Partager l'article ! La reine Russo - 7: La reine Russo - 7 – Diner intime avec la Reine par Nicolas Solovionni En attendant qu’une décision ...
La reine Russo - 7 – Diner intime avec la Reine par Nicolas Solovionni
En attendant qu’une décision soit prise, on plaça l’équipage en cellule, deux par deux et en les mettant sur table d’écoute, parce que « on ne sait jamais ». Et comme ils étaient en nombre impair, on accompagna le capitaine Harnoncourt d’un mouchard ou plutôt d’une moucharde et bien gaulée en plus.
Harnoncourt trouva la ruse fort grossière, mais ne fut pas trop rassuré, il n’était pas évident que l’ensemble de l’équipage comprenne la ruse, or si quelqu’un se mettait à évoquer le gros mensonge concernant Herbert, il était mal, très mal.
Mais en fait les choses se passèrent différemment :
Yolaina me montra les visages des types morts sur le tarmac, j’en connaissais certains de vue, mais surtout j’identifiais Davenport, ainsi que le gars qui m’avait refilé le tuyau sur Vargala.
L’affaire aurait pu en rester là si Yolaina n’avait pas eu l’idée de me montrer également les photos de l’équipage, je connaissais de vue Harnoncourt et la plupart des autres, mais la surprise, la grosse surprise…
– C’est un gars de l’équipage celui-ci ? M’étonnais-je devant la photo d’Herbert.
– Un technicien de bord qu’il nous a dit.
– C’est l’un des assassins de Karlson.
– Il se serait fait embaucher pour superviser l’opération ?
– Je crois en fait que c’est lui l’organisateur !
– Sans que l’équipage le sache ?
– Peut-être mais je n’en vois pas l’intérêt.
Je réfléchis quelques instants et me fait préciser les attributions de chacun des membres de l’équipage. Yolaina fit l’énumération
– Sandora Muller, technicienne de bord…
– Quoi ? Deux techniciens de bord pour à peine vingt personnes ? Ça ne tient pas debout, à mon avis vous devriez l’interroger de nouveau.
– On va aller la chercher, vous restez avec moi ?
Sandora arriva encadrée par deux gardiennes, une belle brune métissée, restée entièrement nue depuis sa descente du vaisseau, elle n’en menait pas large.
– Bon ! Commença Yolaina, d’abord une petite mise au point. On était d’abord parti sur l’hypothèse que l’équipage n’avait rien à voir avec ce qui s’est passé sur le tarmac. Depuis on en est beaucoup moins sûrs !
La Sandora devient blanche comme une craie.
– Alors voilà, ici c’est simple, ceux qui n’ont rien à se reprocher seront libérés, les complices des criminels seront châtiés suivant leur niveau d’implication, ça peut aller de l’esclavage dans nos champs pour une durée plus ou moins longue, jusqu’à la mise en broche, on est un peu cannibale, ici ! Alors maintenant, question : pourquoi deux techniciens de bord ?
Sandora à la tremblote, elle parvient à articuler :
– J’ignore pourquoi Herbert a été enregistrée comme technicien de bord, en réalité c’est moi qui faisais tout le boulot.
– Qui t’as dit qu’Herbert était enregistré comme technicien de bord ?
– Le capitaine !
– Et à quel moment ?
– Non !
– Comment ça, non ?
Et c’est les grandes eaux, Sandora craque.
– Je ne peux pas ! Qu’allez-vous me faire ?
– Ça dépend de ce que tu vas nous sortir :
– Il nous a dit ça après la fusillade.
– Autrement dit Harnoncourt a essayé de couvrir Herbert !
– J’en sais rien, laissez-moi tranquille, je ne sais rien de plus !
– Il t’as dit ça à toi personnellement ?
– Non, on était tous réunis.
Echanges de regards entre Yolaina et moi, nous n’avons plus de questions.
– O.K., vous ne la remettez pas en cellule, collez-là dans une chambre confortable mais fermée à clé, donnez-lui à boire et à manger ! Ordonna Yolaina aux gardes
– Euh, je pourrais avoir des fringues ?
– Mais oui ma grande, on va bien te trouver un joli pyjama !
Harnoncourt se maudissait d’avoir inventé ce stratagème impliquant Herbert. Il réfléchit à ce qu’il lui faudrait dire si la supercherie était découverte. Mais aucune des explications possibles ne le satisfit, il dirait donc la moins mauvaise.
– Nous avons appris que vous avez demandé à votre équipage de dissimuler le véritable rôle de Monsieur Herbert. Commença Yolaina quand Harnoncourt fut emmené devant nous
– Bravo les mouchards ! Rouspète le vieux briscard.
– On vous écoute !
– C’est tout simple ! Je dois dire en préalable que Herbert m’avait payé pour l’acheminer ici avec ses hommes sans me dire de quoi il retournait, je me doutais bien qu’il s’agissait d’une action dangereuse et musclé, mais il s’est bien gardé de m’en fournir les détails.
– C’est plausible ? Me demanda Yolaina
– Oui, ça se défend, Herbert n’avait aucun intérêt à lui indiquer le but de sa mission, faute de quoi le capitaine aurait pu demander une participation, avec toutes les complications qui vont avec.
– Admettons, mais ça ne répond pas à la question :
– Quand votre sono nous a demandé de nous rendre, j’étais seul avec Herbert, il m’a dit que vous bluffiez et m’a demandé de décoller, ce que j’ai refusé. J’ignorais s’il était armé, je lui ai proposé cette solution alternative, il a accepté.
– Hum ! Mais quand on vous a interrogé, vous auriez pu dire la vérité au lieu de tout mettre sur le dos de Davenport !
– Oui, mais si ça avait marché, je sauvais la vie d’Herbert, et il m’en aurait été recevable, c’est la carte que j’ai jouée. Il faut croire que c’était une mauvaise carte
Restait Herbert !
– Bon, on sait tout ! Tu n’as jamais été technicien de bord, c’est toi qui as payé Harnoncourt pour t’acheminer sur notre planète, et c’est toi qui es à l’origine de cette charge sauvage et ridicule sur le tarmac. Maintenant on t’écoute.
Contrairement à Harnoncourt, Herbert, pensant que la supercherie passerait comme une lettre à la poste, n’avait rien préparé, aussi se trouve-t-il complètement déstabilisé devant cette avalanche d’accusations !
– Tout ça c’est des conneries, c’est une machination !
– Alors, qu’en est-il ?
– Il en est que vous me cassez les couilles. Si vous avez quelque chose à me reprocher, j’exige un avocat.
– Vous en aurez un, mais ça m’étonnerait qu’il puisse vous sauvez. Par contre, si vous vous décidiez à collaborer, on pourrait éventuellement vous trouver des circonstances atténuantes.
– Merde !
– Sachez quand même, espèce de malpoli, que vos agissements relèvent d’un tribunal de guerre, le procès aura donc lieu très vite, sans doute demain. En ce qui vous concerne, nous réclamerons la peine de mort. Dans ce cas, vous serez condamné à être mangé, en plusieurs fois, un jour un bras, un jour une cuisse, on sait faire durer ! Vous n’avez toujours rien à ajouter ?
Herbert devient livide mais ne bronche pas, réfléchissant déjà à la façon dont il pourrait s’évader.
Le procès eut lieu le lendemain, la reine Russo présidait, Yolaina assurait l’accusation et Nysis avait été commise avocat de la défense
L’affaire fut brièvement menée, interrogatoire d’identité, puis la même question pour tous les membres de l’équipage : « étiez-vous au courant des objectifs de monsieur Herbert ? »
Harnoncourt réitéra ses aveux et Herbert joua à la carpe.
Yolaina demanda une peine de principe pour l’équipage sauf pour Sandora, elle chargea modérément Harnoncourt en demandant deux ans d’esclavage mais lourdement Herbert en demandant la peine capitale.
Nysis demanda la relaxe pour l’équipage, une peine de principe pour le capitaine qui n’avait que peu de chose à se reprocher. Quant à Herbert, elle demanda qu’on lui octroie une mort rapide parce qu’on ne répond pas à la barbarie par de la barbarie.
– Tu parles d’une avocate ! S’indigna l’intéressé.
– Silence ou je rajoute un outrage à magistrat !
– Au point où j’en suis vous pouvez rajouter tout ce que vous voulez !
A peine un quart d’heure plus tard ! Une greffière vient lire le verdict !
– Le tribunal en ayant délibéré ordonne la relaxe pour la totalité des membres de l’équipage, des chambres libres leur seront attribuées en attendant que soient réglés les détails de leur rapatriement. Le capitaine Harnoncourt est condamné à un an de travaux forcé en temps local dans nos champs, Herbert est condamné à être mangé en petits morceaux…
– Bande de salopes ! Hurla l’intéressé !
– Reconduisez cette saloperie en cellule !
Le soir la reine Russo m’invita dans ses appartements privés à partager son dîner. J’allais donc enfin savoir ce qu’elle allait m’offrir en échange de mes bons et loyaux services.
J’ignorais bien évidemment comment allait se dérouler ce repas et qui y était convié. J’interrogeais mes seconds, ils n’avaient pas été invités.
Je m’y rendis donc, avec un doigt d’appréhension espérant qu’on ne me ferait pas bouffer Herbert. Une pensée stupide me traversa alors l’esprit :
« Impossible ! Il n’a pas eu le temps de mijoter ».
Tainath l’accorte soubrette (parce que les soubrettes sont toujours accortes) à la peau couleur de caramel et aux yeux en amande me conduisit dans la salle à manger de « Sa Grace » en dodelinant du popotin.
Je m’attendais comme la veille à une immense table rectangulaire avec fleurs et chandeliers. Ben non la table était bien là, mais aucun couvert n’y était dressé ! « Bizarre, bizarre ! » me dis-je avant que mes yeux ne découvrent dans un coin, une table ronde avec ses assiettes, ses couverts et sa verrerie…. Pour deux personnes ! Il s’agira donc d’un diner en tête à tête ! Ah, bon !
N’empêche que je suis tout seul dans cette pièce et ne sais pas où me mettre, alors j’attends !
Au bout de cinq minutes, la porte s’ouvre :
– Sa grâce Russo ! Annonce la soubrette avec une certaine solennité.
La voilà qui arrive, j’incline la tête de façon protocolaire.
– Installons-nous ! J’ai grand appétit ! Mais avant Champagne !
Je suis incapable de sortir une parole, subjuguée par le spectacle qu’elle m’offre. La reine s’est en effet revêtue en haut d’un simple gilet de dentelles jaune ouvert sur une magnifique poitrine nue ! En bas une longue jupe très fine noire et assez transparente, Je ne peux pas voir s’il y a une culotte en-dessous
– Remettez-vous, capitaine, ce n’est qu’une poitrine !
– Elle est très belle !
– Merci ! Trinquons !
– Volontiers !
Tainath, la jolie soubrette remplit les coupes, on trinque, on boit. J’ai toujours l’appréhension idiote dans ces cas-là de tomber sur un verre empoisonné, mais non tout va bien !
– Pas terrible, celui-ci ! Commente la reine, j’ai du mal à en importer du bon, mais goutez donc ces crevettes, on les pêche ici, mais à l’origine, ce sont des crevettes terriennes, elles ont juste un peu muté mais en bien !
C’est vrai qu’elles étaient excellentes !
– Bon, maintenant parlons affaires, reprit la reine, vos informations étaient bonnes et nous avons probablement évité une tragédie. Cela mérite récompense !
Ah, enfin !
– Il vous faut savoir un certain nombre de choses, vous êtes-vous intéressé à l’histoire de la planète, capitaine ?
– Pas trop, à vrai dire, et les bases de données ne raconte pas grand-chose.
– Au départ, il y avait ici une base scientifique, et puis comme partout, suite à des restrictions budgétaires, la concession a été abandonnée, un escroc a réalisé une vente fictive. Un vieux couple très friqué s’y est installé et a fait construire le palais. Sur ces entrefaites la véritable mise en vente a été réalisée, c’est notre première reine qui l’a acheté à un prix bradé. Quand elle a débarquée pour prendre possession des lieux avec une vingtaine de femmes, une grosse surprise l’attendait. Déjà ce palais non décrit dans le contrat de vente, à l’intérieur on a retrouvé le cadavre de madame décédée probablement de mort naturelle, celui de monsieur n’a pas été retrouvé, mais elles n’ont pas trop cherché non plus. En fouillant on a trouvé une collection de bijoux dont le « Globo de Khar ». Nous avons fait venir un expert, les bijoux étaient authentiques, leur vente allait nous permettre de développer notre communauté…
– Leur vente ?
– Attendez ! Avant de les vendre, nous avons demandé à l’expert de nous faire une reproduction en zirconium amélioré du « Globo de Khar ». Vous vous sentez mal, capitaine ?
– Non, non tout va très bien ! Mentis-je.
– Vous comprenez maintenant pourquoi nous tenons tant à ce caillou en toc, c’est le symbole de notre communauté, il nous a permis de vivre et de prospérer décemment.
A ce stade je me demandais si la reine Machin n’était pas tout simplement en train de me baratiner. Facile à vérifier :
– Cette vente a eu lieu quand ?
– La première année de notre implantation, il y a de cela plus de cinquante ans.
Le piratage du vaisseau transportant le propriétaire actuel du « Globo de Khar » datait de quatre ou cinq ans, ce qui rendait vraisemblable les dires de la reine.
Mais je n’étais pas au bout de mes désillusions.
– Il serait intéressant, mon cher monsieur, que cette histoire s’ébruite, sinon on ne va pas arrêter de venir nous faire chier. Pourriez-vous me rendre ce service capitaine ?
– Mais très certainement !
– Vous étés un chou !
Voilà que je suis un chou, à présent !
– Alors la récompense, reprit-elle, je ne sais pas ce qui vous aurait fait plaisir mais il vous faut savoir que notre situation budgétaire n’est guère brillante, nous avons dû nous endetter, nous arrivons à bien vivre et en ce qui me concerne moi et ma cour, nous vivons même très bien, mais nous sommes loin de rouler sur l’or. Alors capitaine, vous et votre équipage profitez de ce que peut vous offrir cette planète, un bon climat, de la bonne chère, je n’ose pas dire du bon vin; puisque nous n’avons que de la piquette, mais des belles femmes peu farouches, des vacances de rêves en quelque sorte !
Je rêve ! Tout ça pour gagner des vacances à l’œil ! Je l’ai mauvaise !
– Puis-je espérer que mes frais seront remboursés à titre de dédommagement, je vais repartir à vide et…
– Mais bien sûr mon chou ! Présentez-moi ta facture et je te l’arrondirais même un petit peu ! C’est la moindre des choses.
J’ai failli lui répondre que « sa grâce » était trop bonne » mais je me suis dégonflé.
– Je constate mon cher capitaine que vous n’arrêtez pas de me reluquer ma poitrine depuis tout à l’heure !
– Si cela vous offense, j’en suis désolé, mais comment pourrais-je ne pas la voir ?
– Je ne suis pas offensée, j’aime qu’on me regarde ! J’aime qu’on me caresse !
– Dois-je prendre ces propos comme une invitation ?
– C’en était une !
– Otez-moi d’un doute ! Je me figurais que sur cette planète les hommes étaient considérés comme des êtres inférieurs.
– Certes, mais nous ne sommes plus aussi psychorigides qu’avant. Nous n’avons pas l’intention d’abolir notre gynocratie, puisque nous y trouvons avantage, mais avoir des rapports avec un homme, n’est-ce pas une délicieuse et innocente perversion ?
Que voulez-vous répondre à ça ? Sinon détourner la conversation, et puisqu’elle me laisse le champ libre…
– Je peux caresser là ? Demandais-je en lui touchant le bas de son sein droit.
– Vous pouvez caresser partout !
Partout, partout encore faudrait-il que je puisse avoir accès, mais pour la poitrine ça va, je caresse, j’empaume, j’approche mes lèvres guettant sa réaction, et comme elle ne proteste pas, je lèche, j’aspire ses jolis tétons.
– Décidemment, ma poitrine vous plait ?
– Oui !
– Imaginez que je coince votre bite entre mes deux nichons et que je vous fasse jouir de cette façon.
Je n’en reviens pas de cette réplique aussi vulgaire qu’inattendue, mais paradoxalement cela m’excite, n’est-ce point émoustillant qu’une femme du monde s’encanaille avec des mots grossiers ?
– J’imagine volontiers
– Alors sort-moi donc cette queue que je la mette dans ma bouche ! Je l’ai bien apprécié hier, j’en reprendrais bien un petit peu !
Je vais pour ouvrir ma braguette, mais elle m’arrête dans mon élan :
– Non pas comme ça, mon cher, un peu de délicatesse, mettez-vous intégralement nu, ce sera plus romantique !
Je le fais donc et Tainath, la soubrette, vient gentiment prendre possession de mes fringues qu’elle dépose sur le dossier d’une chaise, bien dans ses plis Elle fait de même avec le peu d’habits que portaient la Reine.
A poil, celle-ci est magnifique, nous nous approchons l’un de l’autre, très près, j’ai ma bite contre son ventre, merveilleuse sensation !
Nous nous caressons mutuellement et sa grâce ne trouve rien de mieux à faire que de s’emparer de mes tétons et de mes les tortiller avec une certaine énergie.
J’adore cette caresse qui me fait me pâmer et me fait bander encore plus dur.
– T’aimes, ça, petite salope, hein ?
Voilà que je suis sa petite salope, à présent.
– Tu ne m’as pas répondu ! Insiste-t-elle.
– Oui, j’aime ça !
– Je veux t’entendre dire que tu es une petite salope !
On ne va pas la contrarier, la souveraine d’opérette !
– Je suis sûre que tu aimes bien les petites misères ?
– Juste les petites !
– Non, mais, je n’ai pas l’intention de t’abimer, mon petit chou ! Montre-moi donc ton cul !
Je me tourne, lui fais voir mes fesses, elle me complimente, mais souhaite que je les écarte.
– Il est marrant ton trou, je suis sûre que tu aimes y introduire des machins ?
– Ça m’arrive !
– C’est bien ce que je pensais, tu te fais enculer aussi ?
– Ça m’est arrivé !
– Hum, dommage que je n’ai pas un beau petit esclave pour qu’il t’encule devant moi, ça t’aurait plus, n’est-ce pas ?
– Pourquoi pas ?
– Mais t’es vraiment un gros cochon !
– Disons que j’aime les bonnes choses !
– C’est ce qu’on va voir, Tainath, prend la badine et flanque donc vingt coups sur les fesses à mon invité.
J’espère qu’elle ne va frapper trop fort, la soubrette !
Non ça va, c’est supportable, je ne vois pas de miroir, mais à tous les coups, je dois avoir après cette petite fantaisie, les fesses rouges comme un coquelicot.
– Ça fait du bien, non ?
– Disons que ça chauffe !
– Mon pauvre choux, ça t’a peut-être donné soif ?
– Ma foi…
– Tu aimerais goûter à mon pipi ?
– Mais bien volontiers, votre grâce !
– C’est un honneur rare, tu y auras droit après le dessert si j’y consens, mais en attendant Tainath va t’offrir le sien.
– Bouh ! Je suis contrarié, je voulais le pipi de la Reine, mais non, je rigole. Tainath s’approche de moi et me fait admirer sa jolie chatte aux lèvres chocolatées qu’elle écarte afin de m’exhiber son petit trésor tout rose.
Elle prend un verre, pisse dedans en le remplissant presque à ras bord et me le tend, j’aime bien les jeux de pipi, mais là il en a d’abondance. Je goûte, c’est très bon, mais j’en laisse la moitié.!
– Alors ?
– Délicieux ! Mais j’en garde un peu pour tout à l’heure.
A tous les coups je vais me faire engueuler, non, même pas.
– T’as gagné le droit de lui nettoyer la chatte, on va voir ce que tu sais faire avec ta langue.
Alors, là, ça n’a rien d’une corvée, j’adore lécher un joli minou. Je cherche simplement comment nous disposer. Mais la soubrette s’est déjà saisie d’un coussin qu’elle pose sous ses fesses, en s’allongeant par terre. Je n’ai plus qu’à aller la rejoindre, langue en avant.
Et c’est parti, je lèche les gouttelettes d’urine dont sa chatte est imbibée, puis je continue à lécher, la coquine doit être une chaudasse parce qu’elle se met à mouiller, c’est délicieux tout ça, je me régale.
Et la voici qui commence à se trémousser de façon très significative en produisant des halètements de plaisir, je continue, je m’active, elle gigote de plus en plus, je porte l’estocade en attaquant son clitoris. Un cri, elle a joui.
Je me relève, je suis content, j’aime bien faire jouir les femmes.
– Une nana de la garde entre dans la pièce en grandes enjambées et stoppe en plein milieu.
– Excusez-moi votre grâce, j’ai entendu du bruit…
– Tout va bien, c’est juste cette chienne qui ne sait pas jouir en silence. Tu peux te retirer. Tainath, fait venir les amuse-gueules.
La soubrette va pour récupérer sa culotte.
– Laisse cette culotte tranquille, je te trouve très bien avec la chatte à l’air !
– Comme il vous plaira, votre grâce !
Elle disparaît dans un petit vestibule et réapparait presque aussitôt en poussant une table roulante.
Et là j’ai eu très peur ! Car la table est particulière : il y a dessus une femme d’allongée, toute nue et recouverte de victuailles apéritives ! Je me souvins à ce moment-là que des rumeurs de cannibalisme circulait à propos de cette planète et me demandais déjà comment m’en sortir.
Je devais être blanc comme un linge mais en m’approchant je m’aperçus que la demoiselle respirait et souriait.
Ouf ! Ça va mieux !
On a donc pioché sur le corps de la fille : des petits toasts au pâté, aux œufs de poissons, à la tomate, du moins quelque chose qui y ressemblait et d’autres trucs indéfinissables mais délicieux. (Pour les petits curieux qui veulent se cultiver, cette fantaisie d’origine japonaise de nomme nyotaimori et se pratiquait avec des sushis)
– Donnez-lui à manger, capitaine, imaginez cette pauvre fille recouverte de bonnes choses qu’elle ne peut pas manger.
Puisque c’est un jeu, jouons. Je prends un toast au pâté et lui fourre dans la bouche, elle commence à mâcher !
– Embrassez-là, elle en meurt d’envie, voyons.
Le problème c’est qu’elle n’a pas fini sa bouche, j’attends donc, mais la fille s’arrête de mâcher. C’est donc ça le jeu, mais c’est que je n’ai jamais fait ça, moi, j’en ai pourtant fait des bizarreries, mais pas celle-ci ! Bon, on ne va pas contrarier son monde et ça ne va pas me tuer. Je me lance ! Pas de quoi s’enfuir en courant mais je n’ai pas trop envie de recommencer.
En revanche, maintenant que sa poitrine est dégagée, j’ai une envie immarcescible de lui embrasser les seins. Je me paie le culot de demander à la Reine si je peux le faire.
– Mais c’est à elle qu’il faut le demander ! Me répond-elle.
Oui bien sûr ! La demoiselle me fait un signe de tête, signifiant par là que j’ai son autorisation. Mes lèvres se posent alors sur son téton droit bien érigé, je me régale, c’est la fête, mais je n’insiste pas trop, je sais me tenir quand même ! Bien qu’à y réfléchir j’aurais pu demander la permission de lui lécher la chatte, je n’ai pas osé, je suis un grand timide en certaines circonstances..
On enlève la table roulante, la fille couchée dessus nous fait un grand aurevoir avec un geste du bras ! C’est quand même surréaliste cette affaire-là !
– Un petit break avant de se mettre à table ! Me propose la Reine Russo, venez avec moi !
Où ça, où ça ?
Il y a une banquette dans un coin, la reine s’y installe et se positionne en levrette, le cul cambré, les cuisses écartés, ses orifices exposés ! Quelle vision !
– Enculez-moi, capitaine, enculez-moi comme une chienne !
– J’arrive !
– Vous le trouvez comment, mon cul ?
– Divin !
– Léchez-moi la rondelle !
– Avec grand plaisir.
J’adore lécher les trous du culs accueillants, surtout quand ils ont conservé leur petite odeur particulière trop souvent masqué par les produits de toilettes.
– Aimez vous le parfum de mon trou du cul, capitaine ?
– Il est exquis, votre grâce !
– J’en suis fort aise, j’ai volontairement oublié de m’essuyer tout à l’heure après avoir fait mes besoins, je me doutais que ça vous plairait.
– J’apprécie l’intention.
– Votre bite, maintenant, votre bite dans mon cul !
Excité comme j’étais, je lui ai carrément sauté dessus. Ma bite s’est enfoncée dans son trou du cul comme un doigt dans une motte de beurre. J’étais dans un état second, je ne me contrôlais plus après toutes ces fantaisies qui m’avait mis la bite en émoi ! Je pilonne, je pilonne tandis que sa grâce se met à frétiller et à émettre des gémissements peu protocolaires. Le sang me monte à la tête, je transpire comme un docker, ça devient infernal, elle nous fait un bruit impossible. J’appris un peu plus tard que Tainath était allée prévenir la garde de ne pas s’inquiéter.
Et la voilà qui jouit en essayant autant que faire se peut d’étouffer son cri de jouissance. Mais pourquoi donc ? Je continue, je sens que mon plaisir est proche, ça y est j’éjacule dans son trou du cul, je me retire. J’ai la bite polluée de sperme et peut-être d’autre chose, je ne regarde pas de près. La reine s’en empare et me nettoie tout ça de sa bouche et de sa langue.
– J’adore sucer une bite qui sort de mon cul ! Commente-t-elle
Ça va, j’avais compris ! On fait quoi maintenant ? Je suis en nage, je prendrais bien une douche, mais la reine semble avoir une autre priorité :
– J’ai encore plus faim que tout à l’heure, mettons-nous à table pour de vrai !
Ce n’est qu’un peu plus tard au cours du repas qui devint sage, que j’osais lui poser une question qui me brulait les lèvres :
– Au fait, Herbert, vous allez vraiment le manger ?
– Est-ce que nous avons des tronches de cannibales ? Non, j’ai un mois pour commuer sa peine en esclavage perpétuel, je le ferais au dernier moment, ainsi il va se payer trente jours d’angoisse.
A suivre
Derniers Commentaires