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Bouboule par Elian Lvekman
Ma tante Margot, était une très belle femme de cinquante-trois ans, mince, très sexy, les fesses bien pommelées, une taille fine et une poitrine ferme, très haute, en forme de grosses poires. Je l’avais vue en maillot de bain, et son corps me faisait fantasmer.
Veuve depuis quatre ans, elle habite seule dans un petit pavillon en banlieue parisienne. Mon cousin Paul, son fils unique, travaille dans le sud de la France. Nous ne l’avions jamais vue en compagnie d’un homme. Une rente confortable laissée par son mari lui permettait de bien vivre sans travailler.
Pour éviter un éventuel cambriolage, son fils lui avait offert un chien, un Labrador baptisé Bouboule à qui elle parlait et qu’elle cajolait comme un enfant.
Elle m’avait demandé de lui poser des étagères dans un débarras. Un vendredi après-midi, je passais chez elle, mon sac à outils en main. La porte était close, j’entrais avec la clé qu’elle m’avait confiée.
Persuadé que j’étais seul, je me dirigeais vers le grand ’débarras’ ou devait être installée l’étagère. J’entendis un bruit. Craignant de me retrouver nez à nez avec un cambrioleur j’avançais en silence. La porte était légèrement entrebâillée, je poussais doucement.
Ma crainte fit place à la stupéfaction. Margot à quatre pattes, en tee-shirt, les fesses nues se faisait saillir par Bouboule. Le chien agrippé aux hanches de la femme, le dos arrondi, les pattes arrière tendues, limait à toute vitesse. Je voyais son sexe entrer et sortir à une cadence étonnante. Le gros bulbe de chair rouge à l’embase de sa pine ressortait de temps à autre, venait frapper contre le vagin de la femme avant d’entrer de nouveau arrachant des râles de plaisir.
Le couple insolite me tournait le dos, ma Tante ne s’était pas aperçue de ma présence. Elle continuait de se masser les seins d’une main énergique. Elle serrait les dents pour ne pas crier plaisir sous les coups de boutoir vigoureux de l’animal.
La surprise passée, je fus pris d’une violente excitation, mon sexe se dressait à en faire mal. J’étais hypnotisé par le spectacle de la belle et de la bête enlacées.
Voyant le chien se dégager, ma tante restait agenouillée continuant à se caresser pour prolonger son plaisir, le chien se léchait le sexe pour le faire rentrer dans son fourreau.
J’allais me retirer discrètement, quand Bouboule reniflant ma présence, bondit vers moi pour me faire des joies.
Margot qui s’était retournée pour savoir où se trouvait Bouboule, me vît dans l’entrebâillement de la porte, devînt cramoisie et s’écroulât en larmes, la tête nichée au creux de son bras, sanglotant :
– Quelle honte?! Quelle honte?!
Aussi gêné qu’elle, je m’avançais pour m’asseoir à ses côtés, la saisissant par un bras je la relevais pour la serrer contre moi. Plaçant son visage au creux de mon épaule, je tentais de calmer ses sanglots en caressant ses cheveux et en la rassurant :
– N’aie pas peur, je n’en parlerais à personne. Tu n’es pas la seule à le faire. C’était d’ailleurs très beau. Tu étais magnifique et excitante. Allons calme-toi, ça restera entre nous deux.
Ses sanglots calmés, je relevais son visage, je séchais de grosses larmes qui ruisselaient sur son visage. Elle reniflait comme une enfant répétant :
– Que j’ai honte, que j’ai honte?!
Je continuais de la rassurer :
– Ne soit pas inquiète je serais discret. J’ai trouvé cela très beau. C’était même très excitant, regarde j’en bande encore.
Elle regardait vers ma braguette, tendue par mon sexe raide, et réalisait soudain qu’elle même était nue jusqu’à la taille. Elle se serrait encore plus contre moi. Ensemble nous avons éclaté de rire. Bouboule s’était relevé, il sautillait autour de nous.
Je posais une main sur ses seins en forme de poires, je réalisais mon rêve. Elle se laissait faire. J’allongeais Tante Margot délicatement à terre pour l’embrasser goulûment. D’une main preste elle débouclait ma ceinture et libérait mon sexe raide pour le masser délicatement. M’interrogeant, inquiète :
– Je suis une chienne ! Tu veux de moi quand même ? Veux-tu que j’aille me laver ?
– Non, non, je trouve cela plus excitant de baiser après le chien ! J’espère que tu recommenceras pour moi. C’était très beau de te voir saillie par Bouboule. Soit chienne j’adore ça.
Margot s’était mise à genoux pour sucer ma queue. Bouboule prenant cette position pour une invite revint lui lécher les fesses et la chatte. Elle voulut le chasser, je l’en dissuadais.
C’est ainsi que ma Tante devînt ma maîtresse. Dès lors je lui rendais des visites très fréquentes ou elle se faisait saillir et sodomiser par son chien, ensuite nous baisions comme de jeunes fous.
Un jour qu’elle se faisait sodomiser par Bouboule, je lui avouais être bisexuel et que j’aimerais aussi essayer de me faire prendre par lui.
Sa surprise passée, elle me demandait de me mettre à quatre pattes les fesses bien relevées, elle prit un tube de crème pour me préparer le cul, elle dit :
– Il est gros, ce sera mieux.
Margot profitait de « l’encrémage » pour me glisser un doigt, puis deux, dans mon petit trou. Elle me branlait le cul en douceur, elle sortit un gode de ne sais ou, me l’introduisit à la place de ses deux doigts. Quel régal ! De son autre main elle me caressait la verge et les couilles à tour de rôle.
– Ça te plait, hein petit pédé ?
Elle appelât Bouboule, il me reniflait le cul, puis sa langue balayât le petit trou. Un peu râpeuse, ça me faisait une sensation agréable. Elle commençât à branler le chien qui réagit très vite, ce salaud était toujours prêt à baiser?! De lui-même il se montait sur mes fesses, s’agrippant à mes hanches.
Margot saisissait sa pine qui n’était pas encore totalement gonflée, mais quand même dure grâce à sa palette (os interne). Elle le guidait elle-même dans mon trou, pour éviter qu’il ne me fasse mal en tapant dans son excitation pour chercher mon anus.
Dès qu’il fût en moi il se mit à limer à tout va, je sentais sa queue enfler dans mon ventre grossissant et s’allongeant en moi. Il giclait presque en permanence, je sentais les palpitations de son sexe qui jutait dans cul. Que c’était bon?!
La situation aussi me plaisait beaucoup. Me faire saillir par Bouboule comme une chienne ! Je me régalais. Tante Margot aussi, qui, adossée au canapé, nous regardait en se branlant énergiquement avec deux godemichés. Un très gros dans la chatte et l’autre plus modeste dans son cul. Elle râlait de plaisir.
Bouboule s’était calmé, il restait planté en moi continuant de décharger. Sa boule n’était pas entrée, je la sentais collée à mes fesses. Il se retirait lentement, sa pine faisait un bruit de ventouse, il se dégageait libérant le flot de son foutre qui me coulait sur les cuisses.
Je savais que je recommencerais souvent. Je me promis d’avoir mon propre chien dès que je pourrais. Je me promis aussi d’en parler avec Paul, mon cousin, avait qui j’avais fait mes premiers pas dans la sexualité, puisque nous nous étions sucé la bite, et qu’il m’avait enculé, il était aussi libéré que moi dans ce domaine.
fin
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