signe de lui libérer les fesses. Elle accompagne ensuite Pépère dans la salle de bain pour l’arrosage final… j’aurais bien regardé, mais Mémère me fait signe de revenir près d’elle. Et pendant que j’entends Marisa commenter avec force détails la douche dorée qu’elle prodigue à son client, Hélène se tourne et à genoux sur fauteuil m’offre son gros cul. Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, j’entre, je pilonne, madame commence à miauler, je pilonne encore, elle ne miaule plus elle hurle, et moi je jouis. Temps de l’introduction :45 secondes chrono.

 

Le couple se rhabille en silence. Mémère ouvre son sac à main et demande à Marisa.

 

– Je suppose que je vous dois quelque chose ?

– Rien du tout, votre mari a tout payé.

– Il est adorable, tu viens mon chouchou ! Au revoir messieurs dames, merci pour tout et bonne fin de séjour.

 

Une fois ces messieurs dames partis, je tiens à mettre les choses au point :

 

– C’est la première et la dernière fois que tu me fais faire un truc pareil…

 

Marisa éclate de rire :

 

– Mais qu’est-ce que t’es en train de me dire ! On est là pour trois jours, après on va reprendre chacun notre vie, tu te figurais qu’on avait commencé une liaison ? Faut revenir sur terre mon bonhomme !

 

Et oui ! j’avais perdu le sens des réalités. Je me retrouvais con sans savoir quoi dire.

 

C’est alors qu’elle ajouta cette curieuse phrase que je pris sur le moment pour un lapsus.

 

– Et puis, je vais te dire des clients comme ça qui font participer Mémère et où ça se termine à quatre, on n’en trouve pas tous les matins.

– J’ai pas bien compris, là !

– Mais si t’as compris, mais tu refuses de l’admettre. Je ne connais rien à l’informatique et je me fous de ce qui se passe dans cette conférence de « premier de la classe » comme de ma première culotte.

– Mais…

 

Je suis sur le cul !

 

– Laisse-moi finir ! On m’a infiltré dans ce petit monde afin d’y accomplir une petite mission, je suis une call-girl, ou une escort ou même une pute si tu préfères ! Ça va ? Tu vas t’en remettre ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, abasourdi par cette révélation, abasourdi, mais pas choqué.

 

– Donc je gagne très bien ma vie, je n’ai pas besoin de tapiner, si j’ai accepté de « faire » le couple de vieux, ce n’est pas pour avoir quelques billets de plus, ni pour m’amuser, bien que ça n’avait rien de triste, mais parce que je voulais que tu comprennes tout seul ce que j’étais vraiment, mais il faut croire que tu es un peu dur de la comprenette…

– Mais…

– J’ai pas fini ! Quand tu t’es pointé dans ma chambre le premier jour, tu m’as bien plu, je veux dire physiquement et ensuite j’ai bien aimé ton personnage, j’ai voulu m’amuser avec toi, te déniaiser ! Tu ne vas pas me dire que tu le regrette ?

– Non !

– Tu te rends compte ce que cela t’aurait couté si je t’avais fait payer ! Mais moi non plus je ne regrette pas de t’avoir connu, je me suis bien amusé. Je fais monter du champagne ?

– D’accord, c’est moi qui paye !

– Laisse, se sera sur ma note de frais !

 

On reste là sans parler, j’ai un peu de mal à assimiler tout ça, Marisa elle, est tout sourire. Le champagne arrive, on trinque, on boit.

 

– Maintenant je voudrais que tu me donnes juste un petit coup de main pour accomplir ma mission, juste un petit coup de main, pas grand-chose.

– C’est du sexe ?

– Pour moi, oui ! Mais pas pour toi.

 

Elle m’explique et me demande de lui laisser le champ libre jusqu’à ce qu’elle m’appelle. Ce qu’elle fit vers midi.

 

– L’opération est prévue pour 13 heures, tu peux monter te préparer.

 

L’après-midi devait marquer la fin de la conférence, avec l’exposé très attendue de Barry Stotvoyner, il y aurait ensuite un diner de gala.

 

A 13 heures précises, Barry Stotvoyner toque à la porte de Marisa, je vais me cacher dans le dressing. On en a retiré la clé donc je vois tout par le trou de la serrure.

 

Marisa pour l’occasion s’était revêtue d’un body noir en cuir.

 

– Déshabille-toi et vite !

– Oui maitresse !

– Ouvre ta bouche, sale porc.

 

Elle lui crache dedans plusieurs fois !

 

– Qu’est-ce qu’on dit ?

– Merci maîtresse.

 

Marisa lui accroche des pinces aux seins et s’amuse à jouer avec, elle les tire en tous sens, les tortille. L’homme se met à bander, il a une bien belle bite, elle lui serre un lacet autour des testicules puis de sa main s’amuse à lui faire des pichenettes sur la verge.

 

– Maintenant tu vas me lécher le cul, je te préviens il sale, tu vas tout nettoyer.

– Oui maîtresse.

 

Je ne vois pas bien ce qui se passe mais l’homme à l’air de se régaler.

 

– Ça va, il avait bon goût mon trou du cul ?

– Délicieux maîtresse !

– Et arrête de me regarder comme ça, ça ne se fait pas.

– Pardon maîtresse, punissez-moi !

– Je vais te bander les yeux, comme ça tu ne pourras plus te rincer l’œil, mais si tu es sage, si tu es un bon esclave en fin de séance je te montrerais mes seins et tu pourras me les arroser avec ton sperme.

– Oh, merci maîtresse, mais vous m’aviez promis quelque chose.

– Rassure toi je teins toujours mes promesses, tu veux que je te chie dans la gueule, c’est ça ?

– Oui maîtresse ! J’ai tellement envie de gouter votre merde !

– Alors tu vas te régaler !

 

Ça y est Stotvoyner a les yeux bandés. Marisa se racle la gorge, c’est le signal, je sors du placard en chaussettes, me dirige subrepticement vers sa veste, et en extrait la clé magnétique de sa chambre. Je sors dans le couloir, enfile mes chaussures et me précipite au 812. Je frappe, parce qu’on ne sait jamais, personne ne répond, j’ouvre la porte, très décontracté, j’entre, je repère sa mallette, elle est fermée à clé mais Marisa m’a confié un petit passe-partout qui ouvre toutes les mallettes, il y a deux chemises de papier, dont l’une assez épiasse et trois clés USB, j’entasse le tout dans une enveloppe matelassé que j’avais coincée dans ma ceinture, et je referme en force la mallette puis je descends à la réception.

 

– C’est un paquet à remettre à Monsieur Longberger.

 

Ce con le passe au scanner ! Dès fois qu’il y ait une bombe à l’intérieur…

 

– Ce sera fait, Monsieur !

 

Je remonte à notre étage et frappe à la porte de notre chambre.

 

– Vous ne voyez pas que c’est marqué « occupée » ! Hurle Marisa jouant comme prévu, les courroucées.

– Nous sommes désolés, nous avons un dégât des eaux, ça peut être urgent.

– Bon attendez une minute !

 

Le temps qu’elle enfile une robe de chambre et qu’elle cache Stotvoyner dans le dressing.

 

J’entre en me débrouillant pour ne pas que l’homme puisse voir mon visage, on se sait jamais. J’accompagne Marisa dans la salle de bain et lui rend la clé du 812. On joue ensuite le dialogue préparé à l’avance.

 

– Bien ! Plus de peur que de mal, l’eau n’a pas pénétré jusqu’ici ! Désolé pour le dérangement.

– Je m’en souviendrait de cet hôtel !

– Lors de votre départ nous prévoirons un petit dédommagement.

– J’espère qu’il ne sera pas symbolique ?

– Encore une fois nous sommes désolés !

– C’est ça, c’est ça !

 

Marisa n’aura plus qu’à replacer la clé dans la poche de Stotvoyner quand celui-ci aura le dos tourné. Duré de l’opération : même pas 15 minutes.

 

Une heure après Marisa m’appelait :

 

– Reviens en vitesse ! On se casse !

 

Je fonce.

 

– Je m’en vais ! Me dit-elle alors qu’elle finit de boucler sa valise.

– Mais pourquoi ? Il ne peut pas nous soupçonner.

– Je ne veux prendre aucun risque et de toute façon je n’ai plus rien à faire ici.

– Mais moi, faut bien que je reste !

– C’est comme tu veux ! Je vais me débarrasser du téléphone portable que j’ai utilisé ici tu n’auras donc plus aucun moyen me joindre sauf si tu me retrouves à Genève-Cointrain, j’ai un vol à 19 h 15 pour Bruxelles, tu as toute l’après-midi pour réfléchir. Tu signaleras à la réception que je suis partie, en principe il n’y a rien à payer, les suppléments seront débités sur le compte de… ça ne te regarde pas de toute façon… Bisous !

 

Ah ce baiser !

 

L’après-midi on nous a annoncé que suite à un sérieux malaise, le professeur Stotvoyner ne pourrait donner sa conférence, qu’on lui souhaitait un bon rétablissement et qu’en remplacement on nous passerait un film… il n’a pas intéressé grand monde.

 

Je n’ai pas rejoint Marisa.

 

J’ai appris par la suite que Stotvoyner avait porté plainte pour vol, mais les autorités ne donnèrent pas suite face aux incohérences de son récit, la porte de sa chambre n’avait pas été fracturée, le plaignant déclarait avoir passé le début de l’après-midi au bar de l’hôtel, mais les serveurs ne conservaient aucune trace de sa consommation. Bref le roi de l’informatique qui jouissait déjà d’une réputation d’hurluberlu n’arrangeait pas son cas. La société concurrente pu en revanche développer à une vitesse stupéfiante des correctifs de sécurité dans ses programmes.

 

Quelques jours après ces événements j’ai reçu une lettre chez moi.

 

« Et oui, c’est moi Marisa j’ai récupéré ton adresse, je ne t’ai pas tout dit et te dois la vérité, ma crise quand tu t’es présenté dans ma chambre était une comédie, je savais très bien ce que je faisais, j’avais besoin d’une petite main afin que ce que tu sais réussisse, tu avais le profil idéal, mais c’est vrai aussi que je me suis prise au jeu et que cela m’a follement amusé de te déniaiser. Je suis entrée dans ton souvenir et tu es entré dans les miens, nous sommes donc quittes. Je t’embrasse ! Adieu !  »

 

J’aurais rejoint Marisa le jour où elle a quitté l’hôtel, nous nous serions sans doute encore amusés plusieurs semaines avant qu’elle ne se lasse. J’aurai probablement fini gigolo, au lieu de ça je suis devenu ingénieur informatique de haut niveau, au lieu de louer mon cul, je loue mon cerveau. Mais ça n’a duré qu’un temps, le métier a changé, à 45 ans je passe pour un ringard, ce sont maintenant de jeunes loups aux dents longues qui font la pluie et le beau temps.

 

Cette rencontre avec Marisa a complétement réveillé ma sexualité, j’ai rencontré par petite annonce une femme très libertine qui partage ma vie et ma sexualité devenue débridée. J’adore les femmes et les partouzes, j’aime les jeux un peu ‘sales », je suce des bites, je me fais enculer mais je suis très bien dans ma peau.

 

Et Marisa qu’est-elle devenue ? Elle doit avoir la cinquantaine bien tassée aujourd’hui, je l’imagine : une belle femme mature… et je bande !

 

FIN

 

Les premières versions de cette histoire sont parues sur le site de Sophiexxx en 2000 sous le titre « extase avec une nympho » (version courte), « Vive les québécoises » (version longue sans mise en forme) et « Chaudes québécoises » (version non expurgée) On peut trouver les deux premières versions de ces récits (avec leurs invraisemblances) sur certains sites d’histoires érotiques qui ne se sont pas donnés la peine de faire la moindre correction. J’ai donc remanié tout ça à la sauce Vassilia et tient à remercier l’auteur anonyme des premières versions.

 

Sylvain Zerberg

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:09

Marisa à l’hôtel – 2 – Dévergondages par Sylvain_Zerberg

scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Mercredi

Le lendemain on se réveille donc en forme après une bonne nuit de sommeil.

 

– J’ai envie de faire un gros caca ! Tu viens ?

 

Non, elle ne va pas recommencer comme hier !

 

– Non, non !

– Veut tu venir ici ! Garnement !

– Je n’aime pas trop ce jeu.

– Regarde-moi d’abord pisser !

– Ça je veux bien.

 

Quel spectacle elle est là devant moi accroupie, les pieds sur la lunette, et elle pisse.

 

– Si tu en veux, ne te gêne pas, c’est libre-service.

 

Je mets le creux de mes mains dans la trajectoire du jet et j’en avale une lampée avec un air de défi.

 

– Gros gourmand !

– C’est pas mauvais !

– Si tu aimes ma pisse, tu aimeras ma merde !

– Non !

– Ne parle pas avant de savoir ! Reste là, je pousse.

– Non !

– Tu m’a regardé hier, alors pourquoi pas aujourd’hui ?

– Parce que ça ne me plait pas !

– Reste juste un peu…

 

Je ne bouge pas et je ne sais pas pourquoi, un gros boudin commence à sortir, comme la veille je ne sais pas dire si ça me fascine ou si ça me révulse.

 

– Alors ? me demande-t-elle.

– Alors je ne sais pas !

– Sauf que ta bite répond à ta place, tu bandes, donc ça te plait.

– Je vais te laisser.

– Ecoute moi, une seconde, si vraiment ça te dégoutait tu te serais déjà sauvé en courant, donc tu te mens à toi-même.

 

Ça y est, elle a fini de chier. J’appréhende ce qu’elle va me demander maintenant.

 

– Tu me fais un petit nettoyage ?

– Non !

– Hier tu m’avais promis !

– Je ne t’ai rien promis du tout.

– Il me semblait pourtant, alors tu vas m’embrasser sur la bouche !

 

Où est le piège ? Elle se lève, m’offre ses lèvres, on s’embrasse goulument quelques instants, elle se recule, porte son doigt à son cul, le ramène pollué et se barbouille le bord des lèvres avec de la matière brunâtre. Je me fais la réflexion que cette merde incongrue n’arrive pas à l’enlaidir.

 

Elle se rapproche de moi ! Elle ne va pas… je suis tétanisé… ses lèvres fondent sur les miennes, j’ai le gout de sa merde dans ma bouche, et ça ne me gêne même pas. Elle se recule un peu, me regarde avec un air de défi, se rapproche de nouveau et cette fois le baiser est intense… un petit peu âcre toutefois, mais quelle affaire.

 

– Alors tu me le nettoies mon cul ?

– Mais bien sûr !

 

Cette femme est une sorcière.

 

Je lui lèche l’anus, faisant disparaître toutes les traces suspectes.

 

– On va où ce matin ?

– On va d’abord à la conférence sur les réseaux de neurone, appliqués à l’intelligence artificielle, alors prépare-toi, au lieu de regarder mes nichons. M’annonce-t-elle doctement après avoir parcouru le programme.

 

Une fois parfaitement habillés, sauf que Marisa n’a encore pas mis de culotte sous la jupe de son tailleur, on se décide à sortir pour aller assister à la conférence, et on tombe nez à nez avec Sophie, qui apporte des draps propres dans les chambres, ils ne se disent rien car il y a beaucoup de clients dans le couloir, mais notre regard en dit long sur leurs envies réciproques.

 

Dans l’ascenseur on est seuls avec un couple de retraités, et elle s’amuse à soulever sa jupe dès que les deux petits vieux sont retournés. Mais avant de sortir le retraité se retourna et il vit Marisa la jupe en l’air, laissant ainsi voir sa jolie toison brune, il avait vraiment l’air ravi, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas vu un tel spectacle, si sa femme l’avait vu mater Marisa comme ça, il est sûr qu’il se serait pris un coup de sac à main. Mais voilà que l’homme laissant sa femme sortir la première de l’ascenseur; revient sur ses pas et fait semblant d’avoir perdu quelque chose.

 

– J’ai cru comprendre que… commence-t-il sans terminer sa phrase.

– Que j’étais une professionnelle ? Semi seulement : c’est 150 euros la demi-heure, mais il faut me prévenir la veille.

– Je fais comment ?

– Chambre 215, vous laissez un mot dans une enveloppe fermée à la réception, mais soyez discret.

 

Le vieux disparait. Et alors que j’allais sortir de l’ascenseur Marisa me retint par le bras et une fois les portes fermées le bloqua à l’étage.

 

– Vas-y ! Assis toi de l’autre côté de la cabine.

– Mais attends, explique-moi ce qui vient de se passer avec le vieux !

– Mais Bertrand, je ne te dois aucune explication, je fais ce que je veux de mon corps…

– Bien sûr mais tu m’avais dit que tu n’avais pas besoin d’argent.

– Je n’en ai pas besoin mais si j’ai envie de jouer à la pute, ça ne regarde que moi !

– D’accord !

– Maintenant on parle d’autre chose ! J’ai envie de te regarder en train de te branler, alors on se met chacun de son côté et on se masturbe tout en regardant l’autre le faire.

 

On s’assoit donc chacun de son coté, je baisse mon pantalon et je commence à me masturber, pendant que Marisa se fourre les doigts dans le vagin. Cette idée de se toucher chacun dans son coin me paraissait bizarre au début, mais m’excite vraiment beaucoup maintenant, et c’est d’autant plus agréable que les quatre parois de l’ascenseur sont recouvertes de miroirs. On se masturbe sans se toucher, sans se parler. On se donne du plaisir en regardant l’autre s’exciter, et on continue comme ça jusqu’à ce que je sente monter la semence en moi. A ce moment-là Marisa, se rapproche de moi, et me nettoie la bite de mon sperme, puis on se rhabille afin de remettre l’ascenseur en marche pour repartir.

 

L’emploi du temps de la journée nous laisse libre à 16 heures : Je propose à Marisa de nous rendre dans un magasin de vêtements, car les cabines d’essayage et surtout ce qui peut s’y passer me fait fantasmer.

 

– D’accord mais d’abord on va aller dans une sex-boutique pour s’acheter un gode.

 

On entre dans la sex-boutique, il n’y a que des hommes.

 

– Nous avons plein de modèles, précise le gérant, c’est pour une introduction vaginale ou anale ?

– Anale ! En fait c’est pour enculer ce jeune homme, il n’a pas trop l’habitude, il n’a pas l’habitude du tout même !

– Dans ce cas, je vous conseille de prendre un peu de gel intime.

– Vous avez raison, ça glissera mieux dans son petit cul.

 

Je rougis de honte, mais le gérant n’y fait pas attention.

 

– Prenez donc ce modèle, c’est un gode ceinture, je vais vous expliquer le principe…

– Je connais ! Je vais le prendre.

– On peut l’essayer ?

– Les articles ne sont ni repris ni échangés, mais si vous souhaitez l’utiliser de suite, vous avez des cabines de projection, un jeton noir les ordinaires ou un jeton rouge pour les cabines bleues avec glory-hole. Ça dure 10 minutes, et vous pouvez renouveler.

– Alors donnez-moi deux jetons noirs et deux jetons rouges.

 

En nous dirigeant vers les cabines, je demande à Marisa ce qu’est un glory-hole, elle me répond que ce sera une surprise.

 

Dans la cabine passe un film pas vraiment excitant, avec une fille moche et un mec ridicule. Marisa me dit qu’on n’est pas là pour ça et me demande de me déshabiller. Elle fait de même et nous nous retrouvons bientôt face à face, Je ne me lasse pas d’admirer ses grosses mamelles qui semble me narguer. Sans préambule, elle me tord le bout des seins, l’effet est immédiat et je ne tarde pas à bander comme un âne en rut.

 

– Décidemment ta bite me plait bien, je la sucerais volontiers, mais nous ne sommes pas là pour ça. Tu vas te tourner et me présenter ton petit cul, je vais bien le préparer et ensuite je vais t’introduire le gode que je viens d’acheter.

– On va juste essayer, je ne suis pas certain d’apprécier.

– Laisse-moi faire ! Tu vas aimer ! Et puis mesure la chance que tu as, je suis pour toi un véritable professeur de vice et pour l’instant tu es plutôt bon élève, non ?

 

Elle se plaça derrière moi, m’humecta l’anus pendant quelques instants au moyen de sa langue, puis m’introduisit un doigt, puis un deuxième, ces doigts qui allaient et venaient dans mon conduit anal me procurait un plaisir particulier que je n’avais jamais éprouvé jusqu’à présent. Elle revint face à moi, puis sortit le gode de son emballage, c’était un pénis en latex assez réaliste avec le gland décalotté et les testicules. Elle le porta vicieusement à sa bouche et en pourlécha le bout de sa jolie langue. Un geste très excitant.

 

– A toi ?

 

J’avoue ne pas avoir compris de suite ce qu’elle attendait de moi et la regardais en attendant ses explications.

 

– Et bien suce !

– Sucer le gode ?

– Et bien oui qu’est-ce que tu attends ?

– Mais je croyais que c’était pour mon cul !

– C’est pour ton cul, mais avant tu vas le sucer !

– Mais quel intérêt ?

– Je t’expliquerais après, c’est moi la prof ou pas ?

 

Renonçant à comprendre, j’approchais l’objet de mon visage, mais au moment de le mettre en bouche, je fus saisi d’une terrible appréhension, j’étais en train de me mettre une bite dans la bouche, une bite factice mais tellement réaliste.

 

– Je ne peux pas faire ça, je suis désolé !

– Tu ne me fais plus confiance ?

– Je ne veux pas faire ça !

– Comme tu veux !

 

Sans un mot elle entreprit de se rhabiller. Quand je lui demandais si elle était fâchée, elle ne daigna pas me répondre. Je me rhabillais donc à mon tour.

 

– Tu te débrouilleras pour libérer la chambre, on ne se connait plus. Me lança-t-elle avant de reprendre son sac à main.

 

Tout mon univers s’écroulait d’un seul coup ! Son corps de déesse, sa peau de soie, ses seins magnifiques tout cela ne serait plus bientôt qu’un souvenir. Je pouvais essayer d’empêcher ça.

 

– Donne-moi le gode, je vais le faire !

 

Elle me le tendit avec un petit sourire énigmatique. Je mis l’extrémité dans la bouche et le suçais n’importe comment, n’ayant aucune intention de faire durer de genre de chose

 

– Tu t’y prends très mal, regarde comment je fais !

 

Elle me reprend le gode et commence un étrange ballet à l’aide de sa langue, virevoltant autour de la base du gland, titillant le méat, aspirant en serrant les lèvres, puis enfonçant toute la verge dans sa gorge.

 

– Essaie de faire comme moi, à présent !

 

Un flash me traversa l’esprit ! Pourquoi m’apprendre à sucer une bite en plastique, sinon pour me préparer à en sucer une vraie ? Que ferais-je si elle m’entrainait jusque-là. Mais partant du principe qu’il faut mieux régler les problèmes quand ils se présentent et que pour le moment on en n’est pas là, je tentais d’imiter au mieux les mouvements qu’elle m’avait montrés.

 

– Ben, voilà, il y a encore du progrès à faire, mais ça vient. Bientôt tu seras un bon suceur de bites.

 

Ainsi mes craintes se confirmaient, mais je me dis qu’elle me faisait sans doute marcher, qu’elle fantasmait.

 

Passant derrière moi, elle m’étala sur l’anus une noisette de gel intime. J’allais donc me faire dépuceler le cul avec une bite en latex, une bite que j’avais sucé avant. Je ne me reconnaissais plus. Elle s’harnacha avec le gode-ceinture, le recouvrit d’un préservatif, entra légèrement, puis Marisa le fit pénétrer plus profondément d’une seule poussée, ce qui me provoqua un cri de douleur.

 

– Non, stop !

– Laisse-toi faire, c’est normal que ça fasse un peu mal au début, mais après tu vas voir, ça va être génial.

 

Marisa semble cependant une experte en la matière, elle calcule ses va-et-vient afin que je m’habitue à cette présence insolite que je fini par trouver plutôt agréable et au bout d’un moment, même très agréable.

 

– Alors tu as aimé te faire enculer ? Me demande-t-elle

– Ben…

– Ben oui ou ben non ?

– C’était pas mal !

– C’est bien les godes, mais ça ne vaudra jamais une bonne bite bien vivante !

 

Elle est folle !

 

On sort de la cabine et on se dirige vers l’une des cabines bleues. Elle me montre les parois, il y a deux trous dans celle de gauche et deux trous dans celle de droite.

 

– Et maintenant, tu vas voir !

 

Elle toque sur la paroi de droite, et voilà que devant mes yeux ébahis, une bite se faufile dans l’un des trous.

 

Marisa2

Sans l’ombre d’une hésitation, Marisa approche sa bouche de cette queue et se met à la sucer avec gourmandise.

 

Je ne suis pas idiot et j’ai compris que dans un instant elle va me demander de prendre le relais. Je ne pourrais pas, c’est bien simple, je ne pourrais pas.

 

Et ça ne rate pas !

 

– Maintenant, à toi de sucer !

 

Je tente de temporiser

 

– Non pas aujourd’hui, je ne me sens pas prêt !

– O.K. je vais t’aider !

 

Elle passe derrière moi, soulève ma chemise et m’attrape mes tétons qu’elle se met à me tortiller avec énergie. L’érection est immédiate.

 

– Alors, maintenant que tu es bien excité, tu vas sucer !

– J’ai dit : pas aujourd’hui !

– Il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même.

– Peut-être mais je ne suis pas pédé !

– Et comme tu ne le seras sans doute jamais, si tu raisonnes comme ça, tu n’es pas près de te lancer. Alors mon petit bonhomme, tu vas me faire plaisir et tu vas au moins essayer, si tu bloques, je n’insisterais pas.

 

L’argument n’est point sot et va me permettre de tricher, je vais toucher cette bite avec ma bouche pendant cinq secondes et lui dire que je ne peux décidemment pas, après elle me foutra la paix.

 

– Bon alors j’essaie, mais j’essaie juste ! Hein ?

– Je vais commencer et je te la passerais !

 

Mais le dieu des hétéros a dû venir à mon secours, la bite à disparue de la cloison ! Ouf !

 

Marisa toque sur la paroi, sans résultat, elle s’en va donc de l’autre côté ! Toc. Toc ! Une bite apparaît ! Oh Non !

 

Elle embouche la queue bien bandée, me fait signe de venir à ses côtés et – moment fatidique – la sort de sa bouche pour me la refiler.

 

Me voilà avec une bite dans la bouche. Combien de temps vais-je la garder pour faire bonne figure ? Je donne un coup de langue, le contact me paraît agréable mais il faut que j’arrête. Marisa a posé sa main sur mon crane et m’empêche de me dégager. Certes cette contrainte est symbolique, mais du coup je continue, la texture est douce et puis ce que je fais est tellement pervers. Je suis dans une cabine de sex-shop avec une nymphomane et je suce une bite. !

 

Marisa me reprend la queue et suce à son tour, j’aurais donc dû en suivant ma logique d’il y a cinq minutes me relever et abandonner l’affaire, non je reste à ses côtés attendant qu’elle me la repasse, et je suce encore.

 

La lumière s’éteint, le temps imparti est écoulé, je suis presque déçu.

 

On repasse devant la caisse ! Marisa va-t-elle acheter de nouveaux jetons ?

 

– Vous êtes satisfaite de votre achat, Demande le caissier.

– Super, le gode est entré bien comme il faut dans le cul de ce jeune homme.

 

Je devais être rouge comme une tomate !

 

– On fait quoi ? Maintenant me demande Marisa.

– Je t’avais suggéré d’aller dans un magasin où il y a des cabines d’essayage…

– Ah, oui ! Ça tombe bien j’ai envie me m’acheter de nouveaux dessous très sexy tu vas pouvoir me conseiller, et m’aider à choisir…

 

On décide donc d’aller dans un grand magasin où il y a beaucoup de cabines. On se dirige vers le rayon des dessous féminins. Arrivée devant tous ces affriolants bouts de tissu, Marisa les trouve tous trop petits jusqu’à ce qu’elle aperçoive les soutien-gorge de taille 100 D. Je suis le seul homme dans ce rayon, ça me gêne un peu.

 

– Je vais voir si je trouve quelque chose dans le rayon pour homme.

– A non ! J’ai besoin de toi, aide-moi à choisir, dis-moi ce qui t’excite le plus parmi tout ça !

 

Je prends alors le plus sexy, c’est un soutien-gorge en dentelle, avec des mailles assez espacées, en plus il est ouvert sur le dessus. Je propose à Marisa de prendre la culotte assortie.

 

– Mais non, tu sais très bien que moi j’en porte presque jamais. Vas-y touche tu verras !

 

Je passe alors ma main sous sa jupe pour vérifier, et en effet elle est complètement nue dessous, ma main peut caresser ses belles fesses lisses. C’est à ce moment-là que deux autres clientes me surprennent la main sous la jupe. Je la retire aussitôt, mais elles m’ont vu. Avant avoir rencontré Marisa, il y à peine un jour et demi, j’aurais été très gêné et j’aurais sans doute rougi, mais avec tout ce que j’ai vécu durant ces dernières heures, m’être fait surprendre la main sous la jupe d’une femme, par d’autres m’excite beaucoup. Marisa s’en étant aperçue me dit de la suivre aux cabines tout en me mettant elle aussi la main au cul. Je choisis d’abord un slip moi aussi, et on rentre chacun de notre côté dans deux cabines mitoyennes.

 

Avant de fermer le rideau je vois juste rentrer dans les deux cabines d’en face, les deux femmes qui m’avaient vu passer la main sur les fesses de Marisa. Comme je suis un peu voyeur je me baisse pour regarder sous les rideaux des cabines d’essayage. Je peux ainsi voir la femme d’en face quitter ses chaussures, et laisser son pantalon tomber à terre suivi de sa culotte. De la savoir juste en face complètement nue m’excite tout d’un coup. J’ai très envie de me toucher, alors je quitte moi aussi mes chaussures, mon pantalon et mon slip. Je me baisse de nouveau pour voir les jambes dévêtues de ma voisine d’en face. Mais quel choc quand une fois baissé je me retrouve presque nez à nez avec elle, elle avait eu la même idée que moi, c’est sans doute le fait de m’avoir vu caresser Marisa qui lui a donné des idées cochonnes. Dès que je la vois qui me regarde, je me relève vite en rougissant, puis me rebaisse, et là elle ne me regarde plus mais au contraire elle est assise par terre les jambes bien écartées afin de me laisser admirer sa chatte entièrement rasée.

 

Mes fantasmes des cabines d’essayage sont en train de se réaliser, et apparemment elle aussi doit réaliser un de ses fantasmes, celui de s’exhiber en nu intégral, à moins que ce ne soit une habituée de ce genre de plaisir. Je suis donc là baissé, regardant cette femme m’exhibant son intimité, elle doit y prendre un grand plaisir car à peine elle commence à se toucher le clitoris que sa chatte commence à suinter la mouille. Quand ses parois vaginales sont assez tapissées de mouille à son goût elle s’y introduit un doigt puis deux, elle les remua à l’intérieur comme si elle cherchait quelque chose. Cette situation me produit une vive érection, ma bite atteint un durcissement ultime lorsqu’elle se cambre un peu sur le côté afin de me faire voir qu’en plus de se doigter la chatte elle aime aussi se pénétrer les doigts dans l’anus.

 

Après s’être bien remplie par tous les trous. Elle se rebaisse et me regarde pour me faire comprendre que c’est à mon tour de lui faire voir ce que j’aime me faire tout seul. Je m’assois alors comme elle, les jambes écartées, et je commence à me branler le sexe, je commence par la serrer dans ma main gauche, pour de petits va-et-vient, puis je me caresse les couilles. Elles sont pleines et ne demandent qu’à se vider. Je me lèche la main droite, j’y crache aussi dans la paume, et recommence à me masturber. Ça me procure une sensation plus intense qu’à l’habitude car je sais qu’une femme en chaleur me regarde en train de me toucher le sexe. La queue bien serrée dans la main, et bien lubrifiée par ma salive, je lui imprime un mouvement de piston de plus en plus rapide. Je prenais mon pied à me m’exhiber devant cette femme, jusqu’au moment où j’entendis Marisa taper contre la paroi.

 

– Ton slip te va ? J’arrive.

 

Elle quitte sa cabine, et rentre dans la mienne. Je lui explique en deux mots la situation, qui semble lui donner des idées.

 

– Si ça l’excite de te voir à poil en train de te toucher, ça va encore plus l’exciter de nous voir baiser tous les deux.

 

Marisa requitte ses vêtements qu’elle avait enfilés pour sortir de la cabine.

 

– Une pipe, ça te va ?

– Oh oui bien sûr, ça va exciter la belle salope d’en face.

 

Je lui mets ma bite dans la bouche, qu’elle s’applique à sucer sur toute sa longueur. Elle titille le bout de mon gland avec sa langue, et je sens l’orgasme arriver, mais avant que le jus arrive, la femme d’en face sans même avoir pris la précaution de se rhabiller, viens nous rejoindre dans la cabine. On est maintenant trois personnes à poil excités comme des bêtes dans une toute petite cabine. Notre invité nous dit qu’elle s’appelle Brigitte.

 

– Salut, je m’appelle Brigitte, j’en peux plus toute seule dans ma cabine, j’ai envie de vous, quand je t’ai vu toucher le cul de ton amie tu m’as tout de suite excitée ma copine et moi. Elle est timide, mais pas moi, j’ai envie de toi, je te veux en moi, tu m’as excité comme une bête depuis tout à l’heure.

 

Et sans ne plus rien dire elle prend ma bite toujours dure comme du bois et se l’enfonce dans son vagin tout lubrifié. Ça rentre très bien, et je m’y sens bien, elle est chaude. Elle est allongée sur le dos les jambes en l’air contre la paroi de la cabine. Moi je monte et je descends dans son trou baveux, en frottant mon dos contre la paroi. Marisa, qui s’est vue obligée d’interrompre la pipe, décide de compenser.

 

– Brigitte, tu m’as interrompu en train de sucer Bertrand, alors pour te faire pardonner lèche-moi la chatte, Au fait je m’appelle Marisa.

– Avec plaisir, mais j’ai jamais vu une chatte aussi mouillée que la tienne.

– Je ne te demande pas de commenter ma chatte, mais de la lécher, Bertrand l’aime comme elle l’est, et toi aussi tu vas l’aimer.

 

Pendant qu’elle pénètre sa langue entre les poils pour lécher la chatte de Marisa, je lui défonce son orifice qui ne demande que ça. Elle est d’ailleurs forcée de s’arrêter de lécher, je l’ai tellement bourrée qu’elle est prise d’un intense orgasme. Son frisson prouve qu’elle jouit à fond.

 

– Je vais bientôt plus pouvoir tenir, je vais exploser moi aussi.

 

Marisa met alors son visage près de celui de Brigitte.

 

– Vas-y ! Décharge-nous en pleine figure.

 

Ça n’a pas tardé à sortir, j’ai empoigné ma bite pour les arroser de toute ma crème blanche et épaisse. Je me suis vidé sur leurs visages de salopes en chaleur. Elles ont eu chacune leur part mais en voulaient encore, elles se sont alors léchées le visage pour recueillir mon sperme et l’avaler. Une fois cela fini, elles en avaient plus une trace sur leurs beaux visages et ne devait plus avoir faim avec tout ce qu’elles venaient d’avaler. Nos esprits repris, on s’est rhabillé et on est sorti. On a retrouvé l’amie de Brigitte dehors.

 

– Je vous présente Lucie.

– Bonjour, enchantée, vous avez du bien vous amuser, vous êtes en nage.

– Oui, c’est vrai qu’on s’est bien amusé, tu as raté quelque chose.

– Mais tu ne l’auras pas raté longtemps. Ce serait bien qu’on se voit tous les quatre ce soir, on vous invite à manger et sûrement bien d’autres choses.

– Oh oui venez ! Rajoute Lucie.

– Oui pourquoi pas ! Répond Marisa.

– Mais attention on est parfois très cochonnes, un peu limite.

– Limite, Ça veut dire pipi caca ? Demande Marisa d’un air innocent.

– Hé, hé ! Peut-être !

 

Marisa me demande ce que j’ai choisi comme slip, je lui montre. Manifestement il ne lui plait pas.

 

– Il est moche ton truc ! Pourquoi tu n’achètes pas une culotte de femme, c’est bien plus doux et ta bite sera contente, viens je vais t’en choisir deux ou trois…

 

Ça me fait drôle de porter ces trucs-là d’autant qu’il n’y a pas beaucoup de place, je me fais la réflexion que quand je vais bander, ma bite va s’échapper.

 

Marisa nous conduisit en voiture chez Brigitte et Lucie. Ce sont à l’évidence deux bisexuelles. Je ne sais pas si Lucie est aussi chaude que Brigitte, mais si c’est le cas ça promet ! Après cette petite balade en voiture on arrive à l’appartement qui se situe dans la banlieue de Genève. Elles habitent au cinquième étage. Pendant que Brigitte ouvre la porte Lucie se retourne et nous fait un petit sourire à moi et à Marisa. Je me dis alors que Lucie n’est pas aussi timide que Brigitte nous l’a dit.

 

– Voilà on y est, rentrez donc.

 

Leur appartement est joli et bien décoré. Lucie met une petite musique d’ambiance, et Brigitte nous demande si on veut boire quelque chose. Marisa accepte bien un petit verre tout comme Lucie.

 

– Bon, tout le monde sait qu’on est là pour baiser, alors on ne va pas faire de manières, on se fout tous à poil ! Propose Brigitte.

 

C’est direct mais c’est ce que tout le monde veut, alors on s’est tous déshabillés. Pour l’ambiance Brigitte a mis une cassette porno déjà commencée à la télévision, comme ça l’ambiance a tout de suite été très chaude et on a commencé nos ébats. Je m’avance au centre de la pièce sur le tapis, je m’allonge et je dis :

 

– Allez-y je suis entièrement à vous, faites de mon corps ce que vous voulez.

 

Je n’avais jamais eu trois femmes rien que pour moi. J’allais m’éclater. Lucie commence la première, elle a envie d’avoir mon sexe en elle, alors elle vient au-dessus de moi et s’empale sur ma bite toute dure. Marisa a envie de partager mon plaisir en m’embrassant à pleine bouche. Brigitte s’approche du cul de Marisa comme une chienne, lui renifle et commence à le lui lécher. Tout en continuant à m’embrasser je sens Marisa se tortiller. C’est Brigitte qui lui enfonce sa langue dans le cul.

 

– Oh oui, Ah, remue la bien ta langue de chienne. T’aimes ça me lécher mon trou du cul plein de merde ?

– J’aimerais bien qu’il soit plein de merde ! Répond Brigitte !

– Désolé j’ai pas envie.

– Tu ne veux pas essayer ! Juste une petite crotte ?

– Mets moi un doigt dans le cul, tu verras bien s’il y a quelque chose !

 

Du coup elles se sont écartées de moi. Pas bien grave Lucie continue à me chevaucher

 

Brigitte introduit ses doigts dans le cul de Marisa et se met à touiller. Elle les ressort tout merdeux.

 

– Je savais bien qu’il y avait quelque chose.

 

Les deux filles commencent à se lécher les doigts et à se barbouiller le visage avec la merde. Ça me gêne un peu, si j’avais su que ce serait une soirée scato, je ne serais pas venue.

 

Lucie vient de jouir, elle est super rapide, cette fille, du coup elle se relève et aperçoit ce que font les deux autres filles.

 

– Tu as vu ces cochonnes ? Toi aussi tu aimes ces trucs-là.

 

Je cherche quelque chose d’intelligent à répondre.

 

– Ben…

– Tu veux que j’essaie de te chier dessus.

– Non, peut-être pas !

– Mais si on rigole, on s’amuse, tu vas voir c’est génial !

 

Je ferme les yeux et j’essaie de réfléchir ! Invoquer un mal de tête et rentrer. Mais comment ? C’est Marisa qui conduisait et je sais à peine où nous sommes.

 

Je rouvre les yeux.

 

Bertrand et Lucie, puisque vous avez les mains propres, si vous pouviez roulez le tapis et le mettre sur le balcon.

 

Ah ! Sauvé par le gong ? Peut-être pas. En dessous c’est du carrelage. Ça sent les jeux humides cette petite préparation !

 

– Alors tu t’allonges ? Me demande Lucie, magnifique dans sa nudité.

– Je ne veux pas que tu me fasses dessus !

– Juste pipi alors ?

– Pipi, je veux bien !

– Alors on y va ! En position jeune homme !

 

Je m’allonge sur le sol, Lucie s’accroupit, la chatte à une dizaine de centimètres de ma bouche et ouvre toute de suite les vannes, j’en avale un peu, j’avoue trouver son pipi délicieux. Comme quoi le gout évolue vite.

 

– Et maintenant caca !

– Non !

– Mais c’est que j’ai envie, moi !

– Tu ne fais pas sur moi !

– Hé, les filles, Bertrand ne veut pas que je lui chie dessus.

– Ben enfin ça ne se fait pas de refuser un cadeau ! Rigole Brigitte.

– Moi je le veux bien ton cadeau, viens faire sur moi. ! Ajoute Marisa.

– Mais c’est sur lui que je veux faire ! Répond Lucie.

 

Elles sont là toutes les trois à me narguer. Je fini par me dire que je n’en mourrai pas et qu’ensuite on pourra jouer à des jeux plus soft.

 

– Bon vas-y ! Je ne dis plus rien !

 

Lucie me chevauche et commence à pousser. Un bout s’étron se présente à la sortie de son cul. Curieusement alors que jusqu’ici j’étais partagé entre fascination et répulsion devant ce genre de spectacle, en ce moment c’est nettement la fascination qui domine.

 

Cette merde qui s’allonge et qui s’apprête à me tomber dessus, je la trouve très belle. Le boudin m’atterrit sur ma poitrine en s’entortillant.

 

– Et maintenant, tu me nettoies le cul !

 

Je suis complétement parti je ne sais où et je me mets à l’écher la merde qui lui restée collée au bord de l’anus.

 

Lucie ramasse l’étron et se badigeonne les seins et le visage avec puis revient se faire défoncer la chatte sur ma bite. Elle remonte son corps le long de ma queue et une fois en haut elle se relâche pour de nouveau s’empaler dessus. J’aime voir ses seins lourds recouvert de merde qui se balancent dans tous les sens. Elle n’a pas des gros nichons comme des pamplemousses comme Marisa, les siens sont longs. Alors quand elle s’agite sur ma bite, ses deux grosses masses se balancent et viennent lui taper sur le ventre. Moi je reste allongé.

 

Lucie retire ma queue de son trou élargi, elle en peut plus, elle est exténuée. Brigitte me fait signe qu’elle veut bien jouer avec moi.

 

Elle m’offre ses nichons maculés de merde à sucer. Je n’aurais jamais cru prendre autant de plaisir pervers à sucer un téton merdeux.

 

-. Mets-toi à quatre pattes et lève bien les fesses.

 

Je m’avance et lui enfonce ma bite dans l’anus. Elle s’y enfonce comme dans du beurre alors Brigitte pousse un râle de plaisir.

 

– Vas-y à fond, encule-moi bien profond !

 

Je lui défonce ainsi le postérieur comme un damné. Brigitte n’a plus l’orifice étroit ce qui me permet de bien aller la ramoner jusqu’au fond. Elle s’écroule sur le sol prise de décharges électriques tellement elle jouit. Je me propose d’éjaculer sur elle et je me branle jusqu’au bout afin de faire sortir le maximum de crème sur les nichons de Brigitte. Je lui explose dessus, elle en a de partout, ça coule le long de sa grosse mamelle en se mélangeant à la merde. Elle se prend un sein dans la main pour l’amener à la bouche et lécher ce curieux mélange Lucie et Marisa lui lèchent le second. Elles en ont plein sur le bord des lèvres, comme quand on mange un mélange de yaourt et de crème au chocolat. Elles lèchent et avalent. C’est vraiment trois petites salopes !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 22:05

Marisa à l’hôtel – 1 – chambre 215 par Sylvain_Zerberg

 

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Bonjour, je m’appelle Bertrand mon histoire s’est déroulée il y a 20 ans au début de l’automne, j’étais invité à une conférence sur le futur à Genève. J’ai été convié à cette manifestation car je travaille en particulier sur les projets d’applications qui changeront notre vie dans le futur. C’est une chance pour moi de rencontrer les meilleurs spécialistes alors que je n’ai que 25 ans. Tous les invités logeaient dans des chambres d’un grand hôtel très luxueux de Genève.

 

Sauf qu’à la suite d’un cafouillage dans les réservations, il n’avait pas assez de chambres pour tout le monde et qu’on me prévint donc que je devrais partager la mienne. Je ferais avec.

 

Lundi soir

 

Lorsque j’arrivai le soir à l’hôtel je passai à la réception prendre ma carte magnétique, puis montais par l’ascenseur jusqu’au 15e étage. Arrivé devant la porte de la chambre 215, j’introduis la carte dans la serrure, et à peine l’ai-je enfoncée que la porte s’ouvre, c’est donc la personne qui s’est vu attribuer la même chambre que je découvre en face de moi. J’ai l’heureuse surprise de constater qu’il s’agit d’une magnifique femme brune d’environ 35 ans.

 

– Monsieur, j’ai l’impression que vous vous trompez de chambre !

– Euh, on m’a donné la 215 !

– Mais ils sont complétement fous dans cet hôtel, ils m’avaient assuré que j’y serais seule. Je n’ai rien contre vous, mais je n’ai pas envie de partager ma chambre avec un homme que je ne connais pas, je vais descendre réclamer, ils vont m’entendre.

 

Je vais pour descendre avec elle mais elle m’en dissuade. Un quart d’heure après elle n’est pas revenue et je suis là à attendre avec ma valise à mes pieds.

 

Madame finit par remonter :

 

– Pas moyen de trouver un responsable, ça m’énerve.

 

Elle prend le téléphone, elle crie, elle hurle, je me demande si elle ne va pas casser quelque chose.

 

– Vous n’êtes pas responsable, je commence à le savoir ! Vocifère-t-elle dans l’appareil. Ça fait dix fois que vous me le dites, qu’est-ce que vous attendez pour aller me le chercher le responsable… je m’en fous qu’il soit en réunion… c’est ça on va me rappeler, je connais la chanson… Vous êtes un incapable, monsieur, un incapable et un connard !

 

Elle raccroche, furibarde, s’affale dans un fauteur, me regarde bizarrement.

 

– Ben vous faites quoi, vous ? Vous n’allez pas rester là !

– Je vous fais juste remarquer que je ne suis pas responsable de ce problème, on m’a donné la 215, la 215 c’est ici et je vais donc m’y installer ! Répondis-je fermement (mais calmement).

– Vous êtes célibataire ?

 

Qu’est-ce que ça peut bien lui faire ? Mais je lui réponds qu’oui. Elle semble réfléchir puis au bout d’un moment m’annonce comme de guerre lasse :

 

– Bon, je crois qu’on va être obligé de cohabiter dans la même chambre durant ces quelques jours, je m’appelle Marisa. Et vous ?

– Moi c’est Bertrand.

 

Je me dis à cet instant que j’avais énormément de chance de me retrouver dans la même chambre que cette très belle femme. On discute un moment pour faire un peu connaissance, j’essaie de la brancher sur l’informatique mais…

 

– Ecoutez, soyez gentil, évitons de parler boulot ici, déjà ils vont nous gaver avec ça pendant trois jours, alors… Bon, je vais prendre une douche…

 

Elle va dans la salle de bain et pendant ce temps je range mes affaires puis elle me demande si je veux bien lui apporter une serviette car elle l’a oubliée.

 

« Ils ne fournissent pas des serviettes, dans cet hôtel ? »

 

Il y a deux serviettes de bain en haut de sa pile d’affaires non rangées. J’en prends une et pénètre donc dans la salle de bain la serviette à la main, l’ambiance est très chaude et humide, tous les miroirs sont recouverts de buée. Et là qu’elle n’est pas ma surprise de la voir toute nue par transparence, à travers le rideau de douche accroché en haut de la baignoire, elle se passe le pommeau de douche sur les seins. C’est alors que je me rends compte qu’elle à été vraiment très gâtée par dame nature, qui lui a donné une poitrine très avantageuse. Elle a en effet des seins comme des melons, et elle a l’air de prendre vraiment plaisir à sentir le jet d’eau caresser ses mamelons, puis couler jusqu’à son entrejambe. J’entrebâille à peine le rideau de douche pour lui donner la serviette, et elle pousse un petit cri car elle ne m’avait pas entendu arriver. Elle prend donc la serviette un peu gênée, car elle doit se douter que je l’ai vu se donner du plaisir sous la douche. Heureusement qu’il y a le rideau de douche entre elle et moi car sinon je serais moi-même très gêné, vu la grosse bosse qui se dessine au niveau de ma braguette. Après s’être séchée, elle sort de la salle de bains, et je dois dire qu’habillée juste de sa serviette elle est vraiment très belle, et très attirante.

 

– C’est à votre tour d’y aller mon cher, profitez bien de cette douche elle est vraiment très agréable.

 

Je lui demande pourquoi, et elle me dit que je verrais bien. Cette réponse plein de mystère m’excite vraiment surtout que je ne me suis jamais retrouvé dans la même chambre qu’une femme de cet âge, presque nue, qui doit vraisemblablement avoir une grande expérience du sexe. Je rentre dans la salle de bain, je me déshabille, et je vois qu’elle a laissé ses affaires sur le petit placard, je suis tout de suite attiré par l’odeur très forte mais très agréable de sa culotte. Je la repose aussitôt de peur qu’elle rentre à ce moment là et qu’elle ne me voie à moitié nu, sa culotte à la main, je rentre donc immédiatement dans la douche. Toutes ces histoires m’ont tellement excité que je bande sous la douche, une véritable érection de jour de fête ! Sous l’effet de l’excitation je commence à me masturber, mais je m’interromps subrepticement car j’entends la porte s’ouvrir, et cette belle brune source de mon excitation rentre dans la salle de bain, c’est alors à mon tour de me sentir terriblement gêné, car je sais qu’elle me voit à travers le rideau translucide de la baignoire, tout nu avec la queue raide.

 

– Je vous apporte une serviette, vous avez oublié la vôtre. Vous êtes aussi étourdi que moi !

 

Je réponds « merci » d’une toute petite voix compte tenu de ma gêne.

 

– Ne soyez pas gêné parce que je vous vois tout nu, vous savez j’ai 36 ans, alors même si vous êtes jeune vous devez vous douter que j’ai déjà vu pas mal de mecs à poil

 

Je me suis mis carrément à rougir lorsqu’elle me dit :

 

– Et ne soyez pas non plus gêné parce que vous étiez en train de vous masturber, car quand vous êtes entré tout à l’heure je me touchais moi aussi, c’est normal de se donner du plaisir, et puis je vous l’avais bien dit que cette douche était très agréable.

– Oui, madame c’est vrai !

– Allons ne me dis pas « madame », je n’ai qu’une quinzaine d’années de plus que toi, je suis pas assez vieille pour que tu me dises madame et puis tu as pu te rendre compte que j’étais un joli petit lot, hein, je suis sûr que même les jeunes filles avec qui tu couches d’habitude ne sont pas aussi bien foutues que moi n’est-ce pas ?

 

La modestie ne l’étouffe donc pas… Mais j’ai à peine eu le temps de lui répondre que oui, qu’elle a vraiment un corps très excitant, qu’elle ouvre d’un coup le rideau de la douche, laisse tomber à terre sa serviette, et qu’elle rentre dans le carré de douche.

 

– Alors, tu vois t’as plus aucune raison d’être gêné nous sommes tous les deux complètement nus ! Tu as déjà eu des expériences avec des femmes de plus de 30 ans ?

 

Ce n’est pas possible, elle va me sauter ! Je suis tombé sur la nymphomane de l’étage !

 

– Non heu, c’est vrai vous êtes la première femme de plus de 30 ans que je vois comme ça toute nue en face de moi.

– En tous cas je vois que je te plais, t’as jamais dû avoir la bite aussi dure et bien dressée, comme ça ! Alors qu’est-ce que t’attends profites-en, touche-moi. Je dois te dire qu’en ce qui me concerne, ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas couché avec un jeune homme de ton âge. Je suis comme toi très excitée.

 

Je peux me rendre compte que c’est vrai qu’elle est très excitée en regardant plus bas vers son entrejambe, car elle mouille déjà. Je n’en revenais pas, il y a à peine une heure je ne connaissais même pas cette femme, et maintenant je me retrouve tout nu en train de bander devant elle dans un carré de douche. L’atmosphère de cette pièce en ajoute à l’excitation car elle est très chaude et humide, nos deux corps se retrouvent ainsi vite en sueur alors qu’on n’a encore rien fait. Mais ça va changer car je n’en puis plus, j’approche alors ma main de son gros sein gauche, et je l’ai à peine touchée qu’il se met à pointer et que j’ai l’impression de le voir encore plus gros. Ça m’excite de penser à toutes les choses que cette femme frétillante allait pouvoir m’apprendre sur le sexe. Après lui avoir bien malaxé les seins, j’approche mes lèvres de sa nuque et je l’entends glousser de plaisir lorsque je l’embrasse puis la lèche dans le cou. Pendant que je lui donne du plaisir avec ma bouche, elle ne perd pas son temps, et j’apprécie assez qu’elle parcoure mon corps avec ses mains avant de s’en prendre à ma bite. Elle vient se positionner derrière moi.

 

– Tu vois, moi aussi je peux te branler, mais n’éjacule pas trop vite, on commence à peine, tu vas voir ce que tu vas voir. Les jeunes filles que t’a baisées jusqu’à présent ne connaissaient rien au sexe, je vais te faire découvrir la vraie jouissance au cours de ces trois jours.

 

« Prétentieuse ! »

 

J’aurais volontiers aimé qu’elle me suce, mais je n’ose pas prendre d’initiative. Elle me demande de m’allonger dans la douche, me met un préservatif qu’elle extrait de sa trousse de toilette et s’empale sur ma bite qui n’attendait que ça, pendant qu’elle va et qu’elle vient, s’enfonçant mon sexe de plus en plus profondément, je lui tripote les seins, les tire, les tord, ça les fait durcir et grossir, et c’est assez obscène de les voir se balancer comme ça, de haut en bas comme des élastiques.

 

– Allez, arrête de t’occuper de mes seins, laisse les se balancer, c’est bon, occupe-toi donc de mon petit trou du cul il est vide et j’aime pas ça.

 

Incroyable d’entendre des choses pareilles !

 

J’approche donc ma main droite de ses fesses, et après les avoir caressées, je réalise son souhait en lui fourrant un doigt dans son anus, puis deux, ce qui me permet de me rendre compte qu’elle n’a pas le trou du cul aussi petit qu’elle le dit. Je ne m’attendais pas à ce que le mouvement de mes doigts dans son cul lui donne autant de plaisir, à chaque fois que j’essaye de l’enfoncer encore plus profondément elle pousse des petits cris de jouissance.

 

Je sors mon doigt, pas très net.

 

– Qu’est-ce qu’il a ton doigt ? Il est un tout petit peu sale ! Quelle affaire ! T’as qu’à le lécher.

– Non…

– Et alors, ça va pas te tuer ! Il a un bon gout, mon cul !

 

Elle n’insiste cependant pas !

 

Elle reprend ses va-et-vient sur mon sexe et lorsqu’elle n’en peut plus, tellement elle crie sa jouissance, elle se retire, me finit à la main tout en me glissant un doigt dans le trou de mon cul, un geste auquel je ne m’attendais pas du tout, et elle m’implore de lui asperger la poitrine. Je lui éjacule donc sur ses seins et je dois dire que je n’avais jamais fait sortir autant de sperme d’un seul coup, surtout que je ne débande pas car ça m’excite de la voir prendre plaisir à se toucher les seins maintenant recouverts de tout mon foutre.

 

– On dirait que ça t’a surpris quand je t’ai mis un doigt dans le cul ? Me dit-elle.

– On ne me l’avait jamais fait ! Avouais-je !

– Le trou du cul d’un homme est une zone érogène mais la plupart des hommes ne le savent pas ou ne veulent pas le reconnaitre.

 

Elle me montre ostensiblement son doigt, j’ai peur qu’elle me demande de le lécher. Ça ne rate pas ! Je refuse.

 

– Ferme les yeux et fais-moi plaisir !

 

Son doigt est sur mes lèvres, j’ouvre la bouche, je lèche. Effectivement il n’y a vraiment pas de quoi s’enfuir en courant. Quelle surprise ! J’ai peut-être découvert quelque-chose ! Et histoire de lui montrer mes bonnes dispositions, je lui dis en m’étonnant moi-même :

 

– C’est spécial, je recommencerai !

– Ah, ben, tu vois !

 

Viens en face de moi, je vais te montrer quelque chose.

 

Je viens devant elle, ébloui par son corps splendide et ses seins volumineux enduits du jus de ma jouissance. C’est alors qu’elle m’attrape les tétons et se met à me les tordre, pas trop fort, mais un peu quand même.

 

– Ça te fais quoi ?

– C’est bon, ça m’excite !

– On dirait bien, ta bite est en train de pointer vers le ciel ! Il faut me faire confiance, je t’apprendrais plein de choses, mais il faut te débarrasser de tes tabous. De tous tes tabous ! Moins tu en auras plus tu prendras du plaisir. Tu as confiance ?

– Oui, j’ai confiance !

– Alors ça va ! Je vais pisser, tu veux regarder ?

– Oui bien sûr !

 

Voir pisser une femme fait partie de mes fantasmes secrets et aujourd’hui, elle est là belle et nue, sans aucune pudeur ! C’est mon jour de chance.

 

Le jet est dru et abondant, avec un sourire malicieux elle se mouille les mains avec son urine et s’en badigeonne les seins encore pollués par mon foutre.

 

– Viens me lécher les nénés !

– Comme ça ?

– Ben oui, comme ça !

 

Je suppose que si elle me le demande c’est que la chose se fait, j’ai dû déjà goûté à mon pipi un jour par curiosité, j’ai trouvé ça ni bon, ni mauvais, sauf que là c’est le sien et qu’il est sur ses seins, alors je lèche come un malade, le pipi mais aussi le sperme.

 

– Tu me lèches trop bien, mes tétons sont tout durs, mais maintenant, je tombe de fatigue.

 

On se prend vite une douche pour se débarrasser du sperme et se rafraîchir, et on se couche chacun dans notre lit, j’ai eu du mal à trouver le sommeil.

 

Mardi

 

Je sors lentement de mon sommeil, je bande comme un taureau. Marisa se glisse dans mon lit, rejette les draps vers le pied du lit, s’empare de ma bite et se met à me sucer.

 

Evidemment je me laisse faire. Marisa est déchainée, sa langue va partout, me fait le tour du gland comme s’il s’agissait d’un eskimo à la vanille, me lèche la hampe, remonte, recommence. Elle s’en va ensuite voir du côté de mes testicules qu’elle fait rouler dans sa bouche.

 

– Attends !

– Un problème !

– Ce serait mieux si je faisais pipi avant.

 

Elle se lève, me demande de la suivre dans la salle de bain.

 

Elle me prend la main et m’entraine dans la salle de bain et s’assoit dans la baignoire vide, puis m’invite à la rejoindre.

 

– Arrose-moi d’abord les seins !

– Tu veux que je te pisse dessus ?

– T’as tout compris !

– Mais je n’ai jamais fait ça !

– Il y a toujours une première fois ! Allez j’attends !

Marisa1

 

Ça ne vient pas tout de suite, la situation est inhabituelle et m’excite, j’ai donc tendance à bander, et pisser quand on bande n’est pas évident. Quand ça vient je lui arrose son opulente poitrine. Elle se la caresse avec l’urine et son aspect mouillé la rend encore plus désirable.

 

– Dans ma bouche ! Maintenant !

– Dans la bouche ?

– Je veux boire ta pisse, Bertrand !

 

Puisqu’elle me le demande… Je vise sa bouche et la voilà qui se met à avaler des grosses lampées d’urine.

 

– Ça va me mettre en forme, c’est meilleur que du thé !

 

Elle s’en régale !

 

– La pisse du matin, c’est la meilleure…

 

Elle se relève, s’empare à nouveau de ma bite, la masturbe un peu, lui redonne quelques coups de langue, puis me demande de m’allonger sur le carrelage.

 

Là, après m’avoir encapoté, elle s’empale le cul sur ma bite et se met à effectuer une série de montée-descente à un rythme hallucinant. Elle ne tarde pas à brailler. La voir ainsi excitée renforce ma vigueur, je me mets à travailler du bassin et je jouis à mon tour.

 

– Je vais faire caca, tu veux me regarder ?

– Non, non, ce n ‘est pas mon truc !

– Tu as tort, je crois que je vais faire un gros boudin, j’aime bien faire des gros boudins.

– Non, non !

– Fais pas ta chochotte, tu commences à regarder et si vraiment ça te dégoute, tu repars à côté.

 

La salope ! Au lieu de s’assoir sur la cuvette comme tout un chacun, elle s’accroupit en se tournant les fesses vers moi, les pieds sur la lunette.

 

Pour l’instant, il n’y a rien à voir sinon son cul magnifique, j’en profite car je me dis que dans un instant je vais me sauver.

 

– Ah ! Je sens que ça vient !

 

Un petit étron sort timidement de son cul ! Quelle idée de vouloir me montrer ça ? L’étron grandit et je reste là fasciné, tétanisé, ça me révulse, mais ça me fascine, Un long boudin sort maintenant de son cul, se détache, se tortille et atterrit dans la cuvette dans un grand floc. Et moi, je suis toujours là ! Un deuxième étron suit le même chemin que le premier. Et moi je suis encore là !

 

– Oh, Ça fait du bien de chier une bonne merde ! Tu veux m’essuyer.

– Y’a du papier à côté ! Répondis-je me plantant complétement sur ses intentions.

– Non, tu ne comprends pas ! Regarde et dis-moi si j’ai le cul sale ?

 

Elle écarte ses globes fessiers, effectivement il y a quelques traces brunâtres autour de l’anus, je le lui dis.

 

– Tu veux me nettoyer avec ta langue !

– Non !

– T’as bien léché mon doigt, hier ! Quelle différence ?

– J’ai pas envie de faire ça !

– Tu ne sais pas ce que tu perds ! La prochaine fois alors ?

– On verra !

 

On se prend une douche vite fait afin de ne pas arriver en retard à la réunion d’ouverture du colloque. Après s’être séchée elle me passe la main sur les fesses.

 

– J’ai hâte que cette réunion soit finie, j’ai envie de te faire voir plein d’autres choses, on ne va pas s’ennuyer ce soir, surtout que pour un débutant tu m’as vraiment fait jouir, j’en pouvais plus. Tu verras je vais bien m’occuper de ton petit cul. C’est dommage que je n’aie pas apporté de gode. Oh, mais j’y pense on ira en acheter un tous les deux…

 

Après s’être habillés, nous descendons donc assister à la réunion, qui est d’ailleurs très intéressante, mais à la pause elle me prend par la main et m’entraine précipitamment aux toilettes. A peine ai-je fermé la porte qu’elle enlève sa culotte, afin que je lui lèche la chatte. J’approche ma bouche de cette belle moule vraiment très odorante qui sent la pisse, et j’introduis ma langue dans sa fente, je la remue, je la lèche vigoureusement, et sans qu’elle n’ait besoin de me dire que je le fais très bien, je peux m’en apercevoir en sentant son chaud liquide vaginal arriver. Après à peine quelques instants j’ai déjà le visage recouvert de son liquide tellement elle mouille abondamment. Je ne connaissais pas cette sensation mais je dois bien avouer que c’est vraiment très agréable de lui lécher la chatte, et de remuer ma langue dans ces chairs chaudes et gluantes. Je sens de nouveau un liquide sur mon visage, mais cette fois c’est de l’urine, elle me pisse dessus, et je suis tellement excité que j’avale sans réfléchir. Mais c’est vrai que ce goût particulier n’est pas désagréable et que je commence vraiment à l’apprécier !

 

Après l’avoir fait encore bien jouir je me relève afin de me nettoyer le visage, je ne peux plus ressortir des toilettes comme ça, j’ai vraiment de sa mouille et de sa pisse sur tout le visage et ça commence à me couler sous le menton. Pendant que je me lave le visage au lavabo, je peux la voir dans la glace assise sur le WC, la jupe remontée, et deux doigts dans la chatte, je n’en reviens pas de son incroyable appétit sexuel, mais elle commence à me le transmettre. Une fois bien nettoyé, et elle épuisée, on ressort des toilettes pour retourner à la salle de conférence, mais au lieu de remettre sa culotte, elle l’enfouit dans son sac. Sans aucune gêne elle se promène donc au milieu de la foule complètement nue en dessous de la jupe de son tailleur. Cette femme commence à me plaire de plus en plus, pas juste parce qu’elle me fait découvrir les plaisirs du sexe, mais surtout parce que j’aime l’audace dont elle fait preuve, et que je n’avais connu chez aucune autre femme auparavant, du moins dans la vie réelle. Une fois de retour dans la salle j’espère quand même qu’elle ne va pas trop écarter les jambes, j’ai pas envie de ne plus savoir où me mettre devant tout le monde. Mais en fait je l’avais mal jugée car elle se comporte durant toute la cérémonie d’ouverture comme une vraie femme distinguée.

 

– Viens suis-moi, je vais te présenter du monde.

 

Elle regarde autour d’elle, semble chercher quelqu’un, mais n’insiste pas trop.

 

– Je ne le vois pas, je te le présenterais plus tard.

 

Bizarre cette attitude.

 

– Tu sais j’ai couché avec aucun de tous ces gens, si je connais du monde c’est tout simplement parce que je suis cadre dans l’une des meilleures entreprises, et que mon père est bien placé. Oh, certains n’auraient pas dit non, on m’a même proposé de me payer. Je n’ai rien contre le principe mais il se trouve que je n’ai pas besoin d’argent. Avant j’étais très timide, mais depuis mon divorce, j’ai décidé de me lâcher, et de faire plein de choses qui peuvent paraître anticonformistes, car après avoir été une femme bien rangée, j’en ai vraiment eu marre de cette monotonie. Je suis devenue addict au sexe, ça ne me pose aucun problème et j’ai l’impression que tu vas bientôt devenir comme moi, non ?

– C’est bien parti pour. Tu as envie de faire quoi maintenant ?

– Viens j’ai une idée.

 

Je la suis, elle m’entraîne au sous-sol, à la blanchisserie de l’hôtel, c’est une pièce assez grande avec du linge blanc partout, plein de draps et de serviettes. On va se cacher derrière une pile de draps, au cas où quelqu’un entrerait. Marisa me baisse le pantalon et mon boxer d’un seul coup.

 

– Tout à l’heure tu m’as bien léché, maintenant je vais te lécher aussi, tu me diras ce que tu en pense.

 

A ma grande surprise, elle me demande de me tourner, puis de me pencher un peu et d’écarter les fesses. Je pensais qu’elle allait me mettre un doigt comme précédemment mais ce n’est pas cela, c’est sa langue humide qui remue sur mon anus. La sensation est étrange et agréable et quand elle remplace sa langue par son doigt je m’abandonne à cette nouvelle et agréable caresse.

 

– Il faut absolument qu’on achète un gode, maintenant, tourne toi !

 

Et elle embouche immédiatement mon sexe presque bandé. Le mouvement rapide de sa langue enrobant mon gland me déclenche immédiatement une érection très dure. Elle me suce et me lèche jusqu’aux testicules, elle me pompe la bite tellement fortement que j’ai l’impression qu’elle va me faire sortir le sperme comme quand on aspire un liquide avec une paille. Je suis tout d’un coup très déçu, car elle se décide à arrêter la pipe avant que j’aie pu lui éjaculer en pleine face. Mais à mon plus grand bonheur, elle m’annonce qu’elle souhaite se faire enculer.

 

Après m’avoir enfilé un préservatif rose elle me fait lécher un peu son cul afin que je la pénètre plus facilement.

 

– Il a bon goût mon cul ?

– Oui j’aime bien.

– Ça ne te dérange pas qu’il sente un peu la merde ?

 

Elle m’énerve un peu avec ses tendances scatos.

 

Marisa quitte carrément son tailleur, et se met à quatre pattes le cul bien dressé. Je trouve un peu obscène mais tout de même très excitant de la voir dans cette position avec ses gros seins pendant qui touchent presque le sol, et son anus écarté pour que j’y pénètre.

 

Et je l’encule d’un seul coup, ça l’a fait pousser un cri, mais malgré ça elle en redemande.

 

– Vas-y bourre-moi bien comme une bête, pendant que tu le peux encore, car je t’ai tellement pompé la bite que tu ne vas pas tarder à décharger.

 

Je vais donc en avant et en arrière, je la bourre violemment, elle a les seins qui pendent, et ce mouvement les lui fait balancer comme de grosses masses molles. Je continue à la défoncer tant que je peux jusqu’à ce que je sente le jus arriver, je me retire alors vite, arrache la capote, et la retourne en la couchant au sol, cette fois c’est elle qui va en avoir plein la face. Je lui éjacule donc sur son mignon petit visage, et elle lèche pour ne pas en perdre une goutte. C’est à ce moment là, alors que je suis sur elle, la bite lui dégoulinant sur le menton qu’une jeune femme entre dans la blanchisserie et nous aperçoit dans cette position plus que gênante, sur le coup elle a un peu peur, mais surtout elle devient rouge comme une tomate. Marisa me dit que ce n’est pas à moi d’être gêné, qu’on avait décidé de repousser les lois de la morale puritaine, alors elle s’assoit les jambes écartées et se lèche le visage recouvert de mon sperme. Elle interpelle la jeune fille.

 

– Salut, toi comment tu t’appelle ?

– Sophie madame, mais excusez moi je pars tout de suite, euh, je suis désolée.

– Mais non, ne pars pas, ne soit pas effrayée, t’as quel âge, tu dois plus être vierge quand même ?

– Non, je suis loin d’être vierge, j’ai 25 ans, mais vous m’excitez tous les deux !

– Allons, si tu veux t’amuser un peu avec nous, ce sera avec plaisir.

– C’est vrai ?

– Ben oui, viens !

 

Je suis éberlué car cette fille qui a l’air d’une sainte nitouche vient vers nous, s’assoit à coté, et prend le sein de Marisa dans une main en lui disant.

 

– Et bien vous en avez de la chance, j’aimerais bien avoir des seins comme les vôtres.

– Mais ne soit pas timide, montre-les nous, tes petits seins.

 

Et Marisa lui enlève délicatement sa blouse de femme de ménage, puis lui retire le soutien-gorge, elle se laisse faire. Marisa lui dit qu’en effet ses seins n’étaient pas très gros mais qu’elle allait l’aider et d’un coup elle lui tire sur les tétons comme pour les arracher, la femme de ménage proteste.

 

– Aie, vous faites quoi ? Vous êtes folle !

– Mais non regarde tes pointes de seins, j’ai à peine tiré dessus, et ils sont déjà tout excités, ils pointent.

– C’est vrai ils ont l’air un peu plus gros, tirez-les encore.

 

Marisa ne se fit pas prier pour lui tripoter les seins, et les lui tirer. Sophie a l’air contente, elle n’a jamais été aussi excitée nous confit-elle. Après que Marisa l’ait encore plus chauffée en lui caressant les fesses, elle l’a fait s’allonger, et lui dit de se laisser faire.

 

– D’accord, allez-y ! Je me laisse faire, faites-moi tout ce que vous voulez !

 

Je tente de refaire avec Sophie ce que j’ai déjà fait avec Marisa, en lui léchant la chatte, mais à peine ai-je approché ma langue que je me rends compte qu’elle n’a pas la chatte aussi humide qu’elle, elle ne mouille pas assez pour que ce soit suffisamment agréable. Je commence alors par la pénétrer avec mes doigts, et je remue à l’intérieur tant que je peux, j’enfonce jusqu’à la faire crier, mais elle me dit de ne surtout pas arrêter.

 

– Encore, encore plus profond dans ma chatte. Je veux jouir.

 

Mais dès que j’aperçois son doux liquide commencer à couler du bord des lèvres, je me précipite pour pénétrer ma langue au plus profond de son chaud vagin. Pendant que je la lèche Marisa me caresse les fesses, et me lèche un peu de partout jusqu’à ce que je sois presque entièrement recouvert de salive. Quand Sophie atteint l’orgasme tant attendue, Marisa, sans la laisser souffler lui demande de me tailler une pipe du mieux qu’elle le pouvait, et pendant ce temps, on s’est livré avec Marisa à la plus mouillée des séances de baiser. On se mélangeait nos deux langues avec une telle passion qu’on avait de la salive qui coulait partout le long de notre cou. Une fois nos péripéties terminées, on se rhabille tous, puis on repart en laissant Sophie seule, mais en lui promettant de la revoir si elle souhaitait renouveler ces bons moments.

 

Avec Marisa on retourne donc à notre chambre, car on a bien besoin de prendre une nouvelle douche, cette fois on a en assez, on se douche juste, et on va se coucher, en se disant qu’on essayera de faire aussi bien le lendemain.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 21:58

Florence et César par Sylvain Zerberg

zoo

 

C’était un beau samedi de printemps. Je décide donc d’emmener mon chien, un setter, pour une promenade digestive. Il y a un parc magnifique pas loin de chez moi dans lequel nos amis à quatre pattes sont admis. Mon chien est très obéissant et je peux me passer de le tenir en laisse. Il va ainsi à droite et à gauche pendant que je continue de marcher.

 

Je croise d’autres promeneurs jusqu’à ce que … :

 

– Tiens, Florence ! comment vas-tu ?

– Et bien comme tu vois, je fais du jogging.

 

Mon chien, me voyant arrêté, revient sur ses pas et s’approche de Florence par derrière et, comme n’importe quel chien, lui flaire les fesses. Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri. Je la rassure aussitôt, m’excuse et fais asseoir César. Nous ne discutons pas longtemps car elle doit finir son jogging, mais elle me propose de passer boire un verre d’ici une heure et demie, le temps de rentrer chez elle et de prendre une douche. N’ayant rien à faire de mon après-midi, et Nicole, ma femme, ne devant rentrer que tard ce soir, j’accepte l’invitation.

 

Je dois vous dire que Florence n’est qu’une copine de notre couple. Nous la voyons de temps à autre sans jamais avoir essayé d’approfondir nos relations. Elle est sympa, sans plus. C’est une jeune femme d’une trentaine d’années, charmante blonde aux cheveux bouclés, avec des yeux d’un bleu profond et très souriants et une poitrine avantageuse.

 

Ayant fini la promenade, nous nous dirigeons, César et moi, là où habite Florence, un petit immeuble de deux étages ou elle occupe un appartement charmant. Je sonne et presque aussitôt la porte s’ouvre. Notre hôtesse a échangé sa tenue sportive contre une petite robe légère s’arrêtant juste au-dessus du genou. Une colonne de boutons la tient fermée. Je m’assois dans le canapé alors qu’elle choisit le fauteuil situé juste en face. Les rafraîchissements sont déjà sur la table et nous commençons à boire en discutant sur le fait que cela faisait un bon bout de temps que nous ne nous étions pas vus. Je lui expliquais que Nicole en moi avions une vie très dense, et que ce n’était pas facile de garder contact avec tout le monde. Pendant ce temps, César visitait l’appartement et flairait le moindre recoin.

 

– Si cela te gêne, je peux l’attacher sur le balcon ?

– Mais non, ne t’inquiètes pas, j’ai l’habitude des animaux.

 

Et, laissant faire toutou, nous continuons de parler de choses et d’autres. Les lieux ayant été inspectés, le chien vient maintenant quémander quelques caresses. Vers moi tout d’abord. Puis il se dirige vers elle, s’assoit, la regarde et attend la caresse. Florence lui pose la main sur la tête, et le chien, satisfait, pose sa tête sur les genoux de la propriétaire de la main. Pour mieux profiter des caresses, César s’avance un peu plus et vient se placer tout contre le canapé, entre les jambes de la jeune femme.

 

– Il a vraiment un poil soyeux, dit-elle en continuant de donner des caresses.

 

Elle a vraiment l’air d’aimer les animaux, et le chien le sent bien et se love de plus en plus entre ses jambes.

 

Mais c’est un mâle, avec tous ses instincts de mâle. Je vois son museau plonger devant lui et sa truffe aller flairer le pubis de Florence. Surprise par ce mouvement, elle tente de retenir César, mais n’osant lui faire mal, elle le laisse faire en continuant de le caresser. Je me lève, me préparant à le tirer par le collier.

 

– Non, laisse-le ! il ne fait pas de mal ! me dit-elle d’une voix légère.

– Tu es sure?

– Oui, il finira bien par s’arrêter…

 

Je me rassois donc, prêt à intervenir à nouveau, et je suis abasourdi par ce que je vois se dérouler devant moi. Florence, tout en lissant les poils de l’animal, se laisse aller en arrière et ne semble pas gênée du tout par ce qu’entreprend César. Son museau est planté dans le haut des cuisses de la jeune femme, et je l’entends flairer sa découverte.

 

Florence me sourit en remarquant que mon chien est un coquin, mais elle ne fait rien pour échapper à la truffe inquisitrice. Je vois ses mains se déplacer sur l’ouverture de sa robe et défaire le bouton situé au niveau de sa petite culotte. Le museau s’engouffre alors dans la brèche et commence à donner de petits coups de langue, comme pour déguster. Elle laisse aller sa tête en arrière et, un sourire béat sur les lèvres, s’abandonne totalement. Je n’en reviens pas, je n’ai jamais assisté à une scène pareille. Les mains posées sur le crâne du chien, elle émet de petits gémissements de plaisir.

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Le spectacle est vraiment étrange, mais il me trouble un peu. Je rêve, ce n’est pas vrai, je vais me réveiller. Mais non, les images continuent de défiler sous mes yeux. Une érection naissante se fait ressentir et je pose ma main sur mon pantalon pour tenter de la contenir. Le chien, lui, continue son exploration et je vois sa langue fureter sur la petite culotte. Puis, soudain, une main se fraye un passage et vient tirer sur le côté cet obstacle de tissu. Le chien se met à trembler et son museau s’agite. Sa truffe poursuit l’exploration et se met à frotter la toison blonde de la demoiselle qui, le regard dans le vague, écarte le plus possible son slip en coton. Je vois ses cuisses continuer de s’ouvrir lentement, laissant ainsi plus de place au fouineur.

 

Je m’imagine à la place de mon compagnon, et l’érection se fait plus violente. Ma main pénètre par ma braguette ouverte et masse mon sexe qui durcit de plus en plus. La truffe de César a maintenant trouvé l’ouverture secrète et commence à s’insinuer entre les grandes lèvres du magnifique sexe féminin qui s’offre à lui. Sa langue continuant de laper à petits coups. Florence est aux anges, elle ferme les yeux et passe sa langue sur ses lèvres d’un air réjoui.

 

Moi, je suis dans un état second, et sans m’en rendre trop compte, je me lève et sors ma queue que je commence à branler. Puis, je vais me placer à côté du fauteuil où se trouve Florence. Ma main libre se pose sur sa poitrine. Aucune réaction de sa part, comme si elle s’attendait logiquement à cette suite. Juste son sourire qui se fait plus radieux. Je commence à masser sa belle poitrine à travers la robe, puis mes doigts se glissent entre deux boutons et vont au contact direct de la peau soyeuse de ses seins. Le bout de mon index entre en contact avec un mamelon qui se tend encore plus. Il se met à jouer avec, le fait rouler sur lui-même, ce qui a pour effet de tirer des gémissements plus forts de la gorge de notre partenaire. Florence, écartant toujours sa culotte de la main gauche, vient saisir mon sexe de la main droite et le presse doucement comme pour en tester la consistance. Je vois César s’exciter de plus en plus, son museau fait des mouvements de plus en plus désordonnés et sa tête donne l’impression de vouloir entrer de force dans cette grotte humide et odorante. La tête de Florence balance de droite à gauche et elle gémit de plus en plus.

 

Puis, soudain, elle repousse le chien, se met à genoux devant le canapé, relève sa robe, dévoilant ainsi une magnifique paire de fesses, et s’accoude sur le canapé. Aussitôt, César revient à l’assaut, et pointe sa truffe sur la zone sensible de Florence qui sursaute de plaisir au contact. Le chien, totalement excité, jette ses pattes avant sur le dos de la jeune femme, et enserre sa taille, son sexe venant se placer entre ses cuisses. En appui sur un coude, Florence le guide en elle avec un soupir de plaisir. César entame aussitôt « la danse du mâle sur la femelle ». Florence gémit de plus en plus et, de sa main libre, saisit mon sexe et le porte à ses lèvres. Sa langue se lance alors dans une farandole endiablée autour de mon pieu qui, me semble-t-il, va éclater. César s’active vivement dans le sexe de la jeune femme, ses yeux sont exorbités. Pendant ce temps, ma main s’est glissée dans ses cheveux et je la plaque contre mon bas-ventre avec l’envie d’être aspiré totalement par cette bouche pulpeuse. Le chien, lui, se crispe et se répand dans la chatte de Florence. Il se retire, et se met à la lécher, puis va se coucher dans un coin.

 

La jouissance n’est pas loin de nous gagner et c’est à longues saccades que j’éjacule au fond de la gorge de ma partenaire, pendant qu’elle se crispe et se met à pousser un long feulement et s’écroule sur le canapé.

 

– Je suis vraiment une salope ! Dit-elle en riant aux éclats

 

fin

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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