Partager l'article ! Racolage balnéaire 5: Racolage Balnéaire 5 – Janis la perverse par Boris Vasslan Attention, réservé à un public averti : ce tex ...
Attention, réservé à un public averti : ce texte contient de la scato explicite.
Thémes abordés : bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, jeux érotiques, massages, scato, transsexuelles, travestis, trio, uro, voyeurisme
Résumé du chapitre précédent : Je fais la connaissance d’Anita et de Vera, deux transsexuelles très délurées qui me font une petite séance de domination. Nous sommes interrompus par Roland qui vient réparer le frigo, je sympathise rapidement avec ce dernier à tel point qu’il finit par me sodomiser, (ben oui, c’est comme ça !) puis par me proposer de me présenter à sa compagne.
– Tu verras, Janis est une belle cochonne ! Me confie-t-il. Il y a longtemps que je ne lui ai pas ramené un mec, elle va être contente.
Il est bavard, Roland ! Tout en conduisant sa voiture, il m’apprend qu’il est sculpteur et que sa femme est coiffeuse. Ils sont libertins et pratiquent l’échangisme mais regrettent que les hommes bisexuels soient relativement rares.
De mon côté je préviens mon épouse (pour la forme, étant donné nos rapports actuels) que je ne rentrerais sans doute que fort tard.
Nous arrivons chez lui, il habite un bel immeuble à proximité du Canal St Martin.
– Je suis passé chez Anita, il y avait ce monsieur que j’ai eu le plaisir d’enculer, je me suis dit que tu aimerais peut-être faire sa connaissance. Il se prénomme Boris.
– Mais, enchanté, cher Monsieur ! Il ne vous a pas fait mal, j’espère ?
– Non, au contraire, il m’a fait du bien.
– Alors dans ce cas embrassez-moi, j’adore embrasser les enculés.
En voilà une présentation insolite : Je ne la voyais pas comme, ça. : Probablement une vraie blonde, coiffée avec une queue de cheval, ses yeux sont bleus et sautillant de malice, sa peau est très claire, elle paraît vraiment très délurée.
Je vais pour lui faire un bisou sur la joue avant de réaliser que ce qu’elle souhaite c’est me rouler un patin. Allons-y pour le patin, sa langue est douce et agile, et ma bite se met à bander joyeusement. Janis s’en assure en me portant sa main à ma braguette.
– Monsieur restera dîner ? demande-t-elle.
– Euh…
– Probablement ! Répond Roland, mais pour l’instant tu prendras bien un petit apéro ?
Janis apporte quelques bouteilles, et en me servant, elle me remet carrément la main sur la braguette. Ce doit être une manie.
– Ah, je ne t’ai pas raconté comment j’ai rencontré Anita, intervient Roland. Vas-y raconte Janis, ça va exciter notre ami.
– Vous n’êtes pas pressé, j’espère cher monsieur ? Me dit-elle en augmentant la pression sur mon sexe.
– Non, non.
– Alors d’accord mais avant racontez moi ce que vous avais fait avec Roland… Hum vous bandez bien, c’est ma main qui vous fait cet effet-là ?
– Je crois bien !
– Hum, j’ai envie d’un petit jeu, je suppose que si vous appréciez Anita, c’est parce que vous aimez bien être un peu soumis ?
– Oui !
– OK, alors déshabille-toi !
Le ton est sec, autoritaire.
Je m’exécute, mais m’étonne que je sois le seul à le faire.
– Ah ! Ah ! Tu aimerais bien me voir à poil, hein ! Rassure-toi, ça va venir mais rien ne presse ! Bon tourne-toi ! Hum, joli cul ! Ça ne m’étonne pas que Roland t’ai enculé ! Attends-moi, je vais chercher un truc !
Elle revient quelques instants plus tard avec un gode anal, me demande de me pencher, me le fourre dans le cul et le fait aller et venir.
– T’aimes ça, hein ?
– Oh, oui !
Elle me fait ensuite asseoir à l’envers sur une chaise et me ligote. Je me laisse faire, avec une petite pointe d’inquiétude malgré tout. J’espère que je ne suis pas tombé dans un traquenard !
Puis Janis me tripote un peu la bite qui se remet à bander quasi instantanément.
– Bon tu me la racontes ton histoire ?
– Et bien, nous étions à poil, Anita, Vera et moi quand Roland a sonné…
– Non, je veux toute l’histoire.
Je lui raconte donc l’intégralité de ma rencontre avec les deux trans…
– Et quand Roland est arrivé, qu’est ce qui s’est passé ?
– Anita m’a demandé de lui montrer mes fesses, je l’ai fait, il les a trouvés jolies et il m’a sucé un peu le trou du cul, puis, je lui ai sucé la bite et je lui ai demandé de m’enculer !
– Et bien, quels cochons ! Donc c’est à mon tour de raconter, si j’ai bien compris ?
– Tout à fait !
Le récit de Janis
Je m’étais fait embaucher dans un nouveau salon de coiffure. Un jour une grande femme avec beaucoup d’allure entra pour se faire coiffer, quelques minutes plus tard les langues de vipères se lâchèrent, et une des coiffeuses vint me trouver pour me chuchoter :
– Tu vois la nana, là-bas, c’est un mec !
Je ne répondais pas, enregistrait l’information et me surpris à fantasmer sur cette belle créature ambiguë. Je m’arrangeais une fois suivante, pour que ça soit moi qui la coiffe. J’y mis tellement de cœur qu’elle fut enchantée de mes services et me réclama spécialement les fois d’après.
Je lui chuchotais alors que je pouvais très bien la coiffer à domicile, pour moins cher et que je pourrais même lui offrir un massage en supplément. Elle (je préfère la conjuguer au féminin) accepta et nous primes rendez-vous.
Elle arriva le mardi suivant à mon domicile, toute pimpante et vêtue d’une petite robe couleur brique, mettant bien en valeur sa poitrine et ses jambes. Elle me fait la bise !
– Si vous pouviez me faire les ongles aussi !
– Pas de problèmes ! On commence par quoi ?
– Vous m’aviez parlé d’un petit massage !
– O.K. Mais je n’ai pas de table de massage, on fait ça sur le lit ?
Et une minute plus tard, elle est devant moi à moitié à poil, n’ayant conservé que son string. Me voici troublé de chez troublé. Le problème c’est que cette affaire-là ne se passe pas du tout comme je l’avais imaginé, je pensais discuter de sa sexualité pendant la séance de coiffure, puis en fonction de ce qu’elle m’aurait dit ensuite, improviser.
– Je garde le string ?
– Peut-être pas, non !
Elle le retire sans se retournez, elle doit sentir mon trouble car elle me provoque !
– Et voilà ! Je suis une femme à bite ! Comment vous trouvez ça ?
– Troublant, très troublant !
– Troublant ou excitant ?
– Les deux !
– Merci, je prends ça pour un compliment, bon, on y va pour le massage ?
Ben oui, on y va, je ne sais plus trop dans quoi je m’embarque, mais qu’importe, je lui masse les épaules, puis le dos avec une certaine vigueur. Il (elle ! pardon !) a l’air d’apprécier. Elle a la peau d’une douceur extraordinaire, je prends mon temps, remet de l’huile, masse et remasse, je ne me souvenais plus qu’un massage pouvait être aussi physique et aussi fatigant.
Et puis, il fallait bien que ça arrive, j’attaque son joli fessier bien rebondi. Je reste sage me tenant volontairement éloigné des zones érogènes. Je me bloque, je ne sais plus comment provoquer la suite que je souhaitais dans mes fantasmes. Au bout de quelques minutes, je lui écarte les globes, passe ma main dans la raie des fesses, recommence une dizaine de fois, puis ose m’attarder sur son œillet, ça passe ou ça casse, elle ne dit rien mais pousse des soupirs de satisfaction. OK, deux ou trois fois comme ça, puis la fois suivante mon doigt se fait davantage inquisiteur.
– Coquine ! Me dit-elle.
– Ça vous plaît ?
– Bien sûr, vous pouvez continuer !
Et voilà le travail ! Je la doigte comme une malade, deux doigts, trois doigts, ça rentre avec une facilité déconcertante, et l’autre se pâme à ce point que ça me pose un problème, mon objectif n’étant pas de le faire jouir si vite et de cette façon. Je ralentis donc mes mouvements et sors mes doigts de son trou.
– Vous pouvez vous retournez maintenant.
Elle le fait, m’exhibant une bite semi bandée. J’ai alors le sentiment qu’elle regrette que je n’aie pas poursuivi mes explorations anales. A moi de jouer pour la replacer dans le circuit du plaisir.
Alors, après quelques mouvements aussi inutiles que symboliques, je lui pelote les seins, lui suçote les tétons, elle est aux anges, puis je m’empare de sa bite, la tripote un peu avec mes doigts imprégnés d’huile de massage. Elle ne tarde pas à bander de façon optimale, une très jolie bite comme je les aime, bien droite, avec un joli gland bien formé. Je la prends en bouche et commence à la sucer…
– Si tu te déshabillais ! Me propose-t-elle.
Bien sûr que je me déshabille ! Ce que j’ignore, c’est si elle est sensible aux charmes féminins, quoi que le fait de me demander de me foutre à poil soit plutôt bon signe :
– T’es pas mal toi ! Me complimente-t-elle, viens m’embrasser.
On s’embrasse, fougueusement, goulûment, baveusement. Je suis en train d’embrasser quoi au juste ? Une femme à bite, un mec avec des nichons ? Qu’importe après tout ! On se pelote, on se caresse, on se câline, on se tripote et on finit par se retrouver tête-bêche. Bien sûr, j’embouche de nouveau sa belle queue, tandis qu’elle attaque ma chatte avec une agilité linguale assez extraordinaire.
Anita parvient à me faire jouir en moins de trois minutes. Mais à présent je voudrais qu’elle me pénètre, je lui demande :
– Tu veux me prendre ?
– Oui !
Je lui passe un préservatif que j’avais préparé à portée, puis me positionne en levrette. Elle me pilonne en une suite de saccades sèches. C’est une façon de faire comme une autre.
– Pratiquez-vous la sodomie ?
Je note l’attention délicate, et lui réponds par l’affirmative ! Elle sort de ma chatte et tente délicatement de s’introduire dans mon cul. Ça ne veut pas rentrer.
– T’as peut-être un peu de gel ? demande Anita.
Je dois en avoir dans mon fouillis, mais je ne me vois pas entamer des recherches, là, maintenant !
La transsexuelle ne renonce pas pour autant. Elle approche sa langue de ma rondelle et se met à l’enduire de salive avec ses lèvres et sa langue.
– Il sent un peu fort ton cul ! Dit-elle à brûle pourpoint.
– Tu n’es pas obligée de continuer !
– Mais, ça ne me dérange pas du tout, je disais ça comme ça !
– Ben, alors continue !
C’est ce qu’elle fait, et c’est super agréable de se faire lécher le fion de cette façon ! La pointe de sa langue sollicite tellement bien mon œillet que celui-ci ne tarde pas à bâiller d’aise. La coquine me glisse maintenant un doigt, le fait aller et venir, lui fait faire des mouvements de tirebouchons, ajoute un deuxième doigt, puis déclare que désormais le passage doit être prêt !
Effectivement, j’ai maintenant sa bite dans mon cul : J’adore !
– T’aimes ça ! Hein petite salope ? Me dit-elle.
Ah, les mots cochons l’excitent, je vais l’encourager.
– Oh, oui j’aime ça une bonne bite dans mon cul ! Je suis une bonne salope !
– C’était ça ton fantasme, te faire défoncer la rondelle par une femme à bite ?
– Ouiiii ! Encule-moi encore !
Je suis dans un état second, elle fait ça trop bien ! Mais tout d’un coup, elle freine, sort, se débarrasse de la capote (dommage je l’aurais bien léché, j’aime bien nettoyer les bites qui sortent de mon cul), me demande de me retourner et éjacule comme une sauvage sur mes seins.
Elle a ensuite la délicatesse, de venir entre mes cuisses, me lécher le clito jusqu’à ce que je gueule de nouveau mon plaisir.
Elle demandé à prendre une douche, on l’a prise ensemble en se payant une bonne partie de rigolade, on s’est rhabillée, on a bu un coup, puis on est redevenu sage, je devais la coiffer et la manucurer !
Pendant la coiffure, je lui pose la question qui me brûle les lèvres :
– Tu préfères les hommes ou les femmes ?
– Les femmes ! Quand j’étais plus jeune et que j’ai commencé à me travestir, c’est bien sûr parce que je me sentais femme, mais en fait, je voulais être une femme qui aime les femmes, une femme
qui plaise aux autres femmes.
– Et les hommes !
– Une belle bite de temps en temps, je ne suis pas contre, j’aime bien sucer et me faire enculer, mais je ne fantasme que très rarement sur le visage ou sur le corps des bonhommes !
– C’est dommage !
– Pourquoi, c’est dommage ?
– L’un des fantasmes de mon mari, c’est de faire des trucs avec un trans !
– Ah ! Avec les hommes je me fais payer… mais on peut toujours s’arranger…
Effectivement je m’arrangeais avec elle (les détails importent peu). Mon mari rentrait des Etats-Unis le jeudi soir, je lui préparais donc un petit repas. A 20 heures sonnantes alors que nous commencions à peine à prendre l’apéritif, voilà que l’on sonne, Roland râle, mais je le rassure en lui disant qu’il s’agit d’une invitée surprise !
– Voila je te présente Anita !
Je lui avais demandé de s’habiller de façon très féminine, mais sans extravagance, effectivement elle portait une robe dans les vieux roses, très vaporeuse et légèrement décolletée qui lui conférait beaucoup d’allure.
– Bonjour madame, mes félicitations vous êtes très belle ! Lui répond Roland en lui serrant la main tout en la déshabillant du regard.
– Merci, monsieur, un compliment, ça fait toujours plaisir.
– Vous êtes très grande… continue-t-il.
– Mais c’est pour mieux vous enlacer mon cher monsieur !
– M’enlacer ? Vous voulez m’enlacer ? Pourquoi pas, je me laisse faire ?
– Me permettez-vous, Janis ?
– Ne vous gênez surtout pas, Anita !
Alors Anita serre Roland dans ses bras, leurs visages se rapprochent, leurs lèvres s’ouvrent, leurs langues se rencontrent, bref ils se roulent une pelle.
– Quelle fougue ! J’adore les invités surprise qui embrassent de cette façon !
Anita qui en a pourtant vu d’autres est excitée par la situation, collé contre Roland son sexe se met à grossir et ce dernier pas dupe s’en rend compte.
– Oh ! Mais je sens comme une quéquette entre vos cuisses !
– Mais c’est pour mieux vous enculer mon cher monsieur !
– Hum, j’aimerais bien voir ça de plus près ?
– Pourquoi pas, Janis me permettez-vous de montrer ma bite à votre mari ?
– Mais bien sûr !
Alors Anita enlève carrément sa robe sans aucune cérémonie, puis baisse sa culotte libérant son membre semi bandé, puis l’ordre vient, sec !
– Suce !
Comme un zombi, Roland s’accroupit et se met à sucer ce joli cylindre de chair avec frénésie. Manifestement il se régalait, je me baissais pour vérifier l’état de sa bite, il bandait comme un malade. J’intervenais et leur demandais de se déshabiller intégralement afin de permettre d’autres attouchements. Je fis de même.
Roland est rendu fou par la vision des superbes seins de la transsexuelle et va pour les tripoter.
– Non ! Proteste Anita, pour l’instant c’est moi qui commande, remets-toi à me sucer la bite, le reste on verra après.
Ce n’est pas un problème pour Roland qui a toujours été un peu soumis. Il reprend sa fellation tandis que moi je passe derrière, lui écarte le cul et me met à lui lécher l’anus. J’adore lécher les culs !
On garde ainsi la position pendant une dizaine de minutes, puis Anita nous demande d’arrêter !
– Maintenant, je vais t’enculer ! Propose-t-elle à Roland. Tu veux bien ?
– Mais avec grand plaisir !
– Alors mets-toi en levrette là sur la moquette !
– Vous seriez peut-être mieux sur le lit ! Conseillais-je.
O.K. on va dans la chambre, Roland se positionne, et là j’ai la surprise d’entendre Anita me demander de me placer à côté de mon mari et dans la même position. J’ai compris ce qui allait se passer !
La trans s’encapote, nous badigeonne nos trous de balles avec du gel, puis se met à enculer Roland qui se pâme d’aise. Au bout de cinq minutes, c’est mon tour. Je me fais enculer par une transsexuelle tout en roulant une pelle à mon mari qui a le cul béant ! Elle n’est pas belle, la vie ?
Anita change une nouvelle fois de partenaire et sodomise cette fois Roland jusqu’à la jouissance. Elle décule, on souffle cinq minutes sur le plumard en discutant de je ne sais plus quoi, puis elle propose à mon mari d’inverser les rôles, Elle se met à son tour en levrette et tandis que mon mari la pénètre, elle me fait signe de m’allonger sous elle de façon à ce qu’elle puisse me lécher la chatte. Délicate attention. Cinq minutes plus tard nous avions jouis, Roland et moi.
On est encore resté quelques minutes sur le plumard, pour nous remettre de nos émotions et puis on s’est un peu rhabillé, on est passé à table. Il n’y a plus eu de sexe au cours de cette soirée… En revanche il y eut d’autres soirées au cours desquelles nous avons varié un peu les plaisirs, en y introduisant un peu de domination, un peu d’uro aussi… Ce fut aussi le début d’une belle amitié.
Fin du récit de Janis
– Elle t’a plu mon histoire ?
– Oui, vous racontez bien !
– Tutoyons-nous donc ! Dis-moi tu t’es déjà travesti ?
– Oui, une fois (voir l’épisode « les grandes folles »)
– Il faudra que tu nous racontes, et tu n’as pas eu envie de recommencer.
– Disons que je n’ai pas eu l’occasion.
– O.K. donc comme tu es mon petit soumis ce soir, si je demande à Roland de te travestir, ça va le faire ?
– Pourquoi pas ?
– Allez, Roland, va me le préparez ! Moi pendant ce temps-là je vais préparer la bouffe.
Je suis le zigoto dans la salle de bain
– L’idéal serait que je te rase tous les poils, mais tu es marié, ça va peut-être poser un problème.
– Non, non, vas-y rase-moi
Et c’est parti, les bras, les jambes, le torse… Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs qu’on a utilisé, heureusement que le mec en avait une provision. On termine par les fesses, le pubis et les testicules. Drôle d’impression, me voilà avec une peau de bébé. C’est très doux. Il me tartine ensuite le corps avec un crème.
– Bon maintenant maquillage, mais on va faire léger.
Fond de teint, rouge à lèvres, fard à paupières avec deux teintes dégradées, l’une claire, l’autre plus foncée, crayon noir, mascara… Dans le miroir je ne me reconnais plus et ne me reconnais encore moins quand il m’affuble d’une superbe perruque blonde.
– Comment tu te trouves ? Me demande Roland !
– Pas mal, pas mal du tout !
– Je crois que Janis va kiffer ! Pour les fringues on va en rester aux sous-vêtements, ce n’est pas la peine que je t’habille pour te faire déshabiller dans la foulée… suis moi dans la chambre,
on va trouver des trucs.
Une paire de bas noir auto-fixant taille 4 me gaineront donc les jambes, on ajoutera à la panoplie un soutien-gorge à balconnets laissant apparaitre (Que dis-je ? Mettant en valeur) mes jolis tétons, ainsi qu’un string un peu étroit compléteront la panoplie.
– Jolie, te voilà devenue une femme à bite. Tu étais Boris te voilà Borissa.
– Euh la dernière fois qu’on m’a fait ça, on m’avait surnommée Doris !
– Doris, oui pourquoi pas, c’est très joli. Allons-y pour Doris. Ah, je n’ai pas de chaussures à ta taille, et puis tu ne vas peut-être pas savoir faire, tant pis pour les chaussures.
A son tour Roland se change et se pare de dessous féminin, un porte-jarretelle, des bas résilles, une petite nuisette transparente, et bien sûr une perruque qui pour lui sera brune.
– Allez viens, on va rejoindre Janis !
…puis
– Et voici Doris ! S’exclame-t-il en fanfaronnant mon arrivée.
Laquelle Janis n’en revient pas ! Moi je n’en reviens pas d’avoir un tel succès, c’est vrai que j’ai les traits assez fins, mais bon…
– Bon, je te propose le petit scénario suivant : Je vais vous regardez pendant que vous baisez ensemble, vous faites tout ce que vous voulez, mais, je tiens à ce que tu encules mon Roland parce
que c’est ce qui m’excite le plus. Toi Boris, Doris pardon, tu te débrouilles pour ne pas jouir, parce ce que le final c’est toi et moi, je veux que tu me baises devant mon cocu de mari ! Ça te
convient ?
– Ça me convient parfaitement.
On ne perd pas de temps et Janis est déjà en train de se déshabiller, mais elle garde son soutif et sa culotte et s’installe dans un fauteuil.
– Allonge-toi par terre, on va se sucer la pine ! Me demande Roland.
Et hop ! Je suis à peine par terre que le Roland est en soixante-neuf au-dessus de moi, j’ai sa bite à quelques centimètres de mon visage, je la gobe, c’est toujours une sensation extrêmement agréable de sentir de morceau de chair entre les lèvres, au contact de la langue et même, à l’intérieur des joues. J’assume désormais complément cette passion, j’aime sucer des bites, ça m’excite et j’en ai aucune honte. Son gland s’humidifie d’une perle de pré-jouissance à la saveur salé, je m’en régale. De son côté, la mienne de bite est en bonnes mains ou plutôt en bonne bouche, il faudrait d’ailleurs qu’il s’agite un peu moins, puisqu’il n’est pas dans les intentions de Janis que je jouisse si vite.
Janis s’est débarrassée de ses sous-vêtements. Elle a une jolie poitrine, peu volumineuse, mais de bonne tenue. Elle est en train de s’exciter en profitant du spectacle, elle a une main qui s’active dans la chatte, l’autre occupée à se triturer le téton droit.
– Allez-y mes salopes, sucez-vous bien la bite ! Allez mieux que ça !
Je ne sais pas trop ce qu’elle veut qu’on fasse de mieux… et d’ailleurs je prends le risque de me dégager.
– Je crois qu’on va être obligé de faire une pause ! Commentais-je.
– D’accord pour la pause mais à ma façon ! Répond Janis. Mettez-vous en levrette, l’un à côté de l’autre et attendez-moi, je reviens tout de suite.
On entend du bruit, elle fait couler de l’eau, puis revient quelques instants plus tard avec des carottes et des branches de céleri. Pas difficile de comprendre ce qui va nous arriver.
Je tends mes fesses, j’ouvre mon trou du cul, et la carotte rentre. Même punition pour Roland (Rolande) puis elle se met à effectuer des mouvements simultanés de va-et-vient à nos carottes respectives. Voilà une sensation qui n’est pas désagréable du tout, mais malheureusement elle passe à autre chose et tout en nous laissant les carottes plantées dans le cul, elle se met à nous flageller avec la branche de céleri. Etonnant je n’aurais jamais cru que ce légume puisse cingler autant !
– Alors ça vous plait d’avoir les fesses toutes rouges, bandes de pédés ?
– Oh Ouiii ! Gueule Roland (Rolande)
Pour ma part j’arrêterais bien tout ça, je commence à cuire des fesses. J’allais lui dire, mais voilà que madame se calme.
– La pause est terminée, mes salopes ! Reprenez où vous en étiez !
Et nous revoilà sur le tapis, de nouveau je gobe la bite de Roland, me régalant de cette texture si soyeuse. Ce dernier me suce divinement mais trop rapidement. Me voilà donc obligé d’abréger ce soixante-neuf, et je fais signe à mon partenaire que comme le souhaite son épouse, je vais le sodomiser.
Il a parfaitement compris le message et se met en levrette en tortillant son joli petit cul de façon provocante (j’aillais écrire obscène, mais ce n’est pas obscène c’est juste très excitant voilà tout !)
J’approche ma langue et lui lèche le troufignon ce qui excite Janis qui se lance dans des commentaires salaces.
– T’aime ça lécher : les trous du cul ! Espèce de salope, je vais te réserver une belle surprise tout à l’heure avec le mien !
Je la vois venir un peu sur ce coup-là, mais je ne m’inquiète pas outre mesure, quand l’ambiance s’y prête et que je suis bien excité, je peux accepter beaucoup de choses.
Le trou de Roland est désormais bien humecté, je lui rentre un doigt, le fait entrer et sortir plusieurs fois, puis estimant que ce petit cul est désormais prêt pour ma bite, et après l’avoir recouverte de la protection d’usage, je la lui rentre dans le fondement.
Je suis vraiment très excité, et suis obligé de ralentir considérablement mon rythme pour me réserver pour la suite avec Janis. C’est au détriment du plaisir de Roland. Mais je ne peux pas tout faire, je ne suis pas « Bite d’acier » !
Et puis, elle est bien gentille la petite Janis, mais ça va être l’un ou l’autre, ou je me retire tout de suite, ou je jouis dans ce mignon petit cul que je suis en train d’enculer !
Et comme je sens mon plaisir monter inexorablement, je décide de ne plus me retenir, je nique comme un sauvage faisant gueuler de plaisir mon partenaire, J’accélère encore ! Je jouis au milieu de trente-six chandelles.
– C’est malin ! Me dit Janis ! visiblement dépitée.
Je tente de m’expliquer, elle n’en a cure ! Je viens de baisser de 35° sur le baromètre de son estime ! Tant pis, je m’en remettrais, je m’en vais vers la salle de bain pour me changer, puis partir…
Je suis à poil devant le lavabo, je me rince le zizi. Janis entre sans un mot. Elle est restée à poil. Elle en a un ces joli cul, la Janis !
– Tu fais quoi ?
Ah, enfin une parole !
– Ben, je vais me rhabiller et partir !
– T’es sûr que tu ne peux pas repartir pour un tour ? Me demande-t-elle en me tripotant la bite.
– Ma foi ce n’est pas impossible !
– T’aime bien quand je te branle ?
– Oui
– J’ai envie de pisser, je te pisserai bien dessus !
Je ne suis pas contre, mais pourquoi ne pas m’avoir proposé ça avant ? Mais peut-être qu’avant elle n’avait pas envie ? Le souci, c’est que là, pour le moment, je suis un peu démotivé ! Alors je ne sais pas quoi lui répondre.
– Viens t’allonger dans la baignoire !
L’ordre est cinglant ! Je me dis que ça ne coute rien d’entrer dans son jeu, me voilà déjà en position, Janis est au-dessus de moi ! Quelle vue magnifique et troublante ! Le jet de son pipi me mouille le torse, je me contorsionne un peu afin qu’il atterrisse sur mon visage, j’ouvre la bouche, je bois sa pisse, elle est bonne, j’en bois et j’en rebois, je rebande un peu, mais seulement un peu.
Normalement, dans ce genre de jeu, lorsque la miction est terminée il est d’usage que le receveur aille nettoyer la chatte donneuse. Mais la proposition ne vient pas. Tant pis.
Janis se retourne.
– Lèche moi le trou du cul !
Je le fais volontiers, me régalant de ce goût un peu acre.
– Mets moi un doigt maintenant.
Allons-y pour le doigt que je fais aller et venir et qui touche une matière molle. Est-ce que…
– Sors ton doigt, maintenant
Evidemment, il est pollué.
– Deux solutions mon chéri, on bien tu te rinces au robinet, ou bien tu lèches ton doigt et tu goûtes à ma bonne merde !
Elle ponctue la seconde partie de sa phrase avec un sourire qui fait que je ne sais refuser cette proposition.
Je lèche donc mon doigt, tout cela n’a pas vraiment mauvais goût !
– C’est comment ?
– Spécial, mais ça va !
– Recommence à me lécher le cul et je vais essayer de pousser et de sortir une belle crotte.
– Euh !
– Allez, on ne se dégonfle pas !
Je lèche, l’anus s’ouvre laissant dépasser un petit, étron, je me recule légèrement attendant la suite, puis m’enhardit à lécher cette petite merde, et voila que Janis pousse encore et cette fois un gros boudin se faufile hors de son trou du cul, je m’écarte un peu mais pas suffisamment et j’en plein la tronche tandis que le petit bout est tombé dans ma bouche. Je le recrache et me dégage le visage.
– Maintenant nettoie moi le trou du cul, je veux qu’il soit propre, tout propre.
Dans un état second, je fais ce qu’elle m’ordonne m’étonnant d’ailleurs que sa défécation ne lui a pas davantage salit l’endroit.
Mais la cochonne n’avait pas fini de m’étonner, elle ramasse un peu de merde dans ses doigts et se l’étale sur les joues avec un air vicieux.
– Il paraît que c’est super comme crème de beauté ! Commente-t-elle.
Tiens, je l’ai déjà entendu quelque part, celle-là ! Mais le pire c’est que ça n’arrive même pas à l’enlaidir !
Elle s’en met ensuite sur les seins, je devine qu’elle va me demander de les lui lécher, ça ne rate pas. J’ai la tête qui tourne, la bite douloureuse et la bouche pâteuse, mais je me sens bien, terriblement bien, allez y comprendre quelque chose, vous ? Janis cherche mes lèvres, les trouve, on se roule une galoche…
Mais voilà Roland qui nous rejoint, sa belle bite est sortie, gland décalotté, et il me l’exhibe, je pense d’abord qu’il va me la donner à sucer, mais ses intentions étaient autres : il me vise. J’ai compris qu’il souhaite me pisser dessus. J’ouvre la bouche, Glouglou ! Son urine est plus forte que celle de Madame, j’en avale néanmoins l’équivalent d’un bon verre. C’est bon !
J’ai un peu peur que toute cette ingestion me reste sur l’estomac…
– On passe à table ! Une grosse omelette, ça te dirait ? Me propose Janis.
– Super !
Je me douche un peu, Roland a mis le couvert et est parti faire la cuisine, Janis s’est assise devant son assiette. Elle est toujours entièrement nue et non rincée, c’est surréaliste
– Viens t’assoir Et après manger, tu as une promesse à tenir ! Ajoute-t-elle.
– Je la tiendrais !
– Tu as intérêt ! Roland va d’abord m’enculer, ensuite ce sera ton tour, mais pendant que tu le feras, tu lui nettoieras bien sa bite avec ta langue !
Ben voyons !
Fin de l’épisode
BORIS, Alençon Février 2012
© 2012 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 4/3/2012, révisé et complété en juillet 2018
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