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Soubrette de Charme 11 – Farida en eaux troubles par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan
Coucou, c’est moi Farida, la petite soubrette délurée (et payée pour ça) au service de René et Gabrielle, grands bourgeois, pas mal obsédés mais bien sympas.
– Farida, m’interpelle Monsieur René, j’aurais besoin de vous !
– Je suis à votre service, Monsieur !
– Au ministère, on souhaiterait passer un contrat avec une boite, il reste quelques détails à régler, j’aimerai faire plaisir à leur représentant…
– Je vous vois venir, monsieur.
– Je m’en doute, je l’ai branché au restaurant hier, il se trouve que vous êtes exactement son genre de femme ! Il adore les belles brunes un peu exotiques à la peau dorée. Mais cela se passera au travail, dans mon bureau, je vais lui faire croire que vous êtes l’une de mes secrétaires.
– Mais s’il se rend compte que je n’ai pas les compétences…
– Ce n’est pas un problème, je dirais que vous êtes une stagiaire…
– Je crains aussi de ne pas avoir la tenue adéquate !
– Qu’à cela ne tienne, nous irons acheter tout ça demain.
C’est ainsi que ce matin-là, vers 10 heures, je me retrouvais dans le bureau de mon patron, habillée d’un élégant tailleur gris, d’un chemisier blanc et d’un foulard en soie de marque, très tendance. Je me suis fait un chignon et j’ai chaussé des lunettes. Ça me change de ma tenue de soubrette et je trouve que ça me va très bien.
La personne que nous attendions ne tarda pas à arriver, un type assez ordinaire, costume gris foncé, chemise blanche et cravate discrète, très fade le bonhomme, aucune personnalité… Il faudra donc que je me le farcisse. On fera avec, ça aurait pu être pire, et puis je ne suis pas là pour le plaisir mais pour le business.
On me présente, le mec me regarde à la façon du loup de Tex Avery, je me force à lui faire un sourire et vais comme prévu préparer des cafés. Les deux hommes échangent des propos très professionnels pendant quelques minutes, puis Monsieur Lucas, puisqu’il se prénomme ainsi, n’a pas la patience d’attendre plus longtemps et attaque :
– Félicitations, votre secrétaire est charmante, vous ne m’aviez pas menti !
– C’est vrai, charmante et peu farouche ! Répond Monsieur René.
– Peu farouche, vous voulez dire « coquine » ?
– Mieux que ça, même ! N’est-ce pas Farida ?
– Si vous le dites, Monsieur…
Les cafés sont prêts, je m’approche du type, sourire provocateur aux lèvres. Manifestement il ne sait pas comment commencer. Pourtant les deux hommes ont mis au point la mise en scène. René prend alors l’initiative, comme dans un jeu de rôle.
– Désirez-vous que ma secrétaire vous fasse une petite gâterie ?
– Ma foi, il y a des propositions que je ne saurais refuser… parvient à balbutier Monsieur Lucas.
Moi, j’ai déjà ma main sur sa braguette, c’est tout tendu là-dedans, j’ouvre la fermeture d’un geste vif, je le pelote un peu à travers son caleçon et je sors popaul de son nid. Petite appréhension quand même, il y a parfois des mecs qui ne se lavent la quéquette qu’une fois tous les 36 du mois. Mais là c’est tout propre : jolie bite, je décalotte, joli gland, quelques mouvements de masturbation, et hop l’engin est dans ma bouche. Et allons-y : je suce, j’aspire, je pompe, je la ressors, la lèche un peu, et invite le bonhomme à baisser complètement son pantalon. Selon le scénario que nous avions préparé, Monsieur René, s’est débraguetté à son tour et après s’être un peu branlé pour bien raidir l’objet, le voilà qui s’approche de nous afin que je le suce alternativement avec Monsieur Lucas. Je suce donc René et masturbe doucement Lucas, puis j’inverse… et c’est à ce moment-là que le zigoto se met à lorgner la bite de mon patron avec des yeux concupiscents…
Comme prévu après plusieurs minutes, je me relève et propose à Monsieur Lucas que je me mette à poil avant de continuer.
– Oui, bien sûr ! Me répond-il.
Mais bizarrement ce n’est pas le grand enthousiasme.
– Vous préférez que j’attende un peu…
Pas de réponse ! Je fais quoi ? Manifestement autre chose préoccupe ce Monsieur Lucas… et ce quelque chose c’est la bite de mon patron ! Jamais il ne va oser le dire. Mais Monsieur René qui, lui a compris la situation lui tend la perche (si j’ose dire).
– Vous regardez ma queue ? Surtout ne vous gênez pas ça ne me dérange pas !
– Euh !
– Allons, pas de manière entre nous, vous la trouvez comment ma queue ? Les femmes l’aiment bien, certains hommes aussi.
– Je les comprends aisément ! Finit par répondre Lucas, rassuré par l’attitude de mon patron
– Alors…
– Elle est superbe !
– Si vous désirez la voir de plus près, allez-y. Je n’ai rien contre le fait de faire parfois quelques trucs avec les hommes. J’ai les idées larges.
– Vraiment ?
– Je vous en prie, si ça vous dit, ne vous formalisez surtout pas.
Monsieur Lucas s’est emparé de la bite de Monsieur René et commence à la masturber. Je ne sais pas trop quoi faire, mais mon patron me fait, par signe, comprendre que je dois continuer à sucer le type mais modérément pour ne pas qu’il ne jouisse trop vite, J’espère ne pas avoir compris de travers.
– Je peux vous la sucer, juste un petit peu ? Demande Lucas. Une fantaisie quoi…
– Vous voulez sucer quoi ? Mon sexe ou ma secrétaire ? Plaisante René.
Le Lucas qui doit être fâché avec le sens de l’humour, devient rouge comme une tomate, mais répond néanmoins qu’il aimerait goûter le sexe de mon patron. On l’avait bien compris !
– Allez-y, cher monsieur !
Le mec fonce tête baissée, et engloutit la bite de Monsieur René en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Du coup puisqu’il a la tête baissée, je me relève et croise le regard de mon patron. Il me fait un signe bizarre avec le doigt. Je comprends qu’il souhaite que j’introduise le mien dans le trou du cul de Lucas. Voilà qui n’était pas prévu ! Il a de ces idées parfois mon patron !
– Oh ! Fit ce dernier, interrompant juste une seconde sa fellation gourmande.
– Ma secrétaire adore doigter le cul des hommes… des femmes aussi d’ailleurs, et elle fait ça très bien, vous aimez ?
– Hum ! Hum ! Répondit-il la bouche pleine.
Monsieur René me fait un nouveau signe avec ses doigts, c’est le chiffre 2. O.K. on va mettre deux doigts. Il est heureux Monsieur Lucas, il en tortille du cul. Par contre pour la pipe, il doit fatiguer de la mâchoire, car le voilà qui fait une pause, troquant ses lèvres contre sa main sur la queue de mon patron.
– Tant qu’on y est, peut-être que vous ne seriez pas contre un petit gode ? Lui demande ce dernier.
– Ah, vous avez ça ici ? Ma foi, pourquoi pas ? Soyons fous !
– Oh, mais je crois bien qu’on l’a perdu, n’est-ce pas Farida ? Il faudra en acheter un autre !
– On a dû nous le voler ! Répondis-je en entrant dans son jeu !
– Des voleurs de godes, on aura tout vu ! Quelle drôle d’époque ! Donc pas de godes, voilà qui est fort dommage.
– Euh… éventuellement, vous ne pourriez pas me sodomiser ? Juste un peu, comme ça… Demande alors Monsieur Lucas.
– Mais avec grand plaisir, je dois avoir du gel et des capotes dans le fond de ce tiroir, j’arrive !
Je retire mes doigts, Monsieur René me passe le gel afin que je tartine le trou du cul du type, puis il s’encapote et l’encule sans autre forme de procès. Même que c’est entré tout seul !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime bien regarder deux hommes qui s’enculent, en fait ça m’excite, une bite qui va et vient dans un trou du cul.
Je ne sais pas si je dois me joindre à eux ou rester spectatrice. Je crois faire plaisir au bonhomme en lui offrant mon minou à lécher, mais ça n’a pas l’air de l’intéresser de trop, alors je me tourne et lui présente mes fesses, du coup il se met à me lécher l’anus. Quel cochon !
Monsieur René le pilonne pendant un bon bout de temps, puis finit par se retirer. Le Lucas est aux anges et se masturbe comme un malade. On se concerte du regard avec Monsieur René et on le suce à deux, pas très longtemps, sa jouissance était toute proche ! Il réclame un kleenex pour s’essuyer son zigouigoui.
On remet tous de l’ordre dans nos tenus. Monsieur Lucas est un peu confus !
– Merci pour ces instants de folie ! Marmonne-t-il, je vous appelle ce soir pour vous donner une date pour la signature…
Et il disparaît !
– Amusant votre bonhomme, je croyais que j’étais son genre de femme ? Fis-je remarquer tout en me rhabillant.
– Ben, c’est-à-dire, quand je l’ai branché « cul », il m’a juste dit qu’il détestait les blondes, qu’il aimait bien les femmes typées et que son trip c’était deux hommes et une femme.
– Pfff ! Il n’a même pas voulu de ma chatte !
– L’essentiel c’est qu’il ait été content, et puis ça t’aura permis de voir mon bureau. On attend midi, et je te reconduirai à la maison, Me propose Monsieur René, tu n’as qu’à aller te promener dans le coin en attendant… Oh, mais j’ai une idée, attend un peu…
Il appuie sur l’interphone :
– Pascale, vous avez une minute ?
Et voici Pascale qui se pointe. Je m’attendais à une minette, mais c’est une mature à lunettes, fausse blonde, cheveux tirés, visage ovale. Elle a dû être très belle et possède encore de forts beaux restes.
– Pascale, je vous présente Farida… et vice versa… non, non embrassez-vous, des belles cochonnes comme vous ça s’embrassent sur la bouche !
Allons donc, me voilà en train de rouler un patin à cette joyeuse inconnue. Elle embrasse fort bien d’ailleurs.
– Ah Pascale ! Figurez-vous que je viens d’enculer un type, ce n’est pas trop mon genre d’homme, alors je n’ai pas joui, mais je suis un peu excité malgré tout. Je vais vous demander de me sucer toutes les deux, vous voulez bien ?
– Pas de problème, monsieur ! Répond la fausse blonde
– Et avant, dégagez bien vos seins, toutes les deux.
Elle a des seins superbes, la Pascale ! Nous voilà donc à sucer en même temps Monsieur René. L’autre est coquine et en profite pour me donner des petits coups de langues sur la mienne entre deux mouvements de fellation.
Elle s’arrête un moment et demande :
– On finit comme ça, ou vous voulez profiter de la chaleur de mes fesses ?
– Tourne toi ! Vicelarde !
– Oh, oui, Monsieur René traitez-moi de tous les noms, si vous saviez comme ça m’excite !
La fille s’est mise en position après avoir retiré sa jupe et son string. C’est vrai qu’elle possède une très jolie paire de fesses.
Sans prévenir Monsieur René lui fiche une claque sur le cul en lui distribuant des noms d’oiseaux :
– Tiens salope, tiens grosse vache, tiens morue ! T’es bonne qu’à sucer des bites !
– Oui, et j’ai même pas honte ! S’amuse-t-elle.
Monsieur René se met une capote, mais avant de la pénétrer, vient humer l’odeur de son cul !
– Humm, quel parfum envoutant !
– « Puranus », Monsieur René, « Puranus » de chez trou de balle !
J’éclate de rire pendant que René donne des petits coups de langues sur les bords de son petit trou.
Après ces petits préliminaires, mon patron encule la blonde mature.
– Oh ! Que c’est bon d’enculer une vieille salope ! Dis donc il a dû en passer des kilomètres de bites là-dedans.
– Je ne sais pas je n’ai pas mesuré !
Et moi, pendant ce temps-là, je fais quoi ? Je me pose devant elle lui offrant ma chatte, mais elle me fait signe de me tourner, elle préfère me lécher le cul. Ils doivent être tous obsédés du cul ce matin, sans doute parce que c’est la pleine lune !
Le contact de sa langue sur mon intimité arrière se révèle très agréable, mais l’affaire ne dure pas très longtemps. Pascale et René se désemboîtent, on retire la capote, et la fille se remet à pomper goulument jusqu’à ce que mon patron jouisse dans sa bouche.
Vicieusement, elle approche sa bouche de la mienne et me fait partager son contenu. J’accepte le cadeau, ne dit-on pas « Sperme du matin, bon pour le teint. »
– Tu veux que je te fasse jouir ? Me demande-t-elle.
Je ne suis pas là pour ça, mais d’une part je suis quand même pas mal excitée et puis cette Pascale je la trouve tout à fait charmante. J’interroge Monsieur René du regard.
– Allez-y, mais ne faites pas trop de bruit.
Elle me fait signe de m’assoir sur le bureau, j’y vais, j’écarte les cuisses et elle vient me lécher la foufoune, elle a à peine posé sa langue sur mon clitoris que je sens venir ma jouissance. Effectivement, c’est fulgurant, je m’efforce de ne pas crier, mais j’ai le haut des cuisses trempé.
Pascale, se rajuste vite fait et disparaît sans un mot, (mais avec le sourire) elle devait avoir du travail… Dommage, je lui aurais volontiers rendu la politesse…
– Vous ne m’aviez jamais parlé de Pascale, Monsieur René.
– Je n’en ai pas eu l’occasion, il n’y a pas longtemps qu’elle travaille avec moi, j’avais un secrétaire très dévoué et très gentille mais elle est partie en province. J’ai eu ensuite quelques intérimaires très sages, mais quand Durandal, un vieux collègue est parti en retraite je me suis arrangé pour qu’on m’affecte sa secrétaire.
Je vais donc faire un tour dans le quartier et je rejoins Monsieur René à midi comme prévu. Il a l’air de fort mauvaise humeur.
– Quel con, ce mec ! Me confie-t-il, j’ai perdu tout mon temps avec lui, il a beaucoup moins de pouvoir dans sa boite que ce qu’il m’avait laissé entendre et finalement son responsable ne souhaite pas signer le contrat aux conditions qu’on avait prévu ! Quel con, mais quel con !
– C’est pas si grave, après tout ce n’est pas votre argent… Tentais-je de dire afin de le calmer.
– Ben si quand même car avec ce contrat je pensais bien empocher un joli dessous de table !
– Ah ! Je comprends mieux !
– Bon, on descend au parking et je t’accompagne.
A peine sortis de l’immeuble, le téléphone portable de Monsieur René se met à sonner.
– C’est Lucas qui me rappelle, je vais lui faire sa fête ! Je mets l’ampli., tu vas rigoler ! Me précise-t-il avant de décrocher.
– Pour le contrat, ce n’est peut-être plus complètement impossible, Monsieur Diringer aimerait vous rencontrer. Dit la voix au téléphone.
– Qui c’est celui-là ?
– Le grand patron !
– Et il veut me rencontrer pour quoi faire, pour que je l’encule ? Répond René se voulant provocateur.
– C’est un peu ça en fait !
– Et bien vous direz à votre patron qu’il aille effectivement se faire enculer, mais pas par moi !
Et il raccrocha !
Trois minutes plus tard ça sonne de nouveau !
– Allô, je suis monsieur Diringer, président directeur général de Soufiver-France !
– Ah ! J’avais dit à cet individu qui vous sert de collaborateur d’aller vous faire enculer, vous ne l’avez pas encore fait ?
– Je comprends votre colère, mais je suis sûr que ça ira beaucoup mieux si je vous dis que je suis quasiment décidé à signer ce contrat.
– Faudrait savoir ce que vous voulez ? Et puis c’est quoi « quasiment » ?
– Je voudrais juste discuter avec vous d’un petit avenant, mais pas au téléphone.
– Où alors ?
– Mes bureaux sont à La Défense, vous pourriez m’y rejoindre, je vous offre le restaurant bien entendu.
– Ah ! Je n’aurais pas assez de temps.
– Tant pis, je vous donne les coordonnées de mon bureau…
– C’est noté, je suis avec ma secrétaire, je la laisse dans la voiture, ou elle pourra m’accompagner ?
– S’agit-il de la personne que vous avez présentée à Monsieur Lucas ?
– En effet !
– Venez avec elle, mais pour ce que j’ai à vous dire, nous resterons en tête à tête !
Je n’aime pas ce genre de propos, je ne suis ni un objet, ni à la disposition de qui que ce soit !
– Si besoin est, je double la prime, vous êtes partante, Farida ?
– Il faudrait déjà que je vois le bonhomme !
– O.K. Tu n’es pas obligée, j’ignore ce qu’il veut faire, peut-être d’ailleurs qu’il ne veut rien faire du tout ! Si quelque chose ne te plaît pas, tu me feras signe, je comprendrais. Sinon dans le cas contraire, je te confirme que je double la prime !
– Merci, Monsieur René !
Lui au moins, je veux parler de mon patron, Monsieur René, m’a toujours respecté, son épouse aussi ! Et ils ont toujours accepté mes (rares) refus…
On arrive dans une tour qui abrite les sièges sociaux de plusieurs grosses boites, un larbin nous indique l’ascenseur. Arrivé à l’étage, un autre larbin nous indique la porte. Le « Monsieur Diringer » vient à notre rencontre, un peu gros, la cinquantaine, petite moustache, s’efforçant de se montrer jovial, le costume est classique, la cravate ornée de petites girafes sur fond vert prairie est à se tordre de rire. On le croirait fait pour le rôle du brésilien dans la « Vie Parisienne ».
– Ah ! Je vous attendais ! Bonjour mademoiselle, Lucas ne m’avait donc pas menti, vous êtes ravissante, mais je vais vous demander de nous attendre dans cet antichambre quelques minutes.
Diringer et Monsieur René s’enferment dans le bureau du premier nommé, je me demande ce que je fabrique ici, n’arrivant pas à m’intéresser aux revues classieuses mises à la disposition des personnes qui attendent.
Un quart d’heure plus tard, Diringer sort de son bureau, et m’invite à rentrer.
– Le contrat est pratiquement signé, Farida, me dit Monsieur René. Monsieur Diringer serait très honoré si vous acceptiez de lui faire une petite gâterie !
– Autant que vous sachiez que je suis bisexuel, tient à préciser Diringer, mais se faire une petite pipe par une personne qui a une si jolie bouche, ce doit être quelque chose de grandiose !
O.K., il y met les formes, ça fait plaisir d’être considérée comme autre chose que la vide-couilles de service.
– Ce n’est pas un problème, monsieur, je conseillerais néanmoins à monsieur de retirer sa cravate, il serait dommage de la tacher !
– Hum, quel joli sens du détail ! Répond l’autre en s’exécutant. Je vais appeler une de mes propres secrétaires pour vous monsieur, vous verrez, vous ne serez pas déçu.
Il compose un numéro, s’énerve recommence, recommence encore puis réalise :
– Je suis confus, où avais-je la tête, elles sont toutes parties déjeuner.
– Ce n’est pas bien grave ! Indique Monsieur René.
– Ecoutez, je vais vous faire une proposition afin de me racheter : J’habite avec quelques créatures de rêves que vous devriez appréciez, venez donc avec Farida, nous ferons la fête, ce soir, vous pouvez ?
– Il faut que je prévienne mon épouse, mais pourquoi pas ?
– Je n’ose pas vous proposer de lui demander de se joindre à nous, la fête sera un peu particulière.
– Oh, vous savez, ma femme est aussi coquine que moi, et très large d’esprit !
– Alors dans ce cas, elle sera également la bienvenue.
– Je lui téléphone de suite pour confirmer !
– Et bien voilà qui est parfait, si vous le permettez, Farida, je vais m’installer dans le fauteuil que vous occupez, et vous allez pouvoir me faire cette petite gâterie.
– Bien sûr Monsieur ! Souhaitez-vous voir ma poitrine !
– C’est si gentiment proposé que je ne saurais refuser !
J’enlève mon haut, je reste en soutif, lui fout sous le nez, tandis que ma main explore sa braguette. Je dégrafe le soutien-gorge, continue à m’amuser et lui fais téter la pointe de mes seins. Il bande joliment, je change de position et descend entre ses cuisses, je dézipe la fermeture et vais à la recherche de popaul que j’extrais de sa cachette. Quelques mouvements de masturbation, je m’assure que l’objet est propre… et allons-y dans ma bouche.
– Oh ! Tu suces bien ! Me complimente le zigoto.
Ils disent tous ça, ce n’est pourtant pas bien difficile de sucer… Juste deux trois trucs à savoir (ben, oui quand même !). Il me tripote un peu les nénés pendant que j’officie, mais en conservant une certaine douceur ! Il me demande de lui enfoncer un doigt dans son cul. Ce n’est pas un problème.
– Vous avez été très bien, Mademoiselle ! Conclue-t-il quelques instants après qu’il ait explosé dans ma bouche.
Il ouvre un tiroir, en sort quelques billets qu’il me glisse dans la main, je le remercie et enfouis tout ça dans mon sac, il aurait été incorrect que je les comptasse, mais vu les couleurs des coupures, il m’a gâté !
– Finalement c’est aussi bien que nous remettions la signature à ce soir, cela me permettra de relire tout ça tranquillement, mais ne vous inquiétez pas, je ne vois pas pourquoi je ne le signerais pas. Ah, oui, je vous ai parlé d’un petit avenant…
– A quel propos !
– Des babioles, il s’agit des pénalités en cas de dépassement des délais… mais je n’en ferais pas un casus belli, on pourra toujours s’arranger.
– On ne peut vraiment pas signer maintenant ?
– J’aurais bien aimé, mais je pensais avoir le temps de le relire avant votre arrivé, mais j’ai eu un imprévu… il y a des jours on est débordé, vous devez savoir ce que c’est…
En sortant, Monsieur René se rend compte qu’il n’aura pas le temps de manger, il a une réunion en début d’après-midi. Il me donne donc le champ libre jusqu’à 18 heures, où il reviendra me chercher.
J’ai flâné sur le Boulevard Saint-Germain, je suis allée voir un film nul et pour me venger, je me suis acheté des chaussures, un sac et un petit ensemble, je me suis payé un gros gâteau à la crème dans salon de thé. Elle n’est pas belle la vie ?
A 19 heures, après avoir « récupéré » au passage, Gabrielle, la plantureuse et sympathique épouse de Monsieur René, nous arrivons dans la vallée de Chevreuse, Diringer habite une luxueuse résidence sise sans un grand espace de verdure.
Un majordome ou quelque chose dans le genre vient nous accueillir et nous conduit dans une sorte de hall chichement décoré avec l’inévitable panneau de peinture contemporaine d’une mocheté absolue ! Ça pue le fric chez Monsieur Diringer.
Le bonhomme arrive, Monsieur lui présente Madame, Diringer se dit enchanté. Les gens sont toujours enchantés quand on leur présente quelqu’un !
– Ah ! Nous dit-il. Avant de passer à des choses plus festives, nous allons parler affaires cinq minutes, nous allons procéder à la signature du contrat, mais comme je vous l’ai dit, j’ai pensé à un petit avenant… Ça ne devrait pas poser de problèmes. Je vais vous demander de venir avec moi dans mon petit bureau. Euh, venez avec madame, mais je préférerais que votre secrétaire nous attende quelques minutes.
Tout cela est un peu bizarre, mais comme personne ne cherche trop à comprendre… Monsieur et Madame s’enferme avec le gros lard et moi j’attends en essayant de m’intéresser à une revue d’art en papier glacé.
Les cinq minutes prévues se sont prolongées, je n’ai pas compté, une demi-heure peut-être…
Et voilà que Monsieur René et Madame Gabrielle me rejoignent en faisant une gueule pas possible.
– Allez, on se casse ! Me dit mon patron !
Nous nous sommes donc « cassés » ! Mais que s’est-il donc passé ?
Eh bien voilà : (tout petit flashback)
Diringer fait asseoir ses hôtes, puis tend le contrat à Monsieur René
– Voilà, j’ai approuvé et signé, je vous laisse le soin de faire de même.
– Vous m’aviez parlé d’un avenant…
– Je vais y venir, mais ça ne remet pas en question nos signatures.
– Vous ne voulez pas me dire ?
– Ce sera une surprise ! Et puis si vous ne le signez pas, ce ne sera pas bien grave ! Je vous prête mon stylo.
Monsieur René prend quelques instants afin de contrôler que le contrat rédigé sur le papier à en-tête du ministère n’a subi ni ratures, ni modifications, puis signe les trois exemplaires !
– Voici une bonne chose de faite ! Maintenant je vais vous remettre à chacun un petit dossier…
– Vous savez, moi, je ne m’occupe pas des affaires de mon mari ! Objecte Gabrielle.
– Certes mais dans ce cas précis, il vaut mieux que vous soyez au courant !
Gabrielle ne comprend pas, mais l’autre continue sur sa lancée :
– Ce dossier explique par le détail dans quelles conditions le dossier « Fauvettes » a été attribué à l’entreprise Chapireaux !
– Quoi ? S’insurge Monsieur René en bondissant de son fauteuil.
– On se calme ! Discutons entre gens raisonnables. Le dossier est très étayé, avec notamment deux témoignages accablants.
– Vous jouez à quoi là ?
– Je ne joues pas ! Il est question de pots de vin et de parties fines afin de favoriser une entreprise qui n’était pas la mieux-disante.
– Je vais perdre patience…
– Attendez donc que je termine ! Ou bien vous acceptez le petit arrangement que je vais vous proposer, ou alors j’envoie tout ça au chef de cabinet de votre ministère, inutile de vous dire que ce sera au moins la mise à pied, au pire le procès !
Monsieur René se lève menaçant :
– Stop ! Continue Diringer. Je comprends parfaitement que vous ayez envie de me foutre un pain dans la gueule, mais si j’appuie sur ce bouton, deux gardes du corps très costauds vont intervenir.
– Salaud !
– Si vous voulez !
– Et c’est comme ça que vous me récompensez d’avoir favorisé votre entreprise ?
– Ah ! Mais le monde des affaires est sans scrupule et sans pitié, vous n’étiez pas au courant ?
– Salaud !
– Vous l’avez déjà dit ! Alors cet arrangement, je vous en cause ?
– Vous savez comment finissent les affaires de chantage ?
– Je ne vous fait pas chanter, je vous demande juste un petit service !
– Allez vous faire foutre !
– OK, et la semaine prochaine vous ferez la quête dans le métro pour quémander un ticket restaurant !
– Et ce serait quoi, le service ? Dites un peu que je rigole !
– Vous débrouiller pour vendre les services de mon entreprise auprès de « Mountain & son » à Londres ! Je suis sûr qu’avec vos méthodes particulières et votre talent, cela ne devrait être pour vous qu’une formalité !
Monsieur René fit un effort surhumain pour conserver son calme :
– Non seulement vous êtes un salaud, mais vous êtes d’une connerie à peine croyable : au lieu de me faire du chantage, vous m’auriez proposé une enveloppe, j’aurais pu examiner la faisabilité de la chose, mais là vous vous foutez le doigt dans l’œil jusqu’aux couilles !
– Je vous laisse réfléchir !
– C’est tout réfléchi ! Répondit Monsieur René qui, déjà se dirigeait vers la sortie du bureau. Au fait pourquoi m’avoir fait revenir ce soir ? Comme si vous ne pouviez pas me sortir vos conneries ce midi ?
– Je tenais à ce que votre charmante épouse soit au courant !
– Pauvre mec !
Le type était loin de se douter que Gabrielle était parfaitement au courant des petits arrangements de son mari ! Dame ! Elle en profitait bien !
Evidemment une fois dans la voiture, Gabrielle laissa libre cours à son désarroi :
– Mais c’est quoi cette histoire ?
– Une histoire de chantage !
– J’ai bien vu, mais pourquoi te faire chanter alors qu’une enveloppe aurait été si simple.
– Pour faire l’économie de l’enveloppe, je suppose !
– Et tu vas faire quoi ?
– Je ne sais pas encore, mais je n’ai pas l’intention de marcher dans ce genre de combines !
– Mais tu vas perdre ta place !
– J’en trouverais une autre ! J’ai des relations !
– Pas une place comme celle-là !
– Attends ! Je ne suis pas encore viré ! On va s’arrêter dans une brasserie pour manger un petit truc, j’ai hâte de découvrir ce qu’il y a dans ce dossier de merde ! On vous invite, Farida ?
– Je ne voudrais pas vous déranger.
– Mais puisque je te le propose…
– Alors, avec plaisir, monsieur !
Monsieur René ouvrit le dossier :
Il y avait deux photocopies de « témoignages » manuscrit, une grosse facture, des documents comptables, et trois photos : celles-ci montraient Monsieur René et un autre homme dans un cabaret en compagnie de deux entraîneuses à moitié déshabillées.
– Et alors ? Ça prouve quoi ? Il n’est pas interdit de sortir et de s’amuser avec des relations de travail à ce que je sache ! Mais qui a pris ces photos ? Cet enfoiré de Diringer a dû me faire suivre par un détective privé ! Je me souviens plus du nom du mec avec qui j’étais.
Il retrouva son nom au bas de la première « confession » qui était signée : Louis Triboulet, directeur commercial des Etablissements Chapireaux
La confession était techniquement assez complexe, le type expliquait avoir présenté à son contrôleur de gestion une fausse facture de 195 875 euros et usé de son influence pour qu’il y appose son bon à payer. Le comptable procéda au règlement et comme l’entreprise facturante n’avait rien demandé, on avait extourné l’écriture. Après ça se compliquait, Triboulet avait demandé à ce qu’on bloque les fonds récupérés dans un compte d’attente, suivait ensuite une péripétie comptable incompréhensible aux yeux d’un profane, mais la dernière opération intitulée : « régularisation sur exercice antérieur » avait pour contrepartie un virement bancaire sur un compte suisse à numéro. Ce Triboulet prenait un risque énorme en balançant tout cela, mais peut-être était-il lui-même, victime d’un chantage. Mais toujours est-il que le compte en Suisse étant anonyme, rien ne pouvait prouver qu’il appartenait à Monsieur René ! On pourrait à la limite le soupçonner, mais non l’incriminer.
Le deuxième témoignage était signé d’un certain Camille Folsari, responsable de la production dans la même boite, qui témoignait sur l’honneur avoir entendu Triboulet se vanter d’avoir obtenu un marché juteux avec le ministère en échange d’un versement de pot de vin. Il précisait que Triboulet lui avait également confié qu’il s’était servi au passage et que son contact lui avait offert les services d’escort-girls de luxe.
Bref tout cela n’avait pas grande valeur !
– Ouf ! Soupira Monsieur René ! Plus de peur que de mal, le dossier est vide ! On va arroser ça, garçon apportez-nous une bouteille de Chevray-Chambertain.
L’affaire aurait pu en rester là, mais Monsieur René n’est pas homme à se laisser emmerder : se venger de ce Diringer lui semblait la moindre des choses :
Il commença par demander au service de renseignements commerciaux du ministère, des informations confidentielles sur Diringer, sa boite et ses principaux collaborateurs, mais on ne trouva rien qui puisse alimenter un contre feu. Parallèlement il envoya le contrat au service juridique en leur demandant d’y dégoter un vice de forme, il y a toujours des vices de formes, il suffit de les trouver. Et on en trouva !
– OK, on va faire annuler ce contrat, mais attendons quelques jours :
Et le lendemain, j’accompagnai Monsieur René à Londres, toujours déguisée en secrétaire, ça tombe bien, je parle un peu anglais
Et nous voici, au cœur de la City, chez « Montain & son » où nous avons rendez-vous avec un fondé de pouvoir dénommé Carrington
L’objet de notre visite étant quelque peu particulier, Monsieur René l’avait sollicité à l’avance. Carrington qui ne reçoit pas n’importe qui avait pris ses renseignements à Paris et avait accepté la rencontre. Nous ignorions que les renseignements qu’il avait glanés étaient assez personnels…
Carrington nous reçoit, très anglais, filiforme et costume Prince de Galle ! La poignée de main est chaleureuse, il nous fait assoir, rejoint son bureau, puis fait semblant de lire une note qu’il a forcément déjà lu et commence d’une voix étrange :
– Well ! Well ! Vous préférez qu’on se parle en anglais ou en français.
– Comme bon vous semblera !
– Alors ce sera en français, le français est la langue des libertins, et j’aime bien les libertins… Savez-vous que j’adore Verlaine ! Mais quel cochon, celui-là !
Monsieur René fait une drôle de tronche, l’entretien prenant une direction imprévue.
– Donc ! Reprend le british, la société Soufiver-France veut me faire un enfant dans le dos ! Ils ne se rendent pas compte où ils mettent les pieds, mais votre intérêt dans cette affaire ?
– Sans rentrer dans les détails, le PDG de chez Soufiver a cru pouvoir me faire chanter…
– Oui, c’est ce que vous nous avez expliqué par mail ! Répondez-moi franchement, dans l’affaire qu’évoque votre maître chanteur avez-vous, oui ou non fait preuve de favoritisme ?
– En fait non ! Les trois entreprises sélectionnées m’ont toutes les trois offerts des dessous de tables à peu près équivalents. J’ai choisi une de ces sociétés et je n’ai pas refusé le dessous de table.
– Je vous remercie de votre franchise ! Nous sommes tous pareil, le monde des affaires n’est pas toujours très clean, mais les affaires sont les affaires !
– Certes !
– J’ai obtenu des renseignements sur Soufiver-France, leur situation n’est pas brillante, mais ils viennent d’obtenir un gros contact avec votre ministère…
– Je sais, j’en suis le signataire, mais ce contrat va être annulé pour vice de forme !
– Oh, mais c’est très bien, ça ! S’exclame Carrington qui était déjà au courant. Ils vont se retrouver sans commande ! Il faudra faire en sorte que ça se sache ! L’action va dégringoler, et nous lancerons une OPA sur eux. Une fois la boite rachetée, on restructure, on vire le staff et on la refourgue à qui en voudra. Ça vous convient comme scénario ?
– Je n’en espérais pas tant !
– Vous savez « business is business » ! Je ne fais pas ça par altruisme mais parce que la situation me permet de faire une bonne opération en passant.
– Je m’en doute bien…
– Donc vous voyez, tout le monde est content ! Je vous propose de fêter ça… mais avant je vais vous présentez deux de mes collaborateurs. Ah ! je vais poser une question sans doute indiscrète à votre collaboratrice.
Qu’est ce qu’il va me sortir l’anglish ?
– Goûtez-vous mademoiselle, les plaisirs du sexe ?
J’ai dû rougir ! Du regard, je cherche du secours en direction de Monsieur René, avant de me souvenir que je suis en mission, et que si je peux théoriquement me dérober, cela n’est sans doute pas la bonne manière.
– Vous êtes très direct, Monsieur Carrington, mais la réponse est « oui ». Mais tout est aussi question de circonstances…
– Rassurez-vous, nous sommes en Angleterre, la patrie des gentlemans !
Et voici qu’entre dans le bureau deux personnages qu’il nous présente :
Gloria est une secrétaire à lunettes d’environ trente ans, blonde et frisée, bouche pulpeuse, chemisier blanc ouvert sur l’échancrure d’une poitrine XXL, minijupe et bloc-notes à la main ! (Pourquoi faire ?)
– Gloria, l’une de mes secrétaires, elle parle français, espagnol et russe, elle est très douée pour les langues dans tous les sens du terme, n’est-ce pas Gloria ?
– Sure (prononcez Shure) ! Mister Carrington !
– En français, je vous prie !
– Nous avions compris ! Intervient Monsieur René avec un grand sourire.
C’est ce qui s’appelle annoncer la couleur, mais cela n’était rien à côté de la façon dont Carrington nous présenta MacLeod.
– Voici William MacLeod, mon responsable juridique, mais c’est aussi un confident, ami et partenaire de golf. Voyez-vous, Monsieur, vous vous doutez bien qu’avant de vous accorder cet entretien, j’ai pris quelques renseignements sur votre compte, uniquement les bricoles habituelles, je ne demandais rien sur vos orientations sexuelles, croyez le bien…
Quel menteur !
– Mais il se trouve que moi aussi je suis AC/DC
– Pardon ?
– Ou comme on dit en français « à poil et à vapeur. »
– A voile et à vapeur ! rectifie Monsieur René par réflexe.
– Si vous voulez ! Donc William est aussi l’un de mes complices sexuels préférés, il encule divinement ! Aimez-vous vous faire enculer cher ami !
Ça devient surréaliste cet entretien !
– Ma fois, puisqu’on ne peut rien vous cacher.
– Bon, je vous propose de nous retrouver tous les cinq à 17 heures à l’Hôtel Paradiso, je vous ai réservé une suite avec un grand lit, nous sablerons le champagne et plus si affinités, et ensuite, je ne vous imposerais pas notre cuisine anglaise mais vous propose de diner chez Pappagone, une excellente pizzeria. Cela vous convient-il ?
– C’est trop d’honneur…
– Mais non, c’est la moindre des choses, Gloria accompagnez ces messieurs-dames, mais avant offrez leur un de ces délicieux chocolats.
Spécial ces anglishs !
La perspective de cette partouze annoncée ne me dit rien que vaille, mais bon quand faut y aller faut y aller, les deux mâles ne me branchent pas plus que ça, mais il est vrai qu’il y aura aussi miss « gros-nichons »
En attendant l’heure fatidique, on a joué, Monsieur René et moi, les touristes, il y a plein de choses à voir dans Londres
Et donc en fin d’après-midi, nous nous sommes tous retrouvés dans le hall de l’hôtel.
Une fois en chambre, en fait une suite avec un salon meublé de deux canapés qui se font face, Carrington commande du champagne, et nous fait trois mots de conversation en attendant qu’on nous le monte.
Les choses allèrent très vite ensuite, après que nous eûmes trinqué, Carrington annonça la couleur :
– Allez, on est là pour s’amuser, amusons-nous, Farida venez donc sur mes genoux que nous puissions faire mieux connaissance !
Ben voyons ! J’aurais préféré flirter avec Gloria qui d’ailleurs me déshabille du regard, mais comme dit l’autre, ce n’est pas moi qui commande.
Monsieur René est entouré des deux « cochons » de service, William à sa gauche, Gloria à sa droite.
– Regardons-les, j’aime bien regarder ! Me confie Carrington tandis que sa main a ouvert mon chemisier et s’en va caresser le haut de ma poitrine.
Il ne perd pas de temps, le british…
– Mettez moi votre main sur ma bite, j’aime beaucoup ça ! Savez-vous ?
Non je ne savais pas mais je l’aurais deviné ! Je lui touche la braguette.
– Is very hard inside !
– Oh ! Yes !
De l’autre côté, Gloria s’est dépoitraillée, et je peux vous dire qu’elle a une sacrée paire de mamelles, Monsieur René a son visage carrément d’enfoui là-dedans. Ma parole, elle va l’étouffer avec ses gros nichons ! Quant à William il a libéré la bite mon patron et s’en amuse avec une désinvolture toute britannique.
Je crois devoir, moi aussi, libérer la queue de Carrington, c’est une braguette à boutons, faut vraiment être anglais pour s’attifer de trucs pareils ! Mais, bon, je déboutonne, furète à l’intérieur et sort une jolie bistouquette fière comme un petit mât et je la branlotte un peu.
Devant, Miss gros nichons est toujours en train de faire perdre la tête à mon « pauvre » patron tandis que William s’est maintenant logé entre ses cuisses et lui suce la bite en cadence.
– Suck-me ! Me demande Carrington !
– Tu ne va pas être déçu ! Que je lui réponds !
Je m’apprête à me mettre en position, mais il m’explique que nous serions mieux à poil !
Alors allons-y pour la mise à poil !
Et là faut voir comment Carrington se déshabille, c’est un méticuleux, et que je te mette le pantalon bien dans ses plis et que je te t’installe la chemise bien sur le dossier de la chaise, et que je ne te pose pas la cravate n’importe comment. Du coup il débande un peu, mais je lui fais comprendre que je vais remédier à la chose.
De l’autre côté, le trio d’enfer s’est également déshabillé, c’est désormais Monsieur René qui fait une pipe à William, tandis que Gloria passée derrière, lui tripote le cul des doigts et de la langue.
J’ai sucé le Carrington pendant cinq bonnes minutes, après lesquelles, il m’explique qu’il va m’enculer. Il m’explique, il ne me demande pas. Je lui fais un sourire de politesse genre « puisque vous y tenez », m’assure qu’il s’encapuchonne bien le zigouigoui et me mets en levrette offrant mes jolies petites fesses au plaisir sodomite de l’English.
Bon faut se plaindre, il encule bien et même que ça commence à me faire des choses, ces allers et venues…
A l’autre bout de la pièce, Monsieur René se fait sodomiser par William et en même temps il recommence à s’enivrer des volumes mammaires de Gloria qui tout en se laissant tripoter agite frénétiquement la bite de mon patron.
Si Carrington continue à se rythme, je vais jouir, ce n’était pas prévue, mais je ne vais pas m’en plaindre. Je hurle, ce qui fait rigoler l’anglais qui du coup redouble d’efforts et prend son pied à son tour en criant « Oh ! My God ! »
– Thank you, vous être très douce !
– Merci Monsieur !
Carrington s’en va se rincer, je ne sais si je dois me rhabiller ou s’il y a autre chose de prévu.
En face ces messieurs-dames en ont également terminés. William et Monsieur René se dirigent vers la salle de bain, il va y avoir un de ces mondes, là-dedans !
Gloria me fait un petit signe, m’invitant à venir la joindre. J’y vais, j’accoure, je précipite. On se bisouille sur la bouche comme des gouines en chaleur, on se pelote. Je lui touche la touffe qui est trempée.
Elle me tient par la main et m’entraine dans la salle de bain, à présent désertée par ces messieurs qui se rhabillent gentiment.
J’ai sa chatte sur ma bouche, je lèche, c’est trop bon.
– Warning !
– Quoi warning ?
Et elle me pisse dessus, la salope, en rigolant comme une bossue et en me faisant des commentaires dans la langue de Shakespeare que je ne saisis pas bien. Et me montre ensuite la mienne, de chatte. OK, j’ai compris, à mon tour de lui pisser dessus.
William se pointe et nous explique qu’il faudrait que l’on se dépêche sinon on sera en retard au restaurant. Gloria répond qu’on n’a pas faim et qu’on préfère rester là toutes les deux à s’amuser.
Elle aurait pu me demander mon avis, moi je veux bien m’amuser avec elle, mais j’ai comme un petit creux quand même… pas grave, il y a le service d’étage.
Bref ce fut une bonne virée à Londres.
La suite vous intéresse-t-elle ? Alors juste deux mots, parce que c’est technique et que je n’y connais pas grand-chose. Mountain & son s’est débrouillé pour faire savoir à qui voulait l’entendre que Soufiver-France n’avait plus rien dans son carnet de commandes, le contrat avec le ministère étant invalidé. Du coup l’action en bourse est dégringolée, Mountain & son a lancé une OPA, récupéré les actions. Le lendemain le conseil d’administration licenciait l’ancien staff de la boite, et Monsieur Diringer prenait sa retraite anticipée.
Et moi je passe le plumeau chez Gabrielle et René vêtu de ma petite tenue de soubrette en me demandant ce que je vais m’acheter avec la jolie prime que mon patron m’a donné !
Novembre 2018
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