Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:53

Véronique et Valérie par Mathilda Stenberg

bisou1719

En hommage aux demoiselles des Trois Rivières qui si elles lisent ce texte comprendront…

 

Montréal ! Un samedi de printemps en début d'après-midi.

 

Xavier est parti ! Parti regarder le match de hockey ! Marre du hockey ! Je suis seule depuis le début de l'après-midi et je m'ennuie. Je suis passée d'une chaîne à une autre sans trouver quoi que ce soit d'intéressant… Je zappe comme un automate dans un concentré de tomate. Je me promène dans la maison, furète, cherche sans chercher, tout est à jour, le lavage, le repassage, et je viens de passer la balayette ! Et puis mince, je ne vais pas me mettre à faire les cuivres, non ? L'autre, il ne fout rien à la cabane, si, les courses parfois, ça lui donne l'occasion d'aller reluquer le décolleté de la bouchère ! Quelle salope celle-là ! Remarquez c'est une belle femme, si j'étais un mec je ne dirais pas non, mais quelle salope quand même, dès fois elle me fait même des sourires bizarres, je voudrais bien savoir ce qu'elle a dans le crâne Elle serait un peu au deux que ça me surprendrais pas plus que ça ! 

 

Je me suis changée déjà deux fois, des jeans à la jupe, de la jupe à la robe, j'ai quitté la robe et me regarde dans le miroir ? Un joli brin de fille, peut-être bien qu'oui, peut-être bien que non, comme on dit en France du côté d'Alençon (61000) un petit peu forte, un peu forte, oui, bon, on va dire forte. Je suis en culotte et brassière (soutien-gorge en français du vieux continent), je me regarde, rectifie ma coiffure, touche mes seins, regarde mon ventre. Ma culotte est bien blanche sans tache. Mon ventre est un peu rond, mais ça me plait comme ça, les rabougris du bulbe qui prônent au nom de je ne sais quel esthétisme à la con la religion du ventre plat, me débectent, ventre plat, pourquoi pas des fesses plates, des nichons plat ? C'est eux qui ne tournent pas rond ! Tiens quelques poils qui dépassent, il faut que je me refasse le maillot. Oui plus tard. 

 

Je passe ma main sur mon pubis. Si je me mets de profil c'est vrai qu'il est bien bombé. Je suis debout devant ce miroir et m'observe sous toutes les coutures. De profil, je suis un peu cambrée, mes fesses sont bien rondes, avec ma culotte taille basse, je devine la raie de mes fesses. Et ma poitrine, un petit peu grosse, non ? On va dire grosse, alors ! Je quitte ma brassière pour mieux juger. Ronde, ferme, mais oui vraiment grosse. Et puis les aréoles brunes et les pointes qui justement…. Ne demandent qu'à…. Bon j'ai compris… Je passe la paume dessus doucement je les effleure. C'est mieux comme ça, les pointes sont ressorties un peu. Je pétris mes seins, j'aime bien, ils sont doux et puis j'ai la chair de poule quand je le fais. Mes pointes sont bien ressorties maintenant, c'est mieux. Mais ça m'a donné des idées, dommage que personne ne soit avec moi. Je quitte ma culotte, comme ça je verrais mieux. Je me lisse les poils et j'écarte les jambes pour voir ma minette. Je l'aime bien ma minette. J'ai vraiment besoin de me faire le maillot. Je m'assoie devant la glace en tailleur, lisse de nouveau mes poils, me caresse un peu l'aine et les cuisses. Passe un doigt sur mes lèvres, et effleure mon bouton. " Non, tu ne vas pas faire ça toute seule ! ". Je ne me suis plus masturbée depuis longtemps. Ça fait une éternité, ça doit faire, attendez, je réfléchis ! Oh oui ça doit bien faire une bonne semaine ! Bon, je vais chercher des ciseaux et mon rasoir afin de me le faire, ce maillot

 

Quand même, avant de me relever, je passe encore mon doigt entre mes lèvres et sur mon bouton, c'est bien agréable. Je reste un moment comme ça, c'est bon et chaud. " Allez, arrête ma fille, faut quand même pas faire plusieurs choses à la fois ! ". Je me lève, cherche le matériel dans la salle de bain. Mais où a-t-il bien pu rester ? A tous les coups c'est ma frangine ! A oui, je ne vous ai pas dis, ma petite sœur, Valérie s'est fait virer par son bonhomme, alors on l'a hébergée provisoirement, ça fait six semaines qu'elle s'incruste, elle fout un bordel pas possible et nous désorganise un max, en plus elle tourne autour de mon chum qui ne dirait pas non ! La salope ! Faut dire qu'elle est bien foutue, elle est bien mieux foutue que moi, n'empêche que c'est une salope ! Donc c'est probablement encore ma sœur qui l'a utilisée et pas remis en place. Bon j'ai plus qu'à aller fouiller dans ses affaires.

 

Je suis nue et seule dans la maison. La chambre d'ami est à l'autre bout du couloir, si quelqu'un rentre !! Mince, tant pis, j'y vais comme ça ! J'arrive à sa chambre, elle a du laissée sa télé allumée, j'entends des gémissements. C'est tout Valérie, ça ! Partir sans rien éteindre, la lumière, la télé, un vrai brouillon ambulant cette nana !. J'ouvre la porte, entre…

 

- Mince excuse-moi !!! Mais j'ai dis ça tout doucement, elle n'a pas entendue

 

Valérie est couchée sur son lit; jupe relevée, chemisier ouvert et elle se fait du bien. Je vois son bassin qui ondule, elle a un doigt dans sa chatte et elle jouit. Elle ne m'a pas vue. Je repousse la porte. A peine refermée, je l'entends qui demande :

 

- C'est toi Véronique ? 

- Heu oui, excuse-moi je croyais que tu étais sortie 

- Entre, j'avais un peu mal à la tête, alors, je suis restée là, ça va mieux maintenant

- Attends un moment, je reviens, je vais me mettre quelque chose sur le dos

- Pas la peine, après ce que tu viens de voir !!! 

 

Ah, bon ? Alors finalement elle m'avait vu ? J'ouvre la porte et passe la tête en riant. 

 

- Dis-donc tu t'emmerdes pas trop ! 

 

Valérie est toujours allongée, jambes ouvertes, et sa main sur son pubis. 

 

- Entre, viens ! 

 

Elle me fait un sourire d'ange prise en défaut. Je m'approche d'elle et m'assoie sur son lit.

 

- Ça t'a fait du bien au moins ?

 

Je lui caresse les cheveux et le front avec douceur. Finalement c'est une garce, une salope, une… tout ce que vous voudrez, mais je l'adore… , c'est ma petite sœur, mon ex-compagne de jeu, ma confidente, ma complice… 

 

- Tu es à poil ; toi aussi ? 

- Oui, je cherche le matos pour me faire le maillot. Regarde comment mes poils ont poussé, ça fait zarbi. 

 

Valérie met sa main sur mon pubis et joue avec ma toison et commente :

 

- Oui c'est vrai, ils sont longs, c'est pas comme moi, regarde j'en ai presque pas

 

Mes yeux se portent sur sa motte intégralement épilée sauf une petite touffe laissé intacte en haut du pubis. Ses lèvres sont encore entre-ouvertes, humide, je ne résiste pas au désir de la questionner sur sa masturbation solitaire :

 

- Tu le fais souvent ?

- Quand ça me prend ! Je te dis, j'avais mal à la tête, ça m'a détendue, c'est bien plus efficace qu'un cachet d'aspirine !

 

Tout en lui parlant et sans y prêter attention, j'ai posé ma main sur sa minette et passe un doigt dessus. Elle soupire et tend le bassin. Je me penche et lui embrasse le ventre. Mais sa main pousse mon visage sur son pubis et elle écarte les cuisses. Je ne sais pas si elle l'a fait exprès, mais je me suis retrouvée avec la bouche sur son minou et je l'ai léché. D'abord à peine, mais comme elle se cambre davantage, ma langue a trouvé son petit bouton et je lui ai fait un broute minou dans les règles. Elle a longtemps jouit sous ma caresse et son doigt s'est introduit en moi en faisait un va-et-vient délicieux. J'ai jouis à mon tour sous sa caresse et après avoir repris mes esprits, je l'ai grondée (en rigolant) en lui disant de ne plus recommencer ce genre de chose et en la traitant de salope 

 

- C'était pourtant bien ! Moi j'aimerais bien qu'on recommence !

 

Elle est toujours devant moi, avec sa jupe relevée à se toucher la minette. Je me suis étendue à côté d'elle pour lui expliquer qu'entre sœurs, je ne savais pas trop si ça faisait ! 

 

- Si tu savais depuis quand j'en ai envie ? Rétorque-t-elle.

- C'est pas une raison, c'est pas parce qu'on a envie de faire quelque chose qu'il faut qu'on le fasse, c'est pas moral ! 

- Moral ! Mais qu'est ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond à cette simple question à cette unique question, On fait du mal à qui ?

- Je ne sais pas !

- Répond, il n'y a pas lieu de débattre, on est pas sur un plateau de télé, il n'y a qu'une question et qu'une réponse, on fait du mal à qui ?

- A personne, c'est vrai ! 

- Alors tu vois, viens me rouler un patounet ! 

 

Je ne le fit pas, en fait, je n'osais pas. Mais sa main ne quitte pas son pubis et je la sens toute chose à côté de moi; Un coup d'œil, elle continue la petite cochonne. Je ne dis plus rien et commence, moi aussi à me toucher doucement et discrètement. Mes gestes deviennent plus rapides, ma respiration aussi, je me doigte profondément à côté d'elle. Elle s'est levée, me regarde, me touche, me caresse et se met nue elle aussi. Je m'en fiche, l'excitation monte. Tout peut arriver, je vais jouir. Dans une demi-inconscience, je sens ses mains parcourir mon corps, se joindre à la mienne. Je retire mes doigts et les liche lui laissant la place. Elle s'active en moi et vient se mettre à califourchon sur mon corps tendu. Elle se frotte sur mes seins et je sens son petit minou humide sur ma bouche. Nous voilà en position de soixante-neuf. J'ouvre les yeux et vois ses fesses, les caresses, les malaxe. Je la liche et j'oublie qui elle est. Ses doigts ont quitté ma chatoune, je les réclame et me tends, m'arcboute. Mais à la place je sens quelque chose de froid sur mes lèvres et qui me pénètre lentement. Cette chose me remplit et mon excitation monte d'un cran. C'est énorme, et puissant, je me sens écartelée mais bien, et la chose va et vient en moi, tape au fond de ma figue. J'ai ses fesses devant moi et liche son anus. Nous ne sommes plus qu'un sexe, je lui enfonce mon doigt dans l'anus et ma langue dans sa minette serré. Elle crie et continue son va-et-vient en m'offrant son cul. Son doigt s'égare aussi sur mon anus et le pénètre. Nous jouissons ensemble comme des possédées, et nous écroulons l'une sur l'autre

 

Après un moment de répit, je la dégage de dessus moi et retire le tube de dentifrice qu'elle m'a introduit. 

 

- Petite salope, tu pourrais me faire mal avec ce truc, heureusement que je mouillais bien

 

Elle rit, se moque de moi, m'appelle la fille au dentifrice. Je l'attrape, la met sur mes genoux et la fesse mais je me fais aussi mal qu'elle et elle rit de plus belle, alors je la fesse à la volée ! Elle aime ça la salope ! 

2BL07

- Arrête ! Tu me donne envie de pisser !

- Je m'en fous ! 

 

Et je continue à taper, on rigole comme des bossues.

 

- Je te préviens, je ne peux plus me retenir ! 

- Je t'ai dit que je m'en foutais !

 

Mais c'est qu'elle le fait pour de vrai la cochonne, elle pisse, elle pisse dru, ça dégringole le long de mes jambes, ça dégouline, ça fait une flaque par terre ! 

 

- Mais c'est quoi ce bordel !

- C'est du pipi c'est pas sale !

 

Elle va pour m'essuyer avec les mains, elle a les mains pleines de pisse, et soudain sans que j'y prenne gare, elle me fout sa main maculée sur mon visage !

 

- Tiens, liche !

 

Je ne sais pas ce qui m'a pris sans doute l'excitation de l'instant, j'ai sorti mon petit bout de langue et j'ai léché un peu de ce liquide salé ! 

 

- Alors c'est comment ?

- Je peux en avoir encore !

- Je t'en prie, sers-toi, mais si tu le veux le boire à la source, allonge-toi et ouvre ta bouche ! 

 

Je suis malade, je suis folle, je suis la reine des salopes, je m'allonge, et ma frangine me pisse dans la bouche.

 

Floc ! Floc ! Floc ! C'est bon, j'avale tout, un petit peu de travers quand même, voilà que je tousse, du coup ma sœur me tape dans le dos et nous éclatons de rire à nouveau. Puis elle se tourne et dans la position ou elle est, elle me présente ses fesses, j'écarte les lobes et commence à lui forcer le petit trou. Il est humide de nos secrétions et mon doigt rentre facilement. Elle a cessé de bouger et me dit dans un souffle

 

- Continue ! 

 

Je la fais mettre à quatre pattes, jambes ouvertes, trouve une brosse au manche rond et après quelques caresses autour de son anus, j'introduis le manche en elle. Elle se cambre davantage et c'est elle qui commence le va et vient en se touchant le minou. Je me place devant elle et lui ordonne de me lécher ce qu'elle fait avec un plaisir évident et je jouis une nouvelle fois. On est restée comme cela le reste de l'après midi, à se caresser et s'aimer de toutes les façons et dans toutes les positions possibles.

 

Du bruit dans la serrure ! L'autre qui rentre !

 

- On a gagné, on leur à foutu une pâtée, et patati et patato…

Qu'est ce que j'en ai à foutre, je le laisse parler, je ne lui réponds pas et j'ai soudain une idée ! Je dis à Valérie qu'on va se doucher, puis s'habiller, puis on ira au restaurant, et après on verra, on ira peut-être à l'hôtel continuer à s'aimer sans risque de d'être dérangée par un beauf hookeylistique.

- OK ! Qui c'est qui va dans la salle de bain en premier !

- Mais, on y va ensemble andouille !

 

Mathilda Stenberg 2002

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:50

Ursula et Gianni par Mathilda Stenberg

 

bisou1719

 

Je déteste ces lunchs qui n’en finissent pas. Je m’y ennuie à mourir. Ursula s’approche de moi, je ne la connais pas bien, Une jolie brune avec un petit nez mutin, la peau un peu mate et des lèvres gourmandes !

 

– Quelle ambiance !

– Vous avez raison, c’est mortel !

– Il n’y a aucun mec intéressant, moi qui voulais m’en farcir un !

 

Me dire ça à moi ! Elle ne peut pas ne pas connaître ma réputation sulfureuse, il est vrai que parfois un ou deux verres délient les langues. Je rentre dans son jeu, un petit peu.

 

– Qu’allez-vous faire, alors ?

– Me rabattre sur les femmes, si toutefois j’en trouve une !

– Moi par exemple ?

– Pourquoi pas ! Minaude-t-elle !

– Tu aimerais te soumettre à une femme !

– De la soumission avec des chaînes des martinets, non merci !

– Mais non ! De la soumission soft, je te demande des trucs et tu les fais

– Ça ne coûte rien d’essayer !

– J’allais le dire !

 

En arrivant chez moi avec Ursula, je la trouvais très nerveuse et anxieuse. Je la fais entrer et je ferme la porte à double tour pour ne pas que l’on soit dérangées car je sentais que la nuit serait longue et très intéressante pour nous deux. J’invite ma conquête à s’asseoir sur le divan et je prends place à ses côtés en plaçant mon bras sur ses épaules. Elle me regarde, je lui prends le menton et approche ses lèvres des miennes. Un long baiser sensuel s’en suit. Nos langues se cherchent sans arrêt. Je détache sa robe, la fais lever debout et lui ordonne :

 

– Enlève ta robe, je veux te voir nue ! Ursula obéit sans résistance. Elle est debout devant moi, entièrement nue, attendant mon prochain désir. Je la regarde attentivement plusieurs minutes. Cela la rend très mal à l’aise. Elle ne sait plus comment se placer mais n’ose pas faire aucun geste.

– Masturbe-toi ! Lui ordonnais-je. Elle lève ses mains et se caresse les seins. Ses magnifiques boules de chair tendre prennent toutes sortes de formes. Pendant que j’admire le spectacle qu’elle m’offre, je pense à ce que je pourrais lui demander de faire ou ce qu’elle pourrait m’avouer pour pouvoir pousser sa soumission à ses limites. Cela faisait plusieurs minutes qu’elle se frottait partout sur le corps et je sentais son désir grimper rapidement. Je me décide à la faire parler :

– As-tu déjà fait l’amour avec une autre femme ?

 

Surprise par ma question, elle me regarde, hésite puis décide de m’avouer :

 

– Oui, une fois

– Ben dit donc ! Tu n’as pas beaucoup d’expérience !

– Mais je ne demande qu’à apprendre.

– Avec qui as-tu fais l’amour ?

– Avec Gianni, l’ancienne secrétaire, tu te souviens, la grande blonde ?

– La FAUSSE blonde !

– Oui, si tu veux !

– Raconte !

 

Le récit d’Ursula

 

J’étais très amie avec elle. On s’entendait très bien ensemble. Une journée, au travail, elle me demande d’aller souper avec elle à son appartement. J’ai accepté. On a soupé puis on est allées au salon pour continuer à jaser. Je ne savais pas qu’elle était lesbienne, mais j’avais des soupçons car elle parlait sans cesse contre les hommes. Donc tout en discutant, elle me demande :

 

– Que dirais-tu si on écoutait de la musique et que l’on dansait ?

– D’accord, cela nous fera du bien.

 

Je pensais qu’elle allait mettre un cha-cha ou quelque chose du genre mais à ma surprise elle fait jouer un slow. Elle se tourne vers moi et me tend la main pour m’inviter à danser. Je vais la rejoindre et elle m’enlace aussitôt de ses bras et me colle contre elle. Elle appuie sa joue contre la mienne et me frotte le dos de ses deux mains. Je suis restée surprise et n’osais rien faire pour ne pas la contrarier. Elle a pris mon manque de réaction pour une acceptation. Je portais une robe bleu ciel, qui était sa couleur préférée. Elle était attachée dans le dos. Gianni introduit deux doigts entre deux boutons de ma robe. Cela me donne un frisson et elle s’en aperçoit aussitôt. Je ne lui oppose aucune résistance. Elle détache trois boutons et introduit sa main toute entière sous ma robe. Le contact de sa main fraîche dans mon dos me donne l’effet d’un choc électrique. Un long frisson me traverse tout le corps. Gianni me regarde tendrement, fixe mes lèvres et y dépose les siennes. Ce geste inattendu m’a complètement figée. La douceur de son baiser m’excite et lorsqu’elle introduit sa langue entre mes lèvres, je la laisse pénétrer sans peine. En même temps, elle retire sa main droite de sous ma robe dans mon dos et détache les boutons un à un, très lentement. Lorsqu’elle arrive à la hauteur de la ceinture de ma jupe, elle détache l’agrafe sans peine et abaisse la fermeture éclair tout en activant sa langue dans ma bouche. Je suis figée comme une poupée. Je suis tellement surprise et j’aime tellement ce qu’elle me fait que je ne fais rien pour la décourager. Gianni, de ses deux mains, abaisse ma jupe qui tombe à mes pieds. Elle finit de déboutonner ma rober dans mon dos et, tout en me regardant droit dans les yeux, me la retire doucement. Elle me contourne, s’installe derrière moi et détache mon soutien-gorge. Elle glisse les bretelles doucement de mes épaules. Elle laisse tomber le morceau de linge par terre puis se colle contre moi. Elle m’enlace de ses bras et caresse mes seins. Je me laisse faire, figée par les événements. Elle caresse mon ventre avec une douceur incroyable et me dit à l’oreille :

 

– Cela fait tellement longtemps que j’ai envie de toi, Ursula

 

Elle m’oblige à m’envoyer la tête par en arrière et m’embrasse à bouche ouverte. J’ouvre la mienne pour lui montrer que j’aime ses caresses. Elle glisse ses deux mains sur mon ventre et les introduit dans ma petite culotte. Je sens ma vulve devenir toute humide. Elle me flatte la chatte avec une douceur incroyable. Je frémis de partout. Elle passe son doigt entre les babines de ma vulve.

 

– Je vois que tu apprécies mes caresses. Tu es toute humide, ma chérie. Aide-moi à enlever ma robe.

 

Je n’essaie même pas de me défendre, au contraire, car le désir m’envahit de plus en plus. C’est la première fois de ma vie que j’ai de telles sensations, des sentiments indescriptiblement doux et sensuels. Gianni se tourne pour que je puisse détacher sa robe. Je détache l’agrafe du haut et baisse la fermeture-éclair. Gianni se tourne vers moi et me dit :

 

– Enlève-la-moi toi-même ! Je suis gênée mais j’obéis.

 

C’est la première fois que j’enlève la robe d’une femme. Je me sens toute drôle à l’intérieur et aussi très anxieuse. Je me penche, empoigne le bas de sa robe et la soulève. Je vois apparaître ses belles cuisses nues et sa petite culotte. Gianni m’aide et glisse sa robe par-dessus sa tête. Elle n’est plus qu’en soutien-gorge et avec sa petite culotte. Elle se tourne dos à moi et m’ordonne :

 

– Détache mon soutif !

 

Ce que je fais sans peine. Elle me fait face, prend mes deux mains et les dépose sur le haut de son soutien-gorge pour que je le lui retire. Elle me fixe droit dans les yeux. Je me sens totalement à sa merci. Je lui retire lentement son soutien et ses deux superbes nichons m’apparaissent et me pointent, content de se retrouver à l’air libre.

 

– Tu as un corps merveilleux ma chérie, une peau d’une douceur remarquable. Je vais te faire connaître des moments inoubliables, je te désire depuis si longtemps ma chère Ursula.

 

Je ne dis pas un seul mot, baisse les yeux et je sens rougir mon visage. Je n’avais jamais imaginé me retrouver dans une telle situation et j’étais persuadé que si une femme osait me faire des avances je la giflerais mais Gianni avait utilisé toute la tendresse et la douceur qu’une femme peut espérer pour me conquérir et elle avait réussie. J’aimais ce qu’elle me faisait et les sensations extrêmes qu’elle parvenait à me faire avoir et je ne pouvais plus m’en passer. J’avais décidé de vivre ce moment jusqu’au bout. Elle dépose ses mains douces sur mes hanches, me regarde avec des yeux angéliques et me dit :

 

– On va faire l’amour ensemble comme jamais un homme ne pourra nous faire. Tu es tellement belle et désirable ma petite chérie

 

Elle approche ses lèvres doucement des miennes. Je ferme les yeux et dépose mes mains à mon tour sur ses hanches. Lorsque ses lèvres entrent en contact avec les miennes, je frémis de partout. Nos lèvres se caressent et se frôlent plutôt que de se coller les unes aux autres. La sensation est divine. Je sens devenir ma chatte toute moite. Gianni promène ses mains partout dans mon dos et sur mes fesses par-dessus ma petite culotte. Puis enfin, elle fait pénétrer sa langue toute humide dans ma bouche. J’appuie ma tête sur son épaule et l’embrasse avec passion. Je lui signifie ainsi que je suis prête à me donner totalement à elle et que j’adore ce qu’elle me fait. Elle introduit une main dans ma petite culotte et me caresse le bas du ventre avec une douceur infinie, sans jamais ne rien brusquer. Je mouille de plus en plus entre les jambes. Après quelques minutes de ces douces caresses, Gianni me regarde tendrement et me dit :

 

– Viens, allons dans ma chambre.

 

Je lui fais un léger sourire, gênée. Elle me prend par la taille et l’on se dirige dans sa chambre. Elle me fait étendre sur son lit de tout mon long et se glisse à mes côtés. A nouveau elle me caresse le visage avec ses douces lèvres tendres et sensuelles. Je me sens comme sur un nuage. Je ne bouge pas, me contentant d’apprécier chacune de ses caresses. Ses mains flottent partout sur mon corps. Puis elle m’embrasse ou plutôt me caresse de ses lèvres dans le cou et descend vers ma poitrine. Lorsqu’elle arrive à mes seins, elle se mouille les lèvres et les fait à peine effleurer ma peau. C’est fantastique et cruel à la fois. Cette infinie douceur humide qui parcoure mes nichons me fait frémir de partout. J’adore la sensation obtenue mais cela fait aussi augmenter le désir en moi et j’ai hâte qu’elle me les lèche et les mange. Je les sens prendre du volume rapidement. Du bout de la langue, elle explore chaque millimètre de mes tétons qui ont si hâte de se faire dévorer. Sa salive qui les humecte, me donne des frissons et mes tétines gonflent à un tel point qu’ils m’en font presque mal. Je ne les ai jamais eu si sortis et si pointants. Je n’en peux plus et lui dis très fort :

 

– Mange-moi les, Gianni, je t’en supplie, mange-moi les tétons, mords-les, déguste-les, c’est trop bon !

 

Mais en femme experte, elle fait comme si je n’avais rien dit et fait durer le plaisir. Elle poursuit l’exploration de mon corps avec ses lèvres et sa langue, se dirigeant maintenant vers mon ventre. Mais elle ne néglige pas le travail déjà effectué sur ma poitrine en effleurant continuellement chaque sein à tour de rôle. En même temps, sa langue humide me lèche le ventre partout et elle s’attarde un long moment autour de mon nombril. Je frissonne de plus en plus et j’ai de la difficulté à rester immobile, tellement ses caresses me font de l’effet. Puis je sens ses mains s’emparer de ma petite culotte qu’elle m’enlève rapidement. J’écarte aussitôt les jambes pour lui faciliter la tâche. Lorsqu’elle dépose sa langue sur les babines de ma vulve, c’en est trop et j’obtiens un orgasme comme je n’avais jamais eu. Je sens l’intérieur de mon ventre devenir en éruption. Mon jus intime m’envahit la chatte et un immense torrent de liqueur de ma jouissance explose hors de mon corps. Gianni réagit aussitôt et enfonce son visage dans ma chatte et se délecte de ce breuvage obtenu par ses caresses. Je n’arrive plus à me contrôler et cela coule sans cesse. Plus je l’entends s’abreuver à ma chatte et plus le jus coule entre mes jambes. Je lui pisse tout cela avec une jouissance indescriptible. Dans mon excitation, je lui pogne une fesse et la masse avec vigueur. Voyant cela, Gianni embarque à cheval par-dessus moi dans la position du soixante-neuf et me dit avec une voix toute excitée :

 

– Mange-moi la chatte à ton tour, ma chérie, je veux jouir avec toi.

 

J’ouvre les yeux et je vois pour la première fois de ma vie une la vulve d’une femme à quelques centimètres de mon visage. Je ne savais pas que cela pouvait être si beau et si appétissant une vulve de femme. Pendant que j’examinais cette belle chatte humide qui dégoûtait déjà, Gianni me prend les jambes et les relève bien haut puis passe ses bras par-dessus et les rabat vers moi. Je lui offre maintenant une magnifique vue de tout ce que j’ai de plus intime et personnel. Elle commence à me titiller la chatte du bout de la langue. Je dois lui faire plaisir à elle aussi, et je dois lui manger sa belle chatte si appétissante.

 

– Vas-y Ursula, essaie cela… pensais-je en admirant cette chatte que j’avais sous les yeux.

 

Je sors ma langue et timidement je lui touche aux babines. Gianni bouge aussitôt tout le bas de son corps. Encouragée, je lui fais une longue lichette sur la vulve et ma langue s’imbibe de la liqueur intime qui a commencé à couler de Gianni. C’est légèrement salé mais c’est plus liquide que du sperme. J’aime bien le goût. J’ouvre sa vulve bien grande avec mes doigts et y enfonce ma langue. J’adore la sensation que j’obtiens. J’ai les lèvres de ma bouche collées sur les babines de sa vulve juteuse et ma langue s’infiltre aisément à l’intérieur de sa chatte. La sensation que j’obtiens avec mes lèvres sur la belle chair tendre de cette chatte me fait perdre tout contrôle de moi-même et je me mets à la dévorer avec une faim insatiable. J’entends Gianni me dire :

 

– Ohhh ouiiiii ma petite chérie… comme tu fais bien ça… continue… mange-moi comme il faut ma salope, comme c’est bonnnnn… Jouissons ensemble…

 

Et elle replonge son visage entre mes jambes et se remet à me dévorer la chatte avec vigueur. On s’active toutes les deux à dévorer cette chair tendre et juteuse que l’on a dans la bouche. Tout ce qu’on entend, ce sont les bruits qui sont faits par nos bouches et nos langues. C’est démentiel et j’obtiens la première un autre orgasme suivit aussitôt de celui de Gianni qui m’inonde toute la figure avec l’éruption de sa liqueur intime. Le jus coule à flots de nos chattes et chacune fait tout ce qu’elle peut pour en perdre le moins possible. Mais Gianni en a beaucoup trop qui sort à la fois et je me retrouve le visage inondé ainsi que les cheveux trempés de chaque côté de la tête. On jouit ensemble comme jamais. C’est démentiel comme c’est bon. Je n’avais jamais eu de telles émotions en moi. Plus le jus lui coulait de la chatte et plus je m’acharnais à lui manger sa grotte d’amour et à me délecter de son nectar si savoureux. Notre orgasme finit, je crus que tout était pour s’arrêter là. C’était sans connaître ma meilleure amie. Elle se retourna et se mit à me manger les nichons. Comme ils étaient gonflés à l’extrême, chaque fois qu’elle déposait ses lèvres sur un, cela me faisait trembler de partout. Je me suis mise à lui crier :

 

– Ohhh ouiiii… mange-les-moi, croque les… dévore les… sinon ils vont exploser…

 

Gianni ne se le fit pas dire deux fois et elle se mit à me mordre partout les boules. Elle prit mes tétines prêtes à exploser entre ses dents et tira très fort dessus. J’envoyais mes épaules par en arrière pour gonfler encore plus ma poitrine et lui faciliter les choses.

 

– Mords encore plus fort… tire de toutes tes forces… c’est si bonnnn ma salope… lui criais-je à pleins poumons.

 

Gianni s’acharna longtemps sur mes nichons et me fit avoir deux autres orgasmes avec que j’arrive à me calmer un peu. Elle s’étendit à mes côtés et je mis ma tête sur son épaule pour que l’on reprenne notre souffle et nos forces. Mais j’avais la tête placée pour voir continuellement ses seins que je fixais comme un enfant qui voit avec émerveillement un nouveau jouet qu’il désire depuis très longtemps. J’étais obsédé par la beauté de ces masses de chair que j’avais sous les yeux. La gêne retenait mon envie de caresser ces seins de femmes. J’avais souvent caressé et massé les miens mais de voir ainsi les nichons d’une autre fille ainsi à ma portée me fascinait. Gianni s’en aperçut sûrement car elle prit ma main gauche et la déposa sur son sein droit. Je me mis à le caresser timidement pour commencer car la gêne m’empêchait d’aller au bout de mon désir. Puis à mesure que les minutes passaient, mes caresses devenaient plus vigoureuses et Gianni réagissait de plus en plus à mes attouchements. Je sentis gonfler ses nichons sous mes caresses. Je me mis à les pétrir avec plus d’ardeur et mon désir croissait rapidement en moi. Je me suis emparé d’une de ses tétines et je l’ai roulée entre mon pouce et l’index. Gianni se lamenta de joie :

 

– Ooooohhhhh! Ouiiiii… continue…

 

Ce fût le signal pour moi qui déclencha mon euphorie. Je me retenais depuis si longtemps. Chaque fois que je regardais un film porno avec mon mari, je me surprenais à désirer avoir la chance de manger moi aussi les tétons d’une autre femme puis je me disais que cela n’avait pas de bon sens et j’enfouissais ce désir au fond de moi, mais cela s’accumulait avec le temps, et aujourd’hui j’avais la chance de satisfaire ce goût pervers. Je me soulève et place ma tête pour surplomber les seins de Gianni. Timidement, je colle mes lèvres sur ces belles boules de chair tant désirées et je me mets à les licher et sucer doucement pour débuter puis avec de plus en plus d’envie et d’ardeur. J’adorais la sensation que cela me faisait dans la bouche et sur ma langue. C’était très doux et superbement bon à déguster. Je me régalais comme une cochonne. J’entendis Gianni crier :

 

– Tu me fais avoir un orgasme, salope…

 

Je jette un coup d’œil entre ses jambes et je vois une longue traînée de jus sortir de sa chatte en éruption. Je m’attaque littéralement à ses seins et mords à pleines dents dedans. Je les suce avec rage. Comme c’est bon ! Gianni glisse une main entre mes jambes et enfonce deux doigts dans ma chatte très humide et se met à me pomper avec ses doigts. Je lui dévore avec encore plus d’ardeur les tétons. Je vois les marques de mes dents dans la chair tendre puis les tétons lui rougissent à plusieurs endroits. Les frissons me parcourent le corps comme des chocs électriques à répétition. C’est incroyable la jouissance que j’ai obtenue à cet instant et l’orgasme qui s’en suivit fût d’un soulagement fabuleux. Après cela, nous étions complètement épuisées toutes les deux. Je préviens Gianni qu’il faut que j’aille faire pipi. Une lueur étrange passe dans ses yeux.

 

– Donne-le-moi !

 

Je ne comprends pas de suite. Elle se glisse devant ma chatte. Elle est folle. Je sais que ça se fait, mais moi je ne peux pas faire cela. !

 

– Fais-moi ce cadeau, Ursula !

 

Après tout, si elle y tient vraiment, je me concentre, elle croit m’aider en me caressant les cuisses mais ça me déconcentre plus qu’autre chose. Je lui demande de les retirer, et je pisse, je pisse comme une fontaine. Gianni boit. Je pensais qu’elle se contenterait d’une gorgée pour son fun. Mais elle boit tout, se régale, s’extasie !

 

– Super, il est délicieux ton pipi ! Tu veux le mien !

– Pas tout tout de suite, Gianni, tout cela est tellement nouveau !

 

sup111

 

Nous nous sommes reposées mais ce n’était que pour mieux recommencer un peu plus tard. Nous avons passé toute la soirée à nous faire l’amour et je ne suis repartie qu’à 5 heures du matin.

Ursula s’était tue ! Son histoire était terminée ! Et ma chatte était trempée. Nos regards se croisèrent et sans se concerter nous nous sommes jetées l’une vers l’autre nous collant nos bouches en prélude à une très longue nuit que je vous raconterais peut-être une autre fois !

 

Mathilda la folle

Première publication sur Vassilia, le 14/10/2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:48

Une nuit à Saint Etienne par Mathilda Stenberg

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Salut je suis Lydia, brune et frisée, 23 ans. Je travaille à Paris, mais parfois on m’envoie en mission en province, je passe, ça n’a ici aucun intérêt.

 

Toujours est-il qu’en descendant dans le sud, j’eu l’idée de faire une surprise à mes parents qui habitent depuis toujours à Saint-Etienne.

 

J’aurais mieux fait de téléphoner avant, les parents, certes ravis de me voir, m’informèrent qu’ils se préparaient à sortir, si j’ai bien compris ils se rendaient à un diner protocolaire avec des huiles. Pas moyen de décommander ? Non, non… Mais demain promis juré, ils s’occuperaient de moi et me chouchouteraient bien comme il faut. Le souci, c’est que le lendemain il fallait que je sois à Marseille.

 

Alors tant pis, je suis allé dans ma chambre, celle qui fut la mienne pendant 16 ans. Rien n’avait changé, ni la décoration, avec ce papier peint rose et bleu que je n’ai jamais supporté, la lampe de chevet ridicule avec ses petits chevaux sur l’abat-jour. Les bouquins de la Bibliothèque rose, sont toujours sur les étagères, les poupées aussi mais pas les peluches, elles devaient trop prendre la poussière. Ma mère m’a indiqué qu’il y avait dans l’armoire des draps et des couvertures. Même pas foutu de me prépare mon lit ! Je vous jure ! Alors j’ai fait le lit pendant que des tas de choses me ressurgissaient dans ma mémoire.

 

Je m’allongeai et le chien de la maison que je n’avais jamais vu vint me tenir compagnie au pied du lit. j’écoutais un peu de musique étendue sur mon lit, et je repensais à quelques souvenirs bien troublants, comme cette image de mon père complètement nu et le sexe en érection dans la salle de bain entrebâillée, qui reniflait en cachette mes petites culottes portées. Quel cochon, celui-ci, je l’aurais volontiers sucé mais on m’avait informé que ce sont des choses qui ne se font pas. Et pourquoi ça ne se fait pas ? Parce que ça ne se fait pas ! Ah bon !

 

N’empêche que ce souvenir m’émoustillait, et je m’imaginais sucer la bite du paternel. je commençais à me caresser les seins, pour faire durcir mes tétons, puis tout doucement, je descendis ma main vers ma chatte, qui commençait déjà à être toute lubrifiée, je passais sur mon clito, puis descendais pour introduire un, puis deux doigts, je me pistonnais tout doucement, puis remontais de nouveau vers mon clito…

 

C’est alors que le Toutou est monté sur mon lit et a commencé à me lécher avec sa grosse langue, que c’était bon, alors saisi d’une pulsion subite (je n’ai pas dit sans bite) je me suis décidée à caresser le pénis de ce chien, je n’avais encore jamais fais ça, je commençais à le tripoter et d’un coup il ‘est mis à durcir, j’ai vu le bout tout rouge qui sortait de son foureau, j’ai continué afin de bien le faire bander, il est allé donner quelques coups de langue sur sa verge, alors j’ai attrapé sa queue, pour qu’il ne se retourne plus, et j’ai saisi sa bite toute dure pour commencer à le branler, sous l’effet de l’excitation, je pensais à papa, que c’était sa bite, j’ai posé ma bouche sur la bite de Toutou, et j’ai commencé à le sucer, de temps en temps, du sperme dégoulinait, je le laissais ressortir de ma bouche tout en continuant ma bonne pipe, ça a duré un petit moment, j’étais super excitée,

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Alors je me suis mis à quatre pattes, Toutou s’est mis sur moi, j’avais envie de le sentir aller et venir en moi, mais il n’y arrivait pas, j’ai dû guider sa bite pour qu’il me pénètre, et là ce fut le bonheur, Toutou donnait des coups de rein magnifiques, à une vitesse grand V, je mordais le coussin pour ne pas alerter tout le quartier, d’un coup j’ai senti son sperme qui giclait en moi, encore quelques va-et-vient et puis il s’est immobilisé, je sentais qu’il giclait encore en moi son bon sperme chaud qui régalait ma chatte gourmande, et ça continuait encore, mon dieu, qu’est ce ça gicle beaucoup un chien !

 

J’ai pris mon pied, même si j’aurai préféré que ça dure beaucoup plus longtemps… j’aurais bien aimé prendre tout ce sperme dans ma bouche, et en avaler un peu, pour voir si ça avait le même goût que celui des mecs !

 

Le lendemain matin ma mère a eu l’immense bonté de m’apporter mon petit déjeuner au lit.

 

– Ça sent bizarre ici ! Me dit-elle.

– C’est parce que tu n’aère pas assez.

– Ah, oui, ça doit être ça !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:43

Une fille sage par Mathida 

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Bonjour, mon nom est Isabelle, j’ai 21 ans. J’ai la réputation dans mon milieu d’être une jeune femme sage et sérieuse. Voici la petite histoire que j’ai vécu dernièrement.

 

Mon copain Pierre et moi aimons lire des histoires érotiques pour nous mettre en appétit… Un soir où nous finissions de lire un récit où une femme avait fait l’amour avec un autre homme devant son mari, Pierre me signala qu’il aimerait me voir agir de la sorte. Étant d’un milieu très conservateur, ma réponse fut automatiquement : « NON ».

 

En réalité, j’ai un fantasme où je me vois faire l’amour avec deux inconnus, mais je ne l’ai jamais dit à personne, de peur de passer pour une salope. Mais Pierre insiste, il me complimente sur mon apparence physique, me signale que s’il était une femme avec un corps comme le mien, il le ferait certainement une fois…juste pour voir.

 

L’idée m’excite… mais j’ai peur de le choquer en disant « oui ».

 

– Ça te ferais vraiment plaisir si je le faisais pour toi ? lui demandais-je.

– Ho oui… ce serait formidable…tu réaliserais un de mes fantasmes….

– OK… mais une seule fois…mais avec un inconnu…ce serais trop difficile avec une de nos connaissances ».

– Je m’occupe de tout, me répondit Pierre.

 

Les semaines passaient et mon copain ne m’en reparla plus, jusqu’au jour où, en revenant du resto, Pierre entra dans l’enceinte d’un motel. Il se dirigea vers la chambre 204 et me demanda

 

– Est-ce toujours oui ?

 

Le vin du souper aidant, j’avais envie de sexe de toute façon, il eut comme réponse « OK ». En me dirigeant vers la chambre, je sentais la nervosité me gagner. Pierre ouvre la porte, je n’ai qu’une pensée en tête « qui est-ce ? » et soudain c’est le choc : il y a trois mecs qui regarde un film porno devant la télé… .je chuchote à l’oreille de Pierre :

 

– On avaient dit un homme…

– Tu crois que je n’ai jamais remarqué ton excitation à regarder des scènes de groupes…c’est ta chance…je te l’offre…je crois que c’est un de tes fantasmes secrets…. répondit Pierre

 

Je suis figée…rien ne sort de ma bouche. Pierre dit alors

 

– Messieurs, montrez-lui ce que vous avez à offrir !

 

Les trois mecs se sont déshabillés sur le champs. Ils sont superbes… avec des belles bites. L’un est un grand black bien monté.

 

– Je les ai recrutés dans un club… je crois qu’ils sont à ton gout ! dit Pierre

– Un club, quel club ?

 

Il ne répondit pas et alla s’assoir sur le canapé en me disant

 

– Montre-leur tes seins Isabelle ».

Mathilda1710

 

Je tremble de partout, une partie de mon cerveau me dit « non, ne fait pas cela », mais en même temps, l’idée m’excite tellement… mon fantasme est là, devant moi… je déboutonne mon haut… un sourire s’affiche sur le visage de mes trois mousquetaires… je suis complètement affolée… et si excitée… mon haut tombe… je détache mon soutien-gorge… il n’y a plus de retour en arrière… je leurs offrent mes seins. Ils s’approchent de moi. Le premier m’embrasse et je sens sa main chaude se poser sur mon sein gauche… puis je suis envahie de mains qui explorent mon anatomie sans retenue… mes vêtements s’envolent comme par magie… .je suis nue… toutes ces mains sur mon corps me font perdre la tête… je m’offre sans retenue… ils me soulèvent et m’étendent sur le lit… deux mecs commencent à sucer goulument mes mamelons… le dernier, le black écarte mes genoux…je lui offre ce que j’ai de plus intime… .je sens sa langue me lécher tranquillement le sexe… je perds la tête… je remonte le bassin pour mieux lui offrir ma chatte… le mec sur ma droite se relève… c’est le plus beau des trois… et il a une bite… OUF!!!… je me libère de ma position… je dois gouter cette queue… je m’installe à quatre pattes…je prends à pleine bouche ce superbe membre… un mec s’installe sous moi et continue à s’amuser avec mes seins qui pendouillent sous moi… puis je sens une queue se frotter contre ma fente… je la sens me pénétrer tranquillement… comme pour apprécier chaque centimètre de mon intimité… elle est grosse… elle me remplit… il commence à me niquer… FANTASTIQUE… je sens bien chaque coup au creux de mon ventre… c’est bon… c’est booonnnnn…. je jouis comme une folle… il accélère le rythme… se retire de moi et éjacule une quantité incroyable de sperme sur mon dos… mon partenaire d’en face n’en peut plus et m’éjacule dans la bouche… son sperme a bon gout… je n’en perds pas une goute…le mec sous moi me fait basculer sur le dos… Sa bite s’approche de mon trou intime… il m’encule… J’ai le trou du cul rempli et j’aime ça

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. L’un des gars, le grand black interpelle Pierre.

 

– Toi le cocu, viens nous rejoindre.

 

Pierre qui s’était auparavant déshabillé s’approche. Puis comme s’il avait fait ça toute sa vie, il se met à sucer cette belle queue ! Quel spectacle fascinant…

 

– Ça te plait, salope, de voir ton homme sucer une bite ?

– Oui, je suis une salope, et ça me plait de voir ça.

 

Du coup il en suce un autre… c’est fou… le black lui met un doigt dans le cul.

 

– Je vais enculer ton homme, il aime ça !

 

Pierre se met en levrette et le black l’encule… Nous nous faisons enculer tous les deux en même temps… celui qui s’occupe de moi, donne des signes de fatigue… il se retire et donne sa bite à sucer à mon copain qui la met en bouche et reçoit tout son sperme… Le troisième m’encule à son tour… je suis en nage… je coule de partout… Le gars jouit, celui qui enculait Pierre aussi…

 

Est-ce la fin ? non… l’un des gars me demande de m’allonger par terre. Les trois gars sont autour de moi, ils me visent avec leur bite et se mettent tous à me piser dessus…. C’est chaud, c’est excitant, j’en avale un peu… je me branle, mouillée de mes sécrétions intimes et de la pisse des mecs et je jouis bruyamment. Je ferme les yeux.

 

Les trois gars se sont rhabillés. Le black me donne un petit billet.

 

– T’es une bonne pute, tu l’as bien mérité !

 

Les deux autres font de même., puis prennent congé

 

– Ça t’a plu ? Me demande Pierre

– Je ne savais pas que tu suçais des bites ! Mais qu’importe, tu es mon petit suceur de bite préféré !

– Et un enculé !

– Aussi oui !

– Et toi tu es une petite pute !

– Eh oui, on fait une belle paire de tous les deux…

 

et voila ce qu’elle raconte, l’ex petite fille sage.

 

Mathilda

 

La première partie fut publiée sous la signature d’Isabelle et sous ce même titre sur le site de Sophiexxx en 2000, et jamais reprise à ma connaissance, je l’ai corrigé, complété et vassillisée !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 10:37

Un film très sensuel par Mathilda

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Salut, je m’appelle Mathilda et j’ai 24 ans. Je demeure en appartement avec une amie qui se nomme Nathalie, Nat pour les intimes. Un vendredi soir où il pleuvait à torrents, nous décidâmes de faire une soirée ciné à la maison avec trois autres filles que nous connaissions depuis peu. Elles sont arrivées avec les films : deux comédies et un, je ne peux pas dire érotique mais très sensuel si vous voyez ce que je veux dire. On a décidé de commencer par les comédies, question de garder le meilleur pour la fin.

 

Nous étions sur le point de commencer le dernier film quand Annick et France décidèrent de rentrer car il se faisait très tard. Nous restâmes moi, Nat et Corinne. Le film était en effet TRES sensuel et quoique pas érotique, plusieurs extraits me faisait me souvenir à quel point cela faisait longtemps que je n’avas pas baiser. Corinne et moi étions sur le divan avec une couverture sur les jambes et Nat était sur un fauteuil avec elle aussi une couverture mais sur tout son corps.

 

J’entendis gémir.

 

Je regardai Corinne mais non ce n’était pas elle. Donc, une seule possibilité: Nat ! Elle qui est si réservée de nature, très pudique, était en train de se stimuler ? Eh bien oui c’était bien ca. Cela me donna des frissons dans le dos et une nouvelle fois, je mouillai ma petite culotte.

 

Corinne aussi s’était rendue compte que Nat s’adonnait à des plaisirs solitaires et je voyais dans ses yeux comme une lueur, qui voulait dire que si je n’étais pas assise à côté d’elle, elle le ferait aussi ! Donc en voyant ça, j’ai glissé ma main en dessous de la couverture et j’ai commencé à lui flatter les cuisses, tout en allant frotter ma main contre sa petite culotte de temps en temps. Je voyais que ca l’excitait beaucoup, alors j’ai commencé à l’embrasser, ce fut le plus long et le plus doux baiser que je reçu dans ma vie, merveilleux.

 

Je lui ôtai son haut pour découvrir une poitrine généreuse retenue par un joli soutien-gorge noir que j’enlevai aussitôt après. Ses jolis seins pointaient vers moi alors il me fût difficile de résister à la tentation d’y goûter. Je les suçais, les léchais, les mordillais et elle avait l’air d’aimer ca.

 

Pendant que je faisais ca, je ne m’étais pas rendue compte que Nat s’était levée pour venir nous rejoindre. Elle s’était assise à côte de moi et commença à me flatter l’entre jambe. Elle me caressait le clitoris de façon très excitante alors, j’ôtai ma petite culotte et elle commença à me déguster ce qui me donna l’idée de faire la même chose avec Corinne. Nat me léchait avec passion, parfois du bout de sa langue et parfois de toute sa langue. Je pris sa tête avec ma main et la serra contre ma chatte pour lui montrer que j’adorait ce qu’elle faisait mais que j’en voulais toujours plus.

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Alors elle commença à accélérer avec sa langue sur mon clito et elle m’introduisit deux doigts dans mon vagin. AH que c’était bon, j’atteignis l’orgasme presque en même temps que Corinne. Corinne s’en alla a côté de Nat pour l’aider à me faire jouir une autre fois. Les deux se sont mis à me lécher une le clito et l’autre le reste de mon ruisseau d’amour, une d’elles me pénétra avec un doigt dans mon p’tit trou et l’autre me rentra violemment trois ou quatre doigts dans le vagin et elles faisaient toutes deux des va-et-vient violents mais très agréables.

 

Soudain elles arrentèrent toutes deux juste au moment ou j’allais jouir.

 

Elles sont parties, me laissant seule au moment ou j’avais le plus besoin d’elles. Elles sont revenues quelques minutes plus tard avec des foulards et des cordes. J’ai tout de suite compris que je bougeais trop et que ça les empêchaient de faire leur travail comme il se devait. Elles m’attachèrent les mains ensemble puis après un tabouret qui était en arrière du divan. Techniquement je ne pouvais plus bouger mes bras, puis ce fut le tour de mes jambes, elles les attachèrent l’une a une table proche et l’autre du mieux qu’elle pouvaient sur un des bras du fauteuil où était assise Nat quelques instants auparavant.

 

Corinne s’agenouilla et recommença à me brouter la chatte en me passant un doigt dans l’anus et deux dans le vagin. Nat, elle vint s’assoir, du mieux qu’elle pouvait sur mon visage, me laissant découvrir au milieux de cette toison qu’elle écarta d’une main, une magnifique vulve bien rose et bien mouillée, comme je les aime. Alors, j’introduisis ma langue dans cette rivière et la léchai. Je lui léchais le clito et le mordillais pour qu’elle en bave, j’aurais bien aimé lui entrer mes doigts dans le vagin mais hélas, j’étais attachée donc c’est elle qui, par l’arrière commença à se passer le doigt ou devrais je dire les doigts dans son trou tout ruisselant de bonheur. J’adorais le gout de sa chatte et j’aimais encore plus la voir frémir quand je caressais son clito avec ma langue.

 

Nat finit par partir dans un orgasme violent. Corinne quitta sa position. Je lui demandais de rester mais elle m’indiqua qu’elle allait revenir. Elle voulait que je lui lèche ses doigts, certains avaient le goût de ma chatte, et d’autres le goût… de mon cul. Après elle se mit en soixante neuf au dessus de moi, et nous nous sommes léchés jusqu’à ce qu’on vienne.

 

Quand nous sommes toutes venues, Corinne rentra chez elle mais moi et Nat, pour la première fois en trois ans, on a dormi dans le même lit et vous devinez ce qu’on a fait ???

 

Depuis, moi et Nat nous sommes très proches et des que nous sommes seules, nous nous envoyons en l’air. Parfois, nous invitons Corinne ou des garçons mais on aime mieux quand nous sommes seules toutes les deux!!!!

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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