Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:06

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 5 – Yolande en galère par Chanette

 

Ninotchka

Tout se passait bien avec cet étrange couple de domestiques, Elodie progressait rapidement dans l’art de la cuisine et Julien tenait compte des observations d’Honoré afin de parfaire sa fonction d’homme de ménage.

 

D’un naturel méfiant et soupçonneux, Honoré avait testé l’honnêteté de ses domestiques, aussi laissait-il ostensiblement traîner parfois, un billet de 50, une gourmette en or ou n’importe quel objet pouvant exciter la convoitise.

 

Mais il lui fallut se rendre à l’évidence. Tout se passait bien ! Et puis comment ne pas craquer quand Elodie de sa douce voix lui susurrait :

 

– Ou dois-je ranger la gourmette de monsieur que j’ai retrouvé, par terre, dans les toilettes ?

 

A croire que le personnel de maison honnête ça existe !

 

Lundi 4 février

 

Ce lundi-là, en salle des ventes, le commissaire-priseur annonça :

 

– Lot 305 : une boite en marqueterie en l’état contenant six lettres de Sacha Guitry adressés à une certaine Marguerite Goumelle, avec certificat d’authentification. Elle contient également un faux diamant en zirconium d’un bel aspect, une broche fantaisie et un petit carnet garni de pétales de fleurs séchées. Mise à prix 5 000 euros !

 

Un péquin fut intéressé, Honoré renchérit à 5 500 et embarqua le lot ! Une bonne affaire !

 

Rentré en son château, c’est sans arrière-pensée qu’Honoré laissa traîner son lot sur le bureau de sa bibliothèque avant d’aller barboter dans sa piscine, puis de faire une petite sieste.

 

Seulement, voilà : quand il revint dans la bibliothèque, le lot 305 n’y était plus !

 

Après s’être demandé s’il perdait la boule, il interrogea ses domestiques : Julien affirma qu’il avait bien vu un coffret sur le bureau mais qu’il n’y n’avait pas touché, Elodie pour sa part n’était au courant de rien.

 

« Faut pas me prendre pour une bille ! » se dit Honoré, l’un de ces deux zèbres me l’a forcément piqué ! Mais pourquoi ? Puisqu’ils s’étaient montrés d’une honnêteté sans faille jusqu’à présent ? »

 

Puis, il crut comprendre :

 

« Le faux diamant en zirconium ! Ils l’ont pris pour un vrai ! Ils vont bien déchanter quand ils vont essayer de le refourguer. »

 

– C’est moi qui ai dû le ranger je ne sais où ? Dit-il à l’adresse des domestiques, parfois j’ai des absences, j’espère que je ne vais pas me taper la maladie d’Alzheimer ! Pour le diamant c’est un faux, je m’en fous, mais les lettres de Sacha Guitry j’aimerais bien les mettre en bonne place dans ma collection.

 

Son petit spitch ne provoqua aucune réaction particulière chez le couple de domestiques.

 

C’est incompréhensible, se dit-il ! Il y a des tas de choses à voler ici, et ils n’y ont jamais touchées, alors pourquoi précisément ce lot ?

 

Peut-être l’un des deux domestiques veut-il faire une crasse à l’autre ? Allez savoir ?

 

Honoré n’était pas spécialement traumatisé, mais il voulait savoir !

 

Les domestiques avaient leur week-end de libre, Honoré mandata un détective privé afin de contrôler si leur activité ne révèlerait rien de suspect.

 

Non, il n’y avait rien de suspect !

 

Mardi 12 février

 

Daniel Lamboley est libraire en livres anciens rue de Vaugirard, il achète et il vend. Il fait aussi dans les manuscrits, les autographes…

 

Il possède aussi une collection personnelle dont il n’est pas peu fier.

 

Toujours à la pointe de l’actualité, il se tient régulièrement au courant des ventes aux enchères à l’hôtel Drouot et de leurs résultats.

 

Aussi est-il très surpris lorsqu’une dame vient lui proposer un lot vendu aux enchères l’avant-veille.

 

– J’ai trouvé ça en faisant du rangement dans mon grenier…

– Euh, vous ne gardez pas la pierre ?

– C’est du zirconium ! Ça ne vaut rien !

– Sûr ?

– Oui, il y avait un descriptif dans la boite, je l’ai jeté.

– O.K. Vous en voulez combien ?

 

Après une rapide négociation, la transaction se fit. Lamboley persuadé qu’il s’agissant d’un recel fit pour la forme signer la personne non pas sur son cahier d’achats mais sur un registre parallèle où il enregistrait les transactions douteuses.

 

Lamboley est un malin, ce n’est pas la première fois qu’il traite avec des receleurs, quand cela lui arrive, il dépose l’objet chez son frère Jean-Paul Lamboley pendant un an. Au bout de ce temps, l’objet revient et est enregistré sur le vrai cahier des achats avec une identité bidon.

 

Il nous faut donc à présent parler de ce frère. Celui-ci est antiquaire rue de Turenne, dans le marais, à l’enseigne de « La Balustrade », du moins c’est sa couverture car son activité principale consiste à spéculer sur les œuvres d’art, il mise beaucoup, se trompe rarement, et retombe toujours sur ces pieds, même lorsqu’il engage de l’argent qu’il n’a pas, dans ce cas-là, il confie à son créancier l’un des objets déposés par son frère à titre de gage.

 

C’est donc de cette façon qu’Anna-Gaëlle est entrée en possession toute provisoire du coffret en marqueterie contenant les lettres manuscrites de Sacha Guitry ainsi que de la pierre et comme Daniel n’a jamais confié à son frère qu’elle était en zirconium, Anna l’ignorait également.

 

Retour au présent, samedi 2 mars

 

L’explication entre Yolande et Francis, son compagnon ne se passa pas bien ! Pas bien du tout :

 

– Comment ça, une détective privée ?

– La fille du coffre avait des caméras chez elle…

– Mais comment, ils ont trouvé notre adresse ? C’est impossible ! T’as forcement fait une connerie !

– Non j’ai pas fait de connerie !

– Ben si, forcement !

– Je te dis que non !

– Et tu ne pouvais pas répondre qu’on avait plus la marchandise ? C’était vraiment trop compliqué pour ton petit cerveau ?

– J’ai voulu la virer, mais la nana du coffre est arrivée en renfort, elles ont trouvé le sac…

– Tu n’ouvrerais pas à n’importe qui, ce serait pas arrivé, grosse conasse !

 

Et Yolande se reçut une paire de gifles dont la violence est telle qu’elle se retrouve le cul par terre.

 

– Salaud ! Sanglote-t-elle.

– Ça aurait dû être notre dernier coup, on négociait tout ça et on s’installait peinards sur la côte.

– Bouh bouh !

– Arrête de chialer ! Ou je t’en fous une autre !

– Salaud tu m’as battu ! Après tout ce que j’ai fait pour toi !

– T’avais qu’à être moins conne !

– Bouh bouh !

– Fait qu’on le retrouve, ce diamant, et en vitesse et c’est toi qui vas t’y coller !

– Certainement pas !

– Si ! Il y a le feu ! Elle ne va certainement pas le remettre dans son coffre. A tous les coups, elle va le déposer dans un coffre en banque ! Faut qu’on aille plus vite qu’elle !

– J’ai dit non !

– Je vais m’énerver !

– C’est déjà fait !

– Conasse !

– On ne pourra pas récupérer la camelote ! La fille l’a enfermé dans un coffre qu’elle a dans sa galerie de peinture, la boutique est sous alarme !

– Mais attends, comment tu peux savoir ça ?

– Ben, elle me l’a dit !

– C’est du bluff !

– C’est pas du bluff, elle a mis tout ça devant moi dans son coffre au sous-sol !

– Hein ?

– Une galerie que t’as inventé ?

– Non ça s’appelle « la feuille à l’envers », c’est rue de Seine dans le sixième.

 

Yolande regretta aussitôt cet aveu malheureux.

 

– Tu ne vas pas me faire croire que tu l’as accompagné jusqu’à son coffre ! Tu me prends pour un con !

– Merde !

 

Et voilà que Yolande reçoit une nouvelle paire de baffes.

 

– Tu sais ce que je crois, la fille t’a proposé une espèce d’arrangement bidon, et toi pauvre conne, t’es en train de tomber dans le panneau !

– Si c’était ça, je ne serais pas revenue, connard !

– Bien sûr que si, puisque tu m’as dans la peau ! Bon t’as quarante-huit heures pour arranger le coup !

– Et sinon ?

– Sinon, je vais te montrer de quoi je suis capable !

– J’en tremble d’avance ! Bon je vais pisser.

 

Yolande ne se rendit pas aux toilettes, mais dans la cuisine où elle s’empara d’un large couteau à découper qu’elle coinça dans sa ceinture, puis elle revint vers Francis.

 

– Bon, je veux bien passer l’éponge sur ta crise, mais si tu me touches encore une fois, tu ne me reverras plus.

– Bon ça va ! Pour l’instant tu enfiles tes godasses et tu te débrouilles pour nous récupérer tout ça !

– Mais puisque je te dis que c’est impossible !

– Yolande, tu vas faire ce que je te dis !

– Non !

 

Francis lève sa main, Yolande esquive sort son couteau devant l’homme incrédule qui a le temps de s’écarter un peu mais pas suffisamment, le couteau reste planté dans son épaule.

 

Paniquée, Yolande rassemble quelques affaires, enfile ses chaussures et s’échappe de l’appartement pendant que Francis tente d’appeler les pompiers.

 

Elle est dans la rue, elle ne sait pas où aller, sa mère ? Sa sœur ? Une copine ? Non, dès que Francis sera en état de le faire il partira à sa recherche, donc aller chez un proche n’est pas une bonne idée. Evidemment, il y a l’hôtel, mais Yolande a envie de parler, de se confier, c’est tout de même pas un portier d’hôtel qui va recueillir ses confidences !

 

Alors elle file chez Anna ! Elle entre en pleurs dans la galerie qui à cette heure est vide de tous visiteurs.

 

– Aide-moi, aide-moi, je t’en supplie !

– Oh ! On se calme ! Qu’est ce qui se passe ?

– J’ai merdé, Francis n’a pas cru mes explications, il m’a battu, je me suis défendue avec un couteau, je lui ai planté l’épaule, s’il me retrouve il va me tuer !

– Mais non, mais non, !

– Tu peux m’aider ou pas ?

– Ça dépend ce que tu veux !

– J’ai besoin de parler, et il faut que je me planque.

– Bon pour te planquer, je ne sais pas, mais pour t’écouter, ça peut se faire, viens je t’emmène au bistrot sur les quais….

 

Je reçois un coup de fil d’Anna, elle me demande à quelle heure je termine aujourd’hui et me donne rendez-vous dans un bistrot Place de la Trinité ! Qu’est-ce qu’elle va nous faire encore ?

 

– C’est Yolande, elle a poignardé son mec, elle est aux abois, il faut qu’elle se planque !

– Qui c’est Yolande ?

– Ma voleuse !

– Ah ! Et en quoi ça nous concerne ?

– Elle est en danger, j’ai envie de la protéger !

– Et t’attends quoi de moi ? Un conseil ?

– Non un service !

 

Je m’attends au pire

 

– Il ne faut pas que son mec la retrouve, elle ne peut pas aller ni dans sa famille, ni chez ses amis, ni chez moi non plus, alors j’ai pensé à toi !

– Tu voudrais que j’héberge une voleuse qui en plus vient de poignarder quelqu’un ? Mais t’es complètement malade ! Tu ne la connais même pas cette fille !

– Alors tu refuses ?

– Bien sûr que je refuse !

– Tu me déçois !

– Tu t’en remettras !

 

Le garçon arrive, Anna commande un Perrier citron

 

– Et pour madame ?

– La même chose !

– Attends-moi, je vais pisser ! M’indique Anna.

 

Tactique vieille comme le monde qui consiste à laisser seule la personne à qui on a fait une proposition et qui du coup ne va plus penser qu’à ça !

 

Sauf qu’avec moi, ça ne marchera pas, quand je dis « non » c’est « non » !

 

N’empêche que j’ai peut-être une solution de secours ! Etonnant qu’Anne n’y ait pas pensé !

 

– Et prendre une chambre d’hôtel, elle n’y a pas pensé ta nana ?

– Bien sûr que si ! La journée ça va elle peut se distraire, aller au ciné, se balader, mais le soir, tu te rends compte, en plein stress dans une chambre d’hôtel, c’est l’horreur !

– Eh bien, le soir tu la rejoins à son hôtel et tu lui tiens compagnie !

– Mais je ne peux pas, j’ai un boulot de dingue avec mon prochain vernissage à préparer, et en plus il va falloir que je fasse un saut à Francfort !

– Donc ce que tu me demandes ce n’est pas seulement de l’héberger, mais de faire la nounou !

– Ce n’est pas un petit service que je te demande, c’est un grand, un très grand service ! J’en suis parfaitement consciente !

– Et en admettant, ça serait pour combien de temps ?

 

Je n’aurais pas dû dire ça, je suis en train d’ouvrir une brèche dans mon refus !

 

– Le temps qu’elle se trouve une piaule, les proprios et les agences exigent maintenant des feuilles de paye. On fera comme si je l’avais employé à la galerie. Ça n’excédera pas une semaine !

– Humm !

– Chanette !

– Oui !

– Je t’en prie, rends-moi ce service !

– Bon, ça fait chier, mais on va le faire quand même, mais dans une semaine je la vire !

– Oh, merci Chanette ! T’es un amour !

 

Et de façon très peu discrète, Anna-Gaëlle me roule carrément un patin baveux !

 

– Elle t’attend au « Café Lucien » en bas de chez toi !

 

En bas de chez moi ! Anna était donc certaine de ma réponse ! Je suis trop bonne parfois ! Trop bonne ou trop conne ? Non, pas trop conne !

 

Je récupère la nana, elle se confond en remerciements, je l’emmène à la maison.

 

– Je saurais vous remercier ! Insiste-t-elle lourdement.

– Bon deux choses ! Un : Tu me remercieras quand l’hébergement sera terminé et deux : on se tutoie ! D’accord ? Tu peux m’appeler Chanette !

– Moi c’est Yolande !

– Je sais ! T’as soif ?

– Non, j’ai bu un truc au bistrot !

– O.K. Je regarde si j’ai à bouffer pour deux personnes dans le frigo, sinon, je t’envoie en courses.

– Pas de problème !

– Tu dormiras dans le canapé, je n’ai pas de chambre d’amis !

– Pas de problème !

 

Au moins elle n’est pas compliquée !

 

Je la regarde, elle est belle et bien roulée. J’ai comme une envie immarcescible de me l’envoyer ! Ça ne devrait pas être trop difficile ! Mais il faut y mettre les formes ! Improvisons !

 

– Tu veux prendre une douche ?

– Pourquoi pas ?

– On la prend ensemble ?

– Pas de problème !

 

Ce doit être son « mot » !

 

– T’aimes bien les situations un peu coquines ?

– J’adore !

– Et si je te demandais de me lécher la chatte ?

– Pas de problème !

 

Qu’est-ce que je disais !

 

– Eh bien on prendra la douche après ! Fous-toi à poil, et je vais en faire autant.

 

Et nous voilà nues toutes les deux, face à face. Elle est vraiment canon, cette nana, moi à côté je ne joue pas dans la même division ! Elle a une de ces paires de seins, des merveilles, la Vénus de Milo, à côté elle peut aller se rhabiller. Bien que sans ses bras ça doit pas être évident.

 

Alors évidemment je caresse, je tripote, elle se laisse faire, passive, m’adressant un magnifique sourire complice.

 

Je lui titille les tétons, approche ma bouche et les suçote, j’adore sucer des beaux tétons !

 

Je commence à mouiller sévère, j’approche ma bouche de ses lèvres, on s’embrasse longuement, on se pelote. Enfin, c’est plutôt moi qui la pelote, elle a l’air bien moins motivée que moi et se contente de me caresser légèrement. Je ne lui plais peut-être pas de trop. Je lui demande :

 

– T’aimes pas ?

– Si !

– Je ne suis pas trop convaincue !

– Je suis un peu passive, mais j’aime bien !

– Ah bon ? Et si je te donne des ordres, tu acceptes ?

– Oui !

– Alors viens sur le plumard !

 

Elle me prévient qu’il faut qu’elle accomplisse un petit besoin naturel en préalable.

 

– Vas-y je te regarde !

– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ? M’apostrophe-t-elle.

– Vicieuse, un peu gouine et pas mal pute ! Ça te convient comme catalogue ?

– T’es pute pour de vrai ?

– Absolument, ma chère !

 

Je m’attendais à un commentaire à la con ou à une question idiote, non, voyant mon sourire, elle dit simplement :

 

– T’as l’air d’assumer !

– J’assume !

– Et jamais d’incident ?

– Bof, des bricoles…

 

Je ne vais pas lui raconter ma vie, non plus !

 

– Tu tapines ou ça ?

– Je ne tapine pas, je passe des annonces et je reçois en studio !

– Whah, la classe !

– Si tu veux je te le ferais visiter !

– Pourquoi pas ? Tu sais je vais te confier un secret, l’un de mes fantasmes c’est de me faire payer pour faire l’amour, comme ça juste une fois.

– Et je parie que tu aimerais que je t’aide à le réaliser ?

– Je n’osais pas demander, mais pourquoi pas ?

– Sauf que dans mon studio, on ne baise pas !

 

Elle me regarde comme si j’étais un zombie.

 

– Je fais de la domination, les mecs, je les fouette, je les attache, je les sodomise…

– Ah ! C’est marrant je ne te vois pas du tout en train de faire ça !

– Je cache bien mon jeu, alors ?

– Jamais de baise, jamais, jamais ?

– Faut jamais dire jamais ! Bon dis-moi, tu n’avais pas envie de pisser ?

– Ah ! Ben si !

 

Elle s’installa sur la cuvette, je devrais dire : elle s’affala.

 

– Pas comme ça, je ne vais rien voir !

– O.K, je rectifie la position, tu vas pouvoir t’en mettre plein la vue ! Dit-elle en posant cette fois ses pieds sur le bord de la cuvette.

 

Je m’accroupis devant elle et plaçais mes mains en corole.

 

– Tu vas vouloir goûter ? Me dit-elle.

 

Quelle perspicacité !

 

– C’est mon petit péché mignon !

 

Elle se concentra quelques instants avant de libérer son jet, Je m’en remplis les paumes et portait à ma bouche ce nectar que j’apprécie tant. Putain, qu’elle était bonne sa pisse !

 

– Y’en a plus ?

– Non mais je peux faire autre chose, si tu veux ?

 

Et là, j’avoue avoir été troublée. Je m’explique, je n’ai pas la scato au registre de mes pratiques courantes, mais l’idée ne me rebute pas pourvu que l’on reste dans le raisonnable. Mais là, l’idée de voir une si belle femme chier devant mes yeux… j’ai failli dire « oui », je me suis dégonflée.

 

– C’est dommage je crois que je t’aurais montré un joli boudin !

 

Mais c’est qu’elle insiste !

 

– Allez, je sais que t’as envie de me voir faire un gros caca, et après tu me lécheras le cul.

– Non ! M’entendis-je répondre ! Pas envie de ça aujourd’hui !

 

A deux doigts d’accepter, j’ai refusé à cause de sa surenchère, mais surtout parce que je me rendis compte qu’elle était en train de m’imposer ses trucs. Sans doute est-ce mon fond de dominatrice qui m’a empêché cette inversion des rôles.

 

Elle eut l’intelligence de ne plus insister. Elle quitta sa position acrobatique pour s’assoir « normalement » sur la cuvette.

 

– Mes petits petons sont plein de pisse, tu veux les lécher ?

 

Ben oui, ça je veux bien !

 

Je ne suis pas spécialement fétichiste du pied, mais la chose ne me déplait pas, c’est vrai qu’un pied peut être magnifique et là en plus ils sont tout mouillés de son pipi… alors je lèche, le dessus, les orteils en m’attardant lourdement sur le gros que le lèche comme je le ferais d’une petite bite.

 

– Je te rejoins dans la chambre ! M’informe-t-elle.

 

Je comprends alors qu’elle veut finir ses besoins dans l’intimité, et là je ne sais ce qui m’a pris, je me suis planquée dans l’encoignure de la porte et j’ai regardé. Evidemment bien calée sur son siège comme elle était je n’ai rien vu du tout, en revanche j’ai remarqué que mademoiselle ne s’essuyait pas le cul.

 

A quoi joue-t-elle ? Elle croit me piéger ou quoi ? A ce petit jeu, elle ne gagnera pas, je me connais !

 

En chambre, je vais pour ouvrir les doubles rideaux, mais mademoiselle me dit préférer la pénombre. Qu’à ce ne tienne, nous voilà sur le plumard, caresses, pelotage, bisous et doigts coquins. J’aime la douceur de sa peau, j’aime ses gestes délicats, je suis aux anges et quand elle se décide à me lécher la chatte, je me donne toute entière dans l’attente du plaisir, je ne bouge plus, je ne fais rien, je m’occuperais d’elle ensuite, je ruisselle, elle me lape, elle me boit, mon clito n’en peut plus, elle le titille, je pars, je sais pas où, mais très loin d’ici, merveilleuse sensation.

Chanette26E

Le plumard est tout mouillé, à chaque fois j’oublie de mettre une serviette, il faudra que je me mette des post-it genre : « Les serviettes sont dans l’armoire en cas de… » en cas de quoi d’abord ? C’est dingue de penser à des choses aussi triviales en de pareils moments !

 

Je me jette au cou de ma partenaire du moment, on s’embrasse, bavant comme des chiennes, on se tortille les tétons, on est déchaînées.

 

– Fais-moi jouir ! Dit-elle.

 

Evidemment que je vais la faire jouir… Et la voilà qui se met en levrette, ce n’est pas spécialement dans cette position que je l’attendais.

 

– Lèche-moi le cul ! Demande-t-elle.

 

Horreur ! Je viens à l’instant de me rappeler qu’elle a « oublié » de s’essuyer.

 

Alors, je fais quoi ? J’aurais pu, lui dire simplement « non je ne te lèche pas le cul », et l’affaire était réglée. Mais non je suis là subjuguée par la beauté de ses fesses, rondes, lisses, accueillantes et de son petit trou brun qui semble me narguer, qui semble me dire « donne-moi ta langue ». Je vérifie l’état des lieux, et la pénombre ambiante ne m’aide pas, mais à priori, pas de quoi s’affoler.

 

Alors je respire un grand coup et je me lance, je ne fais pas dans le détail et positionne ma langue d’emblée sur le trou de son cul, ça sent un peu la merde, c’est âcre, mais ça n’a rien de repoussant, je lèche, je relèche et je m’enivre de ce plaisir interdit.

 

– C’est bon ce que tu me fais ! Minaude-t-elle. Mets un doigt !

 

Je le fais, je le fais bouger, ça lui fait des choses.

 

La fenêtre claque. Un courant d’air ! Je reviens sur terre ! Cette salope m’a fait lécher son cul mal essuyé. Je vais lui faire payer ça.

 

Et sans transition, je commence à lui gifler les fesses.

 

– Vas-y rougis moi bien le cul ! J’adore ça ! Réplique-t-elle.

 

Désespérante !

 

Je continue ma fessée quelques instants en ayant bien conscience que je ne suis pas en train de la punir.

 

Je ne sais pas comment va finir cette séance mais je mouille comme une chienne, il va falloir que je me calme. En attendant j’attrape mon gode dans le tiroir de mon chevet, je lubrifie le machin avec ma propre mouille et l’introduit dans le cul de la belle.

 

– Hé, doucement ! Proteste-t-elle.

– Ma pauvre bibiche, je t’ai fait mal ?

– Non, mais vas-y plus doucement !

– C’est pour t’apprendre à m’avoir fait lécher ton cul plein de merde !

– Hi ! Hi !

– Et ça te fais rire en plus ?

– Je ne vais pas pleurer ! Et d’ailleurs tu as eu l’air d’apprécier.

 

Elle m’énerve, elle m’énerve !

 

Alors je retire le gode, m’affale de tout mon long sur le plumard, cuisses écartées et lui demande de venir me lécher la chatte.

 

Moins d’une minute après, je jouissais comme une dingue. On s’est embrassé comme deux vieilles goudous et on s’est allumé une cigarette en parlant d’autre chose.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:02

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 4 – Julien, homme à tout faire par Chanette

 

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Tout en tirant sur sa clope, le marquis se demandant s’il n’avait pas été trop loin dans ses délires, tint à préciser :

 

– Je t’ai raconté un peu n’importe quoi tout à l’heure, tu vas me prendre pour le roi de pervers…

– Mais pas du tout, si un jour Monsieur me demande des choses que je ne souhaite pas faire, et bien je lui dirais, mais pour l’instant ce n’est pas le cas.

– Ah ! Dans ce cas tout va bien !

– Est-ce que je peux me permettre de poser une question à Monsieur ?

– Pose toujours, tu verras bien si je répondrais.

– J’ai vu que Monsieur avait pris beaucoup de plaisir avec cette bite en plastique, je me demandais si…

 

Elodie ne put finir sa phrase, devenant rouge comme une tomate

 

 

t ado dans un univers sans fille, les relations avec les garçons n’était qu’un substitut, il estimait avoir dépassé ce stade ! Et puis il y avait autre chose, jamais la vue d’un homme ne l’avait excité, il n’était donc pas bisexuel.

 

Un jour il voulut s’expliquer :

 

– Je ne suis pas bi, je ne peux pas faire ça !

– Attends, on ne te demande pas de faire l’amour avec un mec, on te demande juste de jouer avec sa bite.

– Oui évidemment, vu comme ça ! Concéda-t-il sans trop de conviction.

– Tu voudrais que je t’arrange un petit trio avec un autre client ? Ça va te plaire, tu vas voir !

– Quand je serais prêt.

 

Le temps passa, d’abord il déclara ne pas être prêt et quand il le fut plusieurs impondérables empêchèrent la chose de se faire, le jour où cela aurait été enfin possible, il se fit voler son portefeuille dans la rue. Obligé d’aller au commissariat… il s’excusa auprès de Karita qui sans doute de mauvaise humeur ce jour-là le prit plutôt mal.

 

– T’as trouvé un prétexte pour te dégonfler !

– Mais non, je t’assure !

 

Bref ils s’engueulèrent et Honoré décida de la bouder quelque temps, quand il revint la voir, elle était absente, il alla donc voir ailleurs, mais ce n’était pas la même chose et la réalisation de son fantasme s’éloignait.

 

– Et voilà ! conclu Honoré

– Et maintenant, vous le feriez ?

– Je pense, oui !

– Alors j’ai peut-être une proposition à vous faire, j’ai un ami, pas vraiment un ami, disons une relation, il était jardinier, mais sa boite a déposé le bilan, il vit de petits boulots, il est bisexuel et très gentil, pourquoi ne l’embaucheriez-vous pas, puisque Nicole va prendre sa retraite.

– Je ne veux pas gérer de personnel.

– Mais il n’y aurait rien à gérer, si vous êtes d’accord je lui dirais de s’inscrire comme moi chez « Maison-service », vous le réclamerez et le tour est joué.

– Et il est comment physiquement ?

– 35 ans, assez fin, lunettes…

– Il a une belle bite ?

– Oui, Monsieur le marquis !

– Tu as baisé avec lui !

– Non mais je l’ai sucé !

– T’es un grosse cochonne !

– Oui, Monsieur le marquis !

– Et tu pourras lui expliquer ce que j’attends de lui ?

– Parfaitement, Monsieur le marquis.

– Tarifs standard ?

– Je vous dirais, mais ça ne devrait pas poser de problème

 

Bref, Honoré fut tenté par l’expérience, il réclama cependant une photo de l’intéressé, voulant savoir à quoi ressemblait ce type qui le sodomiserait peut-être. Le type envoya sa photo sur le téléphone portable d’Elodie. Le marquis fut rassuré, il n’aurait pas supporté un look trop macho.

 

Le lendemain il se présentait au château. Le marquis avait demandé à Elodie de rester avec eux. :

 

– Bonjour, je suis Julien, vous voulez voir mon CV ?

– Non, on va faire les choses dans l’ordre, enfin dans l’ordre qui me convient, on va d’abord faire ce qu’Elodie vous a rapporté, je ne sais d’ailleurs pas trop dans quoi je me lance, ensuite nous procéderons à l’examen d’embauche, je vous ai préparé une enveloppe, la voici ! Si vous voulez bien vous déshabiller ?

 

Julien prit l’enveloppe sans l’ouvrir et se déshabilla.

 

Honoré jaugea son interlocuteur à présent nu comme un ver, il était ni trop musclé, ni trop chétif et modérément poilu. Quant à sa bite, elle était moyenne, autant que le marquis pouvait en juger, n’en ayant pas vu tant que ça dans sa vie. Moyenne mais plaisante.

 

– Vous avez déjà travaillé dans le sexe ? Demanda le marquis.

– Oui, je me suis un peu prostitué pendant plusieurs mois.

– Est-il indiscret de vous demander pourquoi vous avez arrêté ?

– Je répondrais à toutes vos questions pendant l’entretien d’embauche, mais nous n’en sommes pas là !

 

Le marquis est surpris, il n’a pas l’habitude de se faire rembarrer et est à deux doigts d’envoyer le type se rhabiller (c’est le cas de le dire), mais c’est sans doute la vision de cette belle bite qui le nargue qui l’empêche de mettre son projet à exécution.

 

Honoré s’apprête alors à demander à Julien de s’approcher, mais il en est soudain incapable, comme paralysé..

 

– On laisse tomber ! Elodie, raccompagne ce monsieur ! Dit-il en quittant la pièce

 

La soubrette n’en fait rien, laisse passer quelques courtes minutes, demande à Julien de se rhabiller et rejoint son patron dans la bibliothèque. Elle espère redresser la situation mais ne sait pas trop comment..

 

– Il est parti ?

– Il va le faire, il m’a demandé un café…

– Ah ?

– Elodie, je coince, pouvez-vous faire quelque chose pour moi ?

 

Mais bien sûr qu’elle peut faire quelque chose et elle le lui suggère :

 

– J’ai une idée, je vais prendre la direction des opérations, je vous donne des ordres à tous les deux et vous m’obéissez… On fait ça juste le temps de démarrer ensuite je n’interviendrais que si ça bloque !

– Mais c’est parfait ça ! Empêchez-le de partir, on va faire comme ça !

 

– Bien désolé de ce contretemps, on recommence à zéro ! Commença Honoré.

– C’est moi qui vais vous lancer ! Précise Elodie, déshabillez-vous tous les deux, voilà… Rapprochez-vous l’un de l’autre. Voilà comme ça, et maintenant Monsieur le marquis va s’accroupir devant Julien et lui prendre sa bite dans ses mains

 

Ça y est le contact est établi, Honoré caresse la queue de l’homme et se met instinctivement à la branloter quelque peu.

 

– Et maintenant, dans la bouche !

– Slurp !

– Sucez la bien, monsieur le marquis ! C’est bon n’est-ce pas une bonne bite dans la bouche ?

– Foui !

 

Et c’est qu’il se régalait, Monsieur le marquis, cette situation lui rappelait sa première bite, celle de…. Impossible de se rappeler le prénom du gars. Pourquoi n’avait-il pas fait ça plus tôt, il allait maintenant rattraper le temps perdu, sa bite bandait comme un arc, il résista à l’envie de se la toucher, mais il ne fallait pas qu’il jouisse déjà !

 

Mais le spectacle fascinait et excitait également Elodie qui failli en oublier son rôle « d’animatrice »…

 

– Puis-je suggérer à ces messieurs de se rendre sur le canapé, Monsieur le marquis pourrait ainsi se mettre en levrette afin que Julien l’enculasse.

– Non, Elodie, j’admire vos efforts de langage, mais enculasse c’est de l’imparfait !

– Il faut dire comment, alors ?

– Afin que Julien l’encule… si ce dernier est d’accord, bien évidemment.

– Je suis là pour ça, monsieur !

– Eh, bien allons-y.

 

Elodie, prévenante, lui tend un préservatif qu’il enfile, et enduit le troufignon du marquis de gel intime.

 

Honoré n’a plus qu’à attendre l’assaut.

Chanette26d

– Elodie, mettez-vous devant moi et montrez-moi vos nichons pendant que ce monsieur va tenter de m’enculer.

– Mais avec grand plaisir, monsieur le marquis !

 

Honoré s’écarte les fesses et ouvre son anus afin de faciliter l’introduction, Ça ne passe pas du premier coup, mais ça finit par passer et ça entre.

 

Bizarrement, la sensation est un peu différente qu’avec les godes, évidemment une bite, c’est vivant, c’est chaud et ça bouge.

 

Quelques moments de désarroi puis les premiers frissons de plaisir l’envahissent. Elodie s’en aperçoit !

 

– C’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas, Monsieur le marquis ?.

– Oh ! Oui !

– T’aime ça que je t’encule, hein pédale ! Croit intelligent d’ajouter Julien.

 

Une réflexion qui provoque le courroux de la soubrette.

 

– Tu n’as pas à lui parler comme ça ! Pour l’instant c’est ton client tu lui doit le respect !

– Je croyais qu’il aimait ça !

– Tais-toi et continue à lui donner du plaisir, on ne te demande rien d’autre.

 

Et pendant que Monsieur le marquis frétillait du cul, Julien termina son œuvre en silence se contentant d’un gros soupir à moitié étouffé au moment de sa jouissance.

 

Honoré dans un état second, s’épongea le front et éprouva le besoin de se toucher sa queue bien raide. Bonne fille, Elodie vint alors le turluter. Elle aimait sucer… surtout quand il y avait un petit pourboire à la clé !

 

Et c’est ainsi qu’à presque 50 ans, Honoré concrétisa sa bissexualité restée jusqu’ici latente et fantasmée.

 

Julien expliqua ensuite qu’il était chômeur et que les travaux ménagers et de jardinage ne lui faisaient point peur… bref il voulait se faire embaucher.

 

Le marquis tint alors à mettre les choses au point, certains propos de l’homme, proférés sur le canapé alors qu’ils s’enfilaient n’étant pas de son goût.

 

– Si je vous embauche, il faut que les choses soient claires, vous me devez le respect et pendant les périodes de service normal, aucune allusion à nos activités sexuelles ne devra être prononcée.

– Pas de soucis

– Je n’ai pas terminé, pour le sexe vous serez rétribué dans les mêmes conditions qu’Elodie, mais là encore je vous demanderais de me respecter, dans ces moments-là, je ne serais pas votre copain mais votre client. Et comme le client est roi, je préfère que les choses se passent en silence.

– Bien Monsieur, j’ai bien compris le message.

 

Bref après une période d’essai, il embaucha le Julien.

 

En fait le marquis n’était que légèrement bisexuel, et faire des choses uniquement avec Julien ne lui venait même pas à l’esprit… Mais entrons plutôt dans son intimité afin de regarder comment ça se passe :

 

– Elodie, j’ai envie !

– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis.

– Montrez-moi vos nichons, Elodie !

– Avec plaisir, monsieur.

 

Il commence à les connaître par cœur, mais ne s’en lasse pas, alors, il caresse, il malaxe, il tripote, il agace les tétons et les suce comme une friandise. Et évidemment il bande.

 

– Sortez ma bite de sa braguette, Elodie !

– Tout de suite, monsieur le marquis.

 

Les petites mains d’Elodie ont tôt fait d’aller farfouiller dans l’intimité du marquis et d’en extraire une jolie queue bien bandée.

 

– Oh ! Monsieur le marquis est en pleine forme ! Dois-je caresser, branler, sucer ?

– Et bien tu vas faire tout ça dans l’ordre !

– Je m’en réjouis d’avance ! Répond-elle en venant caresser la douce peau de la verge tendue.

 

Mais voilà que la main de la soubrette s’enfonce plus avant dans la braguette.

 

– Aurais-tu perdu quelque chose, charmante soubrette.

– Je cherche à dégager les couilles de monsieur !

– Ah ?

– Puis-je suggérer à monsieur de baisser son futal afin de m’en faciliter l’aspect ?

– Que je baisse quoi donc ?

– Votre pantalon, Monsieur le marquis !

 

Le pantalon dégringole sur les chevilles du chatelain, le caleçon le rejoint dans la foulée.

 

Le bas étant dégagé, Elodie peut maintenant mettre la pine d’Honoré dans sa bouche tout en lui malaxant ses boules.

 

– Allons sur le canapé, nous y seront plus à l’aise.

 

Elodie s’en va alors dans la salle de bain et revient avec une grande serviette, mais ne l’étale pas sur le canapé.

 

– Un problème, Elodie ?

– Pas du tout, mais puis-je suggérer à Monsieur le marquis de continuer dans sa chambre, nous y serons mieux installés et puis il y a tout ce qu’il faut dans votre petit tiroir.

– Allons-y.

 

Une fois en chambre, le marquis ordonna à sa soubrette de se déshabiller entièrement et il en fit autant.

 

– Viens me montrer ton cul, Elodie.

– Le voici, Monsieur le marquis, il est à vous !

– Et si je te donnais une fessée ?

– Pas trop fort, alors ?

– Non, ce ne sera pas fort, mais il faut bien que je te punisse, après toutes les bêtises que tu as faites !

– Je dois avoir quelques problèmes de mémoire, car je ne me souviens pas quelles bêtises j’ai pu faire, Monsieur le Marquis !

– Et me sucer la bite, moi, un homme marié et respectable, ce n’est pas une bêtise peut-être ?

– Hompf !

– Ne rigole pas, et me faire baisser mon pantalon pour me tripoter les couilles, ce n’est pas une bêtise non plus ?!

– Monsieur à raison, je suis une vraie trainée et pour ça je mérite une bonne fessée ! Répondit Elodie entrant dans son jeu.

 

Le marquis arma sa main et la fit retomber sur le cul de la belle qui se contenta de sursauter car elle ne l’attendait pas si tôt.

 

– Tiens, vilaine !

– Oh, oui, j’ai été vilaine ! Très vilaine même !

– Tiens, morue, tiens salope !

– Monsieur le marquis est un poète !

– Impertinente en plus !

– Tous les défauts ! Aïe !

 

Moment d’hésitation.

 

– Je t’ai fait mal ? Demande le marquis.

– Non, ça va mais pas plus fort !

 

Honoré distribua encore quelques fessées puis écarta les fesses de la soubrette et fit pénétrer son doigt préalablement humecté de salive dans son conduit anal.

 

– Oh ! Monsieur le marquis me met un doigt dans le cul !

– Ce n’est pas moi, c’est mon doigt, parfois il fait ce qu’il veut !

– Mais pour l’instant il me fait du bien !

– Alors tout va bien !

 

Quand le doigt ressorti, il n’était pas très net et le marquis en mauvais comédien fit semblant de s’en offusquer.

 

– Tu es une cochonne, Elodie, j’ai maintenant le doigt tout cacateux !

– Ciel ! Que monsieur le marquis m’attende une minute, je vais chercher de quoi essuyer ce doigt.

– Veut tu rester là, il n’y a pas le feu.

 

Le marquis porta le doigt a ses narines, l’odeur l’enivra et sans réfléchir davantage il le porta à sa bouche et le suça.

 

– Hum, c’est délicieux, je crois que je vais en reprendre un peu ! Dit-il en faisant replonger son doigt.

 

Evidemment le marquis bandait comme un sapeur, mais il ne rentrait pas dans ses intentions de jouir de suite, il voulait s’amuser encore, aussi se positionnât-t-il en levrette en demandant à sa soubrette de s’occuper de son cul.

 

Celle-ci fit alors frétiller sa petite langue sur l’œillet brun d’Honoré, puis elle le ramona de son index. Au bout d’un moment elle ouvre le tiroir et en extrait le gode.

 

– Monsieur le marquis désire-t-il le gode dans son cul, ou préfère-t-il que j’appelle Julien.

– Appelle Julien ! Je veux qu’il soit nu avant de pénétrer dans la chambre, il ne devra pas prononcer un mot, je le sucerais un peu, après il m’enculera et après… zou… on reste tous les deux pour le final.

 

Elodie actionna l’interphone et donna ses instructions à son collègue.

 

– … Et surtout pas un mot, tu ne parles que si on te poses une question, grouille-toi, on t’attend.

 

Julien arriva et comme convenu présenta sa bite au marquis, celle- était demi-molle mais Honoré eut tôt fait de la rendre bien dure et de s’en régaler ! Comment avait-il pu se priver de se plaisir pervers pendant des années et des années. Une petite goutte de liqueur séminale finit par darder au sommet du gland, rendant la chose encore plus délicieuse.

 

– Tu veux goûter, Elodie ?

– Juste un peu, je ne voudrais pas gâcher le plaisir de Monsieur

 

Ils se partagèrent ainsi la bite de Julien pendant quelques instants, léchant et suçant partout, jusqu’à ce que le marquis ordonne :

 

– Mets-toi une capote et sodomise-moi !

 

Julien faillit dire « Bien Monsieur le marquis » , mais se souvint qu’on lui avait intimé l’ordre de rester silencieux. Il se présenta donc à l’entrée brune, écarta comme il convient les fesses d’Honoré et le pénétra.

 

– Vas-y encule le bien ! Commenta Elodie qui elle, avait le droit de parler.

 

Sodomiser un quinquagénaire au physique moyen n’était pas dans les fantasmes de Julien, aussi œuvrait-il en fermant les yeux s’imaginant besogner une belle femme mature au trou du cul accueillant ou un bel éphèbe au corps glabre.

 

Mais c’est qu’il enculait bien, l’animal, et Honoré en miaulait de plaisir. Au bout de dix minutes, peut-être moins, peut-être plus, allez savoir puisque la baise dilue la notion du temps, Julien accéléra sentant sa jouissance proche, il s’écroula sur son patron en éjaculant, puis comme il en avait été convenu, il quitta la pièce sans un mot.

 

– J’espère que Monsieur le marquis a apprécié ? lui demande Elodie.

– Super ! Et puis cette fois il n’a pas parlé !

– Hi ! Hi !

– Allez Elodie, c’est à mon tour de t’enculer.

– Avec grand plaisir, Monsieur le marquis, mon trou du cul est à vous !.

– J’espère bien !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:59

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 3 – Elodie, soubrette coquine par Chanette

 

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Flashbacks

 

Rendons-nous à présent à Gouley-le-château, petite localité des Yvelines, là où habitent en leur château, le marquis et la marquise de la Villandière. Un château qui aurait sans doute besoin d’une petite restauration, mais qui a néanmoins fière allure. Le marquis de la Villandière est un excentrique, il a 50 ans, le cheveu rare et l’embonpoint visible, il n’a plus rien d’un play-boy. Il fut propulsé par ses parents dans les bras de Marie-Josèphe, une grenouille de bénitier assez grave qui aurait pu être jolie pourvu qu’elle s’arrangeât quelque peu. L’alliance des deux familles le mettant à l’abri des vicissitudes de la fortune, il accepta cette union peu sensuelle. Honoré, puisque tel est le prénom du marquis se faisait fort de faire évoluer la donzelle dans tous les domaines..

 

Mais rien n’y fit. Il n’était pas question de consommer avant le mariage, et le soir des noces Honoré qui était bourré comme un coing ne l’honora pas. Le lendemain, la Marie-Josèphe avait revêtue sa tenue de punaise de sacristie. Tailleur bleu marine infâme et chemisier à col Claudine. Il la déflora le soir, lumière éteinte en imaginant qu’il baisait Pénélope Cruz. Ainsi le mariage ne pouvait être annulé pour non-consommation et comme madame était une farouche opposante au divorce, il était tranquille de ce côté-là.

 

Il mit alors les choses au point :

 

– Nous ferons désormais chambre à part. Je reste à ta disposition le jour où tu te décideras à re montrer désirable.

– Mais enfin, mon mari !

– Enfin quoi ? Quand tu auras cinq minutes, tu téléphoneras à la vierge Marie pour lui demander pour quelle raison Dieu a doté les femmes d’un clitoris !

– Oh !

– Si tu ne sais pas ce que c’est, fait une recherche sur Internet, et maintenant laisse-moi, j’ai du travail !

 

Cette dernière affirmation était archi fausse, le marquis n’avait pas de travail pour la bonne raison que ses rentes viagères lui permettaient de vivre en ne faisant rien.

 

Le temps passa et les choses évoluèrent peu. Marie-Josèphe proposa ses services à ces messieurs dames de la paroisse, mais au bout d’un moment elle devint indésirable. On ne lui dit jamais, ces gens-là ne disent pas de telles choses, mais on le lui fit sentir à coup de petites allusions assassines.

 

Elle n’avait pourtant rien fait de mal, on lui reprochait simplement d’être la femme du marquis, lequel revenait parfois au château avec une, voire deux escorts de haut-vol. Que voulez-vous ? Les dames paroissiennes n’aiment pas ça.

 

Elle prit sur elle de vouloir discuter avec Honoré, qui la laissa parler longuement sans lui répondre, avant de lui dire que si elle n’était pas contente, elle n’avait qu’à demander le divorce.

 

Elle fondit en larmes, il ne chercha même pas à la consoler, alors Marie-Josèphe se réfugia dans la prière et les lectures pieuses.

 

Pour s’occuper elle s’acheta un violoncelle et s’acharna à jouer les sonates pour violoncelle seul de Jean-Sébastien Bach.

 

Voilà près de trente ans qu’elle joue ces sonates, Honoré les connaît maintenant par cœur !

 

Ne sachant que faire pour s’occuper, Honoré eut l’idée de faire de la politique, c’est ainsi que davantage par provocation que par conviction, il fonda avec quelques nobliaux décatis, « L’association des Chatelains de France » avec au programme : renaissance de la monarchie et des privilèges de la noblesse dont la restauration du droit de cuissage.

 

Une de ses relations fit en sorte que la presse parle un peu de cette association. Ce fut le tollé, l’humour et le second degré en politique n’ont rarement fonctionné, les rares personnes de sa caste qui le recevaient encore lui fermèrent leurs portes avec mépris, mais le pire fut la réaction de quelques groupuscules d’extrême-gauche qui prenant l’affaire au premier degré allèrent défiler sous les, fenêtres du château aux cris de « Villandière, facho, le peuple aura ta peau ! »

 

Ce jour-là le marquis se dit qu’il n’avait plus rien à attendre du genre humain. Avant il était misanthrope, il devint carrément asocial.

 

Ne sachant que faire de son temps, il se mit à collectionner des tas de trucs avant de se spécialiser dans les livres anciens et les manuscrits, il écume pour ce faire les librairies spécialisées et hante les salles de vente. Il est désormais à la tête d’une des plus belles collections de France.

 

Il nous faut bien évidemment parler sexe : Honoré pris très tôt une maîtresse, il s’aperçut à temps que la demoiselle lui coûtait une fortune en cadeaux divers et variés, et que c’était essentiellement cela qui l’intéressait dans cette relation. Il la largua et se mit à fréquenter les professionnelles. Au moins, avec elles les choses étaient simples.

 

L’entretien et les services du château furent longtemps assurés par les deux vieilles domestiques du lieu. Au départ en retraite de la cuisinière, il eut du mal à trouver quelqu’un, on lui suggéra alors de passer par l’intermédiaire d’une boite d’intérim. Très pratique, pas de personnel à gérer ! D’autant que la retraite de la femme de ménage approchait, elle aussi à grands pas.

 

Il y en eut de tous les âges, de toutes les corpulences et de toutes les couleurs, et un jour ce fut Elodie.

 

La trentaine, brune aux yeux bleus, joli minois, lèvres purpurines, et gros roploplos en devanture dans un décolleté avantageux. Ses sourires enjôleurs constituaient une véritable invitation à la débauche.

 

Bref il l’embaucha, c’était il y a deux ans de cela, et n’eut jamais à se plaindre de ses services, Une semaine après son arrivée il l’entreprit :

 

– Elodie, je voudrais vous dire deux choses :

– Je vous écoute, monsieur.

– Voyez-vous, vous êtes très attirante, vous me plaisez beaucoup, et je dois faire des efforts surhumains pour ne pas vous mettre la main aux fesses !

– Oh, Monsieur ! Répondit-elle avec un petit sourire narquois

– Mais maintenant, avec toutes ces histoires de harcèlements qui dégoulinent des médias, je m’en voudrais de passer pour un pervers, donc je n’en ferais rien… à moins bien sûr, que vous m’en accordiez la permission.

– Monsieur est amusant !

– N’est-ce pas ?

– Disons que je pourrais éventuellement me laisser faire contre un petit pourboire. Précisa-t-elle d’une voix mutine

– Et en admettant, vous seriez prête à aller jusqu’où ?

– Tout dépend du pourboire. Mais attention, je n’aime que la douceur.

– Et si je vous prenais au mot ?

– Je ne me défilerais pas !

– Alors ne bougez pas je vais chercher le pourboire !

 

Elodie vérifia si le pourboire était « correct », puis glissa mit les billets dans la poche de son tablier et illumina son visage d’un large sourire.

 

– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis !

– Elodie, j’aimerais que vous mettiez votre main dans ma braguette afin de vérifier l’état de ma chose !

– Mais certainement, Monsieur !

 

Et voici Elodie qui descend la tirette de la braguette, qui introduit la main et rencontre ce qu’elle devait rencontrer, elle se demande si Honoré aimerait qu’elle cause, alors elle essaie :

 

– Je sens quelque chose de dur, Monsieur !

– Allez la chercher, Elodie !

 

Et hop, voici une bite, déjà bandée qui apparaît sous les yeux coquins de la soubrette.

 

Elle la touche, la masturbe très légèrement.

 

– Monsieur désire-t-il que je le suce ?

– Assurément ! Suce-moi juste un petit peu pour me montrer ce que tu sais faire avec ta langue, parce que maintenant je voudrais te voir toute nue. Ça ne te dérange pas que je tutoie ?

– Non, non vous pouvez me dire « tu » ! Je veux bien me déshabiller, j’espère que Monsieur ne sera pas déçu.

 

La voilà qui commence à enlever son tablier.

 

– Non, suce un peu d’abord !

– Ah, oui, c’est vrai, pardon Monsieur. Humm, Monsieur bande joliment, je vais me régaler !

 

Elle embouche la bite du marquis, lequel peut alors constater que la coquine possède un bon savoir-faire :

 

– Tu suces bien ! Montre-moi tes trésors à présent !

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La fille se déshabille devant les yeux du marquis. Ce dernier en a vu des filles à poil dont pas mal de canons, mais il n’est pas blasé pour autant, et puis en ce moment ce n’est pas une professionnelle, c’est la bonne et cela constitue pour lui un petit plus fantasmatique.

 

– Quelle belle poitrine !

– Vous trouvez, moi je trouve qu’ils sont un peu trop gros !

– Mais non ! Je peux te les embrasser ?

– Oui ! C’est très délicat de me demander ! J’apprécie !

 

Et le marquis se jette sur les jolis globes comme la vérole sur le bas clergé breton. Il n’embrasse pas, il tète, il aspire, il gobe !

 

– Oh, qu’est-ce que vous faites à mes seins ? C’est trop bon !

 

D’un coup il s’arrête et se débarrasse de ces vêtements, puis l’entraîne vers le canapé.

 

– Mets-toi à quatre pattes que j’admire ton cul !

– J’ai les fesses un peu plates, il paraît !

– Mais non ! Ecarte un peu tes cuisses ! Wha ! Le mignon petit trou !

– Si Monsieur désire m’enculer, je veux bien, mais il faudra que Monsieur se mette une capote et y aille délicatement.

– Ah, oui bien sûr ! J’en ai dans le tiroir de mon chevet dans ma chambre, je vais aller en chercher… Ou plutôt, faisons plus simple, viens avec moi dans la chambre.

 

Après cette interruption technique, Honoré entreprit de lécher le troufignon de la belle. Monsieur le Marquis ne détestais pas que l’endroit sente autre chose que la savonnette. Quand l’anus fut bien lubrifié, il approcha sa bite encapuchonnée et sodomisa la belle en cadence en transpirant comme un bœuf.

 

Hé ! c’est que notre Marquis n’a plus vingt ans, qu’il ne se surveille pas trop et ne pratique aucun sport. Dans ces circonstances ça n’aide pas, et si l’excitation reste un excellent stimulant, la jouissance tarde à venir.

 

Et tandis qu’il continuait à s’escrimer à la bourrer, il fut surpris de l’entendre crier sa jouissance, une vraie jouissance, voilà qui le changeait des professionnelles qui croyaient malin de faire semblant.

 

Il en profita pour déculer et demander à Elodie de le terminer de la bouche et des mains.

 

La petite bonne trouvant que son patron devenait dur à la détente eut l’idée d’introduire un doigt préalablement humecté dans son trou du cul.

 

Le marquis ne protesta pas et poussa même un râle de satisfaction. Encouragée, la belle fit bouger son doigt, et miracle, le marquis se mis à juter son sperme en un joyeux petit geyser qui retomba sur son ventre.

 

Sans qu’on ne lui demande quoique ce soit, Elodie entreprit de nettoyer de sa langue les perles de sperme éparpillées, puis après s’être passé vicieusement la langue sur les lèvres, elle se redressa et s’éloigna du canapé.

 

– Tu fais quoi ?

– Je vais me rhabiller, à moins que Monsieur ait encore besoin de mes services, mais avant il faut que je fasse pipi.

– Je peux regarder !

– Me regarder faire pipi ? Ma foi, ça ne me gêne pas.

 

Le spectacle de cette splendide jeune femme nue sur la cuvette des chiottes en train de soulager sa vessie remplit notre marquis d’aise, il se tripota un peu la bite mais sans parvenir à rebander complètement.

 

– Si un jour, je te demande de me pisser dessus, tu le feras ?

– Voilà une chose que je n’ai jamais faite, mais je sais que ça se fait, je ne suis pas contre.

– Tu es une brave fille, tu m’apporteras un jus d’orange quand tu seras rhabillée, rien ne presse.

– A votre service, Monsieur le marquis !

 

Honoré était fort satisfait malgré le fait qu’il avait eu un peu de mal à jouir, cette Elodie avait tout pour le combler, peu farouche, belle et bien faîte et ouverte aux fantaisies. Plus besoin d’aller chez les professionnelles, il avait désormais ce qu’il lui fallait sous la main… enfin presque, mais une petite virée à Paris lui donna l’occasion d’acheter un joli gode très réaliste et un martinet.

 

Une semaine après cette petite séance de baise avec Elodie, l’envie de recommencer le prît. Il la sonna et lui demanda de la rejoindre dans la salle de bain du rez-de-chaussée.

 

– Monsieur m’a appelé ?

– Elodie, j’ai très envie que nous refassions quelques bêtises comme la semaine dernière. Ça te dit ?

– S’il y a un gentil petit pourboire, ça me dit !

– C’était prévu ! Répondit-il en lui payant le prix de ses charmes.

– Monsieur pense vraiment que la salle de bain soit le meilleur endroit pour faire ces choses ?

– Pour ce que je vais te demander d’abord, oui ! Rappelle-toi, tu m’avais dit que cela ne te dérangerait pas de me pisser dessus.

– Ah ! C’est vrai ! Je veux bien essayer, mais je ne suis pas sûr de pouvoir !

– Je ne t’en voudrais pas, si ça ne marche pas et nous recommencerons une autre fois. Déshabillons-nous.

 

Honoré, une fois nu pénétra dans la baignoire, s’y assit et demanda à Elodie de se mettre à califourchon au-dessus de lui.

 

– Je crains de bloquer ! Dit la belle après quelques minutes de concentration.

– Pense aux chutes du Niagara !

– Non décidemment, ça ne vient pas, la prochaine fois, que Monsieur le marquis me prévienne avant, je boirais beaucoup d’eau.

– Tu as raison, mais peut-être qu’en ouvrant le robinet…

 

C’est donc ce qu’il fit !

 

– Ça vient, ça vient, Monsieur le marquis, j’envoie mon pipi où ça ? Sur votre zizi ?

– Si tu veux, mais sur le visage, ça me plairait bien aussi !

– Sur le visage ?

– Ça te choque ?

– Je suis surprise, mais pas choquée, je vais le faire, mais je crains qu’il n’y ait que quelques gouttes.

 

Honoré ouvrit une large bouche et se régala du bon pipi de sa domestique, il avait juste un petit gout de trop peu.

 

Après s’être essuyés sommairement, ils gagnèrent la chambre et s’étendirent sur le lit. Monsieur le marquis eut alors envie d’explorer le minou d’Elodie, une jolie chatte épilée en maillot aux lèvres gonflées mais sèches.

 

« J’aurais dû lui dire ne pas s’essuyer ! » regretta-t-il

 

Il lui introduit deux doigts et les fit bouger, tandis que son autre main lancée vers l’avant triturait son joli téton.

 

– Oh ! C’est bon ce que vous me faites, Monsieur !

 

Quand les doigts ressortirent, il les porta à sa bouche, se régalant du jus du cul de sa soubrette.

 

Et comme la chatte d’Elodie commençait à mouiller, Honoré su qu’elle ne simulait pas, sa fierté de mâle et son ego en furent réconfortés… Et quand elle se mit à crier sa jouissance… je ne vous en parle même pas !

 

Une mini pause et Honoré sort du tiroir de sa table de chevet le gode qu’il a acheté à Paris.

 

– Regarde mon nouveau joujou !

– Oh, c’est joli ! Et Monsieur voudrait que je l’introduise !

– Ça fait effectivement partie des possibilités, mais j’aimerais bien que tu me l’enfiles !

– Ah ! Monsieur voudrait que je lui mette derrière.

– En quelque sorte !

– Vous n’avez pas peur d’avoir mal ?

– Mais non, l’autre jour tu m’as bien mis un doigt !

– Oui, mais là c’est plus gros !

– On va mettre une capote, un peu de gel, et ça devrait rentrer tout seul.

– Et bien allons-y, Monsieur le Marquis !

 

Honoré prépara le gode, puis se mit en levrette, offrant son cul à la jolie soubrette.

 

– Attention, j’y vais !

– Vas-y !

 

Et le gode entra facilement, le marquis demanda à Elodie d’actionner le petit vibreur incorporé, puis de faire aller et venir l’engin dans son cul.

 

– Oh ! Que c’est bon ! Vas-y bouge le bien ! Oh, que c’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas Elodie ?

– Mais parfaitement, Monsieur !

 

Après quelques minutes de ce traitement, Honoré éprouva le besoin de conclure et suggéra à sa partenaire de se mettre en levrette « comme l’autre fois » afin qu’il l’encule.

 

– Mais avec plaisir, Monsieur le marquis ! Enculez-moi !

– On y va, mais avant, je vais lécher un peu ce petit trou si mignon.

– Comme il vous plaira, Monsieur.

 

Sa langue se régalait de ce goût un peu acre et si particulier.

 

– Votre anus est délicieux; Elodie.

– Je suis content que mon anus plaise à Monsieur.

– J’aime les culs naturels, les culs qui sentent le cul.

– Hi ! hi !

– Cela vous fait rire, Elodie !

– Je ne voulais pas me moquer, Monsieur le marquis.

– Je ne l’ai pas mal pris, mais je me demandais si tu t’étais convenablement essuyé le cul.

 

Elodie ne comprend pas bien, ou plutôt se refuse à réagir tant qu’elle n’est pas certaine d’avoir bien compris.

 

– Mais bon, lécher un cul qui n’est pas propre à cent pour cent n’a rien de désagréable ! Insiste lourdement le marquis.

– Si Monsieur le dit…

– Oublie ce que je viens de dire, c’est juste un fantasme idiot.

– Cela ne me paraît pas méchant, si Monsieur préfère que la prochaine fois, mon cul soit mal essuyé, je peux essayer de vous faire plaisir, mais il faudrait mieux m’avertir à l’avance .

– Brave fille ! Et si un jour je te demande de chier devant moi ?

– Avec tout le respect que je vous dois, je dirais que Monsieur est un cochon, mais ça ne me tuera pas.

 

Elodie compris alors qu’en se rendant disponible afin de satisfaire tous les fantasmes de son employeur, elle pouvait facilement garnir son bas de laine, elle décida donc de l’aguicher :

 

– Puis-je suggérer à Monsieur que je le prévienne quand j’aurais envie de caca.

– Bonne idée !

– Je me réjouis à l’avance de faire un gros boudin devant monsieur.

– Petite cochonne !

– Dans ce cas, monsieur me donnera-t-il un pourboire supplémentaire ?

– Bien sûr, mais tu ne serais pas un peu vénale, toi ?

– Que voulez-vous toute peine mérite salaire !

 

Complètement excité par cet échange de propos, Honoré s’encapota et pénétra analement la soubrette avec une telle fougue et une telle énergie qu’il ne tarda pas à éjaculer. La fille, pour sa part avait commencé à miauler mais l’orgasme n’était pas venu, alors le marquis, voulant montrer qu’il avait du tact, continua à la limer jusqu’à ce quelle jouisse à son tour.

 

Elodie après avoir gratifié son patron d’un joli sourire complice, se leva du lit et s’approcha de la chaise où elle avait déposé ses vêtements.

 

– Mais où vas-tu ?

– Mais, reprendre mon service; monsieur

– Tu as bien cinq minutes, reste avec moi pendant que je fume une cigarette, tu en veux une ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:56

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 2 – La punition de Yolande par Chanette

 

stamp slave

Le lendemain matin je me réveille, Yolande n’est plus dans le lit, je ne m’affole d’abord pas, mais je ne la trouve nulle part. Son sac de voyage n’est plus là non plus ! Pas un mot, rien, je lui téléphone, ça ne répond pas !

 

Je vérifie si elle ne m’a rien piqué, je ne constate d’abord rien, mais…

 

Je possède un coffre mural, mal dissimulé derrière un tableau dans la bibliothèque. Il y a là-dedans quelques papiers personnels, un peu de liquide, des bijoux de famille, et des trucs que je ne porte plus, mais aussi une petite cassette contenant un gros diamant et un petit paquet d’enveloppes renfermant de la correspondance privée entre Sacha Guitry et une dame qu’il courtisait. Ces lettres et le diamant coûtent une fortune, mais ils ne sont pas à moi, ils m’ont été confiés en garantie par un type qui me doit une grosse somme d’argent.

 

Je retire le tableau pour accéder au coffre et le découvre déverrouillé… et vide ! Il n’a pas été forcé, non il a été ouvert gentiment par des petites mains expertes.

 

Je me suis donc fait marron par une enculée de monte-en-l’air particulièrement douée !

 

La salope !

 

Réaction débile, je prends à nouveau mon portable et lui téléphone ! Qu’est-ce que je croyais ? Qu’elle allait me répondre ?

 

J’ai le sommeil un peu léger, mais là je n’ai rien entendu, elle a dû me foutre un somnifère dans mon verre ! Soit elle a agi seule pour ouvrir le coffre, ou elle a fait entrer un complice, mais évidemment ça revient au même !

 

Le gros souci c’est que je ne peux pas prévenir la police étant persuadée que le diamant et les correspondances de Sacha Guitry sont le produit d’un vol ! Je n’ai pas envie d’être en plus inculpée pour recel !

 

J’ai pu retrouver la date exacte de mon déplacement à Lisbonne et le nom de l’hôtel. Je vais essayer un truc.

 

Bref, j’ai fait jouer mes relations, j’ai téléphoné à Jean-Luc Gauthier-Normand (voir l’épisode Pho, la cambodgienne) qui ne refuse jamais de me rendre service et qui m’a proposé l’aide de Max son homme à tout faire, mais je voulais pas abuser de sa gentillesse. J’ai obtenu grâce à lui, l’identité de cette Yolande, elle s’appelle Yolande Soubise, j’ai aussi son adresse…

 

Les petits curieux vont se demander comment il a fait, c’est tout simple, Le Jean-Luc a des relations à Interpol, la relation téléphone à l’hôtel de Lisbonne qui consulte ses registres….

 

J’ai contacté deux détectives privés, ils m’ont demandé pourquoi je n’allais pas aux flics, je leur ai fait comprendre à demi-mot que je n’étais pas clean dans cette affaire, bref ils n’ont pas voulu se mouiller. Faudrait que je trouve un mec un peu en marge, mais c’est assez compliqué, ce n’est pas sans risque et ça peut être cher.

 

Fin de récit d’Anna

 

– Tu ne connais personne, toi ? Me demande-t-elle

– Tu aurais dû accepter l’aide de Max !

– Faudrait déjà voir si l’adresse est bonne, mais il s’agît d’être discret, si elle me voit, ça ne va pas le faire…

– Je peux toujours aller voir ! Proposais-je

– Oui, tu vérifies juste l’adresse et ensuite on avisera.

 

Je la sens mal son affaire !

 

– Et je fais ça quand ?

– Tout de suite ! On y va ensemble, j’appelle un taxi. Je t’ai préparé une grosse mallette avec une encyclopédie à la con, si tu as besoin de sonner chez elle, tu es censé faire du porte-à-porte. Si tu dois soudoyer quelqu’un je te laisse deux billets de 50.

– Ah, c’est donc ça, ta mallette ?

– Ben oui !

 

J’aurais tout fait dans ma vie !

 

On arrête le taxi devant un petit square rue de Bretagne, et tandis qu’Anna se pose sur un banc, je me rends un peu plus loin à l’adresse indiquée. Evidemment il y a un digicode, j’attends donc qu’un citoyen ou une citoyenne se décide à entrer ou à sortir. J’ai bien attendu une demi-heure. Et hop me voilà dans la place. Inspection des boites aux lettres : Pas plus de Yolande Machin que de beurre en broche !

 

Je fais quoi ? Je pense téléphoner à Anna, mais je peux à ce stade me débrouiller toute seule. Il y a un gardien, mais qu’est-ce que je vais lui raconter.

 

– Bonjour Monsieur ! Je cherche Mademoiselle Yolande Soubise…

– Y’a longtemps qu’elle n’est plus là !

– Vous savez où elle est maintenant !

– Vous n’avez pas son numéro de téléphone !

– Si mais ça ne répond pas, elle a dû changer de numéro.

– Elle m’avait laissé un numéro, je peux vous le communiquer, attendez une minute…

 

Et voilà que mémère apparaît !

 

– C’est quoi ?

– C’est quelqu’un qui demande après la Soubise.

– Faut rien donner !

– Donc vous avez l’adresse ?

– Non, on a rien du tout, au revoir mademoiselle !

 

Je sors mes deux billets.

 

– Même contre un petit billet ?

– Attendez…

 

Le bonhomme consulte un petit carnet.

 

– 114 rue du chemin vert, chez Monsieur Larive

– Montrez-moi ce qui est écrit et je vous laisse deux billets.

 

Je n’ai pas envie qu’il m’envoie dans la nature. Je note l’adresse et aussi le numéro de téléphone.

 

Je récupère Anna.

 

– Alors ?

– Elle n’est plus là, mais j’ai sa nouvelle adresse et un numéro de téléphone…

– Donne

– O.K. c’est un autre numéro.

– Elle vit avec un bonhomme…

– OK, j’avais pensé à un petit scénario, mais s’il y a un mec, ça va se compliquer

 

On prend un café vite fait au comptoir d’un bistrot.

 

Anna me demande de téléphoner au numéro que j’ai obtenu. Une voix féminine lui répond. On met l’ampli.

 

– Allo ?

– Bonjour ! Je désirerai parler à Monsieur Larive.

– Vous n’êtes pas sur son portable, là…

– Vous pouvez me le passer.

– Il n’est pas là et je ne suis pas autorisé à vous communiquer son numéro. Mais je peux lui faire une commission.

– C’est pour la conformité des installations électriques.

– Allez vous faire foutre !

– C’est bin sa voix ! Bon voilà le plan… M’explique-t-elle. Tu te sens capable de faire ça ?

– Oui, mais tu ne m’en voudras pas si je fais tout foirer !

– Tu ne vas rien faire foirer du tout.

 

On trouve un taxi, le chauffeur nous précise que ce n’est pas bien loin. Tant mieux.

 

Même protocole, Anna m’attend cent mètres en amont.

 

– Si j’ai pas de nouvelles de toi dans les 10 minutes chrono, je monte en renfort.

 

Sur place, pas de digicode mais un interphone multiple. J’attends que quelqu’un entre ou sorte, puis je vérifie les boites aux lettres.

 

Larive – Soubise – 2ème gauche

 

Bingo !

 

Le plan d’Anna me parait complètement tordu. Je n’ai pas osé lui demander pourquoi elle n’y allait pas elle-même, mais c’est vrai que la Yolande, la reconnaissant, aurait sans doute refusé de lui ouvrir !

 

Je sonne.

 

Je n’avais jamais vu la Yolande, une très jolie femme

 

– Bonjour ! Paula Mortier, détective privée, je peux entrer cinq minutes ?

– Attendez, c’est pourquoi ?

– Le casse du coffre-fort chez Madame Anna-Gaëlle de la Souderie de Breteuil

– Hein quoi ? Et qu’est-ce que j’ai à voir là-dedans ?

– Il y a des caméras chez la petite dame !

– Foutez-moi le camp !

 

J’ai mon pied à travers la porte, elle ne peut la fermer sans me l’écraser. La tronche qu’elle tire ! Elle regarde les autres portes sur le pallier, je comprends qu’elle craint qu’une voisine se mette à écouter. Tant mieux je hausse la voix.

 

– Je vous répète que vous avez été filmée, je viens vous proposer un arrangement à l’amiable !

– Entrez cinq minutes !

 

Elle me fait asseoir, je ne dis rien, j’attends qu’elle cause.

 

– Ben je vous écoute !

– Vous avez piqué des documents qui ne sont pas négociables, j’ai pour mission de les récupérer. Idem pour le diamant. En ce qui concerne le reste, je dirais que ça a déjà changé de main, en fait vous me rendez l’argent liquide ce sera ma prime, et les bijoux vous les gardez !

 

Un semi-bluff bien sûr puisque l’objectif est bien sûr de tout récupérer.

 

La nana parait en pleine confusion mentale et ne sait que dire.

 

– Ben alors ? M’impatientais-je

– Ben alors je réfléchis !

 

Et puis tout d’un coup, elle semble avoir trouvé quelque chose !

 

– C’est bizarre que ce soit un détective privé qui s’occupe de ça, pourquoi ce n’est pas la police ? Et d’abord qu’est-ce qui me prouve que vous êtes détective privé ?

 

Elle va me coincer cette salope !

 

– On s’en tape, on sait que c’est toi, alors soit tu acceptes l’arrangement, soit j’appelle les renforts ! Répondis-je en sortant mon téléphone portable.

 

Ça passe ou ça casse, mais si ça casse, j’appelle Anna ! Ensuite ça deviendra une simple affaire de rapport de force.

 

– Foutez-moi le camp !

 

Je vais pour appeler Anna, mais voilà que Yolande se jette sur moi comme une furie, me fout par terre et envoie valser mon téléphone.

 

– Et maintenant tu te casses ! Hurle-t-elle

 

Bon, rendons-nous à l’évidence, je ne suis pas faite pour ce genre de boulot. J’ai merdé !

 

Si je suppose bien, son plan à la nana est du genre minable, elle me fout dehors, puis va s’enfuir avec le magot en se doutant que je vais la filer, elle essaiera alors de me semer… Et même si je la rattrape, je fais quoi ? Autrement dit si pour elle la situation est désespérée, en ce qui me concerne c’est vraiment aléatoire.

 

Il faut donc que je gagne du temps, pour laisser le temps à Anna d’arriver. Je fonce dans le fond de l’appartement, les chiottes sont ouvertes, je rentre. Pourvu que ça se verrouille ! Oui, ça se verrouille, je m’enferme !

 

L’autre tambourine !

 

– Sors de là-dedans, pétasse !

 

Je la laisse s’exciter, au bout de quelques minutes elle s’en va, elle part chercher un outil pour forcer l’ouverture, Pas si simple, c’est un verrou à trois balles, mais ça tient bien, elle essaie quand même ! Mais qu’est-ce qu’elle fout Anna ?

 

Et tout d’un coup j’entends qu’on tambourine à la porte d’entrée. L’autre ne doit plus savoir quoi faire, j’en profite pour crier « au secours » ! Avec un tel barouf les voisins vont finir par s’interroger.

 

En désespoir de cause, Yolande finit par ouvrir.

 

– Qu’est-ce que t’as fait à ma copine, salope ?

 

Cette fois Yolande craque !

 

– Elle s’est enfermée dans les chiottes !

 

Je sors ! Yolande s’est affalée comme une chiffe molle dans un fauteuil et se met à chialer comme une madeleine

 

– Bon on en est où ? Demande Anna !

– Je sais pas, j’ai un peu merdé !

– Pas grave, on est deux maintenant ! Toi t’arrête de chialer et tu me rends ce que tu nous as piqué !

– Ouin, c’est pas de ma faute, c’est Francis qui m’a obligé à faire ça !

– On s’en fout ! Allez grouille !

 

Elle se lève, on la suit, en bas d’un dressing, elle prend un sac de supermarché et le tend à Anna.

 

– Il manque un peu de liquide, c’est Francis qui l’a pris.

– Il manque combien ?

– Je ne sais pas !

 

Anna vérifie le contenu du sac, il y a les lettres de Guitry, le diamant, les bijoux, elle compte le fric.

 

– Il doit manquer 500 balles ! Dit-elle au pif !

– J’ai pas d’argent sur moi ! Implore-t-elle !

– Ben ça fait rien on va passer au distributeur !

– Francis va me tuer quand il va savoir que j’ai ouvert.

– Bon tu mets ton manteau et tes godasses et tu viens avec nous tirer du fric.

– Vous ne comprenez pas, il va me tuer !

– Fallait y penser avant !

 

On est allé au distributeur, mademoiselle avait une carte Gold.

 

– Et maintenant on ne veut plus te voir. Viens Chanette, faut que je passe à la galerie, on va prendre un taxi.

 

Et voilà l’autre qui nous refait une crise de larmes !

 

– S’il vous plaît ? Implore-t-elle !

– Quoi ?

– Aidez-moi !

– Dégage !

– Ça ne vous est jamais arrivé de faire des bêtises ? Insiste Yolande

 

Anna ne répond pas et m’entraîne un peu plus loin.

 

– Le jour où vous avez fait des bêtises, vous auriez sans doute été bien contente qu’on vous tende la main, juste un petit peu ? Vocifère l’autre.

 

Du coup Anna pile. Je ne sais pas trop à quoi elle pense, mais elle cogite. Yolande a pilé aussi, vingt mètres plus loin.

 

– Bon, toi suis-nous, mais reste vingt mètres derrière !

 

Pardi, elle n’a pas envie qu’elle lui arrache son sac puis se sauve à grandes enjambées ! Mais pourquoi lui demander de nous suivre ?

 

Anna m’indique qu’elle va conduire Yolande à la Galerie d’art qu’elle possède rue de Seine.

 

– Ce n’est pas parce que c’est une salope, qu’il faut qu’on soit salope nous aussi J’ai envie de savoir ce qu’elle dans le ventre !

 

Du coup on renonce au taxi, Anna propose de prendre le métro mais j’ai peur que d’ici ce soit la galère. Je lui indique qu’il passe un bus pas très loin qui peut nous emmener jusqu’à l’Odéon.

 

– Toi, la Yolande, tu montes dans le bus, mais pas à côté de nous. A l’Odéon tu nous suis toujours vingt mètres derrière, rue de Seine, je vais ouvrir ma galerie, quand on sera entré, tu nous rejoindras.

 

On a donc fait comme ça. Une fois toutes les trois à l’intérieur, Anna pose un panneau « Fermé » derrière la vitre de la porte d’entrée qu’elle verrouille.

 

C’est quoi son plan ?

 

On descend au sous-sol, il y a ici aussi un coffre dans lequel Anna entrepose le sac contenant les objets restitués.

 

Et soudain, comme par réflexe, elle pose la question :

 

– T’as fait comment pour ouvrir le coffre chez nous. ?

– Ça s’apprend !

– Mais encore !

– Avec un stéthoscope !

– C’est si simple que ça ?

– Non, ce n’est pas simple, mais ça s’apprend. Et puis ce n’était pas un coffre si compliqué.

– Et tu fais ça souvent ?

– Non, juste quand on a besoin d’argent !

– Et le mode opératoire.

– Je drague dans les grands hôtels, les casinos, je ne me fais pas payer, je joue la nympho friquée, je fais comprendre au cave que ce n’était qu’un coup d’un soir, mais je conserve ses coordonnées, lui laissant entendre qu’à l’occasion je ne serais pas contre le fait qu’on se revoie.

– Et après ?

– Quand je téléphone au cave, il est tout content, le problème c’est qu’il faut qu’il soit seul chez lui, c’est pas évident, ça fait perdre beaucoup de temps. Mais si la personne est seule, c’est somnifère dans le verre et après je m’occupe du coffre. Je fonctionne avec des téléphones trafiqués, Je n’ai jamais eu de problème, je me demande encore comment vous avez pu me retrouver ?

– Mais ça, on ne te le dira pas !

– Dommage, j’aurais bien voulu savoir ! Sinon, vous êtes disposée à m’aider un peu ?

– Et tu voudrais qu’on t’aide comment ?

– Le souci c’est que Francis va croire que je me suis enfuie avec la camelote, que j’ai tout gardé pour moi !

– C’est ça ton problème ?

– Ben oui !

– Je suppose que tu ne veux pas quitter ton mec ?

– Ben non !

– Tu l’aimes ?

– Ce n’est plus l’amour fou, mais disons que je me sens bien avec lui.

– Il est violent ?

– Non, un peu colérique, mais pas méchant.

 

Anna réfléchit quelques instants.

 

– Il est où ton mec en ce moment ?

– Il bosse au magasin !

– Au magasin ?

– Oui, il vend des vélos…

– Il revient quand ?

– Ce soir !

– Bon je suppose que quand tu es à la maison, tu ne restes pas tout le temps enfermée ?

– Ben non ! Je fais des courses, je me balade !

– Il a un smartphone, ton copain ?

– Oui pourquoi ?

– Tu verras bien, je vais t’arranger ton problème, mais avant faut que tu sois gentille avec nous.

– Comment ça ?

– Fous-toi à poil !

– Vous ne seriez pas en train de profiter de la situation, là ?

– Non ! Tu n’es pas obligée, je peux aussi t’ouvrir la porte, tu te casses et tu te démerdes !

– Bon, bon ! Je dois faire quoi ?

– Commence par te foutre à poil, on t’a dit !

– Vous allez me faire quoi ?

– Tu le verras bien ! Encore une fois, on t’obliges pas, tu peux encore partir, mais si tu veux qu’on arrange ta situation tu ferais mieux de rester et nous obéir ! Tu vas être notre jouet !

– Votre jouet ?

– Ben oui !

 

Je prends Anna à part pour lui demander ce qu’elle veut faire exactement.

 

– On va lui faire une domination un peu poussée.

– Attends, je ne suis pas sadique…

– Elle est un peu maso, si ça trouve, elle va aimer ça !

– Ah bon !

 

Yolande se met à poil et je la découvre, joli corps avec une belle poitrine un peu lourde, le bronzage est intégral, mademoiselle doit fréquenter les plages naturistes, ses poils pubiens taillés en ticket de métro lui donne un air canaille.

 

J’ai laissé Anna parler et j’avais plus ou moins décidé de la laisser agir, après tout, c’est SA vengeance, pas la mienne !

 

Mais…

 

– Je te laisse opérer ! Me propose ma complice

– Et pourquoi moi ?

– C’est toi la spécialiste, non ?

 

Spécialiste ? En fait pas tant que ça ! Ce que je fais ce sont des séances pour sado-maso, c’est-à-dire que toutes les petites misères que j’inflige à mes soumis, ils sont d’accord pour les endurer. Ici nous ne sommes pas dans ce cas de figure.

 

Je chuchote tout ça dans l’oreille d’Anna qui me répond très simplement :

 

– T’as raison, mais la technique reste la même !

 

Oui, bien sûr, me revient en mémoire alors une séance assez surréaliste que j’avais fait subir à une bonne femme à Saint-Tropez (voir Chanette à Saint-Tropez) après qu’elle nous avait fait une belle vacherie… souvenirs, souvenirs… Et puis surtout la façon dont j’avais dompté Anna alors que nous ne nous connaissions qu’à peine (Voir Chanette et la journaliste)

 

Le problème c’est que je n’ai pas mes petits outils et que chez Anna, il n’y a pas grand-chose, mais les moyens du bord, ce n’est pas fait pour les chiens.

 

Je demande à ma copine de me trouver une ceinture, en cuir pour que ça cingle et je vais faire un tour en cuisine où je dégotte des pinces à torchons.

 

Je me pointe devant Yolande, toute fière de ma découverte.

 

– Je vais t’accrocher ça sur les tétons, si tu ne le laisses pas faire, on t’attache.

 

Je m’attendais à des cris, des protestations, des gesticulations, que nenni ! La Yolande me regarde droit dans les yeux !

 

– Vas-y salope ! Prends ton pied ! Me dit-elle.

 

Réaction instinctive, je la gifle, elle ne bronche qu’à peine mais ne la ramène plus.

 

J’attache les pinces sur ses tétons, elle se mord les lèvres, je joue un peu avec, je le tire vers moi, j’augmente la pression avec les doigts, mademoiselle se tortille.

 

– Allez demi-tour, je vais te rougir le cul !

– Salope !

– Non mais tu vas la fermer, oui ! Ouvre la bouche !

 

Je m’attendais à un refus, mais non, elle entre dans le jeu et nous fait la grenouille à grande bouche, du coup je lui crache dedans. Puis elle se tourne nous exhibant un fessier de compétition.

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J’arme la ceinture et je fouette sans compter, je ne m’arrête que quand l’endroit devient cramoisi.

 

Elle se retourne de nouveau, quelques larmes ont coulés sur son beau visage, c’est attendrissant.

 

– Alors, ça t’a fait du bien, grosse pouffe ? Lui demandais-je.

 

Elle me répond avec une sorte de mimique qui ne veut rien dire, mais voilà que j’aperçois son entre jambe qui dégouline, la flagellation a excité cette salope ! Ce n’était pas vraiment le but de l’opération.

 

– Et en plus ça te fait mouiller !

– C’est purement physiologique, tu n’y es pour rien ! Se croit-elle obligé de commenter

 

Ben voyons !

 

– A quatre pattes !

 

Elle s’exécute et je lui fais faire le tour de la pièce, elle est marrante comme ça avec son croupion rougi. Voilà ce que c’est d’être hors de mon contexte, j’aurais dû la faire se balader avant de la fouetter et la faire avancer à coup de ceinture, maintenant je n’ose plus frapper.

 

Un coup d’œil vers Anna qui s’est dégrafé son pantalon et qui se tripote la minette. Faut pas te gêner ma grande, fait comme chez toi, d’ailleurs elle chez elle…

 

Faut dire que toutes ces bêtises commencent à m’exciter moi aussi et je me demande comment tout cela va se terminer.

 

Je demande à Yolande de se coucher par terre, sur le dos mais avant, je vais chercher une grande serviette dans la salle de bain.

 

– Tu fais quoi ? me demande Anna !

– Je vais pisser !

– Non, fait pas ça, elle adore ça, ça lui ferait trop plaisir !

– Mais c’est que j’ai envie, moi !

– Eh bien, tu pisseras sur moi ! En attendant je vais faire autre chose…

 

Et là, je vois Anna s’accroupir au-dessus de la poitrine de Yolande.

 

– Tu fais quoi ?

– Je fais caca !

 

Anna s’est légèrement reculée et son fessier est désormais au-dessus du visage de sa victime. Et la voilà qui chie ! Cela me rappelle quelques souvenirs (voir Chanette à St Tropez). Yolande arbore juste une très légère mimique d’agacement. Ça devient n’importe quoi cette séance, mais est-ce si grave, après tout !

 

– Bon, tu te relèves, tu ramasses tes saletés, tu les jettes dans les chiottes, et tu reviens poser ton cul sur la chaise et tu ne bouges plus ! Ordonne Anna à la Yolande.

 

Et voilà qu’Anna se déshabille et s’étale sur la serviette. J’enlève le bas, je pose ma chatte sur la bouche de ma copine et j’ouvre les vannes. Elle se régale comme d’habitude. Nous avons joué si souvent à ce petit jeu mais nous ne nous en lassons pas.

 

Evidemment une fois ma miction terminée, Anna ne peut s’empêcher de farfouiller mon intimité, et c’est qu’elle se régale la coquine !

 

D’ordinaire elle me fait languir avant de me donner le coup de grâce, mais aujourd’hui, elle a déjà sa langue sur mon clito et son doigt dans mon trou du cul. Comment voulez-vous que je résiste, je finis par gueuler ma jouissance.

 

– A toi de jouer ! me dit ma complice.

 

O.K. mais je ne sais pas où me poser, certainement pas sur cette serviette sur laquelle ma pisse a débordé. J’avise le canapé et fait signe à Anna de me rejoindre.

 

– Enlève le haut ! Me demande-t-elle.

– Non, la Yolande, elle n’a pas besoin de les voir !

 

Anna s’est affalée horizontalement, je me glisse entre ses cuisses tandis que mes mains lui agrippent le bout de ses seins. C’est tout mouillé là-dedans, mais c’est délicieux.

 

Je lape, je tripote, je doigte sans oublier son petit trou du cul qu’elle a oublié de s’essuyer après ses bêtises de tout à l’heure, mais excitée comme je suis, je n’en n’ai cure. Mademoiselle se met à gémir, je porte l’estocade, elle jouit à son tour, on s’embrasse comme deux vieilles goudous.

 

On se relève en soufflant, Anna va chercher dans le frigo une bouteille d’eau gazeuse, on s’en boit une bonne rasade au goulot, mais on n’en offre pas à Yolande toujours posée sur sa chaise.

 

– On en fait quoi de ta nana ? Demandais-je.

– On s’est un peu amusé, on va la laisser filer, mais bon je lui ai fait une promesse…

 

Et soudain Anna est saisie d’une impulsion, elle aperçoit un gros feutre rouge sur sa bibliothèque, s’en empare et se dirige vers Yolande dont le corps se recouvre bientôt d’inscriptions très poétiques telles que « Salope », « Grosse pouffe », « Voleuse ».

 

– Maintenant tu peux te rhabiller !

– Je peux passer par la salle de bain ?

– C’est un galerie d’art ici, il n’y a pas de salle de bain, juste des chiottes avec un petit lavabo !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:53

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 1 – Yolande

 

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Bonjour, c’est moi Chanette qui va vous narrer une autre de mes joyeuses aventures. Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents récits, sachez que je suis dominatrice professionnelle, (ceux qui ont un problème avec ce genre d’activité ne sont pas obligés de continuer) la quarantaine, fausse blonde et avec tout ce qu’il faut où il le faut ! Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant parfois un peu de domination.

C’est parti !

 

1 – Yolande

 

Samedi 2 mars

 

C’est samedi, je ne travaille pas, et ce matin-là, je reçois la visite d’Anna-Gaëlle qui se pointe comme ça comme une fleur sans s’annoncer avec une grosse mallette à la main.

 

Anna-Gaëlle est mon amie intime depuis des années, ancienne journaliste dans un torchon people nous sommes rapidement devenues amantes. Eh oui madame est bisexuelle, très portée sur les femmes, mais ne négligeant pas systématiquement les hommes. Suite à un mariage avantageux et au décès inopiné du conjoint, (voir l’épisode Mariage d’argent, tourment) elle a hérité d’un bon paquet de fric lui permettant d’ouvrir une galerie d’art, rue de Seine à Paris. Anna a les cheveux blond clair, coupés courts et plaqués sur la tête. Elle a la peau très blanche. Je l’adore !

 

– J’ai besoin de tes services ! Me dit-elle

– Mais bien sûr, ma chérie, si c’est dans mes cordes

– Alors il faut que je te raconte, parce que c’est un peu compliqué…

 

Le fait est qu’avec elle, rien n’est jamais simple !

 

Le récit d’Anna :

 

J’étais ce jour-là en plein dans ma paperasse quand le téléphone fixe sonna :

 

– Allô, bonjour, vous êtes bien Anna-Gaëlle ?

– Oui, c’est de la part ?

– Yolande !

– Yolande ?

– Ben oui, quoi ! Yolande de Lisbonne.

– Euh ! Je ne peux pas trop parler pour le moment, Je vous rappelle dans la journée, donnez-moi votre numéro…

 

Je me souviens maintenant ! Yolande est une nana que j’ai rencontré à Lisbonne, une nympho d’hôtel, on s’est un peu amusé avec elle et un mec qui m’avait dragué, mais bon c’est l’occasion qui nous a fait faire des choses, il n’entre pas dans mes intentions de me lancer dans une relation suivie avec cette nana.

 

Ah ! Il aurait sans doute mieux valu que je commence par le début, alors allons-y :

 

J’étais pour affaires quelques jours à Lisbonne, je m’étais laissé draguer par un mec, il s’appellait Peter, il était beau comme un dieu, sympathique, cultivé, plutôt généreux, et avec qui j’avais rapidement accepté de partager ma chambre.

 

Nous étions dans le salon de notre hôtel en train de boire un rafraîchissement, quand une femme nous aborda pour nous demander un renseignement, prétexte en fait pour engager la conversation. Ni Peter, ni moi-même n’apprécions d’ordinaire ce genre de comportement, mais il faut dire que la dame était fort gironde, et c’est sans doute pour cela que Peter la laissa parler.

 

Yolande a une trentaine d’année, peut-être un peu moins, c’est une belle femme, fausse blonde avec quelques légères rondeurs qui lui vont très bien. Le visage est agréable avec un nez droit et des lèvres parfaitement ourlées encadrant un énigmatique sourire. Elle est habillée assez simplement : un jean en bas, un caraco très décolleté en haut, laissant deviner une jolie poitrine

 

Elle parle beaucoup : pour résumer, cette femme nous dit avoir vécu près de dix ans de vie monotone avec un homme qu’elle a fini par quitter suite à une liaison qui n’a pas eu de suite. Elle nous explique que désormais, elle rattrape le « temps perdu ». Du coup la curiosité naturelle de Peter reprend le dessus et il la branche :

 

– Vous rattrapez quoi ? Les sorties, les voyages, la bagatelle ?

– Un peu tout ça, oui !

– Vous avez raison, il faut en profiter, la vie et si courte, autant profiter des bonnes choses, la bouffe, le sexe.

 

C’est ce qui s’appelle « insister lourdement ».

 

– Nous, on essaie d’en profiter un maximum, continue-t-il, nous sommes un couple très libre mais aussi très complice.

 

Un peu gonflé le Peter de laisser croire que nous sommes un couple !

 

– C’est bien, vous avez beaucoup de chance ! Répond-elle avec une drôle de lueur dans les yeux, avant de changer de conversation.

 

Elle se croit obligée de nous offrir une coupe de champagne, et nous raconte ses derniers souvenirs de voyage, ce n’est pas très passionnant et Peter ne la relance plus.

 

– On va peut-être monter se coucher ? Finis-je par dire.

 

On prend l’ascenseur tous les trois, Peter a carrément le nez dans le décolleté de Yolande qui après nous avoir souhaité une bonne nuit gagne sa chambre assez proche de la nôtre.

 

– Quelle casse-couille ! Rouspète Peter, demain on va essayer de l’éviter.

– Elle nous a payé le champagne, normalement on devrait lui rendre la politesse

– Pff, on ne va pas se laisser emmerder.

 

On se déshabille, Peter m’étonnera toujours avec la vitesse à laquelle il se livre à cette opération. Monsieur a emporté un pyjama qu’il revêt. Il s’agit d’un modèle assez ancien avec la veste munie de petites poches et de boutons, tandis que le pantalon se resserre avec un cordon qu’il faut nouer. Il n’y a pas de braguette à proprement parler, mais une ouverture facilitant l’accès à la bite en cas d’urgence. Quel est le nom du malade qui a inventé ce machin ?

 

En ce qui me concerne, j’étais encore en sous-vêtements quand j’entendis qu’on toquait à la porte. J’enfile un peignoir et vais ouvrir :

 

– Excusez-moi, vous n’auriez pas une aspirine ou un truc dans le genre, j’ai un de ces mal de tête. Me dit Yolande.

– Maux de tête ! Corrigeais-je

– Pardon ?

– Non, je suis désolée, demandez-donc à la réception. Quoi que je peux vous calmer quand même, je connais un truc, entrez cinq minutes.

– C’est quoi ? Grogne Peter qui est en train de se brosser les dents

– Rien de grave je vais jouer les guérisseuses.

 

Je fais asseoir Yolande, et lui masse le front pendant deux ou trois minutes comme une copine me l’a appris.

 

– Ça fait du bien ?

– Vous êtes magicienne, je n’ai plus mal.

– Ça ne marche pas à tous les coups, mais ça marche souvent !

– Et, bien je vous remercie, je vais vous laisser, mais dites-moi, vous en avez d’autres, des dons cachés comme celui-ci ?

– Oui, je sais faire des massages très relaxants, aussi !

– Oh !

– Comme vous dites !

– Dommage qu’il se fait tard, sinon, je vous aurais peut-être sollicité.

 

Peter s’est assis dans un coin et rigole intérieurement.

 

– Sollicitez-moi, je n’ai pas sommeil ! Répondis-je.

– Je ne voudrais pas abuser !

– Mais non, puisque je vous le propose. Mais il vous faut savoir que pour je vous masse à ma façon, il faut que vous vous mettiez entièrement nue.

 

Je ne suis pas mécontente de ma provoc !

 

– Ah ! Ça m’embête un peu à cause de Monsieur. Répond-elle

– Ben tant pis !

 

Elle semble hésiter tout de même.

 

– De toute façon, je vais rester sur le ventre, je suppose ? Demande-t-elle.

– Oui !

– Et vous pourrez me mettre une serviette pour cacher mes fesses ?

– Ben non, ça va gêner.

– Bon, ce n’est pas grave, on y va, je pose mes affaires ici ?

 

Et là voilà à poil, pas mal du tout, les seins sont très lourds, bronzés sans doute aux U.V., la taille bien marquée. Ses poils pubiens sont taillés en ticket de métro. J’installe une grande serviette sur le plumard, elle s’affale dessus. Je fais un clin d’œil complice à Peter qui me le rend. Si tout se passe bien dans une demi-heure maximum, elle nous sucera tous les deux…

 

Peter fait semblant de lire le journal, moi je la masse de façon classique, les épaules, le dos, puis insiste lourdement sur les fesses, je les malaxe, les écarte. Puis je change de registre en lui parcourant le corps du bout de mes doigts.

Chantte26a

– C’est bizarre votre massage !

– Ça vous plaît ?

– Ce n’est pas désagréable.

– Ecartez un peu vos jambes, s’il vous plaît !

– Pourquoi donc ?

– Vous allez voir !

 

Je lui caresse les fesses, et de façon inopinée, je tente de glisser ma main en dessous, mais ça ne passe pas.

 

– Soulevez-vous un tout petit peu !

– Comme ça ?

– Ben oui, oh, mais c’est mouillé tout ça !

– Ça m’arrive parfois !

 

Je n’insiste pas, je décide de m’amuser et de continuer dans la provocation. J’écarte ses globes fessiers, me lèche un doigt, l’approche de son anus, attend sa réaction. Pas de protestation, pas de commentaires, je presse mon doigt, il s’enfonce très légèrement.

 

– Oh ! Vous faites quoi ? Minaude-t-elle.

– Je vous tripote le trou du cul, chère amie ! Tu aimes ça, hein ma petite salope ?

– Oh ! Oui, enfonce-moi bien ton doigt, je suis ta salope !

 

Je ne m’en prive pas, mais je finis par le ressortir. Il n’est pas très net, par réflexe je lui fous une tape sur les fesses.

 

– T’aime les petites fessées ?

– Oui, j’adore ça ! Je suis un petit peu maso.

 

Du coup je me lâche et je lui en flanque une vingtaine, elle a bientôt le cul tout rouge. Je fais signe à Peter de venir, il s’approche, laisse tomber son pantalon de pyjama et exhibe sa queue bien dressée.

 

– Regarde la belle bite de mon copain !

– Humm, elle est belle !

– Et bien suce-là !

– C’est bien, vous n’êtes pas jalouse, vous !

– Non, pas du tout !

 

Elle s’empare alors du sexe de Peter et le gobe avec avidité.

 

– Et ben dis donc, quand tu suces, tu ne fais pas semblant toi ! Commentais-je devant tant d’ardeur à la tâche !

– Hum, c’est vrai qu’elle a une bonne langue ! Dommage qu’on n’ait pas de capotes…

– J’en ai, moi ! Dit Yolande, interrompant sa pipe !

– Tu avais tout prévu, hein ?

– Non, c’était juste au cas où, je n’étais sûre de rien…

– Je te ferais bien une petite levrette, propose Peter.

 

Yolande se lève, va chercher ce qu’il faut dans la poche de son jeans, se met en position, et tandis que Peter la pénètre, je me positionne devant elle afin qu’elle puisse me lécher le sexe !

 

L’affaire dure une dizaine de minutes, elle a un peu de mal à me faire jouir, mais elle y parvient. Peter qui avait commencé en vaginal, termine dans son cul en grognant comme un hussard. Yolande crie aussi, épuisée, elle se couche sur le lit, porte la main à sa chatte ! Ce n’est pas vrai qu’elle en veut encore ! J’approche mon visage, elle enlève sa main, me laisse la lécher, elle possède un clito qui m’a l’air en pleine forme. Il ne résiste pas longtemps à mes assauts. La Yolande est complètement lessivée, en sueur, les cuisses trempées.

 

– Ça va mieux, le mal de tête ? Ironisais-je.

– Disparu, pour le mal de tête, le sexe c’est le meilleur de remèdes !

– Bon, nous on va se coucher !

– Dommage, j’aurais bien continué !

– Les meilleures choses ont une fin, ma chère.

– Vous savez, je peux être très soumise, si vous voulez que je sois votre esclave, ce n’est pas un problème. Les petites misères, les humiliations, tout ça, ça ne me fait pas peur.

 

J’allais lui dire qu’on avait fini de jouer pour aujourd’hui, mais Peter venait d’avoir une idée :

 

– Ah, t’aime qu’on te domine, viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus !

 

Elle ne discute même pas, suit Peter qui la fait mettre à genoux. Sans préambule, il lui arrose les seins, et sans qu’on le lui demande, elle ouvre la bouche pour recueillir ce qu’elle peut de la pluie d’or qui jaillit du sexe de mon complice. Sa miction terminée, j’essaie à mon tour, je reste debout et me débrouille tant bien que mal, pour diriger mon jet vers cette décidément très étrange personne.

 

– Qu’allez-vous me faire maintenant ?

– Ben, rien ! On se couche !

– Je ne peux pas rejoindre ma chambre comme ça, je suis pleine de pisse !

– Tu te rinces vite fait sous la douche, tu prends mon peignoir de bain, et tu me le reporteras demain.

 

Elle a fait comme on avait dit ! Heureux de s’en être débarrassé, même si on s’est bien amusé.

 

Le lendemain, on faisait nos valises, je n’avais pas encore pris ma douche, on sonne. C’est Yolande qui ramène mon peignoir !

 

– Ah ! Vous partez comme c’est dommage !

 

Et histoire de ne pas se laisser déborder, je lui donnais le numéro de téléphone de la maison, en principe les numéros de téléphone échangés pendant les vacances et les déplacements ne servent jamais.

 

Tout cela s’était déroulé, il a trois ou quatre mois !

 

Fin du récit d’Anna-Gaëlle

 

– Et alors, tu l’as rappelé ? demandais-je

– Oui par politesse, mais je lui ai fait comprendre que je n’avais pas le temps de la recevoir. Elle m’a alors fait tout un baratin, genre « je suis de passage à Paris, je serais bien passée en vitesse juste te dire bonjour… » Bref j’ai fini par accepter.

 

Le récit d’Anna (reprise)

 

Et la voilà qui se pointe !

 

– Ah ! Tu es toute seule, Peter n’est pas là ? Demande-t-elle.

– Peter n’était qu’un ami de rencontre, je suis veuve et célibataire !

– Ah, mais c’est très bien ça ?

– Et pourquoi, c’est très bien !

– Parce que je préfère les femmes aux hommes.

– En fait tu venais pour t’envoyer en l’air, c’est ça ?

– Non, je passais te faire un bisou, mais si tu veux qu’on s’amuse ensemble, j’en serais ravie.

 

Alors je l’ai laissé m’embrasser, sans trop de conviction malgré le fait qu’elle soit une très belle femme. Et puis ses mains se sont faites baladeuses, un vrai poulpe, elle me pelote les fesses, les seins, tout ce qu’elle peut.

 

J’ai essayé de résister, mais à quoi bon, je me suis dit qu’une heure de baise avec elle, ça ne pouvait pas me faire de mal et puis après elle me ficherait la paix.

 

On s’est donc rapidement retrouvée à poil toutes les deux. Je l’ai laissé mener la barque, comme ça par jeu.

 

Elle m’attrape les nichons, me les caresse, me les lèche, m’en mordille les tétons. J’ai du mal à lui rendre la pareille tellement elle m’accapare, je parviens quand même à lui peloter le cul.

 

Et je ne sais plus trop comment, nous avons atterri sur le canapé. On a continué à se peloter et se caresser et fatalement on a fini par se retrouver en soixante-neuf, elle m’a tout de suite attaquée la chatte, mais moi c’est son anus que j’avais devant la bouche, je le lui ai donc léché, il avait un petit goût très subtil. J’adore ! Et quand il s’est mis à bailler, j’ai enfoncé mon doigt et l’ai fait aller et venir.

 

Elle réagissait plutôt bien et commençait à haleter, je sentis soudain sa langue sur mon clitoris, je sus de suite que je ne tiendrais pas longtemps. Effectivement quelques secondes après je jouissais en mouillant mes cuisses.

 

L’affaire n’avait duré que cinq minutes environ.

 

Moment de tendresse, on s’embrasse, on se caresse, mais on ne pelote plus. Elle me demande une cigarette, on boit un verre de flotte.

 

– J’ai bien aimé ton doigt dans mon cul ! Me confie-t-elle.

– Coquine !

– T’as rien de plus gros ?

– Il suffit de demander, j’ai un gode mais je ne sais pas où je l’ai foutu, je ne m’en sers pas si souvent.

 

Pourquoi ce mensonge ? Peur de passer pour une perverse ? Qu’est-ce que j’en ai à foutre ?

 

En fait le gode est dans le tiroir de mon chevet, mais il m’est venu une autre idée, j’ouvre un placard, en ressort un carton et dans le carton, devinez quoi qu’il y a ? Un joli chapelet de boules de geisha ! Trois jolies boules mauves en chapelet !

 

– Tu connais, ça ? Annonçais-je fièrement.

– J’ai dû essayer une fois, c’est pas mal en effet !

– Alors donne ton cul, ma grande, je vais te rentrer tout ça !

– Humm ! Je sens que ça va me plaire.

 

Elle se met en levrette dans une position aussi provocante qu’obscène. J’avoue être fasciné par son trou du cul qui me nargue, tout à l’heure il était trop près pour que je distingue, mais à présent je l’ai plein la vue !

 

Du coup je ne peux me retenir de le lui lécher, les boules attendront bien quelques secondes.

 

Ça y est j’introduis la première boule ! C’est curieux comme impression, on dirait vraiment que le trou du cul avale la boule

 

La deuxième, la troisième.

 

– Ça fait drôle, ça fait comme si j’avais envie de faire caca ! Me dit-elle dans un grand élan de poésie.

 

Je tire sur la petite ficelle d’un coup sec ! Yolande hurle comme une damnée.

 

– Wha ! tu peux recommencer ?

 

Ben voyons, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. Mais, bon, j’ai recommencé… Deux fois et à chaque fois elle a hurlé de plaisir. Maintenant elle me semble épuisée, mais parvient à quémander :

 

– Tu peux me pisser dessus ?

 

Ah, bon, comme ça ? Est-ce qu’au moins j’ai envie ? Pas trop, mais ça devrait pouvoir se faire.

 

J’emmène la miss dans la salle de bain, la fait se coucher sur le carrelage, elle rouspète que c’est froid. Bon O.K., ça me fera une serviette à laver, j’en prends une pour le confort de mademoiselle.

 

Flexion des genoux, ma chatte rencontre sa bouche.

 

– Attention, ça vient !

 

Et hop , ça coule ! L’autre se régale et s’en lèche les babines, je me recule ayant terminé ma miction et vient lui rouler un patin, je retrouve mon urine dans sa bouche, c’est vrai qu’elle a plutôt bon goût !

 

– Domme moi-ton cul ! Me demande-t-elle.

 

Je ne lui donne pas, je lui prête ! Elle me le lèche avec gourmandise.

 

– Hum ! j’aime le goût de ton cul ! me précise-t-elle.

– Si tu aimes régale-toi, je ne me suis pas essuyée à fond tout à l’heure.

 

Gros mensonge, mais j’avais envie de la provoquer.

 

– Hum ! C’est pour ça qu’il est si bon !

 

Tant mieux pour elle ! Chacun son truc.

 

Elle m’introduit un doigt mouillé dans mon trou marron, sans m’en demander la permission, faut surtout pas se gêner, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Mais je mentirais en disant que c’est désagréable, non c’est très bon et même que ça me provoque de ces frissons…

 

Elle retire son doigt, et se le fout dans la bouche, je vous dis, je suis tombée sur la reine des cochonnes.

 

– T’as pas honte de faire des cochonneries ? Plaisantais-je.

– Oh, si j’ai honte, j’ai beaucoup honte, me répond-t-elle sur le même ton. Tu vas me punir, dis ?

– Parfaitement, donne-moi ton cul que te le l’arranges.

 

J’adore son cul bien rebondi, je tape dessus avec la paume de mes mains, elle rougit vite et semble apprécier. Mais j’arrête assez vite, j’ai mal aux mains.

 

– Prend un objet !

 

O.K. je vais chercher une grande cuillère en bois dans la cuisine et je tape avec lui faisant pousser des « ho » et des « ha »

 

Je suis de nouveau excitée avec toutes ces bêtises, on a fini par se remettre en soixante-neuf, on se lèche la minouche, on s’enfonce les doigts dans le trou du cul. Nos langues et nos doigts se déchaînent, après cinq minutes à peine de ce petit manège, nous avons jouis presque ensemble.

 

Quand elle m’a confié qu’elle n’avait pas pris de chambre d’hôtel, mais qu’elle repartait je ne sais plus où dans la matinée, je lui ai évidemment proposé de dormir à la maison. C’est la moindre des politesses !

 

a suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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