Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:07

Karine et son chat par Elian Lvekman

 

Mat Stamp

 

Salut, je m’appelle Vincent, j’ai 26 ans et je vais vous raconter une aventure fort étrange mais néanmoins bien agréable, qui vient de m’arriver.

 

Cet été-là, ma copine m’ayant quitté, je passais des vacances en solitaire dans le Languedoc-Roussillon.

 

Comme quasiment tous les soirs vers les 18 h, j’étais sur la bord de la plage en train de lire un bouquin érotique que j’avais acheté d’occasion et dont le ton primesautier me convenait fort bien. Tout en me délectant de ma lecture, je regardais les nanas sur la plage, et bien que l’on soit début juin, il y avait de jolies petites foufounes à se faire dorer.

 

C’est ce jour-là que je vis passer une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarquée la veille au soir en compagnie de son mari. Elle portait un maillon de bain deux pièces très sexy et très échancré, de couleur jaune qui faisait ressortir son teint hâlé, avec un paréo jeté sur ses épaules, blonde (une vraie, j’ai pu le constater plus tard) avec un corps somptueux, à faire pâlir les minettes de 20 ans… Alors qu’elle remontait en direction de la route, elle passa près de moi, me dévisagea sans aucune gêne, me fit un magnifique sourire et me demanda si par hasard je n’aurais pas une cigarette.

 

J’accède bien volontiers à sa demande, et après avoir allumé la clope, elle porte un regard amusé sur le bouquin que je suis en train de lire.

 

– Vous lisez du Zola ?

– Pas exactement !

– C’est intéressant ?

– Un peu coquin !

– Vous êtes seul ?

 

Je lui explique en deux mots.

 

– J’aimerais bien continuer à discuter avec vous, mais il commence à faire frais. Je vous paie un verre ?

– C’est moi qui vous invite ! Répondis-je.

– N’allons pas engraisser ces voleurs, ma location est à deux pas, venez donc.

 

Vous vous doutez bien que je me fis pas prier. Je l’accompagne jusqu’à sa résidence. Elle avait un cul superbe dans ce petit string jaune, il commençait à me venir des idées lubriques, aussi pour savoir où était son mari, je lui dis que je les avais déjà vus la veille au soir et lui demandai s’ils avaient passé la nuit ici. Elle me répondit que oui, et que son mari était parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée. Elle me servit un coca bien frais et je pus profiter du panorama de son p’tit cul tendu vers moi, quand elle se pencha pour le prendre dans le frigo. Elle se rendit compte rapidement que je n’avais pas le moral, je lui expliquai pourquoi, elle me dit que la vie était faite ainsi, et qu’il ne fallait pas baisser les bras, qu’il y aurait plein de nanas sur terre, et qu’il y en avait sûrement une pour moi.

 

Puis elle excusa, et elle partit se changer dans la chambre. Cette petite bourgeoise commençait franchement à m’émoustiller avec son p’tit air de chienne. Aussi je restai les yeux rivés sur la porte d’entrée de la chambre, qu’elle avait laissé entrouverte. Et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis cette dernière s’ouvrir. En effet Karine (c’est le prénom de cette charmante bourgeoise) se tenait dans l’encadrement de la porte, compétemment nue !

 

Elle remarqua mon regard plein d’envie, me demandant si je la trouvais désirable, je lui dis que oui, qu’elle était très bandante. Elle regarda vers mon maillot et ne put que constater que je ne mentais pas. Elle vint vers moi. Elle était vraiment très bien foutue pour une femme de son âge : des seins bien fermes, un p’tit minou taillé avec soin, des hanches et un cul à damner un saint !

 

Elle n’y alla pas par quatre chemins, me fit signe de la rejoindre dans la chambre, puis se pencha vers moi, m’embrassant à pleine bouche. Nos langues s’emmêlèrent, c’était divin. Je sentis sa main défaire le nœud de mon maillot et descendre vers ma queue, qui était déjà très tendue, elle me branla un peu puis se mit à genoux entre mes cuisses et sortit ma queue de sa prison de tissu. Elle prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup se l’enfila au fond de la gorge. Elle se mit à faire des aller-retours, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin ! C’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait pratiqué une fellation comme celle-ci !

 

Elle me caressait les testicules en même temps et d’un coup, je sentis un doigt caresser mon anus, puis d’un p’tit coup sec, elle me l’introduisit. Voilà une sensation que je n’ai pas connue depuis bien longtemps, mon ex ayant toujours refusé, malgré mes demandes discrètes, de toucher à ma rosette. Karine reprit de plus belle sa succion sur ma queue bien dure. Je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serais pas arrivé : elle était accrochée à ma bite comme une sangsue.

 

C’est alors que j’entendis un bruit bizarre provenant du dressing. D’instinct je regardais dans cette direction.

 

– T’inquiètes pas, c’est le chat ! Me rassura Karine, interrompant un court moment sa fellation pour la reprendre de plus belle.

 

La chambre se remplit de bruits de succion et de nos râles, je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dis. Elle se mit à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon : je lui déchargeai dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud.

 

Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… J’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille, aussi je la pris par la taille, je la couchai sur le lit et là elle m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au début des grandes lèvres, le reste étant totalement épilé. C’était très excitant, je plongeai ma tête vers ce sexe gonflé par le désir et qui n’attendait que ça ! Mais si elle était experte en fellation, je ne pouvais pas prétendre à la pareille en matière de cunnilingus, mais néanmoins j’adore ça, je pourrais bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter.

 

Je titillai son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait une abondante cyprine, (une vraie chienne je vous dis !) Elle mouillait comme une salope. C’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe. Tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduisis un doigt, puis deux dans le vagin. Elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe. Elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de ma langue, je montai à mon tour sur le lit et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur. Ne voulant pas perdre de temps, je la saisis par la taille, et nous voilà partis dans un 69 fort agréable, j’avais au-dessus de ma tête un cul splendide.

 

Je lui aspirai son clito, tout en la fouillant avec un doigt, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduisis dans l’anus. Elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea à en introduire un deuxième. Pas besoin de salive : elle était de plus en plus mouillée. Ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachai ma queue de la bouche et pris un préservatif dans mes affaires. Elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit, le prit dans la bouche et se baissa sur ma queue pour me l’enfiler avec la bouche. J’avais déjà vu faire dans un film X, mais jamais on ne me l’avait jamais fait.

 

J’avais vraiment eu une bonne idée de venir sur cette plage ce soir-là : j’étais tombé sur une salope en chaleur. Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dis de se mettre à quatre pattes. Je frottai mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs. Je positionnai ma queue face à son vagin et d’un coup de reins, je m’enfonçai jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Je la saisis fortement par les hanches et je commençai à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul.

 

De nouveau le chat se mit à faire du bruit.

 

– Il est enfermé ?

– Non, non, il joue ! T’occupe pas, baise-moi !

 

Elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue au plus profond d’elle. Elle avait la tête et les épaules sur le lit, et se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond. Je voyais son petit œillet brun se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule. Ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, plaçai mon gland contre son anus, et je commençai à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles. Là elle donna un grand coup de bassin en arrière et ma queue la pénétra d’un trait. Je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençai à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort. Elle était déchaînée et remuait en même temps que moi.

 

Je lui défonçai littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir. Au bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirai de son p’tit trou et m’allongeai sur le dos. Elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient… Elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui l’illuminait, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis la guida vers son anus et exerça un forte pression. Elle s’empala à nouveau l’anus sur ma queue, elle se déchaîna comme une folle sur celle-ci et d’un coup elle se raidit et partit en arrière. Elle venait d’avoir un orgasme foudroyant.

 

Je me remis sur elle et lui replaçai ma queue dans son vagin. Je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi. Je me retirai, ôtai la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoyai la purée en plein visage. Elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel…

 

Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, c’était pour l’hygiène, et que ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.

 

Karine

Vu qu’elle m’avait dit que son mari n’arrivait que vers les 22 h, je me levai pour aller chercher deux cigarettes, puis vient me rallonger près d’elle. Moment divin de détente après le plaisir… Pendant que j’allumai ma clope, Karine me caressait ma queue, qui avait débandé après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite bite toute flasque, mais qui sous ses caresses expertes, commençait de nouveau à réagir.

 

Il n’en fallut pas plus à la jolie blonde pour se jeter dessus comme la syphilis sur le bas clergé breton. Elle recommença à me sucer d’une façon totalement divine : c’était le pied royal, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’un mouvement de branlette. A ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche. Elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remit en bouche pour ne laisser aucune trace. Elle remonta vers moi, je l’embrassai à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme

 

Il fallait que je me lève pour pisser… Et c’est à ce moment que j’entendis de nouveau le chat se manifester, un drôle de bruit, comme un raclement étouffé.

 

– Il doit être coincé ton chat ?

– Mais non, ne t’inquiètes pas !

 

Mais voilà que le  » chat  » se met à tousser. Un chat qui tousse ? Imaginez mon trouble.

 

– Bon, ben sors, Robert ! On va s’expliquer ! Lance Karine à l’intention du placard.

 

Et voilà qu’un bonhomme rondouillard, moustachu et dégarni, nu comme un ver et la bite en étendard sort du placard.

 

– Pas de panique, je t’explique ! Me dit Karine, alors que je commençai à rassembler mes fringues.

– Je m’en vais, je m’en vais. Balbutiai-je.

– Mon mari est voyeur, il se régale de me voir me faire baiser par des hommes plus jeunes. Voilà, c’est tout simple.

– D’accord, OK, pas de problème, j’ai passé un bon moment, mais je vais peut-être partir, maintenant.

 

J’ai l’idée de m’enfuir à toutes jambes, mais le type à l’idée malencontreuse de rester planté au seuil de la porte, je ne peux tout même pas le bousculer.

 

– Allons, allons, jeune homme, acceptez donc un verre d’apéritif, la situation est insolite, mais n’a rien de dramatique. Me propose le bonhomme.

 

Je décide donc d’accepter de boire un coup et de partir après. En fait contre toute attente, le type se révéla super sympathique et plein d’humour, après quelques échanges de banalités, il me dit :

 

– Vous m’avez bien fait bander, comment vous l’avez bien baisée cette chienne ! J’adore la regarder se faire prendre, et comment vous l’avez enculée, c’était génial !

 

Et tout en disant cela il se tripote la queue qui devient bientôt toute raide.

 

– Tu veux qu’il te suce ? Me demande Karine.

 

Question incongrue, à laquelle je réponds par reflexe.

 

– Non, non, j’ai plus de jus, j’ai tout donné !

– Le contraire alors ?

 

J’ai du mal comprendre.

 

– Tu ne voudrais pas le sucer ? Insiste Karine

– Non, non ! Je ne fais pas ça !

– Ça lui ferait plaisir, je crois, et puis ça me ferait plaisir à moi aussi. Insiste Karine.

– C’est pas mon truc !

– Qu’est-ce que tu en sais ?

– Je ne suis pas attiré par les hommes.

– Mais on ne te demande pas d’être attiré par les hommes, on te demande juste de sucer une queue. Faut tout essayer dans la vie.

– Vous m’embêtez un peu, là !

– On n’embête que les gens qu’on aime bien. Encore un petit verre de Banyuls pour te motiver.

– Un demi-verre, alors !

 

Est-ce mon inconscient qui me guide, je viens de me rendre compte que je ne dis plus  » non « . Je bois une lampée d’apéro, je croise le regard de Karine : elle ne me dit rien, mais il est clair qu’elle attend  » que j’y aille « .

 

– Juste un peu, alors ! Je n’ai jamais fait ça, moi !

– Pas de problème ! Approuve-t-elle avec le plus délicieux des sourires.

 

Je me penche et j’engloutis la queue de Robert. Je suis agréablement surpris par la texture de son membre et de la sensation agréable de l’avoir en bouche. Mais je réalise aussitôt que je suis en train de sucer une bite et que ça ne me déplait pas. Quelque chose ne va pas, je me recule.

 

– Voilà, on avait dit juste un peu ! Commentai-je

– On va le sucer à deux, me propose alors Karine.

 

Je ne sais par quel miracle je me suis retrouvé l’instant d’après en train de partager la bite de Robert avec sa femme, mais cette fois rien ne nous arrêtait plus. Au bout de dix minutes, Robert eut le tact de se reculer afin de m’éviter de recevoir son sperme sur la figure.

 

– Tu restes pour diner ? Me proposa Robert.

– Pourquoi pas ?

– Et après si on est pas trop fatigués on jouera au chat !

 

Fin

 

Merci à Christian de Sophiexxx (site disparu) pour l’ambiance.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:03

Julie à la plage par Elian Lvekman

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Sur cette plage d’Aquitaine, on peut pratiquer le naturisme sauvage sans problème. J’étais à regarder les nanas sur la plage, et malgré que l’on soit début juin, il y avait pas mal de petites foufounes à se faire dorer, quand je vis remonter du bord de l’eau une superbe femme, la quarantaine passée, que j’avais déjà remarqué la veille au soir en compagnie d’un homme. Joli bronzage, seins superbes. Je m’assois sur ma serviette afin de ne pas la mater bêtement debout. Elle s’arrête pour ramasser quelque chose. Un coquillage ? Elle ne se presse vraiment pas, si elle ne comprend pas que je la mate, c’est qu’elle est miro ! Elle arrive à ma hauteur :

 

– Alors jeune homme, on se fait bronzer la bite ?

 

Imaginez ma surprise d’être ainsi interpellé de façon si triviale !

 

– Heu, bonjour, balbutias-je.

– Je peux m’assoir à côté de vous ? Demande-t-elle. Je m’appelle Julie.

 

Je pensais que vu sa réflexion, elle allait me brancher sexe, mais non on se met à discuter de banalités… de fil en anguille, on parle d’un peu de tout, elle m’indique que son mari est parti avec des amis faire de la voile pour la journée, et que préférant se prélasser sur la plage, plutôt que de se faire secouer dans un bateau, elle attendait son retour en fin de soirée.

 

Elle remarqua mon regard plein d’envie.

 

– Vous me trouvez comment ? Désirable ? Me demande-t-elle.

– Oh ! Oui ! Vous me faites de l’effet !

 

Elle regarda vers ma bite, et ne put constater que je ne mentais pas. Elle n’y alla pas par quatre chemins, elle se pencha vers moi, et m’embrassant à pleine bouche, nos langues s’emmêlèrent, c’était divin, je sentis sa main descendre vers ma queue qui était déjà très tendue, elle me branla un peu, puis se mis à genoux entre mes cuisses et prit mon gland dans sa bouche, fit rouler sa langue dessus, puis d’un seul coup, se l’enfila au fond de la gorge, elle se mit à faire des aller-retour, je sentais sa langue qui me caressait la queue en même temps qu’elle me suçait, c’était divin, c’était une experte, on voyait qu’elle prenait un pied royal rien qu’à sucer, et jamais on ne m’avait sucé comme ça, elle me caressait les testicules en même temps

 

Puis d’un coup je sentis un doigt caresser mon anus, et soudain, d’un p’tit coup sec, elle me l’introduit, en reprenant de plus belle sa succion sur ma queue, je crois que si j’avais essayé de lui l’enlever de la bouche, je n’y serai pas arrivé, elle est accrochée à ma queue comme une sangsue, la plage était remplie de bruits de succion et de nos râles.

 

Un petit regard circulaire ! Horreur il y a un mec à quinze mètres sur la droite qui nous mate en se tripotant la queue.

 

– Arrêtez, il y a un mec…

– On s’en fout, et puis ça ne me dérange pas, j’aime bien qu’on me regarde ! Me dit-elle.

 

Je vis sa main descendre vers son minou, je la vis se caresser, je ne pouvais plus tenir, j’allais jouir, je le lui dit, et se mis à me branler en même temps qu’elle me suçait, et là c’était trop bon, et je lui déchargeais dans la bouche de longs jets de sperme tout chaud. Après deux ou trois jets, elle sortit ma queue de sa bouche et continua à me branler, se prenant tout le reste de mon sperme sur le visage et dans les cheveux… c’était une vraie chienne… j’étais vidé, mais bien décidé à lui rendre la pareille.

 

Elle s’allongea et m’ouvrit ses cuisses et je pus enfin me retrouver nez à nez avec son joli p’tit minou tout blond et impeccablement taillé, juste un p’tit trapèze sur le pubis, qui s’arrêtait au bord des grandes lèvres, le reste était totalement épilé, c’était très excitant. Je plongeais ma tête vers ce sexe gonflé par le désir qui n’attendait que ça, mais si elle était experte en fellation, j’en étais pas moins expert en cunnilingus, j’adore ça, je pourrai bouffer un minou des heures durant, si on ne me suppliait parfois d’arrêter. Je titillais son clito avec ma langue, alternant les succions, les mordillements, et bien sûr je ne laissai pas de côté son vagin, d’où sortait un jus abondant, une vraie chienne je vous dis, elle mouillait comme une salope, c’était divin de laper ce miel qui coulait de son sexe, tout en continuant à lui lécher le clito, je lui introduit un doigt, puis deux dans le vagin, elle me prit la tête à deux mains et compressa mon visage contre son sexe, elle prenait son pied, elle eut un orgasme terrible, je sentis son corps se tendre sous les caresses de sa langue.

 

Nous nous retrouvâmes ensuite tête-bêche, et elle se remit à me sucer pour que ma queue retrouve toute sa vigueur, et nous voilà parti dans un soixante-neuf fort agréable

 

J’avais au-dessus de ma tête un cul splendide, je lui aspirait son clito, tout en la fouillant avec l’index, puis je ressortis mon doigt, lubrifié par sa mouille et lui l’introduit dans l’anus, elle avait l’air d’aimer ça, ce qui m’encouragea, à en introduire un deuxième, sans avoir besoin de salive, elle était de plus en plus mouillé, ne tenant plus et ayant envie de me bourrer ce p’tit cul, je lui arrachais ma queue de sa bouche, et pris un préservatif dans ma petite pochette, elle me l’arracha des doigts, l’ouvrit et le pris dans la bouche et se baissa sur ma queue, elle me l’enfila avec la bouche, j’avais déjà vu faire dans une vidéo, mais jamais on ne me l’avait fait, j’avais vraiment eu raison de venir sur cette plage ce soir-là, j’étais tombé sur une salope en chaleur !

 

Elle me suça un peu avec la capote, mais maintenant je voulais la prendre, la remplir de ma queue, je lui dit de se mettre à quatre pattes, je frottais mon gland contre sa fente et son clito, elle poussait des soupirs, j’alignais ma queue face à son vagin et d’un coup de rein, je m’enfonçais jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir, je la saisis fortement par les hanches et je commençais à lui défoncer la chatte, mon pubis venant à chaque fois claquer fortement contre son cul, elle se cambra au maximum, pour sentir ma queue le plus profond en elle, elle avait la tête et les épaules sur ma serviette, et elle se mit à prendre ses fesses dans ses mains et à les écarter, comme pour que j’aille encore plus profond.

 

Julie2

 

Je voyais sa p’tite rosette se détendre, je compris qu’en fait elle voulait que je l’encule, ne réfléchissant pas plus longtemps, je sortis ma queue de son sexe, positionnais mon gland contre son anus, et je commençais à pousser doucement, pour faire glisser ma queue dans ses entrailles, et là elle donna un grand coup de bassin en arrière et, ma bite la pénétra d’un trait, je n’allais pas assez vite à son goût, et elle avait très envie de se faire défoncer la rondelle apparemment, alors je commençais à lui limer le cul tout doucement, et puis de plus en plus fort, elle était déchaînée, et elle remuait en même temps que moi, je lui défonçais littéralement le cul, et elle aimait et en redemandait, elle gémissait et se tordait de plaisir, à bout d’un moment un peu fatigué par ce pilonnage en règle, je me retirais de son p’tit trou et m’allongea sur le dos, elle se mit à califourchon sur moi, et fit glisser ma queue dans sa p’tite chatte, et elle reprit les va-et-vient, elle était en pleine extase, son visage était beau à voir, avec le plaisir qui lui donnait un autre aspect, puis d’un coup sans crier gare, elle se leva un peu plus que d’habitude, faisant sortir ma queue de son sexe, puis le guida vers son anus et exerça un forte pression et s’empala à nouveau l’anus sur ma bite, elle se déchaîna comme une folle sur ma queue et d’un coup, elle se raidit, et parti en arrière, elle venait d’avoir un orgasme foudroyant

 

Je me remis sur elle, et lui remis ma queue dans son vagin, je repris de plus belle les va-et-vient, elle criait son plaisir, elle gémissait comme une folle, une vraie furie, je sentais le plaisir monter pour moi aussi, je me retirais, ôtais la capote et je lui tendis ma queue, qu’elle commença juste à sucer, quand je lui envoya la purée en plein visage, elle était aux anges, elle me suça jusqu’à la dernière goutte, ma queue reluisait de sa salive, elle était nickel …

 

Je me suis couché à ses côtés, elle est venue se blottir dans mes bras, elle m’a dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu une baise comme ça et que maintenant avec son mari, ce n’était plus aussi intense qu’avant, et qu’il lui arrivait de temps en temps de trouver des jeunes hommes assez gentils pour combler son manque de queue.

 

Julie me caressait de nouveau ma queue, qui avait débandée après tous les efforts fournis, elle branlait ma p’tite queue toute flasque, mais qui sous ces caresses expertes, commença à réagir, il n’en fallut pas plus à Julie pour se rejeter dessus, comme la misère sur le monde, elle recommença à me sucer d’un façon totalement divine, c’était le pied, elle me suça avec frénésie, agaçant mon frein, mon gland avec sa langue, alternant les caresses de la langue, avec des succions terribles accompagnées d’une branlette, à ce rythme-là, ma queue se mit à lui déverser à nouveau mon plaisir dans la bouche, elle frotta ma queue pleine de sperme sur son visage et la remis en bouche pour ne laisser aucune trace, elle remonta vers moi, je l’embrassais à pleine bouche, échangeant nos salives et mon sperme.

 

Je me levai, regardant ce splendide corps nu de femme mature encore une dernière fois, nous nous embrassâmes, elle me remercia pour ce moment agréable … c’est moi qui la remerciais, car jamais on ne m’avait sucé comme ça, et cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour …

 

Et alors que j’allais m’éloigner, le voyeur s’approcha de nous, la bite à l’air.

 

– Félicitations jeune homme, vous avez admirablement baisé ma salope de femme !

 

Oups !

 

Je sens venir le traquenard.

 

– Rassurez-vous jeune homme, je n’ai pas de mauvaises intentions, j’adore la voir se faire baiser.

– Ah bon, ben, tout le plaisir était pour moi, bonne soirée.

– Juste une question ? Comment trouvez-vous ma bite ?

 

Ça y est j’ai compris, le mec est bisexuel ! Il s’y prend bien lourdement, je trouve ! Je vais l’épater, le bonhomme.

 

– Elle est très belle !

– Vous voulez la toucher ?

– Je peux même vous la sucer si ça vous fait plaisir, je ne fais pas ça souvent, mais à l’occasion ça ne me déplait pas du tout.

 

Et c’est l’exacte vérité, j’ai eu plusieurs fois l’occasion d’avoir une bite dans ma bouche, j’ai trouvé l’expérience plaisante, cela dit, je ne cherche pas non plus, je me classe comme hétéro, mais disons que je suis ouvert à la discussion.

 

Et l’instant d’après j’avais sa bonne bite dans la bouche. Je me régale de sa douce texture, de son goût légèrement fauve. Je lui titille le gland, je lui lèche la hampe, j’essaie aussi de gober ses grosses boules, puis je me livre à des va-et-vient intempestifs, bref je m’amuse bien.

 

Je ne me suis jamais fait sodomiser, mais je me suis souvent introduit un gode dans le cul, me faire enculer par un homme est un fantasme tenace. Et je me dis que si le mec me le propose, je tenterais volontier l’expérience.

 

Mais pour l’instant aucun signal, sans doute souhaite-il que je le suce à fond.

 

Je continue à le sucer, mais ce fantasme me taraude : « il va me le proposer ou pas ? ».

 

Je fais une pause, pour me reposer la mâchoire et là, je me jette à l’eau :

 

– Tu voudrais m’enculer ?

– T’es vraiment une petite salope, toi !

– Tu ne veux pas ?

– Mais si ! Je vais t’enculer comme une chienne.

 

Je me suis mis à quatre pattes, avec un peu d’appréhension quand même. Sa bite est entrée asse facilement, c’est plus gros qu’un gode, j’ai une énorme sensation de gêne qui s’accroit encore quand le mec se met à bouger là-dedans, j’ai failli lui dire d’arrêter, mais je me suis mordu les lèvres, me disant que ça allait s’arranger. Effectivement la gêne a rapidement fait place aux ondes de plaisir. Je me fais enculer et je suis bien. J’ai même trouvé que ça n’avait pas duré assez longtemps, le mec a joui rapidement et a déculé, me laissant le trou du cul béant.

 

– Alors content ? Me demande Julie.

– Content, mais crevé

 

J’attendais quelque chose, je ne sais pas quoi, une invitation pour un autre jour ou quelque chose dans le genre, mais non, on s’est dit aurevoir et je suis rentré faire dodo.

 

Le lendemain je suis allé sur la plage, j’ai attendu Julie, elle n’est pas venue, c’est la vie.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 18:00

Josée, l’amie de ma mère par Elian Lvekman

Mat Stamp

Bonjour, je suis un jeune homme au chômage et pour me faire de l’argent de poche je fais du ménage chez des gens.

 

Un jeudi, Josée, l’amie de ma mère, appelle à la maison pour me demander si je peux venir faire le ménage aujourd’hui plutôt que le lendemain, moi pas compliqué, je lui réponds :

 

– Pas de problèmes j’arrive.

 

Je préviens ma mère.

 

– Ah, ça tombe bien, je devais lui rapporter son plat à tarte, prends-le, ça m’évitera d’y aller.

– Bien sûr

 

Josée à 50 ans, joli visage, un peu dodue, de belles formes, fausse blonde, frisée. Apparemment elle vit seule.

 

Cela ne fait qu’un mois que je fais le ménage chez Josée, les choses se passent toujours bien. Elle est gentille et souriante. Et puis elle a des gros nénés

 

Arrivé à la maison de Josée, celle-ci m’ouvre, elle n’est pas encore habillée et elle est vêtue d’un haut de pyjama ou plutôt d’un très long tee-shirt. Ses tétons pointent par en dessous. J’en suis tout chose

 

– Ah ! Maman m’avait demandé de vous rapporter votre plat à tarte, j’ai complètement oublié…

– Pas grave, elle viendra me le porter. Ah, aujourd’hui, j’ai un caprice, tu n’es pas obligé d’accepter, mais si tu acceptes, je double ta prime.

– C’est quoi ?

– J’ai retrouvé une tenue de soubrette, elle doit être à ta taille, j’aimerai que tu fasse le ménage avec. Ça va m’amuser !

 

Sa proposition ne me pose aucun problème et n’est pas trop compliqué, la tenue consiste en une espèce de tablier noir avec de la dentelle blanche, il y a aussi une petite coiffe ridicule et des bas auto-fixants.

 

Je passe tout ça !

 

– La culotte n’est pas assortie, c’est dommage ! Me dit Josée, je vais en chercher une.

 

Quand elle revient, elle me dit qu’elle n’a pas trouvé de culotte à ma taille mais me propose de ne pas en mettre. Elle est gonflée quand même, mais comme il y a une prime au bout…

 

Arrivé vers la fin de mon ménage, il ne me reste que le plancher de la salle de bain à laver. je suis à quatre pattes en train de frotter quand Josée rentre, je ne remarque pas sa présence jusqu’à temps qu’elle me dise :

 

– On t’as déjà dit que tu avais de très belles fesses !

 

Je lui répond très gêné :

 

– Euh, non ! Mais merci du compliment !

 

Je trouve ça bizarre car d’habitude elle ne me parle presque pas. Alors tout le temps que je finisse de frotter le plancher Josée reste derrière moi à me regarder faire ou plutôt à regarder mon cul, quelque fois je me retourne pour voir si elle est toujours là et comme elle était assise sur le bord de la baignoire tout ce que je vois très près de moi c’est une paire de jambes nues et sans rien aux pieds.

 

Alors une fois mon travail terminé je me lève, range les choses et commence à me préparer à partir. Josée est allée dans sa chambre chercher de l’argent pour me payer, elle revient et me dit:

 

– Je suis complétement désolée je n’ai pas d’argent dans mon sac, je croyais en avoir désolée !

 

Je lui répond:

 

– Bah ! c’est pas plus grave que ça vous donnerez mon salaire à ma mère et elle me le rendra.

 

D’un coup Josée s’approche de moi sans rien dire et me dit à quelque centimètres de mon visage:

 

– Tu sais je peux te payer d’un autre façon et toi tu peux me faire profiter de ces belles fesses-là !

 

La seule réaction que j’ai eu fut de bander, le reste de mon corps était subjugué par cette offre. Et accoutré comme je l’étais mon érection a été très vite visible. Josée alors me dit en me touchant le sexe :

 

– Je vois bien que tu es d’accord, il n’y a qu’à regarder ta queue !

 

Alors ma deuxième réaction a été de la suivre jusqu’à sa chambre

 

Une fois sur place, elle me pousse sur le lit en me disant :

 

– Laisse-toi faire, tu vas voir ça vaudra très bien ta prime.

 

Elle sort deux long foulards et m’attache les mains sur la tête du lit, elle me déshabille lascivement à l’exception des bas, et me caresse tout le corps. Elle ouvre ensuite une bouteille de vin blanc et m’en verse environ la moitié sur moi, j’ai du vin de la tête aux pieds vraiment partout et elle commence à me lécher tout le corps en me pognant les fesses par en dessous et me dit:

 

– Tes fesses je les adore, mon beau !

 

Elle me demande:

 

– Alors ce soir tu es prêt à tout ?.

 

Et je lui réponds d’une voix ferme

 

– Oui ma belle Josée, je suis tout à toi !

 

Alors elle me détache et me dit de me tourner sur le ventre, je m’exécute sans rien dire, une fois sur le ventre elle me rattache les mains et me dit:

 

– Enfin je vois ces fesses-là et elles sont juste à moi !

 

Alors elle commence à les caresser, les lécher les mordiller, mais d’un coup je sens son doigt aller vers mon anus, je lui demande

 

– Tu fais quoi là ?

 

Elle me répond :

 

– Laisse-toi faire, j’ai de l’expérience, relax !

 

Comme elle allait de plus en plus loin, je lui dit :

 

– Non, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée !

– Ha ! Laisse-toi faire ! Tiens, j’ai une idée !

 

Elle sort un autre foulard, me le mets sur la bouche et elle dit :

 

– Tiens, comme ça je vais avoir la paix !

 

Et elle continue cette fois avec le doigt rentré au complet entre mes fesses. Elle m’entend pousser des cris et alors elle commence à faire des va-et-vient de plus en plus vite et fort elle tourne son doigt et me dit :

 

– Tu aimes ça pas vrai, je le savais ! Tous les hommes aiment ça ! On ne te l’avait jamais fait ?

– Huumpf ! Répandis-je, étant toujours bâillonné.

– J’ai un petit truc qui devrait te plaire.

 

Elle farfouille dans un tiroir et sort un gode tout noir en forme de bite.

 

– Mouille le avec ta salive, ça entrera mieux.

 

Je fais « non » de la tête. Elle s’en fiche et enduit d’objet avec un liquide lubrifiant puis elle me l’enfonce dans le cul. Je gémis, je gesticule, je refuse qu’on m’introduise cette chose dans mon anus.

 

Josée s’en fout, elle me viole carrément et fait gigoter le gode. Au bout d’un petit moment, je me rends compte que ça me fait du bien. Je m’abandonne, je me laisse faire.

 

Elle finit par le retirer et m’ôte mon bâillon.

 

– Alors ça t’a plu de te faire enculer ?

– Non !

– Menteur ! Tous les hommes adorent ça, mais il y en a pas beaucoup qui l’avoue.

 

Elle me détache de nouveau, me retourne et me rattache, ensuite elle se lève devant moi et enlève son tee-shirt, deux gros seins se présentent à moi ainsi qu’une belle chatte bien poilue et déjà toute juteuse. Alors elle commence à faire promener ses gros seins sur mon corps et ensuite ses lèvres et sa langue. une fois arrivée à ma queue qui était à son maximum, prête à exploser, elle la rentre enfin dans sa bouche et commence à promener sa langue et ses lèvres sur tout mon membre en même temps qu’elle me masturbe.

 

Une fois que je commence à sentir la semence monter je pousse des cris comme quoi je vais venir, elle lève ses yeux vers moi et me jette un regard comme quoi elle avait compris que ça venait et alors elle continue de plus belle, elle masturbe et suce plus vite comme si elle voulait que je vienne vraiment le plus rapidement possible. Une fois la semence arrivée à destination je lui déchargeais tout dans la bouche, alors elle arrive vers ma figure et m’embrasse, moi je croyais qu’elle avait avalé, mais non tout mon liquide était encore dans sa bouche et là il était en train de se promener dans la mienne avec la langue de Josée, alors une fois l’embrassade fini je crachai tout ce que j’avais dans la bouche et ça tombait sur ma poitrine, elle me dit

 

– Na, tu aimes pas ça ?

 

Alors elle reléche tout et revient sur ma bouche et me réembrasse et me bouche le nez en me tenant la bouche pour que je sois obligé d’avaler et elle riait beaucoup à me voir ma mine. Une fois finie, elle me détache et me dit

 

– Tu as aimé ça ?

– Oui mais maintenant, ça va être à ton tour d’y gouter !

 

Je la fais coucher sur le lit et d’un coup on est interrompus par la porte qui sonne. Josée se lève et revient très vite avec la face très longue et apeurée en me disant

 

– C’est ta mère à la porte.

 

Alors je me dit « Merde ! » Je suis fini elle va nous tuer les deux

 

Josée va ouvrir sans remettre son tee-shirt et au lieu de fermer la porte de la chambre, cette imbécile l’y fait entrer !

 

Ma mère me voit au milieu du lit, nu comme un ver à l’exception des bas que j’ai conservé avec une belle et grande érection et elle me regarde puis se tourne vers Josée en lui disant

 

– Ben dis-donc, toi ! Tu n’es pas capable de passer une journée sans sexe, pas vrai ?

 

Alors je me lève prend mon pull-over pour me cacher et dit à ma mère

 

– On s’amusait juste un peu ! On ne fait rien de mal !

 

A ma grande surprise ma mère me répond

 

– Ben non, vous ne faites rien de mal, mais j’aimerais bien regarder la fin, Parce que vous n’aviez pas fini, c’est bien ça ?

 

Moi la figure me tombe par terre en comprenant que ma mère voulait me regarder baiser avec sa meilleure amie.

 

Josée me regarde et se retourne vers ma mère en lui disant

 

– Ah ! Bonne réaction ! Pas de problème prends la chaise dans le coin, assis-toi et regarde !

 

Alors moi ne pensant plus à rien je recommence à caresser Josée et à l’embrasser timidement, alors elle me prend et me bécote à pleine bouche comme une vrai salope. Je commence à lui caresser la chatte toute mouillée et les seins qui étaient déjà tout durs. A un moment donné quand j’étais le visage en plein entre les cuisses de Josée j’entends une respiration forte qui n’était ni la mienne ni celle de Josée alors j’arrête et regarde dans la coin ma mère n’en pouvait plus, elle avait la robe relevée, la main dans la culotte et se donnait du plaisir. Ma propre mère qui était excitée par son fils, moi, je n’en croyais pas mes yeux. Alors Josée ouvre les yeux pour voir pourquoi j’avais arrêté et elle voit elle aussi ma mère en train de se donner du plaisir et lui dit:

 

– Viens ! Joins-toi à nous !

– Mais enfin, c’est mon fils !

– Qu’est-ce que ça peut bien faire ? Et puis au point où t’en es…

– C’est de l’incitation à la débauche !

 

Elle dit ça en rigolant

 

– Parfaitement, allez viens !

 

Josee33

Ma mère se lève sans hésiter davantage, se jette sur le lit et commence à me masturber et à embrasser Josée, elle se penche ensuite pour me sucer la queue pendant que je mangeais la chatte à Josée une fois fini, je débraille ma mère afin de lui lécher ses seins magnifiques, puis je me mets sur elle et lui rentre ma queue dans la chatte je la sens frémir dans mon cou et elle me grafigne le dos avec ses longs ongles pendant que Josée se caresse à côté. Après ce fut le tour de Josée de jouir après que je l’ai enculé avec frénésie. Une fois la partie de jambes en l’air avec ma mère et son amie, Josée nous a servi un café et c’est là que j’ai appris que ma mère et Josée avaient déjà fait du sexe ensemble à l’école où elles étaient pensionnaires et c’est pour ça quelle sont de grandes amies et qu’elles peuvent avoir du sexe ensemble sans se sentir tout bizarre.

 

– Si tu veux, on recommencera ! Me dit ma mère, ce sera notre petit secret à tous les deux Et puis j’aimerais bien que tu m’encules.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:57

Irène et Smart par Elian Lvekman

 

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Voici une aventure qui a bouleversé ma vie il y a une trentaine d’années et m’a ouvert la porte à de fabuleux plaisirs.

 

Ma tante Irène est une très belle femme de cinquante-trois ans, légèrement potelée, très sexy, les fesses bien pommelées, et une poitrine ferme. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.

 

Divorcée depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous n’avions jamais vue tante Irène en compagnie d’un homme. Une pension confortable laissée par son ex lui permettait de bien vivre sans travailler.

 

Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un berger allemand baptisé Smart à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.

 

Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.

 

Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand débarras où devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.

 

Ma crainte fit place à la stupéfaction. Irène à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Smart. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, la limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau lui arrachant des râles de plaisir.

 

Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier son plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.

00Irene

La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.

 

Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.

 

J’allais me retirer discrètement, quand Smart reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.

 

Irène qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Smart, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devint cramoisie et s’écroula en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant

 

– Quelle honte ! Quelle honte !

 

Aussi gênée qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :

 

– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à faire ça. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.

 

Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :

 

– Que j’ai honte, que j’ai honte !

 

Je continuais de la rassurer :

 

– On se calme ! Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.

 

Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Smart s’était relevé, il sautillait autour de nous.

 

Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Irène délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :

 

– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?

– Non, non, je trouve cela plus excitant de te baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Smart. Soit chienne, j’adore ça.

 

Irène s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Smart prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.

 

C’est ainsi que ma Tante devint ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes pendant lesquelles elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.

 

Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Smart, je lui avouais être légèrement bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.

 

Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle pris un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :

 

– Il est gros, ce sera mieux.

 

Irène profitait de l’encrémage pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais où, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle

 

Elle appela Smart, il me reniflait le cul, puis sa langue balaya mon petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commença à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser ! De lui-même il me monta sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.

 

Irène saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.

 

Dès qu’il fut en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon !

 

La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Smart comme une chienne ! Je me régalais. Tante Irène aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.

 

Smart s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.

 

Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avec qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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Samedi 17 juillet 2021 6 17 /07 /Juil /2021 17:54

Gloria la provocante par Elian Lvekman 

 

pipe stamp

Bonjour à vous tous ! Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée il y a quelques mois à peine. J’ai 23 ans et je suis un homme de très belle apparence (enfin c’est ce qu’on dit de moi) Un excellent collègue, Bertrand, fêtait sa toute nouvelle promotion dans sa maison de campagne. J’y étais allé seul, venant juste de rompre avec… celle qui est désormais mon ex.

 

Gloria, la femme de Bertrand est une jolie brune aux cheveux longs, très grande avec des seins à en faire craquer plus d’un. De plus, elle portait ce soir-là un pantalon blanc super moulant, elle n’avait pas mis de culotte, et son entre-jambes laissait deviner la forme de son sexe. Un camel-toe comme disent les branchés.

 

Elle portait également une sorte de caraco blanc serré, qui mettait bien en valeur ses seins et s’arrêtait au nombril. Magnifique nombril, de quoi faire bander un gars assez vite. Toujours est-il que Gloria but beaucoup au cours de cette soirée et quand elle boit elle devient chaleureuse comme ce n’est pas possible. Elle l’est déjà sans boire, donc imaginez comment elle peut l’être…

 

Toute la soirée elle se colla sur moi sans que Bertrand ne s’en aperçoive. Un défilé de mode nous est offert, on le regarde et elle est en face de moi, dos à moi. Elle recule, se colle sur moi. Je sens les courbes de ses fesses se poser sur mon pénis qui commence à être en érection. Elle fait des petits mouvements de va-et-vient que personne ne peut voir. Tout d’un coup, avec la main opposée à celle de son mari, elle la pose sur mon pénis par-dessus mes jeans. Quelle sensation : Comment réagir ? La femme de mon meilleur collègue qui me fait ça ! Comme je ne suis pas fait en bois, je me laissais caresser ainsi.

 

La soirée se passa bien et fut arrosée comme il se doit, puis vint le moment des  » adieux « . Bertrand m’offrit de coucher chez lui plutôt que de remonter chez moi. J’acceptai car la boisson et le volant, ça ne fait pas bon ménage. Pendant que Bertrand était allé se soulager d’un besoin naturel dans les toilettes, Gloria décida de m’offrir un spectacle inouï. J’étais assis dans le salon et de là on peut voir dans la chambre de mon ami. Elle commença par enlever son pantalon devant moi sans gêne, mais aussi sans me regarder. Elle se dévêtit complètement et enfila son pyjama deux pièces décorés de personnages de Walt Disney.

 

Mon ami me souhaite bonne nuit en s’assurant que j’ai toutes les couvertures nécessaires pour un confort maximal. Je leur souhaite bonne nuit et ils fermèrent leur porte de chambre. Il était deux heures et demie. Une heure plus tard, je ne dormais toujours pas pensant Gloria et à ses provocations. De plus, ce n’était pas la première fois qu’elle m’allumait sans donner suite. Je me souviens notamment d’une soirée où elle profitait de sa piscine privée… Pas le genre à se mettre en maillot de bain, même quand il y a du monde. On est exhibitionniste ou on ne l’est pas !

 

Pour revenir à mon histoire, après une heure sans sommeil, j’avais chaud malgré la fenêtre ouverte, aussi décidai-je d’entrebâiller la porte pour faire circuler l’air. J’avais envie de me masturber en pensant à elle. J’ai commencé à le faire mais je n’ai pas terminé car je ne voyais aucun mouchoir en papier pour m’essuyer, de plus les toilettes était loin, je ne voulais pas réveiller tout le monde…

 

Alors, je finis par m’endormir. Il était 4 heures 15 du matin quand je vis la porte de leur chambre s’ouvrir. C’était elle ! Elle la referma sans trop faire de bruit. Moi, j’étais tout excité, nu sous les draps en pensant qu’elle était là, presqu’offerte à moi sans témoin ! Je n’y fis pas d’attention pensant qu’elle se dirigeait vers les toilettes, mais non : elle venait dans ma direction. Faisant semblant de dormir par crainte de savoir ses réelles intentions, elle s’est mise à genoux sur le bord du divan et a relevé mes couvertures. Elle m’a demandé si je dormais en me touchant les épaules. Je ne lui ai pas donné de signes juste pour voir ce qu’elle ferait. Je l’entendis murmurer :

Gloria

– Tant mieux, ça va être bon pour nous deux !

 

C’est alors que sans avertissement, elle prit mon pénis et le mit immédiatement dans sa bouche. Elle commença à faire des grands mouvements de va-et-vient. Elle suçait à merveille. Je lui ai dit qu’elle pouvait ralentir, que Bertrand ne sortirait pas de sa chambre ! Elle me répondit qu’elle ne venait que me faire ceci pour cette fois-là ! De plus, elle me confia qu’elle devait faire vite puisque son mari ne dormait pas et la croyait aux toilettes.

 

Alors, sans attendre ma réponse, elle me dit de la laisser faire, de ne pas m’inquiéter pour la petite toilette, qu’elle nettoierait tout, absolument tout ! Un petit sourire et elle recommença à me prodiguer cette pipe ! Le rythme augmentait, je lui ai soudain dit que j’étais prêt à venir. Elle a alors continué à caresser mes testicules et quand je suis presque venu, elle m’a mis un doigt sur le bord de mon anus et l’a entré jusqu’à la première jointure. Tout en gardant le doigt là, je suis venu au fond de sa gorge. Tel que promis, elle nettoya tout sans en perdre. Elle était divine. Elle m’a remercié et aussitôt la dernière goutte avalée, elle se releva et repartit dans sa chambre à coucher.

 

Le lendemain matin au petit déjeuner pris en commun dans la cuisine, une surprise m’attendait… Bertrand m’apostropha soudain et sans aucune colère dans sa voix me demanda si ce que m’avait fait Gloria cette nuit m’avait plus. Je ne sus où me foutre et rougis comme une pivoine tandis que Gloria sembla s’amuser de mon trouble bien compréhensible.

 

Je niai, affirmant haut et fort qu’il ne s’était rien passé.

 

– Mais si, il s’est passé des choses, insista Bertrand et sois rassuré, je ne suis pas jaloux.

– Bon alors, c’est l’ambiance, l’alcool… continuai-je, cherchant à me justifier à me justifier.

– Non seulement je ne suis pas jaloux, mais ça m’excite de savoir ce qu’elle fait avec d’autres hommes

 

Quelque chose clochait ! Si les choses étaient telles que les présentaient Bertrand, pourquoi Gloria ne s’était-elle pas attardée davantage avec moi cette nuit ?

 

La réponse me stupéfia !

 

– Je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous recommenciez, me confia Bertrand…mais ce ne sera plus gratuit !

 

Alors là, je tombe du placard et faillis avaler ma tartine de travers. Je n’ai absolument rien contre les putes, même si j’ai la chance d’avoir un physique qui me dispense de devoir payer pour faire l’amour. Mais que Bertrand soit son maquereau et qu’il ose me faire ce genre de proposition me choque.

 

Je me lève !

 

– Restons-en là ! Lançai-je de façon très théâtrale en imitant Cyrano de Bergerac.

– Ne voudrais-tu pas connaitre ce prix ? Me susurre Gloria en mimant une fellation avec sa tartine beurrée.

– Non ! Et d’ailleurs puisque c’est payant…

 

Et dans un nouveau geste théâtral je sors un billet de 50 euros que je jette sur la table avec une moue de mépris.

 

– Mais qui t’a parlé d’argent ? Intervient Bertrand en écartant les bras.

– Je pensais…

– Mais non, pas d’argent entre nous. Tu es très beau, je voulais juste te proposer…

 

La paroles restent en suspens, les yeux parlent, j’ai compris, il reprend.

 

– Je voulais juste te proposer de te prendre. Gloria nous regardera et après tu prendras Gloria.

 

Ben v’la aut’chose ! Comme disait Onc’Donald !

 

Je ne sais que dire. Gloria me fait des œillades. Les rapports homosexuels ne sont pas trop mon trip, mais je n’ai rien contre, tout n’étant qu’une question d’ambiance…

 

– Alors tout de suite ! Avant que je ne change d’avis !

 

L’instant d’après j’étais dans le salon, nu en levrette, le cul relevé, les fesses écartées, attendant l’assaut de Bertrand, un assaut que la promesse de ce qui suivra rendra forcément fort agréable.

 

– Vas-y ! Encule-moi !

 

Elian Lvekman

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Elian Lvekman
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