Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:00

Nolwenn et la tempête par Christelle_Baxter

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Rappelez-vous fin 1999 – La grande tempête, des millions d’arbres détruits, des milliards de dégâts…

Je me prénomme Christelle et j’avais 28 ans et je vis avec Laurie depuis déjà longtemps

Je devais partir passer les fêtes dans ma famille, cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus… Ils avaient insisté… Bref… J’étais donc dans cette gare à attendre mon train. Dehors la tempête, un vrai temps de canard; et les trains avaient tous beaucoup de retard.

Une annonce :

Le train est annulé. Tant mieux, Laurie va être contente. Je remettrais mon voyage à demain si toutefois la chose sera encore possible…

Je me lève de mon banc pour rentrer, c’est là que je la vois. Elle est au milieu du hall; blonde, dépeignée, un joli nez pointu. Elle est, désemparée, avec son sac à dos, sa jupette et ses collants en grosse laine. Quelle allure ! Vraiment les jeunes ne savent pas se mettre en valeur ! Elle vient vers moi et moitié pleurant, me demande si je ne connaitrais pas un hôtel pas trop cher. Je lui explique que vue la situation, ça risque d’être difficile…

– Tous les trains sont annulés et je n’ai presque plus d’argent, comment je vais faire ?

On discute un moment, finalement elle est sympa et complètement paumée. Je décide de faire ma BA.

– J’habite à deux pas de la gare avec une amie, on peut vous loger pour la nuit ! Je ne vais quand même pas laisser une charmante jeune femme dehors, surtout avec ce temps.

Elle me remercie et accepte mon invitation. Elle s’appelle Nolwenn. Nous arrivons à l’appart trempée et Laurie surprise, nous ouvre. J’explique la situation et l’on se demande comment on va s’organiser, nous n’avons qu’un lit canapé dans notre studio. Nolwenn ouvre de grands yeux devant cette évidence.

– Vous… Vous couchez ensemble !
– Oui ma puce. Dit Laurie, nous sommes disons très liées.

Le regard affolé de cette nénette nous a fait rire; mais après un moment, Laurie propose deux solutions.

– Soit tu dors avec nous, soit c’est la moquette avec un sac de couchage.
– Je dormirais par terre ! Déclare Nolwenn; mais je suis trempée, je pourrais me changer et sans abuser, prendre une douche ?
– Bien sûr ! Dis-je. Moi aussi je suis trempée.

Je me déshabille sans me gêner et commence à m’essuyer; Laurie vient à mon aide et c’est elle qui prend la serviette et m’essuie tendrement au milieu de la pièce. Nolwenn nous regarde sans bouger et reste toute bête. C’est vrai que les gestes de Laurie sont très doux et qu’elle s’attarde beaucoup sur mes fesses et à genoux devant moi elle passe et repasse entre mes cuisses avec tendresse, m’embrassant le ventre au passage.

– Excusez-moi, je vais repartir. Je ne me sens pas à l’aise. Dit Nolwenn.

Laurie se tourne vers elle et lui dit de ne pas faire cette bêtise,

– Dehors c’est vraiment la tempête et puis tu ne risques rien avec nous. Oui on est lesbienne, mais nous nous aimons et sommes fidèles.
– Fidèles, fidèles, faut le dire vite ! Dis-je en riant, mais rassure-toi on a jamais violé personne !

Nolwenn prend son sac et quitte l’appart presque en courant. Je veux bien être gentille mais si nous l’insupportons à ce point qu’elle aille au diable se faire tremper…

– Laisse la faire se démerder et occupe-toi de moi ! Dis-je à ma copine !

Laurie ne se fait pas prier et sa bouche étant déjà à portée de mon minou, elle la pose dessus et commence à l’explorer tout en me caressant les fesses. C’est bon je m’abandonne à elle un long moment comme ça, debout. Je commençais à mouiller sérieusement lorsque la sonnette s’est fait entendre. Laurie s’est levée avec un soupir, m’a embrassée rapidement et est allée ouvrir.

C’était la « gamine », enfin elle doit avoir entre 18 et 20 ans et nous sommes des femmes « mûres, enfin mûres… Laurie a 35 ans et moi 28.

– Impossible de sortir ! Déclare Nolwenn, il y a trop de vent, tout s’envole. Laissez-moi juste dormir dans un coin.
– Bon entre et installe-toi !

Moi je suis toujours nue au milieu de la pièce et passablement excitée par les premières caresses de Laurie.

– Oui viens, on va t’aider ! Dis-je.

Laurie lui prend son sac, le met dans un coin, moi je m’approche d’elle et commence à lui essuyer les cheveux, je lui frictionne la tête avec entrain. Ses cheveux longs effleurent par moment mes seins et je trouve cela agréable, mais ne le montre pas, juste je m’approche un peu plus d’elle. Laurie est revenue et nous regarde un moment avec un sourire énigmatique. Je la connais bien celle-là, que mijote-t-elle ?

– Regarde-moi cette nana, elle est encore trempée.

Et voilà Laurie qui se met en devoir de lui quitter son blouson. Nolwen proteste un peu, dit qu’elle va se sécher toute seule… etc… etc…

– Pas question ! dit Laurie d’un ton autoritaire que je ne lui connaissais pas, sauf dans nos jeux amoureux, quand elle imite les hommes.

Et voilà Laurie qui dégrafe la robe de Nolwenn et se met en devoir de la déshabiller. La nana proteste, mais nous sommes toutes les deux affairées après elle et elle se retrouve rapidement à moitié nue, son linge trempé éparpillé autour d’elle. Il lui reste son collant de laine détrempé et sans doute une petite culotte comme dernier rempart de sa nudité; et nous sommes comme deux abeilles autour d’elle. Elle met pudiquement ses mains sur sa poitrine et proteste en croisant les jambes.

– Arrêtez ! Je vais me sécher seule, je ne suis pas lesbienne moi, et puis vous m’énervez, d’abord, laissez-moi !

Laurie arrête, se tourne vers moi et me caresse les seins, les fesses, m’embrasse et se retourne vers Nolwenn

– Tu as quelque chose contre les lesbiennes ? Tu n’aimerais pas que je te caresse les seins (elle me les caresse), que je te caresse la chatte et te fasse jouir (elle m’introduit un doigt dans la chatte)
– Non, non, laissez-moi tranquille, vous êtes des salopes !

Là, Laurie s’est fâchée, elle est passée derrière elle et attrapant les collants, elle les a descendus d’un seul mouvement sur ses chevilles. La culotte a à moitié suivi, découvrant ses fesses bien fermes.

– Nous des salopes ! Tu vas voir, et elle lui claque les fesses.

J’essaye de calmer Laurie, mais j’ai très envie, moi aussi de caresser cette fille.

– Arrête Laurie !

Je m’approche de Nolwenn doucement, lui sourit, me met à genoux devant elle, place mes mains sur ces hanches et lentement, en la regardant dans les yeux, tire sur l’élastique de la culotte et finis de la lui quitter en douceur, puis dépose un baiser sur son pubis et me relève.

– Tu vois, c’est pas si terrible que ça ! Tu es nue, moi aussi il n’y a que Laurie qui ne le soit pas et c’est toi qui vas la déshabiller.
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ça peut être amusant.
– D’accord, mais vous me ficherez la paix après ?
– On t’as dit qu’on avait jamais violé personne !

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Sans répondre, Nolwenn se retourne sur Laurie et commence à lui déboutonner son corsage. Laurie se laisse faire, facilite les mouvements de Nolwenn, les anticipe. Elle est très vite en soutien-gorge qui est lui aussi dégrafé et libère sa poitrine.

– Touche-la ! Commande Laurie..
– Je ne suis pas lesbienne…
– On commence à le savoir, mais ça ne t’empêches pas de la toucher

Nolwenn effleure un sein, puis l’autre, et je peux voir la chair de poule sur sa peau. Je me rapproche et lui caresse les fesses et les hanches

– Continue ! ordonne Laurie.

La jupe tombe à son tour,

– La culotte !

Nolwenn passe ses mains sur les hanches de Laurie et descend lentement la culotte. J’ai comme l’impression qu’elle y prend du plaisir à toucher Laurie cette fausse ingénue. Elle roule doucement la culotte, faisant le tour, devant derrière, et encore devant. Moi je la tiens par les hanches, passe ma main sur son pubis, lui caresse les fesses, le ventre, les seins. Je la sens contractée, fébrile, mais elle ne proteste plus. La descente s’éternise et devient caresse.

– Continue ! dit Laurie, tu la descends comme ça jusqu’aux pieds.

La main de Nolwenn frôle le pubis, revient sur les fesses, finit de les découvrir, passe entre les cuisses pour décoller le tissu humide, et je vois Laurie arrondir de grands yeux lorsque notre Nolwenn lui touche les muqueuses. Je regarde, un doigt est entre les jambes de Laurie et y reste plus que de raison, puis il remonte en suivant le sillon des fesses, parait faire un arrêt, visiblement explore, et ressort. Laurie s’est cambrée et a légèrement ouvert ses jambes. Pas de doute, notre invitée lui a visité son intimité. Laurie sourit et cherche à l’embrasser, mais elle détourne son visage.

Maintenant, Nolwenn se penche pour descendre la culotte sur les pieds et finir de l’enlever. Je profite de ce mouvement pour admirer ses fesses et tenter de passer ma main entre les cuisses serrées. Je n’y arrive pas, mais je vois sa minette gonflée, et en écartant ses fesses, son petit trou que je lèche avec gourmandise, j’adore ça. Nolwenn gémit pour la première fois et je la sens qui commence à se détendre.

– Reste comme ça ! Ordonne Laurie et ouvre tes jambes.

Docile elle ouvre un peu ses cuisses, m’offrant le passage pour sa minette, et reste penché au pied de Laurie. Doucement, je commence à lui ouvrir les lèvres et découvre son bouton que j’excite. Je l’entends qui gémit et elle ouvre plus ses cuisses.

– Ne la laisse pas comme ça, Laurie !
– Oui tu as raison, qu’elle se mette à quatre pattes, jambes écartées.
– Non pas ça je vous en prie !
– Mais si tu vas voir, fait le juste un moment.

Et je lui montre la position qu’il faut qu’elle prenne.

Laurie en profite pour venir me lécher et me doigter sans plus s’occuper de Nolwenn. Très vite je commence à jouir et là, nôtre invitée surprise nous regarde faire, intéressée. Lorsque je rouvre les yeux, j’ai devant moi ses fesses, elle a pris la position demandée et je commence à lui lécher les fesses, les ouvrir, trouver son petit trou, et faire aller ma langue de son anus à sa minette pour son bonheur et le mien. Je me mets sur le dos passe ma tête entre ses cuisses et commence enfin un mange minou comme j’aime. Je la bois, l’ouvre, la goutte, elle s’est affalée sur moi et affolée par son odeur, je n’ai plus de retenue et apparemment, elle non plus. Pendant ce temps Laurie s’occupe de moi et aspire ma cyprine, me fouille le vagin et me lèche l’anus. Nous jouissons ensemble avec Laurie, et notre poupée suit très vite, complètement ivre de plaisir. Elle a perdu sa timidité, se retourne sur le dos, cuisses ouvertes, et s’offre à nos regards, elle se frotte, se masturbe encore.

– Regardez, regardez-moi je vais encore jouir pour vous

Elle ouvre son sexe, s’introduit deux doigts, se cambre et effectivement jouit encore. Chacune notre tour, nous la léchons, buvons sa jouissance abondante et puis très fatiguées nous nous assoupissons, blotties les unes contre les autres. Laurie a embrassé longuement Nolwenn qui a enfin accepté ce baiser lesbien, elle lui a aussi longuement léché son joli nez

– Bon, je vous dois peut-être une explication ! Commence Nolwenn dans un souffle !
– Mais nous te demandons rien !
– J’ai déjà une expérience avec une fille, ça n’avait pas été désagréable, j’ai même eu du plaisir, mais après coup j’ai voulu gommer cette expérience de ma mémoire. Je suis hétéro et entendait le rester, je m’en étais fait la promesse… Il faut croire que vous m’avez fait replonger !
– Alors, tout va bien ?
– Vous m’avez fait craquer, vous êtes trop mignonne ! Et puis après tout, pourquoi s’acharner à refuser un plaisir.

Et sur ces douces paroles, on s’est enlacé tendrement toutes les trois.

Christelle Baxter © 2003, légèrement rewrité en 2022

Postface de l’auteure : Ce texte est paru une première fois sur le site de sophiexxx aujourd’hui disparu, je l’ai remanié pour le site de Revebebe, (qui ne l’a pas conservé) Pour cette version « Vassilia », j’ai fait quelques rectifications de détails. Cette version est donc la définitive.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:57

Massage en famille par Christelle_Baxter

Stamp MD

 

Je m’appelle Léa. J’ai aujourd’hui 24 ans, blonde cheveux blonds décolorés, poitrine moyenne.

 

J’avais 14 ans quand le G.I.G.N. a fait irruption chez nous, en fracassant la porte et en embarquant ma mère comme s’il s’était agi d’un fauve dangereux. Une image qui n’a jamais disparu de ma mémoire et qui restera comme une blessure.

 

En fait ma mère avait écopé de 20 ans de prison pour une affaire de meurtre pour laquelle l’assassin court toujours. Elle fut jugée pour complicité, les juges ne lui pardonnant pas de n’avoir donné aucun nom.

 

Je me doutais que ma mère fricotait avec de curieux personnages, mais elle m’a toujours élevé correctement et je n’ai jamais manqué de rien, ni matériellement ni au niveau de son affection.

 

Pour moi, ça été l’assistance publique, une famille d’accueil, des gens pas méchants mais cons comme la lune. A 16 ans on m’a émancipé. J’ai vécu avec un garçon que j’ai fini par larguer pour un autre qui n’était guère mieux, j’ai donc décidé que je ne me mettrais jamais en couple, je sais il ne faut jamais dire « jamais », mais bon…

 

J’ai bossé dans la restauration, un milieu bien macho où il faut parfois accepter de faire des pipes avec les « anciens » pour avoir la paix. Alors j’ai fait quelques pipes, c’est mon côté fataliste.

 

J’ai mis un peu d’argent de côté, cela me permettra de prendre des cours d’art dramatique, qui sait, je ne suis pas trop mal foutue, je pourrais peut-être faire du cinéma, et s’il faut faire des pipes pour avoir un coup de pouce, je n’irais pas me plaindre chez les féministes du coin !

 

Régulièrement, environ une fois par quinzaine je prenais le train jusqu’à Rennes afin de rendre visite à ma mère, elle n’avait rien à me raconter, moi je lui racontais ma vie, ça ne durait pas longtemps et je repartais en pleurs.

 

Au bout de 10 ans, ma mère bénéficia d’une remise de peine, je la retrouvais à Paris à la Gare Montparnasse, on s’est embrassé longuement et on a été au restaurant, elle s’est empiffrée, c’est moi qui ai payé.

 

Je lui proposais de l’héberger, mais elle me répondit que ce problème était réglé, une amie s’étant proposé…

 

Je l’ai accompagné s’acheter un téléphone portable et quelques fringues à la mode… On a promis de se rappeler.

 

Trois jours après elle me donnait rendez-vous dans un bistrot.

 

– Voilà, j’ai trouvé un job, mais c’est un peu particulier, j’aime autant que tu sois au courant.

– Pas un truc illégal…

– Non, non, rassure-toi, je vais travailler dans un salon de massage.

– Sans diplôme ?

– Léa, il s’agit de massages érotiques !

– Ah ?

– Ça te choque ?

– Jusque-là, non !

– Tu sais comment ça se passe ?

– Ben, non je n’ai pas eu l’occasion.

– Bon alors j’explique ! Je masse le mec, le dos, les épaules, les cuisses, et puis je le chauffe.

– Comment ça ?

– Ben mes mains s’approchent des parties sensibles… Et quand il est bien chauffé, je lui propose de le soulager contre un petit pourboire.

– Autrement dit, tu fais la pute ?

– Ce n’est pas tout à fait ça…

– Mais si c’est ça… et alors, tu ne fais de mal à personne et à 44 ans tu es encore une très belle femme, alors s’il a de l’argent à prendre de cette façon, prend-le, ce n’est pas moi qui te jugerais !

 

Elle est estomaquée, la maman !

 

On s’est revue quinze jours après

 

– Ça marche bien ton petit business ? Lui demandais-je!

– Faut pas se plaindre !

– J’aimerais bien voir comment ça se passe !

– Ah ! Tu voudrais voir ta mère sucer des bites ? S’amuse-t-elle.

– Je voudrais voir comment ça se passe ? Mais si ça te gêne, on n’en parle plus…

– C’est possible, t’as des jours de libres ?

– Oui je travaille en non-stop du lundi midi au mercredi soir mais ensuite je suis libre…

 

Et donc ce jeudi j’étais au salon, ma mère officiait seule ce qui, m’a-t-elle précisé, n’est pas toujours ls cas..

 

Elle s’est vêtue d’une jupe grise et d’un haut rouge super décolleté qui fait qu’on peut voir ses seins bouger dans leur soutien-gorge échancré à chaque mouvement

 

Se pointe un client !

 

– C’est Léa une petite stagiaire, ça ne vous ennuie pas qu’elle regarde comment ça se passe ?

– Non, non pas du tout ! Bonjour Mademoiselle. Répond le client.

 

Le mec, un type quelconque, la quarantaine, bien propre sur lui, paye et se déshabille. Pendant une demi-heure ma mère lui masse le dos, les épaules, les fesses, c’est d’un passionnant, j’ai failli m’endormir.

 

Et soudain, ça devient bien plus intéressant. Le doigt de ma mère se fait pressant (c’est le cas de le dire) entre les fesses du monsieur qui se laisse faire en poussant de petits soupirs. Je m’approche pour mieux voir. Le doigt se fait plus entreprenant et appuie sur l’anus.

 

Elle ne va tout de même pas… Eh bien, si ! Le doigt entre dans le trou du cul du mec et fait quelques va-et-vient.

 

Puis Maman demande au type de se retourner et lui fout une serviette sur la bite.

 

Ses mains se baladent sur son torse, lui agace un peu les tétons, puis redescendent à la lisière de la serviette qu’elles soulèvent légèrement. Le mec bande comme un taureau sous la serviette que Maman lui retire d’un geste vif.

 

Belle bite !

 

– Vous voulez un petit plus ? Lui demande-t-ell.

– Ce serait combien ?

 

Je me recule ! Petite négociation à voix basse, ils ne veulent pas que j’entende ou quoi ? Le mec se lève pour aller fouiller dans son portefeuille, puis se recouche sur la table de massage.

 

Ma mère le branle délicatement, j’admire son savoir-faire, elle se sert de ses deux mains, ne néglige pas les couilles. Quand a-t-elle eu le temps d’apprendre ces trucs, je me demande si elle n’était pas déjà un peu pute avant de faire de la tôle ?

 

La bite du client est vraiment très belle, je la sucerais volontiers.

 

– Votre stagiaire, elle regarde, c’est tout ? demande le bonhomme complètement excité.

– Ben faut voir avec elle ! Léa le monsieur demande si tu veux participer ?

– Et je devrais faire quoi ?

– Me sucer ! Répond le mec !

 

Ma mère allait intervenir pour dire quelque chose, mais moi je réponds « d’accord », je m’approche et je mets sa bite dans ma bouche et me mets à le sucer avec gourmandise. Pendant ce temps Maman enlève sa jupe, puis son haut. Quelle est belle avec ses cheveux blonds légèrement frisés qui lui tombent sur les épaules.

 

– Je peux te prendre en levrette ! Me demande le gars en allant chercher un autre billet.

 

J’accepte et je me mets à poil !

 

– Ce qui me ferais plaisir c’est que pendant que je vous baise, vous léchiez la masseuse.

 

Oups !

 

– Attendez une seconde, on se concerte, lui répond Maman.

 

Elle s’approche de moi :

 

Je mettrais ma main sur ma chatte, tu me lècheras la main, il ne verra rien !

 

Brandy Love

On a donc commencé comme ça, et puis un moment, j’ignore pourquoi, Maman avait peut-être envie de se gratter, elle a retiré sa main, je me retrouvais avec sa chatte devant ma bouche. Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai léché la chatte de ma mère, elle s’est laissé faire en fermant les yeux et en se titillant les tétons.

 

Le client a ensuite voulu enculer Maman, qu’à cela ne tienne, on change les positions, je suis devant Maman et complètement partie, je l’embrasse goulument sur la bouche. Elle me fait signe ensuite de me positionner comme elle était tout à l’heure, j’écarte les cuisses et lui offre ma chatte.

 

– Mets ta main si tu veux ! Me souffle-t-elle.

 

Elle a dit « si tu veux », donc je ne suis pas obligée, alors je ne mets pas ma main et je me laisse lécher par Maman.

 

Putain, qu’elle lèche bien, elle m’a fait partir en moins d’une minute, faut dire que j’étais complètement excitée par l’insolite de la situation.

 

Je me suis déplacée et j’ai été tripoter les boules du client pendant qu’il sodomisait ma mère, je les ai même mises dans ma bouche.

 

Le client a fini par jouir, il avait l’air content et a dit qu’il reviendrait.

 

– C’est dingue ce qu’on vient de faire ! Me dit ma mère !

– C’est peut-être dingue, mais on a fait de mal à personne, et d’ailleurs c’était très bien, tu lèches vraiment bien.

– Alors, viens m’embrasser ma salope !

– Oui maman

 

FIN

 

Cette histoire m’a été inspiré pour le fond par le film « Ma mère me prostitue », un porno de Francis Leroi de 1982 avec Helen Shirley.  Mais aussi par ce  petit film vraiment très troublant dégoté sur le site Xhmaster avec Lacey Lace et Manx

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:53

Ma voisine d’en bas par Christelle

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Seule dans mon lit, tendue avec pour tout vêtements, ma petite culotte tanga, j’attends que ma voisine d’en bas sonne et entre dans mon appart.

 

Ma voisine d’en bas s’appelle Annie. C’est une jolie brune d’environ 1,70 m. Je l’adore. C’est ma Annie à moi. Si je pouvais, je me collerais à elle avec de la super glue et je vivrais 365 jours par année avec elle. Ah ! Elle sonne. Dans quelques instants, elle va entrer dans mon appart, refermer et verrouiller la porte derrière elle, enlever son haut, dégrafer son soutien-gorge, baisser son jean et entrer avec son petit sac dans ma chambre.

 

– Bonjour Marie-Pierre.

– Bonjour Annie.

– Comment tu vas ?

– Bien…

 

Annie s’assoit donc sur mon lit et me montre ce qu’elle a acheté pour moi: un petit œuf magique à piles et un chapelet de perle en silicone. Déjà, je me sens mouillée, mon vagin commence déjà à devenir humide et mes tétons pointent rageusement vers Annie. Excitée, elle me caresse gentiment les seins et se met à quatre pattes devant moi.

 

– Ma chère Marie-Pierre, je t’ai acheté des jouets dont tu me diras des nouvelles… Déshabille-moi, et libère ma petite chatte en chaleur…

 

Je lui arrache donc doucement sa petite culotte et me rends compte que son mont de Vénus est complètement rasé. Je caresse donc sa peau douce et fraichement rasée pour ensuite descendre vers sa vulve. Déjà humide, ses grandes lèvres mouillent mon majeur et me font découvrir un clitoris déjà en érection. Je la caresse, un peu, au tout début sur son clitoris, puis à l’intérieur de ses grandes lèvres, de ses petites lèvres pour ensuite la pénétrer de mon majeur. Annie aime bien ce que je lui fais et prend tout doucement ma tête. Elle la descend vers son vagin et me demande de la manger et de la sucer si je veux avoir droit aux jouets. Elle se couche sur le dos et je la mange goulument avec mes lèvres et ma langue. Comme elle mouille beaucoup, tout en la suçant avidement, je descends mon index vers son périnée puis vers son anus et je la pénètre doucement. Elle s’agite un peu plus pendant que je la suce et l’encule et même temps. Mon doigt entre et sort rapidement alors que mes lèvres lèchent son clitoris et toute sa vulve.

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Elle crie fort et descend son bassin pour que je l’encule plus profondément. Elle jouit et retombe tout lourdement sur le lit.

 

– Enléve ton doigt et nettoie-le, je vais reprendre des forces…

 

Je fais ce qu’elle dit, je suce le doigt légèrement maculé de matière. Pendant ce temps, elle s’est assise en tailleur et a déjà déballé ses jouets. Elle me demande de m’approcher.

 

-Vient ici mon chaton. Je vais te faire jouir comme tu n’as jamais jouie.

 

Je m’approche et elle suce mes seins, tout en prenant bien soin de caresser ma vulve déjà trempe de mon désir. Elle me retourne, me penche vers l’avant, ayant ainsi le loisir de voir mes fesses et mon anus à la hauteur de son visage. Elle lubrifie l’entrée de mon anus ainsi que le collier de perle en silicone avec un lubrifiant. Elle prend ensuite le collier, composé de dix boules en silicone d’environ trois centimètres de diamètre et enfonce la première boule de cet interminable collier dans le cul. J’adore la sensation d’être pénétrée par l’arrière et mon vagin est humide comme il ne l’a jamais été.

 

-Tu aimes ça cochonne… Je vais en rentrer une autre, et encore une autre…

 

Elle prend ensuite l’autre bout, me demande de me coucher, proche d’elle et se pénètre avec les sept boules restantes. Elle les fait entrer et sortir un moment, puis les ressort et les fait entrer dans mon vagin, tout humide. J’adore ça. Je me fais pénétrer en avant et en arrière. Elle ressort tranquillement les boules de mon anus et s’amuse à les faire entrer à nouveau tout doucement. Je suis en extase. Juste comme j’allais jouir, elle me retire le collier et de mon vagin, et de mon anus, et sort son autre jouet: un œuf électrique sans fil. Elle entre l’œuf dans mon vagin, et le met en marche. Aussitôt, je le sens gigoter à l’intérieur et une bosse se forme: mon point G est directement stimulé. Elle s’approche de moi, entre une partie des boules du collier à l’intérieur de mon rectum et se couche sur moi, la face sur ma vulve. Elle commence à me manger et met l’œuf à la vitesse la plus rapide. Elle prend l’autre extrémité du collier et l’entre dans mon vagin. Je sens l’œuf stimuler mon poing G, le collier me pénétrer doublement et ses lèvres sur mon clitoris. Je ne peux m’empêcher de la sucer et je jouis en hurlant de plaisir, m’étouffant presque dans sa vulve. Elle jouit brièvement et me dit:

 

– Je vais laisser l’œuf dans ton vagin toute la journée, et lorsque tu ne sera pas sage, je tournerais le bouton comme ça … mais avant j’ai quelques besoins à satisfaire, veux-tu être ma chiotte ?

 

Bien sûr que je suis sa chiotte, je vais chercher une bâche et l’étale sur le lit avant de m’étaler moi-même. Annie s’accroupit à quelques centimètres de mon visage et libère sa vessie, j’ai de l’urine plein la bouche, j’adore ça.

 

-Tu aimes ça cochonne… Je vais te faire un autre cadeau…

 

Son anus s’ouvre, un bout d’étron commence à en sortir. Elle pousse encore, un joli boudin tombe de ses jolies fesses et m’atterrit sur le visage… Je l’aime de trop mon Annie !

 

texte paru originalement sur le site de SophieXXX, il y a une dizaine d’année sous le titre « Partie à deux » et sans signature. Il a été ici corrigé de ses fautes et rewrité

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:50

Leçons particulières par Christelle_Baxter

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Bonjour, je m’appelle Christelle, Henri, mon mari est professeur. Il a ça dans le sang l’enseignement. Moi je suis vendeuse dans un magasin de fringues. On est ensemble depuis six ans et marié depuis quatre.

 

Notre couple fonctionne bien, on a essayé de pimenter un peu nos ébats sexuels, mais ça ne va pas bien loin, j’aime bien quand il me donne la fessée et que je me retrouve avec le cul tout rouge et qu’ensuite il m’encule ! On s’amuse aussi parfois à des jeux de pipi, on s’arrose, mutuellement, on se boit, mais ça ne se limite qu’à ça, ce n’est déjà pas mal direz-vous. Question de point de vue !

 

Mais quand on fait l’amour j’ai plein de fantasmes et un jour une petite fantaisie que j’ai voulu réaliser nous a fait découvrir des pans insoupçonnés de notre sexualité.

 

Je raconte :

 

Parfois, lorsque je me sens d’humeur taquine, je chuchote à l’oreille d’Henri qu’il serait la personne idéale pour combler un de mes fantasmes. Voyez-vous, je rêve de me délecter du sexe moite d’une belle demoiselle et que ce soit un homme qui m’enseigne l’art de la faire frémir de plaisir. Timide de nature, pas question de me lancer à la recherche de la candidate idéale. Par contre, si mon tendre époux prenait l’initiative d’un doux intermède à trois, je serais aux anges. Je lui en parle parfois. Tout en caressant son membre gonflé de désir, je lui raconte en détails comment je verrais le déroulement de cette exquise expérience.

 

– Pourquoi on ne ferait pas cela avec cette Madame Robert dont tu me rabats les oreilles ? Tu m’as bien dit qu’elle appréciait autant les femmes que les hommes non ?

– Je peux toujours tâter le terrain !

– C’est cela mon amour, tâte !

 

Le lendemain, il me rapporta le résultat de sa manœuvre d’approche…

 

– Madame Robert serait d’accord ! Mais à certaines conditions.

– Dis moi !

– Déjà elle se fait payer, c’est l’un de ces fantasmes de faire la pute !

– Si elle ne prend pas trop cher, ce n’est pas un gros problème !

– Et puis elle viendrait avec son mari !

– Pourquoi, elle ne sait pas marcher toute seule ?

– C’est pas ça, mais comme ils sont un peu échangistes…

– Ah ! Et ça t’embête ?

– Non, mais ce n’est pas tout, elle aimerait qu’on ait aussi des rapports entre hommes !

– Eh bien pourquoi pas ? Ça peut être amusant de te voir sucer une bite ! T’en penses quoi, toi ?

– Je ne suis pas pédé !

– Personne te demande d’être pédé, on peut sucer une bite sans être pédé !

– Et s’il veut aller plus loin encore ?

– Ben quoi ? Si ça se trouve ça te plaira, je me fais bien enculer, moi, je ne vois pas pourquoi tu n’apprécierais pas les mêmes choses que moi ?

– Bon écoute on va arrêter ce cirque ! On laisse tomber la mère Robert et son pédé de mari et je vais essayer de trouver quelqu’un d’autre.

– C’est con parce que moi je fantasmais sur Madame Robert

– Mais tu la connais pas

– Si ! Tu me l’as présenté à la fête de fin d’année, une belle rousse avec un sourire enjôleur… C’est elle que je veux, personne d’autre.

– Bon je verrais si elle peut venir toute seule, mais ça m’étonnerait…

 

Autrement dit la situation était bloquée

 

Mais je me suis donné une semaine pour la débloquer…

 

J’ai d’abord tanné Henri afin qu’il achète un gode, il a rechigné, genre « ma bite ne te suffit plus », je lui ai alors sorti le couplet classique sur la variation des plaisirs et même que j’avais lu dans une revue…

 

Le lendemain soir il m’en rapportait un

 

– Tu me fais faire de ces trucs… Me dit-il en me l’offrant

 

Et le soir dans le lit, on a joué avec, je lui ai demandé de me l’enfoncer dans la chatte, puis dans le cul. Puis pour le narguer je me suis mis à sucer l’engin en le regardant droit dans les yeux. :

 

– Pas cap de faire comme moi !

– C’est débile, pourquoi je n’en serais pas capable ?

– Alors fais-le !

– T’es pénible !

– C’est toi qu’est pas drôle, on a bien le droit de délirer, non ?

 

Alors il l’a fait, mais faut voir comment ! Heureusement que c’est un gode qu’il avait dans la bouche et non pas une vraie bite, l’autre se serait sauvé en courant.

 

– Mais non, regarde comment je fais, il ne faut pas se contenter de faire des aller et retour, je lèche bien la couronne, je tillite le gland, le parcours la verge avec ma langue. Essaie !

– Mais c’est n’importe quoi !

– Ça m’excite de te voir faire ça, tu ne veux pas que je sois excitée !

 

Il a fini par le faire !

 

– C’est bien mon chéri ! J’aimerais un jour te voir sucer une vraie bite !

– Ça ne va pas, non ?

– Oh si ça me plairait, penses-y et quand tu te seras fait à l’idée, on essaiera de trouver quelqu’un

– C’est ça !

– Bon n’en parlons plus pour le moment !

– Enfin une parole sensée !

– Dis-moi ce petit gode, si je te le rentrais dans le cul !

– Mais pourquoi tiens-tu à me faire faire des trucs de pédés ?

– Parce que je suis une cochonne et que je préfère faire des trucs cochons avec toi qu’avec Daniel

– Qui c’est Daniel ?

– Le voisin !

– T’as couché avec le voisin !

– Non pas encore ! Mais ça pourrait se faire.

– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ?

– Il m’arrive que ça va faire six ans qu’on est ensemble, alors je pense qu’un peu de fantaisie, ça nous sortirait de notre monotonie.

– Je t’ai déjà acheté un gode…

– Je sais, mais j’espérais bien que tu te le prendrais dans le cul.

– Bon on arrête les conneries !

– D’accord, mon chéri on arrête ! Demain je m’envoie Daniel, mais rassure-toi, je te raconterais tout !

– Mais tu es folle !

 

J’ai eu l’impression que mon mari a eu du mal à trouver le sommeil.

 

Le lendemain matin nous n’avons plus parlé de ça et le soir pendant le repas, il était bizarre, j’ai décidé d’en remettre une couche.

 

– On fait quoi ce soir, on regarde la télé ou on joue avec le gode !

– J’aurais mieux fait de ne jamais t’acheter ce truc là, ça te détraque le cerveau.

– Je peux te poser une question philosophique ?

– Je m’attends au pire !

– Pourquoi le plaisir anal serait il réservé aux femmes ?

– C’est ça la question ?

– Oui, c’est ça d’autant que physiologiquement c’est pas très logique, les hommes ont une prostate donc ils peuvent avoir du plaisir.

– Bon écoute, je te promets d’y réfléchir…

– D’accord mon chéri, réfléchis, mais tant que je n’ai pas la réponse, c’est grève des rapports sexuels entre nous deux, et si j’ai des envies j’ai mon gode, et si ça ne me suffit pas il a Daniel, je te laisse je vais lire un bouquin à côté !

– Si c’est ça, moi aussi, je peux aller voir ailleurs !

– Tu l’as sans doute déjà fait ! Tu sais tes réunions qui se terminent tard, le pot de l’amitié qui s’éternise… je ne suis folle et j’essaie de ne pas être jalouse, je comprends qu’un homme ait envie de temps en temps de caresser une autre peau.

 

Alors là il est sur le cul, Henry.

 

– Je t’assure que tu te trompes !

– Non ne joue pas à ça avec moi ! Admet que tu as fait des écarts, je viens de te dire que je ne t’en tenais pas rigueur.

– Ça a dû m’arriver 2 ou 3 fois…

– Mais je te demande aucune explication. Je t’ai simplement dit et je te le répète que si tu refuses d’entrer dans mes délires, j’irais voir ailleurs

 

Pas de réponse ! Il m’a l’air en pleine confusion mentale.

 

Et puis au bout de trois longues minutes :

 

– Si tu m’encules avec le gode, tu ne coucheras pas avec un autre mec ?

– Disons que je serais beaucoup moins tentée.

– Allez viens dans la chambre, tu vas m’enculer !

 

J’avais bien préparé mon coup, j’ai passé plusieurs heures sur Internet à regarder des vidéos dans lesquels des femmes sodomisent des hommes, j’ai lu des récits aussi et même des textes théoriques. On va pouvoir maintenant passer de la théorie à la pratique.

 

Je n’avais pas de gel intime mais un peu de vaseline fit parfaitement l’affaire, je lubrifiais son trou du cul, je lubrifiais aussi le gode, j’aurais dû mettre une capote lubrifiée mais je n’avais pas l’article sous la main.

 

Je n’ai pas souhaité que cette première expérience se déroule en levrette, je désirais voir le visage d’Henri pendant que j’opérais, je lui ai donc demandé de se mettre sur le dos et de lever la jambe, j’ai introduit l’extrémité du gode dans son trou du cul, j’ai actionné le vibreur, puis tout doucement j’ai enfoncé l’objet jusqu’au trois quarts.

 

– Alors ? Ça fait mal

– Non mais ça me gêne, mon trou du cul, il n’a pas demandé de corps étranger.

– Attend un peu !

 

J’ai commencé alors une série de va-et-vient. Au début Henri ne disait rien, puis je l’ai vu soupirer, haleter, gémir.

 

– On dirait que ça te plaît ?

– C’est infâme ce que tu me fais !

– Arrête de te mentir à toi-même, dis-moi que c’est bon !

– C’est pas désagréable !

 

J’augmentais la cadence…

 

– Arrête, non n’arrête pas, qu’est ce que tu me fais ?

– Ben, j’arrête ou je n’arrête pas ?

– Non, non continue !

 

J’ai un peu continué, mais ayant lu que dans ces conditions l’homme pouvait jouir sans éjaculation, j’ai préféré arrêter, j’ai ensuite pris son membre dans ma bouche et lui ai prodigué une fellation savante tout en lui doigtant le trou du cul. Puis quand il fut bien raide je me suis empalé sur sa bite, par le cul bien entendu.

 

Nous avons joui presque en même temps, on s’est embrassés.

 

Le lendemain j’y allais de ma ritournelle :

 

– On refait comme hier !

– C’est quand même déviant comme truc, après on ne pourra plus s’en passer.

– Et alors on ne fait de mal à personne !

– Evidemment

– Ce que j’aimerais te voir faire ça avec une vraie bite !

– Ça y est, ça te reprend !

– C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est quand même autre chose que du plastique, non ?

– Je n’aime pas les hommes.

– Je ne te demande pas d’aimer les hommes, j’aimerais juste te voir jouer avec une bite

– Non !

– On peut peut-être essayer ! invite les Robert, on verra bien comment ça se passera, et si tu t’envoie la mère Robert devant moi je ne te dirais rien.

– Je vais réfléchir…

 

Il n’a pas dit non, c’est déjà un grand pas, je le laisse mijoter deux jours. Et puis

 

– Alors cette partouze avec les Robert, tu y as réfléchi, mon chéri, demandais-je.

– Bon je te propose un truc, on les invite, mais si je flanche, je prétexterais une migraine et je te laisserai avec eux.

– Tu ne flancheras pas, je te soutiendrais ! On fait ça quand ?

 

J’expose mon scénario en détail auprès d’Henri qui le soumet aux Robert, mon scénario ne concerne que ce qui va se passer entre Madame Robert, mon mari et moi, pour le reste c’est nos invités qui décideront.

 

Le jour fatidique, nous buvons un bref apéro, histoire que je fasse connaissance. Florence Robert a un sourire absolument irrésistible. Son mari William est un grand échalas d’allure décontracté.

 

– Ma femme est une pute, alors d’accord on va faire du sexe, mais il faut aligner la monnaie, messieurs dames à votre bon cœur s’il vous plait.

 

On avait prévu le coup puisque c’est le fantasme de Florence et on lui donne chacun un billet de 50.

 

– Vous verrez, c’est une bonne pute, elle suce, elle lèche et elle se fait enculer ! Nous précise son poète de mari.

-OK, au début on fait comme vous l’a expliqué Henri ?

 

Fébrile je fais signe à Henri de commencer de la façon que j’avais imaginé. Il me déshabille lentement, déposant de légers baisers sur la peau exposée. Je tremble. Il sourit. La pointe de mes seins se hérisse. J’ai ce désir brulant dans mon bas-ventre. L’autre femme se délecte du spectacle de nos corps nus.

 

– Viens. Je vais te montrer comment, me dit-il simplement.

 

Florence nous rejoint après s’être débarrassé de ses vêtements et sous-vêtements. Côte à côte, ma joue droite contre sa joue gauche… un peu comme si nos visages étaient soudés l’un à l’autre, Henri me fait respirer la douce moiteur de notre complice. D’une main experte, il entrouvre ses replis et m’expose, à mon plus grand étonnement, l’intimité féminine qui me fait tant envie. Bientôt, sa langue fouille, explore, titille, lèche. Je suis fascinée. Quel spectacle ! L’eau m’en vient à la bouche. J’exige de lui un baiser. Je goûte ainsi, pour la première fois de ma vie, les douceurs d’une vulve toute moite d’excitation. C’est bon !

 

– Allez, à ton tour ! me souffle-t-il.

 

Je touche du bout de ma langue ce beau clito que je convoite depuis un bon moment. Etrange sensation. Je le suce. La réaction de notre complice m’encourage, elle écarte un peu plus ses jambes et arque le dos. J’enfouis ma langue dans son sexe, la fait tournoyer. J’ai son gout dans la bouche. Ça m’excite. De ma langue, je recommence à darder son clitoris. A cette étape-ci de mon fantasme, mon mari intervient.

 

– Ne sois pas si gourmande ! dit-il en feignant de me gronder.

 

Et paf ! Il me sert une fessée du plat de sa main, j’ai bientôt les fesses toutes rouges et j’adore ça !

 

– Lèche. Caresse avec tes lèvres. Doucement. Fais-la languir. C’est lentement que tu dois lui faire atteindre les hauts sommets de l’extase ! conseille-t-il, d’un air expert.

 

Où a-t-il été cherché des phrases aussi tartes ?

 

Puis il replonge son visage entres les cuisses accueillantes de notre douce et patiente complice. Quelles merveilleuses leçons particulières ! Tour à tour, nous nous délectons du nectar de cette femme. J’apprends vite. Puisqu’il s’agit de mon fantasme, c’est moi qui la fais jouir. Elle pince ses mamelons, se tord, gémit. Son corps tout entier est secoué par les vagues de plaisir que lui procurent ma bouche et ma langue. Au même moment, mon mari qui, agenouille près de nous, caressait déjà son pénis depuis quelques instants semble prêt à atteindre l’orgasme.

 

– Stop ! Enlève ta main ! Ordonnais-je.

 

William se rapproche, il est nu, la bite en étendard, il l’approche de la bouche de mon mari !

 

– Regarde cette bite comme elle est belle, comme elle bande bien, suce-la bien mon chéri et après il va t’enculer devant nous.

 

C’est le moment fatidique ! Va-t-il se dégonfler, invoquer une migraine aussi soudaine que diplomatique. Je ne crois pas, il est trop excité.

 

Alors il embouche la bite et se met à la sucer comme je lui ai appris, il a l’air d’apprécier, mais il ne faudrait pas que son excitation retombe :

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– Donne lui ton cul, mon chéri !

 

Il hésite, il va tout faire foirer ! Florence vient à la rescousse

 

– Laisse toi faire et après tu pourras m’enculer !

 

C’était la phrase magique, Henri se met en levrette, William lui tartine le fondement, s’encapote et le pénètre.

 

Mon Henri fait la grimace, mais il a retenu la leçon, la douleur et la gêne du début ont tôt fait de se transformer en plaisir.

 

Que c’est beau deux hommes qui s’enculent, je suis gâtée ce soir.

 

La sodo dure bien cinq bonnes minutes, William sait qu’il ne doit pas jouir car nous n’avons pas joué le final. Alors il décule abandonnant Henri béat de plaisir coupable.

 

Florence apparemment aussi ravie que moi du spectacle vient m’embrasser de façon très baveuse. Mon dieu quelle langue ! Que c’est bon de se faire rouler un patin par un si belle femme ! Elle en profite pour me tripoter les fesses. Un doigt vient s’égarer dans mon petit trou du cul, il va, il vient, me fait du bien, il ressort, un peu merdeux. Florence le lèche en me faisant un sourire vicieux ! Quelle cochonne ! Et elle recommence ! Puis m’invite par le regard à lui rendre la politesse. Je n’ose pas me dégonfler et lui doigte le cul, en espérant qu’il ressortira propre. Ouf, ça va, je lèche, juste un petit goût âcre… pas désagréable.

 

Puis dans un synchronisme des plus parfaits. Florence et moi, nous nous positionnons en levrette, William vient me donner sa bonne bite à sucer avant de m’enculer pendant qu’Henri fait subit le même outrage à la douce Florence.

 

Nos gémissements et nos douces plaintes produisent un sensationnel quatuor à mes oreilles. On a tous joui, les uns après les autres. Les hommes ont retiré les capotes, J’ai nettoyé la bite de William avalant le sperme qui restait sur le gland.

 

– Arrête, il faut que je pisse ! Proteste-t-il

 

Alors j’ai ouvert ma bouche et bu le cru doré qu’il m’offrait.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:46

Le petit concert de Christelle par Christelle_Baxter

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La semaine dernière il m’est arrivé un truc assez extraordinaire ! Et tiens justement je vais vous le raconter ! Car il faut dire que je n’y étais pas du tout préparée

 

Voilà ! Il m’arrive souvent de d’aller à de petits concerts, dans les bars du coin les soirs de week-end. J’y vais en général avec plusieurs ami(e)s. Et après la musique on sort en boite ou alors on reste trinquer entre nous. Mais nous sommes en période d’examen, et la plupart de mes copains-copines n’ont pas trop le loisir de sortir. Seul Sylvie, à daignée m’accompagner vendredi dernier, mais elle est partie avant la fin du concert. C’est la vie !

 

Comme je trouvais les musiciens excellents, je n’ai pas voulu, qu’elle me ramène et je lui ai dit que je prendrais un taxi pour rentrer. A la fin du show, j’avais un peu soif et j’ai pris un verre au bar. A côtés de moi se tenait une fille d’une vingtaine d’années. Elle était seule mais connaissait l’une des serveuses avec qui j’avais déjà sympathisé un peu. La soubrette a entamé la conversation, nous a demandé si nous avions aimé la musique, mais comme d’autres clients ont eu la mauvaise idée de venir réclamer à boire, elle n’a pas eu le loisir d’écouter nos réponses et s’en fut rapidement pour les servir. J’ai donc continué la conversation avec ma voisine de comptoir. Elle prénommait Valérie et avait 22 ans, était célibataire et travaillait dans un magasin du centre historique de la ville. Je me suis également présenté : Christelle 21 ans, étudiante en sociologie. Nous nous sommes trouvées pas mal d’affinités et avons longuement discuté, en buvant nos consommations

 

L’heure tournait, le bar finit par fermer. Comme elle habitait assez près, elle me proposa de finir de discuter chez elle, autour d’une tasse de thé. Comme sa compagnie était agréable, j’accepta avec plaisir, d’autant que c’était sur ma route, donc pas de problème. Sur le chemin nous avons plaisanté en nous moquant un peu du look des musiciens, (des mecs un peu boutonneux, musicalement bon, mais physiquement pas top). Elle habitait un petit deux pièces au dernier des trois étages d’une vielle maison. Elle me fit asseoir sur un grand canapé de cuir, mis un CD pour briser le silence, alluma trois petits spots, et éteint la lumière principale. Il y a des gens qui savent recevoir !

 

L’atmosphère était très sympathique. Elle prépara le thé et vint s’asseoir à mes côtés pour le servir. Nous avons continué à bavasser de tout et de rien, sans oublier de nous moquer de temps à autre de notre groupe de boutonneux. (Les gens sont méchants, les gens sont moqueurs…)

 

Un moment, elle me demanda si j’avais quelqu’un… un petit ami. Je lui ai confié que non, que j’avais plaqué le dernier quelques semaines auparavant, et que pour l’instant j’assumais parfaitement ma vie de célibataire. Elle m’avoua qu’elle était aussi seule pour le moment et qu’après trois déceptions amoureuses en quelques mois elle avait décidé de prendre un peu de recul avec les mecs, et s’était juré de prendre son temps avant de choisir un nouveau male.

 

Mais il se faisait tard. Je la remerciai et lui proposai de passer chez moi à l’occasion (l’endroit où elle travaillait était à deux pas de ma chambre d’étudiante). Elle me proposa alors de rester dormir chez elle prétextant qu’il se faisait froid dehors et m’assurant que ce n’était pas un problème. Tout en me disant cela elle fit une mine curieusement attristée et approcha son visage très proche du mien. Elle me dit en chuchotant :

 

– Reste s’il te plait !

 

Et elle avança ses lèvres pour m’embrasser, je pris cela pour un petit bisou d’affection mais quelle ne fut pas ma surprise de constater que volontairement, ce sont mes lèvres qu’elle embrassa subrepticement. Je restais sans voix, Valérie me regarda ensuite en me souriant affectueusement, et avant que je ne puisse dire quoique ce soit, elle me plaça le doigt sur la bouche en me faisant « chut ».

 

A nouveau elle me sourit, semble me tester, puis elle se coucha sur moi, me forçant pratiquement à m’allonger, et reposa ses lèvres sur ma bouche. J’étais tellement abasourdie, que je ne trouvai pas l’énergie de protester, et quand elle chercha à pénétrer ma bouche de sa langue, je n’offris aucune résistance, et en quelques secondes nous nous embrassâmes profondément. Hypnotisée, paralysée, les yeux fermés, j’appréciais le goût délicieux de ce baiser.

 

photo52

 

C’est alors que je ressentis une forte et étourdissante chaleur dans tout mon corps. Elle descendit une main vers l’emplacement de ma poitrine et se mis à pétrir mon sein délicatement. Puis elle se dégagea légèrement et vint desserrer ma ceinture. Elle défit deux boutons de mon jean, et fit glisser sa main lentement sur mes poils pour atteindre mon sexe trempé, elle joua quelques instants avec mon clitoris, introduit son doigt à l’entrée de mon vagin et y fit quelques mouvements. Elle retira sa main de ma culotte et lécha ses doigts humides. Elle baissa alors mon jean délicatement, puis ôta mon pull, et mon tee-shirt, elle plaça ses mains sous mon dos et dégrafa mon sous-tif sans difficultés. Elle l’enleva définitivement en le saisissant au niveau de ma poitrine qu’elle pelota un peu au passage. Je me retrouvais totalement nue quand mon hôtesse fit glisser avec délicatesse ma culotte humide. Elle contempla quelques instants ma toison blonde, remonta ses mains à l’intérieur de mes jambes et vint tripoter mon sexe. Lorsqu’elle jugea que ses doigts étaient suffisamment imprégnés de mes sécrétions elle les porta à ma bouche. Je n’avais jamais fait ça, mais je lui suçai les phalanges avec délice, comme dans un rêve.

Elle se mit debout et laissa tomber sa jupe au sol elle se libéra aussitôt de sa culotte maculée. Je m’amusais de constater que son désir s’y était en effet concrétisé en y déposant une insolite auréole de mouille. Elle vint se replacer à califourchon sur moi. Et enleva finalement son pull et son chemisier. Elle se caressa les seins avant de passer ses mains derrière son dos afin de se défaire par ce geste si classique, de son soutien-gorge.

 

Terriblement excitée, je n’avais pas perdu une miette de son strip-tease, et une main par-dessous les fesses une main par-dessus, je me masturbais. Valérie arrêta net mon action et s’allongea sur moi pour m’embrasser de nouveau. Son baiser était maintenant plus féroce, et elle me dévora la bouche pendant plusieurs minutes, puis l’abandonna pour aller sucer mes tétons. Ce n’était qu’une halte, elle n’y resta pas longtemps et finit par plonger vers mon sexe qu’elle lécha à grand coup de langue. Une onde de plaisir en provenance de mon bouton d’amour me secoua alors en plusieurs spasmes. Je jouis dans un essoufflement, qui me donna l’impression que j’allais perdre conscience. Valérie concéda encore quelques coups de langues sur ma vulve inondée. Puis elle posa sa main sur ma chatte comme pour empêcher mon plaisir de s’envoler. Et plaça sa tête sur mon buste pour écouter battre mon petit cœur. Je lui passai la main dans les cheveux avec une tendresse pleine de reconnaissance.

 

En reprenant un peu mes esprits je compris que la moindre des choses était de lui donner du plaisir à mon tour. Ma main caressa d’abord son visage dont la peau était très fine et très douce. Lorsque mes doigts passaient sur ses lèvres elle leurs faisait de petits baisers. Parfois je tentais d’enfoncer un doigt dans sa bouche, elle le mordillait alors affectueusement, puis le rejetait, tout mouillé en le poussant de la langue. Je descendis ma main sur son épaule et la passai sous son aisselle et jouai avec quelques jeunes poils collés par la sueur. Valérie, réagit à mes chatouilles et y mit fin en attrapant ma main pour la positionner sur sa poitrine. Elle avait une jolie paire de seins très ferme mais avait de tout petits tétons, qui pour l’heure étaient très durs et très sensibles vu les gémissements que mon amante laissa échapper lorsque je les lui triturais. Elle était prête pour que je m’occupe de son petit minou, mais notre position ne me permettait pas de l’atteindre.

 

Nous avons alors roulé sur les côtés et je pus ainsi atteindre sa petite chatte. Mais comme je suis très curieuse j’eus envie de l’observer de plus près, pour détailler  » en direct  » un sexe de femme. Bien sûr je m’étais déjà regardé dans un miroir, et j’avais vu quelques films pornos, mais c’était la toute première fois que je pouvais admirer l’anatomie féminine de cette façon. Je m’agenouillai entre les jambes de Valérie, je lui fis les écarter encore plus grand et approcha mon visage au plus prés. Avec le majeur je suivis toutes les lignes de ses parties, mon doigt glissait facilement sur son sexe abondamment mouillé. Son clitoris paraissait plus imposant que le mien et semblait espérer une attention toute particulière, je me suis donc concentré sur son petit bijou. Valérie gémit de plus en plus fort, j’accéléra un peu la cadence, terriblement excitée par ce que je faisais je mis ma main libre sur mon sexe et me branla, m’efforçant de synchroniser le rythme de nos masturbations. J’introduis alors deux doigts dans l’orifice vaginal et la masturba d’une cadence infernale. Elle s’occupa alors elle-même de son clito en plaçant sa main dessus et en décrivant de petits cercles, parfois elle le tapotait, puis elle finit par jouir dans un long râle de plaisir. Je retirai mes doigts de son vagin pour m’occuper de mon intimité, ma double branlette me procura un orgasme fou et je me laissai tomber sur elle, elle m’enlaça. Et nous sommes restées comme ça un long moment, écoutant nos respirations qui lentement se calmaient. Elle finit par s’endormir, je me suis alors levée et habillée sans faire aucun bruit. Et je suis rentrée chez moi. J’aurai voulu rester mais une sorte de petite voix (elles sont bizarres parfois ces petites voix) me dit qu’il était temps de partir.

 

Elle sait où j’habite alors peut-être passera-t-elle ? Je lui ouvrirai alors volontiers en l’invitant à boire un thé.

 

Christelle

 

NDW : Ce texte a connu une 1ère publication sur Sophiexxx, il a été partiellement réécrit, tout en en respectant l’histoire et l’esprit pour l’édition sur revebebe, que nous reprenons ici à la demande de son auteur.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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