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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 9 – Orgie au donjon par Chanette
La semaine suivante, Honoré me confirma sa venue, j’en profitais pour lui suggérer d’arriver une dizaine minutes en avance. Ce qu’il fit.
– Dépêche-toi de te déshabiller, je vais te montrer quelque chose qui va te plaire. En fait, il y a du monde, si tu le souhaites je te mets une cagoule.
Il accepte la cagoule, mais avant, il se fout à poil après m’avoir donné ma petite enveloppe, je lui passe un collier de chien muni d’une laisse, lui fixe des pinces sur ses tétons, lui ligature les couilles, lui envoie quelques claques et lui crache dessus pour faire bonne mesure et l’entraine dans le donjon.
Sur place, il découvre deux soumis non masqués, l’un deux est Nœud-pap l’autre est Didier Remiremont, un détective privé rencontré lors d’une de mes aventures rocambolesques, ces deux-là ont d’ailleurs eu l’occasion de se rencontrer (voir Chanette – 20 la clé)… Ils sont à genoux tous les deux, l’un à côté de l’autre. Je ne me livre évidemment à aucune présentation.
J’attache Honoré en lui clipsant les poignets à l’aide d’une double poulie descendant du plafond. Puis je m’approche des deux soumis, et leur tortille les tétons ce qui ne tarde pas à les faire joliment bander
– Alors, Honoré, qu’est que tu en penses de ces bites ?
– Elles sont belles !
– T’aimerais bien les sucer, hein ?
– Oui, maîtresse !
– Allez-y, les pédés faites ce que je vous ai demandé. Demandais-je à mes deux soumis.
Les deux hommes se levèrent et se positionnèrent face à face, Nœud-pap effectua une flexion des genoux et se retrouva le visage contre la bite de Didier. Et sans autre forme de procès se la mit en bouche.
– T’as vu ce qu’ils font ces deux pédales ? Ça t’excite, hein ?
– Oui, maîtresse !
Et étant donné l’état de sa bite, il ne mentait pas.
– Et attends, ce n’est pas fini, ils vont s’enculer devant nous !
Je me déplaçais pour recouvrir la queue de Didier d’une capote. Nœud-Pap se mit en levrette et écarta ses fesses offrant son trou du cul aux assauts de Didier.
– Regarde comme c’est beau, une bite qui rentre dans un cul !
– Oui, oui ! Répond Honoré, les yeux exorbités.
Et pendant qu’il regarde, je passe derrière lui et lui flanque quelques bons coups de martinet sur ses fesses.
C’est toujours curieux ces séances collectives, et puis ce n’est jamais pareil, il y a parfois de grands timides qui une fois le fantasme réalisé, ne savent plus où se foutre, se cache la queue et regarde partout s’il n’y a pas une lingette qui traine. Il y a ceux qui sont pressés de partir.
Aujourd’hui c’est différent, Nœud-Pap assume complètement son fantasme sans l’ombre d’une quelconque honte. Personne ne pourrait deviner cependant que ce commerçant en salles de bains, bien propre sur lui vient chaque semaine se faire faire des petites misères et quand l’occasion se présente jouer avec la bite d’un autre soumis !
Didier c’est différent, je le vois moins souvent, mais parfois ça lui prend, il est plein d’humour et parfois il vient accompagné de sa secrétaire, Tanya, une belle blackette peu farouche et à la peau de satin.
Les coups de boutoir de Didier se font de plus en plus rapides, il a maintenant le visage congestionné tandis que Nœud-Pap pousse de petits cris de satisfaction.
Et puis tout d’un coup, ça se termine, Didier en nage jouit dans le fondement de son partenaire, puis décule laissant l’anus de Nœud-Pap béant.
– Ça m’a fait du bien de t’enculer ! Commente Didier en embrasant Nœud-Pap dans un grand élan de tendresse.
Je me marre parce que Nœud-Pap n’est pas vraiment friand de ce genre de privauté.
Didier sort du donjon, je le raccompagne et on échange quelques mots.
Quand je reviens, Nœud-Pap s’est assis sur une chaise, et il attend la suite, comme beaucoup de mes soumis ses tendances bisexuelles sont prioritairement passives, mais il sait que pour recevoir il faut aussi parfois savoir donner.
Tout à l’heure Nœud-Pap enculera Honoré, mais il n’y a pas le feu, il a payé pour une heure, je vais lui en donner pour son argent..
Je le libère de ses liens et lui présente mes petites fesses.
– Allez, esclave, viens me lécher le trou du cul !
– Oui, maîtresse !
Il a une façon assez atypique de faire ça, il est en train de me chatouiller l’anus, ce con !
– Alors, il a quel goût mon cul ?
– Il est délicieux, maîtresse !
Ils disent tous la même chose, ça doit être vrai, il faudrait que j’y goûte, mais je ne suis pas assez souple !
Je me livre ensuite à quelques figures imposées, coups de martinet sur les fesses; pinces sur les tétons et évidemment histoire de lui donner un avant-gout de ce qu’il l’attend in fine, gode anal .
Le temps passe vite dans ce moment-là, je promène Honoré en laisse, l’amène devant Nœud-pap.
– Allez, suce cette bite ! Elle est à toi !
Alors là, il n’en peut plus, on dirait un gosse à qui on vient de donner un gros rocher Suchard
Il gobe, il lèche, il suce, sa bite tendue comme un arc laisse perler quelques gouttes de pré jouissance. Quant à Nœud-pap il ferme les yeux, invoquant je ne sais quels fantasmes.
– Doucement les pédales, il ne s’agit pas de jouir trop vite ! Honoré, arrête de sucer, mets-toi en levrette et écarte bien ton gros cul.
J’encapote Nœud-pap, qui a toujours eu du mal à le faire lui-même, je remets du lubrifiant sur le cul d’Honoré… et c’est parti mon kiki.
Honoré a pris toute la queue de son partenaire dans le cul, il ânonne de plaisir, je fous des claques sur les fesses de Nœud-pap pour le stimuler. Honoré se touche le zizi, je l’en empêche.
Je pensais que ce petit divertissement durerait plusieurs minutes, mais en fait Nœud-pap s’excite tout seul, accélère, devient rouge comme une pivoine, accélère encore, jouit dans la capote et décule laissant l’anus d’Honoré béant.
Nœud-pap sort du donjon pour aller se rhabiller. J’ordonne à Honoré de se coucher par terre.
– Je vais te pisser dessus, tu as le droit de te branler pendant ce temps-là.
J’ouvrais les vannes et visait sa bouche, il avala mon urine comme un glouton tandis que sa main branlait sa queue. Il finit par jouir dans râle.
– Merci maîtresse !
– C’était exceptionnel, je n’aurais pas trois soumis à chaque fois… mais de temps en temps… Bon tu veux prendre une douche ?
Bref, j’avais fidélisé ce bonhomme qui n’était pas trop chiant et qui payait bien.
Retour au samedi 23
Le soir, Max rend compte à Anna :
– Ça se complique ! J’ai récupéré la cassette avec le caillou qui, entre parenthèse est en zirconium, mais en ce qui concerne les manuscrits, ils sont retournés chez leur propriétaire légal !
– Comment ça ?
Il lui explique ce qu’il a appris.
– Donc je ne peux pas les restituer à Lamboley ! Commente Anna
– Je ne vois pas comment ?
– Bon, je te remercie, Max, je vais me débrouiller
– Ce Lamboley, si tu te fâches avec lui, c’est grave ?
– J’aimerais mieux éviter, c’est un gros client, il connaît plein de monde et il est assez influent dans le marché de l’art !
– Tu vas faire quoi ?
– Je vais payer de ma poche ! Que faire d’autre ?
– Je ne me vois pas, les piquer chez la marquise, ça ne les priverait pas beaucoup, mais ça me parait vraiment trop compliqué ! Mais je vais quand même enquêter du côté de ce Lamboley, donne-moi son adresse.
Mardi 26 mars
Max est retourné chez son patron le dimanche et le lundi et lui a tout expliqué et indiqué qu’il reviendrait à Paris le mardi afin de tenter de finaliser l’affaire.
Sans plan précis mais comptant sur son sens de l’improvisation Max se rendit à « La Balustrade » le magasin d’antiquités de Jean-Pierre Lamboley
– On m’a dit que vous vendiez des manuscrits…
– Ah, non, vous confondez, les gens se trompent souvent, c’est à cause d’Internet, c’est mon frère Daniel qui vend des manuscrits, je vais vous donner sa carte !
Il n’en revient pas, Max ! Et il s’en va s’assoir dans un bistrot afin de réfléchir un peu.
« Rue de Vaugirard ! Ce mec est le frère du libraire, mais qu’est-ce qu’ils fabriquent tous les deux ? N’empêche qu’on peut désormais reconstituer le circuit : le libraire confie les manuscrits à son frère qui les refile à Anna à titre de gage, laquelle se les fait piquer deux fois par Francis Larive qui les revend au libraire lequel les restitue à la marquise ! Quelle salade ! Cela dit je ne suis pas plus avancé, Anna devra mettre de sa poche ! »
La mission de Max étant terminée, celui-ci fut invité au restaurant par Anna qui sachant pertinemment comment ça risquait de se terminer, m’invita également.
La conversation allait bon train et Max se faisait un plaisir de narrer ses pérégrinations en les enjolivant volontiers
– Des châtelains de caricature ! Marie-Josèphe et Honoré de la Villandière ! On n’a pas idée de s’appeler comme ça !
– Pourquoi pas ? Balzac s’appelait bien Honoré ! Répondis-je histoire de sortir ma science.
– C’est vrai, mais n’empêche que c’est démodé.
– Pas si, sûr, j’ai un client qui s’appelle comme ça !
– Tu ne vois pas que ce soit le même ?
– Qui sait ?
– Il est comment ton client ! Demande Max, décidément bien curieux.
– Très correct, pourquoi ?
– Je veux dire : il ressemble à quoi ? Il est comment ?
– Genre aristo.
– Il n’aurait pas une grosse verrue au milieu du front par hasard ?
– Si !
Max exulte :
– Putain, c’est le même ! C’est quoi tes relations avec lui ?
– Correctes, sympas, mais ça reste très professionnel.
– Ça ne va plus loin ?
– Je ne cherche pas à ce que ça aille plus loin !
– Et lui ?
– Lui, il ne dirait pas non, il a voulu me payer le restau, j’ai refusé, par principe.
Deux mots d’explications à ce propos : si j’apprécie comme il se doit de manger à une bonne table, m’y rendre avec un parfait inconnu qui ne partage pas obligatoirement mes opinions et mes centres d’intérêt est pour moi une véritable corvée, alors je zappe.
– Eventuellement, tu pourrais le manipuler ?
– Sauf que je ne manipule pas les gens qui ne m’ont rien fait !
– Même si ton client ne subirait aucun dommage ?
– Comment ça ?
Et Max expliqua son plan, un machin assez tordu.
Si la seconde partie du plan me semble « gonflée », la première qui me concerne directement m’apparaît parfaitement jouable et même amusante. Et puis je peux bien faire ça pour Anna.
Evidemment ce qui devait arriver arriva, Anna nous proposa le traditionnel « dernier verre » chez elle
A suivre
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