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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 6 – Avec Max en trio par Chanette
Samedi 16 mars
Donc : 15 jours plus tard…
Yolande n’est restée à la maison que trois jours, elle n’a pas été trop chiante et elle a partagé mon lit sans ronfler. Drôle de fille quand même ! Avec l’aide d’Anna qui lui a avancé la caution immobilière, servi de garantie et fourni de fausses fiches de paye, elle s’est dégotté un petit studio pas loin de la butte Montmartre.
Francis, son jules, est sorti de l’hôpital avec deux obsessions : retrouver Yolande qui est restée l’amour de sa vie malgré ce qu’il lui a fait subir, et récupérer le diamant volé dont il ignore qu’il est en zirconium.
En ce qui concerne Yolande, il a fait le tour de ses proches sans grands résultats, elle a téléphoné deux fois à sa mère et lui a indiqué qu’elle était en province sans plus de précisions. Mensonge ou pas, il n’en sait rien, mais le fait est qu’elle reste introuvable.
Pour ce qui est du diamant, il est branché sur l’hypothèse qu’il est resté dans le coffre de la galerie. Une chance sur deux, estime-t-il.
Francis n’y connaît rien en coffre-fort, c’est Yolande qui faisait tout le boulot, lui, se contentant de servir de « logistique » une fois le butin dérobé.
Mais on peut toujours opérer autrement !
Mardi 19 mars
Francis repère la galerie, attend qu’il n’y ait plus de visiteurs, entre et fait semblant de s’intéresser aux œuvres exposées. Anna reste assise derrière son petit bureau.
« Elle doit avoir un bouton d’alarme à ses pieds, il faut qu’elle bouge ! »
Parfois les tactiques les plus primaires sont les plus efficaces.
– S’il vous plaît, vous pourriez venir voir ? Lui demande-t-il.
Anna ne se méfie pas, se lève par réflexe et s’approche de l’homme qui sort son flingue !
– Maintenant t’es sage et tu me conduis à ton coffre que tu vas ouvrir bien gentiment !
– Et sinon, tu me flingues ? Ose-t-elle
– Non, je te casse les jambes !
– Monsieur est charmant !
– Bon on y va ?
Et c’est ainsi que Francis Larive récupéra la cassette en marqueterie avec son contenu.
Anna désemparée, me téléphone, me raconte…
– T’es sûre que c’est lui ?
– Evidemment, qui veut-tu que ce soit d’autre ? Il a tout de suite embarqué la cassette, il n’a même pas regardé s’il y avait autre chose.
– Hum…
– J’ai son identité et il ignore qu’on la connaît, je suppose qu’il a dû déménager, mais Yolande peut me fournir l’adresse de son magasin de vélos. Mais après, je fais quoi ?
– Fais appel à Max, Gauthier-Normand se fera un plaisir de le mettre à ta disposition. (voir quelques épisodes précédents, notamment Chanette 7 – Pho, la cambodgienne)
– Et il va falloir que je passe à la casserole ?
– Ça gêne tant que ça ?
– Gauthier-Normand, non ! Mais Max j’ai du mal.
– Tu as tort, au plumard il est très doux !
– Bon j’appelle !
Gauthier-Normand est enchanté, ravi d’avoir Anna au bout du fil, et il écoute son récit avec attention.
– Max est en province, mais je peux lui demander de remonter plus tôt, je le mets à votre disposition à partir d’après-demain. D’après ce que vous me dites, ça devrait être assez facile, mais s’il y avait des complications, il restera avec vous jusqu’au dénouement de l’affaire. Redonnez-moi votre adresse…
– Je ne sais comment vous remercier.
– Vous me remercierez quand Max aura fait son boulot. Au fait comment va Chanette ?
– Très bien, elle vous embrasse.
Mercredi 20 mars
Francis Larive est à sec, il vient de déménager, il a fallu qu’il paye une caution immobilière alors qu’il n’a pas encore récupéré celle du précèdent appartement. Bref il a besoin de liquidité et décide de négocier au plus vite les éléments de son larcin. En ce qui concerne le diamant, il connaît deux receleurs, il ira voir les deux et les mettra en concurrence, mais pour commencer, il souhaite se débarrasser des lettres manuscrites tout en n’ayant aucune idée de leurs valeurs.
Une recherche rapide sur Internet lui apprend qu’un certain Daniel Lamboley, négociant en livres anciens fait également le négoce de manuscrits. Un petit coup de métro et le voilà parti.
– J’ai retrouvé ça en déménageant, je ne sais pas ce que ça peut valoir.
La tête de Lamboley quand il reconnaît les lettres de Sacha Guitry qu’il a confié à son frère il y a plusieurs semaines !
« C’est quoi ce cirque ? »
Le libraire est obligé de réfléchir à toute vitesse. Il n’a que deux options, l’envoyer promener poliment, ou alors le bluffer ? Mais une chose l’intrigue : pourquoi son frère ne l’a-t-il pas prévenu de ce vol ? Parce que c’est un vol, ça ne peut être autre chose, l’hypothèse d’une copie lui paressant farfelue. Et puis ça veut peut-être dire que d’autres objets en dépôt chez lui ont pu être également dérobés !
« Oh ! Mais ça ne va pas du tout ! »
– Hum ! Vous savez, dit-il à son interlocuteur, en matière de manuscrits, ce qui fait le prix, c’est l’offre et la demande. Or aujourd’hui avec les délires féministes, Sacha Guitry n’a plus trop la côte.
– Ça ne vaut rien alors ?
– Pas grand-chose, mais je peux vous en débarrasser ! Vous en voudriez combien ?
– Je ne sais pas, moi, 500 balles le lot !
« Il est vraiment trop con ce type ! »
– 400 et vous faites une affaire ! Je suis obligé de vous demander une pièce d’identité.
Bref, l’affaire fut conclue. La carte d’identité était fausse, ça se devinait mais il fallait bien donner le change.
Dès que Larive quitte les lieux, Lamboley enfile un blouson, ferme boutique, dépose le traditionnel panneau « je reviens de suite » et le suivit.
« Faut que je sache qui c’est ! »
Larive commence par s’arrêter dans un bistrot.
« Putain, il ne peut pas rentrer directement chez lui, ce con ? »
Il en profite pour appeler son frère :
– Dis-moi, il faudrait que je récupère la petite cassette en marqueterie que je t’ai confié il y a un mois ou deux.
– Pas de problème, je te l’apporte demain au plus tard en rentrant, je ne suis pas chez moi, en ce moment, je suis en province !
– Ah bon d’accord !
Lamboley raccroche, n’y comprenant plus rien du tout.
« Il ne s’est pas encore aperçu qu’on l’avait volé, il va me rappeler dès qu’il le découvrira ! »
Larive prend le métro jusqu’à la porte de Montreuil .
– J’ai ça ! Annonce-t-il fièrement en dégageant le bijou de la peau de chamois qui l’entourait.
– Hum ! Voyons voir, dit l’homme en examinant l’objet à la loupe et à la lumière. Vous savez ce que c’est ?
– Je ne comprends pas bien la question ! Répondit Larive soudain envahi d’inquiétude.
– Vous ne pensiez quand même pas qu’il s’agit d’un vrai diamant ?
– Parce que ?
– Parce que votre truc, c’est de l’oxyde de zirconium !
– Zirco quoi ?
– Zirconium, avec ça on fait des belles imitations, mais ce ne sont que des imitations.
– Et ça vaut combien ?
– Pas grand-chose, et en tous les cas, moi, je n’achète pas ça !
Bernard Lamboley voit l’homme sortir de chez le bijoutier en tirant une gueule longue de dix pieds.
« Hi, il a dû essayer de négocier son bijou en toc ! Il a dû tomber de haut ! »
Larive réfléchit, il n’a pas besoin d’un second avis, le receleur aurait voulu le bluffer, cela aurait été pour acquérir le bijou, ce qui n’a pas été le cas…
Il chemina à pied jusqu’à la place de la Nation, au grand dam de Lamboley qui se demandait quand le zigue se déciderait à rentrer chez lui.
Larive aperçut une bijouterie qui faisait dans l’achat vente, il entra !
– C’était dans les bijoux de ma grand-mère, vous m’en donnez combien ?
– C’est du zirco, je peux vous le reprendre pour 50 euros !
– C’est tout ?
– Ce n’est pas un mauvais prix, vous pouvez vous renseigner ailleurs, mais ce sera toujours dans ces prix-là.
– Bon allons-y !
– Je suppose que vous n’avez pas de facture, je vais vous demander une pièce d’identité et une signature.
Larive ressort complètement abattu : bilan de la journée : 450 euros ! Tout ça pour ça !
Il emprunte le boulevard Voltaire toujours suivi de Lamboley qui commence à fatiguer.
Arrivé à la hauteur du magasin de cycles, « la petite reine’, il y entre.
« Ce n’est pas vrai, qu’est-ce qu’il nous fait à présent, il ne va tout de même pas s’acheter un vélo ? »
Il fallut un certain temps à Lamboley pour réaliser que l’homme travaillait dans ce magasin et qu’il en était probablement le patron ou le gérant.
« Bon, avec l’adresse du magasin, je devrais trouver l’identité du type, mais qu’est-ce que je vais en faire ?
Jean-Paul Lamboley, son antiquaire de frère avait menti, il n’était pas en province mais à Paris dans sa boutique du Marais. Il n’avait décelé aucune malice dans la requête de son frère. Récupérer la cassette en marqueterie ne lui posait aucun problème, il lui suffirait de se rendre chez Anne-Gaëlle de la Souderie de Breteuil, la galeriste de la rue de Seine. Et comme il n’avait pas encore rassemblé l’intégralité de l’argent qu’il lui devait, il lui confierait autre chose en gage, par exemple cette jolie collection d’estampes originales du 17ème !
Evidemment Anna ne s’attendait pas du tout à le voir débarquer.
– Ah ! Figurez-vous que par sécurité j’ai déposé ça chez une amie qui est en déplacement. Vous pouvez attendre trois ou quatre jours, je vous appellerai ! Improvise-t-elle.
– Pas de soucis !
Jean-Paul téléphone à son frère Bernard en lui expliquant qu’il est obligé de retarder son retour d’un jour ou deux…
Finalement tout le monde fait avec ce contretemps.
Jeudi 21 mars
Le surlendemain, en fin d’après-midi, .Max Minet, dit Max le dur, était là, chez moi et je le reçu en présence d’Anna
Max est déjà apparu dans quelques épisodes de mes aventures. C’est donc un ancien malfrat reconverti au service d’un grand bourgeois brasseur d’affaires peu claires et érotomane distingué.
Max est plutôt bel homme, toujours impeccable sur lui, mais quelque chose dans le regard et dans l’attitude laisse transparaître le « voyou endimanché ».
Il est pourtant loin d’être un rustre, aussi obsédé que son patron, il aime aussi les longues promenades en forêt et connais le nom de tous les arbres et tous les oiseaux.
– Anna… vous permettez que je vous appelle Anna..
– Bien sûr !
– Je suis donc à votre service, racontez-moi tout ça par le détail.
Il est tout ouïe, il prend quelques notes sur un calepin, pendant que je vais chercher à boire.
– J’ai trouvé un hôtel dans le coin, ce sera plus pratique que de rentrer chez mon patron, si vous acceptez, je vous paie le restau ce soir. Nous dit-il.
– Gardons plutôt le restaurant pour plus tard, j’espère que nous pourrons trinquer à la réussite de ce petit travail que nous vous confions ! Répond Anna.
– Dommage j’avais un petit creux et je n’aime pas trop manger tout seul !
Qu’est-ce qu’il nous fait, Max, un caprice ?
– Et si on se faisait une soirée pizza ? Proposais-je.
– Bonne idée ! Répond Max
– Alors une petite pour moi ! Répond Anna.
On vous fait grâce de l’interminable discussion au sujet de qu’il fallait commander, et on finit par téléphoner. On nous livre, on mange, Max nous raconte des tas de trucs, je demande si ces braves gens veulent du dessert et m’en vais préparer des coupes de glaces.
Je m’étonnais que Max ne se soit pas livré jusqu’ici à des allusions sexuelles, sans doute que la présence d’Anna le bloquait.
Non ce n’était pas ça, il voulait manger d’abord… Il y a des gens qui aiment bien faire les choses dans l’ordre !
– Savez-vous, chère Anna, que quand je vois Chanette, il me vient des frétillements très particuliers.
– Ça arrive, se sont les hormones ! Répond ma copine.
– Certes, mais ce genre de pulsion n’est pas toujours facile à contrôler !
– Vous n’allez pas me violer, Max ? Plaisantais-je.
– Non, je suis un gentleman, je préfère demander gentiment.
– Faites-le pour voir ! Le défie Anna.
– Madame Chanette, puis-je caresser l’espoir de vous sodomiser en tout bien tout honneur, bien évidemment.
– Monsieur Max, mon petit trou sera heureux d’accueillir vos assauts.
– Prenons date ?
– Pourquoi pas maintenant ? Laissez-moi simplement terminer ma glace.
– Eh ben Chanette ? Rouspète Anna.
– Je te choque ?
– Non, mais qu’est-ce que je deviens, moi dans tout ça ?
– Tu mates, tu participes ou tu t’en vas regarder la télé !
– Non pas la télé !
Et excitée comme une puce, j’entreprends de me déshabiller. Anna me regarde comme si j’avais pété un câble.
– Ben Max, vous n’allez pas rester habillé !
– Je vous admire, ma chère !
– N’exagérons rien, il y a bien mieux, allez, à poil, j’ai l’air de quoi, moi, toute seule avec les nichons à l’air ?
Du coup Max se déshabille en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il bande comme un jeune taureau.
Pourtant j’en ai vu, des bites, j’en vois tous les jours de la semaine, et puis celle de Max je la connais l’ayant déjà pratiqué, n’empêche que ça m’excite.
Je suis en face de Max, et je lui attrape carrément le paquet pendant qu’il me pelote les seins, j’ai ses grosses couilles poilues dans la main. L’homme s’est enhardi et me suce les tétons, il me fait ça très bien et ça me fait un bien fou.
J’attends qu’il fasse une pause pour m’accroupir devant sa bite.
Ça y est j’ai sa bite dans la bouche, elle a un arrière-goût de pipi, et ce n’est pas pour me déplaire, d’ailleurs je lui demanderais bien de me pisser dans la bouche, mais chaque chose en son temps, Monsieur bande et je sais que ce n’est pas évident…
Je décide de provoquer Anna :
– Reste pas comme ça, comme une andouille, viens sucer cette bonne bite avec moi !
– Pour l’instant, je regarde.
– Fous-toi à poil au moins !
– Y’a pas le feu.
Anna a déjà eu l’occasion de se montrer nue devant Max (voir l’épisode Pho, la cambodgienne) mais ils n’ont jamais rien fait ensemble.
Elle a dû finir par réaliser qu’il n’était peut-être pas très opportun de faire sa mijaurée devant l’homme qui venait essayer de résoudre son problème, et se débarrassa de ses vêtements.
La chose étant faite, elle ne se rassoit pas et vient à mes côtés.
– Tu me fais une petite place ?
Et c’est parti pour une pipe à deux bouches.
– On ne va pas le faire jouir, je veux qu’il m’encule ! Tiens-je à préciser avant de reprendre toute la bite de Max dans ma bouche.
– Cochonne ! Se moque ma copine.
Je ne fais pas exprès, mais je la gêne, lui laissant peu de place alors Anna ne fait ni une ni deux, s’en va derrière Max et lui caresse les fesses.
C’est tout Anna, ça, elle est capable de faire sa jeune fille timide et puis tout d’un coup de se déchaîner.
Max me fait signe de freiner mes ardeurs, qu’à cela ne tienne, je me redresse et lui excite les tétons, pendant qu’Anna lui écarte les globes, lui lèche le cul.
– Mets-lui un doigt ! Lui dis-je
Elle le fait, enfonce son index dans le trou du cul de Max et le fait gigoter.
– Oh ! Que c’est bon tout ça ! Commente le bonhomme. Si j’osais je vous demanderais bien une petite fantaisie.
– Demandez, demandez !
– Si vous aviez un petit gode ?
– Mais bien sûr mon cher ami ! Anna va donc nous cherchez l’objet dans ma table de chevet… Ou plutôt non, on va tous aller dans la chambre; on sera plus à l’aise.
– D’accord ! répond Max, mais faut que je fasse un petit pipi avant.
– Humm ! Vous me l’offrez votre pipi ?
– Coquine !
– C’est oui ?
– Bien sûr !
– Et moi ? Proteste Anna.
– Quand il y en a pour une, il y en a pour deux !
On pénètre tous les trois dans la salle de bain, Anna et moi, nous nous accroupissons tandis que Max ferme les yeux et invoque je ne sais quelle image (son percepteur, sa belle-mère ?) afin de bander moins dur.
Et soudain le voilà qui nous asperge, on en a partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, on en boit un peu, on rigole. Elle est trop bonne sa pisse ! Ce n’est pas si souvent que je me fais pisser dessus par un homme, et en ce qui concerne Anna ce doit être encore plus rare.
Du coup ma copine reprend la bite en bouche, et la nettoie bien comme il faut.
On ne s’est pas rincées, juste essuyées, et retour au plumard.
On se caresse, on se pelote un peu tous les trois, puis Max se met en levrette, le croupion cambré, je lui lèche un peu la rosette, faisant virevolter ma langue, puis je sors le gode, l’encapote et le lubrifie d’une noix de gel, puis je l’enfonce dans son cul.
Je le fais bouger à vitesse moyenne après avoir actionné le vibrateur. Max se pâme d’aise en poussant de « Oh » et des « Ah » !
– C’est bon ?
– Oh, là, là ! Quand je pense que je me suis privé de ce plaisir durant des années… Oh, C’est trop bon !
En même temps, Anna s’est positionnée devant le visage de l’homme, et lui donne son cul à lécher ce qu’il accomplit avec beaucoup de conviction, ce qui n’est, convenons-en, qu’un juste retour de choses !
Tout cela est bien joli, mais je commence à fatiguer du poignet, je retire le gode, et cette fois, c’est moi qui m’offre en levrette. Je tends une capote à Max qui n’a pas besoin d’explications complémentaires et qui vient m’enculer.
Je me fais relativement peu souvent, sodomiser, ma sexualité s’étant au fil des temps orientée vers ces dames, mais j’avoue ne pas détester la pratique lorsqu’elle est bien faite, et en l’occurrence, Max est un délicieux enculeur.
– T’aimes ça, ma cochonne ! Commente Anna.
– Ben quoi !
– Je me demandais si… Non rien.
– Comment ça, rien ? Toi aussi t’aimerais l’avoir dans le cul ?
– Juste un peu !
– Qu’est-ce que t’en penses, Max ?
– Après une petite pause, parce que là, je sens que ça vient !
Il accélère légèrement sa cadence, des ondes de plaisir commencent à m’envahir, je sens que je vais jouir par le cul, Max se rend compte de mon excitation, du coup c’est contagieux, il accélère davantage, je gueule comme une baleine en inondant mes cuisses tandis que l’homme s’enfonçant au plus profond de mon être éjacule en soufflant comme un bœuf.
Il décule, retire sa capote, dévoilant une bite poisseuse de sperme.
– Je vais me faire une rincette ! Déclare-t-il
– Laissez-nous ce plaisir ! Répliquais-je ne lui gobant la bite.
– Il est délicieux son foutre Commentais-je en me léchant les babines.
– T’aurais pi m’en laisser un peu.
– Viens m’embrasser, il doit en rester dans ma bouche.
Proposition qui n’est pas resté sans suite, vous vous en doutez bien !
– Je boirais bien un jus de fruit ! Nous dit Max.
J’aurais préféré des propos plus tendres, mais ça ne fait rien, il n’est pas méchant Max, je me lève et vais chercher à boire.
Je reviens dans la chambre sans me presser, Anna est en train de se faire des tripoter les seins par Max. C’est bien les bonhommes, ça, les seins, toujours les seins. Il lui tripote les tétons, les pinçouille.
Dans trente secondes, à tous les coups, il va les sucer.
– Je croyais que t’avais soif ?
– Il y a des moments où on oublie sa soif ! Répondit Max dans un grand élan romantique.
J’ai l’air d’une cloche, moi avec ma bouteille de jus d’ananas et mes trois verres.
Mon portable que j’ai laissé à côté sonne, j’aurais très bien pu ne pas répondre, mais bon, c’est une copine qui me demande des trucs, et comme mes copines sont toujours bavardes, ça dure bien un quart d’heure et quand je reviens dans la chambre, Max et Anna se pelotent et se bécotent comme des amoureux…
Anna se rendant compte de ma présence se met en levrette, en fait elle m’attendait pour se faire sodomiser devant moi. Max se remet une capote et lui pénètre le cul avec beaucoup de douceur. Elle est trop belle Anna quand elle se fait enculer… De toutes façons, elle est toujours belle ! Cinq minutes après nos deux tourtereaux se désemboîtaient après avoir jouis peu discrètement.
A suivre
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