Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:46

Parent d’élève par Boris Vasslan

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Commençons par une présentation succincte : j’ai maintenant atteint la quarantaine. Divorcé, j’ai la garde de ma fille qui est en école primaire.

 

S’agissant d’une nouvelle érotique, il vous intéresserait sans doute que je vous parle aussi de ma sexualité. Je me définis comme un joyeux obsédé sexuel, bien dans ma peau, pas du tout honteux. J’adore les femmes, leur corps, leur peau, leur voix, mais je ne drague pratiquement pas.

 

L’incroyable ressource d’images que constitue l’Internet suffit à alimenter mes fantasmes. Et la masturbation reste pour moi un plaisir toujours renouvelé. J’ai beaucoup de fantasmes, je suis comme on dit « polymorphe » avec une très forte attirance pour les jeux de domination, et au moins une fois par mois, je me rends dans un quartier bien connu de la capitale et plus précisément dans un immeuble ou exerce plusieurs professionnelles de la chose.

 

Oh, n’allez surtout pas croire que je sois un « grand maso », non je me contente de quelques fessées, de quelques pincements, ainsi que de quelques humiliations de circonstances et aussi un peu de gode : des petites misères, quoi….

 

Quand je ressors de chez Maîtresse Laure, je suis extraordinairement bien. Toute la dose de stress accumulé a disparu comme par enchantement, à ce point qu’il m’arrive à ce moment là de me mettre à siffler comme un pinson !

 

Et justement, nous allons pouvoir commencer notre histoire ce jour de novembre, nous sommes en période de vacances scolaires, ma fille est partie quelques jours chez sa mère. Ce jour là donc je quitte le studio de Maîtresse Laure dans lequel je m’étais rendu après ma journée de travail.en fredonnant je ne sais plus quoi… Et là sur le trottoir d’en face, j’aperçois, je vous le donne en mille… l’institutrice de ma fille, elle déambule dans la rue le regard fixé sur l’immeuble que je viens tout juste de quitter. Je fais évidemment semblant de ne pas la reconnaître et elle a l’intelligence de faire la même chose. Je m’empresse de disparaître, mais deux questions me taraudent l’esprit : D’abord, m’a-t-elle vraiment vu sortir de l’immeuble ? J’ai beau me dire que je fais ce que je veux, que je ne fais rien de mal et que ça ne la regarde pas, n’empêche que ça m’embête ! Et puis surtout que fabrique-t-elle dans cette rue ? Dans ce genre de circonstances, un tas d’idées vous défilent dans la tête. Y compris les plus farfelues, « c’est peut-être pas elle, c’est peut-être quelqu’un qui lui ressemble, ne dit on pas que chacun d’entre nous possède son sosie. Ou alors c’est bien elle mais elle s’est simplement perdue dans le quartier… Mais je finis (avec quelques difficultés, je l’avoue) à ranger toutes ces interrogations dans mon grand livre des question sans réponses.

 

A ce stade, il nous faut la décrire, l’institutrice, parce que vous vous imaginez bien qu’elle va jouer un rôle important dans cette drôle d’histoire. Elle est jeune, probablement moins de trente ans, rousse, souvent coiffée d’une simple queue de cheval, les yeux bleus, très souriante, elle fait un peu fragile à mon avis…

 

C’est environ quinze jours plus tard, alors que les cours avaient repris que j’eus droit à cet étrange coup de téléphone :

 

– Monsieur V., c’est Emilie M, l’institutrice de votre fille, j’aimerais qu’on se voie à propos de votre fille.

– Bien sûr ! Mais ce n’est pas grave au moins ? Qu’est ce que vous me proposez comme date ?

 

Jusque là rien d’étrange, sinon qu’après m’avoir rassuré en me disant qu’il n’y avait rien de grave, elle me propose des rendez-vous à des heures impossibles ! En plus me revient en mémoire notre rencontre fortuite dans cette rue chaude…. je me sens tout d’un coup assez mal à l’aise

 

– Et samedi matin ? Propose-t-elle.

– Samedi ? L’école est ouverte ?

– Non mais passez chez moi, je vous recevrais, de toute façon c’est l’affaire de dix minutes…

 

Elle m’indiqua l’adresse. En métro ça ne faisait pas trop loin…

 

Je m’y rends donc ce samedi matin, elle m’ouvre ! Premier choc, elle est en jean et tee-shirt blanc… mais soit elle a oublié de mettre un soutien gorge ou bien celui-ci doit être « étudié pour » parce que je perçois ses tétons qui pointent insolemment à travers le tissus.

 

Elle me fait entrer et asseoir et alors que je m’attendais à des révélations déplaisantes sur l’attitude de ma fille à l’école, la voici qui me raconte une histoire de trousse oubliée. Ce n’est pas vrai qu’elle m’a convoqué pour une telle babiole !

 

– Ce n’est pas un oubli ! Balbutiais-je. Quelqu’un lui a barboté sa trousse le matin et lui a rendu le lendemain

– Ça, c’est ce qu’elle vous a raconté !

– Oui, mais bon… c’est uniquement pour ça que vous désiriez me voir ?

– Oui, parce que pour vous c’est peut-être un détail, mais ils commencent comme ça et après ils oublient tout. C’est à vous de surveiller si le matin elle a bien toutes ses affaires…

 

Elle m’énerve, elle m’énerve !

 

– Vous auriez pu me dire tout ça par téléphone, ça ne nécessitait pas de me faire perdre une heure…

– Et voilà ! Pour vous ça n’a aucune importance ! Mais vous vous rendez compte du laxisme dont vous faite preuve ?

– Bon, je crois qu’on va en rester là, vous devez être terriblement fatiguée pour prendre de tels détails aussi à cœur !

 

Et je me lève déjà… quand elle m’assène le trait assassin :

 

– Et vous croyez sans doute que c’est un exemple pour l’éducation de votre fille d’avoir un père qui fréquente les prostituées !

 

Ouch ! La salope, elle m’avait donc bien vu sortir de l’immeuble ! Je m’efforce de ne pas montrer ma gêne.

 

– Ecoutez, mademoiselle, ce que je fais de ma vie privée ne vous regarde pas, je dépense mon argent comme je le veux et je ne fais rien d’illégal.

– Et si votre fille l’apprenait ?

– Bon, on en reste là ? Manifestement vous êtes surmenée !

– Quand je pense qu’on nous dit qu’on est pas assez sévère avec les élèves… moi je trouve que c’est les parents qu’il faudrait punir !

– Bon, au revoir !

– Vous aimeriez sans doute ça, vous que je vous punisse ? Je le ferais aussi bien que vos putes !

 

Complètement givrée la fille, mais je marque un temps d’arrêt et puis, allez savoir pourquoi, je lance comme ça :

 

– C’est cela votre fantasme ? C’est de punir les parents ?

– Peut-être ! minaude-t-elle.

 

Le ton, a complètement changé, l’agressivité a pour l’instant disparu, elle se fait chatte. Je cherche la bonne réplique. Pas évident. Je me contente d’un :

 

– Et vous voudriez me punir ?

– Ça ne me déplairait pas en effet !

 

Je tente de réfléchir à toute vitesse, me demandant quel est exactement le jeu auquel elle joue !

 

– Vous me proposez quoi ? Lançais je.

– Est-ce que vous voulez jouer avec moi ?

– Je ne sais pas. Mettez-vous à ma place, c’est assez inattendu !

– Vous avez du temps, là ?

– Non pas trop !

– Mais vous pourrez revenir !

 

Je lui fais signe que je ne sais pas trop quoi répondre.

 

– Je peux vous aider à vous décider si vous voulez !

 

Oui, bon j’avais bien compris, mais que voulez-vous que je lui dise ?

 

– Dites-moi, « oui » ce sera plus simple ! Reprend-elle

– Oui ! Répondis-je alors sans trop réfléchir aux conséquences.

 

C’est à ce moment là qu’elle m’a giflé ! Je vous dis, elle est complètement malade.

 

– Vous n’êtes vraiment pas bien ! Protestais-je.

– Je suppose que tu ne te rebiffes pas comme ça quand tu vas voir les filles ! Je veux t’entendre dire que tu veux bien jouer avec moi !

– Euh, il faudrait qu’on en discute !

– Mets toi à genoux devant ta maîtresse !

– Ecoutez, on pourrait reparler de tout ça une autre fois, je suis un peu pris par le temps.

– Dans moins de cinq minutes tu seras dehors, je veux simplement que tu te mettes à genoux devant moi et que tu me promettes de revenir.

 

De la folie pure !

 

– Allez, lance-toi, il faut toujours profiter des occasions.

 

Sans doute est-ce ce dernier argument qui de façon complètement surréaliste me fit agenouiller devant l’institutrice.

 

– Bon, voilà, je suis à genoux !

– Tu reviendras quand pour recevoir ta punition ?

– On va se rappeler…

 

Nouvelle gifle !

 

– Non, on fixe une date tout de suite !

 

La première gifle m’avait choqué, la seconde m’a presque excité, suis-je déjà en train de tomber dans ses étranges filets ?

 

– Je ne sais pas, moi… Euh, samedi prochain, la petite sera chez sa mère, ben, voilà… Samedi prochain !

– A 18 heures ?

– D’accord à 18 heures !

– Maintenant tu peux y aller !

 

Les joues encore cuisantes, je descendis l’escalier, n’arrivant pas bien à réaliser la réalité de cette incroyable rencontre. Il n’était à ce moment cependant pas question que je la revoie. Cette fille était probablement folle à lier et accepter d’entrer dans ses jeux me paraissait bien imprudent. Cela dit, cette fille pouvait aussi être la reine des emmerdeuses, me relancer, me harceler…. Bof ! On verra bien !

 

Sauf que cette nuit là, je me surpris à fantasmer de façon très insistante sur Emilie l’institutrice, sur ses seins dont les pointes dardaient à travers ses hauts ! Puis, je l’imaginais en tenue de dominatrice, le bustier noir, les bas résilles, la culotte super moulante en vinyle, la cravache à la main et moi rampant à ses pieds….

 

Le lendemain matin au réveil, j’étais déjà beaucoup moins sûr de ma décision.

 

« Qu’est ce qui m’empêche d’aller voir ? » me disais-je. Et au fur et à mesure que les jours passaient, plus mon désir de me rendre à cet étrange rendez-vous grandissait en même temps que germait dans mon esprit un horrible doute « Si elle m’avait bluffé, si elle n’était pas plus dominatrice que mon ex… ? » Et puis toujours ces questions non résolues, que faisait-elle en cet fin d’après-midi dans cette rue chaude ? Pourquoi m’avoir convoqué pour une véritable futilité ?

 

Le vendredi soir en me couchant, je me mentais encore à moi-même en me disant que je ne prendrais de décision définitive que le lendemain matin…. Et le samedi je passais une partie de la matinée à me bichonner méticuleusement, puis tuait le temps attendant fébrilement l’heure de partir afin d’être à l’heure chez Emilie, maîtresse Emilie, pardon !

 

– Bonjour ! Que me vaut ce plaisir !

 

Elle est en robe de chambre ! En robe de chambre à 6 heures de l’après midi ! Si elle s’est moquée de moi la dernière fois je suis en train de finir de me ridiculiser.

 

– Vous ne m’attendiez pas ?

– Bien sûr que si ! J’étais sûre que tu viendrais ! Allez entre !

 

Facile ! Mais quelque part, me voilà rassuré !

 

– Alors on joue à quoi ? Demandais-je

– On va jouer à te punir !

– Est-ce qu’on peut discuter cinq minutes, avant de commencer ?

– Discuter de quoi ? Du sexe des anges ?

– Si c’est un jeu, il faut en fixer les règles !

– Fais moi donc confiance !

 

Et en disant cela elle retire sa robe de chambre !

 

Oups ! Une véritable transformation ! Presque, mais pas tout à fait comme dans mes rêves ! La voici qui m’apparaît dans un ensemble guêpière, soutien-gorge et culotte en dentelle noire. Ses jambes sont gainées de bas résilles et les pieds chaussés d’escarpins assez vertigineux. Elle est impressionnante !

 

– A genoux !

 

Je n’ai pas cherché à discuter, j’ai accepté l’ordre mécaniquement. Emilie s’assoit sur une chaise située à côté d’elle. Elle me lance son pied en avant après l’avoir débarrassé de son escarpin :

 

– Lèche !

 

Je balade ma langue entre les filets du bas résille, sur le dessus de son pied. Bien que cette pratique ne soit pas de celles que j’affecte le plus, je me surprends à bander.

 

– Mets toi à poil !

 

Je ne pense même plus à me dérober, je suis entièrement dans son trip. Il faut pourtant que je trouve le moyen de lui dire que je ne souhaites pas être attaché, mais estime qu’il n’y a pas pour l’instant urgence à le lui faire savoir. Et me voilà tout nu…

 

– Ben dis donc, tu m’as l’air en super forme on dirait !

 

C’est vrai que je bande comme un sapeur.

 

– Carole, vient voir mon esclave comme il est excité !

 

Hein, qu’est ce que j’entends ? On n’est pas seulement tous les deux ? Qui c’est cette Carole ? Et justement la voilà ! Blonde, les cheveux coupés au carré, un petit peu potelée mais sans exagération, vêtue simplement d’une nuisette rose dont la transparence souligne l’arrondi de se seins. Une vague impression de l’avoir déjà vue quelque part ? Mais où ?

 

– Hummm après quelques bons coups sur les fesses, il fera moins le fier ! Commente la nouvelle arrivée.

– Carole est la première personne que j’ai réellement dominée. Je l’ai rencontré à l’école, elle faisait des ménages, depuis elle a changé de métier, et puis nous sommes devenues très intimes !

 

Amusant cette façon de me présenter sa compagne ! Cette Emilie est décidément pleine de surprises, dominatrice… et bisexuelle en plus !

 

Et tandis que Carole s’en va s’asseoir dans un fauteuil m’offrant le spectacle de sa petite chatte épilée, l’institutrice me fixe une pince à chaque sein ce qui me provoque un frisson très trouble où le plaisir vient l’emporter sur la douleur.

 

– Debout !

 

Je me lève, lui fait face ! Elle se baisse et m’accroche deux autres pinces après les testicules, j’aime beaucoup moins ! Elle s’amuse ensuite à soulever chaque pince, à les faire retomber… Voilà qui commence à faire mal, mais j’aurais tendance à ne pas détester ce genre de choses.

 

Un moment elle me détache une des pinces ! Déjà fini ? Pas du tout ! C’est pour me la replacer de façon un peu différente ! Je hurle, mais je supporte !

 

Puis, Emilie sort d’une petite boite des poids, elle m’en accroche un après chaque pince, entraînant la peau martyrisée vers le bas. Elle continue à s’amuser, lève les poids, les laisse retomber ! Ça commence à devenir sérieusement douloureux … Mais le supplice n’était pas terminé…

 

– A quatre pattes !

 

Je m’exécute ! Les poids se mettent alors à osciller, réveillant les douleurs de mes chairs.

 

– Et maintenant avance !

 

J’hésite, je sais que l’épreuve risque d’être pénible, mais c’est alors que je reçois un coup de martinet sur les fesses. Du coup j’avance provoquant une multiplication de l’effet de balancement de mes pinces.

 

Carole parait excitée par la situation et une de ses mains s’est aventurée dans sa chatte, tandis que l’autre passant sous la nuisette lui excite le téton gauche.

 

– Voilà comment je conçois les rapports entre les enseignants et les parents d’élèves. ! Commente Emilie ! J’espère qu’un jour j’aurais l’occasion de dominer un couple ! Quel pied ça doit être : deux râleurs qui se pointent et qui finissent comme toi à quatre pattes ! Tiens, rien que d’y penser ça me fait mouiller !

 

Trois fois, elle me fait faire le tour de la pièce. Je réalise que maîtresse Laura, la professionnelle à qui je rends visite ne m’a jamais fais subir une domination aussi dure !

 

– Stop !

 

Je m’immobilise toujours à quatre pattes, ma tortionnaire m’applique alors des coups de martinets de plus en plus forts sur mes fesses qui commencent à me cuire. Je crie, je proteste des « pas si fort » dont elle n’a apparemment cure ! A ce point que j’en suis à envisager de me relever afin de stopper cette séance qui va finir par me devenir insupportable… Mais je n’aurais pas besoin de le faire, la flagellation cesse comme par miracle !

 

– Reste comme ça et cambre bien tes fesses !

 

Là, je crois deviner ce qui va m’arriver, effectivement je sens une matière froide sur mon anus, sans doute du gel, puis quelque chose qui veut entrer , un gode, je me laisse faire , j’adore ça !

 

– Mais c’est qu’il aime ça ce petit enculé ! Dis le que tu n’es qu’un petit enculé de parent d’élève !

 

En voici une formulation idiote, mais un jeu est un jeu.

 

– Je ne suis qu’un enculé de parent d’élève !

 

Elle fait exécuter à l’objet des allers et retour de plus en rapides. Des spasmes de plaisirs me parcourent le corps !

 

– Non, mais regarde comment elle se trémousse, cette petite pédale !

– Viens me lécher ! Je n’en peux plus ! Implore soudain Carole !

 

Emilie à qui cette requête est adressée n’a pas l‘air trop d’accord.

 

– Toi, tu te calmes, je m’occuperais peut-être de toi tout à l’heure quand j’en aurais fini avec lui !

– Alors dépêche-toi !

 

Emilie me fait ensuite allonger au sol sur le dos. Elle retire enfin son soutien gorge et la vue de ses jolis seins terminés par de belles pointes roses réveille mon érection. Elle retire aussi sa culotte, contrairement à sa compagne elle n’est pas épilée et ses poils roux assez peu fournis et frisottants lui donne un aspect tout à fait érotique.

 

– Ça te conviens ? demande-t-elle

– Tu es très belle !

– Très belle, je ne crois pas, mais faut pas se plaindre, il y a pire !

 

Elle me donne quelques coups de martinets sur la poitrine. Les coups sont assez peu appuyés mais font douloureusement bouger les pinces… qu’elle finit par enlever. Cette action est toujours extrêmement pénible, il faut avoir le coup de main, le faire très rapidement sans aucune hésitation, apparemment elle, elle sait faire, où a-t-elle donc appris tout ça ? N’empêche que j’ai les bouts de seins et les testicules congestionnés.

 

– On soignera ça tout à l’heure ! Me dit ma maîtresse qui s’accroupit alors au dessus de moi, Qu’est ce que tu crois qu’il va t’arriver, maintenant ?

 

Je l’ignore. Peut-être un face-sitting en me collant sa chatte sur le nez ? A moins qu’elle ne vienne s’empaler sur mon sexe, mais ce n’est pas là une pratique de domination ?

 

– Je ne sais pas…

– J’ai bien envie de te pisser dessus !

 

Chic alors ! Mais en fait elle ne me demande pas mon avis, déjà quelques gouttes atterrissent sur mon sexe dressé ! Pour moi cette fantaisie n’a rien d’humiliant, au contraire, j’adore ça ! J’ouvre la bouche pour la supplier qu’en boire un petit peu ne serait pas pour me déplaire

 

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– OK ! Tu voudrais goûter ! T’es décidément bien gourmand ! Mais ce sera pour la prochaine fois ! Car tu reviendras me voir, n’est ce pas ?

Et bien, bien sûr que je vais revenir, une prestation gratuite comme celle-ci, je serais idiot de ne pas en profiter de nouveau…

 

Emilie revient avec un préservatif. Là je ne comprends plus bien ! Puis je la vois aller se positionner à quatre pattes, se cambrer les fesses.

 

– Viens m’enculer !

 

Je rêve ! Depuis quand une dominatrice se fait-elle sodomiser par son soumis ? Mais au diable les règles, les conventions et autres convenances ! Je ne vais quand même pas faire la fine bouche et rater ça ! Je me positionne, m’étonne de la facilité avec laquelle mon pénis entre dans son anus, et après avoir assuré la pénétration, j’y vais de larges va-et-vient qui ont tôt fait de faire monter mon excitation à son paroxysme, tandis que l’institutrice se met à jouir littéralement par le cul, puis s’affaisse quelques instants sur la moquette.

 

– Et bien, quelle séance ! commente-t-elle !

– Bon, alors tu viens t’occuper de moi ? Quémande de nouveau Carole.

– J’arrive, mon esclave va me faire mon petit cadeau et après je suis à toi !

 

Oups ! Quel petit cadeau ? Jamais je n’avais envisagé le fait qu’elle se fasse payer. Mais je ne discute pas, le problème est ailleurs, bassement matériel.

 

– C’est que je n’ai pas beaucoup de liquide ?

– Tu croyais que c’était gratuit !

– Je ne croyais rien du tout ! Je voulais qu’on discute un peu avant de se lancer, et avoue que tu ne m’as pas laisser faire…

 

Je suis assez content de ma réplique !

 

– Ça fait rien, fais moi un chèque, où alors tu me paiera la prochaine fois…

– C’est avant qu’il faut demander le cadeau, pas après ! Commente alors curieusement Carole.

– Tu veux combien ?

 

J’avais un peu peur d’un prix prohibitif, mais en fait il était légèrement inférieur à ceux pratiqués par les professionnelles. Elle m’indique ensuite la salle de bain afin que je me rince un peu le zizi, et là toute gentille elle m’applique une sorte de crème sur les tétons…

 

– Quand ils ont été triturés comme ça, ils ont tendance à sécher, et quand ils sont secs ils deviennent fragiles, il suffit d’appliquer une petite crème hydratante et le tour est joué !

 

Elle est marante, elle a des côtés super sympas, drôle de fille ! Et ainsi elle joignait l’utile à l’agréable arrondissant ses fins de mois en se livrant à cette curieuse prostitution occasionnelle ? Cela ne me choquait d’ailleurs aucunement. Mais pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ?

 

Pourtant envisager sa convocation de l’autre jour que comme une tentative d’approche d’un client potentiel me paraissait tout de même tiré par les cheveux…. et puis je me demandais toujours ce qu’elle fabriquait dans cette rue chaude de la capitale…

 

En me rhabillant, ma curiosité me fit lui poser la question :

 

– Ben j’étais venu chercher Carole à son travail, on est allé ensuite voir une expo….

 

Et oui tout s’expliquait, voilà pourquoi le visage de Carole ne m’étais pas inconnue, en fait elle se prostituait dans cette rue de façon épisodique…

 

– Quand je t’ai vu sortir de l’immeuble, je me suis dis qu’il y avait un coup à tenter. Je t’ai décrit à Carole, tu n’étais pas son client. Au départ je voulais juste m’amuser, mais c’est vrai que la domination c’est mon truc et que j’ai eu rarement l’occasion de faire ça avec des hommes. C’est Carole qui m’a conseillé, qui m’a dit de te faire un vrai truc et aussi de me faire payer ! Bon aller, je te laisse, voici ma carte pour m’appeler, mais maintenant il faut que je m’occupe de Carole sinon elle va me faire une scène ! Conclu-t-elle en me faisant un petit bisou sur la joue.

 

J’ai failli lui demander de rester, pour profiter du spectacle, mais j’y ai renoncé, non pas par timidité… mais parce que je savais déjà que je reviendrais chez Emilie et Carole.

 

La porte s’est refermée, j’ai attendu quelques instants et j’ai quelques secondes collé mon oreille me permettant d’entendre de façon très étouffée les gémissements que poussait Carole sous les coups de langue de sa compagne.

 

Je ne m’attardais pas et quittais l’immeuble en sifflotant !

 

Rédigé le 9/12/04 dans le TGV entre Paris et Marseille, d’après une idée originale d’Alain H.

© Boris Vasslan

vasslan@hotmail.com

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:42

Les escaliers de la butte. Conte de Noël par Boris Vasslan

 

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Lundi 12 Décembre 2011, vers 17 heures. Paris 18ème.

 

Des rafales de vent, une pluie épouvantable… et en plus il fait froid… Qu’est-ce que c’est que ce temps ?

 

Une accalmie ! (je n’ose pas écrire une éclaircie). L’histoire peut commencer.

 

Moi, Denis, célibataire, 35 ans, j’empruntais ce jour là les escaliers de la rue André Antoine quand mon téléphone portable se mit à sonner. Comme à mon habitude je pilais, ayant horreur de téléphoner en marchant. La communication concernait des problèmes de copropriété qui n’ont aucun intérêt ici, mais m’occupa quelques minutes. Au moment de raccrocher, une impossible et gigantesque créature blonde, dotée d’une chute de rein impressionnante moulée dans une minijupe à raz du cul me doubla ! Impressionnant de chez impressionnant ! Allez savoir pourquoi, j’en trébuche, et la stupeur me fait pousser un cri qui fait se retourner la nana, laquelle se croyant en danger ne trouve rien de mieux à faire que de me balancer son sac en pleine poire. Quelque chose de dur heurte ma joue gauche, sans doute des clés, je suis de nouveau déséquilibré et me casse la margoulette dans les escaliers.

 

Voilà donc un récit qui à défaut de commencer par la chute débute néanmoins par une chute !

 

La fille se retourne, se rend compte sans doute qu’elle y a été un peu fort et me regarde avec un air circonspect.

 

– Mais vous êtes complément folle ! Hurlais-je.

– Ça vous apprendra à vouloir photographier mes fesses, espèce de cinglé !

 

Whaa ! Le quiproquo d’enfer ! J’essaie de protester, de m’expliquer, la furie ne veut rien entendre. Je ne peux pas en placer une et quelques badauds s’arrêtent pour observer la scène.

 

On continue à s’engueuler. Dialogue de sourds de chez dialogue de sourds.

 

– Regardez donc mon téléphone ! Je ne prends jamais de photos ! Finis-je par arriver à lui placer.

– Chiche ! Montrez-le moi votre téléphone de merde.

 

Je lui passe mon « téléphone de merde » et la nana constate en effet qu’il n’y a aucune image prise avec ce téléphone, ni ses fesses ni autre chose.

 

Les badauds s’agglutinent. La fille ne comprend plus.

 

– Alors vous faisiez quoi derrière moi ?

 

Ça fait vingt fois que je lui explique, mais contrairement aux fois précédentes, cette fois, elle m’écoute.

 

– Je suis désolée, qu’est ce qu’on fait ? Finit-elle par me dire. Et vous les badauds, vous pouvez passez votre chemin, il n’y a plus rien à voir ! Se met-elle à crier.

 

Ma joue pisse le sang.

 

– Vous allez m’accompagnez aux urgences…

– Et dans trois heures on y sera encore, écoutez, j’ai un brevet de secouriste et chez moi, j’ai une trousse de secours. Mais je ne peux pas vous recevoir dans mon appartement, moi, vous habitez loin ?

– Non, j’habite à 200 mètres, rue des Abbesses…

– Donnez-moi l’adresse précise, je rentre, je me change et j’arrive.

 

Je n’ai pas confiance, et elle s’en rend bien compte.

 

– Bon venez, vous m’attendrez en bas de chez moi et après on ira chez vous, tamponnez-vous la joue avec un kleenex. Je vais vous en passer un !

 

On fait comme ça, j’avais peur de poireauter, mais elle a dû se changer à la vitesse grand V. Elle s’est mise en jeans avec un petit haut laissant ses belles épaules dénudées. Elle est ainsi bien moins provocante mais toujours aussi désirable. Et la voilà qui m’accompagne chez moi, sa petite trousse à la main.

 

Je pense à la gueule des voisins quand ils vont me voir arriver avec ce canon et ma blessure au visage !

 

Mais personne ne nous vit. Je fis entrer la bombe chez moi, mon modeste intérieur l’indifféra totalement. Elle me demanda de m’assoir et farfouilla dans sa trousse.

 

– Vous devriez retirer vos vêtements, ils sont pleins de sang.

 

C’est vrai que ça a saigné pas mal et que ça saigne encore un peu… mais bon.

 

– Un peu plus, un peu moins, vous savez…

– Non, je vais vous désinfecter la plaie, on ne sait jamais, vous pouvez ensuite frôler la plaie avec vos vêtements, autant les enlever de suite.

 

Puisqu’elle le dit.

 

Je me mets donc torse nu. Elle me regarde.

 

– Vous ne faites pas beaucoup de sport, vous ?

 

Qu’est ce que voulez que je réponde ?

 

– Ben non !

– Bon, on va déjà nettoyer tout ça, ça va piquer un tout petit peu.

 

Elle nettoie et ça saigne un peu de nouveau, une goutte de sang m’atterrit sur mon téton gauche, ça m’amuse.

 

Pendant qu’elle me soigne, je la mate, le visage est parfaitement dessiné, les lèvres sont pulpeuses, l’arrête du nez est fine, les yeux sont d’un bleu de rêve. Bref une belle frimousse, un visage à faire fantasmer un bénédictin.

 

– Vous croyez que je ne vous vois pas en train de me mater ? M’apostrophe-t-elle mais sans méchanceté.

– Que voulez-vous, je suis amateur de belles femmes, et je n’en ai pas si souvent chez moi !

– Alors continuez, mais soyez prévenu, inutile de tenter quoi que ce soit, vous n’êtes absolument pas mon type d’homme.

 

Cette fois, la voici : la méchanceté !

 

– Ce n’était pas dans mes intentions. Vous êtes trop belle pour moi et je le sais très bien !

– Voilà, c’était plus spectaculaire qu’autre chose, je vais vous mettre un pansement, il faudra le changer demain, je vais vous en laisser un de rechange. Pour après vous verrez avec votre pharmacien. J’y ai été fort avec mon sac, un horrible quiproquo, je suis vraiment désolée, vous devez m’en vouloir à mort ?

– Non, j’admets l’erreur tant qu’on ne s’enferre pas.

– Je vous en remercie, qu’est ce que je pourrais bien faire pour me faire pardonner ?

– Rien…

 

Et puis une idée comme ça :

 

– Et si vous acceptiez que je vous paye le restaurant ?

– Non, c’est moi qui vous suis redevable, ce qui vous intéresserais en fait, c’est que nous dinions en tête à tête, c’est bien ça ?

– Ben oui, c’était une idée comme ça, mais bon…

– Ecoutez, je connais un excellent traiteur chinois… on pourrait faire ça ici… euh vous avez un micro-onde

– Oui !

– Alors je m’occupe de tout, c’est moi qui paye, ça vous va ?

– Ça me convient très bien !

– Et on se boit quoi ? Du rosé ?

– J’en ai !

– Du bon ?

– Il est très correct !

– Et bien c’est parfait, on va faire comme ça ! Mettez-vous un truc qui se boutonne, une chemise… Ah il y a du sang à enlever là, là et là, oh, vous en avez sur le téton, ne bougez pas.

 

Et la voilà qui m’astique le téton avec un coton imbibé de je ne sais quoi, délicieuse sensation ! Je me pâme !

 

– Ça vous fait de l’effet, on dirait ! Dit-elle en riant.

– Oui, c’est ma zone érogène !

– Sans blague ! Vérifions !

 

Elle m’a saisi les deux tétons, me les serre, me les tord. Je me laisse faire, je suis aux anges. Je bande ! Mais à quoi joue-t-elle ?

 

– Allez, mettez vous une chemise.

 

Je me disais aussi… C’était trop beau pour que ça puisse continuer !

 

Je me lève, elle me touche alors la braguette.

 

– Et bien, vous voilà en forme !

– A quoi jouez vous ?

– J’adore jouer avec les hommes, enfin avec certains.

– Je croyais que je n’étais pas votre genre !

– Je le confirme, mais jouer et draguer, ce n’est pas la même chose.

– Je ne comprends pas bien !

– Ce n’est pas bien grave.

– Bon, je vais passer une chemise.

 

J’en prends une dans l’armoire de la chambre et reviens dans le séjour.

 

– Vous voilà remis à neuf ! Commente la déesse. Quoiqu’en y réfléchissant, approchez-vous, je vais vérifier quelque chose.

 

Et là voila qui me déboutonne la chemise que je viens juste d’enfiler.

 

– Euh, vous faites quoi, là ?

– Et bien vous voyez, je déboutonne cette chemise, je trouve que ce serait plus décontracté si vous la portiez ouverte.

– Ah, bon !

– Et puis, je vais vous faire un aveu, j’ai comme une envie de vous repincer vos tétons encore une petite fois ! Y voyez-vous un inconvénient ?

 

De toute façon, elle n’attend pas ma réponse et me les pince et me les tortille. Evidement cela me refait bander. Sans lâcher prise elle me dit alors :

 

– On pourrait s’amuser un peu avant de manger… mais j’aurais une petite question préalable :

– Dites !

– Je vais vous dire, mais avant dites-moi si vous aimez ce que je vous fais.

– Oh, oui !

– Alors dites-moi, est-ce que vous avez quelque chose contre les transexuelles ?

 

Le déclic ! Cette femme trop parfaite, trop grande, bien sûr que c’en est une…

 

– Si cela vous pose un problème, je me retire… Reprend-elle.

– Non, non vous pouvez rester, je n’ai rien contre les transexuelles.

– Je peux continuer à vous pincer les seins, alors ?

– Continuez ! Aïe !

– Dites-moi si je fais trop fort !

– Non, comme ça, c’est bien mais pas plus fort !

– Je m’appelle Samantha, et vous ?

– Denis !

– Tu as déjà fait des choses avec des transexuelles ?

– Jamais.

– Ça ne tentait pas ?

– Disons que je n’ai jamais eu l’occasion.

 

Elle me remet la main à la braguette, mais cette fois-ci elle s’attarde et finit par l’ouvrir, je me laisse faire, tétanisé. Je me laisse faire également quand elle extrait mon pénis en érection de mon pantalon.

 

– Humm, elle est jolie ta bite, mais la mienne est encore plus belle, tu veux la voir ?

 

Je ne réponds pas, me voilà entrainé dans une spirale incontrôlable. Je n’ai rien du tout contre les transexuelles, mais néanmoins, je ne me sens pas prêt pour tenter une expérience avec l’une d’entre elles.

 

– D’accord tu hésites ! Alors on va faire autrement, tu veux que je continue à te pincer ?

– Oui !

 

Elle retire ses doigts.

 

– Alors tu va me dire « Samantha je veux voir ta bite. »

 

Cette créature est diabolique.

 

– Samantha, je veux voir ta bite.

– Juste ma bite ou tu veux me voir complètement nue !

– Euh, tant qu’à faire…

– Ça va, j’ai compris !

 

Oh, elle ne me fait pas un striptease, elle se désape à la barbare en moins d’une minute, j’ai maintenant devant moi une créature impossible, une she-male, une femme à bite.

 

– Alors tu en penses quoi ?

– Vous êtes magnifique !

– Tu la trouves comment ma bite… Ah, c’est vrai, elle ne bande pas, mais tu vas la faire bander n’est ce pas ?

– Euh !

– Mets-toi à poil à ton tour, j’ai horreur des tenues débraillés. Rigole-t-elle.

 

Voila qui me donne une minute de répit !

 

– Bon allez, prend la dans tes mains, elle ne va pas te mordre.

 

Je le fais, je la branlotte un peu ! Elle grossit un peu, c’est une très belle queue un peu sombre avec le gland tout rose et tout luisant.

 

– Suce-moi !

– Non, je ne peux pas faire ça !

– Bon, ben tant pis, je vais m’en aller alors !

– Je…

– Je quoi ? Je sais ce que tu vas me dire, que tu veux bien essayer juste une seconde…

– Euh…

– Allez, vas-y ! Suce ma belle bite ! Tu vas te régaler, tu sais !

 

Je suis à genoux devant elle, j’approche mon visage de sa queue, mon plan est de lécher un tout petit peu la verge et d’en rester là. Je le fais, je suis surpris par la douceur de la texture.

 

– Encore un peu !

 

Je lèche la hampe, me surprend à l’embrasser.

 

– Mets là dans ta bouche ! Tu en meurs d’envie.

 

Je ne veux pas, il faut que je fasse cesser ce jeu.

 

– Des occasions comme celle-ci tu n’es pas prêt d’en rencontrer, laisse-toi aller, Denis. Si vraiment ça ne te plait pas tu t’arrêteras.

 

Ben oui, l’argument a porté, et me voilà avec sa bite dans la bouche, le gland est salé, le contact est agréable, ma langue s’active, mes lèvres également, je suis en train de sucer une bite et j’aime ça !

 

Elle grossit dans ma bouche, je suce désormais avec gourmandise, ce que je fais est délicieusement pervers et ça me plait ainsi.

 

– Tu veux me sucer le trou du cul ?

– Le trou du cul ? Répétais-je en abandonnant ma fellation et avec un air complètement ahuri.

– Non ça ne te dit rien ?

– Euh…

– Attend je vais te montrer, mais avant je vais te sucer ta bite à mon tour, mais ne jouis pas trop vite, on n’est pas pressé.

 

Samantha me suce ! Quelle pipe ! Personne ne m’a sucé comme ça. Sa langue virevolte et va partout, ses lèvres exercent une pression magique. Ma jouissance monte, elle s’en rend compte.

 

– Penche-toi en arrière !

 

Comme un zombi, j’obéis et lui laisse me lécher le trou de balle. On ne m’avait jamais encore prodigué cette caresse, et il faut bien dire que ça n’a rien de désagréable. Son savoir faire est grandiose, j’ai aujourd’hui, chez moi une experte de haut niveau en sexe. Autant la laisser faire !

 

Mais quand son doigt remplace ma langue, il ne m’est pas difficile de deviner quelle sera la prochaine étape. Elle me lime le fion avec un doigt puis avec deux.

 

– Tu aimes, Denis ?

– Oui, c’est bon !

– Tu voudrais que je t’encule ?

 

Je redoutais la question, mais excité comme je l’étais, je m’entendis répondre dans un souffle :

 

– Oui, encule-moi !

– Tu as des capotes ?

– Non !

– Ben moi non plus, je n’avais prévu ce scénario. Je vais aller en chercher, il y a une pharmacie dans le coin ?

– Juste en bas à gauche…

 

Elle se rhabille, j’aillais faire de même mais elle me précise que c’est inutile, qu’elle va revenir tout de suite… Et me voilà tout seul à poil au milieu de mon fouillis attendant qu’une transexuelle qui m’a balancé son sac dans la tronche vienne me sodomiser. Je rêve ou quoi ?

 

Je peux changer d’avis, lui dire que j’ai eu un coup de folie, mais que finalement, je n’ai pas envie de franchir ce pas… Je n’en sais rien, l’excitation est un peu retombée. J’hésite, je lorgne sur mon tas de vêtements, je décide de me rhabiller. Je ne sais pas ce que je vais lui dire. Elle tarde à revenir, sans doute y a-t-il du monde chez le pharmacien.

 

J’ai soif, je me sers un verre d’eau gazeuse. On sonne, c’est elle.

 

– Ah ! Tu t’es rhabillé ! Tu ne veux pas continuer ? J’ai été aux capotes pour rien, mais ce n’est pas grave.

 

Si elle le prend comme ça, c’est bon. Elle est en ce moment très près de moi, son visage est à quinze centimètres du mien, il se rapproche encore.

 

– Embrasse-moi, Denis !

 

Je ne me sens pas en situation de refuser, bientôt nos langues se mélangent dans un baiser aussi profond que baveux. Samantha m’a retroussé ma chemise et me pince de nouveau les seins. L’excitation et l’érection reviennent.

 

– Alors ? Finit-elle par dire, libérant son étreinte. On fait quoi ?

– On va reprendre où on en était ! Répondis-je en me déshabillant.

– J’ai acheté un peu de gel aussi ! M’informe-t-elle en m’imitant.

 

Elle me lubrifie l’entrée, rejoue un peu avec ses doigts, puis passe aux choses sérieuses.

 

– Ouvre-toi, pousse !

 

Samantha

 

 Elle a du s’y reprendre à trois fois, mais c’est entré. Drôle d’impression, j’ai une bite dans le cul. Ça fait un peu mal, je suis presque sur le point de lui demander de se retirer. Mais quelque chose se passe, la douleur ne disparaît pas vraiment mais passe au second plan tant des ondes de plaisirs m’envahissent l’anus. Les va-et-vient s’accélèrent. Je suppose que Samantha s’apprête à jouir. Je supposait bien, elle pousse un râle puis se retire de mon fondement, le laissant béant.

 

– C’était bon ! Commentais-je simplement.

– Toi, tu n’as pas joui, tu veux jouir comment ? Dans ma bouche, dans mon cul ?

 

J’ai opté pour sa bouche, la pipe fut géniale bien sûr, et nous voilà tous les deux avachis sur le canapé, d’une main baladeuse, je lui caresse la cuisse, elle se laisse faire.

 

– Tu as quelque chose contre les putes ? Demande-t-elle.

– Non, pas du tout, pourquoi cette question ?

– Parce que d’habitude je me fais payer !

 

J’espère qu’elle ne va pas me demander trop d’argent. C’est que j’ai un petit budget, moi !

 

– Je te dois combien ?

– Rien du tout, j’avais une dette envers toi, les circonstances ont voulu que ça se passe comme ça s’est passé. J’espère que ça te fera un joli souvenir.

 

J’avais (oh, si peu) espéré que tout ça, serait le début d’une liaison, mais elle vient de me dire sans le dire, qu’il n’y aura pas de suite, du moins pas de suite gratuite. Adieu illusions, mais je ne m’en faisais pas tant que ça, n’avait-elle pas dit au tout début que je n’étais pas son genre d’homme ?

 

Samantha se rhabille, moi aussi…

 

– Bon, on se le commande notre petit repas chinois ? Propose-t-elle.

– Bien sûr !

 

La soirée n’est donc pas finie, deux heures de tête à tête avec elle en plus de ce qui vient de se passer. Que demander de plus. Je suis ce soir le plus heureux des hommes.

 

Et en plus je me suis fait enculer ! Enculé et heureux ! Le Père Noël est passé en avance cette année !

 

© Boris Vasslan, Paris et Alençon, Décembre 2011

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:38

Service d’étage 2 – Brazil Brazil

par Boris Vasslan, sur une idée proposée par Arnaud

Fetish

 

 

Prologue

Soyons franc, quand le « gentil animateur » de « Viva Cuba » (voir ce récit) m’avait parlé de cette variante transsexuelle à Rio de Janeiro, j’avais été intrigué, mais je ne comptais pas trop donner suite. Je pensais sincèrement qu’en un an de temps j’aurais le loisir de me recaser…

Et bien non ! Un an après j’étais toujours aussi célibataire et toujours aussi paumé.

Je pénètre dans l’agence de voyage. Une nana genre fausse blonde un peu grassouillette, mais le visage agréable et le sourire avenant me fait un accueil de circonstances !

– Monsieur ?
– Bonsoir, euh qu’est-ce que vous auriez à me proposer au Brésil ?
– Ben plein de choses, je vais vous montrer ce que nous avons en catalogue…
– Euh, je suis partie à Cuba par votre agence l’an dernier, et la personne qui s’occupait de nous m’a dit qu’il existait à Rio de Janeiro des hôtels un peu, un peu…
– Un peu ?
– Un peu particulier !
– A quel point de vue ?
– Euh !
– Je vous écoute !

Cette garce s’amusait de mon embarras. L’envie un moment me tenailla de tout planter là et de me rabattre sur des vacances au cap d’Agde… Mais dans un moment de bravade je lui lançais :

– A Cuba certains membres du personnel proposait des prestations un peu en marge de leurs activités habituelles, tout en étant très corrects et en n’insistant pas outre mesure…
– Quel genre d’activité ?
– Du tricot ! Au revoir mademoiselle, j’ai dû me tromper d’agence !
– Mais, arrêtez, je vous fais marcher, et vous partez au quart de tour, nous avons sans doute ce qu’il vous faut !
– Ça vous amuse d’asticoter les clients !
– Je n’asticote personne ! C’est stratégique, mais je vous expliquerais si un jour vous êtes sage…

Elle se leva, fouilla dans une armoire, et en sorti un dépliant !

– Voilà, nous ne mettons plus cet hôtel en catalogue, parce que nous avons eu des réclamations de certains clients… Qu’est-ce que vous voulez, il nous faut faire avec tout le monde. Bon !

Elle aligna quelques chiffres, me les tendit…

– Voilà les tarifs… en pleine saison pour une semaine, est ce que ça vous convient ?
– C’est dans mon budget !
– Heu, ce n’est pas une formule club, je vous vends juste le vol et la chambre d’hôtel.
– Ça ira !
– Vous souhaitez partir à quelle époque ?

On règle un certain nombre de problèmes pratiques, puis juste au moment de me faire signer, elle tient à me préciser !

– C’est à vos risques et périls, bien sûr !
– Pardon ?
– On ne peut pas exclure le fait que la direction de l’hôtel ou les autorités locales aient mis fin à ce genre de pratiques…

Ah, ben oui, je n’avais pas pensé à cela !

– Euh !
– Alors vous prenez le risque ?
– Vous en pensez quoi, vous ?
– De toute façon la destination est intéressante, il n’y a pas que le sexe dans la vie… et puis si vous chercher vraiment des travelos, vous en trouverez là-bas, ça ne doit pas être si difficile même s’il n’y en a pas dans l’hôtel !
– Mais, il ne vous est vraiment pas possible de vous renseigner, de passer un coup de fil….
– Je ne suis pas payée pour faire ce genre de choses, mais tenez… me dit-elle en me passant le combiné, je vais vous composer le numéro !
– Mais je leur dis quoi ?
– J’en sais rien, c’est une idée à vous de téléphoner, non ?

La nana s’est penchée de telle façon que j’ai une vue plongeante dans son décolleté vierge de tout soutien-gorge, elle a la poitrine plutôt modeste, mais j’aperçois tout de même un petit téton brun tout à fait coquin… Et bien sûr je suis tellement discret qu’elle s’en aperçoit.

– Vous cherchez des travelos et vous matez dans mon décolleté, j’ai un peu de mal à suivre, là !
– Je vous expliquerais…. Allô ! Vous parlez français, non ? Do you speak english ? Yes ! Je voudrais louer une chambre dans votre hôtel, mais je voudrais savoir si vous avez toujours du personnel travesti ?
– I don’t understand, will you repeat please !

Je répète en essayant de soigner mon accent, rien à faire !

– Bon tant pis, j’y vais quand même !
– O.K. ! Ben vous signez le truc et vous me faites un chèque !

Je signais tout ça !

– Bien parfait, mais vous n’avez pas répondu à ma question. Si vous aimez les travelos, pourquoi vous reluquez mon décolleté ? Je ne devrais pas vous intéresser, je suis une femme, moi.
– Parce que je suis un petit coquin.
– Vous êtes à voile et à vapeur ?

Quel romantisme !

– Disons que j’ai des goûts très éclectiques.
– Vous trouvez qu’il est trop osé, mon décolleté ?
– Non pas du tout !
– Vous voulez regarder encore ? Je vais vous faire un aveu, j’aime bien qu’on me regarde !

Qu’est ce qui lui prend à la voyagiste ? Mais quand on me fait une proposition pareille je ne refuse jamais, à moins que ce soit de la provocation et que tout ça se termine par une paire de gifle. Maintenant que j’ai signé, elle ne risque plus rien.

– Vous savez, je ne me lasse jamais d’un joli spectacle.

Elle jette un coup d’œil par la vitrine, afin de s’assurer qu’elle ne sera pas observée pendant son court délire, puis des deux mains agrandit son décolleté, j’ai devant les yeux deux petits seins bronzés aux tétons arrogants.

– Ils doivent être très doux à caresser ! Commentais-je
– Ne soyez pas trop exigeant !
– Je n’exige rien !

A nouveau, elle regarde vers la vitrine ! Puis elle reprend !

– Allez-y mais juste une seconde !

De ma main j’effleure son sein droit, je m’arrange pour faire rouler très légèrement sa pointe avec ma paume. Elle pousse un soupir. Stratégiquement je stoppe mon geste. Elle me regarde, les yeux vagues.

– Je suis toute excitée, ce doit être la chaleur, où alors c’est vous avec vos envies de travelos…
– Il sont très jolis vos tétons, ça doit être très agréable de les embrasser !
– Non, mais c’est tout oui ? Vous croyez que c’est la fête ?
– Juste un bisou, et je file ?
– D’accord dépêchez-vous !

Je lui embrasse le téton et la sens soudain moins pressée, je m’enhardis à mettre en contact le bout de ma langue avec ce petit appendice de chair si charmant. Elle soupire :

– Encore un petit peu… l’autre aussi…

Cette fois ci, je n’hésite plus, je tête, j’aspire, je sens le bout de son sein grossir sous mes lèvres.

– Arrêtez !

J’obéis.

– Sauvez-vous, sinon je vais devenir incontrôlable !

Elle dit ça mais en même temps lorgne vers ma braguette. J’ai un pantalon clair et mon érection se devine. Elle y met la main.

– Ça vous a fait de l’effet, on dirait !
– Vous êtes très excitante !

Elle remet sa main, me palpe la bite à travers mon pantalon, juste quelques instants, puis se reprend.

– Bon, disparaissez, parce que sinon vous allez me faire faire des conneries.
– Il y des bêtises bien agréables, et puis bon, on ne vit qu’une fois…
– Vous allez me prendre pour qui ?
– Pour une petite coquine !

La fille prend alors une feuille de papier, elle marque dessus à l’aide d’un gros feutre « réouverture à 11 heures » et s’en va le scotcher sur la vitre de la porte qu’elle verrouille ensuite. Ce n’est pas possible, c’est mon jour de chance !

– Allez viens, on va derrière !

Je la suis dans la minuscule arrière-boutique où s’entasse des boites, des vieux catalogues et autres bricoles. Et d’emblée elle me remet sa main sur mon pantalon, mais cette fois de façon plus assurée.

– Hum, j’ai envie d’une bonne bite ! Dit-elle.

Nos visages se rapprochent, on s’embrasse et on mélange nos langues avec frénésie comme des amants qui ne se seraient pas vu depuis six semaines…

– Allez libère-moi tout ça !

Je dégrafe ma ceinture, mon pantalon glisse sur mes chevilles, le caleçon suit, et ma bite est déjà dans ses mains.

– Hum… elle est mignonne ta bite !

Je rougis sous le compliment, mais elle ne s’en aperçoit pas, elle a déjà tout mis dans sa bouche et commence à me faire un pompage en règle. Je suis aux anges, elle a une façon de donner des petits coups de langue sur le gland qui me transporte d’aise… et puis d’un coup la voilà qui s’arrête. Elle se débarrasse de son pantalon, vire la culotte, se fout la main sur la chatte, me la tend !

– Oh, là là, je suis toute mouillée !

Et elle s’assoit sur un carton assez haut, le sexe à hauteur de mon visage ! J’ai compris l’invitation.

– Si tu enlevais le haut ? Proposais-je.

Elle enlevé son petit haut, m’exhibant ses petits seins que je me précipite de sucer.

– Hum c’est bon ce que tu me fais, espèce de gros salaud, viens me sucer la chatte, viens…

O.K., on y va ! J’adore sucer les chattes, la sienne est humide, gluante, je suppose qu’elle veut jouir vite et je m’acharne sur son clitoris !

– Tu as des préservatifs ?

Pourquoi « des » j’en ai toujours un dans mon portefeuille, je lui dis !

– OK, vas-y enfile le !

Dingue ! Je ne pensais pas qu’elle irait jusque-là ! Mais allons-y ! Elle se retourne écarte ses gros globes fessiers. Envie irrésistible d’embrasser tout ça, je m’en octroie la permission, elle se laisse faire, ma langue rencontre son petit trou ! Quelle délicieuse odeur que celle de son trou du cul ! Au moins ça sent le cul, pas le gel douche !

– Oh, oui, vas-y fous-moi ta langue dans le cul, dans mon cul de salope !

Elle est déchaînée, son anus s’est ouvert sous l’action de ma langue et j’arrive à le pénétrer un petit peu, mais je bande de trop, il va falloir que ma queue entre en action.

– Encule-moi ! Encule-moi comme une salope !

On y va, on y va ! Ma bite s’enfonce dans son arrière-boutique comme une cuillère dans un flan aux cerises.

– Vas-y c’est bon, plus vite, plus fort, oh, tu m’encules, bien mon salaud !

Le problème c’est que suis tellement excité que je ne vais pas tenir longtemps. J’ai un moment le projet de sortir et de jouir dans sa bouche, mais ça m’est impossible, je me lâche, décule. Elle se retourne.

– Lèche !

Me voici de nouveau la langue dans sa chatte, et de nouveau je virevolte sur son clitoris qui a doublé de volume. La voyagiste est en sueur, elle halète, de fines gouttelettes viennent sous la faible lumière du recoin modeler son corps. Je m’applique, la sent prête, j’accélère, elle éclate, reste groggy une petite minute. Je me rhabille, elle fait de même.

– C’était un coup de folie ! Me dit-elle comme pour s’excuser.

Je me retrouve un peu con, je me demande de quelle façon je vais lui dire au revoir. Un bisou ? On dirait qu’elle a envie de me dire quelque chose.

– Vous allez faire quoi avec les travelos au Brésil ?
– Des choses coquines !
– Dites-moi quoi !
– Les voir à poil, baiser.
– C’est tout ?
– Leur sucer la bite peut-être ?
– Hum, et vous aller vous faire enculer aussi ?
– Ce n’est pas impossible !
– Je voudrais vous demander quelque chose !
– Oui.
– Au retour, je voudrais que vous me racontiez tout ça.
– Pourquoi pas ?

Plusieurs semaines plus tard !

Me voici de nouveau en France, et j’ai repris le boulot. Mais aujourd’hui j’ai ma journée de libre… Envie d’aller faire un tour à l’agence de voyage, comme ça sans trop d’illusions.

Je mate à travers la vitrine, super c’est la même nana, et elle doit revenir de vacances, elle aborde un superbe bronzage. J’y vais !

– Monsieur ?

Quoi, monsieur, elle ne me reconnaît donc pas ? Impossible avec ce que nous avons fait ensemble !

– Vous ne vous souvenez pas de moi ?
– Non, mais il faut pas m’en vouloir je vois tellement de gens ! Qu’est-ce que vous désirez, monsieur ?

Je réalise qu’elle feint volontairement d’avoir oublié nos galipettes. C’est son droit le plus absolu, mais je n’ai plus rien à faire ici.

– J’ai dû confondre avec une autre personne, je vous laisse !

Et je poussais la porte, un peu dépité…

– Monsieur…
– Oui ?
– Juste un mot, finalement je préfère que les choses soient claires, j’ai eu un coup de folie un jour avec vous, je ne regrette rien, mais bon, c’était un coup de folie, ce n’est pas « renouvelable ». Bonne journée !
– Merci de votre franchise, j’étais juste venu vous raconter mon séjour, vous m’aviez dit que cela vous intéresserait, mais bon, je vous laisse, bonne journée aussi !
– Ok, ça vous a plu, j’espère.
– Je n’ai pas été déçu ! Concluais-je en lui adressant un sourire
– J’ai une idée ! Dit-elle alors que j’étais presque sorti !
– Ah oui ?
– En fait, j’ai peur qu’on fasse des bêtises si vous me racontez ça ici, mais pourquoi on n’irait pas au restaurant ?
– Alors d’accord je vous l’offre !

Je ne pouvais décemment faire autrement, et on s’est retrouvé vers midi dans une petite pizzeria proche.

Je ne savais pas trop comment attaquer mon récit, ni si elle désirait que je rentre dans des détails « très sexe », mais elle me mit tout de suite à l’aise :

– Alors, dites-moi, est-ce que vous avez sucé plein de belles bites ?
– Plein, c’est peut-être exagéré, mais pas mal oui !
– Et vous vous êtes fait enculer aussi ?
– Aussi !
– Humm, j’essaie de vous imaginer avec une bite dans le cul ! Gros cochon, va ! Racontez-moi, je veux tout savoir.

Flash-back (Brazil, Brazil)

Pas facile de trouver cet hôtel qui est situé dans les faubourgs de Rio. De l’extérieur il ne paie pas de mine. Je présente ma réservation au réceptionniste qui sans un mot me tend une clé « à l’ancienne ». C’est au deuxième étage avec vue sur la route où des camions passent sans cesse. Comme romantisme exotique on fait mieux. La chambre à laquelle est accolée une petite salle de bain est correcte mais pas très grande. Première impression très mitigée, donc. On verra bien la suite.

Je m’installe sans me presser, et m’apprêtais à prendre une douche, lorsque j’entends qu’on frappe à la porte. C’est une femme brune métissée aux longs cheveux raides, avec de beaux yeux bleus et un visage de « chienne ». Elle est vêtue en haut d’un haut de maillot de bain parme et en bas d’un mini short de la même couleur

– Bonjour, je suis la femme de ménage ! Me dit-elle dans un anglais approximatif. Je viens voir si tout est OK !
– Je vous en prie, faites….
– Si vous voulez quelque chose de particulier, vous me dites !
– Ben je ne sais pas encore, j’arrive !

Elle ouvre le frigo, commente :

– Oui, le mini bar est rempli… heu, vous êtes célibataire, je suppose ?
– Oui !
– Vous allez trouver plein de jolies filles ici !
– J’espère bien !
– Il y a aussi beaucoup de transsexuelles !
– On m’a dit ça !
– Et vous aimez ?
– J’avoue que ça me trouble beaucoup !
– Et à votre avis, je suis une femme oui une transsexuelle ?
– Trans, je dirais !
– Gagné ! Vous devez être fatigué de votre voyage, que diriez-vous d’un petit massage. Je vous fais ça toute nue, et à la fin, je vous suce, à moins que vous préfériez me sucer… Je m’appelle Gisèle.
Me voilà donc déjà dans le « vif du sujet ».

Courte négociation sur les tarifs, et nous voici à poil tous les deux.

Ses seins sont très réussis, terminées avec de belles aréoles marrons aux tétons pointus, quant à sa quéquette qui pour l’instant pendouille sans bander, elle a l’air très prometteuse. Je tente d’y porter la main, mais la belle proteste !

– Pas si vite ! Je te masse un peu et après tu pourras me toucher la bite…

Bon, bon, puisque c’est elle qui commande… Je me mets sur le ventre, et elle me fait un massage qui ressemble plus à une série de papouilles qu’à du massage mais j’avoue que ce n’est pas désagréable. Après avoir fait balader ses mains un peu partout, elle se concentre sur mes fesses qu’elle commence à pétrir comme de la pâte à pain, puis vint explorer la région anale ! Je sens son doigt qui s’approche de mon petit trou. Elle crache dessus pour l’humecter (on est en plein romantisme) et le doigt pénètre !

– Tu aimes ça un doigt dans le cul, hein ?
– J’adore !
– Si tu veux, la prochaine fois je t’enculerais !
– Pourquoi la prochaine fois ?
– Parce que tu m’as payé pour me sucer, pas pour que je t’encule…
– Tu veux un autre billet ?
– Pas trop le temps, mais je reviendrais, vas-y suce-moi bien la bite !

Je ne me fais pas prier… Depuis le temps que j’attendais ça… et puis je suis venu pour ça non ? Le sexe grossit rapidement dans ma bouche, et je me délecte de la douceur de sa texture. Je le ressors pour pouvoir l’admirer, il est superbe, et le gland violacé et brillant semble vouloir me narguer ! Comme j’aimerais l’avoir dans mon cul.

– Tu ne veux vraiment pas me sodomiser, juste cinq minutes…
– Non, suce…

Je reprends ma fellation, Gisèle me tripote mon propre sexe bandé au maximum et prêt à éclater… Elle me fait signe de m’installer sur le lit… Aurait-elle changé d’idée ? En fait non, je comprends ce qu’elle veut faire, nous voici en position de 69, chacun suce la bite de l’autre… Sa fellation est terrible, ses coups de langues sont magiques, je n’arrive plus à me retenir. Je le lui dis, elle me retire ma bite de sa bouche, continue à la main et j’éjacule dans un râle, l’affaire n’aura duré en tout qu’une dizaine de minutes.

– Alors, ça t’a plu ? Me demande la diablesse.
– C’était bien mais un peu court, j’aurais préféré qu’on fasse plus de choses…
– J’ai bien compris, justement j’ai un truc à te proposer, deux ou trois fois par semaine, on ouvre une annexe du restaurant dans la « petite salle », il n’y a que cinq tables, le menu est le même que dans la salle principale, mais les serveuses, comme moi, sont très cochonnes… et ça se termine toujours en orgie… Si ça te dit tu me payes juste un forfait, après il n’y a pas de suppléments.

Nouvelle discussion sur les tarifs, l’affaire n’est pas donnée, mais ça reste raisonnable si tant est que les promesses seront tenues.

– C’est à 21 heures, il faut mieux être à l’heure pour que tout le monde soit là en même temps, sinon, c’est moins intéressant, c’est le salon n°2 au premier étage. Je vais te donner un reçu.

Le soir à l’heure dite, je me rends donc dans ce fameux salon.

Je suis accueilli par Fabiola, une superbe fausse blonde très bronzée aux lèvres purpurines. Cette « demoiselle » est simplement vêtue d’un petit slip bleu, et en haut d’un gilet sans manche non fermé, ce qui fait qu’à chacun de ses mouvements sa poitrine se dévoile… Voilà qui commence bien !

Seconde surprise, moins bonne cette fois, dans la petite salle il n’y a que deux clients, ce sont deux asiatiques à lunettes et en costumes de ville… Pour faire une orgie ça risque de faire un peu juste.

Fabiola me place, je m’assois, et j’attends, pas très longtemps… Un groupe entre et prend place à une table de quatre : Je n’ai bien sûr appris leurs prénoms que plus tard, mais pour la commodité de la description on va les dévoiler de suite :

Mon regard se porta en premier sur Ingrid, une grande femme, dans doute proche de la cinquantaine, cheveux blond vénitien, et sourire carnassier, qui avait poussé la provocation jusqu’à se vêtir d’un haut en voile noir transparent qui ne cachait rien de sa poitrine bien ronde. Une autre femme plus jeune, Maria, grande bringue délurée à lunettes, avait revêtu un chemisier blanc qu’elle s’empressa de déboutonner à moitié dès qu’elle fut assise. Charlie, un homme d’une cinquantaine d’année accompagnait Ingrid, genre vieil épicurien, en chemise fantaisie semi ouverte sur une poitrine velue que barrait une énorme chaîne en or. Le quatrième personnage était un bellâtre, sorte d’imitation des vedettes masculines américaines de séries télévisées pour adolescents et accompagnait donc Maria.

Trois minutes après un autre couple, Robert et Nicole, faisait son entrée, la cinquantaine tous les deux, banals de chez banals, Madame est une fausse blonde aux cheveux courts, bien conservée, chaussée de lunettes en écailles. Robert un petit bonhomme au crâne dégarni et à l’allure joviale. Bizarre quand même ceux-là, habillés comme ils le sont, on les verrait mieux visiter le Mont Saint-Michel que de participer à une partie avec des trans. J’apprendrais qu’il viennent de Liège en Belgique.

Fabiola la transsexuelle, commença son service en proposant un apéritif maison. Elle s’approcha de la table des chinois, se penchant pour bien dévoiler sa poitrine, ce qui provoqua de leur part des gloussements amusants, puis mit carrément, un bref instant, la main sur la braguette du premier d’entre eux qui se laissa faire avec un sourire béat. Le second asiatique eut droit au même traitement, puis Fabiola, se dirigea vers la desserte, sélectionna deux des verres qu’elle avait apportés et se dirigea vers la table de Robert et Nicole, elle écarte alors son petit slip bleu et en sort sa queue qu’elle balade devant le couple.

– Vous pouvez toucher un peu si vous voulez ! Précise-t-elle.

Robert n’hésite pas et caresse un peu l’engin, son épouse, amusée finit par faire de même. Puis Fabiola avec un nouveau verre se dirige vers ma table. Je l’accueillis bien sûr avec le plus grand sourire.

– Gisèle m’a dit que tu aimais bien les bites ! Me dit-elle sans autre préalable !
– C’est vrai ! Elle sera là se soir ?
– Bien sûr ! Tu aimerais qu’elle t’encule devant tout le monde !
– Ça ne me dérange pas !
– Humm… petit coquin !

Je n’ai pas eu droit au toucher de braguette ! Elle ne me propose pas non plus de lui toucher la quéquette. Tant pis ! Elle repart sur la desserte préparer les verres de la table de quatre. Ceux-là ont l’air de bien rigoler, sauf peut-être le bellâtre qui m’a l’air un peu mal à l’aise, je tends l’oreille pour essayer de deviner leur nationalité, surprise c’est du français, mais du français avec un accent impossible, des québécois peut-être…

Fabiola s’approche de leur table, elle échange quelques propos en portugais avec Ingrid, je comprends qu’elle la félicite pour son haut transparent. Cette dernière rigole et quand la transsexuelle lui demande l’autorisation de toucher, elle ne refuse pas et se laisse peloter les seins à pleines mains, puis ne se démontant pas, Fabiola posant ses paumes sur les épaules de Maria s’apprête à lui faire subir le même sort, n’attendant plus que son approbation, qu’elle obtient de façon très naturelle. Leurs deux compagnons masculins ont alors des réactions très différentes. Charlie parait tout émoustillé par le spectacle, en revanche, le visage du bellâtre à tendance à virer vers une couleur proche de la craie… Fabiola, placée derrière lui, ne s’en aperçoit pas et quand elle tente d’approcher ses mains, il a un geste d’agacement. Elle n’insiste pas et s’en va caresser le torse poilu de Charlie qui se pâme quand elle lui pince le téton… lentement la main de la transsexuelle descend vers la braguette…

Ce doit en être trop pour le bellâtre qui quitte soudain les lieux en prononçant quelques mots définitifs en anglais… Les trois qui restent ne tentent pas de le retenir et semblent prendre ce départ avec philosophie… Fabiola se demande si elle doit continuer, mais Charlie la rassure :

– Aucune importance, faites comme si rien ne s’était passé, continuez donc ce que vous vouliez faire ! Dit-il.

Fabiola remet alors la main sur la braguette de l’homme, puis lui demande de se lever. Elle défait alors la ceinture de Charlie, puis descend son pantalon jusqu’aux chevilles, bientôt suivi par le caleçon. Notre homme se retrouve donc la quéquette à l’air. Une belle quéquette bien bandée. La transsexuelle lui fait ensuite dégager les pieds, puis va poser les vêtements ainsi retirés sur une patère proche.

Elle revient, se penche légèrement de façon à déposer un bisou sur le gland de Charlie, puis l’invite à se rasseoir dans cette tenue, avant de regagner les cuisines.

Au fond les deux asiatiques n’en reviennent pas, l’un expose un sourire béat, l’autre paraît se demander ce qu’il fait ici.

C’est alors que je vois Ingrid, la compagne de Charlie comploter à voix basse avec ce dernier puis avec Maria. Soudain, elle se lève et viens vers moi.

– Bonjour, monsieur ! Vous êtes seul où vous attendez quelqu’un ? Me demande-t-elle en anglais.
– Je suis seul ! Répondis-je en français !
– Ah ! Vous êtes de quelle ville ?
– Paris.
– Nous, nous sommes québécois. Dites-moi franchement, je trouve que mon haut est un peu trop transparent, qu’en pensez-vous ?
– Je trouve qu’il est très joli comme ça !
– Le haut ou ce qu’il y a en dessous ?
– Les deux, en fait !
– Donc, ils vous plaisent mes nichons ?

Je n’en reviens pas, la nana a carrément soulevé son haut en voile et me fourre sa poitrine sous le nez.

– Ils sont très beaux ! Confirmais-je, confus !
– Ils ne seraient pas contre un petit bisou, alors !

Qu’auriez-vous fait à ma place ? Ma bouche eut tôt fait de rencontrer le téton que je mis à lécher avec gourmandise.

– Hummm, vous êtes un bon lécheur vous ! Je suis sûre que vous devez bien aimer lécher les chattes et les culs…

J’acquiesçais de la tête.

– Et les bites aussi ? Non ?
– Aussi, oui…
– Et bien c’est super tout ça ! Ça vous dirait de venir à notre table, comme vous avez pu le constater nous avons eu une petite défection… et comme on s’amuse mieux à quatre qu’à trois….

Vous pensez bien que j’ai accepté ! Ils changent un peu leur place, afin de me permettre de m’asseoir à côté d’Ingrid. Et on fait les présentations.

– Vous avez vu comment elle est chaude ma femme !
– Je vois…
– Et notre fille, Maria n’est pas triste non plus !

Ah bon ! Je le disais bien qu’il y avait comme un petit air de ressemblance. Ainsi, monsieur et madame emmènent leur fille en partouze ? Après tout pourquoi pas ?

Je vois et je sens, car sa main est déjà en train de se balader sur ma braguette… J’ai une envie folle de lui embrasser de nouveau les seins, mais je n’ai pas non plus envie de précipiter les choses. Devant moi, Maria me raconte qu’elle avait allumé le jeune homme qui vient de s’enfuir, dans les rues de Rio, il lui avait assuré qu’il n’avait pas de tabous, mais il devait en avoir quand même…

– Il est gonflé quand même, car c’est moi qui lui ai payé la place, il aurait pu me rembourser….

Elle me dit tout ça en se caressant un sein dont un téton est sorti du chemisier… Je vais devenir fou.

– Tu préfères mes seins ou ceux de ma mère ? Me demande-t-elle.
– J’aime tous les seins répondis-je diplomatiquement.
– Quand même, ceux de ma mère, ils sont d’enfer ! J’aimerais bien en avoir des comme ça.

Et la voilà qui se met à téter les tétons de sa maman.

– Arrête, tu m’excites !
– Tu aimes quoi, toi ? demande Maria en se redressant, les chattes, les bites, les femmes, les trans…
– Un peu tout ça…
– Hum, tu me plait bien toi, tu as vu la bite de mon père comme elle est belle quand elle bande !

Elle s’en empare et se met à la branloter ! Je rêve ou pas ? Mais je n’était pas au bout de mes surprises puisque la voilà qui se penche pour prendre en bouche le chibre paternel.

– On le suce à deux ? Me propose-t-elle

Ben oui on le suce à deux, je ne vous dis pas l’érection du tonnerre que je me tape, la bite de Charlie est délicieuse, mais cette pette fantaisie est interrompue par Fabiola qui réapparaît sagement en nous apportant de la Feijoada, une sorte de cassoulet local.

– Toi aussi tu as eu la visite de la femme de chambre me demande Charlie ?
– Oui, c’était pas mal ! Un peu rapide quand même !
– Normal, le patron leur interdit de rester trop longtemps dans les chambres, parce qu’il ne peut pas contrôler ce qui se passe et que donc ça lui fait du manque à gagner. Le jeu c’est de t’allumer pour te faire venir à la soirée, ici… J’en ai parlé avec un autre couple, il paraît que certains soirs c’est génial… On verra bien.

Tout redevient relativement calme pendant que nous dégustons ce merveilleux plat. Puis voilà Honey qui fait son apparition, une transsexuelle très grande, à la peau très pâle, frisée comme un mouton et avec un très joli visage. Elle est simplement vêtue d’un ensemble culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelle bleue. Elle se dirige vers la table des deux asiatiques, échange quelques mots puis sort carrément son sexe de sa culotte en se mettant à se masturber afin de le faire bander. Elle s’approche de l’un des convives, l’invitant implicitement à toucher ce sexe magnifique… mais manifestement ça ne l’intéresse pas, sans doute est-il exclusivement actif ? Son vis-à-vis par contre, n’hésite pas une seconde et après avoir un peu caressé la queue offerte, se la met dans la bouche et commence à la sucer goulûment.

– Doucement, doucement… Tempère la jolie trans.

Fabiola revient avec Gisèle, (celle qui m’avait chauffé en chambre) et une autre trans, Carita, très noire de peau et vêtue simplement d’un paréo qu’elle retire aussitôt. Et tandis que les deux premières s’attablent, sans doute très provisoirement, la trans black se dirige vers la table de Robert et Nicole, en s’écriant :

– Ben, il y a de l’ambiance ici !

Elle s’assoie sur les genoux de Robert dont les yeux sont à présent aussi écarquillés que ceux du loup de Tex Avery.

– Les genoux de votre mari sont très confortables ! Commente-elle. Oh, mais là, je sens quelque chose ! Mais c’est qu’il bande, ce petit cochon… Dis-moi tu voudrais faire des trucs avec moi ? Mais que va dire ta femme ?
– Ne vous gênez pas pour moi ! Répond celle-ci.
– C’est vrai, vous me le prêtez ?
– Oui, oui !
– Vous me le prêtez tout entier, sa bite, son cul ?
– Pas de problème !

Du coup, Carita extrait la belle bite de Robert de son pantalon, la masturbe un petit peu et finit par la mettre dans sa bouche.

Nous, à notre table de quatre on regarde, Ingrid à la main sur mon sexe, et moi je lui fais des petits bisous furtifs sur les seins, tandis qu’en face de nous, Maria et son père se tripotent à tout va. A la table des Chinois, Honey met fin à sa fellation.

– Tu veux que je t’encule ? Propose-t-elle à l’homme d’affaire asiatique.
– Pas tout de suite ! Répond l’homme qui en fait se dégonfle.
– Et toi tu veux faire des choses avec moi ? demande-t-elle au deuxième.

Manifestement, il hésite, même quand la trans lui propose explicitement de le sucer… Du coup elle se dirige vers notre table :

– Ces deux messieurs là-bas doivent être un peu timides… Et les messieurs qui sont là, est-ce qu’ils aiment bien se faire enculer ? Demande-elle carrément.
– Bien sûr, répond Charlie.
– Et ça te plairait d’avoir ma belle bite dans ton cul ?
– Bien sûr que ça me plairait !
– Et tu me la sucerais bien avant ?
– Oui, j’adore !
– Elle, c’est ta femme ? Demande-t-elle en désignant Ingrid.
– Oui, je suis sa femme, répond cette dernière.
– Ça ne te gêne pas si j’encule ton mari ?
– Pas du tout, au contraire ça m’excite.
– Bravo, j’aime les femmes comme toi, viens que je t’embrasse. Mais avant finissez de vous déshabiller tous les quatre, ce sera plus pratique pour la suite.

Une fois qu’elle fut à poil, elle fait lever Ingrid et s’empare de sa bouche. La femme et la trans se roulent un interminable patin tout en se pelotant mutuellement. Une fois l’affaire terminée, Charlie se met à applaudir, j’en fais de même, Maria également… Carita et le couple mature nous jettent un regard amusé. Les asiatiques du fond ne bronchent pas… Gisèle et Fabiola se lèvent et s’approchent de notre table, cette dernière offrant sa bite à Charlie, tandis que Gisèle me tend la sienne afin que je m’en régale. Honey quitte notre groupe et se dirige vers Robert, bite en avant, il n’hésite pas et gobe le joli cylindre de chair…

Donc récapitulons (parce qu’avec tout ce monde on va finir par s’y perdre !) : à ce moment de la soirée, nous avons à une table Robert qui suce Honey et qui se fait sucer par Carita.

– Tu peux sucer aussi, si tu veux ! Propose Honey à Nicole qui ne demande pas mieux.

A la grande table, Charlie suce Fabiola qui roule un patin à Ingrid. Quant à moi, je suce Gisèle qui se s’est mis à doigter le cul de Maria. Cette bite est délicieuse mais j’aimerais bien goûter les autres, je la relâche au bout d’un moment, Maria en profite pour me la piquer, et du coup Gisèle me doigte à son tour :

– Je t’avais promis que je t’enculerai, je vais te préparer le cul et je vais te prendre devant tout le monde, tu veux ?
– Oui !
– Humm Regarde ce que fait Fabiola, la cochonne.

– Je vais t’enculer mais avant je vais enculer ta femme ! Propose Fabiola à Charlie.
– Pas de problème ! N’est-ce pas Ingrid ?
– Ben, on est venu pour ça, non ? Répond Ingrid qui se met à sucer quelques instant la bite de la jolie trans que son mari vient d’abandonner.

Puis elle se met par terre, en levrette, son gros cul offert, obscène, qu’elle écarte des mains. Fabiola s’encapote et la pénètre avec une facilité déconcertante.

– Oh ! Qu’est-ce qu’elle m’encule bien ! S’exclame-t-elle.
– T’aimes ça te faire enculer, hein ! Tu es une enculée et une femme d’enculé !
– Oui, oui !
– Une grosse salope !
– Oui, oui tout ce que tu veux, continue….
– Oui, mais, il faut que je garde un peu de force pour le cul de ton pédé de mari !
– Dommage.

Fabiola se retire après avoir limé la blonde mature pendant cinq bonnes minutes.

– Houh, la cochonne, elle avait le cul pas bien propre ! Regarde dans quel état je ressors de là-dedans ! Rigole-t-elle en montrant la chose à Gisèle.

Elle essuie sa bite toujours encapotée sur les fesses d’Ingrid, créant ainsi d’insolites traces brunâtres, puis change de capote et fait signe à Charlie que maintenant c’est son tour.

– Allez, toi aussi ! Me dit Gisèle.

Trans1001Ah ! Chic ! Ça y est je vais l’avoir sa bite dans le cul ! Je me positionne à mon tour, et Gisèle commence à me lécher le fion. Quelle langue, mes amis, quelle langue, j’ai l’impression qu’elle me pénètre jusque je ne sais où ! Je me trémousse comme une grande folle et cela fait rire ma partenaire.

Plus loin, Robert s’est décidé à sodomiser Honey, la jolie transsexuelle toute bouclée. Nicole s’est levée pour aller draguer Maria, ça marche, cette dernière accepte tout : le baiser baveux, le pelotage de seins, et la main dans la chatte.

Carita, un peu désœuvrée, demande à Ingrid si elle ne veut pas une nouvelle bite en la lui mettant sous nez, je n’avais pas encore vu son membre à celle-ci, c’est impressionnant. Bien sûr qu’elle en veut et elle se la met dans la bouche avec avidité, avant de se la prendre, elle aussi dans le cul.

Ça y est, Gisèle m’encule ! Quel plaisir de sentir cette belle bite s’agiter frénétiquement dans mon trou du cul.

– Dis donc, petit cochon ! Me dit-elle, Tu crois que je ne t’ai pas vu en train de reluquer la grosse bite de Carita, tu la voudrais bien aussi celle-là ?
– Ben ma fois, puisque j’en ai l’occasion !
– Hummm, ce n’est pas bien de convoiter une fille pendant qu’une autre s’occupe de toi. Tu n’auras droit à la bite de Carita que si tu accomplis un gage.
– Pourquoi pas, je suis très joueur ! Aaaaah, que c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon !

Tandis que Maria et Nicole se gouinent comme des sauvages sur une banquette, Robert jouit dans le cul d’Honey et s’affale, épuisé sur sa chaise. Fabiola s’est retirée du cul de Charlie

– Oh ! Comme elle t’a bien enculé, Papa ! Commente Maria.
– Génial ! Ça te fait envie, c’est ça
– Oui, Papa, encule-moi !

Et pendant que Charlie sodomise sa fille, celle-ci broute le minou de sa mère venue les rejoindre fort opportunément.

Carita décule à son tour suivie de Gisèle qui me laisse le trou béant. Elle me demande de la suivre.

– Ce jeune homme voudrait bien finir avec toi ! Dit-elle à Carita, mais avant il doit accomplir un gage. Tu as une idée…
– Si tu lui faisais lécher le cul de cette salope ! Répond la transsexuelle black en désignant les fesses d’Ingrid.

En temps ordinaire, je n’aurais sans doute jamais fais une chose pareille, mais excité comme j’étais, le gros cul d’Ingrid luisant de transpiration ne me paraissait même pas enlaidie par les quelques traces brunâtres qu’avait laissé ses enculeurs. Je lui léchais donc les fesses avec application, allant même jusqu’à plonger ma langue dans son trou béant qui dégageait une odeur de merde un peu forte.

J’ai eu ma récompense : la bite de Carita dans ma bouche, mais renonçais à la prendre dans le cul… Je l’ai ensuite regretté.

Je n’avais pas trop fait attention à ce gros chien noir avachi dans un coin de la pièce. Mais le voilà qui se réveille et vient tournicoter autour des tables, il s’arrête devant Ingrid qui souffle un peu et vient lui renifler l’entre jambe.

– Mais dis donc le chien tu m’as l’air bien coquin !
– Il est très coquin et très vicieux ! Lui précise Carita.
– J’aimerais bien qu’il me lèche, ça peut se faire ?
– Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec le chien du moment que vous ne le maltraitez pas.
– Allez viens mon chien, viens lécher mémère !

Elle attire la bestiole entre ses cuisses, l’animal se met alors à laper le minou d’Ingrid à grand renfort de langue

– Oh que c »est bon ! Quelle langue.
– Nous n’avons pas de chien mais on s’est déjà amusé avec celui de nos voisins ! M’explique Maria. Maman, j’aimerais bien qu’il me lèche aussi !
– Vas-y je te le laisse !

Un bruit de chaises, les deux asiatiques quittent la salle, je me demande s’ils ont véritablement apprécié.

Après cette séquence de léchouille, les deux femmes ont fait en sorte de coucher le chien et de lui caresser le membre, une bite rouge et visqueuse qu’elles prennent en bouche avec une décontraction étonnante.

– Oh làlà, c’est excitant ce que vous faites ! Intervient Nicole ! Je n’ai jamais fait ça, moi !
– C’est l’occasion d’essayer ! Lui souffle Carita
– Je ne sais pas si je vais oser !
– Osez, Nicole, osez !
– Alors je vais oser !

Elle s’immisce entre Maria et sa mère et se met à sucer avec application.

– Je suis une salope, une fois ! Je suce la bite d’un chien !
– Il est complètement excité, ce pauvre chien ! Ce serait bien que l’une d’entre vous se fasse monter.
– Moi, moi ! Se propose Ingrid qui l’instant d’après se retrouvait en levrette avec le chien derrière elle la pilonnant à une cadence infernale.

Puis sans que l’on sache pourquoi le chien se retire. Caritas se met alors en position et attire le chien.

– Les filles, aidez-le à me pénétrer!

C’est Ingrid qui guide la bite du chien vers l’anus de la belle trans. Le chien peut alors reprendre ses assauts encouragés par la petite assemblé qi fait cercle autour de la scène.

Le chien après s’être soulagé a regagné son coin. Les trans se sont rhabillées et nous ont resservi un verre chacun.

– Voilà, Messieurs dames, c’est terminé, j’espère que ça vous a plus. Nous referons une autre séance mardi prochain, nous vous souhaitons une bonne nuit. Ne vous pressez pas pour quitter la salle, vous avez tout votre temps.

Et elles disparaissent. Nous ne sommes plus que six. Maria et Ingrid se font de tendres câlins. On se rhabille tous un peu mollement. Nicole tiens un conciliabule à l’oreille de son mari qui opine du chef, puis elle s’approche de nous.

– Je vois que tout le monde n’a pas joui, alors je vous propose de nous rejoindre dans notre chambre. Mon mari et moi seront à votre disposition, vous pourrez nous faire tout ce que vous voulez, dans la limite du raisonnable bien sûr ! Ça vous dit ?

Ça nous dit !

On a tous plus ou moins envie de pisser, une fois dans leur chambre, Nicole se précipite dans la salle de bain.

– Mettez-vous à l’aise ! S’il y en qui veulent me regarder pisser, n’hésitez pas ! Nous informe-t-elle.

On doit tous être entré dans la salle de bain, ça fait un peu juste quand même. Du coup, Nicole qui allait s’assoir sur la cuvette change d’idée, abandonne ses derniers vêtements et s’assoit dans le carré à douche et commence à pisser d’abondance.

– S’il y en a qui veulent me pisser dessus, ce n’est pas de refus.

Charlie prend la proposition au vol et se met à pisser sur la belle qui un moment met son visage sur la trajectoire afin de pouvoir en découvrir le goût.

Tout le monde se met à pisser un peu n’importe comment, Je m’allonge sur le sol espérant que Maria ou Ingrid comprendront le message. Ingrid le comprend et s’accroupit au-dessus de moi, m’arrosant copieusement. Hummm, il est trop bon son pipi.

On se douche assez vite, on se sèche sommairement. Nous sommes tous un peu fatigués mais nous voulons terminer en beauté !

– Allez, vous deux avec moi, les deux autres avec Robert ! Propose Nicole en me désignant ainsi qu’Ingrid.

J’encule donc Nicole tandis que celle-ci lèche le minou d’Ingrid. De l’autre côté, Charlie sodomise Robert qui a jeté son dévolu sur les nichons de Maria qu’il tête goulument.

Charlie jouit asse vite et décule, et tandis que je continue à lutiner la belle Nicole, Robert m’offre sa belle bite à sucer. Je n’ai pas refusé, elle était très bonne et je l’ai fait juter dans ma bouche tandis que je jouissais dans le cul de la jolie mature. Les trois filles se sont ensuite mélangées jusqu’à ce qu’elles jouissent à leur tour. Cette fois, on était vraiment crevé. On a refusé le dernier verre, bisous, bisous et dodo chacun dans sa chambre.

Epilogue

– Quel beau récit ! Conclue alors la voyagiste, j’en suis toute mouillée. Voyez-vous, j’avais pris des résolutions, en venant ici au restaurant je pensais éviter la tentation de refaire des bêtises avec vous. Mais après vous avoir écouté je vais vous demandez deux choses.
– Dites :
– La première c’est d’aller vite payer, nous prendrons les cafés plus tard, la seconde, c’est de m’accompagner à l’agence, et là vous allez m’enculer dans l’arrière-boutique !
– Mais avec grand plaisir !

 

Fin
©Boris Vasslan Janvier 2010 sur une idée proposée par Arnaud.

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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:34

Esclave ! par Boris Vasslan

 

Domina

Esclave !

 

Esclave, si tu veux me revoir

Dans l’intimité de mon petit boudoir,

Des fleurs, tu m’apporteras parce que cela me touche

Pour te remercier, je te cracherais en bouche.

En arrivant tu te mettras tout nu,

Tu m’exhiberas tes fesses charnues

Que je fouetterai de plusieurs coups de badine.

Puis je te ferais avaler mon urine,

Et de lécher mon anus odorant,

Je t’en serais reconnaissant.

Tu viendras samedi prochain

A dix heures trente du matin,

Je serais avec Patrick et Benoît,

Deux larves aussi pédés que toi,

Tu devras leur sucer leur bite

Qui ne sont point petites

Avec ta langue de pédale

Tu leur feras un festival

Ensuite Julien t’enculera

Puisque tu n’es bon qu’à ça !

Signé

Ta maitresse adorée

Qui te pisse à la raie

PS

On se donne une heure pour faire ça

Et 300 euros tu m’apporteras

maitresse 1710c

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:26

Partie spéciale chez Monsieur Charles par Boris Vasslan

Spanking

 

 

Le thème du type (ou de la fille) qui suite à un gage, doit se rendre dans un lieu inconnu où on lui fera subir milles outrages est un grand classique. La plupart du temps tout se passe à merveille pour le héros, ça baigne même dans l’huile… la réalité est parfois légèrement différente !

Elisa m’a demandé de coucher tout ça sur papier. Pourquoi pas ?

Je suis Arnaud, j’ai la trentaine bien entamée. Quatre mois que je suis avec Elisa, une belle brune aux cheveux bouclés. Au lit c’est une bombe, une imagination débordante. On joue souvent à des petits jeux de soumission/domination. On tire au sort lequel sera le soumis, et on y va. Je devais avoir quelques penchants pour ce genre de choses mais je ne pratiquais pas, maintenant je suis en plein dedans.

Le tirage, ce soir-là, a voulu que je perde. Mais je suis content de perdre. Je m’attends à être la victime consentante d’un des scénarios préférés de ma dominatrice de charme. Et bien non, elle passe un coup de téléphone et m’annonce simplement :

– Tiens, je t’ai écrit l’adresse : Demain tu te rendras à cet endroit, à 18 h 30. Surtout ne sois pas en retard, tu y seras attendu et tu feras ce qu’on te dira de faire. Après je veux un compte rendu bien détaillé et bien rédigé, je suis sûre que ça va me faire mouiller. Bon, on mange ?

Déception ! Interrogation ! Mais je ne me défilerai pas.

L’adresse est en proche banlieue ouest. Je m’y rends par les transports en commun. L’immeuble sent le fric comme ce ne devrait pas être permis. Je monte au premier, une soubrette en tenue d’opérette plutôt mignonne, blonde, frisée comme un mouton et trop maquillée m’ouvre. Elle sent bon, mais ne semble pas savoir sourire :

– Bonjour, je suis Arnaud !
– Suivez-moi !

On ne lui a jamais appris à dire bonjour, à la bonniche ? Je la suis dans une sorte de vestibule contigu…

– Voilà, confiez-moi vos vêtements, vous aurez le vestiaire numéro 3.

Elle ouvre un petit dressing, y colle mon blouson, puis reste plantée devant moi quelques secondes avant de me préciser :

– Il faut me confier tous vos vêtements.
– Vous voulez dire que je dois me déshabiller ?
– Oui, entièrement ! Même les chaussettes, la montre… et les lunettes aussi, sauf si vous êtes trop binoclard…

Bon ! Par un réflexe de pudeur incongru je me tourne et j’enlève tout. Je lui tends les trucs en me cachant le sexe. Elle pend le pantalon et le polo après un cintre, puis enferme le slip, les chaussettes, les lunettes et la montre-bracelet dans un petit sac avec une étiquette portant le n°3. Elle étiquette également les pompes ! Quelle organisation !

– Suivez-moi !

OK, je la suis dans un grand couloir et nous voici dans une immense salle de bain.

– Voilà du gel de rasage et des rasoirs, vous rasez tout ce que vous pouvez, je vous aiderai pour les endroits difficiles !

Glups !

– Ecoutez, je vais vous confiez un truc, je suis ici suite à un gage que j’ai perdu, et j’ignore quel genre de choses se déroulent ici…
– Je ne suis pas autorisée à répondre à vos questions. Si vous pouviez commencer à vous raser, on n’a pas toute la soirée.
– Je suis vraiment obligé ? Demandais-je stupidement.
– Oui ! Si vous avez vraiment peur de vous couper, je peux – éventuellement – le faire à votre place ! Me propose-t-elle.

Le ton employé montre bien qu’elle espère que je ne ferais appel que le moins possible à ses services.

– Non, je vais me débrouiller, c’est comment votre prénom ?
– Je n’ai pas à vous le dire !

Charmante !

Je ne suis pas très poilu, mais ça en fait quand même de la surface à raser, je commence par les jambes, puis le torse, puis les bras (pas évident le bras droit avec la main gauche), puis le zizi. Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs que j’ai usé !

– Je vous laisse le verso ?

Elle ne répond pas, pousse un grand soupir, puis prend un rasoir neuf, me badigeonne de gel et entreprend de finir tout ça.

– Maintenez vos fesses écartées que je vous rase le trou du cul !

Quel langage !

Elle me passe ensuite une serviette chaude, puis un gel apaisant. J’aurais bien pris une douche, mais ce ne doit pas être dans ses intentions.

– Donnez-vous un coup de peigne, vous avez l’air d’un pétard. M’ordonne-elle en me tendant l’instrument idoine.

Elle m’énerve, heureusement que je suis très joueur ! Elle me tend une cuvette.

– Pissez là-dedans !

Et puis quoi encore ?

– Vous allez me faire une analyse d’urine ? Tentais-je de plaisanter.
– Vous n’êtes pas ici pour poser des questions, mais pour obéir !

Et toc !

Je pisse donc comme demandé, elle trempe ensuite un gant de toilette propre dans la cuvette. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique ? Elle me le tend !

– Voilà, badigeonnez-vous le sexe avec ça, les couilles et les fesses aussi. Monsieur Charles n’aime pas les bites qui sentent la savonnette.

De mieux en mieux, elle m’a envoyé où, Elisa ? Et qui c’est, ce monsieur Charles ?

– Suivez-moi !

Ah ! Je vais peut-être découvrir d’autres personnes ! Ben, non, nous voilà dans un petit vestibule (il y a combien de pièces dans cette baraque ?) Elle regarde mes jambes, et me choisit une paire de bas noirs auto-fixant qu’elle m’invite à enfiler, puis elle me passe un collier de chien autour du cou, il est tout rose et muni d’une laisse. C’est donc une séance de domination, je m’en doutais un peu, mais cette fois ça se précise !

Elle sort ensuite de la poche de son tablier deux pinces qu’elle m’accroche au bout des tétons avant d’y ajouter des poids. Ça tire pas mal, mais cette sensation ne me déplaît pas. Elle me passe ensuite une ficelle, enserrant mes couilles et la base de ma verge… et elle serre bien fort !

– Je suppose que vous ne savez pas marcher avec des escarpins ? Me demande la soubrette.
– Pas vraiment, non !
– Pff ! Alors mettez-vous à quatre pattes !

J’obéis, elle prend son portable !

– La salope n°3 est prête, madame !

Ah, bon, je suis la salope n°3 ! Je vous dis, on est en pleine poésie !

Je n’entends pas ce que la madame lui répond, mais la soubrette me tire par la laisse et me fait avancer dans le couloir. C’est assez pénible avec les poids qui se balancent et qui tirent sur mes chairs, mais bon, on est maso où on ne l’est pas ! Devant une porte se tiennent deux hommes agenouillés dans le même accoutrement que moi, je suppose donc qu’il s’agit des « salopes » n°1 et 2. J’ignore s’il faut dire bonjour, alors j’esquisse un sourire niais auquel personne ne me répond. Ça manque terriblement d’humour et de convivialité chez ces gens-là !

– Vous mettez vos avant-bras sur le sol et vous ne bougez pas !

Super la position ! Mais qu’est-ce que je fous là ? Comme ça s’éternise je mijote un plan de fuite (au cas où…) et me rends compte avec horreur que j’ignore à quel endroit se trouve le vestibule où sont restées mes affaires. Je suppose néanmoins que si je décide de quitter ce cirque, on ne va pas m’en empêcher. Bon pour l’instant j’attends.

Au bout d’un quart d’heure la porte s’ouvre, mais il y a une tenture qui me cache l’intérieur. Une femme arrive. J’appris plus tard qu’elle se prénommait Vony. Comment la décrire, pas toute jeune mais bien conservée, rousse, la chevelure abondante et frisée, elle est habillée de noir, une guêpière à fines bretelles, des bottes, des bas résilles tenus par un porte-jarretelles, elle a également de très longs gants de velours noirs. Ses jolis seins (un bon 95 D) et sa chatte poilue sont à l’air. Joli spectacle. Vraiment !

Vony embarque le premier esclave et le fait avancer à coups de cravache. Ça me fout un peu les boules, mais c’est une séance de domination, pas une soirée chez les bisounours.

Le second est embarqué quelques minutes après, puis c’est mon tour.

– Avance, salope !

Mika Vony B10bLa salope, elle avance, et même que je me fais rougir les fesses. C’est supportable mais limite, Elisa ne m’a jamais flagellé aussi fort.

J’arrive au milieu d’une très grande pièce où on me demande de me mettre debout et où je découvre la petite assemblée :

Sur le canapé (très classe, le canapé) trône un gros bonhomme complètement à poil et assez adipeux. Je suis persuadé de l’avoir déjà vu quelque part, peut-être à la télévision. A sa droite un grand blond moustachu de type nordique, il ne s’est pas déshabillé mais a tout de même son pantalon et son caleçon sur les genoux, et il se caresse sa queue, une belle queue ma fois. Sur sa gauche un travesti ou un transsexuel à la peau bronzée et au visage très fin, il a gardé le haut, retiré le bas mais conservé son slip en faisant ressortir sa jolie bite sur le côté.

Une autre femme dans la même tranche d’âge que Vony se tient debout sur le côté, la cravache à la main, Elle est accoutrée de la même façon que l’autre femme (à ce détail près que sa guêpière n’a pas de bretelles). Elle a un joli visage très ovale et des cheveux bruns assez courts. Elle se prénomme Mika. Belle et forte poitrine, elle aussi.

La soubrette est restée, elle s’est mise, elle aussi, sa chatte et ses petits seins à l’air. De l’autre côté sur deux fauteuils contigus se tient un couple assez BCBG, la femme sans doute proche de la cinquantaine, mais possédant un charme nature évident est une brunette frisée à lunettes au minois intéressant, vêtue d’une petite robe bleue sans manche, assez moulante et bien décolletée. L’homme est très commun, la vingtaine, visage standard, lunettes rondes, barbe de trois jours et costume de ville. Ils sont pour le moment très sages et pas du tout débraillés.

– Joli lot ! Commente le gros patapouf.
– Tournez-vous, que Monsieur Charles voie vos fesses de pédés.

Le Monsieur Charles (Patapouf) semble donc bien être l’ordonnateur de cette étrange soirée. Et c’est donc lui l’amateur de bites parfumées à l’urine !

– Celui-ci me convient très bien ! Déclare-t-il en me désignant.

La perspective de faire des choses avec cette grosse limace libidineuse me refroidit, mais je n’arrive pas à me décider à partir.

– Faites-vous lécher le cul, Mesdames ! Demande Patapouf. J’espère qu’ils sont bien merdeux !
– Nous ne nous sommes pas essuyées de la journée, Monsieur Charles, répond Vony. Mais je suppose que vous souhaitez vérifier ?
– Je vous croie sur parole, mais faites-moi tout de même sentir. Je ne vais quand même pas me priver de ce plaisir !

Vony offre ses fesses à Charles, se les écarte. Il y porte le nez, hume !

– Quelle odeur ! J’adore !

Il donne quelques coups de langue, puis la congédie d’une tape sur les fesses.

– Mika, à ton tour.

Patapouf réitère son bref léchage de cul. Puis c’est le tour de la bonne qui après avoir exposé son cul se reçoit une gifle en pleine poire.

– Mais pourquoi, Monsieur Charles ? Je n’ai rien fait ! Proteste-telle mollement
– Je n’ai pas dit que tu avais fait quelque chose !

Puis, chaque esclave se retrouve le visage devant le cul d’une des femmes, j’hérite de celui de Vony. Ça ne sent pas trop la rose, mais c’est « moins pire » que ce que je pensais et faire ce genre de chose ne me rebute pas trop, bien au contraire. Je prends donc plaisir à bien nettoyer ce joli cul de toutes éventuelles traces suspectes. Je suis quand même surpris quand elle me lâche un pet en pleine poire.

– Ce sont les haricots de ce midi ! Se croit-elle obligé de me préciser.

La réplique fait hurler de rire Patapouf qui bande comme un malade.

– Viens me sucer ! M’ordonne-t-il.

Berck !

– Non je m’en vais ! Au revoir m’sieu-dames ! Répondis-je du tac au tac, devant l’assistance incrédule.

Je franchis la porte du salon, je me demande si on va me courir après ? Non ! Qu’est-ce que je vais raconter à Elisa ? Après tout je m’en fous, ce n’est pas parce que j’ai des tendances masos que je suis prêt à faire n’importe quoi ! Où est donc ce putain de vestibule ? Près de la porte d’entrée, bien sûr, cette porte, non ! Celle-ci ? C’est celle-ci ! J’entre, je me débarrasse de mes pinces et des ficelles qui me serrent les couilles. Puis tente de faire jouer la glissière du dressing et constate que c’est fermé à clé ! Malédiction !

Il me reste quoi comme solution ? Piquer des fringues quelque part (où ?) et partir, puis revenir chercher mes affaires le lendemain ? Non ! Attendre dans le vestibule que la partie se termine ? Pas terrible ! Retourner là-bas et exiger qu’on me rende mes affaires ? Peut-être ? M’avouer vaincu, revenir et accepter la punition qu’on ne manquera pas de m’infliger ? N’importe quoi ? Quoiqu’après tout cette humiliation peut-être très excitante, et puis quand j’y pense, qu’est-ce que j’en ai à foutre, finalement de sucer ce gros porc, je fermerais les yeux, et ça réglera le problème.

Je reviens donc et mon retour s’exécute dans l’indifférence quasi générale ! La bonniche stoïque me remet des pinces et des poids au bout des seins, et une cordelette autour des couilles, puis me toise avec un mépris, mais avec un mépris du genre faut le voir pour le croire. Elle m’énerve, celle-ci, elle m’énerve ! J’attends la punition : ben non pas de punition pour le moment ! La salle offre un joli spectacle : Vony se fait flageller par Mika (j’apprendrais par la suite que Patapouf a exigé d’elle qu’elle soit punie pour avoir recruté un esclave – moi, en l’occurrence – qui ne s’est pas montré à la hauteur.) Les esclaves n°1 et 2 sucent respectivement le travelo et le blondinet. Personne ne s’occupe de Monsieur Charles, alors j’y vais (si ce n’est pas du masochisme ça, qu’est-ce donc alors ?), s’il me jette on verra bien, il ne me jette pas et j’ai déjà sa grosse bite dans la bouche.

– Mika, tu peux arrêter de fouetter cette salope ! Ordonne-t-il.

Patapouf a beau être laid comme un pou, il faut bien avouer que sa bite est bonne, douce, onctueuse, en bref : bien agréable à sucer.

– Humm ! Tu me suces trop bien, petite pédale, Je vais t’enculer, tu m’excites de trop ! Me dit-il.

Ben voyons ! Et bien qu’il m’encule et par derrière, comme ça je sentirais bien sa bite sans voir sa tronche de gros porc !

Il se dégage, se lève, puis se penche pour me sucer un peu la bite et le trou du cul. Il ne fait aucun commentaire mais à sa mine réjouie, je devine qu’il apprécie tout ça. Il m’invite ensuite à me positionner en levrette près du couple discret. Il me crache sur le trou du cul, puis introduit un doigt qu’il fait aller et venir.

– Ça vous plaît, le spectacle ? Leur demande-t-il ? Vous ne voulez pas participer ?
– Non, non, nous on regarde ! Répond le jeune homme.

Et hop, ça y est j’ai la bite de Patapouf dans le cul ! C’est entré tout seul, et ça fait du bien quoique le mec manque quand même de délicatesse.

– T’aimes ça, te faire enculer, hein pédale ?
– J’adore ! Allez-y défoncez-moi ! Répondis-je, entrant dans son jeu.

Je ne vais pas le contrarier, d’autant qu’il faut bien avouer que sa prestation a tendance à s’améliorer.

Regard circulaire dans la salle, Vony est en train de sodomiser le grand blondinet à l’aide d’un gode ceinture. L’esclave n°1 et le travesti semblent ne plus pouvoir se décoller et paraissent partis pour un soixante-neuf interminable au pied du canapé. Mika se fait lécher la chatte par l’esclave n°2, quant à la bonne, elle semble attendre, stoïque, que quelqu’un veuille bien faire appel à ses services.

L’autre me laboure de plus en plus vite, me provoquant d’étranges frissons d’extase et finit par décharger en poussant un cri étouffé.

– Je ne pensais pas jouir si vite, mais tant pis, il était trop bon ce cul de pédé, maintenant il faut que je recharge les batteries. Commente-t-il à haute voix et d’un air pleinement satisfait.

Puis il s’adresse de nouveau au jeune voyeur :

– Alors, ça vous a excité ?
– Bien sûr !
– Pourquoi vous ne vous branlez pas alors ?
– Non, non, nous on regarde ! Répète-t-il.
– Vous devriez quand même sortir votre bite, elle serait plus à l’aise.
– Tout à l’heure peut-être !

C’est alors que sa compagne intervient :

– Moi, ça ne me déplairait pas que tu le fasses !
– Que je fasse quoi ?
– Que tu fasses ce que te conseille monsieur.
– Ah, bon ? Mais tes désirs sont des ordres, ma chère maman.

Ah ? Parce que c’est donc sa mère ?

Et le voilà qu’il extrait de sa braguette une bien jolie biroute superbement bien bandée.

– Oh ! Mais ce que vous avez une très jolie bite ! Félicitations ! Vous n’aimeriez pas que cet esclave vous la suce ? Reprend Patapouf.
– Non, non, nous on regarde !
– Monsieur l’esclave, intervient Claudine, ne vous occupez pas de ce qu’il raconte et sucez-le s’il vous plaît, mais ne le faites pas jouir.

J’aime bien le « Monsieur l’esclave », mais je ne sais que faire ! Monsieur Charles m’encourage !

– Allez, suce, pédale, suce cette bonne bite !

Allons-y pour la deuxième bite de la soirée. Je m’en fous, j’aime bien sucer. Je ne l’ai pourtant pas fait si souvent, mais je kiffe.

Monsieur Charles qui a compris comment le type fonctionnait s’adresse à sa femme :

– Vous devriez conseiller à monsieur de se foutre à poil, ce serait plus esthétique.
– Voilà une excellente suggestion, qu’attends-tu Henri ?
– Ça me gêne un peu !
– Ce n’est pas un argument valable, déshabille-toi !

Henri obéît après avoir regardé sa mère avec un air de chien battu. Il se rassoit et je reprends ma fellation.

– Et s’ils inversaient les rôles ? Suggère Monsieur Charles.
– Justement, j’y réfléchissais ! Répond Claudine avec une moue malicieuse.
– Mais enfin maman, tu n’es pas sérieuse ?
– Si, si, et arrête de faire l’innocent, tu savais bien ce qui risquait de se passer en m’accompagnant ici !
– On avait dit qu’on venait juste pour regarder !
– Pfff ! Tu parles !

Personne ne me dit d’arrêter de sucer, donc je continue. Monsieur Charles parle à Claudine.

– L’odeur du trou du cul de Vony, tout à l’heure, c’était quelque chose, les autres aussi d’ailleurs. J’adore les culs qui sentent un peu, ce doit être aphrodisiaque.

Claudine ne sait pas trop quoi lui répondre et se contente d’un sourire poli.

– Et vous ? reprend-il.
– Pardon ?
– Et vous ?
– Mais c’est quoi la question ?
– Vous devez avoir aussi le cul qui sent un peu, à cette heure-là ?
– A vrai dire je n’en sais rien, mais si voulez vérifier, je veux bien vous le faire sentir.

Henri n’en croit ni ses oreilles ni ses yeux. Il se dégage de ma bouche et assiste incrédule au spectacle de sa mère qui se lève et se déshabille, ne gardant que ses bas auto-fixant en résilles rouges. Elle n’est pas mal dans le genre MILF, petite blonde frisée au corps harmonieux avec de jolis seins un peu lourds aux larges aréoles roses.

– Voilà mon cul, il est à votre disposition, monsieur Charles.

Il renifle, il lèche, il met un doigt. Elle se laisse faire. Puis je suppose qu’il a une crampe, il se relève.

– Félicitations, vous avez un vrai cul de princesse.

Et miracle, il rebande !

– Bon on avait dit qu’on invertirait les rôles de ces deux-là ! Reprend-il
– Ben alors Henri ! Le presse Claudine.

Et devant son fils ébahi, elle entreprend d’abord de sucer la bite de Monsieur Charles avant d’attaquer la mienne avec ardeur. Tous les participants sont à présent en cercle autour de nous à profiter du spectacle.

– Elle a petit goût salé votre bite ! Remarque-t-elle.
– J’espère que cela ne vous dérange pas ? Répondis-je par politesse
– Hon, hon ! Fit-elle en gardant la bouche pleine.

Henri profite du spectacle en bandant toujours autant mais reste dans son coin.

– Bon alors, Henri, tu te décides à venir me rejoindre ou tu préfères que je demande à l’une de ses dames de te fouetter pour t’aider un peu ?
– Ça va trop loin, maman !
– Je ne suis pas de cet avis ! Répond-elle. Si tu te sens gêné, tu n’es pas obligé de rester, mais moi je me sens très bien ici !

Il regarde autour de lui, puis se jette à l’eau.

– C’est bien pour te faire plaisir !
– Suce et tais-toi, sale gosse !

Ils me sucent tous les deux, je suis aux anges. Un moment Claudine, complètement excitée me laisse seul avec Henri, et jette son dévolu sur la queue du blondinet qui bien sûr se laisse faire. Il ne tarde pas à jouir et elle se retrouve avec la bouche pleine de sperme.

– Vous avez la permission de m’embrasser à pleine bouche ! Me dit-elle alors.

Cela n’a rien d’un baiser fougueux, je suppose que n’ayant ni envie d’avaler, ni de cracher, elle m’a simplement choisi pour que je l’en débarrasse. Ah ! Les femmes !

Henri me fait bander comme un âne avec sa sucette. Le travelo passe derrière lui, se baisse et lui fout un, puis deux doigts dans le cul, ça le fait se trémousser. Cet Henri me parait jouer les faux puceaux de la fesse et sa mère n’est pas dupe.

– Un peu à mon tour sollicite le trans ! Donne-moi ta bouche !

Henri se tourne donc pour le sucer, me voilà largué. Sur le fauteuil, Claudine les jambes en l’air est en train de se faire pénétrer l’anus par Blondinet, (il a déjà retrouvé la forme, celui-ci !) lequel se fait à nouveau défoncer le cul par Vony et son gode-ceinture diabolique. Tout ce petit monde finit par s’écrouler au bout d’une dizaine de minutes avec un synchronisme étonnant.

Le travesti a trouvé le moyen de sodomiser Henri, encouragé par Claudine qui s’est déjà remise de ses émotions. Ça ne dure pas très longtemps, l’autre lui jouit dans le fondement, Henri n’en peut plus, il esquisse quelques mouvements de masturbation et son sperme fuse en de longs jets. La soubrette s’en va de suite chercher une lingette nettoyante en poussant un soupir d’exaspération.

On se calme un peu, Henri aurait bien quitté la fête, mais Claudine lui fait de nouveau savoir que pour l’instant elle s’amuse très bien et qu’elle souhaite rester là. Patapouf revient à sa place sur le canapé ainsi que les deux zigotos qui l’entoure, il interpelle Vony :

– Cet esclave est très bien, mais tout à l’heure, il a fait une grosse bêtise, je pense donc qu’il convient de le punir, ne serait-ce que par principe.
– J’allais justement vous le proposer ! Avez-vous une suggestion ?
– Un petit doublé comme l’autre fois ! Cela va nous permettre de punir en même temps que celui-ci, un esclave qui n’a commis aucune faute. Voilà une injustice que je trouve absolument excitante !

J’ignore ce qu’est ce « doublé », je verrais bien.

Vony commence par appeler l’esclave n°1, lui retourne une double paire de gifles, lui crache au visage, et lui tire douloureusement sur les tétons, puis sur les testicules. Il pousse des petits cris de douleurs ponctués de « merci maîtresse » assez pathétiques.

– Qu’est-ce que tu as fait comme bêtise ? Lui demande Vony.
– Je ne sais pas ! Bredouille l’autre.
– Alors tu vas être puni pour ne même pas savoir ce que tu as fait comme bêtise.
– Oui, maîtresse !

Et c’est mon tour, allons-y : baffes dans la gueule, crachats et tout le reste. Ce qui est remarquable c’est que manifestement Vony prend son pied en faisant ce genre de choses, ses cuisses dégoulinent. Quelle belle salope !

On nous attache ensuite ensemble, torse contre torse (je devrais dire bite contre bite). Vony et Mika nous tournent autour et nous cravachent, je commence à avoir les fesses toutes rouges, moi.

Elles finissent par nous détacher, j’ai le cul en feu, je crois l’affaire terminée, pas du tout, elles nous rattachent mais cette fois dos contre dos. Je n’aime pas qu’on me fouette par devant, mais bon… On commence par nous poser une accumulation de pinces, un peu partout sur le torse, une bonne dizaine, puis sur les testicules. Ça commence à faire mal ces trucs là, mais je n’étais pas au bout de mes souffrances, les deux nanas reprennent leur ballet sadique et nous fouettent le torse, je comprends que le jeu consiste à faire tomber les pinces, à chaque fois que l’une saute, nous hurlons, parfois elles ne tombent pas, se contentant de se déplacer légèrement, c’est encore pire !

Ça y est tout est dégringolé, mais il reste les testicules, je commence à me demander si je ne vais pas employer le mot de sécurité pour faire cesser ce cirque, je m’aperçois alors qu’on ne m’en a pas fourni, mais je suppose que si je demande qu’on arrête on ne va pas continuer.

On nous détache mais c’est pour cette fois ci, nous attacher les mains dans le dos. On nous fait mettre à genoux, l’un devant l’autre. Chacun doit alternativement enlever l’une des pinces aux testicules de son vis-à-vis à l’aide de ses dents.

Ça parait facile comme ça, mais ce n’est pas évident, et si j’arrive, je pense, à me débrouiller, l’autre esclave s’y prend comme un pied. Chaque retrait qu’il exécute me fait hurler de douleur.

– Bravo, ça m’a bien fait rebander, s’exclame Patapouf. Reviens me sucer, petit pédé !

C’est bien sûr à moi qu’il s’adresse. J’ai en ce moment plus envie de me reposer que de sucer des bites, mais bon… on y va !

Vony et Mika très excitées par la petite séance que nous avons subie se font sucer la chatte par les deux autres esclaves. Claudine se fait lécher par la bonne. Henri qui décidément a jeté au panier toutes ces prétendues inhibitions se fait sodomiser par le blondinet (quelle santé, celui-ci) et lèche la bite du trans.

Quelle orgie, mes amis, quelle orgie !

– Monsieur Henri, l’interpelle Patapouf, il me plairait de vous voir enculer votre mère.
– Avec plaisir, tu veux bien maman ?
-,Bien sûr !

Sur ce coup-là, Henri n’a pas hésité une seconde, il devait avoir l’habitude…

Et pendant que la Claudine se fait défoncer la rondelle par son propre fils, me revoilà en train de sucer de nouveau la bite de ce gros vicelard. Il imprime lui-même la cadence en m’appuyant sur la tête. J’ai l’impression qu’il veut en finir vite. Effectivement je finis par recevoir son sperme en plein bouche.

Tout le monde est un peu crevé, la bonne s’en va et revient avec des rafraichissements. On ne m’en propose pas, (ls exclaves n’auraient donc pas le droit de se désaltérer, je ne trouve pas ça très cool !)

– Ah Claudine, venez donc à mes côtés, vous méritez bien d’être à la place d’honneur pour assister à ce qui va suivre !
– Je viens, Monsieur ! Dit-elle en s’installant.
– Caressez-moi la bite, Claudine.
– Avec plaisir, monsieur !
– Dites-moi Claudine, Je suis un gros dégueulasse, n’est-ce pas ?
– Euh !
– Mais nous sommes faits pour nous entendre, puisque vous êtes une poufiasse !
– Euh !
– Ne protestez pas, vous vous vous êtes fait enculer comme une chienne y compris par votre fis, vous m’avez léché le cul et j’en passe…
– Mon fils ne demandait que ça, mais il est un peu hypocrite…
– Il vous encule souvent ?
– De temps en temps… et puis j’adore lui sucer la bite !
– Je comprends mieux, vous êtes un peu salope alors ?
– Si vous voulez !
– Dites-moi que vous êtes une poufiasse, ça va m’exciter !
– Je suis une poufiasse, Monsieur Charles.
– Une morue.
– Une poufiasse, une morue… tout ce que vous voulez
– Très bien allons-y pour le spectacle, j’espère que cela vous plaira ! Vony, Mika on vous attends !

Les deux belles matures sortent de la salle… Suspense… Et les voilà qui reviennent, chacune avec un gros chien tenu en laisse. Elles s’arrêtent devant Patapouf, caressent gentiment les bestioles, passent leurs mains sous le poitrail afin d’exciter le membre et le font ressortir par l’arrière. Puis dans un ensemble parfait les deux nanas se mettent à sucer avec passion et avidité.

– Dis donc toi la boniche ! Qu’est-ce que tu attends pour rejoindre ces belles salopes. L’invective Monsieur Charles
– J’y vais monsieur ! Répond-elle en allant rejoindre Vony.
– Alors Claudine, ça vous tente ? Reprend le maître des lieux.
– Je n’ai jamais fait ça !
– Oh ! Quelle fâcheuse lacune ! Eh bien allez-y, il y a toujours une première fois !
– Je ne me sens pas prête.
– Quelques coups de cravache pourrait vous aider à vous décider ?
– Qui sait ?

Patapouf fait se tourner Claudine, et demande au Blondinet moustachu de lui administrer quinze coups de cravache sur son joli postérieur. La pauvrette hurle de douleur mais ne demande pas que l’on arrête.

– Maintenant, allez sucer le chien avec Mika !
– Je ne sais pas !
– C’est un ordre, Claudine, ou vous le faites, ou je vais demander que l’on vous cravache davantage.

Et c’est qu’il ne rigole pas, Monsieur Charles.

– O.K. j’y vais consent Claudine.

J’ai surtout l’impression qu’elle voulait se faire prier. La voici donc à côté de Mika, elle hésite un peu.

– Vas-y carrément lui conseille la mature, de toutes façons tu finiras par le faire.

Claudine ferme les yeux, avance sa langue, effectue une léchouille sur la verge du chien, puis s’enhardit et se met à sucer sans vergogne le membre dégoulinant.

Un moment Mika lui offre ses lèvres et les deux femmes s’échangent un profond baiser au gout de bite de chien.

– Place-toi en levrette, lui dit Mika, il va te prendre.
– Peut-être pas !
– Regarde donc Vony comme elle se fait baiser, ça n’a pas l’aire de la traumatiser ! Allez en piste ma jolie.

Claudine s’exécute et le spectacle devient grandiose, deux femmes se font monter par des chiens sous les encouragements de la petite assistance.

Je bande.

– Si on se faisait une séance d’arrosage ? Propose Patapouf après que les chiens fussent partis roupiller
– Bonne idée, allez tout le monde dans la salle de bain ! Répond Vony.

La salle de bain a beau être immense, onze personnes là-dedans, ça fait du monde !

– Les esclaves, vous vous allongez par terre, et vous gardez la bouche ouverte, toi aussi ! Ajoute-t-elle à l’attention de la bonne !
– Hummm, je peux m’allonger aussi ? Demande Claudine !
– C’est comme tu veux !

Et le déluge commence, l’urine me pique les yeux et je ne sais plus bien qui me pisse dessus, j’en avale un petit peu, de toute façon la pratique ne me déplait pas.

Ça finit par se calmer, je surprends les deux femmes à comploter quelque chose en rigolant comme des bossues.

– Toi, tu restes par terre, me dit Vony, les autres, relevez-vous !

C’est Mika qui s’accroupit au-dessus de mon visage.

– Tu vas avoir droit à un beau cadeau, l’esclave, j’espère que ça te fait plaisir ? Tu as même le droit de te branler en même temps.

Il faut vraiment que je sois excité pour accepter ce genre de chose, mais quand c’est le cas, je n’ai rien contre le spectacle d’un bel étron joliment moulé sortant du trou du cul d’une charmante dame.

J’ai donc reçu son caca sur la tronche, et comme je le pressentais, Mika m’a ensuite donné son anus à nettoyer. Sa merde était délicieuse ! (si, si je vous assure !)

En me relevant j’aperçois Patapouf allongé à son tour, Vony est presque assise sur son visage et lui chie dessus… Je détourne mon regard. Trop c’est trop, et trop c’est pas bien.

Epilogue

– Pas mal ton petit rapport ! Me dit Elisa, et après ?
– Ben après rien, j’ai pu prendre une douche, je me suis rhabillé. La partie était terminée. J’ai demandé à boire à cette conasse de boniche qui a refusé, alors je l’ai engueulé, je lui ai dit que son attitude était ridicule, elle m’a alors répondu que je pouvais l’insulter, lui cracher dessus et même la gifler, que ça ne la dérangerait pas et que cela faisait aussi partie des inconvénients de son service…
– Non ?
– Si ! J’ai laissé tomber. Claudine m’a gentiment offert une partie de son propre verre, puis j’ai pu récupérer mes affaires et je suis parti. Seul le travesti avec lequel je n’avais rien fait, m’a dit aurevoir en me faisant un bisou. Il m’a dit qu’on se reverrait sans doute, mais il ne m’a pas donné son numéro de portable et ne m’a pas demandé le mien. Je suis rentré en taxi, tu n’étais pas là, j’ai bouffé une cuisse de poulet froid, et un bout de camembert, j’ai bu un verre de vin rouge et je me suis couché.
– Et ton impression ?
– Mitigée, il y avait un peu de tout dans cette assemblée…
– Qu’est-ce que tu as préféré ?
– Sucer des bites !
– Cochon !
– Non, c’est vrai j’adore ça !
– Ben justement j’ai une surprise pour toi ! Linette tu peux venir !

Ça pour une surprise c’est une surprise, la transsexuelle de l’autre soir est là, en tenue de ville, jeans, et pullover mais coiffée et maquillée à merveille. On s’embrasse (sur la bouche) bien sûr.

– Voilà, tu vas pouvoir sucer et te faire enculer devant moi !
– Mais avec grand plaisir.

Et je commence à me déshabiller…

– Mais qu’est-ce que tu fais, rien ne presse, on va manger d’abord !

C’est dommage ! Mais ne dit-on pas qu’il n’y a pas meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !

Et le narrateur décida de stopper là estimant qu’on s’était assez sucé et enculé dans cette histoire, et surtout voulant laisser au lecteur le loisir d’imaginer la suite.

FIN

©Avril 2010 – Révisé en janvier 2021 et juin 2022- Boris Vasslan sur un scénario d’Arnaud L..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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