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Soubrette de Charme 6 – Quatre couples et une soubrette par Hélèna et Boris
Ce chapitre 6 de « Soubrette de charme » peut se lire indépendamment des chapitres précédents…
En cette fin d’après-midi d’un samedi de mai, les nuages qui avaient menacé l’Ile de France tout au long de la journée se raréfiaient, aucune pluie n’était tombée, et le début de soirée serait probablement bleu.
Pour la deuxième fois, ils se rendent dans la propriété de Gabrielle et de René. Eric a promis à son épouse que cette fois-ci, il ne ferait pas son timide et qu’il oserait aller jusqu’au bout de ses fantasmes.
– C’est bien vrai ? Tu ne vas pas me décevoir, j’espère ? Lui demanda à nouveau Julia avec un air malicieux…
Holà ! Stop ! Mais c’est qui tous ces gens-là ?
Julie et Eric forme un couple d’une trentaine d’années, physiquement ils sont, on va dire dans la moyenne, lui est châtain clair, petites lunettes, elle, toujours le sourire, la peau très claire, des cheveux « partout », des yeux bleus et un éternel et désarmant sourire, et nous n’épiloguerons pas sur les formes car elles sont moyennes (ce qui ne veut pas dire quelconque). Ils sont tous les deux employés dans une compagnie d’assurance et se sont connus classiquement au bureau et charnellement dans le local des archives
Amoureux du sexe, ils ont déjà eu des expériences échangistes, mais cette fois ils avaient répondu à une annonce un peu différente sur le Web :
« Couple mature, bien conservé, bon milieu social, possédant grande propriété avec piscine, cherche autres couples pour catalogues de perversions dans le respect mutuel et la décontraction. Bi bienvenus, mais non obligatoires. (Niveau social, couleur de peau et âge indifférent). Envoyez photos etc… »
C’est sans doute l’expression « catalogue de perversions » qui avait servi de détonateur : « C’est quoi ? » avait demandé Eric. « On verra bien ! » avait répondu Julia. Et ça pour voir ils virent et tandis que la femme avait foncé chatte baissée dans la ronde infernale du sexe, lui, hésitait, temporisait, faisait classique…
– Alors on coince ?
– Ça ne se commande pas !
– Et bien tant pis la prochaine fois je viendrais seule !
Elle en était capable… Mais les images mémorisées lors de cette partie avaient fait leurs effets, notre Eric était excité comme un pou, et cette fois, juré, craché, il participerait lui aussi ! Ah mais !
Décrivons maintenant Gabrielle, la maîtresse des lieux, elle doit avoir la quarantaine. Elle est grande, sculpturale, bronzée, son corps n’a pas trop souffert de l’outrage des temps, son visage est resté lisse et son sourire radieux, ses cheveux bruns ont fait l’objet récemment d’une coloration auburn et une coupe en carré. Quant à René son époux, il compense le peu de cheveux qui lui reste par une barbe toute blanche et s’efforce d’avoir le moins de bedaine possible.
Farida, la soubrette vient leur ouvrir les portes de la propriété. Comme la dernière fois Eric est subjugué par le regard coquin et les yeux noirs de cette accorte beurette. La dernière fois, elle avait participé un petit peu à l’orgie générale, trop peu à son goût mais il avait pu admirer ses jolis seins, son corps mat et surtout son fessier de rêve.
René accueille le couple, bisous, bisous, tout le monde s’embrasse dans ce petit monde, y compris les hommes. Il est vêtu d’un pantalon de toile et d’une chemise blanche à moitié ouvert sur sa poitrine glabre de tout poil et dont la peau bronzée est rehaussée par la présence d’une lourde chaîne en or.
– Si j’osais, Julia, je vous demanderais bien de m’embrasser sur mon téton, il a le souvenir de votre bouche et ne demande que ça !
– Vous me flattez, mais on ne se tutoie plus alors ?
– Si bien sûr, mais un peu de préciosité m’amuse parfois ! Alors d’accord !
– Comment refuser ?
Alors, Julia écarte un peu la chemise du vert quinquagénaire et lui suce le bout particulièrement développé de son sein. René en ronronne de plaisir.
– Julia, vous me faites déjà bander, vous êtes une magicienne !
– Vous ne disiez pas ce mot-là, l’autre fois !
– Alors vous êtes une magicienne et une salope !
– Je suis ta salope, je suis ta pute ! Tu en veux encore ?
– Réservons-nous, Julia, réservons-nous ! Ah, il va faire très beau ce soir, nous allons nous installer près de la piscine, mais figurez-vous que comme ces cornichons de la météo avaient prévu de l’orage, on a tout préparé à l’intérieur, je vais peut-être vous solliciter pour aider Farida…
– Ce n’est pas un problème !
– Par contre, je voulais commencer par passer la vidéo de la séance de l’autre jour, mais on risque de rien voir, avec le soleil, on fera ça quand la nuit sera tombée ou alors une autre fois. Par contre, j’avais pensé que vous pourriez nous faire un petit numéro… venez avec moi… je vais vous expliquez ce que j’ai mijoté…
René entraîne Julia à l’écart, la soubrette propose alors à Eric de se mettre à l’aise, complètement ou partiellement précise-t-elle, puis l’invite à prendre place dehors où seront servis quelques rafraîchissements.
Il y a déjà près de la piscine un couple, ce sont deux blacks, elle, Melissa à la peau très noire, s’est contentée d’enlever son pantalon mais a conservé son string et son haut. Quant à Simon, son compagnon, il s’est carrément mis à poil, et si la peau de son corps est plus café au lait que noire, celle de son sexe offre une couleur chocolatée du plus bel effet. Eric lorgne vers ce bel organe. Osera-t-il cette fois ? Oui probablement !
Il salue le couple, puis ne sachant pas trop comment se comporter décide de se mettre en slip, ce dernier vêtement, et bien il l’enlèvera quand tout le monde sera à poil…
Gabrielle fait son apparition ! Elle est vêtue (vêtue ?) d’un haut en voile noir transparent dont le fin tissu frotte et agace ses gros tétons. En bas il n’y a rien, rien du tout, sinon le glabre de sa chatte rasée. L’érection commence à gagner Eric :
– Nous attendons encore un couple, nous serons donc huit, nous espérions avoir une belle surprise, un couple de transsexuels devaient passer, mais ils nous ont téléphonés, un empêchement de dernière minute, ils viendront peut-être mais ce n’est pas sûr du tout, dommage cela aurait mis du piquant… Dite voir Eric, c’est moi qui vous fait bander ainsi ?
Et en disant cela, elle lui attrape le sexe à travers le tissu du slip. Eric est tétanisé, il ne tente aucun geste. Gabrielle finit par sortir la queue, droite comme un pieu, lui imprime un très court mouvement de masturbation, puis se baisse et l’engloutit dans sa bouche, se livre à deux ou trois allers et retour dans son palais, puis se relève
– C’est sympa de se dire bonjour comme ça ! Dit-elle simplement avant d’aller vaquer à d’autres occupations.
Que va faire Eric, il ne le sait pas trop, faire la conversation à Simon ? À Melissa ? Au deux ? Ou rester tranquillement pour le moment dans son coin ?
Le bruit pétaradant d’une moto lui évite de prolonger ce genre d’interrogations. Un couple vêtue de noir descend de l’engin. Ils enlèvent leur casque. Eric ne connaît pas ceux-là, ils se présentent : Vincent et Blondie, La quarantaine sans doute, Vincent est un grand moustachu, Blondie une fausse blonde qui exhibe un genre un peu « pute » mais qui n’est pas pour déplaire à Eric.
– Blondie ? C’est un prénom prédestiné ?
– C’est un pseudo, bien sûr, mais je l’aime bien, c’est ma façon à moi, d’afficher mon mépris face à ceux qui se croient malins en critiquant les blondes !
Elle a dit ça d’une traite, sa tirade elle doit la sortir souvent…
Après quelques présentations d’usage, nos deux motards se mettent directement à poil, l’homme exhibant un encombrant dragon tatoué sur le torse, alors que madame dévoile une poitrine très probablement refaite mais que la présence de petits piercing en forme de boucle rend très excitante.
Voici beaucoup de monde, neuf personnages pour une partie à peine commencée ! Comment allons-nous faire pour ne pas les confondre… L’auteur s’efforcera de vous aider, mais cela n’est pas si grave que ça, notre récit n’est pas une étude de mœurs, mais la description d’une joyeuse partouze décontractée
René prend la parole :
– Et bien messieurs dames, puisque tout le monde se connaît ou s’est présenté, nous n’attendons en principe plus personne. Il y a donc un petit buffet dans le coin là-bas, n’hésitez pas à vous servir. Nous allons commencer par boire une petite coupe de champagne, et après Julia va vous faire un petit numéro, histoire de nous échauffer… Venez on va trinquer !
On suit le maître de maison, Gabrielle aide Farida à distribuer les coupes et à les remplir. Puis les invités sont invités (justement ça tombe bien) à s’asseoir en arc de cercle dans les fauteuils de jardins. La sono diffuse alors de la musique disco et Julia se lève pour esquisser quelques pas de danse.
Julia habillée comme elle est venue s’amuse à se caresser le corps par-dessus ses vêtements, elle regarde l’assistance, quatre femmes dont deux toutes nues ou presque. Même proportion chez les hommes…
Elle déboutonne puis enlève son chemisier, caresse ses seins par-dessus son soutien-gorge, puis elle retire son pantalon, se caresse les jambes, se caresse les bras, fait durer le plaisir. Elle fait signe à Simon de venir la rejoindre. Le grand Black ne se fait pas prier, et elle lui demande de dégrafer son soutif. Il le fait s’emberlificotant, s’y reprenant à plusieurs fois, provoquant les rires de l’assemblé, finalement les seins de Julia sont libérés. Elle se baisse alors devant son partenaire du moment. On croit qu’elle va alors le sucer… Non, pas du tout, elle lui coince la bite entre ses seins et entame quelques mouvements de masturbation mammaire ! Un mini branlette espagnole, quoi ! Simon qui devait penser que c’était la fête se trouve un peu déçu quand Julia lui demande de regagner sa place, elle appelle alors Gabrielle, la maitresse de maison. Les deux femmes sont face à face, elles se caressent un petit peu puis s’embrassent goulûment…
Dans l’assistance, ça chauffe un peu, René s’est désormais débarrassé de ses vêtements, Melissa est en train de la faire, et si on excepte ceux de la soubrette, le seul vêtement de spectateur est maintenant constitué par le caleçon d’Eric, lequel caleçon vient de recevoir la visite sous la forme d’une main. En effet René qui est sur le fauteuil voisin vient lui tâter le membre et Eric choisit de se laisser faire.
Eric s’est juré d’être moins timoré que la dernière fois, c’est peut-être déjà le moment de le montrer, alors profitant des circonstances et de l’excitation, il avance à son tour une main sur la pine de René et se met à la masturber avec lenteur et douceur.
Les deux femmes, un peu plus loin se sont débarrassées de ce qu’il leur restait de vêtements, elles s’embrassent les seins à tour de rôle, puis la chatte, elles sont à présent sur le sol sur un espèce de tapis en mousse qui a été posé là… et sans doute pas par hasard. Dans l’assistance l’excitation est à son comble et comme le spectacle ne réserve plus de surprise du moins pour l’instant, les spectateurs gèrent eux-mêmes leur excitation… Ainsi Blondie notre fausse blonde motocycliste s’est-elle rapprochée de Simon en s’emparant de sa queue qu’elle branle avec empressement. Son compagnon, Vincent, lui s’est agenouillé devant Melissa la petite blackette et lui lèche son petit minou tout rose. Quant à Farida notre soubrette elle est absolument désolée, déjà parce que personne ne touche à son petit buffet qu’elle a pourtant arrangé avec art, ni à son petit minou qui vaut bien celui des autres, et vexée s’en va un peu à l’écart se masturber toute seule comme une grande en s’excitant du spectacle.
Mais revenons à Eric puisqu’il est en quelque sorte le fil conducteur de ce texte (fort instructif, nous sommes bien d’accord). Donc Eric et René se branlent de conserve. Eric qui n’a jamais fait cela sinon dans ses fantasmes est fort ravi de caresser ainsi ce sexe à la texture qu’il ne croyait pas si douce… puis au bout d’un moment le René lui demande :
– Suce !
C’est qu’Eric fait d’abord semblant de ne pas entendre ! Alors René reformule !
– Suce-moi !
– Euh, je préfère attendre un peu ! Répond Eric !
– Oui, mais moi je préfère ne pas attendre, allez, dépêche-toi ! Tu vas voir comme elle est bonne !
Eric se rappelle encore ses résolutions. Ben oui les résolutions si on ne veut pas qu’elles se réalisent, il ne faut pas les prendre… Alors il se penche vers la verge du quinquagénaire, la bouche ouverte et engouffre le membre offert ! C’est un peu salé, mais le contact ne lui déplait pas, il fait quelques mouvements de lèvres, avant de compléter son action de coup de langues sur le gland. Il lui faut bien une minute pour trouver le bon geste, mais il le trouve et se met à sucer avec délectation la bonne bite de son hôte !
– Vas-y suce moi bien ! Après je vais t’enculer !
Eric préfère ne pas entendre ! Il a certes pris des résolutions mais pas toutes, et en tous les cas, pas celle-ci, chaque chose en son temps ! Mais pour l’instant il se régale. Un moment il reprend son souffle, sa mâchoire a besoin de quelques instant de repos, et il s’aperçoit que Vincent, le motard est devant lui, la bite tendue ! Que fait-il ici, la chose se serait donc mal passée avec Melissa ? Un petit coup d’œil sur le côté, mais non, Melissa est parti explorer et lécher l’entre jambe de la soubrette qui n’en peux plus mais qui ne s’est toujours pas déshabillée pour autant.
Eric après quelques secondes de récupération nécessaire ouvre la bouche à nouveau et engouffre la pine de Vincent. Elle est plus belle et plus grosse que celle du quinquagénaire. Une pensée lui vint : Osera-t-il faire de même avec la longue verge de Simon, le Black ? Mais pour l’instant celui-ci est occupé à chevaucher la fausse blonde qui a l’air si l’on en croit ses cris et ses ânonnements d’apprécier ce sombre pilonnage.
Voici donc Eric qui suce Vincent, il s’apprête donc à faire de la fellation alternative comme il l’a vu faire dans certains films. Mais c’est sans compter sur la perversité de son hôte, qui lui demande sur un ton qui ne mérite pas réplique.
– Retire-toi de ta chaise et mets-toi accroupi pour le sucer, on va faire un truc !
Il ne réfléchit même pas… Fait ce qu’on lui dit et tandis qu’il se régale de sa sucette salée, René commence à lui peloter les fesses, puis un doigt humecté de salive s’approche de son trou du cul, et finit par y pénétrer de façon quasi naturelle. C’est bien la première fois que le doigt d’un homme pénètre ainsi le fondement d’Eric, mais il y a un début à tout et il prend le parti de ne pas protester et d’attendre courageusement la suite. Pour l’instant pour lui ça se passe bien, ce doigtage aurait même tendance à l’émoustiller plus que raison. Tout va bien, donc !
Un cri fulgurant fait tout d’un coup s’interrompre l’ensemble des participants, c’est tout simplement Julia qui vient de jouir sous les coups de butoir de la langue de sa partenaire. Le petit groupe est soudain distrait et regarde nos deux femmes qui depuis tout à l’heure sont soudées l’une à l’autre dans un soixante-neuf impeccable. Eric ne peut réprimer un petit pincement de jalousie, il ne l’a jamais fait jouir à ce point. Il faudra qu’il se surpasse, lui montre de quoi il est capable, puis il se dit que la première chose à faire est sans doute de ne pas la décevoir comme la première fois ici, alors c’est décidé, se dit-il, si l’autre veut m’enculer, et bien qu’il m’encule, on analysera les choses après !
Mais il est sans doute dit que les choses se passent toujours différemment que ce que l’on prévoit, et voici qu’un second cri résonne dans la fin d’après-midi de notre propriété bourgeoise. Cette fois c’est Gabrielle qui jouit comme une folle et qui ameute le quartier. Cela à l’heur de plaire à notre hôte qui abandonnant son doigtage se met à applaudir frénétiquement. Du coup tout le monde ou du moins ceux qui n’ont pas les mains trop occupées se mettent à applaudir et notre René s’en va aider son épouse à se relever et lui fait un joli bisou sur la bouche, c’en est touchant !
Les deux femmes épuisées s’en vont vers le petit buffet où elles se servent à boire, René suit, et Vincent décide de faire de même, entraînant du coup Eric avec lui, un peu déçu car il aurait bien continué à le sucer. Blondie rejoint le petit groupe quelques instants après, elle vient de sucer à fond la bonne bite noire de Simon et l’a laissé pour le moment épuisé sur sa chaise. Elle pavane devant le buffet, exhibant volontairement les jets de sperme qui lui macule le torse, et qu’elle se garde bien d’essuyer.
– Bon on va se boire un petit coup ! Proclame René rajoutant sur le ton de la blague ! « Je vais être obligé de faire le service moi-même, que voulez-vous le personnel de nos jours ce n’est plus ça… » et il montre l’endroit où Farida et Melissa sont en train de se gamahucher avec un entrain diabolique complètement étrangères au monde extérieur.
Eric regarde Blondie, il est fasciné par cette blonde sculpturale, certes, il est venu pour faire des découvertes et des expériences, mais il est avant tout hétérosexuel et cette bombe l’excite. Et celle-ci s’en rend vite compte !
– Je te plais on dirait, hein ?
– Il faudrait être difficile !
– Tu devrais te méfier, je suis une vraie tigresse !
– Je n’ai même pas peur ! Répondit-il sur le ton de la plaisanterie.
– Non, mais ça va peut-être venir, tiens tourne-toi, j’aime bien regarder les fesses des mecs, ça m’excite !
Eric obtempère !
– Hum pas mal ! Joli cul, ça ne demande qu’à être enculé un joli petit derrière comme ça ! Tiens au fait tu l’as trouvé comment la bite de mon mari !
– Délicieuse ! Se surprend à dire alors Eric !
– Bon, je vais m’occuper de toi, mais tu te laisses faire d’accord ?
– Euh !
– Quoi, euh ?
Puis s’adressant au groupe :
– Ça vous dirait d’assister à une petite domination, les amis !
Et devant l’approbation de quelques-uns, Blondie s’en va rejoindre sa moto en tortillant du popotin, et revient avec une petite mallette, elle l’ouvre devant l’assistance, curieuse.
– Il y a tout ce qu’il faut là-dedans !
Elle commence à s’harnacher avec un gode ceinture, s’empare d’un martinet, puis prend la main d’Eric :
– Allez viens mon biquet on va faire ça là-bas !
Elle l’entraîne alors sur le tapis de mousse, là où était les deux femmes tout à l’heure !
– Bon, allonge-toi par terre… Non pas comme ça, tu te mets à genoux, tu baisses la tête et tu relèves les fesses… Voilà comme ça ! Allez, je te fouette, et je t’encule, et après tu auras doit à une récompense ! Ça va t’es d’accord ?
– Euh !
– Mais bien sûr qu’il est d’accord ! Intervient alors Julia !
– Tiens, tiens… On dirait que ça t’excite, toi, rien que l’idée que j’encule ton mec, c’est bien ça, non ?
– Bien sûr que ça m’excite !
– Hum, attends un peu, toi, je vais t’exciter autrement tout à l’heure, petite salope !
– C’est quand tu veux !
– Mais d’abord, je vais préparer ce petit cul !
Un premier coup de martinet cingle le cul d’Eric qui se croit obligé d’accuser réception par un joli « aïe » de circonstance, l’assemblée est debout à l’exception de Simon toujours à moitié groggy sur sa chaise et des deux tourterelles qui n’en finissent pas de se gouiner la chatte. Et tandis que les coups tombent zébrant joliment les fesses d’Eric qui a fini par s’accoutumer à la pratique, René et Vincent jouent mutuellement avec leurs attributs virils en un petit jeu de masturbation décontractée, tandis que Gabrielle et Julia qui décidément se sont découvertes des affinités se caressent négligemment le corps tout en perdant rien de ce délicieux spectacle
Délicieux spectacle disions-nous, mais qui devient de plus en plus hot ! Blondie ordonne à Eric de se tourner et de venir sucer son gode de plastique. Etonnement d’icelui qui ne voit pas l’intérêt d’une telle fantaisie, mais l’ordre est répété, et il l’exécute se surprenant à penser que décidément une vraie bite, cela possède quand même plus d’attrait, et tout content de cette trouvaille, il lâche le morceau de latex et clame à qui veut bien l’entendre !
– On dira ce que l’on voudra mais ça ne vaut pas une vraie queue !
Ça a le mérite de faire rigoler son monde et de rendre joyeuse son épouse Julia à qui Gabrielle confiera alors :
– Il a fait des progrès fulgurant en trois semaines, ton mec !
Blondie fait mettre Eric à quatre pattes, puis rouspète qu’elle a oublié quelque chose, repart vers sa mallette et revient avec un préservatif et un pot de gel. Elle lui tartine le cul avec, puis présente son gode à l’entrée de l’anus. Elle pousse un peu, ça hésite un peu mais ça finit par entrer. Eric proteste que ça fait mal, Blondie lui rétorque que ce n’est qu’un passage et que ça devrait aller mieux ensuite. Effectivement au bout de quelques instants Eric ne bronche plus, et donne tout l’air d’apprécier ce curieux traitement. La fille l’encule ainsi pendant plusieurs minutes, puis quand l’affaire a fini de l’amuser, elle s’arrête. Elle salue le public, (le public… quatre personnes, non cinq car maintenant Simon est sorti de sa torpeur et a rejoint les autres) se fait applaudir, mais précise que ce n’est pas fini.
– Alors ça t’a plu ? Demande-t-elle à Eric !
– Ça va, mais que d’émotions !
– Comme tu dis, mais tu n’as encore rien vu ! Tu dois avoir soif, mon biquet !
– Bonne idée ! Réponds Eric qui déjà se met en chemin pour rejoindre le buffet :
– Tu restes là ! Tu t’allonges par terre !
Certains comprennent mais pas tous, et en tous cas pas Eric !
– J’ai bien envie de te pisser sur la bite !
Stupeur d’Eric, ce qui oblige Blondie à lui poser la question :
– On te l’a jamais fait ?
– Si deux ou trois fois ! Mais je n’en veux pas sur le visage !
– Bon, je crois que je vais demander à Julia ! Julia je le fais ou je ne le fais pas !
– Disons qu’il a le droit de ne pas aimer, mais qu’il n’a pas le droit de refuser de goûter !
Que répondre à des arguments aussi censés ? Blondie chevauche Eric et se concentre quelques secondes, puis son jet doré tombe dru sur le sexe et le ventre de l’homme. Alors Blondie avance, le jet tombe sur le nombril, sur la poitrine, sur le cou…
– Ouvre la bouche !
Eric obéit, mais ça tombe à côté, Blondie s’accroupit alors plaçant sa chatte à seulement dix centimètres de sa bouche
– Tu bois tout doucement ! OK
La liqueur dorée emplit le palais d’Eric qui parvint à déglutir, étonné que le breuvage ne soit pas plus répugnant que cela, décidé à faire bonne figure il en réclame encore, juste un petit peu ! Blondie demande alors à la cantonade si quelqu’un veut du reste… c’est alors que Julia se précipite et s’allonge, ouvre un large bec et recueille la douche jaune de la belle blonde.
Pendant ce temps, René, le maître des lieux s’est mis à sucer avec avidité la belle bite de Vincent, Eric voyant la scène est tenté, cette queue l’attire irrésistiblement, il s’approche, se place à côté de son hôte mais celui-ci ne lâche pas sa proie. Qu’importe ! Simon le remplacera, et notre jeune homme timoré de tout à l’heure se retrouve donc avec en bouche le joli membre brun de notre ami black. Il s’évertue à bien faire, cognant le membre au fond de ses joues, se délectant de coups de langues sur le gland.
Deux petits cris presque simultanés, c’est Melissa, la blackette et Farida la soubrette qui viennent enfin de jouir. Cela provoque un petit mouvement de foule vers le buffet, où tout ce petit monde a envie de reprendre son souffle.
– Ben, bravo, Farida, c’est comme cela que vous faite le service ! La réprimande, en plaisantant, René.
– Vous m’aviez dit que je devais répondre aux sollicitations de vos invités, c’est ce que j’ai fait, Monsieur ! Répond-elle.
– Ouais, mais cela ne doit pas vous empêcher de faire le service ! Moi je trouve que ça mérite une punition… Tout le monde est bien d’accord ?
– Oui ! Oui ! Répond l’assemblée.
Il demande alors à la belle soubrette de finir de se déshabiller, puis à Blondie, notre pulpeuse siliconé de lui administrer quelques coups de martinets sur ces jolies fesses dorées.
– Pas trop fort !
– Tais-toi, de toute façon tu aimes ça !
– C’est du harcèlement sexuel et même du harcèlement moral, je vais me plaindre, je vais prendre un avocat ! Plaisante-t-elle.
L’ambiance est folle, tout le monde rigole, tout le monde se caresse, tout le monde se pelote, tandis que le martinet de Blondie s’acharne sur les belles fesses rebondies de la belle soubrette. Celles-ci ne tardent pas à changer de couleur et à virer au rouge.
– Hum, ça m’a excité de la fouetter, cette nana ! Dit alors Blondie qui demande alors à sa victime de venir lui lécher sa chatte
– Elle sent le pipi ta chatte !
– Tu vas t’habituer, suce !
– Je ne t’ai pas dit que je n’aimais pas ça ! Parvient-elle à dire entre deux lapées.
– Ah, bon ! Avec qui tu fais ça d’habitude ?
– Avec ma patronne, elle adore que je la nettoie avec ma langue quand elle a fini de pisser et puis parfois quand elle est bien excitée elle me pisse carrément dans la bouche… elle est cochonne, hein ?
– Hum ! Est-ce qu’elle te fait aussi lécher son cul ?
– Bien sûr !
– Même quand il est un peu sale ?
– Bien sûr !
– Et tu lui lèches sa merde ?
– Ben oui !
– Et bien, bravo Gabrielle ! Ce doit être un vrai plaisir de travailler comme domestique chez toi ?
– Farida ne s’en plaint pas, en tous cas ! Tient à préciser la maîtresse de maison.
– Tu ne voudrais pas m’embaucher rien qu’une journée ? Ça pourrait être marrant !
– Non, sérieux ? Pourquoi pas ? Tiens, je trouve que c’est une excellente idée, on va vous embaucher toi et ton mari un week-end entier, on négociera tout à l’heure, si tu veux !
– Super !
(Tiens en voilà une bonne idée pour un prochain récit)
Le reste de l’assistance est occupé à regarder les deux femmes, les mains sont baladeuses, tout le monde se caresse ou tripote tout le monde, et après que Blondie, notre fausse blonde siliconée ait joui sous les coups de langue habiles de la coquine soubrette, le maître des lieux, René prit la parole :
– Ah, mes amis, quelle ambiance, je ne regrette qu’une chose c’est que personne ne touche à notre buffet, il y a pourtant d’excellentes choses, on ne va pas gâcher tout cela, alors je vous propose ceci : on va rapprocher deux petites tables et on va faire une petite pause alimentaire, mais bon, on a cinq minutes quand même, et en ce qui me concerne je prendrais bien un petit plaisir avant de passer à table.
Tout en parlant, il branle la belle bite noire de Simon…
– Tenez je crois bien que vous allez avoir le plaisir de m’admirer en train de me faire enculer par cette belle queue, mais auparavant je vais un peu m’en régaler.
Il joint le geste à a parole et enfouit (du moins ce qu’il peut) de la bite du black dans sa bouche. C’est alors qu’Eric réalise que Vincent est libre, Vincent et sa belle bite à la peau diaphane, et au gland arrogant. Très vite il s’en empare, et se régale de cette tige à la texture soyeuse, il n’en peut plus il bande comme un dingue, et quand il aperçoit à quelques mètres de lui René se tourner pour présenter son cul aux assauts du sexe de Simon, c’est presque par réflexe qu’il en fait de même. Les deux enculeurs se saisissent des préservatifs à disposition sur la petite table, s’encapuchonnent quasi simultanément, s’active à pénétrer leur partenaire. Et si René à une relative habitude de la chose, c’est quand même une première pour Eric même si le gode de tout à l’heure à déjà « fait » le chemin !
Les femmes se sont placées un peu à l’écart à l’exception des compagnes des deux sodomisés et ne perdent pas une miette de ce spectacle qui les excite. Ainsi Melissa, la belle blackette a rejoint Blondie et toutes deux s’amusent à faire des petites misères à notre soubrette qui finalement en redemande, et après lui avoir claqué de nouveau ses fesses meurtries, Blondie à l’idée de lui introduire des glaçons dans le sexe et dans l’anus. Farida en véritable transe ne sait que crier des :
– Encore ! encore ! Vous allez me rendre folle…
Julia s’est approchée de son mari ! Le spectacle la subjugue, son entre cuisse est mouillé comme une soupe !
– Alors mon salaud, ça te plait de te faire enculer ! T’as l’air d’aimer ça les bonnes bites aujourd’hui ?
– Ah ! C’est bon !
– Tu te rends compte, maintenant que je suis une femme d’enculé ? Dit-elle en plaisantant !
– Tu l’as bien cherché non ?
– Venez donc par ici ! La coupe René. Au lieu de dire des cochonneries !
Julia obtempère !
– Que désirez-vous, Mon cher ? Demande-t-elle.
– Offrez-moi donc votre petite chatte, je vais vous la sucer, pendant que ce salaud m’encule !
– Mais avec le plus grand plaisir !
René adore aussi pratiquer le cunnilingus (oh quel vilain mot !) et s’applique tant il peut, mais la chose n’est pas si facile, Simon accélère ses coups de boutoir et faisant avancer à chaque fois de quelques centimètres son partenaire. Julia est obligée de se reculer, finit par perdre l’équilibre et se retrouve les quatre fers en l’air tandis que dans un dernier coup de butoir, Simon éjacule et s’écroule à son tour, cela fait la seconde fois de la soirée qu’il orgasme. Rigolade quasi générale, mais René rejoint Julia à terre et reprend son broutage de minou. Puis il lui demande de changer de position, il se couche sur le dos et propose à sa partenaire de venir s’asseoir sur sa bouche en sens inverse, cette position permet à la femme de s’occuper des pointes de seins hypersensibles de l’hôte. Effectivement, René ne tarde pas à rebander tout à fait comme il faut.
A côté, Vincent à lui aussi jouit, laissant Eric un peu groggy et le cul un peu douloureux. Sans doute quelqu’un s’occuperait-il de lui cela lui ferait sans doute le plus grand bien. Il regarde autour de lui… aperçoit sa femme en train de se faire lécher par René, il préfère ne pas regarder, il y a Simon complètement HS pour le moment, nos trois tribades complètement emmêlées dans un jeu qu’il ne comprend pas bien… Et Gabrielle qui se tripote toute seule.
Cette dernière croise le regard implorant d’Eric !
– Ben alors ? C’était bon !
– Oui, mais maintenant j’ai l’impression d’être un peu sonné !
– Je vais vous arranger cela ! Répond-elle.
Elle le masturbe quelques instants, le suce un petit peu, afin de lui redonner de la vigueur puis lui demande de se coucher, alors après avoir capoté le sexe, elle vient s’y empaler ! Mais juste quelques instants, sans doute pour bien lubrifier le dard… elle se dégage et cette fois présente son petit trou au-dessus du gland. Eric comprend alors, et ravi de la situation collabore à cette étrange pénétration.
– Maintenant que tu t’es fait enculer, tu as le droit de me le faire aussi ! Commente simplement la maîtresse de maison !
Julia au-dessus de René a du mal à contenir une énorme envie de pisser, elle en prévient son partenaire qui lui demande alors de se laisser aller. Et tandis que Julia lui arrose le visage et lui remplit la bouche, il se masturbe vaillamment finissant par éjaculer sur son ventre en émettant un rauquement animal.
Blondie se rapproche de Gabrielle
Attention passage scato
– C’est dommage que tu n’aies pas le cul sale, je te l’aurais bien nettoyé.
– Tu aimes bien ce genre de choses !
– Quand je suis très excitée, oui !
– Alors viens, je vais faire quelque chose pour toi, mais on va se mettre à l’écart, ça ne plaira pas forcément à tout le monde.
Elles rentrent à l’intérieur et se dirigent vers les toilettes.
– Tu vas me regarder chier et ensuite tu me nettoieras le cul !
– Bon plan !
Gabrielle ne s’assoit pas sur la cuvette, mais se dispose comme si elle utilisait des toilettes à la turque, ceci afin que sa complice puisse avoir une vue parfaite sur ce qu’elle va faire.
Elle pousse, un bel étron commence à pointer son extrémité, il s’allonge, il s’allonge encore.
– Oh que c’est beau ! S’écrie Blondie en se saisissant d’un morceau qui allait tomber dans la cuvette
Elle le porte à sa bouche, y pointe sa langue !
– Humm, c’est bon !
Elle détache un morceau de la grosseur d’un rocher au chocolat et le garde en bouche, puis sollicite les lèvres de Gabrielle qui se prête au jeu en s’échangeant un étrange baiser marron.
– On est des vraies salopes ? Hein ? Commente Blondie.
– Et alors ? on ne fait de mal à personne !
– Oui, mais ça me plait de dire qu’on est des salopes.
– Comme tu veux, mais on n’en parle pas aux autres, ce sera notre petit secret !
– Pas de soucis !
– Je te signale que tu devais me nettoyer le cul, tu ne l’as toujours pas fait !
– Je vais le faire, ma chérie.
Mais Blondie se désole, il n’y a pas grand-chose à nettoyer. Qu’a cela ne tienne Gabrielle récupère un morceau de matière et s’en badigeonne les fesses.
– Hum qu’elle est bonne ta merde !
– Il faudra qu’on se fasse une soirée scato un ces quatre…
– Avec plaisir.
Fin du passage scato
Epilogue
Tougris, le chat local, sans doute alerté par une surabondance d’émissions de phéromones décida de venir faire un tour sur ces lieux de débauches. Sans se presser comme d’habitude. Quand il arriva, il manifesta sa présence par un miaulement intempestif. Il pensait voir quelque chose d’inhabituel, non il n’y avait que quelques humains autour d’une table en train de se nourrir… Ne comprenant décidément rien à ces êtres à deux pattes, il grimpa sur une siège laissé libre, se tourna et ne tarda pas à se rendormir dans un sommeil peuplé de rêves que seuls les chats sont capables de comprendre !
Helena et Boris (Juillet 2004)
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