Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 18:02

Soubrette de Charme 10 – Une rouquine un peu potelée par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

 

zmaid2

 

Bonjour à tous mes fidèles lecteurs, c’est donc moi Farida, la soubrette coquine, qui continue de vous narrer mes croustillantes anecdotes vécues au service de Gabrielle et René, couple de bourgeois aussi dépravés que sympathiques.

Ce qui me gonfle le plus dans ce boulot, ce sont les réceptions. Il en est que je raconterais car l’érotisme y fut présent. Mais la plupart étaient inintéressantes.

Monsieur René de par sa position sociale fréquentait du beau monde, s’il détestait les mondanités, il ne pouvait cependant échapper à certaines, et parmi elles, l’obligation de recevoir en quelques circonstances en était une.

Mais le pompon fut atteint ce jour, où Monsieur René se trouva plus ou moins contraint de fêter dignement sa promotion dans l’ordre du mérite (si toutefois j’ai bien compris). Trente couverts ! Rien que ça ! Certes, nous avions été aidés par un traiteur qui nous a fourni les entrées et les desserts ainsi qu’une aide au service. Mais Gabrielle a aussi ces manies. Elle est aussi passionnée de cuisine que d’érotisme et ne manque pas une occasion de faire déguster ses rares spécialités.

Elle avait donc entrepris ce jour-là de cuisiner du lapin pané à la piémontaise pour tout ce petit monde (c’est d’ailleurs délicieux, recette sur demande sur le mail de l’auteur). Il fallait huit lapins (on ne pane pas les pattes de devant), on s’aperçut vite qu’on manquait de chaudrons, il fallut aller en acheter en catastrophe, puis organiser la cuisson de tout cela sur une plaque aux places insuffisantes. Bref, le bordel… D’autant que certains ignares n’y touchèrent à peine !

Parmi les invités, se trouvaient un couple, des amis de province de mes patrons venus à Paris pour l’occasion. Ils coucheraient ici après le repas, et je devais donc préparer la chambre d’amis. Le mari, Bernard était une espèce de grand machin brun dont le visage respirait la jovialité, mais qui resta à l’instar de sa femme très discret pendant le repas. Eux au moins apprécièrent le lapin ! Son épouse, Danièle était une femme d’une bonne quarantaine d’année, une jolie rousse à la peau blanchâtre et au nez mutin, un petit peu potelée mais sans exagération, chaussée de lunettes, et coiffée assez court.

Ce couple tranchait avec le reste de l’assistance, notamment par sa simplicité et par une gentillesse non feinte à mon égard.

Il est presque minuit, ça commence à partir, je débarrasse ce qui reste sur la grande table que nous avons dressé à cheval entre le salon et la salle à manger. Et tandis que tout ce beau monde se dit au revoir je réalise avec horreur qu’avec toutes ces histoires de lapins, je n’ai pas encore préparé la chambre d’amis, je m’y précipite.

Quand je redescends, la dernière voiture quitte la résidence, et il ne reste plus que mes patrons et leurs amis de province.

– Félicitations, Farida ! Me dit Danielle, le service était très bien et le lapin excellent !
– C’est une recette de Madame !.

Je la remercie néanmoins, ça me fait plaisir, et comme je suis censé ne pas être là le lendemain (je peux toujours décaler mes jours de congé, mais bon…) je me précipite à l’office me demandant comment je vais appréhender cet incroyable tas de vaisselle, que les vicissitudes du service ne m’ont pas permis de faire au fur et à mesure.

Quant au lave-vaisselle, d’une part il est trop petit, et d’une efficacité peu évidente et de toute façon la vaisselle qui a été utilisé y est incompatible.

Allez, c’est parti, je ne suis pas près d’aller me coucher !

C’est alors que surviennent Gabrielle et Danielle :

– Attendez, vous n’allez pas faire ça toute seule on va vous aider. Propose cette dernière.
– C’est gentil, je vous remercie, mais je vais me débrouiller.
– Mais non à trois on ira trois fois plus vite, n’est-ce pas, Gabrielle ?

Gabrielle qui m’a l’air fatiguée ne semble pas trop convaincue, mais ne sait trop quoi répondre.

– Ce qu’il faudrait c’est un tablier, ou plutôt non, si vous aviez un grand tee-shirt à me prêter, vous pouvez me dégoter ça, Gabrielle ?

Ma patronne peu motivée, s’en va néanmoins chercher le vêtement demandé. Pendant ce temps Danielle me fait la conversation, elle me parle de tout et de rien.

Gabrielle revient avec non pas un mais deux grands tee-shirts blancs.

– Voilà, je t’en ai apporté un aussi pour toi Farida, tu dois commencer à être un peu serrée dans ton truc !

Puis elle nous indique qu’elle va un peu faire le ménage à côté, manifestement la vaisselle ne l’inspire pas.

Danielle défait alors sa robe « habillée » et s’en va la déposer sur le dossier d’une chaise. La voici donc en culotte et soutien-gorge. C’est une très belle femme, certains diront qu’elle a quelques kilos en trop, mais juste quelques-uns alors, et ils lui vont très bien.

– Allez, j’enlève le soutif aussi, je serais plus à l’aise !

Elle le fait, je ne peux pas m’empêcher de la regarder, incrédule !

– Ça ne vous gêne pas, on est entre femmes ? Commente-t-elle.

Et elle s’empare du tee-shirt afin de l’enfiler, mais ne le fait pas ! Je reste stupéfaite, et alors que je m’apprêtais à m’éloigner pour me changer à mon tour, du coup j’hésite un peu ! Néanmoins, je me retourne et enlève mes habits de soubrette, j’ai l’impression que l’autre derrière est tranquillement en train de me reluquer le cul, mais elle ne verra pas grand-chose, aujourd’hui j’ai mis une culotte et une bien large, puisque le banquet devait être « sage ». J’enfile le tee-shirt, je pivote et constate que Danielle est toujours les seins à l’air.

Danielle1

– Vous n’auriez pas un truc un peu humide, je voudrais me rafraîchir avant ? Demande-t-elle.
– Euh, pourquoi ne pas aller dans la salle de bain ?
– Non, c’est juste pour me donner un petit coup de frais…

J’humecte un petit linge, et le lui tends, et la voici pas gênée pour deux sous qui se mouille les nichons dans la plus grande décontraction. Je ne suis pas complètement insensible à ce spectacle, vous l’aurez deviné !

– Vous devriez faire pareil, ça fait du bien !

Et la voilà qui se n’arrête plus de se passer le machin sur les nénés, pas le petit passage délicat, non je te prends le sein, je te le fais bouger dans tous les sens, une vraie toilette !

– Qu’est-ce que tu en penses ? Toi ? Pour bientôt 50 ans ils ne sont pas mal non ?

Qu’est-ce que vous voulez que je lui dise, d’abord, je veux bien qu’on me tutoie, mais elle ne m’a pas demandé si j’étais d’accord, et pour le reste, il me semble évident que Gabrielle a dû lui expliquer mon statut de soubrette coquine. Mais justement Gabrielle d’habitude me prévient, je ne n’ai rien contre le fait de m’amuser, ni d’amuser les autres, mais il est minuit passé, je suis crevée, et ce n’est pas en batifolant que la vaisselle risque d’avancer…

– Ils sont très beaux !

Il fallait bien que je dise quelque chose

– Merci ça me fait plaisir !

Du coup elle bombe le torse.

– Si tu veux, tu peux les caresser !

Carrément ! Je la trouve bien direct la rouquine !

– Tout à l’heure peut-être, je ne peux pas laisser la vaisselle comme ça !
– Juste une seconde !

Un peu chiante la dame ! Mais je lui passe néanmoins la main sur ses seins, ils sont tout frais et pas tout à fait secs, je me force à éviter le téton, sachant que ça risque de l’exciter davantage.

– Tu devrais faire pareil !
– Je devrais faire quoi ?
– Te les rafraîchir.
– Non ça va !
– Tu veux que je te le fasse ?

Elle devient collante, la Danielle, j’essaie une diversion.

– Elle est où ma patronne ? Elle avait l’air fatiguée.
– Elle doit être à côté avec les hommes, depuis le temps que mon mari rêve de la sauter…

Bon, cette fois, ça se confirme, si elle pratique un langage aussi libre c’est que Gabrielle l’a mise au courant, j’en veux un peu à ma patronne de ne pas m’avoir prévenue. Je ne suis pas un objet, je suis un être humain, j’ai le droit de choisir qui, quand et comment. Du coup je me rebiffe et puisqu’elle me tutoie je fais de même.

– Ecoute, je fais la vaisselle, pour le reste on verra quand elle sera finie, si je ne suis pas trop crevée, d’accord ?

A ma grande surprise, Danielle accepte, elle s’enfile enfin son tee-shirt et vient à mes côtés. Je commence par les assiettes, je les lui passe dès qu’elles sont rincées et elle les essuie.

Elle a l’intelligence de ne pas me relancer, mais c’est une vraie pipelette, elle me parle d’un tas de trucs, à ce point que je ne peux pas en placer une, mais de toute façon à quoi bon, elle semble n’avoir cure de mes répliques.

Et voilà que s’amène Trouvé, le labrador que ma patronne a adopté (voir les chapitres 7 et 9). On l’avait laissé à l’extérieur pendant le banquet et le voilà tout heureux de retrouver du monde et vient directement faire la fête à Danielle.

– Oh, le gentil toutou ! On se calme, mais oui t’est beau, mais laisse-nous faire la vaisselle ! Dit-elle
– Il est très affectueux ! Précisais-je sans arrière-pensées.
– Je vois ! Bon tu te calmes un peu le toutou, non par là il n’y a rien pour toi, ! C’est qu’il me lécherait la chatte ce gros coquin.
– Laisse-toi faire, ce n’est pas désagréable !
– T’es sérieuse ?
– Ben oui !
– Il te le fait à toi ?
– Ça lui arrive !
– T’es drôlement cochonne dis donc ! T’as entendu le chien, Farida voudrait que je te laisse me lécher, alors juste un petit peu !

Je ne pense pas qu’on puisse accepter si rapidement de faire ça, elle l’a donc déjà fait, mais je ne pose pas de question. Danielle s’est assise en écartant les jambes afin de faciliter l’action du chien.

– Méfie toi tu vas le faire bander, il est capable de te sauter dessus après !
– Ah, tu crois qu’il bande ?

Et pas gênée pour deux sous Danielle lui passe la main sous le ventre afin de vérifier. Quelques instants plus tard elle tenait en ses mains la bite carminée du quadrupède.

– En voilà un bel engin ! T’as déjà joué avec sa bite ? Me demande-t-elle.
– Ça m’est arrivée
– Tu l’as sucé ?
– Oui !

Je ne sais pas comment tout cela va finir, mais je dois être tombée sur la reine des cochonnes.

– Moi aussi, ça m’est arrivée, on a deux border collie, parfois ça me prend ! Je suis coquine, hein ?
– Et là maintenant, tu vas le sucer ?
– Arrête, si ta patronne arrive…
– Elle s’en fout, ce n’est pas la dernière à faire ce genre de choses.
– On le suce à deux, alors ?

Et voilà le travail, je suis crevée mais cette rouquine m’a excitée, alors nous voilà en train de nous refiler la bite du chien toute dégoulinante.

– Hum, j’adore, me dit-elle au bout d’un moment ! Tu sais chez nous on a aussi un poney, dès fois quand je lui porte à manger je ne peux pas m’empêcher de jouer avec sa bite, tu verrais le morceau, je n’ai jamais mesuré mais ça fait au moins 50 centimètres.

On s’est embrassé profondément avec le gout de la bite du chien dans la bouche et on a repris la vaisselle.

Un quart d’heure plus tard, voici que se ramène Bernard, le mari de Danielle !

– Alors les nanas, en plein boum ?
– C’était bien avec Gabrielle ? Lui demande alors Danielle sans se démonter.
– Gabrielle, je crois qu’elle est out pour la soirée, elle a une migraine et je crois que c’est une vraie, elle a commencé à faire le ménage à côté, mais elle a fini par s’allonger sur le canapé.
– Et René ?
– Je crois qu’il est parti raccompagner je ne sais pas qui, il n’est pas encore revenu. Mais vous savez que vous êtes excitantes toutes les deux comme ça…

Je trouve ça touchant, le libertin qui est excité par sa propre épouse. Il vient derrière elle, lui fout la main dans la culotte, lui caresse les fesses, puis se plaque contre elle, et glisse la main dans le tee-shirt à la recherche de ses seins qu’il pelote comme s’il ne les avait jamais vus.

– Arrête, tu m’excites, grand couillon !
– Plains-toi !
– Et puis Farida va être jalouse !
– Jalouse ? Quelle drôle d’idée ! Farida m’autoriserez-vous à vous caresser la peau des fesses. En tout bien tout honneur bien évidemment !
– Demandé comme cela je ne peux refuser, mais soyez prompt, je n’ai point fini mon ouvrage ! Répondis-je choisissant par jeu ce langage ampoulé.
– Mais vous parlez divinement, la soubrette ! Auriez-vous fait du théâtre avant de vous reconvertir dans le nettoyage d’assiette ?
– J’ai toujours eu un faible pour Beaumarchais, et quand je le lisais, ce n’est point à l’héroïne que je m’identifiais mais à la camérière.

Ces joutes orales (orales, pas buccales) avaient le don de m’amuser, mais Bernard muni de mon autorisation avait maintenant introduit sa main dans ma culotte et me tripotait les fesses à tout va !

– On se calme, Monsieur, ce ne sont pas des choses qui se font devant sa dame !
– Détrompez-vous, la dame en question doit mouiller comme une éponge ! N’est-ce pas Dada ?

Le diminutif de Dada me fit éclater de rire.

– Votre visage est magnifique quand vous riez Farida. Qu’il me plairait de le voir quand vous faites l’amour ! Réplique le Bernard.
– Le problème, voyez-vous, c’est que je suis lessivée…
– Dois-je comprendre que si vous aviez été en forme, vous auriez accepté une petite séance à trois ou à quatre ?

Voilà comment on se fait piéger !

– Peut-être ! Répondis-je.
– Donc vous ne dites pas non ?
– Peut-être, c’est peut-être !
– Je vais vous faire une proposition, demain vous nous réveillerez à 9 heures, nous ne serions pas contre un petit déjeuner coquin.

J’acceptais du bout des lèvres, heureuse de pouvoir aller me coucher dès la vaisselle terminée, mais je me promettais de parler de tout ça à ma patronne.

Le lendemain matin, Monsieur René, toujours un peu dans la lune, ne remarqua pas que je n’aurais pas dû être là ce matin, et pris son petit déjeuner rapidement, ayant un rendez-vous au ministère. Je fis part à Gabrielle des intentions libidineuses de Daniele et Bernard.

– Ah ! Je vois, bon on ne va pas les contrarier, ils se disent nos amis, c’est peut-être aller vite en besogne, mais ils sont sympas. Mais surtout ce sont des grosses relations de travail de René.
– Je suis obligée, madame ?
– Nous ne t’avons jamais obligée à quoi que ce soit, mais c’est du biseness, tu es aussi payée pour ça Farida.
– Je sais, je suis une pute !
– Tout de suite les grands mots ! Ne me dis pas que tu n’y trouves pas tes avantages ?
– Certes !
– Tu sais, le Bernard, il rêve de me sauter, et bien je vais te dire un truc, je n’ai pas envie de lui, mais pas du tout, mais ce qui s’appelle pas du tout. Pourtant je vais me laisser faire, parce que c’est une relation de mon mari, et que j’ai envie que mon mari continue à gagner plein d’argent. Alors tout à l’heure je vais me farcir le Bernard et je vais sans doute être même simuler l’orgasme. Tu vois, dans mon genre, je suis aussi pute que toi ! Viens m’embrasser.

Elle sait y faire la patronne !

– Bon, leur petit déjeuner est prêt ?
– Oui !
– On va aller leur porter ensemble !
– Bien, je vous attends !
– Non, on y va de suite.
– Mais, puis-je faire remarquer à Madame qu’elle ne s’est pas maquillée et qu’elle est en pyjama !
– C’est exprès, Farida, si le fantasme de Bernard est de me prendre au saut du lit, on va faire avec…

On entre dans la chambre d’amis, le couple somnole. Gabrielle ouvre les rideaux en grand en criant.

– Il est l’heure !

Bernard ouvre des grands yeux étonnés, mais ne dit rien. Ma patronne envoie alors valser son haut de pyjama, s’approche de l’homme et lui fourre sa poitrine sous le nez. Du coup, il la pelote, la lèche la suce. Je me dépoitraille à mon tour et me dirige vers Danièle en lui offrant ma poitrine.

– Quel merveilleux réveil ! Réussit-elle à me dire entre deux coups de langues sur mes tétons.

Gabrielle se retire de l’étreinte, redescend du lit et arrache le drap, le Bernard bande comme un cerf !

– Oh ! En voilà une jolie bite ! Dit-elle s’apprêtant à la sucer.
– Attendez, il faut que je fasse pipi ! Proteste-t-il.
– Humm, bien sûr, souhaitez-vous que je vous la tienne, ou encore mieux souhaitez-vous me faire dessus ?
– Mais vous êtes une cochonne, Gabrielle !
– Je sais ! Alors ?
– Oui, pisse-lui dessus, je vais regarder, et après moi je pisserais sur Farida. Propose Daniele.

Ben voyons ! Et si on lui demandait son avis à Farida, ce ne serait pas mieux ? Mais c’est vrai que ce genre de choses m’amusent plus qu’elles ne me dérangent.

On finit tous de se déshabiller et nous voilà tous dans la petite salle de bain attenante à la chambre d’amis. On est un peu tassé là-dedans. Gabrielle s’assoit sur la cuvette. Bernard lui fait face debout, il se concentre, puis le jet doré jaillit de sa bite, arrosant le ventre et les seins se ma patronne. Elle ouvre la bouche réclamant à boire, en avale un peu elle fera alors une curieuse grimace qui me parut bien bizarre car l’uro l’a toujours amusée. Sa miction terminée, Bernard se recule afin que je puisse m’allonger sur le sol. Danielle me chevauche, s’accroupit sur mon visage et se lâche à son tour. Ça descend très vite et très dru, j’en avale un peu et je comprends maintenant la grimace de Gabrielle, c’est que c’est de la première urine, celle du matin et elle est très forte… mais moi, ça ne me gêne pas !

– Faut que je fasse caca ! Dit soudainement Danielle.
– D’accord on va nous laisser ! Répond ma patronne
– A moins que… reprend notre invitée, les trucs scatos ça ne vous branche pas !
– Si de temps à autre.
– Cela vous plairait de me regarder chier.
– Mais bien sûr !

Danielle se positionne de façon à ce que sa défécation soit visible. Je me demande si je dois rester, mais ma patronne me dit de ne pas bouger.

Danielle pousse et commence à extraire un long boudin marron qui s’en va choir au fond de la cuvette.

– Voilà ! Dit-elle, ça fait du bien de chier une bonne merde. Maintenant il faut que je m’essuie !

Elle prend du papier et s’essuie le trou du cul, puis contemple la feuille toute polluée avant de la porter à son nez !

– Hum j’adore cette odeur ? Qu’en pensez-vous Gabrielle
– C’est exquis ! Répond cette dernière avec diplomatie.

Ma patronne et moi nous nous essuyons sommairement des dernières taches d’urine, puis retour dans la chambre, je lèche le minou tout trempée de pisse de Danielle tandis que Gabrielle a mis la bite de Bernard sans sa bouche.

– Si Farida pouvait aussi me sucer ! Quémande Bernard
– Tu ne vois pas qu’elle est occupée, non ? Proteste Danielle.
– Elle s’occupera de toi après ! Répond-il
– Non !

Ils vont s’engueuler à cause de moi ! Je rêve !

– Alors je fais quoi ? Demandé-je
– Honneur aux dames, Danielle à la priorité, n’est-ce pas Bernard ?

Il n’insiste pas, Gabrielle reprend sa fellation mais en même temps, elle commence à lui doigter le trou du cul.

– Oh, c’est bon !
– T’aimes qu’on s’occupe de ton cul ?
– Oui, j’adore ça !
– J’ai un gode si tu veux, mais faut que j’aille le chercher.
– Oui, j’aimerais bien !

Farida10Et pendant l’absence de Gabrielle, Bernard me malaxe les fesses, ça ne me dérange pas j’aime bien qu’on me tripote les fesses ! D’ailleurs il se contente pas de me les tripoter, il m’en écarte les globes et entreprend me lécher le troufignon avec application.

Ma patronne revient et nargue Bernard en lui exhibant le gode :

– Ça va être pour qui, ça ? Qui c’est qui va l’avoir dans le cul ?
– C’est moi ! Répond Bernard, rentrant dans le jeu.

Non seulement il entre dans le jeu mais il se positionne spontanément en levrette, les cuisses écartées et le trou du cul offert.

– En voilà une tenue ? Plaisante Gabrielle.
– Vas-y fous moi le gode !
– Et si je te le faisais sucer avant ?
– Euh…
– Quoi euh ! Tu veux le sucer ou pas !
– Juste pour rire, alors !

J’ai du mal à suivre, ça veut dire quoi sucer un gode « pour rire » ?

Gabrielle lui fait donc sucer le machin, et je dois dire que l’homme s’y prend très bien, à mon avis, il ne doit pas sucer que pour rire et cet homme-là a dû sucer bien plus qu’une seule vraie bite dans sa vie ! Gabrielle a dû parvenir à la même conclusion que moi et le vanne gentiment.

– Humm ! tu m’as l’air d’un bon petit suceur de bites, toi !
– Non, non, pas du tout, je m’amuse, c’est tout ! Répond-il en redonnant le gode à Gaby.

Il a l’air gêné, le Bernard, mais gêné, d’autant que Danielle vient de lui jeter un regard courroucé. A mon avis, ces deux-là quand ils vont se retrouver seuls, ils vont nous la jouer « scène de ménage » !

Gabrielle s’est également aperçue qu’elle avait gaffé, mais dans ce contexte qui ne l’aurait pas fait ? Et elle essaie de se rattraper aux branches, de façon peu adroite à mon avis.

– Je te le mets dans le cul, maintenant ?
– Bien sûr !

Ben, oui, il ne peut pas se dédire.

– Ce truc-là, explique Gabrielle, tous les hommes apprécient, du moins ceux qui ont essayé, certains croient que c’est un truc d’homo alors que c’est complètement faux.
– Je suis bien d’accord ! Répond Bernard, ravi qu’on vienne à son secours.

Il ne m’apparait pas que Danielle soit convaincue de l’hétérosexualité pure et dure de son conjoint, mais après tout ce sont là des choses qui ne me regardent pas ! Je suis là pour lécher Danielle, alors je lèche Danielle, et je dois dire que je me régale et que je m’excite. Cette belle rouquine a la chatte juteuse et gouteuse. A l’action de ma langue, j’y ajoute celle de mon doigt que je plonge dans cette délicieuse caverne humide, tandis que l’autre main tendue s’en va attraper un téton et le tortille avec vigueur.

A ce régime, la Danielle, ne résiste pas longtemps et finit par hurler de plaisir.

Temps calme, on se fait des bisous, on se caresse gentiment, tandis qu’à côté ma patronne continue de pilonner le trou du cul de Bernard en s’excitant joyeusement

Mais le plaisir que prend l’homme à se faire ainsi sodomiser avec la bite en plastique finit par paraître suspect aux yeux de Danielle qui sort peu à peu de sa torpeur.

– J’ai cru comprendre, Gabrielle que vous aviez un chien très complice ! Dit-elle à brule-pourpoint
– Qu’entendez-vous par là ?
– Ben…
– Il ne faut pas croire tout ce que l’on raconte…
– Il est pourtant venu me lécher.
– La main ?
– Non, la chatte !
– Et vous avez aimé ?
– Beaucoup, mais ce n’était pas une première, vous savez, nous à la campagne on aime beaucoup les bêtes.
– Je vois ! Voudriez vous qu’il vous baise ?
– Si ça ne vous dérange pas…
– Pas du tout ! Farida va nous chercher Trouvé !

Je ramène donc le clébard en laisse. La bestiole doit sentir l’odeur de stupre qui se dégage de la chambre et frétille de la queue comme un métronome.

– Prépare-le, Farida !

Ben voyons ! A moi d’aller chercher la bite du chien qui ne tarde pas à sorti de son fourreau. Il bande joliment et c’est quasiment instinctivement que je porte cet organe dans ma petite bouche vicieuse. Hum c’es bon, j’y ai pris goût !

– Mettez-vous en position, Danièle.

Elle le fait exhibant son joli cul bien charnu.

– Vous avez vraiment un cul d’enfer ! La félicite Gabrielle.
– Un cul de salope ! Rectifie Danièle
– Ce n’est pas incompatible.

Gabrielle dirige le chien vers la rouquine, il cherche à la pénétrer.

– Dans mon cul, dans mon cul ! Crie Daniele.

Qu’à cela ne tienne, il suffit de rectifier la cible. Et voilà que Trouvé se met à enculer Danièle qui pousse des mugissements de plaisir et finit par s’écrouler. On dégage le chien afin qu’il ne reste pas collé.

– T’es vraiment une morue ! Dit Bernard à sa femme.
– Mais c’est pour ça que tu m’aimes !
– Gabrielle, j’ai une dernière sollicitation..
– Sollicitez, mon ami, sollicitez.
– Il me plairait de vos enculer !

La proposition est hardi, mais ma patronne est chaude du cul, surtout en ce moment, elle se met donc en levrette, les fesses relevées, les cuisses écartées et les trous béants, attendant que l’impertinent personnage lui pénètre le trouffignon après s’être encapoté.

Et ça va très vite ! Je ne sais pas si le Bernard est un éjaculateur précoce ou si cela est le résultat d’un trop plein d’excitation trop longtemps retenue, mais toujours est-il que deux minutes plus tard l’affaire était pliée.

Bernard décule, murmure un vague merci et s’en va se rincer le zigouigoui. Danielle va le rejoindre, non sans m’avoir fait un nouveau bisou. Danielle est décidemment très affectueuse.

– On vous laisse vous préparer ! Leur lance Gabrielle.
– Il est quelle heure ?
– 8 h 30
– Vous pouvez nous appelez un taxi pour dans une heure, on a un train à Montparnasse vers 11 heures.
– Je peux vous raccompagner ! Je vais sur Paris après !
– Ah, c’est gentil, on accepte volontiers.

Je me rend subrepticement dans la salle de bain pour chercher une brosse et surprend une étrange conversation :

– Tu ne m’avais jamais dit que t’avais sucé des bites ?
– Bof ! Juste une ou deux, c’était pour pas mourir idiot…
– Tu te fouterais pas un peu de ma gueule ?
– Bon, tu ne vas pas m’en faire un mélodrame ?
– Non, mais il faudra que tu me racontes !
– Oui, ma chérie !
– Avec tous les détails !
– Oui, ma chérie !

Je me marre.

– C’était fabuleux ! Me confie ironiquement Gabrielle quand nous fumes seules
– Fabuleux ?
– Oui, je n’ai rien senti ! M’expliqua-t-elle en rigolant Et puis comme une conne je leur ai proposé par politesse de les accompagner jusqu’à Montparnasse, je ne pensais pas qu’ils accepteraient….

Et ce fut le départ, Danielle et Bernard me gratifièrent d’un gros bisous. Ce sont des gens simples et gentils, mais j’aurais malgré tout pas refusé un petit pourboire….

C’est dans la soirée, après que Monsieur René soit rentré que je surpris une étrange conversation.

– Qui c’est au juste c’est deux zigotos, Danielle et Bernard ? Tu m’avais dit qu’ils étaient déjà venus ici, mais je ne me les remets pas ! Demanda Gaby à son époux.
– Bernard Rochambolle, un entrepreneur bordelais qui fait dans les cartons d’emballages, j’avais eu un bon contact avec lui, il y a une dizaine années, on était sortis faire les cons en boite avant de signer un gros contrat, et dernièrement j’ai dû reprendre contact au téléphone avec lui, comme il était toujours aussi sympa, j’ai pensé à l’inviter.
– Pendant le repas, on ne l’a pas entendu…
– Oui c’est bizarre, mais ce qui est encore plus bizarre, c’est que je ne l’ai pas reconnu, je sais bien qu’en dix ans les gens changent, mais quand même…
– Je me suis farci le Bernard, j’espère simplement que ce n’est pas pour des prunes.
– Mais non, mais non…

Je n’ai su la suite que quelques jours plus tard, Gabrielle me l’ayant racontée, elle aime bien me raconter des trucs, ma patronne !

Le récit de Gabrielle

Ce jour-là René qui est à son travail doit téléphoner à Bernard Rochambolle, assez curieusement ce dernier par ailleurs fort jovial n’évoque pas la soirée passé chez nous, cela trouble mon mari qui quand le vif du sujet fut épuisé lui lance, l’air de rien :

– Sinon, tout va bien, vous êtes bien rentré l’autre jour ?
– Le vol a eu une heure de retard, mais bon, on a l’habitude !
– Ah ? Vous avez pris l’avion finalement ?
– Ben oui, pour revenir du Canada, c’est plus pratique ! Rigole Rochambolle.
– Attendez, je suis en train de confondre, le 21 vous étiez donc au Canada ?
– Oui, c’est un beau pays, vous savez… Mais j’y pense ces contrats nous pourrions les signer à Bordeaux, je vous ferais visiter mon domaine, venez donc avec madame…

Quand nous sommes venus à Bordeaux, les Rochambolle n’étaient pas les mêmes que ceux qui avaient couché à la maison après le banquet. Le mystère restait entier, jusqu’à ce que nous croisions d’un peu loin sans qu’ils ne nous reconnaissent le couple de régisseurs du domaine, nous n’avons pas bien vu l’homme, mais la femme était une jolie rousse légèrement potelée !

Ils avaient dû subtiliser l’invitation et étaient donc venus s’empiffrer à l’œil au lieu et place de leurs maîtres, et en plus ce conard m’a baisé ! Mais nous n’avons rien dit, après tout c’était de bonne guerre !

 

Fin
Novembre 2018

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 17:59

Soubrette de Charme - 9 – Anne, la factrice par Hélèna_et_Boris

zmaid2

 

Bien que faisant partie d'une série, cette histoire peut parfaitement se lire seule !


Ainsi donc, Gabrielle, ma patronne a adopté ce chien qu'elle a trouvé dans la forêt (voir le chapitre 7- Les chaleurs de Corinne). C'est évidemment moi qui doit le nourrir toutes les fins d'après-midi. Il est gentil, affectueux, mais un peu collant sur les bords ayant la fâcheuse tendance à s'immiscer entre mes cuisses chaque fois qu'il en a l'occasion. Situation gênante puisqu'en principe selon les souhaits de ma patronne, je ne porte jamais de culotte.


En ayant un peu marre je décidais d'en référer à ma patronne :


- Madame, je dois vous informer que votre chien devient de plus en plus collant.

- Collant comment ?

- Ben, il fout son museau entre mes cuisses !

- C'est grave ?

- Non, mais ça me gêne, je voudrais bien qu'il arrête !

- Er comment veut-tu que je fasse ?

- Je ne sais pas !

- Alors laisse-toi faire !

- Vous plaisantez ?

- Pas du tout, moi aussi il vient me renifler la chatte, je trouve ça très agréable !

- Mais madame, vous êtes une salope !


Ça m'a échappé !


- Qu'est-ce que tu viens de me dire ?

- Oh, pardon, madame, je ne voulais pas…

- Tu m'as manqué de respect. Tu vas être punie !


Ben oui, le contraire eut été étonnant


- Et tu sais ce que je vais t'infliger comme punition ?

- Non, madame !


J'ai quand même un horrible doute.


- Assis-toi sur la chaise, relève ta jupette, écarte tes cuisses.

- Non pas ça, madame !

- Ça ne va pas te tuer, et comme je te connais t'es capable d'aimer ça !

- Choisissez-moi une autre punition, ce que vous voulez…

- Si tu continues à rouspéter, la punition risque d'aller plus loin, allez, en position 

- C'est trop cruel !

- Mais non !


Je me mets dans la position demandée, je ferme les yeux ! Quelle idiote j'ai été de traiter ma gentille patronne de salope !


Mais c'est vrai qu'elle est un peu salope, d'ailleurs elle mouille, elle porte sa main à sa chatte et vient m'imbiber la mienne, puis elle appelle le chien


- Trouvé (ben oui il s'appelle Trouvé), viens lécher cette pute !


Et ça y est, le chien à sa langue sur ma chatte. Je garde les yeux fermés, m'imaginant avoir affaire à un sex-toy infernal. Car pour être infernale, sa langue n'y est pas qu'un peu.


- Ouvre-toi bien qu'il puisse te lécher partout.


J'obéis sans réfléchir, sa langue recouvre tout y compris mon clitoris, je vais jouir, je vais jouir sous la langue d'un chien, je suis la reine des salopes.


- Alors c'était bon ?

- Qu'est-ce que vous m'avez fait faire ?

- Il est où le problème ! Tu y a pris du plaisir, non ?

- Mais c'est trop pervers !

- Justement c'est ça qui fait le charme ! Tu m'as trop excitée, je vais te montrer un truc !


Je m'attend au pire.


Gabrielle ouvre le frigo et en sort deux saucisses de Frankfort. Elle s'en introduit une dans l'anus, la fait aller et venir plusieurs fois, la ressort et la lèche, puis elle se la remet et cette fois c'est moi qui doit lécher. Ce n'est pas une corvée, j'aime le goût du cul de ma patronne.


Elle s'introduit la seconde saucisse, laissant la moitié dépasser de son anus, puis appelle le chien qui accoure gober la saucisse. Je rêve !


Elle couvre ensuite le chien de caresses et devant mes yeux écarquillés lui tripote la bite, un machin rouge et gluant qui bande effrontément.


- Hum je vais la sucer ! Me confie-t-elle.


Elle ne va quand même pas… si, elle le fait, elle a la bite du chien dans la bouche et lui prodigue une vraie fellation, elle a pété un câble, la patronne !


- Alors qu'est-ce que tu en dit ? Me demande-t-elle en reprenant sa respiration.

- J'en dis que vous êtes vraiment la reine des salopes !


Ça m'a échappé, à moins que ce soit mon subconscient qui s'amuse. Je sais qu'en disant ça, elle va me punir en m'obligeant à l'imiter. Peut-être le souhaitais-je après tout ?


- Tu le fais exprès Farida !

- Je ne sais plus où j'en suis !

- Ben viens sucer avec moi, ça t'apprendra la politesse.

- Avec plaisir madame !


J'ai vraiment dit ça, moi ! Je ne dois pas être bien nette en ce moment.


N'empêche que j'ai pris un plaisir trouble à sucer cette bite dégoulinante. J'ai ensuite regardé Gabrielle se faire monter par le chien. Elle ne m'a demandé de l'imiter, mais je sais que j'y aurais droit un de ces jours.


Il est bien brave ce toutou !


Il faut maintenant parler d'Anna et c'est la narratrice qui reprend le cours du récit.

 

Anne est grande, trop grande, aime-t-elle à dire, ses mensurations n'ont rien de standard et ses formes sont modestes. Son visage est agréable, quoique d'aspect plutôt pointu. Elle n'aime pas trop son teint trop pâle qui lui fait craindre le soleil, mais est malgré tout assez fière de ses jolis yeux bleus. Quant à sa chevelure brune, elle l'avait voulu coiffée à la garçonne ne souhaitant pas qu'une mise en volume intempestive puisse paraître la faire grandir encore davantage. Bref, elle est un peu atypique.


Anne ne parle pas de son âge, mais elle doit avoir entre 25 et 30 ans, elle vit avec un compagnon dont nous ferons connaissance beaucoup plus loin, elle n'a pas d'enfant. Elle est factrice dans une petite commune huppée des Yvelines et accompli sa tâche en vélo.


Depuis quelques semaines elle a changé de tournée et est chargée de la distribution du courrier dans la partie la plus cossue de la ville. Un autre monde... et si elle ne voit que rarement les propriétaires des lieux, elle en supporte la sous faune, la progéniture arrogante, le personnel de maison condescendant, ceux qui n'ont que le mépris du regard, ne sachant ni remercier, ni sourire. Au début c'est dur, après on s'y fait... On se fait à tout... Et puis il y a heureusement quelques exceptions, quelques personnes sympathiques, quelques bouffées d'air frais en quelque sorte dans ce monde étouffant.


Anne a eu l'idée de modifier un peu l'ordonnancement de sa tournée afin de terminer par la Rue des Lauriers, dans laquelle - pur hasard sans doute - l'accueil y est - du moins dans quelques maisons - plus sympathique qu'ailleurs.


Il s'était mis à pleuvoir ce jour-là. Tout d'un coup. Un presque orage qui n'avait pas eu le bon goût de s'annoncer... évidement Anne n'avait pas emporté de vêtement de pluie... Il ne lui restait alors que deux adresses à faire, elle évita l'avant dernière, se disant qu'elle y distribuerait le courrier un peu plus tard, voire le lendemain. Elle était trempée. Elle pourrait aussi reporter la remise de cette lettre recommandée à cette dernière adresse, mais allez donc savoir pourquoi, elle tint pour celle-ci à faire convenablement son travail.


La soubrette des lieux arrive, protégée par un parapluie. Anne la connaît maintenant un petit peu, mais elle est toujours aussi intriguée par son personnage. Une ravissante beurette à laquelle il est difficile de donner un âge, disons entre 30 et 40 ans, joli visage, les yeux noirs et profonds, une peau de miel. Des formes mises en valeurs par une tenue de servante d'opérette, la petite jupe noire, et son petit tablier blanc par-dessus, le petit haut à manches courtes et au décolleté provoquant, et pour parachever le tout, une petite coiffe blanche piquée dans sa chevelure de jais.


Qui sont donc ses "maîtres" pour exiger de leur domestique un tel déguisement ? Se demande la factrice.


Leurs échanges ne sont jamais allés plus loin qu'un sourire de politesse et de quelques banalités vite prononcées. Mais à elle seule l'aura de gentillesse de cette curieuse soubrette ravissait notre factrice.


...Oui, mais aujourd'hui, il flotte !


- Vous êtes trempée ! constate Farida

- Pas bien grave, tenez, c'est un recommandé, vous me rendrez le papelard demain...

- Entrez-vous mettre à l'abri cinq minutes en attendant que ça se calme.


Anne accepte bien sûr, et elle accepte aussi le café fumant que la soubrette lui propose ensuite.


C'est ainsi que suite à cet événement, chaque passage de la factrice s'accompagnait désormais de quelques minutes de bavardages ainsi que d'une tasse de café qui finit par devenir, elle aussi, habituelle.


Quand même, Anne restait intriguée, elle avait envie d'en savoir davantage sur cette femme mystérieuse, mais n'osait bien sûr rien demander, guettant l'occasion qui lui ferait peut-être un jour poser la question.


Et puis un jour Anne arriva avec l'index en sang ! Oh rien de bien grave, une grosse égratignure, mais enfin ça saignait, ça saignait pas mal, même !


- Je me suis écorchée sur cette saloperie de boite aux lettres, juste à côté, elle est à moitié rouillée, ils pourraient la remplacer quand même !

- Oh ! Ma pauvre bibiche ! Compatit alors Farida avec une familiarité jusqu'alors peu coutumière, je m'en vais te soigner ça !


Anne se surprit alors à s'étonner qu'une soubrette puisse se permettre de la tutoyer, avant de chasser cette pensée décidément ridicule.


Farida s'en fut alors chercher de quoi désinfecter et faire un petit pansement.


- Et voilà, c'est réparé !

- Merci, c'est gentil !

- Ça ne mérite pas un petit bisou à la gentille petite infirmière ? Se moqua alors la soubrette.


Anne lui fait alors un petit bisou sur la joue, et ajouta presque par réflexe :


- Ho ! Ça sent drôlement bon ! C'est quoi ?


Farida énonça le nom d'un parfum de marque et ajouta que celui-ci lui était fourni par ses employeurs...


La perche était tendue ! Anne la saisit !


- Ils sont sympas tes... je veux dire vos employeurs ?

- Super ! Répondit Farida sans hésiter une seconde.


Anne ne comprend pas bien, il existe certes, des gentils patrons, il existe aussi des serviteurs particulièrement zélés, mais un tel enthousiasme spontané la sidère et elle ne peut s'empêcher de le lui faire remarquer :


- Quel enthousiasme !

- Je ne vois pas pourquoi je me plaindrais, je suis très bien payée, ils sont sympas, ils me respectent et ils ne m'ont jamais obligé à faire des trucs que je ne souhaite pas…


Trop d'informations à la fois. Anne ne pige plus rien du tout… Une servante très bien payée ? Mais qui n'accomplirait pas certaines tâches ? Pourquoi ? Lesquelles ? Peut-être aura-t-elle un début de réponse en posant la question qui en fait lui brûle les lèvres depuis si longtemps :


- Mais ils vous obligent à porter ce costume ?

- Tu ne veux pas qu'on se tutoie ?

- Si, bien sûr… Mais excuse-moi de te demander ça, c'est peut-être indiscret ?

- Mais, non… En fait, je ne suis pas vraiment obligée, du moins pas en permanence, mais disons que ça fait partie du contrat !


Farida se rend compte alors que son interlocutrice est complètement larguée, mais d'un autre côté, elle se dit qu'elle s'est peut-être trop dévoilée… C'est tout à fait ça, Farida, il faut toujours qu'elle cause… Elle hésite et puis trouve sa réplique, après tout elle n'est pas obligée de dire l'exacte vérité.


- Bon je vais t'expliquer mieux si tu veux, mais je ne voudrais pas que tu sois choquée…

- Choquée ?

- Un jour en cherchant un emploi je suis tombée sur une annonce, c'était un truc du genre : "couple très bon standing cherche soubrette peu farouche… L'expression "peu farouche" m'a amusé, je me suis renseignée et voilà !


Quand même, Anne vient de comprendre, du moins elle espère avoir compris ! Choquée, non, ce n'est pas son genre, mais surprise et amusée, oui certainement.


- Ça veut dire que ton employeur est "très libre" avec toi ? C'est ça ?

- C'est en effet comme ça qu'on peut résumer les choses.

- Ils sont marrants ces grands bourgeois… et sa femme ne dit rien ?

- Mais non, la patronne est aussi coquine que lui, ils jouent tous les deux en fait.

- Tu veux dire qu'avec la patronne, tu… euh… aussi…

- Ben, oui, mais ça ne me dérange pas du tout, j'ai toujours été un peu portée sur ce genre de chose.


Ça va alors très vite dans la tête de la factrice, des images se forment, des brides de souvenirs, contradictoires parfois, elle revoit ainsi les deux "gouines" dont tout le monde se moquaient dans son immeuble quand elle était petite, deux femmes restées laides dans sa mémoire, mais aussi ces improbables lesbiennes de cinéma visionnées sur l'un des rares DVD X qu'il lui avait été donné de regarder, improbables, certes, mais elle avait été incroyablement excitée et avait littéralement sauté sur son compagnon à la fin du film. Et puis aussi ces attouchements adolescents avec une camarade du collège, ça n'avait pas été bien loin et elle y avait mis fin, estimant que ce comportement l'emmenait vers ce qu'elle considérait comme de l'anormalité, elle l'avait toujours plus ou moins regretté, et parfois dans ces fantasmes, quelques corps féminins venaient s'inviter. Elle aimait d'ailleurs à se dire qu'à l'occasion pourquoi pas… mais elle ne recherchait pas. Toutes ces images se superposent, s'emmêlent dans un maelström incroyable, sa gorge devient sèche, l'adrénaline monte. Et elle d'habitude si réservée, se surprend à dire :


- Avec une femme… ouais, peut-être que j'essaierais un jour !

- Et je serais ton genre ? Lui répond la soubrette reprenant par jeu, la balle au bond.

- Arrête, je rigolais ! Répond Anne.


Farida n'insiste pas, ce n'était d'ailleurs pas son intention, et elles parlent alors d'autres choses.


Ce bref échange a perturbé Anne, elle se dit qu'elle a peut-être raté quelque chose, qu'elle aurait pu aller plus loin dans la conversation, rien que pour voir jusqu'où l'autre irait… De toute façon, elle ne lui aurait pas sauté dessus ! Pourquoi avoir reculé après avoir eu le courage d'avouer ses penchants, cela ne tenait pas debout, et puis comment relancer maintenant la conversation ?


Le lendemain, Farida la reçoit en l'embrassant sur la joue. Son parfum fit naître une nuée de sensualité chez la factrice qu'elle ne sut pas gérer. Elles sirotèrent leur café en parlant de tout et de rien mais en tout cas de choses sans doute bien loin de leurs véritables préoccupations du moment.


La factrice ne reviendrait maintenant que le lundi. L'image de la soubrette devenait envahissante, obsessionnelle y compris au cours de cette matinée du dimanche où son compagnon lui fit l'amour et fut surpris de trouver chez son amante bien plus de répondant qu'à l'accoutumé.


Lundi


Et le lundi matin en se préparant, elle se dit qu'aujourd'hui il devrait se passer forcément quelque chose, elle se maquilla un tout petit peu plus que d'habitude, mit un peu de laque pour ne pas que sa coiffure se dissipe, se vêtit d'un chemisier, elle qui n'en portait pratiquement jamais - elle se dit que s'il devait arriver quelque chose elle prendrait plus de plaisir à être déboutonné que retroussée - et s'aspergea légèrement avec un parfum dont elle n'usait d'habitude presque jamais. Elle accomplit sa tournée avec fièvre, se précipitant, maudissant ceux qui la faisaient attendre, pressée d'arriver là où son destin la conduisait.


Elle sonne, la porte s'ouvre automatiquement, elle franchit la trentaine de mètres nécessaire pour parvenir jusqu'à l'entrée de l'office. Pourvu qu'elle soit là, on ne sait jamais elle est peut-être malade ou partie faire une course ou occupée ailleurs… Et puis même si elle est là, il ne faudrait pas qu'elle ait ses règles, qu'elle soit de mauvais poil, ou tout simplement qu'elle soit indifférente... Mais pour l'instant la voici rayonnante, et cette fois c'est Anne qui l'embrasse chastement. Les pulsions sont trop fortes, Anne va craquer.


- Mon dieu quel parfum, ça me rend folle !


La factrice lui caresse les bras !


- Tu as la peau douce !


L'improvisation est totale, Farida plonge son regard dans celui d'Anne et la regarde droit dans les yeux avec un sourire conquérant.


- Tu m'as l'air en pleine forme !

- Je ne sais pas ce que j'ai, je suis tout excitée !

- Alors embrasse-moi mieux.


Laquelle voulût mettre ses lèvres sur l'autre la première ? On ne saurait le dire, mais elles se collèrent l'une contre l'autre. Le goût du rouge à lèvres de la beurette ne parut pas trop agréable à la factrice, mais déjà l'autre entrouvrait la bouche accueillant la langue fureteuse qui venait la visiter. Le baiser devint passionné, fougueux, ardent. Et puis comme saisie d'une sorte de décharge électrique, Anne se retire d'un coup.


- Qu'est-ce que je fais ? Je suis folle !

- Mais non, laisse-toi aller, tu as envie, tu ne fais de mal à personne !

- Tu dois me prendre pour une dingue !

- Le sexe n'est jamais dingue quand on se respecte ! Enonça alors Farida avec un ton doctoral qui pourrait paraître incongru dans un tel moment de fougue.

- Ça va trop vite, Farida !

- Qu'est ce qui va trop vite ? On n'a rien fait !

- Justement je ne veux pas qu'on aille plus loin !

- Alors on se donne cinq minutes, si au bout de cinq minutes, tu veux arrêter, je n'insisterais pas ! Répondit la soubrette, très joueuse.


Anne se demanda ce qu'elle pourrait bien répondre à une telle proposition, mais savait-elle elle-même ce qu'elle voulait vraiment ?


- Sorcière !

- Je sais ! Répond simplement Farida en replongeant vers la bouche de la factrice.

Farida1403

Les mains d'Anne sont à nouveau sur les bras de la soubrette, "Si la peau est déjà si douce ici, comment doit être le reste ?", elle hésite, envie de prolonger ces instants, de ne pas brûler les étapes, mais d'un autre côté, elle est dévorée par le désir, et tandis que sa partenaire lui pelote désormais la poitrine par-dessus son chemisier, elle plonge dans le décolleté de Farida faisant jaillir deux magnifiques seins à la peau dorée. Anne se demande comment ces merveilles ont pu jaillir si vite devant ses yeux qui n'en peuvent plus d'admirer ses deux beaux globes dont la rotondité se reflète à la lumière du jour. Les aréoles très brunes sont un petit peu irrégulières et parsemées de petites excroissances, les tétons sont trapus, épais, bruns très foncés et ont l'air d'implorer la bouche de la factrice qui s'y précipite sans demander à Farida si cela ne la dérangeait pas ! La déranger, oh, non cela n'a point l'air de le faire, si l'on en croit les petits gémissements qu'elle pousse alors.


- Mordille-les !


Quand même Anne s'inquiète :


- Et tes patrons ? S'ils nous surprenaient ?

- Monsieur travaille, madame est en repos, mais elle est partie je ne sais où, on ne risque rien… c'est dommage d'ailleurs !

- Pourquoi c'est dommage ?

- Parce que je pense que ça les aurait amusés, mais sois sans crainte… Et si tu continuais ce que tu étais en train de faire…


Anne revient sur les tétons de la soubrette et entreprend de les mordiller sans excès, Farida se pâme, mais finit par se dégager :


- Si on se mettait dans un coin plus confortable ?


Farida pensait d'abord emmener son amante d'un jour dans sa chambre de bonne, mais changea d'avis en chemin, trouvant beaucoup plus pervers de la conduire dans l'une des chambres à coucher de ses patrons (oui l'une des chambres, car ses messieurs dames faisaient souvent chambre à part). Elle choisit donc la chambre de Madame et emprunta au passage une grande serviette dans la salle de bain, car il n'était pas question d'aller salir le couvre lit.


- Et ben dis donc ! S'exclama la factrice.

- Ben, oui c'est pas du Conforama ! On se met à poil ?

- O.K. je me jette à l'eau !

- A mon avis tu t'en sortiras ! Plaisanta la soubrette.


Une fois nues elles se jetèrent sur le lit et s'enlacèrent. Leurs bouches s'unirent de nouveau. La factrice ne savait pas trop quelle direction donner à ses mains, mais elle faisait confiance à sa partenaire pour la guider.


Farida lui caressait les jambes.


- J'aime bien tes cuisses ! Commenta-t-elle

- Mes cuisses, qu'est-ce qu'elles sont mes cuisses ?

- Je sais pas, je les aime bien !

- Alors caresse-les !

- Ben c'est ce que je fais, et tu vois je vais remonter jusque-là !

- Ce n'est plus mes cuisses, ça ?

- C'est quoi alors ?

- Un minou !

- Moi j'appellerais ça un pubis, le minou c'est là ! Répondit Farida en y mettant la main. Hum c'est tout mouillé par-là, tu es tout excitée ma jolie !

- C'est de ta faute !


La soubrette changea alors sa position afin de venir lui lécher la chatte !


- Oh ! Qu'est-ce que c'est bon ! Continue ! T'arrête pas.


…et soudain


Un bruit de porte !


C'est Gabrielle, la maîtresse des lieux ! Elle n'aurait pas dû être là… mais elle y était ! Anne affolée, cherche à cacher sa nudité.


- Et bien Farida, on se sert de mon lit sans autorisation ?

- Oh ! Pardon, Madame !

- Tu seras punie, Farida !

- Oui ! Madame

- Et, je peux savoir qui est cette gonzesse ?

- La factrice, madame !

- Drôle de façon de distribuer le courrier.

- Je, je crois, que je vais me sauver ! Balbutie la factrice, rouge comme une pivoine, en essayant de s'envelopper dans la serviette.

- Je vous serais reconnaissante de laisser cette serviette tranquille. Mais ne paniquez donc pas, je ne vous chasse pas, je ne vous blâme pas non plus !

- Il faut que j'y aille ! Reprend la factrice complètement déstabilisée.


Elle lâche la serviette, se tourne et entreprend de ramasser ses vêtements.


- Vous avez de bien jolies fesses, savez-vous ?

- Je suis désolée, je vais partir !

- Je vous répète que vous n'avez pas à être désolée, si vous voulez partir, partez, si vous voulez rester, restez.


Elle ne répond pas et toujours de dos se remet son soutien-gorge.


- Votre soutien-gorge est mal agrafé ! Mentit Gabrielle, attendez, je vais vous aider.


Elle se pointe derrière elle, dégrafe le soutif et lui empaume les seins.


- Non ! Non ! Laissez-moi ! Ne me touchez-pas !

- Ce que vous faisiez à deux, on peut aussi le faire à trois… ils sont très doux tes seins, tourne-toi !

- Non, laissez-moi, je vais partir.

- Tu n'as pas envie de faire des choses coquines avec une belle bourgeoise ?


Elle lui attrape les bouts de seins, les pince.


- Arrêtez, s'il vous plaît !

- Tu n'aimes pas ?

- Je suis désolée, il faut que je parte ! répète-t-elle.

- Farida, peux-tu expliquer à ta copine que nous aimerions qu'elle reste !

- Anne, Madame Gabrielle veut simplement jouer avec nous, laisse-toi faire !

- Je ne sais pas...

- Et bien, justement, laisse toi faire !


Gabrielle contourne la factrice, lui fait face :


- Déshabille-moi !

- Vous déshabiller ?

- Oui !

- Je suis désolée...

- Je le vois bien que tu es désolée, on va finir par le savoir, mais déshabille-moi, J'ai envie de tes mains sur mon corps.

- Vous vous méprenez sur mon compte, je ne suis pas ce que vous croyez, j'ai juste eu un moment d'égarement avec Farida.

- Je ne t'ai pas demandé de me raconter ta vie, je t'ai demandé de me déshabiller ! Lui répond Gabrielle avec le plus envoutant des sourires.

- Bon, d'accord, mais je dois être folle, finit par dire Anne, vaincue et résignée.


Elle commence par enlever le haut de Gabrielle en le faisant passer par la tête, approche ses mains du soutien-gorge, les baladent un très court moment sur l'échancrure avant d'atteindre le dos à la recherche de l'agrafe. Ça y est, c'est dégrafé, elle dégage les bretelles, les jolis seins de la maitresse des lieux et leurs gros tétons sont désormais devant son nez… On devrait dire devant sa bouche.


- Suce-les !


Elle n'hésite pas, et se met à lécher et à sucer frénétiquement et alternativement les deux petits bourgeons offerts.


- Hummm, elle est bonne ta bouche, laisse un peu mes nichons, je vais y goûter.


Anne ne comprend pas, mais se laisse faire quand Gabrielle cherche sa bouche. Le baiser est long, et cette fois Anne est réellement entrée dans le jeu.


- Vous alors ! Dit-elle ensuite.

- Quoi "Moi alors !" ? Sourit Gabrielle

- Vous embrassez bien !

- Il y a aussi deux ou trois autres trucs que je ne fais pas si mal que ça, n'est-ce pas Farida ?

- Bien sûr, Madame.

- Enlève-moi le reste, Anne !


Elle lui baisse son pantalon, puis son string.


- Allez embrasse-moi les fesses, j'adore ça !


Anne joue avec les fesses de la bourgeoise, les caresses, les malaxe, les embrasse, les lèche. Gabrielle se demande si la factrice va être assez hardie pour lui écarter les globes et s'approcher de son trou du cul. Elle se met sur le lit en levrette, tout en lui demandant de continuer. Faudra-t-il l'aider un peu ? Non, ce n'est pas nécessaire, le doigt d'Anne est maintenant très près de la rosette…


- Je peux !

- Bien sûr !


Et la voilà qui lèche le fion de la bourgeoise ! Farida en a un peu marre de faire banquette et caresse le dos de la factrice, puis ses fesses, puis sa langue lui fait ce qu'elle fait à sa patronne. La position est amusante, une sorte de petit train des lèche-culs !


- Hummm ! Qu'il est bon votre cul ! Ose dire Anne, à présent de nouveau complètement excitée.

- Ah ! Bon, qu'est-ce qu'il a de spécial mon cul ?

- Je ne sais pas, j'aime bien son odeur !

- Mets-moi un doigt !


Anne se suce l'index et le fait aller et venir dans le trou de Gabrielle. Farida fait la même chose à sa place et la factrice s'en tortille le popotin de plaisir.


La soubrette rigole, parce que connaissant bien comment fonctionne sa patronne dans ses moments-là, elle la sait parfaitement capable de demander à Anne de se lécher le doigt quand il aura fini de s'agiter dans son fondement.


- Renifle ton doigt !


Elle le fait comme dans un état second. Gabrielle se retourne, approche sa langue de l'index fureteur.


- Viens, on va le lécher à deux !


Etonnant spectacle, qui ne dure que quelques instants, bien sûr à cet exercice, les langues se frôlent, et le patin devient inévitable.


- Etale-toi sur le lit, tu vas me faire jouir, et pendant ce temps-là Farida va s'occuper de toi.


La soubrette s'immisce donc dans la chatte de la factrice, tandis que cette dernière se retrouve le visage collé sur le sexe de Gabrielle qui s'est semi accroupie à cet endroit.


L'intimité d'Anne est ruisselante, Farida s'en pourlèche, amuse sa bouche sur les replis de ses lèvres, puis avisant le clitoris érigé, le titille de l'extrémité de sa langue. La factrice réagit très vite, son corps s'agite et de son côté elle accélère la pression sur le bouton de la bourgeoise.


- C'est bon, c'est bon ! Dit cette dernière qui dans ces moments-là ne brille pas par son originalité littéraire.


Farida temporise un peu de façon à ce que sa patronne jouisse la première. Elle ne tarde pas à le faire dans un hurlement insolite. Alors la soubrette termine son travail envoyant Anne rejoindre Gabrielle au septième ciel. Les deux femmes s'enlacent tendrement, s'embrassent encore.


Farida un peu frustrée par la tournure des événements, mais dont l'excitation est loin d'être calmée entreprend de se masturber. Sa patronne finit par s'en apercevoir !


- Et bien Farida, tu fais quoi ?

- Je me masturbe, madame !

- Ma pauvre, on ne va pas te laisser comme ça, couche-toi sur le lit, je vais m'occuper de ta petite chatte, pendant qu'Anne va te sucer les nichons, vous voulez bien, Anne ?


Bien sûr qu'elle veut bien, et tandis que la factrice s'amuse à gober les tétons de la soubrette, Gabrielle se régale de sa chatte tout en lui doigtant le cul. Curieusement Farida est un peu longue à venir, mais l'explosion finale n'en est que meilleure.


- Oh ! La la, quel coup de folie ! Commente Anne en se rhabillant et histoire de dire quelque chose.

- Il n'y a pas de mal à se faire du bien !

- Je vous laisse, ils doivent s'inquiéter de ne pas me voir rentrer à la Poste. Merci pour tout.


Elle s'en va comme une sauvage, pas de bisou, même pas de véritable aurevoir.


- Dommage qu'elle soit partie si vite, j'aurais bien discuté un peu, cette fille a du potentiel, ça se sent, je suis sûre qu'on pourrait faire plein de choses avec ! Elle t'a confié des trucs ?

- Non, pas grand-chose !

- Bon, tu vas t'arranger, pour la faire venir en dehors de ses heures de travail, je veux que cette fille soit mon esclave pendant au moins une heure. Et dans un deuxième temps je l'offrirais à mon mari. Tu te sens capable d'organiser tout ça, Farida ?

- Bien sûr, Madame, comptez sur moi !


Mardi


La séance de la veille l'a profondément marqué, le soir c'est elle qui a sollicité son compagnon pour qu'il la prenne, et pendant qu'il lui faisait l'amour elle se remémorait tous les instants passés avec Gabrielle et Farida. Elle appréhendait un peu sa visite d'aujourd'hui. Qu'allaient-elles se dire ? Elle n'était même pas obligée d'y passer aujourd'hui, puisqu'il n'y avait pas de courrier pour eux !


Elle y passa quand même.


Farida et Anne s'embrassent chastement sur les joues.


- Ça va ?

- Oui !

- Alors, ça t'a plu, le petit délire d'hier ? Demanda la soubrette avec un joli sourire complice.

- C'était un moment de folie !

- Tu recommencerais ?

- Je ne sais pas…

- Tu ne dis pas non ! Tu aimerais bien lécher à nouveau le cul de ma patronne, hein, dis-le !

- Arrête, tu vas m'exciter !

- Et puis lui mettre un doigt que tu lécheras ensuite… t'aimes ça, hein ?

- Oui, je peux être très cochonne quand je suis très excitée

- J'ai envie de voir tes fesses !

- Je n'ai pas le temps, là !

- Pourquoi tu ne viendrais pas en dehors de tes heures de service ?

- Ça pourrait se faire ! Minaude la factrice.

- OK, on en reparlera, montre-moi juste tes fesses, comme ça toute la journée je pourrais y penser !

- Bon vite fait !


La factrice baisse son pantalon, mais garde son string, puis tend son fessier à Farida. Cette dernière y dépose un "chaste" bisou, puis l'air de rien lui claque le cul !


- Aïe !

- Tu aimes les petites fessées ?

- Quand c'est pas trop fort, oui !

- Et la domination tu aimes bien ?

- C'est quoi ?

- Tu joues à l'esclave pendant une heure, et le maître ou la maîtresse, ils peuvent te faire ce qu'ils veulent.

- Tout ce qu'ils veulent ? Pas n'importe quoi, quand même ?

- Mais non, C'est un jeu, il suffit de bien s'entendre au départ alors sur ce qui est possible ou pas !

- Ah ! J'ai jamais essayé !

- Je vais te faire une proposition. Tu es libre demain en fin d'après-midi ?

- Euh, oui !

- Alors, ma patronne t'attendra à 17 heures précises, tu sonneras cinq minutes avant, tu te mettras entièrement nue ici, puis tu monteras dans sa chambre, elle sera en levrette sur le lit, tu ne diras rien, tu te mettras derrière elle et tu lui lécheras le cul.

- Arrête de dire des bêtises, tu vas me faire mouiller.

- C'est pas grave ! Alors d'accord ?

- C'était sérieux ? Je ne sais pas !

- Mais si tu viendras ! Ne passe pas demain matin, tu en profiteras pour nous apporter le courrier l'après-midi !

- Je ne sais pas, allez, j'y vais, à demain peut-être

- A demain… 17 heures, tiens, ça c'est mon numéro de portable... En cas d'imprévu.


A ce moment, Anne ignorait encore si elle honorerait ce rendez-vous insolite, mais bien sûr, elle ne cessa d'y penser, y compris en sollicitant le sexe de son compagnon. Celui-ci ne comprenait pas cette série d'incroyables poussées libidineuses !


Farida était curieuse, vers 11 heures du matin, elle se mit en faction devant la fenêtre de la cuisine.


Anne termine sa tournée, elle a du courrier pour Gabrielle et son mari, le distribuer maintenant n'engage à rien, rien ne l'empêchant de revenir l'après-midi. Ne pas le distribuer est en revanche un signal fort. Elle ne sait que faire, s'approche de la boite aux lettres, hésite, avise la sonnette, mais ne l'actionne pas. Elle donne un coup de guidon et disparaît dans la direction opposée.


Gabrielle est partie s'occuper de sa galerie d'art, rue de Seine à Paris.


- Je crois que ça va être bon ! Confie la soubrette à sa patronne au téléphone.

- On verra bien, si ça se confirme, tu auras une prime !

- Merci madame !

- Tu resteras avec nous, je rentrerais vers 16 h 30 et je te veux dans ma chambre à 16 h 50


A l'heure dite, Farida découvrit sa patronne entièrement nue, le visage maquillée avec soin.


- Renifle-moi le cul, Farida, j'ai l'impression qu'elle aime les odeurs un peu fortes, j'aimerais bien lui faire plaisir.

- Ça sent effectivement un peu fort, je suppose que Madame ne s'est pas essuyée à fond.

- Tu supposes très bien ! Je vais me mettre un anus-picket dans le cul, je lui dirais de jouer avec, de me l'enlever et de le sucer… Oh ! Je sens que ça va m'exciter tout ça !

- Elle ne devait plus tarder, je vais descendre l'accueillir.

- Vas-y Farida, euh si elle n'est pas là dans un quart d'heure, tu me rejoindras, tu la remplaceras.

- Bien sûr, puisque c'est moi le bouche trou !

- Farida ! Je ne te permets pas !


Gabrielle balance deux petites gifles à la pauvre soubrette, lui faisant payer sa franchise, puis lui crache au visage. C'est un jeu, il n'y a dans ce geste aucune cruauté.


- Pardon madame !

- File, il va être l'heure.


A 17 h 05 Anne n'est pas arrivée ! Farida est un peu vexée par ce que lui a proposé sa patronne. Elle pense un moment que si Anne ne venait pas, ça lui servirait de leçon à la Gabrielle… Mais non la voilà qui arrive ! Alors la dissuader de monter ! Et c'est cette pauvre Farida qui va servir de défouloir ! Non, ce n'est pas une bonne idée…


- Tu es en retard, déshabille-toi vite !

- Je ne sais pas si je vais le faire, tiens, voilà le courrier !

- Elle t'attend, Anne, je viens de la voir dans sa chambre, elle est superbe !

- J'ai peur que ça aille trop loin !

- Si ça va trop loin, tu prétexteras une migraine et tu t'en iras… mais à mon avis tout se passera bien.

- Tu crois ?

- Dépêche-toi, son mignon petit trou du cul attend ta bonne langue !


Cette fois, elle est vraiment décidée, elle se déshabille à toute vitesse. Elle marque son étonnement quand Farida lui passe un collier de chien autour du cou, mais se laisse faire.


- Allez en route !


Anne entre dans la chambre, elle est subjuguée par le spectacle de Gabrielle qui lui expose sa croupe, le sex-toy planté dans son joli cul bronzé.


- Bonjour ! Balbutie-t-elle.

- Vous êtes en retard, Anne ! J'ai horreur de ça !

- Désolée, madame, j'avais mal estimé le temps qu'il me faudrait pour venir…

- Je ne veux pas le savoir, Farida, prend la grande baguette qui est sur la commode et donne-lui en dix coups sur les fesses.

- Pas trop fort, alors ! Indique la factrice.


Si Farida sait très bien manier les instruments qui servent à fouetter, c'est que Gabrielle a été une excellente professeure ! Elle commence donc par un coup moyen destiné à tester la résistance de sa victime.


- Aïe !


C'est un petit "aïe", ça ne lui a pas fait trop mal, elle augmente un peu, non là c'est trop fort, elle a donc trouvé la bonne frappe du premier coup, elle continue ainsi, trois coups, quatre coups, elle alterne les fesses… dix coups… ce devrait donc être terminé, mais la soubrette se livre à l'une de ces facéties préférée : elle frappe un onzième puis un douzième coup avant de reposer la baguette.


- Farida, tu ne sais plus compter ! Se moque Gabrielle.

- Parfois j'ai du mal ! Répond la soubrette avec une insolence feinte.

- Viens devant moi, mets ton visage devant le mien et ouvre ta bouche !


Farida sait ce qu'il va se passer, trois fois de suite, Gabrielle lui crache dans la bouche. Anne assiste fascinée à cette scène, elle est infiniment troublée, partagée entre répulsion et attirance…


- Allez, Anne viens me retirer ce machin qui est planté dans mon cul ! Et prends bien ton temps, tu le retires doucement avec des petits mouvements circulaires… Oui comme ça c'est bon…. Aaaah, enfonce-le un peu maintenant, et ressors le… Encore, continue comme ça ! Aaaah, vas-y retire-le. Aaah ! Alors tu le trouves comment mon cul tout ouvert ?

- C'est, c'est…. Très excitant !

- Il est ouvert pour toi, lèche-le maintenant !

- Je le mets où le gode ?

- Garde-le dans ta main pour l'instant. Viens, je veux ta langue dans mon trou.


Anne n'hésite pas et plonge sa langue dans cet œillet offert ! Elle se régale, et puis psychologiquement lécher le cul "merdeux" d'une bourgeoise, c'est pour elle assez fort.


- L'odeur, ça va ? demande Gabrielle.

- C'est assez… envoûtant !

- Envoûtant, c'est bien la première fois qu'on me dit que l'odeur de mon cul est envoûtante. Lèche aussi autour, je n'ai pas dû m'essuyer à fond tout à l'heure quand j'ai fait caca.

- Mais c'est déjà fait, chère madame ! Ironise Anne.

- Et c'était comment ?

- Votre merde a un joli petit goût.

- T'es vraiment une belle cochonne, toi !

- Pas tant que ça, je suis cochonne seulement quand je suis très excitée.

- Tu as toujours le gode dans la main ?

- Oui !

- Il est comment ! Je veux dire au niveau propreté ?

- Il est moyen !

- Ça veut dire quoi ?

- Qu'il est un peu merdeux !

- Nettoie-le ! Avec ta bouche !

- Juste un peu alors !


En fait de" juste un peu", Anne complètement partie dans ce trip sexuel, lèche le machin jusqu'à ce qu'il soit complètement récuré.


- Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle.

- Viens m'embrasser ! Lui dit Gabrielle.

- Je crains d'avoir un goût particulier dans la bouche ! Je viens de lécher le gode...

- Et alors ?


Les deux femmes excitée comme des puces se roulèrent alors un patin peu conventionnel.


- Je peux vous demander de me faire quelque chose ? Demande Anna

- Dit toujours !

- J'aimerais bien que vous me crachiez dans la bouche comme vous avez fait avec Farida !

- Ce n'est pas un problème !


Anne ouvre sa bouche, comme dans un état second et accepte les projections de salives comme s'il s'agissait d'une offrande.


- T'aimes ça, hein ? Et si je te pissais dans la bouche !

- Oui, oui, quand vous voulez !

- Et bien, ne perdons pas de temps allons-y, suis-moi la salle de bain c'est par là… Allez dans la baignoire, Anne, et ouvre bien la bouche, quand je pisse, je pisse !


Cela n'a vraiment pas l'air d'être une corvée pour Anne, elle ouvre une large bouche et avale tout ce qu'elle peut tandis que le reste lui dégouline sur la poitrine et sur le ventre.


- Tu ne vas pas me dire que c'est la première fois que tu fais ça ? demande Gabrielle.

- Non, c'est mon copain qui m'a initié, au début ça me dégoûtait, après ça m'a amusé, et maintenant j'adore ça !

- Et il en d'autres des pratiques un peu particulières, ton copain ?

- Dès fois quand il m'encule, il aime bien qu''après je lui nettoie le zizi.

- Je vois… C'est tout ?

- A peu près ! Il aime bien aussi qu'on lui mette un gode dans son cul !

- Ah ! Ah ! Que des godes, pas des vrais bites ?

- Non, mais tel que je le connais, il ne dirait peut-être pas non !

- Hum, tu sais à quoi je pense, Farida ? Lui demanda sa patronne.

- Oh ! Oui ! Répondit la petite beurette.


Anne s'est essuyée et les trois femmes sont revenues sur le lit. Gabrielle se couche sur le dos et demande aux deux autres de lui offrir un quart d'heure de caresses.


Farida qui a l'habitude de ce genre de choses opère un massage tout symbolique des épaules, et du dos. Anne est un peu gauche, mais commence néanmoins à peloter les fesses de la bourgeoise avec application. Les quatre mains se baladent partout, les pieds, les mollets, les cuisses, les bras. Mais c'est bien évidement le cul qui reste l'endroit le plus sollicité.


- Farida, 10 coups !


C'est rare mais ça arrive quand Gabrielle est extrêmement excitée, elle demande alors à sa soubrette de lui cingler les fesses. Farida adore ! Fouetter sa patronne lui donne pendant ce trop court moment une satisfaction sans doute plus psychologique que sexuelle.


Elle tape fort ! Rien à voir avec les caresses de cravaches qu'a reçu Anne tout à l'heure. Le cul de la bourgeoise s'est orné de trainées rougeâtres qui mettront plusieurs heures à disparaître.


Gabrielle se retourne !


- Allez, on reprend !


Ce sont les massages et les caresses qui reprennent, Anne a jeté son dévolu sur la poitrine de la bourgeoise, tandis que Farida lui lèche son sexe dégoulinant de mouille. Gabrielle se met à gémir, de plus en plus fort, de plus en plus vite, sa respiration se saccade, le sang monte au visage et au cou, la bouche devient sèche, puis un cri, le corps qui se soulève de quelques centimètres, puis elle retombe vaincu par sa propre jouissance, heureuse !


Elles sont toutes trois allongées sur le lit, Gabrielle au milieu, une sorte de pause en fait, agrémentées de petites caresses


Le portable de Gabrielle se met à sonner, quelle idée de l'avoir emportée ici ! Et elle répond en plus !


- Oui, René, je suis dans ma chambre avec Farida et une autre jeune femme... Mais bien sûr que tu peux monter...


Ça sent la mise en scène à plein nez ! Farida rigole intérieurement, mais pas Anne qui est devenu verte et qui se lève et murmure un :


- Je ne me sens pas très bien, je vais peut-être vous quitter !

- C'est comme tu veux, je vais te présenter à mon mari et après, tu pourras partir.


Anne n'en revient pas de pouvoir déguerpir à si bon compte. Mais déjà la porte s'ouvre, René entre :


- Alors, c'est la fête ici ?

- René, je te présente Anne, c'est notre factrice.

- Euh, bonjour Monsieur, balbutie cette dernière, en tentant de cacher sa nudité avec son jeans qu'elle vient de ramasser.

- Cette fille est une coquine absolument délicieuse, elle à la peau très douce et elle lèche comme une fée.


Anne qui a dû être caméléon dans une vie antérieure est maintenant écarlate comme un coquelicot.


- Je dois partir…

- Certes Anne, tu veux partir et c'est ton droit le plus strict, lui répond Gabrielle, J'espère que nous nous reverrons, mais je voudrais que tu répondes à une question !

- Oui !

- Tu as aimé être mon esclave ?

- Oui, mais…

- Oui ou non ?

- Oui !

- Alors, s'il te plaît, accorde moi cinq minutes de plus et après, tu pourras partir !

- Je ne peux pas partir maintenant ?

- Bien sûr que si, tu n'es pas prisonnière, mais je te demande cinq minutes de plus.

- J'ai un peu peur, madame !

- Regarde-moi dans les yeux, Anne !

- Oui !

- Donne-moi ces cinq minutes !

- Je ne sais pas !

- Si ! Tu le sais, réponds-moi !

- D'accord répondis ! Anne dans un souffle.


Et alors, il se passa quelque chose d'extraordinaire, Anne sans que personne ne le lui demande, laissa tomber le jean qui lui servait de paravent et exposa sa nudité devant René.


Elle se redresse, fière, presque hautaine !


- OK, je vais rester cinq minutes de plus ! Mais que va faire Monsieur ? Partir ? Nous regarder ? Ou participer ?


Gabrielle qui en a pourtant vu d'autres paraît décontenancée, le jeu lui échappe.


- A ton avis ? Finit-elle par répondre.

- Mais mon avis importe peu, je ferai ce vous me demanderez, avec infiniment d'obéissance, et juste pendant cinq minutes et ensuite je quitterai ce lieu !

- Je crois que cette jeune femme mérite une leçon ! Intervient René.

- Pas du tout ! Intervient Gabrielle, Anne je te félicite pour ton attitude, tu n'es plus mon esclave, pendant ces cinq minutes tu peux faire ce que tu veux, je t'y autorise ! D'accord René ?

- Oh, tu sais moi, je suis très joueur ! Allez Anne ! C'est toi la chef !


Anne n'en revient pas, elle semble réfléchir quelques secondes, puis s'adressant à René.


- Je vais donc demander à Monsieur de bien vouloir se déshabiller !


René s'exécute, il a le sexe semi bandé.


- Hum ! Monsieur a une bien belle bite, Madame doit se régaler quand il lui met dans le cul !

- Anne vous êtes vulgaire ! Plaisante Gabrielle.


Mais Anne ne peut pas répondre, elle a la bouche pleine, elle est d'ores et déjà en train de prodiguer une superbe fellation à René qui se pâme d'aise.


Bientôt l'homme pousse des petits cris, Anne le libère, et prend très rapidement la queue dans sa main et la masturbe à peine. Quelques secondes après ses seins sont aspergés de son sperme.


- Belle pipe, un peu court, mais bien : Commente le maître de maison.

- Les cinq minutes sont terminées, je crois, c'est dommage, j'aurais bien fait un petit truc !

- Tu peux prolonger ces cinq minutes autant que tu veux, ce n'est pas un problème, répond Gabrielle.


Les yeux d'Anne pétillent alors de malice, elle demande alors à Gabrielle et à René de se mettre au coin, chacun d'un côté de la pièce, le visage tournée vers le mur, puis elle appelle Farida.


Les deux femmes s'embrassent, se caressent se retrouvent très vite en soixante-neuf, les chattes sont baveuses, les clitoris sont érigés, les bouches sont gourmandes. Mélange explosif ! Explosion de jouissance ! Tendres Baisers !


- Bien joué ! Dira simplement Gabrielle quittant son coin sans qu'Anne ne lui ait dit de le faire.


Cette dernière ne répond que d'un sourire, puis s'approche de ses vêtements afin de se rhabiller. Gabrielle s'approche d'elle la cravache à la main, faussement menaçante :


- A genoux ! Lui ordonne-t-elle.

- Ah ! Le jeu n'est pas terminé ?

- Pas tout à fait, tu es toujours restée mon esclave, si on a inversé les rôles un moment c'est que j'ai bien voulu !


En disant ça elle pince avec force les tétons de la factrice qui gémit de douleur.


- Ouvre ta bouche !


Anne se prête au jeu comme tout à l'heure en recevant la salive de sa dominatrice. Gabrielle lui porte la main à la chatte.


- Tu mouilles encore ! Mais t'es une vrai salope !

- Ben faut dire que les circonstances…

- T'aimerais qu'on te lèche encore ?

- Peut-être !

- Et si je te faisais lécher par le chien ?

- Peut-être pas quand même !

- T'as essayé au moins ?

- Pas envie !

- Farida va chercher le chien.

- Je ne veux pas… proteste Anne

- On ne va rien te faire, tu vas juste regarder !


La soubrette revient avec le chien et le dirige vers Gabrielle qui lui offre sa chatte à lécher.


- Qu'est-ce que c'est bon de faire lécher par un chien ! Anne tu nous diras quand tu voudras essayer.

- Je suis obligée ?

- On ne t'oblige à rien du tout. Juste deux ou trois coups de langues et ce sera bon.

- Moi au début je ne voulais pas le faire, maintenant j'adore ça ! Ajoute fort opportunément Farida 

- Bon juste un peu !


Et le chien vint alors lécher Anne qui pousse d'abord un "Oh " de surprise avant de se laisser faire et d'apprécier cette douce caresse contre nature.


- C'est vrai que ce n'est pas désagréable, oh, aaahhh. 


Elle a jouit, elle se redresse, chancelante


- Vous n'étés que des bourgeois pervers et dévergondés, mais je vous adore !

- Alors tout va bien ! 

- Tu reviendras n'est-ce pas ?

- Peut-être… Pourquoi pas ?

- Tu as une photo de ton copain ?

- Une photo, oui ! Pourquoi ?


Elle farfouille dans son sac, montre le cliché à Gabrielle


- O.K. ça colle. Quand tu reviendras, je veux que ce soit avec ton copain. Je veux que René l'encule devant toi !

- C'est de la folie, il ne voudra jamais !

- Tu trouveras bien le moyen de le convaincre !

- Je ne crois pas.

- Allez, je te libère, Farida, prépare-nous des rafraîchissements dans le salon, toutes ces bêtises nous ont donné soif !


Quelques minutes plus tard, René prenait congé de la factrice en l'embrasant chastement, Gabrielle fit de même mais en glissant dans sa main un joli petit billet de banque


- Non, je n'ai pas fait ça pour de l'argent ! Proteste-t-elle, un peu par réflexe.

- Je sais mais on vient de s'apercevoir qu'on a toujours oublié de donner un pourboire à notre factrice préférée, plaisante la belle bourgeoise.


La proposition de Gabrielle excite Anne. Le soir elle fait l'amour avec son mari, elle a sorti le gode et le sodomise avec. Elle tâte le terrain.


- Tu aimes ça te faire enculer, hein mon salaud ?

- C'est vrai que c'est bon !

- Et pourquoi tu n'essaierais pas une vraie bite ?

- Faudrait une occasion !

- Et si je te la trouve, moi l'occasion ?

- Pourquoi tu as rencontré quelqu'un ? Je ne suis pas jaloux, mais si tu as couché avec un mec je n'ai pas envie de le connaître.

- Mais non, écoute je vais te raconter une belle histoire !

- Après !

- Non maintenant, je vais te raconter tout ça pendant que je remue le gode dans ton petit cul de pédé !


Une semaine plus tard


On sonne, Farida ouvre, C'est Anne et Faustin, son copain.


Il est mignon son copain, très clair de cheveux, très fin, un peu biquet. On n'a pas de mal à deviner que dans ce couple c'est Anne qui porte la culotte.


Farida les installe dans les grands fauteuils du Salon. Faustin se demande où il est tombé et n'est pas trop rassuré.


Gabrielle fait son apparition, elle est très élégante, vêtue d'une jolie petite robe noire à bretelles, très décolletée. Elle embrasse Anne sur la bouche, puis s'approche de Faustin qui gauchement lui tend la main :


- Je vous en prie, embrassons-nous ! Propose Gabrielle. Ne bougez-pas.


Elle dépose alors un chaste baiser sur les lèvres du jeune homme subjugué.


- On vous sert quelque chose ? Thé, café, bière, vin, jus de fruit.

- Euh, un Coca ! Suggère Faustin.

- Ben, non on n'a pas l'article…

- Un jus de fruit alors !


Et tandis que Farida retourne en cuisine préparer les boissons, René fait son apparition, il ne s'est pas changé en rentrant du travail mais a déposé son veston et sa cravate. Lui aussi embrasse Anne sur les lèvres. Puis il s'amuse à déconcerter Faustin l'embrassant également, puis en lui pelotant les fesses avec ce commentaire :


- Humm… Ça va être pour moi, tout ça !


En attendant les boissons, puis en les buvant, ces braves gens s'échangent quelques banalités d'usage (miracle de la météo qui permet toujours d'engager la conversation). Puis subitement Gabrielle se lève, s'approche de Faustin, tournicote un peu devant lui :


- Vous me trouvez comment ?

- Heu, très belle !

- Merci. Est-ce que je vous excite ?

- Euh… Oui !

- Vérifions ! Reprend Gabrielle en lui plaçant la main sur la braguette.


Faustin sait à présent que la spirale infernale est enclenchée, le point de non-retour est atteint, il ne sortira d'ici qu'après s'être fait sodomiser. S'il veut tout faire cesser, c'est maintenant ou jamais. Anne a l'air à son aise. Gabrielle accentue sa pression sur son entrejambe. Faustin bande comme un âne. Gabrielle se redresse, s'éloigne d'un mètre :


- Viens ! Déshabille-moi !


Faustin se lève tel un zombi, passe derrière la maîtresse de maison, s'autorise à lui caresser les bras, puis dézippe la fermeture dorsale. La petite robe noire tombe à terre. Gabrielle s'est gainé les jambes de bas noirs retenus par un porte-jarretelles de la même couleur, le string et le soutien-gorge sont assortis


- Allez, continue !

- J'enlève quoi maintenant !

- Ce que tu veux ? Ah tu es bien embêté, qu'est-ce que tu aimerais voir en premier, ma petite chatte, ou mes beaux nichons ?

- Je vais commencer par le haut ! Décide Faustin.


Il enlève le soutif après s'être bagarré une bonne minute avec les agrafes, puis reste là béat devant cette poitrine magnifique qui semble le narguer.


- Je peux toucher ? Trouve-t-il l'audace de demander.

- Vas-y ! Aujourd'hui c'est la fête !

- Les embrasser aussi ?

- Aussi !


Il ne se le fait pas dire deux fois, il caresse, il pelote, il embrasse, il lèche, il suce, il se déchaîne. Il ne s'arrête plus… à ce point que Gabrielle doit lui rappeler :


- Tu n'as pas fini de me déshabiller !


Le jeune homme est confus, il quitte à regret cette douce poitrine, et se penche un peu pour faire descendre la culotte. Il s'aperçoit alors qu'elle est pas mal mouillée devant. Il en éprouve une grande fierté se figurant qu'il a fait mouiller madame en lui triturant les seins. Mais il a ensuite comme un doute quand il tient l'objet entre les mains. Il le porte à son nez et renifle. Et, oui, c'est bien ça, Madame a fait quelques gouttes de pipi dans sa culotte ou alors elle a oublié de s'essuyer.


- Lèche !


Comment ne pas obéir ? Il s'accroupit et introduit sa langue dans le fouillis de ses grandes lèvres qu'il écarte ensuite de ses doigts. Odeur de mouille, odeur d'urine, odeur de femme. Tout cela rend fou notre Faustin qui va encore une nouvelle fois être frustré par l'ordre de Gabrielle :


- Lèche derrière, maintenant !


Et hop, Faustin contourne la dame, et peut maintenant contempler son joli fessier. Comme il l'a fait précédemment pour les seins, il pelote, et ses lèvres et sa langue vont partout. Mais il sait très bien quelle sera la finalité de ce passage à l'arrière. Il écarte les deux globes, puis fonce langue en avant dans l'œillet qu'il pourlèche tant qu'il peut.


- Stop ! Mets-toi à poil maintenant, et toi aussi Anne !

- Complètement !

- Tu n'es autorisé qu'à garder tes chaussettes !


Et voilà tout le monde à poil, René aussi qui en a profité. Faustin qui est resté debout lorgne vers la bite du maître de maison, il est rassuré de constater qu'elle n'est pas surdimensionnée. Gabrielle s'approche de lui et lui met la main sur son sexe.


- Mais que voilà une jolie bite ! Commente-t-elle. En la branlant légèrement. Humm, je crois que je vais y goûter.


Elle se penche et embouche la quéquette du jeune homme qui se pâme d'aise au rythme des va-et-vient savants de la bourgeoise. Mais au bout de quelques courtes minutes, elle fait une pause, se retourne.


- Mais, Anne vous manquez à tous vos devoirs, au lieu de me regarder sucer votre mari, allez donc sucer le mien.

- A vos ordres, Madame, répond la factrice qui de façon très décontractée s'en va donc pratiquer une fellation à René.


Si Anne n'a pas été gênée de voir Faustin, son compagnon se faire sucer par "une autre", il n'en est pas de même pour ce dernier qui circonspect assiste au spectacle de sa copine engloutissant le sexe de ce bourgeois quinquagénaire.


- Ça t'excite, hein de voir ta copine faire des pipes ! Lui dit Gabrielle

- Je ne sais pas… balbutie-t-il.

- Mais si, ça t'excite sinon tu ne banderais pas.


Voilà qui rend notre Faustin dubitatif. Mais quand Gabrielle reprend sa gâterie, il se pose déjà moins de questions. Sa langue et ses lèvres agissent avec frénésie à ce point que notre jeune homme profère des "c'est bon, c'est bon !" Mais l'objectif de la bourgeoise n'est pas de le faire jouir de suite. Elle stoppe une nouvelle fois, prend Faustin par la main, et l'emmène tout près du fauteuil où sa copine opère.


- Tu as vu comme elle suce bien René, c'est une bonne petite pute, d'ailleurs on va la payer pour ça ! Alors Anne, dis-nous si ça t'a excité de faire une pipe à mon mari devant Faustin.

- Bien sûr que ça m'excite !

- OK, relève-toi, Faustin va prendre ta place.

- Heu…

- Quoi "Heu" ? T'es venu pour ça, non ?

- Oui mais c'est quand même la première fois !

- Tu ne vas pas te dégonfler, non ? Nous serions très déçus et Anne également ? N'est-ce pas Anne ?

- Allez, vas-y tu en meurs d'envie ! Ajoute cette dernière.


Un coup d'œil circulaire, mais qui pourrait venir à son secours ? Même pas Farida qui est restée habillée et qui rigole dans son coin, attendant "sagement" qu'éventuellement on lui demande de participer.


- Peut-être qu'une petite fessée le motiverait ! Suggère Anne.


Faustin réfléchit à toute vitesse, une fessée il n'est pas contre, mais il se rend compte que ces atermoiements sont en train de tout compliquer inutilement, alors qu'il a quand même accepté de venir pour ça, alors il plonge sa bouche vers la bite à René et se met à la sucer.


L'atmosphère est de nouveau détendue. Faustin après quelques hésitations sur la technique à employer se met à effectuer des coulissage buccaux agrémentés de petits coups de langues. Il y prend rapidement goût et se dit qu'il a vraiment été con d'hésiter comme il l'a fait.


Anne et Gabrielle sont au spectacle, mais cette dernière n'est pas passive et ne cesse pas de peloter la factrice.


- On va peut-être passer à autre chose, c'était pas mal ta pipe pour un débutant. Dit René.


Il se lève, demande au jeune homme de se placer en levrette sur le tapis. Faustin a désormais balayé toutes ses hésitations et se met en position. René lui lèche un peu le cul, puis lui introduit un doigt.


- Tu aimes ça mon doigt dans ton cul ?

- Oui !

- Je vais t'enculer maintenant, tu le sais ?

- Bien sûr !

- Tu en as envie !

- Oui, j'en ai envie !

- Farida, prépare-moi ce petit cul s'il te plait.


La soubrette enlève rapidement sa tenue, et vient remplacer René derrière Faustin, elle le gratifie d'abord d'une longue et savante feuille de rose destinée à lui entrouvrir l'œillet, puis elle glisse un premier doigt, puis un deuxième, faisant pousser au jeune homme des soupirs d'aise. Elle les retire puis barbouille ensuite son anus de gel intime.


- Voilà ce petit cul est prêt, Monsieur René !

- Je vais donc pouvoir l'enculer ?

- Oui, monsieur René !


Ce dernier s'encapote, se présente à l'entrée du conduit anal, rate ses premières tentatives, mais finit par pénétrer…


- Humpf ! Dit Faustin, commentant ainsi son dépucelage anal.

- Ça va ? S'inquiète René, tout en commençant à faire des va-et-vient.

- Humpf ! Humpf !


Le début est un peu bizarre pour Faustin, mélange de douleur et de gêne. Mais René n'est pas un sauvage, il sait ce qu'il fait, et attend que le jeune homme s'habitue à ses coups de boutoirs pour accélérer la cadence.


- Ça va, c'est bon ?

- Oui, c'est bon !


René le lime ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, il se retire sans avoir joui, car il a d'autres idées en tête.


Avisant la bite de Faustin qui bandouille, il se la met en bouche afin de la faire rebander.


Faustin se demande comment un homme pourrait le remettre en érection de cette façon-là, mais René en a déjà sucé des bites, et pas qu'un peu, et il sait parfaitement faire. Une minute a sans doute suffi à rendre à Faustin sa vigueur de jeune homme. Il n'en revient pas Faustin !


Et il en revient encore moins quand René lui tend une capote, puis se met à son tour en levrette.


- A ton tour de m'enculer !


Ce n'est pas son fantasme à Faustin, il est plutôt passif, et cette perspective n'a pour lui rien d'érotique, il hésite, ne sait pas trop comment faire pour se défiler.


- Je crois que je vais en rester là, j'ai un peu mal à la tête… commence-t-il.

- Quand on est en partouse, on est parfois amené à faire des choses qu'on aime moins que d'autres, mais les convenances exigent que l'on s'y prête. Alors mon petit bonhomme tu vas nous faire plaisir, tu vas laisser tomber ton mal de tête imaginaire et tu vas immédiatement enculer mon mari ! Lui dit Gabrielle.

- Bon d'accord, mais j'ai déjà débandé…

- Ça ce n'est pas un problème ! Répond Gabrielle en mettant le membre dans sa bouche.


Une minute plus tard, la vigueur de la bite de Faustin était retrouvée, il s'encapote et sans hésiter cette fois s'en va limer le derrière de monsieur René.


- Ne jouis pas ! Lui demande Gabrielle, le final ce sera pour moi.


Voilà une perspective qui réjouit notre Faustin qui ralentit son rythme puis sur un signe de Gabrielle, décule.


- Viens, on va se régaler ! Dit cette dernière à Anne en l'invitant à lécher la bite encapotée et pas très nette du jeune homme.


Quelques minutes après, Faustin sodomisait Gabrielle. Tandis que René manifestement épuisé se faisait faire une pipe par Anne.


Voilà, nos deux bourgeois ont bien joui, Les hommes sont crevés. Alors Anne se dirige vers Farida et lui dit simplement !


- Ils sont tous "out", si on pensait enfin à nous !

- Viens dans ma chambre ! Lui répond la soubrette.

- Et si Gabrielle t'appelle ?

- Elle ne m'appellera pas ! Viens vite j'ai trop envie de toi.


Fin


Alençon, mars 2010 © Boris et Helena

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 17:55

Soubrette de Charme 8 – La visite de Guylaine par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

scat


 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

 

Il arrivait parfois que Gabrielle ma patronne me demandait de l’accompagner aux toilettes, et après qu’elle ait pissé devant moi, elle exigeait parfois que je lui nettoie la chatte avec ma langue. Je me prêtais volontiers à cette délicieuse fantaisie…

 

Et ce jour-là…

 

J’avais le matin nettoyé les toilettes, et remarquant que le dérouleur de papier était vide, j’avais pris soin de le recharger. C’est une heure après que ma maîtresse m’ordonna :

 

– Farida, rejoins-moi dans les toilettes !

 

Je n’étais pas très loin, je la vois se débarrasser de sa robe de chambre et y entrer nue, puis s’asseoir. Comme j’en ai l’habitude, je me positionne devant elle, attendant ses instructions. J’attends donc que cesse le joli petit bruit de son pipi qui clapote dans l’eau dormante, la lécher n’est jamais une corvée. Mais cette fois, elle ne me demande rien. Elle reste assise sur la cuvette et elle pousse. Voilà qui est nouveau ! En cinq semaines de services, j’ai eu droit ici à toutes sortes de choses, y compris des trucs limite scato… parce que les trous du cul que je léchais n’étaient pas toujours très propres… et puis parfois un doigt enfoncé dans un anus ressortait parfois pas très net, mais on ne m’avait rien demandé d’autre. Sur mon « questionnaire d’embauche » à la question sur cette pratique j’avais répondu « modérément » ! Je me rendais compte à présent que ce qualificatif ne voulait pas dire grand-chose.

 

J’entends deux grands ploufs qui accompagnent la chute de sa merde dans l’eau, puis un troisième, le tout accompagné de soupirs de contentement. Gabrielle se relève, je crois alors qu’elle va tirer la chasse. Non, elle me fait face :

 

– Ça fait du bien ! Me dit-elle.

– J’en suis ravi, pour vous ! Répondis-je !

– Farida !

– Oui, madame !

– Tu vas m’essuyer le cul !

– Oui madame !

 

Instinctivement, je me tourne vers le distributeur. Vide ! Bizarre ! Ma patronne a dû s’en servir pour nettoyer quelque chose ? Mais pourquoi avoir pris celui-là. Bref ce n’est pas bien grave et je vais pour prendre un nouveau rouleau dans le petit placard quand Gabrielle m’apostrophe.

 

– Qu’est-ce que tu fabriques ? Je t’ai demandé de m’essuyer, pas de fouiller partout !

– C’est que le distributeur est vide !

– Bien sûr qu’il est vide ! Puisque tu as oublié de le recharger !

 

Ah, bon, c’est ça le jeu ! OK ! Jouons !

 

– Pardon, madame, j’ai dû oublier !

– Et tu sais que ça mérite une punition ?

– Oui, madame !

 

Je me ramasse deux petites gifles. Puis Gabrielle se retourne, me présente son cul :

 

– La punition, justement, c’est que tu vas me nettoyer avec ta langue !

– Je… je ne sais pas si je vais pouvoir…

– Farida !

– Oui madame ?

– Farida, nettoie-moi le cul avec ta langue, et arrête de faire des manières !

– Je ne fais pas de manières, madame, mais je crains de bloquer.

– Farida, si je te le demande, c’est parce que je sais que tu es capable de le faire.

– Je ne sais pas, madame.

– Ce n’est pas la première fois que je te demande de me lécher le cul, même quand il n’est pas très propre.

– Oui, mais là, vous venez juste de faire !

– Et alors ? Qu’est-ce que ça change ?

– Je ne sais pas, c’est psychologique !

– Bon, alors liasse tomber la psychologie, commence par m’écarter les fesses et dis-moi comment c’est.

 

Je lui écarte les fesses

 

– Il y a des traces de merde autour de l’anus, Madame.

– Renifle-les !

 

Je le fais

 

– Alors ?

– Ben ça sent !

– Je m’en serais douté, mais ça ne t’écœure pas ?

– Non, madame, votre cul sent un peu plus fort que d’habitude, mais ce n’est pas un problème.

– Pose le bout de ta langue sur une des traces. Et dépêche-toi, je ne veux pas t’entendre !

 

Le ton est sec. Ma langue est là où elle a dit, pas de quoi s’affoler, je lèche un peu, ça va, finalement une fois le pas franchi, je sais que ça n’a rien de terrible, le goût n’a rien de repoussant même si c’est assez amer au fond de la langue. Je m’applique et non seulement en deux ou trois minutes, son cul est tout propre, mais j’avoue que cette situation m’a excitée !

 

– Et ben, dis donc, tu m’as l’air assez doué pour ce genre de tâche !

– Mais c’est un plaisir, madame de vous nettoyer les fesses !

– Tu as fini ?

 

Je vais la surprendre, la patronne

 

– L’extérieur est propre, mais si vous le désirez, je peux essayer d’entrer ma langue dans votre trou !

– Mais tu es une vraie cochonne !

– Ben, oui !

– Alors vas-y lèche !

 

J’appliquais alors ma langue sur l’anus, en forçant l’ouverture et continuait mon nettoyage avec passion. Le problème c’est que cette affaire-là m’excitait considérablement et que ne n’avais aucune idée de la façon dont je pourrais ensuite me calmer. Ce que je n’avais pas perçu de suite c’est que Gabrielle était aussi excitée que moi ! Elle interrompit brutalement mon anulingus, me prit par la main et m’entraîna dans la salle de bain, où elle me fit d’abord coucher par terre avant de se raviser.

 

– Non relève toi ! C’est moi qui vais m’allonger sur le tapis de bain, toi tu vas te mettre au-dessus de moi en soixante-neuf !

 

Ça marche, on y va ! Chic, elle va s’occuper de moi, je ne devrais pas être bien longue à réagir, mais elle veut quoi, que je continue à lui fouiller le cul, ou que je la fasse jouir aussi ? Mais au lieu de s’occuper de mon sexe, ma patronne se met à me glisser un doigt dans le cul ! C’est bien mignon, mais ce n’est pas ce que j’espérais.

 

– Et toi tu as envie ? Demande-t-elle.

– Oh, oui, je suis toute excitée !

– Ça je le vois bien tu mouilles comme un robinet, mais c’est pas ça que je te demande, je voudrais savoir si tu as une petite envie de faire caca !

– Hein ? Non, je ne crois pas !

 

Pourquoi elle me demande ça ? Elle a peur de se salir le doigt ou quoi ?

 

– Ben moi je crois que si ! Je sens bien qu’il y a quelque chose !

 

Je ne sais pas quoi lui dire, je ne sais pas ce qu’elle veut. Je ne réponds pas !

 

– Essaie de pousser ! Reprend-elle.

– De pousser ? Ici ?

– Ben oui, ici !

– Mais c’est dégoûtant !

– Je ne sais pas si c’est dégoûtant mais ça m’excite !

– Je ne pourrais jamais, madame !

– C’est un ordre, Farida !

 

Elle a pété les plombs. A la limite, ça ne me dérange pas trop, mais j’ai peur qu’un jour elle me demande la réciproque.

 

– Je crois que je vais désobéir !

– Et que tu vas t’en tirer avec une punition… Ben voyons ! Ce serait trop facile ! Alors on va faire autrement ! Ce n’est pas un ordre, Farida, je te demande de le faire pour me faire plaisir !

 

Vu comme ça, je peux peut-être faire un effort, je pousse. Mais tout ce que je réussi à faire c’est de pisser, du coup je ne pousse plus.

 

– Cochonne tu me fais pipi dessus ! Mais ne t’arrête pas pour ça, continue !

 

Bon, bon elle veut de la pisse, elle va en avoir, je ne me retiens plus et je continue à pousser. J’ai du mal, mais je me force, et j’arrive à libérer à un étron ! Je ne sais pas trop où il dégringole, mais ça a l’air de rendre Gabrielle toute joyeuse, la voilà qui me fout sa langue dans le cul alors que je ne sais même pas si j’ai fini de chier. Je ne sais pas trop quoi faire, je suis déconcentrée et mon excitation serait sans doute retombée si ma patronne ne s’était pas enfin occupée de moi de la façon que j’attendais. Du coup je pus lui rendre la pareille.

 

Gabrielle était assez intelligente pour ne pas systématiser ces fantasmes. Elle ne me refit pas de suite le coup du chargeur de papier-cul. Mais le jour où je le trouvais vide alors qui n’aurait pas dû l’être, je jouais le jeu… Ça la prenait de temps à autres et ça m’amusait. Nous n’avions, cependant pas été beaucoup plus loin que cette première fois.

 

Et puis un beau jour, il y eu la visite de Guylaine.

 

Gabrielle ne s’était livrée à aucune mise en scène, mais elle m’avait prévenu le matin :

 

– J’ai une vielle copine qui va passer. Elle est très chaude. Je pense qu’on s’enverra en l’air, en fait je le souhaite ! Elle va souvent assez loin, elle aime les jeux SM, l’uro, la scato… Il est possible que nous ayons besoin de toi !

– Bien, madame !

– La dernière fois, elle m’a dominé… Ah ! la salope, mais qu’est-ce que j’étais excité… Je pense qu’on fera autre chose aujourd’hui… Peut-être de la scato, je n’aurais pas besoin de la pousser trop… Retiens-toi d’aller à la selle, Farida, on ne sait jamais…

 

J’appréhende quand même…

 

Guylaine est une jolie femme mature, fausse blonde à lunettes, peut-être un tout petit peu forte, sans exagération et toujours souriante. Elle parle avec un langage très ampoulé que Gabrielle s’amuse à imiter. C’est assez tordant quelque part.

 

Il ne se passe pas grand-chose pendant plus d’une heure, je leur ai servi à boire, elles papotent comme des pies, ayant sans doute des tas de choses à se raconter.

 

Et puis sans doute de façon très innocente, notre invitée déclara :

 

– Je vais aller faire un petit caca aux toilettes, avec votre permission, bien entendu !

 

Le visage de Gabrielle s’éclaira. C’était l’occasion qu’elle attendait.

 

– Nous avons justement un problème, voyez-vous ils sont inutilisables aujourd’hui !

– Auriez-vous une fuite ?

– Non, c’est plus bête que ça, nous n’avons plus de papier… Mais la langue de notre soubrette le remplacera avantageusement !

– Je ne pense pas, non !

– Ma soubrette ne vous convient pas ? Répliqua Gabrielle, voyant soudain ses plans contrariés.

– Votre soubrette est tout à fait charmante, et je suis persuadée qu’elle lèche parfaitement les culs, mais la question n’est pas là !

– N’aimez-vous donc pas ce jeu ?

– Oh, que si je l’adore, mais en l’occurrence, devant une faute aussi grave vis à vis de votre invitée, ce ne peut être que la maîtresse de maison elle-même qui se doit d’accomplir cette besogne !

– Vous êtes diabolique, Guylaine !

– Je sais, alors je chie où ?

– Farida va aller vous chercher une assiette, et j’aurais ainsi le plaisir de voir votre merde sortir de votre joli cul !

– Une assiette ? Mouais ! Evidemment ! Mais je préférerais chier sur vous ! Ce serait tellement plus pervers !

– C’est comme vous voulez !

 

Après cet échange incroyable où les deux femmes s’amusaient à parler chic, j’allais donc sur instruction de ma maîtresse chercher une bâche en plastique. En revenant, je retrouvais Guylaine et Gabrielle entièrement nues.

 

– Couchez-vous Gabrielle, je vais d’abord pisser, je chierais après.

 

Un déluge jaunâtre dégringola bientôt du sexe de Guylaine qui après avoir soigneusement arrosé le corps de sa complice, visait à présent sa bouche qui s’ouvrait d’envie.

 

– Toi, la soubrette, déshabilles-toi, nous aurons sans doute besoin de toi !

 

J’obtempérais à l’ordre de Guylaine, assez inquiète de la suite des évènements. Notre invitée se pencha alors légèrement en avant et demanda à Gabrielle de se tenir derrière elle, à genoux !

 

Elle se mit à pousser, l’anus se dilata et bientôt un petit étron marron dépassa de quelques centimètres du trou de son cul.

 

– Venez Gabrielle, venez lécher ma merde !

– Guylaine vous exagérez !

– Dépêchez-vous donc, je ne vais pas rester comme cela éternellement, le reste ne demande qu’à sortir !

 

Gabrielle s’approcha alors du petit étron, mit son petit bout de langue dessus et commença à le lécher !

 

– Alors, vos impressions Gabrielle ?

– Mon impression c’est que je suis excitée comme une folle !

– Attendez, je vais en sortir encore un petit peu ! Ahhhh ! Je pousse !

– Mettez-moi cet étron dans votre bouche ! Détachez-le !

 

Gabrielle pinça le boudin merdeux à l’entrée de l’anus afin de le couper et conserva le morceau ainsi détaché entre ses lèvres !

 

– Allez, mettez tout dans la bouche !

 

Gabrielle garda quelques instants l’étron dans la bouche avant de le ressortir ! Elle s’en badigeonna alors le bas du visage.

 

– Allongez-vous, vite, il faut que je finisse.

 

Un autre morceau se fraya un chemin et se libéra, il devait bien faire quarante ou cinquante centimètres de long, il finit par se briser et atterrit sur le visage de Gabrielle en dessinant une sorte de courbe. L’incroyable c’est que ma patronne n’avait pas l’air du tout traumatisée, non au contraire elle rigolait, de façon complètement incongrue avec son étron sur la face qui n’arrivait même pas à enlaidir sa beauté naturelle.

 

– Hum ça fait du bien de chier une grosse merde ! N’est pas Gabrielle ?

– C’était un vrai plaisir de la recevoir en pleine poire, merci Guylaine, vous êtes adorable !

– Venez donc me sucer le fion au lieu de dire des sottises. 

 

scato1106

 Gabrielle se débarrasse de son encombrant cadeau et se positionne à genoux devant son invitée qui écarte ses fesses. L’endroit est tout cacateux. Mais ma patronne n’hésite pas un seul instant et viens fureter sa langue dans tout ce fouillis, les plus grosses agglomérations de matière finissent par tomber.

 

– Hum c’est un plaisir de se faire lécher l’anus par une salope telle que vous !

– Tout le plaisir est pour moi, il y a longtemps que je ne m’étais pas livrée à ce genre de fantaisies, voilà qui m’en redonne le goût ! C’est Farida qui va être contente !

– Et si vous me rendiez la politesse Gabrielle ? Il ne me déplairait pas que vous me chiiez dessus à votre tour.

– Il faudrait pour cela que j’ai quelque merde en réserve, nous allons vérifier… Farida voulez-vous vérifier s’il vous plait ?

– Pardon Madame ?

– Ben oui, tu me fous un doigt dans le trou du cul et tu me dis si tu sens quelque chose…

 

C’est de la folie pure, j’introduis un doigt dans l’anus de ma maîtresse. Effectivement on sent de la matière !

 

– Je crois bien qu’il y a quelque chose, madame !

– Est tu bien sûre ? Vérifie encore !

– J’en suis sûre !

– Fais donc voir ton doigt ! Mais il plein de merde ! Tu n’as pas honte de te présenter devant moi avec un doigt aussi dégoûtant !

– Voudriez-vous me punir, Madame ?

– Je crois bien, oui ! Nettoie ce doigt avec ta langue

 

Je suce mon doigt ! Il est vraiment très sale. Vous allez me dire que lécher un cul ou un doigt c’est pareil. Ben non parce qu’un doigt ça ne se lèche pas, ça se suce, c’est donc carrément tout dans la bouche. Mais ça va, c’est même assez excitant à faire.

 

– Alors elle est bonne ma merde ?

– Délicieuse, madame ! Répondis-je en espérant qu’elle n’allait pas m’en resservir dix fois de suite.

– La mienne est sûrement meilleure, tu vas nous dire ! Intervient alors Guylaine.

 

Elle appuie alors ses doigts sur l’étron gisant sur le plastique et me tend ses doigts. Je suce, la matière est plus compacte, mais il serait bien difficile de différencier les deux !

 

– Alors Farida ?

 

Je n’aime pas ce jeu, car je ne sais pas où il peut me mener, je réponds par une pirouette :

 

– Je préfère celle de ma Maîtresse, mais c’est sans doute parce que j’y suis habituée !

 

Gabrielle a dû sentir en moi une certaine lassitude et eut l’intelligence de ne pas me relancer. Elle revient vers sa complice de jeu. Le doigtage que je lui ai fait a dû faire entrer de l’air dans son rectum car la voici qui pète. Guylaine rigole !

 

– Vous rigolerez moins quand je vous aurais pété dans la bouche ! Réponds ma patronne.

– Chiche !

– Vous êtes vraiment dégueulasse, Guylaine !

– Je sais, mais venez donc !

 

Notre invitée se met à genoux face au fessier de Gabrielle, l’écarte, entoure de sa bouche le trou de cul et attend. J’entends d’abord un, puis un second bruit un peu étouffé ! Guylaine se recule !

 

– Sublime odeur ! J’espère que vous allez chier maintenant.

– Justement j’allais le faire, mais laissez donc votre bouche.

 

L’autre loin de se « dégonfler », recolle sa bouche au derrière de ma patronne et attend. Je ne vois rien mais devine. Gabrielle pousse, puis s’écarte, il n’y avait sans doute pas grand-chose. Guylaine entrouvre la bouche, victorieuse, laissant apparaître un bel étron qu’elle tournicote en bouche quelques instants avant de le tendre des lèvres à sa complice.

 

Puis les deux femmes s’enlacent, cela devient folie pure, elles ramassent des morceaux de merde éparpillés sur la bâche et s’en badigeonnent le corps et le visage, elles tournent et se retournent se vautrant dans ce mélange de pisse et de merde.

 

Et puis, elles semblent abandonner la scato, elles s’embrassent se cajolent, se mettent en 69, se lèchent, s’agitent, se font jouir enfin avant de s’affaler épuisées.

 

Je quitte la pièce, je n’ai plus rien à y faire, apparemment elles n’ont plus besoin de moi et n’en n’ont pas eu besoin beaucoup. C’était bien la peine de me retenir. Maintenant il faut que j’y aille ! Je m’assois sur le trône, je pousse, mais en me libérant, j’ai le réflexe d’en recueillir un petit morceau avec la main. J’hésite à le porter à mes lèvres, le fait quand même, puis le suce un moment, avant de le rejeter d’un air las.

 

Ce que fait ma patronne avec cette Guylaine pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avec moi, j’en aurais été autant capable ? Me voici jalouse, mais c’est vrai que je l’adore ma patronne. Je tends la main pour attraper le papier cul. Evidemment il n’y en a pas, je me lève, la réserve est dans un petit placard juste en face ! Vide ! Gabrielle avait donc prévu tous les scénarios possibles ! Elle m’énerve, elle m’énerve, non seulement elle fait des trucs avec les autres qu’elle aurait aussi bien pu faire avec moi mais en plus, je dois subir les conséquences de ses mises en scènes débiles.

 

Tiens, un jour je me vengerai, un jour je trouverai le moyen de l’obliger à me nettoyer le cul. Oh, mais en voilà une très bonne idée, je vais la creuser…

 

Boris (avec la complicité d’Helena) Juin 2006 (révisé en juillet 2008)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 17:51

Soubrette de charme 7 – Les chaleurs de Corinne par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

bisou1719

 

Attention : Texte réservé à un public averti, contient des passages scatologiques

Cette histoire appartient au cycle de la « soubrette de charme » mais ne nécessite pas la (re)lecture des autres épisodes de la série

Pour changer un peu, dans cet épisode ce sera moi Gabrielle, qui sera la narratrice ! Vous voulez bien ?

Corinne de la Villemoison… Je ne suis pas certaine du nom exact… (Mais comme ce n’est pas une histoire vraie et que toute coïncidence et bla-bla-bla….) Il y avait longtemps que je ne l’avais pas vu celle-ci, un an ou deux, le temps passe tellement vite, elle m’avait aidé à financer l’exposition de Funneck Bellis dans ma galerie parisienne de la rue de Seine. L’affaire avait bien marché et tout cela s’était conclu par une fête assez débridée au cours de laquelle j’avais pu assister aux ébats frénétiques de ma mécène, qui devant une assistance médusée suçait presque toutes les bites qui passaient, se faisaient enfiler et enculer à qui mieux-mieux, les femmes n’étaient pas en reste et elle avait voulu marquer un point d’honneur en m’emmenant dans une alcôve « tranquille » pour terminer la soirée. Nous ne nous étions pas revues depuis.

– Bonjour Gabrielle ! Vous êtes toujours aussi ravissante ! Mais vous êtes absolument injoignable au téléphone, ma chère ! Claironna Corinne en pénétrant dans la galerie.

Je l’accueille avec le sourire. Il me semblait bien me souvenir que le jour où elle m’avait léché la chatte, elle ne me vouvoyait pas ! Elle était aujourd’hui vêtue d’un ensemble tailleur rouge, qui devait sans doute valoir son pesant d’euros et d’un large chapeau assorti. Tout était dans la silhouette, une belle femme certes, mais rien non plus d’exceptionnel, elle avait surtout eu la chance de rencontrer un mari multimillionnaire.

– Etes-vous sûr d’avoir le bon numéro ?

La visiteuse ne répondit même pas et se lança dans un discours assez confus d’où il ressortait que celle-ci avait urgemment besoin d’un exemplaire du catalogue de cette fameuse exposition de l’année dernière, pour des raisons qui m’échappèrent un peu…

– Je dois en avoir encore quelques-uns à la maison, je vous en mets un demain ici à votre disposition… ou alors je vous l’envoie…
– C’est que j’en ai besoin ce soir !

Embêtant, ça ! Mais je n’avais aucune envie de contrarier une personne qui pouvait me rendre encore d’importants services dans le cadre de la gestion de la galerie.

– Qu’à cela ne tienne, je vais aller en chercher un de suite, en voiture j’en ai pour moins de deux heures aller et retour… Vous repassez, ou vous m’accompagnez ?
– Puisque vous me le proposez, je crois que je vais vous accompagner ?

Du coup, je me mordis les lèvres, voilà ce que c’est de faire des propositions par politesse !

Toujours est-il que quelques minutes plus tard, nous tracions toutes deux la route vers les Yvelines, là où se trouve notre domicile conjugal. Nous avons parlé de choses et d’autres pendant que l’automobile s’efforçait de sortir de la capitale embouteillée. Enfin quand je dis « parler » c’est surtout Corinne qui monologuait…

C’est en traversant la forêt de M… que la conversation prit une tout autre tournure :

– Tiens un auto-stoppeur ! Un black !

Je ne relevais pas ! Je n’avais pas l’intention de prendre qui que soit en stop, je le faisais avant, jusqu’à ce je tombe un jour sur un type dont j’avais eu un mal de chien à me débarrasser, je ne le faisais donc plus.

– On aurait dû le prendre ! Insista Corinne. A deux on ne risquait rien et je suis sûr qu’il était bien monté !
– Toujours aussi branchée sexe, à ce que je vois !
– Il n’y a que ça qui m’intéresse ! Répondit carrément Corinne ! Tiens, je ne vous ai pas raconté, la semaine dernière on m’a livré un superbe canapé, une vraie merveille ! Je l’ai payé… attendez, je l’ai payé combien ? C’est bête je ne me rappelle plus !

Je commençais à être sérieusement agacée par ma passagère, je n’en avais rien à foutre de son canapé, moi aussi j’ai de l’argent, moi aussi j’avais eu de la chance, mais au moins je n’étais pas toutes les cinq minutes en train d’étaler mon fric…

– Remarquez ça n’a aucune importance, donc on me l’a livré mardi, les livreurs étaient trois noirs, trois solides gaillards…

L’histoire de Corinne

Dingue, ils vont me rendre dingue, avec le prix qu’on paye, il est midi et la livraison qu’on devait me faire dans la matinée n’est toujours pas arrivée. Je téléphone furibarde, et on me raconte n’importe quoi, un contretemps, un concours de circonstances, pas moyen de vous avoir au téléphone, des problèmes de lignes, n’importe quoi ! Je hurle, j’invective, je menace. On me raccroche au nez, ce doit être ça la démocratie, c’est le pouvoir de raccrocher au nez de ceux qui ont de l’argent, remarquez l’un dans l’autre c’est mieux que de leur couper la tête… Cinq minutes après : coup de fil, ce n’est pas la même personne, mais on me dit que ma livraison sera chez moi dans une heure, et que pour me dédommager on m’offre une caisse de champagne, ils peuvent se les mettre au cul leurs bouteilles de champagne, je n’ai pas que ça à faire ! Quelle idée j’ai eu de payer ce truc d’avance sinon ils seraient retournés la queue basse avec leur canapé de merde dans leur putain de camion !

On sonne ! Chouette, je vais me défouler, ce sont les livreurs qui vont prendre ! Ils n’y sont pour rien, et alors, si j’ai envie d’être injuste, c’est mon droit, non ?

– Euh, bonjour Madame, il faudrait ouvrir la double porte, sinon le camion ne pourra pas rentrer !

Oups ! J’ai devant moi un superbe black d’un mètre quatre-vingts super baraqué et jovial ! Soudainement je n’ai plus envie de rouspéter. Je lui ouvre la porte, ils sont trois en fait, trois noirs, tous aussi mignons les uns que les autres. Pendant qu’ils installent tout ça, vite je me fais un plan : Je monte dans ma chambre et cherche un haut un peu décolleté, mais je ne trouve rien qui aille avec mon pantalon, je ne vais quand même pas me rhabiller complètement, alors j’ai une idée, je dégrafe tous les boutons de mon chemisier sauf un. Et je redescends, ça ne loupe pas, les mecs ils n’arrêtent pas de mater dans l’échancrure. Ils sont chauds, je peux continuer mon cinéma !

– Qu’est-ce qu’il fait chaud, vous avez dû en baver, les gars ?

Et joignant le geste à la parole, je défais le dernier bouton et envoie valser le chemisier, je suis devant ces trois magnifiques blacks en pantalon et soutien-gorge !

– Ça c’est bien vrai qu’il fait chaud ! Dit l’un deux !

Je repère celui qui me parait le plus vulnérable et lui met carrément ma main sur la braguette !

– Je crois que vous avez droit à un petit pourboire !

Les deux autres se regardent, n’ont pas l’air trop d’accord entre eux, et l’un deux dira :

– C’est comme vous voulez madame, mais moi je me contenterais d’un verre d’eau…

Merde, me dis-je, je suis tombé sur un témoin de Jéhovah !

Les deux autres ont l’air déçu !

– Si la petite dame veut nous faire plaisir, je ne vois pas pourquoi on refuserait ! Dit l’un des autres
– Si je comprends bien je suis en minorité ! Constate le buveur d’eau !
– Ben oui ! T’es en minorité
– Bon alors je m’incline, c’est cela la démocratie ! Rigole-t-il.

Je fais semblant de ne pas entendre ce mot qui fâche ! Je leur dis que je reviens tout de suite, leur demande de se déshabiller et courre dans ma chambre chercher des préservatifs ! Ouf je suis prévoyante, il m’en reste suffisamment ! En redescendant je suis subjuguée ! Ces trois corps nus devant moi, les trois bites tendues longues et vigoureuses…

– Attention, les gars, vous allez pouvoir me baiser, mais c’est moi qui organise tout, c’est bien compris, on ne me pénètre pas sans capote et quand on change de trou on change de capote aussi ! Toi tu vas me dégrafer mon soutif et tu pourras m’embrasser et me peloter les seins, toi tu m’enlèves tout le bas, et toi tu ne fais rien tu regardes mais prépare-toi, quand je vais être complètement nue, je vais te sucer !

Ce doit être psychologique, le simple fait de lui dire ça à celui-ci et sa bite devient toute raide et tandis que le premier se régale de mes seins comme s’il n’avait rien mangé depuis huit jours, que le second joue avec mes fesses mais n’ose encore s’égarer autour de mon minou, je me mets à mouiller comme une fontaine. Je délaisse mes déshabilleurs et me précipite vers celui à qui j’avais promis la fellation, j’embouche son joli sexe tout foncé et commence à le sucer tout en lui imprimant un joli mouvement d’aller et retour !

– C’est bon, hein, de se faire sucer par une bourgeoise, par une salope de bourgeoise ! Lui dis-je entre deux mouvements de bouche.
– C’est bon, madame, c’est trop bon !

Malheureusement il ne tient pas la distance et m’éjacule dans la bouche ! Dans la foulée j’indique à l’un des deux autres de se coucher par terre et de s’encapoter, je le chevauche fièrement dans la position d’Andromaque puis après quelques pistonnages je me casse en deux dégageant mon second orifice et indiquant au troisième larron qu’il peut lui aussi y aller. Il rentre facilement malgré la grosseur de son zizi ! Ils ont un peu de mal à se synchroniser, il faut que je les aide, mais finalement ça le fait ! Quelles sensations que ces deux membres qui coulissent si près l’un de l’autre, qui apportent des troubles si différents mais qu’on croirait complémentaires, je suis remplie de partout. J’ai bien fait de faire la fellation avant, trois orifices à la fois, je n’y serais pas arrivée, personne n’est parfait !

– Si vous pouviez vous débrouiller pour jouir ensemble les gars !
– Je suis presque prêt ! Dit celui du dessous !
– O.K. je ne bouge plus ! Et toi derrière ?
– Ça vient, ça vient madame !

Il ne dit plus rien, je ne sens plus que ses coups de boutoir dans le cul !

– Ça y est je vais venir ! dit-il enfin

Je reprends alors mon chevauchement, je sens mon enculeur jouir dans sa capote, je suis bien, j’aime jouir du cul, je sais que c’est psychologique, à moins qu’il y ait des relations nerveuses encore ignorées des spécialistes. Je pousse un cri de bête à jouir. Mon second amant suivra quelques secondes après.

Je me sauve dans la cuisine, je suis calmée, j’ai un beau canapé, je me suis bien éclatée, je reviens avec un verre d’eau, les mecs sont en train de se rhabiller.

– Qui c’est qui m’avait demandé un verre d’eau ?
– C’est moi !
– Mais c’est que nous aussi on aurait une petite soif ! Protestent les autres !

Du coup on a débouché une des bouteilles de la caisse que m’a offert le marchand de meubles, et vingt minutes après mes trois lascars étaient de nouveau en forme, je leur ai donc proposé de m’enculer tous les trois à tour de rôles. Je ne te dis pas l’état de mon cul quand cette affaire a été terminée !

Et je vais vous dire la meilleure : le champagne, il était dégueulasse !

Fin de l’histoire de Corinne
Retour dans la voiture de Gabrielle

– Oh la la ça m’a excité de raconter tout ça, je suis toute mouillée, vous n’auriez pas un gode dans votre boite à gants ?

En disant cela, elle a retroussé sa jupe, et écarté sur le côté le tissu de son minuscule string ! Effectivement madame est trempée.

– Ben non, je n’ai pas de gode dans ma boite à gants !
– Putain, il faut que je me calme, on va s’arrêter dans le bois et tu vas me faire un petit câlin. Propose-t-elle, passant enfin au tutoiement.
– On sera bientôt arrivé à la maison, se sera plus confortable !
– Vous me faites languir, Gabrielle, faites attention, je pourrais me venger (et c’est reparti pour le vouvoiement)
– Vous venger ?
– Vous attacher, vous fouettez, vous pincer, vous prendre avec un gode ceinture…
– Chez moi ? Vous rêvez Corinne !
– Aurais-je le droit d’essayer ?
– D’essayer, oui !
– Regarde ma chatte comme elle est trempée !
– Je sais, ça fait deux fois que tu me la montres !
– T’as vraiment rien que je puisse me foutre dans le cul ?
– Plus que 10 minutes, patientez que diable !
– Ah ! Ce que j’aimerais me faire enculer par une grosse bite en ce moment ! Tiens, si on en voit un qui fait du stop je lui demande !
– On se calme, Corinne !
– Tu sais un de mes fantasmes, c’est de faire la pute, on s’arrête et on lui demande 20 euros et on le suce !
– C’est ça et si un flic relève le numéro de ma voiture !
– Mais, non, il n’y a aucun risque ! Tiens là-bas, il fait quoi ce mec ?
– Pas du stop en tout cas ! Il doit se balader,
– Arrête-toi à sa hauteur !
– Corinne, calmez-vous !
– Gabrielle, il n’est pas dans mon intention de faire du chantage, je vous ai déjà prouvé jusqu’où pouvait aller ma collaboration professionnelle et artistique, et vous n’avez pas été perdante. Je souhaiterais que nous puissions collaborer encore à nouveau ! Je suis en ce moment parfaitement normale, je suis simplement trop excitée. Alors maintenant faites ce que vous voulez ! Et vous pouvez même me traiter de salope ! Ça vous soulagera et moi je m’en fiche !
– Salope ! Répéta alors Gabrielle en exécutant un demi-tour dans une contre allée.

J’arrêtai la voiture au niveau du black, et donnais un coup de klaxon, l’invitant à traverser !

– Si tu as la bite bien propre, je peux te faire une petite pipe ? Propose Corinne !

Le mec hésite, se renseigne sur le prix, hésite encore.

– Tu ne le regretteras pas, j’adore ça, sucer des belles queues noires pleines de foutre.
– D’accord ! Ça se passe où ?
– Je sais pas moi, sur la banquette arrière, viens, entre !
– Ah, non ! M’écriais-je, vous n’allez pas saligoter ma bagnole, je vous emmène dans le sous-bois.

On fait monter l’heureux homme à l’arrière, on s’engage dans une contre allée qui se termine en cul de sac, puis après être descendues, on emprunte un petit chemin jusqu’à une minuscule clairière. Là, Corinne demande à l’homme de s’adosser contre un arbre, puis le déculotte sans que celui-ci ne proteste !

– Oh, le beau joujou !

Le type bande un peu mou mais expose un bel organe d’une jolie couleur chocolaté. Corinne y goûte !

– Hum, un peu salé, mais pas mauvais, tu veux goûter, Gabrielle ?
– Commencez, très chère !

Je commence à m’exciter à mon tour de voir la belle bite coulisser de plus en plus raide et de plus en vite entre les lèvres gourmandes de Corinne de la Villemoison. Cette dernière finit par faire une petite pause.

– Et évidement personne n’a de préservatif, ici ! Proteste-t-elle. Vraiment dommage ! Ce que j’aurais aimé me la foutre dans le cul ! Allez Gaby, viens donc sucer cette queue, elle est trop bonne !

Je goûte à mon tour à la tige de l’homme et m’en régale, mais l’autre coquine piaffe d’impatience en se tripotant la chatte, et viens réclamer son dû. Elle reprend alors le nouveau la bite dans sa bouche mais son propriétaire n’en peut plus. Des secousses caractéristiques s’emparent du sexe qui finit par éjaculer dans la bouche de la fellatrice. Corinne finit par éloigner ses lèvres et je la remplace recueillant les dernières gouttes. Puis devant le regard subjugué du black nous nous roulons un patin d’enfer échangeant le sperme encore présent dans nos palais.

– Heu, vous pouvez me redéposer sur le bord de la route ? Demande-t-il

Un bruissement se fait alors entendre dans les buissons tout proches. Des pas craquent sur les brindilles en s’éloignant, une ombre furtive apparaît un moment suivie d’une autre avant de disparaître ! Me voilà peu rassurée, et Corinne n’est pas tranquille non plus, mais l’homme nous explique :

– C’est des voyeurs, vous n’avez rien à craindre, ils matent et c’est tout !
– Vous voulez dire qu’ils ont tout vu ? Demande Corinne.
– Il y a des chances !
– Hum ça m’excite ! Se contenta-t-elle de commenter.

Je me retins alors de dire la même chose de peur de me laisser entraîner par mon amie dans d’autres imprévisibles péripéties

On rembarque l’heureux homme qui en profite pour demander si par hasard nous n’irions pas à L…

– Non pas vraiment ! Désolé ! Ment effrontément Corinne !
– T’es vache on aurait pu l’emmener, c’est à côté ! Proteste Gabrielle une fois l’homme débarqué sur le bord de la nationale
– C’est que voyez-vous chère amie, je ne peux plus attendre ; alors vous allez gentiment retourner dans le petit chemin et vous allez me faire le plaisir de me sucer la chatte.
– Non, mais arrête, on est à cinq minutes de chez moi ! Je veux bien te lécher si tu veux, mais on sera mieux dans un plumard que dans l’herbe !
– Je ne veux pas attendre cinq minutes !
– Ah ! Et on peut savoir pourquoi ?
– Parce que j’ai envie de te dominer et que tu n’as pas à discuter !
– Tu ne me domineras pas si je ne suis pas d’accord ! Répondis-je sans trop de conviction.
– Et admettons que je te donne une bonne raison, tu accepterais ?
– Admettons !
– Parce que, tu vois, à ce petit jeu de savoir quelle est la plus salope, tu as largement gagné !
– Je ne suis pas sûre de comprendre !
– Si, moi j’ai joué à la pute pour pouvoir le sucer, toi tu l’as sucé pour rien !
– Arrête, il est où l’argent, il ne te l’a pas donné, à mon avis il attendait sagement que tu lui réclames, mais comme tu l’as pas fait…

Corinne se rend tout d’un coup compte qu’elle vient de perdre le défi qu’elle a lancé, mais ce n’est pas le genre à s’en offusquer, ce serait même celui de profiter de toutes les occasions et de retourner les situations à son avantage.

– Bon, un pari, est un pari, j’ai perdu, c’est donc à toi de me dominer ! Fais ça comme tu veux mais ne me prive pas de jouir ce serait pas gentil !

– L’enjeu, c’était que tu me domines ou que tu me domines pas, c’était pas d’inverser les rôles !
– S’il te plaît ! Gabrielle ! Maîtresse Gabrielle ! Punis-moi ! J’en ai envie !
– Bon, bon, puisque tu insistes, allez on retourne dans la contre allée. Et j’espère que les voyeurs vont revenir !
– Euh, c’est pas un peu dangereux ?
– T’inquiètes pas, j’ai toujours une bombe de lacrymogène dans mon sac au cas où !

Arrivées au premier tournant du petit chemin qu’elles empruntent, Gabrielle ordonne à Corinne de se déshabiller.

– Ici ?
– Oui, ici ! Et dépêche-toi, poufiasse !
– Mais on serait peut-être mieux dans la clairière, non ?
– Bon, alors écoute Corinne, je croyais que tu souhaitais une domination ! Alors bien sûr, tu as le droit de changer d’avis !
– Non, non, je veux toujours que tu me domines !
– O.K., mais alors, je te donne les ordres que je veux et je te parle comme je veux, d’accord ?
– D’accord, mais c’était juste une suggestion pour la clairière !
– Corinne, tu arrêtes de discutailler et tu te fous à poil ici et tout de suite.
– Oui Gabrielle !
– Maîtresse Gabrielle ! Reprit cette dernière, ce qui fit pouffer de rire Corinne, qui du coup se reçu une belle gifle en plein visage !
– Pardon Gabrielle !
– Mieux que ça !
– Pardon maîtresse Gabrielle !
– Bon alors tu te mets à poil ou tu attends l’arrivée du Tour de France ?
– Le collant aussi ?
– Tout !

Elle obtempéra.

– Qu’est-ce que je fais de mes affaires ?
– Ben tu les gardes à la main, tu ne crois quand même pas que je vais te les porter, non ? Et tu passes devant !

Enfin, on se mit à avancer, mais en étant incapables de retrouver la clairière de tout à l’heure. Sans doute n’avions-nous pas pris le bon chemin à un moment ou à un autre ?

Et soudain, un mec débouche devant nous. Corinne fait ce qu’elle peut pour cacher sa nudité. On se croise, on se serre pour le faire ! Corinne réalise que le type a désormais une vue imprenable sur ses fesses. Par réflexe, elle regarde en arrière. Le type a pilé et s’en fout plein la vue ! Je l’apostrophe :

– Si tu veux mater, tu mates, et tu nous suis de loin, mais tu mates et c’est tout !

Il ne répond pas mais semble avoir très bien compris le message.

Quelques minutes plus tard, on finit par découvrir une nouvelle clairière, l’inconnu se fige alors à une douzaine de mètres de nous, tout émoustillé par ce qu’il avait déjà vu !

– Tu te mets à quatre pattes ici et tu ne bouges plus !

Corinne s’installa gauchement comme on lui ordonnait de le faire !

– Mais, pas comme ça ! Qu’est-ce que tu t’imagines qu’on va faire ? Jouer à saute-moutons ? Ecarte un peu les jambes et relève tes grosses fesses de salope ! Allez, mieux que ça ! Bon je reviens tout de suite !

Je me dirige alors vers un jeune noisetier duquel je détache une petite branche, j’en retire toutes les feuilles, puis je reviens vers ma compagne de jeu tester cette badine improvisée ! J’ajuste mon coup et le fait claquer sur les fesses de Corinne :

– Aïe !
– Qu’est-ce qu’il y a, c’est trop fort ?
– Non ça va, tu peux continuer !
– Un peu que je vais continuer, et je ne veux plus t’entendre.

Une demi-douzaine de coups s’abat sur les jolies fesses de madame de la Villemoison qui s’efforça alors de ne point broncher !

– Alors ? T’aimes ça que je te fouette, le cul, salope ? Ton gros cul de poufiasse ?
– Encore un peu ! Se contenta de répondre l’intéressée.
– Et toi là-bas rapproche-toi donc un petit peu, on ne va pas te bouffer !

L’homme hésite, finit par se rapprocher.

– T’aimerais bien être à sa place ? Hein ? T’aimerais ça que je te fouette le cul ?
– Heu, non, ce que j’aime bien c’est juste regarder… parvient-il péniblement à articuler.
– Ah, ouais ? Et si je t’autorise à caresser ma copine, tu vas refuser aussi ?

Le type parait de plus en plus gêné :

– Heu, la caresser un peu, je veux bien…
– C’est 20 euros les caresses !
– Pipe comprise, si tu as la bite propre ! Ajoute Corinne.
– Toi, la pétasse, on ne t’a rien demandé !

Le voyeur semble indécis, il finit par se reculer :

– Je vais voir ! Je ne sais pas ! Mais je peux continuer à vous regarder ?
– Fais ce que tu veux, mais une occasion comme ça, tu n’es pas prêt d’en retrouver une ! 20 euros pour caresser une aussi belle pute, moi à ta place je n’hésiterais pas !

Le mec se retourne, fouille dans ses poches, revient et me tend un billet,

Je le coince dans mon bracelet-montre !

– O.K. ! Caresse-lui les fesses, mais avant tu vas te mettre la bite à l’air !

Il bande joliment et commence à tripoter le cul de Corinne avec une frénésie assez hilarante.

– Lèche !

L’inconnu ne se le fait pas dire deux fois et se met à embrasser le fondement de la bourgeoise. Je suis de plus en plus excitée et je ne sais pas ce qui me retient de m’emparer de cette belle verge au gland luisant qui semble me narguer.

– Je ne t’ai pas dit d’embrasser, je t’ai dit de lécher ! Allez mieux que ça ! Je veux que ces fesses soient barbouillées de salive ! Et toi, ma salope, ça te plaît de te faire lécher le cul par n’importe qui ?
– Oui ! Continue, fais-moi ce que tu veux… Mais tout à l’heure j’aurais ma revanche !

J’avais presque oublié cette évidence ! Il me faudra donc essayer de ne pas aller trop loin !

– Lèche lui le trou du cul, maintenant !

Il se passe alors quelque chose de curieux. Le type commence à vouloir exécuter ce que je lui demande sans aucun problème, puis il a un mouvement de recul !

– Ben quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– J’aime pas trop ça ! Répondit-il d’une voix presque inaudible.

Parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre, mais là je crois bien avoir trouvé la clé de l’énigme ! Je prends la place du mec et j’approche ma langue du trou du cul de Corinne, ça ne sent pas vraiment la rose, mais moi ça ne me dérange pas du tout, ces odeurs intimes me rendent folles ! Non seulement ça sent, mais mademoiselle a dû s’essuyer avec un timbre-poste car quelques traces pas vraiment nettes entourent son trou de balle ! Voilà qui m’excite encore davantage, mais il faut aussi que je reste dans mon rôle :

– Ben quoi, il y a une petite odeur ! C’est pas pire que de bouffer du reblochon ! Enfin, bon, c’est toi le client, tu as payé ! Mets-toi devant elle, elle va te sucer la bite !

Le gars semble tout heureux que l’affaire se conclue de la sorte, et tandis que Corinne se met à pomper le sexe bandé du voyeur, j’ai repris ma badine et recommence à lui cingler les fesses !

– T’es vraiment qu’une salope, tu fais la bourgeoise avec tes fringues de luxe et tes bijoux, et t’es même pas capable de t’essuyer le cul correctement ! Et qui c’est qui va être obligé de nettoyer tout ça c’est Gabrielle !
– Pas si fort ! Répond cette dernière !
– Tais-toi et suce !
– Il n’y a plus rien à sucer, il n’a pas tenu la distance !

sousbois4Effectivement, le voyeur est en train de s’essuyer le sexe avec un kleenex, se demandant ce qu’il doit faire maintenant !

– C’était bien, elle t’a bien sucé ?
– Oui ! Dit-il simplement en esquissant un petit sourire et en opinant du chef.
– Bon tu peux continuer à regarder, mais tu ne touches plus ! Toi, Corinne tu vas t’allonger par terre, sur le dos !
– Attends, je vais toute me dégueulasser, tu n’aurais pas un truc dans la voiture, une serviette, une bâche…
– Tu ne veux pas un lit à baldaquins non plus, aller, allonge-toi, tu prendras une douche chez moi ! Ou alors on arrête, c’est comme tu le sens !

Corinne obtempéra :

– Qu’est-ce que tu l’intention de me faire ?
– Je vais te pisser dessus !
– Non ?
– Si !

Je retire mon pantalon et ma culotte, j’ai tout l’entrejambe trempé ! Heureusement que je ne me suis pas habillée en clair ! Je place mes jambes de part et d’autre de son corps, et j’ai d’abord l’idée de l’arroser « en fontaine », mais la vue de ses seins me fait faire une diversion ! L’image est magnifique, deux petits seins bronzés luisants de sueur, les tétons ocres insolemment redressés, je me penche vers eux, les caresse, serre les pointes de mes doigts, les mordille… J’aurais volontiers continué ce jeu, mais l’envie d’uriner me tenaille trop ! Je m’accroupis donc, ma chatte à quelques centimètres de sa bouche ! Elle est déjà ouverte :

– Tu vas tout boire !
– Oui !
– Je te préviens, il y a la dose !
– Pisse !

C’est parti ! Directement les grandes eaux, je n’essaie même pas de contrôler mon débit. Corinne avale ce peut qu’elle peut, le reste dégouline sur son visage, sur son cou, mais elle se régale !

– Y’en a plus ? Demande-t-elle alors que j’avais terminé !
– Ben non !
– Hum, regarde-moi ça, je m’en suis foutue partout, mais bon, ça valait le coup, il est délicieux ton pipi !
– C’est vrai, ça ?
– Embrasse-moi, tu verras bien !

Bien sûr que je l’embrasse ! Délicieuse sensation que le contact de cette langue encore imprégnée d’urine ! Le baiser est long mais ne nous apaise pas !

– Je suis en train de me demander si je n’ai pas envie de faire caca ! Lui confiais-je.
– Eh bien vas-y !
– Je fais ça où ?
– Ou tu veux, mais ne te gêne pas pour moi !
– Tu veux regarder ?
– Oui pourquoi pas ?
– Tu veux voir ma merde sortir de mon cul, c’est ça ?
– Ça doit être génial !
– Mais pour m’essuyer…
– Je m’en chargerais répond Corinne, vas-y chie, ma chérie, fais-moi un gros boudin.

Je pousse, Corinne a placé sa main dans la trajectoire et récupère mon étron, elle en détache un petit morceau qu’elle garde au creux de sa main. Je me redresse et lui offre mon cul à nettoyer. Je sens sa langue qui me titille le cul, ça me chatouille.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta merde ! commente-t-elle.

Elle prend le bout d’étron qu’elle avait gardé dans sa main et le place entre ses lèvres et me fais face. J’ai compris, nos bouches s’approchent et nous nous sommes embrassées comme cela avec l’étron qui se baladait d’une bouche à l’autre.

– On est vraiment dégueulasse !
– On ne fait de mal à personne ! Répondis-je.
– Fais-moi jouir ! Quémande Corinne.
– Moi aussi j’ai envie de jouir ! On fonce à la maison, un peu de confort ce ne sera pas plus mal !
– Cruelle !
– Tu te rhabilleras dans la bagnole, je dois avoir une boite de kleenex pour t’essuyer un peu.
– Et notre voyeur ?
– Disparu !
– Oh c’est quoi ces gémissements ?
– On dirait un chien qui geint !

On va voir et effectivement on découvre un labrador blanc dont la laisse est attachée après d’un tronc d’arbre.

– Il y a quand même des salauds graves ! Rouspète Corinne

Je vais pas lui donner tort, j’ai horreur qu’on fasse souffrir des bêtes.

– Heureusement qu’il a plu, sinon, il serait mort de soif ! Me dit Corinne en détachant la bestiole qui manifeste sa joie en lui sautant au coup

– On se calme on se calme !
– Qu’est-ce qu’on va en faire ?
– Ben on va l’emmener, le nourrir et ensuite, je ne sais pas, on le conduira à la SPA ! Répond Corinne qi a décidément réponse à tout
– Je vais le nourrir avec quoi ? Je ne vais pas aller acheter des croquettes dans l’état où on est…
– T’as des boites pour ton chat, non ?

Je vous dis, elle a réponse à tout.

2ème partie

– On arrive à la maison dans cinq minutes ! On va être tranquille, c’est le jour de congé de la petite bonne ! Remarque d’un autre côté, c’est dommage parce qu’elle est très délurée…

Je commande l’ouverture de la grille, et là : surprise : la voiture de mon mari ! Je pense d’abord au pire !

– Reste dans la bagnole, je vais voir !

Je cours, je me précipite. Mais seconde surprise, mon époux qui m’a entendu arriver m’ouvre la porte du perron !

– René ! Tu m’as fait peur ! Il y a un problème ? Demandai-je !
– Non pas du tout, mais je ne t’attendais pas si tôt ! J’ai emmené un type que j’ai rencontré ce midi au boulot, on s’est découvert quelques affinités et disons que je voulais en profiter un peu !
– Je vois ! Monsieur profite de l’absence de madame pour me tromper avec un mec, c’est du propre ! Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.
– Tu ne vas pas nous faire une crise… mais il y a quelqu’un dans ta voiture ?
– Oui, je suis avec Corinne de la Villemoison, la nana qui a financé l’une de mes dernières expos ! Et figure-toi que moi aussi j’ai quelques affinités avec elle et que je voulais en profiter !
– Bon comment on fait ? Tu ne peux pas aller faire tes galipettes à l’hôtel ?
– Impossible, on a un peu fait les folles dans la nature, faut qu’elle se rebichonne !
– C’est vrai que tu m’as l’air d’être dans un drôle d’état.
– Ben oui, on a trouvé un chien, il est affamé, ça t’embête du lui ouvrir un boite pour le chat.
– Non mais attend, je veux pas qu’il fasse du mal à notre chat !
– C’est provisoire tout ça., ne t’inquiètes pas
– Bon O.K. je vais te céder la place et m’occuper du chien, mais viens et fait entrer ton amie, on est entre gens civilisés !

Certes, mais je me suis demandé à ce moment-là si mon mari n’avait pas quelques arrière-pensées partouzardes. A priori, j’étais plutôt contre ! Je n’ai rien contre l’amour de groupe, mais il se trouve qu’en ce moment j’avais envie de prolonger le trip sexuel avec Corinne sans interférence d’aucune sorte ! Mais bon… Je prévenais ma complice de la situation, elle commença par me faire une comédie, arguant qu’elle n’était pas présentable…

– Mon maquillage est à refaire, et j’ai de la pisse dans les cheveux…

Je réussis tout de même à la convaincre de sortir de la voiture

– Ah ! Corinne ! Permettez que je vous appelle Corinne, l’interpelle mon mari, soyez la bienvenue, j’ai encore bien sûr le souvenir de cet inoubliable vernissage ! Mon seul regret c’est de ne pas avoir pu vous approcher !
– Et bien dommage que vous soyez, à ce que viens de le dire Gabrielle, très occupé, sinon nous aurions pu faire une séance de rattrapage !

Insatiable, décidément, la Corinne !

On entre ! René, mon mari nous présente son invité ! Un mec dans la trentaine, blond, yeux bleus, allure sportive, bel homme, il se prénomme Denis.

– Je ne suis pas présentable, je vais prendre une douche et je reviens, c’est où ?

Je me dis que la douche va peut-être la calmer, mais moi je ne le suis pas… calmée.

– Vous voyez, j’avais déjà sorti le champagne, je vais chercher deux coupes supplémentaires, on va trinquer, puis Denis et moi, vous laisserons la place, Mesdames.

En attendant Corinne, René s’occupe de nourrir le chien, me laissant seul avec le Denis qui ne pipe pas un mot. Charmant ! Quand René reviens c’est pour me raconter des trucs de son boulot dont je me fiche un peu.

J’en ai marre d’attendre Corinne, je monte dans la salle de bain, elle est en train de s’essayer.

– Ça m’a fait du bien une bonne douche, maintenant il faut que je me remaquille.

Ben voyons.

Je me douche à mon tour, une fois terminée la Corinne est toujours à poil.

– Tu pourrais me prêter des fringues, ceux-là sont bon pour la machine à laver ! Je passerais te les rendre à la galerie la semaine prochaine.

Bien sûr que je vais lui prêter des fringues, mais pour l’instant on est là toutes les deux à poils et on ne peut s’empêcher de se peloter. Quelle idée il a eu le René de se pointer avec l’autre abruti.

– On est un peu obligé de descendre trinquer, mais je vais m’arranger pour abréger les choses ! Prévins-je ma complice.

– On trinque à quoi ? Demandais-je malicieusement en levant mon verre !

– A la vie, aux plaisirs de la vie ! Répond mon mari !
– … Au sexe ! Ajoute Corinne !

Incorrigible !

Puis quelques instants plus tard tandis qu’un ange passe c’est encore elle qui cherche à rompre la glace :

– Alors comme ça, vous êtes bisexuel ! Dit-elle s’adressant à mon époux, félicitations, voilà une belle manifestation d’ouverture d’esprit ! J’apprécie beaucoup !

C’est ce qui s’appelle foutre les pieds dans le plat ! René ne répond pas se contentant d’approuver d’un signe de tête accompagné d’un large sourire.

– Et vous monsieur ? Continue-t-elle nullement gênée en s’adressant à Denis.
– A quoi bon les étiquettes, à quoi bon tout classer, mais on peut sans doute dire que je suis bi, même si c’est un peu simplificateur !

Il manque un peu de décontraction et de naturel, ce mec, pensais-je à ce moment-là !

– Moi, ça m’excite de voir deux mecs ensemble se faire des trucs ! Reprend notre bavarde.

Pas de réponse, mais sourire entendu des deux hommes.

– Ça ne vous dirait pas de vous faire une petite pipe devant nous, juste une petite ?

J’ai vraiment à ce moment-là, l’impression qu’elle va se faire renvoyer dans ses cordes…

– Je n’ai pas trop l’habitude de faire ce genre de choses en public, mais… Répond Denis en souriant.

Puis il chuchote quelque chose à l’oreille de mon époux qui à son tour affiche un visage rigolard.

– C’est vrai ça vous plairait ? Demande ce dernier.

Corinne approuve bien sûr, moi aussi, plus d’ailleurs pour faire plaisir à ma complice du moment que pour autre chose, parce qu’en ce qui me concerne j’ai déjà eu l’occasion, des tas de fois de regarder mon époux en situation avec d’autres hommes. Je sais donc sa passion pour les belles queues plus que pour les mâles, je sais aussi sa bouche gourmande et son trou du cul accueillant.

Alors René place sa main sur la braguette du bellâtre et se met à masser l’endroit afin qu’il prenne du volume. Puis d’un geste vif, la fermeture éclair est ouverte, la main pénètre dans l’ouverture ainsi libérée, se livre à quelques caresses complémentaires, tire ensuite la lisière du caleçon fini de la baisser légèrement et libère le membre ! Un bien beau membre, je dois dire, un joli cylindre bien droit et plutôt pale, terminé par un joli gland violacé et luisant.

– Humm qu’il est beau ! S’exclame Corinne

Je me fais la réflexion qu’on en est quand même à notre troisième bite de l’après-midi !

René la masturbe un petit peu, puis il s’accroupit afin de la mettre dans sa bouche. Tout en suçant, il lui déboucle sa ceinture pour pouvoir baisser son pantalon et avoir plus d’aises. Du coup nous découvrons ses fesses qui sont tout à fait dans mes goûts.

René poursuit sa fellation par de réguliers mouvements de va-et-vient buccaux, il se régale, et l’autre semble heureux comme un pape, le visage tourné vers le ciel, les yeux mi-clos, l’air béat ! Puis brusquement tout s’arrête !

– Voilà, le spectacle a-t-il plu à ces dames ? Demande mon mari.
– Super, répond Corinne, c’était court mais super… C’est juste dommage que…

Mais ces messieurs ne l’écoutent pas. J’entends Denis demander « encore un peu ! », puis ils complotent je ne sais quoi mezzo voce, et de façon tout à fait inattendue, René reprend sa fellation !

– Putain, ça m’excite ! Me murmure Corinne

Moi, ce qui m’embête, c’est justement l’attitude de cette nana, je sens qu’elle brûle d’envie de participer aux ébats de ces messieurs prenant ainsi le risque de se faire ramasser, mais de plus, mes projets de continuer à faire des trucs avec elle ne deviennent plus très clairs !

Denis chuchote de nouveau quelques paroles inaudibles. Du coup mon époux cesse sa fellation et se redresse ! J’ai, un très court instant l’espoir qu’ils aillent terminer leur duo ailleurs et nous laisser ainsi le champ libre. Mais non, c’est le contraire, ces messieurs entreprennent de se déshabiller méticuleusement en rangeant bien leurs vêtements respectifs sur des sièges ! Les voilà tous nus, Denis a conservé ses chaussettes, d’incroyables chaussettes fantaisies avec la « panthère rose », ça m’a toujours amusé ces hommes « en quéquette et en chaussettes » voulant sans doute par cet oubli volontaire marquer leur comportement du moment !

Et voilà que René reprend une nouvelle fois sa position, je comprends, certes, qu’il ne se lasse pas de ce bel engin, mais ils pourraient tout de même varier les positions, ça va devenir lassant cette affaire-là !

– Hum ! Qu’elle doit être bonne, cette belle bite, j’aimerais bien y goûter juste un petit peu !

Ça y est la Corinne va se faire ramasser me dis-je ! Mais les choses ne se déroulent jamais comme on le croit !

– Attend je vais faire un truc ! Dis Denis à l’adresse de mon mari !

Ce dernier se dégage, et son invité se dirige alors vers la table !

– Tu permets que je trempe mon sexe dans le champagne ? Demande-t-il
– Je t’en prie, fais comme chez toi !

Il le fait donc et s’adressant à Corinne !

– Tenez, je vous offre un boudoir !

Elle n’y va pas, elle se précipite, et en un instant, la voici à genoux à côté de mon homme en train de sucer la queue champagnisée du bellâtre !

J’ai un peu l’air conne, toute seule dans mon coin. Je décide pourtant d’y rester, si on m’invite à me joindre à la sucette partie, j’irais mais sinon je reste là !

Denis retrempe une seconde fois sa queue dans le champagne, mais il éconduit sèchement Corinne qui y aurait bien goûté de nouveau !

– Je vous ai fait goûter, mais cette fois, tout est pour lui ! Clame-t-il du haut de sa suffisance.

Vexée, elle s’éloigne en haussant ostensiblement les épaules. Elle s’apprête à me dire quelque chose mais le beau gosse fait à mon mari une suggestion à haute voix !

– Ce qui me plairait bien, c’est de te prendre le cul pendant que tu suces ta femme, ça te dirait ?

Par contre, moi, on me demande pas « si ça me dirait », c’est quoi cette mentalité ?

– T’es d’accord chérie ?

C’est René qui me pose la question, pas l’autre !

– Tourne-toi, elle va venir ! Reprend le blondinet

C’est ça, j’ai l’impression qu’ils vont m’attendre longtemps ! René s’est arc-bouté sur le canapé, l’autre lui badigeonne le trou du cul avec du gel, puis approche son engin, la pénétration est rapide, mais il est vrai que mon mari est un habitué des introductions anales.

– Viens dans ma chambre ! Chuchotais-je alors à Corinne.
– Quel con ce mec ! S’exclama-t-elle quelques instants plus tard !
– Personne n’est parfait, répondis-je simplement, ne souhaitant pas dévoiler le fond de ma pensée !

Con oui, car il se permet de faire des propositions me concernant en demandant à mon mari plutôt qu’à moi, comme si je n’étais qu’un vulgaire objet. Con parce qu’il a envoyé bouler Corinne, c’est moins évident ! Tout le monde a le droit de choisir ses partenaires ! Tout le monde a le droit de dire « non » ! Mais il aurait pu le faire avec tact.

On se déshabille dans la chambre, je me sens un peu fatiguée par tout ça, et mon excitation est un peu retombée, mais je sais aussi qu’il me suffirait de peu de choses pour que ça redémarre !

Et tandis que Corinne s’est débarrassée de ses vêtements et de ses sous-vêtements à une vitesse fulgurante, je prends plaisir à paresser, me voici exhibant un petit ensemble string et soutien-gorge en fine dentelle transparente…

– C’est super joli, ton truc, tu l’as acheté où ?

…Et nous voilà parti à papoter chiffons pendant cinq minutes ! Je vais pour retirer le haut !

– Tss tss ! C’est moi qui vais te l’enlever, tu veux ?
– Je t’en prie !

Elle passe derrière moi ! Me flatte les fesses, me les complimente, me les embrasse, puis elle descend le string tout cela sans changer de place, elle se baisse, écarte mes globes fessiers, et sa langue vient alors explorer mon intimité arrière ! Voici une caresse que j’adore

– Dis donc, tout à l’heure tu m’as dit que j’avais le cul qui sentait ! Tu n’as pas senti le tien ?
– Ben non, je ne suis pas contorsionniste !
– Bon alors je vais te faire sentir !

Elle m’introduit alors un doigt préalablement humecté de sa salive dans mon anus, le fait aller et venir à l’intérieur, puis me le fout sous le nez !

– Ben quoi ça sent le cul ? C’est une odeur naturelle, non ?
– O.K., vive la nature !
– En tous les cas, ta langue, elle a l’air de drôlement l’aimer, la nature…

Elle continue, quelques minutes et autant vous dire que mon excitation est revenue au grand galop. Puis elle se redresse, me dégrafe mon soutien, et me caresse le dos quelques instants avant de me masser la nuque. Le miroir de la penderie renvoie nos images et je trouve ça très troublant. Elle finit par m’empaumer les seins, les malaxer sans douceur excessive. Un moment ses doigts s’écartent puis se resserrent en tenailles sur le bout de mes mamelons. La pression est forte.

– T’aimes ça qu’on te les serre !
– J’adore, mais pour l’instant tu ne serres pas vraiment !
– Tu te fous de moi ! Et comme ça, c’est mieux ?

Cette fois elle les a pris entre le pouce et l’index et les a pressés comme une dingue ! Je pousse un gémissement. Corinne me contourne, pose sa bouche sur mon téton droit et lui donne quelques petits coups de langue tout en pinçant le gauche. Elle me le suce maintenant, je devrais dire, elle me l’aspire avant de rapprocher ses dents ! Un peu peur qu’elle me morde trop fort, mais mademoiselle a l’air de savoir ce qu’elle fait, elle continue de mordiller, puis, histoire de ne pas faire de jaloux, elle passe à l’autre. Je mouille comme une éponge, j’ai envie de jouir, là maintenant, tout de suite. Je ne peux m’empêcher de porter ma main sur mon sexe et de frôler mon clito brûlant.

– Ben dit donc, qu’est-ce que tu fais petite vicieuse ?
– D’après toi ?
– Laisse, je m’en occupe, couche-toi sur le lit !

Et la voici entre mes jambes…

– Et ben dis donc, toi, quand tu mouilles, tu mouilles !

Je sens que ce sera rapide, même si elle a la bonne idée de varier ses mouvements de langues afin de ne pas solliciter en permanence mon clitoris. Mais il vient vite un moment où ce n’est plus la persistance du plaisir qui m’intéresse mais son aboutissement :

– Continue comme ça, n’arrête pas !

Message reçu ! Je me cramponne au couvre-lit et essaie sans succès d’étouffer le cri de mon plaisir.

Corinne est restée entre mes cuisses, mais a abandonné mon sexe, s’abreuvant gloutonnement des ruissellements de ma jouissance.

Après le plaisir, j’ai besoin qu’on me dorlote, j’ai toujours fonctionné comme ça ! Mais l’idée n’a pas l’air d’effleurer ma partenaire, il va falloir que je lui dise :

– Viens me faire un bisou !

Ça y est, elle s’allonge contre moi, j’ai tout son corps contre le mien, je me sens terriblement bien. Nos langues se trouvent et le baiser m’apaise. Je ferme les yeux… Coup de barre, je ne vais quand même pas me mettre à ronfler… Si…

Une secousse ! J’émerge ! Qu’est ce qui se passe ?

– Gaby, il va falloir que j’y aille !
– J’ai dormi longtemps ?
– Vingt minutes !
– O.K., on va y aller, tu as fait quoi pendant ce temps-là ?
– J’ai somnolé, on va dans ta salle de bains ?
– Tu veux reprendre une douche
– Non c’est moi qui vais t’en offrir une, une douche dorée !

Je fais couler un fond de bain dans la baignoire et on va pour s’y installer

– Tu sais, Gaby, je me retiens de faire pipi depuis tout à l’heure, je me suis dit que ça te ferait plaisir d’en profiter ?
– Je ne refuse jamais un cadeau !
– Et tu le veux comment mon cadeau ?
– Hum… je veux le boire !
– O.K., assis toi dans l’eau, mais je te préviens, il va y avoir la dose !
– Tant mieux, allez, ramène-toi !

Debout, très proche de moi, sa chatte à trente centimètres de mon visage, Corinne commence à pisser, elle ne vise pas mon visage, mais mon buste. Douce, chaude et troublante sensation, mais j’aime en ces jeux aller jusqu’au bout de cette innocente perversité, ma bouche se place sur la trajectoire du jet et j’avale ce que je peux de cette source dorée !

On s’est embrassées, on s’est mutuellement savonnées, rincées, séchées

– Bon, je te laisse finir, pendant ce temps-là je vais chercher ton catalogue, et après je te raccompagne !
– Tu vas retourner à la galerie !
– Je ne sais pas, je suis un peu crevée !
– Appelle moi un taxi alors !
– Non, non, je te raccompagne, de toute façon, j’ai une course à faire ! Je te laisserais à une station de métro…
– De bus, plutôt, je ne prends jamais le métro !
– Il ne faut jamais dire jamais, mais O.K. pour la station de bus !

On a croisé en bas, mon mari et l’autre zigoto. Ces messieurs s’étaient rhabillés et sages comme des images étaient affairés devant la bibliothèque.

– On va s’en aller ! Me dit René.
– Ah ! Au revoir monsieur René ! lui dit Corinne, faisant exprès de ne pas saluer l’autre bonhomme.

Ils auraient pu ranger les bouquins, c’est quoi ce bordel sur la table ? M’agaçais-je.

– Des bousin de quoi ? Demande Corinne.
– Ce sont des bouquins sur la marine à voile, mon mari en a toute une collection.
– La marine à voile, tiens, tiens, et sur la marine à vapeur il n’a rien ?
– Si justement ! Répondis-je désamorçant la suite de cette plaisanterie vaseuse.

On arrive dans la cour pour découvrir un spectacle ravissant, le chat de la maison est en train de roupiller entre les pattes du labrador.

– Oh les braves bêtes.

Mais notre présence à réveille le chien qui vient faire la fête à Corinne.

– Il est adorable ce toutou ! Dis-moi Gaby tu as déjà essayé avec un chien ?
– Essayé quoi ?
– Ben, de baiser !
– Ah, non, j’ai fait pas mal de choses, mais pas ça !
– Et ça te dirais ?
– Je ne sais pas trop.
– Tu veux me regarder ?
– Te regarde, je veux bien
– On va s’installer sur les transats, là-bas

On y va, Corinne se débarrasse des vêtements que je viens gentiment de lui prêter, la voilà à poil sur le transat, les jambes écartées.

– Viens mon toutou ! Viens lécher tata Corinne !

Et le chine se met à lécher la chatte de Corinne en donnant de grands coups de langues répétitifs.

– Oh ! Quelle langue il a ce chien ! Mais c’est qu’il va me faire jouir le clébard vicieux ! Aaaah !

Elle repousse le chien ! La démonstration serait déjà terminée ? Pas du tout, Corinne se retourne et tends ses fesses.

– Allez chien, chien, maintenant lèche moi mon cul !

Mais le chien comprend d’ordre de travers, il s’élance bite en avant et cherche à pénétrer Corinne quine devait s’attendre à cela si tôt.

– Mais attends toutou !

Elle parvient à s’en dépêtrer, amis avec du mal.

– Attire le vers toi, Gaby que je souffle un peu.

Elle en a de bonne, elle, j’appelle le chien à grand renfort de Tss-tss puisqu’on ne sait comme il s’appelle. Il arrive, je le caresse.

– Essaie de te faire lécher ! Tu verras, c’est géant ! Me nargue Corinne.

Je le fais ou je ne le fais pas ? Finalement je n’ai pas hésité longtemps, j’ai baissé mon futal et mon string et laissé le chien me lécher. Effectivement la sensation est terrible, non seulement sa langue est targe parvenant à recouvrir toutes les zones sensible de mon sexe, mais on le dirait monté sur plies tellement il s’active.

Corinne se relève, vient vers moi et passe sa main sous le ventre du chien lui faisant ressortir son sexe dégoulinant, par l’arrière, puis comme si elle avait fait ça tout sa vie se met à le sucer. Elle m’invite à la rejoindre.

Si je n’avais été excitée je ne l’aurais pas fait, mais là, j’ai à peine hésité et me voilà avec la bite d’un chien dans la bouche ! Quand je vais raconter ça à René, il va tomber du placard.

Corinne a voulu aller jusqu’u bout, et s’est mise en levrette son magnifique croupion relevé exposant impudiquement ses deux orifices trempés. Le chien l’a donc sauté. Pas moi, mais j’essaierais un de ces jours !

– Pauvre bête, j’espère que quelqu’un l’adoptera à la SPA ! Me dit Corinne
– Pas de SPA, je crois que je vais le garder ! Lui répondis-je

Nous prenons à nouveau la route qui traverse le petit bois !

– Tu crois qu’il y a encore des mecs qui traînent dans le bois ?
– Je n’en sais rien, mais je suppose que oui !
– On va voir ! Je sucerais bien encore une ou deux belles bites pour finir l’après-midi !
– Corinne !

Fin de l’épisode

PS : Farida, la soubrette de charme qui donne son nom à la série n’est pas présente dans ce chapitre, mais n’ayez crainte nous la retrouverons avec grand plaisir dans les prochains épisodes

Hélène Sevigsky et Boris Vasslan. Paris et Alençon Juillet 2005

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 17:48

Soubrette de Charme 6 – Quatre couples et une soubrette par Hélèna et Boris

zmaid2

Ce chapitre 6 de « Soubrette de charme » peut se lire indépendamment des chapitres précédents…

 

En cette fin d’après-midi d’un samedi de mai, les nuages qui avaient menacé l’Ile de France tout au long de la journée se raréfiaient, aucune pluie n’était tombée, et le début de soirée serait probablement bleu.

 

Pour la deuxième fois, ils se rendent dans la propriété de Gabrielle et de René. Eric a promis à son épouse que cette fois-ci, il ne ferait pas son timide et qu’il oserait aller jusqu’au bout de ses fantasmes.

 

– C’est bien vrai ? Tu ne vas pas me décevoir, j’espère ? Lui demanda à nouveau Julia avec un air malicieux…

 

Holà ! Stop ! Mais c’est qui tous ces gens-là ?

 

Julie et Eric forme un couple d’une trentaine d’années, physiquement ils sont, on va dire dans la moyenne, lui est châtain clair, petites lunettes, elle, toujours le sourire, la peau très claire, des cheveux « partout », des yeux bleus et un éternel et désarmant sourire, et nous n’épiloguerons pas sur les formes car elles sont moyennes (ce qui ne veut pas dire quelconque). Ils sont tous les deux employés dans une compagnie d’assurance et se sont connus classiquement au bureau et charnellement dans le local des archives

 

Amoureux du sexe, ils ont déjà eu des expériences échangistes, mais cette fois ils avaient répondu à une annonce un peu différente sur le Web :

 

« Couple mature, bien conservé, bon milieu social, possédant grande propriété avec piscine, cherche autres couples pour catalogues de perversions dans le respect mutuel et la décontraction. Bi bienvenus, mais non obligatoires. (Niveau social, couleur de peau et âge indifférent). Envoyez photos etc… »

 

C’est sans doute l’expression « catalogue de perversions » qui avait servi de détonateur : « C’est quoi ? » avait demandé Eric. « On verra bien ! » avait répondu Julia. Et ça pour voir ils virent et tandis que la femme avait foncé chatte baissée dans la ronde infernale du sexe, lui, hésitait, temporisait, faisait classique…

 

– Alors on coince ?

– Ça ne se commande pas !

– Et bien tant pis la prochaine fois je viendrais seule !

 

Elle en était capable… Mais les images mémorisées lors de cette partie avaient fait leurs effets, notre Eric était excité comme un pou, et cette fois, juré, craché, il participerait lui aussi ! Ah mais !

 

Décrivons maintenant Gabrielle, la maîtresse des lieux, elle doit avoir la quarantaine. Elle est grande, sculpturale, bronzée, son corps n’a pas trop souffert de l’outrage des temps, son visage est resté lisse et son sourire radieux, ses cheveux bruns ont fait l’objet récemment d’une coloration auburn et une coupe en carré. Quant à René son époux, il compense le peu de cheveux qui lui reste par une barbe toute blanche et s’efforce d’avoir le moins de bedaine possible.

 

Farida, la soubrette vient leur ouvrir les portes de la propriété. Comme la dernière fois Eric est subjugué par le regard coquin et les yeux noirs de cette accorte beurette. La dernière fois, elle avait participé un petit peu à l’orgie générale, trop peu à son goût mais il avait pu admirer ses jolis seins, son corps mat et surtout son fessier de rêve.

 

René accueille le couple, bisous, bisous, tout le monde s’embrasse dans ce petit monde, y compris les hommes. Il est vêtu d’un pantalon de toile et d’une chemise blanche à moitié ouvert sur sa poitrine glabre de tout poil et dont la peau bronzée est rehaussée par la présence d’une lourde chaîne en or.

 

– Si j’osais, Julia, je vous demanderais bien de m’embrasser sur mon téton, il a le souvenir de votre bouche et ne demande que ça !

– Vous me flattez, mais on ne se tutoie plus alors ?

– Si bien sûr, mais un peu de préciosité m’amuse parfois ! Alors d’accord !

– Comment refuser ?

 

Alors, Julia écarte un peu la chemise du vert quinquagénaire et lui suce le bout particulièrement développé de son sein. René en ronronne de plaisir.

 

– Julia, vous me faites déjà bander, vous êtes une magicienne !

– Vous ne disiez pas ce mot-là, l’autre fois !

– Alors vous êtes une magicienne et une salope !

– Je suis ta salope, je suis ta pute ! Tu en veux encore ?

– Réservons-nous, Julia, réservons-nous ! Ah, il va faire très beau ce soir, nous allons nous installer près de la piscine, mais figurez-vous que comme ces cornichons de la météo avaient prévu de l’orage, on a tout préparé à l’intérieur, je vais peut-être vous solliciter pour aider Farida…

– Ce n’est pas un problème !

– Par contre, je voulais commencer par passer la vidéo de la séance de l’autre jour, mais on risque de rien voir, avec le soleil, on fera ça quand la nuit sera tombée ou alors une autre fois. Par contre, j’avais pensé que vous pourriez nous faire un petit numéro… venez avec moi… je vais vous expliquez ce que j’ai mijoté…

 

René entraîne Julia à l’écart, la soubrette propose alors à Eric de se mettre à l’aise, complètement ou partiellement précise-t-elle, puis l’invite à prendre place dehors où seront servis quelques rafraîchissements.

 

Il y a déjà près de la piscine un couple, ce sont deux blacks, elle, Melissa à la peau très noire, s’est contentée d’enlever son pantalon mais a conservé son string et son haut. Quant à Simon, son compagnon, il s’est carrément mis à poil, et si la peau de son corps est plus café au lait que noire, celle de son sexe offre une couleur chocolatée du plus bel effet. Eric lorgne vers ce bel organe. Osera-t-il cette fois ? Oui probablement !

 

Il salue le couple, puis ne sachant pas trop comment se comporter décide de se mettre en slip, ce dernier vêtement, et bien il l’enlèvera quand tout le monde sera à poil…

 

Gabrielle fait son apparition ! Elle est vêtue (vêtue ?) d’un haut en voile noir transparent dont le fin tissu frotte et agace ses gros tétons. En bas il n’y a rien, rien du tout, sinon le glabre de sa chatte rasée. L’érection commence à gagner Eric :

 

– Nous attendons encore un couple, nous serons donc huit, nous espérions avoir une belle surprise, un couple de transsexuels devaient passer, mais ils nous ont téléphonés, un empêchement de dernière minute, ils viendront peut-être mais ce n’est pas sûr du tout, dommage cela aurait mis du piquant… Dite voir Eric, c’est moi qui vous fait bander ainsi ?

 

Et en disant cela, elle lui attrape le sexe à travers le tissu du slip. Eric est tétanisé, il ne tente aucun geste. Gabrielle finit par sortir la queue, droite comme un pieu, lui imprime un très court mouvement de masturbation, puis se baisse et l’engloutit dans sa bouche, se livre à deux ou trois allers et retour dans son palais, puis se relève

 

– C’est sympa de se dire bonjour comme ça ! Dit-elle simplement avant d’aller vaquer à d’autres occupations.

 

Que va faire Eric, il ne le sait pas trop, faire la conversation à Simon ? À Melissa ? Au deux ? Ou rester tranquillement pour le moment dans son coin ?

 

Le bruit pétaradant d’une moto lui évite de prolonger ce genre d’interrogations. Un couple vêtue de noir descend de l’engin. Ils enlèvent leur casque. Eric ne connaît pas ceux-là, ils se présentent : Vincent et Blondie, La quarantaine sans doute, Vincent est un grand moustachu, Blondie une fausse blonde qui exhibe un genre un peu « pute » mais qui n’est pas pour déplaire à Eric.

 

– Blondie ? C’est un prénom prédestiné ?

– C’est un pseudo, bien sûr, mais je l’aime bien, c’est ma façon à moi, d’afficher mon mépris face à ceux qui se croient malins en critiquant les blondes !

 

Elle a dit ça d’une traite, sa tirade elle doit la sortir souvent…

 

Après quelques présentations d’usage, nos deux motards se mettent directement à poil, l’homme exhibant un encombrant dragon tatoué sur le torse, alors que madame dévoile une poitrine très probablement refaite mais que la présence de petits piercing en forme de boucle rend très excitante.

 

Voici beaucoup de monde, neuf personnages pour une partie à peine commencée ! Comment allons-nous faire pour ne pas les confondre… L’auteur s’efforcera de vous aider, mais cela n’est pas si grave que ça, notre récit n’est pas une étude de mœurs, mais la description d’une joyeuse partouze décontractée

 

René prend la parole :

 

– Et bien messieurs dames, puisque tout le monde se connaît ou s’est présenté, nous n’attendons en principe plus personne. Il y a donc un petit buffet dans le coin là-bas, n’hésitez pas à vous servir. Nous allons commencer par boire une petite coupe de champagne, et après Julia va vous faire un petit numéro, histoire de nous échauffer… Venez on va trinquer !

 

On suit le maître de maison, Gabrielle aide Farida à distribuer les coupes et à les remplir. Puis les invités sont invités (justement ça tombe bien) à s’asseoir en arc de cercle dans les fauteuils de jardins. La sono diffuse alors de la musique disco et Julia se lève pour esquisser quelques pas de danse.

 

Julia habillée comme elle est venue s’amuse à se caresser le corps par-dessus ses vêtements, elle regarde l’assistance, quatre femmes dont deux toutes nues ou presque. Même proportion chez les hommes…

 

Elle déboutonne puis enlève son chemisier, caresse ses seins par-dessus son soutien-gorge, puis elle retire son pantalon, se caresse les jambes, se caresse les bras, fait durer le plaisir. Elle fait signe à Simon de venir la rejoindre. Le grand Black ne se fait pas prier, et elle lui demande de dégrafer son soutif. Il le fait s’emberlificotant, s’y reprenant à plusieurs fois, provoquant les rires de l’assemblé, finalement les seins de Julia sont libérés. Elle se baisse alors devant son partenaire du moment. On croit qu’elle va alors le sucer… Non, pas du tout, elle lui coince la bite entre ses seins et entame quelques mouvements de masturbation mammaire ! Un mini branlette espagnole, quoi ! Simon qui devait penser que c’était la fête se trouve un peu déçu quand Julia lui demande de regagner sa place, elle appelle alors Gabrielle, la maitresse de maison. Les deux femmes sont face à face, elles se caressent un petit peu puis s’embrassent goulûment…

 

Dans l’assistance, ça chauffe un peu, René s’est désormais débarrassé de ses vêtements, Melissa est en train de la faire, et si on excepte ceux de la soubrette, le seul vêtement de spectateur est maintenant constitué par le caleçon d’Eric, lequel caleçon vient de recevoir la visite sous la forme d’une main. En effet René qui est sur le fauteuil voisin vient lui tâter le membre et Eric choisit de se laisser faire.

 

Eric s’est juré d’être moins timoré que la dernière fois, c’est peut-être déjà le moment de le montrer, alors profitant des circonstances et de l’excitation, il avance à son tour une main sur la pine de René et se met à la masturber avec lenteur et douceur.

 

Les deux femmes, un peu plus loin se sont débarrassées de ce qu’il leur restait de vêtements, elles s’embrassent les seins à tour de rôle, puis la chatte, elles sont à présent sur le sol sur un espèce de tapis en mousse qui a été posé là… et sans doute pas par hasard. Dans l’assistance l’excitation est à son comble et comme le spectacle ne réserve plus de surprise du moins pour l’instant, les spectateurs gèrent eux-mêmes leur excitation… Ainsi Blondie notre fausse blonde motocycliste s’est-elle rapprochée de Simon en s’emparant de sa queue qu’elle branle avec empressement. Son compagnon, Vincent, lui s’est agenouillé devant Melissa la petite blackette et lui lèche son petit minou tout rose. Quant à Farida notre soubrette elle est absolument désolée, déjà parce que personne ne touche à son petit buffet qu’elle a pourtant arrangé avec art, ni à son petit minou qui vaut bien celui des autres, et vexée s’en va un peu à l’écart se masturber toute seule comme une grande en s’excitant du spectacle.

 

Mais revenons à Eric puisqu’il est en quelque sorte le fil conducteur de ce texte (fort instructif, nous sommes bien d’accord). Donc Eric et René se branlent de conserve. Eric qui n’a jamais fait cela sinon dans ses fantasmes est fort ravi de caresser ainsi ce sexe à la texture qu’il ne croyait pas si douce… puis au bout d’un moment le René lui demande :

 

– Suce !

 

C’est qu’Eric fait d’abord semblant de ne pas entendre ! Alors René reformule !

 

– Suce-moi !

– Euh, je préfère attendre un peu ! Répond Eric !

– Oui, mais moi je préfère ne pas attendre, allez, dépêche-toi ! Tu vas voir comme elle est bonne !

 

 

gardenbi

Eric se rappelle encore ses résolutions. Ben oui les résolutions si on ne veut pas qu’elles se réalisent, il ne faut pas les prendre… Alors il se penche vers la verge du quinquagénaire, la bouche ouverte et engouffre le membre offert ! C’est un peu salé, mais le contact ne lui déplait pas, il fait quelques mouvements de lèvres, avant de compléter son action de coup de langues sur le gland. Il lui faut bien une minute pour trouver le bon geste, mais il le trouve et se met à sucer avec délectation la bonne bite de son hôte !

 

– Vas-y suce moi bien ! Après je vais t’enculer !

 

Eric préfère ne pas entendre ! Il a certes pris des résolutions mais pas toutes, et en tous les cas, pas celle-ci, chaque chose en son temps ! Mais pour l’instant il se régale. Un moment il reprend son souffle, sa mâchoire a besoin de quelques instant de repos, et il s’aperçoit que Vincent, le motard est devant lui, la bite tendue ! Que fait-il ici, la chose se serait donc mal passée avec Melissa ? Un petit coup d’œil sur le côté, mais non, Melissa est parti explorer et lécher l’entre jambe de la soubrette qui n’en peux plus mais qui ne s’est toujours pas déshabillée pour autant.

 

Eric après quelques secondes de récupération nécessaire ouvre la bouche à nouveau et engouffre la pine de Vincent. Elle est plus belle et plus grosse que celle du quinquagénaire. Une pensée lui vint : Osera-t-il faire de même avec la longue verge de Simon, le Black ? Mais pour l’instant celui-ci est occupé à chevaucher la fausse blonde qui a l’air si l’on en croit ses cris et ses ânonnements d’apprécier ce sombre pilonnage.

 

Voici donc Eric qui suce Vincent, il s’apprête donc à faire de la fellation alternative comme il l’a vu faire dans certains films. Mais c’est sans compter sur la perversité de son hôte, qui lui demande sur un ton qui ne mérite pas réplique.

 

– Retire-toi de ta chaise et mets-toi accroupi pour le sucer, on va faire un truc !

 

Il ne réfléchit même pas… Fait ce qu’on lui dit et tandis qu’il se régale de sa sucette salée, René commence à lui peloter les fesses, puis un doigt humecté de salive s’approche de son trou du cul, et finit par y pénétrer de façon quasi naturelle. C’est bien la première fois que le doigt d’un homme pénètre ainsi le fondement d’Eric, mais il y a un début à tout et il prend le parti de ne pas protester et d’attendre courageusement la suite. Pour l’instant pour lui ça se passe bien, ce doigtage aurait même tendance à l’émoustiller plus que raison. Tout va bien, donc !

 

Un cri fulgurant fait tout d’un coup s’interrompre l’ensemble des participants, c’est tout simplement Julia qui vient de jouir sous les coups de butoir de la langue de sa partenaire. Le petit groupe est soudain distrait et regarde nos deux femmes qui depuis tout à l’heure sont soudées l’une à l’autre dans un soixante-neuf impeccable. Eric ne peut réprimer un petit pincement de jalousie, il ne l’a jamais fait jouir à ce point. Il faudra qu’il se surpasse, lui montre de quoi il est capable, puis il se dit que la première chose à faire est sans doute de ne pas la décevoir comme la première fois ici, alors c’est décidé, se dit-il, si l’autre veut m’enculer, et bien qu’il m’encule, on analysera les choses après !

 

Mais il est sans doute dit que les choses se passent toujours différemment que ce que l’on prévoit, et voici qu’un second cri résonne dans la fin d’après-midi de notre propriété bourgeoise. Cette fois c’est Gabrielle qui jouit comme une folle et qui ameute le quartier. Cela à l’heur de plaire à notre hôte qui abandonnant son doigtage se met à applaudir frénétiquement. Du coup tout le monde ou du moins ceux qui n’ont pas les mains trop occupées se mettent à applaudir et notre René s’en va aider son épouse à se relever et lui fait un joli bisou sur la bouche, c’en est touchant !

 

Les deux femmes épuisées s’en vont vers le petit buffet où elles se servent à boire, René suit, et Vincent décide de faire de même, entraînant du coup Eric avec lui, un peu déçu car il aurait bien continué à le sucer. Blondie rejoint le petit groupe quelques instants après, elle vient de sucer à fond la bonne bite noire de Simon et l’a laissé pour le moment épuisé sur sa chaise. Elle pavane devant le buffet, exhibant volontairement les jets de sperme qui lui macule le torse, et qu’elle se garde bien d’essuyer.

 

– Bon on va se boire un petit coup ! Proclame René rajoutant sur le ton de la blague ! « Je vais être obligé de faire le service moi-même, que voulez-vous le personnel de nos jours ce n’est plus ça… » et il montre l’endroit où Farida et Melissa sont en train de se gamahucher avec un entrain diabolique complètement étrangères au monde extérieur.

 

Eric regarde Blondie, il est fasciné par cette blonde sculpturale, certes, il est venu pour faire des découvertes et des expériences, mais il est avant tout hétérosexuel et cette bombe l’excite. Et celle-ci s’en rend vite compte !

 

– Je te plais on dirait, hein ?

– Il faudrait être difficile !

– Tu devrais te méfier, je suis une vraie tigresse !

– Je n’ai même pas peur ! Répondit-il sur le ton de la plaisanterie.

– Non, mais ça va peut-être venir, tiens tourne-toi, j’aime bien regarder les fesses des mecs, ça m’excite !

 

Eric obtempère !

 

– Hum pas mal ! Joli cul, ça ne demande qu’à être enculé un joli petit derrière comme ça ! Tiens au fait tu l’as trouvé comment la bite de mon mari !

– Délicieuse ! Se surprend à dire alors Eric !

– Bon, je vais m’occuper de toi, mais tu te laisses faire d’accord ?

– Euh !

– Quoi, euh ?

 

Puis s’adressant au groupe :

 

– Ça vous dirait d’assister à une petite domination, les amis !

 

Et devant l’approbation de quelques-uns, Blondie s’en va rejoindre sa moto en tortillant du popotin, et revient avec une petite mallette, elle l’ouvre devant l’assistance, curieuse.

 

– Il y a tout ce qu’il faut là-dedans !

 

Elle commence à s’harnacher avec un gode ceinture, s’empare d’un martinet, puis prend la main d’Eric :

 

– Allez viens mon biquet on va faire ça là-bas !

 

Elle l’entraîne alors sur le tapis de mousse, là où était les deux femmes tout à l’heure !

 

– Bon, allonge-toi par terre… Non pas comme ça, tu te mets à genoux, tu baisses la tête et tu relèves les fesses… Voilà comme ça ! Allez, je te fouette, et je t’encule, et après tu auras doit à une récompense ! Ça va t’es d’accord ?

– Euh !

– Mais bien sûr qu’il est d’accord ! Intervient alors Julia !

– Tiens, tiens… On dirait que ça t’excite, toi, rien que l’idée que j’encule ton mec, c’est bien ça, non ?

– Bien sûr que ça m’excite !

– Hum, attends un peu, toi, je vais t’exciter autrement tout à l’heure, petite salope !

– C’est quand tu veux !

– Mais d’abord, je vais préparer ce petit cul !

 

Un premier coup de martinet cingle le cul d’Eric qui se croit obligé d’accuser réception par un joli « aïe » de circonstance, l’assemblée est debout à l’exception de Simon toujours à moitié groggy sur sa chaise et des deux tourterelles qui n’en finissent pas de se gouiner la chatte. Et tandis que les coups tombent zébrant joliment les fesses d’Eric qui a fini par s’accoutumer à la pratique, René et Vincent jouent mutuellement avec leurs attributs virils en un petit jeu de masturbation décontractée, tandis que Gabrielle et Julia qui décidément se sont découvertes des affinités se caressent négligemment le corps tout en perdant rien de ce délicieux spectacle

 

Délicieux spectacle disions-nous, mais qui devient de plus en plus hot ! Blondie ordonne à Eric de se tourner et de venir sucer son gode de plastique. Etonnement d’icelui qui ne voit pas l’intérêt d’une telle fantaisie, mais l’ordre est répété, et il l’exécute se surprenant à penser que décidément une vraie bite, cela possède quand même plus d’attrait, et tout content de cette trouvaille, il lâche le morceau de latex et clame à qui veut bien l’entendre !

 

– On dira ce que l’on voudra mais ça ne vaut pas une vraie queue !

 

Ça a le mérite de faire rigoler son monde et de rendre joyeuse son épouse Julia à qui Gabrielle confiera alors :

 

– Il a fait des progrès fulgurant en trois semaines, ton mec !

 

Blondie fait mettre Eric à quatre pattes, puis rouspète qu’elle a oublié quelque chose, repart vers sa mallette et revient avec un préservatif et un pot de gel. Elle lui tartine le cul avec, puis présente son gode à l’entrée de l’anus. Elle pousse un peu, ça hésite un peu mais ça finit par entrer. Eric proteste que ça fait mal, Blondie lui rétorque que ce n’est qu’un passage et que ça devrait aller mieux ensuite. Effectivement au bout de quelques instants Eric ne bronche plus, et donne tout l’air d’apprécier ce curieux traitement. La fille l’encule ainsi pendant plusieurs minutes, puis quand l’affaire a fini de l’amuser, elle s’arrête. Elle salue le public, (le public… quatre personnes, non cinq car maintenant Simon est sorti de sa torpeur et a rejoint les autres) se fait applaudir, mais précise que ce n’est pas fini.

 

– Alors ça t’a plu ? Demande-t-elle à Eric !

– Ça va, mais que d’émotions !

– Comme tu dis, mais tu n’as encore rien vu ! Tu dois avoir soif, mon biquet !

– Bonne idée ! Réponds Eric qui déjà se met en chemin pour rejoindre le buffet :

– Tu restes là ! Tu t’allonges par terre !

 

Certains comprennent mais pas tous, et en tous cas pas Eric !

 

– J’ai bien envie de te pisser sur la bite !

 

Stupeur d’Eric, ce qui oblige Blondie à lui poser la question :

 

– On te l’a jamais fait ?

– Si deux ou trois fois ! Mais je n’en veux pas sur le visage !

– Bon, je crois que je vais demander à Julia ! Julia je le fais ou je ne le fais pas !

– Disons qu’il a le droit de ne pas aimer, mais qu’il n’a pas le droit de refuser de goûter !

 

Que répondre à des arguments aussi censés ? Blondie chevauche Eric et se concentre quelques secondes, puis son jet doré tombe dru sur le sexe et le ventre de l’homme. Alors Blondie avance, le jet tombe sur le nombril, sur la poitrine, sur le cou…

 

– Ouvre la bouche !

 

Eric obéit, mais ça tombe à côté, Blondie s’accroupit alors plaçant sa chatte à seulement dix centimètres de sa bouche

 

– Tu bois tout doucement ! OK

 

La liqueur dorée emplit le palais d’Eric qui parvint à déglutir, étonné que le breuvage ne soit pas plus répugnant que cela, décidé à faire bonne figure il en réclame encore, juste un petit peu ! Blondie demande alors à la cantonade si quelqu’un veut du reste… c’est alors que Julia se précipite et s’allonge, ouvre un large bec et recueille la douche jaune de la belle blonde.

 

Pendant ce temps, René, le maître des lieux s’est mis à sucer avec avidité la belle bite de Vincent, Eric voyant la scène est tenté, cette queue l’attire irrésistiblement, il s’approche, se place à côté de son hôte mais celui-ci ne lâche pas sa proie. Qu’importe ! Simon le remplacera, et notre jeune homme timoré de tout à l’heure se retrouve donc avec en bouche le joli membre brun de notre ami black. Il s’évertue à bien faire, cognant le membre au fond de ses joues, se délectant de coups de langues sur le gland.

 

Deux petits cris presque simultanés, c’est Melissa, la blackette et Farida la soubrette qui viennent enfin de jouir. Cela provoque un petit mouvement de foule vers le buffet, où tout ce petit monde a envie de reprendre son souffle.

 

– Ben, bravo, Farida, c’est comme cela que vous faite le service ! La réprimande, en plaisantant, René.

– Vous m’aviez dit que je devais répondre aux sollicitations de vos invités, c’est ce que j’ai fait, Monsieur ! Répond-elle.

– Ouais, mais cela ne doit pas vous empêcher de faire le service ! Moi je trouve que ça mérite une punition… Tout le monde est bien d’accord ?

– Oui ! Oui ! Répond l’assemblée.

 

Il demande alors à la belle soubrette de finir de se déshabiller, puis à Blondie, notre pulpeuse siliconé de lui administrer quelques coups de martinets sur ces jolies fesses dorées.

 

– Pas trop fort !

– Tais-toi, de toute façon tu aimes ça !

– C’est du harcèlement sexuel et même du harcèlement moral, je vais me plaindre, je vais prendre un avocat ! Plaisante-t-elle.

 

L’ambiance est folle, tout le monde rigole, tout le monde se caresse, tout le monde se pelote, tandis que le martinet de Blondie s’acharne sur les belles fesses rebondies de la belle soubrette. Celles-ci ne tardent pas à changer de couleur et à virer au rouge.

 

– Hum, ça m’a excité de la fouetter, cette nana ! Dit alors Blondie qui demande alors à sa victime de venir lui lécher sa chatte

– Elle sent le pipi ta chatte !

– Tu vas t’habituer, suce !

– Je ne t’ai pas dit que je n’aimais pas ça ! Parvient-elle à dire entre deux lapées.

– Ah, bon ! Avec qui tu fais ça d’habitude ?

– Avec ma patronne, elle adore que je la nettoie avec ma langue quand elle a fini de pisser et puis parfois quand elle est bien excitée elle me pisse carrément dans la bouche… elle est cochonne, hein ?

– Hum ! Est-ce qu’elle te fait aussi lécher son cul ?

– Bien sûr !

– Même quand il est un peu sale ?

– Bien sûr !

– Et tu lui lèches sa merde ?

– Ben oui !

– Et bien, bravo Gabrielle ! Ce doit être un vrai plaisir de travailler comme domestique chez toi ?

– Farida ne s’en plaint pas, en tous cas ! Tient à préciser la maîtresse de maison.

– Tu ne voudrais pas m’embaucher rien qu’une journée ? Ça pourrait être marrant !

– Non, sérieux ? Pourquoi pas ? Tiens, je trouve que c’est une excellente idée, on va vous embaucher toi et ton mari un week-end entier, on négociera tout à l’heure, si tu veux !

– Super !

 

(Tiens en voilà une bonne idée pour un prochain récit)

 

Le reste de l’assistance est occupé à regarder les deux femmes, les mains sont baladeuses, tout le monde se caresse ou tripote tout le monde, et après que Blondie, notre fausse blonde siliconée ait joui sous les coups de langue habiles de la coquine soubrette, le maître des lieux, René prit la parole :

 

– Ah, mes amis, quelle ambiance, je ne regrette qu’une chose c’est que personne ne touche à notre buffet, il y a pourtant d’excellentes choses, on ne va pas gâcher tout cela, alors je vous propose ceci : on va rapprocher deux petites tables et on va faire une petite pause alimentaire, mais bon, on a cinq minutes quand même, et en ce qui me concerne je prendrais bien un petit plaisir avant de passer à table.

 

Tout en parlant, il branle la belle bite noire de Simon…

 

– Tenez je crois bien que vous allez avoir le plaisir de m’admirer en train de me faire enculer par cette belle queue, mais auparavant je vais un peu m’en régaler.

 

Il joint le geste à a parole et enfouit (du moins ce qu’il peut) de la bite du black dans sa bouche. C’est alors qu’Eric réalise que Vincent est libre, Vincent et sa belle bite à la peau diaphane, et au gland arrogant. Très vite il s’en empare, et se régale de cette tige à la texture soyeuse, il n’en peut plus il bande comme un dingue, et quand il aperçoit à quelques mètres de lui René se tourner pour présenter son cul aux assauts du sexe de Simon, c’est presque par réflexe qu’il en fait de même. Les deux enculeurs se saisissent des préservatifs à disposition sur la petite table, s’encapuchonnent quasi simultanément, s’active à pénétrer leur partenaire. Et si René à une relative habitude de la chose, c’est quand même une première pour Eric même si le gode de tout à l’heure à déjà « fait » le chemin !

 

Les femmes se sont placées un peu à l’écart à l’exception des compagnes des deux sodomisés et ne perdent pas une miette de ce spectacle qui les excite. Ainsi Melissa, la belle blackette a rejoint Blondie et toutes deux s’amusent à faire des petites misères à notre soubrette qui finalement en redemande, et après lui avoir claqué de nouveau ses fesses meurtries, Blondie à l’idée de lui introduire des glaçons dans le sexe et dans l’anus. Farida en véritable transe ne sait que crier des :

 

– Encore ! encore ! Vous allez me rendre folle…

 

Julia s’est approchée de son mari ! Le spectacle la subjugue, son entre cuisse est mouillé comme une soupe !

 

– Alors mon salaud, ça te plait de te faire enculer ! T’as l’air d’aimer ça les bonnes bites aujourd’hui ?

– Ah ! C’est bon !

– Tu te rends compte, maintenant que je suis une femme d’enculé ? Dit-elle en plaisantant !

– Tu l’as bien cherché non ?

– Venez donc par ici ! La coupe René. Au lieu de dire des cochonneries !

 

Julia obtempère !

 

– Que désirez-vous, Mon cher ? Demande-t-elle.

– Offrez-moi donc votre petite chatte, je vais vous la sucer, pendant que ce salaud m’encule !

– Mais avec le plus grand plaisir !

 

René adore aussi pratiquer le cunnilingus (oh quel vilain mot !) et s’applique tant il peut, mais la chose n’est pas si facile, Simon accélère ses coups de boutoir et faisant avancer à chaque fois de quelques centimètres son partenaire. Julia est obligée de se reculer, finit par perdre l’équilibre et se retrouve les quatre fers en l’air tandis que dans un dernier coup de butoir, Simon éjacule et s’écroule à son tour, cela fait la seconde fois de la soirée qu’il orgasme. Rigolade quasi générale, mais René rejoint Julia à terre et reprend son broutage de minou. Puis il lui demande de changer de position, il se couche sur le dos et propose à sa partenaire de venir s’asseoir sur sa bouche en sens inverse, cette position permet à la femme de s’occuper des pointes de seins hypersensibles de l’hôte. Effectivement, René ne tarde pas à rebander tout à fait comme il faut.

 

A côté, Vincent à lui aussi jouit, laissant Eric un peu groggy et le cul un peu douloureux. Sans doute quelqu’un s’occuperait-il de lui cela lui ferait sans doute le plus grand bien. Il regarde autour de lui… aperçoit sa femme en train de se faire lécher par René, il préfère ne pas regarder, il y a Simon complètement HS pour le moment, nos trois tribades complètement emmêlées dans un jeu qu’il ne comprend pas bien… Et Gabrielle qui se tripote toute seule.

 

Cette dernière croise le regard implorant d’Eric !

 

– Ben alors ? C’était bon !

– Oui, mais maintenant j’ai l’impression d’être un peu sonné !

– Je vais vous arranger cela ! Répond-elle.

 

Elle le masturbe quelques instants, le suce un petit peu, afin de lui redonner de la vigueur puis lui demande de se coucher, alors après avoir capoté le sexe, elle vient s’y empaler ! Mais juste quelques instants, sans doute pour bien lubrifier le dard… elle se dégage et cette fois présente son petit trou au-dessus du gland. Eric comprend alors, et ravi de la situation collabore à cette étrange pénétration.

 

– Maintenant que tu t’es fait enculer, tu as le droit de me le faire aussi ! Commente simplement la maîtresse de maison !

 

Julia au-dessus de René a du mal à contenir une énorme envie de pisser, elle en prévient son partenaire qui lui demande alors de se laisser aller. Et tandis que Julia lui arrose le visage et lui remplit la bouche, il se masturbe vaillamment finissant par éjaculer sur son ventre en émettant un rauquement animal.

 

Blondie se rapproche de Gabrielle

 

Attention passage scato

 

– C’est dommage que tu n’aies pas le cul sale, je te l’aurais bien nettoyé.

– Tu aimes bien ce genre de choses !

– Quand je suis très excitée, oui !

– Alors viens, je vais faire quelque chose pour toi, mais on va se mettre à l’écart, ça ne plaira pas forcément à tout le monde.

 

Elles rentrent à l’intérieur et se dirigent vers les toilettes.

 

– Tu vas me regarder chier et ensuite tu me nettoieras le cul !

– Bon plan !

 

Gabrielle ne s’assoit pas sur la cuvette, mais se dispose comme si elle utilisait des toilettes à la turque, ceci afin que sa complice puisse avoir une vue parfaite sur ce qu’elle va faire.

 

Elle pousse, un bel étron commence à pointer son extrémité, il s’allonge, il s’allonge encore.

 

– Oh que c’est beau ! S’écrie Blondie en se saisissant d’un morceau qui allait tomber dans la cuvette

 

Elle le porte à sa bouche, y pointe sa langue !

 

– Humm, c’est bon !

 

Elle détache un morceau de la grosseur d’un rocher au chocolat et le garde en bouche, puis sollicite les lèvres de Gabrielle qui se prête au jeu en s’échangeant un étrange baiser marron.

 

– On est des vraies salopes ? Hein ? Commente Blondie.

– Et alors ? on ne fait de mal à personne !

– Oui, mais ça me plait de dire qu’on est des salopes.

– Comme tu veux, mais on n’en parle pas aux autres, ce sera notre petit secret !

– Pas de soucis !

– Je te signale que tu devais me nettoyer le cul, tu ne l’as toujours pas fait !

– Je vais le faire, ma chérie.

 

Mais Blondie se désole, il n’y a pas grand-chose à nettoyer. Qu’a cela ne tienne Gabrielle récupère un morceau de matière et s’en badigeonne les fesses.

 

– Hum qu’elle est bonne ta merde !

– Il faudra qu’on se fasse une soirée scato un ces quatre…

– Avec plaisir.

 

Fin du passage scato

 

Epilogue

 

Tougris, le chat local, sans doute alerté par une surabondance d’émissions de phéromones décida de venir faire un tour sur ces lieux de débauches. Sans se presser comme d’habitude. Quand il arriva, il manifesta sa présence par un miaulement intempestif. Il pensait voir quelque chose d’inhabituel, non il n’y avait que quelques humains autour d’une table en train de se nourrir… Ne comprenant décidément rien à ces êtres à deux pattes, il grimpa sur une siège laissé libre, se tourna et ne tarda pas à se rendormir dans un sommeil peuplé de rêves que seuls les chats sont capables de comprendre !

 

Helena et Boris (Juillet 2004)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Novassa5a
  • Margritt04
  • bisex73zzzzf2
  • Martinov137a
  • Martinov16e1
  • Chateau

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés