Boris

Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 15:21

Racolage balnéaire 1 – Jackie et Chloé par Boris Vasslan

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Thémes abordés : domination hard, feuille de rose, transsexuelles, uro.

Cet été-là, nous passions de paisibles vacances sur le littoral languedocien. Sans histoire. Il n’arrive jamais d’histoires en vacances. Et puis ! Voilà ! De graves problèmes familiaux au niveau de ma belle-famille. Mon épouse est obligée de rentrer précipitamment. Nous convenons, qu’ayant quelques trucs à régler sur place, je resterais jusqu’à la fin de la location. Quant aux enfants ils choisissent de rentrer avec leur mère !

La vie de célibataire a ses inconvénients mais aussi ses avantages. Et après avoir raccompagné tout ce petit monde à la gare, je me précipite prendre mes affaires de plage et m’installe dans un coin où je pourrais tranquillement profiter du spectacle et mater toutes ces belles femmes et toutes ces belles poitrines dénudées offertes à mes yeux.

Certaines sont magnifiques, une grande blonde un petit peu sur ma gauche à l’air d’être seule. L’envie de draguer me tenaille, mais je me retiens. Toujours mes vieux démons ! La vue d’une jolie femme m’émoustille ! Je suis un véritable obsédé du sexe, et suis très curieux et très large d’esprit en ce domaine. Un peu (oh ! juste un peu !) maso et toujours friand de découvertes. Mon épouse a un peu (beaucoup) de mal à me suivre dans mes folies. Qu’importe ! Je rencontre une ou deux fois par mois une charmante personne qui sans être réellement ma maîtresse, aime à partager mes fantasmes, et cela dans la plus grande décontraction.

C’est environ un quart d’heure plus tard que je remarquais ces deux étranges femmes qui déambulaient sur la plage, manifestement à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose. La première est relativement grande, elle n’est vêtue que d’un petit slip noir muni de boucles dorées sur les côtés, le genre de machin plus tape à l’œil que pratique. Ses seins ne sont pas très gros, mais quand même agréables à regarder d’autant qu’ils sont pourvus de gros tétons bien sombres. Ses cheveux bruns sont coupés assez courts. Je ne vois pas d’ici si elle est maquillée d’autant qu’elle porte une grosse paire de lunettes, mais elle s’est néanmoins mis un rouge à lèvres véritablement rouge et vraiment très voyant. Son bronzage a l’air parfait et sent les séances d’U.V. Le genre de fille qui ne vient vraiment pas à la plage pour se baigner, ça m’amuse un peu. Sa copine est encore plus grande, elle est en deux pièces léopard, et paraît beaucoup plus potelée, probablement métissé, Elle est coiffée à la lionne, châtain clair avec des reflets blonds. Si seulement celle-ci pouvait se « poser » dans le coin que je puisse voir ses seins, si toutefois elle daigne les montrer… Elles sont maintenant un peu plus près de moi, elles s’arrêtent devant un type, mais la conversation s’engage à peine, elles repartent. J’espère que le hasard de leur déambulation va les rapprocher encore plus de ma place…

…Mais justement les voici devant moi ! Je n’en crois pas mes yeux ! Ces nanas sont terriblement excitantes. La brune me toise ! J’ai du mal à comprendre, j’esquisse un sourire, mais rien en retour.

– Vous êtes seul ?

Qu’est-ce que ça peut lui foutre ? Et pourquoi cette question ? Je ne suis pas encore assez naïf pour croire qu’elles se sont arrêtées pour mon physique. Je suis loin d’être un play-boy et n’ai rien d’exceptionnel.

– Oui, je suis seul !
– Ça vous embête, si on se met à côté de vous ? Mais ne vous méprenez pas, c’est juste pour éloigner les dragueurs !

C’était donc cela ! Je suis malgré tout déçu de servir d’alibi, mais j’accepte.

– Je suis Jackie ! Me dit la brune. Et ma copine c’est Chloé.

Elles s’installent donc à mes côtés, Chloé est à peine assise qu’elle quitte son haut de maillot, libérant une poitrine magnifique, quoique probablement refaite !

– Vous faites quoi sur la plage ?

Bon, il va falloir que je fasse la conversation maintenant…

– Je nage un peu, je me repose !
– Vous ne matez pas, vous ?
– Si comme tout le monde !
– Ah ! Je me disais aussi ! Vous pourriez me mettre de la crème sur le dos !

Le classique absolu ! Le cliché de la plage ! Néanmoins je ne vais pas refuser, mais elles vont me rendre dingues ces nanas, je lui passe de la crème en la massant légèrement, elle a la peau douce, je suis en train de me taper une érection du tonnerre ! Et bien sûr elle s’en aperçoit…

– Ça te fait de l’effet ! On dirait ?

J’ignorais que la vision d’une érection était de nature à faciliter le tutoiement !

– Normal ? Non ?
– Tu peux en mettre un peu plus bas ?

Plus bas, c’est carrément ses fesses, j’hésite un peu, et puis j’y vais. Ma bite va éclater à ce régime-là !

– Chloé tu devrais te mettre de la crème aussi !
– Bien sûr !

J’entends le son de sa voix pour la première fois, Elle a un accent que je n’identifie pas tout de suite… Je vais pour lui passer de la crème et j’attends donc qu’elle se retourne, mais elle ne le fait pas.

– Euh ! Vous voulez que je vous en mette ?
– Oui vas-y !
– D’accord, mais il faudrait vous tourner !
– Tu m’en mets d’abord sur le devant !
– Sur le devant ?

C’est Jackie qui vient à mon secours :

– N’ai pas peur de lui toucher les seins, en fait, elle adore se les faire tripoter.

Il y a des choses que je ne me fais pas dire deux fois, mais j’ai quand même l’impression de tomber petit à petit dans un curieux traquenard. Je lui masse la poitrine, excité comme pas possible. Cette poitrine est un peu trop ferme, elle a probablement été refaite. On dirait une poitrine de travelo. En y songeant, je regarde instinctivement vers le slip et j’aperçois un renflement suspect ! Je voudrais quand même être sûr ! Jackie intervient.

– Ben oui, c’est une transsexuelle, qu’est-ce que tu veux, personne n’est parfait ! Mais faut pas que ça t’empêche de continuer à faire ce que tu faisais…

Elle va me donner des ordres maintenant, n’importe quoi ! Il est temps d’arrêter ce cirque !

– Si vous me disiez à quoi vous jouer toutes les deux ?
– Ça te choque que ma copine soit une transsexuelle ?
– Ça ne répond pas à ma question !
– Réponds à la mienne et je te répondrais après !
– Non, ça ne me choque pas, et même que j’en ai rien à foutre…
– Non tu n’en as pas rien à foutre, ça t’excite !
– Vous allez me dire ce que vous manigancez, sinon je me tire ailleurs ?
– On cherche un gars qui soit un peu maso pour s’amuser un peu !
– Hein ?
– Alors tu veux t’amuser avec nous ?
– Et c’est combien ?
– C’est zéro euro ! Tu n’as rien compris, on n’est pas des putes, on est payé par une personne qui cherche des masos pour une soirée !
– Et qu’est-ce qui vous fait dire que je suis maso ?
– Tu l’es non ?
– Un petit peu ! Mais comment…
– On est très fortes, mais on ne te le dira que si tu acceptes…

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre !

– Je croyais t’avoir dit de continuer à masser les seins de ma copine !

C’est l’instant ou jamais, si j’accepte, je suis pris dans leur filet. Me rebiffer ! Refuser, il en est encore temps ! Un instant je ne bouge pas et mon regard croise celui de Jackie, un regard sensuel, un regard plein de promesses… Je craque, lui rend son sourire et reprend mon massage interrompu.

– Alors ?
– Alors c’est d’accord !
– Bon je t’explique ! Il s’agit d’un type bourré aux as, qui organise des soirées à tendances S.M. Son truc c’est d’avoir des gens qui viennent là pour la première fois. Ça se passe entre gens de bonne compagnie. A ton arrivée tu seras mis en cage, en attendant que l’on ait besoin de toi ! La séance peut durer toute la nuit. Le lendemain matin on te raccompagnera. D’autre part… d’autre part…

Et en disant cela elle sort une double feuille de son sac de plage.

– D’autre part, disais-je, il ne s’agit pas d’imposer à des gens des trucs qu’ils ne peuvent pas supporter. D’un autre côté, on ne va pas non plus faire une soirée avec des types qui piquent une crise à la première fessée. Donc tu vas remplir ce petit questionnaire, c’est une liste de pratiques, tu réponds à chaque fois si tu aimes cela, si tu détestes, enfin tu remplis, quoi ?

Et elle me tend un stylo, je remplis son truc, il y a là-dedans des trucs assez abracadabrants mais j’essaie de ne pas tricher, je le lui rends 5 minutes après. Elle le consulte, me demande deux ou trois précisions.

– OK ! C’est bon, on t’embarque ! On fera un petit test dans un coin, il y toujours des types qui présume de leur fantasmes… Tu peux encore refuser, mais sinon, tu es notre esclave jusqu’à demain matin !

J’accepte, il me reste me semble-t-il une porte de sortie, si je change d’avis, j’ai toujours la possibilité de faire en sorte de rater ce fameux test ! Je demande à passer à la location avant pour déposer quelques affaires mais elles refusent, et m’embarquent donc en tenue de plage. Jackie conduit, elle m’a demandé de me placer à l’arrière et Chloé est à côté de moi. Nous allons vers l’arrière-pays et nous traversons une espèce de forêt ou il n’y a pas un chat. Jackie engage la voiture dans une contre-allée et stoppe. On ouvre les portières, la chaleur devient insupportable, mais pour l’instant on ne descend pas.

– Bon ! On va faire le test ! Si c’est pas bon, ou si tu veux tout arrêter, on te redéposera dans le centre-ville ! Sinon à partir de maintenant je suis ta maîtresse et tu me dois obéissance ! OK ?
– Ok !
– On dit « oui maîtresse ! »
– Oui maîtresse !
– Tu vas prendre la queue de Chloé et la sucer !
– Oui maîtresse !

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Si elle s’imagine que c’est pour moi une corvée, elle se plante complètement. Au contraire, il y a si longtemps que je voulais concrétiser ce fantasme que je n’hésite pas un instant. Je soulève la jupette de Chloé pour atteindre le slip ! Je tâte, et je suis d’abord surpris de ne pas sentir en dessous la forme de sa verge. Je baisse donc le vêtement et m’aperçois qu’elle a en fait enfermé son sexe dans une sorte de coquille en tissus, sans doute pour que cela soit moins voyant à la plage ! Rapidement je lui ôte ce machin et découvre une superbe queue. Je pensais naïvement qu’a part celles qu’on voit sur Internet, les transsexuelles avaient tous des petites bites, mais celle-ci est plus grosse que la mienne. J’effectue sur son membre quelques mouvements de masturbation qui le raidisse très vite. Je ne me lasse pas d’admirer ce bel engin tout bronzé terminé par un gland bien luisant et qui me met l’eau à la bouche. J’ouvre mes lèvres et m’approche. Ça y est pour la première fois de ma vie, je suce la queue d’une trans, et j’en suis heureux.

– Bon je vois qu’il n’y a pas de problème de ce côté-là !

Elle ne m’a pas dit d’arrêter, donc je continue, essayant de profiter au maximum de ces courts instants privilégiés. Mais Jackie ne me laisse pas continuer et me tire en arrière par les cheveux !

– Sortez tous les deux ! Je ne vais pas t’attacher, mais on va faire comme si ! Tu t’enroules à cet arbre, tu baisses ton slip et tu ne bouges plus. On va te faire rougir le cul !

Je fais ce qu’elle m’a dit, Jackie s’est saisie d’une cravache et s’amuse à en fouetter l’air, et tout d’un coup un premier coup atterrit sur mes fesses

– Aie !

Le coup est assez fort pour un premier, il m’a bien cinglé les fesses. C’est un vrai test, si elle continue plus fort j’e décide de tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard !

– Aie !

Celui-là est légèrement plus fort ! Mais ça reste supportable, je ne dis rien, je me déciderais au prochain

– Aie ! Non c’est trop fort !

Je m’apprêtais à quitter ma place et à dire que dans ces conditions, je ne continuerais pas, mais je n’en eus pas le temps, un quatrième coup vint me cingler les fesses, beaucoup plus ajusté. Je ne dis rien et corrigeais ma position autour de l’arbre un instant décalé.

Les cinq suivants se succédèrent rapidement avec la même force, me claquant joliment les fesses. Je commençais à prendre sérieusement goût à cette flagellation champêtre et me surpris à bander. Le dixième coup fut plus fort, mais je ne dis rien, je savais maintenant que Jackie savait magnifiquement doser ses coups et je repris ma position.

– Parfait ! Dit-elle.

Je me souviens de ce sourire en coin quand elle m’a dit cela, un sourire plein de promesse. Cette fille était une ensorceleuse.

– Merci maîtresse
– encore un petit truc ! Mets-toi à genoux et ouvre la bouche.

J’obéis sans comprendre de suite ce qu’elle avait l’intention de me faire subir.

– Vas-y Chloé, arrose-le !

Chloé se plaça devant moi et ressorti sa bite ! Je pensais à ce moment-là qu’elle allait m’arroser de son sperme, ce qui ne me disait pas grand-chose, mais non, ce n’était pas cela, elle ne se masturbait pas, et tout d’un coup je réalisais, cette grande folle allait me pisser dessus !

– Ça ne va pas la tête ?
– Mais dit donc ! Toi ! Tu as bien répondu dans le questionnaire que tu n’avais rien contre l’uro !
– C’est vrai mais je pensais à des trucs avec des femmes !
– Ah ! Oui ! Tu es un petit vicelard, mais ça ne t’empêche pas d’avoir des inhibitions ! Alors écoute, ma puce ! Tu vas gentiment reprendre la position, et tu vas accepter gentiment de boire la bonne pisse qui va sortir de la grosse bite de Chloé… sinon tu vas perdre une belle occasion de t’amuser avec moi !
– Oui maîtresse !

J’ouvrais la bouche et me rapprochais de Chloé pour recueillir le jet tiède qui maintenant s’échappait à flot de sa queue. Il allait trop vite et j’étais obligé de m’arrêter pour déglutir. Quand elle eut fini, je me léchais les lèvres avec la langue.

– C’est délicieux !
– Bien sûr que c’est délicieux ! Dit-elle en se retournant, maintenant lèche-moi un peu la rondelle.

Oups ! Dans mes fantasmes avec les trans je leur suce la bite, je me fais même enculer, mais jamais au grand jamais je ne leur lèche le cul, ça ne m’est même jamais venu à l’idée !

– Alors ? S’impatiente Chloé.
– C’était pas sur votre liste, ça !
– Si ! T’as répondu que t’aimais bien lécher les culs !
– Ben oui mais je pensais pas…
– Bon, tu lèches ou pas ?

Je me fait violence et avance mon visage vers sa rondelle, ça sent le cul, j’approche ma langue, finalement c’est délicieusement pervers ce que je fais, il suffit de se mettre en condition.

– Hum ! Quel langue ! S’exclame Chloé, il va me faire bander, ce petit vicieux ! Tu veux l’essayer, Jacky ?
– Pas le temps, on a encore du boulot ! Allez ! On l’embarque…

Je me pince, je dois être en train de faire un rêve érotique ! Ben, non !

A suivre…

Boris Vasslan © 2000
Vasslan@hotmail.com

Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 11:16

Initiation scato pour couple
une aventure (hors série) de Maîtresse Kriss
par Boris Vasslan

scat

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES 
Thèmes abordés : bisex féminine, domination hard, feuille de rose, scato, sex and food, soubrette, uro.

Un lecteur m'avait demandé d'écrire "l'initiation très scato d'un couple". Il souhaitait aussi que l'initiatrice soit Kriss, la Kriss de la série "Maîtresse Kriss", Pourquoi pas ? Je l'ai donc fait sans pratiquer aucune auto censure et en me laissant aller. Mais j'ai tenu à ce que mes personnages restent humains et respectueux. Ce qui ne me paraît nullement incompatible avec le thème proposé. Bonne lecture.

Je serais la narratrice de cette courte histoire, je suis Angélique, j'ai 25 ans et suis d'origine antillaise, je suis la soubrette particulière de Madame Kriss, enfin soubrette, c'est mon titre officiel, parce qu'en réalité je serais plutôt bonne à tout faire, assistante de plaisir et même papier à chiotte.

Ma maîtresse a hérité d'une riche fortune, elle ne travaille pas, mais passe parfois de forts curieuses petites annonces afin d'agrémenter ses journées.

Sa spécialité ce sont les séances sado-maso, elle aime ainsi diriger de longues séquences où plusieurs soumis vont être fouettés, pincés, ligotés, humiliés... Mais elle ne fait pas que cela, voulant un peu varier son registre, elle a un jour passé une annonce comme ceci :

"Belle jeune femme autoritaire, mais compétente, se propose d'initier couples, femmes, hommes aux fantasmes les plus extrêmes, avec ou sans domination..."

Ces séances étaient souvent très excitantes, surtout quand c'étaient des couples qui répondaient. Certains voulaient s'initier à la bisexualité, d'autre à la domination, à l'uro, les demandes en scato n'étaient pas si rares et je vais ici vous en narrer l'une d'entre elles...

- Ah voici nos invités, Angélique, va donc ouvrir !

Il se présente, Fabrice un grand frisé, moustachu, l'allure sympathique, sa compagne Florence, rousse et joli visage souriant, parait un peu réservée.

- Bonjour, entrez ne soyez pas intimidé, Voilà c'est donc moi Kriss, rassurez-vous on va faire ça en douceur, j'ai l'habitude.
- En douceur, mais il faudra peut-être nous forcer un petit peu ! Intervient l'homme.
- Ne t'inquiète pas ! On va se tutoyer d'accord ? Je suppose que vous avez essayé plein de trucs, vous pouvez m'en parler ?
- On a fait un peu d'échangisme, on est un peu bi tous les deux, j'ai déjà sucé des bites, on a essayé le SM mais faut pas que ça aille trop loin, par contre pour l'uro, on est vraiment accro...
- Et donc vous souhaitez que je vous initie à la scato, c'est ça ?
- Pas. vraiment une initiation, on a déjà fait des trucs, se regarder faire caca par exemple. J'ai déjà léché des traces sur les doigts ou autour de l'anus... Ou aussi un gode qui sortait de mon cul. Mais Florence ne l'a jamais fait… Et quand on a essayé d'aller plus loin, on bloque....
- Et quand tu l'encules, tu ne lui a jamais demandé de te nettoyer la bite ?
- Non, je voudrais bien mais je bloque ! Répond l'intéressée.
- On va essayer de voir ce qu'on peut faire... D'ailleurs vous ne pouviez pas tomber mieux, j'ai un gros caca en préparation. Je vais vous faire un joli boudin rien que pour vous ! Elle n'est pas belle la vie ?

Le couple sourit, mais on sent un peu d'appréhension.

- Bon on va pas se précipiter comme des bêtes non plus, on n'est pas à cinq minutes, je vous propose deux choses on va prendre l'apéro gentiment, et puis on va tous se mettre à poil, ce sera super sympa.

Kriss ôte son kimono, elle est en sous-vêtements en dessous, un bel ensemble rouge. Bien sûr elle aurait pu s'en dispenser, et rester nue sous le vêtement de soie, mais elle sait aussi combien le fait pour une femme de se déshabiller devant un homme peut être excitant.

- Ça va, je vous plais ? S'inquiète-t-elle avec le sourire.
- Bien sûr ! Vous êtes très belle ! Répond Florence avec une spontanéité qui l'étonne elle-même.
- OK ! Allez, on enlève tout ça !

Un petit regard complice entre l'homme et la femme, un petit mouvement de sourcil qui doit signifier quelque chose comme "quand faut y aller, faut y aller..." et ils commencent à se déshabiller.

- Vous retirez tout ! Précise Maîtresse Kriss. Moi, j'enlèverais le reste quand vous serez à poil !

L'homme est déjà nu, rien de spécial une musculature très moyenne, un sexe très moyen, rien de spécial donc hormis le fait que son torse soit entièrement épilé. Le genre de détail que ma maîtresse remarque tout de suite, celui-là doit être un jouisseur prêt à essayer plein de choses. C'est plutôt bon signe. Florence a enlevé sa culotte, il ne lui reste plus que le soutif, elle ne se presse pas rangeant consciencieusement ses affaires sur une chaise. Il faudra qu'on m'explique pourquoi tant de femmes qui se déshabillent finissent par le soutien-gorge et non pas par la culotte comme on le croit généralement. Ça y est, ses seins sont à l'air, plutôt petits, en forme de poire, mais adorables, vraiment adorables.

- Ben dis donc toi, tu ne crois pas que tu vas rester habillée, non ! M'apostrophe-t-elle

Je me déshabille à mon tour tandis que maîtresse Kriss dévoile ses secrets à ses invités. Coquinement elle se pince et se tire les bouts de ses seins,

- Venez les sucer, vous en mourrez d'envie !

C'est Fabrice qui se précipite sur le sein droit et qui gobe le téton comme s'il n'avait pas mangé depuis huit jours. Sa femme, elle, prend son temps, elle avance à pas de chatte, tout sourire, approche doucement sa bouche et enduit de salive le délicieux bourgeon.

J'ai sorti trois flûtes que j'ai disposé sur la table, parfois ma maîtresse me fait trinquer avec ses invités, d'autre fois non, ça dépend...

- Quel champagne boirez-vous ? Demandais-je.
- Le tien ! On se réservera le mien pour la fin !

Nos invités ne sont pas fous et commencent à se douter que ce champagne risque d'être un peu particulier. En effet je prends la première flûte et me la place sous le sexe, j'ai l'habitude désormais, quelques instants de concentration suffisent et le liquide, un beau liquide jaunâtre s'y écoule, je rempli ainsi les trois verres et déverse le trop plein dans une cruche en cristal.

- Dois-je aller chercher des olives, Madame ?
- Non, nous ferons peut-être ça à la fin, si tout se passe bien il est peut-être un peu tôt, apporte-nous plutôt des bretzels.

Tout le monde s'assoit. Maîtresse Kriss lève son verre et trinque avec le couple qui goûte du bout des lèvres.

- C'est la première fois que vous goûtez à un pipi qui n'est pas le vôtre ?
- Non, on l'a fait une fois avec un couple échangiste... Mais je dois dire que celui-ci est vraiment fameux ! Apprécie Florence.
- Trempez un bretzel dedans, vous allez voir comme c'est délicieux.

Ils essaient les bretzels, sans enthousiasme particulier mais sans réticences.

- C'est quoi les olives ? Excusez-moi d'être curieuse ! Demande Florence
- Vous ne préférez pas les surprises ?
- C'est comme vous voulez, mais j'avais envie de savoir.
- Et bien, Angélique va s'introduire une vingtaine d'olives dans le trou du cul, puis les chier une à une. Evidemment il faudra tout manger...
- Ça alors ! Se contente de répondre Florence...

Mais on voit bien que cette perspective ne la rend pas indifférente.

- On peut soit tout mettre dans une assiette, sinon on peut aussi les recueillir à la source, vous collez votre bouche sur son anus, elle vous chie l'olive dedans, et vous n'avez plus qu'à recracher le noyau.
- Il faudra absolument qu'on essaie ! Hein, Fabrice ?

Le Fabrice parait en ce moment beaucoup moins enthousiasme que son épouse.

- Nous allons passer aux choses sérieuses ! Prévient maintenant Maîtresse Kriss. ! On fait ça "décontract", où alors vous préférez que je vous domine. Ce serait peut-être plus facile, non ?
- On va essayer comme ça, et si vous voyez qu'on hésite, vous nous dominerez ! Répond Florence.
- Si je vous domine, ça veut dire que vous acceptez les insultes...
- Oui bien sûr !
- Les coups aussi ? Mais rassurez-vous, on ne va pas vous abîmer !
- S'il le faut : oui !
- Ok ! Angélique, va nous chercher une grande assiette et des pinces.

Maîtresse Kriss se lève alors de son siège et vient se positionner derrière Florence, elle lui attrape les tétons et les serre.

- Tu aimes ?
- Oui !
- Ça t'excite ?
- Oh, oui !

Du coup elle lui fixe une pince sur chaque téton, provoquant chez notre invitée des soupirs assez ambigus où se mélange la douleur et le plaisir. Elle vient ensuite derrière le mari et lui fait connaître le même sort. Elle monte ensuite alors sur la table, tourne le dos au couple, l'assiette est sous ses fesses.

- Regardez-moi bien chier ! Je vais vous pondre une jolie merde !

Elle pousse, ouvre son anus !

- Mais avant, Florence tu vas m'introduire un doigt !

Elle le fait sans discuter.

- Est-ce que tu sens mon caca ?
- Oui !
- OK, tourne alors ton doigt, puis tu vas le ressortir, le sentir, puis le lécher et le sucer.

La femme fait ce qu'on lui dit de faire, elle regarde son doigt maculé de merde de façon dubitative. L'approche de son nez, le hume…

- Alors ?
- Ça sent la merde. Répond-elle d'une voix peu assurée.
- Et elle sent bon, ma merde ?
- Ben… c'est spécial… mais ça me gêne pas trop.
- A la bonne heure, maintenant tu le mets dans ta bouche !

Elle hésite, reprend sa respiration, essaie de nouveau.

- Je... je... je n'y arrive pas !
- Donne ton doigt à Fabrice, alors !

Le Fabrice, lui n'hésite presque pas et lèche tout cela à grands coups de langue.

- Hum c'est bon ! Dira-t-il en conclusion.
- On refait un essai ? Remets-moi ton doigt dans mon cul, Florence ! Propose Kriss.

De nouveau, un doigt fureteur s'introduit dans le fondement de ma maîtresse, de nouveau il ressort. Florence ferme les yeux, son doigt s'approche très vite de sa bouche. Elle va le faire ? Non au dernier moment elle rouvre les paupières.

- Il fait m'aider... j'ai envie de le faire, mais je bloque.
- Bon, on va arranger ça ! Répond Kriss redescendant de la table.

Elle passe alors derrière Florence, lui agrippe les cheveux :

- A genoux pétasse !

Kriss la toise !

- Alors comme ça on ne veut pas goûter à la bonne merde de sa maîtresse !
- Si ! Si ! Mais, il faut m'aider !
- En te punissant ?
- Si vous voulez !

Clac, clac !

Elle ne s'attendait pas à la gifle !

- Tu en veux une autre, ou tu te décides à te foutre ce doigt dans ta bouche ?

Pour la troisième fois, Florence se force, les yeux fermés elle dirige son doigt vers ses lèvres. Nouvel échec, nouvelle paire de gifles. Cette fois Kriss saisit le poignet de la jeune femme.

- Tends ton index et garde la bouche ouverte

Florence obéit, tandis que la dominatrice dirige sa main vers son visage. Ça y est le doigt est entre ses lèvres.

- Maintenant tu suces et tu lèches !

Elle le fait, d'abord timidement puis se prend au jeu, et finalement lèche comme une forcenée.

- Tu as vu, Fabrice, je l'ai fait ! J'en suis pas morte !
- Bravo ma chérie !
- Humm ! Finalement c'est bon, ça a un bon arrière-goût !
- Brave fille ! Ça va, je ne t'ai pas fait trop mal ?
- On va dire que ça fait partie du jeu !
- Bon reprend ta place, on va continuer !

Kriss se repositionne comme avant.

- Je vais pousser, mais avant, Florence, je veux que tu refasses le même geste que tout à l'heure, mais toute seule cette fois-ci.

Quatrième doigtage de la part de cette charmante personne, cette fois elle met le doigt, le ressort, garde les yeux ouverts. Oh ! Elle a bien hésité quelques instants, mais quelques instants seulement, le porte à sa bouche, marque un très léger temps d'arrêt, reprend sa respiration et l'introduit entre ses lèvres pour finir par le lécher goulûment.

- Délicieux ! Qu'est-ce qu'elle est bonne ta merde ! Dira-t-elle.
- Ben tu vois... Bon, le spectacle commence...

Effectivement, le rectum s'ouvre de nouveau et l'extrémité d'un bel étron brun ne tarde pas à apparaître, puis il grossit, se faufile en tortillant, et finit pas chuter dans l'assiette !

- Que c'est beau une femme qui chie ! S'exclame Fabrice.
- N'est-ce pas ?! Et toi Florence qu'est ce tu en penses ?

Florence ne répond pas, prise d'une envie irrésistible elle se met à embrasser les fesses de la chieuse avec tendresse. Elle semble vouloir aller plus loin, mais se reprend.

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Voilà ! Ça vous a plus j'espère, mais maintenant j'ai le trou du cul dégueulasse, vous allez me le lécher, tous les deux !

C'est Fabrice qui s'approche le premier et qui commence à donner de grands coups de langue sur les endroits pollués. Florence le rejoint quelques secondes plus tard !

- Allez ! Et que ça soit bien nettoyé, sinon je vous fous le nez dans la merde.

Mais il n'y avait finalement pas grand-chose à nettoyer et l'opération lèche-cul se termine rapidement. Kriss revient à sa place, mais avant de s'asseoir elle demande au couple :

- Embrassez-vous sur la bouche, maintenant, vous allez voir comme c'est très excitant avec ce petit arrière-goût qui persiste.

Après que les deux invités se soient roulés cette surprenante pelle, Kriss s'assoit entre eux. Etrange spectacle que ces trois-là assis l'un à côté de l'autre, trois flûtes de pisse entamées, et une assiette contenant un étron enroulé sur la table... Ma maîtresse lève son verre !

- A la vôtre, on va reprendre un petit coup !

Tout le monde lève son verre, puis Kriss se saisit d'un bretzel et le plonge dans l'étron qu'elle vient de chier.

- Faites comme-moi, vous allez voir, c'est super, mais il faut faire doucement, il ne faut pas que le bretzel se casse, sinon vous avez un gage !

Fabrice essaie, il tournoie un peu son bretzel, afin de le polluer d'un peu de matière, il goûte tout cela sous le regard amusé de son épouse.

- Ça n'a pas beaucoup de goût, on ne sent que le bretzel.
- C'est normal, répond, Kriss, le goût de la merde est assez neutre sauf pour la partie de la langue qui repère l'âcreté. Comme le bretzel est très salé, c'est son goût qui domine...
- Par contre l'arrière-goût reste dans la gorge ! Précise Florence
- C'est normal ! Mais franchement est-ce que c'est désagréable ? Demande Kriss
- Non pas du tout, on s'y habitue très bien je crois, et puis c'est si excitant, Répond Florence enthousiaste.

Je jette un coup d'œil sur Fabrice, il bande comme ce n'est pas possible. Je lui sucerais volontiers sa bite. Maîtresse Kriss rapproche l'assiette où elle a déposé son étron tout à l'heure et entreprend d'en découper de la main un petit morceau d'environ dix centimètres. Elle le dépose ensuite dans le creux de sa main, l'approche de sa bouche et le lèche de son bout de langue. Pendant qu'elle le fait son regard va de l'homme à la femme. Ils sourient, ils ont compris qu'il leur faudra faire pareil. Kriss tend la main vers Florence. Celle-ci n'hésite plus, sa langue lape l'étron comme un chat qui se régalerait d'une écuelle de lait. Elle parait complètement excitée par cette action, son visage vire au rose bonbon. Quant à son mari c'est avec la même fougue qu'il l'imite, n'y tenant plus il en profite pour simultanément se toucher la bite ce qui provoque un ordre sec de la part de maîtresse Kriss :

- On ne se branle pas tant que je ne l'ai pas autorisé !

Fabrice stoppe immédiatement sans un mot.

- Je n'ai rien entendu, tu as perdu ta langue ?
- Oh ! Pardon Maîtresse, balbutie l'homme se rendant compte alors qu'il est l'objet d'un jeu.
- Et tu crois que tu vas t'en tirer comme ça ?
- Je, je...
- Angélique, donne donc vingt coups de fouet à cet enculé !

Voilà tout à fait le genre d'ordre que j'aime bien exécuter. Sa masturbation n'est qu'un prétexte, il fallait bien une diversion, pour ne pas faire que de la scato... Je demande à l'homme de s'arc-bouter sur un fauteuil et de me tendre son cul. Il le fait sans problèmes. C'est qu'il a des belles fesses, l'animal, et je frappe. J'aime fouetter. Un jour sans doute je serais une dominatrice comme ma maîtresse, il serait dommage que je ne me serve pas de tout ce qu'elle m'a enseigné. J'aime taper fort, j'aime faire mal, mais en me mesurant, en frappant de tel façon que le puni puisse recevoir et continuer à recevoir. Et là je me régale, le type n'est pas vraiment habitué et manifestement il se force à ne pas protester, s'il savait que je peux frapper encore plus fort... Maîtresse m'a demandé de lui administrer vingt coups, je lui en donne deux de plus, comme ça par pure gratuité et parce que c'est un habitude de la maison...

- Et ben dis donc ! Dit-il en regagnant sa place. Elle ne m'a pas loupé !
- Mon pauvre chéri ! Fait semblant de consentir son épouse ! J'espère que tu vas pouvoir t'asseoir !

Kriss a repris son léchage d'étron, elle tend de nouveau la main aux deux invités qui en lèchent de nouveau le contenu. Elle coupe encore un morceau de l'étron, en conserve une partie et le porte à ses lèvres, le maintenant à la façon d'un gros cigare. Florence la regarde d'un air trouble. La maîtresse lui tend l'autre morceau, elle le prend dans ses mains, l'approche de sa bouche, hésite un instant, recule, puis se décide, elle nargue maintenant son mari, son étron entre les lèvres, puis lui tend l'objet afin qu'il fasse de même. Et puis Kriss regarde ses deux élèves leur fait un clin d'œil et soudain engouffre l'étron à l'intérieur de sa bouche !

- Mon dieu ! Chuchote Florence soudain affolée !

Sans doute cette dernière s'inquiétait-elle, croyant que ma maîtresse entreprenait de dévorer l'étron, aussi fut elle rassurée quand elle la vit se contenter de le lécher à pleine bouche à la façon d'un gros bonbon, pour le ressortir après.

- On essaie ? Propose Florence à son compagnon.

Mais il ne l'a pas attendu, Fabrice balade à son tour son étron dans son palais !

- Passe le à Florence, sans mettre les mains ! Ordonne à présent Kriss.

Fabrice ressort le morceau, le maintien entre ses lèvres et s'approche du visage de Florence. Cette dernière s'en empare avec ses lèvres. Elle semble faire un effort pour tout mettre dans sa bouche, mais y parvient, suce un peu le petit étron puis le ressort avec un large sourire.

Kriss a repris de nouveau de la merde dans le plat elle en a dans chaque main, elle se lève passe derrière Florence, et lui en badigeonne la poitrine. Cette dernière se laisse faire sans rien dire. La matière est assez sèche et adhère assez mal, elle rajoute donc un peu du contenu de son verre d'urine pour la fluidifier, elle barbouille aussi le visage, le ventre, les épaules, les cuisses, puis c'est au tour de Fabrice, elle lui enduit le torse, mais aussi le sexe tendu de façon dramatique. Ma maîtresse me fait un signal, j'ai compris et vais chercher une bâche plastique.

- Allez-y ! Installez-vous sur la bâche, léchez-vous partout et faites-vous jouir !

Ils s'y précipitent tous les deux. Fabrice commence à lécher les seins pollués de sa compagne. Puis de façon quasi instinctive ils se positionnent en soixante-neuf, la femme engobant la bite pleine de merde de son mari. L'affaire ne dure pas longtemps. Fabrice finit par éclater de son excitation trop longtemps contenu, mais continue néanmoins à lécher le clitoris de Florence qui explose à son tour quelques minutes après.

Ils se relèvent pantelants.

- C'était super ! Dira Florence. On va prendre une douche maintenant, euh la salle de bain... ?
- Je ne suis pas à cinq minutes, cela a été un vrai plaisir de faire votre connaissance, je vous propose de reprendre un peu de champagne, ce sera le mien cette fois-ci.

Florence regarde alors Kriss d'un air mutin :

- Euh ! On va peut-être boire un grand verre d'eau avant, de la vraie flotte, sinon d'accord pour votre champagne... Surtout s'il y a des olives…
- Mais c'était prévu mon cher !

J'ai donc été cherché le bocal d'olives et après m'être entièrement déshabillée je suis montée sur la table et en position accroupie me suis introduit une bonne dizaine d'olives dans mon petit cul. Au bout d'un moment je n'en pouvais plus, tout cela ne demandait qu'à être évacué, mon regard croise celui de Kriss.

- Encore une ! M'ordonne-t-elle
- Je ne sais pas si je vais pouvoir…
- Mais si !

Cette fois il faut que je me soulage, j'ouvre mon anus, les premières olives dégringolent, puis les autres bien crasseuses et accompagnée de matière.

Maîtresse Kriss tend l'assiette à Florence.

- Je vous en prie, prenez la plus merdeuse !
- Merci beaucoup.

Et Florence introduisit l'olive dans sa bouche pour n'en ressortir que le noyau.

Fin

Alençon - (c) Boris Vasslan
Première publication sur Vassilia, en 8/2003 revue en 3/2017
vasslan@hotmail.fr

Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 10:51

Maîtresse Kriss 5 – L’ambassadeur par Boris Vassla

Fetish2

texte contenant des passages scato explicites

Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, domination hard, donjon, engodage masculin, feuille de rose, party, prostitution, scato, spermophilie, spitting, uro.

Résumé des chapitres précédents : Après plusieurs séances de domination j’ai été embauché comme comptable chez Maîtresse Kriss afin notamment de gérer ses quelques affaires provinciales. De retour d’un contrôle qui a tourné en partouze dans une de ses librairies, nous avons ramené la patronne Sylvia pour un petit stage de « perfectionnement ». Sylvia est une grande blonde (fausse) coiffée en carré et dotée d’une généreuse poitrine. Maîtresse Kriss est une belle femme d’allure sportive, elle a les yeux bleus et de longs cheveux blonds décoloré légèrement bouclés, la peau assez claire, elle fait un joli 90D, et… elle est un peu myope.

Kriss s’était emballé en proposant à Sylvia de l’emmener une quinzaine à Paris. Elle d’ordinaire si réfléchie, avait perdu la tête avec cette femme qu’elle était néanmoins sensée dominer. Mais non, c’était fait, il fallait gérer la situation. Et histoire de faire pratique, Angélique fut envoyée en province aider le libraire. Sylvia fut donc affectée aux tâches domestiques en attendant…

Comme beaucoup de dominatrices, Kriss acceptait que l’on lui soumette un petit scénario. L’un de ceux-ci devait se jouer cet après-midi. Elle vint me chercher alors que j’étais en pleine comptabilité. Elle s’était habillée en tenue de combat (ce qu’elle ne faisait pas systématiquement), tout de cuir vêtue et avait chaussé ses lunettes.

Je fis de grand yeux étonnés en la voyant arriver.

– Eh, oui, c’est ma tenue de pute ! Ça ne me déplait pas de temps en temps, surtout quand on me paie bien. J’ai besoin de toi. Au boulot ! Esclave !
– C’est que… c’est si urgent que ça, parce que ?
– Parce que quoi ? Tu te crois où ? Tu n’es qu’un esclave ici, il faudrait peut-être que tu le comprennes !
– Oui Maîtresse !
– Bon je t’explique, je reçois l’ambassadeur d’un pays africain, il est venu une fois avec sa secrétaire, mais aujourd’hui il a emmené sa femme, du moins il m’a dit que c’était sa femme ! Dans un premier temps, je vais vous enchaîner, toi et Sylvia, dans un coin, quand je vous libèrerais, il faudra aller les sucer !
– Oui maîtresse !
– Bon, alors tu te mets à poil, et en vitesse, ils ne devraient plus tarder.

Kriss me passa un collier d’esclave autour du cou, me fit agenouiller et m’accrocha avec une chaîne dans un coin du donjon. Deux splendides fauteuils avaient été descendus du salon. Sylvia vint me rejoindre quelques instants plus tard, ce qui me permit d’admirer de nouveau ses belles formes généreuses.

Le petit groupe arriva quelques minutes plus tard, ils étaient quatre, l’ambassadeur, son épouse Barbara, belle femme au visage agréable, grande noire à la peau très sombre tout comme son mari. La secrétaire, Evelyne était une métis habillée d’un tailleur pied de poule assez strict et chaussée d’énormes lunettes, elle avait un bloc et un stylo à la main et nous avisa qu’elle prendrait en notes toute la scène qui allait maintenant se dérouler, car Monsieur l’ambassadeur aimait beaucoup relire les détails de ses péripéties sexuelles, le quatrième personnage n’était pas prévu. Evelyne nous expliqua.

– Son excellence ne parle pas bien français, c’est donc moi qui vous aiderais à organiser tout cela ! Puis désignant le quatrième larron, Celui-là, c’est le chauffeur de son excellence, enfin quand on dit chauffeur… Ce minable a failli provoquer un accident. Je veux que vous le punissiez, nous allons commencer par cela, par le spectacle de cette punition, cela devrait faire bander son excellence.

– Et vous avez une idée du châtiment ? demanda Kriss
– Absolument, vous allez lui administrer 20 coups de martinet, et après je veux qu’il se fasse enculer !

Carrément ! Ces scénarios à deux ou à plusieurs ont un avantage certain, car cela permet de varier un peu la monotonie des séances SM. D’un autre côté, on n’arrive jamais à savoir vraiment quel est le degré de volontarisme des participants. Ainsi ce pauvre chauffeur n’avait-il peut-être rien demandé ? Mais il n’était pas non plus question d’aller contrarier un ambassadeur qui savait se montrer si généreux.

Une dominatrice doit parfois gérer de curieuses contradictions. Mais Kriss se disait qu’après tout, tant qu’elle se posait ce genre de questions c’est qu’elle restait humaine. Et qu’il valait mieux cela que tout accepter et finir complètement déphasée…

Elle s’approcha du chauffeur :

– Comment tu t’appelles !
– Abdou ! Madame.
– On ne dit pas Madame, on dit Maîtresse !
– Bien Maîtresse !
– Tu sais que tu vas être puni ?
– Oui Maîtresse !
– Et tu crois que tu l’as mérité ta punition ?
– Je ne sais pas !
– Je ne sais pas, qui ?
– Je ne sais pas, Maîtresse !

Comme s’il ne pouvait pas dire oui ou non ? Voilà qui compliquait la tâche !

– Tu as envie d’être puni ou pas ?
– Je ne sais pas maîtresse ?
– Tu aimes quand on te punit ?
– Ça dépend, Maîtresse !
– Ça dépend de quoi ?
– Ça dépend si c’est bien fait ou pas !

Ouf ! Ce n’était que cela !

– Et là comme c’est moi qui vais te punir, tu ne sais pas si tu vas aimer ou pas ! C’est cela ?
– Oui Maîtresse !

Du coup Kriss retrouvait sa superbe, être craint par le soumis ne la dérangeait pas le moins du monde, au contraire, elle en jouissait. Elle pouvait donc y aller sans scrupules, ni remords.

– A poil et à genoux ! Et dépêche-toi, je n’ai pas que toi à m’occuper !
– Bien maîtresse !

Le type se déshabilla, il était assez bel homme, musclé sans exagération, son sexe d’une longueur au-dessus de la moyenne n’était pas pour autant démesuré.

– Tu ne crois pas que tu es un peu ridicule, à poil comme ça devant tout ce monde ?
– Si Maîtresse, je suis ridicule !
– Attachez-moi cet esclave !

Mais il n’y avait plus personne pour exécuter ses ordres, j’étais enchaîné avec Sylvia, et le trio de l’ambassadeur n’était pas venu pour jouer les supplétifs. Kriss attacha donc le bougre aux quatre extrémités d’une planche inclinée. La secrétaire remplissait son bloc de notes. Elle était vraiment pas mal la secrétaire ! Kriss avait toujours fantasmé sur les femmes noires. Aujourd’hui elle pouvait en avoir deux à sa disposition, mais elle se dit que ce serait probablement plus facile avec la secrétaire qu’avec l’ambassadrice. Bref on verrait tout à l’heure !

Les hommes noirs ne la laissaient pas non plus indifférentes. Mais c’est la texture de leur peau qui lui plaisait, une peau douce et sans poils. Par contre le fantasme de la grosse bite lui était complètement étranger. Elle était là derrière Abdou, et au lieu de faire son boulot, elle lui pelotait les fesses, se rendant compte que ce simple contact lui humidifiait l’entre-jambes, elle se ressaisit ! La faire mouiller, elle maîtresse Kriss, en lui exhibant son cul de pédé ! N’importe quoi ?

Abdou préparait son corps à la punition, il se contractait prêt à sublimer la douleur comme il avait appris à le faire. Mais ça ne venait pas, il se relâcha. Kriss connaissait ce phénomène, un simple relâchement des muscles qui ne se tendent plus ! Et shlack ! Le coup tomba ! Assez fort ! Il encaissa ! Elle ne le laissa pas reprendre ses esprits et asséna le suivant, encore plus fort, encore encaissé, le type avait une résistance remarquable. Elle ne détestait pas frapper fort quand le soumis suivait ! Le troisième coup fut aussi encaissé, elle savait que le quatrième serait trop fort. Il cria, mais sans lui laisser le temps de protester, expédia le cinquième, juste au niveau qu’il fallait, surfant sur les limites de la victime. La force de frappe étant trouvée, elle pouvait passer à autre chose. Par exemple varier les fréquences, choisir le coin de chair où atterriraient les lainières. Traditionnellement le 20ème fut plus fort, le type cria à nouveau, et traditionnellement le 20ème ne fut pas le dernier. Trois autres coups de frappes moyennes vinrent conclurent cette flagellation.

Kriss mouillait de plus en plus et commençait à se demander comment elle allait gérer cette situation. D’autant qu’il fallait à présent sodomiser l’individu. Je priais le démon de la lubricité que ce ne fut point moi, étant d’ordinaire plus à l’aise dans ce genre d’exercice dans la passivité que dans l’activité.

Ouf, non ! Kriss avait prévu un joli gode ceinture avec lequel elle s’harnachât. Un bel objet, véritablement ! Elle avait fière allure comme cela, ma maîtresse adorée, avec sa fausse bite bien bandée dressée hardiment. Elle s’amusait à y simuler des lents et suggestifs mouvements de masturbation qui était loin de me rendre insensible ! En prenant tout son temps elle revêtit l’olisbos d’un préservatif, puis après quelques nouvelles feintes masturbatoires, enduit tout cela de gel intime, non sans en avoir conservé une bonne quantité dans ses paumes.

Celle-ci était destinée à l’orifice anal de ce pauvre Abdou, elle le tartina quelques instants, sans se presser, puis approcha le gode de son but. Une sorte de sourire sadique éclaira un moment le visage de la dominatrice. Je n’en compris la raison que quelques instants plus tard quand celle-ci sans aucune progressivité pénétra d’un coup l’anus du soumis qui poussa un cri où se mêlaient la douleur et la stupéfaction. Sans transition et sans laisser la victime s’habituer à la présence de ce corps étranger elle entama une série de pistonnage assez rapides, et contrairement à la flagellation qui avait été silencieuse, elle ponctuait ses mouvements d’interpellations injurieuses et humiliantes, tandis que l’autre râlait !

– Ça te plait de te faire enculer, hein, sale chien ?
– Aïe, oui maîtresse, aïe, aïe !
– Tu en n’as pas encore assez ? Tu en veux encore, hein, pédé ?
– Je ne sais pas maîtresse !

De toute façon, elle se moquait de ses réponses, satisfaite de voir notre homme prendre son parti de la punition qui lui était infligée, elle y allait de bon cœur. Il fallut bien quand même qu’elle finisse par s’arrêter. Elle détacha le chauffeur, le fit mettre à genoux devant elle, et lui asséna une série de double gifles avant de le remettre à la disposition de ses maîtres

– On en fait quoi ?
– Qu’il se rhabille et qu’il nous attende dans la voiture ! Répondit Evelyne.

Dommage, je l’aurais bien sucé !

Son excellence, l’ambassadeur était lui particulièrement excité et avait sorti de sa braguette une queue de bonne taille magnifiquement dressée qu’il masturbait avec vigueur. Quant à madame l’ambassadrice, elle ne faisait rien sinon une drôle de tête, et jetait des regards implorants à son digne époux. Celui-ci un moment distrait de sa masturbation finit par s’en rendre compte et murmura quelques paroles incompréhensibles à sa tendre et chère.

Mais, c’est qu’elle n’attendait que cela, la Barbara, d’un geste rageur, elle déboutonna son corsage de façon si violente que je me demandais si elle n’allait pas l’arracher, elle extirpa ses seins de son soutien-gorge, précipitant les doigts de sa main gauche autour d’un téton afin de le presser, de le pincer, de le tournicoter, tandis que la main droite retroussait la jupe, passait sous la culotte et attaquait un sexe sans doute en ébullition. Le spectacle de ces deux diplomates se masturbant de concert avait quelque chose de grandiose.

C’est à ce moment-là qu’Evelyne intervint en nous désignant :

– Je crois que c’est maintenant le moment de lâcher vos « chiens », détachez-les, et qu’ils aillent sucer son excellence et son épouse !

Il fut donc fait ainsi, et c’est donc à quatre pattes, que je rejoignis Barbara tandis que Sylvia s’avançait entre les cuisses de notre ambassadeur lubrique. Mais ne voilà-t-il pas que ma langue à peine posée sur la délicieuse chatte humide de cette sculpturale africaine, que j’entendis Evelyne ricaner et protester.

– Mais ils sont débiles, vos esclaves !

J’ignore ce que répondit Kriss, peu habituée à se faire interpeller de la sorte, mais l’autre de s’approcher d’elle et de lui susurrer quelque chose dans le creux de l’oreille. Bon, ne nous laissons plus distraire et reprenons cet agréable petit cunnilingus bêtement interrompu !

Mais voici que Kriss s’avance vers moi, le martinet à la main et m’en assène un coup sur les fesses.

– Tu n’as rien compris, connard, c’est pas elle que tu dois sucer, mais Monsieur l’ambassadeur !

Et la voici tandis que j’essaie péniblement de changer de position qu’elle frappe à son tour le joli derrière de Sylvia.

– Et toi, c’est pareil, conasse ! Qui t’as donné l’autorisation de sucer des bites ? Va donc lécher la chatte de cette charmante personne !

Bon, bon il fallait le dire ! On se dirige donc tous deux vers les cibles qui nous ont été attribuées, on se gêne au passage, on se cogne, on reçoit encore quelques coups de martinet parce qu’on ne va pas assez vite.

– Mais putain, qui c’est qui m’a foutu des esclaves aussi nuls ?

Je la sens énervée, Kriss, elle frappe plus fort que d’habitude, mais enfin tout ce contretemps n’est pas si triste… Il est malgré tout dommage que l’on m’inflige cette permutation. Ceux qui ont lu mes premières « aventures » savent que je ne répugne pas (pas du tout, diront-nous) à sucer une bonne bite, mais n’empêche, si j’ai le choix, c’est encore les chattes que je préfère et celle-ci était parfaitement à mon goût.

Bon, ceci-dit ; je ne vais pas me plaindre, je suis loin d’être malheureux chez Kriss, je vis ma sexualité comme je l’entends, et j’y trouve mes avantages, même si parfois certains actes me contrarient quelque peu.

Attaquons donc cette grosse bite noire ! Pas si facile de sucer un aussi gros morceau, mais bon je me débrouille, à défaut de pouvoir tout mettre dans la bouche, je donne des grands coups de langue sur son gland, je descends sur la hampe, je remonte, je redescends jusqu’aux couilles que j’aspire dans ma bouche, je m’amuse, je m’excite aussi. Son excellence est aux anges, il en profite pour se déshabiller complètement, il retire même ses chaussettes, je me demande bien pourquoi, n’ayant pas vraiment l’intention de lui lécher les doigts de pieds… Il pousse de petits cris, se tripote les tétons, geste très courant chez les bi et les homosexuels. Je le sens partir, je mets tout en bouche, hésite un instant sachant qu’il risque de décharger ainsi, mais me motive en me disant que ma maîtresse sera satisfaite de moi. Un hurlement m’interrompt un instant dans mes efforts appliqués, c’est madame l’ambassadrice qui jouit comme une malade, et qui apparemment non rassasiée s’est littéralement jetée sur Sylvia, l’entraînant au sol avec elle, la faisant rouler, tandis qu’elles s’embrassent enlacées. Ce petit plus a ajouté le sel d’excitation qu’il fallait à notre ambassadeur qui éjacule à présent, avant de s’affaler groggy dans son fauteuil.

Une pause dans cette orgie, je regarde autour de moi, l’ambassadeur à poil, sa femme complètement débraillée, Sylvia et moi à poil, Kriss en tenue de dominatrice très suggestive. Il n’y a qu’Evelyne qui n’a strictement rien ôté de sa tenue et qui, imperturbable continue de prendre des notes… Kriss demande à Sylvia d’aller chercher de quoi se désaltérer. La partie serait donc terminée ?

C’est sans compter avec la fringale sexuelle de l’ambassadeur.

Le voici qui se met à discourir dans ce qui doit être sa langue maternelle, il montre du doigt sa femme, comme si (mais par jeu) il était très en colère après elle. Laquelle épouse aborde un joli sourire très coquin ! Evelyne nous traduit donc tout cela :

– Son excellence, vous remercie tous de votre prestation, mais il dit qu’il y a quand même quelque chose qui le chagrine. Il trouve inadmissible la conduite de son épouse. Avoir eu des contacts sexuels avec quelqu’un du même sexe devant ses yeux est intolérable. Et cela réclame une punition exemplaire !
– Mais voilà une excellente idée ! Répond Kriss, mais qu’en pense Madame ?

La madame se lance à son tour dans une assez longue diatribe auquel nous ne comprenons bien sûr rien du tout, elle fait beaucoup de gestes, nous montre du doigt à tour de rôle, le tout en rigolant à chaque phrase.

– Traduisez-nous, Evelyne !
– Euh ! Madame dit que Monsieur l’ambassadeur est drôlement gonflé de juger sa conduite, alors que lui-même s’est comporté comme un pédé en se faisant sucer la bite, et qu’il ne lui déplairait pas de le voir se faire enculer comme le chauffeur tout à l’heure !
– Bien, Evelyne, vous êtes le porte-parole de son excellence, que devons-nous faire ?

La secrétaire échange alors quelques mots avec l’ambassadeur, puis propose :

– Il dit que son épouse vient d’aggraver son cas, nous seulement c’est une gouine lubrique, mais en plus elle se permet de porter des jugements sur la sexualité de son mari, alors qu’elle n’y comprend rien. Elle doit donc être punie, mais son excellence vous laisse libre dans le choix des châtiments que vous lui infligerez !
– C’est très bien, heu… elle ne parle pas français, je crois ?
– Mais si ! Et en tout cas elle le comprend parfaitement !

C’est à ce moment-là que j’ai senti quelque chose de particulier dans l’attitude de Kriss, la connaissant un peu maintenant, je savais que cette espèce de court silence, marqué d’un très léger sourire en coin signifiait la mise au point de plan ultérieur, un peu à la façon d’un joueur d’échec qui se projette déjà plusieurs coups en avant. Son regard balayait le corps d’Evelyne, puis elle eut un petit mouvement de paupières, un autre de la bouche qui s’entrouvrit légèrement pour faire passer la langue sur ses lèvres soudain sèches. Et puis tout d’un coup la question, insidieuse…

– Et vous, vous n’intervenez que comme secrétaire dans tout ce truc ?

J’étais à ce moment-là très près de Kriss et pu entendre la réponse.

– Ça vous embête, hein ?
– Un peu, oui !
– Alors soyez patiente…

Ce fut tout ! Entre temps Sylvia qui était descendue avec les bouteilles de champagne fut priée d’aller remettre tout cela au frais.

Emoustillée par la perspective de pouvoir faire des galipettes très spéciales avec la petite secrétaire, Maîtresse Kriss reprit d’autorité la séance de domination.

– Toi la pétasse, tu vas finir de te déshabiller !
– Oui, mistress ! Répondit Barbara.
– Maîtresse, pas mistress, on n’est pas en Angleterre, ici !
– Yes !
– Non mais tu te fous de moi ? Puis s’adressant à Evelyne : « Tu es sûre qu’elle comprend le Français ? »
– Je crois surtout qu’elle se moque carrément de vous ! Répondit cette dernière, rigolarde.
– Ah oui ?

Shlack ! La gifle atterrit sans crier gare sur son visage, elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que la seconde arrivait de l’autre côté accompagnée de quelques crachats bien appuyés. Une larme perla à ses yeux. Kriss la toisa, dédaigneuse !

– Tu es mon esclave en ce moment, tu le comprends ça ?

En fait, Barbara n’était pas encore rentrée dans la domination, quelque chose l’empêchait pour l’instant d’intégrer ce jeu. Cependant elle ne s’en échappait pas non plus.

– Tu ne réponds pas, tu as perdu ta langue ?
– Je ne sais pas !
– Est-ce que je dois comprendre qu’il faut que je continue à te battre ?
– Ce n’est pas cela !
– C’est quoi alors ?
– Ce n’était pas prévu !
– Qu’est ce qui n’était pas prévu ? Que ton mari te fasse punir, c’est ça ?
– Oui ! Il est en train de me forcer la main, et ça ne me plait pas !
– Ok relève-toi ! Je ne vais pas dominer quelqu’un qui n’est pas d’accord ! Ce n’est pas le genre de la maison !

Déjà, elle se relevait…

– Mais attend, juste une seconde ! Tu es un petit peu maso ou alors pas du tout ?
– Un petit peu, et même plus que ça !
– Qu’est ce qui te chagrine alors ?
– J’ai peur !
– Humm ! Le SM c’est une relation de confiance… regarde-moi dans les yeux, non reste à genoux, n’ai pas peur ! Est-ce que tu crois vraiment que je pourrais te faire quelque chose que tu ne puisses pas supporter ?
– Je ne sais pas !
– Alors souris-moi comme je te souris ! Nous sommes entre femmes, oublie tous les autres à côté, on s’en fout, je vais te donner du plaisir, du plaisir dans la douleur, mais du plaisir, je sais le faire, je sais très bien le faire, d’accord Barbara ?

Alors dans un souffle, l’ambassadrice répondit simplement :

– Oui Maîtresse !

Kriss lui ordonna alors de finir de se déshabiller, puisqu’elle ne l’avait pas encore fait, et demanda à Sylvia d’aller lui chercher quelques pinces.

– Non, ne te remets pas à genoux, reste debout, devant moi !
– Oui Maîtresse !
– Tu as une poitrine magnifique, on te l’avait déjà dit ?

Du coup l’autre se détend et son visage s’éclaire d’un magnifique sourire :

– Ils sont à vous, maîtresse, j’adore qu’on me les pince !
– C’est du SM, Barbara, je ne suis pas seulement là pour te faire uniquement ce qui te plait !
– J’ai compris !
– J’ai compris qui ?

Et shlack, la gifle ! Au moment psychologique, comme elle sait si bien le faire, et après la gifle ce regard dans les yeux, ce regard pétillant de malice, ce regard qui veut dire : « c’est moi qui fait, c’est moi qui domine, c’est moi qui fait ce que je veux, et quand je veux ! Et ensuite un crachat. L’autre est domptée !

– Pardon maîtresse !

FS1060Son excellence n’a pas l’air de bien saisir toutes les nuances de ces contretemps, et baragouine quelque chose à la secrétaire qui ne lui répond que par monosyllabes. Un instant, juste un instant, Kriss lui balance un regard excédé, le genre « je sais ce que j’ai à faire », mais ça ne dure pas, et je ne saurais jamais si l’autre à compris le message.

On est là tous, autour des deux femmes, on est au spectacle on n’en perd pas une miette, Evelyne n’en finit pas de noircir ses feuilles, Sylvia s’est improvisée assistante accessoiriste, et moi je regarde aussi, fasciné par ce don, par ce pouvoir étrange que possède ma maîtresse !

– Ecarte un peu tes jambes, c’est uniquement pour la stabilité !
– Oui maîtresse !
– … enfin la stabilité, mais l’esthétique aussi !
– Voilà maîtresse !

Kriss lui prend les seins à pleines mains, elle les caresse d’abord tendrement, puis se met à les malaxer, avec de moins en moins de ménagement. Barbara transpire à grosses gouttes, complètement hypnotisé par le travail de la dominatrice. Laquelle dominatrice se met à présent à gifler les seins de sa soumise, de petites tapes d’abord, puis de plus en plus fort, à ce point que les seins se cognent l’un contre l’autre.

– Ah ! Ah !

Après, quelques minutes de ce traitement, Kriss s’empara des pointes des seins de l’africaine, qui ne demandait que ça, et elle se mit à les tortiller, à les étirer, à les pincer très fort. L’autre hurlait en grimaçant et en fermant les yeux, alors Kriss continuait accentuant son sourire, puis baissait doucement la pression, provoquant l’arrêt des cris, la regardait dans les yeux, guettait une réaction, puis reprenait de plus belle, ce manège se répéta une dizaine de fois, puis :

– Maintenant dis quelque chose !
– Merci maîtresse !
– De rien, c’est bien naturel, mais ce n’est pas cela que je veux entendre !
– Je ne sais pas, maîtresse
– Tu veux peut-être que je te rafraîchisse la mémoire, répondit-elle la menaçant de l’éminence d’une gifle !
– Euh… encore, maîtresse !
– Tu vois quand tu veux, hein ! Tu aimes ça qu’on te torture les seins ?
– Oui maîtresse !

Kriss approcha alors sa bouche du téton droit de la soumise, elle le suça quelques instants, uniquement par gourmandise, car ce n’était pas le but de l’opération, elle ouvrit ses dents et les resserra sur le fragile organe, le mordillant progressivement sous les soupirs d’extase de Barbara. Quand elle eut fini de jouer avec ce téton, il restait l’autre.

– Alors ?
– C’est bon, maîtresse !
– Alors, c’est très bien, on va jouer avec les petits outils maintenant !

Les yeux de Barbara à ce moment-là ! Amusé, Kriss se tourne alors vers Sylvia et tel un chirurgien opérant un cas difficile devant les yeux ébahis de ses assistants, demande d’un air solennel :

– Pinces !

C’est alors que Sylvia le plus naturellement du monde tendit à notre dominatrice préférée, un magnifique cintre à pinces coulissantes !

– Non, mais je rêve ou quoi ? Il doit y avoir plus de cent pinces différentes dans mon fourbi, et tout ce que tu trouves à m’apporter c’est un cintre ?
– Excuse-moi, je croyais avoir eu une bonne idée !
– Pfuit, ah la la tout fout le camp, excusez-moi, ma chère, mais nous avons des problèmes d’intendance, le personnel n’est plus ce qu’il était… Bon toi, Sylvia tu vas aller au coin, à genoux et les mains sur la tête, je m’occuperais de ton cas plus tard, quant à toi cher esclave, je vais faire avec les moyens du bord et te faire des misères… avec ce cintre ! Après tout pourquoi pas, ça change un peu, non ?
– Oui maîtresse !
– Tu vois ce qui est embêtant, c’est qu’avec ce truc là on ne peut pas tout faire, comme par exemple tourner les pinces, ou faire des pichenettes ! Et en plus il faut bien régler l’écartement des pinces, sinon ça va t’écarter les tétons ou au contraire te les rapprocher ! Ah ! Ce n’est pas simple tout cela !

La pauvre Barbara balisait un maximum, mais ne protestait pas, une expression de terreur contenue apparue néanmoins dans ses yeux quand Kriss accrocha la première pince, celle-ci attendit qu’elle s’habitue à la douleur pour fixer la seconde.

– Ah !
– Ah, ben oui ça fait mal, on n’est pas en train de jouer à la marelle, hein ?
– Oui maîtresse !
– Et maintenant attention pour le méga trip ! Reprit Kriss en tirant progressivement sur le crochet du cintre, le téton se déformait, s’allongeait démesurément sous l’effet de cette traction.
– Non, aïe, non aïe ! Ça fait mal !
– Non, mais tu vas te taire un petit peu ?
– Pardon maîtresse, aïe, non !

Shlick ! Brutalement une pince se détacha provoquant un cri de douleur de la soumise. Faisant fi des protestations de sa victime, Kriss raccrocha immédiatement la pince et recommença à tirer
.
– Non, pitié maîtresse, je n’en peux plus !
– Pardon ? J’ai du mal entendre ?
– Non, je n’ai rien dit, pardon maîtresse !

Kriss continua à tirer mais sans exagération, semblant ainsi prendre en compte les protestations de sa victime, puis changeant de méthode se mit à procéder par brèves secousses. Encore une fois, la pince, la même se détacha, encore une fois Barbara hurla, et encore une fois, Kriss raccrocha le diabolique ustensile puis le retira définitivement.

– Martinet !

Je ramassais promptement le martinet qui traînait dans un coin et le lui apportait.

– Tourne-toi, je vais te chauffer les fesses.

L’ambassadrice s’exécuta, pas mécontente de ce changement de réjouissance, et sans plus de préambule Kriss lui asséna sans les compter une bonne dizaine de coups sur le cul. Comme elle n’était ni attachée, ni maintenue, chaque coup la faisait avancer d’un petit pas, et elle finit par perdre l’équilibre et se retrouver par terre. Elle tenta alors de se relever.

– Reste à terre, et tends-moi bien tes fesses, sinon je frappe ce que tu me présentes !
– Fouettez moi les seins, Maîtresse !
– Ah bon, pourquoi pas, mais ne viens pas te plaindre ensuite ! Répondit Kriss en lui zébrant les nichons.

Malgré tout, Kriss sentit que le jeu tirait à sa fin, Barbara avait encaissé beaucoup, il fallait la laisser au stade où la perspective d’une séance ultérieure ne soit pas ressentie comme une corvée.

– Ça va ?
– Je suis épuisée, mais ça va !
– Alors écarte les jambes, je vais te faire un bisou !

Kriss s’installa entre les cuisses de notre belle africaine

– Mais c’est que tu mouilles comme une salope ! Finalement ça t’a plu ?
– Ça va !

Et tandis que l’ambassadeur se branlait énergiquement, Kriss d’une langue experte explosa sa victime qui gueulant sa jouissance retomba pantelante au sol, trempée comme une soupe.

L’ambassadeur appelle Evelyne et lui chuchote quelque chose à l’oreille.

– Son excellence a soif, il voudrait boire quelque chose de spécial.
– Mais avec plaisir, si monsieur l’ambassadeur veut bien s’allonger par terre, je me ferais un plaisir de lui offrir ma bonne pisse.

Kriss s’accroupit de façon à présenter sa jolie chatte à quelques petits centimètres de la bouche de l’homme et lui pisse dans le gosier, elle n’avait pas une grosse envie, mais il apprécia sans toutefois être rassasié.

– Son excellence apprécierait aussi la pisse de Monsieur, intervient encore Evelyne ne me désignant.

Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas non plus une grosse envie, mais je m’accroupi et lui pisse quelques gouttes dans la bouche. Il me fait alors signe de m’approcher davantage.

– C’est fini, il n’y a plus rien !
– Il va vous nettoyer la bite ! Me précise Evelyne.

Ben voilà quand on m’explique les choses bien gentiment, je comprends tout ! Je lui donne donc ma bite à lécher, mais vous vous imaginez bien qu’à ce régime, je ne tarde pas à bander comme un âne en rut, c’est qu’il suce bien l’animal ! Tellement bien que je sens que je vais partir.

– Je, je…
– Ne bougez pas, M’indique Evelyne, son excellence va avaler votre sperme.

Monsieur l’ambassadeur est un cochon. Mais le voilà qui baragouine encore quelque chose qu’Evelyne s’empresse de traduire le plus sérieusement du monde

– Son excellence à beaucoup apprécié, il aimerait maintenant finir sur quelque chose de plus consistant.
– Je crains que je ne puisse ! Feint de se désoler Kriss qui regarde Sylvia au cas où…

Sylvia fait signe qu’elle peut et vient à son tour s’accroupir au- dessus du visage de l’ambassadeur, elle pousse et un petit étron finit par sortir de son joli cul, l’homme s’empresse de le lécher avec gourmandise. Mais voilà que l’étron s’allonge et devient un boudin qui vient s’échouer sur la bouche et le menton de l’ambassadeur. Il fait signe à Sylvia de ne pas bouger et lui nettoie consciencieusement le trou du cul.

– Son excellence me fait dire qu’il s’est régalé et que… hum merci.

A ce moment-là l’ambassadeur a tendu un petit étron à Evelyne qui s’en empare comme s’il s’était agi d’une truffe au chocolat et la met sans sa bouche.

– Il a raison, cette merde est délicieuse ! Ajoute-t-elle.

L’ambassadeur n’en peut plus de ces émotions, de ses mains toutes cacateuses il se branle maintenant avec frénésie laissant échapper d’abondantes giclés de sperme.

– Si ces messieurs dames veulent prendre une douche… Leur propose Kriss.

Nous avons ensuite pris congés de nos visiteurs, non sans avoir sablé le champagne.

– C’est l’ambassadeur de quel pays ? Demandais-je par curiosité
– Du Golo !
– Du Togo ?
– Non du Golo ?
– Mais attends, ça n’existe pas !
– Je le sais bien, il n’est pas plus ambassadeur que toi et moi, c’est en fait un mec qui a fait fortune dans l’import des arachides, ça lui a un peu monté à la tête, mais qu’importe, chacun ses petites manies… et puis il paie bien !
– Et puis on s’en fout, l’essentiel c’est que c’était super excitant ! Intervint Sylvia !
– Oh, toi avec ton cintre, je te retiens ! Et puis, je vais vous dire, moi je trouve qu’il a manqué quelque chose à cette séance !
– Ah oui !
– Ouais, j’aurais aimé me farcir la secrétaire ! Mais j’ai maintenant très envie de me l’envoyer, et vous savez comment je vais faire ?
– ???
– Ah ! Vous ne savez pas ! Ben justement moi non plus, mais il faudra chercher, parce que c’est toi Sylvia qui va-t’en occuper !
– Mais…
– Je la veux, dans huit jours dans mon lit, débrouille-toi !
– Bien maîtresse !

Alençon – (c) 7/2001 Boris Vasslan
Première publication sur Vassilia, le 08/07/2001
vasslan@hotmail.fr

 

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 10:04

Maîtresse Kriss 4 - La femme du libraire par Boris VasslanFetish2

Attention : ce récit contient des passages scatos explicites
Thémes abordés : 
 bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, party, scato, spitting, uro.

 

Je devins donc le comptable de Maîtresse Kriss. Le travail ne manquait pas, il fallait remettre de l'ordre dans les comptes de sa quinzaine d'affaires provinciales que mon prédécesseur avait soit négligé, soit traficoté en sa faveur. En théorie, je pouvais m'organiser comme je le voulais, et j'avais la possibilité de dormir chez elle. Je n'avais connu Kriss que comme dominatrice, je faisais maintenant connaissance avec l'autre facette du personnage, cultivée, intelligente, pleine d'humour et de sensibilité. Parfois l'envie lui prenait de me dominer et je devais cesser toute activité immédiatement pour obéir à ces ordres. D'autres fois, je lui servais d'assistant dans ses séances de dominations.


- Tu commences quand, tes contrôles en province ? me demande-t-elle

- J'en sais trop rien, il y en a pour l'année à tout faire, mais il y a des priorités, ces trois-là !


... Et je lui tends un bout de papier...


- Tiens ! La librairie Aphrodite est sur la liste !

- Oui j'ai l'impression que ton ancien comptable se servait pas mal, mais il manque plein de documents, il n'y a que sur place que je me rendrais compte !

- Je vais te raconter quelque chose ! Je dominais un type, un habitué qui s'est retrouvé au chômage, je l'aimais bien, un bon esclave avec un bon esprit, le hasard a voulu que la gérance de la librairie Aphrodite devienne vacante suite à un accident de la route. J'ai proposé la place à ce type qui a accepté. Et attends ! Il s'est remarié avec une nana de la bourgeoisie locale. Depuis son départ je ne l'ai eu que deux fois au téléphone, il m'a précisé qu'il s'amuse parfois avec sa femme à des petits jeux SM, et qui si je passais par-là, je serais la bienvenue…

- Donc on y va ensemble ?

- T'as tout compris, juste le temps de lui passer un coup de fil et d'organiser un peu tout cela et on file !


Nous avions pris chacun un sac de voyage, avec quelques éventuels vêtements de rechange et autres bricoles obligatoires. Un troisième sac contenait quelques nécessaires de domination que Kriss avait l'habitude d'emporter dans ses déplacements. Il ne restait plus qu'à prendre les billets de train.


C'est ainsi que quelques jours plus tard nous nous sommes retrouvés dans cette petite ville du sud-ouest ! Mais à l'arrivée un de nos sacs avait été disparu sans que l'on ne sache trop comment !


- Quelle poisse ! .500 euros de matériel volé pour rien ! Qui va se servir de ça ?


Il y avait des bracelets, des godes, de la corde, des sous-vêtements en cuir, des pinces, des poids, des barres d'immobilisation, des bougies, des raquettes, et tout un tas de trucs sans lesquels une domination ne serait pas ce qu'elle est.


- On va faire comment pour la domination ? Je ne pense pas qu'il y ait une sex-shop dans ce bled ! Me désolais-je.

- On va se débrouiller ! Tu peux me faire confiance ! 


Il est 19 heures lorsque nous sonnons chez les libraires. Sylvia vient nous ouvrir, c'est une belle femme, la quarantaine, fausse blonde et bouclée, grande, un peu forte mais sans exagération, sa robe noire très décolletée laisse deviner une poitrine pleine de promesses ! Sylvia nous introduit dans le salon, et Philippe se lève pour nous saluer et va pour tendre sa main à Kriss.


- Ce n'est pas exactement comme ça que tu me saluais auparavant ! Est-ce que tu aurais tout oublié ?

- Euh ! Non


Le type paraît complètement déstabilisé !


- Ben alors qu'est-ce que tu attends ?

- C'est que…

- C'est que quoi ?

- Je ne pensais pas que la domination commencerait tout de suite, nous avions prévu un repas et…

- Tu as accepté que je vienne en tant que Maîtresse, et je serais ta Maîtresse et celle de ta femme pendant tout mon séjour ici ! Ça ne veut pas dire qu'on va passer tout notre temps à faire du SM, on peut effectivement parler de choses et d'autres et notamment de ta comptabilité, on peut aussi partager ensemble le plaisir d'un bon repas ! Mais je suis et je reste ta Maîtresse ? Tu as compris esclave ?

- Oui Maîtresse !


Elle est gonflée quand même, je trouve !


Il lance un coup d'œil de chien battu à Sylvia qui pour sa part à l'air de trouver la situation follement amusante…


- Bon alors si tu es d'accord, viens me lécher le trou du cul, puisqu'il faut appeler les choses par leur nom !


Une nouvelle fois, il se tourne vers sa femme, comme s'il sollicitait son accord !


- Dis donc, petit enculé d'esclave, c'est à moi que tu dois obéir ! Et rassure-toi ta femme est d'accord, n'est-ce pas Sylvia ?

- A un détail près, toutefois !


L'espace d'un instant, j'ai cru que Kriss allait être déstabilisée, car si elle connaît Philippe et sait comment le dompter, elle ignore tout de Sylvia !


- Et c'est quoi, ce détail ?

- C'est que je sollicite l'honneur d'être la première à vous saluer de cette façon !

- Pourquoi pas ? C'est demandé si gentiment, mais pour quelle raison ?

- Vous le savez bien !

- Oui je le sais ! Mais je veux te l'entendre dire !


Sylvia est soudain devenue rouge comme une tomate.


- Je ne peux pas le dire ! Comprenez-moi !

- Moi je comprends que tu mérites une punition !

- Comme vous voulez !


La punition en fait, elle la cherche, ou plutôt elle la souhaite ! Mais à ce jeu, Kriss ne peut pas perdre !


- Tu as bien mérité 20 coups de martinet !

- Oui !


Manifestement, elle attend l'ordre de présenter ses fesses, pour recevoir la punition.


- On dit "Oui ! Maîtresse !"

- Oui Maîtresse !

- Mais tu les auras tout à l'heure !


Kriss a superbement joué ce coup, Sylvia devait être punie, mais ce n'est pas à elle d'imposer le moment où viendra la punition, ce n'est pas à elle de prendre les initiatives.


- Mets-toi à genoux maintenant, esclave !


Elle obéit


- Je n'ai rien entendu, on dit "Oui Maîtresse !" quand je te donne un ordre !

- Oui Maîtresse ! Pardon Maîtresse !


Et tout d'un coup Kriss lui adresse une belle gifle, c'est risqué. Sylvia risque de se rebeller, on ne gifle pas en principe quelqu'un à ce stade de la domination ! La libraire encaisse le coup, elle ne s'attendait pas à cela, mais elle ne relève pas et sans qu'on lui demande murmure :


- Merci Maîtresse !

- Tu l'avais bien mérité !

- Oui Maîtresse, je l'avais bien mérité

- Je t'en foutrais bien une autre !

- Ne vous gênez pas Maîtresse !

- Ce sera quand j'en aurais envie ! Pour l'instant ouvre la bouche.

- Vous allez me crachez dedans !

- T'as quelque chose contre ?

- Non, je ne suis qu'une putain d'esclave !


Kriss après lui avoir craché dessus plusieurs fois de suite, retire alors sa veste de tailleur, puis sa jupe.


- Passe derrière moi, mais reste à genoux, enlève ma culotte et renifle mon cul, mais pour l'instant tu ne le lèche pas !

- Oui Maîtresse !


Sylvia s'exécute, elle fait glisser le slip, puis caresse les fesses de Kriss, tout en plongeant son nez sur son anus !


- Alors tu aimes mes odeurs ?

- Oui Maîtresse !

- C'est comment !

- C'est un peu fort, mais j'aime bien ! Je peux lécher, Maîtresse ?

- Tu ne lécheras que si tu me dis pourquoi tu voulais passer la première !

- Pour que l'odeur soit plus forte !

- Eh bien tu apprends drôlement vite toi !

- Je peux maintenant !

- Oui, pendant une minute, et pas une seconde plus !


Sylvia est aux anges, la voilà qui lèche le trou du cul de Kriss avec une avidité singulière, elle s'acharne à faire pénétrer sa langue le plus profondément possible dans l'anus


- Stop !

- Merci Maîtresse, c'était délicieux !

- Tu aurais bien continué ?

- Bien sûr !

- On va faire mieux que cela, tu vas me foutre un doigt dans le cul, quand je te le dirais, tu fermeras les yeux tu retireras le doigt et tu le lécheras !


Kriss la teste, tout l'art de la dominatrice est de rebondir sur les fantasmes du soumis pour en connaître les limites et tenter de les repousser.


Sylvia obéit, elle introduit un doigt dans le trou du cul de Kriss et lui branle l'anus. Au signal, elle retire son doigt et se le lèche ! 


- Dis donc ! Tu n'as pas fermé les yeux !

- Non, Maîtresse, j'ai préféré regarder.

- Mais t'es une vrai cochonne !

- Oui Maîtresse.

- T'aimerais bien que je te fasse un petite crotte ?

- Oui, Maitresse ! Avec plaisir !

- On verra ça plus tard !


Ben, ça promet !


Kriss demande alors à Philippe de venir la lécher à son tour. Il n'aura droit qu'à trente secondes ! Cette séance d'improvisation ainsi que la soumission de Sylvia a été menée de main de maître par Kriss. Elle sait que maintenant, avant d'aller plus loin, une pause permettra de mieux se connaître et de mieux jouer puisque le SM est d'abord un jeu !


- Je sais que vous avez préparé un repas, je ne voudrais pas qu'il soit raté par notre faute, la domination reprendra vers la fin du repas, quand je le voudrais, au fromage, au dessert, au café, on verra bien ! D'accord ?


Bien sûr qu'ils sont d'accord ! Ont-ils seulement le choix ? Mais je vois bien que Sylvia est déçue, et il n'est pas difficile de comprendre qu'elle est mouillée d'excitation. Elle tente alors :


- Vous savez, on a fait des trucs pas si compliqués, si vous souhaitez qu'on mange beaucoup plus tard, ce n'est pas un problème !

- Sauf que j'ai un peu faim ! Répondra simplement Kriss.


Le repas se passe sans histoire, Sylvia est une très bonne Maîtresse de maison et son canard à l'orange est un régal. Le couple de libraires se révèle être très intéressant aussi bien du point de vue humain qu'intellectuel. Kriss a fait comprendre à ses hôtes qu'on ne reparlerait de sexe qu'en fin de repas. On y est presque, le fromage est bien entamé quand Kriss lance à Philippe.


- Ça fait combien de temps que vous êtes ici ?

- Bientôt trois ans !

- Et ça ne te manque pas nos séances

- Ça me manque uniquement par nostalgie ! Sylvia me domine à sa façon !

- Et vous rencontrez d'autres gens qui partagent les mêmes goûts ?

- Non, ici tout le monde se connaît, on s'amusait pendant un moment avec un couple de Toulouse mais ils ont déménagé…

- Tu as dit à Sylvia tout ce qu'on faisait ensemble ?

- Oui ! Tout !


Kriss peut donc, continuer, tant pis si Philippe a menti :


- Tu lui as même dit que tu suçais des bites et que tu te faisais enculer ?

- Bien sûr !

- C'est vrai, Sylvia ?

- Bien sûr que c'est vrai, maintenant c'est moi qui l'encule avec un gode, répond Sylvia en rigolant

- Et quand le gode ressort pas très net c'est qui qui le nettoie.

- Humm, on adore ça ! Répond Sylvia avec un enthousiasme non feint.

- Va me le chercher, ton gode.

- Oui !

- Je veux que tu reviennes avec le gode dans ton cul.

- Bien sûr, maîtresse.


Sylvia revient, elle soulève sa robe, écarte sa culotte et nous montre le gode enfoncé dans son cul, c'est un modèle de type anus-picket. Gadget bien pratique puisqu'il tient tout seul.


- Sors-le pour voir !


Sylvia extrait le gode de son cul, il est légèrement merdeux.


- Suce-le !


Sylvia lèche le gode comme s'il s'agissait d'un esquimau au chocolat. Elle arbore ensuite un délicieux sourire, elle est contente de ce qu'elle a fait. 


- Mets-toi les doigts dans le cul, maintenant, montre nous comment tu fais… je veux que tes doigts ressortent plein de merde.


Elle ressort ses doigts, juste légèrement maculés.


- Tu peux faire mieux que, ça, recommence et touille ton trou du cul avec tes doigts.


Elle le fait, cette fois, il y en a un peu plus.


- Essuie toi les doigts sur ta joue ! Voilà comme ça, fait nous une belle trainée de merde, l'autre joue maintenant. T'es très jolie comme ça, c'est une nouvelle façon de se maquiller ! S'amuse Kriss.

- Je peux aller me regarder dans une glace ?

- Bien sûr, je ne veux pas te priver de ce plaisir ! Et tu as le droit de te lécher les doigts.


Manifestement Sylvia aurait bien aimé que l'on continue dans les délires scatos, mais ce n'était pas dans les intentions immédiates de Maîtresse Kriss


- Et bien sûr, à part le gode je suppose que vous n'avez pas de matériel ?

- Si des petits trucs que l'on cache, des boules de geisha, des menottes fourrées… mais pour le reste ce n'est pas pratique, quand les enfants viennent ici, ils sont chez eux...

- Si je veux attacher quelqu'un au mur ça ne va pas être facile ! Se désole Kriss.


Sylvia lance un regard circulaire sur son salon-salle à manger, il est vrai que tout est encombré de trucs divers accrochés au mur


- On pourrait décrocher le grand tableau, là, mais…

- Mais non, on est pas venu pour te démolir ton appartement, je vais te montrer le truc ! Mais rien ne presse, pour l'instant sors de table et met toi à quatre pattes ! Poufiasse !

- Oui Maîtresse !

- Et toi l'enculé, tu fais pareil !

- Oui Maîtresse !


Il est comique de voir nos deux libraires dans cette position, d'autant que Kriss leur ordonne ensuite de marcher jusqu'au fond de la pièce, puis de revenir, puis de repartir, puis de revenir, dix fois elle leur fait refaire ce parcours ridicule.


- Enlève ta robe, maintenant, salope !


A ces mots Sylvia se relève !


- Qui t'as dit de te relever, grosse pouffe ? Tu restes par terre !


Voici donc Sylvia qui se contorsionne pour essayer d'enlever sa robe avec une main par terre, elle finira par comprendre qu'en se mettant à genoux, c'est facile comme tout, mais en attendant, elle fait rigoler tout le monde, et comme elle est bon public, elle se marre aussi ! Qui a dit que les dominations étaient tristes ? Voici donc Sylvia en sous-vêtements. Elle a une petite culotte et un soutien-gorge rouge, ainsi que le porte-jarretelles et les bas !


- Tu sais que tu fais grosse pute, avec tous ces trucs ?

- Oui Maîtresse !!

- Et c'est tout l'effet que ça te fait ?

- J'aime bien ! Maîtresse !

- C'est un de tes fantasmes, de faire la pute !

- Oui Maîtresse !

- Et tu n'as jamais essayé !

- Oh ! Non, maîtresse !

- On peut arranger cela si tu veux, je peux t'emmener faire un petit stage à Paris, je suis sûr que quelques-uns de mes clients aimerait bien te baiser !


La tête de Sylvia ! Elle se demande jusqu'à quel point Kriss bluffe ou pas, elle regarde son mari, qui ne bronche pas, toujours à quatre pattes. Alors elle décide de jouer le jeu. En sachant qu'il n'est pas innocent :


- Pourquoi pas ? Maîtresse !


Kriss regarde Sylvia de toute sa hauteur, elle aussi sait que c'est un jeu, mais pourquoi pas après tout ! Comme toujours quand un fantasme va trop loin, elle décide de passer à autre chose, quitte à y revenir plus tard ! Elle me demande de lui prêter ma ceinture. Je plaisante en lui disant que je veux bien mais que mon pantalon ne va pas tenir tout seul. Et paf, celle-là je ne l'attendais pas. Kriss m'administre une super paire de gifles. Je ne m'en plains pas, après tout je ne suis rien d'autre que l'esclave de Maîtresse Kriss, et par cette gifle j'ai conscience enfin d'exister enfin un peu dans cette histoire. Effectivement mon pantalon ne tient pas ! Tout le monde rigole. La domination tournera-elle en pantalonnade ?


- Mais c'est pas vrai ! Tu m'énerves ! Retire-moi ce truc, et le slip aussi !


Me voici donc la bite à l'air, Kriss me fait alors coucher le torse sur la table et commence à m'envoyer de méchants coups sur les fesses. Elle sait très bien ce qu'elle fait, tapant juste assez fort pour que j'aie très mal mais en restant dans mes limites.


- Ça va te calmer, j'espère !

- Oui Maîtresse !


Elle s'adresse à nouveau à Sylvia :


- T'en voudrais bien une bonne fessée comme cela ?


- Oh oui ! Maîtresse ! Vous m'en aviez déjà promis une tout à l'heure !

- Justement rien ne presse ! Relève-toi et montre-moi tes gros nichons de pute !


Elle s'exécute dévoilant une superbe paire de seins. Ils sont un peu lourds mais d'excellente tenue, les tétons sont plutôt gros et sont raidis par l'excitation. Kriss s'en empare sans aucun ménagement et les pince entre ses doigts


- Vous me faites mal, Maîtresse !

- Et alors ?

- Alors rien, j'aime ça ! Je suis une salope !


Se sentant encouragée, Kriss les roule entre ses doigts, arrachant à Sylvia des râles de plaisirs et de souffrance.


- Tu veux que j'arrête ?

- Non ! Continue !

- Je ne t'ai pas autorisé à me tutoyer !


Ce n'est pas une gifle qu'elle reçoit cette fois-ci mais une double paire ! Elle paraît sonnée, trébuche, mais fait front !


- Merci Maîtresse ! Pardon Maîtresse ! Vous pouvez me gifler quand vous le souhaitez ! Je suis votre esclave ! 

- Bon ! Viens à côté de moi, on va s'installer sur le canapé, on va s'offrir un petit spectacle, mais avant on va s'occuper des fesses de ton mari !


Elle demande à ce dernier de se mettre à poil et d'aller chercher une brosse à cheveux


- A quatre pattes, je ne t'ai pas encore autorisé à te lever, et tu reviendras avec la brosse entre tes dents.


Le voilà qui revient, Kriss s'empare de la brosse et se met lui taper sur les fesses avec le côté lisse, ses fesses ne tardent pas à devenir rouges. Elle inverse alors la brosse et continue de lui assener de violents coups ! Voici une pratique que j'ignorais, j'ai hâte qu'on me l'applique ! Mais cela n'a pas l'air d'être dans les intentions immédiates de Maîtresse Kriss. Elle jette la brosse, le cul de Philippe est maintenant complètement rouge ! Elle demande à l'esclave de lui lécher les doigts, puis le fait à nouveau se retourner et lui introduit un doigt dans le cul, bientôt suivi d'un second !


- T'aimes ça te faire doigter, hein, petit enculé ?

- Oui Maîtresse !

- T'es qu'un enculé de toute façon !

- Oui Maîtresse, je ne suis qu'un enculé !

- Un trou à bite !

- Oui Maîtresse, un trou à bite !

- Lèche mes doigts ! T'as foutu de la merde dessus !

- Oui Maîtresse !


Kriss me demande à mon tour de me déshabiller complètement et à Sylvia d'aller chercher des pinces à linges.


- A quatre pattes j'ai dit, il n'y a pas moyen de se faire obéir dans cette baraque ?


Sylvia se remet alors à quatre pattes.


- Attends !


Kriss ramasse ma ceinture et lui en flanque un grand coup sur les fesses par-dessus sa culotte. Sylvia pousse une sorte de rauquement et se cambre attendant le second coup, il ne viendra pas !


- Non ! Ça te ferait trop plaisir ! Tu vas attendre encore un peu !


Sylvia revient avec ses pinces et Kriss la refait asseoir à ses cotés sur le canapé. Elle me fait venir devant elles à genoux en compagnie de Philippe. Elle nous fixe à chacun une pince sur chaque sein s'amusant à choisir à chaque fois celles qui font le plus mal. Je sens que je ne vais pas les supporter longtemps. D'habitude elle place les pinces mieux que cela. J'essaie de lutter contre la douleur, et ça s'apaise un peu, mais ça reste malgré tout très gênant. Mon compagnon d'infortune a l'air de supporter mieux que moi. Soudain elle balance une claque en direction des pinces qui, du coup, se détachent, je pousse un hurlement ! Ça fait trop mal ! Elle ne me laisse aucun répit et me les replace, mais convenablement cette fois-ci. Philippe attend de subir le même sort, mais non, une des règles de la domination est de ne rien faire de prévisible ! Elle demande à Philippe de me sucer la queue ! Depuis le temps qu'il attendait cela ! Il n'hésite pas une seconde et enfouis ma pine dans sa bouche. Je me sens un peu frustré car il ne m'aurait pas déplu non plus de lui faire une petite fellation. On y prend goût à ces petites choses-là ! Mais Kriss est une femme formidable !


- Roulez sur le tapis et faites-vous un 69 à présent


Je peux enfin mettre sa belle queue dans ma bouche et la sucer ! Malheureusement ça ne dure pas longtemps car Maîtresse Kriss me donne maintenant l'ordre d'enculer Philippe. Pour lui ce n'est ni une punition ni une corvée, il s'accoude contre la table et avec l'autre main aide l'ouverture de son anus. J'enfile une capote et j'y vais. Je n'aime pas enculer les hommes, ça ne m'apporte rien. D'habitude Kriss m'aide à accomplir cette tâche en me stimulant soit par des petites fessées, soit en me tripotant le bout des seins ! Mais en ce moment rien. Kriss a enfin fait enlever la culotte de Sylvia, elle lui fouille la chatte un instant, et ramène sa main toute trempée.


- Ce n'est pas possible de mouiller comme cela !

- Je n'en peux plus Maîtresse, c'est trop excitant !

- T'aimerais bien te branler en regardant ces deux pédés qui s'enculent ?

- Oh ! Oui !

- Et bien non justement ! Mets-moi tes mains sur la tête ! Et arrêtez, vous autres de vous enculer ! Vous ne voyez pas que vous excitez cette pauvre créature ! Bon on va passer à autre chose, je t'avais promis de t'apprendre comment attacher quelqu'un au mur même quand on n'a pas la place ! Il me faut simplement de la ficelle, des ciseaux et de la corde. Va nous chercher tout cela, Sylvia ! Ah j'oubliais ! Il faut aussi un rouleau à pâtisserie !

- Je ne pense pas que nous ayons de la corde !

- Tu te fous de moi, tu n'as pas de corde à linge ?

- Euh si ! Bon j'y vais !

- Et à quatre pattes ! Mais c'est pas vrai ! Quelle tête de mule !


Instinctivement Sylvia se remet à quatre pattes et attend le coup, Mais Kriss se contente de lui foutre un coup de pied au cul plus symbolique que méchant. Elle revient quelques minutes plus tard… pour repartir aussi sec, n'arrivant pas à mettre tout ce bazar en une seule fois entre ses dents ! Il lui fallut en tous trois voyages dont le dernier pour le seul rouleau à pâtisserie qu'elle avait un mal fou à trimbaler à l'aide de sa bouche, ce qui remit l'assemblé de nouveau en état d'hilarité.


- Bon vient ici ! Avec la ficelle, je vais te faire un bracelet, je vais tripler l'épaisseur pour que ce soit solide, voilà comme cela ! Je ne le serre pas à fond, je laisse la place pour passer la corde tout à l'heure…


Elle lui confectionna ainsi quatre bracelets, deux pour les poignets et deux pour les chevilles. Elle attacha ensuite une extrémité de la corde à la poignée de la porte, mais pas la poignée visible, non, celle qui est de l'autre côté et que l'on ne voit pas quand la porte est fermée. Elle fit ensuite passer la corde par-dessus la porte. Sylvia après avoir terminé de se déshabiller fut priée se placer contre la porte, les mains en hauteur, Kriss fit ainsi rejoindre l'autre extrémité de la corde aux deux ficelles des bracelets l'un à côté de l'autre. Mais elle ne noua rien pour l'instant, il fallait d'abord s'occuper des pieds...


Un simple bout de ficelle avec une petite boucle à chaque extrémité du rouleau à pâtisserie, puis chaque boucle vient se nouer dans les bracelets des chevilles…. Les pieds étant stabilisés, on peut ensuite faire les nœuds aux poignets


- Et voilà le bricolage, normalement on fait cela avec des bracelets en cuir avec des clips. On prend de la corde à bondage et une barre d'immobilisation ! Mais le principe est le même, et l'avantage de cette méthode c'est qu'il est relativement facile de retourner le soumis sans savoir à le détacher.


Sylvia était effectivement immobilisée, Kriss s'amusa alors à lui placer des pinces, une sur chaque téton, mais aussi sur les lèvres vaginales. Sylvia allait l'avoir, sa flagellation, depuis le temps qu'elle l'attendait. Le premier coup fut pour ses seins, elle laissa échapper un gémissement imperceptible, puis un deuxième, en fait Kriss visait les pinces, s'amusant à les décrocher, mais ceux-ci étaient particulièrement robustes et semblaient ne pas vouloir quitter les gros tétons de Sylvia. Kriss fouetta plus fort, l'une des pinces voltigea après avoir fait un petit bruit sec ! Sylvia hurla !


Sylvia99- Tu veux qu'on arrête ?

- Je ne sais pas, ça fait vachement mal !

- Je t'ai posé une question précise ! Tu veux qu'on arrête ?

- Non ! Je vais essayer de supporter !


Une autre dominatrice en aurait profité pour repartir de plus belle, c'est mal connaître Kriss, la soumission de l'esclave devant la souffrance est plus importante que la souffrance elle-même. Prétextant le fait que la pince était mal mise, elle la replace de façon à ce qu'elle parte plus facilement sous les coups de la ceinture ! C'est exactement ce qui se passa, mais cela n'empêcha pas Sylvia d'hurler à nouveau en laissant échapper cette fois une larme.


- D'habitude, il y a un mot de sécurité que l'esclave n'emploie que quand ses limites sont dépassées et que ce qu'on lui fait devient insupportable, on a aujourd'hui convenu d'aucun code, mais si tu me demandes d'arrêter, j'arrête !

- Continue, Kriss !

- Tiens ? Je ne suis plus ta Maîtresse ?

- Si, mais j'ai envie de toi !

- Et tu crois que c'est réciproque ?

- Oui… Maîtresse !


Kriss ne répondit, pas. La personnalité de Sylvia était malgré tout remarquable, domptée, mais libre, soumise mais lucide ! Kriss recommença à lancer des coups de ceinture sur le corps de Sylvia, elle visait les cuisses, le ventre, les bras. Elle prit malgré tout la précaution d'enlever les pinces avant de viser le sexe. Des larmes coulaient maintenant sur le visage de Sylvia ! Kriss devenait décontenancée, c'est bien la première fois qu'une telle chose se produisait depuis que je la fréquentais ! Elle hésita un instant !


- Continue Kriss, mais prends-moi après !

- Je fais ce que je veux, petite garce !


Kriss me demanda de l'aider à retourner Sylvia afin qu'elle nous présente ses fesses. Quel merveilleux spectacle que ce gros cul bien potelé, couvert de sueur, la raie cuillère complètement humide ! Kriss la fouette un peu sur le dos, pas mal sur les fesses, mais je sentais comme un manque de conviction ! Soudain elle s'arrête :


- Détache-là !


Je le fais


- Et maintenant tout le monde dans la salle de bain !


Ah, Bon ! Pourquoi ? On va se laver ? Non je crois savoir ce qui va se passer, Kriss fait mettre Sylvia par terre et me demande ainsi qu'à Philippe de lui pisser dessus. Ça tombe bien, j'avais une grosse envie ! Mon jet part le premier et je lui arrose les seins, mais c'est elle qui réclame l'urine pour sa bouche, elle ouvre son palais et en avale de larges rasades. Philippe continue après moi, mais n'a pas trop envie. A ce moment-là, Maîtresse Kriss aurait dû finir, mais décidément quelque chose ne va pas… Elle est assise sur le bord de la baignoire, on dirait qu'elle hésite à prendre une décision. Puis soudain, elle quitte ce qui reste de ses vêtements à toute vitesse et s'accroupit au-dessus de Sylvia. Sans autre préalable elle lui chie dessus, libérant un long boudin marron qui s'enroule sur son menton !


- Oh quel beau cadeau ! merci Maîtresse


Kriss se jette sur le corps de Sylvia l'embrassant et l'enlaçant fougueusement, l'autre en pleure, mais de joie et de plaisir cette fois…


J'ai refusé le concours de Philippe qui voulait me sucer, et j'ai regagné la chambre à deux lits qu'on nous avait préparé. Je me suis branlé en attendant ma maîtresse et en repensant aux événements de cette folle soirée. Je m'endormis rapidement.


Le matin en me réveillant, je constatais que Kriss ne m'avait pas rejoint.


Je descendis chercher quelque chose pour prendre le petit déjeuner, les deux femmes étaient déjà là, en train de faire le café, elles étaient tout simplement radieuses. Philippe arriva une demi-heure après !


Kriss ordonna alors à Sylvia de se mettre à genoux


- Non ! Kriss pas maintenant, attends un peu...

- Juste 30 secondes, après je te fous la paix !

- Bien Maîtresse !

- Dis maintenant à Philippe ce qu'on a décidé toutes les deux !

- Philippe, je pars avec Kriss, une dizaine de jours à Paris !


Philippe paraît contrarié.


- Bon l'essentiel est que tu reviennes !

- Mais je t'aime Philippe, quand je reviendrais j'aurais appris plein de choses et je pourrais mieux t'aimer encore !


Boris Vasslan © 2000

vasslan@hotmail.fr

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir deux prix chez Revebebe :1er prix du concours des histoires érotiques de Juillet 2000 et 3ème prix du concours des histoires érotiques pour l'ensemble de l'année 2000. Ensuite ils l'ont viré de leur site ! C'était bien la peine !

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Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 09:31

Maîtresse Kriss 3 – Entretien d’embauche par Boris Vasslan

Fetish2

thémes abordés :  bisex masculine, domination hard, donjon, feuille de rose, party, scato, soubrette, spitting, travestis, uro.

 

Les lecteurs pourront se reporter aux deux premiers chapitres de cette histoire

Je reçu un texto sibyllin de maîtresse Kriss:

« Tu ne viens plus me voir ? »
« Ce serait un plaisir, mais j’ai un budget. Respectueusement, votre esclave dévoué. »
« On va s’arranger, je t’attends demain ! »

Je résolus de me rendre à ce rendez-vous. Pour mon boulot on verrait. Mais deux absences non justifiées le même mois pour quelqu’un qui ne s’absente jamais… bref on verrait bien…

C’est Angélique l’inévitable antillaise de charme qui m’ouvrit et qui me conduisit jusqu’au bureau de maîtresse Kriss, elle me fit asseoir et Maîtresse entra quelques instants plus tard. Elle était habillée d’un tailleur gris assez strict et faisait comme cela très businesswoman. Elle prit une profonde inspiration et elle me dit :

– Tu m’as bien dit que tu travaillais dans la comptabilité ?
– Oui ! Répondis-je en m’étonnant de la question.
– Tu pourrais le prouver ?
– Oui, mais…
– Il y a tellement de gens qui me raconte n’importe quoi, je voudrais être sûr.
– Ben sûr que je peux le prouver, il suffit que j’apporte une feuille de paie, mais j’aimerais comprendre un peu…
– Mon pauvre biquet, je suis sûr que tu venais te faire dominer par ta maitresse préférée et moi je te parle d’autre chose !

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ?

– Bien ! Continua-t-elle, j’ai de gros ennuis avec mon comptable, en fait, je suis maintenant persuadé qu’il me pique du fric. Je l’ai viré. J’ai une dizaine d’affaires surtout en province, des commerces, des petites boites. Il me faut quelqu’un pour gérer tout cela, quelqu’un qui connaisse la comptabilité, la micro. Quelqu’un qui soit facilement libre, qui accepte de se déplacer et qui accepte aussi d’avoir avec moi des relations autres que professionnelles.
– Je ne peux pas quitter mon boulot comme cela, je suis en plein sur un projet…
– Ce n’est pas un problème, juridiquement j’ai un avocat qui s’occupe de tout, le contrat de travail est prêt, il n’y a plus qu’à mettre un salaire, il sera de toute façon supérieur à ce que tu avais avant…
– Ça demande réflexion !
– Je ne dis pas le contraire, il faut que je m’absente, je serais de retour en début d’après-midi, donc tu pourras réfléchir.
– Ça fait un peu court ! Lui fis-je remarquer.
– Je sais ! Donc tu vas réfléchir pendant ce temps-là. On se retrouvera vers 14 heures, en attendant, tu as le choix, soit tu vas faire un tour, soit…
– Soit ?
– Soit je te mets en cage pour t’aider à réfléchir !

Et la voici partir d’un grand éclat de rire ! Je me demandais si elle était sérieuse…

– Alors, la ballade ou le cachot ? A moins que tu désires répondre « non » tout de suite ?

En disant ces mots elle se leva, contourna le bureau, vint se mettre derrière moi et se mit à travers ma chemise à pincer la pointe de mes seins. Cette caresse a le don de me paralyser et de déclencher un processus d’érection irrésistible.

– Tu veux réfléchir où ?
– Je ne peux pas accepter ?
– Tu veux réfléchir où ? Répéta-t-elle.

Le ton était devenu sec !

– Angélique ! Retire-lui ses lunettes !
– Oui Madame ! Voilà Madame !

La gifle arriva, je ne m’y attendais pas. Les crachat suivirent.

– C’est un exemple du type de rapport très particulier dont je voulais parler tout à l’heure, et que nous aurons si tu acceptes. Il faut que tu le prennes en compte dans ta décision !

M’échapper ! Echapper à cette folle, finalement c’était facile il suffisait de lui dire que j’irais faire un tour, et je disparaissais, oui mais en disparaissant, c’en serait fini de ces séances de domination où j’avais connu l’extase ! Je décide quand même d’aller faire un tour et je le lui dis.

– Ah ! On devient raisonnable, Angélique prépare le pour le cachot !
– Euh…
– Euh quoi ? Tu en veux une autre ?
– Maîtresse permettez-moi d’insister, je me suis probablement mal exprimé, je souhaite aller faire un tour…
– J’ai parfaitement compris, tu ne souhaites pas aller en cage, tu n’iras donc pas en cage… Non tu iras faire un tour… dans mon cachot !

Cette femme joue avec moi ! Il faut que je me reprenne, je ne suis pas prisonnier mais dans cinq minutes au train où vont les choses je vais l’être, je peux encore m’enfuir à toutes jambes, D’un autre côté, je me suis magnifiquement sorti des deux dominations qu’elle m’a fait subir. Alors si tout cela est un jeu pourquoi ne pas y jouer ? D’autant que si je refuse sa proposition, ce sera sans doute le dernier jeu avec elle. Je décide donc de la laisser donc jouer.

– Faites comme vous voulez Maîtresse, je suis votre esclave !
– J’espère bien que tu es mon esclave !
– Il n’y a aucun problème, je suis votre esclave ! Répété-je
– Mets-toi à poil, enculé !
– Oui Maîtresse !

Je me déshabillais, rapidement, pendant qu’Angélique était allé chercher sur ordre de Kriss une petite sacoche contenant des pinces, un martinet et quelques autres accessoires. Maîtresse Kriss commença par me placer un collier de chien autour du cou. Elle me posa ensuite des bracelets de cuir autour des poignets et des chevilles, puis elle choisit d’emblée une collection de pinces à nappes, terminées par des poids. Sans aucun ménagement elle me pinça le premier téton m’arrachant un cri de douleur.

– Ça fait mal, hein ? Enculé !
– Oui maîtresse !
– Mais tu aimes cela souffrir pour ta maîtresse, hein, enculé ?
– Oui maîtresse !

La douleur devint supportable sur mon téton droit, elle en profita pour me pincer le deuxième, m’arrachant un nouveau cri.

– Je te trouve bien douillet aujourd’hui !

Et sans me laisser le temps de répondre, elle m’asséna deux doubles gifles !

– Qu’est-ce qu’on dit ? Esclave ?
– Merci Maîtresse !
– Je ne devrais pas avoir à te le demander !
– Je vous demande pardon, Maîtresse !
– Tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !

Kriss saisit une nouvelle paire de pinces, je pensais qu’elle allait les superposer aux autres, mais je m’aperçus avec effroi qu’elle les destinait à mes couilles.

– Non ! Maîtresse ! Je n’aime pas trop aux couilles.
– C’est nouveau, on discute maintenant, mais tu n’es qu’un enculé d’esclave, tu n’es rien d’autre !

Je reçus à nouveau une double paire de gifles

– Merci maîtresse !
– Ouvre ta bouche de suceur de bites !

Sans bien comprendre j’obéissais, Kriss me cracha alors au visage, j’en ressenti un plaisir très trouble.

– Merci Maîtresse !

Ma maîtresse me fixa donc une première pince sur la couille droite, je remarquais qu’elle œuvrait malgré tout avec précaution.

– Tu vas supporter, enculé !

C’était plus un ordre qu’une question.

– Oui maîtresse !
– Ça t’excite que je te traite d’enculé ?
– C’est vous qui décidez Maîtresse, je suis votre esclave.

Kriss me posa la deuxième pince, je me retins de ne pas hurler, elle se tourna alors vers Angélique :

– Qu’est-ce que tu en penses, tu crois qu’il a répondu à ma question, toi ?
– Je ne crois pas non !
– C’est bien ce que je pensais… On va encore être obligé de le punir !

Puis se tournant à nouveau vers moi !

– Bon alors je repose la question : est-ce que ça t’excite quand je te traite d’enculé ?
– Non, maîtresse !
– Et bien, c’est dommage ça devrait !
– Pardonnez-moi Maîtresse !
– Pourtant tu es d’accord, tu n’es qu’un enculé ?

Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir

– Oui maîtresse !
– Tu ne repartiras pas d’ici sans t’être fait enculer ! Tu en as conscience, esclave !
– Oui Maîtresse !
– C’est l’une des plus belles récompenses qu’un esclave puisse m’offrir, c’est se faire mettre une bonne bite dans le cul ! T’as aimé cela les autre
– Oui maîtresse !
– T’es bon qu’à cela, sucer des bites et te faire prendre le cul.
– Oui maîtresse ! Grâce à vous !
– Comment cela grâce à moi ? Fit-elle mine de s’étonner.
– C’est vous qui m’avez dressée !
– Ah voici une bonne parole ! J’avais un esclave avant, je ne le vois plus, tu sais ce qu’il faisait uniquement pour me faire plaisir ?
– Non, vous allez me dire, Maîtresse !
– Il se faisait bien défoncer le cul, et après il nettoyait la bite du mec avec sa bouche !

Je ne répondis pas, partagé entre répulsion et fascination.

– Ça te trouble, hein ?
– Je ne sais pas…
– Oui, mais moi je sais, et si tu te mets à fantasmer là-dessus, et que tu as envie d’essayer, ta maîtresse saurait te récompenser !
– Je verrais, maîtresse !
– Bon assez discuté, Angélique, tu m’emmènes cette larve au cachot, tu l’attaches, tu le fouettes, mais tu ne t’attardes pas, j’ai besoin de toi !
– Oui Madame !

Angélique cliqua ensemble mes deux bracelets de cuirs aux poignets m’immobilisant ainsi les mains, puis attacha une courte chaîne autour de mon collier d’esclave, et me fit signe de la suivre. Nous descendîmes ce petit escalier que je commençais à connaître, je pensais que je serais attaché quelque part dans le donjon, mais non, je n’avais jamais remarqué une porte un peu plus loin, donnant vers un couloir voûté, sans doute d’anciennes caves.

C’est là que Kriss emprisonne ces esclaves.

– Il y en a un là-dedans, me dit Angélique en me désignant une porte, depuis trois jours.

J’ignorais si elle bluffait ou pas, mais j’espérais bien ne pas connaître un sort pareil, quand je réalisais que j’étais bel et bien prisonnier, et que je le serais encore bien davantage quand je me trouverais derrière l’une de ses portes. S’il fallait faire quelque chose, ce devrait être maintenant, feindre une chute, me servir de mes jambes pour immobiliser Angélique… mais non j’avais confiance… je n’opposerais aucune résistance… La soubrette me fit pénétrer dans l’un des cachots, et là, m’attacha à une croix de Saint-André, face contre croix. Je ne vis pas venir le premier coup de martinet sur mes fesses, manifestement trop fort, il m’arracha un cri de douleur, le deuxième me fit moins mal, mais j’eus vraiment du mal à supporter le troisième donné dans la foulée. Il y en eut dix comme cela, interminables, jamais on m’avait fouetté aussi fort, je ne comprenais pas, une bonne maîtresse doit sans arrêt mesurer ce que peut accepter l’esclave et surfer sur cette limite, là c’était manifestement trop fort, et volontairement trop fort. Et pourquoi n’était-ce pas Kriss elle-même qui m’avait fouetté ? Sans doute m’aurait-elle demandée après si j’en voulais encore, qu’aurais-je répondu alors ? Je me rendis compte que je n’aurais peut-être pas répondu non. Sans doute étais-je en train de repousser mes limites…

Je perdis vite la notion du temps, je ne sentais plus les pinces, mais je savais que lorsqu’on me les retirerait ce serait insupportable. C’est con d’être attaché, ça n’a rien d’excitant et en plus on ne peut pas se gratter. J’en venais à réfléchir à la proposition de Kriss, alors que tout à l’heure je n’envisageais même pas de l’examiner, je commençais à me dire que tout bien pesé, il y aurait peut-être quelque chose à faire, elle m’assurait un bon salaire, j’aurais en plus le contrôle de ces « affaires ». Au niveau de la sécurité de l’emploi ce n’était pas terrible, mais à bien y réfléchir mon job actuel était lui aussi à la merci de restructurations brutales et inopinées entraînant sa charrette de licenciements. Et puis surtout il y avait Kriss ! Travailler aux côtés de cette femme devait être une expérience unique. J’analysais tout cela dans tous les sens…

…Quand j’entendis une clé dans la serrure, ma décision était prise.

C’était Kriss elle-même qui venait me délivrer, et j’en fus satisfait

– Mets-toi à genoux !

Kriss était nue, elle avait simplement revêtu une sorte de combinaison noire à grandes mailles. Elle était magnifique. Soudain elle s’accroupit très légèrement et – oh ! Surprise – se mit à uriner à même le sol, j’en étais dépité ; Pourquoi ne gardait-elle pas ce précieux liquide pour son esclave, à moins qu’il s’agisse encore d’une punition particulièrement perverse. Elle se fit couler de l’urine sur les mains, puis sans se les sécher approcha l’un de ces doigts de ma bouche, me le faisant lécher, je ne refusais bien sûr pas. Et maintenant son geste prenait tout son sens, c’était une promesse !

– Merci maîtresse !
– Viens !

Elle me retira mes pinces qui étaient devenues complètement indolores. Elle commença par les seins. Le retrait fut douloureux mais néanmoins beaucoup plus supportable que je ne le craignais. Elle me prit les tétons dans ses doigts et se mit à serrer fortement. Ça, j’adore et je poussais un cri où la douleur se mélangeait au plaisir. Elle joua avec mes bouts quelques instants, les faisant rouler entre le pouce et l’index. L’excitation était à son comble et ma bite devint toute raide. Elle s’arrêta brusquement et me fixa à nouveau une pince en prenant soin de la positionner différemment que la première fois. La douleur était toujours là mais, oh combien agréable, Kriss n’attendit pas longtemps pour fixer la deuxième. J’étais vaincu, elle pouvait faire de moi tout ce qu’elle désirait.

Le retrait des pinces accrochées à mes couilles fut lui beaucoup plus pénible, la peau des couilles à tendance à rester collé après la pince et ce n’est pas agréable. Je poussais un cri.

– Tu n’as pas le droit de crier ! Tiens prend cela et excuse-toi !

Deux baffes magistrales atterrirent sur mes joues

– Pardon maîtresse, merci maîtresse !

Le retrait de la deuxième pince fut encore plus douloureux que pour la première mais j’arrivais malgré tout à me retenir de crier

Tirant sur ma chaîne de collier elle me guida jusqu’au donjon. Là, elle me fit grimper à quatre pattes sur une curieuse table dont l’une des extrémités était terminée par un pilori. Je me retrouvais donc tête et poignets coincés par ce drôle d’engin tandis mes chevilles étaient attachées à la table. Je me demandais quelle diablerie Kriss avait encore imaginé quand soudain on me banda les yeux. J’aime pas du tout ce truc, le plaisir sexuel quel qu’il soit est aussi le plaisir des yeux. Mais bon, je n’étais pas en état de protester de toute façon. Je restais quelques minutes ainsi sans avoir la possibilité de faire quoique ce soit. Quelques bruits me parvinrent un peu plus tard, j’avais l’impression que l’on plaçait des gens quelque part, je ne comprenais pas trop. Je sentis qu’on me prenait la main et qu’on la refermait sur quelque chose, quelque chose de vivant et de doux, avant de réaliser qu’il s’agissait d’une bite, très vite j’en avais une deuxième à l’autre main.

– Branle-les !

C’était la voix de Kriss, ce n’était pas très facile, à travers le pilori, mes mains n’avaient pas beaucoup de « mou » mais j’arrivais néanmoins à trouver une certaine cadence. C’est contre mon visage que je sentis la troisième queue !

– Suce !

Cette queue me paraissait énorme, mais le contact dans la bouche était tout à fait agréable. A ce compte-là, je m’attendais avec une certaine appréhension à recevoir une quatrième pine, dans mon cul cette fois-ci, mais non ! Ce serait sans doute pour plus tard ! Je continuais tant bien que mal à essayer de coordonner mes mouvements. Ce n’est pas évident : Branler trop vite conduit inconsciemment à sucer trop rapidement, et vice versa, il faut donc tout faire moyennement…

– Mieux que ça ! Pédé !

Le coup de martinet me gifla le cul ! J’essayais de m’appliquer. Je sentis soudain un soubresaut parcourir la queue que branlait ma main gauche. Un jet de foutre m’éclaboussa. On fit partir de la salle son auteur ! Je sus après qu’il s’agissait du locataire de l’autre cellule, et qu’il clôturait ainsi son passage de trois jours chez notre dominatrice. Je continuais à m’occuper des deux bites restantes, quand on m’enleva mon bandeau. Je pus ainsi découvrir l’heureux propriétaire de cette pine volumineuse : il s’agissait de Fabrice, un grand noir qui manifestement appréciait la fellation que je lui pratiquais, l’autre bite appartenait à un blondinet que l’on avait maquillé et travesti et qui répondait au nom de Ghislain. Kriss tendit un préservatif à ce dernier et lui intima l’ordre de m’enculer. J’appréciais le tact de Maîtresse Kriss qui aurait très bien pu me faire prendre directement par Fabrice. En fait cette femme était constamment maîtresse de sa domination et savait exactement ce qu’il fallait faire au bon moment ! C’était décidément une femme exceptionnelle et travailler pour elle serait décidément pour moi d’un grand bonheur ! La queue de Ghislain était de taille moyenne et il me pénétra sans trop d’effort !

zara1– Ah vous êtes mignons, tous les trois, imaginez un peu si vos collègues de travail vous voyaient en train de faire tout cela !

Ghislain me bourrait le cul avec application, il allait et venait dans mon anus à un bon rythme ni trop rapide, ni trop lent, mais en accélérant insensiblement. Un étrange frisson me traversa tout le corps. J’aurais voulu remercier ma Maîtresse, mais on ne parle pas la bouche pleine… Kriss tournait autour de notre groupe, le martinet à la main, appliquant au gré de sa fantaisie tantôt un coup sur les fesses de Ghislain, tantôt sur celle de Fabrice, puis au bout de quelques instants :

– Bon ! allez on permute !

Ghislain se retira de mon trou du cul, enleva la capote et se mit devant moi, j’entrepris donc de le sucer à son tour, il faut bien avouer qu’une pine de taille normale est quand même plus pratique à sucer et donc plus excitant. Je fus étonné de la relative facilité avec laquelle Fabrice trouva le chemin de mon anus. Ça faisait légèrement mal et il n’avait pas le savoir-faire de Ghislain. Manifestement nous manquions tous les deux d’habitude, je n’étais pas du tout à mon aise et du coup la fellation que je pratiquais devait en souffrir. Fabrice reçut à la volée trois coups de martinet

– Tu vas trop vite, il faut commencer tout doucement de façon à ce que son anus se dilate correctement et après t’accélères !

Effectivement ça allait mieux, et ça commençait même par devenir franchement agréable, du coup je soignais tellement ma fellation que Ghislain éjacula dans ma bouche.

– Avale !

Je le fis cette fois sans réticence !

Fabrice lui s’était remis à me besogner à grande vitesse et finit par prendre son plaisir dans mon cul ! Kriss lui demanda de conserver sa capote et de se positionner devant mon visage.

– Alors c’était bon, tu t’es bien fait enculer ?
– Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse !
– Alors maintenant nettoie !

Je pris sur moi, respirait un grand coup, fermait les yeux et me mit à nettoyer les pollutions qui trainaient sur le préservatifs. Le premier pas fut le plus difficile, après ce fut bien plus facile.

– Bravo ! Bon ! On va changer de jeu ! Mais avant, dis au revoir à ces messieurs.

Situation complètement insolite, j’échangeais une poigné de main avec Fabrice et voulut faire de même avec Ghislain, mais Kriss intervint.

– Pourquoi tu ne l’embrasses pas, il est mignon, non ?

J’hésite mais pas lui, il s’approche de ma bouche et s’y colle les lèvres, je le laisse faire, m’amusant pour la première fois de ma vie à rouler un patin à un homme.

– Tu sais que t’es sexy ! Me dit-il en me caressant les fesses, j’espère qu’on se reverra et que la prochaine fois ce sera toi qui m’enculera.

– Dis-moi quelque-chose ! Me demanda Kriss quand les autres furent partis
– Merci maîtresse, j’ai adoré sucer des bites et me faire enculer !
– T’es un choux ! Me répondit-elle en me gratifiant d’un bisou sur le bout du nez.

Quand je vous dis que Kriss est une maitresse atypique !

Kriss m’attacha ensuite les poignets à une sorte de trapèze qui pendait du plafond, puis me fixa une barre entre les chevilles afin de me maintenir les jambes écartées. Je la vis ensuite s’éloigner afin d’aller chercher quelque chose dans un sac en plastique. Elle en sortit des plantes que je n’identifiais pas tout de suite, avant de me rendre compte avec horreur qu’il s’agissait d’un bouquet d’orties.

– Non pas ça !

Les orties comme chez tout le monde évoquent le temps de l’enfance en culotte courte, celui où par mégarde on se fait piquer en pleine forêt, ça démange, alors on se gratte, et plus on se gratte plus ça démange, la peau se recouvre de plaques rosâtres, et il faut attendre d’être à la maison pour soigner tout cela avec une crème pharmaceutique ou avec du vinaigre…

– Quand tu auras essayé, tu en redemanderas ! Elles sont toutes fraiches, c’est Angélique qui les a cueillies ce matin.
– Non ! Maîtresse ! S’il te plait !

Se moquant pas mal de mes protestations, elle me balaya le torse avec le bouquet, immédiatement un picotement m’envahit, réveillant de vieux souvenirs, Ce premier picotement ne tarda pas à disparaître laissant la place à une seconde douleur ressemblant à une brûlure très légère, tout ceci n’était pas si désagréable.

– Les orties ont un secret, un seul, ils ne veulent pas que l’on se gratte après leurs caresses. Si on se gratte, c’est nul, si on ne se gratte pas on peut atteindre l’extase !

Et joignant le geste à la parole, elle mit ensuite les orties en contact avec mes tétons. J’assimilai ce nouveau plaisir avec ravissement. Elle frotta ensuite les orties contre l’intérieur de mes cuisses, puis sur mes bras. Ça me chauffait de partout. Kriss passa alors dernière moi, elle me caressa le dos, puis les fesses avec le bouquet, puis brusquement changea de méthode, et me fouetta carrément avec le bouquet. La sensation était délicieuse, il suffisait de s’y habituer.

– Encore ! Encore ! Merci Maîtresse !
– Elle revint face à moi
– Et maintenant la bite !
– Non !
– Comment cela non ?

Elle plaqua le bouquet sur ma bite, le contact des orties sur ma verge et sur mes couilles renforçait mon érection. Elle détacha du bouquet une unique tige et s’amusa à me frôler le gland avec, ma pine fut atteinte de soubresauts bien connus annonciateur de la jouissance. Il n’était sans doute pas dans ses intentions de me faire jouir comme cela.

– Bon je te laisse un quart d’heure en attendant que les orties se calment !

En fait, il faut plus d’un quart d’heure, la peau attaquée par les orties est atteinte d’ondes de chaleur et de retour de picotements qui sont supportables mais qui n’en finissent pas. Et puis il y a les marques qui elles mettent plusieurs heures à disparaître Mais enfin Kriss à raison, si on ne se gratte pas (et comment le pourrais-je ?) il n’y a pas de quoi en faire un plat. Le quart d’heure dura en fait une bonne heure (il ne faut jamais croire les femmes), et Kriss me détacha, j’ignorais s’il y avait une suite, mais cette fois elle m’enleva mes bracelets, mais pas mon collier. Angélique lui tendit une coupe de champagne vide, Kriss la plaça sous sa chatte et pissa à l’intérieur, puis me la tendit :

– Tu dois avoir soif ?
– Oui merci Maîtresse !
– Nous trinquerons dans quelques minutes, mais avant nous allons faire une dernière chose.

Quelle diablerie était-elle encore allée imaginer ?

– Couche-toi par terre !

J’obéis, elle me chevaucha, s’accroupit de façon à ce que ses fesses viennent au-dessus de mon ventre. J’avais peur de comprendre, elle n’allait pas pisser puisqu’elle venait de remplir le verre ? Ou alors elle allait… Non pas ça !

– Pas ça, maîtresse ?
– C’est un cadeau que je te fais, tu n’aimes pas les cadeaux ?
– Pas celui-ci, Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu n’avais rien dis l’autre jour !
– L’autre jour, vous n’aviez pas fait sur moi !
– Eh bien aujourd’hui, je vais te chier dessus et tu vas aimer :
– Non, on arrête tout, je m’en vais !
– On arrête quoi ? Je n’ai rien fait pour l’instant !

Kriss se releva soudain, et me fit face, je crus alors que j’avais échappé à cette épreuve que je ne souhaitais pas ! Elle se baissa approcha son visage du mien. Quel beau visage elle a, ma maîtresse, elle me regarde en souriant, elle passe délicatement sa langue sur ses lèvres, je sens que je vais me faire avoir…

– Ecoute mon biquet, tu as subi des épreuves autrement plus difficiles que celle-là, alors tu vas être gentil tu vas mettre tes tabous au vestiaire, tu vas arrêter de jouer les chochottes et tu vas te conduire comme un gentil esclave.
– Maîtresse, juste un mot : Quand j’ai rempli le questionnaire, sur la scato, j’ai répondu que je voulais essayer juste un tout petit peu… et on a déjà fait beaucoup de choses…
– Et bien justement c’est qu’on fait, c’est juste un petit peu.
– Mais…
– Bon, on ne va pas y passer la nuit, de deux choses l’une : Ou c’est toi qui vas me demander très gentiment que je te chie dessus ou alors tu prononces le mot de sécurité et tu te casses.

Partir ? Ne plus la voir ! J’ai bien failli le faire tout à l’heure, mais n’en ai plus trop envie. Je pris une profonde inspiration, ne me reconnaissant plus, je lâchais dans un souffle :

– Chiez-moi dessus, maîtresse !

Elle se remit en position, je décidais de fermer les yeux, mais Angélique s’en aperçut et vint me gifler !

– Regarde sinon tu ne t’habitueras jamais !

Kriss poussait, un bout d’étron finit par sortir de son cul, puis un long boudin dégringola, tomba sans bruit sur mon ventre. Quand elle eut terminé, elle se recula afin d’amener ses fesses à la hauteur de mon visage !

– Je suppose que tu désires me nettoyer, maintenant !
– Comme vous voulez, Maîtresse !

Je la nettoyais, au moins elle ne me prenait pas en traître, je savais maintenant très exactement tout ce qui m’attendais si j’entrais à son service. Pendant ce temps-là Angélique me débarrassait de la matière qui encombrait mon ventre.

– Badigeonne-moi ! Lui demanda-t-elle.

J’assistais alors à cet incroyable spectacle, Angélique s’imprégnant les mains de matière, se mit à tartiner les seins de ma maîtresse, puis son ventre, ses cuisses… et même ses joues. Je me fis alors la réflexion que cette insolite crème de beauté ne parvenait même pas à l’enlaidir. La soubrette lui badigeonna ensuite le pourtour des lèvres, Kriss en profita alors pour se lécher les babines, puis elle quémanda une petite crotte qu’elle prit en bouche et qu’elle suça à la façon d’une friandise en me regardant d’un air vicieux.

Je me surpris de bander comme un cochon.

– Viens me lécher mes seins ! Demanda-t-elle.

J’y avais déjà eu droit la dernière fois. Je n’hésitais pas, je n’étais plus sur terre, j’étais sur une autre planète, une drôle de planète.

– Bon, que les choses soient bien claires, je ne passe pas mon temps à faire de la scato, c’est tout simplement une de mes pratiques qu’il me plait de faire de temps en temps. Si tu restes avec moi pour ce que je t’ai proposé, il te faudra faire avec !

Une fois relevée, Kriss me tendit la coupe de champagne !

– Je suppose que tu as encore plus soif que tout à l’heure ?
– Oui, merci maîtresse !

J’avalais ce curieux liquide au goût de bière tiède d’un trait !

– Tu me dois une réponse !
– Bien sûr j’accepte ! Maîtresse !
– Non celle-là j’en étais sûre ! Mais quand pourras-tu commencer ?
– Le plus tôt possible, Maîtresse
– Lundi ?
– Oui je vais m’arranger !
– Angélique ! Cet esclave vient de gagner une pipe ! Suce-lui bien la bite.

Et c’est une bonne suceuse la petite Angélique, vous pouvez me croire !

© Boris Vasslan 2000/2003/2008/2018
le passage scato autocensuré dans les versions précédentes a été rétabli dans la version 2003
vasslan@hotmail.fr

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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