Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:43

Lady A par Christelle

scat

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Je m’appelle Claudine, je suis employée de Banque, et mes fonctions me font souvent me déplacer à travers toute la France et même parfois au-delà. J’ai 29 ans depuis  » pas mal de temps « , et s’il faut me décrire je dirais simplement que j’ai les cheveux blonds vénitiens, et qu’en principe, ayant quelques formes (de trop) et souvent le sourire, je plais ! Je suis célibataire par choix, je n’aime pas m’encombrer d’un bonhomme, ni d’une bonne femme d’ailleurs. En sexualité j’ai les idées très larges, je n’ai pratiquement pas de tabou et je dirais même que les choses un peu (ou pas mal) déviantes m’attirent ! Cela dit, je ne suis pas obsédée non plus !

 

Je suis à Marseille en ce mois de mai ! Tiens, je repense à Lydia, Une grande brune un peu forte et assez délirante que j’avais rencontré l’an dernier chez des amis communs. La fête avait, au milieu de la nuit, tourné plus ou moins en orgie et je m’étais laissée draguer par cette fille qui me dévorait des yeux !

 

– Comment tu t’appelles ?

– Lydia !

 

Mais elle le prononçait à l’anglaise, ça donnait un truc comme Lady A !

 

– Je t’emmène ?

– Où, ça ?

– Je sais pas, derrière le buisson, là-bas, ça t’irais ?

 

Ça m’allait, et sitôt arrivée la miss me roulait un patin d’enfer à m’empêcher de respirer, et elle me pelotait, une vraie ventouse, elle avait des mains partout, ce qu’elle voulait c’est me sucer la chatte, je l’ai laissé faire et ne l’ai pas regretté. Après j’ai voulu lui rendre la politesse, mais elle avait une très grosse envie ! Elle m’a donc fait sa très grosse envie devant moi ! Je la regardais pisser avec je ne sais quel trouble, l’excitation étant en train de me regagner. Et puis elle m’a dis :

 

– Tu veux que je m’essuie, ou tu me suces comme ça ?

 

Rien que le fait qu’elle me pose une question pareille, j’étais dingue, je me suis précipitée sur sa chatte mouillée d’urine et je lui ai brouté son minou à mon tour, elle joui comme une folle, ameutant tout le quartier. Tout ça a duré quoi ? Une demi-heure ! Pas plus !

 

– T’es vraiment une cochonne, toi, la prochaine fois je te pisserais dessus !

– C’est pas un problème !

– On se reverra, alors ?

– C’est que, c’est mon dernier jour de vacances, demain je rentre à Paris !

– Tant pis, mais on ne sait jamais. J’habite Montpellier, si un jour tu passes par là, tu m’appelles, je peux même t’héberger…

 

La spontanéité sans lendemain des rencontres estivales, quoi !

 

Bon alors je lui téléphone ou je ne lui téléphone pas ? Je me dégonfle ! C’est le lendemain que le destin me donna un coup de pouce ! Mon chef m’appelle !

 

– Tu en as encore pour combien de temps à Marseille ?

– J’ai fini, je comptais rester une journée de plus pour faire mon rapport sur place, mais bon…

– J’aimerais bien que tu fasses un saut à Montpellier….

 

Montpellier, Lydia….. Bien sûr que je vais le faire son saut, mais avant je téléphone à la miss :

 

– Euh Lydia ?

– Oui, c’est moi !

– C’est Claudine ! Tu te souviens de moi ?

– A vrai dire….

– C’était en août dernier, l’anniversaire de Cédric… on s’était amusé un peu derrière un bosquet…

– Ah ! Ah ! Je vois mieux ! Et je parie que tu es dans le coin et que tu t’es dis, tiens je vais téléphoner à Lydia !

– Ben c’est tout à fait ça… Enfin si ça te dit…

 

Ça lui disait, elle !

 

J’arrive à Montpellier , je regarde le plan, Lydia n’habite pas très loin de la gare ! Il est 9 heures du matin, elle a pris une journée de vacances, rien que pour moi, quel honneur ! Je téléphone à l’agence, leur dit que j’ai un gros problème personnel à régler et que je ne passerais pas avant l’après midi….

 

Je sonne, elle vient de prendre sa douche, elle a les cheveux mouillés, elle est en peignoir, on dirait qu’elle a grossi un peu, je me faisais une autre image d’elle dans mon souvenir. On s’embrasse chastement sur le pas de la porte, elle referme, me fait entrer, on se regarde, on est contente de se revoir, on s’embrasse à nouveau mais cette fois c’est sur la bouche et ça dure ! Elle en profite pour me peloter les fesses, je vais attaquer à mon tour, mais elle s’écarte.

 

– Je vais te faire un café !

 

Allons-y pour le café, on va dans la cuisine ! Tout en s’affairant autour des tasses et des cuillères, elle m’ouvre son peignoir en me faisant un petit coup d’œil complice, ça se confirme elle a grossi un peu, mais voir ses belles formes comme ça devant moi, je me mets à mouiller. Je deviens fébrile et j’ai hâte de finir son café et de passer à autre chose. On parle de tout et de rien, de quoi pourrait-on causer, après tout on se connaît à peine, alors je déblatère, lui raconte mon boulot, mais elle doit s’en foutre. Elle, elle travaille dans un magasin comme vendeuse, faut bien qu’elle me dise quelque chose… Elle met tout le bazar sur un plateau :

 

– On va prendre le petit dej’ à côté, c’est plus sympa. !

 

Allons-y ! On s’affale en vis-à-vis dans deux fauteuils bien moelleux ! Elle est là presque nue devant moi, les cuisses écartées, les lèvres de sa chatte apparente malgré ses poils relativement abondants. Et ce café qui est brûlant ! Comme si on ne pouvait pas s’en passer !

 

Et c’est à ce moment-là qu’est apparu le chien !

 

– Tiens, t’as un chien !

 

Pas mal comme réflexion idiote, dès fois qu’elle me réponde  » non c’est un dromadaire…  » J’y connais pas grand chose mais ce doit être un épagneul ou un truc comme ça, il est blanc avec des taches fauves.

 

– C’est Kooky, il est mignon, hein ? Mais c’est un vrai cochon !

– Ah bon, il fait quoi comme cochonnerie ?

 

Je m’attends au pire !

 

– Tout ! Dés fois il me lèche ma petite chatte !

– Non ?

– Tu voudrais voir ?

– Pourquoi pas ?

 

J’ai répondu presque par réflexe, mais je n’avais pas sitôt dit cela que Lydia prenait une cuillère de confiture et s’en barbouillait la chatte !

 

– Vien Kooky, viens lécher ta maîtresse !

 

Incroyable ! Le chien se pointe en remuant la queue, il donne de grands coups de langues, en quelques secondes il a englouti toute la confiture !

 

– Tu voudrais essayer ?

– Non, je ne me sens pas prête !

– Force-toi, sinon tu vas le regretter, demain tu sera partie, et tu te diras  » j’aurais du essayer « , il ne faut jamais laisser passer les occasions !

– Tu as raison, mais…

– Déshabille-toi donc ! Me dit-elle me coupant la parole !

 

Ça ne se passe pas du tout comme je l’imaginais, j’aurai tant voulu qu’elle s’approche de moi que tout doucement elle m’enlève mes vêtements pièces par pièces en me gratifiant à chaque fois d’un baiser sur les nouvelles chairs dévoilées… Et puis j’aurais fait pareil avec elle. Non là j’ai droit à une nana avec un peignoir ouvert qui se fait lécher le sexe devant moi par son clébar. Mais alors pourquoi est-ce que je me déshabille sans protester, et pourquoi ma culotte est-elle toute mouillée ? J’évite de réfléchir, me voici à poil presque gênée d’être là, je ne sais plus ce que je dois faire, avancer vers elle ou me rasseoir ?

 

– Caresse-le il n’est pas méchant !

 

Je le caresse ! Il se laisse faire, normal c’est un chien !

 

– Tu veux qu’on joue à un jeu ?

 

Ça se complique !

 

– C’est quoi ton jeu ?

– On va dire que je suis une méchante maîtresse, et que toi tu es mon esclave, alors je te donne des ordres et tu les exécutes, sinon pan pan cucul !

 

Bizarrement l’aventure me tente ! Je dois être folle ! Je lui dis que je suis d’accord !

 

– Tu es sûre parce que je vais te traiter de tous les noms, et puis ta fessée tu l’auras de toute façon !

 

Je mouille, je mouille !

 

– Vas-y ! Répondis-je !

– Alors mets-toi à quatre pattes, salope !

 

Je le fais, elle me demande d’avancer vers sa chatte, de nouveau elle se la barbouille de confiture !

 

– Viens ma chienne, viens sucer, viens faire comme le chien !

 

J’avance et me prépare à la lécher ! Tout cela m’excite comme pas possible

 

– Tourne-toi un peu que je regarde ton cul ! Oh que c’est beau, tu as de vraies fesses de pute, je suis sûre que tu adores te faire enculer, non ?

– J’aime bien, oui !

– Je te dis, t’es une vraie salope.

 

Elle me fout la main au cul, il lui restait un peu de confiture, elle l’étale sur mes fesses. Super on va donc se lécher mutuellement ? Ben non ! Je fous mon nez dans sa chatte, ça sent fort là dedans, je ne comprends pas, elle sortait pourtant de la douche, mais il y a là un mélange d’urine et de mouille, auquel la salive du chien n’arrange rien. Je me force un peu et commence à lécher la confiture. Ça va mieux, le tout c’est de s’y mettre ! Et voilà que je sens une langue froide et large me lécher le cul ! Le chien !

 

– Mais !

– Laisse-toi faire ! Il ne va pas te faire de mal.

 

C’est trop ! Je délire, je lèche maintenant le sexe de Lydia débarrassé de sa confiture, tandis que le clébar ayant pour sa part terminé de me nettoyer ma fesse est reparti ailleurs. J’en viens à le regretter, l’excitation, plus provoquée par la situation que par autre chose, était trop forte, je reprends de la confiture et m’en refous sur les fesses.

 

– T’es vraiment une salope !

– Je sais !

 

Mais le chien ne reviens pas ! Je suis frustrée !

 

– Il en a assez de la confiture, il lui faudrait quelque chose de plus consistant !

– Ah ! Quoi ?

– Dès fois quand j’ai fait caca, il vient me nettoyer le cul ! Tu verrais comme il se régale ! Tu n’as pas envie ?

 

Elle est dingue !

 

– Non !

– Par contre moi, en me forçant un peu…

 

Et puis ça m’est venu comme ça !

 

– Et tu ne préférerais pas que ce soit moi qui te nettoie ?

– Hummm ! Une chienne c’est bien mieux qu’un chien ! Viens ! Tu l’as déjà fait ?

– Pipi, oui souvent, mais caca, non mais c’est l’un de mes fantasmes, alors comme tu disais tout à l’heure…

– Tu vois !

– Il faudra peut-être m’aider !

– T’inquiètes… Reste à quatre pattes et vas vers le couloir, avance lentement… ou plutôt non n’avance pas, je vais chercher quelque chose !

 

Elle revient très vite, elle a un martinet à la main.

 

– Allez en route, et pas trop vite, espèce de petite pute !

 

J’avance, je n’ai pas dû marcher à quatre pattes depuis mon enfance, et Lydia me frappe, oh, pas trop fort, mais ce ne sont pas non plus des caresses, se sont des vraies coups de martinet qui à chaque tombée m’envoient des ondes dans le corps, ces curieuses ondes qui commencent par de la douleur, mais qui peuvent se transformer en plaisir si on sait les transcender. Ce n’est pas si difficile et j’ai appris toute seule… Du coup alors qu’au début j’avais tendance à aller trop vite, je ralenti maintenant autant que je peux, tendant et gigotant de la croupe sous les coups ! Lydia s’en aperçoit, et frappe plus fort ! Du coup je reprends une progression normale

 

On arrive dans les chiottes ! J’ai le cul en feu ! Comment on va faire pour tenir à deux dans ce machin… et ce con de chien qui nous suit….

 

– Comment on fait, tu veux tout voir, tu veux me regarder faire caca ?

– Oui !

– Bon, d’accord ! Alors commence par t’asseoir sur la cuvette !

– Mais, attend j’ai pas envie moi !

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– Discute pas, et assis-toi !

Je le fais, Lydia me fait face elle s’arc-boute un petit peu, elle écarte sa chatte de deux doigts de chaque main, je sais ce qu’elle va faire, j’attends et soudain un jet tiède arrive sur ma poitrine, j’adore la sensation de l’urine sur mon corps, je m’en débarbouille les seins et pour lui prouver que je n’ai pas peur, j’ouvre la bouche, quémandant. Elle s’approche, mes lèvres viennent sur la trajectoire, j’avale ! Je me régale, je suis une vraie vicieuse ! Mais ce truc là, je l’ai fais de nombreuses fois, par contre ce qui va venir, pour l’instant c’est resté dans ma tête. Je peux encore me dégonfler. Lydia s’est retourné, elle se penche légèrement ! En voilà une position qui n’est pas celle de mes fantasmes, elle s’apprête donc à me chier sur les cuisses ! Je vais pour protester mais elle m’a posé la question, m’a demandé si je voulais voir ! Allez courage Claudine ! On verra bien après tout, si ça me débécte je ne recommencerais pas !

 

– Rapproche tes cuisses !

 

L’anus s’ouvre ! Lydia pousse !

 

– Lèche-moi un peu, ça va m’aider !

 

J’approche ma bouche comme une zombie et je lui lèche le trou de son cul ! Cette salope continue de pousser, et j’ai l’impression que quelque chose demande à sortir !

 

– Continue de lécher !

 

Je ne sais plus que faire, je me recule un peu, seuls quelques millimètres de l’étron apparaissent au centre de l’anus !

 

– Lèche !

 

Je reprend ma respiration, j’y vais, c’est âcre, mais ce n’est pas un repoussoir, ma langue s’habitue, pour l’instant ça va, l’étron se met à avancer, cette fois je recule mon visage, je suis partagé entre répulsion et fascination, Lydia est en train de nous faire un bel et long étron marron foncé et bien moulé dont l’odeur envahit la minuscule pièce ! Répulsion, fascination, je me répond que je préfère la fascination, L’étron dégringole, je le reçois sur les cuisses, je reçois aussi le suivant et même un troisième. Je mouille en regardant une fille me chier dessus, je suis folle !

 

– Et maintenant fais la chienne ! Nettoie !

 

Je n’hésite même pas, ma langue se balade autour de l’anus et nettoie les traces marrons ! Je m’enivre, je n’ai sans doute jamais été aussi excitée de ma vie ! A ce point que quand l’affaire fut terminée je regrettais qu’il n’y en ait pas plus.

 

– T’as aimé ça sucé ma merde, hein ma chienne ?

– Ben oui !

 

Mais mes surprises n’étaient pas terminées. Lydia se retourne, j’allais me relever, mais elle s’empare d’un morceau de l’étron qui était resté sur ma cuisse et s’en badigeonne le pourtour des lèvres !

 

– Bisou !

 

On s’embrasse comme deux salopes, nos bouches maculées par sa merde ! Je me lève enfin et lui dis que vais me laver les cuisses.

 

– Laisse, le chien va le faire !

 

Kooky me lèche les cuisses, en deux minutes il m’a nettoyé, il faut que je me calme ! Le chien a l’air de plus en plus excité, alors Lydia, le retourne, s’empare devant moi de sa bite en érection et se l’introduit dans la bouche ! Le clébar gigote ! Je regarde la scène fasciné, un moment elle interrompt sa fellation, elle me regarde, me sourie, son visage rayonne, mon dieu qu’elle est belle, elle n’aurait jamais du faire une chose pareille ! Je vais craquer !

 

– Viens !

 

Je m’installe devant elle, nous nous embrassons, je n’en peux plus ! Il faut que je jouisse, Lydia me repousse le visage très doucement et reprend la bite du chien dans sa bouche ! Juste quelques secondes avant de me tendre sa langue ! Je me baisse encore pour être à sa hauteur, j’ai oublié d’être conne j’ai parfaitement deviné le piège ! Alors pour lui montrer que je sais être aussi salope qu’elle, j’essaie de lui faire un sourire aussi beau que celui qu’elle vient de me faire et je dirige ma bouche vers la pine du chien !

 

Christelle

 

Kriss_Baxter@hotmail.com

 

PS : c’est la première fois que j’écris quelque chose d’aussi extrême, j’ai écrit ça en quatre heures, quatre heures où l’excitation ne m’a pas quitté. Pourtant dans la vie la zoo ne m’attire pas et en ce qui concerne la scato, je ne vais pas bien loin, allez y comprendre quelque chose, vous ? Bisous à tous !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 12:38

zooLa cousine Francette par Christelle Baxter


 

Je m’appelle Laura, j’ai maintenant près de 40 ans, brune, pas très grande…

 

Je passais ce jour-là par Brive-la-Gaillarde et me remémorais quelques souvenirs… Habitait dans cette ville une cousine, Francette, je ne l’avais jamais rencontré mais ses oreilles avaient dû lui siffler tellement mes parents lui avaient casser du sucre sur le dos. Tous les qualificatifs y étaient passés, Francette la pute, Francette la gouine, Francette la morue…

 

En ce qui me concerne j’ai été mariée dix ans avant que ça ne tourne mal, un moment dégouté des mâles, je cherchais refuge auprès de ces dames et j’eu une liaison assez épisodique mais intense avec une Marion de 15 ans mon ainée, qui m’a initié aux amours saphiques, mais aussi aux jeux de domination et à l’uro. Tout cela pour dire que je ne suis plus une oie blanche !

 

Donc, étant de passage à Brive, je me dis qu’il serait peut-être intéressant de rencontrer cette Francette, curieuse pour curieuse, après tout qu’est-ce que je risquais ? Je n’avais pas son numéro de téléphone, mais j’avais dégoté son adresse, elle habitait à la lisière de la ville.

 

Je sonne, Francette vient m’ouvrir, cheveux auburn, le regard malicieux

 

– C’est à quel sujet ?

– Je suis Laura, votre cousine !

– Laura, Laura ? Ah, la fille de tonton Roger ?

– C’est cela !

– Et qu’est-ce qui vous amène ?

– Pas grand-chose, on ne s’est jamais rencontré et comme je passais dans le coin, je me suis dit qu’on pourrait se parler ne serait-ce que cinq minutes.

– Alors rentrez cinq minutes, je vais vous faire un café.

 

Elle me vire pas, c’est déjà ça mais pour l’instant l’échange est juste poli, je me demande un peu ce que je fais là.

 

– Euh, vous vivez seule ? Demandais-je histoire de lancer la conversation.

– Oui, je suis très indépendante, mais cessons le vouvoiement, on est cousine, non ? Je suppose que tes parents m’adorent toujours autant !

– M’en parle pas ! Je ne sais pas ce que tu leur a fait, mais qu’est-ce que j’ai pu entendre sur ton compte.

– Je ne fais pourtant de mal à personne, ce n’est pas de ma faute si j’aime le cul !

 

Mais c’est qu’elle deviendrait vulgaire, la cousine.

 

– En fait le tonton Roger est un bel hypocrite, il m’a proposé la botte, j’ai refusé, je couche avec les gens qui me plaisent et il se trouve qu’il ne me plaisait pas .

– Je comprends mieux !

– Alors voilà, tu veux savoir quoi ?

– Je ne vais pas te déranger longtemps, je voudrais juste que tu m’écoutes cinq minutes, pour t’expliquer un peu ce que je deviens. Ensuite, ben ensuite on verra bien !

 

Je lui est alors raconté ma liaison avec Marion… mais sans entrer dans les détails, me contentant d’évoquer nos rapports saphiques.

 

– Intéressant ! Dit-donc ! Et pourquoi venir me raconter ça à moi ?

– Parce que je n’ai jamais raconté ça à personne, alors je me suis dit que toi, peut-être que tu me comprendrais.

– Bien sûr que je te comprends, la vie est courte et encombrée d’un tas de convenances et de tabous. On vit bien mieux quand on s’en libère !

– Merci !

– De rien ! Mais dis-moi, tu me trouves comment physiquement ?

– Tu es une belle femme ! Répondis-je

– Toi aussi ! T’es pressée ?

– Non pourquoi ?

– Parce qu’on pourrait peut-être s’amuser ensemble un petit peu.

– Je ne suis pas contre !

– Alors j’aimerais bien que tu me montres tes nichons.

 

C’est qu’elle attaque dur la cousine ! Mais je ne vais pas me défiler, cette situation c’est moi qui l’ai créée !

 

– Mais bien sûr ! Répondis-je en me dépoitraillant

– Hum c’est beau tout ça, je peux les embrasser ?

– Vas-y !

 

Dingue ça ne fait même pas une demi-heure que je suis là et la voilà en train de me lécher mes tétons qui deviennent vite tout durs ! Que c’est bon !

 

L’instant d’après nous nous sommes retrouvées quasi spontanément en position de soixante-neuf sur le canapé, J’avais sa pêche juteuse devant ma bouche et je la léchais avec gourmandise tandis qu’elle me rendait la pareille. Sa langue était diabolique et s’agitait comme une anguille à ce point que je me mis à crier ma jouissance.

 

Je soufflais une seconde et mis un point d’honneur à la faire jouir à son tour, ce ne fut pas très long.

 

Nous nous embrassâmes et elle se retourna m’offrant ses jolies fesses qu’elle écarta pour bien dégager son petit trou plissé. Je compris évidemment le message et dardait ma langue vers ce petit endroit si délicat.

 

– Mets-moi un doigt ? Me demande-t-elle.

 

Ce n’est pas un problème, mon doigt lui pénètre le cul, et je le fais coulisser.

 

– Attends, me dit-elle au bout d’un moment, je vais te montrer ma boite à trésors.

 

Ah ?

 

Et la voilà qui revient avec une jolie boite rectangulaire en marqueterie. Elle l’ouvre. Fantastique tout le petit nécessaire pour se donner du plaisir, on en fait l’inventaire, trois godes, deux de tailles moyenne et un plus gros, des pinces à seins, d’autres bricoles mais aussi des préservatifs et du gel.

 

– Et ça c’est quoi ?

– Un chapelet anal, ou des boules de geisha, si tu préfères, on s’introduit les boules dans le cul l’une après l’autre, puis on les retire soit d’un coup sec, soit en faisant durer le plaisir, je ne te dis pas la sensation !

– Ça donne envie d’essayer.

– Moi je veux bien, mais il y a quand même un inconvénient…

– Quoi donc.

– Ben quand les boules ressortent, elle sont parfois un peu merdeuses !

– Pas bien grave ! Répondis-je, ça se lave, non ?

– Ça se lave ou ça se lèche ! Reprend Francette en me regardant droit dans les yeux.

 

Sans doute voulait-elle me provoquer ou tester mes limites ?

 

– Tu lèches, toi ? Lui demandais-je.

– Quand il n’y en pas de trop !

– J’aimerais bien que tu me les mettes !

– Tu ne vas pas être déçue, ma chérie, ouvre bien ton petit cul !

 

La première bille tente d’entrer, curieuse sensation, elle reste au bord de l’anus, puis tout d’un coup semble avalée, je n’ai pas compté les billes, mais il devait y en avoir une dizaine. Les voilà toutes logés dans mon cul.

 

– On les retire ? Demandais-je.

– Non, ce n’est pas le jeu, on va attendre cinq minutes !

 

Cinq minutes avec tout ça dans mon cul qui ne demande qu’à se débarrasser de cette intrusion insolite ! Je ne pourrais jamais ! Je me tortille. Cinq minutes ce n’est pourtant pas bien long, je transpire, je vais craquer.

 

Francette tire enfin sur la ficelle faisant ressortir la première bille ! Oh que c’est bon ! La deuxième ! Le plaisir est intense, je mouille comme une éponge. Les autres suivent, je ne sais plus où je suis, je ne dois plus être sur terre, j’ai joui comme peu souvent ! J’embrasse ma complice.

 

Elle me tend le chapelet de billes, les dernières sont polluées de matière, comme elle me l’avait prévenue.

 

– Alors ? Prête pour le nettoyage ! Me nargue-t-elle.

 

Je me dégonfle ou je me dégonfle pas ? Je me dis que je peux toujours commencer, on verra bien. Je lèche donc les boules en commençant par les dernières qui sont quasiment cleans.

 

Une boule, deux boules, plus j’avance moins c’est propre, même s’il n’y a pas grand-chose, je lèche, je suce la merde, m’étonnant de la facilité avec laquelle je réalise cette action.

 

C’est fini, nous tombons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant. Un baiser au goût bien particulier comme vous pouvez le supposer !

 

On souffle un peu, on se boit un jus de fruit.

 

– Ben dis donc, je ne sais pas si c’est moi la salope, mais dans le genre tu n’es pas mal non plus ! Me dit-elle en rigolant.

– Il n’y a pas si longtemps que je suis comme ça, c’est ma copine qui m’a déniaisé.

– Elle t’a fait quoi au juste ? Je suis sûre que tu ne m’a pas tout raconté !

– On jouait à la maîtresse et à l’esclave, c’était moi l’esclave, elle aimait me cingler les fesses à coups de cravache, me serrer les nichons avec des cordelettes, me mettre des pinces… tout ça…

– Rien d’autre ?

– Si ! Elle m’a fait découvrir les jeux de pipi, maintenant j’adore boire de la pisse…

– Un peu de scato aussi, je suppose ?

– Oui, ça lui arrivait de chier devant moi et de me demander ensuite de lui lécher le cul, j’adorais faire ça ! Je suis cochonne, hein ?

– On est cochonne toutes les deux ! Tu voudrais ma pisse, là tout de suite ?

– Bien sûr !

 

Je me suis allongée et elle a collé sa chatte contre ma bouche que j’ai ouverte.

 

Hum, sa bonne pisse me coule dans le gosier. Je me régale.

 

– Alors ? Il est comment mon pipi ?

– Un délice !

– Tu en a gouté beaucoup des pipis ?

– En fait non, celui de Marion bien sûr, mais une fois elle avait invité trois vieilles salopes qui m’ont fait gouter à leur pisse.

– Hum ça devait être géant !

– Oui !

– A ton tour de me donner ta pisse !

– Mais bien sûr !

 

Nous avons donc permuté nos positions, et je lui ai rempli son palais de ma bonne urine.

 

– Il te reste des tabous ? Me demande Francette après quelques moments de douces et folles caresses.

– Il y a des choses que je n’ai jamais fait…

– Par exemple ?

– Baiser avec un chien !

– Ça te dirait ?

– Je ne sais pas trop, disons que c’est une question d’occasion, d’ambiance… Tu l’as fait, toi ?

– Oui, avec le chien de mon père, c’est génial de sucer la bite d’un chien. J’adore faire ça !

– Et tu t’es fait prendre aussi ?

– Bien sûr que je me suis fait prendre, dans la chatte et dans le cul, ça t’intéresserait ?

– Disons que ça me tente !

– T’es toujours pas pressée ?

– J’ai tout mon temps.

– Alors on se douche et je t’emmène.

– Où ça !

– Chez mon père, il habite à Nœudville, on va y aller en voiture.

 

On s’est donc douché, on en avait bien besoin, on s’est rhabillée et je suis montée dans la bagnole de Francette.

 

Quand même je ne comprenais pas bien, on allais faire ça où exactement ? Elle m’avait dit « chez son père »…

 

– Ton père te laisse ses clés ?

– Non pourquoi ?

– Ah, je comprends, on va faire ça dans la nature ?

– Non, restons discrètes !

– Il y a quelque chose qui m’échappe !

– Je vois bien ! Je vais te dire, mon père est un brave homme, il m’adore, Depuis que ma mère est partie avec un conard, il vit seul, je lui rends visite à peu près une fois par semaine.

– Ah ?

 

C’est bien joli tout ça, mais ça ne répond pas à mes interrogations.

 

– Je te dirais bien autre chose mais je ne voudrais pas te choquer ! Reprend-elle.

– Tu sais il n’y a pas grand-chose qui me choque !

– Dès fois je le suce, il a une très belle bite !

– Non ?

– Si ! Alors choquée ?

– Non pas choquée, juste surprise !

– Ça te plairait que je le suce devant toi et ensuite on s’occupera du chien !

– Et ben ! J’en apprends des choses !

– Tu ne m’as pas répondu ?

– Oui, oui, on va faire comme ça.

 

Le papa de Francette est un sexagénaire jovial.

 

– Quand-est-ce que tu vas te décider à t’acheter un portable ? Lui demande sa fille.

– J’aime pas ces machins-là !

– Je te présente Laura, elle vient de Nantes.

– C’est joli Nantes !

– Ça ne te dis rien « Laura » ?

– Euh, non ? Répond son père

– C’est la fille de Roger !

– Roger, mon beau-frère ? Je ne l’ai jamais fréquenté.

– Qu’est-ce que t’as fait du chien ! Il n’est même pas venu me dire bonjour !

– Il est avec l’âne dans la petite remise derrière.

– L’âne ! Quel âne ?

– Celui du père Gringoire, il me l’a confié quelques jours.

– On peut aller voir ?

 

Et nous voilà partis dans une toute petite écurie, où se trouve effectivement un joli âne gris. Le chien accueille Francette en remuant la queue. Du coup, elle soulève sa petite robe, lui donnant accès à son entre jambe. Le chien se précipite. Elle écarte sa culotte et cette fois le chien y va carrément de sa langue râpeuse.

 

– Tu vas encore faire des cochonneries ? Lui dit son père en se tripotant la braguette.

– Hi ! hi !

 

Francette me propose de faire comme elle. Le problème c’est que je suis en pantalon.

 

– Ben, enlève-le !

– Mais nous ne sommes pas seules.

– Et alors, ça te gêne d’offrir un petit spectacle à mon papa ?

 

Evidemment, c’est un argument ! Je retirais donc le pantalon et la culotte et m’autorisait à narguer le papa.

 

On ne m’avait pratiquement jamais parlé de lui, j’ignorais de quelle façon il été lié à mes parents, le frère de ma mère ou de mon père ? En fait c’était le beau-frère de ma mère, mais quelle que soit la configuration c’était mon tonton.

 

– Tu as un cul superbe ! Commenta-t-il.

– Tu voudrais me le caresser ?

– Je ne suis pas contre, mais ça risque de nous emmener assez loin.

– Arrêtez de draguez, tous les deux ! Intervient Francette, qui en même temps attire le chien entre mes cuisses.

 

Et voilà que la bestiole me lèche l’abricot. Je le laisse faire quelques instants, puis Francette le fais se coucher sur le flanc et lui branle la bite qui sort de son fourreau. Impressionnant, je n’avais jamais vu une bite de chien d’aussi près, c’est rouge, compact et finalement assez joli. Francette le lèche avant de mettre l’extrémité dans sa bouche, puis alors que mes lèvres sont très proches, me tend l’organe afin que le suce à mon tour.

 

Francette

Quel sensation ! Le sexe est gluant, secrétant en continue un liquide plus ou moins spermeux, ce n’est pas mauvais du tout.

 

Je suce, je suce. Je ne vois plus Francette, elle n’est pas loin, le tonton s’est débarrassé de son pantalon et se fait sucer la bite par sa fille.

 

Un moment, elle retire les chaussettes de son père, je me demande ce qu’elle fabrique ? Elle revient vers nous et enfile les chaussettes sur les pattes de devant du clébard, puis me demande de me mettre en levrette.

 

D’accord, je me positionne, je ferme les yeux, ça n’a pas l’air évident, le chien n’a pas l’air de se décider, Francette humecte mon trou du cul de sa propre mouille et s’arrange pour le faire sentir au chien. Celui-ci réagit, et se jette sur moi avec une certaine brutalité, je comprends maintenant le pourquoi des chaussettes.

 

J’ignore combien de temps cela a duré, j’ai joui plusieurs fois et pendant ce temps-là Francette se faisait enculer par son père.

 

Finalement le chien s’est retiré et est allé roupiller. Le père de Francette a joui en gueulant comme une baleine. Il décule en exhibant sa bite pleine de sperme et d’un peu de caca.

 

Francette me demande si je veux nettoyer ! Bien sûr que je vais nettoyer puisque on me le demande gentiment.

 

– Rejoignez-moi, je vais vous préparer deux ou trois bons trucs à emporter ! Nous indique le tonton.

 

On allait pour récupérer nos fringues quand Francette me fait du coude.

 

– T’as vu l’âne ?

 

Effectivement c’est impressionnant, ce n’est plus une bite, c’est un tuyau de poêle !

 

Francette s’approche de l’animal

 

– T’es gentil ? Si je te caresse tu ne dis rien ?

 

Effectivement, elle le caresse sans provoquer de réaction hostile de l’animal, au contraire ses oreilles se pointent en avant, signe de confiance, dit-on.

 

La main descend et s’approche inexorablement de la bite gigantesque et elle finit par la caresser, puis me demande de la rejoindre.

 

Après le chien c’est donc l’âne, pas le même genre de bite, mais quelle douceur, quelle sensation de puissance. On caresse, avant de tenter d’y mettre la langue et nous voilà en train de sucer l’animal. On se met à deux sur cet impressionnant tuyau de chair. A tour de rôle on suce le bout…

 

Et puis tout d’un coup ce sont les grandes eaux, la bite de l’âne projette une incroyable quantité de foutre clair. J’en reçoit partout y compris sur le visage, je goute, ce n’est pas mauvais, un peu ferreux !

 

Francette glisse et se retrouve le cul par terre On rigole comme des bossues.

 

– J’ai le cul plein de son foutre ! Rouspète-t-elle, je parie que tu n’es pas cap de me le lécher !

 

J’ai horreur de défis idiots, alors je lui ai léché son cul !

 

On est rentré chez le tonton.

 

– Vous êtes dans un drôle d’état toutes les deux !

– On a un peu déconné avec l’âne ?

– Vous ne lui avez pas fait de mal au moins ?

– Non que du bien, mais il nous a bien arrosé !

– Vous voulez prendre une douche ?

– Volontiers !

– Si j’osais je vous proposerais bien une fantaisie !

– Je sais à quoi tu penses ! Répondit Francette, allez Laura on se déshabille.

 

On s’est agenouillées côte à côte, et le tonton nous a copieusement pissé dessus, c’était la première fois qu’un homme me pissait dessus mais je ne l’ai pas dit à Francette.

 

Evidemment après cette petite distraction, le tonton bandait comme un sapeur, alors le veinard a eu droit à une fellation à deux bouches, Francette et moi nous nous sommes en suite échangées un long baiser au sperme bien dégoulinant.

 

Elle n’est pas belle la vie ?

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 11:48

L'institut Misia par Christelle_Baxter

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Bonjour, je suis Christelle, je ne vous dirais pas mon âge, mais on va dire que je suis une femme mature, plutôt bien conservée, me dit-on. Je travaille à mi-temps dans le prêt-à-porter. Je suis assez portée sur les choses du sexe et fantasme pas mal. Je ne suis pas nymphomane pour autant, et ne court pas après tout ce qui bouge, je sais me tenir...

 

J'ai été amené à faire un dépannage de près d'un mois dans un quartier de Paris que je ne connaissais presque pas. Le soir après mon travail, et me dirigeant vers le métro, je longeais cette étrange vitrine simplement occupée par un rideau tiré devant une plante verte qui me semblait bien fatiguée. Le nom "Institut Misia" ne me renseignait pas. Et un jour alors que je faisais ce chemin avec une collègue, je lui posais la question :

 

- On m'a dit que c'était un salon de massage ?

- Un salon de massage ! Mais pourquoi il n'y a rien d'indiqué ?

- En fait ce sont des massages spéciaux, c'est un truc pour les mecs, ambiance érotique et tout ça, enfin c'est ce qu'on m'a raconté, je ne suis pas allé voir…

 

J'avais mon renseignement. J'ignorais alors que cette curieuse officine continuerait à me tarauder. Je me demandais ce qu'on pouvait bien fabriquer là-dedans, et l'idée d'aller voir me vint pour la première fois à l'esprit. Qu'est-ce que je risquais sinon de me faire éconduire ? Cela me travailla quelques jours puis je n'y pensais plus.

 

Et puis un jour de repos, ayant à faire une course à quelques stations de métro de l'endroit où se trouvait l'institut, je me décidais d'en savoir plus. Fébrile je passais et repassais, devant n'osant rentrer, je guettais d'éventuelles aller et venues, mais n'en constatait pas, l'heure n'était peut-être pas trop propice. Finalement, prenant mon courage à deux mains, je pousse la porte, ou plutôt, j'essaie car elle ne s'ouvre pas, je réalise qu'il faut sonner, et on vient m'ouvrir !

 

La tronche de la nana ! Pas mal. Faussez blonde, visage bronzée, plus toute jeune mais bien conservée…

 

- Euh, c'est pourquoi ? 

- On m'a dit que vous faisiez des massages !

- Oui, nous faisons des messages, mais, comment dire, cet établissement est avant tout destinées aux hommes, ce ne sont des massages un peu… un peu coquins, voyez-vous. 

- Vous ne recevez pas de femmes, alors ? 

- C'est assez rare, mais maintenant que vous êtes prévenue sur le type de massage que nous pratiquons, si vous souhaitez rentrer vous serez la bienvenue…

 

Elle dit ça sans sembler croire un instant que je rentrerais, c'est pourtant ce que je finis par faire, la pièce est minuscule, je comprends que les massages doivent se passer ailleurs…

 

- Nous avons plusieurs sortes de prestations. Cela va du massage décontractant d'une demi-heure au massage complet avec huiles aromatisées. Celui-ci dure environ une heure et je vous le conseille vivement si vous en avez le temps… et les moyens. C'est 150 euros. 

- Hein ! Je suis désolée c'est trop cher pour ma bourse, excusez-moi de vous avoir dérangée. 

- Allez, c'est mon jour de bonté, je vous fais 50%…

 

Ça restait cher, mais bon, cette expérience me tentait de trop, j'acceptais.

 

- Bon, vous pouvez choisir votre masseuse, nous avons Sarah, c'est une eurasienne très sensuelle, mais elle est occupée pour l'instant, je vais vous montrer sa photo.

 

Elle me temps une photo couleur de cette jeune personne en kimono ! Je flashe complètement sur le cliché !

 

- Oui, elle me convient très bien ! Répondis-je

- Vous allez être obligée d'attendre un peu, sinon il y a moi !

 

Pas envie de gaffer, comment lui dire à cette charmante personne qu'assurément elle n'est pas sans charme mais qu'elle est loin d'avoir ceux de l'eurasienne ?

 

Mais elle n'a pas l'air de s'offusquer et me fait pénétrer dans une pièce attenante. C'est une salle d'attente, il y a trois sièges et une petite table couverte de quelques revues… Un léger coup d'œil sur celles-ci me fait penser qu'elles n'ont pas grand-chose à voir avec celles que l'on trouve chez les coiffeurs….

 

- La fréquentation est très inégale. Se croit obligée de me préciser mon hôtesse. Parfois on n'a personne pendant deux heures, et après il en arrive trois ou quatre à la fois.

 

Je m'assois, la fille me fait la conversation, mais tout cela reste banal et très superficiel, au bout de dix minutes, une porte s'ouvre, un homme en sort, très classe, le mec, veston, cravate et grosses lunettes, il a l'air ravi, semble étonné de me voir assise dans ces lieux, puis se retourne vers la masseuse qui l'accompagne, petit bisou et le voilà parti.

 

Subjuguée ! Ces gens ne savent pas prendre des photos ! Car déjà je flashais sur l'image de cette eurasienne, mais la voir en vrai, devant moi, comme ça en chair et en os, tout sourire, je ne vous dis pas l'effet ! Elle était vêtue d'un kimono très court qui lui va à ravir, par contre je ne la voyais pas aussi grande, pourquoi dans notre imaginaire les asiatiques sont-elles toujours petites ?

 

- Sarah ! Madame t'a choisie pour un massage ! 

- Quel honneur, bonjour madame, me dit-elle me tendant la main. Quel massage désire-t-elle ? 

- Le grand jeu, tu nous la gâtes !

- Je crois que je vais savoir-faire ! Répond Sarah accompagnant sa courte phrase d'une expression pleine de promesse.

 

Je suis l'eurasienne dans un petit escalier et nous voici dans une pièce un peu plus spacieuse. Il y a deux tables de massages et un rideau peut séparer en deux cet espace. Au fond, dans un coin, j'aperçois une cabine de douche. Elle me demande si je veux en prendre une, mais m'étant douchée en sortant du lit, je décline… et puis je ne suis pas venu pour me doucher…

 

Un portemanteau et plusieurs cintres sont à ma disposition pour ranger mes vêtements. Sarah me demande de me déshabiller, ce qui me paraît normal et me tend une serviette. Mais, je ne saurais dire pourquoi je décide de garder mon soutien-gorge et ma culotte. D'autant que la taille de la serviette m'apparaît assez ridicule, une bande de tissu éponge qui aurait sans doute quelque mal à me couvrir convenablement les fesses et le sexe.

 

Je ressens à ce moment-là une légère envie de satisfaire un besoin naturel, mais ne le considérant pas comme si pressant que ça, je décide que je pourrais m'en accommoder pendant la prestation.

 

Sarah me demande de m'allonger sur le ventre et immédiatement, après avoir enclenché une musique d'ambiance, se place à côté de moi et commence son travail, sans manifester la moindre surprise, comme si elle avait massé des femmes toute sa vie. Une professionnelle quoi !

 

Ses mains commencent par parcourir mon dos rapidement puis elle me dit :

 

- Si vous ne voulez pas tacher votre soutien-gorge, il serait préférable de le quitter…

 

Sans attendre ma réponse, elle le dégrafe et je dois me soulever pour qu'elle me l'enlève. Ses mains parcourent alors mes seins sans que cela soit vraiment utile. Elle commence à étaler de l'huile sur mes épaules, puis mon dos. Arrivée au creux de mes reins, elle tire sur ma culotte, me découvrant les fesses sans me le demander, mais avec douceur, puis elle me la retire complètement sans un mot et continue à répandre l'huile de massage. Elle déverse le contenu du flacon sur mes fesses et étale l'huile. Une partie du liquide s'infiltre entre mes fesses et coule vers mon minou. D'une main habille, elle le récupère, n'hésitant pas à passer son doigt sur mes lèvres vaginales en m'écartant légèrement les cuisses. Elle terminé son onction sur mes jambes, insistant sur l'intérieur de mes cuisses, tout près de ma minette, et dans les replis de chair tendres et particulièrement sensibles de cette zone.

 

Enfin elle commence son massage.

 

Le dos, les épaules, les côtés du corps. Elle se tient toujours à côté de moi, légèrement en arrière et je ne peux la voir entièrement. Elle me décontracte complètement muscle après muscle. Le dos, les reins, les épaules, puis revient sur les reins, malaxant de temps en temps mes fesses et passant un doigt dans la raie culière, le descendant chaque fois plus bas, m'obligeant à écarter chaque fois un peu plus les cuisses. Mais à ce jeu, elle s'arrête systématiquement juste avant mes lèvres intimes

 

Je suis sous le charme de ses caresses et ferme les yeux. Après tout, femme ou homme, du moment que le massage est bien fait !

 

Elle se déplace, et vient devant moi pour me masser la nuque et les épaules. Je relève la tête et me retrouve en face d'elle. Ou plutôt en face de sa minette parfaitement rasée. En relevant les yeux je vois qu'elle s'est débarrassée de son kimono, qu'elle est donc complètement nue et qu'elle me sourit. Sourire que je lui rends, un peu gênée. Ma tête est presque à la limite de la table, j'ai le visage contre son corps ou presque, surtout lorsqu'elle se penche en avant pour mettre en contact ses seins avec mes épaules et ma nuque et me masser avec.

 

C'est très doux et excitant de sentir ses tétons sur ma peau. Instinctivement, je déplace mes bras et caresse ses cuisses. Elle se plaque alors contre mon visage. J'entoure son bassin, mets mes mains sur ses fesses et lui embrasse le pubis. Sarah, me laisse faire un moment, puis se détache légèrement de moi.

 

- Ça vous excite tout ça, hein ? Mais soyez gentille, laissez-moi continuer mon massage, ça n'en sera que mieux ensuite….Vous pouvez me toucher si vous le désirez, mais laissez-moi faire mon travail.

 

Elle est repassée sur le côté et recommence son massage. Je ne la touche plus et je repose mes bras le long de mon corps. Ses seins parcourent maintenant mon dos, s'attardant sur mes fesses et ce massage avec la pointe de ses mamelons durcis est un véritable bonheur. Elle joue ainsi avec mes sens durant un long moment mais sans jamais visiter mon intimité. Elle se promène autour, se présente à l'entrée, me laisse espérer une visite qu'elle me fait désirer et espérer. Elle ouvre mes lèvres intimes, en caresse les bords, passe un doigt sur mon bouton, l'effleurant à peine et repart vers d'autres lieux tous aussi sensibles les uns que les autres. Sarah maintient mon désir tendu, mais sait doser ses caresses pour m'éviter d'arriver trop vite sur la berge.

 

C'est elle qui m'oblige à en demander toujours plus, m'ouvrant volontairement sous ses doigts magiques. Mon sexe toujours plus humide se fait demandeur et Sarah me refuse la plénitude en me faisant l'espérer chaque fois un peu plus. Lorsqu'enfin, elle me demande de me retourner, elle enduit mon ventre et mes seins d'huile. Je crois que je suis prête à accepter n'importe quoi, pourvu qu'elle continue à jouer avec mes sens. Elle ne s'en prive pas. Elle s'amuse de mes seins avec une maîtrise parfaite, de mon ventre qu'elle sait caresser au bon moment, puis enfin de mon pubis endolori par tant de caresses.

 

jadglamcch055J'ai maintenant la vue de son corps nu penché sur moi et j'ai envie de le caresser. Elle me laisse faire avec un sourire. Lorsque j'atteins son intimité, elle ouvre ses jambes pour mieux me laisser passer. J'espère que ma caresse lui indiquera mon désir. Je la pénètre donc et trouve une grotte humide qui s'offre à mes doigts curieux. Sarah se laisse faire, s'offre à mes caresses tout en continuant les siennes. Je fini par lui réclamer ses doigts, m'ouvrant largement. Elle me propose un gode, me donnant à choisir entre plusieurs modèles. Je ne m'attendais pas à cela, mon excitation est toujours aussi intense mais je me déconcentre. Du coup mon envie d'uriner que j'avais complètement oublié refait surface…

 

- Il va falloir s'interrompre un instant, il faut absolument que je fasse pipi ! 

- Et bien vas-y pisse ! Me répond-elle passant au tutoiement.

 

Je vais pour me lever !

 

- Non, pisse ici, reste comme tu es ! Tu vas voir, c'est très bon de pisser allongé, de se laisser aller. 

- Euh, ça me gêne un peu… 

- Mais non c'est très courant, nous avons une cliente qui adore faire ça ! Pourquoi n'essaies-tu pas !

 

Elle ment, sa cliente n'existe pas, l'hôtesse disait tout à l'heure qu'elles ne recevaient pratiquement pas de femmes… Mais je comprends que Sarah veut jouer. Oserais-je simplement ? Pourquoi pas si elle m'aide, si elle insiste, sinon je ne pourrais jamais.

 

- Je ne sais pas je n'ai jamais fait ça ! 

- Je m'en doute bien, allez, ferme les yeux, et lâche-toi ! 

- Mais je vais en mettre partout !

 

Une étincelle jaillit soudain dans ses yeux !

 

- Tu vas être une vilaine fille qui fout du pipi partout, c'est tout à fait ça ! 

- Je ne crois pas que je vais pouvoir… 

- Et peut-être que la vilaine fille qui fout du pipi partout, on va la punir.

 

Ou m'entraîne-t-elle ? Ses propos me rendent toute moite, de vieux fantasmes qui remontent à la surface. M'enfuir, m'enfuir tout de suite ou alors assurer jusqu'à la folie.

 

Je me mords les lèvres, les doigts de Sarah parcourent mon pubis. J'ai peur, cette fille est peut-être à moitié folle, elle cherche à me dominer. Le flash, Sarah en dominatrice, les seins fiers et la cravache dressée. Je n'en peux plus, je suis vaincue, vaincue par mes fantasmes, vaincue par l'excitation. Je n'aurais jamais dû franchir cette porte. Je m'entends dire alors :

 

- Ça ne me déplairait pas, un petit scénario comme ça ! 

- Alors on va le faire ! Mais c'est un peu plus cher, je vais aller chercher Martine. Essaie de te retenir tente secondes encore.

 

Parler de fric pour tuer l'érotisme c'est pas mal je trouve…

 

- Il n'y a pas de supplément, c'est mon jour de bonté !

 

C'est, l'hôtesse, (donc Martine) qui vient de rentrer. Sympathique le cadeau, sauf que ça veut sans doute dire aussi que Madame suivait tout sur un circuit vidéo. Elles commencent à me prendre la tête ces masseuses. Une nouvelle fois je fais le geste de me lever. Mais les pointes des seins de Sarah sur mon ventre m'électrisent. Je reste là comme une conne, complètement passive.

 

- Il faut que je pisse ! 

- Vas-y !

 

Je me libère. Une petite marre commence à stagner entre mes cuises, puis s'étend passe sous moi, me mouille, ça n'arrête pas ! Et pendant ce temps, Martine se déshabille devant moi se positionnant visiblement de façon à ce que je ne rate rien de son rapide effeuillage. C'est une belle femme bien conservée et intégralement bronzée. L'urine déborde maintenant de la table de massage et dégouline sur le carrelage.

 

- Tu aimes qu'on te traite ? Demande Martine. - Qu'on me traite ? Répliquais-je sans comprendre 

- Oui, qu'on te dise des mots un peu obscènes, parce que si ça te choque, on sait aussi faire ça en silence.

 

Je ne comprends pas tout mais leur réponds que peu de choses me choquent

 

- OK ! Et rassure-toi, on ne veut que s'amuser ! Si tu crois que ça va trop loin tu n'as qu'à dire pouce et on s'arrête.

 

Je les regarde, je ne sais même pas à quel jeu on joue, mais ce qu'elles me disent m'inspirent plutôt confiance.

 

- Alors, petite salope, on a pissé sur mon carrelage !

 

Je ne sais pas ce qu'il faut que je réponde, je n'ai jamais pris des cours d'improvisation théâtrale !

 

Sarah, m'apporte une serpillière !

 

- Lève-toi de cette table et nettoie !

 

Je ne vois pas ce qu'il y a d'érotique là-dedans, mais suppose qu'il s'agit là d'un prélude. Je passe la serpillière, assez mollement.

 

- Stop, maintenant tu ne bouges plus et tu cambres bien ton cul ! On va te corriger ! 

- Aïe !

 

Un coup de martinet tombe sur mes fesses. Le coup est assez mou, mais porte, une onde parcourt mes fesses, si elle pouvait taper un tout petit peu plus fort. Le second coup est plus sec, plus violent, j'encaisse, j'encaisse et j'aime ça !

 

- Encore, encore !

 

Il ne faut pas lui dire deux fois à Sarah, ça dégringole, ça tombe, ça cingle, parfois elle s'arrête, fait une pause, puis reprend.

 

- T'aimes ça, hein petite salope, petite pute, et c'est pas fini après je vais t'enculer avec un gode ! Tu aimerais ça, que je t'encule avec un gode ? 

- Fais-moi tout ce que tu veux, répondis-je n'étant plus maîtresse de mes sens. 

- Tu n'aurais pas dû dire ça ! Rigole ma tortionnaire.

 

Les coups se font encore plus forts, mais j'encaisse, c'est toutefois la limite, si elle augmente encore la frappe je vais être obligée de crier pouce.

 

- Comme ça, mais pas plus fort ! 

- Je fais ce que je veux, petite chienne !

 

Mais elle ne force plus ! Par contre ça commence à bien faire. Plutôt que de lui dire, je choisis se modifier la position et je m'affale, me faisant surprendre par la froideur du carrelage et par l'humidité de ma propre urine.

 

- Regarde-moi ça ! Fais remarquer Martine à Sarah, elle se vautre dans sa pisse ! 

- Attends, moi aussi j'ai une petite envie ! Répond cette dernière.

 

Elle me demande de rester allongé par terre, mais de me retourner sur le dos ! Qui s'est qui va avoir besoin d'une bonne douche après tout ça ? J'obéis, je pense qu'elle bluffe, elle ne va tout de même pas me pisser dessus, non ? Mais la voyant se concentrer, se préparer, je ne fuis pas, j'attends, et reçoit son jet tiède sur tout le corps. C'est chaud, c'est rigolo.

 

- Vous êtres vraiment graves ! Dis-je me relevant ! 

- Oui, mais ça ne te déplait pas tant que ça ! 

- Je suis très joueuse !

 

Martine s'est assise sur une chaise, les cuisses écartées, et commence à se masturber !

 

- Viens me lécher ! Me demande-t-elle

 

Moi, je veux bien, mais j'aimerais bien jouir aussi, je me mets à quatre pattes devant l'hôtesse et entreprend de lui lécher la minette. Espérant qu'elle n'aura pas l'idée incongrue de se mettre elle aussi à pisser. Tiens, question, que ferais-je si elle le faisait ? Je suis sûre que l'excitation aidant je serais capable de ne pas m'en offusquer !

 

Tandis que ma langue besogne la douce chatte de la belle Martine, je sens quelque chose de froid sur mon anus, c'est Sarah qui s'apprête à me goder le cul. Je m'ouvre laissant le passage au sexe de plastique. Je m'offre sans honte ni tabou; comme un animal pour qui le besoin a pris le dessus ! S'en suit alors un ballet à trois, une sorte de petit train articulé, ma langue léchant sans relâche la chatte dégoulinante de mouille de l'hôtesse, tandis que mon cul frétillait au rythme des va-et-vient que me faisait subir la main vicieuse de l'eurasienne qui dirigeait le gode.

 

Soudain Martine est atteinte de soubresauts, elle pousse un cri qu'elle étouffe aussitôt et s'affale sur sa chaise comme une poupée de chiffon, elle soupire !

 

- Terrible !

 

Et Sarah qui continue de me besogner. Je décide de prendre un peu l'initiative, et demande à l'eurasienne d'arrêter.

 

- Fais-moi jouir ! Lui demandais-je dans un souffle !

 

Qui m'aurai cru ne serait-ce que ce matin, capable de demander une telle chose à une femme, certes j'ai des fantasmes, je n'ai pas trop de préjugé, mais….

 

Mais déjà la tendre langue de l'eurasienne agace mon clitoris en feu, je me cambre prête à éclater, j'ai failli, quand Sarah eut raison de mes sens, crier comme une forcenée. Je n'ai pu le faire car à ce moment précis, la bouche de ma partenaire se collait sur mes lèvres et sa langue cherchait la mienne tandis que nous nous entrelacions pour une dernière étreinte.

 

Un coup de sonnette. Martine qui se lève, qui m'indique que j'ai le temps de prendre une douche. Je la prends avec Sarah, nous coiffant toutes les deux de ridicules bonnets de bains, mais nous faisons vite, sans les petites fantaisies que l'on serait en droit d'attendre d'une telle activité pratiquée ensemble par deux femmes qui aiment le sexe.

 

Je me rhabille, Sarah revêt son kimono, nous remontons, dans la salle d'attente Martine fait la conversation avec un homme. On se croise. Martine me demande mon prénom, m'embrasse chastement. Le baiser de Sarah fut beaucoup moins sage. Impossible de la décoller de ma bouche, et quand j'ai pu le faire ce fut pour découvrir son visage en pleur.

 

- Ne reviens jamais, il vaut mieux, je suis en train de m'amouracher de toi, et si Martine s'en aperçoit elle ne me le pardonnera pas. Je ne peux pas lui faire ça, c'est une chic fille. Mais merci, merci Christelle pour ce moment de folie. - Non c'est moi….

 

Je n'ai pas pu dire la suite, à mon tour d'avoir les yeux embués, me voilà toute triste, mais pourtant qu'est-ce que c'était bon ! Je l'avais rêvé, je l'ai fait.

 

Christelle

 

 

Postface de l'auteure : Il existe une première version de ce texte qui, elle fut publiée en 2000 par Sophiexxx sous le titre "Je l'avais rêvé, je l'ai fait"" Je l'ai complètement remanié pour la une première réédition, puis légèrement revue en novembre 2009

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 11:39

Fessée en ville par Christelle Baxter

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Dring ! dring !

Le téléphone sonne ! Je vais répondre, chic, c’est l’agence d’escorting ! Chic et pas chic !

Chic parce que si j’accepte ce qu’on va me proposer, cela me fera un peu d’argent.

Pas chic, parce que faut voir toutes les prestations farfelues que je suis « obligée » de me taper. Bien qu’obligé soit un grand mot, il y a quand même des trucs que je refuse, mais on ne peut pas tout refuser…

Mais bon, j’en ai un peu soupé des prestations pour enterrement de vie de garçon, ou des dîners d’escortes pendant lequel le mec me débite durant des heures des histoires qui ne m’intéressent pas. Cela dit ce sont les prestations longues, donc les plus chiantes qui sont le mieux payées. Les courtes, c’est une heure, pipe et levrette sans prise de tête..

– Une petite seconde !

Ben, oui, je m’aperçois que je ne me suis même pas présentée : Donc moi c’est Emilie et ce que mon nom ne dit pas c’est que je suis eurasienne, assez fine, très gracieuse parait-il et comme le temps passe trop vite j’aurais bientôt 25 ans.

– Oui, je vous écoute !
– On a une cliente qui cherche quelqu’un qui serait d’accord pour recevoir une fessée, ça te branche ?
– Tout dépend, si c’est juste une fessée pour rigoler et qu’elle ne tape pas trop fort, pourquoi pas ?
– Bon, voilà, note l’adresse, une fois chez elle, tu lui annonces que tu viens pour faire le ménage et tu entres complètement dans son trip. Elle est assez généreuse.
– Il y aura du sexe ?
– Tu sais bien que ce genre de choses ne nous regarde pas !
– Bon je verrais bien.

A 16 heures je me retrouve dans les beaux quartiers, Je sonne à une double porte en bois (superbe la porte). Apparaît alors une nana en tailleur-pantalon gris. Brune, assez fine, taille moyenne, rien de spécial, mais le visage est agréable, des yeux qui pétillent et joli nez un peu pointu qui le fait bien.

– Bonjour, vous êtes Emile, je suppose ?
– Eh, oui !
– Ben entrez ! J’ai demandé une boniche pour faire un peu de nettoyage, ma femme de ménage est malade et moi je n’ai pas le temps. Entre je vais vous montrer ce qu’il faut faire… Je m’appelle Corinne, je vous dis ça parce qu’il faudra bien que vous mettiez un nom sur mon visage, mais pour l’instant vous m’appellerez « madame »
– Bien Madame !

J’ignore ce qu’elle fabrique dans la vie, mais il y a du fric ici !

Un chien se pointe, genre Labrador, il me renifle et s’en va je ne sais où.

– Voilà, il faut passer l’aspirateur et le plumeau dans cette pièce et dans celle d’à côté. Tout le matériel est dans le petit placard là-bas. Je vous ai aussi préparé une blouse et des mules… Vous pourrez mettre vos affaires dans l’entrée… Je retourne dans mon bureau, vous ne me dérangez sous aucun prétexte, je reviendrais voir où vous en êtes d’ici une heure environ.
– Bien madame !

Parce qu’en plus il faut que je fasse le ménage pour de vrai ! Pas bien grave, j’ai connu des pires corvées, il fait très chaud en ce mois de Juillet, je me déshabille entièrement à l’exception de ma petite culotte rouge et je revêts la petite blouse en nylon rose que ma confié Madame Corinne.

Je décide logiquement de commencer par passer le plumeau, je m’aperçois qu’au moins à ce niveau-là, ce n’est pas de la mise en scène, il y a vraiment de la poussière. La tâche n’est pas évidente de rapidité, il y a des bibelots partout y compris des machins assez lourds et délicieusement ringards, un chien couché en laiton, des bustes de musiciens en pierre et j’en passe. Et puis le plumeau… moi un plumeau comme ça, je le jette et j’en achète un autre, non chez ces gens-là, ça garde les plumeaux déficients. Résultat je vais mettre deux fois plus de temps. Je me demande ce que va être la suite, non pas la suite immédiate, elle va me flanquer une fessée et je vais me laisser faire… puisque le programme est ainsi, mais la suite de la suite… on verra bien…

Une heure tapante après que Corinne m’a laissé seule la voici qui revient :

– Alors ça avance ?
– Ben, oui ça avance, mais ce n’est pas fini !
– Je vois ! Au prix où je vous paie, vous pourriez faire un effort !
– Je vais essayer d’aller plus vite, madame, mais il n’est pas toujours facile de faire vite et bien (j’ai un peu de mal à jouer la comédie quand même)
– Mais je ne t’ai pas demandé d’être insolente, petite pétasse

Emilie10Elle m’attrape alors par les cheveux et me force à me diriger vers le canapé, dans lequel elle me pousse.

– Ne bouge pas, reste comme ça, petite salope !
– Bien madame !
– Allez penche-toi bien !

Je le fais, elle soulève la blouse libérant mes fesses que ma culotte ne cache pas beaucoup.

– Alors comme ça, tu fais la pute tu n’as pas honte ?
– Ben non !
– Tu n’as pas honte parce que tu dois être vicieuse, tu dois aimer sucer de bonnes queues bien raides, n’est-ce pas ?
– Ben oui, c’est ça !
– Tu vas voir ton cul, je vais te le chauffer !
– Allez-y madame si vous estimez que j’ai mérité une punition
– Je ne te demande pas de faire des commentaires, petite morue !

Elle est d’un romantique…

– Passe ta tête entre mes jambes !

Hein ? Pour quoi faire, mais elle me tient à nouveau les cheveux, elle m’oblige à le faire et puis je comprends, elle veut me coincer la tête. C’est idiot, de toute façon je n’aurais pas bougé.

Et elle commence par me foutre des claques sur les fesses, pour l’instant ça va c’est supportable, elle s’arrête un moment pour me peloter, faut surtout pas se gêner.

– Tu sais que tu as un joli petit cul, toi !

Et voilà, je viens de comprendre que la petite séance risque de ne pas se terminer avec la fessée… J’aurais peut-être dû négocier tout cela avant… mais j’ai la faiblesse de la croire honnête… Pour l’instant elle tape et retape… et mon pauvre cul commence à chauffer. Enfin elle s’arrête. Elle va s’asseoir sur le canapé :

– Viens te coucher sur mes cuisses, j’ai encore envie de te fesser !

Au moins c’est clair, je m’installe et la voici qui recommence, je vais avoir le cul en feu si elle continue. J’ai bien sûr la capacité de tout stopper, je ne suis pas prisonnière et de plus elle me semble bien frêle, mais bon, pour l’instant, il n’y a pas péril en la demeure…

– Bon ça va, assieds-toi à côté de moi !

On y va, on y va !

– Hummm, ça m’a excitée de te taper les fesses, mais maintenant que j’ai vu ton cul j’aimerais bien voir le reste, laisse-moi déboutonner cette blouse !

Elle le fait, et comme j’ai déposé mon soutien-gorge en me changeant, me voici la poitrine à l’air.

– Humm pas mal tout ça ! Dit-elle en m’empaumant mon sein gauche de sa petite main.

Je lui adresse un petit sourire pour lui signifier que ses audaces ne me gênent pas. Alors elle en profite et me fout l’autre main sur ma culotte juste à l’emplacement de ma chatte.

– Dis-moi : ça t’a excitée que je te donne la fessée ?
– Excitée, c’est peut-être un grand mot, mais ce n’était pas désagréable…
– T’es vraiment une petite pute !

Elle écarte alors la culotte sur le côté dévoilant ainsi mon petit minou rasé. Elle me le caresse, me le tripote, puis introduit carrément un doigt dedans. Pas trop gênée la Corinne. Son doigt va et vient, ça commence à m’émoustiller sérieusement son truc. Mais voilà qu’elle fait une pause, elle ouvre son haut de tailleur sous lequel il n’y avait rien et c’est donc à son tour de m’exhiber une jolie petite poitrine. Elle m’attire contre son torse pour que je lui embrasse les seins, je le fais approchant mon petit bout de langue des tétons dressés d’excitation.

– Retire moi le pantalon maintenant !

Je le fais, lui embrasse un peu les cuisses et le ventre, puis dans le mouvement je prends l’initiative de faire glisser aussi la culotte. Je mets un doigt sur sa chatte, c’est ce qu’elle souhaitait, elle se laisse faire, j’approche ma bouche et commence à lécher. Elle reste passive quelques instants.

– Attends un peu, j’ai envie de pisser ! Lèche-moi plutôt un peu derrière !

Elle se tourne me présentant son petit cul, je dirige alors ma langue vers son anus et commence à lécher.

– Allez lèche-moi bien le trou du cul, petite traînée !

Elle m’énerve à me traiter de tous les noms, mais bon si ça l’excite. Je lui lèche le cul, il ne sent pas précisément la rose mais ça va !

– Ça te plait, petite salope de lécher mon cul plein de merde !
– Assurément ! Répondis-je, ne souhaitant pas la contrarier.
– Viens ! Dit-elle en se levant brusquement, je vais aller pisser, tu vas me regarder !

Ben voyons ! Je la suis, madame s’assoit sur la cuvette en écartant bien ses jambes. Elle se concentre…

– Putain, je suis excitée comme c’est pas possible, j’ai envie de faire quelque chose de dingue, tu voudrais bien ?
– Vous voulez faire quoi ?
– J’aimerai bien te pisser dessus !
– Ce n’est pas un problème !

La voici joyeuse comme un pinson, elle m’intime l’ordre de me coucher sur le sol de la toilette (j’ai rarement vu une toilette aussi grande). Elle est debout au-dessus de moi et commence à me pisser sur le ventre, elle avance vers mes seins, le contact de ce liquide tiède n’est absolument pas désagréable.

– Si je ne me rince pas, tu me lèches quand même ? Demande-t-elle.
– Pas de problème tu peux même me pisser dans la bouche (je ne vais tout de même pas continuer à la vouvoyer après une telle intimité.)

Du coup elle se baisse, met en contact sa chatte avec ma bouche et y fait couler les dernières gouttes, ma langue s’active alors sur son clitoris, déjà je la sens frétiller. Sa chatte a un curieux goût : au salé de l’urine s’ajoute quelque chose de beaucoup plus mielleux, de beaucoup plus sucré, curieux mélange. Corinne commence à ânonner. J’accélère mes mouvements, dans un moment de tendresse, je lui attrape les mains, je la sens se contracter, je vais de plus en plus vite, et soudain la voici qui hurle ! Elle reste un moment comme statufiée puis pousse un grand soupir.

– Tu as une sacrée langue, toi ! Tu me lèches presque aussi bien que le chien !

Je ne suis pas sûre d’avoir bien entendu, je fais une telle tronche que la Corinne se croit obligé de préciser :

– Ben quoi ? Tu ne t’es jamais fait lécher par un chien !
– Ben, non !
– Quelle époque de coincés ! Tu passes à côté de quelque chose ! C’est génial !
– Je n’en doute pas un instant, mais ce n’est pas mon truc !
– Qu’est-ce que tu en sais ? Tu n’as jamais essayé !
– Ça ne me dit rien !
– Je vais te montrer !
– Non, non, ce n’est pas la peine !
– Du calme, tu regardes, c’est tout ! Rola, viens par ici.

Le chien arrive en remuant la queue, Corine se touche la chatte, puis tend ses doigts vers le chien qui les lèche, elle rapproche ensuite ses doigts de sa chatte et c’est parti pour de grandes lampés.

Je suis tétanisée, je suis là à regarder ce spectacle pervers et je mouille comme une éponge !

– Tu veux essayer ?
– Je ne sais pas !

Pourquoi n’ais je pas répondu « non » ? Idiote que je suis ?

Corine se lève, entraine le chien vers moi, lui présente ma chatte et l’instant d’après je sentais sa grosse langue me lécher. Je suis en train de me faire lécher par un chien et au lieu de me rebeller, j’en redemanderais presque.

– T’as vu sa bite ? Me demande Corine.
– Euh, oui !
– Tu veux la sucer ?
– Ça ne vas pas, non ?

Corine a couché le chien sur le côté et a introduit sa bite dans sa bouche, c’est ni plus ni moins de la provocation, je me demandais comment réagir intelligemment mais je n’étais pas au bout de mes surprises, Corinne ne met en levrette et s’efforce de faire venir le chien derrière elle. Le chien comprend l’instruction de travers et se met à lui lécher le cul.

– Il faudrait que tu diriges sa bite vers mon cul ! Me dit Corine
– Tu veux que je fasse ça !
– A moins que tu préfère que ce soit toi qu’il baise
– Ça va trop loin, Corine !

Je ne bouge pas, mais soudain le chien semble avoir compris ce que sa maîtresse attend de lui et le voilà qui la baise en haletant comme un damné. Quel spectacle ! Je ne suis pas près de l’oublier, ça a bien duré dix minutes ! Après le chien s’en est allé dormir.

J’étais à ce moment, tellement excitée que si elle m’avais demandé de passer à l’acte, je n’aurais probablement pas refusé, mais elle ne me l’a pas demandé

– Si tu veux prendre une douche te gêne pas !

Ben non je ne vais pas me gêner, j’ai fait la pute de service et ça n’a pas été une corvée, simplement je suis excitée comme une puce et cette petite bourgeoise friquée n’a pas pensé un moment que moi aussi j’aurais bien aimé jouir.

Alors je m’en vais sous la douche, et tandis que je dirige la douchette sur mon bas ventre, je commence de l’autre main à me titiller le bout de mes seins. Trop énervée, je ne vais pas y arriver comme ça, je coupe l’eau, je m’assois sur le sol du carré à douche et commence à me masturber de façon plus classique… ça commence à venir… La porte s’ouvre

– Tu n’as besoin de rien ?

Quelle connasse, elle a tout fait rater, tant pis, je me branlerais à la maison, je fini de me rincer, je me sèche, je passe devant elle dans le salon complètement à poil… comme Corinne car elle aussi doit attendre pour se doucher et elle ne s’est pas revêtue. Je récupère mes fringues, me rhabille.

Elle me tend une enveloppe ! Le prix de la prestation ! Je n’aime pas les enveloppes, on ne voit pas ce qu’il y a dedans, mais je n’ai pas l’incorrection de l’ouvrir devant elle.

– OK ! Merci, j’y vais ! J’espère que ça vous a convenu !

Elle ne répond pas, mais elle s’avance vers moi ! Je vais pour lui tendre la main.

– Tss, on se fait la bise ! Me dit-elle.

Ok pour la bise, mais là où j’attendais un chaste bisou sur les joues, elle approche ses lèvres des miennes et entreprend de me rouler un patin. Je me laisse faire, et nos langues s’amusent entre elles. Je ne sais pas comment je me suis débrouillée mais un moment je me suis retrouvé avec son joli nez dans ma bouche, j’ai adore le lui lécher.

– Je voudrais te dire deux choses, me dit-elle ! La prestation était très bien mais elle est finie, ça c’est la première chose.
– Oui…
– La seconde c’est que je voudrais bien remettre ça !
– Quand uu veux !
– Pourquoi pas tout de suite, on va faire une petite pause « Orangina » et ensuite on va inverser les rôles c’est moi qui vais te faire jouir… Je vais aller te préparer une deuxième enveloppe. D’accord ?
– Bien sûr ma jolie !
– Alors embrasse-moi encore mon grand nez de salope !

Fin

 

Kriss Baxter – 2004/2022

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 11:34

Désir interdit par Christelle Baxter

Mat Stamp

 

Je suis une femme de 49 ans, mariée à un homme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Walter, qui a maintenant presque 20 ans. Il a beaucoup changé depuis ces dernières années. Il est devenu un très bel homme très élégant, très séduisant, ni trop frêle, ni trop musclé, ses cheveux blonds lui tombant en boucles sur la nuque

Et comme vous l’avez bien sûr deviné, je dois avouer que mon fils m’attire sexuellement.

Depuis quelques mois, je l’observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m’empêcher de fantasmer en pensant à lui. Il a vraiment de très jolies fesses, je me demande s’il ne serait pas un peu gay, d’ailleurs il me parle très rarement de ces flirts et toujours en termes très vagues. L’autre jour, en passant devant sa chambre, j’ai aperçu Walter nu sur son lit et j’ai remarqué que son joli membre était en érection. Je n’ai pu m’empêcher de l’espionner un peu et je suis devenue mouillée. Il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que c’est très mal vu de désirer de telles choses mais l’envie est plus forte que tout. L’autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m’aperçu que mon fils Walter me regardait lui aussi du coin de l’œil alors que j’étais habillée très légèrement par cette chaude journée d’été. Pour être sûre de ce que je croyais, j’ai tenté de provoquer les choses en m’assoyant doucement en soulevant ma jupe un peu pour lui dévoiler ma cuisse.

Je ne me suis pas présentée physiquement, je suis très brune, les cheveux coiffés au carré la peau un peu mate, j’ai une poitrine avantageuse, je la trouve trop grosse mais mon amie Annie me dit qu’elle est très belle. Bref je n’ai rien d’une mémère et me considère comme sexuellement attirante.

Mon fils ne pouvait s’empêcher de me regarder et soudain il s’est levé et il a monté dans sa chambre à toute vitesse. J’ai remarqué à ce moment-là qu’il était bandé très dur dans son pantalon. J’ai emprunté l’escalier doucement et j’ai espionné mon fils une fois de plus. Sa porte de chambre était fermée mais j’ai tendu l’oreille et j’ai cru comprendre qu’il se masturbait. Probablement qu’il pensait à moi. Je brulais d’envie d’entrer dans sa chambre et de le prendre dans mes bras. Je n’ai pas pu le faire, c’était un trop gros tabou et je ne savais pas s’il aurait voulu. J’ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma propre chambre.

Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décidée à en parler à ma grande copine Annie, qui demeure pas très loin de chez nous.

Annie est une femme de cinquante ans passés, un peu enveloppé, les cheveux blonds et raides, un très joli visage malicieux et toujours souriant.

Je ne suis pas trop portée sur les femmes, elle, si ! Il nous est arrivé plusieurs fois après avoir bu un petit coup de nous abandonner à des folles caresses, souvent très osées. Il faut dire que sa chatte et son anus ont vraiment très bon goût. Et puis elle a quelques godes… passons.

Je voulais savoir si mes désirs secrets étaient « normaux », et j’avais vraiment besoin de me confier à quelqu’un. Annie m’a écouté. Elle était surprise de cette situation hors du commun mais elle me comprenait car elle aussi trouvait mon fils Walter très séduisant. Et elle m’a même dit franchement qu’elle le « baiserais volontiers » elle aussi.

– On peut essayer quelque chose, venez samedi tous les deux, je vous ferais un bon petit repas, et je m’arrangerais pour que ça dégénère.

Walter et moi sommes arrivés chez Annie vers 19 heures et nous avons fait honneur au repas. Annie portait une petite robe noire très sexy, bien décolletée et laissant ses belles épaules nues. J’ai remarqué qu’elle regardait Walter d’une drôle de façon. Après le café et le digestif elle mit de la musique et prit Walter par le bras pour l’emmener danser dans le salon. En y allant, elle mit une main sur la fesse de Walter en se retournant vers moi et me faisant un clin d’œil. J’ai alors compris son plan tout de suite. Je les suivi au salon et Annie dansait de façon très sexy devant Walter qui avait l’air un peu embarrassé. Je me suis assise sur le canapé et j’ai observé Annie se dandiner devant mon fils.

Elle caressait maintenant Walter le long de son corps et soudain elle allongea ses bras derrière lui, l’agrippa par les fesses pour l’entraîner et le coller contre elle. Walter sans faire ni une ni deux lui agrippa les fesses aussi. La danse devenait très cochonne et j’enviais Annie. Elle vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J’ai un peu hésité, j’étais embarrassée mais l’alcool m’avait un peu désinhibé et je me suis lancée. Annie se remit à danser langoureusement son dos contre Walter en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils.

Je passais derrière mon fils et je me surpris à mettre mes mains sur ses belles fesses. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toutefois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter dans ma main à son maximum. Il frotta ses fesses doucement contre ma chatte humide tout en mettant ses mains sur les seins d’Annie. Celle-ci fit tomber sa robe sous laquelle elle n’avait pas de soutien-gorge. Walter se jeta sur eux et se mit à les lécher. Je profitais d’une pause pour les lécher à mon tour. Puis à mon tour je me débarrassais de mon haut. Walter se demandais quelle attitude adopter.

002mat and young

– Embrasse les seins de ta mère, juste un petit baiser…

Il chercha mon approbation, la trouva et ne se le fit pas dire deux fois, il me tétait mes gros tétons avec une gourmandise non feinte.

Tout cela devenait très cochon et mes fantasmes de ces derniers mois se réalisaient.

Soudain Annie descendit sur ses genoux face à Walter et détacha son pantalon. Elle sortit la queue de mon fils en lui demandant :

– Elle te plait cette petite soirée ? Tu as deux belles femmes rien que pour toi !
– Oh oui, vous m’avez fait bander toutes les deux, mais je ne sais pas si c’est raisonnable.
– OK on se posera des problèmes philosophiques plus tard, pour l’instant on s’amuse et on ne fait de mal à personne, d’accord ?

Sa belle bite dure et droite pointait vers le visage d’Annie et elle s’en empara, me fit un clin d’œil et la prit dans sa bouche. Elle le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Walter jusqu’en bas et j’ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment. Je mouillais mon doigt qui s’égara jusqu’à son anus, forçant délicatement l’entrée.

– Oh , Maman, qu’est-ce que tu me fais ?
– Rien, c’est juste un doigt dans le cul.
– C’est bon ! Continue !

Annie stoppa sa fellation et me fit signe de m’installer sur le canapé.

– Va voir ta mère, elle va te sucer un peu !

Il avait l’air un peu surpris, il hésita et me regarda l’air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s’approcha doucement. Sa bite était là, maintenant, pointée vers moi et n’attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commença à la branler et je voyais l’excitation sur son visage. Je sentis ma chatte devenir toute mouillée et j’ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche et le suçai avec intensité. Au bout d’une dizaine de minutes, Annie qui était nue sur le tapis du salon m’interrompit et me demanda :

– Tu me le laisses un peu, j’aimerais bien qu’il me baise !
– Vas-y Walter, va baiser ma copine, mais retiens-toi, gardes-en un peu pour moi !

Pendent que Walter entrait sa jolie queue dans le sexe de ma copine, je finissais de me déshabiller, m’allongeai sur la canapé et me caressais en les regardant baiser. Annie me regarda et se positionna de telle façon que mon fils puisse me voir me donner du plaisir.

Annie ne tarda pas à prendre son plaisir en éjectant une fantastique quantité de mouille. Walter se retira. Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n’hésita pas. Il se dirigea vers le canapé et s’allongea au-dessus de moi, lécha mes gros seins fermes en les massant doucement. Je sentit son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma chatte, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et il me pénétra d’un seul coup.

Il me pilonnait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il s’agitait comme un métronome et mes seins bougeaient devant son visage. Il agrippa un de mes seins avec sa main et le lécha. Je jouis assez vite, il continua un peu puis sorti sa queue et m’éjacula sur ma poitrine.

Annie se rapprocha et vint lécher le sperme.

– Alors, Walter ? Lui demanda ma copine.
– Vous êtes deux belles salopes !
– Je ne te le fais pas dire ! La prochaine fois tu nous enculeras !
– C’est vrai, je pourrais ?
– Puisqu’on te le dis !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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