Boris

Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 06:48

La mariée propose… (ou le sex-mariage de Mylène) par Boris Vasslan et Sphak

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Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, bizarre, doigtage anal féminin, doigtage masculin, domination hard, exhibition, famille, feuille de rose, jeux érotiques, masturbation, party, pluralité masculine, scato hard, sodomie féminine, sodomie masculine, soubrette, spermophilie, uro, zoophilie.

 

 

Prologue


Mylène et Cédric viennent de faire l'amour, ils sont l'un près de l'autre, nus sur le lit, exténués par leurs folies, heureux... repus... 

- Ça va ? Demande Cédric, histoire de dire quelque chose.

- Ben, oui, ça va. Et toi ça va ? Rigole Mylène

- Tu sais, avec Florence, quand on faisait l'amour, dès qu'on avait fini, elle se précipitait sous la douche, ça avait le don de m'énerver…

Mylène n'aime pas cette allusion à Florence, l'ex de Cédric, non qu'elle soit jalouse mais imaginer son mec avec cette fille qu'elle considère comme une gourde l'agace profondément. Pourquoi lui parle-t-il de ça ? Il est vrai que Cédric a l'habitude d'accumuler les gaffes ! Elle s'en sort en biaisant ! 

- "Les sucs de l'amour ne peuvent être sales", disait Aragon !

Cédric sourit. Ce doit être de la déformation professionnelle, Mylène adore illustrer les thèmes qu'elle défend de fausses citations que personne n'ira de toute façon jamais vérifier.

Cédric et Mylène sont ensemble depuis plus de trois ans, ils vivent confortablement, très confortablement même. Elle est conseillère en communication, c'est à dire qu'elle vend pas mal de baratin aux entreprises qui croient en avoir besoin. Après son passage on s'empresse de prendre de bonnes résolutions qui seront très vite oubliées quelques semaines plus tard… Mais son efficacité, son charisme allié à une beauté naturelle, lui ont forgé une solide réputation. Elle est grande, blonde, s'amuse à faire croire qu'elle est d'origine scandinave alors qu'elle est née à 100 kilomètres de Paris en plein pays beauceron. Mylène est très demandée et la demande ça se paye.

Quant à lui, il a eu la chance de remplacer au pied levé, l'animateur souffrant d'une émission "bouche-trou" à la télévision. Il s'en sortit plutôt bien, et quelques relations aidant, il se retrouva rapidement en train d'animer des choses à la visibilité plus évidente et au cachet plus substantiel. Donc nous l'avons vu, notre couple n'est pas dans le besoin, ils n'en ont pas pour autant attrapé la grosse tête, sachant très bien quels sont les aléas de ces professions.

Mylène se caressait négligemment un sein, Cédric adorait les seins de sa compagne, un frémissement agita même son sexe pourtant fatigué. 

- J'aime bien quand tu me prends en levrette, comme ça je ne te vois plus et j'ai la tête pleine de fantasmes !

- C'est pas très gentil ce que tu dis ! Lui fit remarquer son amant.

- Mais si au contraire, quand je te vois, je ne pense qu'à toi, ça devrait te faire plaisir !

- Alors je te pendrais plus en levrette ! Ou alors ou va faire poser des miroirs, on en avait déjà parlé 

- T'as rien compris ! Tu sais ce que c'était mon fantasme ?

- Je m'attends au pire !

- J'étais en robe de marié et j'étais au centre d'une orgie !

Cédric ne répondit pas, tout ce qui évoquait le mariage l'agaçait viscéralement et il avait peur que sa compagne dévie la conversation vers ce sujet. 

- Bon, je vais me lever ! Finit-il par dire !

- Tu sais, j'aimerais réaliser ce fantasme !

- Quel fantasme ? Demanda hypocritement Cédric.

- Ben, celui que je viens de te dire, la mariée avec l'orgie !

- Tu voudrais qu'on se marie ? C'est nouveau ?

- Mais non…Ce ne serait pas un vrai mariage !

- Hein ?

Elle lui expliqua alors ce qu'était un sex mariage : 

- C'est comme un vrai mariage, avec la robe blanche, les invités, la bouffe, les témoins, les garçons d'honneur et tout le reste, sauf qu'on ne se marie ni devant la loi ni devant Dieu.

- On se marie devant quoi, alors ? Demanda Cédric, amusé.

- Devant le sexe !

- !!!

Préparatifs

Le fric attire les gens comme les mouches attirent le miel et nombreux étaient ceux qui se prétendaient être des amis du couple. Mylène et Cédric ne se faisaient aucune illusion … au premier pépin tous ces rapaces s'éparpilleraient comme une envolé de moineaux et on compterait alors les vrais amis dans ceux qui resteront. Mais ils savaient déjà qu'à part Alissa et Pascal, fidèles entre les fidèles, les autres… bof !

Le projet de Mylène permettrait de faire d'une pierre deux coups, outre l'accomplissement du fantasme par lui-même, ils savaient qu'inévitablement l'affaire s'ébruiterait et que toute une tripoté d'hypocrites crierait au scandale, uniquement parce qu'ils n'avaient pas été invités. 

- Six couples devraient suffirent ! Précisa Mylène

Ils décidèrent de les sélectionner dans un très large cercle de connaissances, parmi ceux qui affichaient une vie décontractée sainement assumée. 

- Et qui va présider tout cela ? On va tirer au sort ? Interrogea Cédric.

- J'aimerais bien Miranda Taylor !

- Sérieux ? On fait comment pour la contacter ?

- Je l'ai rencontré une fois. C'était pendant un vernissage, elle était déchaînée, elle m'a roulé un patin dans les toilettes et m'a refilé sa carte !

- Tu ne me l'avais jamais dit ?

- Ben maintenant, c'est fait !

Miranda Taylor était une ancienne actrice du hard, elle s'était reconvertie en créant une chaîne de salons de coiffures, mais contrairement à certaines de ses consœurs, elle n'avait jamais renié son passé sulfureux qu'elle assumait crânement. 

- Et le garçon d'honneur ?

- On n'est pas obligé d'en avoir un... mais je pensais à Thibault, c'est un collègue, un peu ambigu, mais il est mignon comme tout… et pour la demoiselle d'honneur on la choisira sur place, ça m'amusera !

Il fut également décidé de s'adjoindre les services de deux jolies femmes peu farouches, qui seraient dégotées dans une agence de casting, tendance "charme" et qui seraient chargées du buffet, du vestiaire, de la musique et de toutes ces petites choses sans lesquelles une fête ne serait pas une vraie fête.

- J'inviterais bien mes parents ! Me suggéra Mylène.

- Tes parents ? Alors que ça va tourner en orgie ?

- Ils sont très libertins, je vais leur en parler, je suis sûre que ça leur plaira. Et les tiens ?

Ben non, pas question d'inviter mes parents qui coincés comme ils sont, risqueraient de se sauver en courant. Quant aux parents de Mylène, ça me semble une idée complètement farfelue, mais ma tendre et chère doit savoir ce qu'elle fait. Ses parents habitent en province, je ne les ai rencontrés qu'une fois, je les ai trouvés sympas et ouverts mais le contact n'a pas été assez long pour que je me fasse une idée plus précise.

Il ne restait plus qu'à fixer le jour et à lancer les invitations.

On précisa aux participants qu'il n'y avait pas de liste de mariages, mais que les invités avaient le droit d'apporter des fleurs et du bon vin. Il fut également demandé que les convives fournissent un test médical récent, car précisa Mylène "Quand je me fais enculer, j'aime sentir le sperme dans mon cul" !

Attente

C'est dans une grande propriété de la vallée de Chevreuse, louée pour l'occasion que la fête devait avoir lieu.

Mylène était anxieuse ! Elle était dans un état d'esprit proche de ce qu'aurait été l'attente dans un vrai mariage ! Est-ce qu'on avait rien oublié ? Est-ce que certains couples ne feraient pas faux bond au dernier moment ? Est-ce que tout ce petit monde s'accorderait ? Est-ce l'orgie se déroulerait dans un bon esprit, sans dégénérer ? Etc, etc, et surtout une question "fondamentale" revenait sans cesse… Est-ce que ma robe de mariée m'ira bien ?

Ils avaient en effet choisi une vraie robe de mariée, elle la voulut décolletée, très décolletée même, sans pour autant être indécente, elle voulut aussi qu'elle soit courte, mais pas trop… Quant au chapeau… Ah le chapeau ! 

- J'ai envie de garder mes lunettes !

- Ça va pas, non ?

- Ben si, ça fait intellectuelle, et puis c'est un fantasme, les femmes à lunettes, non ?

- Fais comme tu veux !

- Je voudrais bien ton avis !

Bref, plus l'heure passait plus on sentait l'énervement.

Miranda Taylor arriva vers 16 heures. Cette grande brune aux cheveux longs était vêtue d'un tailleur rouge vif et d'un élégant chapeau à mantille. Elle s'entretint quelques minutes avec la future mariée. 

- Tu me laisses improviser ou tu as quelques idées ?

Mylène lui répéta ce qu'elle lui avait déjà dit au téléphone, expliqua comment elle voyait le début de la cérémonie et déclara faire confiance à l'ex-star du X pour les problèmes de détails. 

- OK ! Dis-moi simplement s'il y a des pratiques sexuelles que tu ne supportes pas !

- Pas de contraintes, pas de drogues dures, à part ça je ne vois pas bien !

- Bon à 17 heures le garçon d'honneur viendra vous chercher, je vais régler les problèmes matériels. Je voudrais être deux heures plus vieille, j'ai une de ces hâtes de te bouffer la chatte !

- Mais tout le plaisir sera pour moi !

Miranda redescendit. Les deux soubrettes s'affairaient autour du buffet, elles n'avaient pas encore adopté la tenue topless que l'on attendait d'elles. Il est vrai qu'un seul couple était arrivé, Alissa et Pascal. Il faut toujours que dans ce genre de truc les gens arrivent soit pile à l'heure soit plutôt en retard ! Pénible !

Ils se présentèrent ! 

- Ma tenue à l'air de vous plaire ! Remarqua l'actrice.

- Ça vous va très bien ! Répondit Alissa avec un sourire malicieux éclairant son visage de vraie rousse.

- Je crois deviner que les femmes ne vous rebutent pas ?

- J'en goûte quelques fois ? Répondit la jeune femme adoptant pour le fun le même style ampoulé que son interlocutrice.

- Nous sommes terriblement en avance… Oserais-je vous suggérer que nous nous gouttassions mutuellement afin de briser la monotonie de l'attente ?

- Chiche !

- Je crois que ces bosquets un peu plus loin conviendraient très bien !

- Moi je ne crois pas, on va se saligoter !

- Mais non, nous pendrons nos vêtements aux branches !

- Allons, allons ! Nos hôtes nous ont prévu des chambres d'amis, allons-y ce sera certes moins bucolique, mais assurément beaucoup plus pratique !

- Alors je te suis, montre-moi le chemin ! 

- Vous ne vous emmerdez pas les filles ! intervint alors Pascal dont on avait jusqu'ici pas entendu la voix :

- Reste donc, ici, il faut garder tes forces pour la partie !

- C'est frustrant !

- Que veux-tu, il faut bien que les femmes aient quelques avantages, nous, nous jouissons à volonté !

- C'est pas juste !

Arrivée dans la chambre, Miranda, ôta sa veste de tailleur en dessous duquel elle n'avait qu'un soutien-gorge en fine dentelle semi-transparente sous lequel on devinait de belles aréoles brunes. Alissa la regardait, la buvait des yeux et commença à son tour à se déshabiller. Miranda enleva sa jupe et sans laisser terminer sa partenaire approcha son visage du sien et l'embrassa avec fougue. 

- Hum, tu as la peau douce ! Constata Miranda !

- Toi aussi !

- Bon, allez, fais-moi voir ta petite chatte !

- Gourmande !

- J'adore bouffer des chattes, c'est vraiment mon truc, j'aime bien les bites aussi, mais j'en ai tellement sucé, je suis un peu blasé de ce côté-là ! Plaisanta-t-elle.

Spontanément, Alissa s'allongea sur le lit, elle prévint sa complice ! 

- Profite en bien, parce que si tu es douée, tu vas voir, je pars au quart de tour.

- Ecarte-moi tout ça au lieu de discuter !

- On demande gentiment à la dame !

- S'il vous plait !

- Vas-y

Miranda débuta par une première lapée ! 

- Humm, qu'elle est bonne !

- Ben oui, mais elle n'est pas toute fraîche, je ne me suis douchée que ce matin !

- C'est encore meilleur ! Hum quel délice, tu me fais mouiller, salope !

- Lèche !

Quelques nouvelles lapées, puis l'actrice attaqua le clitoris de sa langue, imprimant des circonvolutions savantes autour de ce petit bourgeon érigé. Alissa se cambrait déjà, agrippait à pleine main le dessus de lit, attendant que l'extase l'envahisse, puis poussa un cri fulgurant ! 

- Ben dis donc toi quand tu jouis…

- Je t'avais prévenu !

- Allez, on inverse les rôles à présent !

- Mais avec plaisir, chère amie… Quand je raconterais que j'ai fait l'amour avec Miranda Taylor personne ne me croira…

- Je te dédicacerais ma culotte, ça te fera un souvenir.

- Vraiment ?

- Si je te le dis !

Un quart d'heure avant le début de la cérémonie, nos deux coquines redescendirent. Tous les couples étaient à présent arrivés, sauf un. Une petite estrade improvisée fut dressée devant le foyer de la cheminé à l'aide d'une table et d'un drap. Miranda y disposa des bougies, de l'encens, ainsi que deux coupes de champagne… vides, un tapis de cérémonie fut posé sur le chemin qu'emprunterait les deux époux, la musique était prête à jaillir des baffles ! Il ne restait plus pour Miranda Taylor qu'à se changer... Devant la noce ahurie, qui savait certes que l'ambiance serait coquine, mais qui ne s'attendait pas à ce que les choses démarrent si tôt, Miranda se mit entièrement nue dans un coin de la pièce puis se revêtit d'un collant intégral entièrement constitué de mailles noires d'environ un cm². Elle se chaussa ensuite de longues bottes qui lui galbait parfaitement ses grandes jambes, puis elle se recouvrit les épaules d'une grande cape noire, inspirée tout droit d'un mauvais film de vampire. Elle jeta un coup d'œil à son maquillage, un autre à sa montre, le mariage n'aurait qu'un quart d'heure de retard. Le dernier couple arrivait, s'excusait bafouillait.

Miranda proposa qu'on les punisse, Tout le monde approuva y compris les intéressés, qui peu contrariant offrirent leur fesses. Quelqu'un suggéra que l'on se serve des quelques orties qui avaient la bonne idée de pousser un peu plus loin. Ce fut grand plaisir pour l'assistance de voir les culs des retardataires rougir puis se garnir de cloques.

Bref tout allait bien. Puis Miranda fit signe au garçon d'honneur.

Cérémonie

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Thibault qui s'était revêtu d'un drap blanc à l'instar des dignitaires romains, s'en alla quérir Mylène et Cédric, s'empêtrant dans son costume, perdant sans arrêt ses sandalettes, ce qui provoquait l'hilarité des convives. Miranda demanda alors aux invités de se disposer dans le grand salon en dégageant le tapis d'honneur, permettant aux futurs mariés de cheminer jusqu'à l'autel. 

- Mesdames et Messieurs, vicelardes et vicelards, obsédés du cul et fiers de l'être, voici maintenant nos hôtes Mylène et Cédric qui dans quelques minutes vont s'unir devant nous ! Je vous demande de les applaudir ! Annonça fièrement Thibault !

La musique emplit l'espace… Non ce n'est pas la marche nuptiale de Mendelssohn, c'est de la techno envoûtante et répétitive ! Les deux tourtereaux pénètrent dans le salon sous les acclamations de la petite assemblée. Ils s'avancent lentement. Tout sourire, Mylène est saisie par l'émotion et elle ne peut empêcher une larme de couler sur ses joues fardées. Ils stoppent leur progression à quelques mètres de l'endroit où Miranda les attend. Sur un signe de cette dernière, ils s'approchent. Tout le monde n'a d'yeux que pour la scène.

Miranda accueille les deux futurs époux en les embrassant très chastement, puis se recule et d'un geste de la paume fait taire la musique 

- Cédric ! Acceptes-tu de faire les meilleures et les pires obscénités pour le plaisir de ta promise ?

- Oui !

- Mylène, es-tu prête à être docile et soumise aux épreuves faciles ou moins faciles que te fera subir ton mari pervers ?

- Oui !

- Nous allons procéder, maintenant à votre union de débauche !

Personne ne sait ce que la prêtresse du sexe a préparé, mais l'excitation est à son comble.

- Je vais demander aux parents de la mariée de s'approcher de leur fille, et de rendre leur sexe accessible.

Les deux "vieux" font ce qu'on leur dit… Je n'ose imaginez la suite.

- Mylène, agenouille toi et prend la bite de ton père dans la bouche.

Incroyable de voir ça ! Le paternel bande comme un taureau et Mylène lui suce la bite comme si elle avait fait ça toute sa vie. 

Ma compagne ne m'avait jamais confié qu'elle pratiquait des relations incestueuses avec son père ! Mais cela ne me choque pas outre-mesure.

- Hum, elle est trop bonne la bite à Papa, tu veux goûter ?

Je ne saurais refuser d'autant que j'apprécie de temps à autre quelques jeux avec les personnes de mon sexe. Et c'est vrai que cette bite est un régal ! 

Miranda fait cesser ce début de fellation et demande à ma chérie de lécher la chatte de sa mère, tout en lui introduisant un doigt dans son joli cul, elle exécute cette demande avec malice.

- Oh, Maman, tu mouilles comme une cochonne !

- C'est pour mieux te régaler, ma fille !

Et tout le monde d'applaudir.

Puis l'assemblée voit Miranda monter sur l'estrade, s'y accroupir, se placer l'une des coupes de champagne en dessous de sa vulve, fermer les yeux et se concentrer quelques instants avant de pisser dedans. Le premier verre se remplit, le second le sera également. L'assistance applaudit. Miranda redescend, se tourne vers l'estrade en profitant pour faire découvrir son superbe cul bien rebondi à tous les spectateurs. Elle lève alors deux index vers le ciel et reste plusieurs secondes dans cette position, puis plonge simultanément chaque index dans une coupe. Elle dirige ensuite ses doigts trempés de son urine vers la bouche des deux promis. Ces derniers s'empressent de lécher les index ainsi offerts, provoquant encore une fois le déchaînement des invités. 

- Alors, moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment…

Elle marque un temps d'arrêt, fait durer le suspense : 

- Je reprends… Moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment vicieux et salope…

Un tonnerre de rires et d'applaudissements fuse.

- … et uni devant le sexe. Parvient-elle à conclure dans le brouhaha, tandis que cette fois c'est bien la musique de Mendelssohn qui retentit.

L'émotion est trop forte pour Mylène qui pleurniche comme une gamine. Cédric relève alors son voile et l'embrasse à pleine bouche en lui pressant ses seins... Elle aime ça ! Reprenant ses esprits elle lui rend la politesse en lui palpant sa grosse verge dans son pantalon, puis en la sortant de sa braguette. Elle se penche et elle se met à le sucer habilement devant toute l'assemblée. Et il lui caresse la joue fier d'elle, lui demande de se relever.

Spontanément, Mylène remonte sa robe offrant ses fesses trempées où se mêle la sueur mais aussi la mouille… Elle a tellement envie… Là… devant tout le monde… Excité par un tel spectacle Cédric lui baisse sa minuscule petite culotte et la pénètre fougueusement par derrière. Le bruit de ses fesses mouillées se fait entendre à chaque coup de verge. Les invités n'en peuvent plus tellement ils sont excités.

Mylène à chaud. L'un de ces messieurs a carrément sorti son gros pénis de son pantalon et se met à se l'astiquer, il est bientôt imité par les autres hommes de la noce. Devant ce spectacle cochon elle glisse un mot à l'oreille de son compagnon en les regardant tous se branler et il lui enlève sa petite culotte en annonçant que celui qui l'attrapera sera le premier à sodomiser la mariée !

Il la lance. C'est spectaculaire, en un instant une véritable mêlée de rugby s'est formée, mais l'un des invites s'en extirpe et exhibe fièrement le trophée du vainqueur. Il s'approche tout en reniflant le slip et Cédric ouvre tendrement les fesses de sa compagne à cette grosse bite qui pousse doucement son anus dilaté et bien préparé… et il entame une série de va-et-vient entre ses fesses en la faisant hurler de plaisir devant son homme bien bandé.

Elle transpire ! Sa belle robe blanche est désormais imprégnée de l'odeur de sexe et elle laisse l'invité lui sodomiser son anus délicat. Elle se retourne, lui sourit afin de l'encourager. Cédric la renifle, l'embrasse dans le cou et lui lèche sa sueur sur ses tétons chauds de belle femme saine et épanouie.

Elle sent la transpiration, ses aisselles ruissellent, elle sue dans le dos, elle est folle de sexe ! Elle passe sa jolie main suavement manucurée derrière elle et saisit cette belle queue en la sortant de ses fesses devant tout le monde.... Elle se penche vivement et détaille cette bite qui vient de l'enculer ! Elle constate qu'elle polluée par un peu de merde, alors elle se met à la sucer avec gourmandise, ça ne dure pas très longtemps, le mec éjacule... il en pouvait plus, incapable de résister plus longtemps au spectacle de cette mariée qui goûtait à l'odeur de son propre cul mélangé à celle de la bite de l'homme dans sa bouche, et tout cela en se labourant énergiquement la fente de ses doigts.

Des invités se sont approchés à tour de rôle pour féliciter les mariés Les femmes amenaient leurs hommes par la queue sortie du pantalon et elles les suçaient. Pendant ce temps Cédric commençait à préparer la mariée en sortant ses généreux nichons laiteux du corset blanc et en déchirant le bas de la robe. Elle avait le cul à l'air, les tétons aussi et elle assumait parfaitement son rôle de "mariée dévergondée" qui en veut, et en veut encore…

Tout le monde se tripote, le père de Mylène se fait énergiquement enculer par un beau brun, qu'une femme doigte avec énergie.

C'est à ce moment-là que la maman de Mylène réapparut en tenant en laisse un gros chien beige.

- Un cadeau pour toi ma chérie !

- Oh qu'il est beau, comment qu'il s'appelle ?

- Joker ! Il est très doux et il adore qu'on lui suce la bite, je l'ai testé hier, je me suis régalé.

- Maman tu es une cochonne !

- Je sais ! Vas-y caresse lui la bite ! Attends je vais t'aider.

Le chien a du mal à tenir en place, la mère de Mylène lui attrape la bite qui ne tarde pas à sortir de son fourreau, elle est rouge, raide, visqueuse, elle la fait sortir entre ses pattes de derrière.

Mylène s'en empare, lèche un peu ce cylindre obscène avant d'en prendre l'extrémité dans sa belle bouche vicieuse.

- Hum ! Quel beau cadeau, tu m'as fait là, Maman, cette bite est délicieuse.

- Ça me fait plaisir que tu l'apprécie ! Voudrais-tu qu'il te couvre ?

- Oh, oui, ce doit être génial !

La mère de Mylène recouvre les pattes avant de joker avec des gants, puis fait placer sa fille en levrette, lui écarte les cuisses, puis attire le chien qui vient renifler l'endroit avant de pénétrer sauvagement dans cet orifice offert.

 Mylène est ainsi labourée pendant plusieurs minutes par le chien, l'assistance, médusée ne perd rien du spectacle, 

Au bout d'un moment la mère fait se retirer le chien afin d'éviter qu'il reste collé pendant sa jouissance, elle couche le quadrupède sur le côté et c'est dans leurs bouches vicieuses que Joker éjaculera sous les applaudissements des invités.

Quelques minutes plus tard, Mylène se releva et demanda à être raccompagnée dans sa chambre seule avec toutes les femmes afin de se choisir une demoiselle d'honneur.

Miranda était restée en bas, les hommes n'osaient pas l'approcher et patientaient en faisant honneur au buffet ! Quel spectacle étrange que ces hommes débraillés, la bite sortie de la braguette en train de boire du champagne et d'avaler des petits fours distribués par deux ravissantes soubrettes à la poitrine nue ! L'actrice aurait bien entreprit un ou deux de ces hommes, mais elle se devait de préserver leurs forces et leur sperme. La vedette de la soirée, ce n'était pas elle, c'était Mylène, c'était la mariée ! Alors elle décida de caresser la poitrine d'une des soubrettes, celle-ci eu un mouvement de recul, peut-être n'aimait-elle pas les femmes, tant pis, elle essaya avec l'autre, une jolie blackette beaucoup moins farouche. Deux minutes plus tard les deux femmes étaient sur le sol en pleine frénésie en train d'accomplir un soixante-neuf d'enfer au milieu des hommes réunis en cercle.

Quant à Thibault, il s'était assis dans un coin, s'empiffrait de petits fours et se demandait si cette orgie le concernait bien…

Au premier étage, les femmes s'enfermèrent dans l'immense chambre nuptiale. Notre mariée finit de se déshabiller et s'étendit sur le lit : 

- Allez-y, je suis à vous ! Et soyez à la hauteur ! Ce n'est pas tous les jours mon mariage !

Elle se laissa alors caresser, tripoter, lécher et laper la chatte et le cul par ces belles femmes sensibles et prêtes à tout afin d'être désignée comme la "la salope élue" Sa mère participait elle aussi à la débauche.

Mylène finit par faire son choix sur une belle eurasienne, très salope qui la séduisit en lui promettant à l'oreille de recueillir le pipi coulant de la chatte de la mariée dans une coupe de champagne devant tous, afin disait-elle de "se saouler de ces déjections dorées de superbe blonde appétissante". Un texte qu'elle avait dû apprendre par cœur !

Ce fut donc son choix ! Elle fit déverrouiller la porte, appela Thibault par l'interphone, lui demanda de faire monter tout le monde et d'apporter des coupes de champagne. Les hommes entrèrent à moitié nus dans cette chambre qui s'avéra un peu trop petite.  Mylène était à quatre pattes dans le lit avec sa salope d'honneur. Elle prit la coupe qu'on venait de lui tendre, puis se mit ensuite à pisser dans le lit, complètement envahie par l'excitation. La demoiselle d'honneur recueillit ce qu'elle put dans une autre coupe et comme promis, la but devant tous à même le verre, cul sec, exhibant un sourire de vicieuse satisfaite et absolument décomplexée.

Un essaim de bites pénétrait à présent la mariée par la bouche, les fesses et la chatte. Les femmes n'étaient pas en reste et elles léchaient la mariée comme des chiennes affamées. Mylène fleurait et elle sentait le pipi chaud de "blonde savoureuse" et tout le monde avait envie de se soulager dans la mariée. Le sperme giclait copieusement à gros bouillons tièdes dans son rectum dilaté, son vagin était tapissé de crème et sa bouche était engluée du foutre frais et chaud des d'invités de la noce.

Tout le monde à part le "mari" l'ayant pénétré. Cédric eut alors l'idée de demander à ces messieurs de pisser tout leur champagne chaud dans le trou de balle de la mariée. Elle servait d'urinoir pour hommes, en ressentait l'étrange chaleur dans son colon. L'urine chaude l'irriguait de plaisir salace de femme dévergondée. Elle évacuait le pipi de ses fesses accompagné de sa merde, tout en gueulant comme une belle salope et fière de l'être. Quelques un des invités virent alors se régaler de ses déjections, y compris sa propre mère.

- J'ai un cadeau personnel pour la mariée ! Indiqua alors Miranda en demandant à Mylène de rester coucher sur le ventre. Elle se mit à califourchon sur son ventre et déféqua une jolie merde qu'elle lui étala ensuite sur le ventre, les cuisses et les seins. Deux petites trainés marrons sur le visage vinrent parachever cet insolite tartinage. 

Le mari fut ensuite poussé sur le lit. Et il se mit à laper sa "chienne" sale et ces dames se mirent à lui pisser dans la bouche les unes après les autres à tour de rôle et il buvait, se saoulant de pisse de femme devant sa propre compagne. N'en pouvant plus, il tira aussi délicatement que possible Mylène par les cheveux et lui déchargea dans sa bouche avec une véritable frénésie animale.

Lendemain

La fatigue vint. Certains des invités partirent à l'aube, d'autres rejoignirent les chambres d'amis qu'on leur avait réservées. On retrouva Miranda Taylor endormie sur un canapé, avec la serveuse antillaise dans ses bras.

Nos deux tourtereaux se confinèrent avec la fille et le garçon de déshonneur. Mylène se mit à jouer avec le pénis de son mari, elle s'amusa à le diriger dans la fouffe de l'autre et dans son cul… Mais elle voulait encore aller plus loin, et demanda à Cédric de s'introduire entre les fesses de Thibault, le garçon d'honneur. Celui-ci écarta volontiers ses fesses car il adorait se faire enculer.

Plus tard, elle lui ordonna de lécher la chatte et le trou du cul de la demoiselle d'honneur. Voilà qui redevenait plus classique pour Cédric qui ne se doutait pas que ces léchages ne seraient qu'un prélude, car il lui faudrait ensuite faire la même chose au garçon d'honneur.

Elle l'invita à lécher le cul de Thibault, puis lui demanda de lui sucer la bite. Il le fit mieux que la reine des queues, que n'aurait-il pas fait afin de satisfaire sa mariée exigeante ? Il n'avait pas sucé beaucoup de bites dans sa vie, mais quand l'occasion se présentait, il ne rechignait pas.

Et avant de remercier les deux derniers invités elle demanda au garçon d'honneur d'enculer son "mari" et de jouir dans son fondement tandis que la fille d'honneur faisait un pipi chaud dans sa bouche.

Quand Thibault ressortit du cul de Cédric, sa bite était couverte de sperme et de merde. Mylène s'empressa de la rendre propre. 

Ensuite, fourbus de sommeil, ils se sont endormis ensemble dans un épouvantable lit imbibé de sperme, de sueur, d'urine, et pollué de traces merdeuses.

Elle se réveilla avec lui assommée par la fermentation des secrétions de la noce le lendemain dans l'après-midi dans les restes de leurs costumes corrodés, brisés de plaisir, souillés mais fiers. Elle le regarda en souriant en lui disant :

- C'était bon, c'était divin !

- Mais dis-moi avec tes parents, tu l'avais fait souvent…

- Oh, deux trois fois…

- Ah !

- Je ne regrette qu'une chose, j'aurais bien vu un âne que j'aurais sucé…

- Mais ma chérie, tu as déjà eu un chien !

- Oui mais un âne d'est encore mieux ! Et toi tu voudrais quoi ?

- Juste un bisou

FIN

Boris Vasslan 11/2002 d'après une short-story de Sphak (revue en 6/2011 et en 2018) 

Post face : Ce récit écrit primitivement à quatre mains ne m'avait jamais vraiment plu, le style ampoulé de Sphak s'accordant assez mal avec le mien. Estimant que depuis le temps il y a prescription j'ai retravaillé le texte en y ajoutant quelques un de mes fantasmes et en supprimant quelques incongruités. Ça me plait mieux ainsi, mais ça reste un peu bancal, il faudrait que je réécrive tout de bout en bout…



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Par Boris - Publié dans : Boris
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Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 19:33

Racolage Balnéaire 5 – Janis la perverse par Boris Vasslan

Rosemonde
Attention, réservé à un public averti : ce texte contient de la scato explicite.

Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, jeux érotiques, massages, scato, transsexuelles, travestis, trio, uro, voyeurisme

Résumé du chapitre précédent : Je fais la connaissance d’Anita et de Vera, deux transsexuelles très délurées qui me font une petite séance de domination. Nous sommes interrompus par Roland qui vient réparer le frigo, je sympathise rapidement avec ce dernier à tel point qu’il finit par me sodomiser, (ben oui, c’est comme ça !) puis par me proposer de me présenter à sa compagne.

– Tu verras, Janis est une belle cochonne ! Me confie-t-il. Il y a longtemps que je ne lui ai pas ramené un mec, elle va être contente.

Il est bavard, Roland ! Tout en conduisant sa voiture, il m’apprend qu’il est sculpteur et que sa femme est coiffeuse. Ils sont libertins et pratiquent l’échangisme mais regrettent que les hommes bisexuels soient relativement rares.

De mon côté je préviens mon épouse (pour la forme, étant donné nos rapports actuels) que je ne rentrerais sans doute que fort tard.

Nous arrivons chez lui, il habite un bel immeuble à proximité du Canal St Martin.

– Je suis passé chez Anita, il y avait ce monsieur que j’ai eu le plaisir d’enculer, je me suis dit que tu aimerais peut-être faire sa connaissance. Il se prénomme Boris.
– Mais, enchanté, cher Monsieur ! Il ne vous a pas fait mal, j’espère ?
– Non, au contraire, il m’a fait du bien.
– Alors dans ce cas embrassez-moi, j’adore embrasser les enculés.

En voilà une présentation insolite : Je ne la voyais pas comme, ça. : Probablement une vraie blonde, coiffée avec une queue de cheval, ses yeux sont bleus et sautillant de malice, sa peau est très claire, elle paraît vraiment très délurée.

Je vais pour lui faire un bisou sur la joue avant de réaliser que ce qu’elle souhaite c’est me rouler un patin. Allons-y pour le patin, sa langue est douce et agile, et ma bite se met à bander joyeusement. Janis s’en assure en me portant sa main à ma braguette.

– Monsieur restera dîner ? demande-t-elle.
– Euh…
– Probablement ! Répond Roland, mais pour l’instant tu prendras bien un petit apéro ?

Janis apporte quelques bouteilles, et en me servant, elle me remet carrément la main sur la braguette. Ce doit être une manie.

– Ah, je ne t’ai pas raconté comment j’ai rencontré Anita, intervient Roland. Vas-y raconte Janis, ça va exciter notre ami.
– Vous n’êtes pas pressé, j’espère cher monsieur ? Me dit-elle en augmentant la pression sur mon sexe.
– Non, non.
– Alors d’accord mais avant racontez moi ce que vous avais fait avec Roland… Hum vous bandez bien, c’est ma main qui vous fait cet effet-là ?
– Je crois bien !
– Hum, j’ai envie d’un petit jeu, je suppose que si vous appréciez Anita, c’est parce que vous aimez bien être un peu soumis ?
– Oui !
– OK, alors déshabille-toi !

Le ton est sec, autoritaire.

Je m’exécute, mais m’étonne que je sois le seul à le faire.

– Ah ! Ah ! Tu aimerais bien me voir à poil, hein ! Rassure-toi, ça va venir mais rien ne presse ! Bon tourne-toi ! Hum, joli cul ! Ça ne m’étonne pas que Roland t’ai enculé ! Attends-moi, je vais chercher un truc !

Elle revient quelques instants plus tard avec un gode anal, me demande de me pencher, me le fourre dans le cul et le fait aller et venir.

– T’aimes ça, hein ?
– Oh, oui !

Elle me fait ensuite asseoir à l’envers sur une chaise et me ligote. Je me laisse faire, avec une petite pointe d’inquiétude malgré tout. J’espère que je ne suis pas tombé dans un traquenard !

Puis Janis me tripote un peu la bite qui se remet à bander quasi instantanément.

– Bon tu me la racontes ton histoire ?
– Et bien, nous étions à poil, Anita, Vera et moi quand Roland a sonné…
– Non, je veux toute l’histoire.

Je lui raconte donc l’intégralité de ma rencontre avec les deux trans…

– Et quand Roland est arrivé, qu’est ce qui s’est passé ?
– Anita m’a demandé de lui montrer mes fesses, je l’ai fait, il les a trouvés jolies et il m’a sucé un peu le trou du cul, puis, je lui ai sucé la bite et je lui ai demandé de m’enculer !
– Et bien, quels cochons ! Donc c’est à mon tour de raconter, si j’ai bien compris ?
– Tout à fait !

Le récit de Janis

Je m’étais fait embaucher dans un nouveau salon de coiffure. Un jour une grande femme avec beaucoup d’allure entra pour se faire coiffer, quelques minutes plus tard les langues de vipères se lâchèrent, et une des coiffeuses vint me trouver pour me chuchoter :

– Tu vois la nana, là-bas, c’est un mec !

Je ne répondais pas, enregistrait l’information et me surpris à fantasmer sur cette belle créature ambiguë. Je m’arrangeais une fois suivante, pour que ça soit moi qui la coiffe. J’y mis tellement de cœur qu’elle fut enchantée de mes services et me réclama spécialement les fois d’après.

Je lui chuchotais alors que je pouvais très bien la coiffer à domicile, pour moins cher et que je pourrais même lui offrir un massage en supplément. Elle (je préfère la conjuguer au féminin) accepta et nous primes rendez-vous.

Elle arriva le mardi suivant à mon domicile, toute pimpante et vêtue d’une petite robe couleur brique, mettant bien en valeur sa poitrine et ses jambes. Elle me fait la bise !

– Si vous pouviez me faire les ongles aussi !
– Pas de problèmes ! On commence par quoi ?
– Vous m’aviez parlé d’un petit massage !
– O.K. Mais je n’ai pas de table de massage, on fait ça sur le lit ?

Et une minute plus tard, elle est devant moi à moitié à poil, n’ayant conservé que son string. Me voici troublé de chez troublé. Le problème c’est que cette affaire-là ne se passe pas du tout comme je l’avais imaginé, je pensais discuter de sa sexualité pendant la séance de coiffure, puis en fonction de ce qu’elle m’aurait dit ensuite, improviser.

– Je garde le string ?
– Peut-être pas, non !

Elle le retire sans se retournez, elle doit sentir mon trouble car elle me provoque !

– Et voilà ! Je suis une femme à bite ! Comment vous trouvez ça ?
– Troublant, très troublant !
– Troublant ou excitant ?
– Les deux !
– Merci, je prends ça pour un compliment, bon, on y va pour le massage ?

Ben oui, on y va, je ne sais plus trop dans quoi je m’embarque, mais qu’importe, je lui masse les épaules, puis le dos avec une certaine vigueur. Il (elle ! pardon !) a l’air d’apprécier. Elle a la peau d’une douceur extraordinaire, je prends mon temps, remet de l’huile, masse et remasse, je ne me souvenais plus qu’un massage pouvait être aussi physique et aussi fatigant.

Et puis, il fallait bien que ça arrive, j’attaque son joli fessier bien rebondi. Je reste sage me tenant volontairement éloigné des zones érogènes. Je me bloque, je ne sais plus comment provoquer la suite que je souhaitais dans mes fantasmes. Au bout de quelques minutes, je lui écarte les globes, passe ma main dans la raie des fesses, recommence une dizaine de fois, puis ose m’attarder sur son œillet, ça passe ou ça casse, elle ne dit rien mais pousse des soupirs de satisfaction. OK, deux ou trois fois comme ça, puis la fois suivante mon doigt se fait davantage inquisiteur.

– Coquine ! Me dit-elle.
– Ça vous plaît ?
– Bien sûr, vous pouvez continuer !

Et voilà le travail ! Je la doigte comme une malade, deux doigts, trois doigts, ça rentre avec une facilité déconcertante, et l’autre se pâme à ce point que ça me pose un problème, mon objectif n’étant pas de le faire jouir si vite et de cette façon. Je ralentis donc mes mouvements et sors mes doigts de son trou.

– Vous pouvez vous retournez maintenant.

Elle le fait, m’exhibant une bite semi bandée. J’ai alors le sentiment qu’elle regrette que je n’aie pas poursuivi mes explorations anales. A moi de jouer pour la replacer dans le circuit du plaisir.

Alors, après quelques mouvements aussi inutiles que symboliques, je lui pelote les seins, lui suçote les tétons, elle est aux anges, puis je m’empare de sa bite, la tripote un peu avec mes doigts imprégnés d’huile de massage. Elle ne tarde pas à bander de façon optimale, une très jolie bite comme je les aime, bien droite, avec un joli gland bien formé. Je la prends en bouche et commence à la sucer…

– Si tu te déshabillais ! Me propose-t-elle.

Bien sûr que je me déshabille ! Ce que j’ignore, c’est si elle est sensible aux charmes féminins, quoi que le fait de me demander de me foutre à poil soit plutôt bon signe :

– T’es pas mal toi ! Me complimente-t-elle, viens m’embrasser.

On s’embrasse, fougueusement, goulûment, baveusement. Je suis en train d’embrasser quoi au juste ? Une femme à bite, un mec avec des nichons ? Qu’importe après tout ! On se pelote, on se caresse, on se câline, on se tripote et on finit par se retrouver tête-bêche. Bien sûr, j’embouche de nouveau sa belle queue, tandis qu’elle attaque ma chatte avec une agilité linguale assez extraordinaire.

Anita parvient à me faire jouir en moins de trois minutes. Mais à présent je voudrais qu’elle me pénètre, je lui demande :

– Tu veux me prendre ?
– Oui !

Je lui passe un préservatif que j’avais préparé à portée, puis me positionne en levrette. Elle me pilonne en une suite de saccades sèches. C’est une façon de faire comme une autre.

– Pratiquez-vous la sodomie ?

Je note l’attention délicate, et lui réponds par l’affirmative ! Elle sort de ma chatte et tente délicatement de s’introduire dans mon cul. Ça ne veut pas rentrer.

– T’as peut-être un peu de gel ? demande Anita.

Je dois en avoir dans mon fouillis, mais je ne me vois pas entamer des recherches, là, maintenant !

La transsexuelle ne renonce pas pour autant. Elle approche sa langue de ma rondelle et se met à l’enduire de salive avec ses lèvres et sa langue.

– Il sent un peu fort ton cul ! Dit-elle à brûle pourpoint.
– Tu n’es pas obligée de continuer !
– Mais, ça ne me dérange pas du tout, je disais ça comme ça !
– Ben, alors continue !

C’est ce qu’elle fait, et c’est super agréable de se faire lécher le fion de cette façon ! La pointe de sa langue sollicite tellement bien mon œillet que celui-ci ne tarde pas à bâiller d’aise. La coquine me glisse maintenant un doigt, le fait aller et venir, lui fait faire des mouvements de tirebouchons, ajoute un deuxième doigt, puis déclare que désormais le passage doit être prêt !

Effectivement, j’ai maintenant sa bite dans mon cul : J’adore !

– T’aimes ça ! Hein petite salope ? Me dit-elle.

Ah, les mots cochons l’excitent, je vais l’encourager.

– Oh, oui j’aime ça une bonne bite dans mon cul ! Je suis une bonne salope !
– C’était ça ton fantasme, te faire défoncer la rondelle par une femme à bite ?
– Ouiiii ! Encule-moi encore !

Je suis dans un état second, elle fait ça trop bien ! Mais tout d’un coup, elle freine, sort, se débarrasse de la capote (dommage je l’aurais bien léché, j’aime bien nettoyer les bites qui sortent de mon cul), me demande de me retourner et éjacule comme une sauvage sur mes seins.

Elle a ensuite la délicatesse, de venir entre mes cuisses, me lécher le clito jusqu’à ce que je gueule de nouveau mon plaisir.

Elle demandé à prendre une douche, on l’a prise ensemble en se payant une bonne partie de rigolade, on s’est rhabillée, on a bu un coup, puis on est redevenu sage, je devais la coiffer et la manucurer !

Pendant la coiffure, je lui pose la question qui me brûle les lèvres :

– Tu préfères les hommes ou les femmes ?
– Les femmes ! Quand j’étais plus jeune et que j’ai commencé à me travestir, c’est bien sûr parce que je me sentais femme, mais en fait, je voulais être une femme qui aime les femmes, une femme qui plaise aux autres femmes.
– Et les hommes !
– Une belle bite de temps en temps, je ne suis pas contre, j’aime bien sucer et me faire enculer, mais je ne fantasme que très rarement sur le visage ou sur le corps des bonhommes !
– C’est dommage !
– Pourquoi, c’est dommage ?
– L’un des fantasmes de mon mari, c’est de faire des trucs avec un trans !
– Ah ! Avec les hommes je me fais payer… mais on peut toujours s’arranger…

Effectivement je m’arrangeais avec elle (les détails importent peu). Mon mari rentrait des Etats-Unis le jeudi soir, je lui préparais donc un petit repas. A 20 heures sonnantes alors que nous commencions à peine à prendre l’apéritif, voilà que l’on sonne, Roland râle, mais je le rassure en lui disant qu’il s’agit d’une invitée surprise !

– Voila je te présente Anita !

Je lui avais demandé de s’habiller de façon très féminine, mais sans extravagance, effectivement elle portait une robe dans les vieux roses, très vaporeuse et légèrement décolletée qui lui conférait beaucoup d’allure.

– Bonjour madame, mes félicitations vous êtes très belle ! Lui répond Roland en lui serrant la main tout en la déshabillant du regard.
– Merci, monsieur, un compliment, ça fait toujours plaisir.
– Vous êtes très grande… continue-t-il.
– Mais c’est pour mieux vous enlacer mon cher monsieur !
– M’enlacer ? Vous voulez m’enlacer ? Pourquoi pas, je me laisse faire ?
– Me permettez-vous, Janis ?
– Ne vous gênez surtout pas, Anita !

Alors Anita serre Roland dans ses bras, leurs visages se rapprochent, leurs lèvres s’ouvrent, leurs langues se rencontrent, bref ils se roulent une pelle.

– Quelle fougue ! J’adore les invités surprise qui embrassent de cette façon !

Anita qui en a pourtant vu d’autres est excitée par la situation, collé contre Roland son sexe se met à grossir et ce dernier pas dupe s’en rend compte.

– Oh ! Mais je sens comme une quéquette entre vos cuisses !
– Mais c’est pour mieux vous enculer mon cher monsieur !
– Hum, j’aimerais bien voir ça de plus près ?
– Pourquoi pas, Janis me permettez-vous de montrer ma bite à votre mari ?
– Mais bien sûr !

Alors Anita enlève carrément sa robe sans aucune cérémonie, puis baisse sa culotte libérant son membre semi bandé, puis l’ordre vient, sec !

– Suce !

Comme un zombi, Roland s’accroupit et se met à sucer ce joli cylindre de chair avec frénésie. Manifestement il se régalait, je me baissais pour vérifier l’état de sa bite, il bandait comme un malade. J’intervenais et leur demandais de se déshabiller intégralement afin de permettre d’autres attouchements. Je fis de même.

Roland est rendu fou par la vision des superbes seins de la transsexuelle et va pour les tripoter.

– Non ! Proteste Anita, pour l’instant c’est moi qui commande, remets-toi à me sucer la bite, le reste on verra après.

Ce n’est pas un problème pour Roland qui a toujours été un peu soumis. Il reprend sa fellation tandis que moi je passe derrière, lui écarte le cul et me met à lui lécher l’anus. J’adore lécher les culs !

On garde ainsi la position pendant une dizaine de minutes, puis Anita nous demande d’arrêter !

– Maintenant, je vais t’enculer ! Propose-t-elle à Roland. Tu veux bien ?
– Mais avec grand plaisir !
– Alors mets-toi en levrette là sur la moquette !
– Vous seriez peut-être mieux sur le lit ! Conseillais-je.

O.K. on va dans la chambre, Roland se positionne, et là j’ai la surprise d’entendre Anita me demander de me placer à côté de mon mari et dans la même position. J’ai compris ce qui allait se passer !

La trans s’encapote, nous badigeonne nos trous de balles avec du gel, puis se met à enculer Roland qui se pâme d’aise. Au bout de cinq minutes, c’est mon tour. Je me fais enculer par une transsexuelle tout en roulant une pelle à mon mari qui a le cul béant ! Elle n’est pas belle, la vie ?

Anita change une nouvelle fois de partenaire et sodomise cette fois Roland jusqu’à la jouissance. Elle décule, on souffle cinq minutes sur le plumard en discutant de je ne sais plus quoi, puis elle propose à mon mari d’inverser les rôles, Elle se met à son tour en levrette et tandis que mon mari la pénètre, elle me fait signe de m’allonger sous elle de façon à ce qu’elle puisse me lécher la chatte. Délicate attention. Cinq minutes plus tard nous avions jouis, Roland et moi.

On est encore resté quelques minutes sur le plumard, pour nous remettre de nos émotions et puis on s’est un peu rhabillé, on est passé à table. Il n’y a plus eu de sexe au cours de cette soirée… En revanche il y eut d’autres soirées au cours desquelles nous avons varié un peu les plaisirs, en y introduisant un peu de domination, un peu d’uro aussi… Ce fut aussi le début d’une belle amitié.

Fin du récit de Janis

– Elle t’a plu mon histoire ?
– Oui, vous racontez bien !
– Tutoyons-nous donc ! Dis-moi tu t’es déjà travesti ?
– Oui, une fois (voir l’épisode « les grandes folles »)
– Il faudra que tu nous racontes, et tu n’as pas eu envie de recommencer.
– Disons que je n’ai pas eu l’occasion.
– O.K. donc comme tu es mon petit soumis ce soir, si je demande à Roland de te travestir, ça va le faire ?
– Pourquoi pas ?
– Allez, Roland, va me le préparez ! Moi pendant ce temps-là je vais préparer la bouffe.

Je suis le zigoto dans la salle de bain

– L’idéal serait que je te rase tous les poils, mais tu es marié, ça va peut-être poser un problème.
– Non, non, vas-y rase-moi

Et c’est parti, les bras, les jambes, le torse… Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs qu’on a utilisé, heureusement que le mec en avait une provision. On termine par les fesses, le pubis et les testicules. Drôle d’impression, me voilà avec une peau de bébé. C’est très doux. Il me tartine ensuite le corps avec un crème.

– Bon maintenant maquillage, mais on va faire léger.

Fond de teint, rouge à lèvres, fard à paupières avec deux teintes dégradées, l’une claire, l’autre plus foncée, crayon noir, mascara… Dans le miroir je ne me reconnais plus et ne me reconnais encore moins quand il m’affuble d’une superbe perruque blonde.

– Comment tu te trouves ? Me demande Roland !
– Pas mal, pas mal du tout !
– Je crois que Janis va kiffer ! Pour les fringues on va en rester aux sous-vêtements, ce n’est pas la peine que je t’habille pour te faire déshabiller dans la foulée… suis moi dans la chambre, on va trouver des trucs.

Une paire de bas noir auto-fixant taille 4 me gaineront donc les jambes, on ajoutera à la panoplie un soutien-gorge à balconnets laissant apparaitre (Que dis-je ? Mettant en valeur) mes jolis tétons, ainsi qu’un string un peu étroit compléteront la panoplie.

– Jolie, te voilà devenue une femme à bite. Tu étais Boris te voilà Borissa.
– Euh la dernière fois qu’on m’a fait ça, on m’avait surnommée Doris !
– Doris, oui pourquoi pas, c’est très joli. Allons-y pour Doris. Ah, je n’ai pas de chaussures à ta taille, et puis tu ne vas peut-être pas savoir faire, tant pis pour les chaussures.

A son tour Roland se change et se pare de dessous féminin, un porte-jarretelle, des bas résilles, une petite nuisette transparente, et bien sûr une perruque qui pour lui sera brune.

– Allez viens, on va rejoindre Janis !

…puis

– Et voici Doris ! S’exclame-t-il en fanfaronnant mon arrivée.

Laquelle Janis n’en revient pas ! Moi je n’en reviens pas d’avoir un tel succès, c’est vrai que j’ai les traits assez fins, mais bon…

– Bon, je te propose le petit scénario suivant : Je vais vous regardez pendant que vous baisez ensemble, vous faites tout ce que vous voulez, mais, je tiens à ce que tu encules mon Roland parce que c’est ce qui m’excite le plus. Toi Boris, Doris pardon, tu te débrouilles pour ne pas jouir, parce ce que le final c’est toi et moi, je veux que tu me baises devant mon cocu de mari ! Ça te convient ?
– Ça me convient parfaitement.

On ne perd pas de temps et Janis est déjà en train de se déshabiller, mais elle garde son soutif et sa culotte et s’installe dans un fauteuil.

– Allonge-toi par terre, on va se sucer la pine ! Me demande Roland.

Et hop ! Je suis à peine par terre que le Roland est en soixante-neuf au-dessus de moi, j’ai sa bite à quelques centimètres de mon visage, je la gobe, c’est toujours une sensation extrêmement agréable de sentir de morceau de chair entre les lèvres, au contact de la langue et même, à l’intérieur des joues. J’assume désormais complément cette passion, j’aime sucer des bites, ça m’excite et j’en ai aucune honte. Son gland s’humidifie d’une perle de pré-jouissance à la saveur salé, je m’en régale. De son côté, la mienne de bite est en bonnes mains ou plutôt en bonne bouche, il faudrait d’ailleurs qu’il s’agite un peu moins, puisqu’il n’est pas dans les intentions de Janis que je jouisse si vite.

Janis s’est débarrassée de ses sous-vêtements. Elle a une jolie poitrine, peu volumineuse, mais de bonne tenue. Elle est en train de s’exciter en profitant du spectacle, elle a une main qui s’active dans la chatte, l’autre occupée à se triturer le téton droit.

– Allez-y mes salopes, sucez-vous bien la bite ! Allez mieux que ça !

Je ne sais pas trop ce qu’elle veut qu’on fasse de mieux… et d’ailleurs je prends le risque de me dégager.

– Je crois qu’on va être obligé de faire une pause ! Commentais-je.
– D’accord pour la pause mais à ma façon ! Répond Janis. Mettez-vous en levrette, l’un à côté de l’autre et attendez-moi, je reviens tout de suite.

On entend du bruit, elle fait couler de l’eau, puis revient quelques instants plus tard avec des carottes et des branches de céleri. Pas difficile de comprendre ce qui va nous arriver.

Je tends mes fesses, j’ouvre mon trou du cul, et la carotte rentre. Même punition pour Roland (Rolande) puis elle se met à effectuer des mouvements simultanés de va-et-vient à nos carottes respectives. Voilà une sensation qui n’est pas désagréable du tout, mais malheureusement elle passe à autre chose et tout en nous laissant les carottes plantées dans le cul, elle se met à nous flageller avec la branche de céleri. Etonnant je n’aurais jamais cru que ce légume puisse cingler autant !

– Alors ça vous plait d’avoir les fesses toutes rouges, bandes de pédés ?
– Oh Ouiii ! Gueule Roland (Rolande)

Pour ma part j’arrêterais bien tout ça, je commence à cuire des fesses. J’allais lui dire, mais voilà que madame se calme.

– La pause est terminée, mes salopes ! Reprenez où vous en étiez !

Et nous revoilà sur le tapis, de nouveau je gobe la bite de Roland, me régalant de cette texture si soyeuse. Ce dernier me suce divinement mais trop rapidement. Me voilà donc obligé d’abréger ce soixante-neuf, et je fais signe à mon partenaire que comme le souhaite son épouse, je vais le sodomiser.

Sissy R43

Il a parfaitement compris le message et se met en levrette en tortillant son joli petit cul de façon provocante (j’aillais écrire obscène, mais ce n’est pas obscène c’est juste très excitant voilà tout !)

J’approche ma langue et lui lèche le troufignon ce qui excite Janis qui se lance dans des commentaires salaces.

– T’aime ça lécher : les trous du cul ! Espèce de salope, je vais te réserver une belle surprise tout à l’heure avec le mien !

Je la vois venir un peu sur ce coup-là, mais je ne m’inquiète pas outre mesure, quand l’ambiance s’y prête et que je suis bien excité, je peux accepter beaucoup de choses.

Le trou de Roland est désormais bien humecté, je lui rentre un doigt, le fait entrer et sortir plusieurs fois, puis estimant que ce petit cul est désormais prêt pour ma bite, et après l’avoir recouverte de la protection d’usage, je la lui rentre dans le fondement.

Je suis vraiment très excité, et suis obligé de ralentir considérablement mon rythme pour me réserver pour la suite avec Janis. C’est au détriment du plaisir de Roland. Mais je ne peux pas tout faire, je ne suis pas « Bite d’acier » !

Et puis, elle est bien gentille la petite Janis, mais ça va être l’un ou l’autre, ou je me retire tout de suite, ou je jouis dans ce mignon petit cul que je suis en train d’enculer !

Et comme je sens mon plaisir monter inexorablement, je décide de ne plus me retenir, je nique comme un sauvage faisant gueuler de plaisir mon partenaire, J’accélère encore ! Je jouis au milieu de trente-six chandelles.

– C’est malin ! Me dit Janis ! visiblement dépitée.

Je tente de m’expliquer, elle n’en a cure ! Je viens de baisser de 35° sur le baromètre de son estime ! Tant pis, je m’en remettrais, je m’en vais vers la salle de bain pour me changer, puis partir…

Je suis à poil devant le lavabo, je me rince le zizi. Janis entre sans un mot. Elle est restée à poil. Elle en a un ces joli cul, la Janis !

– Tu fais quoi ?

Ah, enfin une parole !

– Ben, je vais me rhabiller et partir !
– T’es sûr que tu ne peux pas repartir pour un tour ? Me demande-t-elle en me tripotant la bite.
– Ma foi ce n’est pas impossible !
– T’aime bien quand je te branle ?
– Oui
– J’ai envie de pisser, je te pisserai bien dessus !

Je ne suis pas contre, mais pourquoi ne pas m’avoir proposé ça avant ? Mais peut-être qu’avant elle n’avait pas envie ? Le souci, c’est que là, pour le moment, je suis un peu démotivé ! Alors je ne sais pas quoi lui répondre.

– Viens t’allonger dans la baignoire !

L’ordre est cinglant ! Je me dis que ça ne coute rien d’entrer dans son jeu, me voilà déjà en position, Janis est au-dessus de moi ! Quelle vue magnifique et troublante ! Le jet de son pipi me mouille le torse, je me contorsionne un peu afin qu’il atterrisse sur mon visage, j’ouvre la bouche, je bois sa pisse, elle est bonne, j’en bois et j’en rebois, je rebande un peu, mais seulement un peu.

Normalement, dans ce genre de jeu, lorsque la miction est terminée il est d’usage que le receveur aille nettoyer la chatte donneuse. Mais la proposition ne vient pas. Tant pis.

Janis se retourne.

– Lèche moi le trou du cul !

Je le fais volontiers, me régalant de ce goût un peu acre.

– Mets moi un doigt maintenant.

Allons-y pour le doigt que je fais aller et venir et qui touche une matière molle. Est-ce que…

– Sors ton doigt, maintenant

Evidemment, il est pollué.

– Deux solutions mon chéri, on bien tu te rinces au robinet, ou bien tu lèches ton doigt et tu goûtes à ma bonne merde !

Elle ponctue la seconde partie de sa phrase avec un sourire qui fait que je ne sais refuser cette proposition.

Je lèche donc mon doigt, tout cela n’a pas vraiment mauvais goût !

– C’est comment ?
– Spécial, mais ça va !
– Recommence à me lécher le cul et je vais essayer de pousser et de sortir une belle crotte.
– Euh !
– Allez, on ne se dégonfle pas !

Je lèche, l’anus s’ouvre laissant dépasser un petit, étron, je me recule légèrement attendant la suite, puis m’enhardit à lécher cette petite merde, et voila que Janis pousse encore et cette fois un gros boudin se faufile hors de son trou du cul, je m’écarte un peu mais pas suffisamment et j’en plein la tronche tandis que le petit bout est tombé dans ma bouche. Je le recrache et me dégage le visage.

– Maintenant nettoie moi le trou du cul, je veux qu’il soit propre, tout propre.

Dans un état second, je fais ce qu’elle m’ordonne m’étonnant d’ailleurs que sa défécation ne lui a pas davantage salit l’endroit.

Mais la cochonne n’avait pas fini de m’étonner, elle ramasse un peu de merde dans ses doigts et se l’étale sur les joues avec un air vicieux.

– Il paraît que c’est super comme crème de beauté ! Commente-t-elle.

Tiens, je l’ai déjà entendu quelque part, celle-là ! Mais le pire c’est que ça n’arrive même pas à l’enlaidir !

Elle s’en met ensuite sur les seins, je devine qu’elle va me demander de les lui lécher, ça ne rate pas. J’ai la tête qui tourne, la bite douloureuse et la bouche pâteuse, mais je me sens bien, terriblement bien, allez y comprendre quelque chose, vous ? Janis cherche mes lèvres, les trouve, on se roule une galoche…

Mais voilà Roland qui nous rejoint, sa belle bite est sortie, gland décalotté, et il me l’exhibe, je pense d’abord qu’il va me la donner à sucer, mais ses intentions étaient autres : il me vise. J’ai compris qu’il souhaite me pisser dessus. J’ouvre la bouche, Glouglou ! Son urine est plus forte que celle de Madame, j’en avale néanmoins l’équivalent d’un bon verre. C’est bon !

J’ai un peu peur que toute cette ingestion me reste sur l’estomac…

– On passe à table ! Une grosse omelette, ça te dirait ? Me propose Janis.
– Super !

Je me douche un peu, Roland a mis le couvert et est parti faire la cuisine, Janis s’est assise devant son assiette. Elle est toujours entièrement nue et non rincée, c’est surréaliste

– Viens t’assoir Et après manger, tu as une promesse à tenir ! Ajoute-t-elle.
– Je la tiendrais !
– Tu as intérêt ! Roland va d’abord m’enculer, ensuite ce sera ton tour, mais pendant que tu le feras, tu lui nettoieras bien sa bite avec ta langue !

Ben voyons !

Fin de l’épisode

BORIS, Alençon Février 2012
© 2012 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 4/3/2012, révisé et complété en juillet 2018

Par Boris - Publié dans : Boris
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Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 19:24

Racolage Balnéaire 4 – Anita, la géante par Boris Vasslan

stamp transblack

Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, domination soft, donjon, engodage masculin, exhibition, masturbation, party, prostitution, scato légère, transsexuelles, travestis, uro

Ce récit constitue le chapitre 4 de la série « racolage balnéaire » – Selon votre humeur et vos disponibilités vous pourrez donc lire (ou relire) la série entière ou vous contenter de celui-ci qui peut se lire indépendamment.

Avant de prendre congé, Frédérique m’avait interrogé sur mes activités professionnelles. (voir les chapitres précédents) J’étais resté assez vague, précisant malgré tout que je faisais un peu dans l’informatique, il rechercha alors une petite carte de visite qu’il me confia :

– Tiens ! Ce sont des amis, quand tu seras à Paris, contacte-les de ma part, ils souhaiteraient que quelqu’un leur fasse un site Internet.

J’acceptais poliment, cela n’engage à rien, mais je n’avais pas trop l’intention de donner suite, n’ayant pas que cela à faire.

Malgré tout, cette aventure estivale m’avait profondément marquée. J’avais dans un premier temps résolu de tirer un trait là-dessus. C’était donc pour moi, une expérience forte, inoubliable, mais sans lendemain. Cette résolution ne résista pas à l’épreuve du temps. Plus il passait, plus l’envie de retrouver les merveilleuses sensations que j’avais connues chez Frédérique me tenaillait. Je passais des heures sur le net à dégoter d’improbables contacts, mais tout cela me paraissait bien compliqué et surtout bien incertain. C’est alors que je repensais à cette petite carte de visite. Je n’avais demandé aucune précision et les amis de Frédérique pouvaient être aussi bien des grossistes en antiquités moldaves que des joueurs de bandonéon ! Mais qui sait, d’amis en amis, j’arriverais peut-être sur quelque chose d’intéressant ?

Pas facile de joindre cet interlocuteur ! (Répondeur, ligne occupée, sonnerie dans le vide) Mais à force d’insister, je tombe sur une voix féminine un peu grave. La dame est très prudente au téléphone, c’est le moins que l’on puisse dire, mais quand je lui dis que j’appelle de la part de Frédérique, elle ne se contient plus ! Un vrai moulin à paroles !

– Ah, cette Frédérique, elle est si chou ! Je l’ai eu au téléphone l’autre jour, c’était quand déjà ? Mais elle était si pressée ! Comment va-t-elle ? Est-ce qu’elle est toujours avec Fabrice ? …

J’ignore qui est Fabrice, et je m’en fous complètement, mais je m’amuse d’entendre mon interlocutrice conjuguer systématiquement Frédérique au féminin. Quand je peux enfin en placer une et lui dire que je lui propose mes services pour son site Internet, ça repart pour un tour :

– Elle est si gentille de penser à moi, Elle m’avait bien dit qu’elle m’avait trouvé quelqu’un, mais comme je ne voyais rien venir….

On finit par prendre rendez-vous. Ce sera à 17 heures en sortant du boulot.

J’ignore, bien évidemment sur quoi je vais tomber, mais j’ai, suite au contact téléphonique, un bon pressentiment. Je me rends sur les lieux, un immeuble de standing comme on dit. Je sonne et là : Premier choc :

Une géante ! Au moins 1 m 80 auquel il faut rajouter des hauts talons. Elle est blonde, les yeux bleus, les cheveux coupés au carré, plutôt forte, mais sans exagération, vu la taille. Difficile de lui donner un âge, sans doute entre 35 et 45 ans. Elle a un adorable sourire ! Je me présente.

– Je suis Boris…
– Rentrez Boris ! Je vous attendais.

La voix paraît féminine, mais quand même genre contralto ou encrassée du larynx ! Elle me fait asseoir dans un fauteuil bien moelleux mais légèrement fatigué.

– Voilà, je suis Anita ! Je vous fais un petit café ? Un thé ? Un chocolat ?

Elle est habillée d’une jupe grise assez classique et pas vraiment sexy, et d’un pull-over blanc sans autre fantaisie que de lui mouler son opulente poitrine.

– Je prendrais bien du thé !

L’appartement est décoré avec goût, quelques reproductions de tableaux coquins du 17ème siècle ornent les murs. Un concerto pour piano est diffusé en sourdine, sans doute Rachmaninov. Sur la table un livre est ouvert et retourné, le Tartuffe de Molière ! Cette Anita parait donc comme une personne cultivée.

Elle part un instant dans la cuisine en tortillant du cul ! J’étais bien en peine à ce moment-là de déterminer le sexe de cette personne. Le visage me paraissait trop féminin pour être une transsexuelle, mais d’un autre côté, cette taille, cette stature, cette voix. Quand elle sera de retour, il faudra que je regarde ses mains ! Elle revient d’ailleurs tout de suite. J’ignorai qu’on puisse préparer le thé aussi vite ! Ses mains ne me renseignent pas, certes, elles sont un peu larges, mais, bon ! Elle s’assied ! Je la dévisage mieux. C’est vrai que le visage est très agréable. Quel charmant sourire ! Je lui rappelle la raison de ma visite, elle me répond que l’on va en parler dans quelques instants. J’ignore ce qu’elle attend et on échange quelques banalités. Mon regard est inexorablement attiré par la forme de ses seins sous son pull. Elle doit pourtant avoir un soutien-gorge vu l’excellente tenue de sa poitrine. Ses tétons pointent sous la laine du pull. Spectacle charmant. Pourtant un détail me surprend, il y a sur les tétons une sorte de renflement insolite ! Hypertrophie du mamelon ? Non, je comprends assez vite qu’il s’agit de petites boucles. Madame a donc des piercings au bout des seins, des anneaux !

– Je vous plais ?

Aie ! Qu’est-ce que je peux être pataud parfois, je rougis de confusion ! J’essaie de sauver la face :

– Excusez-moi, mais vous êtes, euh…
– Je suis ?
– Ben vous voyez, je ne trouve même pas mes mots !
– Ce n’est pas grave, je suis contente de vous faire de l’effet !

Nous voici sur un curieux terrain, je cherche une réponse un peu sensée, n’en trouve pas vraiment. Mais voici le thé qui arrive et qui provoque une bienvenue diversion. Et il n’arrive pas tout seul, le thé, une charmante personne nous l’apporte, nous le sert, et s’assied dans le seul fauteuil resté libre.

– Je vous présente Véra !

Véra est habillée d’un simple jeans et d’un pull-over rouge à grosses côtes, ce qui n’est pas précisément une tenue érotique. Tout sourire, visage agréable savamment maquillé. Mais en ce qui la concerne, le doute est peu permis, il s’agit bien d’un travesti !

– Euh ! Enchanté ! Balbutiais-je.
– Moi de même ! Répondit la nouvelle venue.
– Troublante, non ? Commenta Anita.
– Très !
– Elle vous plait ?
– Elle est charmante !
– Vous ne répondez pas ?

Qu’est-ce qu’elle me fait, là ? Elle cherche à m’embarrasser ou quoi ? Ou alors à me provoquer ? En fait, je suis prêt à me lancer ! Mais tout cela va trop vite, je ne pensais pas que les amis de Frédérique étaient si impliqués dans mes fantasmes !

– Si, si ! Je vais vous répondre ! Elle me plait beaucoup !
– Elle vous plait ? Ou elle vous tente ?
– Les deux ?
– Et si on parlait de notre site Internet ?

Ben ! C’te blague ! Je suis venu pour ça ! Non ? Et d’ailleurs, non, je ne suis pas venu pour ça, c’est un prétexte. Mais quelle manie, elle a, Anita, de souffler ainsi le chaud et le froid. Je m’attends à des détails techniques ! Parce qu’un site Internet, mais pourquoi faire ? Ou plutôt pour quoi dire et pour quoi montrer ?

– On va vous montrer notre activité dans tous ces détails, mais ça coûte combien ?

J’avoue que ce genre de choses ne m’était jamais venu à l’idée !

– Je ne sais pas ! Ça dépend, il y a des sites très simples que l’on peut faire en une heure ou deux et d’autres qui demandent un investissement quotidien.
– Je me suis mal expliquée ! Je souhaiterais que vous puissiez faire ça sans qu’il soit question d’argent entre nous. Nous pourrions vous remercier avec quelques prestations qui vous feraient plaisir !

Je décide de jouer le jeu.

– Et si vous me précisiez ce que sont ces fameuses prestations ?
– Tu as fait quoi avec Frédérique ? Me demande Anita passant au tutoiement

J’ai beau me dire que je suis en terrain d’initiés, raconter ces moments me gêne ! Je le lui dis :

– Ça ne t’a pas gêné de le faire, pourtant ? Rétorque-t-elle.
– Ce n’est pas pareil !
– Bon on va te faire visiter notre petit coin coquin ! Tu nous raconteras après !

Je fais le geste de me lever pour les suivre.

– Attends ! Attends ! Reste assis ! Et bois ton thé. On ne va pas y aller comme ça ! Allez, Véra on se met en tenue ! Ou plutôt, non, je vais commencer ! On va le chauffer progressivement.

Je crois rêver ! Anita retire son pull-over. Elle a en dessous un bustier noir dont une fine dentelle recouvre son opulente poitrine. Toutefois ce truc ne recouvre pas la totalité du sein, juste le bas ainsi que la majeure partie du téton, mais la partie supérieure de l’aréole est découverte. Super troublant ! Elle retire ensuite sa jupe. Elle a des bas cuivre et des porte-jarretelles assortis au sous-tif. Mon regard se porte évidement sur sa petite culotte, qui elle ne l’est pas (assortie). Il n’y a que dans les histoires cochonnes que les femmes n’ont pas de culottes ! Elle ne la retire pas ! Mais cette fois le doute n’est plus permis, il a là-dedans une jolie pine qui ne demande sans doute qu’à entrer en action. Et me voilà tout excité !

– T’aimerais bien en voir plus, hein ? Petit cochon !
– Ça c’est sûr !
– Tu aimerais qu’on te domine un petit peu ? J’ai l’impression que tu dois aimer ça ?
– Oui, pourquoi pas !
– Tu n’as pas peur ?
– Non !
– Non qui ?

Je ne m’attendais pas à ce que la domination commence de suite, et donc à ce qu’Anita m’adresse une petite paire de gifles plus symbolique que méchante !

– Non qui ?
– Non maîtresse !
– Ah quand même !
– Tu vas être mon esclave !
– Oui maîtresse !
– Et tu sais ce que je leur fais à mes esclaves ?
– Non maîtresse !
– Ben essaie de deviner ! Et retire donc ton pantalon et ce que tu as en dessous, ça va t’aider à réfléchir !

Je m’exécute.

– Et mets-toi à genoux ! Ou plutôt non, attend un peu que je regarde ton petit cul !

Elle ne se contente pas de le regarder, elle le malaxe, le tripote, le triture ! Faut surtout pas se gêner !

– Qu’est-ce tu en penses, Véra ?
– C’est un joli petit cul de tapette !
– On t’avait déjà dit que tu avais un petit cul de tapette ?
– Peut-être pas en ces termes-là, mais mon cul avait eu un certain succès chez Frédérique…
– Et ma réponse ?

La réponse ? Quelle réponse ? Elle me gifle à nouveau, pas trop fort mais ça me rafraîchit la mémoire.

– Je suppose que vous allez me fouetter, m’attacher !
– Et puis ?
– Peut-être me sodomiser avec un gode !
– Et puis ?
– Je ne sais pas, peut-être m’uriner dessus ?
– Et puis ?

Je m’aperçois avec horreur que nous n’avons pas pensé à aborder les limites de cette séance de domination complètement improvisée. J’espère qu’elle n’a pas le projet de me faire des trucs avec des aiguilles ou pire encore. Mais je ne suis pas prisonnier. Si c’est le cas, je peux toujours m’en aller.

– Je ne sais pas, maîtresse !
– Mes esclaves, je leur fais sucer des bites !

Ah ! C’était donc ça ! Mais ce genre de chose ne sera pas une corvée. Mais alors pas du tout !

– C’est comme vous voulez, maîtresse !
– Tiens, je suis sûr que là, maintenant, tu aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Oui maîtresse !
– Dis-le mieux que ça !
– Oui maîtresse, j’aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Et après quand tu l’auras sucé, on fera quoi ?
– Je suppose que je me ferais sodomiser ?
– Que tu te ferais quoi ?
– Sodomiser, maîtresse.
– C’est quoi ce mot-là ? On n’est pas chez le sexologue ?
– Alors… que je me ferais enculer !
– Ah ben voilà ! Bon mets-toi à genoux devant Véra et commence par lui tripoter la braguette, et tu ne fais que cela !
– Bien maîtresse !

Je fais comme elle m’a dit, je suis en plein rêve, même dans mes élucubrations les plus folles je ne m’imaginais pas que les choses iraient aussi vite ! Je sens la queue du travesti à travers la toile du jean.

– Caresse-la jusqu’à temps qu’elle bande.

Ça demande tout de même un certain temps, je ne dois pas être son genre ! La chose finit malgré tout par durcir.

– Tu défais la fermeture et sans rien casser ! Voilà et maintenant tu vas passer ta main là-dedans et le tripoter à travers son slip.

Voilà qui est autrement agréable, car le fin tissu du slip (ça doit être de la soie) n’altère pratiquement pas la forme du membre. Je pratique ce petit jeu pendant une minute ou deux. !

– Sort-lui sa quéquette maintenant ! !

Bien sûr que je le fais, je libère ce membre de taille honorable, et le caresse, sa texture en est soyeuse, la situation a eu raison de ma propre bite bandée comme un arc.

– T’aimerais bien la voir de plus près, maintenant ? Hein, esclave ? Demande Anita.
– Oui maîtresse !
– Bon, tu la suceras quand je l’aurais décidé… Mais pour l’instant tu vas finir de te foutre à poil.

Je m’exécute et alors qu’Anita me demande de me mettre à genoux devant le sexe de Véra, le carillon de la sonnette d’entrée retentit ! Du coup le travesti, réajuste sa tenue, range son service trois pièces et me laisse en plan ! Je vais pour me rhabiller mais Anita intervient !

– Juste le caleçon, et puis tu devrais finir ton thé, il va refroidir !

Le ton est redevenu « normal », Anita ne joue plus, j’avoue en être contrarié !

– C’était quoi ? Demande-t-elle à Véra !
– Un client ! Je l’ai mis dans la salle d’attente !
– Ah ! On n’avait plus de rendez-vous aujourd’hui !
– Il dit que si, on a dû oublier de le noter.
– Il est déjà venu ?
– Non !
– C’est quel genre ?
– La trentaine, assez mignon !
– Vas le chercher, on va s’amuser, mais soit diplomate, si ça se trouve c’est la première fois qu’il vient se faire dominer.

Comme Véra n’a fermé aucune porte, nous pouvons entendre la conversation :

– Venez, Maîtresse Anita va vous recevoir, mais ne soyez pas surpris, il y a déjà un client dans le salon.
– C’est que ça m’embête un peu, je ne peux pas attendre plutôt ?
– Si, bien sûr, mais je vous suggère de venir quand même, plus on est de fou, plus on bande… de plus séances collectives sont souvent passionnantes… de toute façon il ne vous arrivera rien de ce que vous ne souhaitez pas…. Vous m’avez rempli le petit questionnaire… Ah voyons, mais c’est parfait, ça… Au besoin on peut vous masquer le visage…
– Non, je crois que je vais essayer…
– Très bien, dès que vous aurez fait la connaissance de Maîtresse Anita, il vous faudra payer le prix convenu et ensuite sans qu’on ait besoin de vous le dire, vous vous déshabillerez, puis vous irez vous mettre à genoux devant elle et vous lui lécherez le trou du cul.

Le type arrive, effectivement, la trentaine, cheveux très courts et petite barbiche, jean et polo, très mode !

– Bonjour ! Murmure-t-il !

Il regarde autour de lui, un peu paumé, genre « je me suis lancé dans un drôle de truc, je ne voyais pas ça comme ça, mais je découvre… » Il dévisage Anita qui est resté en sous-vêtements, manifestement elle lui plait, il me regarde aussi, très dubitatif. La dominatrice parcourt rapidement le petit questionnaire et exprime un curieux sourire d’assentiment.

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?
– Non, mais la première fois c’était avec une femme, je veux dire une vraie femme, ça ne s’est pas bien passé, je m’étais dit que je n’y retournerais jamais, et puis ça a été plus fort que moi, et puis comme je suis attiré par les transsexuelles, je me suis dit que, pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups…
– Qu’est ce qui s’est mal passée avec la fille !
– Elle tapait trop fort, elle m’a fait des marques, et puis elle s’est amusée à me piétiner, ça n’a aucun intérêt, je n’ai même pas pu jouir !
– T’es tombé sur une conne ! Simplement !
– C’est ce que je me suis dit, c’est pour ça que je me suis décidé à réessayer !
– Bon je te plais ?
– Oui maîtresse !
– Tu aimes les bites !
– Je suis fasciné par les trans… leurs bites aussi…
– Tu en as déjà sucé !
– Juste une fois dans un cinéma porno.
– OK ! Alors fait ce qu’on t’a dit de faire…

Le type sort le prix de la prestation, ne sait pas trop quoi en faire et donne finalement les billets à Véra. Il semble quand même assez perdu. Il commence à enlever ses vêtements, ne sait pas quoi en faire !

– Là-bas ! Indique Véra. Comment tu t’appelles !
– Euh ! Julien !

Il vient de l’inventer mais ça n’a aucune importance. Le type regarde autour de lui, il a l’impression de se jeter à l’eau, il a certes payé, mais il peut encore fuir, il pousse un grand soupir et finit de se déshabiller. Maîtresse Anita se penche alors légèrement en avant et descend sobrement sa culotte. Je peux enfin admirer sa belle bite, elle est assez pâle avec le gland rosé, ravissante… J’ai hâte de l’avoir dans ma bouche !

Julien se met donc à lécher l’anus offert, il a bien de la chance l’esclave. Je me demande d’ailleurs ce que je fais ici, si la séance dure une heure, est-ce que je vais simplement faire le spectateur, ce sera peut-être intéressant, mais bon rien ne vaut la participation !

– Relève-toi ! Esclave !
– Tu as aimé ça, me sucer le trou de mon cul ?
– Oui Maîtresse !
– Et, il avait quel goût mon trou du cul ?
– Euh, un peu fort !
– Fort ? C’est un goût ça, fort ? Demande-t-elle à Véra en s’amusant.
– Non il faut peut-être qu’on lui répète la question, il est peut-être un peu sourd !

Elle lui crache au visage et répète la question :

– Un petit goût de…
– De quoi ?
– De caca !
– Ah, oui, ça au moins on sait ce que c’est, et tu aimes ça, sucer des trous du cul qui sentent la merde ?
– Ça ne m’a pas déplu, maîtresse !
– Et tu fais ça souvent ?
– A vrai dire c’est la première fois, c’était un fantasme.

Je m’amuse, le mec bande comme un cerf.

Anita lui fait face et sans que le client ait eu le temps de réagir, lui accroche deux pinces sur les tétons

– T’aimes ça ? Hein salope ?
– Oui Maîtresse !
– Tu vas voir, tout à l’heure je vais jouer avec tes tétons, je vais te faire hurler… mais en attendant tourne-toi, je vais te rougir le cul.

Il se tourne

– Dis donc je n’ai rien entendu !
– Pardon Maîtresse !
– Quand je te donne un ordre, tu dois me répondre « oui maîtresse » ! T’as compris, salope ?

Et joignant le geste à la parole, Anita lui envoie deux paires de gifles qu’il encaisse sans broncher !

– Merci Maîtresse !
– T’aime ça les baffes, hein ? T’es vraiment qu’un chien toi, mais attends la séance ne fait que commencer.

Elle lui pelote les fesses.

– C’est quoi ces fesses, il y a trop de poil, la prochaine fois tu vas me raser tout ça, n’est-ce pas esclave ?
– Oui maîtresse !

Elle ponctue ses propos d’une belle claque sur le globe fessier, puis dans la foulée en administre une seconde, elle le fait pencher un peu en avant et continue à le fesser sans marquer de pause.

– Véra, le martinet !

Le travesti tend l’objet à Anita qui à présent flagelle l’esclave qui ponctue chaque coup d’ânonnements de douleur. Son cul commence à prendre une belle couleur rouge striée de barres plus sombres. Elle s’arrête un moment.

– Tu aimes ça, salope !
– Oui Maîtresse !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope Maîtresse !
– Et tu sais ce que ça fait les salopes !
– Heu, je crois que ça exécute vos ordres, maîtresse !
– Tu ne crois pas si bien dire, tu vas voir ce qui va t’arriver tout à l’heure !

Regard pas très rassuré du Julien.

– Tourne-toi et regarde-moi !
– Oui maîtresse !
– Ouvre ta bouche !

Anita lui recrache alors en pleine bouche et avant que l’esclave ait eu le temps de réagir elle lui administre quatre gifles sur le visage.

– On dit quoi ?
– Merci, maîtresse !

Il fait une drôle de tronche. Anita lui demande de se relever, et lui accroche des poids au bout des pinces qu’il a sur les tétons. Grimace de Julien mais il a l’air d’aimer ça. Elle rajoute ensuite une deuxième série de poids qui lui tirent cruellement les bouts de seins vers le bas.

– Et maintenant à quatre pattes !
– Oui Maîtresse.
– Tu vas faire le tour de la pièce et dépêche-toi, je n’ai pas que toi à m’occuper.
– Oui, Maîtresse.
– Allez remue-toi le cul ! Ton gros cul de gonzesse ! Tu sais que je vais te le défoncer ton gros cul ?
– Oui maîtresse !

Le type avance, la masse des poids sur les pinces accrochés à ses tétons produit un effet de balancier qui semble le blesser à chaque pas, en même temps Anita lui assène des coups de martinet pour le faire avancer. Il en a de la chance cet esclave. En tous cas ce spectacle m’excite terriblement, je bande tout à fait joliment et me laisse aller à quelques mouvements de masturbation lente à l’intérieur de mon calcif, Anita s’en aperçoit !

– Dis donc, toi là-bas ! Quelqu’un t’a autorisé à te branler ?
– Non maîtresse, pardon maîtresse ! Répondis-je entrant dans son jeu.
– Véra ! Fous-lui 20 coups de martinets !
– Pas 20 ! Tentais-je de protester
– 25 ! répondit-elle

Je me plaçais donc à genoux, tête baissée et cul relevé, en espérant que je pourrai supporter la chose. Mais Véra n’avait rien d’une brute, après avoir testé ma résistance sur les tous premiers coups, elle trouva le bon rythme et la bonne force des lanières. Mais même si cela était supportable, c’était quand même limite et ça me faisait vraiment mal. Je respirais mieux le supplice fini, mais mes fesses me piquaient terriblement. Anita m’invita à regarder le résultat dans un miroir, mon fessier était devenu rouge groseille strié de traînés boursouflées. Mais quelque part la situation me plaisait, on est maso ou on ne l’est pas !

Anita s’adresse alors à Véra !

– On va les mettre l’une à côté de l’autre, ces deux salopes !

Elle nous fait agenouiller, Julien et moi sur le canapé, le nez vers le dossier. Et nous recevons quelques coups de martinet par pur amusement.

– Ecartez bien vos fesses de putes avec vos mains, je veux voir vos trous du cul.

J’obéis, je suppose que mon voisin fait de même !

– Attendez, c’est quoi ces culs de minables ! Vous ne devez pas vous faire enculez souvent !
– Non, maîtresse ! Mais je ne demande qu’à progresser ! Répond Julien, désormais en pleine forme !

Anita précise à Véra qu’elles vont prendre « chacun le sien » Je sens quelque chose de froid sur mon anus, sans doute du gel, un gode est en train de quémander l’entrée, je m’ouvre, ça entre, et Véra peut alors imprimer des aller et retour à l’objet dans mon conduit anal. Après les premiers instants toujours un peu difficile à appréhender en ce qui me concerne, une sensation très bizarre, mélange de trouble et de bien-être m’envahit. J’adore finalement cette pratique que je n’ai, il est vrai, pas fréquenté si souvent.

A côté de moi, mon voisin doit être dans un état d’esprit similaire, puisqu’il répète à qui mieux-mieux des « c’est bon maîtresse, c’est bon maîtresse »

– T’aime ça te faire enculer, hein salope ?
– Oui, maîtresse !
– Dis-le !
– J’aime me faire enculer maîtresse, vous faites ça si bien !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope, maîtresse !
– La prochaine fois, on essaiera un gode plus gros !
– C’est comme vous voulez maîtresse !
– Ou alors, mieux que ça, je te ferais enculer par une vraie bite !
– … (pas de réponse)
– Dis donc esclave, tu as perdu ta langue ? Tu as intérêt à la retrouver sinon j’arrête le gode !
– Pardon, maîtresse ?
– Alors réponds ?
– Que souhaitez-vous que je vous réponde, maîtresse !
– Que la prochaine fois, tu vas prendre une vraie bite d’homme dans ton cul d’enculé !
– Heu… La votre maîtresse ?
– Une bite d’homme, je t’ai dit… moi je ne suis pas un homme, je suis une trans, une femme à bite.
– Je ne sais pas, maîtresse, si je suis prêt à cela !

A ces mots, Anita, retire brusquement le gode du fondement de son soumis.

– Tu n’aurais pas dû dire ça, esclave ! Dit-elle alors d’une voix doucereuse, tu as rempli une fiche tout à l’heure en indiquant les pratiques que tu ne souhaitais pas… je n’y ai pas vu celle-là
– Je n’y avais pas pensé maîtresse !
– Tu aggraves ton cas, on dirait, tu vas recevoir dix coups de paddle.

Anita indique à Véra d’arrêter de me goder le cul et lui demande d’administrer la punition au soumis

– Moi, je vais m’occuper de la punition de Boris ! Conclue-t-elle
– La punition, mais il n’a pas mérité une punition, lui ? Objecte le travesti.
– Je sais, la punition collective est injuste, c’est bien pour cela qu’elle m’excite tant !

Et tandis que Véra s’en va chercher un paddle, Anita me retire le gode de mon cul, me fait descendre du canapé, puis agenouiller devant elle.

– Nettoie-moi ce gode avec ta bouche, il est plein de merde !

« Plein » est une exagération, mais le truc est quand même loin d’être nickel ! La salope ! Ça c’est une vraie punition, je n’ai rien contre les trucs un peu scato (voir le chapitre précédent) mais encore faut-il que l’ambiance s’y prête… et lécher un gode merdique ne me branche pas plus que ça. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur et lèche le condom entourant le gode, tandis qu’à côté de moi le cinglement du paddle résonne sur les fesses déjà martyrisé du pauvre Julien qui ne sait plus où il en est et qui implore des :  » Pardon maîtresse, merci maîtresse… »

La punition reçue, l’esclave est invité à se mettre debout devant Anita, et pendant qu’elle le questionne elle joue avec ses pinces, lui procurant des râles de jouissance :

– Bon, esclave, je vais répéter ce que je disais tu vas essayer de me répondre intelligemment cette fois-ci !
– Oui maîtresse !
– Hum, t’aime ça qu’on te tripote les seins… Donc une prochaine fois, tu te feras enculer par une vraie bite !
– Oui, maîtresse !
– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire ce qui va t’arriver !
– Je vais me faire enculer, pour vous, Maîtresse.
– Ah, voilà qui est mieux, tu auras peut-être une récompense tout à l’heure, mais tu vas te faire enculer quand exactement ?
– La prochaine fois maîtresse !
– Comment ça « LA » prochaine fois, tu es sûr que c’est ça que j’ai dis ?

Tout en lui parlant, elle a retiré les poids aux seins, puis ôté les pinces elle-même avant de les remette brutalement. Julien se pâme de douleur et de plaisir.

– Alors tu réponds, oui ?
– Quand vous voulez, maîtresse !

C’est en fait ce qu’elle voulait entendre ! Alors se tournant vers nous :

– Vous avez bien entendu ce qu’il a dit l’esclave, qu’il est prêt à se faire enculer pour sa maîtresse quand je le voudrais ? Allez répète esclave !

Et tandis qu’Anita continu à lui martyriser le bout de ses seins, Julien dans un souffle déclare donc :

– Oui, maîtresse, vous pouvez me faire enculer quand vous voulez, je ne suis qu’une salope d’esclave.
– Hum, voilà comment j’aime qu’on me parle, ouvre la bouche !

Et pour le remercier de ses bonnes résolutions, Anita lui recrache dans la bouche, plusieurs fois de suite :

– Merci maîtresse !
– Non mets toi à genoux, et toi, Boris tu va venir devant lui, il va te sucer la bite !

Le mec est maintenant carrément au pied du mur, il n’a pourtant pas l’air idiot, il se doutait bien qu’en allant se faire dominer par des trans, il serait amené à leur sucer le sexe… et d’ailleurs il n’a pas bronché tout à l’heure quand on lui fait sucer l’anus d’Anita, mais là pour lui ce n’est pas pareil, c’est la bite d’un homme non travesti qu’il a devant lui et il ne s’attendait pas à ça.

– Bon alors t’attends quoi ? Le retour des 7 mercenaires ? Tu prends sa bite, tu la mets dans ta bouche et tu te débrouilles.

Il y met la main, comme pour se donner du courage…

– La bouche, pas la main, connard, allez c’est le premier pas qui compte, une fois que t’y auras gouté tu ne pourras plus t’en passer…

Et hop c’est parti, le Julien s’est jeté à l’eau et m’a embouché mon membre, c’est un peu n’importe quoi au début mais ça s’arrange, il doit s’inspirer des films pornos (comme quoi ça a aussi une fonction pédagogique) et arrive à me faire une pipe qui ressemble à une pipe… et qui me fait d’autant plus bander que Anita est passé derrière moi et me triture mes tétons.

– Bon on passe aux choses sérieuses, tu peux arrêter de le sucer. Alors c’était comment esclave ?
– Ce n’était pas désagréable, Maîtresse !
– Tu recommenceras ?
– Oui, maîtresse !
– Mets-toi en levrette et tends bien ton cul de pédé !

Il s’exécute !

– Qu’est-ce que tu en penses de son petit cul à cet esclave, toi Boris ?
– Assez mignon, je dois dire, répondis-je histoire de dire quelque chose qui « fasse ambiance ».
– Ah ? Tu le trouves mignon, et bien puisque c’est ça, ne te gènes pas, lèche-lui le trou du cul !
– Ce n’est peut-être pas indispensable !

Une énorme claque atterrit sur mes fesses !

– Ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre, conard. Lèche-lui son cul et plus vite que ça…

Du coup je comprends les hésitations de Julien tout à l’heure, parce qu’autant je lécherais le cul d’Anita avec excitation, autant là ça ne me passionne vraiment pas, mais j’obéis, j’adore obéir aux maîtresses. Pendant l’opération Maîtresse me branle doucement afin de maintenir mon érection.

Après ces préliminaires buccaux, je m’encapote, tartine le cul de l’esclave avec du gel, puis l’encule. Je fais des va-et-vient pas trop rapides, je n’ai pas envie de jouir maintenant, de plus cette situation n’est pas ma préférée, je suis en la matière beaucoup plus passif qu’actif.

J’ai quand même bien dû le limer pendant dix minutes avant qu’on me fasse arrêter.

– Alors c’était comment ?
– Très bien, maîtresse ! Répond Julien
– Tu as mérité une récompense, j’ai une petite envie de pisser, je vais faire dans ta bouche !
– Oui, maîtresse !
– Allez, à genoux et ouvre ta gueule de porc.

Le filet jaune de la pisse d’Anita dégringole dans la bouche de l’esclave qui avale tout sans broncher.

– Maintenant je veux que tu te branles, mais d’abord nettoie-moi bien la bite, je ne veux plus qu’elle sente la pisse.

Trans811

Le Julien n’attendait que ça, il gobe littéralement la verge de la transsexuelle, tandis qu’il se masturbe de sa main droite.

– Bon ça va, jouis, maintenant ! Intervient Véra en lui tendant une feuille de papier « essuie-tout ».

Pas très romantique, mais le mec jouit en deux minutes. Changement de ton complet d’Anita qui s’adresse à lui :

– Alors ça t’a plu ?
– Oui, c’était bien, maîtresse.
– Il n’y a plus de maîtresse, la séance est finie, si tu veux de nouveau m’appeler maitresse, il faudra revenir, tu reviendras ?
– Je crois, oui !

Le gars parti, on se regarde un peu tous les trois, sans se rhabiller.

– On en était où avant qu’il arrive ? Demande Anita.

Mais voilà qu’on sonne de nouveau. Pas moyen d’être tranquille ici ! Vera va voir, fait entrer quelqu’un dans la minuscule salle d’attente, puis revient :

– C’est Roland ! Préviens Vera.
– C’est le gars qui nous fait des réparations, il vient pour changer la lampe du frigo, je lui avais dit de passer en fin d’après-midi, il n’en a pas pour longtemps.

Je commence à me rhabiller pendant qu’on fait entrer Roland. En fait j’ai juste remis mon caleçon. (comme tout à l’heure en somme)

Le nouveau venu est un moustachu, frisé, d’une quarantaine d’années, très jovial.

– Bonjour Anita, oh quel beau spectacle, bonjour monsieur.
– C’est Boris, c’est un ami, il est comme toi, il aime bien les bites.
– Ah, alors enchanté !
– Boris, montre donc tes fesses à Roland, je crois qu’il va apprécier.

Elle ne me demande pas, si ça me plait moi d’exhiber mon cul comme ça devant le réparateur du frigo… mais bon, je suis venu ici, le délire a commencé, alors qu’il continue. Je baisse donc mon caleçon, provoquant une exclamation enthousiaste de Roland.

– Hum ! Quel joli cul ! Je peux toucher ?

Je ne vais pas dire non, j’ai dû savoir vivre !

Le mec me caresse gentiment les fesses, puis devient plus hardi, il me les triture, m’écarte les globes et je sens son doigt s’aventurer très près de mon petit trou.

– T’aimes ça qu’on te pelote les fesses !
– Ma foi, quand c’est bien fait.
– Je peux te lécher la rondelle ?
– Je t’en prie, lèche !

Ça y est j’ai la langue de Roland dans le troufignon, il lèche bien c’est agréable. Pour le doigt il ne m’a rien demandé, il me le met d’office et me ramone avec. J’aime ça. Il finit par enlever son doigt et comme je le pressentais, il sort sa bite déjà bien bandé et me la présente :

– Tu veux me sucer ?

Quand c’est demandé gentiment… et en plus c’est loin d’être une corvée, l’engin est superbe, une jolie pine bien droite, avec une belle veine qui la parcoure, et un joli gland luisant dans les mauves. Hum, je vais me régaler avec sa quéquette à celui-là, je la suce, je la lèche, je me l’engloutis dans la bouche, je la fais cogner contre l’intérieur de mes joues, je donne des savants coups de langues autour de la couronne.

– Mais c’est qu’elle suce super bien, cette petite salope ! Commente le poète.

Je prends ça comme un compliment, je me régale, mais je commence à fatiguer de la mâchoire, et puis j’aimerais bien qu’il me la mette ailleurs sa queue, mais le souhaite-t-il ? Mais après tout au diable les convenances, j’en ai envie, je lui demande :

– Tu m’encules ?
– Hum… je vais bien te le défoncer ton petit cul…

Vera a été chercher une capote et du gel, on me tartine le trou, Roland entre doucement, puis se met à s’agiter. Des ondes de plaisir me parcourent le corps, je prends vraiment un plaisir intense à me faire prendre ainsi. Il m’encule ainsi pendant une dizaine de minutes et finit par jouir avec jubilation !

– Bon c’est pas tout ça, j’étais venu changer une ampoule…

Et le voilà qui sans se rhabiller, disparaît dans la cuisine. Je reste un peu en plan, c’est que je n’ai pas encore joui, moi, et que je commence à avoir les couilles douloureuses. Une minute après il revient.

– Et voilà, c’est fait !
– Déjà s’étonne Anita qui curieuse comme une chatte, s’en va suivie de Vera dans la cuisine vérifier ce miracle de la technologie moderne.

– Toi, tu plairais bien à ma copine, ça te dirait un petit trip à trois ? Me demande alors Roland.
– Oui, pourquoi pas ?

Les deux trans reviennent alors qu’on se rhabille.

– Je vous laisse et j’embarque votre ami, je vais lui présenter Janis. Déclare Roland.

A bon ? Je n’avais pas saisi que c’était pour tout de suite.

– Et notre site Internet ? Intervient Anita
– Je peux repasser demain soir à la même heure et on met ça au point ! Proposais-je.
– Alors d’accord, amusez-vous bien et embrasse Janis pour nous !
– Je n’y manquerais pas. Tu es prêt, toi, allez viens ma puce ! Répond Roland en me donnant une petite tape amicale sur mes fesses.

Voilà que je suis sa puce à présent !

A suivre

BORIS
© 2009 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 8/11/2009

Par Boris - Publié dans : Boris
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Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 07:16

Racolage Balnéaire 3 – Les grandes folles par Boris VasslanFetish

Thèmes abordée :  bisex féminine, doigtage masculin, engodage masculin, feuille de rose, jeux érotiques, party, scato, sex and food, shaving, spermophilie, transsexuelles, travestis, uro. 
Attention, âmes sensibles, ce texte contient un passage scato explicite !

C’est Soraya, le travesti présentateur qui m’accompagna jusqu’à une grande chambre, il me demanda si j’avais faim, et devant ma réponse négative me souhaita une bonne nuit, m’expliquant qu’il serait à ma disposition demain dès 9 heures et que je pourrais l’appeler par l’interphone pour le petit déjeuner. Epuisé, fourbu, je me demandais néanmoins ce que je fabriquais ici, et surtout quelle folie m’avait poussé « sans un instant réfléchir » à accepter cette étrange proposition. J’eus malgré la fatigue, certaines difficultés à m’endormir. Je m’étais malgré tout résolu à ne pas m’attarder ici et à trouver le moyen de partir, dès mon réveil. Après tout je n’étais pas prisonnier !

Je me réveillais d’assez bonne heure, mais je musardais au lit, n’arrivant pas à me décider à me lever. Commençant à avoir faim, j’avais donc le choix entre deux attitudes, appeler la soubrette pour le déjeuner ou me faufiler vers la sortie de cette demeure, puis aviser. C’est poussé par je ne sais quel démon que je choisissais le petit déjeuner sur place et activait l’interphone.

Un quart d’heure après Soraya était là avec tout ce qu’il fallait…

– Voilà, il y a du café, du lait, du jus d’orange, des tartines beurrées et de la confiture. Hum ! Le pain est tout chaud ! Désirez-vous autre chose ?

Je dévisageais un instant Soraya, il s’agissait d’un travesti et non pas d’une transsexuelle. Le type s’était savamment maquillé, une longue perruque blonde lui tombait en cascade sur ses épaules, mais peut-être étaient-ce ses cheveux naturels ? Son corps était apparemment entièrement épilé. Il n’avait pour unique vêtement qu’une nuisette rose à moitié transparente qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse. Déjà, troublé par le personnage, la vue de son sexe sous le tissu diaphane me provoqua un début d’érection. Il se rendit compte de mon trouble et innocemment réitéra sa question :

– Désirez-vous autre chose ?
– Je ne sais pas ! Que me proposez-vous ?
– Je peux par exemple prendre mon petit déjeuner en votre compagnie, mais si vous souhaitez rester seul, ou si vous avez besoin de quoique ce soit…

Je le coupais :

– Non ! Non restez, c’est une très bonne idée !
– On va se partager tout cela, normalement c’est pour une seule personne, mais si nous n’avons pas assez, j’irais en rechercher !
– D’accord ! Mais il n’y a qu’une tasse !
– Bon alors je reviens !

Et le voici qui s’en va en tortillant du cul, je me surpris à fantasmer sur ses belles petites fesses toutes rondes. Décidément quelque chose ne tournait pas trop rond dans ma pauvre tête en ce moment. Et puis le voilà qui revient déjà, comme s’il avait oublié quelque chose !

– Au fait qu’est-ce que vous avez emporté comme chaussures ?
– Pardon ?

Il reformula son insolite requête.

– Pourquoi, me demandez-vous ça ?
– Ah ! Ah ! C’est une surprise !
– Je n’ai rien ramené du tout, j’étais en tongs quand vos copines m’ont racolé !
– Ah ! Et vous chaussez du combien ?
– Du 42 ! Si je n’ai pas pris une pointure en dormant !
– A tout de suite !

Et nouveau départ du zèbre qui retortille le cul comme pas possible, et mon zizi qui a l’air d’apprécier…

Le voici qui revient, avec un second plateau de petit déjeuner ! Il fait le service et me sert un café au lait fumant. Etant toujours dans le lit, j’ai pratiquement sa quéquette sous le nez. J’essaie de regarder ailleurs, mais je me rends compte du ridicule de la situation et changeant complètement de comportement, je l’apostrophe :

– Elle est ravissante cette nuisette !
– C’est la nuisette que tu regardes ou bien ce qu’il y a en dessous ? Oh ! Pardon ? Je vous ai tutoyé ?
– Ce ne me gêne pas du tout !
– Alors répond donc à ma question, petit coquin !
– Ce qui est très joli c’est le mélange des deux !
– Bonne réponse ! Et comme ceci ?

Et voici que Soraya soulève sa nuisette dévoilant complètement à ma vue ses attributs. Ils n’ont d’ailleurs rien d’exceptionnels, sa bite est de taille moyenne, ses couilles sont bien banales, mais il y a deux choses qui font sortir tout cela du lot commun, d’abord il n’y a plus un seul poil, et puis ce contexte, cette bite incongrue sur un corps qui se voudrait féminisé. Tout cela m’excite, je bande à présent comme un gode.

– Superbe ! M’entendis-je répondre.
– Tu peux toucher si tu veux ?

Il m’apparut néanmoins assez rapidement que Soraya était aussi là, pour me satisfaire sexuellement. Il n’était donc pas utile d’en rajouter en inutiles prémices protocolaires. Soraya s’empare soudain de deux tartines beurrées et y place sa verge entre les deux. Il rigole !

– Tu as vu ? C’est un hot-dog !

Je me demande si le moment n’est pas venu d’attraper tout cela, mais la présence des plateaux me gêne. L’autre continue de délirer :

– Un hot-dog à géométrie variable !

Il se masturbe entre les deux tartines beurrées et sa queue ne tarde pas à adopter un bel aspect, bien raide.

– On pourrait continuer, ça ferait un hot dog à la crème !

Mais il ne poursuit pas ! Il dépose les tartines sur le plateau, prend une cuillerée de gelée de groseille qu’il se répand sur la verge. Il se fait donneur de conseil :

– Si tu mets directement la confiture, ça finit par couler, avec un peu de beurre, ça tient bien mieux et plus longtemps.

Il reprend ensuite l’une des tartines dont il s’est servi pour se sandwicher le zizi et en découpe une bouchée qu’il me tend :

– Voilà : Tu te mets ça dans la bouche, et tu lèches un peu de confiture

Et ce disant, il s’approche de moi, afin que la manœuvre devienne réalisable. Le petit bout de pain n’a pas pris d’odeur particulière malgré son contact avec le pénis du travesti. Je le mâchouille un petit peu, puis pointant ma langue vers sa verge, je viens y laper un peu de confiture. Je n’ai jamais fait cela ! Je suis excité comme un pou. Déjà, j’ai envie de jouir ! Je vais éclater ! Je continue, néanmoins cet étrange petit déjeuner, un petit bout de tartine, une lichette de gelée de groseilles sur la bibitte du travelo !

A force de lécher, il ne reste bientôt plus rien, mais tout cela reste un petit peu visqueux, personne ne m’a demandé de faire le ménage, mais il n’y a pas de raison, il faut que cela soit propre. Alors je lèche, je suce, et je relèche et je resuce. Tant et si bien, que soudain je sens ce membre tressauter à l’intérieur de mon palais. Cette grande folle est en train de jouir dans ma bouche. Ce n’était pas vraiment prévu ! Et n’étant pas un fanatique de l’avalage de sperme, je porte à ma bouche une pleine cuillerée de gelée de groseille avant d’avaler d’un coup ce mélange insolite…

C’est bien joli, tout cela, mais je ne suis pas calmé et d’un geste je lui indique ma queue dressée comme la lettre I dans l’alphabet.

– On s’en occupe !

Il me masturbe un tout petit peu, du bout de ses longs doigts. Ce type m’électrise, il a des mains d’artiste, des doigts de fées.

– Tu connais la pipe café au lait ?
– Non ! C’est quoi ?
– Je vais te montrer !

Soraya avala alors une bonne goulée de liquide chaud et la garda quelques instants en bouche afin d’augmenter la température de sa langue, de ses lèvres et de son palais. Il avale ensuite le café, puis plonge vers mon sexe.

Curieuse sensation que cette pipe chaude. Au plaisir de cette fellation experte s’ajoute un contact trouble, celui que l’on retrouve par exemple lorsqu’on se douche le sexe avec de l’eau plus que tiède. Les deux sensations ne s’ajoutent pas, elles se multiplient. Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de Soraya, qui lui n’aura pas besoin, lui, de confiture pour avaler.

Je mets quelques minutes à reprendre mes esprits, puis nous finissons notre petit déjeuner comme si de rien n’était. Soraya me fait la conversation, (j’ai du mal à en placer une), et me parle des fantaisies de son patron, Frédérique, de quoi écrire un roman à épisodes. J’ai une fringale pas possible, il est vrai que je n’ai rien avalé depuis hier midi et il ne restera rien du tout sur les plateaux.

– Bon je vais peut-être me rentrer !
– Allons, allons ! Tu es invité, nous mangerons tous ensemble en fin d’après-midi, ce sont les habitudes de la maison. Mais auparavant nous avons prévu quelques petites fantaisies histoire de se distraire. En attendant tout cela, tu as la salle de jeux à ta disposition, il y a tout ce qu’il faut pour passer le temps, un billard, des flippers, un micro avec des jeux, une chaîne, une bibliothèque… Mais avant je vais te raser.

– Merci, ça je peux le faire tout seul !
– Ne dis pas de bêtises, tu crois que c’est facile, toi, de se raser tout seul les poils du trou du cul ?
– Non mais attends ! Tu veux faire quoi au juste ?
– Te raser partout ! Partout, partout !
– Non ! Pas question, le trou du cul à la limite, mais c’est tout !
– Oh ! Comme c’est dommage !
– C’est dommage, mais c’est comme ça !
– Tu as peur que ta femme s’en aperçoive ?
– Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas s’en apercevoir ?
– T’invente une histoire !
– Trouve m’en une et je me laisse faire !
– Voyons, voyons ! Tu t’es réveillé avec des fortes démangeaisons sur la poitrine, tu n’as pas eu le temps d’aller consulter, mais tu en as parlé au pharmacien qui t’a dit qu’il y avait plusieurs cas en ce moment, que cela était provoqué par un petit parasite genre morpion, mais que ce ne sont pas des morpions, il t’a donné une crème, mais il t’a précisé que le moyen le plus efficace serait de te raser tous les poils. Ça te va ?
– Quelle imagination ! C’est un peu tiré par les poils, justement mais ça devrait aller !
– De toute façon, une crème on t’en donnera une, quand ça commence à repousser ce n’est pas toujours évident ! On y va ?

Je suivis donc Soraya dans la salle de bain !

– On va commencer par la poitrine, heureusement il n’y a pas grand-chose !

Et hop ! Le voilà qui me colle une tartine de gel moussant qu’il m’étale sur mon torse, il ratisse ensuite avec le rasoir en de petits gestes précis. Je me laisse faire. Je commence à comprendre le ravissement qu’ont certaines femmes à passer de longues séances chez l’esthéticienne. Il est un plaisir certain de se faire occuper de son corps tout en ne faisant rien. Il m’essuie ensuite avec une serviette chaude, contrôle si rien n’a été oublié, en profite pour passer une main sur la pointe de mon téton gauche.

– Dis donc ! Tu as le bout des tétons bien développé, toi ?
– C’est à force de mes les faire pincer !
– Comme ceci ?

Et le voilà qui me serre le bout, c’est ma caresse préférée, celle qui me refait toujours bander. Et là en plus, il y a les doigts de fée de ce diable de travesti ! Ma quéquette s’en redresse de satisfaction !

– T’aime ça, hein, petite salope ? Minaude Soraya
– Continue !
– Dis le moi que tu es une petite salope !
– Et toi ? répliquais-je.
– Moi aussi je suis une petite salope, on est toutes les deux des petites salopes, mais soyons sérieux ! On a toute la journée !

Il s’occupe ensuite de mes jambes, de mes bras, il ne reste plus que mon sexe et mon anus. Quand il commence à s’emparer de ma bite pour m’ôter la mousse et les poils, je me remets de nouveau à bander comme un cerf.

– Branle-moi !
– Non, il te faut garder des forces pour tout à l’heure ?
– On va faire quoi tout à l’heure ?
– On va s’amuser !

Je n’en saurais pas plus !

Restait mon anus, il me fit mettre en cheval d’arçon sur le tabouret pendant qu’il opérait.

– T’as un vrai petit cul de gonzesse ! Hum ! Le genre de cul à attirer les coups de martinet et les bites bien dressées !
– J’ai eu ma dose hier !
– Oui, mais pas aujourd’hui ! Et d’ailleurs tu n’as aucune marque !

Mais, il faut croire qu’il n’était pas dans ses intentions immédiates, ni de me flageller, ni de me sodomiser. Il reprit son rasage et j’eus l’impression que l’affaire s’expédiait assez vite, quand profitant du passage de la serviette chaude, il s’enhardit subitement à passer son doigt à l’entrée de mon trou. Je crus deviner qu’il mourrait d’envie de me doigter et ne voulant pas prendre le risque de contrarier un aussi délicieux personnage, je m’ouvrais, il y pénétra donc le doigt, comme je l’avais supposé, mais sans toutefois insister outre mesure.

– Pendant qu’on y est, je vais te faire la barbe.
– Ça ! Je peux le faire tout seul !
– Tss ! Tss ! Je m’occupe de tout !

C’est bien la première fois qu’on me rasait le visage, mais il fit cela aussi très bien. A la fin il me caressait mes joues, sans doute pour en tester la douceur, toujours est-il que son visage était à ce moment-là à 30 centimètres du mien et que c’est poussé d’une impulsion subite et réciproque que nous nous embrasâmes sur la bouche en un long baiser fougueux. Puis il me laissa.

Je pris une douche avant de m’assoupir une bonne heure. Puis, je rejoignis la salle de jeux dans laquelle je dénichais une magnifique collection de bandes dessinées érotiques dont la lecture attentive me fit efficacement tuer le temps.

L’après-midi commençait quand Soraya vint à nouveau me rejoindre. Il (je ne sais jamais s’il faut dire « il ou elle », avec les transsexuelles, je mets « elle », ici c’est moins évident !) Elle avait un paquet cadeau dans une main, des sacs en plastique dans l’autre.

– Tiens ! De la part de Frédérique !

Voilà qu’on me faisait des cadeaux à présent ! C’est quoi encore cette histoire de fou ! Je déballais le machin, ça ressemblait vaguement à une boite à chaussures ! C’était une boite à chaussures ! Dedans une super paire de baskets. Je suis loin de partager cet incompréhensible culte enthousiasme qu’ont nos jeunes contemporains pour les godasses de marque. Mais je n’étais pas ignorant au point de ne pas savoir que celles qui m’étaient ici destinées devaient valoir leur pesant de cacahuètes. On avait poussé la délicatesse jusqu’à accompagner la chose d’une paire de chaussettes qui sans être spécialement dans mes goûts, affichait néanmoins une grande griffe.

– Et c’est en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, mais les jeux de plein air sur la pelouse avec des tongs, ça craint un peu ? Non ?

J’avais gardé mes habits de la veille, tee-shirt bon marché et bermuda tout simple, spécial vacances. J’enfilais chaussettes et chaussures, sur instruction de Soraya. J’avais l’impression d’être un peu dépareillé.

– Maintenant séance de maquillage !
– Pardon ?
– Allez, viens, dans cinq minutes on va te souhaiter la bienvenue au club des grandes folles.

Je ne protestais même pas ! A quoi bon ? Tout cela était sans conséquence. Alors Soraya me mit du fond de teint, me maquilla les yeux, me coloria les lèvres, m’apposa du vernis à ongles et pour couronner le tout me coiffa d’une perruque blonde.

Je contemplais mon visage dans le miroir ! Etait-ce bien moi ? Que dirais ma femme si elle me voyait, là maintenant ? Mais quelque part une pensée se fit forte dans mon esprit, et cette pensée, ce devait être un petit diable qui me la chuchotait à l’oreille :

– C’est la première fois ! Mais ce n’est sûrement pas la dernière !
– Bon on va aller rejoindre les autres, retire tes fringues et enfile ça, ce sera beaucoup plus sexy !

Ça, c’était une ravissante petite nuisette vert pâle ! Il fallait que je m’y fasse ! Cet après-midi j’avais franchi un pas, j’étais devenu un travesti ! Et cela ne me gênait pas le moins du monde !

– Je ne mets pas de culotte ?
– Non, pas de culotte ! Allez viens !

Autour d’une table de jardin papotaient les personnages que j’avais rencontrés la veille : Nicole la grande blonde était entièrement nue. (quel délicieux spectacle que cette grande bringue, à la chair pulpeuse et à la peau hâlée par le soleil !) mais s’était coiffée de son grand chapeau vert à large bord. Jackie, la brune dominatrice n’avait en guise d’habit qu’une fine chaîne de taille en or et s’était couvert le chef d’une sorte de casquette de marine qui lui donnait un petit air mutin. (Mutin ! J’ai dit !) Chloé, la sculpturale transsexuelle avait conservé une petite culotte rouge en dentelles. Il y avait aussi une blackette aux seins de déesse qui je crois faisait partie des spectateurs d’hier soir, elle aussi avait conservé sa culotte, un machin de luxe, couleur dorée magnifiquement assortie à sa peau noire. Enfin, notre hôte, Frédérique s’était vêtue d’une sorte de pyjama en soie beige semi-transparente. C’est ce dernier qui m’accueillit :

– Bonjour mon biquet !

Voilà que je suis son biquet à présent !

– Mais c’est toi qui l’as transformé comme cela ? Soraya ! Mais tu es merveilleuse, viens que je t’embrasse !

Et il roule un patin à ladite Soraya, très fière de sa prestation ! Frédérique se retourne vers moi !

– Cet après-midi sera en ton honneur !
– Y fallait pas !
– Si ! Si ! Vous avez été tous si formidables hier soir ! Tu sais, certaines de ces soirées sont parfois à moitié ratées, il faut improviser sévère pour tout rattraper, et dès fois on y arrive même pas ! Alors que là, c’était fantastique ! Tout était parfait ! Il fallait bien marquer le coup ! Comme je ne pouvais pas vous retenir tous les trois (Quoi que j’aurais peut-être dû, mais bon !) On a gardé le plus mignon !

Il va me faire rougir ce con !

– C’est la première fois que l’on te travestit ?
– Oui !
– Et qu’est-ce que tu en penses ?
– C’est très troublant, ça ne me déplait pas, finalement !
– Je vous disais bien qu’il ne nous décevrait pas ! Comment on va l’appeler ? C’est quoi ton vrai prénom ?
– Euh, Boris !
– Boris ! Ça donne quoi, ça : Borisette, Borissa, pas terrible !
– Doris ! proposa Jackie
– Doris ! En voilà une idée qu’elle est bonne ! Ça te plait ?
– Pourquoi pas ?
– Et bien tu seras donc Doris, désormais ! Donc tu connais tout le monde, Ah non ! Tu ne connais pas Amanda, elle est belle, hein ? Me dit-il en me désignant la jolie blackette.
– Toutes mes félicitations vous êtes superbe !
– Et attend, tu n’as pas vu ma queue ! Me répond l’intéressée !

Encore une transsexuelle ! J’aurais dû m’en douter. Je ne vais pas me démonter, puisqu’il paraît qu’aujourd’hui c’est ma fête !

– Mais je ne demande qu’à la voir !
– Qu’est-ce que je fais ? Je lui montre ou pas ?
– Mais, non, il aura bien l’occasion de la voir pendant le jeu !
– Le jeu ?
– Oui ! On va jouer à Chat-Bite !
– Chat-Bite ?
– Tu ne connais pas ?
– Non !
– Tu ne jouais pas à chat quand t’étais gosse ?
– Si ! Mais pas à chat-bite !
– C’est la même chose, on va tirer au sort un chronomètre et on va t’expliquer !

On tire rapidement à la courte paille, tout le monde n’y participe pas, ni moi, ni Frédérique. C’est Soraya qui perd !

Aùmanda

– Soraya sera donc le chronomètre ! Donc au départ il y a un chat, il faut qu’il courre après quelqu’un de son choix qui devient à son tour le chat. Mais pour l’attraper, il faut qu’il lui touche la bite, (enfin le sexe, pardon Mesdames !) L’ancien chat peut alors faire ce qu’il veut au nouveau chat mais pendant seulement une minute. Et pour qu’il n’y ait pas de triche Soraya chronométrera ! Allez ! C’est parti !
– Oui, mais c’est qui le chat ?
– On va pouffer !
– Qui c’est qui connaît une comptine ?
– Moi ! dit Nicole !
– Une cochonne j’espère !
– Bien sûr !
– Allons-y ! : Une bi-te dans les frites, une couille dans les nouilles, un ni-chon dans les cor-ni-chons !
– C’est Chloé le chat !

Et c’est parti ! C’est qu’elle court vite, Chloé ! Mais je ne me débrouille pas trop mal, elle me prend pour cible, je l’aurais parié, mais j’esquive, et ne la laisse pas me rattraper. En désespoir de cause Chloé touche Nicole, et du coup lui suçote la chatte pendant une minute. Et Voilà donc notre Nicole dans le rôle du chat ! C’est qu’elle a de grandes jambes, Nicole, une vraie gazelle, la voir courir comme ça avec ses seins qui ballottent est un spectacle très excitant. Voilà que je me remets à bander. C’est encore moi la cible, c’est une conspiration, mais je tiens le coup. Elle finit par passer le relais à Jackie, non sans avoir roulé un patin pendant 60 secondes à cette dernière.

Jackie court moins vite que les deux précédents, mais c’est moi qui commence à manquer de souffle ! Je comprends que tôt ou tard, on finira par me rattraper. Puisque c’est un jeu acceptons en les arcanes. Etre le chat a après tout, quelques beaux avantages, je me laisse donc toucher la zigounette par la douce Jackie, qui ne trouve rien de mieux que de m’infliger une fellation « à la cannibale », c’est à dire que tout en me suçant, elle me mordille sans cesse ! C’est avouons-le fort agréable, même si on est toujours en train de se demander si on ne va pas se faire mordre. Et c’est moi le chat ! Et ma cible sera la noire Amanda, c’est beaucoup plus facile que je croyais, ses gros seins la gêne pour courir. Je la rattrape, lui touche le slip. Elle s’immobilise. Vite ! Une minute c’est vite passé : Je lui baisse le slip et lui dégage l’engin. Il est moins impressionnant que prévu, mais néanmoins de fort belle facture ! De toute façon, je ne fantasme pas sur les grosses bites, et sa taille me permettra au moins de l’avoir en bouche sans attraper un déhanchement de la mâchoire. Je suce tant que je peux. Mais notre travesti-chronomètre me signale la fin du temps réglementaire. Et c’est reparti. Nous avons joué à chat bite pendant plus de deux heures, riant comme des gosses, s’amusant comme des fous à nous sucer, nous tripoter, nous embrasser, nous caresser. Tout cela dans une ambiance assez saine et très excitante alors que j’aurais cru qu’elle serait glauque !

A un moment ce fut Frédérique qui fut le chat, elle s’élança sur moi (allons-y pour le féminin), assez épuisé, je luttais assez peu, en me rattrapant, elle se jeta à terre et m’entraîna avec elle dans sa chute pour me rouler un patin majestueux. Au bout de la minute réglementaire, Soraya-Chronomètre fut renvoyée dans ses cordes par le maître de séant qui lui signifia que le jeu arrivait dans sa période de conclusion. Frédérique tout en continuant à m’embrasser fougueusement me serrait les tétons entres ses pouces et ses index, me faisant pousser des petits gémissements de plaisir et de douleur contenue. Je lui rendis bien sur la pareille. Mon partenaire se retourna soudain, m’offrant son sexe dans ma bouche, tandis que ce dernier cherchait le mien, nous commençâmes alors un 69 torride, sous les regards excités des autres participants qui s’étaient placés en cercle autour de nous. Je sentis bientôt le goût acre du sperme sur ma langue. Je n’avais pas à ce moment-là de gelée de groseille à ma disposition pour en faire passer le goût. Je l’avalais donc, brut de brut, et je dois avouer que je ne trouvais pas cela mauvais. Assez épuisé par toutes ces émotions j’avais pour ma part un certain mal à éjaculer, mais Frédérique me donna gentiment un petit coup de main très efficace pour ensuite me reprendre en bouche dès qu’il sut la jouissance imminente.

Frédérique se releva pantelant(e) et s’adressa à ses compagnons !

– Personne n’a envie de pisser cet après-midi ?
– Si ! Si ! Répondirent les quatre voyeurs.
– Alors allez-y, ça va nous rafraîchir !

A ces mots, Chloé et Amanda les deux transsexuelles, ainsi que Soraya se mirent à uriner dirigeant leur jet vers nos corps encore couchés sur le gazon. Elles nous aspergèrent avec méthode, la bite, le torse et bien sur le visage !

– Les filles maintenant !

Jackie se mit à califourchon sur le visage de Frédérique et j’eus l’honneur de recevoir celui de Nicole. Son urine avait un bon goût de bière sans alcool, je m’enivrais de cette odeur et de cette sensation perverse, regrettant qu’il y en ait pas plus !

– J’ai envie de chier ! Me dit-elle, ça ne te dérange pas ?
– Non, non ! répondis-je en me relevant.
– Reste comme tu es, je vais te chier dessus, tu vas aimer ça !

Bon, ça ne va me tuer, d’autant que je n’ai rien contre un peu de scato de temps en temps, quand l’ambiance s’y prête et que l’excitation est de la partie. alors je ne bouge pas d’autant que toute cette bande de joyeux obsédés commence à faire cercle autour de nous.

Nicole pousse et un petit étron sort difficilement de son trou du cul, il est bien joli cet étron, il est même attendrissant. Et puis c’est si beau une femme qui chie, ça me fait bander. Elle pousse encore, cette fois, ça sort en un long boudin qui vient me dégringoler sur la tronche et la parfumer.

J’écarte cette chose de la main et bien sûr je m’en mets plein les doigts.

– Lèche ! Me demande-t-elle avec un tel sourire que je ne peux refuser

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Humm ! Délicieuse !
– Tu vas me nettoyer le cul, maintenant !

Je le fais, je me régale… et m’en étonne.

Nicole ramasse l’étron qu’elle a chié et de ses mains pleine de merde, elle se badigeonne les seins, les cuisses, le ventre, les joues. c’est dégueulasse mais ça me fascine. Josy vient devant elle et se met à lui lécher ses seins merdeux. Quel spectacle. Josy à son tour se badigeonne et c’est au tour de Nicole de lui sucer les tétons. Les deux femmes s’embrassent ensuite. Je suis complétement bluffé par ce que je vois et je bande comme un cerf. Nicole vient vers moi et m’offre ses lèvres.je ne me serais pas cru capable d’accepter ce baiser. Comme quoi l’excitation…

Chloé récupère un peu de matière et s’en badigeonne la bite, je crois un moment qu’il va me la faire sucer, mais le cadeau ne m’était pas destiné. C’est Amanda qui vint lui prodiguer cette étrange fellation au terme de laquelle sa belle queue ressortit toute propre, toute jolie, toute récurée.

Chloé s'aperçoit de mon trouble :

- T'es jaloux, toi ? Ça t'aurais plus de me nettoyer la bite ?
- J'avoue !
- On va arranger ça !

Chloé propose à Nicole de l'enculer, ce qu'elle accepte volontiers en cambrant son joli cul. Quelques instant après la bite du trans ressortait légèrement maculée.

Je m'empressais alors lui nettoyer tout ça !

– Passons à table le traiteur ne devrait plus tarder ! prévint Soraya !

Nous fîmes une petite pause, histoire d’être présentables, puis nous nous sommes retrouvés autour d’une grande table sur laquelle sept couverts avaient été préparés autour d’un gigantesque plateau de fruits de mer où se chevauchaient langoustes, homards et tourteaux, huîtres et oursins, crevettes et bulots. Et alors que les convives se dirigeaient vers leur place, j’eus la surprise de voir Frédérique s’éclipser à l’intérieur. Soraya me prit la main et me demanda de la suivre quelques instants dans la villa. Quelle ultime folie ces zigomars avaient donc encore préparé ?

Soraya me fit enlever ma nuisette trempée de sueur, et il me demanda de me vêtir d’un haut de smoking et d’un nœud papillon. Rien d’autre, rien en bas, je restais la bite à l’air.

– Attend quelques instants sur le perron !

En fait d’attendre, je m’attendais au pire : Effectivement tout d’un coup la sono se mit à cracher la marche nuptiale de Félix Mendelssohn, tandis que Frédérique en tenue blanche de mariée me rejoignait et me tenait tendrement la main pour ensuite m’accompagner jusqu’à la table, où les autres convives nous applaudirent, nous félicitèrent, en jetant sur nos costumes flambant propres, pognées de riz et contenus des verres de champagne !

Je pensais en avoir fini avec toutes ses singeries, quand je remarquais que la place que l’on m’avait réservée avait une étrange particularité : Un godemiché était en effet soudé verticalement au milieu du siège, il avait été recouvert d’un préservatif bien lubrifié. Je fis ce qu’on attendait de moi et sous les applaudissements de mes camarades de jeux je m’empalais sur l’objet, tandis que le chœur des convives entamait une chanson idiote :

« Il est de nôtres…. il en a pris plein le cul comme les autres »

Après toutes ces péripéties, le repas fut relativement tranquille. Il y eut plus tard la « nuit de noces ». J’ai promis de ne pas la raconter. Sachez simplement qu’elle reste gravée dans mon souvenir comme le point fort de ces 48 heures de folies furieuses.

Epilogue de l’épisode

Ça m’est venu comme ça en préparant mes valises pour le retour. En plus de l’explication vaseuse sur mon épilation il faudra que je justifie auprès de mon épouse la présence des basquets et des chaussettes. Ma première idée était de dire qu’ils avaient été gagnés à un concours de plage ! Mais à quoi bon raconter des salades ? Notre couple ne va plus très bien. Nous avons d’ores et déjà envisagé une séparation à l’amiable mais sans pour autant entamer de procédure. Ma femme me dit m’aimer encore (sans doute vrai) et ne pas avoir d’amant, (sans doute faux) je pense être dans des dispositions parallèles. Alors pourquoi ne pas tenter un banco et tout raconter à mon épouse ? Tout ! Lui révéler ainsi des pans insoupçonnés de ma sexualité. Des pans que j’ai sans nul doute eu grand tort ne pas savoir les faire partager. Il me faudra pour cela user de trésors de tact ! Ou bien ce sera le déclic pour un départ sur de nouvelles bases, ou bien la séparation se précipitera, et pas forcément à l’amiable… Mais allez donc savoir pourquoi, cette drôle d’aventure m’a rendu très optimiste !

FIN (de l’épisode)

BORIS
© 2000 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 15/11/2000

Par Boris - Publié dans : Boris
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Lundi 13 août 2018 1 13 /08 /Août /2018 06:38

Racolage balnéaire 2 – Le petit théâtre par Boris Vasslannicole

 

C’est après 15 minutes de route que nous arrivâmes dans une petite ville de l’arrière-pays. Celle-ci abritait un certain nombre de propriétés cossues (C’est le moins que l’on puisse dire !) Et nous pénétrâmes dans l’une d’elle. Après m’avoir imposé de prendre une douche, on me conduisit dans une espèce de réduit où étaient installées des cages d’esclaves. Ces trucs inhospitaliers en diable avaient la dimension d’un parfait mètre cube. Il y en avait au moins quatre, mais leur disposition en cercle et le peu de lumière m’empêchait de savoir si elles étaient ou non occupées. On me demanda de me déshabiller complètement et on me plaça des bracelets autour des chevilles et des poignets. Un collier d’esclave vint compléter la panoplie. Jackie me poussa dans la cage. Elle réunît mes deux poignets avec un clip, fit de même avec mes chevilles, puis réunit le tout ! Position super pratique ! J’espérais simplement que je n’aurais pas à endurer ce genre de truc trop longtemps, la situation ne m’excitant que moyennement.

– Bon ! On va te laisser comme ça un certain temps ! Dans le coin en haut, tu as une petite sonnette ! Tu peux l’actionner avec le bout de ton nez ! A réserver aux situations difficiles ! J’ai bien dit aux situations difficiles ! L’envie de pisser n’en est pas une ! En cas d’abus, on te vire ! Et tu passeras à côté d’une soirée merveilleuse ! Compris ? M’expliqua Jackie
– Oui ! Maîtresse !
– On va te laisser ! Avant, profites-en ! Si tu as soif on peut t’amener un verre d’eau, si tu as mal à la tête on peut t’amener un cachet…
– Je veux bien un verre d’eau !
– C’est comme ça qu’on demande ?
– Oh ! Pardon Maîtresse !
– Chloé ! Vas-y rafraîchit-le !

Chloé, comme tout à l’heure ressortit sa belle queue de transsexuelle et la dirigea vers ma bouche, j’acceptais la punition, mais il n’avait plus très envie, malgré tout j’avalais sans rechigner les quelques gouttes de sa mini douche dorée. Après cela j’eus quand même droit au verre d’eau, et on me laissa.

Mais qu’est-ce que je fous ici ?

La situation était bien sûr inconfortable, le fait de ne pouvoir vraiment changer de position est pénible, mais le plus agaçant est sans doute celui de ne pas pouvoir se gratter. On ne s’en rend pas compte tellement c’est machinal, mais c’est vrai on se gratte tout le temps, et ne pas pouvoir le faire est beaucoup plus cruel qu’on pourrait le penser. Je finis par m’endormir !

Le bruit d’un cadenas que l’on active me réveilla. Combien de temps s’était-il écoulé ? On m’avait retiré ma montre et ne pouvais savoir l’heure. Tandis que j’émergeais de mon inconscience, on me tira à l’extérieur et on me déclipa mes attaches. Ces braves gens eurent l’intelligence d’attendre quelques instants, le temps que je me « déplie ». Ils étaient trois, Jackie, négligemment habillée d’une sorte d’ensemble très « pyjama » et une autre femme plutôt grande, des jambes immenses, le type slave, yeux bleus, pommettes relevées et longue queue de cheval blonde, simplement habillée d’une minuscule culotte et d’un tee-shirt (Nicole). Le troisième était un homme, enfin je veux dire qu’il était du sexe masculin. Plutôt grand, assez fin, très peu musclé, une trentaine d’année. Des cheveux longs qui étaient peut-être une perruque, le visage fardé et maquillé, il était uniquement vêtu d’une sorte de peignoir en soie mauve et d’une petite culotte rose. Son corps était entièrement épilé, et ses tétons très développés étaient percés de jolis petits anneaux d’or ! Une véritable collection de bagues, de bracelets, de colliers et de chaînes de toutes formes venait compléter le tableau. Une créature à mi-chemin entre « la folle » et le travesti. J’appris un peu plus tard qu’il se faisait appeler Frédérique (au féminin, donc) et qu’il s’agissait du maître des lieux. Sans être une beauté fatale (rien à voir avec Chloé) il se dégageait une sorte de trouble du personnage qui ne me laissait pas indifférent.

Il m’observa, me détailla. J’eus soudain l’impression d’être un veau au marché aux bestiaux. Puis il finit par lancer un signe approbateur à Nicole, qui me conduisit alors auprès de deux autres compagnons d’aventures. Je n’ai jamais su leurs noms, mais pour la commodité du récit nous appellerons Brice, cet antillais au visage poupin et David l’autre, une sorte de petit gros aux moustaches trop fines et à la coupe de cheveux impeccable, un physique finalement très beauf. Je me demandais par quelle ironie du sort celui-ci avait bien pu atterrir en ces lieux !

Une quatrième cage s’ouvrit ! Son occupant ne nous rejoignit pas. Sans doute n’avait-il pas l’heur de plaire à Frédérique ? J’entendis ce dernier donner des ordres afin qu’on le raccompagne. En voilà un qui probablement devait être fort déçu ! A moins qu’il ait de la chance d’échapper à ce que j’ignorais encore… allez savoir ? Frédérique s’adressa aux filles :

– C’est bon, vous les remettez en cage, mais inutile de les attacher, je vous préviendrais un peu avant le spectacle !

Le spectacle ? Quel spectacle ? Je commençais à me demander ce que je faisais ici ! Après avoir bu un généreux verre d’eau on me remit donc en cage. Une sérieuse envie d’uriner commençait à me travailler, je n’avais pas osé demander, il ne me restait que deux solutions, m’efforcer de me retenir, mais jusqu’à quand ? Ou alors faire dans la cage ? Ce que je finis par faire au bout d’un quart d’heure, et ainsi apaisé, je me rendormis !

A nouveau le cadenas, la porte s’ouvre, elles ne sont que deux cette fois, Jackie et Nicole, la grande folle n’est plus là, on me fait sortir !

Nicole s’est coiffée d’un très large chapeau vert dont le port lui durcit les traits, elle est revêtue d’une sorte de long ciré en latex, qui ne laisse pas deviner ses formes, seule la cravache attachée à sa ceinture montre qu’il s’agit d’une dominatrice. Jackie, elle, est revêtue d’une minijupe en cuir et d’une sorte de gilet laissant apercevoir la naissance de sa belle poitrine. Apparemment j’ai l’honneur de sortir le premier. Soudain, Nicole retourne une mini gifle à Jackie :

– Mais tu nous as ramené quoi comme esclave ? Tu as vu les cochonneries qu’il a faites ?
– Je vais arranger cela !

C’est à mon tour de recevoir une superbe paire de gifle, mais c’est Jackie qui me l’administre, et ce n’est pas de la  » mini « .

– Tu ne pouvais pas te retenir ! Je devrais te faire tout lécher, mais on n’a plus le temps !

Elle va chercher une serpillière et me fait nettoyer, et elles ouvrent aux deux autres esclaves. On nous attache à la queue leu-leu à l’aide de chaînettes reliant nos colliers et ainsi entravés, nous suivîmes nos maîtresses. Nous voilà maintenant à l’extérieur, complètement à poil, mais personne d’étranger ne peut nous voir, semble-t-il ! On se dirige vers une sorte de petite dépendance et nous pénétrons dans une petite pièce où s’amoncelle un invraisemblable bric-à-brac, parmi lequel je crois reconnaître plusieurs accessoires de théâtre !

– Bon ! Voici ce qui va se passer à présent ! Vous allez être dominé en public…
– Ah ! Non !

C’est David qui rouspète !

– Ecoute pépère ! Tu as eu je ne sais combien d’occasions de te rétracter ! Maintenant il est trop tard ! Et si tu ne la fermes pas je vais te réserver un traitement spécial !
– Je…
– Je quoi ? T’as encore quelque chose à dire ! Prend ça, dit merci et tais-toi ! Pédale !

Joignant le geste à la parole, Nicole gifle le pauvre type qui du coup devient très sage !

– Merci maîtresse !
– Je disais donc avant que cet enculé me coupe la parole, que vous allez être dominé en public. Il n’y a pas grand monde, une trentaine de personne, et c’est une soirée sur invitation complètement privée. Ceci dit si vous le souhaitez, on peut vous fournir des loups ou des cagoules si vous craignez d’être reconnu ! Quelqu’un en veut ?

Personne ne bronche.

– Encore une fois, vos limites seront respectées, mais c’est quand même du SM, on n’est pas en train de vous faire jouer « Le petit prince » ! Maintenant si vous avez des remarques intelligentes, je vous autorise à les faire maintenant !
– C’est que voilà, Maîtresse, j’aurais bien fait pipi !

C’est Brice qui timidement formule sa requête

– T’inquiète pas, patiente encore un quart d’heure, tu pourras te soulager !
– Ah, bon ! Merci Maîtresse !
– Pas de quoi, allez en piste !

Nicole nous guide à présent vers la scène de ce petit théâtre privé, un rideau rouge dans la grande tradition nous empêche de voir les spectateurs. Un portique a été disposé et nos maîtresses nous y attachent en y rejoignant les clips de nos poignets.

Chloé, la superbe transsexuelle brésilienne nous rejoindra sur scène quelques secondes plus tard. Elle n’est vêtue que d’un petit string noir, et d’un soutien-gorge qui laisse en fait la poitrine complètement découverte, ses tétons percés ont été décorés d’anneaux dorés. J’ai en la regardant un début d’érection, ce doit être un réflexe !

Nous sommes donc six sur la scène quand simultanément la musique remplit l’espace (du Mike Oldfield, ça aurait pu être pire, mais on y a eu droit toute la soirée), la lumière des spots jaillit et après que les trois coups eurent été frappés, le rideau rouge se leva sous les applaudissements du public.

Il y avait là effectivement vingt-cinq à trente personnes, beaucoup sont d’âge murs, pas mal de couples et aussi quelques travestis. Trônait au premier rang, Frédérique dans la même tenue que tout à l’heure. Qui pouvait bien être ce zigoto pour organiser des pareilles soirées ?

Soraya, un très séduisant travesti déguisé en soubrette monta alors sur scène.

– Mesdames, messieurs, au nom de notre ami Frédérique, je vous souhaite la bienvenue et aussi une bonne soirée. Cette soirée aura trois parties. La première qui va commencer maintenant, ce sera une petite séance pendant laquelle trois charmantes dominatrices que je vous demande d’applaudir…
– Clap clap clap !
– …vont faire subir les derniers outrages à trois esclaves ! Ce sont des amateurs, je vous demande votre indulgence, mais si vous trouvez qu’ils ne sont pas assez sages, vous pourrez toujours leur balancer des tomates…
– Ah ! Ah ! Ah ! (Rires gras du public !)
– …Il y aura ensuite une seconde partie où notre ami Frédérique vous réservera une surprise, il pourra se faire accompagner d’amateurs s’il y en a dans la salle. Quant à la troisième partie, ce sera hors scène, chacun fera ce qu’il veut, nous avons préparé une autre salle avec un buffet et… un baisodrome…
– Clap clap clap
– Et maintenant tout de suite, le premier tableau qui est intitulé : « L’adoration des esclaves pour leur maîtresse »

On nous détache, Chloé et Jackie posent leur cul sur des tabourets de bar que l’on vient d’amener, et Nicole nous positionne à leurs pieds avant de prendre elle-même la pose. Le léchage des bottes ! S’il y a un truc qui ne me fait pas bander, c’est bien celui-là ! Mais bon, il en faut pour tous les goûts, et ça dure, et ça dure, et on tourne et on lèche les bottes de la voisine, ça n’en finit pas, et que je te lèche la semelle, et que je te lèche la pointe. Mes deux comparses ont par contre l’air d’apprécier et bandent comme des cerfs. Ils ont de bien belles bites dans des genres fort différents…

– A genoux !

Ah ! On va changer de jeu, c’est Nicole qui est devant moi, elle descend du tabouret, puis elle se retourne, et enlève son ciré, baisse sa culotte, et des deux mains écarte ses fesses pour dégager le trou de son cul.

– Lèche !

Voilà qui change tout, je ne me le fais pas dire deux fois, ma langue lèche aussitôt ce petit trou qui dégage un goût un peu acre, mais si excitant, j’essaie de pénétrer le plus profond possible dans son intimité, mais voici que l’on tourne, c’est au tour de Jackie, c’est la première fois que je vais sucer deux trous du cul à la suite, et ce dernier dégage un parfum beaucoup plus capiteux. Je m’enivre de mon léchage, ma queue est maintenant complètement raide, et on tourne à nouveau. Une pointe d’appréhension quand même en suçant le trou de Chloé, qui a pourtant eu l’honneur de ma langue pendant le petit essai préalable, parce qu’après tout c’est un cul d’homme ! Mais qu’importe, un cul est un cul et la sensation est la même, me voici en train de me surprendre à me régaler de faire un anulingus à une transsexuelle. Mais le tableau est déjà (hélas) terminé !

– Mesdames messieurs, regardez un peu dans quel état nos maîtresses ont mis leurs esclaves !
– Clap Clap Clap !
– Et vous croyez qu’ils ont vraiment le droit de bander comme cela ?
– Non ! Non ! Non !
– C’est bien ce que je pensais, on va donc les punir…et voici le second tableau au cours duquel vous verrez comment les esclaves en pincent pour leurs maîtresses !

On nous attache à nouveau au portique, Chaque maîtresse s’occupe à présent d’un esclave. C’est Nicole qui va s’occuper de moi ! Elle n’est plus à présent vêtue que de son seul soutien-gorge ! J’ai hâte de découvrir les merveilles qu’elle y cache. Nicole saisit alors mes bouts de seins entre le pouce et l’index et elle tourne, j’adore cette caresse, elle la prolonge, elle a énormément de savoir-faire, je jette un coup d’œil à mes compagnons qui subissent le même sort, tout cela est synchronisé à merveille ! Elle m’accroche ensuite une pince sur mon téton droit, ça chauffe un peu, mais c’est supportable. A côté ça crie un petit peu, c’est David, du coup il se ramasse une nouvelle baffe ! Et pourquoi pas moi après tout ? Je fais semblant de crier.

– Ça ne marche pas ! Me répond Nicole en s’esclaffant.

Une autre pince au téton gauche, puis les couilles à présent, là ça fait plus mal, très mal, et je crie pour de vrai, et cette fois ci j’y ai droit à la gifle !

– Là maintenant, tu l’as mérité !
– Merci maîtresse !

Les maîtresses permutent encore, C’est maintenant Jackie qui s’amuse à me retirer les pinces et à me les remettre aussi sec, puis Chloé qui viendra y rajouter des poids. Si ça continue comme ça on va exploser. Et puis soudain, Nicole nous interpelle :

– Mais au fait vous n’aviez pas envie de pisser tout à l’heure ?

Elle n’attend même pas de réponse, la soubrette dépose sur le plancher trois petits pots de chambre, Jackie nous libère et nous demande d’en prendre un chacun. Je ne vois pas trop l’intérêt.

– Venez !

Elle nous fait descendre de la scène, et nous fait approcher très près du public !

– Maintenant, posez les pots par terre, vous aller pouvoir pisser, mais attention pas debout, vous aller vous asseoir comme des bébés !

Allez faire ça avec des pinces aux couilles, vous ! Non seulement la position est humiliante à souhait, mais les essais font très mal, jusqu’à ce que l’on comprenne qu’il faut en fait tricher en ne s’essayant pas et en restant accroupis cinq centimètres au-dessus du pot. La salle rigole ! Je suis rouge de honte ! On remonte sur scène avec les pots remplis de pipi. Nous les rendons aux maîtresses qui nous rattachent au portique. Elles se saisissent alors l’une après l’autre des pots de chambre et nous en jette le contenu à la figure déclenchant des applaudissements frénétiques du public. Pour ma part, je n’apprécie que fort modérément. L’uro, oui mais pas comme ça !

– Et maintenant Mesdames et Messieurs, le moment tant attendu où ces enculés d’esclaves vont se faire flageller comme ils le méritent !
– Ahhhhhh !

C’est le moment que je redoute le plus, mais on a affaire à des gens intelligents, ce tableau n’est pas collectif, on se fera flageller l’un après l’autre et par une unique maîtresse. C’est donc Jackie qui m’ayant testé s’occupera de moi. Elle commence par quelques fessées pour me chauffer, vite remplacées par des raquettes de jokari, un miroir disposé dans le fond de la scène permet d’apercevoir mon cul tout rouge et pas seulement de confusion ! Et voici enfin le martinet ! Le premier coup est trop fort, le second est ajusté, elle a vite retrouvé la puissance adaptée mes limites, elle continue, ça fait mal quand même, à 10 je pense qu’elle va s’arrêter, mais non, elle ira jusqu’à 20 ! Je pense en avoir terminé ! Mais non elle me tourne face à elle, et là horreur absolue, elle entreprend de me fouetter la poitrine afin de faire se détacher les pinces ! Je hurle, je reçois une gifle. Les pinces finissent par tomber, je n’en puis plus. Elle aura le tact de ne pas m’infliger le même supplice aux testicules !

– Et maintenant ça va chauffer, voici le quatrième tableau « quelques numéros de bougies »
– Non !

C’est Frédérique, qui intervient à la surprise générale.

– Je préfère qu’on ne le fasse pas, les bougies, c’est comme les orties, c’est rigolo à faire et à subir mais pas à voir, on passe !
– Les désirs de notre hôte sont des ordres, et maintenant l’avant dernier tableau au cours duquel tous ces gros machos ramassés sur la plage et qui se moquent des pédés, vont tous se sucer et s’enculer. Quelle chance ils ont !

Nos maîtresses nous détachent, et nous retirent les pinces. L’enlèvement de celles fixés à mes testicules me provoque un cri de douleur que Jackie entreprend de calmer en me retournant un énième paire de gifle. (J’aurais dû les compter !) Il y a un petit moment de répit pendant lequel la soubrette s’en va chercher des godes qu’elle dispose sur une petite table. J’en profite pour regarder un peu la salle où la plus grande frénésie règne à présent. Frédérique à la bite à l’air ainsi que ses deux voisins immédiats, certains se branlent, d’autres se pelotent, se caressent, s’embrassent, se sucent ! Finalement ce sont ceux qui ne font rien qui m’étonnent le plus !

Nicole nous fait mettre les uns à côté des autres, (légèrement de biais pour que la salle voie bien) David, Brice, moi-même et Chloé, puis elle fait sortir David du groupe et le fait mettre à genoux devant Brice. Il lui suce la bite sans problème apparent, et y prend même de plus en plus goût.

– Attention, pas le droit de jouir !

Tout cela dure assez brièvement, David viendra me sucer à mon tour ! J’aime bien comme tout le monde me faire sucer, le fait que ce soit un homme m’indiffère complètement, ça ne me gêne pas, mais ça ne m’excite pas trop non plus. Il finira bien sûr par Chloé. Après que Brice aura à son tour sucé ses trois queues, ce sera enfin à moi, l’ordre a été un peu chamboulé et je commence par celle de Chloé que j’avais déjà eu le plaisir d’apprécier ! Si être sucé par un mec ne me fait pas grand-chose, sucer une belle bite, (et je n’en avais pas sucé beaucoup dans ma vie) me plonge dans l’extase ! On doit m’arracher à la queue de Chloé, qu’importe il y a maintenant celle de David, plus petite, mais aussi agréable et pour le dessert : la queue noire de Brice que j’ai du mal à emboucher tellement elle est grosse.

Chaque dominatrice prend maintenant un gode, le recouvre d’un préservatif lubrifié et après nous avoir fait mettre à quatre pattes, nous l’enfonce sans trop de ménagement dans le cul. Je crie, Nicole m’a introduit ce truc trop rapidement et sans vraie « préparation », mais peu à peu la douleur cesse. Mais ce n’est qu’une entrée en matière (sans jeu de mots) Nicole et Jackie s’harnachent chacune d’un bon gros gode ceinture, évidement Chloé n’en a pas besoin. La soubrette a apporté trois petites tables pour nous permettre de nous arc-bouter. On va chacun avoir une bite dans le cul ! Je prie Satan de tomber sur Chloé et sa rosse bite, mais non c’est Jackie ! Elle est quand même plus délicate que sa copine et ne me pénètre qu’après une bonne lubrification ! Elle commence alors des mouvements de va-et-vient aidée par le public qui se met à scander : « Enculés, enculés ». ! Du jamais vu !

Enfin elles se retirent sous les acclamations du public.

– Ils ont été bien sages, Non ? Tous ces esclaves, La maison va maintenant leur offrir le champagne, directement à la source !

shem09On nous fait allonger par terre ! Nicole a enfin libéré ses seins et je peux admirer sa poitrine de rêve dotée d’arrogants tétons turgescents. J’ai maintenant sa chatte à vingt centimètres de ma bouche, ma bite n’en peut plus, et me fait mal de ne pas avoir joui. Jackie est accroupie au-dessus de Brice et Chloé s’apprête à arroser David ! Quelques gouttes tombent dans mon gosier, puis un petit filet qui grossit de plus en plus, j’avale maintenant à grosses goulées. A côté de moi Brice s’étouffe à moitié, ayant avalé de travers et provoquant la risée de la salle.

– Debout ! Branlez-vous maintenant et jouissez devant les spectateurs !

Comme ça devant tout le monde ? Mais Brice lui ne s’est pas posé de question et en quelques mouvements il crache son foutre, puis s’assoit par terre, complètement épuisé. Et tandis que je me branle à mon tour je sens la main de David qui cherche ma queue, je lui rends la politesse et c’est presque simultanément que nous nous faisons jouir, voici qui n’était pas prévu au programme mais qui déclenche les applaudissements enthousiastes de ces messieurs dames !

– Je vous demande d’applaudir encore une fois tout ce petit monde, ils ont tous été formidables !

Et voici que comme dans un vrai théâtre, nous nous tenons tous les six par la main et que nous venons de saluer le public.

Il se passa alors ensuite cette chose assez extraordinaire, le rideau se baissa et les applaudissements ne stoppaient pas. Fallait-il rejoindre les coulisses ou rester pour un deuxième salut au public ? Jackie ne se posa pas ce genre de question et se jeta littéralement dans les bras de Nicole.

– J’ai envie de toi ! Je suis trop excitée !

L’autre fille ne bouda pas cet élan spontané et leurs lèvres se collèrent en un baiser fougueux, tandis que leurs mains caressaient, pelotaient, furetaient…

– Bouffe-moi la chatte ! Supplia Jackie
– Tu peux peut-être attendre un tout petit peu !
– Non, j’ai envie tout de suite !

A ces mots Jackie se coucha sur le sol, les jambes écartées, mais sans lâcher la main de Nicole qui se retrouva donc du coup en position et qui commença à lui lécher le clito. C’est ce moment que choisit le facétieux présentateur pour relever le rideau. Cela, vous vous en doutez bien, provoqua l’enthousiasme d’un public qui n’en pouvait décidément plus.

Et que firent nos deux filoutes ? Excitées encore un peu plus qu’elles ne l’étaient déjà par ce parterre de voyeurs pervers, elles continuèrent leurs ébats en se plaçant en 69. L’affaire ne dura pas très longtemps, c’est Nicole qui paradoxalement jouit la première en poussant de petits râles aigus, bientôt rejointe par Jackie qui se trémoussait en ânonnant un nombre incalculable de fois de suite la première lettre de notre alphabet.

Elles finirent par se relever, un peu pantelantes malgré tout. Il était temps de conclure cette première partie, les organisateurs craignant une invasion de la scène. Malgré tout avant que le rideau ne tombe, cette fois définitivement, tous les acteurs s’embrassèrent dans une ambiance décidément bon enfant.

– Messieurs dames, 15 minutes d’entracte, vous pouvez profiter de la petite buvette là-bas sur la gauche ! Annonce Soraya.

Nous nous dirigeons vers les coulisses. Nos effets personnels nous y attendent, cela veut dire que pour nous la soirée est terminée. Dommage, nous n’étions donc que des attractions ! Ceci dit : tout cela s’est passé divinement, je ne regrette pas ma soirée, mais j’ai un de ces coups de pompe. Mes deux acolytes ont l’air d’être dans le même état d’esprit que moi.

– Je vais vous faire raccompagner de suite, ce sera plus pratique ! Propose Nicole, en nous tendant un petit carton. Vous pourrez retirer une caisse de champagne (du vrai cette fois) à cette adresse pour vous remercier de votre bonne participation !
– Merci maîtresse murmure David
– Je t’en prie ! Il n’y a plus de Maîtresse, le jeu est fini, mais tu vois ça s’est très bien passé !

Il est marrant, David, il a l’air tout content de la répartie de Nicole. Je fais mes adieux à Chloé qui me roule carrément une pelle et m’apprête à prendre congé de Jackie quand la porte s’ouvre. C’est Frédérique qui surgit, toujours la bite à l’air et qui ne s’adressant qu’à moi :

– Euh ! Je vous demande de rester 5 minutes de plus ! Jackie pourra vous raccompagner ensuite…
– ?

Je suis un peu étonné de ce contretemps. Et après que Jackie eut fait signe au chauffeur de démarrer sans moi, Frédérique me fit cette étrange proposition :

– Tu me plais bien, j’ai envie de te découvrir davantage ! Ce serait un honneur si tu acceptais de coucher ici et de partager ma journée de demain ! Tu acceptes bien entendu ? Demanda-t-il avec un sourire charmeur. Et tout en disant ça, il me fout la main à la braguette.
– Avec très grand plaisir ! M’entendis-je répondre.
– Je t’ai fait préparer une chambre, tu veux aller t’y reposer maintenant, ou tu préfères regarder la seconde partie ?
– Je suis un peu fatigué…
– Tu n’es pas à une demi-heure près, c’est un peu spécial, mais ça devrai te plaire, va prendre place dans le public.
– Euh, mes affaires ?
– Tu en as pas besoin, on va les monter dans ta chambre.

J’y ai donc été vêtu de mon seul caleçon de bain et me suis installé me retrouvant entre un petit vieux, et une bourgeoise mature.

Le rideau se lève, on a disposé sur la scène trois fauteuils où prenne place Nicole, Jackie et Chloé. Toutes trois entièrement nue et les jambes écartées.

Un coup de gong et voilà Frédéric qui arrive sur scène en tenant en laisse un gros labrador noir.

Il dirige le chien vers Nicole. On ne voit pas grand-chose d’où je suis placé mais on peut deviner aisément que le chien est en train de lui lécher la chatte. Après quelques courtes minutes le chien est dirigé vers Jackie. Puis c’est au tour de Chloé, celle-ci se lève et se met de profil afin que le public puisse mieux voir.

Spectacle fabuleux de cette belle transsexuelle qui se fait lécher sa belle queue bandé par un chien vicieux ! Le public applaudit.

Soraya reprend la parole.

– Bien sûr, ce n’est pas terminée, et la suite va être encore plus hard. Oh mais que vois-je, un fauteuil s’est libéré ! Feint-elle de s’étonner, ça ne va pas du tout ! Y’a-t-il une salope dans la salle qui voudrait venir l’occuper ? Allez, on lève la main !

Je n’en reviens pas, trois mains se lèvent, trois femmes.

– Hum que faire, on va donner la priorité à la plus ancienne, venez madame.

La dame en question à au moins soixante ans, cheveux court argentés, lunettes, bien conservée.

– Bon, à poil Mamie, on se va pas faire ça habillée, comment tu t’appelles ?
– Denise ! Répond la dame en ôtant ses fringues.
– Tu es donc une salope, Denise !
– Un peu, oui !
– Tu as des beaux tétons, dis-donc ! La nargue Soraya en lui tirant dessus.
– Aïe !
– Oh, je t’ai fait bobo, ma petite biche !
– Pas grave ,j’aime ça ! Hi ! Hi !
– Alors tout va bien ! Je vous demande d’applaudir cette salope !
– Clap, clap, clap
– Et maintenant je vais demander à la salope de sucer la bite du chien, d’accord Denise ?
– Oui !

Nicole prépare le chien et dégage sa bite de son fourreau, quand il est prêt se met à la sucer avec gourmandise avant d’appeler Denise à l’accompagner dans cette fellation contre-nature mais tellement excitante.

– Les deux autres salopes qui s’étaient portée volontaires sont invités à monter sur scène.

Il s’agit d’une belle brune d’une quarantaine d’année et une vraie blonde plus jeune et un peu boulotte.

– Voilà, vous allez pouvoir sucer le chine mais avant, roulez-vous un patin et pelotez vous devant tout le monde.

Et pendant que les deux femmes s’exécutent, Soraya fait se relever Denise.

– Alors c’était bon la bite du chien ?
– Hum j’aime ça !
– Ça se voit et maintenant il va te grimper, mais avant ces deux poufiasses vont le lécher à leur tour.

Quel spectacle, mes amis ! Mais dans la salle ça tourne à l’orgie, mon voisin de droite se fait proprement enculer par un grand moustachu. Ma voisine de gauche fouille dans mon slip et me branle la queue.

– J’aurais dû y aller, je me demande ce que ça fait de sucer la bite d’un chien me confie-t-elle.
– Ah ben, je ne peux pas vous dire…
– Doigtez moi la chatte pendant que je vous branle la bite.
– Bien sûr, madame !

Sur la scène, Soraya fait cesser la séance de suçage et remercie les deux dames.

– Et maintenant, en levrette, la salope !
– S’il pouvait me prendre par l’anus, je préférerais.
– On va arranger ça

Le chien accoure, Soraya se débrouille pour que l’introduction se fasse analement et le chien surexcité entame une série de va-et-vient encouragé par la partie du public qui n’est pas occupée à autre choses

Et tandis que Denis hurle son plaisir, la main de ma voisine le fait éjaculer un geyser de sperme. La dame vient alors me nettoyer la bite. Et comme elle n’a pas joui et que je cesse d’être opérationnelle s’en va draguer son voisin de gauche.

Le spectacle est terminé, je me renseigne pour savoir où se trouve cette fameuse chambre que l’on m’a réservé. Il est temps d’aller dormir
.
A suivre

Boris Vasslan © 2000 vasslan@hotmail.com
Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000

Le personnage de Madame Nicole m’a été inspiré par la photo du haut, une vraie Madame Nicole sévissant à l’Other Word Kingdom. J’espère que ni elle ni sa souveraine ne m’en voudront de cet emprunt qui est aussi un hommage à sa beauté

Par Boris - Publié dans : Boris
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