Boris

Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 07:48

Maîtresse Kriss 2 - Un jeudi d'esclave par Boris VasslanFetish2

thèmes abordés : bisex féminine, bisex masculine, domination hard, donjon, engodage masculin, : feuille de rose, party, scato, soubrette, spitting, uro

 

 

Quand même quand j'y pense ! Ma sexualité a basculé chez cette diablesse de femme, j'ai sucé des bites, je me suis fait enculer, j'ai léché un cul malpropre et je suis prêt à recommencer tout ça ! 


Le jour fixé, je me dirigeais vers son domicile dont je connaissais maintenant l'adresse en me débrouillant pour ne pas être en retard. Drôle d'idée pour une Maîtresse d'inviter un esclave à sa table, mais après tout pourquoi pas ? Je supposais qu'avant la domination proprement dite, on pouvait parfaitement parler d'autres choses. Ne voulant pas arriver les mains vides, j'achetais un volumineux bouquet de fleurs, en espérant qu'elle l'accepterait sans problème. Ce n'est qu'à moitié rassuré que je sonnais à sa porte. Angélique la belle antillaise vint m'ouvrir, et me libera de mon bouquet. Elle me conduisit ensuite vers la cuisine, où elle me transmit l'ordre de me déshabiller intégralement. L'ordre m'intrigua, mais après tout pourquoi pas ? Un déjeuner à poil serait peut-être une bonne façon de s'exciter avant de passer à la suite. Je m'exécutais donc et attendais tandis qu'Angélique s'affairait.


Dix minutes plus tard j'eu le bonheur d'apercevoir ma Maîtresse. Kriss était habillée d'un fuseau blanc super moulant et d'un chemisier très transparent qui laissait voir directement sa belle poitrine. Elle était réellement très désirable.


- Merci pour les fleurs, t'es un chou ! Me dit-elle en esquissant un petit bisou sur le bord des lèvres !


Puis elle sortit de la cuisine ! J'étais à la fois rempli de bonheur par la façon dont elle réagissait, en même temps qu'intrigué. Ce genre de conduite n'avait pas grand-chose à voir avec la domination. Kriss revint plusieurs longues minutes plus tard, et me passa un collier d'esclave, auquel elle attacha une laisse.


- Bon ! Tu vas marcher à quatre pattes derrière moi !


Je craignais alors le pire.


- Oui Maîtresse !


Elle me conduisit à la salle à manger où trois personnes finissaient de prendre l'apéritif, il y avait là le couple dont elle m'avait parlé. Elle, Chantal, belle femme, cheveux blonds décolorés et frisés, la quarantaine, assez plantureuse, habillée d'une robe hyper décolletée d'où elle avait pris soin de faire sortir de beaux tétons bien durs et bien sombres, le mari, Jérôme, assez quelconque, bedonnant, quasiment chauve et apparemment complètement myope. Le troisième personnage était Hélène, une grande rousse aux cheveux courts et à la peau laiteuse, vêtue d'une grande jupe noire, fendue des deux côtés, et en haut d'une sorte de débardeur à grosses mailles laissant apparaître les contours et les détails d'une fort belle poitrine. La beauté de ce spectacle me fit en partie oublier l'humiliation de ma position, d'autant qu'à ce moment-là personne ne sembla s'intéresser à ma personne.


- On passe à table ! Annonça Kriss, me tenant toujours en laisse.


C'est à ce moment-là que je réalisais que la table n'avait été dressée que pour quatre couverts, le mien n'était pas sur la table mais sous la table, un sentiment de honte m'envahit, c'était donc cela l'invitation de ma maîtresse, à sa table, oui, mais comme un chien. Ce n'est pas vraiment le genre de situation qui me fait bander !


Ce qui se passa ensuite fut totalement improvisé. Alors que les convives s'apprêtaient à s'attabler, Chantal demanda le plus simplement du monde :


- J'irais bien faire un petit pipi avant ! C'est où les toilettes ?


Kriss n'hésita pas une seconde.


- T'as qu'à pisser sur l'esclave, il sera ravi !


A ces mots, Angélique en bonne soubrette prévenante s'en fut chercher une bâche. Chantal eut sur le moment l'air d'être déstabilisée par cette réponse imprévue, puis réalisant qu'il ne s'agissait nullement d'une plaisanterie :


- Non désolé, je ne peux pas faire ça !

- Mais, si essaie, allez vas-y ! L'encouragea Hélène.

- Non, je ne pourrais pas !

- Tiens, je vais le faire d'abord, et après je te passe le relais !


Joignant le geste à la parole, Hélène retira prestement sa culotte et m'ordonna de m'allonger sur le ventre, elle se plaça debout au-dessus de moi et ne tarda pas à faire couler un petit jet qu'elle dirigea vers mon sexe qui redevint à nouveau tout dur, puis elle s'avança afin de se positionner au-dessus de mon visage. Je devinais ce qui allait se passer, elle s'accroupit légèrement, et tandis que tout le monde regardait autour de moi, je reçus l'ordre d'ouvrir la bouche et d'avaler - sans en perdre une goutte -, le précieux liquide. La quantité étant restreinte et le goût franchement agréable. Ce ne fut pas une corvée.


- Je peux faire caca aussi ? Demanda Hélène, comme si ce genre de chose était le plus naturel du monde.

- Non, il n'est pas encore tout à fait prêt pour ça ! Mais tout à l'heure, peut-être.

- C'est dommage, j'ai envie !

- C'est peut-être dommage, mais pour l'instant tu te retiens ! A ton tour Chantal !


Cette fois Chantal complètement désinhibée, n'hésita plus, elle adopta la même position initiale qu'Hélène, mais ce fut assez long à venir, puis soudain ce fut le déluge, elle avait vraiment une grosse envie, tout mon corps se mouillait de sa bonne pisse chaude et se répandait sur le carrelage. Hélène complément excitée remonta son soutien-gorge libérant deux seins magnifiques, puis recueillant avec les creux de ses mains un peu de la pisse de Chantal s'en barbouilla la poitrine.


- Pisse-lui dans la bouche !


Effectivement la fin du jet fut pour ma soif, mais l'abondance du liquide m'empêcha de tout boire. Je pensais que cette petite fantaisie se terminait quand Jérôme annonça son intention de pisser à son tour. Voilà qui ne m'amusait pas trop, heureusement le lascar avait surestimé ses possibilités et je n'eus pas à le supporter très longtemps. N'empêche que le plaisir éprouvé au contact des deux pisseuses s'effaçait place à la honte de ce troisième contact. On réagit bizarrement parfois…


Rien de tout cela n'avait été prévu et Kriss rappela à tout le monde qu'on allait manger assez vite, pour pouvoir pleinement profiter de l'après-midi. Le repas était en effet léger et rapide (crudités, quiches, salade, fruits). Et moi j'étais toujours au pied de la table pataugeant dans une mare d'urine que personne ne venait éponger. Le service était assuré par Angélique qui pour la circonstance avait revêtu une vraie tenue de soubrette, qui laissait à l'air sa belle poitrine d'ébène et ses petites fesses galbées.


Elle me servait après les autres, sans aucun ménagement en me balançant les aliments dans mon assiette posée au sol. Je n'avais pas trop faim, et la position n'était guère pratique, comme je crus qu'on ne faisait pas attention à moi, je résolu de m'asseoir en tailleur pour manger, mais un coup de cravache de maîtresse Kriss me fit reprendre vite la position initiale. Du coup les voilà qui me regardent tous, je n'ai plus d'appétit, il faut bien l'avouer, d'autant que mon assiette est maculée de l'urine de ces Messieurs dames, je laisse donc tomber. C'est Jérôme qui suggère qu'on me punisse puisque je n'ai pas l'air d'apprécier les bons petits plats de ma maîtresse, mais Kriss ne relève pas, son intention n'est ni de me forcer à manger, ni de prolonger notre présence autour de cette table.


Il fut convenu que l'on boirait le café en bas dans le donjon, pendant ce temps, ma maîtresse me conduisit à quatre pattes jusqu'à la salle de bain en me cravachant les fesses, et surprise me demanda de me doucher ! Cinq minutes après elle revint me chercher et nouvelle surprise, me déposa un petit bisou sur le coin des lèvres en murmurant :


- Tu es un bon esclave, continue à nous donner du plaisir !


J'en étais tout transporté de bonheur !


C'est bien sûr en laisse que je rejoignis le donjon, je pensais y retrouver d'autres personnes, mais non. Les trois "invités" étaient assis sur des poufs prêts à savourer le spectacle. C'est à eux que Kriss s'adressa en premier :


- Bon vous êtes mes invités, mais ici vous êtes sous mes ordres. C'est moi et moi seule qui dirige les opérations, quand j'aurais besoin de vous je vous ferais signe !


Puis elle me dirigea vers une croix de Saint-André où elle m'attacha de face. Elle commença par me passer un lacet qu'elle serra autour de mes couilles et à la base de ma queue. Puis elle entreprit de me tortiller le bout des seins. Contrairement à la dernière fois où elle avait agi progressivement, elle commença très fort, m'arrachant un cri de douleur, c'était fort mais supportable, elle savait parfaitement ce qu'elle faisait. C'est avec art qu'elle m'en écrasait le bout tout en leur imprimant un mouvement de pivotement. Bien évidemment ma queue se dressa, arrogante, grâce à cet habile traitement.


- Qui t'a autorisé à bander, petite salope ?

- Pardon,  Maîtresse !

- Tu vas être puni pour cela.

- Oui Maîtresse !


Kriss alla chercher deux pinces à seins et me les plaqua, elle se débrouilla pour me les placer le plus près possible de l'extrémité, là où cela fait le plus mal. Je pensais qu'elle allait s'amuser avec, mais pas du tout, elle décrocha du mur un martinet à longues lanières, et commença à m'en frapper les cuisses.


- Dix coups sur chaque cuisse, ça c'est le hors d'œuvre !


Au 20ème coup elle s'arrête, me sourit en tenant le martinet à la main, je sais qu'elle va frapper mais j'ignore où. Son regard possède en ce moment quelque chose de profondément troublant, je suis complètement dominé par cette femme, et prêt à subir (presque) n'importe quoi de sa part. Elle se met soudain à lécher l'extrémité du martinet et je m'aperçois à ce moment-là que celle-ci à la forme d'un gode. Je pense alors qu'elle va me le faire lécher. Mais non, le coup arrive en plein sur la queue. Je hurle, mais en reçois un deuxième.


- Pitié Maîtresse, ça fait trop mal.


Elle ne veut rien savoir, et continue. Au 8ème coup elle s'arrête me laissant presque groggy.


- Qu'est-ce qu'on dit ?

- Merci Maîtresse !

- Dis donc, pouffiasse, tu as employé un mot interdit quand je t'ai frappé.


Je comprends instantanément son jeu.


- Oui Maîtresse, j'ai imploré votre pitié, je ne ferais plus, punissez-moi Maîtresse !

- T'inquiètes pas pour la punition, tu ne vas pas être déçu, mais en attendant tu vas voir ce qui va t'arriver


Cette fois le coup est pour ma poitrine, le coup est si bien ajusté que la pince se déplace légèrement sur mon téton. Je comprends que c'était le but de la manœuvre. Nouveau coup de fouet, cette fois la pince tombe en me faisant hurler de douleur. Elle vise l'autre qui ne tombera qu'au troisième coup. Je n'en puis plus ! Elle ramasse les pinces et me les replace. Je commence à me demander si je vais tenir le coup à ce rythme-là. Cette fois elle prend un temps infini pour viser avec son martinet, manifestement elle veut le faire tomber du premier coup. 


Splash, le coup tombe, cinglant douloureusement ma poitrine tandis que mon téton ressent cruellement la torture de la pince qui se détache. Je suis en sueur, il est temps qu'elle passe à autre chose, j'attends avec appréhension le deuxième coup de martinet. Cette fois encore elle détache la pince du premier coup. Je panique quand je la vois ramasser les pinces, mais ce n'est que pour les ranger. Elle me détache de la croix. Comme elle ne m'a fouetté que devant, je pense qu'elle va me retourner pour me fouetter le dos et les fesses, mais non, ce sera sans doute pour plus tard.


- A genoux, salope !

- Oui maîtresse !

- Tu es venu-là pourquoi aujourd'hui ?

- Pour vous obéir, maîtresse !


Elle me balance une gifle magistrale et me crache au visage plusieurs fois de suite.


- Non ce n'est pas la bonne réponse !

- Pour... pour... pour...


Nouvelle gifle


- Alors ça vient ?


Je n'ai aucune idée de la réponse qu'elle attend, puis me remémorant ses "promesses" de la dernière séance :


- Pour vous nettoyer le cul, maîtresse !


Nouvelle gifle !


- Non t'es venu pour te faire enculer !

- Oui maîtresse !

- Dis le ! Je veux t'entendre le dire !

- Je suis venu me faire enculer, Maîtresse !


Puis Kriss s'adressant à Jérôme :


- Viens ci ! Connard !


Kriss me fit placer derrière lui. Pourquoi derrière ?


- Bon, tu vas aller toucher la bite à Jérôme, mais attention pas n'importe comment, n'oublie pas les gestes que tu vas faire, j'espère qu'on aura l'occasion de les refaire… Tu restes derrière lui et tu lui caresses la braguette jusqu'à ce que tu sentes son sexe durcir.

- Ça y est c'est dur !

- Bon, alors maintenant tu ouvres la braguette, et tu continues à le caresser à travers le slip, voilà caresse le doucement on n'est pas pressé. Tu as vu Chantal ce qu'il se fait faire ton mari ? Tu savais qu'il était pédé ?

- Un peu, oui, mais Il me surprendra toujours !

- Bon maintenant tu peux lui sortir la bite, et tu la branle doucement ! Ne bouge pas, reste derrière.



L'idée de faire des choses avec ce type ne m'enthousiasmait guère, mais il faut avouer qu'il avait une belle pine et un gland superbe.


- Mets-toi devant lui, sors-lui les couilles et caresse-les. Bon maintenant tu peux lui baisser le pantalon et le caleçon. Allez maintenant, suce-le !


Sans trop réfléchir, je gobais la verge de Jérôme et entrepris de la sucer, le contact était doux et chaud et la sensation d'interdit lié à cet acte m'excitait considérablement. Mais soudain je sentis sa queue se raidir violemment dans mon palais. Cet abruti était en train de jouir dans ma bouche !


- C'est vraiment malin ! Retourne à ta place ! Et toi avale !


Je ne me décidais pas à le faire, mais quelques gifles eurent raison de mes réticences. Après tout ce n'est pas mauvais


Chantal et Hélène étaient mortes de rire devant cette situation imprévue.


- Ça vous fait rire vous deux ? Pas moi, déshabillez-vous on va s'amuser.


Les deux femmes étaient assez différentes, Chantal affichait des rondeurs un peu limites sur un corps à la peau trop blanche et une chair qui deviendra vite flasque. Les fesses avaient une certaine tendance à la cellulite, mais la poitrine restait agréable quoique très légèrement tombante. Hélène, elle, avait le corps tout bronzé sauf la marque d'un slip brésilien, on sentait l'aérobic et les massages esthétiques.


Kriss fit mettre les deux femmes à quatre pattes.


- Toi l'esclave tu vas leur lécher le cul, et tu devras dire laquelle des deux a le cul qui sent le plus fort !


Bis repetita de la première séance, donc ! Mais avec deux femmes, cette fois-ci. La précédente séance m'avait permis de me débarrasser un tout petit peu de mes inhibitions en ce domaine, mais pas complètement. Par contre, sucer un trou du cul bien propre, ne m'avait jamais gêné, restait à savoir si ceux-ci l'étaient. Je commençais par Chantal et me souvint à ce moment-là qu'aucune des deux femmes ne s'était rincé après le pipi du midi. Je fourrais donc ma langue dans son anus, bien agréable à lécher sans vraiment ressentir quelque chose de particulier.


- Alors il est comment son trou du cul ?

- Il est propre maîtresse !

- C'est bien dommage ! Dis donc Chantal, je t'avais pourtant demandé de garder ton cul un peu sale…

- Je sais, j'ai pris une douche ce matin mais je n'ai pas été faire caca depuis.

- Et là tout de suite tu n'as pas envie ?

- Je ne crois pas !

- Alors je vais devoir te punir !

- Comme vous voulez, maîtresse !


Je léchais à présent l'autre, la différence fut vite évidente, mais me rendant compte que personne ne m'obligeait à le lécher davantage je stoppais immédiatement !


- Celui-là est moins propre, Maîtresse !

- Et bien justement nettoie-le !


Très curieusement, et contrairement à la première fois, je m'aperçu que cet ordre dégoûtant me plaisait, si ma maîtresse m'imposait cette épreuve c'est qu'elle savait que j'étais capable de le faire, pour rien au monde je ne voulais la décevoir. Je commençais par lécher les traces brunes, puis donnais donc des coups de langues au plus profond que je pouvais, rencontrant un goût acre et troublant.


- Je peux pousser ? Ça vient ! Prévient Hélène.

- Non retiens toi, je vais vérifier tout ça !


Mika Vony B12A ces mots, Kriss introduisit un doigt dans le cul d'Hélène et entreprit quelques mouvements de va-et-vient, puis le ressortit.


- Lèche !


J'évitais de regarder et léchais l'index pollué de ma maîtresse.


- C'est bon ?

- Oui maîtresse !

- T'es vraiment qu'un papier à cul !

- Oui maîtresse !

- Tu viens de lécher deux culs, t'en lécherais bien un autre ?

- Oui Maîtresse, le vôtre !

- Tout à l'heure si tu es sage !

- Merci maîtresse !


Maîtresse Kriss alla chercher un gode ceinture, et le confia à Hélène.


- Il faut bien que quelqu'un l'encule ! A toi l'honneur, Hélène !


Kriss me fit mettre à quatre pattes et tandis que la rousse me forçait le cul de son gode, ma maîtresse passant ses mains sous mon torse me tortillaient les seins.


Au bout de cinq minutes de pilonnage anal, Hélène fut invitée à se retirer.


- Regarde-moi ce cochon, Commente-t-elle, il a tout sali le gode.

- Quand on salit, on nettoie.


Je m'exécutais sans broncher prenant conscience que ce qui me restait d'inhibition en la matière (c'est le cas de le dire) était en train de disparaître.


Ensuite, Maîtresse Kriss me fit allonger sur le dos sur une table où elle m'attacha par les poignets et par les chevilles, puis s'éloigna de quelques mètres pour revenir avec une bougie allumée ! Je n'avais jamais eu l'occasion de tester ce supplice. Cependant il ne m'inspirait guère. Si une dominatrice peut toujours doser la portée d'un coup de martinet ou de cravache, si elle peut doser la douleur d'une pince comment par contre doser la brûlure d'une bougie en fusion ? Comme pour me donner confiance, Kriss se débarrassa (enfin) de son chemisier et entrepris de faire couler la première cire sur son sein, ce qui lui provoqua un petit frémissement, puis sans transition, elle en coula sur la paume de mes mains, curieuse sensation... une douleur vraiment à la limite de la brûlure, mais ce n'est pas une brûlure, ça picote et c'est loin d'être désagréable. 


Elle dirigea ensuite la coulée vers mes seins, zone beaucoup plus sensible, je poussais quelques petits cris, mais la douleur n'avait malgré tout rien à voir avec ce qu'elle m'avait infligé avec le martinet et les pinces. C'est ensuite mon nombril qu'elle attaqua s'amusant à le remplir entièrement de cire en fusion. J'appréhendais la suite sachant que la prochaine cible serait ma bite. C'est effectivement ce qui se passa, mais auparavant elle prit deux bougies plus grosses et qui coulaient donc davantage, une sorte de chaleur trouble envahit soudain mes couilles, me provoquant à nouveau une belle érection. C'est exactement ce que cherchait Kriss qui fit ensuite couler le liquide sur ma verge et sur mon gland.


- Bon il reste encore plein de trucs à faire, on ne va pas tout essayer aujourd'hui ! Mais tu vas avoir ta récompense. Avant tu vas aller dans la salle de bain et te débarrasser de toute cette cire de bougie que tu as sur le corps. Au passage tu demanderas à Angélique de nous servir le café. C'est elle qui te ramènera ici !


Il n'est pas évident de retirer les morceaux de cire qui s'agglutinent dans les poils, la prochaine fois, avant de venir, je me raserais le corps intégralement et j'espère que cela plaira à ma maîtresse. Au bout d'un quart d'heure je n'étais toujours pas prêt, Angélique pénétra dans la salle de bain.


- Je n'ai pas tout à fait fini !

- Je sais, j'attends !


J'avais l'air un peu idiot de m'escrimer avec mes morceaux de bougies fondues coincés dans les poils de mes couilles. J'essayais d'engager la conversation.


- C'est pas évident vous savez ?

- Ce qui est évident c'est que maîtresse Kriss va perdre patience !


A ces mots Angélique se saisit d'un téléphone portable


- Il n'est pas encore prêt… Ah, d'accord…  Bien Maîtresse !


Angélique farfouilla dans l'armoire de la salle de bain et en ressortit une bombe de gel à raser et plusieurs rasoirs.


- Tu finis avec cela ! Kriss ne veut plus voir un seul poil ! Je vais revenir !


J'entrepris donc de me raser tous les poils. Cette opération n'est pas très rapide mais je réussis à la mener à bien, éprouvant une nouvelle sensation trouble en caressant mon corps devenu lisse.


Angélique revint, elle tenait dans ses mains des bracelets en cuir, sans que nous quittions la salle de bain, elle me fit mettre à genoux et m'attacha les chevilles avec une première paire, les poignets derrière le dos avec la seconde paire, puis le rejoignit les deux paires avec une courte chaîne qui m'empêcherais de me relever


- Voilà tu restes là un moment, on viendra te rechercher quand on aura besoin de toi !


Je ne m'attendais pas à cela, mais puisque cela faisait partie du jeu... Je n'avais pas ma montre et il n'y avait pas de pendule dans cette pièce. Toujours est-il qu'au bout d'un moment j'avais les genoux en compote, à force de contorsion je parvins à me coucher en chien de fusil sur le carrelage froid, pour me rendre compte aussitôt que la position était tout aussi inconfortable et difficilement réversible. Je perdais la notion du temps me demandant quand même ce que je faisais là. Ce genre de punition n'ayant rien de particulièrement excitant, je ne tardais pas à avoir une envie de pisser irrésistible. Il était temps qu'on revienne me chercher, mais personne ne venait. Je criais assez fort :


- Y a quelqu'un ? J'ai envie de pisser !


Mais je savais bien que personne ne viendrait, sauf quand Kriss l'aurait décidé. Je n'avais qu'une solution : attendre, étant bien entendu que si je m'octroyais la fantaisie de faire un raffut du diable, la domination s'arrêterait brusquement et définitivement, ce que je n'osais envisager.


L'envie d'uriner me prenait à la gorge, et je laissais convaincre que je n'avais pas à me gêner, et je me résolu à me pisser dessus.


Peu de temps après Angélique vint me délivrer :


- C'est quoi ce bordel ?

- J'avais trop envie !

- Je devrais te faire nettoyer, mais je ne peux pas faire attendre Maîtresse Kriss, mais tu ne perds rien pour attendre, j'en ai marre de passer mes journées à éponger la pisse !


J'ignorerais toujours ce qui s'était passé pendant mon enfermement, mais je constatais que Jérôme était maintenant emprisonné à poil dans une cage. Hélène, elle était attachée à la croix de Saint André, ses seins et sa chatte étaient pris dans des pinces et tout son corps était strié de marques de martinet. Quant à Chantal et Kriss elles étaient enlacées sur un tapis, l'air épuisées comme si elles venaient de s'envoyer en l'air. Néanmoins, à mon arrivé Kriss se redressa :


- Ah, ben te voilà quand même, toi ! On t'attendait ! Hélène avait une grosse envie, j'ai dû la punir pour l'obliger à se retenir. Tu vas pouvoir te régaler du spectacle


Devant mon peu d'enthousiasme, elle ajouta :


- De toute façon tu vas adorer, c'est un spectacle que t'offre ta maîtresse, et elle est contente de te l'offrir !


La tournure des évènements ne me plaisait pas trop. Kriss détacha Hélène et fit sortir Jérôme de sa cage. Elle lui demanda de se coucher sur le sol. Hélène vint s'accroupir au-dessus de lui, se mit à pousser et lui chia un long étron sur le visage. Je ne vis pas la suite, Kriss m'entrainant à l'autre bout de la pièce en tenant à la main un plat en argent qu'elle posa à même le sol, avant de se mettre en position et de commencer à pousser, je regardais partagé entre répulsion et fascination ce boudin marron qui se tortillait au bout de son anus avant de dégringoler. Quand elle eut terminé, elle se mit à genoux, fesses relevées et ordonna :


- Viens lécher le cul plein de merde de ta Maîtresse !


J'obtempérais, d'abord hésitant, puis me persuadant qu'il fallait le faire, pour ma maîtresse. Je le lui nettoyais donc avec une application qui se transforma vite en excitation.


- Alors c'était bon ?

- Oui, maîtresse !

- Dit moi ce qui était bon !

- De lécher votre merde, maîtresse !

- Alors tu as droit à un petit bonus !


Alors devant mes yeux incrédules, je vis Maîtresse Kriss ramasser un peu de matière, en faire une petite boule qu'elle approcha de sa bouche pour  la lécher à grands coups de langue avec un air de défi, puis s'en badigeonner les tétons avant de me les offrir à sucer.

 

Complétement parti dans ce trip scatologique, je n'hésitais même pas et léchais ces pointes merdeuses dans un état second.

 

- C'est bien ! Tu es un bon esclave, tu vas maintenant te faire jouir pendant que je te pisse dans la bouche !

- Oh quel beau cadeau ! Merci maîtresse !


Et joignant le geste à la parole, ma maîtresse posa sa chatte sur ma bouche et la remplit de ce délicieux liquide, tandis que d'une main fébrile je faisais enfin jouir ma bite.


- Je pourrais revenir vous voir, Maîtresse ?


Sa réponse ne fut qu'un sourire mais ce fut la plus belle des récompenses.


FIN DE L'EPISODE

Boris Vasslan © 2000 (remanié en 2003 et reconstitué dans son intégralité en 2008)

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 07:17

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris VasslanFetish2

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris Vasslan

Je ne m’étendrais pas outre mesure sur les circonstances qui m’ont fait rencontrer Maîtresse Kriss. Curieux des choses du sexe et attiré par de nombreuses fantaisies (notamment l’uro) je développais un masochisme assez léger se limitant la plupart du temps à quelques fessées à la main ou au martinet, ou à quelques jeux de pinces sur mes seins. Je le faisais soit seul, soit à l’occasion de quelques visites tarifées. J’ai eu envie d’aller plus loin, un jour, à l’occasion d’une semaine de congés après avoir acheté « Foufoune magazine ». La plupart des annonces de dominatrices renvoyaient sur des répondeurs, les écouter m’excitait. Il manquait un petit déclic pour me faire franchir le pas. Ce fut cette annonce publiée sans photos :

« Je domine peu car je le fais aussi pour mon plaisir, mais ce que j’aime par-dessus tout c’est initier ceux qui ne connaissent pas ce domaine »

Une nana qui ne fait pas ça à la chaîne et qui s’occupe bien des petits nouveaux ! Non, ça existe ? J’appelle ! J’ai droit à un court texte de présentation enregistré et on me demande d’appeler à un autre numéro entre telle heure et telle heure.

Je l’ai fait.

– Voilà, j’ai lu votre annonce et…
– C’est la première fois ?
– Oui !
– Tu aimerais qu’on te fasse quoi ?
– Je ne sais pas… Des fessées, des pinces…
– C’est tout :
– Du pipi si vous faites ce genre de choses !

Elle m’indique aussi que je risque de ne pas être seul, qu’elle a souvent d’autres soumis, voir des « invités ». Je ne m’attendais pas à cela mais ça ne me gênait pas plus que ça… Et alors que je pensais qu’on allait enfin prendre rendez-vous, elle me proposa une rencontre préalable dans une brasserie du centre de Paris…et m’indique ses tarifs.

C’est elle qui doit me reconnaître, j’ai l’air fin avec « Modes et Travaux » à la main. Une grande blonde, coiffée en chignon, tailleur noir et rouge aux lèvres arrogant pénètre dans le bistrot quelques minutes plus tard ! Serait-il possible que cette apparition soit la dominatrice avec laquelle j’ai rendez-vous ?

Ben, oui !

Regard circulaire, elle m’aperçoit, se dirige vers ma place et s’assoit en face de moi !

– Bonjour, je vous plais ?
– Il faudrait être difficile !
– Tu ne bois pas ton verre, tu n’as pas soif ?

Déjà le tutoiement ! Mais je ne comprenais pas le sens ce cette question.

– Pas plus que ça !
– Porte ce verre à tes lèvres, c’est un ordre !

Mécaniquement je le fis, toujours sans comprendre.

– Regarde-moi pendant que tu bois et maintenant imagine que tu es en train de boire ma pisse !

Et voilà ! Juste quelques mots, et déjà je bande comme un âne !

– Je suppose ,que tu sais comment se passe une séance de domination ?
Oui !
– Il y a des pratiques que tu ne supporte pas ?
– Je ne pense pas, en fait je suis soumis, mais je n’aime pas quand ça fait trop mal.
– Ne t’inquiètes pas pour ça, je sais m’adapter. Je fais souvent des séances collectives, c’est plus cool quand il y a plusieurs soumis, ça ouvre plein de possibilités

J’ai compris le message, ça veut dire qu’elle me demandera de sucer un autre soumis, ça ne me dérange pas plus que ça, ça aurait même tendance à m’exciter.

– Et la scato ?
– C’est pas mon truc !
– Je m’en fous que ce ne soit pas ton truc, tu sera mon esclave et c’est moi qui commande, et si j’ai envie de faire un peu de scato, personne ne m’en empêchera.
– Je sais pas…
– Tu sais pas quoi ? Encore une fois, je suis une pro, je sais dominer et m’adapter a ce que supporte mes soumis.

Je ne réponds pas, je ne sais plus trop où je m’embarque

– Il y a une dernière chose qui faut que tu saches ! J’ai le plus profond respect pour les prostituées, mais il se trouve que je n’en suis pas vraiment une. J’ai des revenus suffisants et si je domine c’est uniquement par passion, c’est mon truc ! Au départ je donnais directement mon adresse et je faisais ça gratuitement. J’ai eu quelques problèmes, j’ai changé de stratégie, maintenant c’est moi qui choisit, quant à l’argent il a une autre fonction, donne-moi les sous.

– Je ne peux pas réfléchir un peu avant ?
– Non ! Tu m’as donc fait perdre mon temps, ce sont de choses qui arrive ! Salut ! Branle-toi bien !
– Non, attendez c’est d’accord.

Et je sorti la somme demandée

Je pensais alors qu’on concluait l’affaire et qu’on allait partir ensemble chez elle ! Non, non ! Elle sortit de son sac une paire de petits ciseaux et devant mes yeux horrifiés entreprit de découper les billets par leur moitié, elle en conserva la partie droite, et me rendit la partie gauche. Difficile de me dégonfler à présent !

– Demain à 9 heures !

Elle m’indiqua une station de métro. Et disparut non sans avoir passé coquinement sa langue sur ses lèvres.

Troublé de chez troublé !

Une matinée d’esclave

Donc le lendemain j’attendais à la sortie de la station de métro convenu. Kriss n’était pas à l’heure et l’espace de quelques minutes je me demandais si elle ne m’avait pas posé un lapin. Mais non la voici qui s’arrête, qui descend de voiture, je la trouve plus belle que la dernière fois, son tailleur lui va mieux et le corsage mauve légèrement déboutonné est terriblement sexy, de plus elle est chaussée de lunettes, je n’avais jusque-là pas remarqué qu’elle en portait. Elle me toise quelques secondes :

– Alors, toujours prêt ?
– Oui !
– Oui qui ?
– Oui maîtresse
– Tu as les moitiés de billets ?
– Oui maîtresse
– Tu me les donneras en arrivant, en voiture !

Nous roulons quelques instants, puis elle s’arrête de nouveau à un carrefour,pour faire monter un deuxième homme. Ce dernier entre dans le véhicule en me disant poliment « bonjour ! », mais Kriss intervient en nous intimant le silence.

Au bout d’un quart d’heure nous voici arrivés.

– Bon vous allez prendre le petit escalier à gauche, Angélique va s’occuper de vous. Et moi je vous retrouve dans quelques minutes… pour bien vous faire souffrir.

Ah ! Cette expression du visage quand elle nous a dit cela, une vraie promesse, terriblement excitante.

– Bonjour je m’appelle Angélique, je suis la soubrette !

Angélique est une jeune antillaise au physique fort agréable, mais je n’imaginais pas une tenue pareille pour une telle fonction, jeans et chemisier à carreaux. Je me demandais quel rôle elle aurait par la suite.

Nous entrons dans la cuisine, superbement aménagée, et là surprise, un petit déjeuner très complet nous attend.

– Voilà de quoi prendre des forces ! Mais ne trainez pas trop ! Quand vous aurez fini, vous sonnerez et je viendrais vous chercher pour vous préparer. La domination commencera vers 10 heures et se terminera vers midi. Après vous pourrez prendre une douche et si vous le voulez un repas léger. Vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous soigne pas !

Je n’ai pas spécialement faim, mais je mange néanmoins une tartine avec un café au lait. Mon compagnon, lui s’empiffre, et comme il ne fait aucun effort pour entamer la conversation, je n’en fais pas non plus. Ayant donc fini avant lui, j’attends donc le moment de sonner et de passer aux choses sérieuses.

A 9 h 45 nous sonnons Angélique.

– Alors mes cocos, c’était bon ? Bon maintenant suivez-moi !

Et elle nous dirige vers un petit vestibule.

– Voilà de quoi déposer vos affaires ! Vous allez vous mettre complètement à poil, y compris les chaussettes, la montre et toute la quincaillerie ! Ah, au fait, nous aurons des invités, alors, il y a des masques et des loups à votre disposition si vous le souhaitez.

Mais nous ne le souhaitions pas… Nous voici à poil, le mec me regarde la bite, je regarde la sienne, Curieux comme situation !

Angélique nous passe autour du cou un collier d’esclave et nous demande à nouveau de la suivre dans cette tenue. Nous voici dans les sous-sols.

– Bon, dernière instruction, si vous voulez arrêtez la domination il vous faudra répéter deux fois le mots de sécurité. C’est « Tournesol ». Si vous le prononcez, tout s’arrête, il n’y pas de négociation possible, on vous fout à la porte… Sinon, vous pourrez toujours dire « arrête, stop ou pitié » on n’en tiendra pas compte. Tout le monde a bien compris ?

La pièce est très grande, les murs sont blanchis à la chaux et il y a tout un attirail pour S.M., une croix de Saint-André, un pilori, une cage et bien sûr beaucoup de chaînes. D’autres objets font insolites dans ce lieu, notamment un tableau noir, un vrai tableau noir avec son porte craie et aussi un pot de chambre en porcelaine. Angélique nous suspend les poignets en l’air et nous fixe une barre rigide entre les chevilles afin de maintenir nos jambes écartées.

Kriss entre alors, elle ne s’est pas changée et porte toujours le même tailleur, mais elle n’est pas seule, deux personnages l’accompagnent : une grande femme rousse aux cheveux assez courts, elle aussi est en tailleur celui-ci est noir, très strict; et il y a aussi un homme genre taciturne en veston cravate. Ce dernier s’assied sur une chaise sur le côté très en retrait par rapport à ma position. Les deux femmes s’installent devant nous et quittent toutes deux leur veste de tailleurs. Jenna (la rousse) en restera là et elle s’assoit tandis que Kriss retire également sa jupe.

J’apprendrais un peu plus tard qu’en fait le cravaté qui se prénomme Victor est un client, il est voyeur et bisexuel mais pas soumis.

Kriss s’approche de Jenna et lui roule une pelle.

– Ils m’ont pas l’air trop motivés tes esclaves !
– Fais moi confiance !
– Il y aura de la scato, j’espère
– Mais bien sûr ma biche !

Et voici Kriss qui s’approche de nous sans rien dire, se caressant les seins à travers son corsage maintenant à moitié déboutonné. Je sens monter une certaine excitation, ce qu’elle attendait sans doute, elle glisse deux mots à l’attention d’Angélique, qui détache le deuxième esclave, puis l’enferme dans une cage. Je vais donc avoir « l’honneur » de passer en premier.

Kriss a fini de se déboutonner; elle conserve néanmoins son corsage ouvert, en dessous un soutien-gorge noir, et en bas une petite culotte rose. On ne peut pas dire qu’elle fait des efforts d’imagination en accoutrement, mais elle m’avait prévenu que fétichisme, sous-vêtements et tout cela n’était pas trop son truc. Par contre quelle sensualité ! En dandinant, elle s’approche encore plus de moi, puis elle me saisit chaque bout de sein entre le pouce et l’index et commence à tourner. J’adore cette « caresse », elle le fait très bien, me provoquant quasi instantanément une solide érection.

– Qui t’as autorisé à bander ?
– Personne Maîtresse !

Et vlan, voilà que je reçois une gifle, pas trop fort mais c’est quand même une gifle, puis elle me crache dessus.

– Quand je te crache dessus je veux que tu ouvres la bouche, tu as compris, esclave ?

J’ouvre la bouche, elle recrache, puis recommence à me faire le bout des seins de plus en plus fort, finissant par m’arracher de petits cris de douleurs (ou plutôt de douleurs mêlées de plaisir.)

– On t’a autorisé à crier ?
– Non, Maîtresse !

J’attends la gifle, mais elle ne vient pas, me signifiant donc implicitement que c’est elle qui commande le jeu, faisant ce qu’elle veut quand elle le veut.

Elle me passe alors un lacet autour de mes couilles et le serre fortement, puis elle continue de me travailler les tétons, mais cette fois elle le fait du bout des ongles. Je délire de plaisir, ma bite est tendue au maximum. Une double paire de gifles complètement inattendue et complètement imméritée, suivit de plusieurs crachats vient me surprendre. Je n’en peux plus, je veux encore qu’elle me gifle, qu’elle me crache dessus, je veux encore qu’elle me torture les seins, Cette fois c’est ma pine qui est giflée, j’aime moins mais qu’importe, c’est elle la maîtresse, elle peut à ce moment-là me faire ce qu’elle veut. Ses ongles s’enfoncent de plus en plus dans mes seins sans toutefois les blesser, je craque, j’hurle de douleur et reçois à nouveau deux paires de gifles. Les larmes me montent aux yeux, mais je suis en extase. Je ne regrette vraiment pas d’être venue.

– Bon je vais te rougir le cul !

Elle passe derrière mois, armée d’un martinet et commence à me cingler les fesses, les premiers coups sont en fait destinés à tester ma résistance à la douleur. Quand elle pense avoir trouvé la bonne force de frappe, elle me dit :

– Tu vas compter jusqu’à vingt et chaque fois tu me diras  » merci maîtresse ! « .
– Oui maîtresse !

Le premier coup sérieux arrive, il reste très supportable

– Un ! Merci maîtresse !

Le second sera un peu plus fort !

– Aie ! Deux ! Merci maîtresse !

Quel métier ! Elle sait doser exactement ses coups, ne pas les rendre insupportables, mais à la limite quand même ! Arrivé au 19ème coup, je suis quand même content de savoir que cela va finir :

– 19 ! Merci maîtresse !
– Comment ça ? C’était le 18ème !

Que faire ? Que dire sinon s’incliner ?

– Peut-être ! Pardon Maîtresse, j’ai dû me tromper !
– Tu as voulu mentir à ta maîtresse, tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !

Le 20ème coup tombe beaucoup plus fort !

– Pitié Maîtresse !
– Pardon j’ai mal entendu !
– 19 ! Merci Maîtresse.

Le 20ème coup tombe, puis comme je le craignais elle n’arrête pas, les coups sont vraiment un peu trop forts. Aura-t-elle l’intelligence de s’en apercevoir ? Si elle continue je vais être obligé de prononcer le mot de sécurité.

– 23 ! Merci maîtresse ! Pitié maîtresse je n’en peux plus
– Ta gueule, sale pédé !

Un 24ème coup tombe puis un 25ème.

– 25 ! Maîtresse merci, je vous en supplie, arrêtez !
– J’arrête quand je veux et sûrement pas quand tu me le demandes !

Mais le 26ème est moins fort ! Nettement moins fort, je ne comprends pas bien…

– 26 ! Merci maîtresse !

A trente elle s’arrête, elle me fait face, et retire son corsage et son soutien-gorge. Ses tétons sont très sombres et très gros, de plus en ce moment ils sont bandés de plaisir. Comme j’aimerais les sucer mais je ne rêve pas, je sais que c’est probablement impossible.

– Alors, c’était bon ?
– Oui Maîtresse !
– Tu en reveux encore ?
– Pas tout de suite Maîtresse !

Elle saisit à nouveau mes bouts de seins et les serre avec ses ongles. Ça, j’aime, ça fait mal mais en même temps ma bite se remet à bander au maximum. Tout d’un coup, elle me saisit les couilles et se met à me les tordre. Je n’apprécie pas vraiment. Malheureusement dans les séances de domination, il y a des trucs qu’il faut supporter et qui ne font pas grand-chose. Puis voilà qu’elle me pince les couilles avec ses ongles, je n’aime pas trop d’habitude, mais je dois avouer qu’elle fait cela très bien.

Elle se dirige maintenait vers un petit placard et revient avec une petite cassette d’où elle extrait une série de pinces. La première pince sera pour mon sein droit. Je crie mais c’est supportable, c’est même assez bon ; la seconde pour l’autre sein, puis elle m’en placera quatre sur chaque couille.

Elle saisit tout d’un coup les pinces qui sont sur mes tétons, fait semblant de me les enlever, puis me les remet, je pousse des râles de jouissance et de douleur.

Kriss est apparemment très excitée, et de temps en temps elle se pince ses propres tétons à travers son soutien-gorge.

– Dis donc gros vicieux, qu’est-ce que tu as à mater mes seins ?

Et paf je reçois une nouvelle gifle, je tends l’autre joue, mais la deuxième ne vient pas !

– Et puis quoi encore, ça te ferait trop plaisir.

Elle cherche quelque chose dans sa cassette et reviens cette fois avec des poids en plomb, après chaque pince elle posera un plomb. Aux seins, cela reste supportable, aux couilles ça commence à faire sérieusement mal. D’autant qu’elle va maintenant doubler, puis tripler, puis quadrupler les plombs. Mais Kriss est une dominatrice experte, elle sait qu’elle n’aura du plaisir à regarder la souffrance de ses esclaves que si celle-ci reste un tout petit peu au-dessus de ce qu’ils peuvent supporter mais pas au-delà. Elle m’enlève donc les pinces aux testicules. Bon sang, le fait de les enlever fait presque aussi mal que de les mettre. Elle dit deux mots à Angélique qui (surprise !) me détache.

– A quatre pattes !

Je m’exécute, les poids aux pinces, n’ayant maintenait plus mon torse pour compenser leur action tirent violemment sur mes tétons, elle me fait ainsi faire le tour de la pièce, me fouettant quand je ne vais pas assez vite.

– Tu aimes ce que je te fais, esclave ?
– Oui maîtresse !
– Tu ferais n’importe quoi pour ta maîtresse ?

Oh là ! La question piège ! Attention à la réponse !

– Tu vas me répondre ?

Et à ces mots le martinet single à nouveau mes fesses

– Oui maîtresse !
– Allonge-toi par terre !

J’obéis et je me couche sur le dos, les poids cessent alors de me faire mal ! Kriss saisit à nouveau le martinet et me frappe la poitrine, pas trop fort mais de façon à ce que la trajectoire du coup rencontre l’endroit où les pinces sont accrochées à mes tétons. Et bien sûr, l’une des pinces se décroche m’arrachant un cri de douleur. Il faudra plusieurs coups pour que l’autre se détache à son tour sous l’action du martinet.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci Maîtresse !
– Tu veux souffrir encore ?
– C’est vous qui décidez, Maîtresse !
– On va passer à autre chose !

A ces mots Angélique me replace dans la même position qu’au début, puis se déshabille complètement. Elle non plus n’est pas mal du tout et je me la « ferais » volontiers. Kriss est revenue quelques instants auprès de Jenna (qui à part sa veste de tailleur, n’a entamé aucun déshabillage) et lui roule une pelle magistrale. Kriss revient maintenant avec un gode ceinture dans la main, elle retire sa culotte puis s’harnache avec l’objet. Angélique règle la chaîne qui retient mes poignets au plafond afin de donner du mou.

– A genoux ! Esclave !

Je m’exécute, bien sûr ! Kriss se plante devant moi :

– Suce !

obla9b. J’en étais sûr ! Encore un machin qui ne me fait rien, (et encore j’ai échappé jusqu’ici au léchage des pieds et des jambes). Je préférais mille fois lui lécher le trou du cul, mais je me dis que cela viendra peut-être ! Je lèche donc le gode-ceinture. A chaque fois que je fais mine d’arrêter, elle m’ordonne de continuer, bref cela dure des heures, et en plus ça me fait débander. Tant pis après tout cela me repose. Jusqu’ici elle avait compris mes réticences sur certaines pratiques. Là, non, en apparence ! Je présume qu’après, le gode va atterrir dans mon cul ce qui est quand même nettement plus intéressant !

Enfin, elle me fait arrêter. Kriss se tourne vers Angélique

– Tu peux ?

Je me demande de quoi il est question, puis je vois Angélique s’accroupir sur le pot de chambre, puis pisser dedans. Du coup me revoilà devant ce joli spectacle en train de rebander.

Elle positionne ensuite la cuvette au niveau du gode ceinture de Kriss qui le trempe dedans. Je crois avoir compris ce qui va se passer. Effectivement, elle s’approche à nouveau de moi et me demande de lécher le gode dégoulinant de pisse. Ça j’adore, c’est avec avidité cette fois que je lèche l’instrument ne voulant rien perdre de ce précieux liquide. Malheureusement, ça ne dure pas très longtemps. La suite fut simplement hallucinante. Angélique se saisit d’une louche, puis entreprit de puiser dans le pot de chambre, pour emplir trois coupes de champagne pour Kriss, Jenna et Victor (le type taciturne en veston cravate). Ce dernier a d’ailleurs sorti son sexe de sa braguette et bande fort joliment. Les trois complices trinquent joyeusement… puis trempent leurs lèvres dans le pipi d’Angélique. Kriss gratifie Jenna d’un nouveau patin, puis tandis que cette dernière et Victor regagnent leurs places respectives, Kriss habille le gode d’un préservatif. Angélique me détache pour m’installer sur une table. J’ai les poignets attachés à deux extrémités de la table, tandis que mes chevilles sont tirées en l’air par deux chaînes. Je suis donc là, couché sur le dos, les jambes en l’air; les fesses très proches du bord de la table.

Kriss s’approche, elle tient toujours son verre de pisse à la main, et sans doute pour me narguer, l’avale d’un trait ! La revoici soudain toute douce :

– Si tu continues à être un bon esclave tu pourras en boire plein tout à l’heure !
– Merci Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il va t’arriver maintenant ?
– Vous aller m’enculer maîtresse !
– Tu aimes ça te faire enculer ?

Je ne suis pas du genre à me faire piéger par ce genre de question.

– J’aime tout ce que tu me fais (parfois, je la tutoie, parfois je la vouvoie, elle s’en fiche apparemment)
– Je t’ai posé une question ! Tu réponds à la question.

Et pour me punir voilà qu’elle me serre les couilles. Elle me fait réellement mal. Tant pis, je lui dis ce qu’elle souhaite entendre !

– Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer !

Et le gode a déjà pénétré mon cul, me provoquant un plaisir trouble, encore une fois je ne peux que m’extasier devant son métier et sa pratique. Elle s’enfonce de plus en plus loin et commence des mouvements de va-et-vient.

– C’est bon, esclave ?
– Oui Maîtresse !
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite ?
– Je ne sais pas maîtresse !
– Tu ne t’es jamais fait enculer par un homme ?
– Non, Maîtresse !
– Tu le feras pour moi ?
– Je ne sais pas Maîtresse, (je me rends compte que je n’ai pas dit non)
– Si tu ne sais pas, moi je sais pour toi ! Mais il faudra me le demander !
– Oui Maîtresse !

Je crois avoir trouvé une porte de sortie pour échapper à cela, je n’ai pas trop envie, mais ma défense est faible.

– Vas-y ! Demande-le-moi ?

C’était donc cela !

– Je ne sais pas maîtresse !
– Fais-moi plaisir, tu es un bon esclave !

Le ton a complètement changé, je me sens craquer.

– S’il te plaît, cela me ferait tellement plaisir de te voir prendre par une bonne queue.

La maîtresse qui dit : « s’il te plait » à son esclave ! Je rêve ou quoi ? Elle me dit ça tout en ralentissant le mouvement de va-et-vient de son gode ceinture, tandis que ses doigts pétrissent à nouveau le bout de mes seins. Je résiste encore mais je sais que je ne tiendrais plus longtemps.

– Bon répète après moi : « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »

Je ne réponds pas.

– Tu sais très bien que je n’ai pas besoin de ton avis ! Simplement, ça me ferait tellement plaisir que ce soit toi qui me le demandes !

L’argument est fort et incontournable !

– D’accord Maîtresse ! Tout ce que vous voudrez !
– Donc répète après moi « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »
– Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave !

Son visage est radieux ! Je devine que pour elle cela constitue l’un des moments fort de la domination.

– Tu as droit à une récompense ! Tu préfères me lécher un bout de sein ou alors le trou de mon cul.

J’ai une envie folle de lui lécher le trou du cul mais je pense que cela viendra de toute façon, alors que lécher le sein d’une dominatrice est dans mon esprit, quelque chose d’exceptionnel :

– Votre sein, Maîtresse !

Je m’attendais à tout sauf que cela soit vrai, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Elle appelle Jenna et lui demande de lui cracher plusieurs fois sur ces seins. Jenna crache plusieurs fois enduisant ses jolis globes de sa bave.

Maîtresse Kriss, me tend le bout de son sein gauche :

– Une minute pas plus, pas plus !

Voilà une pratique que je n’aurais jamais imaginé, je lèche avec avidité ce petit bourgeon durci, mais le temps passe trop vite, je comprends aussi que maintenant je suis enchaîné à ma promesse. Tant pis, on verra bien.

Puis (surprise), Angélique, me détache, me met une laisse après mon collier de cou et me dirige vers la cage. Elle libère James, l’autre esclave et m’enferme.

Cela va donc être le tour de James de subir les caprices de Kriss. Ma visibilité n’est pas terrible puisque dans cette cage trop petite, où on ne peut guère bouger, je n’aperçois la scène qu’en regardant pardessus mon épaule. Elle domine James, préférant pour ce qui le concerne, lui travailler les couilles, plutôt que le bout des seins. Encore, une fois elle a l’intelligence de prendre en compte les fantasmes de ses patients sans pour cela négliger ce qui est le plus important pour elle : le spectacle qu’elle met en scène pour son propre plaisir (et celui de ses amis, par la même occasion)

J’ai bien sûr complètement débandé, mes couilles sont douloureuses, mes fesses toutes chaudes et mes tétons très sensibles. J’aperçois Victor dans son coin qui se masturbe et je me demande si c’est sa bite que je vais recevoir dans le cul ou celle de James, à moins qu’un autre larron… Ce sera pour moi une première, mais je ne vois pas comment j’aurais pu résister à Kriss et à ses minauderies. De toutes façons nous en avions plus ou moins parlé lors de notre rencontre préalable, et puis je suis venu ici en toute connaissance de cause.

James apprécie beaucoup moins bien que moi le gode trempé d’urine, par contre il se fait enculer par le gode avec beaucoup plus de bonne volonté que moi. Globalement, Kriss passera beaucoup moins de temps avec ce dernier qu’avec moi-même.

James est à nouveau attaché comme au début. Angélique vient me rechercher et Kriss m’ordonne à nouveau de marcher à quatre pattes, je me dirige maintenant vers James et me voilà à la hauteur de sa bite.

– Suce !

Le James bande assez mou; mécaniquement comme dans un rêve je lui lèche la verge, c’est bon, c’est doux.

– Je ne t’ai pas dit de lécher je t’ai dit de sucer.

Alors, j’introduis le gland dans ma bouche, et le suce. James à l’air d’apprécier. Son sexe grossit dans mon palais, j’ai honte de ce que je fais mais je réalise l’un de mes fantasmes secrets et ma pine réagit bien en montrant le plafond. Mais voici que survient Victor, qui s’est maintenant complément mis à poil. Kriss me fait relever. Victor suce à son tour la bite de James, il sucera aussi la mienne mais très peu de temps. Heureusement d’ailleurs parce qu’il ne fait pas ça très bien.

– Laquelle tu veux ? Demande Kriss.

Victor désigne la queue de James, nettement plus grosse que la mienne, et lui place un préservatif. Kriss ordonne alors à James d’enculer Victor. Ce dernier à l’air surpris, s’attendant plutôt au contraire, mais un coup de cravache l’oblige à obéir.

– Et interdit de jouir ! Menace Kriss ! Puis s’adressant à moi : Et pendant ce temps tu vas le sucer !

Je suce donc la bite de Victor qui s’est agrippé au bord de la table tandis que James l’encule. Kriss donne des coups de martinets assez légers à ce dernier pour maintenir son érection semble-t-il. Il s’arrête au bout de quelques minutes.

– Ben quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– Je suis obligé de m’arrêter je vais jouir.
– Alors retire-toi ! Connard !

Et Kriss ponctue son ordre d’un formidable coup de cravache. James quitte le cul de Victor et éjacule dans son préservatif.

– Bravo ! C’est malin ! Retourne dans ta cage !

Je crains que Kriss m’oblige à prendre le relais, mais pour l’instant je continue de sucer Victor, sa queue est chaude et douce, je réalise que c’est la deuxième fois de la matinée que je suce une queue. Mais je trouve cela bien agréable. Kriss lui demande :

– Tu veux qu’il te reprenne ?
– Non, j’ai envie de jouir, c’est moi qui vais l’enculer !
– Alors, c’était bon la bite ? Me demande-t-elle.
– Oui maîtresse, délicieux !
– Tu n’es qu’un pédé ! Dis-le !
– Je ne suis qu’un pédé, maîtresse !
– Et maintenait tu vas te faire enculer par la bonne bite que tu viens de sucer !
– Oui maîtresse !
– Répète tout !
– Et maintenant je vais me faire enculer par la bonne bite que je viens de sucer !

C’est Angélique qui une fois de plus me place sur la table comme tout à l’heure, et Victor après s’être posé un préservatif s’apprête à me pénétrer tandis que Kriss, de nouveau, s’amuse avec le bout de mes seins. Sa bite a un peu de mal à entrer, on me met un peu de gel, il force un peu puis entre deux centimètres avant qu’un coup de rein fasse pénétrer plus avant sa bonne queue dans mon trou. C’est loin d’être désagréable d’autant que Kriss me travaille bien les seins. Ça dure plusieurs minutes, puis il jouit et se retire, laissant mon trou du cul béant de douleur trouble.

En quelques minutes, j’aurais donc franchi deux caps, je suis devenu un suceur de bites et un enculé et cette idée m’émoustille.

Kriss m’intime l’ordre de me mettre à genoux près du tableau noir et d’attendre. Victor, soulagé quitte la pièce, je ne le reverrais pas pendant le reste de la séance. Pendant ce temps-là, Kriss s’approche de la cage où est enfermé James; ils échangent quelques paroles que je n’entends pas puis, elle fait ouvrir la porte, le libère et alors lui donne congé avec un magnifique sourire. Il veut l’embrasser, elle n’y tient pas trop mais accepte quand même un petit bisou sur la joue, puis notre homme disparaît accompagnée d’Angélique.

Pendant ce temps Kriss et Jenna se refond des patins. Puis, Kriss tout en en continuant à embrasser partout sa copine entreprend de la déshabiller, ne lui laissant que son slip. Je peux alors admirer sa poitrine opulente bien ferme terminée par de belles pointes brun foncé.

Elles se calment enfin et discutent de je ne sais quoi, en fait, elles attendent le retour d’Angélique qui finit par réapparaître toujours toute nue.

– Ils sont partis ?
– Oui madame, Victor lui a demandé s’il accepterait de l’enculer à nouveau.
– Tiens donc ? Et ensuite ?
– Je ne sais pas, l’esclave s’est rhabillé et Victor est sorti avec lui.

Voilà au moins une conversation insolite. Kriss me refait mettre debout, tripote un peu le bout de mes seins pour raffermir mon érection qui se laissait un peu aller et en prime m’envoie une paire de gifles et quelques crachats..

– Prend la craie et écris ce que je vais te dicter.
– Oui Maîtresse !
– Ecris : « J’aime beaucoup sucer des bites et me faire enculer ! »

Je trouve l’ordre débile mais je m’exécute, je n’ai aucune honte ni aucune gêne à écrire cela, si cela peut lui faire plaisir.

– Mais qu’est-ce que tu as écrit ?
– J’ai écrit ce que vous m’avez dictée, Maîtresse !
– Et menteur par-dessus le marché. Viens voir, Jenna !

Jenna s’approche de moi. C’est décidemment une très belle femme superbement foutue, mais elle est loin d’avoir le piquant de ma maîtresse.

– Je peux le punir !
– Ne te prive surtout pas !

Et, vlan Jenna me balance deux gifles, elle ne sait pas bien faire, mais heureusement elle n’a pas voulu me faire trop mal. Elle se saisit ensuite d’une règle d’écolier :

– Donne tes doigts !

Voilà des années que je n’avais pas reçu cette punition, j’en avais même oublié l’existence, je tends mes doigts de la main droite.

– Compte avec moi !
– Un, aïe, deux !

Ça fait quand même assez mal.

– Non mais dis donc, tu vas arrêter de ronchonner ?
– Pardon, maîtresse !

Je reçu ainsi dix coups de règles sur chaque main, maintenant j’ai le bout des doigts tout endolori.

– Prend la craie et écris ta punition :
1 lécher le trou du cul de Jenna
2 la bougie
3 les élastiques
4 les orties
5 cinquante coups de martinets.

Je me demande comment je vais supporter tout cela d’autant qu’il y a là-dedans des trucs qui ne me disent rien du tout. Mais c’est surtout la première punition qui m’inquiète, sucer un trou du cul n’a jamais été une punition pour moi, plutôt une récompense… à moins que… Mais, mes réflexions s’arrêtèrent là, Kriss ordonnant :

– Retire-lui sa culotte !

Je le fais, découvrant par la même occasion une très belle chatte rasée de près.

– Renifle la culotte !

C’est ce que je craignais, il y a un tas d’odeurs là-dedans et si certaines respirent l’intimité de la féminité, d’autres m’inspirent moins !

– A genoux et lèche lui le cul !

Manifestement son cul n’est pas bien propre. J’hésite et je fais une diversion en lui embrassant les fesses.

– Pas les fesses, le trou !
– Mais maîtresse, il est un peu sale !
– Ha ! Ha ! Jenna explique à l’esclave ce que je t’ai demandé de faire ce matin.
– Ce matin, j’ai fait un petit caca, et j’ai oublié de m’essuyer !
– Donc s’il est sale, c’est exprès, maintenant, nettoie-le !
– Euh…
– Bon, tu es prié de m’obéir !
– Une autre fois, Maîtresse, je ne me sens pas prêt pour ça !
– Tu as vraiment envie que je te vire ?
– Non maîtresse !
– Alors essaie, tous ceux qui ont essayé en ont redemandé ensuite ! Et dépêche-toi !

Elle me tire les cheveux et me place mon visage contre l’anus de Jenna !

– Maintenant lèche, esclave ! Lèche sa merde !

Voilà un ordre qui a le mérite d’être explicite. Je soupire un bon coup et me fais violence, puis, je m’aperçois avec surprise qu’à part une odeur un peu forte et pas franchement agréable, mais qui ne persiste pas, le fait de la lécher ne me provoque aucun dégoût. Du coup, je me mets à bander et lui lèche le cul avec application, lui nettoyant les taches brunâtres et allant même jusqu’à pénétrer ma langue dans son anus. Je me dis alors que je venais peut-être de découvrir quelque chose.

– Je vais faire une petite crotte ! Préviens Jenna.

Par reflexe, je m’écarte sur le côté, c’est Kriss qui ramasse la crotte et la porte à sa bouche pour la sucer avant de la refiler à Jeanna. Elle sont dégueulasses.

– Quel bon esclave ! Me dit Kriss, tu le referas ?
– Oui Maîtresse !
– La prochaine fois, je chierai devant toi, je ne m’essuierais pas et tu me serviras de papier à cul !
– Avec grand plaisir, Maîtresse !
– Pour le moment, j’ai envie de rester seule avec Jenna, suis-moi.

Je la suivi jusque dans une pièce qui devait lui servir de bureau, là, elle consulta son agenda :

– Bon ! Toi j’espère que tu vas revenir, Jeudi prochain, j’ai un couple qui vient pour le déjeuner, mais ce sont surtout des spectateurs qui participent un peu, ça tombe très bien, pointe-toi vers 14 heures, ou plutôt non, ça me donne une idée : je t’invite aussi à déjeuner, viens à 11 heures et demi pile !

Elle ne me demandait pas mon avis ! Je m’absente très rarement de mon travail, et trouver un prétexte dans un délai aussi court ne serait pas évident ! Et puis ce n’est pas donné tour ça… Mais bon, on ne vit qu’une fois.

– Car tu viendras n’est-ce pas ?
– Oui maîtresse ! Murmurais-je.
– Et on fera quoi quand tu reviendras ?
– Je suppose que vous me ferez sucer des bites et que je me ferais enculer !
– Et lécher ma merde !
– Oui, bien sûr !
– Maintenant, branle-toi en regardant mes seins… et n’en fous pas partout me dit-elle en me balançant un kleenex.

Je ne tardais pas à jouir, et tandis qu’Angélique allait me récupérer mes vêtements, Maitresse Kriss me gratifia d’un petit bisou sur le bord des lèvres, j’en était tout chose.

Vivement Jeudi !

FIN DE L’EPISODE

Boris Vasslan © 2000 (révisé en 2003, 2018 et 2024)
La version 2003, outre la correction de quelques fautes et lourdeurs, intègre le prologue resté jusqu’ici inédit.
vasslan@hotmail.fr

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Vendredi 18 août 2017 5 18 /08 /Août /2017 17:02

Claudine, la secrétaire de mon père par Boris Vasslan

Stamp_secretaire.jpg

Cette histoire est une commande de « Pit », un de nos lecteurs qui m’a demandé de lui écrire une histoire sur la base de trois lignes de scénario. Cela m’a formidablement amusé de l’écrire, mais il est vrai qu’on est ici un peu loin de mes préoccupations habituelles

Voilà, je suis Pit, je travaille dans le bâtiment, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j’ai les cheveux bruns et suis modérément musclé.

Ce jour-là je revenais d’un chantier, je gare mon camion dans la cour, il est près de 18 heures 30, j’ai été retardé, et à cette heure il n’y a normalement plus personne dans les bureaux. J’étais donc très étonné de constater que la lumière du secrétariat était allumée. Du coup j’eu envie d’aller y jeter un coup d’œil, Claudine est là ! Mon dieu qu’elle est belle !

Depuis quelques temps je fantasme pas mal sur la secrétaire de mon père, elle se prénomme Claudine, c’est une très jolie femme souvent en tailleur, les cheveux noirs, assez grande (1,75 m pour 60 kg) la poitrine est plutôt moyenne (du 90 B si je ne me trompe pas) mais le fessier est assez large (j’adore de toute façon)

- Bonjour Claudine !

J’ai soudain conscience que nous sommes seuls tous les deux dans la boite, oh, je ne me fais aucune illusion, mais si elle acceptait de me faire juste un peu la conversation cela suffirait à mon bonheur.

- Bonsoir Pitt ! Vous aussi vous faites des heures sup !
- Oui un truc à finir, et on a eu des petits problèmes.
- Il y a des jours comme, ça, moi c’est pareil, toute ma saisie comptable de la journée s’est envolée, il a fallu que je me retape tout et puis après c’est le disque qui….

Elle me saoule, je n’entends rien de ce qu’elle me raconte, je préfère m’attarder sur son visage, sur ses yeux, sur sa bouche ! Tout en me racontant ses malheurs je la vois fermer son PC… Je comprends qu’elle se prépare à partir !

- Bon c’est pas tout ça, il faut se rentrer !
- Je vais y aller aussi ! Répondis-je un peu contrarié que l’on se sépare déjà.

Et puis soudain, le miracle !

- Au fait Pitt, vous êtes pressé ?

Je ne sais pas si vous vous imaginez ce que ça fait, une femme qui vous demande si vous être pressé, déjà mille idées viennent trotter dans ma pauvre petite tête, que va-t-elle me proposer, un pot au bistrot du coin, mieux peut-être, j’en suis déjà tout chose.

- Non, non j’ai tout mon temps !
- Parce que voilà, je vous demanderais bien un service, j’ai acheté un tableau pour ma chambre, et j’ai mal pris les mesures, il faudrait que je déplace un peu mon armoire, oh, juste cinquante centimètres mais je ne peux pas faire ça toute seule !

Oups !

Me voici partagé, le petit côté qui m’embête c’est que sa proposition se résume à une demande de service… mais d’un autre côté, j’ai oublié d’être idiot, si elle me demande ça à moi, c’est qu’elle n’a pas de petit copain d’attitré, et puis surtout je vais aller chez elle… et qui sait ce qui pourrait arriver.

Affaire conclue, et nous y allons dans nos deux voitures respectives, elle n’habite pas du tout dans mon coin, mais qu’importe. Des tas de questions se précipitent dans ma tête tandis que je suis au volant. A-t-elle été la maîtresse de mon père ? Et en me proposant de venir l’aider à déplacer ce meuble a-t-elle ou non des arrières pensés ? Parce que si je n’étais pas rentré si tard du chantier, qui c’est qui lui aurais déplacé son meuble ? Bref ! On entre dans une petite résidence, et il y a de la place pour nous garer.

On pénètre dans son hall, elle fait comme tout un chacun, et ouvre sa boite aux lettres, d’où elle extrait un petit paquet, elle a l’air contente !

- Une livraison des Trois Cuisses ! Me dit-elle. Pas vraiment pressés ces mecs-là !

Je rigole car j’ai bien cru entendre les trois  » Cuisses « , mais je ne relève pas, parfois on ne sait pas trop quoi dire …
Elle pose le paquet négligemment sur la table basse du salon, puis me fait très rapidement le tour du propriétaire. Du linge sèche sur le balcon, ce ne sont que des vêtements féminins, voici qui me conforte dans ma certitude qu’elle est bien célibataire. Mais arrivé à la chambre, je suis surpris d’apercevoir que le lit fait à la hâte, comporte deux oreillers ! Voici qui est bien mystérieux… Je suppose donc que son copain doit venir de temps en temps sans habiter ici… Mais pourquoi ne lui a-t-elle pas demandé à lui de le pousser ce meuble, voilà que je deviens jaloux à présent ! Ou alors, il a un petit souci, il ne peut peut-être pas faire d’efforts physiques, aller savoir ? Mais alors au lit ça doit poser des problèmes…

- Bon, voilà, il faudrait pousser cette armoire, là !

Et là voilà qui retire sa veste de tailleur et ses chaussures, comme si elle s’apprêtait à m’aider. C’est dommage pour les chaussures, je trouve que les escarpins ça fait des jolies jambes. Allons-y, je pousse l’armoire, assez difficilement. Qu’est-ce qu’elle collectionne là-dedans pour que ce soit aussi lourd ?

- Super ! Du coup, on va peut-être accrocher le tableau, je vais chercher un marteau et la boite à clou !

Me voici seul un court instant, je prends le tableau, le retourne, c’est un nu, superbe, un joli jeu de lumière sur un modèle magnifique avec des formes là où il en faut… Alors, récapitulons une nana, qui vit avec un mec qui n’est pas foutu de déplacer une armoire et qui me demande d’accrocher un tableau de nu féminin dans sa chambre ! J’ai du mal à suivre, vraiment !

- Il est pas mal, hein ? Comment vous le trouvez ?
- Très joli !
- Forcément, vous les mecs, à chaque fois que vous voyez un corps de femme, vous vous imaginez en train de vous la faire, ce n’est pas un peu vrai ?

Elle m’embarrasse avec ses réflexions, si elle trouve que c’est un truc de macho pourquoi l’accroche-t-elle dans sa chambre ? Ah je crois avoir compris, ce doit être pour faire plaisir à son jules ! Mais qu’est-ce que je suis venu foutre ici moi ?

- Vous savez ! Répondis-je. Je suis un homme, alors quand je vois une belle femme, en vrai ou pas, ça me fait une réaction, mais ce n’est pas pour ça que je ne respecte pas les femmes.
- Vous allez pouvoir le mettre là-haut, le clou ? Ou vous avez besoin d’une chaise ?
- Avec une chaise ce sera plus facile, oui.

Quelque part, ça me chagrine qu’elle n’ait pas continué cette discussion sur le sexe… La voici qui revient avec un tabouret, je monte dessus, je plante son clou, je fixe le machin, je redescends, ça rend bien !

- Superbe ! Dit-elle.

Et puis ça m’est venu comme ça d’une traite :

- Vous savez, Mademoiselle Claudine, ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne puisse jamais parler de sexe entre homme et femme, je veux dire en parler de façon décontractée, comme on parlerait de restaurant ou de cinéma…

Je n’en reviens pas de ma réplique, du coup je suis un peu confus et je prépare déjà la petite phrase de prélude à mon départ…

- Mais Pit, rien ne nous en empêche ! Voyez-vous il y a deux façons de parler sexe, la première consiste à ne pas en parler et à tout suggérer. C’est le cas par exemple du mec qui m’emmène au restaurant, il me propose un dernier verre, il me fait un cérémonial alors qu’il a envie de me baiser depuis le départ, cette façon-là je n’aime pas trop… Par contre si vous me parlez de vos goûts, je vous peux vous parler des miens, c’est bien plus cool…

Ciel ! Ais-je bien entendu ! C’est de la provocation ou quoi ?

- Vous voulez que je vous parle de mes goûts en matière de sexe ?
- C’est juste une proposition, honnête en plus, à vous de voir, et tiens je vais vous en faire deux autres de propositions, on va se boire un apéritif et on va arrêter de se vouvoyer, d’accord !

Elle me fait asseoir devant la table basse, et s’en va chercher l’apéro. Machinalement je regarde le paquet de la poste qui est resté là, sur la table. Je suis surpris de ne pas retrouver le sigle rouge du célèbre catalogue de vente par correspondance, je regarde mieux, c’est écrit assez petit mais des lettres capitales se détachent néanmoins, et il y a bien indiqué  » les Trois Cuisses  » ! Voilà qui est bizarre ! Claudine me surprend avec le paquet dans les mains.

- Alors, on est intrigué ! Je vais satisfaire ta curiosité, on va l’ouvrir mais avant on va trinquer, je n’ai plus que du Martini, ça ira !

Bien sûr que ça va ! Tchin, tchin et la voici qui défait son paquet, il y une boite rectangulaire et dedans un gode assez réaliste ! Je reste bouche bée !

- Ah ! Je voyais ça un peu plus grand, mais il est pas mal, qu’est-ce que vous en dites ? Pardon, qu’est-ce que tu en dis ?

Comment voulez-vous que je réponde ? Je bégaie, je balbutie, je bafouille.

- Pit, je vais te faire un aveu, je te trouve beaucoup de charme, mais je ne suis pas du genre à tomber comme ça dans les bras d’un homme. Veux-tu-vous jouer avec moi ? Tu ne le regretteras pas !
- Jouer à quel jeu ?
- Au jeu de  » c’est moi qui décide  »
- Et ça consiste en quoi !
- Ça veut dire que c’est moi qui décide de tout et que tu acceptes ce que je décide !
- On peut toujours essayer ! Répondis-je piqué par la curiosité.
- Pit, parle-moi de ce que tu aimes dans le sexe.

Elle m’embête, je ne vais pas tout lui raconter non plus, et puis ce n’est qu’un jeu, je peux très bien ne lui parler que ce que j’ai envie de lui dire.

- Je suis hétéro, j’aime bien les films x à la télé, j’aime bien quand il y a deux filles ensemble.
- C’est tout ? répliqua-t-elle en posant son regard sur le gode

La perche était un peu grosse mais je la saisis.

- J’aime bien aussi quand une femme joue avec un gode !
- Tu aimerais me voir jouer, Pit ?
- Je ne vais pas dire non !

Mais jusqu’à ce moment je ne pensais pas qu’elle parlait sérieusement

- Alors regarde ! Me dit-elle alors

Je n’en reviens pas, ce doit être mon jour de chance, cette secrétaire sur qui j’ai fantasmé des jours et des jours va se goder devant moi ! Mais qu’on me pince, ce n’est pas possible, je dois être en plein rêve !

Claudine se lève, retire sa jupe et se rassoit. Elle est devant moi, comme ça, ses jolies jambes gainées de bas autofixants, mais ce que je regarde surtout fasciné, c’est son string, un petit string de rien du tout, couleur prune, aucun poil n’en dépasse. Je suppose que tout est rasé en dessous, déjà l’érection me gagne !

- Toujours d’accord, pour jouer avec moi, Pit, c’est un jeu spécial, mais puisque tu m’as dit que tu aimais le sexe et que tu respectais les femmes, ça devrait te plaire. Surtout, tu ne bouges pas de ta place, tu regardes et c’est tout, d’accord Pit !
- D’a… d’a… d’accord !

Des gouttelettes de sueur viennent perler mon front !
Carola90.jpg- Tu préfères que je fasse ça en écartant mon string ou tu préfères que je l’enlève ?
- Je ne sais pas !

Et puis soudain je me ravise, si seulement elle voulait bien…

- Euh ! Enlève-le !
- T’as raison, c’est plus pratique !

Et sans autre cérémonie, la voici qui se soulève les fesses et fait glisser le string jusqu’à ses pieds. J’ose lui réclamer :

- Ça me ferait plaisir de le sentir !
- Petit vicieux !
- S’il te plait !
- Alors juste un coup ! Répondit-elle en me le fourrant sous le nez. Je te le redonnerais si tu es sage !

Odeur délicieuse ! Je bande comme ce n’est pas possible. Jusqu’où m’entraînera-t-elle dans ce délicieux supplice ?

Claudine se saisit du gode, se contente de le regarder en se passant la langue sur les lèvres, puis mime quelques mouvements de masturbation. Ma bouche est toute sèche, je ne peux m’empêcher de passer mes doigts sur le renflement de ma braguette. Elle porte ensuite le gode devant sa bouche, et en embrasse le gland avant de le lécher de brefs coups de langues, puis elle se l’introduit dans la bouche, lui fait une presque vraie fellation.

- Je vais craquer, Claudine !
- Je sais bien, mais pour l’instant essaie de résister, plus tu te retiendras plus ce sera bon !

Pfff ! Facile à dire ! Elle pose un moment le gode sur la table, et s’écarte les lèvres de sa petite chatte ! Que c’est beau ! C’est tout lisse, sans l’ombre d’un poil, c’est tout rose… Une envie folle de sucer tout ça, mais ça viendra peut-être…

- Elle te plait, ma petite chatte ?
- C’est une merveille !
- N’exagérons rien, mais c’est vrai qu’on la trouve mignonne !

Elle reprend le gode, le reporte rapidement sa bouche afin de l’humecter d’un peu de salive, puis se le pénètre dans la chatte, elle l’enfonce encore, puis commence des allers et retour, le spectacle est fabuleux, elle ne me regarde plus. Le gode entame des va-et-vient de plus en plus frénétiques, de la mouille coule de son sexe venant inonder ses cuisses… Encore une fois elle accélère le mouvement, puis s’arrête un moment les yeux hagards.

- Tu peux te masturber, maintenant, mais contrôle-toi, je ne veux pas que tu jouisses !

En d’autres circonstances jamais je n’aurais osé monter ma queue à une personne avec laquelle je ne fais pas l’amour, mais à ce point d’excitation je ne réfléchis même plus, je sors mon sexe et me le masturbe en essayant de me contrôler au maximum

Claudine déboutonne à toute vitesse son chemisier qu’elle envoie valser sur le canapé, elle ne prend même pas la peine d’enlever vraiment son soutien-gorge, elle se contente d’en ôter les bretelles et de faire passer les bonnets par-dessus ses seins. Elle s’attrape un téton de sa main droite et se le pince, se le tortille tandis que sa main gauche conduit les pénétrations effrénées du gode dans son vagin. Elle mouille tellement que l’action finit par produire une sorte de clapotis complètement insolite. Sa respiration devient saccadée, elle pousse des petits cris, entrecoupé de  » c’est bon, c’est bon  » ! Je n’en doute pas un seul instant mais j’ai tendance à penser que ce serait encore meilleur pour elle si je me faisais plus actif. Ce n’est vraiment pas l’envie qui m’en manque, mais je me force à continuer à jouer ce jeu que j’ai choisi d’accepter. Et donc je reste  » sage  »

Elle est de plus en plus bruyante, de plus en plus agitée, un moment elle inverse ses mains, puis reprend la position initiale, elle crie de plus en plus, et finit par jouir dans un hurlement inouï, elle s’affale pantelante ! Soupire, sourie !

- Et ben, dis donc, quel pied !
- Claudine je ne peux pas rester comme ça !
- Ben non, viens t’approcher de moi, on va goûter à ton sucre d’orge !

Alors, là je me précipite, elle caresse ma verge quelques instants, la masturbe un petit peu, puis exactement comme elle l’a fait pour le gode, m’embrasse le gland avant de le chatouiller de sa langue humide, puis tout d’un coup elle engouffre tout, et commence une série d’allers et retours, je pense que je ne vais pas durer longtemps à ce régime-là, c’est dommage je lui aurais bien fait l’amour, mais bon, je ne vais pas être trop exigeant non plus ! Ce qui m’arrive est déjà inespéré !

La voici qui me défait ma ceinture, puis qui me baisse légèrement mon pantalon et mon caleçon. Elle suce trop bien, s’arrêtant de temps en temps pour ne pas que je jouisse trop tôt et s’attardant sur mes couilles qu’elle m’aspire de ses lèvres !

- Dommage que ce soit si poilu ! On devrait raser tout ça ! Tiens ça me donne une idée, tu voudrais que je te rase ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas trop envie !
- Si tu ne veux pas que je te rase, je ne te fais pas jouir !

Je n’ai jamais su si à cet instant elle bluffait, mais me souvenant que nous étions toujours en train de jouer, je donnais mon accord en espérant fermement qu’elle oublierait cette proposition incongrue dans quelques instants. Elle reprend sa fellation, elle est vraiment douée, on ne m’a jamais sucé comme ça, sa langue s’agite comme une véritable anguille tandis que ses lèvres maintiennent la pression sur ma verge juste ce qu’il faut, en insistant comme il se doit au passage du prépuce. Ça vient, je le lui dis, elle ne veut peut-être pas de mon sperme, mais elle continue et je décharge dans son palais à grosses giclées, elle en avale un peu et recrache le reste.

- Ça va ?
- Oh, oui ! Ça va, j’ai l’impression de rêver ! Répondis-je.
- On rebois un petit coup ?
- Volontiers !
- Mais avant tu vas te mettre à poil !

Chic, elle n’est pas rassasiée, ça veut dire que dès que j’aurais repris mes forces, on va peut-être pouvoir s’envoyer en l’air. Je vous dis c’est mon jour de chance ! Je me déshabille donc, j’espère ne pas la recevoir !

- Mwais ! Dit-elle ! Déjà un homme à poil ce n’est pas terrible, mais avec tous ces poils…

Déception !

- Bon on trinque ! Propose-t-elle
- Tchin !
- Tu sais, j’ai un autre gode, plus petit, celui-là c’est pour l’anus ! Tu veux le voir ?

Mais ce n’est pas vrai, elle est déchaînée, je lui dis que je veux bien voir, et la voilà qui se dirige vers la chambre et pour la première fois je peux vraiment contempler son magnifique fessier. Elle revient et me tend l’objet !

- Il est joli, hein je l’ai acheté en Hollande ! Tiens, regarde !

Elle me le fout dans les mains, me voilà bien embarrassé !

- Suce-le si tu veux !
- Non merci !
- Pourquoi ? Ça ne va pas te tuer !
- Ça ne me dit rien.
- Je te rappelle que nous sommes toujours en train de jouer, je ne t’ai jamais dit que le jeu était terminé !
- Tu es une sacrée fille, Claudine ! Répondis-je, essayant par-là de détourner la conversation.
- Dis-moi Pit, tu préfères le sucer maintenant, ou après que je me le sois enfoncé dans mon petit trou ?

Par réflexe sans doute, je suçotais quelques instants le bout de ce gode sans que cela ne me procure ni honte ni plaisir…

- Et si je te le mettais dans ton petit cul à toi ? Hein Pit qu’est-ce que tu en dis ?

Je n’ai pas répondu tout de suite, un vieux fantasme… elle a dû s’apercevoir de mon trouble !

- On verra ! Répondis-je simplement, ne fermant ainsi aucune éventualité.
- Tiens, regarde ! Dit-elle, reprenant l’instrument.

Elle se lève alors, s’appuie de sa main droite sur le dossier de sa chaise et de l’autre s’introduit le gode dans le cul. Elle se masturbe ainsi l’anus quelques instants. Cela a pour effet de me faire rebander presque instantanément. Une envie folle de venir lui embrasser les fesses, je me lève pour le faire.

- Stop ! Je t’avais dit de rester à ta place ! Désolé mais j’arrête !

Je le demande si elle bluffe ou pas ! Mais déjà, elle a enlevé le gode, s’amuse de l’état légérement merdeux dans lequel il ressort et l’introduit dans sa bouche afin de le nettoyer, et tout cela avec un naturel saisissant. Quelle cochonne quand même !

- Bon, alors c’est fini ? Tentais-je !
- Ben, oui ! Mais tu es gentil, je me suis bien amusé, je ne te remercie pas pour le meuble tu as déjà été assez remercié, je crois ! Me dit-elle en souriant.
- Sacrée Claudine !
- Ben, oui ! Sacrée Claudine !

Je vais pour me rhabiller !

- Tout de même, tous ces poils, ce n’est pas terrible !

Je ne réponds pas, je ne sais plus quoi lui dire.

- Tu ne veux vraiment pas que je te les rase ?
- Là tout de suite ?

Je suis trop content, ça veut dire qu’on va pouvoir prolonger ce curieux tête-à-tête…

- Oui ! Tout de suite !

Et nous voici dans la salle de bain, elle me demande de prendre une douche, puis m’enduit le torse de gel de rasage avant de passer le rasoir. Drôle d’impression de voir ma peau devenue glabre apparaître dans le miroir, elle continue par le ventre, les jambes, puis le pubis, les testicules, l’anus.

- Arrête de bander, tu vas me faire bouger, et je vais te couper !
- Ça ne se commande pas, tu as des mains de fée, Claudine !

Elle m’applique ensuite une serviette chaude sur les parties fraîchement dégagées et finit par une lotion très légèrement alcoolisée, ça pique un tout petit peu. Je me regarde, ça fait drôle… Quand je pense qu’au départ j’étais juste venu pour déplacer un meuble, me voici maintenant plus nu que nu ! J’aime l’image que me renvoie le miroir et la situation continue de me faire bander.

- Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de t’enculer avec le gode !
- Non !
- Arrête ! Tu en meurs d’envie !

Je me mets dans la position indiquée tandis que Claudine désinfecte d’abord l’instrument avant de l’enduire de gel. Je sens quelque chose de froid tenter de forcer mon anus !

- Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes, hein Pit ?

Voilà une question à laquelle je ne sais pas répondre, mais c’est aussi à ce moment que j’entends un bruit de clé dans la serrure !

Horreur !

Des images défilent dans ma tête, son copain qui arrive qui va nous surprendre, ça va être la bagarre, le drame. Vite je me redresse, je vais pour retirer le gode, me rendant compte que toute fuite est de toute façon impossible !

- Pas de panique tu n’as rien à craindre ! Reste comme tu es !
- Ce n’est pas possible, voyons !
- Fais-moi confiance !
- Non, on arrête passe-moi une robe de chambre ! Insistais-je
- Pit, fais-moi plaisir, reste comme tu es, je te répète que tu n’as rien à craindre ! Allez, en position !

J’entends une voix féminine.

- Claudine, c’est moi ! Tu es cachée où ?
- Dans la salle de bain ! Répond cette dernière !

Le flash ! Tout s’explique. Claudine vit donc avec une copine, du coup me voici rassuré et je reprends la position, prêt à exhiber à une inconnue mes fesses rasées, et mon gode dans le cul.

- C’est un collègue ! Me présente Claudine. Il m’a aidé à pousser l’armoire

Elle a eu le tact de ne pas dire  » c’est le fils de mon patron  »

- Et c’est comme ça que tu le remercies ? Rigole la nouvelle venue.
- Original non !
- Et bien bonjour Monsieur, moi c’est Véronique ! Me dit-elle en m’assenant une grande claque sur les fesses.
- Euh, bonjour, enchanté, drôle de situation pour se présenter !

Véronique ne répond pas, je vois son reflet dans le miroir, c’est une blonde très légèrement enrobée, plus de seins que Claudine, le teint pâle, peut-être une vraie blonde, elle a pris le gode à pleines mains et entreprend de me le faire aller et venir dans le rectum. Cette sensation est trop bonne. Un plaisir trouble finit par m’envahir. Véro passe le relais à Claudine afin qu’elle puisse se déshabiller. Imaginez-moi au milieu de la salle de bain à quatre pattes, un gode dans le cul avec une brune et une blonde qui s’occupe de moi, je vous le dis, c’est Noël !

Une fois nue, la blonde reprend le gode et continue de s’occuper de moi, tandis que Claudine en passant derrière elle lui caresse les seins. De temps à autre, leurs visages se rapprochent et elles s’échangent des baisers aussi humides que fougueux. Je n’en peux plus, mon cul est devenu un puits de plaisir, je suis au bout d’un moment assailli par un curieux soubresaut qui me fait jouir de façon intense, la tête me tourne, je suis crevé, ma journée de travail, deux martinis et cette double séance, je suis à moitié dans les vapes. On m’aide à me relever, on m’accompagne au salon, je me retrouve sur un fauteuil, je suis mieux, je ferme les yeux m’abandonnant quelques instants.

- Ça va ?
- Oui, ça va mais j’ai besoin de me reposer cinq minutes !

On me met un linge sur le front, on m’humecte les lèvres, je me laisse faire, finalement j’adore qu’on s’occupe de moi.
J’ai dû dormir juste quelques minutes, j’ai dû rêvé, non je n’ai pas rêvé, sur le canapé, s’ébattent maintenant tête bêche Claudine et Véronique. Je les regarde, elles se caressent, s’embrassent les seins, se font des baisers sur la bouche, il y a infiniment de tendresses entre ces deux femmes, et puis tout d’un coup Claudine change de sens, positionnant son visage entre les cuisses de son amie, les voici en position de 69. Ce n’est pas uniquement la position qui a changé, mais le rythme, elles se déchaînent, s’agitent, leurs corps transpirent faisant jouer des reflets de lumière sous l’halogène du salon. Que c’est beau ! Et les fesses de Claudine, les jolies fesses bien rebondies qui n’arrêtent pas de remuer. Cette fois c’est décidé je vais les embrasser, je me lève pour le faire. Est-ce que ça va mieux ? Est-ce que je tiens debout ? Oui, ça a l’air d’aller !

Je m’approche mais stoppe, Claudine vient de jouir toujours aussi bruyamment que tout à l’heure, elle s’affale sur sa copine mais continue de lui sucer la chatte. Je m’approche pour regarder, elle ne me voit pas, et Véronique prend son pied à son tour. Les voici enlacées, amoureuses. Je réalise que je n’ai rien à espérer de Claudine, elle est prise, même si elle n’est pas exclusive, je ne suis rien d’autre pour elle qu’un jeu, qu’une tocade, mais je ne lui en veux pas, j’ai bien profité de cette soirée et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien,

Je m’approche du cul de Claudine et y dépose un chaste baiser, puis vais pour me rhabiller !

- Dis donc coquin !
- Au revoir, Claudine. Merci pour tout !
- Au revoir Pit ! Au fait Véro je ne t’ai pas montré, j’ai reçu le gode que j’avais commandé aux Trois Cuisses !
- Non !
- Si ! Attends ! Ne t’en va pas Pit, on va encore jouer encore un peu…

FIN
Boris Vasslan © 2003
vasslan@hotmail.com

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Lundi 24 avril 2017 1 24 /04 /Avr /2017 12:00

Vie de château – 3 – Nouveaux voisins par Boris Vasslan

scat
attention, texte contenant des passages scatos explicites

Dans ma propriété cossue, quelque part près d’Alençon, (Orne), un mardi vers 17 heures, Loan, ma nouvelle soubrette, interrompit ma lecture :

– Monsieur Boris, ce sont nos nouveaux voisins, ils demandent s’ils peuvent s’entretenir avec vous, ils m’ont précisé que ce n’était ni grave, ni urgent et que ça ne prendrait que dix minutes.
– Ils auraient pu téléphoner, non ?
– Mais sans doute n’ont-ils pas votre numéro ?
– Et ils veulent me voir quand ?
– Maintenant ou plus tard, à la convenance de Monsieur !.

Elle est vraiment mignonne la petite Loan, c’est une jolie jeune femme d’origine asiatique que j’ai embauchée pour remplacer Mirabelle qui est désormais ma conjointe quasi officielle. (voir le chapitre précédent)

– Ça me gonfle, mais, bon, si ça ne dure que dix minutes, installez-les dans le grand bureau et dites-leur que j’arrive.
– Bien monsieur !
– Loan ?
– Oui monsieur !
– Vous croyez qu’il faut que je me mette une cravate pour les recevoir ?
– Euh, ce serait en effet plus solennel, une cravate un peu sobre et une veste.

Solennel ! N’importe quoi ! Et d’abord qu’est-ce qu’il m’a pris de lui poser une question pareille ? N’empêche que je troque mon ensemble jeans et pull-over contre un pantalon de flanelle grise, une chemise blanche, une cravate grenat en tricot qui est sûrement archi démodée et un blazer bleu marine, et je m’en vais rejoindre les deux emmerdeurs.

Donc j’arrive. Le couple installé dans les fauteuils se lève, on se présente.

Ils doivent avoir la quarantaine, Philippe très dégarni, visage poupin, en costume de ville mais sans cravate, Virginie est une grande brune au visage carnassier portant de fort belles lunettes en écailles, je l’imagine en train de me sucer la bite et cela m’amuse, elle est vêtue d’un chemisier blanc assez simple et d’un jean, la silhouette est assez fine. Elle voudrait se donner un air décontracté, mais il y a décidemment trop de laque dans sa coiffure.

Comme j’ignore le but de leur visite, je décide de ne leur offrir un verre que quand j’en aurais éventuellement envie.

– C’est au sujet de cette petite allée qui sépare nos deux propriétés… commence Philippe.

Ah ! C’est donc ça ! Il s’agit d’une petite allée mitoyenne en impasse de moins de deux mètres de large. Elle appartient à la commune et ne sert à rien, sauf que des types y ont déposé des carcasses d’objets ménagers et autres saloperies. Moi je m’en fous, l’allée je ne la vois pas, elle est derrière mes thuyas. Mon ancien voisin, que je n’ai jamais pu saquer, avait fait des démarches pour faire fermer le passage, la municipalité avait donc posé un bout de ferraille pas trop cher qui a tenu un mois avant de s’écrouler. Le voisin avait alors proposé de racheter le chemin à la commune. Le maire ayant eu la bonté de me prévenir de cette démarche, j’ai alors par pure méchanceté, graissé la patte de l’édile en lui demandant de refuser la vente…

– Quand nous avons acheté la propriété, nous avions remarqué cette allée qui faisait désordre, mais le notaire nous avait affirmé que la commune lui avait assurée qu’elle ferait le nécessaire. Cela n’avait rien de fondamental, mais dès que nous avons eu un moment, j’ai voulu me renseigner, la mairie n’a pas été très coopérative, mais m’a proposé de trouver un éventuel arrangement avec vous pour que je puisse acheter ce morceau de terrain… Mais bon, on n’en fait pas un problème, si vous acceptez tant mieux, si vous refusez on ne sera pas fâché pour autant…
– Quel arrangement ? Si vous voulez l’acheter, achetez-le, ça ne me dérange pas du tout. Répondis-je.
– Ah, bon ? Fait le Philippe qui ne s’attendait pas une négociation aussi facile.
– Tenez, comme j’ai horreur des démarches, je vais vous signer un papelard sur lequel je vais déclarer que je ne vois aucun inconvénient…
– Et, bien ça alors ! Je vous en remercie. Heu, consentiriez-vous à venir prendre tout à l’heure, un petit apéritif dans notre demeure ?
– Pourquoi pas ? Mais je viendrais avec ma compagne, et je ne pourrais rester longtemps.
– Votre compagne sera bien sûr, la bienvenue. Voyez-vous, on m’avait affirmé que vous étiez célibataire, les gens disent n’importe quoi ? Donc, un peu avant 19 heures ?
– D’accord, à tout à l’heure.

Mais qu’est-ce qu’il m’a pris d’accepter cette invitation, moi qui a horreur des relations de voisinages ? Le visage de Virginie ? Une intuition ? De quoi on va parler ? J’ai horreur du sport et n’entend pas dévoiler mes opinions politiques (qui sont d’ailleurs de plus en plus confuses) Reste la nature, les petits oiseaux, les étoiles, la bouffe…. Bon je préviens Mirabelle, ça la gonfle.

– Toi, aller à un apéro chez les voisins !
– J’ai flashé sur la nana, pas vraiment un canon, mais un petit quelque chose.
– C’est gentil pour moi !
– Tu ne vas pas te mettre à être jalouse, non ! Tu verras, elle te plaira !
– Mais enfin, tu crois vraiment que ça va finir en partouze ?
– Cette histoire de chemin, ce n’est qu’un prétexte, je ne dis pas que ça ne les intéressait pas, mais il n’y avait pas que ça…, j’ai une réputation ici, on leur a parlé de moi, et s’ils m’ont invité c’est qu’ils veulent en savoir plus et qu’ils sont probablement intéressés.
– Je m’habille comment ?
– On va dire simple, mais décolleté ! Moi je vais me mettre en polo.

Avant de partir je passe à l’office, Betty, ma plantureuse cuisinière mature est en train d’y faire du rangement. Je lui explique qu’on s’en va, et qu’on ne sait pas à quelle heure on rentrera.

– Préparez-nous un en-cas, au cas où nous rentrerions après votre service.
– Mais, je peux attendre le retour de Monsieur, si Monsieur le désire.
– C’est pas la peine, je sais me servir du micro-onde, Betty.
– Oui, et puis Madame Mirabelle saura faire, n’est-ce pas ?

Je sens comme une pointe d’ironie dans sa voix. Betty n’a jamais digéré la promotion sociale de ma compagne.

– Il reste du collier d’agneau, je vous préparerai les assiettes, vous n’aurez plus qu’à les réchauffer.

Tout en disant ça, elle ouvre le frigo, farfouille dedans tout en remuant son popotin, et comme elle n’a pas de culotte (à ma demande) le spectacle ne m’est pas insensible. Sans le vouloir je lui mets la main aux fesses.

– Oh, Monsieur !
– Quoi « Oh, Monsieur » ! Tu me provoques et tu fais ta mijaurée.
– Je ne fais pas ma mijaurée, je suis contente que Monsieur me pelote le cul, il y a si longtemps…

« Si longtemps », faut peut-être pas exagérer, mais c’est vrai que ça fait un petit bout de temps, je mouille mon index et le lui introduit dans le cul, elle se pâme.

– Humm, c’est bon, Monsieur, je sens bien votre doigt !

Me voilà, en train de bander, ce n’est pas vraiment le moment, il va être temps que nous partions pour cet apéritif. Je retire donc mon doigt.

– Monsieur désire-t-il que je le suce ?
– Non, Betty, je n’ai pas le temps.
– Décidemment, ce n’est plus comme avant ! Me dit-elle avec dépit.
– Hein, que voulez-vous dire ?
– Vous voulez vraiment savoir ? Et bien depuis que Mirabelle est avec vous, ce n’était déjà plus pareil, et maintenant avec la nouvelle, la chinoise, c’est encore pire… moi je compte vraiment pour du beurre…

Là, elle m’énerve !

– Betty, vous n’est pas malheureuse ici, vous êtes très grassement payée. Pour le reste je fais ce que je veux avec mon personnel, y compris rien du tout si j’en ai envie. Vous demanderez à Arnaud de vous infligez vingt coups de martinet sur les fesses, ça vous apprendra ! Je vérifierais demain matin.

Et je la plante, là.

Et nous voici chez les voisins. Je leur présente Mirabelle, le courant passe bien y compris entre les deux femmes. Nous apprenons qu’ils travaillent dans le design et gagnent très bien leur vie. En semaine ils habitent à Paris et ils recherchaient une maison de campagne, genre vieux manoir, celui-ci étant proposé à un prix inférieur à celui du marché, ils l’ont acheté, quitte à le revendre assez vite, mais leurs premières impressions sur la région sont plutôt favorables. La conversation est bien sûr d’abord météorologique, puis on parle des balades à faire dans le coin, des restaurants, de la bouffe… et puis ça ne rate pas, le Philippe intervient.

– Pour parler franchement, je ne vous voyais pas comme ça, les gens d’ici vous ont fait une réputation assez sulfureuse.
– Dites !
– Non je n’oserais jamais !
– Disons, reprend Virginie avec un large sourire, qu’on vous considère comme un obsédé sexuel assez compulsif.
– Obsédé sexuel, oui je n’en ai aucune honte, compulsif, je n’en sais rien, mais je n’ai jamais violé ni même forcé personne, et le respect de la personne humaine fait partie de mes valeurs. Je crois aussi que ce que font des êtres humains adultes et responsables entre eux ne regardent qu’eux, mais que voulez-vous tout le monde ne pense pas comme moi et il faut toujours qu’il y ait des gens qui causent…
– Soyez rassuré, je partage entièrement votre point de vue ! Me confie Philippe.

Je l’aurais parié et donne un coup de genou complice à Mirabelle.

– Et bien, voilà qui fait plaisir ! A la vôtre, répondis-je en levant mon verre.

Je me demandais comment ils allaient amener la suite, ce fut très simple.

– Nous allons vous faire une confidence, nous sommes aussi très libertins ! Confesse Philippe.
– Nous avons pratiqué un peu l’échangisme, nous avons eu quelques ratages, mais surtout quelques belles expériences ! Renchérit Virginie.

Le coup suivant, c’est pour eux ou c’est pour moi ? Allez, on ne va pas être vache, on va les aider :

– L’échangisme c’est bien quand personne n’a de tabou. Lançais-je.
– Oui, vous avez raison, si la femme n’est pas bi, ça ne m’intéresse pas ! Répond Virginie.
– Et quand l’homme est bi ? Demandais-je innocemment.
– Cela peut-être un plus… commence prudemment Philippe.
– Un plus ! Un sacré plus, oui, vous verriez mon homme comment il se régale dans ces cas-là ? Ajoute sa compagne.
– Virginie ! Feint de s’offusquer l’intéressé.
– Ben quoi, au point où on en est, on peut le dire, c’est vrai que tu adores sucer des bites…
– Et bien confidence pour confidence, moi aussi, j’adore parfois faire ce genre de chose ! Répliquais-je afin de tirer le Philippe de son embarras.
– Quels cochons ! Plaisante Mirabelle.
– Oui, c’est vrai, mais c’est pour cela qu’on les aime ! Répond Virginie.

Je me demande si on va en rester là, ou si les deux zouaves vont essayer de faire tourner cet apéritif en partouze…

Un ange passe, manifestement nos hôtes cherchent le petit déclic qui fera basculer la soirée… ce sera Virginie qui se lancera :

– Savez-vous, Mirabelle, que je vous trouve vraiment très belle. Goûter à vos lèvres doit être un plaisir de fin gourmet.
– Les vôtres sont aussi très belles, et je pense que nous aurons un jour cette occasion ! Fait semblant de temporiser ma belle.
– Et pourquoi pas tout de suite ?
– Oui pourquoi pas en effet !

Et voilà nos deux femmes qui se roulent une pelle à ne plus en finir. Elles ne se contentent pas de s’embrasser mais se pelotent sans retenue et sortent de ce contact à moitié débraillées, Mirabelle a un sein à l’air et Virginie ne va pas tarder à se retrouver dans le même état.

– J’ai une idée, dit Virginie à Mirabelle, si nous allumions les hommes ?
– Chiche !

Et voilà que j’ai la Virginie sur mes genoux, tandis que Mirabelle entreprend Philippe. Virginie se frotte l’entre-jambe contre mon sexe. Je me mets évidemment à bander. Elle se retire, ôte son jeans et recommence son manège en petite culotte. Et comme si ça ne suffisait pas, la voilà qui retire son haut à vingt centimètres de mon visage. J’ai maintenant ses jolis seins sous le nez, elle me dirige carrément ses tétons vers ma bouche et je les tète avec gourmandise. Elle voulait me chauffer, c’est réussi, j’ai maintenant la bite toute dure. Elle le sait et me tripote la braguette, l’ouvre, va chercher mon sexe, l’extrait, puis se met entre mes cuisses et commence à me sucer.

Je jette un coup d’œil à côté, Mirabelle quasiment à poil est en train de branler Philippe tout en l’embrassant sur la bouche.

Virginie me fait comprendre qu’elle aimerait que j’enlève mon pantalon. Du coup je retire tout… Elle reprend un peu sa fellation, puis se recule.

– Viens Mirabelle, on va faire une pause.

C’est donc elle qui s’est improvisée la maîtresse du jeu. Pourquoi pas ? Elle est chez elle !

– Venez messieurs, venez vous mettre l’un à côté de l’autre. Voilà, touchez-vous la bite, maintenant. Non, pas la vôtre, chacun doit toucher la bite de l’autre.

Ça commence fort, cette affaire !

– Regarde comme ils sont mignons, Mirabelle, nos hommes avec une bite dans la main… on va leur faire faire plein de trucs coquins… Alors qui est-ce qui suce l’autre ?

J’aime bien qu’on me suce, mais j’adore surtout sucer. Philippe me laisse choisir, je me baisse donc et me voilà avec sa bite dans la bouche. Ça me fait plaisir, voilà un moment que je n’avais pas sucé une nouvelle queue et celle-ci est bien agréable.

Je n’arrête que parce que ma position n’est pas trop confortable et que ma bouche fatigue.

– Vous sucez divinement, mon cher ! Permettez que je tente à mon tour de faire aussi bien que vous ?
– Mais je vous en prie.

Philippe se baisse afin de me sucer à son tour. Et c’est qu’il suce super bien le zigoto ! Pendant ce temps sur les conseils de Mirabelle, Virginie est venue derrière moi et me tortille les tétons, je suis aux anges, mais je ne voudrais pas jouir trop vite. Je fais signe à Philippe de me lâcher le gland. Il se relève, je lui flatte la bite.

– Elle est vraiment très jolie… Si vous en étiez d’accord, mon cul l’accueillerait bien volontiers.
– Vous souhaiteriez donc que je vous encule, mon cher Baron ?
– Enculez, moi, Philippe, mais je vous en prie, appelez-moi donc Boris.
– Permettez que vous prépare ? Intervient, Virginie, j’adore préparer un petit cul à la sodomie.
– Mais avec grand plaisir !

Et la voilà qui me débarbouille l’anus et ses environs de sa langue agile.

– Il a fort bon goût, votre trou ! Se croit-elle obligée de commenter.
– Tant mieux, car ma dernière douche remonte tout de même à ce matin.
– J’ai les mêmes goûts en matière de culs qu’en matière de fromage, je les aime très légèrement avancés.

On ne me l’avait jamais sortie celle-là, mais comme elle ne sait pas parler et lécher en même temps, la voilà qui m’introduit un doigt, puis deux, délicieuse sensation.

Elle les ressort, les regarde !

– Dites, moi, cher monsieur, vous n’avez pas le cul bien propre, regardez l’état de mes doigts !
– Désirez-vous un kleenex ?
– Ne vous donnez pas cette peine, je vais lécher tout ça !

Et c’est ce qu’elle fait avec une facilité déconcertante, si elle voulait me lancer un message m’indiquant qu’elle était branchée scato, c’est réussi.

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine ! Rétorquais-je, ne trouvant rien de plus intelligent à répondre
– Votre merde est délicieuse, Monsieur Boris !

De si vilains mots dans une aussi jolie bouche !

– Je pense que tu peux y aller ! Indique-t-elle à son mari. Vas-y encule le bien !

Je me positionne en levrette sur le tapis, en relevant bien mon cul, Philippe arrive, me met un peu de gel, et me pénètre sans difficulté, il commence par de timides va-et-vient, puis s’excite et augmente tellement la cadence qu’il m’oblige à avancer… s’il continue je vais me foutre la tête contre un mur… je pourrais lui dire de ralentir, mais finalement ça me plait bien. Il finit par jouir en faisant un drôle de bruit, une sorte de grognement chuchoté.

Ça m’a fait du bien ! Le Philippe, lui, semble exténué, il est en nage, pas très sportif, le mec, mais vous me direz, moi non plus.

– J’espérais vous voir échanger les rôles, mais je crois bien que mon mari est « out » pour le moment ! Se désole Virginie. Boris à défaut du cul de Philippe, accepteriez-vous le mien ?
– Mais avec grand plaisir, chère Virginie. Voyez-vous je suis sans doute bisexuel, mais je préfère néanmoins les femmes. Donc, vous enculer me ravira… j’ai simplement peur d’être un peu bref, toutes ces émotions m’ont rendu une bite de jeune homme.
– Allons venez, et faites pour le mieux…

Virginie279Quelle belle croupe ! Je m’encapote, lui passe un peu de gel et la sodomise, tandis que Mirabelle s’est accroupie devant elle afin de pouvoir l’embrasser. Je ne sais pas comment faire pour me retenir de jouir trop vite, penser à des choses tristes, à ma déclaration d’impôts, à la tronche de types que je n’aime pas…

Pour l’instant ça va, la belle fait des « Hummmpf » et des « Arghhhh » et s’en prend plein le croupion.

– Vous m’enculez trop bien, cher Boris !

Le compliment fait plaisir mais précipite l’action, j’éjacule donc et décule, puis m’apprête à retirer la capote qui n’est pas d’une netteté irréprochable, mais Philippe m’en empêche !

– Attendez un instant, Virginie va vous nettoyer tout ça ! N’est-ce pas Virginie ?

Il se passe alors quelque chose de bizarre, ce genre de choses doit faire partie de leurs petits jeux privés, ça je l’avais compris. Mais elle regarde son époux avec des yeux de braise, le toise, semblant lui dire « alors c’est un défi ? »

– Ça t’excite de me donner des ordres dégoûtants devant nos voisins, hein mon salaud ?
– Ce n’est pas un ordre, c’est juste une suggestion !
– Et pourquoi tu ne le fais pas toi ?
– Parce que c’est moi qui a eu l’idée le premier !
– OK, ça ne vous gêne pas Boris ?
– Mais pas du tout, faites comme chez vous !
– Alors d’accord ? Mais que dois-je faire exactement, j’ai des trous de mémoire parfois ! S’amuse-t-elle.
– Tu vas nettoyer la merde que tu as foutue sur la capote.
– Bon, bon, je vais chercher un gant de toilette et du savon ! Plaisante-t-elle.
– Virginie, tu nettoies avec ta langue !
– Bon, bon, quand on m’explique gentiment et en détail ce que je dois faire, j’arrive à tout comprendre ! Rigole-t-elle.

Et elle se met à nettoyer la capote, en donnant de grands coups de langues sensuels et en lançant des œillades provocatrices à la compagnie comme si elle se régalait du meilleur de tous les gâteaux chocolatés.

– Humm, c’était délicieux… un goût de trop peu peut-être…

Philippe devient soudain quelque peu mal à l’aise.

– Euh, j’ai peut-être été un peu loin, là, j’espère que je ne vous ai pas choqué… vous savez parfois dans le feu de l’action on se laisse un peu aller.
– Mais non, nous ne sommes pas choqués du tout, moi aussi j’adore sucer les bites qui sortent de mon trou ! Le rassure Mirabelle.
– Me ferez-vous cet honneur ?
– Quand vous voudrez, Philippe !

On se ressert à boire, on trinque, on échange quelques plaisanteries, toutes ces galipettes nous ont donné soif.

Un bruit sur la porte, un grattement sourd.

– C’est Caramel, il est réveillé ! Précise Virginie.

Merde, un gosse ! Quelle drôle d’idée de l’appeler Caramel mais ce doit être un surnom, vite mes fringues… mais le voilà qu’il entre en remuant la queue : Caramel est un magnifique labrador.

– C’est l’odeur de sperme qui l’attire ! Reprend la maîtresse de maison.

Oups ! J’ai comme un pressentiment qu’on va assister à quelque chose qui va ressembler à de la zoophilie. Mais pour l’instant la bestiole fait la fête à Mirabelle qui le caresse gentiment, elle adore les bêtes, elle a quand même pris soin de croiser les jambes et de se mettre une serviette en papier sur le sexe, au cas où…

– Vous ne possédez pas de chien ? demande Virginie.
– Non, juste des chats !
– Il est très affectueux, pas méchant du tout, un peu vicelard aussi.
– Je vois ! Répond Mirabelle, qui a de plus en en plus de mal à s’en dépêtrer.
– Viens, ici, Caramel, viens voir ta maitresse.

Le chien se dirige vers elle, elle écarte alors les jambes et la bête se met à lui lécher le pubis à grands coups de langue. Mirabelle est fascinée.

– Tu n’as pas peur qu’il te morde ?
– Mais, non il est vicieux, mais intelligent et bien dressé… Ah ! Cette langue, c’est divin.

Mirabelle a décroisé les jambes, elle a porté la main à son sexe et se masturbe en observant le spectacle.

– Tu aimerais essayer ? Propose Virginie.
– Je ne sais pas, peut-être ! Répond-elle dans un souffle.
– Appelle-le.
– Viens, Caramel, viens me lécher la foufoune.

Virginie se relève et pousse le chien vers Mirabelle, il déboule en remuant la queue, et se met à lécher. Le spectacle est fascinant, ma compagne a les joues toutes rouges et elle se pince ses bouts de seins. L’affaire dure bien cinq bonnes minutes avant qu’elle se mette à jouir bruyamment.

– Je suis vraiment une salope, je me suis fait jouir par un chien ! Conclut-elle.
– Et alors, tu ne fais de mal à personne, et en plus le chien est ravi, regarde sa bite !

En fait Virginie a passé sa main entre les pattes arrière du chien et a ramené son sexe vers elle.

– Hum, elle est mignonne sa bite ! Commente-t-elle.
– Mignonne, je ne sais pas, mais c’est impressionnant !
– Regarde je vais lui faire un petit bisou !

Et joignant le geste à la parole, Virginie effleure de ses lèvres le membre canin. Puis après avoir lancé un sourire complice à l’adresse de Mirabelle, elle donne quelques coups de langue.

– Je vais arrêter, je ne voudrais pas te choquer.
– Je ne suis pas choquée ! Répond Isabelle. Mais disons qu’on ne voit pas ça tous les jours.
– Alors, attention les yeux !

Et Virginie embouche la bite du chien, dégoulinante d’un liquide visqueux.

– Hum, c’est bon, tout ça ! Tu veux essayer, ma chérie ?
– Je ne sais pas… peut-être.

Et devant mes yeux incrédules, ma douce Mirabelle s’en va rejoindre l’autre « dépravée » qui lui tend la bite du chien afin qu’elle l’embouche à son tour.

Les deux femmes jouent de leur langue et de leur bouche pendant quelques instants avant de se rouler un patin magistral.

Oh ! Oh ! Aurons-nous droit à un troisième acte, encore plus hard ? Ben non, du moins pas de suite, Caramel a profité de ce petit répit, pour aller voir ailleurs

– Pauvre bête, il n’a même pas pris son pied ! Se lamente Virginie.
– Nous vous aurions bien gardé à diner, mais notre frigo est quasiment vide, dit alors Philippe. Mais accepteriez-vous que l’on vous offre le restau ?
– Pour aller au restau, il faut prendre la voiture, objecte Virginie, et prendre la voiture après trois apéros ce n’est pas sérieux du tout.
– Je roulerais doucement.
– Ce n’est pas un problème de vitesse, c’est un problème de reflexe.
– Mais je me sens très bien !

Ils ne vont pas s’engueuler quand même ? Mais j’ai ma petite idée pour désamorcer cette mini crise.

– Venez donc chez moi, ma cuisinière va nous préparer un petit truc, ce sera à la bonne franquette !
– D’accord, on fait comme ça ! Répond Virginie. Et nous vous rendrons la politesse la prochaine fois.

Philippe est d’accord également, je demande la permission de passer un coup de fil que je m’amuse à donner publiquement.

– Betty ! Etes-vous encore en heures de service ?
– Oui monsieur !
– Il vous faut combien de temps pour nous préparer un petit repas tout simple pour quatre personnes.
– Euh ! Il n’y aura pas assez de collier d’agneau pour quatre… je peux vous faire des spaghettis bolognaises et avant une assiette de charcuterie, et en dessert une salade de fruits… Disons une demi-heure,
– Ce sera parfait ! Tous vos collègues ont quitté leur service !
– Oui, monsieur !
– Dommage, j’aurais aimé leur présenter Loan.
– Loan dort, Monsieur, mais si vous voulez, je peux la réveiller, je pense qu’elle serait contente de faire des heures supplémentaires pour Monsieur !

Je sens comme de l’ironie dans sa voix, je le sais bien que Loan n’est plus en heure de service, mon allusion n’avait pas d’autres but que de la provoquer.

– Laissez-la se reposer ! Par contre vous ferez le service en tenue d’esclave, collier de chien autour du cou, nichons et cul à l’air, et puis vous ajouterez des poids à vos piercings, ça vous apprendra à me faire des crises de jalousie.
– Bien, monsieur !
– Au fait, votre punition a-t-elle été administrée ?
– Oui, monsieur !

Je raccroche, elle m’énerve. Je m’amuse de la mine de Philippe et de Virginie. C’était le but du jeu. Moi aussi, je sais épater les gens, et je n’ai pas besoin d’un labrador.

– Vous avez des domestiques très particuliers ! Commente Philippe.
– Je ne vous le fait pas dire !
– Heu… le chien ?
– Vous l’emmenez bien sûr !

Le temps de se rhabiller, de redevenir présentables, de ranger un peu le fouillis, et que ces dames se rincent la foufounette, et nous voilà de retour au château.

– Ces messieurs dames prendront-ils un apéritif ? Demande Betty qui n’a pas encore revêtue (si l’on peut dire) la tenue demandée.

Devant le refus de Philippe et Virginie, nous passons directement à table, le couvert est dressé, et chaque assiette comprend un assortiment de charcuterie italienne avec des tranches de melons.

– Si vous en êtes d’accord, nous ferons le traditionnel tour du propriétaire plus tard, je meurs de faim.
– Malgré tout, j’irais bien aux toilettes, je voulais y aller avant d’arriver et ça m’est sorti de l’esprit, nous dit Virginie.
– Comme vous voulez, mais si vous pouviez vous retenir cinq ou dix minutes, j’ai une petite idée un peu perverse en tête…
– Oh, vous, je vous vois venir, petit cochon, mais d’accord je vais essayer de me retenir.

On s’assied, et Betty réapparait provoquant un masque de surprise de mes invités, ils avaient pourtant été prévenus, mais la voir en réel, c’est autre chose. Il faut dire que le spectacle ne manque pas d’insolite, elle n’a rien en haut, et ses gros seins sont tirés vers le bas par les poids attachés aux piercings de ses tétons, elle a à la ceinture une caricature de jupe noire qui ne descend pas plus bas que le haut du pubis, et elle est chaussée d’impossibles godasses à très haut talons en matière transparente. Un collier d’esclave complète la tenue.

– Je vous propose un excellent Tavel, bien frais, mais si vous préférez autre-chose… Décline-t-elle

Cela convient à tout le monde, elle fait goûter Virginie, c’est bon ! Elle nous sert.

– Votre cul est bien rouge, il a tapé fort, Cyril ?
– Il s’est surtout trompé sur le nombre ! Répond Betty.
– Cyril ne se trompe jamais, j’ai l’impression que vous cherchez toutes les occasions pour que l’on vous punisse.
– Pardon, Monsieur ?
– Et après vous avoir fouetté, je suppose qu’il était excité ?
– Très excité !
– Et qu’est-ce qu’il vous a fait ?
– Je n’ose le dire devant ces messieurs-dames.
– Dites-nous, Betty, ces messieurs-dames comme vous dites, sont impatients de savoir.
– Il m’a sodomisé, Monsieur !
– Il vous a quoi ? Nous ne sommes pas chez votre sexologue, ici !
– Il m’a enculé, Monsieur !
– Ah ! Je comprends mieux ! Et ensuite ?
– Et bien Arnaud qui était avec lui m’a enculé également.
– Et ça vous a plu ?
– Oui, Monsieur, c’était bien agréable ! Monsieur sait bien que j’adore qu’on m’encule.
– Dites-moi, Betty, avez-vous dîné ?
– Oui, monsieur !
– Dommage, mais vous n’êtes pas contre le fait de partager un petit verre de Tavel avec nous.
– Non, Monsieur !
– Alors allez donc chercher la gamelle des chats, vous ne pensiez pas que j’allais vous permettre de le boire dans un verre en cristal, non ?

Philippe et Virginie semblent fascinés par ce qui se passe sous leurs yeux. Betty revient avec une écuelle.

– Mais j’y pense, Betty, je sais que vous n’êtes pas trop amateur de rosé, sans doute préfériez-vous du champagne ?
– C’est comme Monsieur voudra !
– Virginie, vous aviez une petite envie de pipi, si vous pouviez faire dans cette écuelle.
– Non, non c’est du gâchis, proteste Mirabelle, le pipi de Virginie mérite mieux que ça. Je propose que nous le buvions dans des coupes après avoir trinqué.

Virginie enlève son pantalon et sa culotte, puis pisse dans les coupes de champagne que Betty est allée chercher, on trinque, on boit, c’est délicieux.

– Maintenant indiquez moi les toilettes, j’ai une autre envie… plus consistante. Demande Virginie
– A moins que ton caca n’intéresse ces messieurs dames ! Intervient Philippe
– Pourquoi pas ? J’aime bien regarder une belle merde sortir d’un joli cul ! Répond Mirabelle.
– J’y vais alors ! Attention les yeux

Virginie s’empare d’une assiette et va pour s’installer à quelques mètres de la table.

– Monte sur la table pour chier ! Lui dit Mirabelle, on verra mieux.

Le spectacle est fascinant, l’anus s’ouvre lentement, un bout d’étron quémande la sortie, puis s’agrandit en un long boudin qui se détache et dégringole dans l’assiette en s’enroulant sur lui-même et en dégageant un parfum subtil. Un deuxième étron vient ensuite rejoindre le premier. Elle porte ensuite sa main sur son trou, constate qu’il y reste un petit peu de matière, et l’étale sur ses fesses.

– Quelqu’un veut me lécher le cul ? Demande-t-elle innocemment.

Je bande comme un sapeur et me suis porté volontaire, j’ai tout nettoyé en peu de temps m’enivrant de cette saveur si particulière.

– Votre cul est délicieux ! Commentais-je
– Mon cul ou ma merde ?
– Les deux bien sûr !

Virginie se rassoit, personne ne prend l’initiative de retirer l’assiette. Betty reste là comme une andouille se demandant si elle doit le faire ou pas. Et puis il y a l’écuelle des chats qu’elle a apporté pour rien.

– Ben Betty, vous faites quoi ?
– J’attends vos ordres, Monsieur.
– Dépêchez-vous d’aller en cuisine, vous avez la cuisson des spaghettis à surveiller.

Et j’en profite pour lui donner quelques fessées sur le cul afin de l’encourager.

– Ça m’embête d’être la seule à rester la chatte à l’air, on pourrait tous se mettre à poil, non ? Propose Virginie.

Tout le monde approuve, et tout le monde s’exécute.

Il est évident que la partouze ne demande qu’à redémarrer de plus belle. Problème : on a tous un peu faim.

– Qu’est-ce qu’on fait avec ce boudin ? On le laisse là ? Demande Virginie, qui accompagne ces mots d’un mouvement de la main venant caresser la chose.

Elle se regarde les doigts, évidemment tout merdeux, se les porte à la bouche et se les lèche en regardant Mirabelle droit dans les yeux.

Celle-ci répond à la « provocation » en l’imitant. Je bande comme un sapeur et Philippe qui s’en est aperçu me tripote la bite.

Les doigts de Virginie ne sont pas complétement nettoyés, et elle se les essuie sur sa joue, laissant une insolite et large trainé brune.

– Je suis belle comme ça ? Demande-t-elle.
– Bien sûr que tu es belle ! Répond Mirabelle qui se lève.

Elle vient l’embrasser d’abord chastement sur les traces de merde étalées sur sa joue, avant de se mettre à lécher.

– Attend je vais m’en mettre sur les seins ! Décide Virginie.

Mirabelle l’imite, puis les deux femmes se lèchent les tétons à tour de rôle, puis finissent par se rouler un patin baveux.

– Humm !

Qu’est-ce que c’est ?

C’est Betty qui apporte les pâtes. Elle nous sert. Du coup chacun se place gentiment derrière son assiette.

Un ange passe. Et puis une idée farfelue me passe par la tête.

– Dites-moi Betty, est-ce que vous vous êtes déjà fait baiser par un chien ? Lui demandais-je
– Monsieur plaisante !
– Non, monsieur ne plaisante pas et il attend une réponse.
– Ma foi, non !
– Voici une lacune qu’il convient de combler ! Virginie puis-je vous demander de présenter Caramel à ma cuisinière.

Cette dernière va chercher le chien dans le coin où il roupillait et l’emmène en laisse au côté de Betty, qui tétanisé se demande ce qu’elle doit faire.

Comme tout à l’heure, Virginie s’est emparé de la bite du chien et la fait ressortir par l’arrière. Betty devient rouge comme une tomate.

– Allez Betty, sucez-moi cette bite !
– Non, monsieur, je ne peux pas !
– Ça n’a rien de difficile, pourtant ! Rétorque Virginie qui joignant le geste à la parole engloutit le sexe de Caramel dans sa jolie bouche pulpeuse.
– Allez Betty !
– Non !
– Je l’ai bien fait moi, Intervient Mirabelle. Et c’était bon !
– Madame est décidemment une salope !

J’ai compris le jeu de Betty, en critiquant sa maîtresse, elle veut créer une diversion. Mais ça ne prend pas !

– Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ! Tu cherche une punition ! Ben justement ta punition ce sera de sucer le chien. En attendant mets-toi à quatre pattes.

Je récupère ma ceinture sur mon pantalon et lui cingle plusieurs fois les fesses..

– Alors tu vas le faire ?
– Je le ferais si Madame Mirabelle le fait avant moi !

J’allais protester contre cette revendication inouïe, mais Mirabelle se lève de table.

– C’est bon, on va faire comme ça ! Me dit-elle
Avant de rejoindre Virginie et de l’accompagner dans sa fellation canine.

Du coup Betty est décontenancé et s’approche timidement des deux femmes.

– Allez, Betty, soit aussi cochonne que nous ! Lui dit Virginie.

Betty ferme les yeux, donne un petit coup de langue timide, puis un deuxième, reprend son souffle et englouti la bite. On l’encourage, on l’applaudit.

– Remets-toi en levrette, maintenant ! Lui dit Virginie, le chien va te prendre.
– Non !

Je lui envoie un nouveau coup de ceinture sur son gros cul. Elle ne proteste plus. Virginie attire le chine vers la chatte de ma cuisinière, il se précipite et se et à s’agiter frénétiquement.

– Il ne va pas la griffer ! M’inquiétais-je.
– Non, ses pattes avant sont limées.

Mirabelle saisie alors d’une irrésistible pulsion se place à côté de Betty.

– Moi aussi, je veux qu’il me prenne. Clame-t-elle.

Virginie se débrouille pour que le chien change de partenaire et j’ai le plaisir de voir ma douce se faire sauter comme une chienne et jouir comme une damnée. Quel spectacle !

Betty se relève !

– J’espère que Monsieur est satisfait ! Est-ce que j’ai été assez salope !
– Tu recommenceras ?
– Oui, monsieur !
– Parfait vient m’embrasser ! Non pas comme ça, sur la bouche !
– Oh ! Quel honneur, monsieur.

Toutes ces péripéties m’ont excité et voilà que je rebande… mais je finis d’abord mes pâtes avant l’interpeller mon invité du soir :

– Dites-moi, Philippe, j’ai comme une envie de vous mettre ma bite dans le cul, là tout de suite, ça vous tente ?
– Je ne refuse jamais une bonne queue, cher Boris, si vous avez envie de m’enculez, ne vous gênez surtout pas.
– Alors mon cher, si vous voulez bien vous déshabiller et vous mettre en position, je vais me faire un plaisir de vous prendre le cul.

Les filles viennent près de nous, je donne ma bite à sucer à Philippe afin de lui donner davantage de vigueur.

– Betty, pendant que Monsieur Philippe me suce la queue, passez derrière lui et léchez-lui donc le fion, un peu de lubrifiant naturel ne fait jamais de mal.

Et pendant que j’encule Philippe, mon regard croise celui de Mirabelle, et nous nous échangeons le plus beau des sourires

C’est pas bien, la vie de château ?.

Vasslan@hotmail.com
Alençon, Septembre 2009

Par Boris - Publié dans : Boris
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Lundi 24 avril 2017 1 24 /04 /Avr /2017 11:27

Vie de château 2 – Test d’embauche par Boris Vasslan

scat
attention, texte contenant des passages scatos explicites

Il me fallait remplacer Mirabelle. Je veux dire la remplacer dans mon effectif domestique. Elle, de son côté aurait bien continué à communier sous les deux espèces, soubrette préférée et concubine officieuse… mais nous nous sommes vite rendu compte que cette confusion était une source de problèmes.

Je téléphone donc à « l’agence », en fait un placeur qui recrute (en prélevant sa « petite » commission) des filles dans des spectacles érotiques, des salons de massages et d’autres endroits de ce genre pour leur proposer des postes de gens de maison ou de secrétaire avec option sexe explicite. Il me rappelle quelques heures plus tard :

– J’ai une jeune femme d’origine vietnamienne en ce moment, ça vous dirait ?
– Pourquoi pas ? C’est son premier poste comme domestique ?
– Non, elle travaillait chez des gens qui sont partis à l’étranger. Ils en étaient très contents. Je lui ai expliqué ce que vous attendez d’elle, ça ne lui pose aucun problème. Elle est très gentille, très mignonne et très soumise. Je vous envoie sa photo ?

Ben oui, pourquoi pas ?

La nana arrive en fin de matinée, Mirabelle est allée la chercher à la gare d’Alençon, et je l’accueille dans le salon

– Bonjour Loan, le voyage s’est bien passé ?
– Oui, Monsieur, avec le TGV, ça va assez vite, j’ai changé de train au Mans.
– Bien, je ne vais pas procéder à un entretien d’embauche, mais on va faire une journée d’essai, si au bout de cette journée, nous nous apercevons que nous ne sommes pas faits pour nous entendre, je vous indemniserais en conséquence et nous en resterons là.
– Bien Monsieur.
– Voici vos futurs collègues : Betty qui s’occupe plus particulièrement de la cuisine, Arnaud qui est un peu mon majordome, et Cyril qui coordonne tous les travaux de l’extérieur, un sacré boulot, n’est-ce pas Cyril ?
– Oui Monsieur, mais ça me plait bien ! Répond mon jardinier antillais.
– Ah, au fait, Cyril a une très belle bite, voulez-vous bien la montrer à cette charmante personne !

Les yeux de la Loan, qui ne pensait pas que les fantaisies sexuelles arriveraient si tôt, quand Cyril sortit son engin !

– Vous pouvez toucher, ça ne mord pas ! Précisais-je.

Loan obéit, caresse d’abord timidement la queue avant de lui imprimer un vrai mouvement de masturbation.

– Sucez-là, voyons, ne soyez pas timide !

La bite de Cyril est maintenant bien bandée. Loan la prend dans sa bouche et entame une petite fellation, que je fais finalement stopper assez rapidement.

– Voilà, c’était juste un petit aperçu des bonnes choses de la maison. Betty va vous montrer votre chambre, reposez-vous un peu, prenez une douche si vous le souhaitez, et si vous avez faim arrangez-vous avec elle. Je vous veux dans mon bureau à 14 heures précises en tenue de soubrette, mais sans culotte.
– Bien Monsieur !

Tout ce petit monde quitte la pièce, à l’exception de Cyril à qui j’ai fait discrètement signe de rester.

– Alors, elle suce bien ?
– A mon avis, elle n’a pas voulu se dévoiler à fond, mais elle a du savoir-faire et de l’expérience, c’est sûr !
– Elle suce mieux que moi, alors ?
– Vous c’est le patron, mais c’est vrai que vous sucez bien !
– Fayot ! Ressors-moi ta queue, j’ai comme une envie !

Et me voilà en train de lécher la bite de mon jardinier… Il y avait longtemps que je ne l’avais pas fait, il est vrai que mon coup de foudre avec Mirabelle m’avait tellement accaparé que j’en avais oublié les aspects les plus débridés de ma sexualité. Humm, mais c’est qu’elle est bonne sa bite… Je la connais par cœur, mais je ne m’en lasse pas… Je lui lèche le gland du bout de la langue, fait de grands lapements sur la verge, joue avec la couronne, engloutit tout, la fait se cogner contre l’intérieur de mes joues, avant de pratiquer des allers et retours plus classiques. Je suis terriblement excité et n’ai pas l’intention d’attendre 14 heures pour jouir.

– Vous allez m’enculer, Cyril !
– Avec plaisir, Monsieur !
– Allez, on se fout à poil…

Nous voici nus comme des vers, à l’exception de nos chaussettes. Je le suce encore un petit peu, lui passe une capote que je lui laisse enfiler, puis je rejoins le canapé sur lequel je me positionne en levrette, le cul levé et offert. Je ne lui donne pas d’instruction, je lui laisse l’initiative : ou il va me prendre sauvagement, ou alors il va me préparer, ça dépend de son humeur à Cyril.

Je sens sa langue sur mon cul ! Ce sera donc la version préparée. Il a l’organe diabolique, ça virevolte sur mon œillet qui sous cette pression subtile ne peut que s’ouvrir ! Et hop, voilà qu’il me met un doigt et commence à me ramoner le fion… et un deuxième… ça devient bon… j’ai oublié de lui donner du gel, mais il m’a tellement bavé dessus que ça devrait bien rentrer. Effectivement ça entre. Presque tout d’un coup… et allons-y pour les allers et retours en cadence.

– Alors mon chéri, on se fait enculer comme une vieille tante ?

Ça c’est Mirabelle qui se pointe, pas gênée du tout.

– Parfaitement, et il me fait ça très bien, ce garçon !
– Ça je n’en doute pas une seconde…
– Mais tu ne nous gênes pas du tout, Mirabelle, viens donc nous rejoindre !
– Non, je regarde, ça m’excite !
– D’accord !

Cyril s’énerve un peu, augmente la cadence…

– Je vais venir, Monsieur !
– Allez-y Cyril !

Il décharge avec un grognement étouffé, puis décule. Il va pour retirer la capote de son sexe quand Mirabelle l’en empêche, surgit et se le prend en bouche. Je n’ai pas eu le temps de voir dans quel état elle était ressortie de mon cul. Elle suçote tout ça quelques instants, puis se retire avec un sourire provocateur :

– Hum… j’adore sucer une bite qui sort d’un trou du cul !
– Cochonne !
– Parfaitement !

Puis tandis que Cyril récupère, elle s’empare de ma propre bite (si j’ose dire !) et commence à la sucer avec application.

La cochonne, mais j’ai compris le message, elle veut me signifier qu’elle aussi peut être capable des pires perversités quand cela lui passe par la tête, mais que cela ne remet pas en cause notre liaison.

– Monsieur n’a plus besoin de moi ? Demande Cyril en s’apprêtant à se rhabiller.
– Moi, non… à moins que Mirabelle…
– Hummmm, non, on va rester tous les deux, merci Cyril, vous pouvez remballez votre quéquette.

Mirabelle enlève prestement son jean et sa culotte, mais garde le haut, se tourne et me présente son cul.

– Allez, moi aussi j’ai envie de me faire enculer !
– Comme ça, direct ?
– Ouais, à la barbare, fais-moi crier !

C’est comme, elle veut ! Je m’introduis subito presto dans son anus, elle gueule.

– Ça va ?
– Continue ! Défonce-moi !

Allez ! J’y vais, je la ramone quelques minutes, (sans capote puisque nous avons fait des tests tous les deux). Elle pousse d’impossibles gémissements et profère d’intraduisibles onomatopées.

– Vas-y, jouis dans mon cul, salaud, pédé, enculé, morue !

Elle est déchaînée, mais ça tombe bien, j’allais jouir ! Ça fait du bien. Je me retire, Mirabelle se retourne et me gobe la bite, la nettoyant de son sperme et de son caca… Puis me roule un patin… On reste affalé tous les deux dans le canapé un bon moment, moi à poil, elle la chatte à l’air.

– Monsieur et Madame prendront leur déjeuner dans la petite salle à manger ? Demande Betty, ma grassouillette cuisinière mature, qui vient de faire irruption et nous contemple d’un air amusé.
– Il y a quoi ? Demande Mirabelle.
– Poisson grillée et purée maison.
– Ça peut se garder ?
– Bien sûr !
– Alors nous ne mangerons pas là, reprend ma douce, j’invite Monsieur au restaurant.

Voilà, elle ne m’a même pas demandé si j’étais d’accord, elle est comme ça Mirabelle, moi qui ne sortais jamais, elle m’emmène parfois au restaurant, parfois au cinéma, ou tout simplement faire une grande balade dans la campagne environnante. Parfois nous nous échappons à Deauville ou à Honfleur qui ne sont qu’à une centaine de kilomètres.

Nous avons donc été déguster quelques huîtres à Alençon, nous avons parlé de tout et de rien comme de jeunes amoureux, nous n’avons pas évoqué nos excentricités de la matinée, il n’y a pas que le sexe dans la vie !

– Bon, on a le temps de prendre un dessert, mais faut qu’on soit revenu pour 14 heures, pour affranchir Loan ! Me dit Mirabelle.
– Une crème brulée ?
– Pour moi aussi… Tu as une idée de la façon dont ça va se passer ?
– Pas du tout… je vais improviser, et si tu veux intervenir, surtout te gênes pas…

A 14 heures je suis assis derrière mon bureau (ben oui j’ai un bureau, deux même, un grand et un petit, ils ne me servent pas à grand-chose puisque je n’ai aucune activité professionnelle, mais le petit bureau, c’est mon coin privé, avec mon ordinateur et une partie de mon fouillis) J’ai apporté quelques petits instruments de domination, au cas où j’en aurais besoin, que je laisse négligemment sur le meuble, ainsi qu’une poignée de préservatifs et du gel intime. Mirabelle est assise à côté de moi. Arnaud, Cyril et Betty sont debout dans le fond. On frappe, c’est Loan.

– Non, non, ne refermez pas la porte ! Humm vous êtes très belle dans cette tenue, qu’en penses-tu Mirabelle ?
– Charmante… charmante.
– Montrez-nous vos fesses, Loan.

Elle ne se fait pas prier, se retourne et retrousse sa jupette.

– Voilà, Monsieur.
– Humm ! C’est mignon, venez donc près de moi que j’y mette la main.

Je lui caresse ses fesses qui sont très douces.

– Penchez-vous que je puisse voir votre trou de balle. Humm ravissant… mais nous y reviendrons tout à l’heure. Dites-moi, chez vos anciens patrons, vous faisiez souvent du sexe ?
– Assez souvent, oui, avec Monsieur, avec Madame, leurs grand enfants et parfois avec leurs invités aussi.
– Ils vous punissaient ?
– Oui aussi !
– Et vous aimez qu’on vous punisse ?
– Je suis un peu soumise, ça ne me gêne pas du moment qu’on respecte mes limites.
– Vous avez donc des tabous ?
– En fait, non, mais il a des choses que je n’aime pas tellement ou alors juste à toutes petites doses.
– Par exemple ?
– Le SM quand ça va trop loin…
– Comment ça ?
– Rester attachée et bâillonnée pendant des heures, ça ne me plait pas trop…
– Vos maîtres vous ont imposé ce genre de choses. Racontez-nous.
– Ils ne m’ont jamais obligé à quoi que ce soit ! J’avais un mot de sécurité, d’ailleurs à ce propos, ce sera ici ma seule exigence… je vous demanderais la même faveur.
– Vous n’en aurez sans doute pas besoin, mais je vous l’accorde néanmoins, ce sera « Orchidée », avez-vous fait des choses un peu extrêmes ?
– Oui, un jour, des invités sont arrivés avec un labrador, quand on en est arrivé aux galipettes, j’avais récolté une punition suite à une faute imaginaire, ils ont fait venir le chien, je pensais que le gage serait de me faire lécher par le chien, ce qui ne me posait aucun problème particulier, mais ce n’était pas ça, il fallait que ce soit moi qui suce le chien. J’ai failli refuser mais quand j’ai vu ma patronne mettre la bite du chien dans sa bouche, cela m’a tellement excité que je n’ai plus hésité.
– Je vois ! Et si vous aviez refusé ?
– Ils n’auraient pas insisté. Mes patrons étaient parfois durs avec moi, mais ils me respectaient.
– Et vous avez recommencé ?
– Oui, à deux occasions avec le même chien, j’ai pris plaisir le sucer et ensuite il m’a baisé.
– Et l’uro, la scato ?
– L’uro, pas de problème, la scato non plus s’il n’y a pas d’exagération, la merde ne me dégoute pas. Le tout c’est qu’on me respecte.

On va finir par le savoir, mais je crois comprendre qu’elle n’est pas si rassurée que ça de changer de patron et qu’elle se demande où elle est tombée.

– Rassurez-vous Loan, je crois qu’ici mes domestiques sont heureux, et tout à l’heure vous pourrez vous entretenir avec eux et leur poser toutes les questions qui vous viendront à l’esprit.
– Merci Monsieur.
– Et puis sachez que Mirabelle avant d’être ma compagne tenait ici le rôle que vous allez tenir….

Idée subite ! J’ai une idée ! Mais alors une idée perverse de chez perverse.

– Bon, Loan, que diriez-vous de quelques petits tests coquins ?
– Je suis à votre disposition, Monsieur.
– Ah Mirabelle, pour ces tests, j’ai besoin que tu sois ma soumise, tu n’y vois pas d’inconvénient ?
– Non, je suis très joueuse, mais je me demande bien ce que tu as encore été inventer.
– Silence, et mets-toi à poil !
– A poil, moi ? Répète Mirabelle incrédule.
– Oui, toi, tu veux bien jouer, n’est-ce pas ?
– OK.

Mirabelle se déshabille donc. La situation m’excite, car personne ne peut deviner ce qui va se passer.

– Alors, Loan, comment trouvez-vous votre patronne ?
– Elle est très belle !

C’est vrai qu’elle est belle, mince, un 85 C qui tient bien, des fesses de rêve et surtout ce visage toujours souriant qui la fait ressembler un peu à Julia Roberts, jeune..

– Bien sûr qu’elle est belle ! Messieurs dans le fond, sortez donc vos bites et masturbez-vous ! Et vous Betty, tripotez-vous la chatte ! C’est quand même la moindre des choses à faire quand votre maîtresse est comme ça nue devant vous !

Arnaud et Cyril en valets bien obéissants se débraguettent et se branlent mollement. Allez, c’est parti pour le délire :

– Loan, vous allez vous approcher de Mirabelle et vous allez la gifler !
– Je…
– C’est un ordre, Loan !

SixNeuf09mJe ne sais pas qui est la plus étonnée des deux, Loan à qui on demande de gifler sa maîtresse, ou Mirabelle qui se demande où je veux en venir. C’est un jeu, elles peuvent l’arrêter l’une ou l’autre… La gifle atterrit sur la joue de Mirabelle qui a un petit mouvement de recul.

– Ce n’est pas assez fort ! Donnez-lui-en une autre.
– Aïe !
– Allez encore une, et crachez-lui dessus, allez n’hésitez pas. Et toi, Mirabelle ouvre la bouche !

Cette fois, elle encaisse sans broncher.

– Giflez-lui les seins, maintenant… non plus vite à la volée, voilà comme ça, pincez-lui les bouts, plus fort, tordez-les, voilà comme ça. N’ayez pas peur de lui faire mal, elle est complètement maso !

Je me saisis du martinet que j’avais posé sur le bureau.

– Prenez ça, Loan, nous allons continuer la punition, vous allez lui cingler les fesses… Oh, mais j’y pense, vous aimeriez sans doute savoir le pourquoi de cette punition…

Les yeux des deux filles !

– Alors je vais vous expliquez, lorsque vous êtes arrivée ce matin, Loan, j’ai tenu à vous montrer la bite de Cyril, et après votre départ, comme j’étais un peu excité, je lui ai demandé de rester afin que je puisse le sucer un peu…
– Oh ! Fait Loan, ne pouvant cacher sa surprise.
– Quoi « Oh ! » ? Quelque chose vous choque, Loan ?
– Choquée, non ? Mais j’ignorais que Monsieur avait des… des… des penchants…
– Est-ce un problème, Loan ? Soyez franche !
– Non, Monsieur pas du tout…
– Donc je continue, après l’avoir bien sucé, je lui ai demandé de m’enculer, c’est logique, vous êtes bien d’accord avec moi, Loan ?
– Euh, sans doute, Monsieur, si Monsieur le dit, il faudra que je m’habitue à ces choses…
– Donc Cyril m’encule vigoureusement, quand cette pétasse de Mirabelle intervient et m’impose sa présence. Voilà qui est d’un sans gêne absolu et qui mérite une punition ! Vous êtes bien d’accord, Loan ?

Mirabelle a du mal à retenir son sérieux, quant à Loan elle est carrément paumée.

– Je vous ai posé une question, Loan !

Elle finit par réaliser que tout cela n’est qu’un jeu et murmure :

– Oui, oui, je comprends que Monsieur ne souhaitait pas être dérangé pendant un tel moment.
– Ben, tu vois, Mirabelle, tout le monde est contre toi !
– Le monde est injuste ! Ironise cette dernière.
– Et puis, ce n’est pas tout, Loan, figurez-vous que cette salope, qui était bien consciente de sa faute, a fait encore pire, elle m’a offert son trou du cul et ensuite elle m’a payé le restaurant. Comme si une sodomie et un plateau de fruits de mer pouvaient effacer une faute pareille ! Vous allez donc me cingler cette pétasse… mais j’y pense, nous ne sommes pas pressés, si je vous ai bien compris Loan, vous n’avez jamais eu l’occasion de voir deux hommes s’enculer ?
– Non, Monsieur !
– Il faut absolument que vous puissiez voir ça !
– Comme vous voulez, Monsieur.
– C’est en effet comme je le veux. Arnaud déshabillez-vous, c’est vous qui allez avoir l’honneur de me prendre afin de faire une démonstration à cette jeune personne.

Je me déshabille également. Arnaud se met à côté de moi.

– Loan, vous allez commencer par nous sucer la bite afin que nous soyons bien en forme.

Loan se baisse.

– Loan, relevez-vous !

Je la gifle, pas trop fort bien sûr, mais elle est surprise.

– Loan, sauf si je vous le demande expressément, vous ne devez pas rester habillée quand vos partenaires sexuels sont le sexe à l’air !
– D’accord, Monsieur, désormais, je le saurais.

Je la vois donc enfin à poil, vraiment pas mal, j’aurais préféré des seins plus gros, mais ils sont mignons, tiennent bien, et leurs gros tétons sont tout à fait émoustillants.

– Vous êtes bandante, Loan !
– Je suis ravie d’exciter Monsieur !

Elle attend que je lui dise quelque chose, mais comme ça ne vient pas, elle se baisse de nouveau, prend la bite d’Arnaud dans la main gauche la mienne dans la droite, commence à masturber tout ça, puis finit par engloutir la mienne ! Humm mais c’est qu’elle suce drôlement bien la petite asiatique… mais elle m’abandonne pour faire la même chose à Arnaud qui est aux anges.

– Bon, ça devrait aller, Loan, préparez-moi mon trou du cul, s’il vous plait.
– Que dois-je faire exactement, Monsieur ? Je ne voudrais pas commettre d’impair !
– Et bien léchez moi le trou de mon cul, Loan, donnez-moi des grands coups de langues et essayez de me pénétrer l’anus avec…
– Avec grand plaisir, Monsieur !

« Avec grand plaisir ! » elle a dit ! Moi qui pensais qu’elle serait réticente. Sa langue virevolte sur ma rosette avec un bonheur rare, elle fait ça vraiment très bien.

– Entrez un doigt !
– Je dois vous entrer un doigt… dans le…
– Dans le cul, oui…

Bien sûr que c’est dans le cul, sinon, elle va le rentrer où le doigt ? Je me contente de quelques allers et retours, puis lui demande d’arrêter.

– Vous m’avez superbement léché et doigté le cul, Loan, je suppose que vos anciens patrons vous le demandaient souvent.
– Assez-souvent, oui, c’était l’une de leur punition préférée.
– Ah, bon ? C’est une punition de lécher un cul ?
– Quand il n’est pas très propre, oui ! Au début c’était une vraie punition, après je me suis habituée. Quand ça les prenait, je leur servais de papier toilette en quelque sorte.
– Humm… Sais-tu que tu me donnes des idées, là ?
– Si Monsieur ou Madame désire que je leur serve occasionnellement de papier à cul, ce sera avec grand plaisir.
– Tu es une cochonne ! Loan ! D’abord on ne dit pas papier à cul, mais papier toilette.
– Bien Monsieur !
– Dis-moi Loan, le doigt que tu m’as mis dans le cul, il est ressorti comment ?
– Comme ça, Monsieur ! Me dit-elle en me montrant son état.

Je la gifle une nouvelle fois.

– Je ne t’ai pas demandé de me le montrer, je t’ai demandé de me le décrire
– Pardon Monsieur, alors disons que mon doigt est ressorti avec quelques traces de merde.
– Et bien suce-le, jusqu’à ce qu’il soit parfaitement nettoyé.
– Avec grand plaisir, Monsieur.

Ce doit être son leitmotiv !

Bon avec toutes ces digressions, la bite d’Arnaud a perdu un peu de sa vigueur. Je la suce quelques instants afin qu’elle redevienne bien raide, puis je me positionne en levrette, attendant que mon valet me sodomise devant toute l’assistance.

Cela devait faire un moment qu’il n’avait pas joui, le pauvre, il tient une forme olympique et me chevauche à la hussarde pendant plusieurs belles minutes.

– M’autorisez-vous à jouir ! Me demande mon enculeur.
– Allez-y Arnaud, c’est la fête !

On s’écroule tous les deux sur le plancher, complètement épuisés et en nage.

– Bravo Arnaud, vous avez été très bien !
– Merci Monsieur !
– Et vous Loan, le spectacle vous a plus ?
– C’est, c’est… nouveau, ça change…

Bon, ce n’est pas la réponse que j’attendais, mais je ne vais pas passer mon temps à la gifler non plus…

– Bon, il est peut-être temps de cravacher Mirabelle ! Dis-je en tendant l’instrument à la petite asiatique.

Le premier coup tombe sur les fesses de Mirabelle, ça ne lui fait pas grand-chose.

– Loan, je vous ai dit de la fouetter, pas de la caresser avec les lanières.

Elle n’hésite plus, prend du recul, ajuste le coup et zèbre les fesses de la pauvre Mirabelle de belles trainées rouges.

– Pas mal, continuez un peu comme ça !

Je connais parfaitement les résistances de Mirabelle, je sais donc quand il faudra arrêter. Pour l’instant elle encaisse bien, le coin de ses yeux se remplit de larmes, mais je sais qu’elle aime ça ! Ses fesses virent maintenant au rouge sombre, le but du jeu n’est pas non plus de la marquer pour plusieurs jours.

– Stop !

Je m’approche de Mirabelle, lui touche la chatte !

– Tu es trempée, salope, ça t’a fait mouiller mon petit scénario !
– Et oui…
– En ce qui te concerne, le jeu est fini ! Lui précisais-je.
– Tu aurais pu continuer…
– Je n’ai plus d’idée.
– Alors embrasse-moi !

On se roule un patin, pendant un instant on est seuls au monde, heureux, elle me chuchote un « je t’aime » que je suis seul à entendre, je lui réponds la même chose.

Loan fait encore des yeux tous ronds, elle ne comprend pas bien quels sont exactement nos rapports, mais ce n’est pas grave, ça viendra.

– Dis donc Mirabelle, tu as vu dans quel état elle a mis tes fesses ! Tu vas te venger j’espère.
– Un peu que je vais me venger ! Mais je vais faire ça en deux temps, pour le moment je vais m’occuper d’elle. Et en ce qui te concerne, ce sera plus tard !
– J’en tremble à l’avance ! Plaisantais-je.
– Tu peux, mon salaud !
– Bon, je te laisse diriger la suite !
– On va changer d’endroit, descendez tous au donjon, prenez vos affaires, on vous rejoint dans deux minutes : Déclare Mirabelle

Le donjon ! C’est vrai que je possède un donjon ! J’espère que quelqu’un y a fait le ménage, parce que ça fait des mois que je n’y ai pas mis les pieds. Et puis « donjon » est un bien grand mot, Il y a deux croix de Saint André, quelques chaines au plafond, une cage, un chevalet, un pilori et quelques autres bricoles… tout cela dans mon sous-sol.

Je descends avec Mirabelle, nous ne nous sommes pas rhabillés.

– Bon, il y en a qui ne sont pas encore à poil, c’est quoi ce cirque ? Proteste Mirabelle en s’approchant de Betty.
– Nous n’en avions pas reçu l’ordre ! Tente de répondre cette dernière.

Mirabelle la gifle !

– Ta gueule, toi, toujours à discutailler, tu m’énerves, Arnaud et Cyril, attachez-moi cette truie sur la croix, tournée vers moi. Mais attendez qu’elle finisse de se déshabiller… Tu vas te dépêcher, conasse, je n’ai pas que ça à faire…

Ça y est Betty est attachée, Mirabelle fait cingler le martinet qui atterrit sur son ventre, sur ses cuisses, sur ses seins. La pauvre Betty pousse des petits cris tout en acceptant le jeu avec courage et soumission.

– Allez, ouvre ta gueule de salope !

Betty a compris, elle obéit et ne bronche pas quand sa tortionnaire lui crache dessus. Mirabelle lui fixe ensuite des pinces, une à chaque téton et une sur chaque lèvre vaginale, elle joue un petit peu avec, puis y ajoute des poids. Elle reprend le martinet, vise les seins et force le coup. Betty fait une affreuse grimace. Le coup suivant fait s’envoler la pince fixée sur son téton gauche. Elle hurle. Mirabelle attend un instant, sa victime connait la suite, elle peut toujours employer le mot de sécurité, mais elle ne le fait pas. Nouveau coup ! Nouveau cri, l’autre pince a voltigé à son tour. Mirabelle ramasse les pinces, les lui remet, et la laisse ainsi, les yeux embués de larmes.

J’ai compris le but de la manœuvre, tout cela n’avait pour unique but que de « terroriser » Loan. Et ça marche, elle n’est vraiment pas rassurée, la pauvre petite vietnamienne.

Sadiquement, Mirabelle s’approche d’elle.

– Vous… vous allez me faire pareil ? Tente de demander la petite vietnamienne.

Mirabelle la gifle

– Ta gueule ! On ne t’a pas autorisé à poser des questions ! Ouvre ta bouche que je te crache bien dedans.

Elle se laisse faire, elle se laisse faire également quand Mirabelle donne l’ordre à Arnaud et à Cyril d’aller l’attacher sur la seconde croix.

Mirabelle s’avance menaçante, Loan est véritablement angoissée. Si elle panique de trop, elle peut dire le mot de sécurité, à ce moment-là tout s’arrêtera, et je ne l’embaucherais pas… ou alors je l’embaucherais quand même, après tout je fais ce que je veux ! Mais là n’est pas le but de l’opération et ma compagne le sait bien. Elle fait semblant d’ajuster le martinet, mais le laisse retomber, puis elle s’approche du corps de l’asiatique et commence le caresser.

– Humm, tu as la peau douce, toi !
– Merci Madame.
– Tu aimes les femmes ?
– Oui Madame

Elle lui caresse les seins, tandis que de son autre main, elle tend un doigt pour lui pénétrer la chatte. Sa bouche s’approche du téton, elle le mordille, doucement d’abord, puis plus fort !

– Aïe !
– Tu n’aurais pas dû crier !

Mirabelle se saisit de nouveau du martinet et cette fois, elle ne fait pas semblant, les lanières font de jolies stries sur le corps de la pauvre asiatique. Une dizaine de coups se succèdent, elle encaisse. Elle comprend maintenant que le scénario sera le même que pour Betty. Mirabelle doit lui rappeler que c’est un jeu. Elle approche son visage de sa bouche et quémande un baiser. Loan est surprise mais ne défile pas. Et puis tout va très vite, Mirabelle fixe les pinces, en regardant sa victime dans les yeux, puis les poids. Elle ajuste le martinet. Loan serre ses lèvres, tremble un peu. Le coup arrive sec. Elle hurle, puis reprend sa respiration. Nouvel échange de regards. La vietnamienne semble dire qu’elle est prête, Mirabelle ajuste le coup, c’est raté, mais la pince s’est un peu déplacée provoquant un nouveau cri de douleur, elle recingle dans la foulée, cette fois c’est le bon. Un sourire sadique chez la tortionnaire, des yeux humides chez la victime. Mirabelle retire à la main les pinces de ses lèvres.

– Détachez-là !

Loan n’en revient pas d’avoir réussi à passer l’épreuve.

– Je peux poser une question ! Demande-t-elle
– Oui, mais tout à l’heure ! Parce que pour l’instant ce n’est pas fini. Figure-toi que j’ai une envie de pisser pas possible et que j’ai l’intention de te faire boire tout ça !

Alors là, ça n’a pas l’air de l’affoler du tout !

– Vous désirez que je m’allonge sur le sol ?
– Tout à fait.

Mirabelle s’accroupit au-dessus du visage de Loan qui ouvre la bouche. Quelques moments d’attente puis le geyser doré de ma compagne dégringole de sa chatte. L’autre engloutit ce qu’elle peut sans aucun dégoût.

– T’aimes ça, on dirait !
– Ça ne me dérange pas, votre urine est très bonne..
– Et si je faisais caca ?
– Faites comme vous le voulez, Madame, je m’efforcerais d’être à la hauteur.

Mirabelle change légèrement sa position, de façon à ce que son sphincter soit au-dessus de la bouche de sa soumise. Elle s’ouvre, pousse, mais rien ne vient pour l’instant.

– Lèche ! Mieux que ça ! Dis-moi si tu aimes l’odeur de mon cul !
– Oui, madame, j’aime bien votre odeur.

Loan lèche le trou de balle de ma compagne quelques instants, puis cette dernière pousse de nouveau. Un petit étron finit par sortir, puis par se décrocher et tomber sur le menton de la petite vietnamienne. Un second ne tarde pas à suivre. Mirabelle se relève, ramasse l’un des étrons.

– Lèche !

Elle le fait sans problème

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse, Madame !

Mirabelle prend l’autre étron et l’étale sur la poitrine mouillée de pisse de la jeune asiatique.

– Redresse-toi ! A ton tour de me badigeonner avec ma merde, Passes-en bien sur mes seins, comme ça, oui.

Les deux femmes se font face, Mirabelle se penche sur le sein pollué de Loan et se régale en lui léchant le téton.

– A toi !

La soubrette ne se fait pas prier et rend la pareille à sa future patronne.

– Ah, Cyril, tu n’as pas joui ! Tu ne va pas rester comme ça, Branle-toi ! Et toi Loan, tu va te baisser, Cyril va t’envoyer son foutre sur le visage et sur tes nichons.

Ça n’a pas duré bien longtemps, Cyril a toujours eu le sperme abondant.

Loan reste immobile ne sachant que faire.

– Tu ramasses avec tes doigts et tu lèche ! Lui ordonnais-je
– Bon, dit Mirabelle, on va en rester là, Loan, tu vas pouvoir prendre une douche et tu nous retrouveras dans le bureau de Boris dans une demi-heure !
– Bien Madame.
– Ah ! Arnaud, libérez Betty et passez-moi donc deux paires de menottes de cuir, je vais en avoir besoin. Reprend-elle

On ramasse nos affaires et je suis Mirabelle dans notre chambre !

– Allonge-toi, les bras en croix, je vais t’attacher me dit-elle.

Je me laisse faire, je lui dois bien ça. Ce que je n’avais pas prévu c’est qu’elle avait remonté des pinces, elle m’en fixe deux aux tétons, deux autres aux couilles ! Ouille Ouille ! Ça fait mal, mais ça fait bander.

Elle ne me suce même pas, s’empale carrément la chatte sur mon pieu et se met à jouer les walkyries. Au bout de cinq minutes de ce régime, elle change d’orifice et nous joue la suite. Elle pousse des petits cris, elle adore jouir du cul. Je ne tarde de pas à éjaculer. Mirabelle se penche sur moi et me roule une pelle.

– Je t’aime, salopard !
– Ben, moi aussi, hein !

Loan est à l’heure. Nue puisque personne ne lui a demandé de se rhabiller. Mirabelle inspecte ses fesses.

– Ça va, c’est un peu marqué, mais pas trop, demain on n’y verra plus rien. Commente-t-elle.

– Loan, nous sommes d’accord pour vous embaucher.
– Merci Monsieur ! Mais je voulais vous poser une question tout à l’heure….
– Et bien, posez-là !
– Euh, ça se passe tous les jours comme ça ?
– Non, non parfois c’est pire ! Répond Mirabelle, se moquant gentiment.

Loan nous refait ses grands yeux étonnés, elle se demande si c’est du lard ou du cochon.

– Mais la personne qui était avant moi… demande-t-elle
– C’était moi, répond Mirabelle. Et tu vois j’ai eu une promotion, je ne suis plus soubrette, je suis devenue la compagne de Monsieur.
– Alors ce doit être une bonne place !

ce récit se situe chronologiquement après les épisodes intitulés « En attendant Edwige. »

 

© Boris Vasslan et Vassilia.net Mai 2009, Mai 2017

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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