Boris

Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:34

Esclave ! par Boris Vasslan

 

Domina

Esclave !

 

Esclave, si tu veux me revoir

Dans l’intimité de mon petit boudoir,

Des fleurs, tu m’apporteras parce que cela me touche

Pour te remercier, je te cracherais en bouche.

En arrivant tu te mettras tout nu,

Tu m’exhiberas tes fesses charnues

Que je fouetterai de plusieurs coups de badine.

Puis je te ferais avaler mon urine,

Et de lécher mon anus odorant,

Je t’en serais reconnaissant.

Tu viendras samedi prochain

A dix heures trente du matin,

Je serais avec Patrick et Benoît,

Deux larves aussi pédés que toi,

Tu devras leur sucer leur bite

Qui ne sont point petites

Avec ta langue de pédale

Tu leur feras un festival

Ensuite Julien t’enculera

Puisque tu n’es bon qu’à ça !

Signé

Ta maitresse adorée

Qui te pisse à la raie

PS

On se donne une heure pour faire ça

Et 300 euros tu m’apporteras

maitresse 1710c

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:26

Partie spéciale chez Monsieur Charles par Boris Vasslan

Spanking

 

 

Le thème du type (ou de la fille) qui suite à un gage, doit se rendre dans un lieu inconnu où on lui fera subir milles outrages est un grand classique. La plupart du temps tout se passe à merveille pour le héros, ça baigne même dans l’huile… la réalité est parfois légèrement différente !

Elisa m’a demandé de coucher tout ça sur papier. Pourquoi pas ?

Je suis Arnaud, j’ai la trentaine bien entamée. Quatre mois que je suis avec Elisa, une belle brune aux cheveux bouclés. Au lit c’est une bombe, une imagination débordante. On joue souvent à des petits jeux de soumission/domination. On tire au sort lequel sera le soumis, et on y va. Je devais avoir quelques penchants pour ce genre de choses mais je ne pratiquais pas, maintenant je suis en plein dedans.

Le tirage, ce soir-là, a voulu que je perde. Mais je suis content de perdre. Je m’attends à être la victime consentante d’un des scénarios préférés de ma dominatrice de charme. Et bien non, elle passe un coup de téléphone et m’annonce simplement :

– Tiens, je t’ai écrit l’adresse : Demain tu te rendras à cet endroit, à 18 h 30. Surtout ne sois pas en retard, tu y seras attendu et tu feras ce qu’on te dira de faire. Après je veux un compte rendu bien détaillé et bien rédigé, je suis sûre que ça va me faire mouiller. Bon, on mange ?

Déception ! Interrogation ! Mais je ne me défilerai pas.

L’adresse est en proche banlieue ouest. Je m’y rends par les transports en commun. L’immeuble sent le fric comme ce ne devrait pas être permis. Je monte au premier, une soubrette en tenue d’opérette plutôt mignonne, blonde, frisée comme un mouton et trop maquillée m’ouvre. Elle sent bon, mais ne semble pas savoir sourire :

– Bonjour, je suis Arnaud !
– Suivez-moi !

On ne lui a jamais appris à dire bonjour, à la bonniche ? Je la suis dans une sorte de vestibule contigu…

– Voilà, confiez-moi vos vêtements, vous aurez le vestiaire numéro 3.

Elle ouvre un petit dressing, y colle mon blouson, puis reste plantée devant moi quelques secondes avant de me préciser :

– Il faut me confier tous vos vêtements.
– Vous voulez dire que je dois me déshabiller ?
– Oui, entièrement ! Même les chaussettes, la montre… et les lunettes aussi, sauf si vous êtes trop binoclard…

Bon ! Par un réflexe de pudeur incongru je me tourne et j’enlève tout. Je lui tends les trucs en me cachant le sexe. Elle pend le pantalon et le polo après un cintre, puis enferme le slip, les chaussettes, les lunettes et la montre-bracelet dans un petit sac avec une étiquette portant le n°3. Elle étiquette également les pompes ! Quelle organisation !

– Suivez-moi !

OK, je la suis dans un grand couloir et nous voici dans une immense salle de bain.

– Voilà du gel de rasage et des rasoirs, vous rasez tout ce que vous pouvez, je vous aiderai pour les endroits difficiles !

Glups !

– Ecoutez, je vais vous confiez un truc, je suis ici suite à un gage que j’ai perdu, et j’ignore quel genre de choses se déroulent ici…
– Je ne suis pas autorisée à répondre à vos questions. Si vous pouviez commencer à vous raser, on n’a pas toute la soirée.
– Je suis vraiment obligé ? Demandais-je stupidement.
– Oui ! Si vous avez vraiment peur de vous couper, je peux – éventuellement – le faire à votre place ! Me propose-t-elle.

Le ton employé montre bien qu’elle espère que je ne ferais appel que le moins possible à ses services.

– Non, je vais me débrouiller, c’est comment votre prénom ?
– Je n’ai pas à vous le dire !

Charmante !

Je ne suis pas très poilu, mais ça en fait quand même de la surface à raser, je commence par les jambes, puis le torse, puis les bras (pas évident le bras droit avec la main gauche), puis le zizi. Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs que j’ai usé !

– Je vous laisse le verso ?

Elle ne répond pas, pousse un grand soupir, puis prend un rasoir neuf, me badigeonne de gel et entreprend de finir tout ça.

– Maintenez vos fesses écartées que je vous rase le trou du cul !

Quel langage !

Elle me passe ensuite une serviette chaude, puis un gel apaisant. J’aurais bien pris une douche, mais ce ne doit pas être dans ses intentions.

– Donnez-vous un coup de peigne, vous avez l’air d’un pétard. M’ordonne-elle en me tendant l’instrument idoine.

Elle m’énerve, heureusement que je suis très joueur ! Elle me tend une cuvette.

– Pissez là-dedans !

Et puis quoi encore ?

– Vous allez me faire une analyse d’urine ? Tentais-je de plaisanter.
– Vous n’êtes pas ici pour poser des questions, mais pour obéir !

Et toc !

Je pisse donc comme demandé, elle trempe ensuite un gant de toilette propre dans la cuvette. Mais qu’est-ce qu’elle fabrique ? Elle me le tend !

– Voilà, badigeonnez-vous le sexe avec ça, les couilles et les fesses aussi. Monsieur Charles n’aime pas les bites qui sentent la savonnette.

De mieux en mieux, elle m’a envoyé où, Elisa ? Et qui c’est, ce monsieur Charles ?

– Suivez-moi !

Ah ! Je vais peut-être découvrir d’autres personnes ! Ben, non, nous voilà dans un petit vestibule (il y a combien de pièces dans cette baraque ?) Elle regarde mes jambes, et me choisit une paire de bas noirs auto-fixant qu’elle m’invite à enfiler, puis elle me passe un collier de chien autour du cou, il est tout rose et muni d’une laisse. C’est donc une séance de domination, je m’en doutais un peu, mais cette fois ça se précise !

Elle sort ensuite de la poche de son tablier deux pinces qu’elle m’accroche au bout des tétons avant d’y ajouter des poids. Ça tire pas mal, mais cette sensation ne me déplaît pas. Elle me passe ensuite une ficelle, enserrant mes couilles et la base de ma verge… et elle serre bien fort !

– Je suppose que vous ne savez pas marcher avec des escarpins ? Me demande la soubrette.
– Pas vraiment, non !
– Pff ! Alors mettez-vous à quatre pattes !

J’obéis, elle prend son portable !

– La salope n°3 est prête, madame !

Ah, bon, je suis la salope n°3 ! Je vous dis, on est en pleine poésie !

Je n’entends pas ce que la madame lui répond, mais la soubrette me tire par la laisse et me fait avancer dans le couloir. C’est assez pénible avec les poids qui se balancent et qui tirent sur mes chairs, mais bon, on est maso où on ne l’est pas ! Devant une porte se tiennent deux hommes agenouillés dans le même accoutrement que moi, je suppose donc qu’il s’agit des « salopes » n°1 et 2. J’ignore s’il faut dire bonjour, alors j’esquisse un sourire niais auquel personne ne me répond. Ça manque terriblement d’humour et de convivialité chez ces gens-là !

– Vous mettez vos avant-bras sur le sol et vous ne bougez pas !

Super la position ! Mais qu’est-ce que je fous là ? Comme ça s’éternise je mijote un plan de fuite (au cas où…) et me rends compte avec horreur que j’ignore à quel endroit se trouve le vestibule où sont restées mes affaires. Je suppose néanmoins que si je décide de quitter ce cirque, on ne va pas m’en empêcher. Bon pour l’instant j’attends.

Au bout d’un quart d’heure la porte s’ouvre, mais il y a une tenture qui me cache l’intérieur. Une femme arrive. J’appris plus tard qu’elle se prénommait Vony. Comment la décrire, pas toute jeune mais bien conservée, rousse, la chevelure abondante et frisée, elle est habillée de noir, une guêpière à fines bretelles, des bottes, des bas résilles tenus par un porte-jarretelles, elle a également de très longs gants de velours noirs. Ses jolis seins (un bon 95 D) et sa chatte poilue sont à l’air. Joli spectacle. Vraiment !

Vony embarque le premier esclave et le fait avancer à coups de cravache. Ça me fout un peu les boules, mais c’est une séance de domination, pas une soirée chez les bisounours.

Le second est embarqué quelques minutes après, puis c’est mon tour.

– Avance, salope !

Mika Vony B10bLa salope, elle avance, et même que je me fais rougir les fesses. C’est supportable mais limite, Elisa ne m’a jamais flagellé aussi fort.

J’arrive au milieu d’une très grande pièce où on me demande de me mettre debout et où je découvre la petite assemblée :

Sur le canapé (très classe, le canapé) trône un gros bonhomme complètement à poil et assez adipeux. Je suis persuadé de l’avoir déjà vu quelque part, peut-être à la télévision. A sa droite un grand blond moustachu de type nordique, il ne s’est pas déshabillé mais a tout de même son pantalon et son caleçon sur les genoux, et il se caresse sa queue, une belle queue ma fois. Sur sa gauche un travesti ou un transsexuel à la peau bronzée et au visage très fin, il a gardé le haut, retiré le bas mais conservé son slip en faisant ressortir sa jolie bite sur le côté.

Une autre femme dans la même tranche d’âge que Vony se tient debout sur le côté, la cravache à la main, Elle est accoutrée de la même façon que l’autre femme (à ce détail près que sa guêpière n’a pas de bretelles). Elle a un joli visage très ovale et des cheveux bruns assez courts. Elle se prénomme Mika. Belle et forte poitrine, elle aussi.

La soubrette est restée, elle s’est mise, elle aussi, sa chatte et ses petits seins à l’air. De l’autre côté sur deux fauteuils contigus se tient un couple assez BCBG, la femme sans doute proche de la cinquantaine, mais possédant un charme nature évident est une brunette frisée à lunettes au minois intéressant, vêtue d’une petite robe bleue sans manche, assez moulante et bien décolletée. L’homme est très commun, la vingtaine, visage standard, lunettes rondes, barbe de trois jours et costume de ville. Ils sont pour le moment très sages et pas du tout débraillés.

– Joli lot ! Commente le gros patapouf.
– Tournez-vous, que Monsieur Charles voie vos fesses de pédés.

Le Monsieur Charles (Patapouf) semble donc bien être l’ordonnateur de cette étrange soirée. Et c’est donc lui l’amateur de bites parfumées à l’urine !

– Celui-ci me convient très bien ! Déclare-t-il en me désignant.

La perspective de faire des choses avec cette grosse limace libidineuse me refroidit, mais je n’arrive pas à me décider à partir.

– Faites-vous lécher le cul, Mesdames ! Demande Patapouf. J’espère qu’ils sont bien merdeux !
– Nous ne nous sommes pas essuyées de la journée, Monsieur Charles, répond Vony. Mais je suppose que vous souhaitez vérifier ?
– Je vous croie sur parole, mais faites-moi tout de même sentir. Je ne vais quand même pas me priver de ce plaisir !

Vony offre ses fesses à Charles, se les écarte. Il y porte le nez, hume !

– Quelle odeur ! J’adore !

Il donne quelques coups de langue, puis la congédie d’une tape sur les fesses.

– Mika, à ton tour.

Patapouf réitère son bref léchage de cul. Puis c’est le tour de la bonne qui après avoir exposé son cul se reçoit une gifle en pleine poire.

– Mais pourquoi, Monsieur Charles ? Je n’ai rien fait ! Proteste-telle mollement
– Je n’ai pas dit que tu avais fait quelque chose !

Puis, chaque esclave se retrouve le visage devant le cul d’une des femmes, j’hérite de celui de Vony. Ça ne sent pas trop la rose, mais c’est « moins pire » que ce que je pensais et faire ce genre de chose ne me rebute pas trop, bien au contraire. Je prends donc plaisir à bien nettoyer ce joli cul de toutes éventuelles traces suspectes. Je suis quand même surpris quand elle me lâche un pet en pleine poire.

– Ce sont les haricots de ce midi ! Se croit-elle obligé de me préciser.

La réplique fait hurler de rire Patapouf qui bande comme un malade.

– Viens me sucer ! M’ordonne-t-il.

Berck !

– Non je m’en vais ! Au revoir m’sieu-dames ! Répondis-je du tac au tac, devant l’assistance incrédule.

Je franchis la porte du salon, je me demande si on va me courir après ? Non ! Qu’est-ce que je vais raconter à Elisa ? Après tout je m’en fous, ce n’est pas parce que j’ai des tendances masos que je suis prêt à faire n’importe quoi ! Où est donc ce putain de vestibule ? Près de la porte d’entrée, bien sûr, cette porte, non ! Celle-ci ? C’est celle-ci ! J’entre, je me débarrasse de mes pinces et des ficelles qui me serrent les couilles. Puis tente de faire jouer la glissière du dressing et constate que c’est fermé à clé ! Malédiction !

Il me reste quoi comme solution ? Piquer des fringues quelque part (où ?) et partir, puis revenir chercher mes affaires le lendemain ? Non ! Attendre dans le vestibule que la partie se termine ? Pas terrible ! Retourner là-bas et exiger qu’on me rende mes affaires ? Peut-être ? M’avouer vaincu, revenir et accepter la punition qu’on ne manquera pas de m’infliger ? N’importe quoi ? Quoiqu’après tout cette humiliation peut-être très excitante, et puis quand j’y pense, qu’est-ce que j’en ai à foutre, finalement de sucer ce gros porc, je fermerais les yeux, et ça réglera le problème.

Je reviens donc et mon retour s’exécute dans l’indifférence quasi générale ! La bonniche stoïque me remet des pinces et des poids au bout des seins, et une cordelette autour des couilles, puis me toise avec un mépris, mais avec un mépris du genre faut le voir pour le croire. Elle m’énerve, celle-ci, elle m’énerve ! J’attends la punition : ben non pas de punition pour le moment ! La salle offre un joli spectacle : Vony se fait flageller par Mika (j’apprendrais par la suite que Patapouf a exigé d’elle qu’elle soit punie pour avoir recruté un esclave – moi, en l’occurrence – qui ne s’est pas montré à la hauteur.) Les esclaves n°1 et 2 sucent respectivement le travelo et le blondinet. Personne ne s’occupe de Monsieur Charles, alors j’y vais (si ce n’est pas du masochisme ça, qu’est-ce donc alors ?), s’il me jette on verra bien, il ne me jette pas et j’ai déjà sa grosse bite dans la bouche.

– Mika, tu peux arrêter de fouetter cette salope ! Ordonne-t-il.

Patapouf a beau être laid comme un pou, il faut bien avouer que sa bite est bonne, douce, onctueuse, en bref : bien agréable à sucer.

– Humm ! Tu me suces trop bien, petite pédale, Je vais t’enculer, tu m’excites de trop ! Me dit-il.

Ben voyons ! Et bien qu’il m’encule et par derrière, comme ça je sentirais bien sa bite sans voir sa tronche de gros porc !

Il se dégage, se lève, puis se penche pour me sucer un peu la bite et le trou du cul. Il ne fait aucun commentaire mais à sa mine réjouie, je devine qu’il apprécie tout ça. Il m’invite ensuite à me positionner en levrette près du couple discret. Il me crache sur le trou du cul, puis introduit un doigt qu’il fait aller et venir.

– Ça vous plaît, le spectacle ? Leur demande-t-il ? Vous ne voulez pas participer ?
– Non, non, nous on regarde ! Répond le jeune homme.

Et hop, ça y est j’ai la bite de Patapouf dans le cul ! C’est entré tout seul, et ça fait du bien quoique le mec manque quand même de délicatesse.

– T’aimes ça, te faire enculer, hein pédale ?
– J’adore ! Allez-y défoncez-moi ! Répondis-je, entrant dans son jeu.

Je ne vais pas le contrarier, d’autant qu’il faut bien avouer que sa prestation a tendance à s’améliorer.

Regard circulaire dans la salle, Vony est en train de sodomiser le grand blondinet à l’aide d’un gode ceinture. L’esclave n°1 et le travesti semblent ne plus pouvoir se décoller et paraissent partis pour un soixante-neuf interminable au pied du canapé. Mika se fait lécher la chatte par l’esclave n°2, quant à la bonne, elle semble attendre, stoïque, que quelqu’un veuille bien faire appel à ses services.

L’autre me laboure de plus en plus vite, me provoquant d’étranges frissons d’extase et finit par décharger en poussant un cri étouffé.

– Je ne pensais pas jouir si vite, mais tant pis, il était trop bon ce cul de pédé, maintenant il faut que je recharge les batteries. Commente-t-il à haute voix et d’un air pleinement satisfait.

Puis il s’adresse de nouveau au jeune voyeur :

– Alors, ça vous a excité ?
– Bien sûr !
– Pourquoi vous ne vous branlez pas alors ?
– Non, non, nous on regarde ! Répète-t-il.
– Vous devriez quand même sortir votre bite, elle serait plus à l’aise.
– Tout à l’heure peut-être !

C’est alors que sa compagne intervient :

– Moi, ça ne me déplairait pas que tu le fasses !
– Que je fasse quoi ?
– Que tu fasses ce que te conseille monsieur.
– Ah, bon ? Mais tes désirs sont des ordres, ma chère maman.

Ah ? Parce que c’est donc sa mère ?

Et le voilà qu’il extrait de sa braguette une bien jolie biroute superbement bien bandée.

– Oh ! Mais ce que vous avez une très jolie bite ! Félicitations ! Vous n’aimeriez pas que cet esclave vous la suce ? Reprend Patapouf.
– Non, non, nous on regarde !
– Monsieur l’esclave, intervient Claudine, ne vous occupez pas de ce qu’il raconte et sucez-le s’il vous plaît, mais ne le faites pas jouir.

J’aime bien le « Monsieur l’esclave », mais je ne sais que faire ! Monsieur Charles m’encourage !

– Allez, suce, pédale, suce cette bonne bite !

Allons-y pour la deuxième bite de la soirée. Je m’en fous, j’aime bien sucer. Je ne l’ai pourtant pas fait si souvent, mais je kiffe.

Monsieur Charles qui a compris comment le type fonctionnait s’adresse à sa femme :

– Vous devriez conseiller à monsieur de se foutre à poil, ce serait plus esthétique.
– Voilà une excellente suggestion, qu’attends-tu Henri ?
– Ça me gêne un peu !
– Ce n’est pas un argument valable, déshabille-toi !

Henri obéît après avoir regardé sa mère avec un air de chien battu. Il se rassoit et je reprends ma fellation.

– Et s’ils inversaient les rôles ? Suggère Monsieur Charles.
– Justement, j’y réfléchissais ! Répond Claudine avec une moue malicieuse.
– Mais enfin maman, tu n’es pas sérieuse ?
– Si, si, et arrête de faire l’innocent, tu savais bien ce qui risquait de se passer en m’accompagnant ici !
– On avait dit qu’on venait juste pour regarder !
– Pfff ! Tu parles !

Personne ne me dit d’arrêter de sucer, donc je continue. Monsieur Charles parle à Claudine.

– L’odeur du trou du cul de Vony, tout à l’heure, c’était quelque chose, les autres aussi d’ailleurs. J’adore les culs qui sentent un peu, ce doit être aphrodisiaque.

Claudine ne sait pas trop quoi lui répondre et se contente d’un sourire poli.

– Et vous ? reprend-il.
– Pardon ?
– Et vous ?
– Mais c’est quoi la question ?
– Vous devez avoir aussi le cul qui sent un peu, à cette heure-là ?
– A vrai dire je n’en sais rien, mais si voulez vérifier, je veux bien vous le faire sentir.

Henri n’en croit ni ses oreilles ni ses yeux. Il se dégage de ma bouche et assiste incrédule au spectacle de sa mère qui se lève et se déshabille, ne gardant que ses bas auto-fixant en résilles rouges. Elle n’est pas mal dans le genre MILF, petite blonde frisée au corps harmonieux avec de jolis seins un peu lourds aux larges aréoles roses.

– Voilà mon cul, il est à votre disposition, monsieur Charles.

Il renifle, il lèche, il met un doigt. Elle se laisse faire. Puis je suppose qu’il a une crampe, il se relève.

– Félicitations, vous avez un vrai cul de princesse.

Et miracle, il rebande !

– Bon on avait dit qu’on invertirait les rôles de ces deux-là ! Reprend-il
– Ben alors Henri ! Le presse Claudine.

Et devant son fils ébahi, elle entreprend d’abord de sucer la bite de Monsieur Charles avant d’attaquer la mienne avec ardeur. Tous les participants sont à présent en cercle autour de nous à profiter du spectacle.

– Elle a petit goût salé votre bite ! Remarque-t-elle.
– J’espère que cela ne vous dérange pas ? Répondis-je par politesse
– Hon, hon ! Fit-elle en gardant la bouche pleine.

Henri profite du spectacle en bandant toujours autant mais reste dans son coin.

– Bon alors, Henri, tu te décides à venir me rejoindre ou tu préfères que je demande à l’une de ses dames de te fouetter pour t’aider un peu ?
– Ça va trop loin, maman !
– Je ne suis pas de cet avis ! Répond-elle. Si tu te sens gêné, tu n’es pas obligé de rester, mais moi je me sens très bien ici !

Il regarde autour de lui, puis se jette à l’eau.

– C’est bien pour te faire plaisir !
– Suce et tais-toi, sale gosse !

Ils me sucent tous les deux, je suis aux anges. Un moment Claudine, complètement excitée me laisse seul avec Henri, et jette son dévolu sur la queue du blondinet qui bien sûr se laisse faire. Il ne tarde pas à jouir et elle se retrouve avec la bouche pleine de sperme.

– Vous avez la permission de m’embrasser à pleine bouche ! Me dit-elle alors.

Cela n’a rien d’un baiser fougueux, je suppose que n’ayant ni envie d’avaler, ni de cracher, elle m’a simplement choisi pour que je l’en débarrasse. Ah ! Les femmes !

Henri me fait bander comme un âne avec sa sucette. Le travelo passe derrière lui, se baisse et lui fout un, puis deux doigts dans le cul, ça le fait se trémousser. Cet Henri me parait jouer les faux puceaux de la fesse et sa mère n’est pas dupe.

– Un peu à mon tour sollicite le trans ! Donne-moi ta bouche !

Henri se tourne donc pour le sucer, me voilà largué. Sur le fauteuil, Claudine les jambes en l’air est en train de se faire pénétrer l’anus par Blondinet, (il a déjà retrouvé la forme, celui-ci !) lequel se fait à nouveau défoncer le cul par Vony et son gode-ceinture diabolique. Tout ce petit monde finit par s’écrouler au bout d’une dizaine de minutes avec un synchronisme étonnant.

Le travesti a trouvé le moyen de sodomiser Henri, encouragé par Claudine qui s’est déjà remise de ses émotions. Ça ne dure pas très longtemps, l’autre lui jouit dans le fondement, Henri n’en peut plus, il esquisse quelques mouvements de masturbation et son sperme fuse en de longs jets. La soubrette s’en va de suite chercher une lingette nettoyante en poussant un soupir d’exaspération.

On se calme un peu, Henri aurait bien quitté la fête, mais Claudine lui fait de nouveau savoir que pour l’instant elle s’amuse très bien et qu’elle souhaite rester là. Patapouf revient à sa place sur le canapé ainsi que les deux zigotos qui l’entoure, il interpelle Vony :

– Cet esclave est très bien, mais tout à l’heure, il a fait une grosse bêtise, je pense donc qu’il convient de le punir, ne serait-ce que par principe.
– J’allais justement vous le proposer ! Avez-vous une suggestion ?
– Un petit doublé comme l’autre fois ! Cela va nous permettre de punir en même temps que celui-ci, un esclave qui n’a commis aucune faute. Voilà une injustice que je trouve absolument excitante !

J’ignore ce qu’est ce « doublé », je verrais bien.

Vony commence par appeler l’esclave n°1, lui retourne une double paire de gifles, lui crache au visage, et lui tire douloureusement sur les tétons, puis sur les testicules. Il pousse des petits cris de douleurs ponctués de « merci maîtresse » assez pathétiques.

– Qu’est-ce que tu as fait comme bêtise ? Lui demande Vony.
– Je ne sais pas ! Bredouille l’autre.
– Alors tu vas être puni pour ne même pas savoir ce que tu as fait comme bêtise.
– Oui, maîtresse !

Et c’est mon tour, allons-y : baffes dans la gueule, crachats et tout le reste. Ce qui est remarquable c’est que manifestement Vony prend son pied en faisant ce genre de choses, ses cuisses dégoulinent. Quelle belle salope !

On nous attache ensuite ensemble, torse contre torse (je devrais dire bite contre bite). Vony et Mika nous tournent autour et nous cravachent, je commence à avoir les fesses toutes rouges, moi.

Elles finissent par nous détacher, j’ai le cul en feu, je crois l’affaire terminée, pas du tout, elles nous rattachent mais cette fois dos contre dos. Je n’aime pas qu’on me fouette par devant, mais bon… On commence par nous poser une accumulation de pinces, un peu partout sur le torse, une bonne dizaine, puis sur les testicules. Ça commence à faire mal ces trucs là, mais je n’étais pas au bout de mes souffrances, les deux nanas reprennent leur ballet sadique et nous fouettent le torse, je comprends que le jeu consiste à faire tomber les pinces, à chaque fois que l’une saute, nous hurlons, parfois elles ne tombent pas, se contentant de se déplacer légèrement, c’est encore pire !

Ça y est tout est dégringolé, mais il reste les testicules, je commence à me demander si je ne vais pas employer le mot de sécurité pour faire cesser ce cirque, je m’aperçois alors qu’on ne m’en a pas fourni, mais je suppose que si je demande qu’on arrête on ne va pas continuer.

On nous détache mais c’est pour cette fois ci, nous attacher les mains dans le dos. On nous fait mettre à genoux, l’un devant l’autre. Chacun doit alternativement enlever l’une des pinces aux testicules de son vis-à-vis à l’aide de ses dents.

Ça parait facile comme ça, mais ce n’est pas évident, et si j’arrive, je pense, à me débrouiller, l’autre esclave s’y prend comme un pied. Chaque retrait qu’il exécute me fait hurler de douleur.

– Bravo, ça m’a bien fait rebander, s’exclame Patapouf. Reviens me sucer, petit pédé !

C’est bien sûr à moi qu’il s’adresse. J’ai en ce moment plus envie de me reposer que de sucer des bites, mais bon… on y va !

Vony et Mika très excitées par la petite séance que nous avons subie se font sucer la chatte par les deux autres esclaves. Claudine se fait lécher par la bonne. Henri qui décidément a jeté au panier toutes ces prétendues inhibitions se fait sodomiser par le blondinet (quelle santé, celui-ci) et lèche la bite du trans.

Quelle orgie, mes amis, quelle orgie !

– Monsieur Henri, l’interpelle Patapouf, il me plairait de vous voir enculer votre mère.
– Avec plaisir, tu veux bien maman ?
-,Bien sûr !

Sur ce coup-là, Henri n’a pas hésité une seconde, il devait avoir l’habitude…

Et pendant que la Claudine se fait défoncer la rondelle par son propre fils, me revoilà en train de sucer de nouveau la bite de ce gros vicelard. Il imprime lui-même la cadence en m’appuyant sur la tête. J’ai l’impression qu’il veut en finir vite. Effectivement je finis par recevoir son sperme en plein bouche.

Tout le monde est un peu crevé, la bonne s’en va et revient avec des rafraichissements. On ne m’en propose pas, (ls exclaves n’auraient donc pas le droit de se désaltérer, je ne trouve pas ça très cool !)

– Ah Claudine, venez donc à mes côtés, vous méritez bien d’être à la place d’honneur pour assister à ce qui va suivre !
– Je viens, Monsieur ! Dit-elle en s’installant.
– Caressez-moi la bite, Claudine.
– Avec plaisir, monsieur !
– Dites-moi Claudine, Je suis un gros dégueulasse, n’est-ce pas ?
– Euh !
– Mais nous sommes faits pour nous entendre, puisque vous êtes une poufiasse !
– Euh !
– Ne protestez pas, vous vous vous êtes fait enculer comme une chienne y compris par votre fis, vous m’avez léché le cul et j’en passe…
– Mon fils ne demandait que ça, mais il est un peu hypocrite…
– Il vous encule souvent ?
– De temps en temps… et puis j’adore lui sucer la bite !
– Je comprends mieux, vous êtes un peu salope alors ?
– Si vous voulez !
– Dites-moi que vous êtes une poufiasse, ça va m’exciter !
– Je suis une poufiasse, Monsieur Charles.
– Une morue.
– Une poufiasse, une morue… tout ce que vous voulez
– Très bien allons-y pour le spectacle, j’espère que cela vous plaira ! Vony, Mika on vous attends !

Les deux belles matures sortent de la salle… Suspense… Et les voilà qui reviennent, chacune avec un gros chien tenu en laisse. Elles s’arrêtent devant Patapouf, caressent gentiment les bestioles, passent leurs mains sous le poitrail afin d’exciter le membre et le font ressortir par l’arrière. Puis dans un ensemble parfait les deux nanas se mettent à sucer avec passion et avidité.

– Dis donc toi la boniche ! Qu’est-ce que tu attends pour rejoindre ces belles salopes. L’invective Monsieur Charles
– J’y vais monsieur ! Répond-elle en allant rejoindre Vony.
– Alors Claudine, ça vous tente ? Reprend le maître des lieux.
– Je n’ai jamais fait ça !
– Oh ! Quelle fâcheuse lacune ! Eh bien allez-y, il y a toujours une première fois !
– Je ne me sens pas prête.
– Quelques coups de cravache pourrait vous aider à vous décider ?
– Qui sait ?

Patapouf fait se tourner Claudine, et demande au Blondinet moustachu de lui administrer quinze coups de cravache sur son joli postérieur. La pauvrette hurle de douleur mais ne demande pas que l’on arrête.

– Maintenant, allez sucer le chien avec Mika !
– Je ne sais pas !
– C’est un ordre, Claudine, ou vous le faites, ou je vais demander que l’on vous cravache davantage.

Et c’est qu’il ne rigole pas, Monsieur Charles.

– O.K. j’y vais consent Claudine.

J’ai surtout l’impression qu’elle voulait se faire prier. La voici donc à côté de Mika, elle hésite un peu.

– Vas-y carrément lui conseille la mature, de toutes façons tu finiras par le faire.

Claudine ferme les yeux, avance sa langue, effectue une léchouille sur la verge du chien, puis s’enhardit et se met à sucer sans vergogne le membre dégoulinant.

Un moment Mika lui offre ses lèvres et les deux femmes s’échangent un profond baiser au gout de bite de chien.

– Place-toi en levrette, lui dit Mika, il va te prendre.
– Peut-être pas !
– Regarde donc Vony comme elle se fait baiser, ça n’a pas l’aire de la traumatiser ! Allez en piste ma jolie.

Claudine s’exécute et le spectacle devient grandiose, deux femmes se font monter par des chiens sous les encouragements de la petite assistance.

Je bande.

– Si on se faisait une séance d’arrosage ? Propose Patapouf après que les chiens fussent partis roupiller
– Bonne idée, allez tout le monde dans la salle de bain ! Répond Vony.

La salle de bain a beau être immense, onze personnes là-dedans, ça fait du monde !

– Les esclaves, vous vous allongez par terre, et vous gardez la bouche ouverte, toi aussi ! Ajoute-t-elle à l’attention de la bonne !
– Hummm, je peux m’allonger aussi ? Demande Claudine !
– C’est comme tu veux !

Et le déluge commence, l’urine me pique les yeux et je ne sais plus bien qui me pisse dessus, j’en avale un petit peu, de toute façon la pratique ne me déplait pas.

Ça finit par se calmer, je surprends les deux femmes à comploter quelque chose en rigolant comme des bossues.

– Toi, tu restes par terre, me dit Vony, les autres, relevez-vous !

C’est Mika qui s’accroupit au-dessus de mon visage.

– Tu vas avoir droit à un beau cadeau, l’esclave, j’espère que ça te fait plaisir ? Tu as même le droit de te branler en même temps.

Il faut vraiment que je sois excité pour accepter ce genre de chose, mais quand c’est le cas, je n’ai rien contre le spectacle d’un bel étron joliment moulé sortant du trou du cul d’une charmante dame.

J’ai donc reçu son caca sur la tronche, et comme je le pressentais, Mika m’a ensuite donné son anus à nettoyer. Sa merde était délicieuse ! (si, si je vous assure !)

En me relevant j’aperçois Patapouf allongé à son tour, Vony est presque assise sur son visage et lui chie dessus… Je détourne mon regard. Trop c’est trop, et trop c’est pas bien.

Epilogue

– Pas mal ton petit rapport ! Me dit Elisa, et après ?
– Ben après rien, j’ai pu prendre une douche, je me suis rhabillé. La partie était terminée. J’ai demandé à boire à cette conasse de boniche qui a refusé, alors je l’ai engueulé, je lui ai dit que son attitude était ridicule, elle m’a alors répondu que je pouvais l’insulter, lui cracher dessus et même la gifler, que ça ne la dérangerait pas et que cela faisait aussi partie des inconvénients de son service…
– Non ?
– Si ! J’ai laissé tomber. Claudine m’a gentiment offert une partie de son propre verre, puis j’ai pu récupérer mes affaires et je suis parti. Seul le travesti avec lequel je n’avais rien fait, m’a dit aurevoir en me faisant un bisou. Il m’a dit qu’on se reverrait sans doute, mais il ne m’a pas donné son numéro de portable et ne m’a pas demandé le mien. Je suis rentré en taxi, tu n’étais pas là, j’ai bouffé une cuisse de poulet froid, et un bout de camembert, j’ai bu un verre de vin rouge et je me suis couché.
– Et ton impression ?
– Mitigée, il y avait un peu de tout dans cette assemblée…
– Qu’est-ce que tu as préféré ?
– Sucer des bites !
– Cochon !
– Non, c’est vrai j’adore ça !
– Ben justement j’ai une surprise pour toi ! Linette tu peux venir !

Ça pour une surprise c’est une surprise, la transsexuelle de l’autre soir est là, en tenue de ville, jeans, et pullover mais coiffée et maquillée à merveille. On s’embrasse (sur la bouche) bien sûr.

– Voilà, tu vas pouvoir sucer et te faire enculer devant moi !
– Mais avec grand plaisir.

Et je commence à me déshabiller…

– Mais qu’est-ce que tu fais, rien ne presse, on va manger d’abord !

C’est dommage ! Mais ne dit-on pas qu’il n’y a pas meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !

Et le narrateur décida de stopper là estimant qu’on s’était assez sucé et enculé dans cette histoire, et surtout voulant laisser au lecteur le loisir d’imaginer la suite.

FIN

©Avril 2010 – Révisé en janvier 2021 et juin 2022- Boris Vasslan sur un scénario d’Arnaud L..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:18

Agnès au Glory Hole par Boris Vasslan

 

Fetish2

Attention, ce texte contient un passage scato explicite, âmes sensibles, vous voilà prévenus.

 

Le « Glory Hole » ? Connaissez-vous cette pratique assez particulière ? Non ? Patientez ! Vous le saurez bientôt !

 

Je cherchais un endroit où la chose se pratiquait et qui ne soit pas trop glauque ! On trouve tout sur Internet, mais là j’ai vraiment eu du mal à avoir cette adresse. Comme nombre de soirées spéciales, c’est gratuit pour les femmes, assez cher pour les couples et exorbitant pour les hommes seuls. Mais tant pis, on ne vit qu’une fois. Et je voulais absolument concrétiser ce curieux fantasme. J’ai bien tenté de convaincre une copine de m’y accompagner, mais l’idée lui déplaisait, et je n’insistais pas. Quelques relations pas trop anciennes traînaient dans mon carnet d’adresses, j’essayais, mais décidément personne n’était chaud. Je résolus donc d’y aller seul et de payer le prix fort, on ne vit qu’une fois ! (bis repetita)

 

Il s’agissait d’une ancienne auberge rurale au fin fond de l’Essonne, la construction d’une voie rapide un peu plus à l’ouest en avait fait baisser le taux de fréquentation dans des proportions alarmantes, provoquant la faillite de l’établissement. Le lieu avait été racheté pour une bouchée de pain par un riche inconnu qui y organisait des soirées fort spéciales.

 

A l’entrée un panneau illustré rappelle la philosophie du lieu. :

 

« Dans cet établissement la bisexualité y est la bienvenue. Ne venez pas vous plaindre si on vous fait des propositions en ce sens ! Certaines pratiques ne s’exercent ici que dans des lieux dédiés, vous n’êtes pas obligé de vous y rendre si elles vous rebutent ! Amusez-vous bien, mais pourquoi mourir idiot ?  »

 

On rentre directement dans ce qui devait être le bar de l’ancien établissement. Il y a deux couples au bar, l’une des deux femmes est en robe du soir, un truc assez incroyable avec un décolleté dorsal en lacets qui lui descend en dessous de la naissance des fesses. C’est la femme qui sert au bar qui fait fonction d’hôtesse, une géante avec des cheveux partout, un peu sur le retour, mais qui a dû être magnifique. Par contre, elle est aussi aimable qu’une feuille d’impôt. Je paie, elle me donne en échange, une clé de vestiaire, une feuille A4 censée renseigner des usages du lieu ainsi qu’un certain nombre de tickets de couleurs différentes. Je lui demande des précisions, et elle ne me répondra que d’un laconique :

 

– Faut lire la feuille !

 

Je lis donc la feuille, où tout n’est d’ailleurs pas expliqué, il est conseillé de laisser ses « valeurs » et une partie de ses vêtements au vestiaire », ce que je fais donc, ne conservant que mon boxer. Il y a plusieurs salles au rez-de-chaussée et au premier, des salles thématiques. L’une porte l’étonnante appellation de « salle des conjoints punis ». Le sous-sol est entièrement consacré aux cabines de Glory-Hole. Je bois donc plutôt rapidement mon verre de cocktail « offert par la maison » (pas bon !) Et entreprend de descendre découvrir enfin ce dont pourquoi je suis venu ! (Ah ! Mais !)

 

A ce stade du récit, il est sans doute temps d’expliquer ce qu’est un Glory Hole ! A l’origine c’était une pratique de chiotte. Un trou d’une dizaine de centimètres de diamètre dans la cloison mitoyenne de deux cabines de toilettes. Imaginez tout ce qu’on peut faire avec ça ? L’utilisation habituelle étant d’y introduire son zizi que l’occupant d’à côté, suçait s’il en avait convenance !

 

OK ? On reprend le récit ! Il me faut un certain temps pour comprendre le mode d’emploi de ce sous-sol et de ses cabines. En fait un panneau explicatif est apposé au mur, mais je ne l’avais pas remarqué. J’ai le temps d’apercevoir l’intérieur d’une cabine avant que son dernier occupant ne la referme. Elles paraissent assez spacieuses et peuvent contenir jusqu’à quatre personnes, sans qu’elles ne se gênent. Si les quatre places ne sont pas prises, il est d’usage de déverrouiller le loquet. Il y en a ailleurs qui font 6 places. Mais ce soir tout semble complet.

 

Je traîne un peu. Et voilà que devant moi déboule un couple. Mais laissez-moi vous le décrire : Si l’homme n’a rien de particulier sinon d’être d’une taille inférieure à la moyenne, la femme qui l’accompagne me subjugue complètement. D’abord elle ne l’accompagne pas vraiment, il la tient en laisse, une petite laisse relié à un collier d’esclave ! Elle est entièrement nue hormis ses chaussures à haut talons ! Superbe, brune aux longs cheveux, la peau légèrement matte, un beau visage ovale, avec des grands yeux noirs, un nez un petit peu long, et une bouche bien ourlée qui se dessine en un charmant sourire. Les seins en forme de poires sont superbes et terminés par des pointes que l’humidité du lieu fait ressortir (à moins que ce soit l’excitation de la situation). Sa chatte est rasée. Un puriste jugerait sans doute qu’elle a un tout petit peu de ventre. Personne n’est parfait. Elle a une petite panthère tatouée à gauche du nombril et porte une ravissante chaîne de taille. Elle n’a vraiment pas l’air malheureuse et paraît s’amuser comme une folle de la condition qui est la sienne ce soir !

 

Je ne peux évidemment m’empêcher de regarder ! Et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. Quand on est exhibitionniste à ce point on ne craint pas les regards des voyeurs !

 

– Elle est pas mal, hein ? m’apostrophe le type.

– Magnifique !

– Elle t’intéresse ?

 

Si je m’attendais à ça ! Quand même, il est gonflé le type, il pourrait lui demander son avis, au moins, à la fille ?

 

– Pourquoi pas ? Répondis-je un peu par réflexe.

– Elle t’excite ?

– Oui !

– Fais voir !

 

J’ai peur de ne pas avoir bien compris.

 

– Pardon ?

– Fais nous voir ta queue !

 

Un instant, je crains de me faire dépasser par des comportements imprévisibles. Mais après tout j’ai payé assez cher pour venir jusqu’ici. S’il faut jouer, faisons au moins preuve de bonne volonté à défaut d’en comprendre toutes le règles. Je fais donc le geste de commencer à baisser mon boxer, mais je demande :

 

– Et qu’est-ce que je gagne ?

– Elle !

 

Et la voilà qui m’adresse un large sourire, mais un de ces sourires, à faire fondre un iceberg ! Manifestement le jeu l’amuse.

 

– Intéressant !

– Bon alors cette queue ?

 

J’allais lui demander s’il est permis de faire ça dans le couloir, sans entrer une cabine, mais ils ont l’air de connaître les habitudes de la maison. Je sors ma bite déjà à moitié bandée, mais sans baisser mon boxer ! Si le type s’attend à découvrir une bite de compétition, il va être déçu, mon engin étant fort moyen !

 

– Branle-toi un petit peu !

 

Euh ! C’est tout ce qu’il va me demander ? J’obtempère malgré tout, la récompense promise valant bien ces quelques mouvements masturbatoires. A ce moment-là quelqu’un sort d’une cabine. Je fais signe à mes interlocuteurs qu’on pourrait peut-être y aller.

 

– Non il en reste trois ! Six dans cette cabine-là ça fait trop serré ! Et puis ça me plait bien de faire ça ici !

 

Le gars qui est sorti de la cabine, intéressé par le spectacle se plante à un mètre de nous.

 

– L’affaire est déjà conclue, enfin presque, mais rien ne t’empêche de te branler aussi ! Lui dit mon interlocuteur.

 

Le mec semble hésiter, mais finalement disparaît, ayant semble-t-il eu déjà son compte en cabine, le pauvre, il voulait juste regarder.

 

– Si tu baissais un peu tout ça ! Me propose l’inconnu en me désignant mon boxer, ce serait bien plus pratique ! Et puis on verrait tes couilles !

 

Ben voyons ! O.K ! Je fais descendre le boxer, et je continue ma branlette avec le machin sur les chevilles.

 

– J’aime bien sa bite, elle est mignonne !

 

Tiens la dame n’est pas muette, j’apprécie le compliment.

 

– Tourne-toi un petit peu qu’on voie comment tu es fait derrière !

 

Voilà autre chose ! Mais si ça leur fait plaisir ! Je me tourne.

 

– Wha ! Le joli petit cul ! Un vrai petit cul de nana ! Regarde ça Agnès !

 

Ah bon ! Elle s’appelle Agnès, la sculpture ! Et elle approuve, Agnès. Elle trouve mon cul superbe. Ce n’est pas la première fois qu’on me sort ce genre de choses, je vais finir par croire que c’est vrai ! Et voilà que le type me tripote les fesses ! Quel sans gêne, il aurait pu me demander. Ce serait une petite caresse encore, mais non, il tripote, il malaxe, il pétrit, il fait une tentative incertaine vers mon trou du cul, mais je fais un petit mouvement tournant pour le décourager.

 

– T’as vraiment un cul à faire bander les bites !

 

Entre temps un homme qui recherchait une cabine s’est planté devant nous, suivi bientôt d’un second, puis d’un troisième. Deux d’entre-eux se branlent. Ça commence à faire beaucoup de monde

 

– On va se mettre dans le coin là-bas, ce sera plus peinard

 

On se dirige donc vers le « coin là-bas », je remonte plus ou moins mon pantalon. Les types renoncent à nous suivre.

 

– C’est embêtant, la tendance ici c’est de laisser mater, mais je ne sais pas où sont les types de la sécurité, je ne veux pas non plus que ça se transforme en viol collectif !

 

L’art l’air de rien de me lancer des messages : le premier étant « Je suis un habitué tu peux me faire confiance » et l’autre « je ne suis pas un sauvage ! »

 

– Je peux lui, toucher moi, son petit cul ? Demande Agnès à son compagnon.

– Non, t’as pas été sage ! N’oublie pas que tu es punie, sale pute.

 

Et le gars lui balance une gifle et lui crache à la gueule, mais tout cela n’a vraiment pas l’air de traumatiser la dame.

 

Finalement le type se ravise !

 

– O.K. T’as le droit de le tripoter, avec tes mains de fées, on va le faire craquer !

 

Tu m’étonnes que je vais craquer ! Je me tourne, la donzelle s’occupe de mon cul ! Les mains douces qu’elle a ! Il est inutile que je continue à me masturber pour entretenir mon érection, elle s’entretient toute seule. Elle me pelote les fesses quelques instants puis décidant que les préliminaires ont assez duré, m’écarte carrément mes globes fessiers pour venir positionner un doigt à l’entrée de mon anus.

 

– Oh ! C’est tout serré dis donc ! Comment-ça se fait ?

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Je ne réponds pas, alors elle devient plus directe :

 

– Tu ne vas pas me dire qu’un joli petit cul comme ça ne s’est jamais fait enculer ?

– Pas très souvent, en fait !

– Ah ! Je comprends ! Et c’est pour ça que tu es venu ici ? Pour retrouver ces bonnes sensations ?

– Euh !

– Euh ! Quoi ?

 

Elle est revenue face à moi, j’ai ses seins sous le nez, elle me porte la main à la bite, et approche ses lèvres des miennes pour y coller un petit baiser. Un tout petit, mais je ne sais plus où me foutre !

 

– Je serais à toi tout à l’heure, mais seulement si Etienne t’encule !

 

Comme quoi on arrive toujours à savoir le prénom des gens ! Je suis en pleine confusion, balancé entre l’envie de profiter de cette femme à la sensualité enivrante et la réticence devant un acte que je ne suis vraiment pas venu chercher.

 

– Alors ?

– Je ne sais pas !

– On ne dit pas je ne sais pas, on dit : « Oui j’aimerais beaucoup que le monsieur m’encule ! » ou alors « Non-merci, je suis coincé de la braguette ! »

 

Un peu facile le procédé ! Je choisis de continuer à me taire. Agnès se caresse les seins, se lèche les bouts et se les tortille bizarrement entre l’index et le majeur, bizarre d’habitude c’est entre le pouce et l’index que ça se passe ces choses-là. Etienne, lui a baissé à son tour son caleçon et exhibe un fort bel engin. Je me surprends à le trouver beau. Une belle bite bien droite, la peau légèrement mate laissant voir le cheminement d’une grosse veine bleue, un gland propre et brillant. Je vais tomber dans le piège, je le sens. Mais après tout je n’avais qu’à pas venir dans cet établissement. Il a aussi de belles couilles bien remplies. Je sais qu’il va me demander de le toucher, de le branler, de le sucer sans doute. Je sais déjà que j’accepterais de le faire !

 

– Elle est belle ! Hein ?

– Superbe !

 

Hein ? C’est moi qui ai dit ça ? Il faut que j’arrête de jouer les faux-culs ! Il faut que j’assume ce que je suis venu chercher ici !

– Suce-la ! M’ordonne Agnès !

– Avec grand plaisir ! M’entendis-je répondre !

 

D’une part mes scrupules étaient en train de tomber, mais aussi je me disais qu’une belle fellation m’éviterait sans doute cette sodomie promise qui ne me disait trop rien ! Si j’arrivais à le faire jouir, rien qu’en le suçant ? Voilà c’était ça la solution !

 

Je pris la pine dans ma main et la masturbait quelques instants, sa peau en était infiniment douce, puis j’avançais mes lèvres et commençais par lui embrasser la verge, je continuais par des petits coups de langue, puis n’en pouvant plus et saisi d’un élan irrésistible j’engobais le gland dans ma bouche et le léchait à peine langue, je fis ensuite avancer la verge à l’intérieur de mon palais attrapant avec mes lèvres la peau située en-dessous du prépuce pour lui imprimer des mouvements d’aller et retour. Pendant ce temps Agnès s’était à moitié couchée par terre sous moi et s’occupait de lubrifier mon anus avec sa langue. Cette caresse trouble, cette  » feuille de rose  » comme on disait autrefois me procurait un plaisir inédit et trouble. Cette langue experte ne se contentait pas de rester à l’entrée de mon œillet mais celui-ci s’ouvrant à sa caresse buccale, elle pénétrait de quelques millimètres à l’intérieur, intensifiant ainsi mon plaisir. Si l’autre zouave se servait de sa bite comme Agnès se servait de sa langue, ça devrait… Mais ça y était, me voilà en train d’envisager froidement de passer à la casserole. Etienne, soudain se libéra de ma fellation, et sans rien demander à personne se capuchonna la biroute d’un préservatif. Je décidais de l’étonner, je me mis à quatre pattes comme une chienne, je cambrais le cul et lançais le cœur battant :

 

– Vas-y encule-moi !

 

Si le type paraît agréablement surpris de mon initiative, que dire de la dame qui manifestement rayonne de bonheur. Bizarre les fantasmes tout de même ! Etienne s’acharne à me faire pénétrer son engin. Ça a vraiment du mal à vouloir rentrer. Je fais pourtant ce que je peux, j’écarte mes fesses au maximum, je pousse sur les muscles du rectum. De plus Etienne n’est pas d’une douceur exemplaire. Ce n’est pas une brute, ce n’est pas ce que je veux dire, mais ça m’a l’air d’être un grand nerveux, et il manque un peu de patience.

 

– Pousse encore un peu, ça va être bon !

 

Je fais ce qu’il me dit, pas évident ! Et ça y est ! Je sens que ça rentre ! Comme le dit le proverbe, c’est le premier pas qui compte ! Le reste sera plus facile ! Je le sens pénétrer petit à petit. C’est curieux cette impression. Et la miss qui se croit obligée de faire des commentaires :

 

– Tu te rends compte, Etienne, c’est dingue ! Tu es en train de le dépuceler du cul ! Il paraît que les puceaux ça porte bonheur ! Tu devrais nous acheter un « millionnaire ».

 

Elle éclate de rire ! Bonjour l’humour à deux balles ! Il a dû maintenant rentrer l’objet jusqu’à la garde. Ça comment dire… Ça m’encombre ! Voilà le terme « ça m’encombre ! » Je le sens l se dégager un petit peu, drôle de sensation, puis il se ré-enfonce de nouveau. Vraiment pas désagréable, et il recommence le mouvement. C’est fou l’effet que ça procure, tous mes nerfs rectaux sont réveillés. J’ai l’impression de ne plus n’être qu’un trou du cul. Des ondes de plaisir viennent jusque dans ma bite sans toutefois la faire bander correctement. Je la prends à pleine main et me branle pendant que l’autre me pistonne l’anus !

 

– C’est bon, hein ! De se faire enculer ?

 

C’est bien sûr le commentaire de Miss grain de sel.

 

– C’est super !

 

04dkUn nouvel attroupement s’est formé autour de nous ! J’en ai rien à foutre, c’est trop bon, si ça les amuse, tant mieux pour eux ! Deux fois de suite des types veulent s’approcher pour participer, mais Agnès leur demande fermement de ne pas insister. Ça fait combien de temps qu’il m’encule l’Etienne ? Je n’en peux plus, j’ai le sang à la tête, mon anus devient trop sensible, je suis ballotté entre cette sensation de plaisir indéfinissable et une sorte de fatigue latente. Mais voilà que mon sodomisateur (je sais, ce n’est pas français) se retire pour de bon. J’ai un peu mal et surtout mon anus n’arrive pas à reprendre sa taille d’origine. J’aurais dû feuilleter un bouquin spécialisé avant de venir ! Il retire sa capote très vite :

 

– Venez sucer !

 

On se met, Agnès et moi à genoux devant lui. Agnès engloutit sa queue, il ne me reste pas beaucoup de place pour faire quoique ce soit, alors je lui lèche les couilles. Mais la fellation sera ultra rapide. Etienne jouit dans la bouche d’Agnès qui se relève les lèvres et la langue gluantes pour embrasser son compagnon. J’espère que je ne vais pas avoir droit à ce genre de choses. Je me recule un peu.

 

– Tu n’en veux pas un peu, vraiment ? Juste un peu ?

 

Elle a l’air sincèrement désolée !

 

– Non, merci, j’ai déjà donné pas mal ce soir !

– Tu ne sais pas que tu perds ! Insiste Agnès.

– Allez ouste, il n’y a plus rien à voir ! lance Etienne en direction des quelques voyeurs attardés, puis il me tend la laisse qui pend au collier d’Agnès :

– Tiens ! Tu l’as gagnée pour la soirée ! Moi je vais passer à d’autres réjouissances !

 

Certes le cadeau est appréciable, mais pour l’instant je ne sais pas trop quoi faire, j’aimerais bien me reposer un peu, j’ai quand même très mal au cul, mais Etienne intervient à nouveau.

 

– Remarque ! Tu ne vas pas te la farcir toute la soirée ! Au bout d’un moment elle va te gêner plus qu’autre chose. Non ce que je te propose c’est la coller dans la « salle des conjoints punis », et tu viendras la chercher quand tu voudras !

– C’est quoi ce truc-là ?

– Viens ! On y va ! Je vais te montrer !

 

Je remontais accompagné d’Etienne vers la salle d’accueil qui sert un peu de dispatching… Je tenais donc Agnès en laisse, et cette situation n’avait pas l’air de la déranger le moins du monde. Au contraire elle s’exhibait crânement dans une nudité souriante. Puis nous nous dirigeons vers un escalier qui mène au premier étage et débouchant sur un couloir assez large. Toutes les portes ne sont pas accessibles mais certaines sont affublées de panneaux aux noms plus ou moins évocateurs :

 

– La salle des conjoints punis

– le cabinet des caresses obscures

– la salle marron

– la salle jaune

 

On m’expliqua que cette dernière était consacrée aux amateurs de douches dorées… Quant à la marron, j’avais compris… mais c’est dans la première que nous nous rendions. Un type à l’entrée nous demande l’un de nos tickets (le ticket rouge)

 

– Vous venez attacher madame ?

– Oui !

– Je vous laisse faire, il reste trois attaches de libre ou alors la petite cage ! Tenez, je vous remets trois tickets rouges

 

Etienne m’explique, un ticket rouge correspond à une entrée dans la salle, celui qui apporte une prisonnière ou un prisonnier gagne 5 entrées. A chaque entrée, on peut s’occuper des punis suivant les instructions indiquées par la personne qui l’a emmené.

 

Je jette un coup d’œil dans la salle, une femme assez jeune est attachée à une croix de Saint-André. Elle est complètement nue. Une ardoise est posée à ses pieds, ce sont les fameuses instructions.

 

« 2 coups de martinets sur les seins, pas trop fort, crachats comme vous voulez  »

 

Etienne se saisit d’un martinet et lui balance deux fouettées provoquant des rauquements ambigus de la suppliciée, il me tend l’engin, mais je n’ai guère l’instinct sadique, je balance deux coups bien mollement. Je trouve quand même ce lieu assez sordide…

 

On change de salle et on entre dans la jaune. Une femme est couchée par terre sur le côté. Elle est nue, les bras immobilisés par des boucles en cuir placées de part et d’autre d’une ceinture noire, les chevilles sont maintenues par une petite barre d’écartement. Je remarque qu’à cet endroit le sol est carrelé et légèrement en dénivellation par rapport au reste. En fait l’endroit ressemble à une pataugeoire, il n’y a pas d’eau, mais un égout d’écoulement est prévu. Je cherche le panneau, c’est écrit assez petit :

 

« Aucun coup SVP ! Mais vous pouvez lui pisser dessus autant que vous voulez. Elle ne retrouvera sa liberté que quand quelqu’un l’aura emmené en salle marron… »

 

Je quitte cette salle que je trouve bien glauque.

 

– Dès que j’ai quatre clients je reviens vous chercher, me dit Etienne.

– Pardon ?

– Ne vous inquiétez pas, tout se passera bien !

 

C’est possible, mais je n’ai rien compris

 

Je déambule et une femme brune attire mon regard : elle est grande, forte, mais bien agréable à regarder, elle n’est vêtue que d’un ciré noir ouvert sur une poitrine gigantesque. Elle a l’air d’avoir du mal à se débarrasser de deux types qui lui collent aux fesses.

 

– Excusez-moi, je vous laisse, j’aperçois un ami ! S’exclame-t-elle en me voyant.

 

Je ne la connais évidemment pas, mais cela m’amuse d’entrer dans son jeu.

 

– Bonjour, vous ! Répondis-je simplement

 

Du coup, les deux importuns rebroussent chemin.

 

– Vous me plaisez bien, me dit-elle. Si c’est réciproque on pourrait peut-être se faire une cabine ?

– Pourquoi pas ?

– Je peux être super gentille, aller très loin, mais je suis une super cochonne, vous assumerez ?

 

J’aime bien l’expression se faire une cabine, je la rassure, on cherche une cabine de libre, elle ferme la porte derrière elle. Personne ne l’y oblige, mais je suppose qu’elle ne souhaite pas être entouré de dix mecs. Elle me tourne le dos, enlève son ciré et s’écarte son globe fessier. C’est assez fantastique ! Fantastique oui, mais il y autre chose, manifestement, mademoiselle a oublié de se torcher le cul ! Bizarrement la situation me provoque une érection.

 

– Il te plait, mon cul plein de merde ?

– Plutôt oui !

– Alors tu vas me le lécher ! je m’appelle Dolorès.

 

J’hésite un peu, je n’ai rien à priori contre la scato, quand elle est pratiquée avec modération, mais la réserve plutôt à mes fantasmes.

 

– Bon, c’est oui ou c’est non ? Je peux aussi être ta maîtresse et te demander de le faire dans le cadre d’une domination.

– Oui…

– Sur ?

– Oui, oui !

– Je reviens, je vais chercher ma copine. Ce sera plus marrant.

 

Ah, bon ? Je réalise alors que les cabines à cet endroit son carrelées, muni d’un système d’évacuation et d’une chasse d’eau. En fait ce sont des chiottes aménagées. J’attends cinq minutes, me demandant quand même où je suis tombé.

 

Elle revient, me présente sa copine, une grande blonde qui me dit se prénommer Carole, elle aussi en ciré noir ouvert, une très belle femme. J’ai de la chance ce soir.

 

– Tu commences ? Demande Dolorès à Carole.

– Je ne sais pas si je vais y arriver, mais je vais déjà pisser !

– Si tu n’y arrives pas, je vais encore être obligé de te punir, lui répond l’autre.

– Allez, toi l’esclave, mets-toi par terre, elle va te pisser dessus et tu as intérêt à en avaler sinon ce n’est pas drôle.

 

Voilà qui ne me dérange pas du tout, bien au contraire, recevoir l’urine tiède d’une aussi jolie femme est pour moi un privilège que je ne saurais refuser, je m’installe donc comme demandé, ouvre une bouche aussi grande que la grenouille de la fable et avale ce que je peux de sa cascade dorée.

 

– Maintenant ? lui demande Dolorès quand elle eut terminé sa miction.

– Je préfère attendre cinq minutes.

 

J’ai du mal à suivre.

 

– Viens me nettoyer le cul ! M’ordonne Dolorès.

 

Je me précipite ! Et commence à lui embrasser les fesses ! Elle me laisse faire quelques minutes.

 

– Le trou, maintenant !

– Un instant ! Tentais-je de temporiser.

 

Deux gifles m’atterrissent sur le visage.

 

– Quand Dolores te demande de lui lécher le cul, tu lui lèches le cul ! Compris esclave !

– Oui.

– On dit « oui Maîtresse » !

– Oui Maîtresse !

– Et maintenant c’est un ordre, tu vas lui lécher son cul plein de merde !

– Oui maîtresse

 

Je lèche avec parcimonie, le goût un peu acre n’est pas si désagréable, on s’y habitue et puis c’est tellement excitant de faire des trucs hors du commun. Je me prends au jeu !

 

– Qu’est-ce que c’est bon !

– Bien sûr qu’elle est bonne, la merde de ma copine, tu vois, ce n’était pas la peine de faire ta jeune fille.

 

Dolores se recule et me demande de me coucher à nouveau sur le carrelage, il est tout mouillée de la pisse de Carole, mais on ne va pas s’arrêter à ce genre de détail trivial.

 

Carole se positionne au-dessus de moi, légèrement accroupie, et s’écarte les fesses, puis se baisse en se rapprochant de mon visage.

 

– Je vais chier, reste en position, tu as le droit de me lécher le trou du cul en attendant que ça vienne.

 

Je tente d’avancer la langue, mais tout va très vite, un gros boudin se fraye un chemin, je m’écarte afin qu’il ne me tombe pas sur le visage.

 

– Pourquoi t’as bougé, connard ? Rouspète Dolorès.

– Je sais pas, moi, un réflexe.

 

Elle ne me répond pas, les deux femmes tripotent la merde tombée au sol et s’en badigeonnent mutuellement le corps avec. Elles se lèchent partout comme de vraies furies. Un moment Dolores ramasse un large étron, se le met dans la bouche en en laissant dépasser un morceau. Carole vient lécher ce qui dépasse. Elles se roulent un patin merdeux, c’est dégueulasse mais ça m’excite et je bande comme un cochon.

 

Carole s’empare de ma bite et me la branle.

 

– Ça te plait que te branle avec mes mains pleines de merde.

 

Ne voulant pas être en reste Dolores me pince les seins. Je pensais qu’elles allaient me faire jouir, mais non :

 

– On te libère, je veux rester seule avec ma copine pendant qu’elle va me lécher l’abricot ! m’informe Carole.

 

Je vais me doucher puis retourne dans la salle où Agnès est restée attachée

 

– T’étais passé où ? Tu fais attendre tout le monde ! Me reproche-t-elle.

 

Je ne comprends rien. Elle me demande de la détacher, on quitte la salle et on descend à la réception, là Agnès demande au préposé de diffuser un message.

 

« Les numéros 27, 36, 11, 14 et 16 sont attendus en cabine 18?. Monsieur Etienne est attendu devant la cabine 18. »

 

– Passe à ton vestiaire et prend un billet de 50 me demande Agnès !

– Mais pourquoi faire ?

– Parce que ça fait partie du jeu !

– Quel jeu ?

– Tu verras bien, tu veux me baiser ou pas ?

– Oui, bien sûr !

– Bon alors ?

– Je n’ai pas de liquide !

– T’as une carte bleue,

– Oui mais…

– Tu vas à l’accueil avec ta carte et ils vont te donner 50 balles.

 

Devant la cabine Etienne nous attend et me demande l’argent. J’avoue avoir hésité, je n’ai rien contre la prostitution, mais là c’est carrément du proxénétisme. On entre à six dans la cabine, Agnès nous désigne :

 

– Toi tu passes en premier, toi en deuxième…

 

Je serais donc l’avant dernier.

 

– C’est parti ! T’as droit à 10 minutes, en levrette ou je viens sur toi ? Dit-elle au premier.

– Je peux t’enculer ?

– Oui, mais dans ce cas, ce sera juste cinq minutes.

 

Au secours, c’est carrément de l’abattage, et moi au lieu de m’enfuir je suis là comme un con à attendre mon tour, je l’ai prise en levrette, j’ai joui dans son cul (avec capote). Après, j’ai fait comme tous les autres, je suis sorti la laissant avec le dernier. Etienne a disparu.

 

J’ai alors eu l’idée d’attendre Agnès, afin de ne pas partir avec cette image glauque dans la tête.

 

Je remarque sans y faire trop attention deux grands blacks qui semble attendre eux aussi qu’Agnès sorte.

 

Le dernier participant sort et s’en va on ne sait où, Agnès sort à son tour, l’un des deux blacks s’avance vers elle.

 

– Mademoiselle, je vous rappelle que la prostitution est interdite dans l’établissement, je vais donc vous demandez de nous suivre.

– Je ne me prostitue pas ! Où serait l’argent ? Se défend-elle.

– C’est votre maquereau qui l’a, nous lui avons infligé la punition d’usage, veuillez nous suivre sans faire de scandale, vous allez recevoir 50 coup de martinets et nous allons vous enculer !

– Oh, lala, qu’est-ce qu’on perd comme temps en formalités, je vous suis, mais il est parti où mon copain ?

– Il est au bar, il vous attend !

 

Il se passe décidemment ici des choses étranges. Je réalise à ce moment que je viens d’en vivre de toutes les couleurs mais que je n’ai pas encore expérimenté la spécificité du lieu, parce que à l’origine, c’est bien un Glory Hole, non ? Et je venais là pour sucer des bites qui sortent des parois.

 

Mon excitation étant tombée, j’ai trainé un peu pour voir s’il y avait d’autres choses à découvrir, puis je suis allé prendre un verre au bar, décidé à m’en aller ensuite.

 

– Alors Boris, on s’en va ? M’interpelle Etienne.

– Oui, je suis un peu crevé !

– Je te paye un verre ?

– Vite fait !

– J’attends Agnès, elle ne devrait plus tarder. Me précise-t-il

 

Et justement la voilà qui arrive toute pimpante, et qui nous fait voir son cul strié de marques de flagellation

 

– C’était génial, tu aurais vu les deux blacks qui se sont occupés de moi, ils m’ont fait un cul tout rouge…

– Je sais bien, c’est moi qui les ai choisis !

 

De mieux en mieux !

 

Boris ©

vasslan@hotmail.com

 

 

Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000 et complétée… 18 ans plus tard !

 

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Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 07:12

Claudia
par Boris Vasslan

stamp transblack

Souvent, les soirées sont chaudes chez Laurie
Ou ennuyeuses, d’avance on ne sait, dans ces parties
Ce soir là, Claudia, on me présente
Gigantesque créature métissée, un peu arrogante
Une amie brésilienne, se croit-on obligé de préciser
On trinque, on cause, on boit à notre santé
On mate, on se cherche, on se trouve.
Des seins jaillissent, des braguettes s’entrouvrent
Je ne vois plus Claudia, et ses jambes interminables.
Une triste poulette se fait tripoter le râble
Par un petit groupe excité et criard
Je change de salle, j’en ai un peu marre
Brouhaha, difficile de se frayer la route
Claudia est ici, nue, exhibant sa biroute
Son sourire craquant, sa peau chocolatée,
Ses seins tout ronds et joliment terminées
De larges aréoles et de tétons arrogants
Qu’on a envie de mordre à belles dents
Et puis son sexe foncé, déjà bien droit
Qu’elle se tripote négligemment du bout de ses doigts !
Puis se retourne, montre ses fesses
Les écarte, dévoile son œillet intime, les caresse
Puis s’amuse à se donner quelques fessées
Les hommes n’en peuvent plus, veulent la caresser
Mains sur les seins, mains sur le cul, tout va très vite
Mains sur les cuisses, mains sur la bite
Un intrépide ose approcher ses lèvres
Et apprête sa bouche avec fièvre
Claudia rit et prévient l’imprudent
En lui disant avec un bel accent
« Celui qui me suce, je l’encule ! »
Du coup l’autre recule
Ce doit être mon jour de chance
D’être resté, ce sera ma récompense !
De son sexe, je m’approche, joyeux
Le met dans ma bouche, il est soyeux
Sensation de velouté, de bonheur.
Je le sucerais pendant des heures
Claudia, me dit ce qu’elle me le réserve
Je suce encore, et tendue est ma verge
Je me régale
A ce plaisir sans égal
Puis n’y tenant plus, je dégrafe mon pantalon
L’envoi valser de tout son long
De mon cul, j’en écarte les globes.
Je me plie en deux et m’offre ainsi au zob
De la plus belle des grandes filles du Brésil
Qui va pouvoir me sodomiser, tranquille !

Claudia2 41

Thémes abordés : Transsexuelles, party

Par Boris - Publié dans : Boris
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Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 07:04

Les ladies-boys de Patpong par Boris_Vasslan

asian

 

Je n’y pensais même plus à ce tirage au sort en me rendant comme chaque samedi matin à mon super marché  » Confluent  » Un gros panneau annonce les résultats de la grande tombola de je ne sais plus quoi… j’en ai rien à foutre de leur truc ! Mais j’avais quand même glissé un bulletin dans l’urne, pour faire plaisir à la caissière, elle m’avait dit avec un sourire trop troublant « qu’elle allait me porter chance ! » Le panneau fait deux mètres carrés, impossible de ne pas le voir ! Et je vois bien que le gagnant a le même prénom que moi, Cédric… avant de réaliser enfin l’évidence : C’est tout simplement moi le gagnant !

A ben, ça alors !

C’est comme cela que quinze jours plus tard plus tard, après avoir négocié trois semaines de vacances avec mon employeur, je débarquais à Bangkok !

Je ne serais sans doute jamais allé de mon plein gré dans ce pays, certes, il y avait plein de choses magnifiques à visiter, mais il y en a partout de choses magnifiques et puis je ne suis pas très « voyage »… En plus cette chaleur étouffante, humide ne me dit pas grand-chose, d’autant qu’il paraît qu’il y a des sales bêtes, des scorpions, des serpents, berk je n’aime pas ces trucs-là ! Et je vous entends d’ici ! Et le sexe ? Ben justement les Asiatiques ce n’est pas trop mon truc, que je me disais, elles sont charmantes, gracieuses et tout ce que vous voulez, mais elles manquent cruellement de formes, Et puis ce tourisme sexuel ambigu qui a fait la réputation de cette région ne me dit vraiment pas grand-chose…

Au fait je ne me suis pas présenté, je m’estime normal, dans la moyenne, ni baraqué, ni malingre, châtain très clair, les yeux bleus, mais je possède quand même deux particularités, j’ai un système pileux peu développé et surtout on m’a rabâché les oreilles depuis ma plus tendre enfance sur la finesse des traits de mon visage, à tel point que mes deux frangines aînées s’amusaient à me déguiser en fille ! Un jeu peut-être moins innocent qu’il n’y paraît parce que si je me classe et m’affirme hétéro, je ne suis pas du tout fermé à une éventuelle expérience avec les gens de mon propre sexe, mais il faudrait que les circonstances s’y prêtent et de toute façon je ne cherche pas et ne suis pas pressé !

C’est au deuxième jour de mon séjour que je décidais de visiter Patpong, l’un des plus célèbres quartiers chauds de Bangkok. J’avais déjeuné pour trois fois rien dans un excellent restaurant et passé une bonne partie de l’après-midi à faire la sieste, mal remis que j’étais du décalage horaire et du changement d’air.

Je fais signe à un taxi, grimpe à l’intérieur et indique simplement :

– Patpong
– French ?
– Yes !

Ça doit être l’accent… Il démarre et entreprend alors de me parler dans un incompréhensible sabir où se mélange l’anglais, l’allemand, le thaï, et où émerge de temps en temps, oh miracle, quelques mots de français.

– I’m sory, i don’t understand !

Je crois entendre dans sa réponse le mot « spécialités », ne voulant pas me faire embarquer dans des terrains douteux, je rétorque :

– Non, non, je vais visiter !

Mais c’est un vrai dialogue de sourds, et le voilà qui me débite une liste à moitié incompréhensible, mais je parviens à un moment à discerner le mot « lady boy ». Ce nom évocateur de créatures ambiguës n’avait jusqu’ici pas été associé à mes projets touristiques… Mais après tout pourquoi pas ? Il n’est jamais interdit d’être curieux. Je coupe mon interlocuteur…

– Ladies boys ! Oh yes ! I like !

Nouveau baratin de mon chauffeur de taxi, et je distingue plusieurs fois le mot bath, la monnaie locale, J’ai l’impression qu’il me propose une sorte de marché

– Ecoutez, vous m’emmenez jusqu’à Patpong, vous me déposez où vous voulez, j’aimerais bien que ce soit là où il y a des ladies-boys… mais c’est tout ce que je vous demande, ok ?
– Ok !

Je n’y crois pas, il a compris… Ça ne l’a pas empêché de baragouiner jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Nous voici en plein Patpong, il y a beaucoup de monde, des échoppes éclairées et agressives se suivent en rang d’oignons. Je m’apprête à payer le prix de la course. Mon chauffeur vient alors m’ouvrir et m’annonce la note… Seulement il y a un problème, c’est dix fois ce qui est indiqué au compteur ! Même si au cours du Bath, ça ne fait pas grand-chose, je n’ai pas envie de me faire pigeonner. J’essaie de discuter. Mais le taximan a soudain perdu son amabilité et il s’énerve. Il appelle quelqu’un. Le nouveau s’amène, il échange quelques propos avec le chauffeur puis s’adresse à moi en anglais.

– Pourquoi vous ne voulez pas payer le taxi ?
– Je veux bien payer ce qui est au compteur !
– Il vous a négocié un tarif d’entrée au… (suit un nom incompréhensible) …. Un bon tarif ! Vous payez tout au chauffeur… vous n’aurez pas besoin de payer l’entrée.
– Je n’ai rien négocié du tout ! Je paie la course. Point final.
– Attention ! J’espère que vous n’êtes pas en train de me dire que mon ami est un menteur !

Oh, là que je n’aime pas la tournure que ça prend !

– Je crois surtout qu’on s’est mal compris ! Essayais-je d’argumenter !
– Si vous ne payez pas, ça risque de vous coûter encore plus cher.

La menace est à peine voilée. J’essaie de réfléchir. Que dire ? Que je n’ai pas d’argent sur moi ? Je suis écœuré par ces pratiques de voyous. Un troisième larron s’approche, un quatrième ne va pas tarder. Je capitule.

– Bon je vais payer, mais je n’ai pas besoin de tout ce monde autour de moi…

Le chauffeur me délivre un ticket, m’indique l’établissement correspondant et disparaît ! C’est décidé la prochaine fois que je prends un taxi, je resterais muet comme une carpe.

La rage au cœur, je pénètre dans la boite, un type obséquieux me fait asseoir à une table ronde revêtue d’une nappe blanche et ornée d’une petit vase de roses coupées et d’un cendrier gigantesque. Je lui tends mon ticket, il le refuse, m’explique que ce n’est pas pour ça… me demande ce que je veux consommer et paraît contrarié quand je lui annonce que je me contenterais d’une simple bière. Je me suis fait un plan simpliste ! Puisqu’il paraît que j’ai payé, je vais rester quelques minutes ici, mais je ne pense pas m’y attarder, ensuite j’irais me promener et visiter le quartier, si toutefois j’ai encore le cœur à ça ! Je jette un coup d’œil autour de moi, pas de scènes, ni non plus de piste, ça veut dire que l’établissement ne délivre aucun spectacle ! J’ai payé pour quoi alors ? Des demoiselles dont certaines sont charmantes s’affairent auprès des consommateurs. C’est donc tout simplement un bar avec entraîneuses. Pas vraiment mon truc ! Je me demande encore comment j’ai pu faire pour me faire arnaquer à ce point. J’aurais dû refuser tout dialogue, mais c’est si facile de dire après ce qu’il fallait faire avant. Quant aux ladies boys, il faudra que je les cherche, parce qu’ici ce serait plutôt des ladies girls ! Et puis évidemment, ça ne loupe pas, en voici une qui vient s’installer à côté de moi. Je n’aime pas son visage, ça ne se commande pas ces choses-là ! Je dis simplement merci, elle insiste, je confirme ne pas être intéressé, et elle s’en va tenter sa chance ailleurs en haussant les épaules.

J’observe le manège, il ne semble pas que les entraîneuses poussent les clients à la consommation, ou du moins pas plus que ça, mais après quelques contacts assez chauds, bisous et pelotages rapprochés, les couples ainsi formés s’en vont dans une sorte d’arrière-boutique.

Ça ne me dit pas grand-chose, tout cela ! Tout simplement pas envie de rester… et ma bière qui n’est toujours pas servie ! Je crois que je ne vais même pas l’attendre….

– Monsieur, votre bière !

Ah ! Une lady m’amène ma bibine. Elle est mignonne au moins celle-ci, jolie sourire, jolie peau.

– Je peux m’asseoir un instant à côté de vous ?

La chair est faible, j’ai dit :

– Oui, mais pas très longtemps, j’allais partir !
– Français ?
– Oui !
– Je parle un peu français !
– Sinon on peut parler anglais !

Elle me passe l’extrémité des doigts de sa main droite sur ma joue, me caresse !

– Tu as la peau douce !

Je lui rends la politesse et à mon tour je lui caresse le visage :

– Toi aussi !
– Je suis douce de partout !
– Non ?
– Si !

Et la voilà qui dégrafe deux boutons de son chemisier.

– Vas-y, met la main !

Où lala ! Où est-ce que je m’embarque, moi ? Je glisse la main dans le passage ainsi dégagé, je constate qu’elle ne porte aucun soutien-gorge, – mais vu la grosseur des seins, sa fonction n’aurait été que purement décorative -.je limite néanmoins la zone de mes caresses au-dessus du ventre.
– Tu peux caresser mes seins, si tu veux !

On ne refuse pas une chose pareille, me voici donc en train de tester le très faible arrondi de ces petits nichons, ce n’est pas désagréable et puis ça change, moi qui suis d’habitude amateur de gros nénés ! J’approche du téton, en mesure la texture, le titille un peu. Mademoiselle a l’air toute contente. Et moi, me voilà en train de bander comme un âne ! Si ça continue à ce rythme, je vais me retrouver dans l’arrière salle dans pas trop longtemps. Où sont donc mes bonnes résolutions ? Une main se pose sur mon sexe ! Il ne manquait plus que ça !

– Hum ! Je te fais de l’effet on dirait ?
– Ben oui !
– Je m’appelle Mae-Ying
– Ah, oui moi c’est Cédric !
– Je peux t’en faire encore plus si tu veux !
– Et qu’est-ce que tu me propose ?
– Hum, une petite pipe, mais avant je peux te faire une de mes spécialités !
– C’est quoi ?
– Une petite feuille de rose, ça te dirait ?

Ce n’est pas spécialement mon truc, mais je suis sûr que sous la langue d’une spécialiste comme elle le dit, l’expérience doit être intéressante à tenter.

– Et c’est combien ?
– C’est déjà payé… je crois !

C’était donc ça, et sans me demander confirmation, elle se lève, me prend la main et m’entraîne vers le fond de la salle !

Là nous passons derrière une tenture, et on se retrouve dans une salle assez grande, où sont disposés des paravents formants de petites alvéoles ou des couples s’ébattent. On est obligé d’en traverser une ou un couple est en position de soixante-neuf. Je ne peux évidemment m’empêcher de regarder… et oh surprise, je m’aperçois que le touriste est entrain de lécher non pas une petite chatte, mais une bonne bite : Ça alors, je serais quand même chez les ladies boys ? Mais alors Mae-Ying serait donc aussi… Du coup je ne la vois plus pareil et mon excitation déjà bien dressée s’intensifie encore.

Elle me demande de me déshabiller complètement et de m’installer sur le ventre sur une sorte de table de massage. Mae-Ying s’est également dévêtue à l’exception d’un petit slip tout rouge, il est assez moulant, je le reluque !

– Je peux voir ?
– C’est plus cher ! Mais patience, on a le temps !

Elle me passe une sorte de serviette chaude et savonneuse entre mes fesses. Curieux comme effet, puis une seconde sans doute pour rincer, puis des deux mains, elle m’écarte les fesses, vient poser sa langue et commence à me lécher l’anus. Sa langue est d’une agilité diabolique, elle va partout, créant tantôt des cercles autour de l’œillet, piquant parfois en plein centre en voulant forcer l’ouverture de mon intimité. Superbe sensation… parfois sa langue s’aventure le long du parcours de mon périnée jusqu’à la naissance du scrotum. Inutile de vous dire l’érection d’enfer qui m’habite alors !

– Si tu veux te tourner, je vais te finir avec la bouche !

Oui, bien sûr, je ne suis pas contre, pas du tout même, mais j’ai une envie folle à ce moment-là de prendre cette créature dans mes bras, de la caresser, de la cajoler, et puis ce sexe d’homme caché dans cette culotte, je brûle de le découvrir.

– Montre-moi ta quéquette !
– Pas ici !
– Pourquoi, quand on est arrivé ici j’ai bien vu un client qui le faisait !

Elle me fit alors un sourire craquant, fit papillonner ses yeux et tout doucement me susurra :

– Parce que j’ai beaucoup mieux à te proposer !
– Je peux savoir ?
– Chut ! Laisse-moi te sucer ! Je vais y mettre tout mon savoir-faire !

Je laissais cette charmante lady boy me tripoter le pénis, le soulever un petit peu, le branloter pour qu’il conserve sa vigueur. Puis j’eus encore droit aux deux petites serviettes. Cette diablesse avait le don d’imprimer à mon sexe des gestes masturbatoires au prétexte de me laver ! Déjà je savais que je ne tiendrais pas longtemps.

– Préviens-moi si ça va trop vite, j’essaierais de retarder !

Elle se figure que c’est facile, elle ? La voici qui du bout de ses belles lèvres ourlées, m’embrasse le bout du gland, un bisou chaleureux, finalement très peu érotique, comme on embrasserait la truffe d’un petit animal domestique… Puis sa bouche s’ouvre légèrement, ses lèvres se posent de part et d’autre du prépuce, elle joue de la pression de sa bouche, la réduisant, l’augmentant, puis son bout de langue vient darder mon méat. Je me crispe. Ma fellatrice s’est mise sur le côté, de telle façon que j’ai du mal à caresser son corps. J’aurais tellement voulu qu’elle adopte une autre position. Je m’imagine déjà la prenant, me faisant prendre, mêlant nos corps dans milles folies amoureuses. Soudain elle s’arrête, me regarde avec un air malicieux :

– Je t’emmène chez-moi après ?
– Pourquoi pas ? Et on fera quoi ?
– Tout ce que tu voudras, enfin presque !
– C’est cher ?
– C’est dans tes moyens, mais on ne va pas discuter de ça ici ! Pour le moment, détend-toi, je vais te finir !

Elle repose ses lèvres là où elle les avait laissées, semble attendre quelques instants, puis la langue s’agite, me mouille l’extrémité de mon sexe, les lèvres coulissent, de plus en plus vite, c’est désormais une vraie fellation, elle englobe tout ce qu’elle peut de mon pénis de taille standard, puis préfère sucer en se limitant au deux tiers de ma verge, c’est divin ! Les lèvres, la langue, tout cela s’agite de plus en plus vite, je sens la jouissance monter.

– Je viens !

Elle freine un peu, l’envie descend très légèrement, elle m’accorde un moment de répit, puis reprend, je me raidis et je finis par jouir dans un tintamarre qui la fait rire aux larmes !

Stupéfait, je me découvre un préservatif au bout du sexe ! A quel moment me l’a-t-elle mis ? Cette créature doit être une sorcière, mais finalement ce geste quelque part me rassure.

On a rejoint la salle, elle m’explique qu’il y a deux catégories de « filles » dans l’établissement, celles qui sont embauchées et qui doivent un certain nombre d’heures à leur patron et des filles « libres » qui viennent ici faire quelques passes sur lesquelles le patron prélèvera une participation. On attend quelques instants qu’une de ses « collègues » nous rejoigne et nous nous dirigeons vers un petit parking ou Mae-Ying a garé sa voiture ! Sa voiture ! Une véritable épave à moteur ! Cabossé, retapée n’importe comment, pétaradant un bruit épouvantable et dégageant une odeur d’essence à faire fuir une famille de pompiste… Mais bon elle roule !

– Voilà, c’est une pension de famille ! A cette heure tous les pensionnaires travaillent, sont occupés ou dorment, on fera les présentations demain. Je vais te montrer ma chambre… Notre chambre… Ça va être notre petit nid d’amour pour tous les deux !

La chambrette est sympathiquement décorée, mais ce n’est pas le grand luxe, juste un lit une armoire, une commode et une table minuscule avec une unique chaise. Dans coin, il y a un lavabo et une toilette.

Elle est marrante, Mae-Ying, manifestement elle ne souhaitait pas qu’on se jette l’un sur l’autre de suite, comme ça brutalement, elle m’a montré les objets de sa chambre, à certains était rattaché une anecdote qu’elle me narrait avec force détail, l’entendre parler était un régal. Elle me posait aussi des questions sur la France, sur la façon dont les Thaï y vivaient. A ma grande honte, je devais avouer que je n’arrivais pas trop à faire la différence entre les Thaïs, les Viets, les Khmers, les Laos… et les Chinois. Elle en riait, se moquait de mon inculture :

– C’est comme moi, je confonds toujours les Espagnols avec les Italiens… Tu as faim ?
– Non pas trop, peut-être tout à l’heure !
– Oui tout à l’heure ! En attendant, je suis à toi ! Dis-moi ce que tu veux, on le fait !
– Je voudrais te voir à poil déjà !
– C’est ma quéquette que veux voir, hein petit vicieux !
– J’avoue !
– T’avoue quoi ? Que tu es un petit vicieux !
– Aussi, oui !
– Bon alors on va te montrer tout ça !

Elle se déshabille, le slip rouge est toujours là,

– Tu veux me l’enlever !

Bien sûr que je veux, je fais glisser le bout de tissu le long de ses belles cuisses douces et dorées. Sa queue plus imposante que je n’aurai pensé, surgit insolente, me narguant de sa belle couleur foncée !

Mae-Ying virevolte, fait la folle, me montre ses jolies petites fesses, se retourne fait le geste de se masturber quelques instants, se tourne encore, rigole !

– Alors elle te plait ta petite pute ? C’est ça les ladies boys… des femmes avec des bites !
– Superbe !

La voici qui grimpe sur le lit, se met à quatre pattes, relève la croupe et se l’agite vicieusement ! Le spectacle est d’une rare intensité érotique, je me débarrasse vite de mes propres vêtements, je bande déjà ! Mae-Ying écarte avec les mains ses globes fessiers comme pour m’inviter à la prendre ! Il est des invitations qui ne se refuse pas ! Problème de correction. Elle me désigne le paquet de capotes sur la table de chevet. Je me capuchonne, je m’approche, lui embrasse les fesses, frotte mon pénis contre sa raie, et n’y tenant plus entame ma pénétration dans son anus qui m’accueille rapidement. Je trouve rapidement le bon rythme. Mae-Ying m’aide en agitant son fessier. De la main j’attrape son sexe qui bandouille et entreprend de le faire grossir, il réagit bien… Je continue de la sodomiser pendant plusieurs minutes, son sexe est maintenant tout raide. J’ai désormais une idée fixe, ce bel appendice de chair mate, je le veux à présent dans ma bouche. Je décule, elle comprend ma requête, s’assoit sur le lit les jambes écartées et la bouche ouverte je me précipite pour goûter à cette magnifique quéquette de travesti. Je ne prétends pas savoir sucer, j’improvise, me jette sur cette bite comme sur une friandise et lui prodigue une véritable fellation à la sauvage. Au bout de quelques minutes, je suis conscient de mes progrès, c’est vrai qu’elle me guide :

– Moins fort, un peu plus haut…

Et puis, récompense suprême, la verge s’agite de soubresauts, je n’ai pas le temps de me retirer, le sperme envahit ma gorge, ce n’est pas grave, elle me conseille de ne pas avaler. Ma propre bite est prête à éclater. Sans que je lui demande quoique ce soit, elle se replace en levrette et m’accueille de nouveau. Quelques allers et retours eurent raison de ma résistance et je jouissais pour la seconde fois de la soirée d’un plaisir intense.

On a fait ce qui devait être une pause, Mae-Ying est allé chercher deux bols de soupe et deux canettes, on s’est descendu tout ça en causant. Et puis le sommeil est venu, alors on s’est blotti l’un contre l’autre, on est rentré dans le lit et enfin nos visages se sont rapprochés en un long baiser sensuel.

J’ai bien dormi, le matin je me suis réveillé le premier, l’unique drap avait été rejeté au pied du lit à cause de la chaleur accablante et mon travesti ronflait comme une bienheureuse, ses jolies fesses galbées en évidence, comme une invitation à une caresse que je m’empressais de lui prodiguer en m’efforçant de ne pas la réveiller. Voilà qui venait renforcer mon érection matinale, mais je m’en serais voulu de tenter quelque chose sans son accord, j’attendis donc, finis par me lever pour aller pisser, et ne trouvant rien de mieux à faire, je me saisis du petit carnet que j’avais apporté dans ma sacoche et entrepris de coucher sur le papier ces moments inoubliables.

Finalement Mae-Ying se réveilla, s’étira comme une chatte, me fit un petit sourire et s’en alla à son tour pisser. Elle ne se cachait pas, dirigeait son sexe à moitié raide vers le bas afin que le pipi prenne la direction de la toilette.

– Ça va ? Demandais-je ! J’aime bien te regarder pisser, c’est très… troublant !
– Je peux te pisser dans la bouche si tu veux ?

Je me suis laissé prendre au jeu, il ne lui restait que quelques gouttes, mais je les ai appréciées. Elle m’a proposé que je la regarde faire caca, j’ai refusé, mais je me suis dit après que j’avais peut-être eu tort, ça aurait pu être rigolo.

Elle s’assoit sur la cuvette, et elle pousse, évidemment je ne peux rien voir puisque je ne l’ai pas souhaité mais j’entends sa merde tomber au fond de la cuvette. Elle se relève, va pour prendre du papier puis se ravise :

– Tu veux m’essuyer ?

En voilà une idée qu’elle est bizarre, mais elle doit m’amuser puisque j’ai accepté, je prends le papier pendant qu’elle écarte ses fesses.

– Non ! Avec ta langue !

Oups !

Je ne suis pas complétement novice en matière de scato soft, il m’est arrivé plusieurs fois lors de mes excitations solitaires de me doigter le cul et de me lécher les doigts. J’ai pu ainsi constater que le goût n’a rien, mais vraiment rien d’abominable… Alors ma langue s’est approchée du joli petit cul de Mae-Ying et je lui ai nettoyé tout ça en bandant comme un cerf. Du coup je lui proposais ma bite afin qu’elle me la suce.

– Je n’ai plus le temps, maintenant, mais patience, on va se revoir…
– Bon, alors je vais te laisser, à moins que je puisse prendre une douche quelque part !
– C’est pas évident, les douches sont en bas, faut faire la queue, il y a du monde ici, mais viens, je vais te présenter !
– Non, tant pis je me doucherais à l’hôtel !
– Tu te doucheras à l’hôtel, d’accord, mais il faut respecter les traditions, je vais te présenter, ça ne sera pas long !

Le genre de truc qui me barbe carrément ! Ce devait être l’heure du petit déjeuner, et dans la salle à manger, on me présente à je ne sais plus combien de créatures plus troublantes les unes que les autres, toutes des travestis ou des transsexuelles ! Où étais-je tombé ? J’avais l’impression que les plus belles ladies-girls s’étaient donné rendez-vous ici, mon érection non satisfaite de ce matin reprenait vigueur rien qu’en contemplant leur visage et en envisageant les promesses de plaisirs que ces créatures contenaient en elles.

Mae-Ying– Elles sont mignonnes mes copines, non ?
– Merveilleuses !
– Et tu t’amuserais bien avec, n’est-ce pas petit cochon ?

Qui venait de parler ? Je me tournais :

– Madame Huang ! Enchantée, je suis la directrice de cette pension. Mae-Ying a décidément bon goût, il y avait longtemps qu’elle ne m’avait dégoté un européen aussi mignon !

Je rougis, je ne sais plus où me foutre ! C’est qui celle-ci ? Une vraie femme probablement, assez grande pour une asiatique, probablement la cinquantaine, mais très bien conservée, une robe traditionnelle, noire et fendue sur le côté, un chignon savant. Une belle femme dégageant une sorte d’autorité naturelle. Je lui tends la main.

– On ne serre pas la main de Madame Huang, on lui baise la main, et il n’est pas interdit de d’agenouiller devant elle ! M’informe-t-elle parlant d’elle-même à la troisième personne.

M’agenouiller, faut peut-être pas exagérer, mais je lui baise la main !

– A genoux ! M’ordonne-t-elle !
– Je suis désolé, je…
– Tu ne veux pas me faire plaisir, tu ne veux pas jouer avec moi ?

Ah ! Bon si c’est un jeu alors allons-y, je m’agenouille.

– Tu aimes aussi les femmes ou alors tu fais une exclusivité sur les trans ? Demande-t-elle.
– Non, j’adore les femmes, j’ai les idées très larges !
– Et comment-tu me trouves ?
– Troublante !
– Troublante, c’est tout ? Tu n’as pas un autre adjectif ?
– Désirable !
– Tu es sincère !
– Oui !
– Une femme qui aime dominer et qui est plus vieille que toi, ça ne te dérange pas ?
– Si la domination reste un jeu, ça ne me dérange pas du tout !
– Alors on va jouer ! Suis-moi dans ma chambre !

Elle me demande pour combien de temps je suis là, à quel hôtel je suis descendu et tout un tas d’autres trucs…

– Installe-toi ici, tu as vu le lot de pensionnaires que je gère, si tu es gentil avec elles, elles te le rendront au centuple. Voilà qui te fera des vacances inoubliables !
– Je crains de ne pas avoir les moyens d’envisager tout cela !
– Les moyens ! Qui te parle de moyens ? Qui te parle d’argent ? Tu auras tout cela gratuitement, il y a juste une contrepartie.

Je rêve ou quoi ?

– Tu vas être pendant le reste de tes vacances, ma petite femme à moi, tu seras à la disposition de mes plaisirs et pour le reste tu pourras faire ce que tu veux, mais attention je suis très exigeante !

– Si vous cherchez un étalon vous allez être déçue !
– Je cherche une petite femme, pas un étalon !
– Je ne comprends pas bien….
– C’est un jeu, rien qu’un jeu, tu es d’accord pour y jouer ?
– Je crois, oui !
– Il faudra m’obéir !
– Pas de problème !

Ce jeu me faisait un peu peur, mais bon, je n’étais pas prisonnier mon plus, et puis ce délire finirait par lasser cette madame Huang, après qu’elle se sera bien amusée, je reprendrais ma liberté, alors pourquoi ne pas profiter de cette folle occasion ?

– Déshabille-toi et va m’attendre dans la salle à manger !
– A poil ?
– Oui, à poil !

Je ne me reconnaissais plus, moi qui suis d’un naturel plutôt pudique, j’acceptais sans rechigner, et après m’être déshabillé, je pénétrais dans le salon, sous les regards amusés de la petite compagnie. J’étais impatient de voir madame Huang me rejoindre. L’une des ladies-boy s’approche de moi, elle me parle, je ne comprends pas ce qu’elle dit, elle me caresse alors les fesses, je me laisse faire, ça n’a rien de désagréable, sa main ou plutôt son doigt s’approche de mon trou du cul, y pénètre et se met aller et venir. Je croise le regard de Mae-Ying, toujours ce sourire… est-ce vraiment pour la directrice que j’ai accepté de jouer ? N’est-ce pas plutôt inconsciemment pour pouvoir prolonger le temps où je pourrais encore croiser ce regard, ce sourire… Allez savoir ?

Madame la directrice rentre enfin. Ces quelques minutes m’ont parue bien longues, Je la regarde, fasciné, elle a attaché une cravache à sa ceinture ! Voilà qui ne me rassure pas, si c’est pour moi cet instrument, je ne joue plus, moi, et puis elle tient une bite à la main, j’ai cru un instant que Madame Huang était aussi un travesti avant de m’apercevoir qu’elle s’était tout simplement harnachée d’un gode ceinture ! Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver, mais il va m’arriver quelque chose !

La directrice commence à engueuler le travesti qui me faisait des papouilles, l’autre répond en montrant le doigt qu’elle m’a foutu dans le cul et qui n’est pas ressorti très propre.

– Léché lui son doigt, voyons, il ne va pas rester comme ça ! Me dit Madame Huang.

Si ça peut leur faire plaisir…

– Nous allons sceller le pacte que nous avons conclu, reprend Madame Huang. Pour cela je vais te prendre devant tout le monde !
– Heu ! Je ne sais pas si je vais aimer !
– Tu ne vas pas me dire que tu ne t’es jamais fait enculer ?
– Ben non !
– Voici une grave lacune, il va falloir que nous y remédiions ! Et jamais de gode non plus ?
– Si ! Parfois je me suis amusé avec un gode, mais tout seul !
– Et bien tu vois cette fois tu ne seras pas tout seul ! Allez tourne-toi, couche ton torse sur la table et écarte tes jambes, je m’occupe du reste.
– Euh, si ça ne me plait pas, on arrête, hein ?
– Dis donc, tu as fini de discuter ! Tu ne serais pas en train de douter de mes talents en ce moment ? Pense à tout ce que tu vas avoir à ta disposition, il faut bien des contreparties non ! Allez en position, je ne veux plus t’entendre.

Je sens quelque chose de froid en contact avec mon anus, du gel très probablement, puis je sens le gode forcer. Je décide d’y mettre du mien, après tout pourquoi mourir idiot, j’écarte mes fesses, l’instrument commence à rentrer, c’est plus gênant que douloureux, ça avance doucement dans mon rectum. Bizarre cette impression d’un corps étranger. Je ne vois pas très bien où est le plaisir là-dedans. Madame Huang fait à présent coulisser le gode ceinture, ça commence à être pénible cette affaire, et c’est limite douloureux. Je prends mon mal en patience, ça ne va quand même pas durer des heures, mais de façon d’abord imperceptible, je sens comme un léger trouble, qui augmente, m’emporte, qui gagne sur la douleur, je comprendrais plus tard que cette sensation est due au frottement du gode sur la prostate ; cette fois j’aime ce qu’on me fait, c’est bon, c’est délicieux, j’en redemande, je crie de plaisir.

– Alors, c’était bien la peine de nous faire tout un cirque ! Me dit la directrice en se retirant !
– C’était bon, madame !
– Décidément tu me plais de plus en plus ! Bon je te reverrais tout à l’heure j’ai quelques coups de téléphone à donner.

Elle disparaît, me laissant à nouveau seul et nu au milieu des toute la pensionnée.

Mae-Ying et Sumana, le travesti qui tout à l’heure me pelotait discutent ensemble, il ne fait aucun doute que je suis le sujet de leur conversation, ils finissent par s’approcher.

– Viens avec nous, on va te féminiser, ça fera plaisir à madame Huang !

Un nouveau jeu, donc ! Elles commencent à me raser tous mes poils, je n’en ai jamais eu beaucoup, mais là, je n’ai plus rien du tout y compris aux pubis et aux aisselles. Ça fait bizarre, je me sens comme un bébé qui vient de naître. On m’épile savamment les sourcils, c’est peut-être embêtant ça, mais je me dis qu’en trois semaines cela aura le temps de repousser. J’ai ensuite droit au maquillage des yeux, à celui du visage, au rouge à lèvres… Mes oreilles ne sont pas percées, qu’importe, ces demoiselles sont équipées et me fixent des jolies petites boucles d’oreilles qui se clipsent, on me fait des essais de perruques et elles optent finalement pour une coiffure blonde mi longue et légèrement frisée. On me colle des faux ongles aux doigts de la main et du vernis à ceux des pieds, on me maquille les tétons avec de l’ocre rouge, on me pare de quelques bijoux en toc, on me parfume. Il ne reste plus qu’à m’habiller, un simple chemisier blanc en haut, très légèrement transparent et qui fera apparaître mes pointes de seins. En bas, une culotte dans laquelle on a pris soin de coincer ma verge entre les cuisses, et une minijupe écossaise pour compléter tout ça ! Restent les chaussures… Et là problème… elle n’ont rien dans ma pointure !

Qu’à cela ne tienne, elles décident de m’emmener en acheter !

– Euh, je ne vais pas sortir comme ça ?
– Ben si, il faut bien les essayer !

Je me regarde dans un miroir, je ne me reconnais plus… C’est qui cette délicieuse petite pute avec une bouche à sucer des bites ! Tiens, je me plais, ça m’excite, je me demande comment Madame Huang va me trouver, mais avant, il me faudra franchir l’épreuve des godasses.

Avec son impossible voiture Mae-Ying et sa complice m’emmènent chez un grand marchand de chaussures de la ville. L’anonymat me rassure, parce que je me demande si je ne suis pas un peu ridicule (du moins du point de vue des autres) en travesti ! On me fait asseoir, on m’apporte des escarpins, un couple d’occidentaux me regarde avec insistance, je commence à me méprendre sur leurs intentions, me dis qu’il doit s’agir d’amateur de travestis et qu’ils me trouvent dans leurs goûts, je ne pourrais rien faire de plus mais un sourire n’a jamais tué personne. Quand je réalise, oh, horreur qu’il s’agit d’un couple qui était non loin de moi dans l’avion ! Ces andouilles ont dû me reconnaître, je rougis comme une tomate. Et puis au diable le qu’en dira-ton ? Je suis libre de faire ce que je veux, je ne fais du mal à personne. J’essaie une paire de chaussures, la pointure est bonne, je fais quelques essais de marche, pas évident d’avancer avec ces trucs, mais je m’efforce de bien faire, je me dirige crânement dans la direction du couple inquisiteur, les regardant avec tout le mépris dont je suis capable, encore quelque pas, et je me casse la figure sous les éclats de rire de la clientèle et du personnel.

Bon, je n’en mourrais pas ! Mae-Ying m’indique qu’il me suffira de faire une heure ou deux d’entraînement et qu’après tout ira bien.

Vers midi madame Huang refit son apparition et mes deux amies travestis s’empressèrent de lui montrer ma transformation !

– Mais quelle merveille ! Il est tout simplement splendide ! J’en mouille ma culotte, venez que je vous embrasse pour ce que vous avez réalisé… et prenez quelques billets dans le tiroir, vous vous paierez le restaurant.

Nous revoilà seuls tous les deux, elle tournicote autour de moi,

– Enlève tes fringues que je te vois nu !

Elle me caresse partout, ma poitrine glabre et maquillée semble l’intéresser ! Elle me tripote les bouts, me les pince, me les tire, me les tortille, me provoquant des spasmes de plaisir

– Hum tu as de gros tétons pour un homme, il faudrait une toute petite injection de silicone pour galber tout cela un petit peu…

Ça va pas, non !

– Tu vas me déshabiller, et après tu me lécheras la chatte !

Voici par contre un programme qui ne me déplait pas ! Je vais derrière elle, lui dézippe sa robe, la fait glisser à ses pieds, elle a le dos assez large comme beaucoup d’asiatiques du sud-est, il ne me reste plus qu’à dégrafer le soutien-gorge, ce que je fais libérant deux seins assez lourds mais de bonne tenues terminées par des aréoles et des tétons très sombres. J’ai une envie folle de lécher tout cela, mais je me retiens préférant ne pas contrarier ses plans, je retire la culotte ! Humm jolie chatte relativement poilue ! La directrice s’assoit sur le bord du lit, écarte ses cuisses, je me mets à genoux devant elle, j’approche mon visage, elle sent assez fort, mais ça ne me dérange pas, j’apprendrais par la suite, que par choix, elle ne s’essuie que rarement après avoir uriné ou chié, voulant ainsi conserver son odeur pour ses amants et amantes. J’écarte tout ce fouillis, elle a les lèvres un peu grasses, à moins qu’elles ne soient tout simplement gonflées par l’excitation, je commence à laper tout cela, m’enivrant de ses sucs, puis je me concentre sur le clitoris, l’agaçant de ma langue et de mes lèvres… je la sens griffer les draps, se raidir, partir… et finalement jouir, pour s’écrouler pantelante

– Bravo ! En plus tu sais faire jouir les femmes !

Le compliment me fait rougir !

Elle souffle quelques instants avant de me demander :

– Et mon cul ? Tu l’aurais oublié ?

Elle est insatiable cette nana !

Elle se retourne et écarte ses deux gros globes fessiers, me dévoilant son trou du cul recouvert de traces brunes. J’hésite juste un peu, et je lèche et enhardi par l’excitation je m’acharne à faire disparaître toutes les traces, je trouve ça plutôt excitant, je me régale, je me rend compte que je vais finir accro à ce truc-là. Je deviens barge.

Madame Huang appelle Sumana.

– Comment est mon cul, Sumana ?
– Il est tout propre, madame.
– Bien, ce jeune homme a droit à une petite récompense, pisse-lui dans la bouche.

Sumana dégage sa bite et me fait signe de m’accroupir, comme un zombie, j’ouvre ma bouche et avale ce qu’il m’offre. Il est excellent son pipi !

– Décidément tu me plais de plus en plus ! Tu sais j’ai une idée, tu sais ce qu’on va faire ?

Non, je ne sais pas, mais avec elle, je m’attends au pire !

– On va se marier !

Oups ! Ça y est… Elle a pété un plomb, Madame Butterfly !

– Non tu n’as pas l’air d’accord ? Demande-t-elle en faisant semblant d’être contrarié !
– Tu as vraiment des drôles de jeux !
– C’est fait pour cela la vie, pour jouer ! Jouer au mariage, ça peut être grandiose cette affaire-là.
– Et c’est quoi le programme des réjouissances !
– Ce sera une surprise !

Je n’ai revu ni la directrice, ni Mae-Ying de la journée, on m’a attribué une chambre, j’en ai profité pour me reposer et essayer de faire un peu de tri dans ma tête.

Le soir on est venu gentiment me chercher pour participer au repas collectif. J’ai mangé de bon appétit, la bouffe locale n’a finalement pas grand-chose à voir avec ce que nous proposent les restaurant thaïs européens, il y a beaucoup de trucs à la vapeur, mais ce n’est pas mauvais. J’ai du mal à communiquer, peu de pensionnaires parle correctement l’anglais, et le français, n’en parlons pas. Je m’adresse à la seule avec laquelle je peux un peu échanger, c’est Sumana :

– Madame Huang n’est pas rentrée ?
– Si mais elle prend ses repas seule, ou parfois avec l’une d’entre nous, elle mange très rarement dans la salle à manger…

Ça m’embête aussi de ne pas voir Mae-Ying, c’est un peu pour elle que je suis restée, elle doit être en train d’opérer au bar à travelos où elle m’a déniché hier soir, bêtement je me sens un peu jaloux. Finalement ça ne va pas ce soir, j’ai le bourdon…

A la fin du repas, on débarrasse, on apporte les couverts en cuisine, je me propose d’aider à laver la vaisselle, histoire de me rendre utile, mais on me fait comprendre que ce n’est pas la peine, je m’apprête à regagner ma chambre quand je croise à nouveau Sumana !

– Toi, je ne t’aime plus ! Me dit-elle en pouffant de rire !

Comprenne qui pourra, en tous les cas, moi je n’y comprends rien.

– Qu’est-ce que je t’ai fait !
– A cause de toi, j’ai reçu la fessée, tiens j’ai encore les marques !

Et du coup, elle me montre son cul ! Les marques, faut pas charrier, ou alors faut vraiment le savoir ! Je le lui fais remarquer. Elle me répond alors que la marque est aussi « gravée dans sa tête ». Elle se fout de moi, hier elle n’avait vraiment pas l’air plus traumatisé que ça ! Et cet après-midi non plus !

– Qu’est-ce que je peux faire pour arranger ça ? Proposais-je, histoire de dire quelque chose.
– Tu devines pas ?
– Non !
– Je peux venir dans ta chambre ?

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde, je ne vais pas dire non, et puis elle est ravissante cette petite Sumana.

– Tu veux bien que je te pelote les fesses ?

Voilà une question qu’on ne m’avait jamais encore posée. Mais si cela peut être le prélude à des petits jeux un peu pervers, pourquoi pas ? Du coup, je me déshabille, je me tourne, je lui offre mon cul ! La vision de mes fesses la fait manifestement craquer, et que je te les tripote, et que je tes tirlipote, et que je les malaxe !

– Qu’est-ce qu’elles sont belles ! S’extasie la lady-boy !
– Elles n’ont rien de spécial !
– Tu n’y connais rien, elles sont toutes blanches, douces, sans poils et si bien galbées, humm regarde comme je bande ! Ajoute-il en m’exhibant un bel engin effectivement bien raide !
– Jolie queue !
– Suce-là et après je vais t’enculer !

Pour la deuxième proposition, on verra, mais en ce qui concerne la première, je ne me le fais pas dire deux fois et je gobe le beau membre ainsi offert, il est plus gros que celui de Mae-Ying mais tout aussi agréable, j’ai l’impression d’avoir fait depuis hier des progrès prodigieux en fellation et je fais coulisser son membre décalotté entre mes lèvres en m’aidant de ma langue qui de temps à autre lape le bout du gland de petits coups coquins. Elle finit par me faire arrêter et me demande de me tourner. Excité comme je suis, je ne cherche même plus à discuter et de moi-même j’écarte mes fesses afin d’aider la verge à me pénétrer. Elle a un peu de mal, on n’a pas mis de gel et le sexe est un peu épais, mais ça finit par entrer. Comme la veille, j’ai d’abord la même sensation de gêne assez douloureuse, avant que le plaisir ne finisse par dominer tout cela.

– Et bien bravo ! Vous ne vous embêtez pas toutes les deux ?

C’est Madame Huang ! Pas trop gênée, on ne l’a pas vue de la journée, et elle se pointe dans ma chambre sans même se donner la peine de frapper à la porte !

– Bandes de salopes ! Me tromper à la veille de mon mariage ! Je vais vous punir ! Mais je vous en prie, il ne faut pas que cela vous empêche de continuer ! J’adore voir deux petites chiennes s’enculer !

Le problème c’est que Sumana a complètement débandé et est sortie de mon cul !

– Sumana, je vais te donner vingt coups de cravache, et même que tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine !
– Oui madame !
– Ça t’excite quand je te dis que je vais te punir !
– Oui, madame

Madame Huang lui a pris le sexe en main et le masturbe un peu, tandis que de ses dents elle lui mordille le téton, l’érection ne tarde pas à renaître, Sumana enfile un nouveau préservatif et me demande de me positionner pour terminer le travail déjà commencé. Pour cette seconde introduction il n’y a plus de préalable pénible, ça fait du bien tout de suite, je gueule des « C’est bon, c’est bon ! », tandis que l’autre finit de jouir, et s’affale sur mon dos à moitié épuisé ! Madame Huang le congédie !

– Pour ta punition à toi, je vais réfléchir, mais il ne faut pas que cela nous empêche de nous marier, je vais te laisser faire dodo, demain la journée sera longue…

Le lendemain, la journée a très bien commencé, j’ai revu Mae-Ying, c’est elle qui m’a réveillé.
– Ah, ma petite famille est arrivée pour la noce, je vais te la présenter.

On descend, il y a là un jeune homme et deux jeunes femmes à moins que ce soit des lady-boy, on finit par ne plus savoir !

– Voici mes deux filles, Ratana et Hansa et mon fils Gun.
– Nous sommes enchantés ! Me dit Hansa
– Moi aussi !.
– Ils sont beaux n’est-ce pas ? Et encore tu ne les as pas vu à poil ! Me dit Madame Huang. Tu aimerais ?
– Peut-être pas…
– On ne refuse pas ce que je propose, à poil les enfants !

Et voilà que les trois rejetons de Madame Huang sont maintenant nus devant, moi; Les files sont de vraies filles au corps harmonieux et parfait, quant à Gun, il est très fin, imberbe et à une bite magnifique. Voilà que je bande !

– Ratana et Hansa sont des putains très appréciées ! Me précise Madame Huang
– Putains et fières de l’être ! Croit devoir ajouter Hansa avec un sourire enjôleur.
– Mais, reprend Madame Huang, je vois que tu regardes la bite de Gun, elle est belle, n’est-ce pas, j’adore la sucer !
– C’est vraiment ton fils ? Et tu le suces ?
– Bien sûr que c’est mon fils, je le suce et il m’encule ! On fait du mal à qui ? Et je couche aussi avec mes putes de filles.
– Ben ça alors !
– Allez suce la bite de Gun, son sperme est délicieux et c’est plein de vitamines !

Je me suis donc retrouvé avec la jolie bite de Gun dans la bouche, sa mère est venue près de moi afin que nous le sucions de conserve. Pendant ce temps là Ratana me doigtait le trou du cul, tandis qu’Hansa faisait de même avec celui de sa mère.

– Humm, tu as le cul très accueillant aujourd’hui, Maman !

Elle ressort le doigt, imbibé du jus du cul se sa mère, elle le lèche, s’en régale.

Gun a joui dans ma bouche, j’ai ensuite échangé un long baiser au sperme avec cette diablesse de Madame Huang.

Puis Madame Huang s’est chargée de mon maquillage et de mon habillement, elle m’a dégoté une robe de mariée à l’occidentale d’un blanc immaculé, j’ai le sentiment d’être un peu ridicule là-dedans, mais j’ai accepté de jouer, continuons le jeu !

Surprise, madame Huang s’est habillée en homme, costume trois pièces, chemise blanche et cravate à pois, elle s’est coiffée d’une sorte de chapeau très « Chicago des années 1930 ». J’ai quand même l’impression d’aller au carnaval.

Je ne sais pas où l’on va, c’est Mae-Ying qui conduit, deux autres voitures suivent, nous sortons de Bangkok et nous voici en pleine campagne, on finit par atterrir dans une sorte de propriété, ou nous nous garons, nous nous sommes ensuite dirigés vers un petit bâtiment à moitié en ruine où une sorte d’autel en pierre a été dressé au pied duquel un matelas tout neuf et recouvert encore de sa cellophane a été posé !

Une grande asiatique nous attend ! Elle distribue deux petits sachets à chacun des invités, puis elle nous demande à moi et à la directrice de nous approcher ! Je vois alors l’espèce de grande prêtresse sortir un canif ! Pas rassurant cela, si on voulait me trucider en pleine campagne, qui irait me rechercher ? Mais non, le canif est tout simplement destiné à retirer la cellophane du matelas.

– Vous voulez vous marier devant moi ?
– Oui ! Réponds Madame Huang.

Je crois diplomatique de faire la même réponse !

– Je vais vous déshabiller !

Elle tape alors dans ses mains, et voici que surgissent d’on ne sait où deux mecs complètement nus, pas des travelos, non des mecs lambda un peu enveloppés, l’un s’occupe de moi et m’enlève ma robe puis le reste, tandis que son comparse déshabille la directrice. Nous voici tous les deux complètement nus ! J’en profite pour admirer à nouveau cette belle femme que l’âge n’a pas trop abîmé. La prêtresse s’est dépoitraillée et tout en se tripotant les seins elle se livre à une incompréhensible incantation, puis elle nous fait mettre à genoux !

Les deux types approchent alors leurs bites de nos visages, je crois comprendre, mais ça commence à me plaire beaucoup moins, autant sucer des sexes de travestis ou de transsexuelles m’amuse, autant le faire avec des vrais mâles ne me dit rien que vaille ! Vous me direz, j’ai bien sucé Gun, mais celui-ci était fin, imberbe, très peu masculin finalement, pas comme ces deux gros patapoufs. Mais comment m’enfuir d’ici ? Alors je me dis qu’au pire ce sera un mauvais moment à passer, et sur un signal de la prêtresse, nous engloutissons simultanément les queues ainsi offertes à nos bouches qui n’avaient rien demandé. Je ferme les yeux, après tout, une fois dans la bouche quelle différence avec celles de Mae-Ying ou celle de Sumana ? Sauf que le fantasme n’y est pas, mais bon, on ne peut pas toujours tout avoir, j’essaie de faire de mon mieux, et à ce point que ce mâle inconnu finit par décharger dans ma bouche. Pas de kleenex pour cracher, si… on m’en tend un, ces gens sont décidément très prévenants. Madame Huang a à son tour achevé son propre mâle. On m’invite ensuite à me coucher sur le matelas ! Je le fais, d’abord peu rassuré, puis plus confiant quand on indique à ma future de s’installer sur moi en position de soixante-neuf ! C’était donc ça son mariage, finalement c’est assez sympathique, et tandis qu’elle me lèche le gland, je lui broute le minou à qui mieux-mieux. ! Au bout de cinq minutes de ce joli travail respectif, nous finissons par jouir l’un après l’autre, c’est alors que je vois l’ensemble de la noce autour de nous, tous complètement nus, en train de nous balancer des grains de riz et des pétales de fleur d’oranger en nous félicitant et nous souhaitant beaucoup de bonheur ! C’est émouvant !

La noce repart ! Je ne sais pas où toute cette bande de joyeux drilles est allée manger, mais on nous a laissé, Madame Huang et moi, seuls en tête-à-tête. On s’est retrouvé dans un restaurant assez chic des alentours de Bangkok, rien d’érotique dans ce repas, mais des mets succulents et un service impeccable. Et j’ai eu la surprise de constater que ma mariée avait des tas de choses intéressantes à raconter, elle m’a parlé de sa famille, de la difficulté qu’ont les gens ici dans les campagnes, de la corruption qui bouffe tout, des filles que l’on trompe en leur promettant monts et merveilles à l’autre bout du monde, des touristes qui viennent faire du tourisme sexuel en méprisant profondément les habitants locaux. Je la rassure, lui dis que globalement je partage ses points de vue, lui parle de moi, de ma façon de voir la vie, de voir le sexe, l’amour… Elle professe une philosophie simple, basé sur le plaisir de la vie, elle me dit qu’oui, le plaisir peut y compris s’acheter pourvu que tout cela reste une relation de respect mutuel ! Cette femme est finalement extraordinaire, j’ai soudaine envie de l’embrasser, je l’embrasse, nous nous embrassons profondément, goulûment, même, et puis pour la première fois cet aveu :

– Quand je t’ai vu, j’ai eu un coup de foudre, c’est idiot je ne te connaissais pas, mais maintenant je me rends compte que tu es quelqu’un d’intéressant ! Me dit-elle
– Merci, ça me fait plaisir !
– Seulement plaisir ?
– Arrête, j’ai la chair de poule ! Répondis-je
– Si je te dis que je t’aime, tu serais capable de l’entendre ?
– Donne-moi encore quelques heures, je voudrais être sûr !
– Au moins tu es sincère, encore un bon point à ton actif ! Mais tu as raison, je suis une drôle de bonne femme, je suis autoritaire, imprévisible, mais ça n’empêche pas les sentiments. Tu as…. Tu as les mains douces.
– Toi aussi !
– Embrasse-moi encore !

On s’est attardé très longtemps au restaurant, au lieu de servir des plats trop copieux, le service s’organisait autour d’une multitude de petits plats, mais c’était délicieux, et la nuit commençait à tomber alors que nous finissions à peine notre thé au jasmin.

Mae-Ying vint nous rechercher !

– Ça s’est bien passé ?
– Très bien, je crois que j’ai fait le bon choix répond la directrice. Mais je dois une punition à ma petite femme, il serait injuste de ne pas lui donner !

Ben voyons !

– Tu es prêt à recevoir ta punition ? Me demande madame Huang.
– Punition pour quoi ?
– Parce que j’ai envie de te punir.
– Si je ne me retrouve pas en pièces détachées après, ça devrait aller !
– Tu aimes te faire enculer, n’est-ce pas ?
– Je dois avouer que ce n’était pas désagréable !
– Alors tu vas être servi, on va t’attacher, c’est juste pour le fun.

Je me laisse faire, on me couche à moitié sur une petite table, les jambes attachés aux pieds du meuble, les bras tirés vers l’avant, auparavant on a disposé un coussin sous mon ventre sans doute pour me remonter le cul ! Puis on me laisse un moment, sur une autre table on a attaché Sumana de la même façon. La directrice lève sa cravache et le coup s’abat sur les pauvres fesses de la belle travesti !

– Tiens, je vais t’apprendre à enculer ma petite femme, pendant que je ne suis pas là !

Deuxième, puis troisième coup !

– Et qu’est-ce qu’on dit, d’abord ?
– Pardon madame !
– Plus fort (quatrième coup)
– Pardon madame !

Et ça continue, je remarque d’ailleurs qu’elle diminue l’intensité de ses coups de façon à pouvoir aller jusqu’à vingt sans que l’affaire devienne insupportable. Elle fera toutefois une belle exception pour le vingtième qui claquera avec un joli petit bruit sec !

– Aïe !
– Ah, bien oui il fait mal celui-là !

On détache Sumana, qui s’en va « bouder » dans un coin et sur un signe de madame Huang, un premier travesti se présente derrière moi, la bite bandée, j’ai maintenant presque l’habitude, le gel, la poussée, l’impression de gêne, puis le plaisir, je ferme les yeux mais voilà qu’on me tire (sans brutalité) les cheveux, une autre lady-boy est devant mon visage, je comprends la manœuvre, il faut que je la suce, celle-ci, afin qu’elle bande et quand elle bandera, elle passera derrière et ainsi de suite. J’ai dû sucer ainsi toute la noce et plutôt deux fois qu’une. Je connais le goût de chaque queue, les salées, les moins salées, les longues, les épaisses, les juteuses, les noueuses… je les ai toutes eus dans mon cul, des raides qui restent raides, des moins raides qui débandent, des carrément molles, des qui bandent pendant l’action, toute la panoplie. Certaines de ces queues sont ressorties avec la capote merdeuses, ce n’est pas grave. On me détache ! Je ne me plains pas, je trouve tout simplement que trop c’est trop ! Je me relève.

– Tu dois avoir soif ! Me demande Mae-Ying !
– Oui !
– Alors on va exécuter la fin de la cérémonie du mariage, c’est la soif de l’amour !

Parce que c’est pas encore fini tout ce cirque ? Qu’est-ce qu’elles ont été encore inventées ! On pose une nappe, un drap plutôt, sur la table d’où on vient de me libérer et on m’invite à m’y coucher dessus sur le dos. On aide ensuite Madame Huang à y monter ! C’est assez impressionnant comme vision, belle contre-plongée, moi couchée et elle debout, avec les autres autour ! Elle s’accroupit au-dessus de mon visage, descend lentement et colle carrément sa chatte sur ma bouche qu’elle me demande d’ouvrir ! J’ai compris ! J’attends fébrile, ma queue rebande, une goutte d’urine vient s’écouler au fond de mon gosier, une autre et encore une autre, un petit filet qui grossit et ça ne s’arrête plus, j’avale tout ce que je peux, j’essaie de ne pas m’étouffer, elle de son côté essaie de marquer des haltes. Et puis plus rien, c’était bon, je m’en lèche les babines !

J’attend qu’elle se relève, elle ne le fait pas.

– Je vais te donner mon cadeau ! Me dit-elle.

Elle se recule légèrement, son cul est au-dessus de mon torse, et la voilà qui pousse. Un bout d’étron sort doucement de son cul, elle pousse encore et un long boudin dégringole sur ma poitrine. Elle se relève, très fière d’elle. Elle détache un petit morceau de sa merde, et le lèche ! Puis me l’approche de ma bouche. Je ne vais tout même pas faire ça ? Ben, si je le fais, je lèche un peu arrachant un sourire ravi à mon épouse du jour.

Elle se badigeonne ensuite les seins et les joues avec la matière. Madame Huang est rayonnante et cette crème insolite ne parvient même pas à l’enlaidir.

Folle d’excitation la directrice se met en levrette, cuisses ouvertes, cul relevé et appelle Gin !

– Viens mon fils ! Viens enculer Maman !

L’androgyne n’hésite pas une seconde et sodomise sa mère à grands renforts de coups de rein

Ses deux filles, ne voulant pas être en reste accourent à leur tour. Ratana viens se faire lécher la moule tandis qu’Hansa s’est faufilé sous sa mère afin de lui lécher les tétons.

Quelle famille , mes amis, quelle famille !

Après qu’elle eut jouit (bruyamment) Madame Huang se relève en sueur, me tend la main pour que je la rejoigne et m’embrasse goulûment sur la bouche sous les acclamations de la noce qui crie :

– Elles sont mariées ! Elles sont mariées !

On s’embrasse, on met de la musique, on danse, on débouche du champagne ! C’est la fête, les corps se frôlent, se caressent, c’est la fête du sexe !

On est monté dans la chambre de madame Huang, seulement tous les deux, J’ai voulu honorer mon épouse, mais on était crevé, on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre, j’étais bien, apaisé après toutes ces folies.

J’appréhendais la suite, c’est sans doute pour cela que je me suis réveillé de bonne heure. Ma mariée avait déjà quitté le lit « conjugal », je profitais de la présence ici d’une salle de bain attenante en me posant milles questions ! Son amour déclaré pour moi était-il sincère ? Et moi l’aimais-je ? Et puis surtout ça va durer combien de temps encore tout ça ?

Je me douche, je me sèche, j’enfile un peignoir, je vais pour m’habiller, mais voici Madame Huang qui revient avec le petit déj.

– Bien dormi ? Qu’elle demande.
– Bien sûr mon amour !

…Sa tête !

– T’es trop mignon, toi !
– Tu fais quoi aujourd’hui ! Demandais-je.
– Je vais vaquer à mes occupations
– Et moi ?
– Mais toi tu es libre, on s’est bien amusé, mais maintenant le jeu est fini, tu vas bientôt retourner en Europe…

Je n’entend pas la suite, j’ai une boule dans l’estomac.

– Mais continue-t-elle, tu m’as donné beaucoup de plaisir, on a passé un super moment tous les deux, et si tu repasses par ici, viens nous voir, tu seras toujours le bienvenu.

Elle m’a embrassé, j’ai eu du mal à retenir mes larmes.

Ben oui ! J’espérais quoi au juste ? Tiens demain j’irais visiter Angkor, ça me changera les idées !

Fin

Boris Vasslan sur un scénario initial de Christophe P (11/02). Partiellement réécrit en 2018


Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du « meilleur récit TRANS publié sur notre site en 2002

Par Boris - Publié dans : Boris
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