Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:11

La visite de Maman par Marine et Thibault

 

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Bonjour, c’est Marine et Thibault, mais aujourd’hui ce sera moi la narratrice

 

J’ai longtemps hésité à écrire cette histoire, parce qu’annonçons la couleur, c’est d’inceste qu’il s’agit et on en a écrit des bêtises là-dessus.

 

Alors je précise tout de suite, personne ne m’a forcé de quelque façon que ce soit à faire ce qui s’est passé ce jour-là…

 

Et quand cela fut terminé, je n’ai pas été courir chez le psychiatre pour lui dire que maintenant j’étais traumatisé à vie, mais j’ai eu une envie folle de recommencer, ce que j’ai fait d’ailleurs.

 

Comme ça je suis une salope ?

 

Si ça vous choque inutile de continuer la lecture.

 

Chantal, ma mère a 50 ans et des poussières, c’est une petite brune aux cheveux assez courts, elle très légèrement enveloppée, le visage est marqué mais pas abimé, elle a une grosse poitrine dont j’ai toujours été un peu jalouse. Elle est souriante, amusante et porte des lunettes à grosses montures.

 

Elle est habillée aujourd’hui d’un petite jupe noire et en haut d’un chemisier imprimé blanc avec de grosses fleurs rouges

 

Elle habite en province où elle s’occupe d’un négoce de fringues, On ne la voit que rarement lors de ses montées professionnelles à Paris.

 

Et ce jour là nous dînions trous les trois à la maison, elle avait apporté un gros gâteau à la crème et une bonne bouteille de Bourgogne, j’avais cuisiné un canard à l’orange.

 

Tout se passait bien, l’ambiance était joyeuse et festive.

 

Et puis tout est parti d’une réflexion

 

– Tu sais, ce qu’il m’a dit Thibault, Maman ?

– Non !

– Qu’il aimerait bien te sauter ! Quel cochon !

 

Je ne sais pas pourquoi, j’ai sorti ça, sans doute une facétie de mon inconscient !

 

– Remarque c’est plutôt flatteur ! Répond ma mère.

– N’empêche que c’est un cochon ! Répliquais-je.

– Et s’il le faisait en vrai, tu dirais quoi ? Reprend Maman

– Je ne sais pas trop, je ne suis pas jalouse, à la limite ça m’amuserait.

– T’entends ça, Thibault, on n’a plus qu’à se donner rendez-vous ! Plaisante maman.

– Chiche ! répond Thibault sur le même ton.

– Cela dit ça ne va pas être évident, je redescend à Bordeaux demain matin.

– Il ne reste plus que ce soir, alors ! Répliquais-je

– Ça vous tente ? Thibault ?

– Vous êtes sérieuse, là ?

– Ben quoi on peut délirer, ça ne fait de mal à personne. On va faire un petit jeu.! Dit-elle en s’approchant.

 

Ma mère commence à se dandiner devant mon mari, se caresse par-dessus ses vêtement les cuisses, puis la poitrine.

 

Puis la main de ma mère s’égare un moment sur la braguette.de mon mari.

 

– Chantal, quand même…

– Laisse toi faire, ! Intervins-je, elle en va pas te manger.

– Ça devient tout dur là-dedans ! Commenta ma mère en continuant à tripoter l’endroit de façon ostensible. Je continue ? Nous demande-t-elle.

 

Excitée comme une puce, j’ai spontanément répondu « oui », Thibault n’a rien rétorqué, mais il n’a pas dit non.

 

Maman continue de se trémousser, irrésistiblement attiré par sa poitrine, Thibault ose porter sa main sur ses cuisses puis remonte vers la poitrine qu’il malaxe par-dessus le tissu.

 

Elle a maintenant remonté sa jupe au-dessus de la culotte, Thibault lui embrasse le haut des cuisses puis s’enhardit à porter sa main sur la culotte.

 

Maman soulève son haut laissant apparaître un joli soutien-gorge noir et gris. Thibault comme fou pelote ma mère, ses mains et sa bouche vont partout. Maman se tourne, l’invitant à dégrafer le soutif

 

Ma mère a décidemment une superbe poitrine, j’ai une irrésistible envie de la toucher et de la sucer, mais je me retiens laissant pour l’instant Thibault en profiter, et pour en profiter, il en profite, le salaud, il lèche, il lui aspire les tétons, il n’en peut plus.

 

Maman se retourne de nouveau, Thibault lui baisse sa culote et lui embrasse les fesses

 

Elle le laisse faire quelques instants puis lui ouvre la braguette et en extrait sa bite raide comme un piquet., elle le masturbe quelques instants et se penche afin de l’engloutir en pleine bouche.

 

C’est fabuleux, c’est bien la première fois que je vois ma mère faire une pipe.

 

Je pensais qu’il s’agissait là d’une petite distraction d’après repas, une petite fellation, avec éventuellement une éjac et que l’on passerait à autre chose.

 

Mais l’excitation s’étant mise de la partie, ma chère maman avait d’autres intentions…

 

– Hum, c’est trop bon de sucer une bonne bite ! Déclame-t-elle toute fière d’elle. Je suis tout excitée maintenant, je me ferais bien baiser, ça te dirait Thibault ?

– On va peut-être trop loin, là ?

– Hypocrite, pourquoi tu bandes, alors ?

– Euh…

– Qu’est ce que tu en penses, Marine ? Demande ma mère.

– Si ça vous fait plaisir à tous les deux, allez-y, moi je vous regarde.

 

Maman va alors s’affaler sur le canapé, les jambes écartées.

 

Thibault hésite encore un peu.

 

– Ça ne va pas le faire, on n’a pas de préservatif ! Dit-il.

– Passe moi mon sac à main, je dois en avoir.

 

Dingue ! Ma mère se balade avec des préservatifs dans son sac à main ! C’est la soirée des grandes découvertes.

Chantal

Toujours est-il que cette fois Thibault n’a plus de raison de tergiverser, il se précipite sur la Maman et la lime comme un sapeur. Mais il est tellement excité qu’il ne tient pas la distance et éjacule avant qu’elle n’ai pu jouir.

 

Il est confus, on le serais à moins. Moment de flottement.

 

– Viens me voir ! Me dis Maman

 

Je m’approche, lui caresse ses doux bras, ma main s’aventure doucement vers ses seins.

 

– Vas-y m’encourage-t-elle.

 

Alors je lui tète ses gros tétons et m’en régale,

 

– Déshabille-toi, ce sera plus cool !

 

Effectivement !

 

On s’embrasse, on se caresse, on se lèche les seins, puis ce qui devait arriver arriva.

 

– Lèche moi la chatte, ma fille.

 

C’est la première fois que je voyais le sexe de ma mère de si près, j’approchais ma langue de ce trésor, c’était humide, ça sentait la femelle, c’était divin.

 

Excitée, je réclamais ma propre part de jouissance et je rectifiais ma positon afin de nous retrouver en 69.

 

Je me faisait lécher par mère pendant que je me régalais de son propre sexe.

 

Nous n’avons pas tardé à jouir toutes deux comme des malades avant de nous rouler une pelle tellement baveuse que nos salives dégoulinait sur nos mentons.

 

Superbe expérience mais pourquoi ma mère a-t-elle attendue si longtemps pour se lâcher ainsi ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:09

Cocktail de perversions par Marine et Thibault

 

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Coucou les coquines et les coquins, Ici c’est Thibault.

Nous étions ce soir-là invités à un barbecue chez Roland et Gina, un couple libertin. Nous avions bu un excellent rosé et les conneries allaient bon train, en dessous de la ceinture évidemment. Un moment je ne vois plus Roland et je demande où il est passé. Gina me dit qu’il est derrière un arbre un peu plus loin. J’ai compris qu’il était parti pisser et me suis dit que je ferais bien pareil.

Je me dirige vers les arbres, pensant que Roland aurait terminé ! Fini de pisser oui, mais il faisait tout autre chose puisqu’il était en train de se branler mollement. J’avoue sans aucune honte avoir été fasciné par cette belle bite bien raide au gland violacé et luisant

– Elle te plait ? Me demande-t-il.
– Elle est belle, faut bien avouer !
– Tu veux la toucher ?
– Je ne suis pas pédé ! Me défendis-je mollement
– Ça tombe bien, moi non plus ! Vas-y touche !

Je touche, c’est doux c’est soyeux, c’est excitant, je bande !

– T’as déjà sucé une bite ?
– Euh…
– Ah, je vois, tu ne te rappelles plus, ça arrive les trous de mémoire ! Se moque-t-il.
– C’est le pinard…
– Ça te dirait de me la sucer !
– Euh…
– Bon tu ne dis pas non, on va faire ça devant les dames, ça va les exciter !
– Tu crois ?
– Mais oui, Gina, ça va lui plaire… quant à Marine si elle te dis quelque chose tu lui diras que c’est le rosé…

Bref nous voici devant les filles.

– Eh, les nanas, regardez, Thibault va me sucer la queue !
– Non ?
– Si !

Et l’instant d’après j’avais la bonne bite de Roland dans ma bouche, je me régalais d’autant qu’il venait de pisser et que sa bite avait une goût d’urine pas désagréable du tout. Je l’ai bien léché pendant cinq minutes, le gland, la verge, les couilles…

– Et si tu lui mettais ta bite dans le cul ? suggère Gina.
– Oh oui, oh, oui ! Approuve Marine.

Il faut toujours faire plaisir aux dames, je baisse donc mon calfouette, présente mon cul au Roland qui m’encule comme un chef devant ces dames qui excitées comme des puces se frottent la chatoune d’abord en solo puis en duo. Roland a fini par jouir dans mon fondement et m’a laissé le cul béant.

Moi j’aurais bien joui aussi, mais je n’osais pas solliciter Gina. Je suis un grand timide ! Ce fut elle qui prit l’initiative, elle se déshabilla entièrement et me demanda de me coucher sur l’herbe, elle vint alors me pisser dans la bouche pendant que je masturbais.

Marine se mit alors en crier !

– Ne pisse pas tout, gardes-en pour moi !

Ma femme s’allongea alors à ma place et eut droit aux dernières gouttes, ensuite les deux femmes complètement déchainées se gamahuchèrent en un ballet infernal.

On était fatigué et on nous a conduit à la chambre d’amis

Allongé sur le lit à côté de Marine ma femme, j’ai commencé à la caresser. Ma femme était très excitée, et je me souviens d’une forte odeur sexuelle qui émanait d’elle. Comme je l’avais longtemps caressée, j’ai éjaculé presque tout de suite. Très excitée, encore, elle a continué en se masturbant. Assis à côté d’elle, je la regardais en attendant le retour d’une éventuelle érection. A ce moment, le chien de nos amis est entré dans la pièce et est venu vers ma femme. Machinalement, celle-ci a tendu la main vers lui. Il a flairé les doigts avec lesquels elle s’était masturbée, et s’est mis à les lécher avidement. Puis en quête de la source de cette odeur, il a glissé sa grosse tête entre les cuisses de ma femme qui l’a repoussé.

Mais l’incident m’avait vivement troublé, et j’ai décidé de pousser la chose plus loin. J’ai dit à ma femme que ce pauvre toutou avait bien le droit de lécher l’invitée de sa maîtresse, et qu’il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. En outre, ajoutai-je, ce serait peut-être très agréable. Et, passant mon bras autour de ses épaules, j’ai recommencé à l’embrasser et à lui caresser les seins.

Le chien est revenu flairer entre ses cuisses ouvertes, puis s’est mis à lécher. Appréhensive au début, ma femme s’est progressivement laissé aller et a commencé à réagir.

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Fasciné, je me suis levé pour mieux jouir du spectacle. Ma femme de son côté, a redressé la tête pour pouvoir regarder. Le chien la léchait à grands coups de langue. Ma femme s’est mise à gémir. Le chien s’est alors avancé, a posé ses pattes de devant sur les seins de ma femme et a commencé à se pousser de l’arrière-train, exactement comme un homme, en cherchant l’entrée. La scène paraissait totalement irréelle.

J’ai vu le pénis écarlate de la bête, qui sortait, congestionné, de son fourreau, et butait aveuglément sur le pubis de ma femme. Sans hésiter, je l’ai pris en main pour le guider dans le vagin tandis que ma femme avançait son bassin. Une fois en place, le chien s’est mis à assurer un va-et-vient énergique. Bientôt, déchaînée, ma femme s’est accrochée à l’animal, en écrasant la tête de celui-ci contre ses seins et en le suppliant de continuer. Elle était trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux gémissements féminins. Enfin, le chien, ayant éjaculé, se remit à quatre pattes par terre et descendit dans la cuisine boire tout le contenu de son bol à eau.

Marine est restée longtemps immobile sur le lit. Elle avait une expression étrange. Je suis allé faire du café. De la cuisine, je l’ai entendue qui faisait couler un bain. Quand je suis entré dans la salle de bains, elle était immergée dans un bain de mousse. Elle m’a enfin regardé, timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise. Je l’ai rassurée d’un sourire et d’une petite tape sur la tête. Le lendemain, nous avons enfin osé parler de cette extraordinaire expérience. Elle m’a raconté comment le pénis du chien lui avait donné des sensations absolument différentes de celui d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle le sentait très profondément. Et le rythme aussi était différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre elle. Tandis qu’elle me donnait ces détails, je voyais dans ses yeux un nuage rêveur que perçait toutefois une lueur malicieuse. Elle semblait penser : C’est incroyable ! Je me suis encore fait prendre par un chien ! je suis une salope.

Moi je m’en fous, je l’adore, ma salope !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:02

Trio en famille par Marine_et_Thibault

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Avez-vous lu « la visite de Maman » ? Toujours est-il que nous avons vécu une autre aventure avec ma mère, laissez moi vous la narrer.

L’horloge du salon sonne 18 heures. Avec Thibault, nous étions en train de glander. Il a fini par se lever et mettre un C.D. de musique d’ambiance . Il me dégage de mon fauteuil avec douceur, me prend dans ses bras et nous commençons à danser. De la douce musique, quelques baisers et des tendres caresses, nous sentons le feu nous dévorer les entrailles. nous dansons plusieurs minutes en nous caressant mutuellement partout où nos mains ont accès. Nous aimons prendre notre temps.

Tout doucement, on s’est déshabillé mutuellement, tout en s’échangeant de douces caresses ce qui nous a excité de plus en plus.

Ma petite culotte vient de tomber, le boxer de Thibault prend le même chemin. Danser nus nous transporte d’extase. Je sens ma chatte toute humide et la queue de Thibault est à sa pleine capacité. Il met sa bonne bite entre mes deux lèvres vaginales et notre chaleur est à son paroxysme. Nous continuons à danser et à nous caresser

Tout à coup, j’aperçois ma mère qui nous regarde devant la porte-patio. C’est bien elle, ça se pointer comme ça à l’improviste, sans un coup de fil préalable, mais c’est vrai qu’elle est fâché avec son téléphone portable.

Au point où nous en sommes, nous ne pouvons reculer. Je lui fait un sourire et elle entre.

– Nous allons nous rhabiller ! Commençais-je.
– A moins qu’on se fasse un petit trio ? Propose-t-elle sur le ton de la plaisanterie.
– Chiche ? Rétorque Thibault
– Et toi Marine qu’est-ce que tu en penses ? Me demande ma mère.
– Ça peut être… comment dire…
– Pervers ? Excitant ? Tabou ? Interdit ?
– Tout ça , oui !

Elle nous prend dans ses bras et nous dansons tous les trois. Thibault et moi, nous lui enlevons ses vêtements et tous les trois nus, nous unissons la chaleur de nos corps. Maman et moi, nous nous partageons le sexe de Thibault.

On se regarde dans les yeux, on se caresse, et avant que je m’en rende compte, les lèvres de ma mère se retrouvent sur les miennes et nos langues se tortillent dans tous les sens, dans la chaleur de notre bouche.

Pendant ce temps, Thibault nous regarde et il nous caresse chacune notre tour avec ses doigts, sa bouche sur nos tétons durcis par tant de plaisir, sa langue fouille nos moules juteuses et il mélange nos jus. Il prend un plaisir fou et tout à coup nous ne pouvons plus tenir debout, et nous nous retrouvons par terre pour regarder les uns faire des caresses aux autres.

Notre langue fouille dans la bouche de l’autre et autant sur la bite terriblement bandée de Thibault

Ma mère s’est mise à quatre pattes sur le tapis et nous a demandé de lui lécher l’anus. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour je lécherai le trou de balle de ma propre mère, Il avait un goût exquis.

Emportée par une frénésie érotique, je plongeais deux doigts dans son anus, la faisant brailler comme une ânesse. Quand je les retirais ce fut pour laisser la place à Thibault qui l’encula sans rémission

Il jouit dans ses entrailles et ressorti sa bite toute gluante de sperme et maculé de merde.

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Maman et moi avons nettoyé cette jolie bite de nos langues vicieuses afin qu’elle redevienne toute propre comme un sous neuf.

– C’est si bon de sucer une bite qui sort d’un trou du cul ! Me confie ma mère.
– Cochonne :!

Thibault va s’assoir, j’échange un long baiser baveux avec maman, on se touche la chatte mutuellement, on est mouillé comme des gouttières.

Ma mère se relève et me demande d’ouvrir grande la bouche.. J’ai compris ce qu’elle veut faire.

– Tu ne veux pas ? Me demande-t-elle
– Oh, si Maman, pisse-moi dans la bouche. J’adore ça.
– Alors avale, petite cochonne.

Hum,; c’était délicieux

Puis, c’est quasi spontanément que l’on s’est couché en soixante-neuf sur le tapis et que l’on s’est lapé la chatte jusqu’à l’orgasme.

Quelle était bonne la chatte de maman !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:00

Partie bourgeoise par Marine et Thibault

 

Attention texte contenant de la scato explicite !


Je m’appelle Thibault et je viens d’être nommé directeur des ventes.

 

J’ai voulu fêter ma nouvelle promotion en organisant une petite fête à la maison.

 

J’ai invité Lysandre, un grand blond à lunettes. Comme moi, il est légèrement bisexuel et aime bien de temps en temps sucer une belle bite ou en sentir une s’agiter dans son joli petit cul.

 

Je ne sais pas où est passée Marine, ma délicieuse épouse qui me trompe à tour de bras, mais que j’adore ! Elle a dû sortir acheter des cigarettes, à tous les coups elle a rencontré une copine et s’est mise à papoter.

 

Lysandre est arrivé un peu après 18 heures, on a bu une bière, puis il m’a proposé que nous attendions les autres invités à poil. C’est effectivement une très bonne idée, je m’amuse à le provoquer en tortillant des fesses.

 

– Il te plait, mon cul de pédé ? Hein ? Dis-le-moi !

 

Ça ne loupe pas, trente secondes après, il me léchait la rondelle avant d’introduire son doigt dans mon cul. C’est lui qui m’a initié à ce plaisir, avant je ne faisais que sucer, maintenant j’adore qu’on m’introduise des objets, des doigts, des bites…

 

J’aurais aimé qu’il m’encule, mais la sonnette de la porte d’entrée retentit et j’allais ouvrir à Monsieur Andersen.

 

J’avais bien évidemment invité Monsieur Andersen, mon directeur puisque c’est à lui que je devais cette promotion..

 

Connaissant mes penchants pervers, celui-ci m’avais demandé si la petite fête serait du genre classique ou du genre partouze.

 

– La vie est courte, nous aimons tous le sexe, alors pourquoi nous en priver !

– Dans ce cas je viendrais avec ma femme et ma fille, deux belles cochonnes. M’a-t-il répondu.

 

Andersen me présente sa femme Léa, une jolie fausse blonde mature à l’œil coquin et Félicia, leur fille qui doit avoir une vingtaine d’années, une brunette au visage d’ange, tout sourire, ils sont venus avec leur chien, Koulis, un labrador noir qui frétille de la queue.

 

– Vous ne perdez pas de temps ! Me dit Andersen en rigolant, vous êtes déjà dans le plus simple appareil.

– C’est une idée de Lysandre, je vous présente Lysandre.

– Vous avez une bien belle bite, monsieur Lysandre !

– Vous pourrez en disposez à votre guise, cher monsieur !

 

Le père Andersen n’est pas du genre à se faire répéter deux fois ce genre de chose. Il prend en main la bite de Lysandre, lui soupèse les couilles, puis histoire de la faire bien bander, tortille les tétons de mon ami.

 

Quand Lysandre se retrouve en érection maximale, Andersen se penche et lui gobe la bite. Pas très longtemps, ce n’était qu’une mise en bouche, (c’est le cas de le dire)

 

Andersen commence à se déshabiller de façon méticuleuse.

 

– Dois-je dire à ces deux putes de se déshabiller également ? Me demande-t-il en désignant sa femme et sa fille.

– Mais très certainement !

 

Les deux nanas n’hésitent pas un seul instant et se retrouvent vite nues. Félicia est une très belle jeune femme avec des seins provoquants, ceux de sa mère ne sont pas mal non plus. Je remarque qu’Andersen a eu la bonne idée de poser un collier de chien autour du cou de son épouse. Que voilà une intention délicate !

 

Je demande à Betty, ma boniche de faire le service, on est tous à poil et on trinque.

 

Oh, toi le lecteur, là-bas, oui toi ? Tu crois que je ne t’ai pas entendu ? Oui, j’ai employé le terme de boniche, et si je l’ai employé ce n’est pas parce que je la méprise, ni elle ni sa fonction, c’est tout simplement parce qu’elle est complètement maso et qu’elle adore qu’on l’appelle comme ça !

 

– Me permettrez-vous de vous offrir mon champagne ? Me propose Léa.

– Mais bien certainement ma chère.

– Mademoiselle passez-moi donc un coupe vide que j’urine dedans ! Demande-t-elle à Betty.

 

Léa se place le verre entre les cuisses et pisse dedans avant de me l’offrir. Je me fais un plaisir de boire cet excellent breuvage et d’en féliciter la dame

 

– Si vous le désirez, je peux vous offrir quelque chose de plus consistant !

 

Et allons donc, j’aurais préféré que cette proposition vienne bien plus tard, mais si elle me le fait c’est que l’envie doit être pressante.

 

– A votre guise, chère madame !

– Je vais monter sur la table, comme cela tout le monde pourra en profiter.

– Excellente idée !

 

Léa grimpe sur la table et s’y accroupit.

 

– Si la boniche pouvait apporter un plateau afin que je défèque dedans ? Demande-t-elle.

 

Betty lui tend un plateau en argent qu’elle pose sous son fessier. Léa pousse et un très beau boudin marron bien moulé sort de son cul.

 

– Que voilà un beau caca ! La félicitais-je.

– A vous l’honneur de me nettoyer l’anus ! Me répond-elle.

 

Je ne saurais refuser une telle faveur et viens lui lécher la rondelle en me régalant des traces de merde entourant ce joli trou du cul.

 

On se passe ensuite le plateau contenant l’étron de Léa, chacun y va de son petit coup de langue afin d’y gouter.

 

Tout le monde est bien excité, et Félicia tient absolument à nous montrer comment elle suce bien la bite de son père.

 

– Ne le suce pas à fond, j’aimerais bien qu’il m’encule ! Interviens-je.

 

On a fait comme ça, Félicia a prodigué une jolie fellation à son paternel tout en lui doigtant le trou du cul, puis elle à stoppé, tout sourire :

 

– Qu’est ce qu’elle est bonne la bite à papa ! Maintenant elle est pour ton cul.

 

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Je me positionne comme il convient et Monsieur Andersen vient m’enculer bien comme il faut, pendant que Lysandre encule Léa en lui tapant sur ses fesses avec un branche de céleri, et que Félicia pisse dans la bouche de la bonne après lui avoir introduit deux saucisses dans le cul. Quant à Marine que je n’ai pas entendu rentrer elle suce la bite du chien avec une telle fougue que de la bave dégouline aux commissures de ses lèvres.

 

Quelle ambiance mes amis, j’ai juste oublié de mettre un peu de musique !

 

Voilà qu’on frappe ! Oh là là ! Où suis-je ? Je suis seul dans le salon ! Putain je rêvais ou quoi, mais quel drôle de rêve ! Il y a des années que je n’ai pas vu Lysandre qui vit maintenant en province et nous n’avons guère les moyens de nous payer une bonne..

 

Je vais ouvrir c’est Marine !

 

– J’avais oublié de prendre du pain, il y avait une de ces queues au boulanger. Ils arrivent à quelle heure les Andersen ?.

– Ils ne devrait pas tarder.

– On va se faire chier, il faudra éviter les sujets qui fâchent. La politique, le football… quelle corvée !

– Bah, c’est un mauvais moment à passer, je ne pouvais pas faire autrement que de l’inviter à bouffer, ma promotion c’est à lui que je la dois.

– Au fait tu m’avais promis de me dire ce que tu lui a fait à Andersen pour mériter cette promotion.

– Ben je lui ai un peu sucé la bite ! Mais faudra pas le dire à sa femme.

– Cochon !

 

Délire sans prétention écrite dans le TGV Paris-Strasbourg en matant ma voisine d’en face

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 17:56

Nom d’un chien par Marine et Thibault

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Un jour ma copine Carla, une veille gouine avec laquelle je m’amuse parfois m’a demandé si je ne pouvais pas lui rendre le service de garder son chien Mirzon pendant quelques jours car elle devait se déplacer en province.

 

Mirzon est un beau labrador, très doux et câlin. Chaque fois qu’il me voyait, il voulait fourrer son nez dans mon entrejambes. Je savais ce qu’était la zoophilie mais bon…

 

Le premier jour fut calme… Mirzon m’a suivi comme un petit chiot ainsi qu’à son habitude. Dans l’après-midi je suis allée à la salle de bains pour un petit besoin et comme j’avais la maison pour moi toute seule je n’ai pas fermé la porte de la salle de bains. Ma culotte était sur mes chevilles et la jupe mi-courte que je portais était retroussée autour de ma taille. Je fis mon pipi, et m’essuyais lorsque Mirzon vint flâner dans la salle de bains, ses grandes pattes cliquetant sur le carrelage. Il est entré, a mis sa tête sur mes genoux et a regardé fixement vers le haut avec un air bizarre, aussi j’ai commencé à lui gratter sa tête. Cela a seulement duré quelques secondes avant qu’il ne commence à essayer de flairer entre mes jambes. J’ai ri, lui ai dit que « non » et j’ai essayé d’éloigner son mufle énorme mais lui devenait plus insistant.

 

J’ai cessé de résister et sa truffe froide s’est avancé petit à petit de plus en plus près de ma petite ouverture serrée. Par la suite son mufle humide a trouvé ce qu’il recherchait et a reniflé plus profondément. Sa longue langue plate et ferme est sortie et m’a léché une première fois, doucement, presque comme s’il hésitait. Des frissons ont parcouru ma peau, mes mamelons instantanément sont devenus durs comme un roc. Il m’a encore lapée… et encore il a tiré des frissons de tout mon corps. C’était exceptionnel. Meilleur que n’importe quel homme n’avait pu le faire avec juste deux rapides léchages. J’ai décidé de me détendre et de lui donner une peu de latitude pour faire comme il le souhaitait.

 

J’ai glissé au bord du siège et j’ai laissé mes jambes s’écarter plus loin puis j’ai reposé mes mains sur mes genoux. Mirzon s’est rajusté de sorte qu’il ait pu obtenir un meilleur accès, a plié sa tête vers le bas et a commencé à lécher mon minou humide de miel. Les sensations n’étaient comparables à rien de ce que j’avais jamais éprouvé auparavant. Sa langue séparait mes lèvres serrées et s’enfonçait plus profondément à chaque poussée, en passant au-dessus de mon clitoris chaque fois. Pendant ce temps mon nectar coulait et il m’a semblé agir comme s’il voulait en trouver la source. Il fouinait de sa truffe dans ma vulve, séparant mes lèvres au plus large et envoyait sa langue dedans profondément, inquisiteur recherchant la source de mon humidité. J’ai glissé mes mains vers le haut de mes jambes et j’ai lentement dirigé mes doigts entre son lapement, régulier et persistant, et ma fente. J’ai eu quelques secondes de soulagement de la sensation constante du plaisir mais n’ai toutefois pas voulu qu’il s’arrêtât. Ainsi j’écartais mon autre jambe encore plus loin et j’utilisais mes mains pour m’ouvrir totalement et pour lui donner un accès plus commode.

 

Quand il a recommencé à me lécher, en raison de mon nouvel angle et de ma nouvelle position, il a balayé depuis mon anus froissé jusqu’à mon clitoris m’envoyant presque au-dessus du bord. Je n’ai pas voulu jouir pourtant cependant J’ai voulu me délecter de chaque seconde que je passais avec ce fort bel animal. Mirzon à nouveau se concentra sur mon minou et mon clitoris et à l’aide de mes doigts j’ouvrais largement mes grandes lèvres m’offrant au plus large, ainsi il a trouvé des profondeurs que je n’avais pas imaginées possibles. Ondulant sous la vague de plaisir se répandant dans tout mon corps j’ai senti l’orgasme approcher. Son museau entier était enfoui dans ma chatte, sa langue glissant profondément dans mon trou, lapant vers le haut les jus qui dégoulinaient de moi. Je ne pourrai jamais décrire l’orgasme le plus puissant de ma vie entière qui s’est brisée au-dessus de moi. Totalement arquée en arrière, j’ai gémi tellement fort que les voisins m’ont probablement entendu, et j’ai commencé à avoir des spasmes pendant que je saisissais la tête de Mirzon tandis qu’il poussait sa langue rugueuse et épaisse plus loin dans mon vagin. Le plaisir m’accablait et j’ai dû éloigner sa tête et maintenir mes jambes fermées pour le faire arrêter. Après quelques minutes, je suis redescendu des étoiles

 

6Miranda (1)

Je viens d’avoir le plus fantastique orgasme que je n’ai jamais eu ! Et j’ai vu Mirzon se reposer là avec sa langue flânant au dehors et sa queue remuant de satisfaction..

 

Plusieurs heures plus tard, j’eu de nouveau envie d’aller aux toilettes pour un petit caca, cette fois ! Je m’installais sur la cuvette quand je vis débouler Mirzon.

 

Excitée comme un puce je lui attrapais la bite et fit en sorte que je puisse la sucer. Hum ce cylindre de chair rouge dégoulinant de jus est un vrai régal, je le suçais pendant plusieurs minutes tout en continuant à chier.

 

Puis je me retournais, offrais mon cul non essuyé au chien qui commença par me le lécher avant de me grimper dessus et de m’enculer comme une salope !

 

Mais ce que je ne savais pas, c’est que Thibault était derrière la porte et regardais par l’entrebâillement. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de mon trou du cul, il se masturbait. A la vue de la scène, il juta très vite en un rien de temps. Il attendit quelques minutes avant de rentrer dans la salle de bain.

 

– Salope tu te fais baiser par les chiens, maintenant ! Dit-il faussement fâché.

– Ben quoi ça change ! Et puis c’était tellement bon !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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