Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 17:40

Soubrette de Charme 4 – Mission spéciale pour Farida par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

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Ce chapitre 4 de « Soubrette de charme » peut se lire indépendamment des chapitres précédents…

 

Gabrielle est énervée, depuis quelques semaines, tous les mardis c’est la même chose… Ce jour-là, René son mari ne travaille pas l’après-midi, par contre c’est la seule demi-journée où Gabrielle est obligée d’être présente à la galerie d’art dont elle assure la gestion. Et ce jour-là la soubrette est de congé !

 

Mais aujourd’hui c’est le pompon, en rentrant en fin d’après-midi, elle constate que les verres et la bouteille de whisky ne sont pas rangés, que le cendrier est plein, mais le comble c’est qu’au milieu des mégots trônent trois (trois !) préservatifs usagés !

 

Certes le couple que forment Gabrielle et René est très libre et en même temps très complice, mais ce n’est pas une raison pour foutre le bordel !

 

Elle décide de chercher son mari, elle ne le trouve ni dans le jardin, ni dans son bureau, ni dans la piscine, ni dans la salle de home cinéma, il n’est nulle part… Elle va voir dans la chambre, il est là, il roupille en ronflant comme un moteur.

 

– René !

– Laisse-moi dormir ! Grommelle ce dernier.

– Ce n’est pas l’heure de roupiller, d’abord j’ai faim et si tu ne te lèves pas je ne vais pas t’attendre, ensuite je voudrais que tu m’expliques une fois pour toute ce que tu fabriques tous les mardis après-midi.

– Je ne vois pas de quoi tu parles !

– Non mais tu te fous de ma gueule ! On s’est toujours tout raconté….

– Tout, n’exagérons pas ! La coupe René.

– Bon alors tu fais quoi ?

– Rien !

– Comment ça rien ? Proteste Gabrielle. Tu veux que je te fasse bouffer les capotes que tu as laissées dans le cendrier ?

 

Soupir de René, qui manifestement avait envie d’être un peu tranquille.

 

– J’ai bien le droit de me branler !

– En préservatif ? Et de boire un coup dans trois verres différents !

– Bon, écoute : Un, je ne fais rien d’illégal, deux : Je te le dirais un jour et trois je n’ai pas envie de te le dire tout de suite !

– Et on peut savoir pourquoi ?

– Parce que ça m’excite de te faire des petites cachotteries, et que ça m’excite aussi de savoir que maintenant tu vas chercher à découvrir ce que je fabrique. C’est un jeu !

– Il suffit que je me débrouille pour être là mardi prochain, alors ?

– Ce n’est pas très fair-play !

– Alors je fais comment ?

– Tu trouveras bien !

– Et le bordel dans le salon, tu vas aller me le ranger tout de suite, je ne suis pas ta bonne…

– Bon, bon, je m’habille et je vais te ranger tout ça !

– Tu n’as pas besoin de te rhabiller, comme ça tu seras prêt pour la punition que tu vas recevoir !

 

René se lève, il a l’air assez fatigué, il va pour sortir de la chambre mais Gabrielle se ravise.

 

– René, reste donc ici !

– Tu ne veux plus que je fasse le ménage !

– Si, mais j’ai envie de te punir tout de suite. Allez fous toi sur le lit et redresse ton gros cul !

 

René obtempère il se met à genoux, le cul bien cambré et il attend !

– Pas trop fort quand même, je suis un peu crevé !

– Ce n’est pas mon problème !

 

Elle s’en va ouvrir un petit placard et commence par en extraire un joli martinet, et sans préliminaire lui en assène un coup sur les fesses.

 

– Aïe !

– Alors tu vas me le dire ce que tu fous le mardi après-midi ?

– Si tu crois que c’est comme, ça que tu vas trouver ! Aïe, Aïe, ne tapes pas trop fort quand même !

– Je ne tape pas fort ! Une punition ce n’est pas une caresse !

– Poil aux fesses !

– Idiot !

– Bon, écoute Gabrielle, arrête peut-être. Je n’ai pas trop envie de jouer… Aïe, Aïe !

– Tu vas la fermer, oui ? J’arrêterai quand je voudrais, pour l’instant ton cul il est encore tout blanc !

 

Elle mentait bien sûr effrontément, le postérieur de René non seulement devenait de plus en plus rouge mais commençait à se boursoufler par endroit sous les traces des cruelles lanières. Elle jugea opportun d’arrêter la flagellation, mais pas la punition.

 

– Reste en place, gros porc !

– Pourquoi gros ?

 

Gabrielle s’empare alors un gode ceinture avec lequel elle s’harnache !

 

– Ha ! Ha ! Tu vas voir ton cul !

– Mais Gabrielle, tu sais bien qu’il est trop gros ce truc !

– Alors pourquoi on le garde ? Moi je ne trouve pas qu’il soit trop gros, d’ailleurs il entre très bien dans mon cul, je ne vois pas pourquoi il ne rentrerait pas dans ton cul d’enculé !

– Bon, écoute on arrête, je vais faire le ménage, et tu me puniras une autre fois, d’accord ?

 

Sans l’écouter elle se positionna devant lui, lui présentant le gode face à son visage :

 

– Suce !

– Mais c’est débile !

– Suce ! Suce ma grosse bite

– C’est bien pour te faire plaisir !

– C’est bien aussi comme cela que je l’entends.

 

René suça alors le gode sans trop de conviction pendant quelques instants. Puis Gabrielle le contourna et vint pousser son anus avec le sex-toy.

 

– Arrête, s’il te plait !

– Silence quand je t’encule !

 

Elle fit plusieurs va-et-vient assez énergiques qui firent souffler bizarrement Monsieur René.

 

– Ecoute, Gabrielle, laisse-moi me reposer une heure et après tu pourras me faire ce que tu veux, OK ? Là j’ai vraiment un coup de barre !

 

La maîtresse des lieux n’insista pas ! Elle quitta la pièce en précisant à son époux qu’elle ne l’attendrait pas pour dîner. Cette interruption était bien dommage car toutes ces petites fantaisies avaient réveillé son excitation. Elle en serait quitte pour se masturber, c’était après tout l’un de ses passe-temps préféré.

 

—-

 

Comme dans toutes les vieilles demeures, l’agencement des pièces est parfois surprenant. Ainsi le salon jouxtait-il en un endroit une petite remise à double entrée, l’autre débouchant dans un couloir. Evidemment l’entrée côté salon, ne servait pas et à quoi aurait-elle pu bien servir d’ailleurs ? La porte n’en avait pas été condamnée pour autant mais c’était comme-ci, elle était encombrée de l’intérieur par des objets remisés, et de l’extérieur par un petit meuble encombré de bibelots « de luxe ». L’idée était là ! Gabrielle débarrassa l’accès à la porte du fond, fit venir un menuisier, qui sans poser de question y fixa un œilleton, dissimulé dans les arabesques du papier peint. Il lui suffisait maintenant de solliciter la complicité de Farida, leur jolie, coquine et si complice soubrette.

 

Farida

 

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Je commence à présent à avoir l’habitude de ces faux week-ends en milieu de semaine. Au début ça me faisait tout drôle, mais maintenant je m’organise. Je ne vois pas grand monde pendant ces deux jours, et le mercredi soir, il me tarde de revenir chez mes employeurs, mon attachement envers Gabrielle commence à devenir aussi troublant qu’envahissant.

 

A 8 heures 30, le jeudi matin, je rentre directement à l’office dans la grande propriété de mes patrons. Gabrielle m’accueille en me faisant la bise comme elle a l’habitude de le faire depuis plusieurs semaines.

 

– Bonjour Farida ? Alors tu t’es bien reposée ?

– Oui, ça m’a fait du bien, j’ai bien ronflé !

 

Gabrielle a les yeux qui pétillent, un petit sourire en coin, je commence à la connaître… Madame est excitée, et dans cinq minutes je vais me retrouver impliqué dans l’un de ses scénarios de domination plus ou moins débiles… Mais je m’en fous j’adore ça !

 

– Farida, ça te poserait un problème de décaler ton Mardi, la semaine prochaine ?

 

Ah ! Ben oui, ça me pose un problème, j’avais justement prévu un restau avec une vieille copine, le soir, mais bon à la limite je peux toujours m’arranger, je le lui dis.

 

– T’es sympa ! Je vais te confier une mission, viens avec moi, je vais t’expliquer !

– Tout de suite ? Vous ne voulez pas que je me change d’abord !

– Allez viens !

 

Je la suis dans la petite remise, c’est un endroit où je n’ai pratiquement jamais mis les pieds.

 

– Voilà, tu regardes dans ce truc-là et tu me dis si on voit bien !

– Ah ! Ben on voit tout le salon, je ne savais pas qu’il y avait ce truc-là !

– Bien sûr, je viens de le faire poser…

 

Et alors elle m’explique tout, le joyeux bordel le mardi après-midi, le jour où René est seul à la maison.

 

– Donc Mardi prochain, tu t’enfermes là-dedans, tu regardes tout et tu me raconteras ça le lendemain.

 

– Il faut que je décale mon mercredi aussi, alors ?!

– Mais non tu me raconteras ça le Jeudi ! Humm j’en suis déjà tout excitée.

– Ça j’avais remarqué !

– Oh ! Mais tu vas voir, tes fesses ! Tiens, vas donc m’attendre dans la chambre rouge et fous-toi à poil. Je te rejoins dans cinq minutes j’ai un coup de fil à donner !

 

Cette chambre rouge est une petite pièce, qui sert assez peu, mas patrons ayant l’habitude de pratiquer la domination où bon leur semble et dans la plus grande fantaisie. Il y a néanmoins dans cette pièce deux croix de Saint-André et un chevalet. Il y aussi pas mal de chaînes qui pendouillent du plafond. Une planche est occupée par toutes sortes d’objets très méchants, des martinets, des cravaches, des pinces, des tas de trucs pour fouetter, pincer, immobiliser et puis bien sûr quelques godes pour faire bonne mesure. Mais enfin n’allez pas croire non plus qu’il s’agit d’un donjon où alors il fait bien modeste.

 

Je me dessape, trouve judicieux de me mettre à genoux en attendant l’arrivée de Gabrielle… et je patiente.

 

Au bout de 10 minutes j’entends ses pas dans le couloir. Enfin ! C’est vrai que quand elle est au téléphone, c’est souvent une vraie pie.

 

Mais c’est que madame s’est changée, Madame fait aujourd’hui dans la grande mise en scène. Les talons sont vertigineux, on voit qu’elle n’a pas bien l’habitude, si elle bouge trop ses pieds, elle va se casser la figure ! Je ne peux m’empêcher de pouffer de rire !

– C’est moi qui te fais rire ?

– Ne vous plaignez pas, Madame, quand vous me ferez pleurer, je m’en irais !

– Et qu’est ce qui te fait rire ?

– Votre tenue !

 

Je ne vous ai pas décrit le reste, alors voilà, en dessous de la ceinture, un collant résille, pas mal d’ailleurs qui lui gaine très bien ses jambes et ses fesses. Au-dessus de la ceinture un blouson de cuir noir maintenu juste légèrement fermé par une fermeture éclair, de telle façon qu’on puisse voir la naissance des seins. Le tout étant complété par des bracelets et un collier en cuir qui font très quincaillerie de sex-shop.

 

– Va me chercher le paddle, là-bas sur la planche !

 

Je m’exécute et reviens avec l’instrument de mon supplice.

 

– Je me mets comment ?

– Pour l’instant tu te mets derrière moi… non, non, reste à genoux !

 

En voilà une drôle de position pour se faire fesser ! Mais bien sûr il s’agissait d’un petit préliminaire comme parfois Gabrielle les adorait

 

– Ecarte mes fesses et lèche mon cul !

 

Je descends légèrement le collant qui me gêne et écarte ses jolies fesses, j’approche mon museau et m’apprête à lui lécher la rondelle, puisque c’est ce que madame désire, j’ai un petit mouvement de recul, l’endroit sans être « insalubre » n’est pas d’une totale netteté, quant à l’odeur, ce n’est pas vraiment celle d’un champ de lavande.

 

– C’est que…. Commençais-je cherchant mes mots

– C’est que quoi ! Tu fais ce que je t’ai dit de faire et tu ne rouspètes pas !

– C’est que j’ai connu l’endroit plus récuré, Madame !

– C’est à dire ?

– Il y a quelques traces de merde, Madame !

– Et alors, ce n’est pas la première fois, à ce que je sache ? Les autres fois, ça ne t’as pas gêné. Je me suis peut-être mal essuyée quand j’ai été chier tout à l’heure. Et bien tant mieux tu vas me servir de papier à cul ! Allez exécution, je veux sentir ta langue !

– Il y en a davantage que d’habitude.

– Bon si tu ne veux pas, on va laisser tomber.

– Je n’ai pas dit que je ne le ferais pas !

– Ben alors pourquoi tu discutes ? Lèche !

– Bien madame !

 

Je me rapprochais à nouveau afin de m’habituer à l’odeur décidément un peu forte, puis écartant les chairs au maximum afin de me rapprocher des endroits pollués. J’osais y approcher le bout de ma langue, sachant déjà que le goût n’avait rien d’abominable et léchait tout ça. Ce petit nettoyage étant effectué, je pointais ma langue contre l’anus afin de tenter de le pénétrer, Finalement ce n’est pas si désagréable à faire… on se fait tout un plat parfois de choses qui ne sont pas si terribles que ça ! Mais c’est vrai qu’à choisir je préfère tout de même lécher une chatte ou une bite.

 

– Hum tu me lèches bien, là ! J’adore me faire lécher la rondelle ! Tu aimes le goût de ma merde ?

– C’est spécial, mais ça va ! Répondis-je m’interrompant un instant.

 

Faudrait pas qu’elle me demande ça tous les jours, non plus !

 

– Bon, va t’installer sur le chevalet, j’ai envie de te rougir le cul.

 

Je n’avais pas encore expérimenté ce machin, une sorte de gros boudin de la largeur d’un corps humain et recouvert de skaï noir, tenant sur des pieds en V retourné. Des bracelets en cuir fixés aux pieds permettaient d’y attacher les poignets et les chevilles. Dans cette position le cul est particulièrement bien exposé au caprice de la dominatrice.

 

– Humm ! Voilà qui met bien en valeur ton gros cul de salope !

– Je n’ai pas un gros cul, madame !

– Si forcément, puisqu’il est plus gros que le mien, et puis arrête donc de parler…

 

Allongée sur cet engin, il n’est pas évident de tenir la tête droite, sauf à se fatiguer la mâchoire, il faut donc faire reposer le visage sur une joue. J’avais choisi la droite.

 

– Je t’interdis de tourner la tête ! M’ordonna Gabrielle qui passant à ma droite devint invisible à mes yeux.

 

Je ne vis donc pas arriver le premier coup qui me cingla les fesses.

 

– Aïe !

– Je t’ai demandé de te taire !

– Pas si fort !

– Je fais ce que je veux !

– Aïe ! Aïe !

 

Les règles des séances avaient été établi dès mon embauche, je pouvais toujours dire des « arrêtes ! » et des « stop », je pouvais toujours crier, protester, et même éventuellement pleurer, une seule chose pourrait faire cesser la séance, c’est le fait de prononcer le mot de sécurité qui était justement « sécurité » (pourquoi se casser la tête ? Or je n’en étais pas là, la douleur était limite mais supportable et Gabrielle le savait très bien, et puis on est maso ou on ne l’est pas… La situation ne me déplaisait donc pas !

 

– Aïe !

– Tu commences à avoir le cul bien rouge…

 

Je ne sais pas s’il était rouge, mais ça commençait à chauffer et à piquer sérieusement… Malgré tout, au fil des coups, la douleur se transcendait…

 

– Un dernier pour la route !

 

Instinctivement je sus qu’il serait plus violent que les autres, je préparais mes muscles, encaissait dans un râle, puis soufflait… Mais ma patronne perverse avait menti, ce n’était pas le dernier, et celui-ci arriva sans que je m’y attende.

 

– Salope ! Menteuse ! Criais-je par pure provocation.

– Tiens ! Celui-là c’est pour la salope !

– Non, Aïe !

– Et celui-là c’est pour la menteuse !

– Arffff !

 

J’attendis l’éventuel coup suivant, mais il ne vint pas et Gabrielle me détacha !

 

– Ben, tu n’es pas très sage quand on te punit, Farida !

– Pardon Madame !

– Pardon, pardon, et tu crois que je vais te pardonner comme ça ! Est-ce que tu te rends compte que tu as traité ta maîtresse de salope et de menteuse ?

– Punissez-moi Madame, si cela peut me faire pardonner.

– Je vais me gêner, mets tes mains derrière ton dos !

 

Elle me cracha alors au visage.

 

– Tiens petite pétasse !

 

Je ne bronchais pas !

 

– Qu’est-ce qu’on dit !

– Merci Madame !

 

Puis elle se mit à me gifler, quatre fois, deux fois par joue. Je m’efforçais de ne pas crier, mais ne pus m’empêcher de verser une larme.

 

– Tu ne vas pas te mettre à chialer ?

– Ça n’a aucune importance, continuer à me punir, si vous en avez envie !

– Je vais me gêner !

 

Elle me saisit alors mes tétons, les serra et les tordit. Une onde de plaisir me traversa alors le corps. Gabrielle s’en rendit compte :

 

– Mais c’est qu’elle mouille, ma petite pute ! Quand je pense que c’est toi qui oses me traiter de salope !

 

A nouveau, elle me cracha au visage et m’administra quatre gifles, et à nouveau des larmes coulèrent de mes yeux !

 

– Mais arrête ! Je n’aime pas quand tu pleures !

 

Je me suis essuyé machinalement. Gabrielle se débarrassa alors de son blouson, exhibant sa belle poitrine dont les tétons étaient érigés d’excitation, mais elle conserva son collant résille, elle me fit placer à genoux devant elle.

 

– Allez, ouvres ta bouche, j’ai envie de pisser. Approche-toi de ma chatte, voilà comme ça !

 

Après quelques secondes de concentration, elle libéra son pipi, j’avalais ce que je pouvais, laissant le reste dégouliner sur mon corps et sur ses cuisses…

 

– Putain qu’est-ce que je suis excitée ! S’écria-t-elle quand elle eut terminé. Dommage que je n’aie pas envie de chier, je t’aurais bien chier dessus.

 

Je ne réponds pas, elle va trop loin, là. Mais je n’ai pas peur, je sais que je peux toujours dire non.

 

– Tu aimerais ? Insiste-t-elle.

– Non Madame.

– Et si je décide de la faire, tu feras quoi ?

– Si je suis bien excitée, je me laisserais peut-être faire… je ne sais pas.

 

Elle ne relança pas, s’allongea sur le sol en plein milieu de la flaque d’urine et me demanda de venir la sucer en position de soixante-neuf. Au bout de trois minutes, ma langue furetant dans sa chatte trempée la fit jouir. Elle souffla un peu délaissant quelques instants mon sexe, Me tenant par les hanches, elle me demanda de ne pas bouger, puis recommença à me lécher ! Je laissais alors le plaisir m’envahir, et à l’orgasme intense et violent se superposait le bonheur psychologique de me faire faire ce genre de privauté par ma patronne adorée ! Une fois l’affaire consommée, et après que nous nous soyons relevées, j’approchais mon visage de Gabrielle, quémandant :

 

– Bisou ?

– Non tu, ne le mérites pas !

– Pourquoi, qu’est-ce que j’ai fait ?

– Je suis une salope et une menteuse !

 

C’est pas vrai, serait-elle vexée pour de vrai ? Ou alors elle continue de jouer !

 

– Je retire « menteuse »

– Hum…. T’es trop craquante, toi ! Finit-elle par me dire se jetant dans mes bras et offrant enfin sa bouche à ma langue.

 

Intermède : René

 

Revenons un peu en arrière, très exactement mercredi en fin de journée.

 

René rentre un peu avant 19 heures. Il cherche Gabrielle, mais ne la trouve pas. Sans doute se dit-il, aura-t-elle été à la galerie, il lui semblait pourtant que le mercredi l’accueil était effectué par une étudiante en arts. Il passa dans le salon, il avait un truc à finir de lire, il le ferait en musique, un papier traînant sur la table basse attire alors son attention. Machinalement, il y jette un coup d’œil : C’est une facture établie par un artisan menuisier. Il en lit l’objet « Pose d’un œilleton » ! Il ne comprend pas ! Pourquoi poser ce genre de truc ici ? La porte d’entrée étant vitrée, la chose n’a aucun sens. Curieux il décide de faire le tour de la maison et d’inspecter toutes les portes et tout ce qui peut y ressembler. C’est en contrôlant les chambres au premier étage que le déclic se fit. Il redescendit quatre à quatre les escaliers, gagna le couloir, ouvrit la petite remise. Il constata que le fond mitoyen avec le salon avait été dégagé… Quant à l’œilleton, il était bel et bien là… à environ un mètre du sol, ce qui permettrait à un observateur de regarder en restant à genoux ou même assis ! Il le teste, constate qu’il permet de scruter plus de la moitié du salon.

 

Restaient deux questions ! Gabrielle avait-elle laissé cette facture intentionnellement ou pas ? Et puis qui allait jouer les voyeurs : Gabrielle, Farida, une tierce personne ? Il décida alors qu’il serait extrêmement excitant de ne pas chercher à savoir avant… Par contre après… Il se surprit à ricaner tout seul.

 

Farida, jeudi suivant

 

Gabrielle est partie depuis ce matin. Comme Monsieur René est susceptible de rentrer à partir de 14 heures, je m’installe dans le salon et guette par la fenêtre l’arrivée de sa voiture. Je ne me suis pas habillée en soubrette pour cette journée. Pourquoi faire ? J’ai voulu faire pratique, aussi un pantalon et un pull-over conviendront très bien. Je déteste attendre et cette mission est débile, rien ne dit qu’il se passera quelque chose aujourd’hui. Mon patron va peut-être passer l’après-midi ailleurs ou alors il va rentrer et rien ne va se passer. Ces scénarios ne me disent trop rien, je n’ai pas trop envie que ma patronne me demande à nouveau de décaler mes jours libérés….

 

A 14 heures 30, la grille d’entrée s’ouvre ! Je me précipite alors dans le couloir et m’enferme dans la remise. Je m’assois, j’approche mon œil, l’éventuel spectacle va pouvoir commencer.

 

René entre, il est suivi par deux personnes : un homme, grand blond, assez beau gosse, en costume mais sans cravate, et une femme assez grande, vêtue d’une robe bleue plutôt classique. René fait asseoir ces messieurs dames. Je vois très bien ce qui se passe, l’œilleton est d’un modèle assez panoramique, par contre je n’entends pas grand-chose, ou alors il faut que je colle mon oreille contre la paroi, mais je ne peux pas regarder en même temps ! Donc tant pis pour le son !

 

René quitte un instant ses invités, puis revient avec une bouteille de champagne et des coupes. Il débouche, il sert… Les trois personnages trinquent. Pour l’instant rien de passionnant. Je perds à nouveau de vue René qui s’est dirigé vers l’endroit où est installée la chaîne hi-fi. Effectivement j’entends les échos d’une espèce de musique disco… Etonnant car voici qui nous change des programmes classiques qu’affectionne mon couple d’employeurs

 

C’est alors que la dame en bleue, se lève, se met à virevolter, puis à exécuter une sorte de danse assez déhanchée. René s’est rapproché du blondinet. Ils paraissent collés l’un contre l’autre tandis qu’ils s’échangent d’inaudibles commentaires

 

Ce n’est qu’après plus de cinq minutes que les choses commencèrent à se corser, la grande danseuse dézippe alors sa robe, la voici en sous-vêtement, elle à un soutien-gorge jaune pâle dissimulant à peine une poitrine plutôt bien fournie, la culotte et le porte-jarretelles sont assortis. Cette sculpturale créature est fort bien faite, elle continue à danser ainsi pendant encore cinq autres minutes. Puis après avoir retiré sa chaussure droite elle se défait d’un de ses bas, le faisant rouler très lentement sur de magnifiques jambes. Le second sera exécuté un peu plus vite et le porte jarretelle carrément expédié. Reste la culotte et le soutif ! Mais mademoiselle nous fait languir et se remet à danser encore cinq minutes. Elle se décide alors à enlever son soutien-gorge, enlevant d’abord les bretelles, défaisant l’agrafe, puis cachant tout ça dans ses mains, effectuant une pirouette, et finissant les mains vers le ciel. Puis vint le moment de la culotte… et de la surprise… Car la dame en bleu n’est pas vraiment une dame, elle arbora devant les deux messieurs ébahis, mais semble-t-il non surpris, une magnifique quéquette !

 

Vraiment superbe cette transsexuelle ! Je n’en n’avais vu qu’une seule jusqu’à présent quand je faisais du peep-show… Cette vision me trouble et instinctivement je porte ma main à mon entrecuisse qui commence à s’humidifier.

 

Elle se dandine devant les deux hommes, en leur présentant ses jolies fesses, et ces derniers ne se privent pas pour les peloter. Ça devient de plus en plus chaud, elle écarte maintenant à l’aide de ses mains ses globes fessiers, exhibant de façon obscène son trou du cul, mais quand René veut lui introduire un doigt dans l’anus, elle se recule en rigolant, s’éloigne un peu et continue de danser. Puis elle revient, une main sur le sexe afin de le protéger, mais la poitrine en avant, elle la met carrément sous le nez de René qui la caresse, puis la lèche mais juste l’espace d’un instant car la facétieuse transsexuelle se place à présent devant le blondinet tout ravi de pouvoir faire la même chose. La danseuse se redresse, puis pose simultanément les mains sur les braguettes des deux hommes sur lesquelles elle effectue quelques mouvements de va-et-vient du plat des doigts. Elle se recule à nouveau et cette fois ci se masturbe ! Quelle belle bite elle a, cette brésilienne ! Je suis vraiment au supplice dans ce cagibi en train de mater et de ne pouvoir rien faire d’autre…

 

Notre artiste s’approche à nouveau de la braguette de René, mais cette fois elle dézippe la fermeture éclair et en extrait sa verge bandée à bloc, elle la branle quelques instants, puis fait subir le même traitement au blondinet. J’ai maintenant trois jolies bites à mater, et tout ça n’a vraiment pas l’air d’être terminé…

 

La transsexuelle prend la main de René et l’emmène sur le sexe de son voisin avec qui elle fera la même chose, voilà donc les deux hommes en train de se branler mutuellement. Puis elle se met à genoux devant René et lui gobe le sexe. Le blondinet ne tient plus en place, il se lève, lui caresse les fesses, les lui embrasse, puis vient carrément lui lécher le trou du cul…

 

Un moment tout le monde se relève ! Que se passe-t-il ? Un break ? Ils vont boire un petit coup, sans doute, non ! René et son acolyte se débarrassent de leurs vêtements. Ils échangent quelques paroles, puis tous les trois dans le plus simple appareil quittent le salon !

 

Ben zut alors ! Ou bien, ils vont finir dans la chambre, ou alors faire des trucs un peu humides dans la salle de bain ! Et moi je fais quoi pendant ce temps-là ?

 

Mais je n’aurais pas eu à réfléchir longtemps, car voici que la porte du couloir de mon cagibi s’ouvre, je me retourne, je pousse un cri ! Le trio vient de faire irruption ! Mais comment ont-ils su ? J’essaie de dire quelque chose, mais aucun son ne franchit ma bouche.

 

– Suivez-nous Farida, nous allons régler ce petit problème immédiatement !

– Mais, monsieur, si je suis ici c’est parce qu’on me l’avait ordonné !

– Bon, tu ne vas pas rester là !

 

Oh là, là, si René commence à me tutoyer, c’est que ça va barder ! Je le suis. Que faire d’autre !

 

– Farida, je vais te présenter mes amis, mais avant tu vas te déshabiller.

– Bien, monsieur !

 

J’enlevais vite fait tout ce que j’avais, me demandant quelles turpitudes ce trio de pervers allaient m’infliger. René me présente la belle transsexuelle.

 

– Voici Georgina ! Présente-lui tes hommages !

 

Les hommages, quels hommages ? Je lui fais une petite révérence qui fait rire tout le monde. Et bien sûr je reçois une baffe !

 

– Je ne sais pas ce que je dois faire, Monsieur. Dites-moi !

– Tu vas aller embrasser le cul de Georgina, et fais ça bien, elle aime bien les langues bien profondes.

 

Moi, ce que je voudrais bien savoir, c’est comment ils ont pu me trouver, mais bon, chaque chose en son temps. La belle transsexuelle me tend son cul, me l’écarte, je plonge ma langue là-dedans, je furète quelques secondes, ça doit suffire, je pense ! C’est une première, c’est la première fois que je fais une feuille de rose à une trans, il faudra que je fasse un vœu ! Evidemment il a fallu que je fasse de même avec le blondinet, on me l’a présenté, il s’appelle Léopold, mais il parait qu’on peut l’appeler Léo ! Son cul est moins frais que celui de Georgina, mais je ne vais pas me mettre à réclamer.

 

– Ravissante notre petite bonne, vous ne trouvez pas ?

 

Et maintenant René qui fait l’article, je n’aime pas trop…

 

– Joli cul et une belle peau ! Commente Georgina.

– Bonne bouille aussi, et les seins sont pas mal non plus, félicitations mon cher René, vous avez du personnel très, comment dire très… bafouille Léo

– Très quoi ? Je vous trouble donc à ce point que vous ne trouviez pas vos mots.

 

Je ne sais pas si c’est le style théâtral de ma réponse ou uniquement le simple fait de leur avoir répondu, mais voilà les deux acolytes qui restent bouches bées. Ce n’est pas le cas de René qui a, lui, l’avantage de me connaître.

 

– Ne bouges pas on va s’occuper de toi, tu voulais regarder ce qu’on était en train de faire, tu vas pouvoir continuer, sans te cacher, mais attachée, et je t’interdis de la ramener, sinon on te bâillonne.

– Non, on ne me bâillonne pas, ça fait partie de nos conventions. Pour le reste vous pouvez me faire presque tout ce que vous voulez, j’ai été embauché pour ça et de toute façon j’aime ça !

– Jamais tu te tais ?

 

Et shlack, nouvelle gifle ! J’encaisse et je me tais, puisque c’est demandé « gentiment » !

 

– Je crois qu’elle a bien mérité une petite fessée préalable ! Qui veut s’octroyer ce plaisir ?

 

Léo est volontaire, il me fait alors coucher sur ses cuisses et commence à me taper sur le cul avec le plat de la main, s’il y a un truc qui ne me dérange pas c’est bien celui-là, évidement il faut que ce soit fait correctement, il tape il tape, ça chauffe, ça chauffe très fort et ça démange. Bientôt il s’arrête, ce petit délicat a dû attraper mal au bras. Mon patron ou Georgina prendra-t-il le relais ? Non, ils s’amusent de la couleur rouge de mon cul, puis je vois René sortir d’un grand sac une grande bâche en plastique qu’il étale sur le plancher ! Bizarre ! Il place ensuite une chaise en plein milieu, m’y fait asseoir et me ligote dessus avec de la belle corde bien blanche comme sur les images de bondage japonais. Il me pose ensuite une pince à linge sur chacun de mes tétons.

 

– Aïe !

 

Je n’aime pas trop, il y a une façon de faire ça et si Gabrielle excelle en la matière, René le fait beaucoup moins bien, il place toute la pression de la pince sur la partie la plus extrême possible, le premier contact est loin d’être désagréable mais posé trop longtemps, ça devient vite insupportable, il faut alors normalement les enlever, quitte à les remettre mais dans une position légèrement différente. On verra bien, si vraiment ça se passe mal, j’ai toujours le mot de sécurité, je ne m’en suis jamais servie, mais ces machins là c’est fait aussi pour servir. Mon patron reste avec deux pinces dans la main, il pensait sans doute m’en mettre sur les lèvres du vagin, mais il m’a attaché les jambes serrées, on ne peut pas penser à tout.

 

– Si vous voulez vous soulager, ne vous gênez pas… Farida sert aussi très bien de toilette… d’ailleurs je vais donner l’exemple.

 

S’il croit m’humilier avec ce genre de chose, c’est plutôt raté, moi, les jeux de pipi ont désormais tendance à m’amuser. Et je reçois sans broncher son jet sur ma poitrine. J’ouvre même la bouche mais il n’a pas l’air de comprendre le message. Les deux compères arrivent alors à la rescousse et me pissent dessus à leur tour. Georgina qui est plus grande me vise le visage mais pas Léo qui m’arrose à la façon d’un jardinier s’évertuant à n’oublier aucune parcelle de mon corps… Et qui c’est qui va nettoyer tout ce bordel quand ces zouaves seront partis, c’est Farida ! J’avais en fait prévu de quitter la maison dès ma surveillance terminée, mais je crois que je vais être obligé de réviser mes plans… ou alors je laisse le boulot à Gabrielle, après tout c’est de sa faute si on me pisse dessus, si elle ne m’avait pas confié cette mission débile on n’en serait pas là !

 

Léo chuchote quelque chose dans l’oreille de René qui a l’air de trouver ses propos très judicieux, les voici qui se dirigent vers ma chaise et qui tout doucement commencent à l’incliner ! Qu’est-ce qu’ils fabriquent ? En fait ils renversent le siège sur le côté, évidement attaché comme je suis, je ne risque pas de tomber, mais la position devient inconfortable, et malgré les cordes, le poids de mon corps entraîne mon flanc et mon visage vers le sol bâché trempé d’urine, me voici la joue dans la pisse. Charmant !

 

Les trois zigotos s’éloignent un petit peu, Georgina redevient alors le centre d’intérêt, ces messieurs la pelotent un peu partout, René la masturbe, Léo aussi, en fait tout le monde masturbe tout le monde, et puis mon patron se met à genoux, met la bite du transsexuel dans sa bouche et commence à la pomper. Léo se place à côté et réclame son dû, la queue passe alternativement d’une bouche gourmande à une autre. Que c’est excitant ces petites choses-là ! Ils font durer le plaisir… Voilà bien un bon quart d’heure que dure cette curieuse fellation à trois. Des vagues de douleur provoquées par la pression des pinces m’assaillent à intervalles plus ou moins réguliers, en fait ça me fait de plus en plus mal. Un moment je ne peux m’empêcher de crier et j’ai du mal à retenir mes larmes.

 

René m’a entendu, il s’approche, ce n’est pas le mauvais bougre, je le sais très bien.

 

– Qu’est-ce qu’elle nous fait ? Ça ne va pas Farida ?

– Pour l’instant ça va encore !

– Le mot de sécurité tu t’en rappelle ou pas ?

– Oui, mais ça devrait aller !

 

Je suis conne, qu’est-ce que je veux prouver, que je suis une véritable maso, que je sais encaisser et que j’y prends plaisir, oui ça doit être ça !

 

René se dirige vers le canapé et s’arc-boute dessus, il tend un tube de gel à Georgina et s’écarte le cul. Cette dernière se place alors un préservatif sur sa jolie bite bien bandée puis se présente à l’entrée de l’anus. Elle force à peine, ça rentre facilement… Quand je vous dis que mon patron est un enculé. La transsexuelle pénètre bien et commence à pilonner puis brusquement s’arrête, c’est alors que je comprends ce qui va se passer, Léo à son tour écarte les fesses de Georgina et se prépare à la sodomiser à son tour, lui aussi entre facilement, et entame ses va-et-vient, le trio parvient à se coordonner. Le spectacle est étonnant, un petit train, c’est cela ils jouent au petit train. C’est Léo qui se détache le premier, il a joui, retire sa capote et la fiche dans le cendrier ! Voilà une explication qui ravira Gabrielle ! Il s’en va ensuite souffler dans un fauteuil tandis que les deux autres continuent leur sodomie. Au bout d’une dizaine de minutes ils changent de position, René se couche sur le dos, et Georgina le pénètre devant lui. Léo s’approche et masturbe un peu le sexe de René qui ramollissait pas mal, puis le suce. ! Cinq minutes plus tard Georgina prit son plaisir en émettant un curieux grognement ! René éjacula quelques minutes après sous les efforts conjugués de la bouche de Léo et de la main de Georgina.

 

Tout le monde souffle, René entreprend de resservir le champagne et s’en va chercher une quatrième coupe ! Non ce n’est pas vrai je croyais l’affaire terminée et voilà qu’un quatrième larron va se pointer ! Mais ça ne va plus du tout cette affaire-là ! Et puis je commence à avoir sérieusement mal, j’ai dû présumer de mes capacités et je recommence à geindre !

 

René m’enlève mes pinces, il essaie de faire de son mieux, en supprimant la pression le plus rapidement possible, mais les choses ne sont pas si simples, la peau reste collée quelques dixièmes de secondes de trop et le sang essaie de se remettre à circuler, c’est horrible, je suis à moitié dans les vapes, il faudra que je lui dise qu’il fasse un tri dans ses pinces à linges ! A moins que je le fasse moi-même, un jour en cachette ! Il replace ensuite la chaise en position normale et me détache.

 

– Allez viens trinquer avec nous ! Tu l’as bien mérité !

 

Délicate attention, je n’ose pas lui demander comment il a fait pour savoir que j’étais dans le cagibi, je lui poserai la question quand je serais seule avec lui.

 

Je me pointe, je cherche d’abord à m’habiller, puis y renonce voyant que tout ce beau monde reste à poil. On trinque. Léo devient très réservé et ne bronche presque pas. Par contre Georgina semble soudain intarissable et se met à nous raconter un tas de trucs, notamment certaines anecdotes assez croustillantes de sa vie de transsexuelle parisienne. Elle m’amuse, et elle s’en aperçoit, mais j’ai du mal à suivre ses propos ou le français se mélange mal avec le portugais, pourtant un moment elle me demande mon avis sur ses seins. Un peu gênée, je me penche pour les lui embrasser, après tout c’est une réponse comme une autre. Elle se laisse faire, le contact n’est pas désagréable, mais je ne prolonge pas…

 

Finalement j’ai fait une partie du ménage. René ne voulait pas assurant qu’il s’en occuperait, mais je le connais, comme homme de maison, ce n’est pas terrible, il est toujours plein de bonne volonté mais quand il s’agit de passer au concret c’est autre chose. J’ai rincé et épongé la bâche et l’ai mise à sécher à la cave. Laisser faire ça à Gabrielle serait une source de questions et de complications ! Par contre j’ai laissé le cendrier et les verres…

 

Deux jours plus tard

 

Mes journées de congé passent trop vite, j’ai réfléchi toute cette journée à la façon dont j’allais faire mon rapport à Gabrielle, et là dans le train qui m’emmène de Paris jusqu’à cette petite ville pour bourgeois friqués, j’ai quand même plus ou moins décidé de ne pas parler de mon interception par René et ses deux invités. Gabrielle m’avait demandé de lui raconter ce que j’aurais vu ! Je lui raconterais donc ce que j’avais vu quelles que soient les conditions de mon observation. Par contre j’ai eu beau retourner le problème dans tous les sens je n’ai pas encore compris comment on avait découvert mon poste d’observation.

 

J’arrive, je rentre par l’office, ma patronne m’attendait, elle est nue comme un ver, elle est belle, elle m’embrasse.

 

– Ah Farida, je me demandais où tu étais passée ?

– Je suis désolé madame il y a des problèmes de train.

– Bon, je suis impatiente de t’écouter, rejoins-moi dans la salle de bain, je me suis fait couler un bain.

 

Elle disparaît, voilà un scénario que je connais bien, mais il a quelques variantes. Si je ne veux pas me faire éclabousser par ses fantaisies, j’ai intérêt à y aller aussi nue qu’elle, aussi je me déshabille dans la cuisine et pars la rejoindre. Elle est déjà dans la baignoire, seule sa tête émerge de la mousse, mais par jeu elle s’arrange pour que les pointes de ses seins tels que des minuscules gyroscopes de sous-marins viennent percer la surface des bulles. Voilà qui est bien troublant, mais il est vrai que beaucoup de choses me troublent.

 

– Viens, rentre dans la flotte et frotte-moi le dos !

 

Je m’exécute et attend son signal pour commencer mon récit.

 

– Alors Farida, tu me racontes !

– Oui madame !

– Alors c’est qui les invités de mon mari ?

– Un homme et une transsexuelle !

– Une transsexuelle ? Et ben ! Elle était comment, une belle j’espère !

– Oui pas mal, grande, de beaux seins, un beau visage !

– Et elle s’appelait comment ?

– Georgina !

 

Aïe, la boulette, vite me rattraper…

 

– Et comment tu le sais, le son passe à travers la porte mitoyenne ?

 

– Oui, si on met l’oreille contre la paroi, on entend pratiquement tout, le seul problème c’est qu’on ne peut pas entendre et voir en même temps.

 

Ouf !

 

– Elle avait une bonne queue ?

– Oui, une belle !

– Alors ils se sont fait quoi ?

– Ils se sont caressés, ils se sont sucés, ils se sont sodomisés…. Voulez-vous que je vous raconte tout ça dans l’ordre ?

– Décrit moi le travelo déjà !

– Je vous ai dit, très féminine, de longues cuisses, des belles jambes, les seins pas trop mal, mais ça faisait un peu refait quand même…

– Pas si beaux que les miens ! Me coupa alors Gabrielle avec un sourire coquin !

– Non ! Et puis le contact est curieux, ça manque de souplesse.

 

Oups ! Deuxième gaffe ! Et celle-là je ne pourrais pas la rattraper…

 

– Tu lui as touché les seins à travers la porte, Farida ? Se moque ma patronne.

– Non, ils m’ont découvert, je ne comprends pas comment, j’ai pourtant fait attention à ne pas faire de bruit, il n’y avait sans doute qu’une chance pour mille pour qu’il me découvre. C’est pas de bol !

– Ma pauvre Farida, et qu’est-ce qu’ils t’on fait….

 

Je lui racontais donc tout !

 

– Caresse-moi Farida, caresse-moi mon corps en même temps que tu me racontes, et prend ton temps, ne m’épargne aucun détail, on a le temps, fais durer le plaisir…

 

Ok, je sais faire ! Tout y passa alors, y compris des détails qui n’avaient sans doute aucune importance, et pendant ce temps-là mes mains glissaient doucement sur toutes les parties de son corps, balayant la mousse. Je massais légèrement ses épaules, lui palpait les bras, lui parcourait le dos, lui empaumait les seins. J’étais sans doute aussi excitée à raconter qu’elle à m’écouter.

 

– Tu racontes bien, Farida, tu devrais écrire tes mémoires…

– J’y pense, madame, j’y pense…

 

Elle sort alors de l’eau, pose ses fesses sur le rebord carrelé de la baignoire, et écarte les jambes.

 

– Je me suis retenue de pisser, Farida. Tout cela va être pour toi, régale-toi, et juste après je veux que tu me fourres avec ta langue, et que tu me caresse les nichons en même temps.

 

Voici un programme qui me convenait fort bien, j’approchais ma bouche de sa chatte et n’ai pas eu à attendre le jet doré qui m’emplit de suite le palais, j’en avalais de grandes gorgées, et laissait le reste colorer la mousse. C’est dans un état presque second tellement mes sens étaient à vif que je la léchais ensuite. Je mis une telle ardeur à lui pincer les tétons et un tel enthousiasme à lui titiller le clitoris que la jouissance de ma patronne ne tarda pas à jouir… aussi bruyamment que d’habitude.

 

C’était sans doute la première fois que j’étais excitée à un tel point. Ce fut aussi la première fois que j’osais demander – quoi que de façon fort indirecte – à ma patronne de s’occuper de moi !

 

– Madame…

– Oui Farida, tu as été très bien ! Je saurais te récompenser !

– Et je pourrais choisir ma récompense !

– Non ! Ce sera une surprise !

 

Alors je lui demandais carrément !

 

– Madame ne me laissez pas comme ça !

– Humm, adorable petite garce, vient donc m’embrasser et après je vais te mettre ma petite langue un peu plus bas….

 

Epilogue

 

Ce n’est que quelques semaines plus tard que Farida apprit comment René avait découvert la pose de l’œilleton. Mais bien que tout le monde s’en doute un peu, Gabrielle ne voulut jamais dire si la facture avait été laissée volontairement sur la table…

 

Helena et Boris (Janvier 2004)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Soubrette de charme
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