Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:22

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 10 – Le retour des manuscrits par Chanette

StampFFH

La dernière fois que nous nous sommes retrouvés tous les trois, Anna faisait sa « jeune fille », aujourd’hui elle aurait plutôt l’esprit libidineux.

 

Et c’est vrai que ça a commencé au quart de tour. A peine arrivé Max demandait les toilettes.

 

– Pissez-moi donc dessus, mon cher Max !

– Ah, oui comme ça tout de suite ?

– Ça me dirait bien !

– On va se déshabiller, alors ?

– Ce serait mieux !

 

Anna se jette sur la bouche de Max et lui roule un patin d’enfer.

 

– Tu vas me pisser dessus et après je vais bien t’enculer avec mon gode.

– Hum ! j’en frétille d’avance !

 

Et nos deux rigolos se déshabillent à la vitesse grand V. je m’en voudrais de jouer les rabat-joie et je les imite.

 

Et tout le monde prend la direction de la salle de bain. Anna et moi, nous accroupissons dans le carré à douche. Max se concentre en fermant les yeux attendant que les vannes daignent s’ouvrir.

 

Et hop, c’est parti, son jet doré nous atterrit sur les seins et sur le visage. Son pipi est délicieux et comme monsieur avait une grosse envie, nous voici complètement douchées. Anna me tend ses lèvres, on s’embrasse, un gros patin au goût d’urine…

 

On se sèche sommairement et on file dans la chambre.

 

– Tournez-vous, Max, lui dit Anna, j’ai envie de vous !écher derrière.

 

L’homme tend son cul, Anna tend sa langue et lui titille le troufignon avec une énergie qui fait plaisir à voir.

 

Un moment, elle me passe le relais. Allons-y, cette rosette est bien agréable et finit pas s’entrouvrir sous mes assauts linguaux.

 

Du coup, je me mouille un doigt que j’introduis dans son conduit anal, je le fais aller et venir, provoquant des ondes de plaisir chez Max.

 

Anna arrive à la recousse avec son gode qu’elle a préparé, capote et gel.

 

Et tandis qu’elle le sodomise en cadence en ayant activé le vibrateur, je passe de l’autre côté et je lui embouche la bite.

 

Il bande comme un bout de bois et j’ai l’impression qu’à ce rythme-là pépère ne va pas tenir longtemps.

 

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Je ne sais pas ce qu’il m’arrive tout d’un coup, mais je suis excitée comme une puce, je suis en train de mouiller comme une éponge et je me régale de cette bonne bite.

 

Pourtant des bites j’en vois tous les jours, même s’il est rarissime que je les suce, dans le cadre de mon job, je m’entends, mais aujourd’hui… enfin ne cherchons pas à comprendre, on a que le plaisir qu’on se donne et se sentir chienne de temps en temps n’a jamais fait de mal à personne. Cette bite, je la veux dans mon cul, mais il ne faudrait pas qu’Anna me brule la politesse. Quoique tout cela reste gérable, enfin j’espère…

 

Je fais signe à Anna de faire une petite pause. Elle abandonne le cul de Max pour venir se blottir dans mes bras et me sucer les nichons. Je ne vais pas m’en plaindre, elle fait toujours ça très bien.

 

Max nous regarde, puis pose sa main sur mon cul, l’approche du sillon, se rapproche de mon anus. A tous les coups, il va me mettre un doigt. Eh, oui le voilà le doigt, il est rentré et il bouge. Ça me fait un bien fou, mais maintenant c’est sa bite que je veux.

 

Je fais signe à Anna de sortir les capotes. Du coup c’est elle qui encapuchonne la bite Max. Je me positionne prestement en levrette en faisant des effets de cul pour bien exciter le mâle. L’instant d’après son gland venait quémander l’entrée de mon petit trou. Un coup de rein, et hop, le voilà entré.

 

Je crois que j’ai déjà eu l’occasion de le dire, mais qu’est-ce qu’il encule bien, ce type, sans brutalité mais avec énergie. Je sens bientôt les spasmes du plaisir m’envahir, Max s’en rendant compte accélère un peu je jouis en beuglant dans un torrent de mouille,

 

Max décule, me laissant groggy, il change la capote et cela va être au tour d’Anna de se faire défoncer la rondelle. L’affaire ne traine pas, excités comme ils étaient tous les deux, ils jouissent pratiquement de conserve en moins de cinq minutes.

 

Moment calme, caresses softs et cigarettes.

 

– On fait un beau trio d’enculés ! commente Anna dans un grand élan romantique.

 

Vendredi 29 mars

 

– Vous savez, Honoré, je vous trouve très sympathique, j’ai l’autre jour refusé votre invitation au restaurant, parce qu’il est rare que je fasse ce genre de chose avec mes clients, mais si vous me renouvelez cette proposition, il est possible que je l’accepte !

– Ce sera avec grand plaisir ! Ce soir ?

– Pourquoi pas ! Mais que les choses soient bien claires, je ne veux pas vous mener en bateau, il s’agira uniquement d’une sortie amicale entre deux personnes qui s’estiment, mais rien d’autre.

– C’est bien comme ça que je voyais les choses.

– Alors, on s’attend à 19 heures à la sortie du métro Trinité !

 

Un coup de fil à Max afin que je ne commette aucun impair, puis je répète mon rôle devant la glace, je suis prête !

 

Honoré était à l’heure, évidemment ! Il me dit qu’il a réservé une table, je ne sais où, mais je crois deviner qu’il s’agit d’un genre de restau pour rupins avec table ronde, nappes blanches et une armée de larbins encombrants. Non merci ! Je lui dis que j’aurais préféré bouffer une brochette au Quartier Latin.

 

Pas chiant l’Honoré ! Il décommande son restau chicos et en avant pour les brochettes.

 

J’attends que la petite serveuse prenne les commandes, puis après quelques banalités, j’attaque en soignant mon sourire :

 

– Honoré, j’aimerais que vous me rendiez un petit service !

– On ne se tutoie plus ?

 

Une réaction plutôt encourageante !

 

– Si, avec grand plaisir ! Je précise de suite que ça ne te coûtera pas un centime, qu’il n’y a pas de piège et que c’est tout à fait innocent.

– Mais qu’est-ce donc ?

– Tu as eu quelques soucis récemment avec des manuscrits de Sacha Guitry…

– Quoi ? Mais comment tu peux savoir ça ?

– Je vais tout t’expliquer ! Sans que tu le soupçonnes, un détective privé s’est occupé de cette affaire…

– C’est moi qui l’ai engagé, il est nul !

– Eh non, ça ne doit pas être le même !

- Ah ?

– Je disais que l’affaire est bien plus compliquée que ce que ta femme a pu t’en dire, pour la bonne raison qu’elle ne sait pas tout non plus ! Tu ne manges pas ?

– Si, si, mais imagine ma surprise !

– Voilà ce qui s’est passé : Tu as acheté les manuscrits aux enchères, pour une raison inconnue ta femme te les pique et les revend à un libraire, celui-ci les dépose chez son frère qui est antiquaire, ce dernier ne trouve rien de mieux que de les placer en nantissement d’une dette chez mon amie Anna qui est galeriste.

– C’est incroyable !

– Surtout que ce n’est pas fini ! Anna se fait piquer les manuscrits, soupçonnant qu’il s’agit d’un recel, elle ne prévient pas la police mais fait appel à mon client détective. Il retrouve le voleur, mais trop tard, il a, et ce moment, ce n’est qu’une coïncidence, refilé le manuscrit au libraire d’origine, et sur ce ta femme vient le récupérer, pour une raison aussi obscure que celle qui l’a fait les déposer.

– Mais comment as-tu sus pour moi ?

– Le détective nous a raconté l’histoire il a cité ton prénom, je me suis dit que c’était peut-être toi !

– Le monde est petit !

– Minuscule !

– Et qu’attends-tu de moi ?

– Anna ne peut pas rendre les manuscrits à l’antiquaire !

– Qu’importe, puisqu’ils ne sont pas à lui !

– Mais sa dette ne sera pas remboursée !

– Je croyais qu’il ne serait pas question d’argent ?

– Je le confirme ! Voilà ce à quoi je pensais : Tu me prêtes les manuscrits, tu me diras leur valeur et je te ferais un chèque de banque en nantissement, Anna les refile à l’antiquaire, puis le détective les récupère et on te les rend, tu me restitues mon chèque et l’opération sera terminée.

– Et la récupération se fait comment ?

– Le plus simplement du monde, le détective se pointe chez le libraire, il lui fait croire qu’il s’agit du produit d’un recel et lui propose soit de les rendre et d’en rester là, soit de le donner aux flics.

– Hum ! Et j’ai quoi en échange de ce service ?

– Je sais pas, peut-être une séance gratuite ?

– Non, Chanette, je ne suis pas comme ça, je vais te rendre ce service gratuitement.

– T’es un amour ! Trinquons !

 

Ça va pour l’instant, ça a été très facile, j’espère qu’il ne va pas tiquer pour le reste.

 

– Il faudrait que tu me signes un papelard : « J’autorise Monsieur Max Minet à agir en mon nom afin de récupérer… Etc., etc ». Il me faudra aussi la photocopie de ta carte d’identité et du certificat d’achat !

– Que de paperasserie !

– Autant faire les choses bien !

– T’as raison, je te ressers un peu de vin ?

– Volontiers, il est fameux !

 

Vendredi 5 avril

 

Anna a donc « rendu » les manuscrits à Daniel Lamboley. Max le suit afin de savoir s’il va les déposer chez lui ou à son magasin.

 

Mais l’antiquaire prend un tout autre chemin et se pointe chez son frère, Jean-Pierre Lamboley, le libraire !

 

« Ça va être encore plus facile… Et plutôt amusant ! » se dit Max.

 

Daniel Lamboley n’en revient pas de voir revenir la cassette en marqueterie des mains de son frère. Mais la surprise est à son comble quand il découvre les manuscrits à l’intérieur !

 

– Non mais attends, ça sort d’où tout ça ?

– De mon magasin, pourquoi ?

– Les manuscrits aussi ?

– Ben oui !

– Ils leur seraient arrivés quelque chose d’imprévu, tu me le dirais ?

– Ben oui, pourquoi ?

– J’ai revendu exactement les mêmes à une bonne femme qui me les avait laissés en dépôt !

– Il y a peut-être deux exemplaires ?

– Comment ça ?

– Un authentique et un contrefait.

– Bien sûr, je suis idiot de ne pas y avoir pensé !

 

Daniel Lamboley quitte le magasin de son frère, Max attend cinq minutes pour y entrer.

 

– Monsieur ?

– Le monsieur il est mandaté pour récupérer des manuscrits qui ne vous appartiennent plus !

– Pardon ?

– Voilà la paperasse : le mandat, le certif, la carte d’identité du propriétaire.

– Mais c’est quoi ce cirque ?

– Des lettres d’amour, monsieur, des lettres d’amour ! C’est beau l’amour !

– Ce sont donc les originaux ? Balbutie Jean-Pierre Lamboley.

– Bon, vous me les rendez ? Insiste Max qui n’avait aucune de taper la discut.

– Mettez-vous à ma place… tente le libraire.

– Justement à votre place, sachant que vous les avez déjà revendus une fois, vous n’allez quand même pas espérer les revendre une seconde fois !

– Mais comment pouvez-vous savoir ?

– Réfléchissez, vous trouverez ! Bon, je suis un peu pressé, Monsieur Lamboley.

– Je suppose que je n’ai pas le choix !

– Vous supposez fort bien.

 

Samedi 6 avril

 

Et muni des manuscrits, Max se rendit à Gouley-le-château chez Monsieur le marquis.

 

C’est l’accorte Elodie qui vint lui ouvrir, provoquant chez Max une réaction que n’aurait pas renié le loup de Tex Avery.

 

– Je suis Max Minet et je viens rendre en mains propres des manuscrits qui lui appartiennent à Monsieur le Marquis. S’il n’est pas là, je repasserai…

– Monsieur le Marquis est là, suivez-moi, je vais vous annoncez.

 

Et Elodie le précéda en dodelinant du popotin.

 

Le marquis se pointa en blazer bleu marine et pantalon de flanelle, un foulard bleu logé dans la chemise en guise de cravate.

 

– Encore vous ?

– Oui, je vous dois une explication, je me suis présenté en tant qu’officier de police la dernière fois, c’était un subterfuge. En fait je suis le détective privé mandaté par madame d’Esde, je veux dire par Madame Chanette, je suis ici pour vous rapporter les manuscrits que vous nous avez gentiment confiés

 

Honoré prit les manuscrits et se livra à une petite vérification.

 

Il s’était en effet livré à un minuscule marquage au crayon de papier afin de s’assurer qu’on lui rendrait les originaux et non des falsifications.

 

Rassuré, il proposa un Cognac à son visiteur.

 

– Les gens ne boivent plus de Cognac, ils préfèrent le whisky, ça me désole !

 

Et quand Elodie fit le service, Max sentit à nouveau ses yeux s’écarquiller et ne parlons pas du reste.

 

– Elle est charmante, n’est-ce pas, c’est un sacré numéro, elle va malheureusement quitter mon service à la fin du mois, je la regretterais, efficace, compétente et peu farouche.

– Une perle, alors ?

– Comme vous dites ! Je suis contente de l’avoir, ma vie conjugale est un désert… alors…

– Je comprends !

– Cher monsieur, vous ne m’avez pas laissé le temps de vous remercier au nom de Madame… euh disons Madame Chanette et de son amie.

– Ah ! Chanette ! Quelle femme adorable ! Vous la connaissez bien, je suppose ? Demande Max uniquement par malice, car il savait la réponse.

– Disons que nous avons d’excellents rapports de complicité !

– Je vois ! Quand je vais la voir, elle me fait faire de ces choses ! Mais avec un tel savoir-faire ! C’en est divin !

– Des choses très coquines ?

– On peut le dire, pouvons-nous parler librement ? Je n’ai pas si souvent l’occasion d’échanger sur ce sujet,

– Mais je vous en prie cher monsieur. je vous écoute avec attention.

– Figurez-vous que l’autre fois il y avait deux messieurs dans son studio, Chanette les a obligés à se faire une fellation ! C’est dingue voir ça, c’était très excitant, et après ils se sont sodomisés. Rien que d’y penser j’en ai la trique. N’est-ce pas Elodie ?

 

Elodie pas gênée pour un sou porte alors la main à la braguette du marquis.

 

– Je confirme, monsieur le marquis est en pleine érection !

– Belle coquine, va ! Je poursuis donc : l’un des types a quitté les lieux, Chanette m’a alors demandé de sucer celui qui restait ! Humm, c’était bon.

– Vous êtes bisexuel ?

– Je ne sais pas ce que je suis, j’adore les femmes, mais j’aime bien les bites.

– J’avoue que je me trouve dans des dispositions identiques. Ça ne fait pas si longtemps d’ailleurs.

– Bienvenue au club, alors, voyez-vous j’aime sucer et me faire prendre. Mon domestique me rend ce service parfois, mais bon ce n’est pas pareil que chez Chanette, question d’ambiance, comprenez-vous. Ah, voulez-vous que je vous le présente ?

– Pourquoi pas !

– Je vais le faire venir ! Elodie allez donc me chercher Julien.

 

Max est bien conscient du traquenard, mais laisse venir, après tout cette Elodie est loin de lui déplaire, et si le marquis veut partouzer, il ne saurait jouer les rabat-joie.

 

A suivre

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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:19

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 9 – Orgie au donjon par Chanette

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La semaine suivante, Honoré me confirma sa venue, j’en profitais pour lui suggérer d’arriver une dizaine minutes en avance. Ce qu’il fit.

 

– Dépêche-toi de te déshabiller, je vais te montrer quelque chose qui va te plaire. En fait, il y a du monde, si tu le souhaites je te mets une cagoule.

 

Il accepte la cagoule, mais avant, il se fout à poil après m’avoir donné ma petite enveloppe, je lui passe un collier de chien muni d’une laisse, lui fixe des pinces sur ses tétons, lui ligature les couilles, lui envoie quelques claques et lui crache dessus pour faire bonne mesure et l’entraine dans le donjon.

 

Sur place, il découvre deux soumis non masqués, l’un deux est Nœud-pap l’autre est Didier Remiremont, un détective privé rencontré lors d’une de mes aventures rocambolesques, ces deux-là ont d’ailleurs eu l’occasion de se rencontrer (voir Chanette – 20 la clé)… Ils sont à genoux tous les deux, l’un à côté de l’autre. Je ne me livre évidemment à aucune présentation.

 

J’attache Honoré en lui clipsant les poignets à l’aide d’une double poulie descendant du plafond. Puis je m’approche des deux soumis, et leur tortille les tétons ce qui ne tarde pas à les faire joliment bander

 

– Alors, Honoré, qu’est que tu en penses de ces bites ?

– Elles sont belles !

– T’aimerais bien les sucer, hein ?

– Oui, maîtresse !

 

– Allez-y, les pédés faites ce que je vous ai demandé. Demandais-je à mes deux soumis.

 

Les deux hommes se levèrent et se positionnèrent face à face, Nœud-pap effectua une flexion des genoux et se retrouva le visage contre la bite de Didier. Et sans autre forme de procès se la mit en bouche.

 

– T’as vu ce qu’ils font ces deux pédales ? Ça t’excite, hein ?

– Oui, maîtresse !

 

Et étant donné l’état de sa bite, il ne mentait pas.

 

– Et attends, ce n’est pas fini, ils vont s’enculer devant nous !

 

Je me déplaçais pour recouvrir la queue de Didier d’une capote. Nœud-Pap se mit en levrette et écarta ses fesses offrant son trou du cul aux assauts de Didier.

 

– Regarde comme c’est beau, une bite qui rentre dans un cul !

– Oui, oui ! Répond Honoré, les yeux exorbités.

 

Et pendant qu’il regarde, je passe derrière lui et lui flanque quelques bons coups de martinet sur ses fesses.

 

C’est toujours curieux ces séances collectives, et puis ce n’est jamais pareil, il y a parfois de grands timides qui une fois le fantasme réalisé, ne savent plus où se foutre, se cache la queue et regarde partout s’il n’y a pas une lingette qui traine. Il y a ceux qui sont pressés de partir.

 

Aujourd’hui c’est différent, Nœud-Pap assume complètement son fantasme sans l’ombre d’une quelconque honte. Personne ne pourrait deviner cependant que ce commerçant en salles de bains, bien propre sur lui vient chaque semaine se faire faire des petites misères et quand l’occasion se présente jouer avec la bite d’un autre soumis !

 

Didier c’est différent, je le vois moins souvent, mais parfois ça lui prend, il est plein d’humour et parfois il vient accompagné de sa secrétaire, Tanya, une belle blackette peu farouche et à la peau de satin.

 

Les coups de boutoir de Didier se font de plus en plus rapides, il a maintenant le visage congestionné tandis que Nœud-Pap pousse de petits cris de satisfaction.

 

Et puis tout d’un coup, ça se termine, Didier en nage jouit dans le fondement de son partenaire, puis décule laissant l’anus de Nœud-Pap béant.

 

– Ça m’a fait du bien de t’enculer ! Commente Didier en embrasant Nœud-Pap dans un grand élan de tendresse.

 

Je me marre parce que Nœud-Pap n’est pas vraiment friand de ce genre de privauté.

 

Didier sort du donjon, je le raccompagne et on échange quelques mots.

 

Quand je reviens, Nœud-Pap s’est assis sur une chaise, et il attend la suite, comme beaucoup de mes soumis ses tendances bisexuelles sont prioritairement passives, mais il sait que pour recevoir il faut aussi parfois savoir donner.

 

Tout à l’heure Nœud-Pap enculera Honoré, mais il n’y a pas le feu, il a payé pour une heure, je vais lui en donner pour son argent..

 

Je le libère de ses liens et lui présente mes petites fesses.

 

– Allez, esclave, viens me lécher le trou du cul !

– Oui, maîtresse !

 

Il a une façon assez atypique de faire ça, il est en train de me chatouiller l’anus, ce con !

 

– Alors, il a quel goût mon cul ?

– Il est délicieux, maîtresse !

 

Ils disent tous la même chose, ça doit être vrai, il faudrait que j’y goûte, mais je ne suis pas assez souple !

 

Je me livre ensuite à quelques figures imposées, coups de martinet sur les fesses; pinces sur les tétons et évidemment histoire de lui donner un avant-gout de ce qu’il l’attend in fine, gode anal .

 

Le temps passe vite dans ce moment-là, je promène Honoré en laisse, l’amène devant Nœud-pap.

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– Allez, suce cette bite ! Elle est à toi !

 

Alors là, il n’en peut plus, on dirait un gosse à qui on vient de donner un gros rocher Suchard

 

Il gobe, il lèche, il suce, sa bite tendue comme un arc laisse perler quelques gouttes de pré jouissance. Quant à Nœud-pap il ferme les yeux, invoquant je ne sais quels fantasmes.

 

– Doucement les pédales, il ne s’agit pas de jouir trop vite ! Honoré, arrête de sucer, mets-toi en levrette et écarte bien ton gros cul.

 

J’encapote Nœud-pap, qui a toujours eu du mal à le faire lui-même, je remets du lubrifiant sur le cul d’Honoré… et c’est parti mon kiki.

 

Honoré a pris toute la queue de son partenaire dans le cul, il ânonne de plaisir, je fous des claques sur les fesses de Nœud-pap pour le stimuler. Honoré se touche le zizi, je l’en empêche.

 

Je pensais que ce petit divertissement durerait plusieurs minutes, mais en fait Nœud-pap s’excite tout seul, accélère, devient rouge comme une pivoine, accélère encore, jouit dans la capote et décule laissant l’anus d’Honoré béant.

 

Nœud-pap sort du donjon pour aller se rhabiller. J’ordonne à Honoré de se coucher par terre.

 

– Je vais te pisser dessus, tu as le droit de te branler pendant ce temps-là.

 

J’ouvrais les vannes et visait sa bouche, il avala mon urine comme un glouton tandis que sa main branlait sa queue. Il finit par jouir dans râle.

 

– Merci maîtresse !

– C’était exceptionnel, je n’aurais pas trois soumis à chaque fois… mais de temps en temps… Bon tu veux prendre une douche ?

 

Bref, j’avais fidélisé ce bonhomme qui n’était pas trop chiant et qui payait bien.

 

Retour au samedi 23

 

Le soir, Max rend compte à Anna :

 

– Ça se complique ! J’ai récupéré la cassette avec le caillou qui, entre parenthèse est en zirconium, mais en ce qui concerne les manuscrits, ils sont retournés chez leur propriétaire légal !

– Comment ça ?

 

Il lui explique ce qu’il a appris.

 

– Donc je ne peux pas les restituer à Lamboley ! Commente Anna

– Je ne vois pas comment ?

– Bon, je te remercie, Max, je vais me débrouiller

– Ce Lamboley, si tu te fâches avec lui, c’est grave ?

– J’aimerais mieux éviter, c’est un gros client, il connaît plein de monde et il est assez influent dans le marché de l’art !

– Tu vas faire quoi ?

– Je vais payer de ma poche ! Que faire d’autre ?

– Je ne me vois pas, les piquer chez la marquise, ça ne les priverait pas beaucoup, mais ça me parait vraiment trop compliqué ! Mais je vais quand même enquêter du côté de ce Lamboley, donne-moi son adresse.

 

Mardi 26 mars

 

Max est retourné chez son patron le dimanche et le lundi et lui a tout expliqué et indiqué qu’il reviendrait à Paris le mardi afin de tenter de finaliser l’affaire.

 

Sans plan précis mais comptant sur son sens de l’improvisation Max se rendit à « La Balustrade » le magasin d’antiquités de Jean-Pierre Lamboley

 

– On m’a dit que vous vendiez des manuscrits…

– Ah, non, vous confondez, les gens se trompent souvent, c’est à cause d’Internet, c’est mon frère Daniel qui vend des manuscrits, je vais vous donner sa carte !

 

Il n’en revient pas, Max ! Et il s’en va s’assoir dans un bistrot afin de réfléchir un peu.

 

« Rue de Vaugirard ! Ce mec est le frère du libraire, mais qu’est-ce qu’ils fabriquent tous les deux ? N’empêche qu’on peut désormais reconstituer le circuit : le libraire confie les manuscrits à son frère qui les refile à Anna à titre de gage, laquelle se les fait piquer deux fois par Francis Larive qui les revend au libraire lequel les restitue à la marquise ! Quelle salade ! Cela dit je ne suis pas plus avancé, Anna devra mettre de sa poche ! »

 

La mission de Max étant terminée, celui-ci fut invité au restaurant par Anna qui sachant pertinemment comment ça risquait de se terminer, m’invita également.

 

La conversation allait bon train et Max se faisait un plaisir de narrer ses pérégrinations en les enjolivant volontiers

 

– Des châtelains de caricature ! Marie-Josèphe et Honoré de la Villandière ! On n’a pas idée de s’appeler comme ça !

– Pourquoi pas ? Balzac s’appelait bien Honoré ! Répondis-je histoire de sortir ma science.

– C’est vrai, mais n’empêche que c’est démodé.

– Pas si, sûr, j’ai un client qui s’appelle comme ça !

– Tu ne vois pas que ce soit le même ?

– Qui sait ?

– Il est comment ton client ! Demande Max, décidément bien curieux.

– Très correct, pourquoi ?

– Je veux dire : il ressemble à quoi ? Il est comment ?

– Genre aristo.

– Il n’aurait pas une grosse verrue au milieu du front par hasard ?

– Si !

 

Max exulte :

 

– Putain, c’est le même ! C’est quoi tes relations avec lui ?

– Correctes, sympas, mais ça reste très professionnel.

– Ça ne va plus loin ?

– Je ne cherche pas à ce que ça aille plus loin !

– Et lui ?

– Lui, il ne dirait pas non, il a voulu me payer le restau, j’ai refusé, par principe.

 

Deux mots d’explications à ce propos : si j’apprécie comme il se doit de manger à une bonne table, m’y rendre avec un parfait inconnu qui ne partage pas obligatoirement mes opinions et mes centres d’intérêt est pour moi une véritable corvée, alors je zappe.

 

– Eventuellement, tu pourrais le manipuler ?

– Sauf que je ne manipule pas les gens qui ne m’ont rien fait !

– Même si ton client ne subirait aucun dommage ?

– Comment ça ?

 

Et Max expliqua son plan, un machin assez tordu.

 

Si la seconde partie du plan me semble « gonflée », la première qui me concerne directement m’apparaît parfaitement jouable et même amusante. Et puis je peux bien faire ça pour Anna.

 

Evidemment ce qui devait arriver arriva, Anna nous proposa le traditionnel « dernier verre » chez elle

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:16

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 8 – La soumission d’Honoré par Chanette

Chanette

Ce même vendredi 22 mars

 

Le matin, à l’ouverture du magasin de cycles « La petite reine », Max le dur se rendit sur place sans s’encombrer de procédure :

 

– Francis Larive ?

– C’est bien moi !

– Ecoute pépère, tu es en possession d’une cassette qui ne t’appartient pas, alors tu me la rends gentiment, sinon, je m’énerve !

– Mais attendez, vous vous vous trompez de personne…

– Bon, c’est le denier avertissement, après je cogne !

– On peut peut-être s’expliquer… improvisa Larive sans trop savoir ce qu’il allait raconter.

 

Le poing de Max lui atterrit dans le ventre et le fit se plier en deux.

 

– Salaud !

– Alors cette cassette ?

– Elle ne vaut rien, le bijou est faux !

– Je continue de taper ou quoi ?

– Elle est chez moi !

– Alors on va aller la chercher !

– C’est que j’attends mon employé !

– On s’en fout, amène-toi !

 

Francis Larive ferma le rideau de fer du magasin et sortit avec Max, peu rassuré sur la suite des événements.

 

« Je lui dis ou je ne lui dis pas ? »

 

Prévoyant des complications, il préféra parler.

 

– Il y avait des trucs dedans que j’ai déjà vendu ?

– V’la autre chose ! A qui ?

– Un bijoutier et un libraire !

– Et bien, on va aller leur dire bonjour, ça nous fera une balade !

 

La récupération du bijou s’effectua sans problème, Max apprit cependant que celui-ci était en zirconium. En revanche chez le libraire :

 

– Ces manuscrits ont été repris par la personne qui me les avait confiés. Je commence en avoir marre de ces machins qui vont et qui viennent…

– Pardon ?

– Je suis en règle, si vous soupçonnez quoi que ce soit, voyez avec la police, moi je n’ai rien à me reprocher. Ça provient d’une vente aux enchères mais j’ignore si…

– Oui, bon, t’as l’identité de la personne !

– C’est confidentiel !

– Tu veux que je m’énerve ?

 

Et muni de l’identité de Marie-Josèphe, ils quittèrent le libraire et partirent récupérer la cassette quasiment vide.

– Et que je ne te retrouve pas dans mes pattes, connard !

 

« Ça se complique ! » se dit Max une fois seul.

 

En guise de coordonnées, Lamboley lui a uniquement communiqué le nom et le numéro de carte bancaire de sa cliente.

 

Un coup de fil à son patron et il obtient l’adresse de cette Marie-Josèphe de la Villandière à Gouley-le-Château, dans les Yvelines.

 

« Evidemment ça ne prouve rien, il peut y avoir usurpation d’identité, fausse carte… Et de toute façon il faut que je sache le fin mot de l’histoire, on va y aller au flan ! »

 

Samedi 23 mars

 

Max possède une petite collection de fausses cartes dont une d’inspecteur de la police judiciaire.

 

Il l’exhibe à l’entrée du château et demande à voir Marie-Josèphe.

 

– C’est à quel sujet ? Demande Honoré en voyant débarquer Max dans son salon.

– Police ! Je viens juste recueillir le témoignage de Madame, ne vous inquiétez pas, elle n’a rien fait de mal. Néanmoins il s’agit d’un entretien privé.

– Autrement dit, il faut que je dégage, vous avez un mandat je suppose ?

– Il n’est pas nécessaire d’avoir un mandat pour un simple témoignage…

– Certes, mais m’ordonner de quitter les lieux, n’est-ce pas un peu cavalier ?

– Je peux faire autrement, je demande au juge d’instruction un mandat d’amener et j’embarque Madame ! Vous préférez ?

– Pfff ! Proféra le marquis en quittant les lieux.

 

Et sur ce la marquise descendit peu rassurée par cette visite inattendue.

 

– Que se passe-t-il ?

– Ne craignez rien, simple enquête de routine…

– C’est mon mari ?

– Mais non…

– Les domestiques ?

– Laissez-moi en placer une, vous serez gentille. Il y en a juste pour cinq minutes, nous allons sortir et bavarder dans le jardin, cela évitera les oreilles indiscrètes.

 

Dans la grande allée bordée de rosiers méticuleusement entretenus, Max aborda le sujet :

 

– Vous avez acquit une collection de manuscrits écrits de la main de Sacha Guitry.

– Ils appartiennent à mon mari !

– Laissez-moi terminer, je vous en prie, il est possible que ces lettres soient le produit d’un recel…

– Mais c’est quoi cette histoire ? C’est le libraire qui se prend pour un redresseur de tort ?

– Calmez-vous madame, s’il vous plaît !

– Non, je ne me calme pas, mon mari les a achetés aux enchères à Drouot.

– Et vous avez le certificat de vente ?

– Vous lui demanderez, je ne fouille pas dans ses affaires !

– D’accord ! Le libraire m’a affirmé que vous les lui aviez vendus dans un premier temps pour les racheter ensuite, est-ce exact ?

– Et il est où le problème ? Ces trucs sont à moi, j’en fais ce que je veux !

– Vous êtes sûre qu’ils ne sont pas à votre mari plutôt ?

– Oui ! Bon ! Si c’est lui qui a porté plainte, je veux bien continuer à vous répondre sinon je me tais.

– Alors restons-en là !

 

Max ne demanda pas le certificat de vente, mais demanda à son patron de vérifier auprès de Drouot l’authenticité de la transaction.

 

Nous avons assez peu parlé de moi jusqu’ici, cela va venir à présent.

 

Petits flashbacks

 

Pendant toute cette période pendant laquelle le marquis soupçonnait ses domestiques, il cessa toute activité sexuelle avec eux. On ne baise pas avec ses voleurs, que diable ! Il fut longtemps client, avons-nous dit, d’une Karita, une domina qui lui donnait toute satisfaction et qui lui permettait d’assouvir ses fantasmes préférés et secrets.

 

Oui mais voilà, Karita avait quitté le job. Honoré chercha donc une autre dominatrice et le lecteur devinera aisément qu’il tomba sur ma modeste personne !

 

Il est amusant ce type, pas timide, ni honteux comme certains, un peu hautain sans qu’il soit désagréable, il me regarde sans aucune gêne.

 

– Comme tu t’appelles ?

– Honoré !

– Et qu’est ce qui te ferais plaisir ?

 

J’aurais pu lui faire renseigner mon petit questionnaire mais j’ai oublié d’en imprimer.

 

– Une domination sans exagération, un peu de martinet, des pinces, j’aime bien les godes aussi.

– T’aimes bien faire l’esclave ? T’aimes qu’on insulte ?

– Modérément !

 

Chanette26HUn esclave modéré ! Ce doit être un nouveau concept !

 

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?

– Non, j’avais une maîtresse régulière, mais apparemment, elle n’exerce plus.

– Tu veux me dire qui c’est, je la connais peut-être.

– Karita, près de l’Opéra.

 

Il me raconte que depuis il a essayé plusieurs dominas, mais qu’il a été déçu… Autrement dit, si je veux le fidéliser, il faut que je me surpasse, mais j’ai confiance, la façon dont il me regarde me semble un bon présage.

 

– Bon, passons aux choses sérieuses, tu me donnes un peu de sous et tu te fous à poil.

 

Il me tend une enveloppe.

 

– Excuse-moi de vérifier, mais on ne se connait pas.

 

Il me fait un sourire idiot, ça va, il est généreux ! Je vais le gâter pépère !

 

A poil il est quelconque, avec une bite quelconque, il a cependant des tétons assez développés.

 

Je commence par lui mettre un collier de chien autour du cou, un joli collier tout rose, marqué « Médor » auquel est attachée une laisse et l’emmène dans le donjon.

 

Je me place devant lui, me passe vicieusement la langue sur mes lèvres, puis lui attrape ses bouts de seins que je pince et que je tortille. L’effet est immédiat, le mec bande comme un sapeur.

 

– T’aimes ça, hein, salope ?

– Oui, je suis une salope !

 

O.K. s’il aime les noms d’oiseaux, il va être servi

 

– Je vais te mettre des pinces, ça va te faire encore plus mal !

– Oui, maîtresse !

 

J’accroche une pince à droite, une autre à gauche, il serre les dents mais supporte.

 

– Je ne t’ai pas autorisé à faire la grimace !

– Pardon, maîtresse !

 

Je le gifle, pas trop fort, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse, je n’aurais peut-être pas dû, tout le monde n’aime pas ça !

 

– Merci maîtresse !

 

– Ouvre ta bouche ! Tu sais ce qui va t’arriver, poufiasse ?

– Vous allez me cracher dessus, maîtresse !

– Bonne réponse !

 

Je le fis, et en même temps je tirais sur les pinces, lui provoquant des soupirs où la douleur se mélangeait au plaisir. Après quelques minutes de torture des seins, je décidais de passer à autre chose, à l’aide d’un long lacet je lui attachais ses grosses couilles et lui demandais de se tourner afin qu’il me présente son cul.

 

– On t’a déjà dit que tu avais un cul de pédale ?

 

Phrase bateau, je dis ça à tout le monde !

 

– Oui, maîtresse ?

– Et c’était qui ?

– Maîtresse Karita.

 

Je n’ai pas pris le martinet, mais une badine, il ne faut pas toujours faire la même chose, et je commence à lui rougir les fesses Premier coup modéré comme je le fais habituellement, le second un plus fort, le troisième encore plus fort. J’augmente encore l’intensité pour le quatrième. Petit cri du soumis, j’ai trouvé la bonne frappe et continue ainsi sans compter, mais il s’est bien ramassé une bonne vingtaine de coups.

 

Je le fais de nouveau se retourner, il bande décidemment très bien, je rejoue un petit peu avec les pinces, il affiche un sourire ravi.

 

Avec la laisse, je le tire vers le cheval d’arçon et fais s’arcbouter dessus.

 

– Tu sais ce qu’il va t’arriver, esclave ?

– Heuh ?

 

Il manque d’imagination, pépère, mais quand il me voit m’harnacher avec le gode ceinture, il comprend mieux.

 

– Vous aller m’enculer, maîtresse !

– T’es très perspicace, toi ! Mais avant, tu vas me sucer ce gode.

 

Il ne se fait pas prier et prend manifestement grand plaisir à sucer cette bite en plastique.

 

– Dis donc, toi, on dirait que t’aimes ça, sucer de la bite ?

– Oui, maîtresse !

– Tu en as déjà sucé des vraies ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu t’es déjà fait enculer, aussi ?

– Oui, maîtresse !

– Tu aimes ça ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu n’as pas honte ?

– Non, maîtresse !

– Tu sais parfois, je garde dans mon donjon des mecs qui aiment la bite, je les fais se sucer, s’enculer…

– Ça doit être génial !

– On en reparle après, pour le moment je vais t’enculer avec le gode.

 

J’en possède de plusieurs tailles, j’avais choisi un moyen, je le recouvre d’une capote, je le tartine d’un peu de gel, lui écarte les fesses. Et, hop, ça s’enfonce dans le trou du cul ! J’active le vibrateur et le pilonne en cadence. Et c’est qu’il apprécie. Après quelques minutes de ce traitement, je me retire lui laissant le trou du cul béant.

 

Je vais pour ranger mon joujou, mais Honoré le regarde d’un air bizarre. Je crois deviner ce qu’il veut, sans en être trop sûr. Je tente le coup.

 

– Suce moi encore ce gode !

– Je ne sais pas !

– Arrête de faire ta jeune fille, tu en meurs d’envie.

– Je ne sais pas, maîtresse !

– Tu es une petite salope ?

– Oui !

– Non dis-le !

– Je suis une petite salope !

– Et les petites salopes, elles lèchent les godes et les doigts qui sortent de leur cul, alors tu vas faire pareil.

 

Le gode n’est pas trop pollué, mais bon, il sort d’un cul tout de même, il y a quelques traces douteuses et il y a l’odeur. Qu’à cela ne tienne, le bonhomme suce et il a l’air de se régaler.

 

– T’aime ça lécher un gode plein de merde, hein, esclave ?

– Oui, mais j’ai peu honte, je ne dois pas être tout à fait normal.

– Comment ça, t’es pas normal ? Ça ne fait de mal à personne ! Si tu veux un jour on pourra aller plus loin, tu aimerais me regarder en train de chier ?

– Oui, maîtresse.

– Et tu me serviras de papier à cul !

– Pourquoi pas, maîtresse !

 

Le mec est à fond dans ses fantasmes et il bande comme un cerf. N’empêche que je viens peut-être de faire une connerie en lui promettant des choses que je ne pourrais peut-être pas tenir. Je m’explique, j’ai assez peu de clients scatos, même si certains manifestent des tendances. Le souci c’est que contrairement à l’uro qui ne me pose aucun problème parce que je suis une bonne pisseuse, le caca sur commande, je ne sais pas faire.

 

– Bon allonge-toi, je vais te donner à boire !

– Oh merci, maîtresse.

 

Je me suis accroupie, chatte contre bouche et j’ai ouvert les vannes du pipi, il a fait comme les autres il en a bu pas mal, le reste dégoulinant à côté. Du coup il va me demander une douche, je ne vais pas lui refuser, si je veux le fidéliser…

 

Mais avant, je vais lui ne foutre plein la vue, le mec il va repartir avec une belle image !

 

– Maintenant il faut finir, je vais te montrer mes seins, tu vas te branler en les regardant et en guise de cadeau de bienvenue tu as même le droit de m’asperger.

 

Je lui montre mes nénés, il a l’air d’apprécier, je suis sûre qu’il aimerait les caresser, mais faut peut-être pas charrier non plus, ce n’est pas Noël !

 

Il s’est astiqué la bite avec une frénésie qui faisait plaisir à voir. Je me suis essuyée avec du Sopalin, merci monsieur Sopalin

 

En revenant de sa mini douche, le client était tellement content de ma prestation qu’il me demanda si je pouvais organiser un petit trio bisex la fois suivante. Opération fidélisation, réussie !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:13

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 7 – Les chaleurs de madame la marquise par Chanette

Stamp Mature Sodo

 

Au château

 

Mais avant de voir Max à l’œuvre, retournons au château du marquis de la Villandière, parce qu’on ne vous a pas encore tout dit.

 

Cela fut d’abord rare, mais ça arrivait ! Parfois la marquise Marie-Josèphe de la Villandière ressentait d’étranges et agréables frétillements au niveau de son entrejambe. Une réaction purement physiologique puisque portée par aucun fantasme. Elle comprit, mais un peu tard, car Madame était dure à la détente que sa main pouvait la calmer.

 

Alors, elle avait honte, mais honte, à ce point qu’elle n’osait même pas en parler à son confesseur. C’est dire !

 

L’arrivée au château des deux jeunes domestiques changea étonnamment la donne. Si Marie-Josèphe ne pouvait pas encadrer Elodie et ne se privait pas de le lui faire sentir, avec Julien, ce fut tout différent : Elle le trouvait beau, très beau et même bien plus beau que son époux. A ce point que les traits de son visage se mirent à hanter ses nuits.

 

Et ce qui devait arriver arriva, bientôt ses excitations se lièrent à l’image de Julien.

 

La situation devenait compliquée et la marquise se dit d’abord que ce jeune homme devait être l’envoyé d’un démon tentateur et que la bonne solution serait d’intercéder auprès de son époux afin qu’il le renvoie.

 

Seulement, voilà, Julien était un modèle de gentillesse, un peu rustre parfois, mais vraiment gentil, leurs rapports étaient empreints de grande courtoisie et ne souffrait d’aucune ambiguïté.

 

Et le soir Marie-Josèphe fantasmait à fond les manettes.

 

Cette obsession devint au fil des jours de plus en plus envahissante, à ce point que la marquise envisageait désormais de coucher avec Julien !

 

Carrément !

 

Il y avait cependant deux obstacles :

 

Le premier était d’ordre religieux mais elle le balaya :

 

« J’ai, toujours eu une vie de dévotion, Dieu peut bien me pardonner un écart ! D’ailleurs si on a inventé la confession et l’absolution, ce n’est pas pour les chiens ! »

 

Il lui apparaissait d’ailleurs que le péché de fornication hors mariage était moins honteux à confesser que ses turpitudes masturbatoires.

 

Le deuxième obstacle était physique. Il n’était pas évident que Julien soit tenté de coucher avec une femme aux allures de dame patronnesse. Il lui fallait donc changer de look. Elle acheta par correspondance une nuisette quasi-transparente.

 

Quand elle la reçut, elle s’empressa de l’essayer et fut satisfaite du résultat :

 

– Ma poitrine n’est pas si mal ! Qu’est-ce que je pourrais faire d’autre ? Ah, mes cheveux !

 

– Elle défit son chignon de punaise de sacristie et laissa retomber sa chevelure sur ses frères épaules.

 

– Bon, je ne suis pas Miss Monde, mais je ne peux pas faire mieux. Une perruque peut-être , une perruque blonde. Elle en acheta une par correspondance. C’est trop pratique Internet !

 

Restait à franchir le pas. De temps en temps Marie-Josèphe buvait un petit coup, un acte qui n’est pas condamné par les saintes écritures, loin de là, puisque Jésus a même changé de l’eau en vin, c’est pas Mahomet qui aurait fait ça ! !

 

Elle but un petit coup afin de se donner du courage, retira sa culotte et sonna Julien :

 

– Voulez-vous m’attraper ce carton en haut de l’armoire, je ne sais plus ce qu’il y a dedans et je n’arrive pas à le prendre !

– Bien, madame la marquise ! Répond Julien complètement ahuri de voir sa patronne dans cet accoutrement.

– Vous n’avez pas l’habitude de me trouver dans cette tenue ! Je cache bien mon jeu, n’est-ce pas ?

– Madame la marquise est…

 

Julien bafouille et ne trouve pas ses mots.

 

– Qu’alliez-vous dire, Julien ?

– Excusez-moi, vous êtes très troublante madame !

– Si je vous fais envie, ne vous gênez surtout pas, je suis à votre disposition et cela restera entre nous !

 

Cette phrase, elle l’avait répété, dix, vingt fois, se demandant si elle oserait la prononcer devant Julien. Elle s’étonne qu’en l’instant, ce fut si facile.

 

Je peux toucher vos seins, Madame la Marquise ?

 

Marie-Josèphe qui n’avait pas envisagé les choses de cette façon dans son fantasme, fit mine de ne pas avoir entendue la question et s’allongea de tout son long sur le lit, puis écarta les cuisses en disant :

 

– Viens me prendre, viens me baiser !

 

Il n’entre pas dans les intentions de Julien de pratiquer de la sorte, d’une part il aime bien les préliminaires et d’autre part, il n’a pas de capotes et ignore si la femme en possède à portée de mains. N’empêche qu’en se couchant à ses côtés, il peut avoir accès à ses seins… Il les dégage de la nuisette et vient les embrasser

 

Marie-Josèphe considère ce que fait Julien comme un contre temps, Mais elle ne dit rien. Après tout elle ne connaît rien aux choses de l’amour, alors que le jeune homme semble avoir de l’expérience, elle le laisse donc prendre la direction des opérations.

 

Elle ne tarde pas à ressentir des ondes agréables et s’abandonne aux caresses de son partenaire dont la main est maintenant descendue vers sa chatte qui commence à s’humidifier.

 

Il la doigte quelques instants, mais ce n’est pas trop son truc à Julien. Le voilà qui opère un mouvement de reptation afin d’amener sa bite à la hauteur du visage de la bourgeoise.

 

Celle-ci ne comprend pas, et Julien ne comprend pas qu’elle ne comprenne pas.

 

– Vous ne sucez peut-être pas ?

 

Marie-Josèphe est complètement larguée, rien ne se passe comme prévu.

 

– Je ne comprends pas ! Finit-elle par bredouiller.

– Si vous ne sucez pas, ce n’est pas grave ! Vous voulez que je vous baise tout de suite ?

– Oui ! Répond timidement la femme.

– Vous avez des capotes ?

– Non ! Laissez tomber, j’ai eu un coup de folie.

 

Julien fait semblant de ne pas avoir entendu la réplique et s’en va chercher des préservatifs qu’il sait trouver dans l’armoire à pharmacie de monsieur le marquis.

 

Quand il revient, Marie-Josèphe s’est passé une robe de chambre. Julien analyse brièvement la situation, la femme s’est vite fait dépasser par les évènements, c’est à lui maintenant d’essayer de rattraper le coup. Non pas par bonté d’âme, mais d’une part la perspective de baiser la marquise lui plait bien, et puis, il se rend compte que s’il devenait son amant régulier, il pourrait en retirer des avantages substantiels

 

– Il ne s’est rien passé, je compte sur votre discrétion. Proclame la femme drapée dans sa dignité.

– Je saurais être discret, mais si je peux me permettre, il ne faut jamais rester sur un échec, pourquoi ne me feriez-vous pas confiance ?

– On n’en parle plus ! Conclut-elle d’un ton ferme.

 

Julien n’insista pas, mais le lendemain, Marie-Josèphe de nouveau en nuisette lui tint un tout autre discours.

 

– J’ai réfléchi, je crois que vous avez raison. Mais il vous faut savoir une chose : Pendant très longtemps, les choses du sexe m’ont indifférées, et mon mari ne m’a couvert qu’une seule fois. Et puis ça m’a pris un jour sans que je sache pourquoi, des images se formaient dans ma tête, je me suis un peu caressée, et puis je me suis dit : pourquoi pas ? Mais vous avez bien vu que je n’y connaissais rien ! Donc vous allez me déniaiser, vous êtes d’accord ?

– Oui, madame la marquise ! Oserais-je vous proposez de visionner un petit film un peu porno afin de voir comment ça se passe ?

– Me faire regarder du porno, mais vous n’y pensez pas, jeune homme ! Le porno c’est dégradant.

– Non pas forcément, mais je suggérais ça, juste comme ça ! Sinon il doit exister des vidéos d’éducation sexuelle…

– Je n’aime pas le cinéma, l’éducateur ce sera vous.

 

Julien suggéra alors à sa partenaire de se mettre nue et il en fit autant.

 

– On va commencer par se caresser ! Lui dit-il.

 

Alors évidemment il lui caressa les seins, tandis que Marie-Josèphe ne sachant que faire de ces mains lui caressait le torse sans y trouver de l’intérêt.

 

– Touchez moi la bite ! Lui suggéra Julien.

– Les mots vulgaires ne sont peut-être pas, nécessaires !

 

Julien fut à deux doigts de l’envoyer promener.

 

– Ecoutez, je parle comme tout le monde, dans ces moments-là. On ne parle pas de la même façon quand on baise et quand on va chez le gynéco !

– Admettons ! Concéda la femme se voulant conciliante

– Allez, touchez !

 

Et c’est ainsi que la Marquise de la Villandière toucha sa première bite à l’aube de la cinquantaine.

 

– C’est comment ?

– C’est doux !

– Branlez-moi un peu !

– Pardon ?

– Vous faites comme ça ! Répond Julien en joignant le geste à la parole.

– Je ne comprends pas.

– Les hommes aiment ça ! il y a des choses que les hommes aiment qu’on leur fasse et il y a des choses que les femmes aiment qu’on leur fasse, et puis il y a des choses que les hommes et les femmes aiment bien faire ensemble !

 

« Mais où est-ce que je vais chercher tout ça, moi ? »

 

– Comme ceci ?

– C’est presque ça, posez mieux vos doigts, voilà, vous voyez ce n’est pas bien difficile. Et maintenant posez vos lèvres sur le gland.

– Le gland ?

– Oui le bout de la bite, ça s’appelle un gland.

– Comme si je faisais un bisou ?

– C’est ça !

– Comme ceci ?

– Oui, maintenant recommencez, restez plus longtemps et sortez votre langue pour lécher un peu.

– Mon dieu !

– Respirez un bon coup et faites-le !

 

Elle le fait, puis quand Julien lui demande d’ouvrir la bouche et d’y faire pénétrer son membre, elle ne cherche plus à comprendre et fait ce qu’on lui dit.

 

– Léchez bien et attention de ne pas vous servir de vos dents !

 

Pas terrible la pipe, normal, c’était sa première et elle était donc perfectible.

 

Julien voulu ensuite finaliser cette petite séance et s’en alla chercher la capote qu’il avait pris soin de glisser dans la poche de son pantalon. Mais au dernier moment il se ravisa, s’il voulait qu’une liaison naisse de cette aventure il fallait que Madame jouisse, or il n’était pas certain qu’elle le fasse en se faisant pénétrer.

 

Alors, Julien, lui qui n’était pas un fanatique du cunnilingus, se dit qu’il lui faudrait passer par là !

 

– Mais… protesta mollement la marquise quand Julien vint prendre position entre ses cuisses.

– Continuez de me faire confiance, tout ira bien.

 

L’endroit était mouillé, pas d’abondance mais il n’était pas sec et cela rassura Julien qui après avoir léché ses sucs intimes, s’attaqua au clitoris qui ne tarda pas à pointer malicieusement. Quelques coups de langues en eurent raison. Et voilà que Madame la marquise est soudain saisie de spasmes, elle crie, le plaisir l’envahit, elle se raidit, puis retombe comme une chiffe molle, se demandant ce qui lui arrive.

 

Alors Julien s’encapote et la pénètre avec une frénésie bestiale et finit par jouir à son tour assez rapidement.

Chaentte26G

Il se retire rapidement, la marquise à les yeux vitreux, réalisant que son caprice est fini. Alors Julien pris d’un grand élan de tendresse vient lui quémander ses lèvres.

 

Elle se laisse faire avec une maladresse presque risible.

 

– Madame la marquise a-t-elle encore besoin de mes services ?

– Non, merci Julien, ou plutôt si allez me chercher un jus d’orange.

 

Elle se demanda alors si ce qu’elle venait de faire était bien raisonnable. Elle se dit que la réponse ne pouvait être que non, elle était devenue une truie, se vautrant dans le stupre. Puis les heures passant, son jugement devint plus modéré. Elle n’avait fait de mal à personne et ce Julien s’était montré très correct, mais c’était néanmoins de l’adultère et donc un péché. Un peu plus tard, son attitude évolua encore :

 

« Je ne suis pas une sainte, dans ma vie j’ai fait de bonnes actions, pourquoi irait-on me condamner pour ça ? Et si on me condamne je m’en tirerais avec quelques semaines de purgatoire ! Non mais dès fois ! »

 

Et le lendemain, elle sonna Julien et le pria de la baiser comme la veille.

 

Le domestique s’attendait à cette requête, se prenant pour un Pygmalion, il se donna pour mission de parfaire l’éducation sexuelle de la marquise. Après tout c’est un challenge comme un autre !

 

Marie-Josèphe disait ne pas aimer le porno, mais elle n’en avait jamais vu, il allait donc lui en montrer. Il avait repéré dans la bibliothèque du marquis, tout en haut, mais vraiment tout en haut quelques revues pornos danoises comme on en trouvait en sex-shop dans les années 70-80, bien avant qu’Internet prenne le relais. Il en choisit une, très classique, où l’on voyait évoluer un trio, deux femmes et un homme, évidemment les deux femmes se gouinaient, et le monsieur terminait le trip dans l’anus de l’une des deux filles.

 

Marie-Josèphe attendait son amant en nuisette

 

– J’ai trouvé ça, ça peut être instructif ! Lui dit ce dernier en lui tendant la revue.

– Mais vous êtes malade, je n’ai pas besoin de ces horreurs.

– Ce ne sont pas des horreurs, ce sont des gens qui se donnent du plaisir ! Tenta d’argumenter Julien.

– Remballez-moi ça ! Vous me décevez Julien, laissez-moi, s’il vous plaît.

 

Péteux d’avoir apparemment gaffé, Julien s’en alla sans demander son reste, mais oublia de reprendre sa revue.

 

Marie-Josèphe vit bien qu’il n’avait pas repris le magazine, mais sans doute guidée par son inconscient, n’en dit rien, et attendit que la porte soit refermé pour y jeter un timide coup d’œil.

 

« Des femmes entre-elles ! N’importe quoi ! Quelle décadence ! » S’emporta-t-elle retrouvant ses accents de dame patronnesse.

 

Elle feuilleta nerveusement les pages et tomba sur une photo où l’une des filles se faisait sodomiser

 

« Ce n’est pas possible, comment peut-on faire des choses pareilles ? »

 

Elle balança la revue dans une corbeille à papier et se dirigea vers le dressing d’où elle sortit quelques vêtements afin de s’habiller.

 

Inexplicablement, elle se sentait excitée, elle mit sa main à sa chatte qui mouillait.

 

« Bon, faut que je me calme ! »

 

Renonçant à s’habiller pour le moment, elle se coucha sur le lit, et commença à se tripoter, elle s’apprêta à rappeler Julien mais l’image de la fille se faisant sodomiser sur la revue persistait lourdement dans son esprit sans qu’elle ne puisse la chasser.

 

Elle se leva et ressortit la revue de la corbeille, elle retrouva la page qui l’obsédait.

 

« Mais enfin, c’est quoi ça ? Et le pire c’est que la fille à l’air de trouver ça très bien ! quelle salope ! Ce n’est pourtant pas un endroit fait pour le plaisir, faut pas tout mélanger. »

 

En pleine confusion mentale, elle essaya de se mettre un doigt dans l’anus, comme ça, pour voir, évidemment ça ne rentrait pas, alors elle le mouilla et cette fois il entra.

 

« Oui, bon et maintenant ? Quelque chose m’échappe ! »

 

Elle abandonna cette petite expérience mais se palucha en regardant l’image.

 

Quand le lendemain matin, Julien apporta le petit déjeuner de madame la marquise, il se demanda comment il serait reçu.

 

Il le fut avec le sourire.

 

– Vous avez oublié de reprendre votre revue, hier, du coup je l’ai un peu regardé. Ces gens-là sont vraiment des porcs, se faire photographier en pleine orgie ! Vous feriez ça, vous ?

– Puis-je faire remarquer à madame la marquise qu’ils ne font de mal à personne ?

– Parce que la sodomie, ça ne fait pas mal ?

– Ça ne fait mal que si la personne qui le fait est une brute.

– Vous l’avez déjà fait ?

– Oui !

– Vous êtes un cochon, Julien !

– Madame la marquise souhaite-t-elle que je la caresse ?

– Oui bien sûr, mais si je vous demandais d’essayer de me sodomiser ?

 

Il n’en revient pas, Julien !

 

– On peut essayer, je m’en vais chercher du gel !

– Du gel !

– Ben, oui, faut lubrifier !

– Eh bien allez chercher, mon vieux, ne restez pas planté là !

 

– Si vous pouviez me sucer un peu la bite avant… c’est pour qu’elle soit bien raide !

– Bite, bite, vous n’avez pas un autre mot ?

– Il y en a d’autre, mais c’est celui que j’emploie, et que la plupart des gens emploient.

– Bon alors je vais vous sucer la bite, vous êtes content de m’entendre parler comme ça ?

– Content, je ne sais pas, mais autant être décontracté.

 

La fellation de la marquise restait encore très perfectible mais permit néanmoins à Julien d’avoir une bonne trique.

 

L’introduction anale ne fut pas une mince affaire, madame la marquise avait vraiment le cul serré, il lui écarta les fesses et lui titilla l’anus de sa langue. Marie-Josèphe trouva la caresse agréable.

 

Julien s’encapota et barbouilla l’endroit de gel intime.

 

– Attention au début, ça risque de vous faire drôle, vous allez sentir comme une gêne et vous aurez peut-être mal, il faut faire avec, ça ne durera pas longtemps, et après ça deviendra agréable.

– On verra bien !

– On y va, ouvrez votre anus, poussez comme si vous étiez aux toilettes.

– Quel romantisme !

 

Il fallut plusieurs essais, le gland ripant contre l’anus.

 

– Poussez plus fort, ça va finir par rentrer !

 

Et ça entra !

 

– Oh là ! Arrêtez ça, c’est très désagréable !

– Je vous avais prévenu ! Attendez un petit peu.

– Je n’attends rien du tout, enlevez-moi votre machin.

 

Julien n’en fit rien et commença de légers va-et-vient.

 

– Ça va ?

– C’est mieux, mais bon… Ah, oui, continuez… Oh là !

 

En fait Marie-Josèphe était en train de jouir du cul à une vitesse fulgurante, Julien lui n’était pas encore prêt et continuait son pilonnage, ce qui faisait redoubler d’intensité les cris de jouissance de la marquise.

 

Et soudain la porte s’ouvre ! C’est Elodie.

 

– Oh pardon, j’ai entendu des cris et…

 

Elle referme la porte discrètement tandis que Julien finit par prendre son pied.

 

– C’était fabuleux ! Commente Marie-Josèphe.

 

Julien retire la capote, dévoilant une bite toute spermeuse.

 

– Madame la marquise désire-t-elle me nettoyer ?

– Et puis quoi encore ? Il y a des kleenex là-bas, servez-vous !

– Je pensais plutôt à un nettoyage avec votre bouche !

– Vous vous égarez jeune homme ! Et d’abord ça a quel goût ce machin ?

– Pour le savoir il faut goûter !

– Oui, ben on verra ça une autre fois, allez me chercher un jus d’orange !

 

Ben oui, pas tout le même jour !

 

Et à partir de ce moment les relations entre Julien et la marquise devinrent à la fois très suivies et très intimes.

 

Reprenons à présent l’ordre chronologique des faits

 

Vendredi 22 mars

 

Le détective privé engagé par Honoré se perdait en conjectures.

 

– Si ce n’est pas l’un de vos domestiques, il ne reste que votre épouse !

– Ça n’a aucun sens, mon épouse n’a jamais mis le nez dans mes affaires…

– On ne connait jamais les gens…

– Cessons là ! Bon si votre enquête ne mène nulle part, on va en restez là, vous m’enverrez votre note !

– Bien monsieur !

– Sinon, entre-nous d’homme à homme, vous me conseillerez quoi ?

– De vous séparer de vos domestiques, l’un des deux, ou éventuellement les deux, prépare sans doute un gros coup et dans ce cas la disparition de la cassette, n’était peut-être qu’une sorte de test….

 

Le salon du château était autrefois la salle à manger, depuis, la destination des deux pièces a été inversée. Il existait alors une trappe passe-plat communiquant directement avec la cuisine. La trappe avait été condamnée de façon fort rudimentaire en y fixant un tableau par-dessus.

 

Alors évidemment le son passait et comme Elodie était en cuisine pendant que le détective livrait ses étranges conclusions, elle entendit tout !

 

S’en suivit une explication orageuse entre les deux domestiques :

 

– Le marquis va nous virer tous les deux, à cause d’un détective qui n’est qu’un gros nul. Or moi je n’ai rien fait, je n’ai pas envie de me retrouver dans la merde à cause de tes conneries !

– Quelles conneries ? Ce n’est pas moi qui ai piqué ces trucs !

– Ben c’est qui ? Le pape ?

– Tu es sûre que ce n’est pas toi ?

– Si c’était moi je ne viendrais pas t’accuser ! Réfléchis cinq minutes, pauvre banane ! S’énerve Elodie.

– Si ça se trouve c’est le patron qui ne se rappelle plus où il les a rangés !

– On fait quoi ? On va être licencié pour vol, et on aura aucun certificat, pour retrouver du boulot après, je te dis pas la galère !

– J’ai peut-être une idée !

– Et c’est quoi l’idée ?

– La vieille m’a à la bonne, je vais aller lui parler !

– N’importe quoi !

– J’y vais, le temps presse.

 

Marie-Josèphe fut fort contrariée d’apprendre que les deux domestiques, enfin disons surtout Julien, parce que le sort d’Elodie lui importait assez peu, risquaient la porte à cause d’elle et décida d’arranger les choses.

 

Depuis quelque temps, la marquise s’amusait à déplacer les affaires du marquis, comme ça par pure provocation, parce que ce dernier l’énervait avec ses collections futiles. Evidemment Honoré finissait par retrouver tout ça, mettant tout ça sous le compte des domestiques ou sous les défaillances de sa mémoire. Mais l’autre jour, allez savoir pourquoi, Marie-Josèphe avait voulu aller plus loin, alors qu’elle s’apprêtait à partir pour Paris, elle vit la cassette au milieu de la table, l’embarqua et décida de la vendre.

 

Elle descendit donc voir Honoré :

 

– Il faut que je vous parle et c’est grave !

– Je m’attends au pire ! Se gaussa Honoré.

– Cette cassette qui a disparu ! Les domestiques n’y sont pour rien, c’est moi qui l’ai emprunté !

– De quoi ? Et pour quoi faire ?

– Ça ne vous regarde pas !

– Et je peux la récupérer ?

– Je vais essayer, laissez-moi un peu de temps ! Si je ne la récupère pas, je vous dédommagerais, mais laissez les domestiques tranquilles !

– Mais elle est où la cassette ?

– Vous avez vos secrets, laissez-moi les miens.

 

Honoré renonça à comprendre mais ne congédia pas les domestiques !

 

Sans tarder davantage, Marie-Josèphe sortit sa voiture et prit la direction de Paris afin de se rendre chez le libraire :

 

– La cassette avec les manuscrits de Sacha Guitry que je vous avais vendu il y quelques semaines, vous l’avez toujours ?

 

La tronche de Lamboley !

 

– Les manuscrits, oui, mais le reste est en dépôt chez un confrère.

– Je peux récupérer les manuscrits ?

– Si je comprends bien, vous avez changé d’avis !

– Sans doute, mais je ne vous dois aucune explication, mon mari les acquis aux enchères, j’ai d’abord souhaité m’en débarrasser et… mais bon, ça ne vous regarde pas, je peux les récupérer ?

– Euh, oui ! Mais ce sera un peu plus cher que le prix d’achat, vous comprenez, j’ai une comptabilité, la TVA, tout ça

– Peu importe le prix, je souhaite les récupérer, ça ne fera que la troisième fois que je vous le dis.

 

Lamboley complètement largué lui rendit les manuscrits qu’elle régla le plus simplement du monde à l’aide de sa carte gold.

 

– Pour le reste, je vous laisse mes coordonnées, tenez-moi au courant !

– Pas de problème, chère madame !

 

Quand Marie-Josèphe lui restitua les manuscrits, Honoré n’en cru pas ses yeux.

 

– Et le reste ?

– Pour l’instant je n’ai que ça !

– Pas grave, la pierre était en toc, mais la cassette était jolie !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:09

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 6 – Avec Max en trio par Chanette

 

StampFFH

Samedi 16 mars

 

Donc : 15 jours plus tard…

 

Yolande n’est restée à la maison que trois jours, elle n’a pas été trop chiante et elle a partagé mon lit sans ronfler. Drôle de fille quand même ! Avec l’aide d’Anna qui lui a avancé la caution immobilière, servi de garantie et fourni de fausses fiches de paye, elle s’est dégotté un petit studio pas loin de la butte Montmartre.

 

Francis, son jules, est sorti de l’hôpital avec deux obsessions : retrouver Yolande qui est restée l’amour de sa vie malgré ce qu’il lui a fait subir, et récupérer le diamant volé dont il ignore qu’il est en zirconium.

 

En ce qui concerne Yolande, il a fait le tour de ses proches sans grands résultats, elle a téléphoné deux fois à sa mère et lui a indiqué qu’elle était en province sans plus de précisions. Mensonge ou pas, il n’en sait rien, mais le fait est qu’elle reste introuvable.

 

Pour ce qui est du diamant, il est branché sur l’hypothèse qu’il est resté dans le coffre de la galerie. Une chance sur deux, estime-t-il.

 

Francis n’y connaît rien en coffre-fort, c’est Yolande qui faisait tout le boulot, lui, se contentant de servir de « logistique » une fois le butin dérobé.

 

Mais on peut toujours opérer autrement !

 

Mardi 19 mars

 

Francis repère la galerie, attend qu’il n’y ait plus de visiteurs, entre et fait semblant de s’intéresser aux œuvres exposées. Anna reste assise derrière son petit bureau.

 

« Elle doit avoir un bouton d’alarme à ses pieds, il faut qu’elle bouge ! »

 

Parfois les tactiques les plus primaires sont les plus efficaces.

 

– S’il vous plaît, vous pourriez venir voir ? Lui demande-t-il.

 

Anna ne se méfie pas, se lève par réflexe et s’approche de l’homme qui sort son flingue !

 

– Maintenant t’es sage et tu me conduis à ton coffre que tu vas ouvrir bien gentiment !

– Et sinon, tu me flingues ? Ose-t-elle

– Non, je te casse les jambes !

– Monsieur est charmant !

– Bon on y va ?

 

Et c’est ainsi que Francis Larive récupéra la cassette en marqueterie avec son contenu.

 

Anna désemparée, me téléphone, me raconte…

 

– T’es sûre que c’est lui ?

– Evidemment, qui veut-tu que ce soit d’autre ? Il a tout de suite embarqué la cassette, il n’a même pas regardé s’il y avait autre chose.

– Hum…

– J’ai son identité et il ignore qu’on la connaît, je suppose qu’il a dû déménager, mais Yolande peut me fournir l’adresse de son magasin de vélos. Mais après, je fais quoi ?

– Fais appel à Max, Gauthier-Normand se fera un plaisir de le mettre à ta disposition. (voir quelques épisodes précédents, notamment Chanette 7 – Pho, la cambodgienne)

– Et il va falloir que je passe à la casserole ?

– Ça gêne tant que ça ?

– Gauthier-Normand, non ! Mais Max j’ai du mal.

– Tu as tort, au plumard il est très doux !

– Bon j’appelle !

 

Gauthier-Normand est enchanté, ravi d’avoir Anna au bout du fil, et il écoute son récit avec attention.

 

– Max est en province, mais je peux lui demander de remonter plus tôt, je le mets à votre disposition à partir d’après-demain. D’après ce que vous me dites, ça devrait être assez facile, mais s’il y avait des complications, il restera avec vous jusqu’au dénouement de l’affaire. Redonnez-moi votre adresse…

– Je ne sais comment vous remercier.

– Vous me remercierez quand Max aura fait son boulot. Au fait comment va Chanette ?

– Très bien, elle vous embrasse.

 

Mercredi 20 mars

 

Francis Larive est à sec, il vient de déménager, il a fallu qu’il paye une caution immobilière alors qu’il n’a pas encore récupéré celle du précèdent appartement. Bref il a besoin de liquidité et décide de négocier au plus vite les éléments de son larcin. En ce qui concerne le diamant, il connaît deux receleurs, il ira voir les deux et les mettra en concurrence, mais pour commencer, il souhaite se débarrasser des lettres manuscrites tout en n’ayant aucune idée de leurs valeurs.

 

Une recherche rapide sur Internet lui apprend qu’un certain Daniel Lamboley, négociant en livres anciens fait également le négoce de manuscrits. Un petit coup de métro et le voilà parti.

 

– J’ai retrouvé ça en déménageant, je ne sais pas ce que ça peut valoir.

 

La tête de Lamboley quand il reconnaît les lettres de Sacha Guitry qu’il a confié à son frère il y a plusieurs semaines !

 

« C’est quoi ce cirque ? »

 

Le libraire est obligé de réfléchir à toute vitesse. Il n’a que deux options, l’envoyer promener poliment, ou alors le bluffer ? Mais une chose l’intrigue : pourquoi son frère ne l’a-t-il pas prévenu de ce vol ? Parce que c’est un vol, ça ne peut être autre chose, l’hypothèse d’une copie lui paressant farfelue. Et puis ça veut peut-être dire que d’autres objets en dépôt chez lui ont pu être également dérobés !

 

« Oh ! Mais ça ne va pas du tout ! »

 

– Hum ! Vous savez, dit-il à son interlocuteur, en matière de manuscrits, ce qui fait le prix, c’est l’offre et la demande. Or aujourd’hui avec les délires féministes, Sacha Guitry n’a plus trop la côte.

– Ça ne vaut rien alors ?

– Pas grand-chose, mais je peux vous en débarrasser ! Vous en voudriez combien ?

– Je ne sais pas, moi, 500 balles le lot !

 

« Il est vraiment trop con ce type ! »

 

– 400 et vous faites une affaire ! Je suis obligé de vous demander une pièce d’identité.

 

Bref, l’affaire fut conclue. La carte d’identité était fausse, ça se devinait mais il fallait bien donner le change.

 

Dès que Larive quitte les lieux, Lamboley enfile un blouson, ferme boutique, dépose le traditionnel panneau « je reviens de suite » et le suivit.

 

« Faut que je sache qui c’est ! »

 

Larive commence par s’arrêter dans un bistrot.

 

« Putain, il ne peut pas rentrer directement chez lui, ce con ? »

 

Il en profite pour appeler son frère :

 

– Dis-moi, il faudrait que je récupère la petite cassette en marqueterie que je t’ai confié il y a un mois ou deux.

– Pas de problème, je te l’apporte demain au plus tard en rentrant, je ne suis pas chez moi, en ce moment, je suis en province !

– Ah bon d’accord !

 

Lamboley raccroche, n’y comprenant plus rien du tout.

 

« Il ne s’est pas encore aperçu qu’on l’avait volé, il va me rappeler dès qu’il le découvrira ! »

 

Larive prend le métro jusqu’à la porte de Montreuil .

 

– J’ai ça ! Annonce-t-il fièrement en dégageant le bijou de la peau de chamois qui l’entourait.

– Hum ! Voyons voir, dit l’homme en examinant l’objet à la loupe et à la lumière. Vous savez ce que c’est ?

– Je ne comprends pas bien la question ! Répondit Larive soudain envahi d’inquiétude.

– Vous ne pensiez quand même pas qu’il s’agit d’un vrai diamant ?

– Parce que ?

– Parce que votre truc, c’est de l’oxyde de zirconium !

– Zirco quoi ?

– Zirconium, avec ça on fait des belles imitations, mais ce ne sont que des imitations.

– Et ça vaut combien ?

– Pas grand-chose, et en tous les cas, moi, je n’achète pas ça !

 

Bernard Lamboley voit l’homme sortir de chez le bijoutier en tirant une gueule longue de dix pieds.

 

« Hi, il a dû essayer de négocier son bijou en toc ! Il a dû tomber de haut ! »

 

Larive réfléchit, il n’a pas besoin d’un second avis, le receleur aurait voulu le bluffer, cela aurait été pour acquérir le bijou, ce qui n’a pas été le cas…

 

Il chemina à pied jusqu’à la place de la Nation, au grand dam de Lamboley qui se demandait quand le zigue se déciderait à rentrer chez lui.

 

Larive aperçut une bijouterie qui faisait dans l’achat vente, il entra !

 

– C’était dans les bijoux de ma grand-mère, vous m’en donnez combien ?

– C’est du zirco, je peux vous le reprendre pour 50 euros !

– C’est tout ?

– Ce n’est pas un mauvais prix, vous pouvez vous renseigner ailleurs, mais ce sera toujours dans ces prix-là.

– Bon allons-y !

– Je suppose que vous n’avez pas de facture, je vais vous demander une pièce d’identité et une signature.

 

Larive ressort complètement abattu : bilan de la journée : 450 euros ! Tout ça pour ça !

 

Il emprunte le boulevard Voltaire toujours suivi de Lamboley qui commence à fatiguer.

 

Arrivé à la hauteur du magasin de cycles, « la petite reine’, il y entre.

 

« Ce n’est pas vrai, qu’est-ce qu’il nous fait à présent, il ne va tout de même pas s’acheter un vélo ? »

 

Il fallut un certain temps à Lamboley pour réaliser que l’homme travaillait dans ce magasin et qu’il en était probablement le patron ou le gérant.

 

« Bon, avec l’adresse du magasin, je devrais trouver l’identité du type, mais qu’est-ce que je vais en faire ?

 

Jean-Paul Lamboley, son antiquaire de frère avait menti, il n’était pas en province mais à Paris dans sa boutique du Marais. Il n’avait décelé aucune malice dans la requête de son frère. Récupérer la cassette en marqueterie ne lui posait aucun problème, il lui suffirait de se rendre chez Anne-Gaëlle de la Souderie de Breteuil, la galeriste de la rue de Seine. Et comme il n’avait pas encore rassemblé l’intégralité de l’argent qu’il lui devait, il lui confierait autre chose en gage, par exemple cette jolie collection d’estampes originales du 17ème !

 

Evidemment Anna ne s’attendait pas du tout à le voir débarquer.

 

– Ah ! Figurez-vous que par sécurité j’ai déposé ça chez une amie qui est en déplacement. Vous pouvez attendre trois ou quatre jours, je vous appellerai ! Improvise-t-elle.

– Pas de soucis !

 

Jean-Paul téléphone à son frère Bernard en lui expliquant qu’il est obligé de retarder son retour d’un jour ou deux…

 

Finalement tout le monde fait avec ce contretemps.

 

Jeudi 21 mars

 

Le surlendemain, en fin d’après-midi, .Max Minet, dit Max le dur, était là, chez moi et je le reçu en présence d’Anna

 

Max est déjà apparu dans quelques épisodes de mes aventures. C’est donc un ancien malfrat reconverti au service d’un grand bourgeois brasseur d’affaires peu claires et érotomane distingué.

 

Max est plutôt bel homme, toujours impeccable sur lui, mais quelque chose dans le regard et dans l’attitude laisse transparaître le « voyou endimanché ».

 

Il est pourtant loin d’être un rustre, aussi obsédé que son patron, il aime aussi les longues promenades en forêt et connais le nom de tous les arbres et tous les oiseaux.

 

– Anna… vous permettez que je vous appelle Anna..

– Bien sûr !

– Je suis donc à votre service, racontez-moi tout ça par le détail.

 

Il est tout ouïe, il prend quelques notes sur un calepin, pendant que je vais chercher à boire.

 

– J’ai trouvé un hôtel dans le coin, ce sera plus pratique que de rentrer chez mon patron, si vous acceptez, je vous paie le restau ce soir. Nous dit-il.

– Gardons plutôt le restaurant pour plus tard, j’espère que nous pourrons trinquer à la réussite de ce petit travail que nous vous confions ! Répond Anna.

– Dommage j’avais un petit creux et je n’aime pas trop manger tout seul !

 

Qu’est-ce qu’il nous fait, Max, un caprice ?

 

– Et si on se faisait une soirée pizza ? Proposais-je.

– Bonne idée ! Répond Max

– Alors une petite pour moi ! Répond Anna.

 

On vous fait grâce de l’interminable discussion au sujet de qu’il fallait commander, et on finit par téléphoner. On nous livre, on mange, Max nous raconte des tas de trucs, je demande si ces braves gens veulent du dessert et m’en vais préparer des coupes de glaces.

 

Je m’étonnais que Max ne se soit pas livré jusqu’ici à des allusions sexuelles, sans doute que la présence d’Anna le bloquait.

 

Non ce n’était pas ça, il voulait manger d’abord… Il y a des gens qui aiment bien faire les choses dans l’ordre !

 

– Savez-vous, chère Anna, que quand je vois Chanette, il me vient des frétillements très particuliers.

– Ça arrive, se sont les hormones ! Répond ma copine.

– Certes, mais ce genre de pulsion n’est pas toujours facile à contrôler !

– Vous n’allez pas me violer, Max ? Plaisantais-je.

– Non, je suis un gentleman, je préfère demander gentiment.

– Faites-le pour voir ! Le défie Anna.

– Madame Chanette, puis-je caresser l’espoir de vous sodomiser en tout bien tout honneur, bien évidemment.

– Monsieur Max, mon petit trou sera heureux d’accueillir vos assauts.

– Prenons date ?

– Pourquoi pas maintenant ? Laissez-moi simplement terminer ma glace.

– Eh ben Chanette ? Rouspète Anna.

– Je te choque ?

– Non, mais qu’est-ce que je deviens, moi dans tout ça ?

– Tu mates, tu participes ou tu t’en vas regarder la télé !

– Non pas la télé !

 

Et excitée comme une puce, j’entreprends de me déshabiller. Anna me regarde comme si j’avais pété un câble.

 

– Ben Max, vous n’allez pas rester habillé !

– Je vous admire, ma chère !

– N’exagérons rien, il y a bien mieux, allez, à poil, j’ai l’air de quoi, moi, toute seule avec les nichons à l’air ?

 

Du coup Max se déshabille en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il bande comme un jeune taureau.

 

Pourtant j’en ai vu, des bites, j’en vois tous les jours de la semaine, et puis celle de Max je la connais l’ayant déjà pratiqué, n’empêche que ça m’excite.

 

Je suis en face de Max, et je lui attrape carrément le paquet pendant qu’il me pelote les seins, j’ai ses grosses couilles poilues dans la main. L’homme s’est enhardi et me suce les tétons, il me fait ça très bien et ça me fait un bien fou.

 

J’attends qu’il fasse une pause pour m’accroupir devant sa bite.

 

Ça y est j’ai sa bite dans la bouche, elle a un arrière-goût de pipi, et ce n’est pas pour me déplaire, d’ailleurs je lui demanderais bien de me pisser dans la bouche, mais chaque chose en son temps, Monsieur bande et je sais que ce n’est pas évident…

 

Je décide de provoquer Anna :

 

– Reste pas comme ça, comme une andouille, viens sucer cette bonne bite avec moi !

– Pour l’instant, je regarde.

– Fous-toi à poil au moins !

– Y’a pas le feu.

 

Anna a déjà eu l’occasion de se montrer nue devant Max (voir l’épisode Pho, la cambodgienne) mais ils n’ont jamais rien fait ensemble.

 

Elle a dû finir par réaliser qu’il n’était peut-être pas très opportun de faire sa mijaurée devant l’homme qui venait essayer de résoudre son problème, et se débarrassa de ses vêtements.

Chanette26F

La chose étant faite, elle ne se rassoit pas et vient à mes côtés.

 

– Tu me fais une petite place ?

 

Et c’est parti pour une pipe à deux bouches.

 

– On ne va pas le faire jouir, je veux qu’il m’encule ! Tiens-je à préciser avant de reprendre toute la bite de Max dans ma bouche.

– Cochonne ! Se moque ma copine.

 

Je ne fais pas exprès, mais je la gêne, lui laissant peu de place alors Anna ne fait ni une ni deux, s’en va derrière Max et lui caresse les fesses.

 

C’est tout Anna, ça, elle est capable de faire sa jeune fille timide et puis tout d’un coup de se déchaîner.

 

Max me fait signe de freiner mes ardeurs, qu’à cela ne tienne, je me redresse et lui excite les tétons, pendant qu’Anna lui écarte les globes, lui lèche le cul.

 

– Mets-lui un doigt ! Lui dis-je

 

Elle le fait, enfonce son index dans le trou du cul de Max et le fait gigoter.

 

– Oh ! Que c’est bon tout ça ! Commente le bonhomme. Si j’osais je vous demanderais bien une petite fantaisie.

– Demandez, demandez !

– Si vous aviez un petit gode ?

– Mais bien sûr mon cher ami ! Anna va donc nous cherchez l’objet dans ma table de chevet… Ou plutôt non, on va tous aller dans la chambre; on sera plus à l’aise.

– D’accord ! répond Max, mais faut que je fasse un petit pipi avant.

– Humm ! Vous me l’offrez votre pipi ?

– Coquine !

– C’est oui ?

– Bien sûr !

– Et moi ? Proteste Anna.

– Quand il y en a pour une, il y en a pour deux !

 

On pénètre tous les trois dans la salle de bain, Anna et moi, nous nous accroupissons tandis que Max ferme les yeux et invoque je ne sais quelle image (son percepteur, sa belle-mère ?) afin de bander moins dur.

 

Et soudain le voilà qui nous asperge, on en a partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, on en boit un peu, on rigole. Elle est trop bonne sa pisse ! Ce n’est pas si souvent que je me fais pisser dessus par un homme, et en ce qui concerne Anna ce doit être encore plus rare.

 

Du coup ma copine reprend la bite en bouche, et la nettoie bien comme il faut.

 

On ne s’est pas rincées, juste essuyées, et retour au plumard.

 

On se caresse, on se pelote un peu tous les trois, puis Max se met en levrette, le croupion cambré, je lui lèche un peu la rosette, faisant virevolter ma langue, puis je sors le gode, l’encapote et le lubrifie d’une noix de gel, puis je l’enfonce dans son cul.

 

Je le fais bouger à vitesse moyenne après avoir actionné le vibrateur. Max se pâme d’aise en poussant de « Oh » et des « Ah » !

 

– C’est bon ?

– Oh, là, là ! Quand je pense que je me suis privé de ce plaisir durant des années… Oh, C’est trop bon !

 

En même temps, Anna s’est positionnée devant le visage de l’homme, et lui donne son cul à lécher ce qu’il accomplit avec beaucoup de conviction, ce qui n’est, convenons-en, qu’un juste retour de choses !

 

Tout cela est bien joli, mais je commence à fatiguer du poignet, je retire le gode, et cette fois, c’est moi qui m’offre en levrette. Je tends une capote à Max qui n’a pas besoin d’explications complémentaires et qui vient m’enculer.

 

Je me fais relativement peu souvent, sodomiser, ma sexualité s’étant au fil des temps orientée vers ces dames, mais j’avoue ne pas détester la pratique lorsqu’elle est bien faite, et en l’occurrence, Max est un délicieux enculeur.

 

– T’aimes ça, ma cochonne ! Commente Anna.

– Ben quoi !

– Je me demandais si… Non rien.

– Comment ça, rien ? Toi aussi t’aimerais l’avoir dans le cul ?

– Juste un peu !

– Qu’est-ce que t’en penses, Max ?

– Après une petite pause, parce que là, je sens que ça vient !

 

Il accélère légèrement sa cadence, des ondes de plaisir commencent à m’envahir, je sens que je vais jouir par le cul, Max se rend compte de mon excitation, du coup c’est contagieux, il accélère davantage, je gueule comme une baleine en inondant mes cuisses tandis que l’homme s’enfonçant au plus profond de mon être éjacule en soufflant comme un bœuf.

 

Il décule, retire sa capote, dévoilant une bite poisseuse de sperme.

 

– Je vais me faire une rincette ! Déclare-t-il

– Laissez-nous ce plaisir ! Répliquais-je ne lui gobant la bite.

– Il est délicieux son foutre Commentais-je en me léchant les babines.

– T’aurais pi m’en laisser un peu.

– Viens m’embrasser, il doit en rester dans ma bouche.

 

Proposition qui n’est pas resté sans suite, vous vous en doutez bien !

 

– Je boirais bien un jus de fruit ! Nous dit Max.

 

J’aurais préféré des propos plus tendres, mais ça ne fait rien, il n’est pas méchant Max, je me lève et vais chercher à boire.

 

Je reviens dans la chambre sans me presser, Anna est en train de se faire des tripoter les seins par Max. C’est bien les bonhommes, ça, les seins, toujours les seins. Il lui tripote les tétons, les pinçouille.

 

Dans trente secondes, à tous les coups, il va les sucer.

 

– Je croyais que t’avais soif ?

– Il y a des moments où on oublie sa soif ! Répondit Max dans un grand élan romantique.

 

J’ai l’air d’une cloche, moi avec ma bouteille de jus d’ananas et mes trois verres.

 

Mon portable que j’ai laissé à côté sonne, j’aurais très bien pu ne pas répondre, mais bon, c’est une copine qui me demande des trucs, et comme mes copines sont toujours bavardes, ça dure bien un quart d’heure et quand je reviens dans la chambre, Max et Anna se pelotent et se bécotent comme des amoureux…

 

Anna se rendant compte de ma présence se met en levrette, en fait elle m’attendait pour se faire sodomiser devant moi. Max se remet une capote et lui pénètre le cul avec beaucoup de douceur. Elle est trop belle Anna quand elle se fait enculer… De toutes façons, elle est toujours belle ! Cinq minutes après nos deux tourtereaux se désemboîtaient après avoir jouis peu discrètement.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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